Retrouvez gratuitement la notice de l'appareil INDESIGN CS4 ADOBE au format PDF.
| Intitulé | Valeur / Description |
|---|---|
| Type de produit | Logiciel de publication assistée par ordinateur (PAO) |
| Version | Adobe InDesign CS4 |
| Système d'exploitation compatible | Windows XP, Windows Vista, Mac OS X 10.5 ou ultérieur |
| Configuration minimale requise | Processeur 1 GHz, 1 Go de RAM, 2 Go d'espace disque disponible |
| Fonctions principales | Création de mises en page, gestion de typographie, intégration de graphiques, exportation PDF |
| Formats de fichiers supportés | INDB, INDD, IDML, PDF, EPS, JPEG, PNG, etc. |
| Outils de collaboration | Partage de documents, commentaires, révisions en temps réel |
| Entretien et nettoyage | Mettre à jour régulièrement le logiciel pour corriger les bugs et améliorer la sécurité |
| Pièces détachées et réparabilité | Non applicable, logiciel non matériel |
| Support technique | Assistance en ligne, forums, documentation officielle |
| Informations générales | Adobe InDesign CS4 est idéal pour les professionnels de l'édition, du design graphique et de la mise en page. |
| Licence | Licence perpétuelle, mise à jour payante pour les nouvelles versions |
| Prix indicatif | Varie selon le revendeur, généralement autour de 700 € lors de sa sortie |
Téléchargez la notice de votre Logiciel de publication assistée par ordinateur au format PDF gratuitement ! Retrouvez votre notice INDESIGN CS4 - ADOBE et reprennez votre appareil électronique en main. Sur cette page sont publiés tous les documents nécessaires à l'utilisation de votre appareil INDESIGN CS4 de la marque ADOBE.
Les informations contenues dans ce guide sont données à titre purement indicatif. Elles peuvent être modifiées sans préavis et ne constituent aucunement un engagement de la part d’Adobe Systems Incorporated. Adobe Systems Incorporated ne peut être tenu pour responsable des erreurs ou des inexactitudes susceptibles de figurer dans ce manuel. Nous attirons votre attention sur le fait que les illustrations ou images que vous pourriez être amené à incorporer dans vos projets peuvent être protégées par des droits d’auteur, auquel cas leur exploitation sans l’autorisation de l’auteur constituerait une violation de ces droits. Veillez à obtenir toutes les autorisations requises de la part des auteurs. Toutes références à des noms de sociétés dans les modèles sont purement fictives et ne visent aucune entreprise existante. Adobe, the Adobe logo, Adobe Caslon, Adobe Connect, Acrobat, After Effects, Creative Suite, Dreamweaver, Fireworks, Flash, FreeHand, GoLive, Illustrator, InCopy, InDesign, Kuler, PageMaker, Photoshop, PostScript, PostScript 3, Reader, and Version Cue are either registered trademarks or trademarks of Adobe Systems Incorporated in the United States and/or other countries. Homogénéité des couleurs
Aide à l’installation Pour obtenir de l’aide pendant l’installation, consultez le Centre d’assistance à l’installation à l’adresse suivante : www.adobe.com/go/cs4install_fr.
Lors du processus d’installation, votre logiciel Adobe contacte Adobe afin d’achever le processus d’activation de la licence. Aucune donnée personnelle n’est transmise lors de cette opération. Pour plus de détails sur l’activation du produit, consultez le site Web d’Adobe à l’adresse http://www.adobe.com/go/activation_fr. L’activation d’une licence monoutilisateur prend en charge deux ordinateurs. Par exemple, vous pouvez installer le produit sur un ordinateur de bureau de votre lieu de travail et sur un ordinateur portable utilisé à votre domicile. Si vous souhaitez installer le logiciel sur un troisième ordinateur, vous devez d’abord le désactiver sur l’un des deux autres ordinateurs. Choisissez la commande Aide > Désactiver.
Enregistrez votre produit afin de bénéficier gratuitement d’une aide à l’installation, de notifications de mises à jour, ainsi que d’autres services. ❖ Pour procéder à l’enregistrement, suivez les instructions affichées dans la boîte de dialogue d’enregistrement qui
Si vous reportez l’enregistrement, vous pourrez effectuer cette procédure ultérieurement en choisissant la commande Aide > Enregistrement.
Après un certain nombre d’utilisations du logiciel Adobe, une boîte de dialogue peut éventuellement apparaître, vous invitant à participer au programme d’amélioration des produits Adobe. Si vous acceptez d’y participer, des données relatives à votre utilisation du logiciel sont envoyées à Adobe. Aucune information personnelle n’est enregistrée ou transmise. Le programme d’amélioration des produits Adobe ne rassemble que les informations concernant les fonctionnalités et les outils que vous utilisez dans le logiciel, ainsi que la fréquence d’utilisation. Vous pouvez rejoindre ou quitter le programme d’amélioration à tout moment :
• Résolution des problèmes • Support technique • Informations juridiques
La fonction de recherche dans l’aide communautaire vous permet de retrouver les meilleures ressources du Web consacrées aux produits et aux technologies Adobe. Sont notamment disponibles :
Si vous êtes connecté à Internet lorsque vous accédez à l’aide, vous êtes directement dirigé vers l’aide complète disponible sur le Web, et non vers la version abrégée fournie avec votre produit.
Utilisez le champ de recherche de l’aide dans l’interface utilisateur de votre produit pour accéder à l’aide communautaire. Une vidéo consacrée à l’aide communautaire est disponible à l’adresse suivante : www.adobe.com/go/lrvid4117_xp_fr.
Vous pouvez commander une version imprimée de l’aide en ligne à l’adresse suivante : www.adobe.com/go/store_fr (les frais de livraison et de manutention vous seront facturés). L’aide en ligne fournit également un lien vers l’aide au format PDF, celle-ci étant complète et actualisée en permanence. Consultez le site Web d’assistance technique d’Adobe, à l’adresse www.adobe.com/fr/support, pour en savoir plus sur les options d’assistance technique gratuites et payantes.
Ressources Services créatifs en ligne Adobe Adobe® Creative Suite® 4 s’enrichit de nouvelles fonctionnalités en ligne qui vous permettent d’exploiter toute la puissance du Web à partir de votre Bureau. Vous pourrez utiliser ces fonctionnalités pour vous mettre en contact et collaborer avec des membres de la communauté, tout en tirant le meilleur parti de vos outils Adobe. Extrêmement puissants, les services créatifs en ligne vous permettent de réaliser un vaste éventail de tâches, de la mise en correspondance de couleurs à l’échange de données en direct. Ces services s’intègrent de manière transparente aux applications bureautiques afin que vous puissiez rapidement améliorer les flux de production existants. Certains services offrent des fonctionnalités complètes ou partielles même lorsque vous êtes hors ligne. Consultez le site adobe.com pour en savoir plus sur les services disponibles. Certaines applications de la suite Creative Suite 4 intègrent les fonctions suivantes : Panneau Kuler™ Créez, partagez et découvrez des thèmes de couleurs en ligne. Adobe® ConnectNow Travaillez en étroite collaboration avec des groupes de travail dispersés sur le Web, et partagez
Resource Central Accédez instantanément à des didacticiels, des fichiers d’exemple et des extensions pour les
Pour plus de détails sur la gestion de vos services, consultez le site Web d’Adobe à l’adresse suivante : www.adobe.com/go/learn_creativeservices_fr.
• forums, contenu Wiki et autres ressources de collaboration pour vous aider à interagir avec des développeurs qui partagent vos opinions.
Ressources Adobe s’appuie sur ces commentaires pour créer des logiciels répondant aux besoins et aux attentes de la communauté.
Le disque d’installation contient divers extras qui vous permettront de profiter pleinement des fonctionnalités de votre logiciel Adobe. Certains extras sont installés sur votre ordinateur au cours du processus d’installation, tandis que d’autres sont disponibles sur le disque. Pour afficher les extras installés avec le logiciel, accédez au dossier de l’application sur votre ordinateur.
• Mac OS® : [disque de démarrage]/Applications/[application Adobe] Pour afficher les extras disponibles sur le disque, accédez au dossier Goodies pour la langue de votre choix sur le disque. Exemple :
Contrôle en amont dynamique La fonction de contrôle en amont vous permet d’obtenir de meilleurs résultats, de gagner du temps et de réduire les coûts de production. Elle offre également l’avantage de signaler en temps réel les éventuels problèmes de production. Grâce au nouveau panneau de contrôle en amont, vous avez la possibilité d’atteindre et de sélectionner les objets qui ont provoqué l’erreur. Les conseils et astuces contextuels vous donnent en outre la possibilité de corriger les erreurs directement dans la mise en page (voir la section « Contrôle en amont de fichiers avant envoi » à la page 652). Rotation de la planche Vous pouvez faire pivoter temporairement la planche sans modifier l’orientation de votre moniteur. Toutes les fonctions de modification du programme restent disponibles, même avec une planche pivotée à 90 ou 180 degrés. Vous pouvez ainsi travailler sans problème sur des éléments orientés dans le sens vertical, tels que des calendriers ou des tableaux (voir la section « Affichage avec rotation de la planche » à la page 68).
Ressources Dimensions intelligentes Pendant que vous créez, redimensionnez ou faites pivoter un objet, cette fonction en indique
Espacement intelligent Espacez plusieurs éléments à intervalles réguliers sur la page sans aucun effort et sans avoir recours au panneau Alignement. Curseurs intelligents Lorsque vous transformez des objets, le curseur affiche les coordonnées X et Y et d’autres détails
Afficher les valeurs de transformation proposée dans les préférences de l’interface. Panneau Liens multifonctionnel Le nouveau panneau Liens permet de rechercher, trier et organiser les éléments de contenu placés. Vous pouvez rechercher les attributs des liens et afficher des détails tels que l’échelle, la rotation et la résolution. Vous avez en outre la possibilité de personnaliser le panneau Liens en fonction de vos habitudes de travail. Vous pouvez remplacer très rapidement les images basse résolution utilisées comme balises d’emplacement par les images haute résolution correspondantes, en vous basant simplement sur les noms de fichiers. Les extensions de noms de fichiers sont ignorées. Il suffit de redéfinir le lien vers un nouveau dossier (voir la section « Présentation du panneau Liens » à la page 393). Panneau Pages visuelles Le panneau Pages contient des vignettes représentant vos pages. Vous pouvez ainsi très facilement passer de l’une à l’autre et les réorganiser à votre convenance. Si vous avez appliqué une transparence, des transitions de page ou une rotation de la planche, vous pouvez désactiver les icônes correspondantes pour éviter de trop encombrer le panneau Pages (voir la section « Modification de l’affichage d’une page ou d’une planche » à la page 62). Nouveaux formats de page Le menu Format de page de la boîte de dialogue Nouveau document propose de nouveaux formats correspondant aux résolutions de moniteur les plus communes. Ces options vous permettent de concevoir plus facilement des documents adaptés à une taille de moniteur donnée et destinés à être exportés vers Flash ou PDF. Voir la section « Création de documents dynamiques pour Flash » à la page 563. Suppression rapide des repères Pour supprimer tous les repères sélectionnables sur la planche ou le gabarit actuellement utilisés, il suffit de cliquer sur la règle avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la touche Ctrl enfoncée (Mac OS), puis de choisir la commande Supprimer tous les repères. Fusion des données avec sortie PDF Grâce à la commande Exporter au format PDF du panneau Fusion des données, vous pouvez maintenant effectuer la fusion des données et générer une sortie au format PDF en une seule opération. La création d’un document InDesign intermédiaire est désormais inutile. Le fichier PDF tire parti des XObjects PDF pour les portions statiques de la page, ce qui réduit sensiblement sa taille. Voir la section « Fusion des enregistrements » à la page 697.
Ressources Placez le zéro de la règle des X exactement au niveau de la reliure du document. Vous aurez ainsi les valeurs X positives sur la page de droite et les valeurs négatives sur celle de gauche, lorsque l’option Pages en vis-à-vis est activée. Incréments de la grille de ligne de base respectant l’interligne Si vous spécifiez un autre système de mesure (par exemple, millimètres ou pouces), les valeurs de la grille de ligne de base restent exprimées en points, tout comme le corps du texte et l’interligne. Amélioration de la zone de ligne-bloc Déplacez les pages et vous constaterez que les objets dans les zones de ligne-bloc et de fond perdu bougent également. Les numéros de page dans la zone de ligne-bloc affichent un numéro et non l’entrée d’index de la table de montage (PB). Amélioration de la fonction d’annulation Les opérations de visualisation telles que l’aperçu et l’affichage des repères ne font plus partie des actions pouvant être annulées.
Texte conditionnel Le texte conditionnel vous permet de créer plusieurs versions d’un document destiné à différents utilisateurs ou à différentes couches. Définissez les conditions, puis appliquez-les au texte afin de le personnaliser en fonction du public. Si vous masquez certaines conditions, la présentation du texte restant et des objets ancrés est automatiquement redéfinie dans votre mise en page (voir la section « Utilisation de texte conditionnel » à la page 151). Dictionnaire personnel multilingue Les mots, noms ou expressions que vous ajoutez au dictionnaire personnel sont désormais reconnus dans toutes les langues (voir la section « Ajout de mots aux dictionnaires » à la page 184). Redistribution intelligente du texte Utilisez InDesign comme un traitement de texte qui ajoute ou supprime automatiquement des pages en fonction des besoins, lorsque vous saisissez du texte, en modifiez la disposition, ou masquez des conditions (voir la section « Redistribution intelligente du texte » à la page 143). Modification de la correction automatique Vous pouvez modifier les entrées de la liste des corrections automatiques sans supprimer et ajouter des entrées. Amélioration des tableaux En mode éditeur, le texte des tableaux est présenté en colonnes et lignes séquentielles. Il est ainsi plus facile à modifier (voir la section « Utilisation des tableaux en mode éditeur » à la page 294). Vous pouvez aussi appliquer des changements aux cellules et aux bordures de tableau sans sélectionner à nouveau les bordures des doublures des contours. Vous pouvez maintenant ajouter des notes texte dans les tableaux pour travailler plus efficacement avec vos collaborateurs. Utilisez les notes pour stocker un texte alternatif, des informations communiquées par le concepteur et autres annotations et liez-les au texte d’un tableau (voir la section « Ajout de notes éditoriales et suivi des modifications dans InDesign » à la page 726).
Ressources Création de styles en contexte Vous n’avez pas besoin de quitter les boîtes de dialogue dans lesquelles vous pouvez sélectionner un style de caractère ou de paragraphe lors de la création d’un style. Ceci est particulièrement pratique lorsque vous générez une table des matières ou que vous créez des styles imbriqués ou des styles GREP ou encore, lorsque vous changez la mise en forme d’un texte en style à l’aide de la commande Rechercher/Remplacer. Styles GREP Spécifiez une expression GREP et appliquez des styles de caractère à tout le texte du paragraphe qui correspond à ces conditions (voir la section « Création de styles GREP » à la page 205). Meilleure gestion des groupes de styles Vous avez maintenant la possibilité de déplacer des styles à l’intérieur et à l’extérieur de groupes de styles sans créer de doublons lors de la synchronisation d’un livre (voir la section « Synchronisation des documents d’un livre » à la page 312).
Modification simplifiée des originaux Faites appel à la commande Modifier avec et choisissez l’application à utiliser pour modifier un élément placé, au lieu d’accepter le programme spécifié par défaut dans le système d’exploitation (voir la section « Modification d’une illustration d’origine » à la page 400). Respect des proportions lors de l’importation de graphiques Si vous tracez un bloc alors qu’une image se trouve dans le curseur chargé, les proportions du graphique seront conservées. A moins que vous ayez appliqué des options d’ajustement au bloc, l’image sera centrée dans le bloc et s’adaptera aux dimensions de celui-ci, tout en gardant ses proportions. Si vous tracez un bloc à l’aide du curseur chargé, l’échelle est également affichée sur le curseur. Pour empêcher le respect des proportions des images, tracez le bloc tout en maintenant la touche Maj enfoncée. Importation de plusieurs graphiques sous forme de planche contact Créez rapidement une planche contact en important plusieurs images disposées en grille. Si vous maintenez les touches Ctrl+Maj (Windows) ou Commande+Maj (Mac OS) enfoncées, vous pouvez faire glisser en une seule fois toute la grille des images importées. Définissez le nombre de colonnes et de lignes de la grille à l’aide des touches de direction. Importation de plusieurs plans de travail Passez en revue les différents plans de travail créés dans Adobe Illustrator® CS4 pour les importer rapidement dans votre document InDesign (voir la section « Importation de pages PDF » à la page 376). Nouveaux boutons du panneau Pathfinder Faites appel aux boutons proposés dans la nouvelle ligne Tracés du panneau Pathfinder pour effectuer en un clin d’œil des opérations telles que la jonction, l’ouverture ou l’inversion de tracés.
Ressources Contrôle des contours du texte Modifiez l’extrémité, le sommet, la pointe et l’alignement des contours du texte sans vectoriser les caractères. Ces options de contour sont également disponibles dans les styles (voir la section « Modification de la couleur, du dégradé ou du contour du texte » à la page 249). Amélioration de l’outil Transformation manuelle L’outil Transformation manuelle permet de redimensionner plus facilement les objets, grâce à des zones sensibles plus étendues autour des poignées et à la possibilité de suivre les bords d’autres objets (voir la section « Pour transformer des objets à l’aide de l’outil Transformation manuelle » à la page 419). Raccourcis clavier pour la mise à l’échelle et le redimensionnement L’éditeur de raccourcis clavier propose de nouvelles options permettant de créer très facilement des raccourcis pour augmenter et réduire la taille. Il existe également des raccourcis clavier spéciaux pour la mise à l’échelle et le redimensionnement des objets. Voir la section « Transformation des objets » à la page 738.
Transitions de page dans les fichiers PDF et SWF Appliquez des transitions de page directement dans InDesign. Vous pouvez les associer aux pages de votre choix ou à toutes les planches en une seule opération. Visualisez un aperçu des types de transition disponibles et définissez la direction et la vitesse des transitions à exporter vers Flash (fichier SWF) ou PDF (voir la section « Transitions de page » à la page 587). Amélioration des boutons Concevez des boutons interactifs à l’aide des nouvelles fonctions du panneau Boutons. Créez des boutons personnalisés ou sélectionnez l’un des boutons prédéfinis à partir de la bibliothèque intégrée. Les boutons peuvent servir à accéder à d’autres parties d’un document dynamique, à démarrer la lecture d’un film ou à reproduire un son (voir la section « Boutons » à la page 589). Nouveau panneau Hyperliens Grâce au panneau Hyperliens, vous pouvez créer des hyperliens renvoyant à des adresses URL externes, établir des liaisons à des fichiers contenant des informations complémentaires, lancer un logiciel client de poste électronique, ou encore accéder à une page ou à une section de page du document actif ou d’un autre document. Vous pouvez aussi vérifier les hyperliens directement dans InDesign CS4, sans devoir exporter le document dans un fichier PDF ou SWF en vue de le tester (voir la section « Hyperliens » à la page 569). Références croisées Insérez et modifiez des références croisées. Choisissez l’un des formats proposés ou créez-le vous-même. Lorsque la numération des pages change, la mise à jour des références croisées s’effectue très facilement (voir la section « Références croisées » à la page 575).
Ressources Voir les sections « Exportation de contenu au format SWF » à la page 121 et « Création de documents dynamiques pour Flash » à la page 563. Exportation vers Flash (XFL) Exportez vos documents InDesign au format XFL, en vue de les exploiter dans Adobe Flash® CS4 Professional. Vous pouvez ensuite y ajouter des vidéos, des sons, des animations et autres éléments interactifs complexes à l’aide des fonctions de conception disponibles dans Flash. Le texte InDesign exporté au format XFL reste entièrement modifiable. Il suffit pour cela d’ouvrir le fichier XFL dans Adobe Flash CS4 Professional. Lors de l’exportation vers un fichier XFL, InDesign convertit automatiquement les ressources d’impression haute résolution (CMJN) en ressources Web basse résolution (RVB). Si votre document InDesign contient une image importée plusieurs fois, celle-ci est enregistrée comme une seule ressource avec emplacements partagés dans le fichier XFL. Voir la section « Exportation de contenu au format XFL » à la page 123. Amélioration des fichiers PDF interactifs Concevez des documents PDF interactifs en ajoutant des fichiers SWF, des séquences Quicktime et des séquences audio à vos mises en page. Créez des boutons interactifs, appliquez des transitions de page et incorporez des hyperliens, des références croisées et des signets pour offrir des documents plus riches à vos lecteurs. Voir la section « Création de documents dynamiques pour PDF » à la page 567. Intégration avec Adobe Bridge CS4 Parcourez, organisez, libellez et prévisualisez vos graphiques, documents, modèles et extraits InDesign dans Adobe Bridge. Faites glisser des ressources de Bridge vers des mises en page, sans effort et en toute tranquillité. Recherchez des fichiers à l’aide de métadonnées spécifiant des mots-clés, des polices, des couleurs, etc. (voir la section « A propos d’Adobe Bridge » à la page 103). Intégration avec Adobe Version Cue CS4 Faites appel à Adobe Drive pour vous connecter au serveur Version Cue. Le serveur avec lequel la connexion est établie s’affiche de la même manière qu’un disque dur ou un lecteur réseau mappé dans l’Explorateur Windows, le Finder Mac OS et les boîtes de dialogue, comme celles permettant d’ouvrir et d’enregistrer les fichiers (voir la section « Adobe Version Cue » à la page 103). IDML (InDesign Markup Language) Le format de fichier IDML (InDesign Markup Language), basé sur XML, permet aux développeurs d’assembler et de dissocier les documents InDesign à l’aide des outils XML standard sans devoir ouvrir des fichiers INDD. Voir la section « Enregistrement d’un document InDesign Markup (IDML) » à la page 107.
Le panneau Affectation contient également diverses options de mise à jour portant sur toutes les affectations ou seulement sur les affectations sélectionnées ou obsolètes. La mise à jour de toutes les affectations concerne également celles qui ne sont pas obsolètes. Vous pouvez ainsi visualiser les modifications de la maquette qui n’ont aucune conséquence sur la composition du texte des affectations. Services Adobe Aide de la communauté Adobe Profitez du savoir-faire des autres utilisateurs et trouvez rapidement les conseils dont
ConnectNow Collaborez avec vos clients, collègues et fournisseurs en partageant votre bureau. Vous pouvez ainsi organiser très rapidement des révisions de groupe et présenter votre travail sans aucune difficulté. Choisissez la commande Fichier > Partager mon écran. Panneau Adobe kuler Découvrez, créez et partagez des couleurs, grâce à Adobe kuler, une application fonctionnant sur le Web et spécialement conçue pour faire des essais de couleur et partager des thèmes avec les membres de la communauté kuler en ligne. Utilisable aussi bien de façon autonome que pour compléter les logiciels d’Adobe Creative Suite, kuler propose des outils en ligne issus de la technologie Adobe Flash pour créer des thèmes de couleur. Vous pouvez enregistrer des thèmes dans votre propre espace Mykuler, les partager en public, recevoir des thèmes par le biais de flux RSS, etc.
Amélioration des espaces de travail personnalisés Sélectionnez un espace de travail défini pour une tâche particulière. Vous disposerez ainsi des commandes de menu et panneaux adaptés à la tâche en cours et éviterez d’encombrer inutilement votre écran. Créez vos propres menus et espaces de travail personnalisés, puis enregistrez-les et partagez-les avec d’autres utilisateurs (voir la section « Enregistrement d’un espace de travail et basculement d’un espace de travail à l’autre » à la page 19). Passage en revue des documents à l’aide de la touche Tab Simplifiez-vous la tâche lorsque vous travaillez avec plusieurs documents. Vous pouvez, en effet, appuyer sur la touche Tab pour passer en revue tous les documents ouverts et vous arrêter sur celui qui vous intéresse, sans devoir les agrandir l’un après l’autre (voir la section « Gestion des fenêtres de document » à la page 15).
Ressources Vous pouvez ensuite déplacer ou redimensionner la fenêtre sans perdre l’accès aux panneaux ou autres documents ouverts (voir la section « Présentation de l’espace de travail » à la page 12). Barre de l’application La barre de menus comporte de nouveaux boutons de contrôle permettant de changer d’espace de travail, de modifier l’affichage d’un document, d’effectuer une recherche ou d’accéder rapidement à d’autres éléments tels qu’Adobe Bridge CS4. Panneaux dynamiques Faites glisser des éléments apparentés d’un panneau à un autre, sans devoir ouvrir le panneau cible. Vous pouvez, par exemple, faire glisser une nuance du panneau Nuancier vers le panneau Couleur, sans d’abord ouvrir ce dernier. Boutons de décalage Servez-vous des touches flèche haut et flèche bas pour appliquer des valeurs de décalage aux styles de paragraphe et de caractère, pour rechercher/modifier des formats, des styles d’objet, des options d’arrondis, etc. Position des boîtes de dialogue Les boîtes de dialogue s’ouvrent à l’emplacement qu’elles occupaient lorsque vous les avez fermées. Utilisation de la molette de la souris Faites défiler les pages de document à l’aide de la molette de la souris. Maintenez la souris en haut ou en bas de la fenêtre de l’application pour accélérer le défilement des pages (voir la section « Défilement de l’affichage » à la page 34). Zoom Grâce à l’outil Main, il vous est possible d’effectuer un zoom arrière simplement en maintenant le bouton de la souris enfoncé. Si vous continuez à maintenir le bouton de la souris enfoncé, vous pouvez aussi déplacer le cadre du zoom d’une page à une autre. Il vous suffit ensuite de relâcher le bouton de la souris pour rétablir le niveau de zoom d’origine au nouvel emplacement. Vous pouvez également agrandir ou réduire le cadre du zoom grâce aux touches flèche haut et flèche bas ou à l’aide de la molette de la souris (voir la section « Pour utiliser le zoom » à la page 33).
Espace de travail - Principes de base Présentation de l’espace de travail Vous pouvez créer et manipuler vos documents et fichiers à l’aide de divers éléments tels que des panneaux, barres et fenêtres. Un espace de travail désigne l’organisation de ces éléments. Les espaces de travail des diverses applications de la suite Adobe® Creative Suite® 4 présentent le même aspect, facilitant ainsi le passage d’une application à une autre. Vous pouvez également adapter chaque application aux exigences de votre travail, en créant votre propre espace de travail ou en effectuant une sélection parmi ceux prédéfinis. Bien que la disposition de l’espace de travail par défaut varie selon les applications, la manipulation des éléments est pratiquement identique dans chacune d’elles.
être regroupés, empilés ou ancrés.
éléments qu’il contient sont réagencés pour éviter tout chevauchement. Les panneaux ne disparaissent pas lorsque vous changez d’application ou lorsque vous cliquez par erreur à côté de l’application. Si vous utilisez plusieurs applications, vous pouvez les placer côte à côte à l’écran ou sur plusieurs moniteurs. Si vous préférez l’interface utilisateur Mac classique que vous pouvez personnaliser à votre convenance, il vous suffit de désactiver le Cadre de l’application. Dans Adobe Illustrator® par exemple, sélectionnez la commande Fenêtre > Cadre de l’application pour l’activer ou le désactiver. (Dans Flash, le Cadre de l’application est activé en permanence. Dreamweaver n’en utilise pas.)
• (Illustrator, Adobe InCopy®, Adobe InDesign®, Photoshop, Fireworks) Pour afficher ou masquer tous les panneaux, y compris les panneaux Outils et Contrôle, appuyez sur la touche de tabulation.
Outils et Contrôle, appuyez sur les touches Maj+tabulation. Vous pouvez afficher temporairement les panneaux masqués si l’option Afficher automatiquement les panneaux masqués est sélectionnée dans les préférences Interface. Cette option est toujours activée dans Illustrator. Déplacez le pointeur vers le bord de la fenêtre de l’application (Windows®) ou vers le bord de l’écran (Mac OS®) et laissez le pointeur au-dessus de la bande qui s’affiche.
❖ Cliquez sur l’icône de menu de panneau
❖ Faites glisser le curseur Luminosité dans les préférences de l’interface utilisateur. Cette commande affecte tous les
Vous pouvez afficher les outils du panneau Outils dans une seule colonne ou côte à côte dans deux colonnes. (Cette fonction n’est pas disponible dans le panneau Outils de Fireworks et Flash.) Dans InDesign et InCopy, une option des préférences d’interface vous permet également de basculer d’un affichage en une colonne vers un affichage en deux colonnes. ❖ Cliquez sur la double flèche dans la partie supérieure du panneau Outils.
Pour créer un espace de travail personnalisé, vous déplacez et manipulez les fenêtres de document et les panneaux. Vous pouvez également enregistrer des espaces de travail, puis passer de l’un à l’autre. Remarque : les exemples suivants sont basés sur Photoshop. L’espace de travail est le même dans tous les produits.
Les fenêtres de document comportent des onglets lorsque plusieurs fichiers sont ouverts.
Remarque : Dreamweaver ne prend pas en charge l’ancrage des fenêtres de document et son annulation. Utilisez le bouton Réduire de la fenêtre de document pour créer des fenêtres flottantes.
Remarque : certains produits ne prennent pas en charge cette fonctionnalité. Cependant, votre produit peut présenter des commandes Cascade et Mosaïque (ou Juxtaposer), sous le menu Fenêtre, pour vous permettre d’organiser vos documents.
Remarque : certains produits ne prennent pas en charge cette fonctionnalité.
Un dock est un ensemble de panneaux ou de groupes de panneaux affichés ensemble, généralement en position verticale. Pour ancrer et annuler l’ancrage des panneaux, insérez-les dans le dock et déplacez-les hors du dock. Remarque : l’ancrage et l’empilage sont deux notions distinctes. Une pile est un ensemble de panneaux ou de groupes de panneaux flottants, assemblés de haut en bas.
Lorsque vous déplacez des panneaux, des zones de largage en surbrillance bleue apparaissent : il s’agit des zones dans lesquelles vous pouvez déplacer le panneau. Vous pouvez, par exemple, déplacer un panneau vers le haut ou vers le bas en le faisant glisser sur la fine zone de largage bleue située au-dessus ou sous un autre panneau. Si vous faites glisser le panneau vers un emplacement autre qu’une zone de largage, ce dernier flotte dans l’espace de travail.
• Pour déplacer un groupe de panneaux ou une pile de panneaux flottants, faites glisser la barre de titre. Pour empêcher l’ancrage d’un panneau, appuyez sur la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) lors de son déplacement. Pour annuler l’opération, appuyez sur la touche Echap lors du déplacement du panneau. Remarque : le dock est fixe et ne peut pas être déplacé. Vous pouvez toutefois créer des groupes ou des piles de panneaux et les placer à l’endroit de votre choix.
Lorsque vous supprimez tous les panneaux d’un dock, ce dernier disparaît. Vous pouvez créer un dock en déplaçant les panneaux vers le bord droit de l’espace de travail jusqu’à ce qu’une zone de largage soit visible.
• Pour déplacer un panneau dans un groupe, faites glisser son onglet vers la zone de largage en surbrillance située dans le groupe.
• Pour déplacer un groupe, faites glisser la barre de titre (zone située au-dessus des onglets).
Lorsque vous faites sortir un panneau de son dock et que vous le placez en dehors de toute zone de largage, ce panneau flotte dans l’espace de travail. Un panneau flottant peut être placé à n’importe quel endroit dans l’espace de travail. Vous pouvez empiler des panneaux ou groupes de panneaux flottants de sorte qu’ils se comportent comme une seule entité lorsque vous faites glisser la barre de titre supérieure (cette méthode ne permet pas d’empiler les panneaux qui font partie d’un dock, ni de les déplacer comme s’il s’agissait d’une seule entité).
• Pour rendre un panneau ou groupe de panneaux de la pile flottant, déplacez-le hors de la pile au moyen de son onglet ou de sa barre de titre.
• Pour réduire ou agrandir un panneau, un groupe de panneaux ou une pile de panneaux, cliquez deux fois sur un onglet. Vous pouvez également cliquer une fois sur la zone d’onglets (l’espace vide situé à côté des onglets).
Vous pouvez réduire des panneaux à la taille d’icônes afin de limiter l’encombrement de l’espace de travail. Dans certains cas, les panneaux sont réduits de la sorte dans l’espace de travail par défaut.
• Pour redimensionner les icônes de panneau afin de voir les icônes uniquement (et non les libellés), réglez la largeur du dock jusqu’à ce que le texte ne soit plus visible. Pour afficher à nouveau le texte, augmentez la largeur du dock.
Dans certaines applications, si vous sélectionnez l’option Réduction automatique des panneaux d’icônes dans les préférences d’interface ou les options d’interface utilisateur, une icône de panneau développée est réduite automatiquement lorsque vous cliquez en dehors de cette dernière.
à un dock d’icônes).
• Sélectionnez l’espace de travail par défaut au moyen du sélecteur dans la barre d’application. • (Photoshop) Sélectionnez la commande Fenêtre > Espace de travail > Espace de travail par défaut. • (InDesign, InCopy) Choisissez la commande Fenêtre > Espace de travail > Réinitialiser [Nom de l’espace de travail].
En enregistrant la taille et la position actuelles des panneaux comme espace de travail nommé, vous gardez la possibilité de restaurer cet espace par la suite, et ce, même si vous avez déplacé ou fermé un panneau. Les noms des espaces de travail enregistrés sont visibles dans le sélecteur d’espace de travail de la barre d’application. Dans Photoshop, l’espace de travail enregistré peut s’accompagner d’un jeu de menus et d’un ensemble de raccourcis clavier spécifiques.
1 Lorsque l’espace de travail se trouve dans la configuration que vous souhaitez enregistrer, utilisez l’une des
2 Attribuez un nom à l’espace de travail. 3 (Photoshop, InDesign) Sélectionnez ensuite une ou plusieurs options dans la section Capture : Position des panneaux Enregistre la position actuelle des panneaux. Raccourcis clavier Enregistre l’ensemble de raccourcis clavier actuel (Photoshop seulement). Menus Enregistre l’ensemble de menus actuels.
❖ Sélectionnez un espace de travail dans le sélecteur d’espace de travail de la barre d’application.
• Choisissez l’option Gérer les espaces de travail dans le sélecteur d’espace de travail de la barre d’application, sélectionnez l’espace de travail, puis cliquez sur la commande Supprimer. (Cette option n’est pas disponible dans Fireworks.)
Lorsque vous ouvrez Photoshop, les panneaux peuvent soit apparaître à leur emplacement par défaut, soit à l’endroit où vous les avez utilisés la dernière fois. Dans les préférences d’interface :
Vous pouvez modifier le mode d’affichage de la fenêtre de document à l’aide des boutons Mode situés en bas du panneau Outils ou à l’aide des commandes du menu Affichage > Mode écran. Lorsque le panneau Outils s’affiche sur une seule colonne, vous pouvez changer le mode d’affichage en cliquant sur le bouton correspondant au mode actif, puis en sélectionnant un autre mode dans le menu qui s’affiche. Affiche les illustrations dans une fenêtre standard faisant apparaître l’ensemble des repères et des grilles visibles, les objets non imprimables et une table de montage blanche.
Affiche les illustrations dans leur version finale : les éléments non imprimables (repères, grilles et objets non imprimables) sont masqués, la couleur de l’arrière-plan pour l’aperçu de la table de montage est celle définie dans la boîte de dialogue Préférences et tous les éléments imprimables dans la zone de ligne-bloc du document (définie dans la boîte de dialogue Format de document) s’affichent.
La barre d’état (en bas à gauche de la fenêtre de document) affiche des informations sur l’état d’un fichier et vous permet de modifier le pourcentage de zoom du document ou de changer de page. Cliquez sur la barre d’état pour effectuer les opérations suivantes :
• Afficher le fichier actif dans le système de fichiers en choisissant l’option Faire apparaître dans l’Explorateur (Windows®) ou Faire apparaître dans le Finder (Mac OS®).
« A propos d’Adobe Bridge » à la page 103 « Adobe Version Cue » à la page 103 à l’élément ou à l’objet de page sélectionné. Par défaut, ce panneau est ancré en haut de la fenêtre de document. Vous pouvez toutefois l’ancrer au bas de la fenêtre, le convertir en un panneau flottant ou encore le masquer. Les options s’affichant dans le panneau Contrôle varient selon le type d’objet sélectionné :
A mesure que les options apparaissent dans le panneau Contrôle, vous obtenez des informations complémentaires sur chaque option grâce aux info-bulles (descriptions succinctes qui s’affichent lorsque vous vous attardez avec le pointeur sur une icône ou sur un nom d’option).
Pour consulter une vidéo sur l’utilisation du panneau Contrôle, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0064_fr.
« Panneau Contrôle » à la page 746 Vidéo Panneau Contrôle située à droite du panneau Contrôle.
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
A la différence des menus qui s’affichent dans la partie supérieure de l’écran, les menus contextuels se composent de commandes liées à l’outil actif ou à la sélection. Vous pouvez les utiliser pour accéder rapidement aux commandes les plus courantes. 1 Placez le pointeur sur le document, l’objet ou le panneau. 2 Cliquez avec le bouton droit de la souris.
1 Choisissez la commande Edition > Préférences > Interface (Windows) ou InDesign > Préférences > Interface
Afficher les vignettes à l’importation Lorsque vous importez un graphique, une vignette représentant l’image apparaît dans le curseur de graphique chargé. De la même façon, le curseur de texte chargé contient une vignette représentant les premières lignes de texte. Si vous ne voulez pas afficher ces vignettes lors de l’importation de graphiques ou de texte, désélectionnez cette option. Afficher les valeurs de transformation Lorsque vous créez, redimensionnez ou faites pivoter un objet, le curseur
Panneau d’outils flottant Cette option permet de préciser si la barre d’outils doit se présenter comme une seule colonne, deux colonnes accolées ou une seule ligne. Réduire automatiquement les panneaux d’icônes Lorsque cette option est sélectionnée, il suffit de cliquer dans la fenêtre du document pour fermer automatiquement le panneau ouvert. Afficher automatiquement les panneaux masqués Lorsque vous masquez des panneaux en appuyant sur la touche de
Ouvrir les documents en tant qu’onglets Lorsque cette option est désélectionnée, les documents que vous créez ou
Personnalisation des menus Il peut être utile de masquer certaines commandes et d’appliquer une couleur aux commandes que vous utilisez fréquemment pour éviter les menus surchargés et faciliter l’accès aux commandes. Lorsque vous masquez une commande, celle-ci ne s’affiche plus dans le menu, mais la fonction correspondante est toujours disponible. Vous pouvez à tout moment faire réapparaître les commandes masquées. Pour ce faire, il vous suffit de choisir la commande Afficher tous les éléments de menu qui figure en bas de chaque menu ou bien la commande Fenêtre > Espace de travail > Afficher les menus entiers pour obtenir l’ensemble des menus de l’espace de travail sélectionné. Il est possible d’inclure des menus personnalisés dans les espaces de travail enregistrés. Vous pouvez personnaliser le menu principal, les menus contextuels et les menus des panneaux. Pour afficher le menu contextuel, cliquez sur une zone avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en appuyant simultanément sur la touche Contrôle (Mac OS). Pour afficher le menu d’un panneau, cliquez sur l’icône située dans l’angle supérieur droit du panneau. Remarque : si vous sélectionnez un espace de travail différent (Démarrage, par exemple), certaines commandes de menu sont masquées. Pour les afficher, choisissez la commande Afficher tous les éléments de menu qui figure en bas du menu ou sélectionnez un autre espace de travail (Avancé, par exemple).
3 Dans le menu Catégorie, choisissez la commande Menus de l’application ou Menus contextuels et de panneau pour
4 Cliquez sur les flèches situées à gauche des catégories de menu pour afficher des sous-catégories ou des commandes
5 Cliquez sur le bouton Enregistrer, puis sur le bouton OK.
1 Choisissez Edition > Menus. 2 Choisissez l’ensemble de menus dans le menu Ensemble, puis cliquez sur OK.
1 Choisissez Edition > Menus. 2 Choisissez l’ensemble de menus dans le menu Ensemble, puis utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Choisissez la commande Fenêtre > Espace de travail > Afficher les menus entiers. Cette commande a pour effet d’activer la totalité des menus pour l’espace de travail sélectionné. Si vous désirez les masquer à nouveau, il vous suffit de réinitialiser l’espace de travail.
Cliquez sur le nom d’un menu tout en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée pour afficher de manière temporaire les commandes de menu que vous avez choisi de masquer.
Si vous ne parvenez pas à trouver une commande de menu, il se peut qu’elle soit masquée. Si vous sélectionnez un espace de travail autre que l’espace Avancé, certaines commandes de menu sont masquées. Il est également possible que vous ou une autre personne ayez utilisé la commande Menus pour masquer les éléments de menu. Lorsque la commande que vous cherchez n’est pas visible, utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Choisissez Fenêtre > Espace de travail et sélectionnez un espace de travail différent (l’espace Avancé affiche tous les éléments de menu).
S’il manque encore des commandes de menu, essayez de restaurer les préférences.
« Rétablissement de l’ensemble des préférences et des paramètres par défaut » à la page 40
Les infos-bulles vous renseignent immédiatement sur les raccourcis clavier. InDesign comporte également un éditeur de raccourcis qui permet de générer et d’afficher une liste de tous les raccourcis et de créer et de modifier vos propres raccourcis. L’éditeur de raccourcis inclut toutes les commandes pouvant accepter des raccourcis ; cependant, certaines de ces commandes ne sont pas définies dans l’ensemble de raccourcis par défaut. Vous pouvez également associer des raccourcis clavier à des styles de paragraphe ou de caractère (voir la section « Ajout de styles de paragraphe et de caractère » à la page 192) ou à des scripts. Pour consulter une vidéo sur l’utilisation des raccourcis clavier, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0066_fr.
« Raccourcis clavier par défaut » à la page 736 « Script » à la page 687
1 Choisissez Edition > Raccourcis clavier. 2 Sélectionnez un ensemble de raccourcis dans le menu Ensemble. Par exemple, sélectionnez l’ensemble de
1 Choisissez Edition > Raccourcis clavier. 2 Dans le menu déroulant Ensemble, sélectionnez un ensemble de raccourcis. 3 Dans le menu déroulant Zone du produit, sélectionnez la zone contenant les commandes que vous souhaitez
4 Dans la liste Commandes, sélectionnez une commande. Le raccourci s’affiche dans la zone Raccourcis actuels.
1 Choisissez Edition > Raccourcis clavier. 2 Dans le menu déroulant Ensemble, sélectionnez un ensemble de raccourcis. 3 Cliquez sur Afficher l’ensemble.
3 Attribuez un nom au nouvel ensemble, sélectionnez un ensemble de raccourcis dans le menu
créer un ensemble de raccourcis. Remarque : vous ne pouvez pas modifier les ensembles de raccourcis par défaut, ni ceux de QuarkXPress. Créez plutôt un nouvel ensemble d’après l’un de ces deux ensembles puis modifiez-le. 3 Dans le menu déroulant Zone du produit, sélectionnez la zone contenant la commande que vous souhaitez définir
4 Dans la liste Commandes, sélectionnez la commande que vous souhaitez définir ou redéfinir. 5 Accédez à la zone Nouveau raccourci et appuyez sur les touches du nouveau raccourci clavier. Si la combinaison de
Remarque : n’attribuez pas de raccourcis constitués d’une seule touche aux commandes de menu, car les touches sont utilisées pour la saisie de texte. Si vous utilisez un raccourci de ce type alors qu’un point d’insertion est actif, InDesign active le raccourci clavier au lieu d’insérer le caractère correspondant dans le texte. 6 Dans la liste Contexte, sélectionnez le contexte dans lequel vous souhaitez que le raccourci soit activé. Cette option
Remarque : attribuez des raccourcis dans le contexte par défaut pour qu’ils fonctionnent quel que soit l’état du document. Les raccourcis attribués dans les autres contextes, tels que dans un tableau ou un texte, remplacent ceux attribués dans le contexte par défaut. 7 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Cliquez sur Attribuer pour ajouter un autre raccourci à une commande. Plusieurs raccourcis clavier peuvent correspondre à une même commande de menu. 8 Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue ou sur Enregistrer pour laisser la boîte de dialogue ouverte et
Les ensembles de raccourcis clavier (*.indk) sont enregistrés à deux emplacements. Les raccourcis prédéfinis de l’application figurent dans le dossier Presets du dossier principal de l’application. Les ensembles de raccourcis que vous créez figurent dans le dossier Shortcut Sets aux emplacements suivants : Windows XP Documents and Settings\[nom d’utilisateur]\Application
Présentation du panneau Outils Certains outils du panneau Outils permettent de sélectionner, modifier et créer des éléments de page. D’autres permettent de choisir un type, une forme, une ligne ou un dégradé. Vous pouvez modifier la disposition du panneau Outils pour mieux l’adapter à la configuration de la fenêtre principale et des autres panneaux. Par défaut, le panneau Outils s’affiche sur une seule colonne. Vous pouvez aussi le présenter sur deux colonnes ou sur une rangée. Il est toutefois impossible de réorganiser les outils à l’intérieur du panneau Outils. Pour déplacer le panneau, faites-le glisser en plaçant le pointeur sur sa partie supérieure. Pour sélectionner un outil dans le panneau Outils par défaut, il suffit de cliquer dessus. Le panneau Outils contient également plusieurs outils masqués liés aux outils visibles. Ces outils masqués sont signalés par une flèche à droite de l’icône de l’outil. Pour sélectionner un outil masqué, cliquez sur l’outil actif dans le panneau Outils sans relâcher le bouton de la souris, puis choisissez l’outil souhaité.
1 Dans le panneau Outils, cliquez sur un outil associé à des outils masqués sans relâcher le bouton de la souris. 2 Lorsque les outils masqués s’affichent, sélectionnez-en un.
Présentation des outils Outils Texte Créez et mettez en forme des blocs ou des tracés standard ou personnalisés (voir la section « Création de blocs de texte » à la page 125.) Outils de dessin Dessinez et concevez des objets simples et complexes, comme des rectangles, des ellipses, des polygones ou des formes libres (voir la section « Dessin » à la page 339). Outils de sélection Sélectionnez (activez) des objets, des points ou des lignes (voir la section « Sélection d’objets » à la
Outils de transformation Modifiez la forme, réorientez et redimensionnez des objets (voir la section « Transformation
Outils de navigation Déplacez-vous dans les documents, contrôlez leur affichage et mesurez des distances (voir les sections « Zoom avant ou arrière » à la page 32 et « Règles et unités de mesure » à la page 48). Outil Ciseaux Scinde les tracés et les blocs (voir la section « Fractionnement d’un tracé » à la page 356.)
« Sélection d’objets » à la page 407
à plusieurs côtés.
« Présentation des tracés et des formes » à la page 339
L’outil Pipette vous permet de prélever un échantillon de couleur ou d’attribut de texte à partir d’un objet et de l’appliquer à un autre objet.
Zoom avant ou arrière L’outil Zoom ou les commandes Zoom vous permettent de modifier la taille des documents.
« Outils » à la page 736
• Pour effectuer un zoom avant, sélectionnez l’outil Zoom
Chaque clic permet d’accéder au niveau de zoom supérieur (les différents niveaux étant prédéfinis). Les éléments affichés sont recentrés par rapport à l’endroit de la page où vous avez cliqué. Lorsque vous atteignez le niveau de zoom maximal, la partie centrale de l’outil Zoom devient blanche. Pour effectuer un zoom arrière, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée et cliquez sur la section que vous souhaitez réduire. A chaque clic, la vue est réduite.
Le zoom vous offre un moyen rapide pour parcourir les pages de votre document. A l’aide de l’outil de sélection en forme de main, vous pouvez effectuer un zoom avant ou arrière et avancer dans l’ensemble du document. Cette fonction est particulièrement utile pour les documents comportant un grand nombre de pages. 1 Sélectionnez l’outil Sélection
Un zoom arrière est effectué sur le document pour afficher une plus grande partie de la planche. Un cadre rouge indique la zone de visualisation. 3 Tout en continuant à maintenir le bouton de la souris enfoncé, faites glisser le cadre rouge pour faire défiler les
4 Relâchez le bouton de la souris pour zoomer sur la nouvelle zone du document.
• Cliquez deux fois sur l’outil Zoom. • Choisissez Affichage > Taille réelle. • Saisissez ou choisissez un niveau d’agrandissement de 100 % dans la zone Niveau de zoom de la barre de l’application.
Vous pouvez axer l’affichage sur une certaine zone du document en ajustant les pages et les planches au sein de la fenêtre active et en faisant défiler l’affichage.
« Affichage des documents et de leurs espaces de travail » à la page 743
• Choisissez la commande Affichage > Ajuster la page à la fenêtre. • Choisissez la commande Affichage > Ajuster la planche à la fenêtre. • Choisissez Affichage > Table de montage.
Espace de travail ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Utilisez les touches Pg suiv et Pg préc. • Utilisez la roulette de défilement ou le capteur de la souris pour faire défiler vers le haut ou le bas. Pour faire glisser le contenu vers la gauche ou la droite, appuyez sur la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) tout en utilisant la roulette de défilement ou le capteur de la souris.
Dans InDesign, vous pouvez facilement accéder aux différentes pages d’un document. Par exemple, comme la plupart des navigateurs Web disposant des boutons Précédent et Suivant pour accéder aux pages déjà consultées, InDesign garde en mémoire l’ordre des pages du document successivement affichées. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Vous pouvez aussi cliquer deux fois sur l’icône du gabarit dans le panneau Pages.
Lorsque vous rouvrez le document, seule la dernière fenêtre utilisée s’affiche.
• Pour afficher les fenêtres en cascade ou en mosaïque, choisissez Fenêtre > Disposition > Cascade pour superposer les fenêtres avec un léger décalage. Choisissez Fenêtre > Disposition > Mosaïque horizontale ou Mosaïque verticale pour disposer les fenêtres les unes à côté des autres, de sorte qu’elles ne se chevauchent pas.
Maj+Commande+W (Mac OS).
Maj+Ctrl+Alt+W (Windows) ou Maj+Commande+Option+W (Mac OS). Le lissage est une technique de suppression du crénelage du contour des caractères et des images bitmap, reposant sur l’atténuation de la transition des couleurs entre les pixels du contour et les pixels du fond. Les modifications s’appliquent uniquement aux pixels du contour. 1 Choisissez Edition > Préférences > Performances d’affichage (Windows) ou InDesign > Préférences >
2 Dans le menu Réglage de l’affichage, choisissez le paramètre d’affichage pour lequel vous souhaitez activer le Vous pouvez spécifier des valeurs de faux texte différentes pour chaque paramètre d’affichage. 3 Dans la zone Seuil de faux texte, indiquez une valeur.
Il est possible d’effectuer des opérations mathématiques simples dans une zone d’édition numérique. Par exemple, pour déplacer un objet sélectionné de trois unités sur la droite en utilisant les unités de mesure actives, il n’est pas nécessaire de définir la nouvelle position horizontale. Il suffit de taper +3 après la valeur courante dans le panneau Transformation. Les panneaux utilisent le système de mesure sélectionné dans la boîte de dialogue Préférences, mais vous pouvez spécifier des valeurs dans d’autres unités de mesure. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes dans une zone de texte acceptant les valeurs numériques :
• Pour utiliser la valeur active dans une expression mathématique, cliquez avant ou après cette valeur. 2 Entrez une expression mathématique simple avec un opérateur simple, tel que + (plus), - (moins),
Par exemple, 0p0 + 3 ou 5 mm + 4. 3 Appuyez sur la touche Entrée ou Retour pour effectuer l’opération. Saisie de valeurs dans les panneaux et les boîtes de dialogue Les unités de mesure et les incréments utilisés dans les panneaux et les boîtes de dialogue sont ceux définis dans la boîte de dialogue Edition > Préférences > Unités et incréments (Windows) ou InDesign > Préférences > Unités et incréments (Mac OS). Toutefois, il est possible de spécifier les valeurs dans toute autre unité de mesure prise en charge, en remplaçant provisoirement les préférences actives. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Faites glisser le curseur. • Placez le cadran. • Cliquez sur les boutons fléchés du panneau pour modifier la valeur. • Cliquez dans la zone concernée, puis utilisez les touches flèche haut et flèche bas du clavier pour modifier la valeur. • Choisissez une valeur dans le menu associé à la zone de texte. Remarque : InDesign applique instantanément les modifications effectuées à l’aide des boutons de sélection numérique, des touches de direction ou des menus contextuels.
Dans Adobe® Creative Suite® 4, le panneau Connexions vous permet de gérer les connexions aux services Web et les extensions, installées localement, qui interagissent avec ces derniers. Le panneau Connexions lui-même constitue une extension. Les extensions supplémentaires installées avec les applications Creative Suite comprennent les éléments suivants : Adobe ConnectNow Travaillez en étroite collaboration avec des groupes de travail dispersés sur le Web et partagez
Panneau Kuler™ Créez, partagez et découvrez des thèmes de couleurs en ligne. Aide Dans le coin supérieur droit des applications, saisissez des termes de recherche afin d’accéder à l’aide détaillée d’Adobe, ainsi qu’à un complément de contenu issu des communautés de conception et de production.
Connexion aux services Web Adobe Quelle que soit l’application que vous utilisez pour accéder au panneau Connexions, une connexion automatique vous permet de bénéficier de services tels que les réunions ConnectNow. 1 Dans Adobe InDesign, Photoshop, Illustrator, Flash, Fireworks ou Dreamweaver, choisissez la commande
2 Entrez vos ID et mot de passe Adobe (si vous ne possédez pas d’ID ou si vous l’avez oublié, cliquez sur le lien
1 Dans le menu du panneau Connexions
3 Relancez toutes les applications Adobe Creative Suite ouvertes.
❖ Dans le menu du panneau Connexions , sélectionnez l’option Vérifier les mise à jour. Désactivation des services Web Si votre environnement de travail n’autorise pas les connexions en ligne, désactivez les services Web. 1 Dans le menu du panneau Connexions
Adobe® ConnectNow met à votre disposition une salle de réunion en ligne sécurisée et personnelle, où vous pouvez rencontrer d’autres personnes et collaborer avec elles sur le Web en temps réel. Grâce à ConnectNow, vous pouvez partager et annoter votre écran d’ordinateur, envoyer des messages instantanés et communiquer à l’aide de la fonction audio intégrée. Vous pouvez également diffuser des vidéos en temps réel, partager des fichiers, capturer des comptes rendus et contrôler l’ordinateur d’un participant. Vous pouvez accéder à ConnectNow directement à partir de l’interface de l’application. 1 Choisissez la commande Fichier > Partager mon écran. 2 Dans la boîte de dialogue Partager mon écran, entrez votre ID et votre mot de passe Adobe, puis cliquez sur le
3 Pour partager votre écran, cliquez sur le bouton Partager l’écran de mon ordinateur, au centre de la fenêtre de
Pour obtenir des instructions complètes sur l’utilisation de ConnectNow, rendez-vous sur http://www.adobe.com/fr/acom/connectnow/.
A propos des préférences et des paramètres par défaut Les préférences se composent de paramètres tels que l’emplacement des panneaux, les options de mesure et les options d’affichage des graphiques et des caractères typographiques. Vous pouvez définir les paramètres des documents et des objets InDesign en modifiant les préférences. Un grand nombre de préférences et de paramètres par défaut de programme sont stockés dans les fichiers de préférences Adobe InDesign. Ces fichiers, y compris le fichier InDesign Defaults, sont sauvegardés à chaque fois que vous quittez InDesign. Emplacement des fichiers de paramètres : Windows XP Documents and Settings\[nom d’utilisateur]\Application Data\Adobe\InDesign\[Version]\[Langue] Windows Vista Users\[nom d’utilisateur]\AppData\Roaming\Adobe\InDesign\[version]\[langue] Mac OS [nom d’utilisateur]/Bibliothèque/Preferences/Adobe/InDesign/[version]/[langue] Cette section décrit les paramètres de préférence de l’onglet Général de la boîte de dialogue Préférences. Pour plus de détails sur les autres préférences, recherchez le paramètre approprié. 1 Choisissez la commande Edition > Préférences > Général (Windows) ou InDesign > Préférences > Général
2 Choisissez une méthode de numérotation de pages dans le menu Affichage de la section Numérotation des pages
3 Dans la section Téléchargement et incorporation de polices, spécifiez un seuil pour créer un jeu de polices partiel
4 Dans la section Lors de la mise à l’échelle, vous pouvez spécifier le mode de présentation des objets mis à l’échelle
5 Dans la section Script, sélectionnez l’option Activer les scripts associés pour que les actions JavaScript puissent être
6 Cliquez sur Réinitialiser tous les messages d’avertissement pour afficher tous les avertissements, y compris ceux que
Si vous modifiez des paramètres alors qu’aucun document n’est ouvert, les nouveaux paramètres deviennent les paramètres par défaut des nouveaux documents. Si vous modifiez des paramètres alors qu’un document est ouvert, les modifications s’appliquent uniquement à ce document. De la même façon, si vous modifiez des paramètres alors qu’aucun objet n’est sélectionné, les nouveaux paramètres deviennent les paramètres par défaut des nouveaux objets.
1 Fermez tous les documents. 2 Modifiez les paramètres souhaités au niveau des options de menu, des panneaux et des boîtes de dialogue.
Dictionnaire (Windows) ou InDesign > Préférences > Dictionnaire (Mac OS) et sélectionnez une option dans le menu Langue.
1 Vérifiez qu’un document est ouvert et choisissez Edition > Tout désélectionner. 2 Modifiez les paramètres souhaités au niveau des options de menu, des panneaux et des boîtes de dialogue.
Dans les cas où InDesign se comporte de façon imprévisible, la suppression des préférences est souvent un bon moyen de résoudre le problème. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Il est possible d’enregistrer des paramètres pour les réutiliser ultérieurement. Vous pouvez notamment enregistrer les paramètres définis lors des procédures suivantes :
• Création de styles de tableau et de cellule (voir la section « Styles de tableau et de cellule » à la page 304). • Création de paramètres d’exportation PDF prédéfinis (voir la section « Personnalisation des paramètres prédéfinis Adobe PDF » à la page 542).
• Création de paramètres d’aplatissement des transparences prédéfinis (voir la section « Aplatissement d’une illustration avec transparence » à la page 457).
• Création de paramètres prédéfinis de document (voir la section « Définition de paramètres prédéfinis de document » à la page 45).
De même, vous pouvez partager les styles et les paramètres prédéfinis dans les documents d’un livre. Pour plus de détails, voir la section « Synchronisation des documents d’un livre » à la page 312.
Récupération de documents InDesign protège vos données des coupures de courant ou des pannes système impromptues grâce à une fonction de récupération automatique. Les données récupérées sont enregistrées sur le disque dans un fichier temporaire distinct du fichier original. En règle générale, vous n’avez pas à intervenir dans le cadre de la récupération : les données les plus récentes enregistrées dans le fichier de récupération sont en effet ajoutées automatiquement au fichier original lorsque vous choisissez la commande Enregistrer ou Enregistrer sous ou lorsque vous fermez InDesign selon la méthode habituelle. La fonction de récupération automatique ne doit être utilisée qu’en cas de blocage système ou de panne de courant, lorsque vous ne parvenez pas à enregistrer vos données. Elle ne doit pas vous dispenser d’enregistrer régulièrement vos fichiers et de créer des fichiers de sauvegarde pour vous prémunir contre ces pannes ou ces blocages intempestifs.
« Adobe Version Cue » à la page 103
1 Redémarrez l’ordinateur. 2 Lancez InDesign. • Pour enregistrer les données récupérées, choisissez la commande Fichier > Enregistrer sous, indiquez un emplacement et un nouveau nom de fichier, et cliquez sur le bouton Enregistrer. Si vous utilisez la commande Enregistrer sous, la version contenant les données récupérées reste active. La mention [Récupéré] disparaît de la barre de titre.
1 Choisissez Edition > Préférences > Gestion des fichiers (Windows) ou InDesign Préférences> Gestion des fichiers
La conception d’une page débute par des opérations de base : création d’un nouveau document, configuration des pages et positionnement des marges et des colonnes ou modification des paramètres de grille. Pour consulter une vidéo sur la configuration de nouveaux documents, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0068_fr.
« Flux de production recommandé pour les documents InDesign » à la page 99 « Utilisation de modèles de document » à la page 104 « Ajout de documents à un livre » à la page 310
1 Choisissez Fichier > Nouveau > Document. 3 Cliquez sur l’orientation de la page, Portrait
(voir la section « Options de nouveau document » à la page 43). 6 Cliquez sur OK pour ouvrir un nouveau document comportant les paramètres spécifiés.
Fichier > Format de document ou Page > Marges et colonnes, puis définissez les options lorsqu’aucun document n’est ouvert.
Pages en vis-à-vis Sélectionnez cette option pour présenter en regard les pages de gauche et de droite d’une planche de deux pages, comme pour les livres et les magazines. Désélectionnez-la pour disposer toutes les pages indépendamment les unes des autres, comme si vous imprimiez des feuillets ou des affiches ou que vous vouliez que les objets débordent dans la zone de reliure.
Bloc de texte type Sélectionnez cette option pour créer un bloc de texte de la taille de la zone délimitée par les repères de marge, selon les paramètres de colonnes spécifiés. Le bloc de texte type s’ajoute à la page A-Gabarit (voir la section « Utilisation des blocs de texte sur les gabarits » à la page 127).
Format de page Choisissez un format de page dans le menu ou entrez une largeur et une hauteur. Le format de page représente les dimensions définitives que vous obtiendrez après rognage des fonds perdus et autres repères situés en dehors de la page. Orientation Cliquez sur Portrait ou Paysage . Ces icônes interagissent directement avec les dimensions définies pour le format de page. Si la hauteur représente la valeur la plus élevée, l’icône Portrait est activée. Si la largeur représente la valeur la plus élevée, l’icône Paysage est activée. Il suffit de cliquer sur l’icône désactivée pour permuter la hauteur et la largeur.
. Fond perdu La zone de fond perdu permet d’imprimer des objets disposés au bord externe du format de page défini. Si un objet est placé contre le bord d’une page aux dimensions requises, il est possible que du blanc apparaisse au bord de la zone d’impression en raison d’un léger décalage d’alignement au cours de l’impression ou du rognage. Pour cette raison, il est recommandé d’éloigner légèrement l’objet du bord de la page aux dimensions requises et de rogner une fois l’impression effectuée. La zone de fond perdu est indiquée par une ligne rouge sur le document. Vous pouvez définir les paramètres de la zone de fond perdu en cliquant sur le menu Fond perdu dans la boîte de dialogue Imprimer. Ligne-bloc Cette zone est éliminée lorsque le document est rogné à sa taille finale. La zone de ligne-bloc contient les
Les objets situés en dehors de la zone de fond perdu ou de ligne-bloc (selon celle qui étend le plus loin) ne seront pas imprimés. Remarque : vous pouvez également cliquer sur Enreg. prédéfini pour enregistrer les paramètres en vue d’une utilisation ultérieure.
Chaque page ou planche du document se caractérise par ses propres table de montage et repères, visibles en mode Affichage standard. Pour basculer vers l’affichage normal, choisissez Affichage > Mode écran > Normal. La table de montage est remplacée par un arrière-plan grisé lorsque le document est affiché au moyen d’un des modes d’aperçu (voir la section « Aperçu des documents » à la page 637). Il est possible de modifier la couleur du fond et des repères du mode Aperçu dans les préférences Repères et table de montage.
Si vous avez l’habitude d’utiliser un format de page personnalisé, vous pouvez l’ajouter au menu Format de page de la boîte de dialogue Nouveau document. Pour ajouter des formats de pages personnalisés au menu Format de page, modifiez le fichier New Doc Sizes.txt situé dans le dossier des paramètres prédéfinis (dans le dossier de l’application InDesign). Ouvrez ce fichier dans un éditeur de texte et suivez les instructions qu’il contient pour définir les formats de pages personnalisés. Les formats de pages définis dans le fichier s’affichent dans les boîtes de dialogue Nouveau document et Paramètres prédéfinis de document. Remarque : vous pouvez également spécifier un format de page personnalisé dans les boîtes de dialogue Nouveau document ou Paramètres prédéfinis de document. Notez toutefois que les formats ainsi spécifiés ne sont pas accessibles depuis d’autres documents.
« Modification du format, des marges et des paramètres de document » à la page 47
Vous pouvez enregistrer des paramètres de document pour le format de page, les colonnes, les marges et les zones de fond perdu et de ligne-bloc dans un fichier de paramètres prédéfinis pour gagner du temps et assurer une cohérence dans la création de documents similaires. 1 Sélectionnez Fichier > Paramètres prédéfinis de document > Définir. 2 Cliquez sur Nouveau dans la boîte de dialogue qui s’affiche. 3 Attribuez un nom aux paramètres prédéfinis et sélectionnez des options élémentaires de mise en page dans la boîte
4 Cliquez deux fois sur OK.
Enregistrer et Charger dans la boîte de dialogue Paramètres prédéfinis du document.
1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
2 Modifiez les options si besoin est, puis cliquez sur OK.
Vous pouvez modifier les couleurs utilisées pour afficher les repères de marge et de colonne ainsi que les repères des zones de fond perdu et de ligne-bloc sur la table de montage. Pour faciliter la distinction entre les modes Affichage standard et Aperçu, il est possible de modifier la couleur d’arrière-plan du mode Aperçu. InDesign vous permet aussi de contrôler la proximité nécessaire aux objets pour s’accoler aux repères, l’affichage des repères par rapport aux objets (devant ou derrière) et la taille de la table de montage. 1 Choisissez Edition > Préférences > Repères et table de montage (Windows) ou InDesign > Préférences > Repères
2 Dans la zone Couleur, choisissez les couleurs souhaitées dans chacun des menus suivants, ou choisissez
Marges Définit la couleur des marges de page. Colonnes Définit la couleur des repères de colonne de la page. Fond perdu Définit la couleur de la zone de fond perdu (définie dans la boîte de dialogue Format de document). Ligne-bloc Définit la couleur de la zone de ligne-bloc (définie dans la boîte de dialogue Format de document). Arrière-plan du mode Aperçu Définit la couleur de la table de montage en mode Aperçu.
4 Pour afficher les repères derrière les objets, sélectionnez l’option Repères en arrière-plan. 5 Pour spécifier la longueur d’extension de la table de montage par rapport à la page ou à la planche (ou à la zone de
6 Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Préférences.
Les modifications effectuées dans la boîte de dialogue Format de document se répercutent sur toutes les pages du document. Si vous modifiez le format de la page ou son orientation après l’insertion d’objets, utilisez la fonction Modifier la mise en page pour accélérer la réorganisation des objets existants (voir la section « Rectification automatique de la mise en page » à la page 86). 1 Choisissez Fichier > Format de document. 2 Spécifiez les options de document puis cliquez sur OK (voir la section « Options de nouveau document » à la
Remarque : la boîte de dialogue Marges et colonnes ne modifie pas les blocs de texte. Les colonnes de bloc de texte sont spécifiques aux blocs de texte individuels ; il ne s’agit pas d’éléments de la page proprement dite. Vous pouvez configurer les colonnes d’un bloc de texte au moyen de la boîte de dialogue Options de bloc de texte (voir la section « Modification des propriétés d’un bloc de texte » à la page 128). Les colonnes de bloc de texte peuvent également être affectées par la fonctionnalité Modifier la mise en page. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Pages ou sélectionnez un gabarit qui contrôle les pages à retoucher. 2 Choisissez Page > Marges et colonnes, puis définissez les options suivantes avant de cliquer sur OK. Marges Spécifiez la distance qui doit séparer les repères de marge des bords de la page. Si vous avez sélectionné
Colonnes Spécifiez le nombre de colonnes.
Si vous travaillez sur des pages multicolonnes, les repères de colonne centraux s’affichent et se déplacent simultanément, même si vous n’en faites glisser qu’un seul. L’espace qui sépare les repères de colonne est proportionnel à la gouttière précédemment définie ; cette valeur est respectée grâce au déplacement synchrone des repères.
1 Affichez le gabarit ou la planche à modifier. 2 Si les repères de colonnes sont verrouillés, choisissez Affichage > Grilles et repères > Verrouiller les repères de
3 A l’aide de l’outil Sélection
Modification des règles et des unités de mesure Vous pouvez modifier des unités de mesure personnalisées pour les règles affichées à l’écran et pour les panneaux et les boîtes de dialogue. Vous pouvez modifier ces paramètres à tout moment ou remplacer temporairement l’unité de mesure courante par une valeur que vous saisissez. Par défaut, les règles commencent dans le coin supérieur gauche de la page ou de la planche. Vous pouvez modifier cela en déplaçant l’origine (voir la section « Modification de l’origine » à la page 50). Les repères, les grilles et les objets sont insensibles au changement d’unité de mesure. Par conséquent, dès lors que les marques de graduation des règles s’ajustent à la nouvelle unité adoptée, elles risquent de ne plus s’aligner sur les objets comme auparavant.
A. Graduation avec libellé B. Graduation principale C. Graduation secondaire 2 Pour modifier l’origine, dans le menu Origine de la liste déroulante Unités de la règle, utilisez l’une des méthodes
3 Pour modifier le système de mesure employé pour les règles, boîtes de dialogue et panneaux, sélectionnez le système
Si vous définissez un système de mesure autre que le point, la valeur du pas de la grille de ligne de base reste affichée en points, tout comme la taille du texte et l’interligne. 4 Pour modifier la valeur à utiliser pour le calcul des points, spécifiez le corps par pouce voulu pour Points/pouce.
Décalage vertical Contrôle l’incrément pour le décalage de la ligne de base à l’aide des raccourcis clavier. Crénage/Approche Contrôle l’incrément pour le crénage et l’approche à l’aide des raccourcis clavier.
Vous pouvez spécifier une unité de mesure différente de l’unité de mesure par défaut. ❖ Mettez en surbrillance la valeur dans un panneau ou une boîte de dialogue, puis saisissez une nouvelle valeur
à la suite de la valeur :
Les coordonnées X et Y des panneaux Contrôle, Informations et Transformation varient en fonction de l’origine que vous pouvez déplacer pour mesurer des distances, définir un nouveau point de référence pour les mesures ou agencer en mosaïque les pages hors gabarit. Par défaut, l’origine unique d’une planche est située à l’angle supérieur gauche de la première page. Rien ne vous empêche de la positionner sur le dos de reliure ou de définir une origine différente sur chacune des pages d’une planche.
Lorsque vous déplacez l’origine, elle adopte la même position relative sur toutes les planches. Si, par exemple, vous déplacez l’origine dans l’angle supérieur gauche de la seconde page d’une double page, elle s’affiche à cet emplacement sur la seconde page de toutes les autres doubles pages du document. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Si vous définissez l’origine de la règle sur le dos de reliure de chaque planche, le point d’origine est verrouillé sur le dos. Vous ne pourrez plus repositionner l’origine de la règle en la faisant glisser depuis l’intersection des règles sauf si vous choisissez une autre option pour l’origine. 1 Choisissez Edition > Préférences > Unités et incréments (Windows) ou InDesign > Préférences > Unités et
2 Dans la section Unités de la règle du menu Origine, utilisez l’une des méthodes suivantes : • Pour situer l’origine de la règle dans le coin supérieur gauche de chaque page, cliquez sur Page. La règle horizontale commence à zéro pour chaque page d’une planche.
Vous pouvez aussi modifier le point d’origine de la règle horizontale à l’aide du menu contextuel qui s’affiche lorsque vous cliquez avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) sur la règle horizontale.
L’outil Mesure calcule la distance entre deux points quelconques de la fenêtre de document. La distance entre les points s’affiche dans le panneau Informations. Toutes les mesures, sauf la valeur de l’angle, sont calculées dans l’unité définie pour le document en cours. Après avoir utilisé l’outil Mesure pour mesurer un élément, les lignes restent visibles jusqu’à ce que vous preniez une autre mesure ou que vous sélectionniez un autre outil.
1 Vérifiez que le panneau Informations est visible (Fenêtre > Informations). 2 Sélectionnez l’outil Mesure
1 Vérifiez que le panneau Informations est visible (Fenêtre > Informations). 2 Sélectionnez l’outil Mesure
Ce panneau affiche les informations sur les objets sélectionnés, le document actif ou sur la zone située directement sous l’outil utilisé, y compris les valeurs de position, taille et rotation. Lorsque vous déplacez un objet, le panneau affiche également sa position par rapport au point de départ. A la différence des autres panneaux InDesign, le panneau Informations est conçu uniquement pour être consulté ; vous ne pouvez ni entrer ni modifier les valeurs affichées. Vous pouvez visualiser d’autres détails en sélectionnant Afficher les options dans le menu du panneau.
❖ Sélectionnez Afficher les options dans le menu du panneau Informations.
• Nombre de caractères, mots, lignes et paragraphes lorsque vous créez un point d’insertion de texte ou que vous sélectionnez un texte avec l’un des outils Texte. S’il existe du texte en excès, un signe « + » s’affiche, suivi d’une valeur indiquant les caractères, mots ou lignes en excès.
(la résolution du graphique redimensionné dans InDesign). Si la gestion des couleurs est activée, le profil colorimétrique ICC s’affiche également.
Utilisation des grilles Il existe deux types de grilles non imprimables : une grille de ligne de base pour l’alignement des colonnes de texte et une grille de document pour l’alignement des objets. A l’écran, la grille de ligne de base ressemble à du papier ligné et la grille du document à du papier millimétré. Vous pouvez personnaliser ces deux types de grilles.
Utilisez les préférences de grille pour configurer une grille de ligne de base pour le document entier. Vous pouvez configurer une grille de ligne de base pour un calque au moyen des options de bloc de texte (voir la section « Modification des propriétés d’un bloc de texte » à la page 128). 1 Sélectionnez Edition > Préférences > Grilles (Windows) ou InDesign > Préférences > Grilles (Mac OS). 2 Choisissez une couleur dans le menu Couleur à appliquer à la grille de ligne de base ou choisissez Personnalisée
3 Dans la zone Relative à, indiquez si la grille doit commencer en haut de la page ou au niveau de la marge supérieure. 4 Dans la zone Début, entrez une valeur pour décaler la grille par rapport au haut de la page ou à la marge supérieure
5 Dans la zone Pas, entrez une valeur d’espacement entre les lignes de la grille. Dans la plupart des cas, il convient de
A. Première ligne de la grille B. Incrément entre les lignes de la grille
Remarque : la commande Magnétisme des repères régit à la fois le magnétisme aux repères et à la grille de ligne de base.
1 Sélectionnez Edition > Préférences > Grilles (Windows) ou InDesign > Préférences > Grilles (Mac OS).
3 Pour définir l’espacement horizontal de la grille, entrez une valeur dans la zone Pas de la section Horizontalement
4 Pour définir l’espacement vertical de la grille, entrez une valeur dans la zone Pas de la section Verticalement du
5 Utilisez l’une des méthodes suivantes, puis cliquez sur OK :
Grilles en arrière-plan. Pour placer des repères derrière tous les autres objets, vous pouvez également choisir l’option Repères en arrière-plan dans le menu contextuel qui s’affiche lorsque vous cliquez avec le bouton droit de la souris (Windows) ou cliquez en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) sur une zone vide de la fenêtre du document.
• Pour afficher ou masquer la grille de ligne de base, choisissez Affichage > Grilles et repères > Afficher/Masquer la grille de ligne de base.
Lorsque le magnétisme est activé, il suffit de placer un objet à proximité de la grille pour qu’il s’y accole automatiquement.
« Repères de règle » à la page 56
1 Choisissez la commande Affichage > Grilles et repères et vérifiez que l’option Magnétisme de la grille est
Remarque : la commande Magnétisme des repères régit à la fois le magnétisme aux repères et à la grille de ligne de base. 2 Pour définir la zone de magnétisme, sélectionnez Edition > Préférences > Repères et table de montage (Windows)
Pour accoler un objet à une grille, faites glisser cet objet vers une grille jusqu’à ce qu’au moins un bord de l’objet se situe dans la zone de magnétisme de la grille.
Création de repères de règle Les repères de règle diffèrent des grilles par le fait qu’il est possible de les positionner librement sur une page ou sur une table de montage. Il existe deux sortes de repères de règle : les repères de page, qui apparaissent uniquement sur la page sur laquelle vous les créez et les repères de planche, qui s’étendent à toutes les pages et à la table de montage des planches composées de plusieurs pages. Il est possible d’amener tous les repères de règle sur la table de montage. Les repères de règle sont affichés ou masqués avec le calque sur lequel ils sont créés. Les nouveaux repères de règle apparaissent toujours sur la planche cible. Si, par exemple, plusieurs planches sont visibles dans la fenêtre de document et que vous faites glisser un nouveau repère à l’intérieur de la fenêtre, celui-ci devient visible sur la planche cible seulement.
A. Repère de planche B. Repère de page
« Calques » à la page 77 « Personnalisation de la table de montage et des repères » à la page 46
1 Vérifiez que les règles et les repères sont visibles, que la planche est ciblée correctement et que le document est
2 Si le document comporte plusieurs calques, ciblez un calque en cliquant sur son nom dans le panneau Calques. 3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
(Mac OS) tandis que vous faites glisser l’intersection des règles de la double page cible vers le nouvel emplacement.
1 Si le document comporte plusieurs calques, ciblez un calque en cliquant sur son nom dans le panneau Calques. 2 Choisissez Page > Créer des repères. 3 Dans la zone Nombre, spécifiez le nombre de lignes ou de colonnes à créer. 4 Dans la zone Gouttière, spécifiez une valeur d’espacement entre les lignes ou les colonnes. Commencez par une
Les colonnes créées avec la commande Créer des repères sont différentes de celles créées avec la commande Page > Marges et colonnes. Par exemple, les colonnes créées à l’aide de la première ne se prêtent pas à la répartition du texte lors de l’insertion d’un fichier texte. Préférez la commande Marges et colonnes pour créer les divisions de colonnes principales adaptées au placement automatique du texte et la commande Créer des repères pour créer des grilles de colonnes et d’autres repères d’aide à la mise en page. 5 Pour l’option Ajuster les repères, activez la case Marges pour insérer les repères dans la zone délimitée par les
7 Si besoin est, cochez la case Aperçu pour visualiser l’effet de vos réglages sur la page, puis cliquez sur OK.
• Pour afficher ou masquer tous les repères de marge, de colonne et de règle, choisissez Affichage > Grilles et repères > Afficher/Masquer les repères.
Vous pouvez modifier les attributs de chaque repère de règle, mais aussi déplacer, couper, copier, coller ou supprimer plusieurs repères de règle simultanément. Libre à vous ensuite de coller les repères de règle coupés ou copiés sur d’autres pages ou dans d’autres documents. Il est néanmoins impossible de les importer dans d’autres programmes. Pour modifier les attributs de repères spécifiques, il convient de sélectionner les repères en question. Si aucun repère n’est sélectionné, la commande Repères de règle définit les valeurs par défaut des nouveaux repères seulement.
Par défaut, les repères de règle sont de couleur bleu clair lorsqu’ils ne sont pas sélectionnés. Les repères de règles sélectionnés s’affichent en surbrillance dans la couleur de leur calque. Lorsqu’un repère est sélectionné, l’icône Point de référence du panneau Contrôle se transforme en ou , pour représenter le repère sélectionné.
pour le mettre en surbrillance dans sa couleur de calque. Si vous ne parvenez pas à sélectionner un repère de règle alors que la commande Affichage > Grilles et repères > Verrouiller les repères est désactivée, cherchez le repère sur le gabarit de cette page ou sur un calque dont les repères sont verrouillés.
Sélection directe tout en maintenant la touche Maj enfoncée. Vous pouvez aussi déplacer plusieurs repères, tant que le rectangle de sélection ne traverse pas ou ne contient pas d’autre objet.
Commande+Option+G (Mac OS).
❖ Utilisez l’outil Sélection
Vous pouvez aussi sélectionner le repère, maintenir la touche Maj enfoncée, puis cliquer sur le bouton de la souris.
Edition > Copier ou Edition > Couper, allez à la page ou au document cible, puis choisissez Edition > Coller. Si vous collez les repères sur une page aux mêmes format et orientation que la page d’origine des repères, ceux-ci occupent la même position. Remarque : l’option Coller selon les calques agit sur le calque sur lequel apparaissent les repères collés.
• Pour supprimer des repères individuels, sélectionnez les repères souhaités et appuyez sur la touche Suppr. Vous pouvez également les effacer en les faisant glisser et en les déposant sur une règle.
Si vous ne parvenez pas à supprimer un repère, il se peut qu’il soit verrouillé ou qu’il figure sur un gabarit ou sur un calque verrouillé.
1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour définir les options par défaut des nouveaux repères de règle, cliquez sur une zone vide pour désélectionner tous les repères. 2 Sélectionnez Page > Repères de règle. 3 Dans la zone Seuil, spécifiez le coefficient d’affichage au-dessous duquel les repères de règle deviennent invisibles.
4 Dans la zone Couleur, choisissez une couleur ou sélectionnez Personnalisée et définissez votre couleur dans le
Vous pouvez définir l’agrandissement actif comme seuil d’affichage des nouveaux repères de règle. Pour cela, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée tandis que vous faites glisser les repères de règle sélectionnés.
• Pour verrouiller ou déverrouiller tous les repères de règle, choisissez la commande Affichage > Grilles et repères > Verrouiller les repères pour sélectionner ou désélectionner la commande de menu.
Par défaut, les repères de règle s’affichent devant tous les autres repères et objets. Notez que certains repères de règle peuvent masquer des objets tels que les traits fins. En modifiant la préférence Repères en arrière-plan, vous pouvez afficher les repères de règle devant ou derrière les autres objets. Cependant, quel que soit le paramètre choisi, les objets et les repères de règle se trouvent toujours devant les repères de marge et de colonne. Par ailleurs, lorsque vous structurez les repères en les répartissant sur plusieurs calques, leur ordre de superposition visuel n’est pas altéré. En effet, la préférence Repères en arrière-plan superpose tous les repères de règle en tant qu’entité unique par rapport à tous les objets de page.
A. Repères de règle B. Objets de page C. Repères de marge et de colonne D. Page
2 Sélectionnez Repères en arrière-plan et cliquez sur OK.
Pour aligner les objets aux repères avec précision, utilisez les commandes Magnétisme des repères et Magnétisme de la grille. Les bords d’un objet sont attirés (comme dans un phénomène de magnétisme) par l’intersection de grilles la plus proche ou par le repère le plus proche lorsque vous dessinez, déplacez ou redimensionnez un objet. La zone de magnétisme, qui délimite le périmètre exact dans lequel un objet est attiré par les repères, est réglable. Lorsque vous sélectionnez à la fois les commandes Magnétisme des repères et Magnétisme de la grille, la grille prévaut sur les repères. Gardez les indications suivantes à l’esprit lorsque vous alignez des objets sur les repères et les grilles :
Remarque : la commande Magnétisme des repères régit à la fois le magnétisme aux repères et à la grille de ligne de base. 2 Pour définir la zone de magnétisme, choisissez la commande Edition > Préférences > Repères et table de montage
La fonction Repères commentés est très pratique pour accoler des objets à des éléments de la mise en page. En effet, pendant que vous créez ou faites glisser un objet, des repères temporaires indiquent que cet objet est centré sur la page ou aligné par rapport à l’un de ses bords ou à un autre élément de page. La fonction Repères commentés est sélectionnée par défaut. Libre à vous de désactiver l’ensemble des repères commentés ou les catégories de repères commentés de votre choix : Alignement intelligent des objets Les options d’alignement intelligent des objets facilitent le positionnement des
Dimensions intelligentes Des indications de dimensions intelligentes s’affichent lorsque vous redimensionnez, créez ou faites pivoter des éléments de page. Par exemple, si vous appliquez une rotation de 24 degrés à un objet de la page, puis que vous faites pivoter un autre objet, une icône de rotation s’affiche lorsque vous atteignez un degré de rotation semblable. Cette indication vous permet ainsi de placer l’objet selon le même angle de rotation que l’objet adjacent. De même, lorsque vous redimensionnez un objet situé à côté d’un autre objet, un segment de ligne doté d’extrémités fléchées s’affiche, vous permettant de placer l’objet à la même largeur ou hauteur que l’objet adjacent. Espacement intelligent Cette fonction vous permet de disposer plus facilement des éléments de page, grâce à l’affichage de repères temporaires indiquant la position dans laquelle l’espacement entre les objets est régulier. Curseurs intelligents Le curseur affiche, dans un cadre gris, les coordonnées X et Y lorsque vous déplacez ou
Pour consulter une vidéo sur l’utilisation des repères commentés, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid4029_id_fr.
❖ Choisissez la commande Affichage > Grilles et repères > Repères commentés.
1 Affichez la section Repères et table de montage de la boîte de dialogue Préférences. 2 Indiquez si vous souhaitez activer ou désactiver les catégories Aligner sur le centre de l’objet, Aligner sur les bords
1 Affichez la section Repères et table de montage de la boîte de dialogue Préférences. 2 Dans le menu Repères commentés, choisissez une autre couleur, puis cliquez sur le bouton OK.
A propos des pages et des planches Les pages d’un document sont agencées en planches lorsque vous sélectionnez l’option Pages en vis-à-vis de la boîte de dialogue Fichier > Format de document. Une planche est une série de pages affichées ensemble, comme les deux pages visibles lorsque vous ouvrez un livre ou un magazine. La table de montage, zone extérieure à la page dans laquelle sont stockés les objets qui ne sont pas encore positionnés sur une page, est propre à une planche InDesign. Elle prévoit un espace réservé aux objets à fonds perdus, c’est-à-dire qui dépassent les limites d’une page.
1 Si le panneau Pages n’est pas visible, choisissez Fenêtre > Pages. 2 Choisissez Options du panneau dans le menu du panneau Pages. 3 Dans la section Icônes, spécifiez les icônes qui doivent apparaître en regard des vignettes de la page dans le
4 Dans les sections de page et de gabarit :
• Sélectionnez Afficher verticalement pour afficher les planches dans une seule colonne verticale. Désélectionnez cette option pour permettre l’affichage des planches côte à côte.
5 Dans la section Mise en page du panneau, sélectionnez Pages toujours visibles pour afficher la section d’icône de
• Pour conserver la taille de la section des pages et redimensionner uniquement la section des gabarits, choisissez Pages fixes.
Gabarits fixes. • Pour cibler et sélectionner simultanément une page ou une planche, cliquez deux fois sur son icône ou sur les numéros de page sous l’icône. Si la page ou planche n’est pas visible dans la fenêtre du document, elle apparaît. Vous pouvez également cibler et sélectionner une page ou une planche en cliquant sur une page, sur un objet de la page, ou sur sa table de montage dans la fenêtre de document. La règle verticale est grisée, sauf au niveau de la page ou planche ciblée.
Remarque : certaines options de planche, telles que celles du menu du panneau Pages, ne sont disponibles que lorsqu’une planche entière est sélectionnée.
Vous pouvez utiliser le panneau Pages pour organiser, dupliquer et combiner à loisir des pages et planches. Gardez les indications suivantes à l’esprit lorsque vous ajoutez, organisez, dupliquez ou supprimez des pages dans un document :
• InDesign redistribue les pages en fonction de la définition de la commande Autoriser la réorganisation des pages du document.
« Contrôle de la pagination des planches » à la page 66 « Déplacement ou copie de pages d’un document à l’autre » à la page 65 « Copie des gabarits » à la page 73
1 Choisissez Page > Pages > Déplacer des pages dans le menu du panneau Pages. 2 Spécifiez la ou les pages que vous souhaitez déplacer. 3 Dans la liste déroulante Destination, choisissez l’emplacement vers lequel vous voulez déplacer les pages et spécifiez
❖ A mesure que vous déplacez l’icône, la barre verticale indique l’endroit où la page apparaîtra lorsque vous
Sinon, les pages du document seront redistribuées en fonction du paramètre Pages en vis-à-vis de la boîte de dialogue Fichier > Format de document. Dans le panneau Pages, faites glisser une icône de page vers son nouvel emplacement dans le document.
1 Sélectionnez la planche ou désélectionnez Autoriser la réorganisation de la planche sélectionnée dans le menu du
2 Dans le panneau Pages, faites glisser la page en dehors de la planche jusqu’à ce que la barre verticale ne soit plus en
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Sélectionnez une ou plusieurs icônes de page dans le panneau Pages puis cliquez sur l’icône de suppression. • Sélectionnez une ou plusieurs icônes de page dans le panneau Pages, puis choisissez Supprimer une page ou Supprimer une planche dans le menu du panneau Pages.
Lorsque vous copiez une page ou une planche d’un document à l’autre, tous les éléments de la page ou de la planche, y compris les graphiques, les liens et le texte, sont copiés vers le nouveau document. Les marques de section sont conservées. Les blocs de texte liés sont également inclus, mais le texte lié aux pages situées en dehors de la planche n’est pas transféré. si les pages ou planches copiées contiennent des styles, des calques ou des gabarits portant le même nom que leur duplicata dans le document cible, les paramètres du document cible s’appliquent aux pages ou planches. Si vous copiez une page depuis un document dont la taille est différente de celle du document vers lequel vous la copiez, elle est redimensionnée selon le document cible. Si vous déplacez ou copiez une planche comportant une rotation, cette dernière n’est pas conservée dans le document cible. Si vous voulez déplacer ou copier une planche îlot, désélectionnez Autoriser la réorganisation des pages du document dans le document cible pour conserver les pages de la planche ensemble.
« Copie des gabarits » à la page 73
1 Pour déplacer des pages d’un document vers un autre, ouvrez les deux documents. 2 Choisissez Page > Pages > Déplacer des pages dans le menu du panneau Pages. 3 Spécifiez la ou les pages que vous souhaitez déplacer. 4 Choisissez le nom du document cible dans le menu Déplacer vers. 5 Dans la liste déroulante Destination, choisissez l’emplacement vers lequel vous voulez déplacer les pages et spécifiez
6 Si vous voulez supprimer les pages du document original, sélectionnez l’option Supprimer les pages après le
1 Pour déplacer des pages d’un document vers un autre, assurez-vous que les deux documents sont ouverts et visibles.
2 Faites glisser l’icône de page du document d’origine vers le nouveau document. 3 Dans la boîte de dialogue Insérer des pages, spécifiez l’emplacement auquel les pages seront ajoutées. 4 Si vous voulez supprimer les pages du document original, sélectionnez Supprimer des pages après le déplacement.
La plupart des documents comportent uniquement des planches à deux pages. Lorsque vous ajoutez ou supprimez des pages avant une planche, les pages sont réorganisées par défaut. Toutefois, il se peut que vous vouliez conserver certaines pages ensemble dans une planche. Par exemple, vous pouvez créer un pli fenêtre ou accordéon en créant une planche à plusieurs pages (aussi appelée planche îlot) et en y ajoutant des pages. En n’autorisant pas la réorganisation des pages, vous faites en sorte que les pages restent dans la même planche.
2 Ajoutez des pages à la planche sélectionnée soit en utilisant Insérer des pages pour insérer une nouvelle page au
Vous pouvez redistribuer les pages d’une planche en fonction du paramètre Pages en vis-à-vis de la boîte dialogue Fichier > Format de document. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Autoriser la réorganisation de la planche sélectionnée dans le menu du panneau Pages pour l’activer.
Au lieu de commencer le document avec le recto d’une page, vous pouvez supprimer la première page et faire commencer votre document par le verso d’une page faisant partie d’une planche. Important : compte tenu des paramètres nécessaires pour conserver un verso en tant que première page, il peut se révéler difficile d’insérer des planches dans un document créé de cette façon. Pour éviter ce genre de problème, il est recommandé de faire commencer le document par un recto de page (devant être laissé vierge). Une fois les pages nécessaires insérées dans le document, supprimez la première page au moyen de la procédure suivante. 1 Vérifiez que la page 1 du document est vierge. 2 Choisissez Fichier > Format de document. Assurez-vous que le document comporte au moins trois pages et que
3 Dans le panneau Pages, sélectionnez toutes les pages à l’exception de la page 1. Le moyen le plus facile pour y
Maj enfoncée. 4 Dans le menu du panneau Pages, désélectionnez Autoriser la réorganisation de la planche sélectionnée. 5 Sélectionnez la page 1. Dans le menu du panneau Pages, choisissez Supprimer une planche.
Dans certains cas, vous pouvez être amené à modifier du contenu ayant subi une rotation. Plutôt que de pencher la tête pour regarder ce contenu, vous pouvez faire pivoter la planche. Cette option est particulière utile pour travailler sur des calendriers et des tableaux qui ont été réorientés. L’application d’une rotation à la planche n’altère en rien les résultats obtenus à l’impression ou en sortie. Néanmoins, si la planche demeure affichée avec une rotation lors de l’impression, vous devrez probablement changer l’orientation dans la section Format de la boîte de dialogue Imprimer afin de l’imprimer dans le bon sens. Vous pouvez également annuler la rotation avant d’imprimer.
1 Dans le panneau Pages, sélectionnez la page ou la planche à laquelle appliquer une rotation.
Lors de la transformation d’objets, tenez compte de l’orientation de la planche. Par exemple, toute modification apportée au niveau du côté « gauche » d’un tableau sur une planche à laquelle une rotation a été appliquée sera visible sur ce qui semble être le haut du tableau dans la vue avec rotation. Avant d’imprimer le fichier ou de l’envoyer à un autre utilisateur, il est conseillé d’annuler la rotation de la planche pour éviter toute confusion. Choisissez la commande Affichage > Faire pivoter la planche > Annuler la rotation.
A propos des gabarits, de l’ordre de superposition et des calques Un gabarit s’apparente à un arrière-plan, rapidement applicable à plusieurs pages. Les objets d’un gabarit apparaissent sur toutes les pages auxquelles vous appliquez le gabarit. Les éléments types qui apparaissent sur les pages de document sont entourés d’une bordure en pointillé. Les modifications apportées au gabarit sont automatiquement appliquées aux pages associées. Les gabarits contiennent en général des logos, des numéros de page, des en-têtes et des pieds de page qui se répètent. Elles contiennent également des blocs de texte ou graphiques vides servant de balises d’emplacement dans les pages de document. Un élément de gabarit ne peut pas être sélectionné sur une page de document à moins que l’élément de gabarit ne soit remplacé. Les gabarits peuvent contenir plusieurs calques, comme les pages de votre document. Les objets à calque unique ont leur propre ordre de superposition sur leur calque. Les objets d’un calque de gabarit apparaissent derrière les objets de page du même calque. Pour afficher un élément type devant les objets d’une page de document, il convient de le placer sur un calque supérieur du gabarit. Un élément type sur un calque supérieur apparaît devant tous les objets des calques inférieurs. La fusion de tous les calques déplace les éléments de gabarit derrière les objets de page du document.
« Remplacement ou dissociation d’éléments types » à la page 74
Par défaut, tous les documents créés possèdent un gabarit. Vous pouvez créer des gabarits supplémentaires de toutes pièces ou à partir d’un gabarit ou d’une page de document existants. Une fois les gabarits appliqués aux autres pages, les modifications apportées au gabarit source sont appliquées aux gabarits et aux pages de document associés. En planifiant soigneusement vos documents, vous pouvez apporter rapidement des modifications de mise en page à plusieurs pages dans le document. Pour consulter une vidéo sur l’utilisation des gabarits, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0069_fr.
Vidéo Gabarits « Application de gabarits » à la page 72 • Dans la zone D’après le gabarit, choisissez une planche existante sur laquelle vous voulez baser la planche ou choisissez l’option Aucun.
• Faites glisser une planche entière de la section Pages du panneau Pages vers la section Gabarits.
Changez la mise en forme des gabarits enfants. Vous pouvez remplacer des éléments de gabarit parent sur un gabarit enfant pour créer des variantes de gabarit, tout comme vous pouvez substituer des éléments types à partir des pages du document Il s’agit d’un moyen efficace de mettre à jour une maquette de façon homogène et diversifiée à la fois.
Vous pouvez modifier la mise en page des gabarits à tout moment ; les modifications apportées apparaissent automatiquement sur toutes les pages créées d’après ce gabarit. Par exemple, tout texte ou graphique que vous ajoutez à un gabarit apparaîtra sur les pages de document auxquelles le gabarit sera appliqué. Remarque : lorsque vous remplacez ou dissociez un objet de son gabarit, l’objet risque de ne pas être mis à jour avec les modifications apportées au gabarit. 1 Cliquez deux fois sur l’icône du gabarit à modifier dans le panneau Pages ou sélectionnez le gabarit dans la zone de
2 Effectuez les modifications appropriées.
Observez les résultats des modifications dans plusieurs vues. Choisissez Fenêtre > Disposition > Nouvelle fenêtre, puis choisissez Fenêtre > Disposition > Mosaïque horizontale ou Mosaïque verticale. Affichez une page dans une vue et le gabarit qui lui a été appliqué dans une autre. Modifiez ensuite le gabarit et visualisez la page mise à jour.
« Création d’en-têtes et de pieds de page » à la page 92
Vous pouvez modifier les options du gabarit pour attribuer un nouveau nom ou préfixe, baser le gabarit sur un autre gabarit ou changer le nombre de pages dans la planche type. 1 Dans le panneau Pages, cliquez sur le nom de la planche type pour la sélectionner. 2 Dans le menu du panneau Pages, sélectionnez Options de gabarit pour [nom du gabarit]. 3 Modifiez des options, si nécessaire, puis cliquez sur le bouton OK.
Si votre document contient des planches personnalisées (par exemple, un dépliant de 3 ou 4 pages dans un magazine), tout gabarit appliqué doit contenir le même nombre de pages. Remarque : les éléments types d’une page de document présentent une bordure en pointillé. Si vous ne pouvez pas voir les éléments types sur une page de document, il se peut que l’élément type soit masqué sur un calque inférieur ou que les éléments types soient masqués. Choisissez Afficher les éléments types dans le menu du panneau Pages
• Pour appliquer un gabarit à une page, faites glisser l’icône du gabarit sur l’icône de la page dans le panneau Pages. Lorsqu’un rectangle noir délimite la page cible, relâchez le bouton de la souris.
Pages. Lorsqu’un rectangle noir délimite toutes les pages de la planche, relâchez le bouton de la souris.
❖ Appliquez le gabarit Aucun de la section Gabarits du panneau Pages.
Vous pouvez copier les gabarits dans un même document ou d’un document à un autre pour les utiliser comme point de départ d’un nouveau gabarit. Vous pouvez également copier les gabarits dans d’autres documents lorsque vous synchronisez des documents d’un livre ou importez des gabarits à partir d’un autre document.
« Synchronisation des documents d’un livre » à la page 312 « Importation d’un gabarit à partir d’un autre document » à la page 76 Pour copier un gabarit dans un document ❖ Dans la section Pages, utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Sélectionnez le nom de la planche type, puis choisissez Dupliquer la planche type [nom de la planche] dans le menu du panneau. Lorsque vous copiez un gabarit, le préfixe de page du gabarit copié est la lettre suivante de l’alphabet.
1 Ouvrez le document auquel vous voulez ajouter le gabarit. Ouvrez ensuite le document contenant le gabarit à
2 Dans le panneau Pages du document source, utilisez l’une des méthodes suivantes :
Si le document cible comporte déjà un gabarit possédant le même préfixe, le gabarit déplacé adopte la prochaine lettre disponible de l’alphabet.
1 Sélectionnez une ou plusieurs icônes de gabarit dans le panneau Pages.
2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Cliquez sur l’icône de suppression au bas du panneau. • Choisissez Supprimer la planche type [nom de la planche] dans le menu du panneau Pages. Lorsque vous supprimez un gabarit, le gabarit [Aucun] est appliqué à toutes les pages de document auxquelles le gabarit supprimé était appliqué.
Lors de l’application d’un gabarit à une page de document, tous les objets situés sur le gabarit, appelés éléments de gabarit, apparaissent sur la page de document. Si une page spécifique ne vous convient pas entièrement, il est inutile de repenser la composition de sa page type ou de créer une nouvelle page type. Vous pouvez remplacer ou dissocier l’élément de gabarit ; les autres éléments de gabarits sur la page du document continueront d’être mis à jour avec le gabarit. Notez la différence entre le remplacement et la dissociation des éléments de gabarit sur une page de document : Remplacement d’attributs d’élément de gabarit Le remplacement d’un élément de gabarit place une copie de celui-ci
Les attributs que vous pouvez remplacer pour un objet de page gabarit incluent les contours, les fonds, le contenu d’un bloc et toutes les transformations (telles que la rotation, la mise à l’échelle, la déformation ou le redimensionnement), les options d’arrondis, les options de bloc de texte, le verrouillage, les effets de transparence et d’objet. Dissociation d’éléments de leur gabarit Il est possible de dissocier un élément type de son gabarit sur une page de document. L’élément doit être remplacé sur la page du document, en créant une copie locale, avant que vous ne puissiez le dissocier. Un élément dissocié ne se met pas à jour avec le gabarit car son association avec la page de gabarit est supprimée.
« Application de l’habillage du texte sur des éléments de gabarit » à la page 227
2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
(Windows) ou Commande+Maj (Mac OS), puis cliquez sur l’élément (ou faites glisser le curseur pour sélectionner plusieurs éléments). Modifiez les éléments de gabarit sélectionnés comme vous le souhaitez. Vous pouvez désormais sélectionner l’élément comme tout autre élément de page, mais celui-ci conserve son association au gabarit.
éléments de gabarits à votre convenance. Lorsqu’un élément de gabarit est remplacé, son cadre de sélection en pointillé se transforme en ligne pleine, pour montrer qu’une copie locale a été créée. Remarque : lors du remplacement d’un bloc de texte lié, tous les blocs visibles dans ce lien sont substitués, même s’ils sont situés sur une page différente d’une planche.
• Pour dissocier un seul élément de gabarit de son gabarit, remplacez-le d’abord en appuyant sur les touches Ctrl+Maj (Windows) ou Commande+Maj (Mac OS) et en cliquant sur l’élément sur une page de document. Choisissez ensuite Dissocier la sélection du gabarit dans le menu du panneau Pages.
Choisissez l’option Dissocier tous les objets du gabarit dans le menu du panneau Pages. Si la commande n’est pas accessible, la planche ne contient aucun objet substitué.
Dans certains cas, il est possible que vous ne vouliez remplacer que quelques-uns des éléments de gabarit. Par exemple, vous pouvez remplacer des éléments de gabarit tels que les images d’arrière-plan d’une page de document, tout en évitant de remplacer un en-tête de numérotation de page. En empêcher l’en-tête d’être remplacé, vous pouvez choisir l’option Libérer tous les éléments de gabarit pour remplacer tous les éléments de gabarit, sauf l’en-tête. 1 Sélectionnez l’élément sur la page de gabarit. 2 Désélectionnez l’option Autoriser les remplacements des éléments du gabarit sur la sélection dans le menu du
Les éléments de gabarit dont le remplacement n’est pas autorisé ne présentent pas de cadres de bloc lorsqu’ils sont affichés sur la page de document. Si vous voulez éviter de remplacer un bloc de texte lié, tous les blocs de texte liés auront le même paramètre.
La copie locale de l’objet est supprimée et l’élément de gabarit ne peut pas être sélectionné, comme l’indique sa bordure en pointillé. L’annulation des substitutions s’applique aux objets sélectionnés ou à tous les objets d’une planche, mais pas à l’ensemble d’un document. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Si vous avez dissocié les objets d’un gabarit, vous ne pouvez pas les restaurer dans le gabarit ; toutefois, vous pouvez supprimer les objets dissociés et réappliquer le gabarit à la page. Si vous réappliquez un gabarit à une page contenant des objets de gabarit substitués, les objets contenant des remplacements sont dissociés et tous les objets de gabarit sont réappliqués. Ceci peut produire deux copies de certains objets sur la page. Vous devez supprimer les objets associés pour reproduire avec exactitude l’aspect du gabarit.
La commande Masquer les éléments du gabarit permet de masquer des éléments de gabarit sur une ou plusieurs pages d’un document. Les éléments de gabarit masqués ne sont pas imprimés. 1 Dans le panneau Pages, sélectionnez les pages et les planches sur lesquelles vous souhaitez masquer les éléments de
2 Dans le menu du panneau Pages, choisissez la commande Masquer les éléments du gabarit.
Vous pouvez importer des gabarits d’un autre document InDesign (quelle que soit la version) dans un document actif. Si votre document cible contient des gabarits ayant des noms différents des gabarits du document cible, les remplacements de ces pages et de leur page de document resteront inchangés. 1 Dans le menu du panneau Pages, choisissez Charger des gabarits. 2 Cliquez deux fois sur le document InDesign contenant les gabarits que vous voulez importer. 3 Déterminez ce qui doit se passer si un gabarit chargé a le même nom qu’un gabarit du document actif.
Pour utiliser cette méthode, chargez les gabarits à partir du document source avant de remplacer les objets sur le gabarit. Si votre document contient des éléments remplacés et que vous n’avez jamais importé de gabarits d’un document source, ces éléments remplacés deviennent dissociés la première fois que vous chargez à partir d’un document source et remplacent les gabarits portant le même nom que le gabarit parent des éléments remplacés. Toutefois, si vous importez ultérieurement des gabarits depuis un autre document source, et si vous utilisez la commande Remplacer des gabarits, les éléments remplacés risquent d’être dissociés. Tout gabarit portant le même nom dans le document source est appliqué à la page du document contenant les éléments remplacés, ce qui crée deux ensembles d’objets.
A propos des calques Un document comprend au moins un calque nommé. L’utilisation de plusieurs calques vous permet de créer et de modifier des zones ou certains types de contenus dans votre document sans en affecter d’autres. Si, par exemple, l’impression de votre document est lente en raison des nombreux graphiques volumineux, vous pouvez dédier un calque au texte du document, puis au moment de sa relecture, masquer tous les autres calques et imprimer rapidement le seul calque de texte. Les calques vous permettent également d’afficher différents concepts de composition pour la même maquette ou différentes versions de publicités selon le public. Imaginez les calques comme des feuilles transparentes superposées. Si l’un d’entre eux est vide, il laisse transparaître les objets des calques inférieurs. Remarques supplémentaires sur les calques :
à la section « Conversion de documents QuarkXPress et PageMaker » à la page 110.
Vous pouvez ajouter des calques à tout moment en utilisant la commande Nouveau calque du menu du panneau Calques ou le bouton Nouveau calque situé au bas du panneau. Le nombre de calques d’un document n’est limité que par la mémoire RAM dont dispose InDesign.
« Affichage ou masquage des contours de bloc » à la page 84
1 Choisissez Fenêtre > Calques. 2 Pour créer un calque utilisant les paramètres par défaut, utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour créer un nouveau calque au-dessus du calque sélectionné, cliquez sur le bouton Nouveau calque tout en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée.
1 Choisissez l’option Nouveau calque dans le menu du panneau Calques ou cliquez deux fois sur un calque existant. 2 Spécifiez les options de calque, puis cliquez sur OK. Couleur Assignez une couleur pour identifier les objets de ce calque. Afficher le calque Activez cette case pour rendre un calque visible et afficher l’icône d’œil dans le panneau Calques. Afficher les repères Activez cette case pour rendre les repères du calque visibles. Lorsque cette option n’est pas sélectionnée pour un calque, les repères ne peuvent pas être affichés, même en choisissant Affichage > Afficher les repères.
Verrouiller les repères Activez cette option pour empêcher toute modification des repères de règle du calque. Imprimer le calque Sélectionnez cette option pour empêcher le calque d’être imprimé. Lors de l’impression ou de
Supprimer l’habillage lorsque le calque est masqué Activez cette option si vous voulez que le texte se place
L’application d’une couleur à un calque permet de mieux différencier les calques des divers objets sélectionnés. Chacun des calques contenant un objet est repérable dans le panneau Calques à son point doté de la couleur du calque. Sur la page, la couleur du calque de chaque objet s’applique à ses poignées, son cadre de sélection, les ports de texte, la zone d’habillage (le cas échéant), les contours de bloc (y compris la croix d’un bloc graphique vide) et les caractères masqués. En revanche, un bloc désélectionné n’adopte pas la couleur de son calque si son contour est masqué. 1 Dans le panneau Calques, cliquez deux fois sur un calque ou sélectionnez-le et choisissez Options de calque pour
2 Dans la zone Couleur, choisissez une couleur ou sélectionnez l’option Personnalisée et définissez votre couleur
Tout nouvel objet est placé sur le calque cible, c’est-à-dire le calque indiqué par une icône de plume dans le panneau Calques. Le fait de cibler un calque a pour effet de le sélectionner. Si plusieurs calques sont sélectionnés, le ciblage d’un calque ne modifie pas la sélection, mais le ciblage d’un calque en dehors de la sélection désélectionne les autres calques. Pour ajouter des objets dans le calque cible, utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Importation, insertion ou collage du texte et des graphiques. • Sélection d’objets sur d’autres calques puis glissement vers le nouveau calque. Il est impossible de dessiner ou de placer un nouvel objet sur un calque masqué ou verrouillé. Lorsque vous sélectionnez un outil de dessin ou l’outil Texte ou que vous importez un fichier alors que le calque cible est masqué ou verrouillé, le pointeur prend la forme d’un crayon barré dès lors qu’il est placé sur la fenêtre de document. Le cas échéant, affichez ou déverrouillez le calque cible ou bien ciblez un calque visible non verrouillé. Si vous choisissez Edition > Coller alors que le calque cible est masqué ou verrouillé, un message d’alerte vous propose de l’afficher ou de le déverrouiller. Lorsque vous cliquez sur un calque dans le panneau Calques pour le cibler, l’icône de plume apparaît sur le calque sur lequel vous avez cliqué, et le calque est mis en surbrillance pour indiquer qu’il est ciblé.
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
(Mac OS) enfoncée tout en cliquant sur un calque dans le panneau Calques.
à droite du libellé de calque pour déplacer les objets sélectionnés vers l’autre calque.
Si la commande Coller selon les calques est désélectionnée, les objets coupés ou copiés depuis d’autres calques sont collés ensemble sur le calque cible. 1 Vérifiez que l’option Coller selon les calques est désactivée dans le menu du panneau Calques. 2 Sélectionnez des objets et choisissez Edition > Copier ou Edition > Couper. 3 Cliquez sur un calque pour modifier le calque cible dans le panneau Calques. 4 Sélectionnez Edition > Coller.
La duplication d’un calque consiste à copier son contenu et ses paramètres. La réplique du calque apparaît alors au dessus du calque d’origine dans le panneau Calques. Les blocs dupliqués liés à d’autres blocs du calque conservent leur lien, tandis que les blocs dupliqués dont les originaux étaient liés aux blocs d’autres calques le perdent. ❖ Dans le panneau Calques, utilisez l’une des méthodes suivantes :
Il suffit de réorganiser les calques du panneau pour changer leur ordre de superposition. L’ordre des calques est modifié sur chaque page, pas seulement sur la planche cible. ❖ Dans le panneau Calques, faites glisser un calque vers le haut ou vers le bas dans la liste. Vous pouvez également
(Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée.
3 Pour empêcher le calque d’être imprimé, désélectionnez Imprimer le calque, puis cliquez sur OK.
Le verrouillage permet d’empêcher toute modification accidentelle d’un calque. Une icône de crayon barré s’affiche en regard d’un calque verrouillé dans le panneau Calques. Les objets de calques verrouillés ne peuvent être ni sélectionnés ni modifiés directement. En revanche, si ces objets possèdent des attributs modifiables, ceux-ci sont modifiés. Si, par exemple, vous modifiez une teinte, les objets situés sur des calques verrouillés utilisant cette nuance sont modifiés en conséquence. L’insertion de blocs de texte liés sur des calques verrouillés et déverrouillés n’empêche pas la recomposition du texte placé sur des calques verrouillés. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Verrouiller les autres. Vous pouvez aussi cliquer sur le calque qui doit rester déverrouillé tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée.
Gardez à l’esprit qu’un calque s’applique à l’ensemble du document et apparaît donc sur chacune des ses pages. Avant de supprimer un calque, pensez à masquer tous les autres calques puis faites défiler les pages pour vérifier que les objets restants peuvent être supprimés. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Il est possible de réduire le nombre de calques d’un document sans supprimer d’objets, en fusionnant les calques. Cette fusion consiste à déplacer les objets de tous les calques sélectionnés vers le calque cible. Parmi tous les calques fusionnés, seul le calque cible est conservé dans le document ; les autres sont supprimés. Vous pouvez également aplatir un document en fusionnant tous ses calques. Remarque : si vous fusionnez des calques contenant à la fois des objets de page et des éléments de gabarit, ces derniers sont déplacés derrière le calque fusionné. 1 Sélectionnez un ensemble de calques dans le panneau Calques. Veillez à inclure le calque à cibler en tant que calque
2 Cliquez sur un calque sélectionné pour en faire le calque cible, comme l’indique la plume. 3 Choisissez Fusionner les calques dans le menu du panneau Calques.
« Pour préparer les calques avant d’exporter un livre au format PDF » à la page 538
Tracés et blocs Les objets que vous dessinez dans un document peuvent servir de tracés et de blocs. Les tracés sont des graphiques vectoriels semblables à ceux créés dans des programmes de dessin comme Adobe Illustrator®. Les blocs sont identiques aux tracés, à la différence près qu’ils peuvent contenir du texte ou d’autres objets. Un bloc peut également faire office d’emplacement réservé (contenant sans contenu). Qu’il s’agisse de contenants ou d’emplacements réservés, les blocs constituent les pièces maîtresses de la maquette d’un document.
Un bloc constituant la version conteneur d’un tracé, vous pouvez effectuer les mêmes opérations sur un bloc que sur un tracé. Vous pouvez notamment appliquer une couleur ou un dégradé à son fond ou contour et utiliser l’outil Plume pour retoucher la forme du bloc. Vous pouvez même utiliser à votre guise un bloc comme un tracé et vice-versa. Grâce à cette souplesse de manipulation, vous pouvez repenser votre création en utilisant une riche panoplie d’options. Les blocs peuvent recevoir du texte ou des éléments graphiques. Un bloc de texte délimite la zone occupée par le texte, ainsi que sa disposition dans la maquette. Il se reconnaît aux ports situés dans ses coins supérieur gauche et inférieur droit. Un bloc graphique fait office de contour et d’arrière-plan et permet de recadrer ou masquer un graphique. Lorsqu’il représente une balise d’emplacement vide, le bloc graphique contient une croix.
Pour consulter une vidéo sur l’utilisation des objets, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0071_fr.
« Présentation des tracés et des formes » à la page 339 Vidéo Travailler avec des objets
Par défaut, les contours non imprimables d’un bloc (c’est-à-dire le cadre) sont visibles lorsque celui-ci est désélectionné, contrairement aux tracés. Lorsque la fenêtre de document devient encombrée, vous pouvez simplifier l’affichage à l’écran en masquant le cadre du bloc à l’aide de la commande Afficher/Masquer les contours du bloc. Vous masquez par la même occasion la croix du bloc de substitution. Le mode d’affichage du cadre d’un bloc n’agit pas sur les ports des blocs de texte.
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour masquer les contours de blocs, cliquez sur Mode Aperçu
Lorsque votre texte et vos graphiques définitifs sont prêts, insérez-les dans un document. InDesign crée automatiquement des blocs pour chacun d’eux (à moins qu’ils ne proviennent directement de blocs existants). Si toutefois vous ne disposez pas encore du contenu ou si vous préférez silhouetter la maquette avant d’ajouter texte et graphiques, utilisez les blocs comme balises d’emplacement.
« Utilisation de modèles de document » à la page 104 « Dessin d’un bloc d’emplacement réservé » à la page 343 « Définition des options d’ajustement de bloc » à la page 437
• Pour utiliser un tracé ou un bloc de texte comme bloc d’emplacement réservé aux graphiques, sélectionnez un tracé ou un bloc de texte vide et choisissez Objet > Contenu > Graphique.
Contenu. Toutefois, si vous remplacez un graphique par du texte, le type de contenu est automatiquement redéfini.
Si vous modifiez une mise en page à partir des commandes Format de document ou Marges et colonnes (réglage de la largeur des colonnes ou de l’orientation des pages), la réorganisation des objets selon la nouvelle mise en page peut se révéler fastidieuse. La fonction Modifier la mise en page se charge automatiquement de la plupart des tâches. Elle vous permet, par exemple, de convertir rapidement un document paysage de quatre colonnes prévu pour une page au format A4 en un document portrait de deux colonnes dans un format de page Grand format. Avec la modification de la mise en page, les blocs de texte et graphiques sont déplacés et redimensionnés selon le nouvel emplacement relatif des repères de colonne, des marges et des bords de la page. Remarque : le glissement des repères de colonne n’opère pas de modification de la mise en page. Les résultats de la fonction Modifier la mise en page sont très prévisibles dans le cas d’une mise en page reposant principalement sur une structure de marges, de colonnes de page et de repères de règle dont les objets sont attirés vers les repères. Ils le sont moins lorsque les objets n’adhèrent pas aux marges, colonnes et repères ou que des repères de règle et de colonne superflus encombrent une page. Mise en page s’effectue indépendamment des grilles du document ou de ligne de base.
• Déplacement des repères de règle pour maintenir les distances proportionnelles par rapport aux bords des pages, aux marges ou aux repères de colonne si le format de page est différent.
Notez que les options de la boîte de dialogue Modifier la mise en page n’ont aucune action immédiate, puisque la rectification d’une mise en page fait suite uniquement au réglage des paramètres de format et d’orientation de page, de marge ou de colonne ou lorsque vous appliquez un nouveau gabarit. Pour rétablir la version précédente d’une maquette, vous devez annuler l’opération à l’origine de sa modification. 1 Choisissez Page > Modifier la mise en page. 2 Choisissez Activer la modification de mise en page. 3 Spécifiez les options de modification de mise en page et cliquez sur le bouton OK.
Activer la modification de mise en page Sélectionnez cette option pour activer la modification de la mise en page
Zone de magnétisme Spécifiez le périmètre dans lequel un objet est attiré par le repère de marge, repère de colonne
Autoriser le redimensionnement des graphiques et des groupes Sélectionnez cette option pour que la fonction
Autoriser le déplacement des repères de règle Sélectionnez cette option pour que les repères de règle soient
Ignorer l’alignement des repères de la règle Sélectionnez cette option quand les repères de règle sont mal positionnés
Ignorer le verrouillage des objets et des calques Sélectionnez cette option pour que la fonction Modifier la mise en page puisse repositionner des objets verrouillés ou situés dans un calque verrouillé.
Ajout de numéros de page, section et chapitre Déterminez le type de numérotation que vous voulez utiliser pour votre document ou livre. Pour les longs documents, vous pouvez assigner des numéros de chapitre. Un seul numéro de chapitre peut être assigné par document. Si vous voulez utiliser une numérotation différente dans un document, vous pouvez définir des séquences de pages en sections ; ces sections peuvent être numérotées différemment. Par exemple, les dix premières pages d’un document (la préface) peuvent utiliser des chiffres romains, et le reste du document des chiffres arabes. Pour consulter une vidéo sur la numérotation des pages, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0217_fr.
Si le numéro de page automatique se trouve sur un gabarit, il adopte le préfixe du gabarit. Le numéro de page automatique affiche le numéro de page sur une page de document, tandis qu’il indique NP sur une table de montage. 1 Le cas échéant, créez un nouveau bloc de texte pouvant contenir le plus long numéro de page possible, suivi d’un
Pour que le numéro de page apparaisse sur toutes les pages créées d’après un gabarit, créez le bloc de texte du numéro de page sur un gabarit. En plus du numéro de page, vous pouvez ajouter d’autres variables d’en-tête et de pied de page, telles que la date de création ou le nom de fichier. Appliquez ensuite le gabarit à toutes les pages du document sur lesquelles le numéro de page doit apparaître. 2 Dans le bloc de texte du numéro de page, ajoutez du texte ou des variables qui précèderont ou suivront le numéro
3 Placez le point d’insertion à l’emplacement où vous voulez que le numéro de page apparaisse, puis choisissez la
La marque Numéro de page active est également disponible dans un menu contextuel. Pour afficher ce menu contextuel, placez le point d’insertion de texte dans le bloc de texte du folio, cliquez avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS), puis choisissez la commande Insérer un caractère spécial > Marques > Numéro de page active. Par défaut, les pages sont numérotées avec des chiffres arabes (1, 2, 3, etc.) ; toutefois, vous pouvez utiliser des caractères romains en majuscules ou minuscules (i, ii, iii, etc.) ou alphanumériques (a, b, c, etc.). Vous pouvez également faire apparaître un zéro précédant le numéro des pages. Remarque : si le numéro de page que vous venez d’insérer est précédé d’un numéro ou d’une lettre, cela signifie qu’il comporte un préfixe de section. Si vous voulez éliminer ce préfixe, désélectionnez l’option Inclure le préfixe lors de la numérotation des pages dans la boîte de dialogue Options de numérotation et de section.
Vous pouvez ajouter une variable de numéro de chapitre à votre document. A l’instar des numéros de page, les numéros de chapitre peuvent être mis à jour automatiquement et recevoir une mise en forme et un style de la même façon que du texte. Une variable de numéro de chapitre est généralement utilisée dans les documents qui composent un livre. Un document ne peut avoir qu’un seul numéro de chapitre ; si vous voulez diviser un document en plusieurs chapitres, créez plutôt des sections. Remarque : les numéros de chapitre ne peuvent pas être insérés en tant que préfixes lorsque l’on génère un index ou une table des matières (par exemple, 1-3, 1-4, etc.). Si vous voulez que les numéros des chapitres soient inclus en tant que préfixes, utilisez des préfixes de section à la place des numéros de chapitre. 1 Si nécessaire, créez un bloc de texte à l’emplacement où vous voulez que le numéro de chapitre apparaisse. Pour que
2 Dans le bloc de texte du numéro de chapitre, ajoutez le texte qui doit précéder ou suivre le numéro de chapitre. 3 Placez le point d’insertion à l’emplacement où vous voulez que le numéro de chapitre apparaisse, puis choisissez
Vous pouvez actualiser le premier numéro et le format de la numérotation du chapitre en sélectionnant la commande Page > Options de numérotation et de section.
1 Définissez les sections de votre document (voir la section « Définition de la numérotation de section » à la page 89). 2 Sur une page ou un gabarit, faites glisser l’outil Texte pour créer un bloc de texte pouvant contenir le texte de la
3 Choisissez Texte > Insérer un caractère spécial > Marques > Marque de section.
1 Choisissez Page > Options de numérotation et de section. 2 Dans la section Numérotation des pages ou Numérotation des chapitres du document, sélectionnez un nouveau
Par défaut, la numérotation des pages et des chapitres d’un livre est continue. Grâce à la boîte de dialogue Options de numérotation et de section, vous pouvez redémarrer la numérotation à une page donnée, ajouter des préfixes aux numéros de page et changer le style de numérotation des pages et des chapitres.
2 Choisissez Page > Options de numérotation et de section, ou choisissez Options de numérotation et de section dans
3 Si vous modifiez les options de numérotation d’une page qui n’est pas la première page d’un document, assurez-
4 Si nécessaire, définissez les options de numérotation et de section (voir la section « Options de numérotation de
L’icône de marque de section d’une nouvelle section.
1 Dans le panneau Pages, cliquez deux fois sur l’icône de marque de section
Options de numérotation et de section dans le menu.
• Pour supprimer une section, désélectionnez l’option Début de section. Pour repérer rapidement une section dans le panneau Pages, placez le pointeur précisément sur une icône d’indicateur de section . Une info-bulle affiche le premier numéro de page ou le préfixe de section.
Le panneau Pages accepte la numérotation absolue (attribution à toutes les pages d’un numéro consécutif, en commençant par la première page du document) et la numérotation par section (attribution aux pages d’un préfixe par section, comme spécifié dans la boîte de dialogue Options de section). Toute modification de l’affichage de la numérotation se répercute sur le signalement des pages dans un document InDesign, de même que dans le panneau Pages et dans la zone de numéro de page au bas d’une fenêtre de document. L’affichage de la numérotation détermine également le mode de définition des séries de pages lors de l’impression ou de l’exportation du document. En revanche, il n’a aucune incidence sur l’aspect des numéros de page sur les pages du document. 1 Choisissez Edition > Préférences > Général (Windows) ou InDesign > Préférences > Général (Mac OS). 2 Choisissez un mode de numérotation dans le menu Affichage de la section Numérotation des pages.
Numérotation automatique des pages Choisissez si vous voulez que les numéros de page de la section active suivent la numérotation de la section précédente. Grâce à cette option, les numéros de page du document ou de la cette section sont automatiquement mis à jour lorsque vous ajoutez des pages avant. Début de numérotation des pages Entrez le premier numéro de votre document ou de la première page de la section active. Par exemple, si vous voulez redémarrer la numérotation d’une section, entrez 1. Les autres pages de la section sont renumérotées en conséquence.
Préfixe de section Entrez le libellé de la section. Incluez les espaces ou la ponctuation que vous voulez faire apparaître entre le préfixe et le numéro de page (A–16 ou A 16, par exemple). Le préfixe est limité à huit caractères.
être utilisés dans les préfixes de section (voir la section « Insertion d’espaces » à la page 178). Style (Numérotation des pages) Choisissez un style de numérotation des pages dans le menu. Celui-ci s’appliquera à toutes les pages de cette section uniquement. Marque de section Saisissez un libellé qu’InDesign insérera sur la page à l’emplacement d’un caractère de marque de
Inclure le préfixe lors de la numérotation des pages Choisissez si vous voulez que le préfixe de section apparaisse lors de la création d’une table des matières ou d’un index ou lors de l’impression de pages incluant des numéros de page
Numérotation automatique des chapitres Sélectionnez cette option pour numéroter les chapitres consécutivement
Commencer la numérotation des chapitres à Spécifiez le numéro de départ de la numérotation des chapitres. Cette
Identique au document précédent du livre Utilise le même numéro de chapitre que le document précédent du livre.
Les en-têtes et pieds apparaissent en bas et en haut des pages de votre document et fournissent des informations importantes en arrière-plan. Ils peuvent inclure des éléments tels que les numéros de page, chapitre ou section, le titre, le nom de l’auteur, le nom de fichier du document et la date de création ou de modification. Vous pouvez ajouter la plupart de ces éléments en utilisant des variables de texte. InDesign inclut plusieurs variables prédéfinies, telles que Date de création et Nom de fichier. Vous pouvez modifier ces variables ou créer les vôtres. Par exemple, vous pouvez créer une variable qui s’affiche à la première utilisation d’un style de paragraphe titre dans un en-tête ou un pied. Après avoir créé ou modifié les variables requises, vous les assemblez sur le gabarit afin de créer l’en-tête ou le pied de page, puis vous appliquez le gabarit aux pages voulues dans le document.
1 Si nécessaire, créez ou modifiez les variables que vous voulez utiliser dans votre en-tête ou pied (voir la section
2 Placez-vous à l’emplacement où vous voulez ajouter l’en-tête ou le pied de page.
3 Créez un bloc de texte assez grand pour inclure toutes les informations d’en-tête ou de pied de page. Placez le bloc
4 Ajoutez du texte, des numéros de page et des variables, le cas échéant. 5 Appliquez le gabarit aux pages du document sur lesquelles vous voulez que l’en-tête ou le pied de page apparaisse. 6 Si nécessaire, créez des en-têtes et des pieds de page pour des gabarits supplémentaires.
« Gabarits » à la page 69 « Variables de texte » à la page 94 Vidéo En-têtes/Pieds de page
Vous pouvez facilement conserver les mentions de tourne pour les articles s’étalant sur plusieurs pages, comme par exemple une mention indiquant « Suite en page 42 ». Les numéros de page de mention de tourne permettent de mettre à jour automatiquement le numéro de la page contenant le prochain ou précédent bloc de texte lié d’un article lors du déplacement ou de la redistribution des blocs de texte liés de l’article. Généralement, le numéro de page de mention de tourne se trouve dans un bloc de texte différent de celui de l’article auquel il se rapporte. Il conserve ainsi sa position, même si le texte de l’article est réorganisé. Si vous insérez un caractère de numéro de page active dans la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer, la recherche porte aussi sur les numéros de page de mention de tourne. 1 A l’aide de l’outil Texte, faites glisser la souris pour créer un nouveau bloc de texte dans lequel la mention de tourne
2 A l’aide de l’outil Sélection
5 Pour empêcher qu’un article soit déplacé sans sa mention de tourne, sélectionnez les articles à l’aide de l’outil
6 Répétez cette procédure autant de fois que nécessaire.
Options de numérotation et de section. Désactivez ou modifiez le préfixe.
« Références croisées » à la page 575
Voir aussi « Création d’en-têtes et de pieds de page » à la page 92
Une variable de texte est un élément que vous insérez dans votre document et qui varie selon le contexte. Par exemple, la variable Dernier numéro de page affiche le numéro de page de la dernière page du document. Si vous ajoutez ou supprimez des pages, la variable est mise à jour en conséquence. InDesign inclut plusieurs variables de texte prédéfinies que vous pouvez insérer dans votre document. Vous pouvez modifier le format de ces variables ou créer vos propres variables. Certaines variables, telles que En-tête continu et Numéro de chapitre, sont spécialement utiles dans les gabarits pour assurer une mise en forme et une numérotation uniformes. D’autres variables, telles que Date de création et Nom de fichier, peuvent être ajoutées à la zone de lignebloc pour l’impression. Remarque : n’ajoutez pas trop de texte à une variable pour ne pas risquer d’obtenir du texte en excès ou du texte compressé. Le texte de variable ne saute pas d’une ligne à l’autre.
Les options disponibles pour créer une variable dépendent du type de variable que vous spécifiez. Par exemple, si vous choisissez le type Numéro de chapitre, vous pouvez spécifier le texte qui apparaîtra avant et après le numéro et vous pouvez spécifier le style de numérotation. Vous pouvez créer plusieurs variables différentes basées sur le même type de variable. Par exemple, vous pouvez créer une variable qui affiche « Chapitre 1 » et une autre qui affiche « Chap. 1 ».
1 Si vous voulez créer des variables de texte à utiliser dans tous les nouveaux documents que vous créez, fermez tous
2 Choisissez Texte > Variables de texte > Définir. 3 Cliquez sur Nouveau ou sélectionnez une variable existante, puis cliquez sur Modifier. 4 Entrez un nom de variable, tel que « Chapitre entier » ou « Titre continu ». 5 Dans le menu Texte, choisissez un type de variable, spécifiez les options associées, puis cliquez sur OK.
Texte avant / Texte après Pour tous les types de variable (sauf Texte personnalisé), vous pouvez spécifier un texte à
Style Pour tous les types de variables numérotées, vous pouvez spécifier le style de numérotation. Si [Style de numérotation actuel] est sélectionné, la variable utilise le même style de numérotation sélectionné dans la boîte de dialogue Options de numérotation et de section du document.
Numéro de chapitre Une variable créée avec le type Numéro de chapitre insère le numéro de chapitre. Vous pouvez insérer du texte avant ou après le numéro de chapitre et vous pouvez spécifier un style de numérotation. Si le numéro de chapitre du document est défini pour continuer à partir du document précédent dans le livre, vous devez peut-être mettre à jour la numérotation du livre afin que le numéro de chapitre approprié apparaisse. Date de création, Date de modification et Date de sortie Date de création insère la date ou l’heure à laquelle le document a été enregistré pour la première fois ; Date de modification insère la date ou l’heure à laquelle le document a été enregistré pour la dernière fois sur le disque ; Date de sortie insère la date ou l’heure à laquelle le document a été envoyé à l’impression, exporté au format PDF ou assemblé. Vous pouvez insérer du texte avant et après la date et vous pouvez modifier le format de date pour toutes les variables de date. Format de date Vous pouvez entrer des formats de date directement dans la zone Format de date ou vous pouvez choisir les options de format en cliquant sur le triangle à droite de la zone. Par exemple, le format de date « dd/MM/yy » s’affiche de la façon suivante : 22/12/07. En modifiant le format en « dd MMM. yyyy », la date s’affiche sous la forme 22 déc. 2007.
« 01 diciembre 2007 » ou en allemand « 01 Dezember 2007 ».
Inclure l’extension de fichier Permet d’inclure l’extension du nom de fichier.
Dernier numéro de page Le type Dernier numéro de page est utile pour ajouter le nombre de pages total d’un document aux en-têtes et pieds de page, selon le format « Page 3 sur 12 ». Dans ce cas, le chiffre 12 est généré par la variable Dernier numéro de page et est mis à jour lorsque des pages sont ajoutées ou supprimées. Vous pouvez insérer du texte avant ou après le dernier numéro de page et vous pouvez spécifier un style de numérotation. Dans le menu Etendue, choisissez une option pour déterminer si le dernier numéro de page de la section ou du document est utilisé.
En-tête continu (style de paragraphe ou de caractère) Par défaut, les variables En-tête continu insèrent la première et la dernière occurrence (sur la page) du texte auquel s’applique le style spécifié. Texte personnalisé Cette variable est couramment utilisée pour insérer un texte de substitution ou une chaîne de texte susceptible d’être modifiée rapidement. Par exemple, si vous travaillez sur un projet qui utilise un nom de code pour une société, vous pouvez créer une variable de texte personnalisé pour le nom de code. Une fois que vous êtes prêt à utiliser le nom réel de la société, vous n’avez plus qu’à modifier la variable pour mettre à jour toutes les occurrences. Pour insérer des caractères spéciaux dans une variable de texte, cliquez sur le triangle à droite de la zone de texte.
Par défaut, les variables En-tête continu insèrent la première occurrence (sur la page) du texte auquel le style spécifié est appliqué. 1 Si votre contenu n’a pas encore été mis en forme, créez et appliquez le style de paragraphe ou de caractère au texte
2 Choisissez Texte > Variables de texte > Définir. 3 Cliquez sur Nouveau, puis saisissez un nom pour la variable. 4 Dans le menu Texte, choisissez En-tête continu (style de paragraphe) ou En-tête continu (style de caractère). 5 Spécifiez les options suivantes : Style Choisissez le style à afficher dans votre en-tête ou pied de page. Emploi Décidez si vous voulez la première ou la dernière occurrence du style qui est appliqué sur la page. Premier sur
Supprimer la ponctuation de fin Si cette option est sélectionnée, la variable affiche le texte sans les signes de ponctuation de fin (point, deux-points, point d’exclamation et point d’interrogation). Modifier la casse Sélectionnez cette option pour modifier la casse du texte apparaissant dans l’en-tête ou le pied de
6 Cliquez sur OK, puis sur Terminer dans la boîte de dialogue Variables de texte.
1 Placez le point d’insertion à l’emplacement où vous souhaitez que la variable apparaisse. 2 Choisissez Texte > Variables de texte > Insérer une variable, puis choisissez la variable que vous voulez insérer.
Utilisez la boîte de dialogue Variables de texte pour supprimer, convertir et importer des variables de texte.
Si vous voulez supprimer une occurrence de variable de texte insérée dans un document, il vous suffit de sélectionner la variable et d’appuyer sur la touche Retour arrière ou Suppr. Vous pouvez également supprimer la variable. Dans ce cas, vous pouvez décider du mode de remplacement des variables insérées dans le document. 1 Choisissez Texte > Variables de texte > Définir. 2 Sélectionnez la variable, puis cliquez sur Supprimer. 3 Indiquez le mode de remplacement de la variable en spécifiant une autre variable, en convertissant les occurrences
• Pour convertir une seule occurrence, sélectionnez la variable de texte dans la fenêtre du document, puis choisissez Texte > Variables de texte > Convertir une variable en texte.
Variables de texte > Définir, sélectionnez la variable, puis cliquez sur l’option Convertir en texte.
1 Choisissez Texte > Variables de texte > Définir. 2 Cliquez sur Charger, puis cliquez deux fois sur le document contenant les variables que vous voulez importer. 3 Dans la boîte de dialogue Charger des variables de texte, assurez-vous qu’une coche apparaît en regard des variables
Utiliser la définition importée Ecrase la variable existante avec la variable chargée et applique ses nouveaux attributs à tout le texte du document actuel qui utilisait l’ancienne variable. Les définitions des variables chargées et existantes s’affichent au bas de la boîte de dialogue Charger des variables de texte pour faciliter la comparaison. Renommer automatiquement Renomme la variable chargée.
Utilisation de fichiers et modèles Flux de production recommandé pour les documents InDesign Vous pouvez améliorer vos performances et prévenir tout problème en mettant en œuvre un bon flux de production à utiliser avec Adobe InDesign. Pour conserver un système informatique en bon état Avec le temps, des modifications affectent les logiciels et le matériel de votre système et peuvent entraîner des pertes de performances et des défaillances. La défragmentation de disque dur, la suppression des anciennes versions de logiciels, la mise à jour des pilotes de périphériques, l’optimisation de la mémoire, l’exécution des utilitaires de protection contre les virus, ainsi que d’autres tâches de maintenance courantes sont autant d’opérations permettant d’éviter que vos applications et vos fichiers ne soient endommagés. L’exécution régulière de ces tâches garantit une ouverture, un affichage et une impression correcte des documents sous InDesign. Pour créer un dossier de projet Lorsque vous débutez un projet, déterminez de quels fichiers vous allez avoir besoin et comment vous allez les stocker. Pour éviter tout problème d’interruption des liens, il peut s’avérer judicieux de garder les fichiers liés dans le même dossier que le document. En effet, InDesign conserve les liens vers les fichiers que vous importez dans un document, mais si un lien est rompu, InDesign recherche le fichier dans le dossier du document. En stockant un document et ses fichiers liés dans un même dossier, vous facilitez leur transfert d’un ordinateur vers un autre. En stockant les fichiers dans un seul dossier, vous vous assurez également qu’InDesign trouve les éléments graphiques d’origine lors de l’impression d’un document. Si InDesign ne peut pas localiser un graphique lié, les modifications apportées au graphique d’origine seront perdues et l’impression du graphique risque d’être insuffisante voire impossible. Si votre projet comprend plusieurs documents (par exemple, les chapitres d’un livre), il pourra être utile de créer un dossier de projet contenant un dossier pour chaque document et ses fichiers liés. Pour utiliser un modèle Utilisez un modèle si vous créez fréquemment des projets similaires. Les modèles vous permettent de créer des documents homogènes plus rapidement tout en assurant la protection de votre fichier d’origine. Par exemple, si vous créez une lettre d’informations mensuelle, votre modèle pourrait inclure des repères de règle, des numéros de page, l’en-tête de votre lettre et les styles que vous voulez utiliser à chaque nouvelle parution (voir la section « Utilisation de modèles de document » à la page 104). Pour ouvrir les documents localement Avant d’ouvrir un document stocké sur un volume réseau ou sur un support amovible, copiez le document et tout graphique lié sur votre disque dur local. Le taux de transfert des données et les temps d’accès plus lents d’un volume réseau ou d’un support amovible peuvent occasionner la perte de données ou leur corruption, endommageant ainsi le document. Vous devez toutefois garder à l’esprit que vous risquez d’écraser le travail effectué par l’un de vos collègues lorsque vous copiez à nouveau les fichiers locaux sur le serveur de réseau.
Utilisation de documents
Pour résoudre les problèmes avant de convertir un fichier Généralement, des fichiers Adobe PageMaker ou QuarkXPress® endommagés le restent lorsqu’ils sont ouverts dans InDesign. Si une erreur ou un autre événement inopiné se produit avec un fichier converti, ouvrez le fichier d’origine dans l’application source et tentez de réparer tous les problèmes qu’il peut contenir. Pour enregistrer les documents Enregistrez vos documents fréquemment et créez des copies de sauvegarde des fichiers importants. Vous pouvez effacer toutes les données inutiles d’un document à l’aide de la commande Enregistrer sous. Lorsque vous utilisez la commande Enregistrer, InDesign ajoute de nouvelles informations au document mais ne supprime pas les données obsolètes, telles que les informations sur les graphiques supprimés, par exemple. Lorsque vous utilisez la commande Enregistrer sous, en revanche, InDesign réécrit totalement le document, y compris uniquement les informations sur les objets et les pages actuellement inclus dans le document. Un document ne contenant que les données nécessaires occupe moins d’espace sur le disque dur ; il s’ouvre, s’actualise et s’imprime plus rapidement. Pour adopter de bonnes méthodes de conception • Créez des styles dans un document. La création de styles sans document ouvert peut provoquer l’apparition de doublons de styles lorsque vous créez un nouveau document. Pour partager des styles entre plusieurs documents, enregistrez les styles et chargez-les.
(également appelées PostScript) et TrueType. Les polices corrompues ou incomplètes peuvent endommager un document InDesign ou produire une impression incorrecte. Il est donc conseillé d’utiliser des polices fiables créées par des éditeurs de renom. Si vous travaillez avec un prestataire de services, vérifiez quelles polices il utilise.
Pour utiliser les meilleurs formats graphiques • Utilisez le format de fichier graphique le plus approprié. Lorsque vous créez des graphiques pour un projet, pensez à la façon dont vous allez imprimer le document. Pour de meilleurs résultats, utilisez des fichiers Photoshop et Illustrator natifs plutôt que de les convertir au format EPS ou TIFF. Si vous envisagez de faire imprimer votre document auprès d’un prestataire, demandez-lui quels formats graphiques sont compatibles avec les périphériques de sortie qu’il utilise. Le prestataire de services d’impression peut également vous conseiller sur la meilleure résolution d’images à adopter.
Utilisation de documents
Pour vous assurer qu’un document s’imprimera correctement, vérifiez que tous les liens sont intacts et que toutes les polices sont disponibles. Un lien est rompu lorsque vous supprimez, déplacez ou renommez le fichier graphique d’origine. Utilisez les fonctions Contrôle en amont et Assemblage avant d’envoyer vos fichiers à votre prestataire de services d’impression. Pour consulter une vidéo sur la création de documents, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0068_fr.
La méthode d’ouverture de documents et de modèles est généralement identique à celle utilisée dans les autres applications. Lorsque vous ouvrez un modèle InDesign, celui-ci s’ouvre par défaut sous la forme d’un nouveau document sans titre. Sous Windows, les extensions des différents types de fichiers sont les suivantes : .indd pour les documents, .indt pour les modèles, .idms pour les extraits, .indl pour les bibliothèques, .inx pour les fichiers d’échange, .idml pour les fichiers de balisage et .indb pour les livres. Vous pouvez également utiliser la commande Fichier > Ouvrir pour consulter les fichiers créés à l’aide de versions antérieures d’InDesign, les fichiers InDesign Interchange (.inx), les fichiers InDesign Markup (.idml), les fichiers Adobe PageMaker 6.0 et versions ultérieures, les fichiers QuarkXPress 3.3 et 4.1, ainsi que les fichiers QuarkXPress Passport 4.1. De plus, il est probable que d’autres fournisseurs de logiciels proposent des modules externes reconnaissant divers autres formats de fichiers. Pour afficher des informations supplémentaires à propos d’un document InDesign, choisissez la commande Aide > A propos d’InDesign tout en maintenant la touche Ctrl enfoncée (Windows) ou choisissez la commande InDesign > A propos d’InDesign tout en maintenant la touche Commande enfoncée (Mac OS).
« Enregistrement au format de versions précédentes d’InDesign » à la page 107 « Ajout de documents à un livre » à la page 310 « A propos des profils colorimétriques manquants et non concordants » à la page 519 « Césure et dictionnaires » à la page 182
1 Choisissez Fichier > Ouvrir et sélectionnez un ou plusieurs documents. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes, puis cliquez sur Ouvrir :
• Sélectionnez Copie (Windows) ou Ouvrir copie (Mac OS) pour ouvrir une copie de document ou de modèle. 3 Si un message vous signale que les paramètres de couleurs du document ne correspondent pas à ceux de
Remarque : les messages d’avertissement relatifs aux couleurs sont désactivés par défaut, mais vous pouvez afficher les avertissements si vous modifiez les paramètres par défaut dans la boîte de dialogue Couleurs (Edition > Couleurs). 4 Si un message d’avertissement vous informe que le document présente des polices manquantes, utilisez l’une des
Pour plus de détails sur la recherche des polices manquantes, reportez-vous à la section « Recherche et remplacement de polices » à la page 170. 5 Si un message vous signale que le document contient des liens manquants ou modifiés, effectuez toutes les
❖ Choisissez la commande Fichier > Ouvrir une composition récente, puis sélectionnez l’un des derniers documents
Pour préciser le nombre de documents récents à afficher, choisissez la commande Edition > Préférences > Gestion des fichiers (Windows) ou InDesign > Préférences > Gestion des fichiers, puis donnez une valeur à l’option Nombre d’éléments récents à afficher. Le nombre maximum est 30.
Lorsque vous ouvrez un document, il se peut qu’un message d’avertissement vous demande si vous souhaitez utiliser la liste des exceptions de césure du dictionnaire personnel ou celle du document. Une liste des césures d’exception inclut les mots qui ont été ajoutés au dictionnaire utilisateur lors de l’utilisation du document. Si vous savez précisément quelle liste vous devez utiliser, cliquez sur le bouton correspondant. Si vous hésitez, cliquez sur l’un des deux boutons et choisissez la commande Edition > Orthographe > Dictionnaire pour consulter la liste des exceptions de césure. Si nécessaire, choisissez ensuite la commande Edition > Préférences > Dictionnaire (Windows) ou InDesign > Préférences > Dictionnaire (Mac OS) pour réinitialiser la liste des exceptions de césure utilisée pour la composition (voir la section « Césure et dictionnaires » à la page 182).
❖ Pour convertir des documents créés dans des versions antérieures d’InDesign au format de la version actuelle,
Tenez compte des points suivants :
InDesign CS4, même si la bibliothèque est verrouillée. Vous devez spécifier un nom et un emplacement pour les fichiers de bibliothèque convertis ; la convention de nom de fichier par défaut est nom de fichier-X.indl.
Si vous avez des problèmes avec un document créé dans une version précédente d’InDesign, enregistrez-le au format InDesign Markup (IDML) à l’aide de la boîte de dialogue d’exportation d’InDesign CS4. Ouvrez le fichier IDML et enregistrez-le sous forme de document InDesign.
Utilisation de documents
Pour consulter une vidéo sur l’utilisation d’Adobe Bridge, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid4011_bri_fr.
Vidéo de présentation d’Adobe Bridge « Réutilisation des graphiques et du texte » à la page 400
Adobe Version Cue® CS4 est un système de gestion de fichiers qui permet aux concepteurs de travailler en collaboration sur un jeu de fichiers communs sans avoir à modifier leur flux de production de manière significative. Les concepteurs peuvent manipuler et assurer le suivi de plusieurs versions des fichiers en toute simplicité. Version Cue permet d’effectuer les tâches suivantes :
• Collaboration au sein d’un groupe de travail (partage de fichiers, contrôle de version, possibilité d’archiver des fichiers et de les extraire)
• Affichage sous la forme de vignettes afin de pouvoir parcourir et visualiser les fichiers • Organisation des données de manière à visualiser ou effectuer des recherches sur des informations de fichier, des commentaires de version et des états de fichier
Utilisation de documents
Version Cue Version Cue comprend deux parties : le serveur Adobe Version Cue et Adobe Drive. Serveur Adobe Version Cue Le serveur Version Cue peut être installé localement ou sur un ordinateur dédié. Il héberge les projets Version Cue et les révisions PDF. Adobe Drive Adobe Drive se connecte aux serveurs Version Cue CS4. Le serveur avec lequel la connexion est établie
(Mac OS) et d’autres boîtes de dialogue, comme celles permettant d’ouvrir et d’enregistrer les fichiers. Remarque : l’option Utiliser la boîte de dialogue Adobe disponible dans les applications CS3 n’existe pas dans les applications CS4. Cette option n’est plus nécessaire. Lorsque vous êtes connecté au serveur Version Cue au moyen d’Adobe Drive, vous pouvez afficher les fichiers de projet à partir de n’importe quelle application. Version Cue est livré avec Adobe Creative Suite 4 Design Premium et Standard, Adobe Creative Suite 4 Web Premium et Standard, Adobe Creative Suite 4 Production Premium et Adobe Creative Suite 4 Master Collection. Version Cue permet d’enregistrer différentes versions et de gérer des illustrations dans toutes les applications, mais il inclut des fonctionnalités améliorées pour les produits suivants : Adobe Flash®, Adobe Illustrator®, Adobe InDesign®, Adobe InCopy®, Adobe Photoshop® et Adobe Bridge. Lorsque vous utilisez l’un de ces produits pour modifier un fichier stocké sur un serveur Version Cue, l’extraction du fichier est automatique. Dans toutes les autres applications, vous devez archiver ou extraire les fichiers manuellement à l’aide du menu contextuel. Une vidéo de présentation de Version Cue est disponible à l’adresse suivante : www.adobe.com/go/lrvid4038_vc_fr. Pour obtenir l’aide relative à Version Cue, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/learn_vc_versioncuehelp_cs4_fr.
Aide de Version Cue Vidéo sur Version Cue
Un modèle peut être utilisé comme point de départ pour la création de documents standard. En effet, un modèle peut contenir des paramètres de mise en page, des graphiques et du texte prédéfinis. Par exemple, si vous concevez un magazine mensuel, vous pouvez créer un modèle contenant les paramètres de mise en page d’un numéro standard, à savoir des repères de règle, des grilles, des gabarits, des nuances et des styles personnalisés, des blocs de substitution, des calques, ainsi que des graphiques ou du texte standard. Il vous suffit, lors de chaque mise à jour mensuelle, d’ouvrir le modèle et d’y importer le nouveau contenu. La procédure de création d’un modèle est identique à celle d’un document standard. La seule différence réside au niveau de l’enregistrement du document. Lorsque vous préparez un modèle à l’usage d’autres personnes, il peut être utile d’ajouter un calque contenant des instructions sur le modèle, de masquer ou de supprimer le calque avant d’imprimer le document (voir la section « Calques » à la page 77).
1 Choisissez Fichier > Enregistrer sous et indiquez un emplacement et un nom de fichier. 2 Choisissez l’option Modèle InDesign CS4 dans la zone Type (Windows) ou Format (Mac OS), puis cliquez sur le
3 Sélectionnez Normal (Windows) ou Ouvrir normal (Mac OS), puis cliquez sur Ouvrir. 4 Enregistrez le nouveau document sous son propre nom.
1 Choisissez Fichier > Nouveau > Document à partir d’un modèle. 2 Dans Adobe Bridge, cliquez deux fois sur le dossier (Catalogues par exemple) contenant le type de modèle que vous
3 Cliquez deux fois sur le fichier de modèle.
1 Choisissez Fichier > Ouvrir. 2 Recherchez et sélectionnez un modèle. 3 Sélectionnez Original (Windows) ou Ouvrir original (Mac OS), puis cliquez sur Ouvrir.
Enregistrement de documents La commande d’enregistrement permet d’enregistrer la composition active et les références aux fichiers source, mais aussi de garder en mémoire la page en cours d’affichage et le niveau de zoom. Enregistrez régulièrement vos documents pour éviter toute perte de données. Vous pouvez enregistrer un fichier sous trois formes différentes :
• Copie de document. Dans ce cas, vous créez une copie du document sous un nom différent, sans désactiver le document original.
L’enregistrement d’un document permet également de mettre à jour les métadonnées (informations sur les fichiers) d’un document InDesign. Ces métadonnées comprennent un aperçu sous forme de vignette, les polices utilisées dans le document, les nuances de couleur et toutes les métadonnées de la boîte de dialogue Infos, facilitant ainsi les recherches. Supposons que vous souhaitez rechercher tous les documents utilisant une couleur particulière. Vous pouvez afficher ces métadonnées dans Bridge et dans la zone Avancé de la boîte de dialogue Informations. Vous pouvez décider de la mise à jour de l’aperçu lorsque vous effectuez un enregistrement en le spécifiant dans vos préférences. Les autres métadonnées (polices, couleurs et liens) sont mises à jour lorsque vous enregistrez un document. Les commandes Enregistrer, Enregistrer sous et Enregistrer une copie enregistrent les fichiers au format de fichier InDesign. Pour plus de détails sur l’enregistrement de documents dans d’autres formats de fichier, reportez-vous à l’index.
Utilisation de documents
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
L’utilisation de la commande Enregistrer sous peut réduire la taille du fichier.
• Pour enregistrer tous les documents ouverts sous leur nom de fichier et à leur emplacement, appuyez sur les touches Ctrl+Alt+Maj+S (Windows) ou Commande+Option+Maj+S (Mac OS).
Important : pour éviter tout problème, n’utilisez pas de caractères réservés ayant des significations spéciales dans certains systèmes d’exploitation. Par exemple, évitez d’insérer dans les noms de fichier des espaces, des tabulations, des points ou les caractères / \ : ; * ? < > , $ %. De même, veillez à ne pas utiliser de caractères accentués (ü, ñ ou é par exemple), même lorsque vous utilisez une version non anglophone de InDesign. Des problèmes sont susceptibles de se produire si le fichier est ouvert sur une autre plate-forme.
« Utilisation de modèles de document » à la page 104 « Récupération de documents » à la page 41 « Impression de vignettes » à la page 643
Les aperçus des documents et des modèles sous forme de vignettes facilitent l’identification de ces fichiers dans les boîtes de dialogue de fichiers d’Adobe Bridge et de Version Cue. Un aperçu est créé lorsque vous enregistrez un document ou un modèle. Un aperçu de document comprend une image JPEG de la première planche uniquement ; un aperçu de modèle comprend une image JPEG de chaque page du modèle. Vous pouvez modifier la taille de l’aperçu selon vos besoins. Par exemple, le format Très grand 1024x1024 vous permet de parcourir rapidement le contenu d’une page à une haute résolution avant d’ouvrir le fichier. Vous pouvez activer cette option dans les boîtes de dialogues Préférences ou Enregistrer sous. Etant donné que les aperçus augmentent à la fois la taille du fichier et le temps d’enregistrement du document, il est préférable d’activer cette option de façon ponctuelle dans la boîte de dialogue Enregistrer sous. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Remarque : en sélectionnant l’option d’aperçu dans la boîte de dialogue Enregistrer sous, vous sélectionnez également cette option dans la boîte de dialogue Préférences, selon les paramètres par défaut de taille de l’aperçu.
Utilisation de documents
Pour ouvrir un document InDesign CS4 dans InDesign CS3, vous devez effectuer deux opérations. Tout d’abord, à partir d’InDesign CS4, exportez le document au format InDesign CS3 Interchange (INX). Ensuite, vérifiez que l’ordinateur exécutant InDesign CS3 possède les modules externes appropriés afin de pouvoir ouvrir le fichier INX exporté. L’utilisateur exécutant InDesign CS3 peut obtenir les modules externes de compatibilité en choisissant la commande Aide > Mises à jour et en suivant les invites. Les modules externes peuvent également être installés à partir du site Web d’Adobe : choisissez le menu Support > Mises à niveau sur le site Web d’Adobe, puis rendez-vous à la page des téléchargements InDesign. Remarque : le contenu créé à l’aide de fonctionnalités spécifiques d’InDesign CS4 peut être modifié ou ignoré lorsque vous ouvrez le document dans InDesign CS3. 1 Choisissez la commande Fichier > Exporter. 2 Dans le menu Type de fichier (Windows) ou Format (Mac OS), choisissez l’option InDesign CS3 Interchange. 3 Cliquez sur Enregistrer.
Remarque : pour ouvrir un document InDesign CS4 dans InDesign CS2 ou une version précédente, vous devez ouvrir le fichier INX exporté dans InDesign CS3, l’exporter à nouveau au format INX, puis ouvrir le fichier exporté dans InDesign CS2.
Les métadonnées désignent un ensemble d’informations standardisées relatives à un fichier, telles que le nom de l’auteur, la résolution, l’espace colorimétrique, les informations de copyright et autres mots-clés qui lui sont appliqués. Vous pouvez utiliser les métadonnées pour rationaliser votre flux de production et organiser vos fichiers.
Utilisation de documents
Dans la plupart des cas, les métadonnées sont stockées dans le fichier. Lorsqu’il n’est pas possible de stocker les informations dans le fichier, les métadonnées sont conservées dans un fichier distinct appelé fichier annexe. XMP facilite les échanges de métadonnées entre les applications Adobe et les flux d’édition. Par exemple, il est possible d’enregistrer les métadonnées d’un fichier comme modèle et d’importer ensuite ces métadonnées dans d’autres fichiers. Les métadonnées stockées dans d’autres formats, tels que Exif, IPTC (IIM), GPS ou TIFF, sont synchronisées et décrites à l’aide de la norme XMP pour faciliter leur visualisation et leur gestion. D’autres applications et fonctions (par exemple Adobe Version Cue) utilisent également la norme XMP pour communiquer et stocker des informations telles que les commentaires de version, sur lesquelles vous pouvez effectuer une recherche avec Adobe Bridge. Dans la plupart des cas, les métadonnées sont conservées dans leur fichier, même si le format du fichier change (de PSD à JPG, par exemple). Les métadonnées sont également conservées lorsque les fichiers sont importés dans un document ou projet Adobe. Vous pouvez utiliser le kit de développement logiciel XMP (SDK XMP) pour personnaliser la création, le traitement et l’échange des métadonnées. Vous pouvez par exemple utiliser le SDK XMP pour ajouter des champs à la boîte de dialogue Informations. Pour plus de détails sur XMP et le kit SDK XMP, rendez-vous sur le site Web d’Adobe. Utilisation des métadonnées dans Adobe Bridge et dans les composants Adobe Creative Suite Parmi les puissantes fonctions d’Adobe Bridge qui vous permettent d’organiser, de rechercher et de suivre vos fichiers et versions, beaucoup dépendent des métadonnées XMP contenues dans les fichiers. Adobe Bridge permet de travailler avec les métadonnées de deux manières différentes : avec le panneau Métadonnées et avec la boîte de dialogue Informations (InDesign) ou Informations sur le fichier (InCopy). Dans certains cas, il peut y avoir plusieurs vues pour la même propriété de métadonnées. Une propriété peut, par exemple, être étiquetée Auteur dans une vue et Créateur dans une autre, mais faire référence à la même propriété sousjacente. Même si vous personnalisez ces vues pour des flux de production particuliers, elles restent normalisées via XMP.
La boîte de dialogue Informations présente les données de l’appareil photo, les propriétés du fichier, un historique des modifications, le copyright et d’autres détails concernant l’auteur du document actuel. Elle contient également des panneaux de métadonnées personnalisés. Vous pouvez ajouter des métadonnées aux fichiers directement à partir de la boîte de dialogue Informations. Les informations que vous saisissez dans un champ remplacent les métadonnées existantes et ce, dans tous les fichiers sélectionnés. 1 Choisissez la commande Fichier > Informations (InDesign) ou Fichier > Informations sur le fichier (InCopy). 2 Sélectionnez l’une des propositions suivantes dans les onglets situés en haut de la boîte de dialogue :
Description Vous permet de saisir les informations de document sur le fichier, telles que le titre du document, son
Entrez ensuite le nom du détenteur du copyright, le texte de l’avis et l’URL de la personne ou de la société propriétaire du copyright.
Utilisation de documents
Données de l’appareil photo Comporte deux zones : Données de l’appareil photo 1 affiche des informations en lecture
Données vidéo Répertorie des informations sur le fichier vidéo, y compris la largeur et la hauteur de l’image vidéo, et
Données audio Permet de saisir des informations sur le fichier audio, notamment le titre, l’artiste, le débit et les réglages de boucle. SWF mobile Présente des informations relatives aux fichiers multimédia mobiles, notamment leur titre, auteur,
Catégories Vous permet d’entrer des informations basées sur les catégories Associated Press. Origine Vous permet de saisir les informations de fichier utiles pour les nouvelles sorties, y compris la date et le lieu
DICOM Répertorie le patient, l’étude, les séries et les informations sur l’équipement pour les images DICOM. Historique Affiche les informations du journal d’historique pour les images enregistrées avec Photoshop. L’onglet Historique apparaît uniquement si Adobe Photoshop est installé. Illustrator Vous permet d’appliquer un profil de document pour l’impression, la publication sur le Web ou la sortie
Avancées Affiche les champs et structures de stockage des métadonnées en utilisant les espaces de nom et les propriétés, telles que le format de fichier et les propriétés XMP, Exif et PDF. Données brutes Affiche des informations de texte XMP concernant le fichier.
4 Cliquez sur OK pour appliquer les modifications.
1 Choisissez la commande Fichier > Informations (InDesign) ou Fichier > Informations sur le fichier (InCopy). 2 Choisissez la commande Exporter dans le menu déroulant situé en bas de la boîte de dialogue. 3 Saisissez un nom de fichier, choisissez un emplacement pour le fichier, et cliquez sur le bouton Enregistrer.
Utilisation de documents
❖ Choisissez la commande Fichier > Informations (InDesign) ou Fichier > Informations sur le fichier (InCopy).
Ouverture de fichiers QuarkXPress dans InDesign InDesign peut convertir des fichiers de document et de modèle à partir de QuarkXPress 3.3 ou 4.1x. InDesign peut également convertir des fichiers de document et de modèle à partir de fichiers QuarkXPress Passport 4.1x multilingues. Il n’est donc plus nécessaire d’enregistrer d’abord ces fichiers en fichiers unilingues (pour convertir des documents créés dans QuarkXPress 5.0 ou toute version ultérieure, ouvrez les documents dans QuarkXPress et enregistrez-les au format 4.0). Pour plus de détails, reportez-vous au Guide de conversion QuarkXPress (PDF), à l’adresse www.adobe.com/go/learn_quarkconv_fr.
1 Vérifiez que le fichier original est bien fermé. 2 Pour conserver impérativement tous les liens, copiez tous les fichiers liés dans le même dossier que la composition
3 Dans InDesign, choisissez Fichier > Ouvrir. 4 Sous Windows, choisissez QuarkXPress (3.3 - 4.1) ou QuarkXPress (4.1x) dans le menu Type. 5 Sélectionnez un fichier et cliquez sur Ouvrir.
6 Si une boîte de dialogue d’avertissement s’affiche, utilisez l’une des méthodes suivantes :
7 Pour convertir avec davantage de précision l’habillage appliqué dans QuarkXPress, procédez comme suit dans
(IDML) à l’aide de la boîte de dialogue d’exportation. Ouvrez le fichier IDML et enregistrez-le sous forme de document InDesign.
1 Ouvrez le modèle dans InDesign. 2 Choisissez Fichier > Enregistrer sous et indiquez un emplacement et un nom de fichier. 3 Choisissez l’option Modèle InDesign CS4 dans le menu Type (Windows) ou Format (Mac OS), puis cliquez sur le
Lorsque vous ouvrez un fichier QuarkXPress, InDesign convertit les données d’origine du fichier en données InDesign natives :
Pour convertir avec précision l’habillage appliqué dans QuarkXPress, sélectionnez l’option L’habillage n’agit que sur le texte au-dessous dans la zone Composition de la boîte de dialogue Préférences.
• Etant donné que QuarkXPress utilise des profils colorimétriques différents, ceux-ci sont ignorés dans InDesign. • Les liens des graphiques et du texte sont conservés et s’affichent dans le panneau Liens. Remarque : les graphiques incorporés (ceux ajoutés au document original à l’aide de la commande Coller) ne sont pas convertis. Pour plus de détails sur les graphiques incorporés, reportez-vous à la section « A propos des liens et des graphiques incorporés » à la page 393. InDesign ne prend pas en charge OLE et les Quark XTension. Par conséquent, si vous ouvrez un fichier contenant des graphiques à ces formats, les graphiques seront absents du document InDesign. Si la conversion d’un document QuarkXPress échoue, parcourez le document original, supprimez tous les objets créés par le biais d’une Quark XTension, enregistrez le document et recommencez la conversion.
• Tous les objets de gabarits et les repères QuarkXPress sont disposés sur les gabarits InDesign correspondants. • Les objets groupés restent groupés sauf si le groupe comprend des éléments non imprimables. • Toutes les lignes et tous les contours (y compris les filets de paragraphe) sont convertis selon le style de contour le plus proche. Les contours et les tirets personnalisés sont convertis en contours et tirets personnalisés dans InDesign. Une couleur est convertie dans la couleur InDesign correspondante, sauf dans les cas suivants :
Utilisation de documents
InDesign peut convertir des fichiers de document et de modèle à partir d’Adobe PageMaker 6.0 ou version ultérieure. Lorsque vous ouvrez un fichier PageMaker, InDesign convertit les données d’origine du fichier en données InDesign natives. Les fichiers InDesign sont enregistrés avec une extension de nom de fichier .indd. Pour plus de détails, reportez-vous au Guide de conversion PageMaker (PDF) à l’adresse www.adobe.com/go/learn_pmconv_fr. Avant d’ouvrir le document dans InDesign, procédez comme suit :
• Rétablissez les liens graphiques rompus dans la composition PageMaker. • Si la conversion d’un long document PageMaker vous pose problème, scindez-le en plusieurs parties, puis convertissez celles-ci afin d’identifier les problèmes éventuels. Si vous ne parvenez pas à ouvrir un document PageMaker endommagé dans PageMaker, essayez de l’ouvrir dans InDesign. InDesign peut récupérer la majorité des documents que PageMaker ne peut pas ouvrir.
Guide de conversion PageMaker
1 Vérifiez que le fichier original est bien fermé. 2 Dans InDesign, choisissez Fichier > Ouvrir. 3 Sous Windows, choisissez PageMaker (6.0-7.0) dans le menu Type. 4 Sélectionnez un fichier et cliquez sur Ouvrir.
5 Si une boîte de dialogue d’avertissement s’affiche, utilisez l’une des méthodes suivantes :
1 Ouvrez le modèle dans InDesign. 2 Choisissez Fichier > Enregistrer sous et indiquez un emplacement et un nom de fichier. 3 Choisissez l’option Modèle InDesign CS4 dans le menu Type (Windows) ou Format (Mac OS), puis cliquez sur le
Tenez compte des points suivants :
• Tous les éléments de la table de montage de PageMaker apparaissent sur la table de montage de la première planche dans un document InDesign.
Problèmes de conversion du texte et des tableaux Tenez compte des points suivants :
• Les tableaux créés dans PageMaker sont convertis en tableaux InDesign. • Les styles sont convertis en styles InDesign. L’option [Aucun style] dans PageMaker équivaut à l’option [Aucun style de paragraphe] dans InDesign. Toutefois, l’option [Aucun style de paragraphe] reprend les attributs d’un style nommé si ce style a été sélectionné avant toute saisie de texte dans la composition PageMaker.
• Le texte ombré est converti en texte normal. Le texte vectoriel est converti en texte doté d’un contour de 0,25 pouce et d’un fond Papier.
Utilisation de documents
Tenez compte des points suivants :
Problèmes de liaison et d’incorporation Tenez compte des points suivants :
• Si InDesign ne parvient pas à localiser le lien source d’un graphique, un message d’avertissement vous invite à réparer le lien dans PageMaker.
Problèmes de conversion des couleurs et des recouvrements Tenez compte des points suivants :
Nuancier, elle y est ajoutée lors de la conversion. Si un objet teinté est sélectionné, la couleur parent est sélectionnée dans le panneau Nuancier et la valeur de teinte correspondante apparaît dans le menu déroulant.
Préférences de recouvrement de PageMaker, InDesign reprend ce paramètre, mais l’option Surimpression du fond ou Surimpression du contour est désélectionnée dans le panneau Options d’objet. Pour plus de détails sur d’autres aspects de la conversion dans PageMaker, consultez les documents de support technique disponibles sur le site Web Adobe.
Utilisation de documents
InDesign peut exporter du texte dans plusieurs formats de fichiers qui sont répertoriés dans la boîte de dialogue d’exportation. Les formats répertoriés sont utilisés par d’autres applications et peuvent conserver de nombreuses caractéristiques de texte, comme les retraits et les tabulations définis dans votre document. Vous pouvez enregistrer en tant qu’extraits de texte ou de code des sections de texte et des éléments de mise en page que vous utilisez souvent. 1 A l’aide de l’outil Texte
3 Spécifiez un nom et un emplacement pour l’article exporté et sélectionnez un format de fichier texte sous Type
4 Cliquez sur le bouton Enregistrer pour exporter l’article au format sélectionné.
« Exportation au format PDF » à la page 538 « Utilisation des extraits » à la page 401
JPEG d’une page, d’une planche ou d’un objet sélectionné. 1 Si vous le souhaitez, sélectionnez un objet à exporter. Il n’est pas nécessaire d’effectuer une sélection pour exporter
2 Choisissez Fichier > Exporter. 3 Spécifiez un emplacement et un nom de fichier. 4 Dans la zone Type (Windows) ou Format (Mac OS) de la boîte de dialogue Enregistrer sous, choisissez
La boîte de dialogue Exporter au format JPEG s’affiche. 5 Dans la section Exporter, utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Activez Planches pour exporter les pages en vis-à-vis d’une planche dans un seul fichier JPEG. Désactivez cette option pour exporter chaque page d’une planche sous forme de fichier JPEG distinct. 6 Les options du menu Qualité d’image permettent de choisir entre une compression élevée (et une taille de fichier
Réduite, mais la taille du fichier sera réduite avec différents niveaux de compression. 7 Vous avez le choix entre les options de mise en forme suivantes :
8 Sélectionnez ou saisissez la résolution de l’image JPEG exportée, puis cliquez sur Exporter.
Dreamweaver (XHTML) Exportez une sélection ou la totalité du document vers un document HTML de base sans mise
Copier-coller Copiez le texte et les images du document InDesign et collez-les dans votre éditeur HTML. XML Pour une meilleure réutilisation de vos flux de production, exportez le contenu à partir du format XML
Adobe PDF Exportez un document au format Adobe PDF, puis publiez ce fichier PDF sur le Web. Vous pouvez y
Digital Editions Exportez un document ou un livre sous forme d’eBook XHTML dont le contenu peut être redistribué, compatible avec le logiciel Adobe Digital Editions. Flash (SWF ou XFL) Exportez votre document au format SWF afin qu’il soit directement lisible dans Flash Player ou au format XFL pour pouvoir l’éditer dans Adobe Flash Professional.
« Outils XML » à la page 598 « Documents dynamiques » à la page 563
Utilisation de documents
L’exportation au format XHTML constitue un moyen simple de mettre en forme vos contenus InDesign pour le Web. Lorsque vous exportez ces contenus en XHTML, vous pouvez contrôler la façon dont les images sont exportées, mais la mise en forme du texte est préservée. Toutefois, InDesign conserve les noms des styles de paragraphe, caractère, objet, tableau et cellule appliqués aux contenus exportés en marquant les contenus XHTML avec les classes de styles CSS du même nom. Grâce à Adobe Dreamweaver ou tout autre éditeur HTML compatible avec les feuilles de style en cascade (CSS), vous pouvez sans difficulté appliquer des mises en forme et des mises en page aux contenus. Eléments exportés InDesign exporte tous les articles, les graphiques liés et incorporés, les séquences vidéo SWF, les
Eléments non exportés InDesign n’exporte pas les objets que vous avez dessinés (rectangles, ellipses et polygones), les
(notamment les images copiées d’Illustrator), le texte vectorisé, les balises XML, les livres, les signets, les glyphlets SING, les transitions de page, les marques d’index, les objets de la table de montage qui ne sont pas sélectionnés et qui ne touchent pas la page ni les éléments du gabarit (sauf s’ils ont été remplacés ou sélectionnés avant l’exportation). Ordre de lecture InDesign détermine l’ordre de lecture des objets de page en analysant celle-ci de gauche à droite et
éléments de conception sont susceptibles de ne pas apparaître dans l’ordre de lecture souhaité. Réorganisez et mettez en forme le contenu à l’aide de Dreamweaver. Avant l’exportation, vous pouvez tenter d’influencer l’ordre de lecture en regroupant les objets associés. Les objets regroupés dans InDesign sont également regroupés dans le format XHTML. 1 Si vous n’exportez pas le document dans sa totalité, sélectionnez les blocs de texte, les plages de texte, les cellules de
2 Choisissez la commande Fichier > Exporter pour Dreamweaver. 3 Spécifiez le nom et l’emplacement du document HTML, puis cliquez sur le bouton Enregistrer. 4 Dans la boîte de dialogue Options d’exportation XHTML, spécifiez les options désirées dans les zones Général,
Un document portant le nom spécifié et une extension .html (« bulletin.html », par exemple) est créé ; le cas échéant, un sous-dossier d’images Web (« images-bulletins-Web ») est enregistré au même endroit.
Options générales La zone Général inclut les options suivantes. Exporter Vous pouvez choisir d’exporter le document entier ou seulement certains éléments sélectionnés. Si un bloc
Si le document est sélectionné, tous les éléments de page de toutes les planches sont exportés, sauf les éléments de gabarit qui n’ont pas été substitués et les éléments de page sur des calques invisibles. Les balises XML, ainsi que les index et tables des matières générés sont également ignorés.
Utilisation de documents
Nombres Détermine la façon dont les nombres sont convertis dans le fichier HTML.
• Convertir en texte Convertit les listes numérotées en paragraphes commençant par le numéro en cours du paragraphe au format texte. Options d’image Dans le menu Copier images, déterminez comment les images sont exportées en HTML. Original Exporte l’image originale vers le sous-dossier d’images Web. Lorsque cette option est sélectionnée, toutes les autres options sont grisées. Optimisées Vous permet de modifier les paramètres pour déterminer comme l’image est exportée.
• Conversion d’image Choisissez GIF ou JPEG pour la conversion des images optimisées dans votre document. Choisissez Automatique pour laisser InDesign décider quel format utiliser dans chaque instance. • Options GIF (Palette) Cette option vous permet de contrôler la façon dont InDesign gère les couleurs lors de l’optimisation des fichiers GIF. Le format GIF utilise une palette de couleurs limitée, qui ne doit pas contenir plus de 256 couleurs. Choisissez l’option Adaptative (sans simulation) pour créer une palette utilisant un échantillon représentatif de couleurs dans l’illustration sans aucun tramage (mélange de petits points de couleurs pour simuler des couleurs supplémentaires). Choisissez l’option Web pour créer une palette de couleurs Web (ces couleurs sont un sousensemble des couleurs système Windows et Mac OS). Choisissez l’option Système (Win) ou Système (Mac) pour créer une palette à partir de la palette de couleurs intégrée de Windows ou de Mac OS. Ce choix peut donner des résultats inattendus.
• Options JPEG (Méthode de mise en forme) Permet de déterminer la vitesse d’affichage des images JPEG à l’ouverture du fichier contenant l’image sur le Web. Choisissez Progressive pour que les images JPEG s’affichent graduellement avec de plus en plus de détails à mesure qu’elles sont téléchargées. Les fichiers créés avec cette option sont légèrement plus volumineux et utilisent davantage de RAM à l’affichage. Choisissez Ligne de base pour que le fichier JPEG s’affiche une fois téléchargé seulement ; une marque de réservation apparaît à la place de l’image avant son affichage. Lier au chemin du serveur Plutôt que d’exporter des images vers un sous-dossier, cette option vous permet de saisir
Utilisation de documents
Options avancées Utilisez la zone Avancé pour définir les options CSS et JavaScript. Options CSS Les feuilles de style CSS (Cascading Style Sheets) rassemblent des règles de mises en forme qui définissent l’apparence du contenu dans une page Web. Lorsque vous utilisez CSS pour mettre en forme une page, vous séparez le contenu de sa présentation. Le contenu de votre page (c’est-à-dire le code HTML) réside dans le fichier HTML, tandis que les règles CSS définissant la présentation du code résident dans un autre fichier (fichier CSS externe) ou dans le document HTML (généralement dans la section de titre). Par exemple, vous pouvez spécifier différentes tailles de polices pour le texte sélectionné et vous pouvez utiliser CSS pour contrôler la mise en forme et le positionnement des éléments de niveau bloc dans une page Web.
Options JavaScript Sélectionnez Lier au JavaScript externe pour exécuter un script JavaScript lorsque la page HTML
Vous pouvez exporter un document ou un livre sous forme d’eBook dont le contenu peut être redistribué, compatible avec le logiciel Adobe Digital Editions. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour exporter un livre complet, ouvrez-le, puis choisissez la commande Exporter le livre pour Digital Editions dans le menu du panneau Livre. 2 Précisez un nom de fichier et un emplacement, puis cliquez sur le bouton Enregistrer. 3 Dans la boîte de dialogue Options d’exportation Digital Editions, spécifiez les options désirées dans les
InDesign crée un seul fichier .epub incluant le contenu XHTML. Le fichier exporté comprend une image miniature JPEG de la première page du document spécifié (ou du document de source des styles si un livre a été sélectionné). Cette miniature est utilisée pour décrire le livre dans la bibliothèque du logiciel Digital Editions Reader. Pour visualiser le fichier, vous devez disposer de l’application Digital Editions que vous pouvez télécharger gratuitement à partir du site Web d’Adobe. En fait, le fichier .epub s’apparente à un fichier .zip. Pour visualiser et modifier le contenu du fichier .epub, remplacez son extension .epub par l’extension .zip, puis extrayez-en le contenu. Pour plus de détails sur le format ePub, rendez-vous à l’adresse www.idpf.org (en anglais uniquement).
Utilisation de documents
Ajouter une entrée pour l’éditeur Spécifiez les détails concernant l’éditeur qui doivent figurer dans les métadonnées eBook. Pensez éventuellement à indiquer une adresse URL où les personnes qui recevront l’eBook peuvent consulter le site Web de l’éditeur et effectuer des achats. Base pour les styles CSS Spécifiez l’option correspondant aux mises en forme de texte à inclure dans la feuille de style de l’eBook. Si vous optez pour la mise en forme locale, toutes les caractéristiques appliquées localement au texte (par exemple, les mots en italique) sont conservées avec les styles de paragraphe et de caractère définis. Si vous préférez les styles définis, la feuille de style inclut les styles de paragraphe et de caractère, mais ignore les mises en forme locales. Si vous choisissez uniquement les noms des styles, la feuille de style contient des styles vides. Puces Sélectionnez Faire correspondre à une liste non triée pour convertir les paragraphes à puces en éléments de liste,
Nombres Détermine la façon dont les nombres sont convertis dans le fichier HTML.
Inclure les polices incorporables Inclut dans l’eBook toutes les polices qui peuvent être incorporées. Les polices
Afficher l’eBook après l’exportation Lance le logiciel Adobe Digital Editions Reader s’il est installé. Un message
La section Images de la boîte de dialogue Options d’exportation Digital Editions comprend les options suivantes : Dans le menu Copier images, déterminez comment les images sont exportées en HTML. Image d’origine Exporte l’image d’origine vers l’e-Book. Lorsque cette option est sélectionnée, toutes les autres
Optimisées Vous permet de modifier les paramètres pour déterminer comme l’image est exportée.
• Conversion d’image Choisissez GIF ou JPEG pour la conversion des images optimisées dans votre document. Choisissez Automatique pour laisser InDesign décider quel format utiliser dans chaque instance. • Options GIF (Palette) Cette option vous permet de contrôler la façon dont InDesign gère les couleurs lors de l’optimisation des fichiers GIF. Le format GIF utilise une palette de couleurs limitée, qui ne doit pas contenir plus de 256 couleurs. Choisissez Adaptative pour créer une palette utilisant un échantillon représentatif de couleurs dans l’illustration sans aucun tramage (mélange de quelques tons de couleurs pour simuler des couleurs supplémentaires). Choisissez
Utilisation de documents
• Options JPEG (Méthode de mise en forme) Permet de déterminer la vitesse d’affichage des images JPEG à l’ouverture du fichier contenant l’image sur le Web. Choisissez Progressive pour que les images JPEG s’affichent graduellement avec de plus en plus de détails à mesure qu’elles sont téléchargées. Les fichiers créés avec cette option sont légèrement plus volumineux et utilisent davantage de RAM à l’affichage. Choisissez Ligne de base pour que le fichier JPEG s’affiche une fois téléchargé seulement ; une marque de réservation apparaît à la place de l’image avant son affichage.
La section Contenu de la boîte de dialogue Options d’exportation Digital Editions comprend les options suivantes : Format du contenu EPUB Précisez si vous voulez utiliser le format XHTML ou DTBook. Inclure les entrées de table des matières InDesign Sélectionnez cette option si vous désirez générer une table des matières sur le côté gauche de l’eBook. Dans le menu Style de table des matières, choisissez l’option appropriée pour l’eBook. Vous pouvez également choisir la commande Page > Styles de tables des matières pour créer un style spécial pour l’eBook. Supprimer les entrées automatiques des documents Sélectionnez cette option si vous voulez éviter que les noms des
évolutives pour le Web. Le fichier obtenu lors de l’exportation d’un document InDesign au format SWF peut être visionné directement à l’aide de Flash Player. Si vous avez besoin d’un fichier modifiable, exportez votre document au format XFL à la place. Une vidéo consacrée à l’exportation au format SWF est disponible à l’adresse suivante : www.adobe.com/go/lrvid4030_xp_fr. 1 Configurez votre document pour l’exportation au format SWF (voir la section « Création de documents
2 Choisissez la commande Fichier > Exporter. 3 Spécifiez un emplacement et un nom de fichier. 4 Dans le menu Type (Windows) ou Format (Mac OS) de la boîte de dialogue Enregistrer sous, choisissez
5 Dans la boîte de dialogue Exporter au format SWF, définissez les options suivantes, puis cliquez sur le bouton OK. Taille (pixels) Précisez le mode de définition de la taille du fichier SWF : mise à l’échelle exprimée en pourcentage,
Utilisation de documents
Planches Si vous sélectionnez cette option, chaque planche est traitée comme une séquence unique dans le
Pixelliser les planches Cette option a pour effet de convertir tous les éléments des pages InDesign en
Générer le fichier HTML Sélectionnez cette option pour générer une page HTML de lecture du fichier SWF. Vous
Afficher le fichier SWF après exportation Sélectionnez cette option pour lire le fichier SWF dans votre
Texte Précisez le mode de sortie du texte InDesign. Si vous choisissez l’option Texte InDesign en texte Flash, vous obtiendrez du texte autorisant les recherches. Cette solution limite également la taille du fichier. En revanche, l’option Texte InDesign en tracés vectoriels permet de traiter le texte comme une série de lignes droites régulières, comme lors de la conversion du texte en contours (vectorisation). Enfin, si vous sélectionnez l’option Texte InDesign en image pixellisée, le texte sera converti en image bitmap. Il est à noter que le texte pixellisé peut présenter des bords irréguliers lors du zoom avant. Interactivité Spécifiez les options qui doivent figurer dans le fichier SWF exporté : boutons, hyperliens, transitions
Compression d’image Choisissez l’option Automatique pour laisser à InDesign le soin de déterminer la qualité
Qualité JPEG Spécifie le niveau de détail de l’image exportée. Plus la qualité est grande, plus le fichier est volumineux. Cette option est grisée si vous avez choisi l’option Sans perte (ne rien faire) pour l’option Compression d’image. Qualité de la courbe Définit la précision des courbes de Bézier. Les valeurs faibles réduisent la taille du fichier
« Création de documents dynamiques pour Flash » à la page 563 Vidéo d’exportation vers Flash Adobe Flash Pro. Les éléments interactifs tels que les hyperliens, les transitions de page et les actions de bouton ne figurent pas dans le fichier XFL. Gardez à l’esprit que les documents InDesign sont structurés à partir de pages et de planches, alors que les fichiers XFL reposent sur des séquences vidéo dans une chronologie de montage. Lorsque vous exportez un document InDesign au format XFL, chaque page ou planche devient une séquence distincte à laquelle correspond une nouvelle image clé. Une vidéo consacrée à l’exportation au format XFL est disponible à l’adresse suivante : www.adobe.com/go/lrvid4093_xp_fr. 1 Configurez votre document pour l’exportation au format XFL (voir la section « Création de documents
2 Choisissez la commande Fichier > Exporter. 3 Spécifiez un emplacement et un nom de fichier. 4 Dans le menu Type (Windows) ou Format (Mac OS) de la boîte de dialogue Enregistrer sous, choisissez l’option
5 Dans la boîte de dialogue Exporter au format Adobe Flash CS4 Professional (XFL), définissez les options suivantes,
Taille (pixels) Précisez le mode de définition de la taille du fichier XFL : mise à l’échelle exprimée en pourcentage,
Pages Indiquez si toutes les pages du document sont incluses ou spécifiez une série de pages, par exemple 1-7, 9
Planches Si vous sélectionnez cette option, chaque planche est traitée comme une séquence unique dans le
Pixelliser les planches Cette option a pour effet de convertir tous les éléments des pages InDesign en images bitmap. Il en résulte toutefois un fichier XFL plus volumineux, ainsi que des éléments de page aux bords dentelés lorsque vous effectuez un zoom avant. Aplatir la transparence Cette option a pour effet d’aplatir tous les objets dotés de transparence. Gardez toutefois à l’esprit que les objets aplatis sont parfois difficiles à animer dans Adobe Flash Pro. Texte Précisez le mode de sortie du texte InDesign. Si vous choisissez l’option Texte InDesign en texte Flash, vous obtiendrez du texte autorisant les recherches. Cette solution limite également la taille du fichier. En revanche, l’option Texte InDesign en tracés vectoriels permet de traiter le texte comme une série de lignes droites régulières, comme lors de la conversion du texte en contours (vectorisation). Enfin, si vous sélectionnez l’option Texte InDesign en image pixellisée, le texte sera converti en image bitmap. Il est à noter que le texte pixellisé peut présenter des bords irréguliers lors du zoom avant.
« Création de documents dynamiques pour Flash » à la page 563
Toutes les couleurs de la bibliothèque sont désignées par leurs valeurs RVB. Le langage HTML utilise leur code hexadécimal pour les reproduire ; ce code est stocké dans la bibliothèque de nuances. 1 Choisissez Nouvelle couleur dans le menu du panneau Nuancier. 2 Dans la zone Mode, choisissez Web. 3 Sélectionnez une couleur, puis cliquez sur OK.
Dans InDesign, le texte est placé dans des espaces appelés blocs de texte, qui sont similaires aux zones de texte de QuarkXPress et aux blocs d’Adobe PageMaker. Les blocs de texte, comme les blocs graphiques, peuvent être déplacés, redimensionnés et modifiés. L’outil utilisé pour sélectionner le bloc de texte dépend du type de modification à apporter :
Les blocs de texte peuvent contenir plusieurs colonnes. Ils peuvent être basés sur des colonnes de pages sans pour autant en dépendre. Ainsi, un bloc de texte de deux colonnes peut figurer dans une page de quatre colonnes. L’habillage de texte peuvent également être importés dans des gabarits et recevoir du texte sur des pages du document. Si vous utilisez souvent le même type de bloc de texte, créez un style incluant la mise en forme du bloc de texte (couleurs des contours et du fond, options du bloc de texte et effets d’habillage et de transparence par exemple). Lorsque vous importez ou collez du texte, il n’est pas nécessaire de créer un bloc de texte. InDesign ajoute automatiquement des blocs en fonction des paramètres de colonne de la page. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
« Importation de texte » à la page 134 « Styles d’objet » à la page 206
L’outil Sélection vous permet de déplacer ou de redimensionner des blocs de texte. Si vous souhaitez déplacer ou redimensionner un bloc de texte tout en laissant l’outil Texte touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée, puis faites glisser le bloc.
« Création de blocs de texte » à la page 125
• A l’aide de l’outil Sélection, faites glisser le bloc. • Sélectionnez l’outil Texte, maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée et faites glisser le bloc. L’outil Texte est toujours sélectionné lorsque vous relâchez la touche.
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Commande (Mac OS) enfoncée et faites glisser l’une des poignées du bloc. Si vous souhaitez recomposer le texte tout en redimensionnant le bloc, maintenez le bouton de la souris enfoncé pendant une seconde avant de faire glisser le pointeur.
Vous pouvez également cliquer deux fois sur une poignée d’un bloc de texte en excès pour augmenter la hauteur et la largeur de façon à accommoder l’ensemble du texte dans le bloc. Si un bloc de texte contient plus de texte en excès que la page ne peut contenir, le bloc de texte n’est pas redimensionné.
Texte Ajustement > Ajuster le bloc au contenu. Le bas du bloc de texte s’adapte pour contenir l’ensemble du texte. Si un bloc de texte contient plus de texte en excès que la page ne peut contenir, le bloc de texte n’est pas redimensionné.
Lorsque vous créez un nouveau document, vous pouvez sélectionner l’option Bloc de texte type, de façon à ce qu’un bloc de texte vide soit inséré dans le gabarit par défaut du document. Ce bloc dispose des attributs de marge et de colonne spécifiés dans la boîte de dialogue Nouveau document. Suivez les indications ci-après pour utiliser les blocs de texte dans les gabarits :
Vous pouvez modifier les paramètres de la Redistribution intelligente du texte.
Activer la modification de mise en page est sélectionnée.
Modification des propriétés d’un bloc de texte La commande Options de bloc de texte vous permet de modifier les paramètres, tels que le nombre de colonnes dans le bloc, l’alignement vertical du texte ou la marge (espace entre le bloc et le texte qu’il contient).
1 A l’aide de l’outil Sélection
2 Choisissez Objet > Options de bloc de texte, ou maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée,
3 Modifiez les options de bloc de texte, puis cliquez sur OK.
« Modification du format, des marges et des paramètres de document » à la page 47 « Utilisation des blocs de texte sur les gabarits » à la page 127 « Grilles » à la page 53
Vous pouvez créer des colonnes dans un bloc de texte à l’aide de la boîte de dialogue Options de bloc de texte. Vous ne pouvez pas créer des colonnes à largeur variable dans un bloc de texte. Pour créer des colonnes de largeur et de hauteur inégales, ajoutez des blocs de texte côte à côte soit sur une page du document soit sur un gabarit. 1 A l’aide de l’outil Sélection, sélectionnez un bloc ou, avec l’outil Texte, cliquez dans un bloc de texte ou sélectionnez
2 Choisissez Objet > Options de bloc de texte.
Texte redimensionnez le bloc. Si cette option est sélectionnée, le redimensionnement du bloc peut modifier le nombre de colonnes mais pas leur largeur.
2 Choisissez Objet > Options de bloc de texte. 3 Dans la section Marges à l’intérieur du bloc de l’onglet Général, entrez les distances de décalage souhaitées en haut,
Pour modifier les options de la première ligne de base d’un bloc de texte sélectionné, choisissez Objet > Options de bloc de texte, puis cliquez sur l’onglet Options de ligne de base. Les options suivantes apparaissent dans le menu de décalage de la première ligne de base : Jambage supérieur La hauteur du caractère « d » de la police est inférieure à l’encart supérieur du bloc de texte. Hauteur des capitales Le haut des lettres majuscules touche l’encart supérieur du bloc de texte. Interligne Utilisez la valeur d’interligne du texte comme distance séparant la ligne de base de la première ligne de texte
Œil La hauteur du caractère « x » de la police est inférieure à l’encart supérieur du bloc. Fixe Spécifiez la distance séparant la ligne de base de la première ligne de texte et l’encart supérieur du bloc. Min. Sélectionnez une valeur minimum de décalage de la ligne de base. Par exemple, si l’option Interligne est
Pour magnétiser le haut du bloc de texte à une grille, sélectionnez Interligne ou Fixe afin de pouvoir choisir l’emplacement de la première ligne de base du texte dans les blocs.
Texte Utilisez la boîte de dialogue Options de bloc de texte pour appliquer une grille de ligne de base à un bloc de texte. Lorsque vous définissez une grille de ligne de base pour un bloc de texte, tenez compte des points suivants :
1 Choisissez Affichage > Repères et grilles > Afficher la grille de ligne de base pour afficher toutes les grilles de ligne
2 Sélectionnez le bloc de texte ou placez le point d’insertion dans un bloc de texte, puis choisissez Objet > Options de
Si vous souhaitez que la grille de ligne de base s’applique à tous les blocs d’un lien (même si un ou plusieurs blocs liés ne contiennent pas de texte), placez le point d’insertion dans le texte, choisissez la commande Edition > Tout sélectionner, puis appliquez les paramètres de la grille de ligne de base de la boîte de dialogue Options de bloc de texte. 3 Cliquez sur l’onglet Options de ligne de base. 4 Dans Grille de ligne de base, sélectionnez l’option Utiliser la grille de ligne de base personnalisée et utilisez l’une des
Début Entrez une valeur de décalage de la grille par rapport au haut de la page, à la marge supérieure de la page, au haut du bloc ou à l’encart supérieur du bloc, selon ce que vous avez sélectionné dans le menu Relative à. Relative à Indiquez si la grille de ligne de base doit commencer par rapport au haut de la page, à la marge supérieure
Pas Entrez une valeur d’espacement entre les lignes de la grille. Dans la plupart des cas, il convient de spécifier une valeur égale à l’interlignage du corps de texte pour aligner parfaitement les lignes du texte sur cette grille. Couleur Sélectionnez la couleur des lignes de la grille ou choisissez (Couleur de calque) pour appliquer la même couleur que celle du calque sur lequel le bloc de texte figure.
Pour afficher la grille, il vous faudra peut-être effectuer un zoom avant sur le bloc ou réduire le niveau du seuil.
1 Placez le point d’insertion dans un bloc de texte pour afficher le nombre de mots ou de caractères de l’ensemble des
2 Choisissez Fenêtre > Informations pour afficher le panneau Informations.
« Présentation du panneau Informations » à la page 52
Lorsque vous importez ou de que vous collez du texte, InDesign crée automatiquement un bloc de texte. Il est donc inutile d’en créer un au préalable. Lorsque vous importez du texte, vous pouvez sélectionner Afficher les options d’importation pour déterminer si le texte importé conservera les styles et la mise en forme. Avant de coller du texte, vous pouvez activer l’option Toutes les informations ou Texte seul dans les préférences Gestion du presse-papiers pour indiquer si le texte collé doit comprendre des informations supplémentaires, telles que nuances ou styles. Si le texte importé contient du rose, du vert ou une autre couleur de mise en surbrillance, plusieurs options de préférences de composition sont probablement activées. Ouvrez la section Composition de la boîte de dialogue Préférences pour savoir quelles options sont activées dans la zone Sélecteur. Par exemple, si le texte collé contient des polices de caractères non disponibles, le texte est mis en surbrillance en rose.
« Importation de texte » à la page 134 « Remplacement des polices manquantes » à la page 241
1 Pour placer le point d’insertion à l’intérieur du bloc de texte, utilisez l’une des méthodes suivantes :
Pour saisir des caractères asiatiques à l’aide de l’insertion des objets texte 1 Choisissez Edition > Préférences > Texte avancé (Windows) ou InDesign > Préférences > Texte avancé (Mac OS). 2 Sélectionnez l’option Utiliser l’insertion des objets texte pour le texte non latin, puis cliquez sur OK.
1 Sélectionnez un ou plusieurs blocs de texte à l’aide de l’outil Sélection, ou cliquez dans un bloc de texte avec
2 Choisissez Texte > Remplir avec le texte de substitution.
Pour supprimer ou remplacer le texte de substitution, cliquez deux fois dans l’un des blocs liés, choisissez Edition > Tout sélectionner, puis supprimez le texte. Pour modifier le texte de substitution, créez un fichier texte contenant le texte à utiliser, nommez-le Substitution.txt, et enregistrez-le dans le dossier de l’application.
Si le point d’insertion ne se situe pas dans un bloc de texte lorsque vous collez du texte dans InDesign, un nouveau bloc de texte simple est créé. Si le point d’insertion se trouve à l’intérieur d’un bloc de texte, le texte est collé dans ce bloc. Si du texte est sélectionné au moment où vous collez le texte, ce dernier écrase le texte sélectionné.
« Glisser-déposer de texte » à la page 133
1 Pour préserver la mise en forme et les informations telles que les styles et les marques d’index, dans la
2 Coupez ou coller le texte dans une autre application ou dans un document InDesign. 3 Le texte sera collé dans un nouveau bloc, sauf si vous sélectionnez le texte et cliquez dans un bloc de texte. 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Vous pouvez également faire glisser le texte depuis une autre application et le déposer dans un document InDesign, ou bien insérer un fichier texte ou un fichier de traitement de texte dans un document InDesign directement à partir de l’Explorateur Windows ou du Finder Mac OS. Le texte sera inséré dans un nouveau bloc. Lorsque vous faites glisser du texte en maintenant la touche Maj enfoncée, la mise en forme est supprimée. L’option sélectionnée dans la section Gestion du presse-papiers de la boîte de dialogue Préférences détermine si les informations telles que les marques d’index et les nuances sont préservées.
Texte Vous pouvez même faire glisser du texte à partir du Mode éditeur dans la fenêtre de mise en page (ou vice versa) ou dans certaines boîtes de dialogue telles que Rechercher/Remplacer. Si vous faites glisser du texte à partir d’un article verrouillé ou archivé, le texte est copié et non déplacé. Vous pouvez également copier le texte ou créer un nouveau bloc lorsque vous faites glisser et déposez le texte. 1 Pour activer la fonction de glisser-déposer, choisissez la commande Edition > Préférences > Texte (Windows) ou
éditeur (InDesign) ou Activer en mode éditeur et épreuve en placard (InCopy), puis cliquez sur le bouton OK. 2 Sélectionnez le texte à déplacer ou copier. 3 Maintenez le pointeur de la souris sur le texte sélectionné jusqu’à ce que l’icône de glisser-déposer
Lorsque vous faites glisser le texte, celui-ci reste à sa position initiale mais une barre verticale indique l’emplacement auquel il sera inséré lorsque vous relâcherez le bouton de la souris. La barre verticale apparaît dans tous les blocs sur lesquels vous faites glisser le curseur. 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Vous pouvez également combiner ces touches de modification. Par exemple, pour copier du texte non mis en forme dans un nouveau bloc, commencez à faire glisser le texte et maintenez les touches Alt+Maj+Ctrl (Windows) ou Option+Maj+Commande (Mac OS) enfoncées. Si l’espacement du texte disposé est incorrect, sélectionnez l’option Ajuster l’espacement automatiquement dans les préférences de texte.
« Collage de texte » à la page 132
1 (Facultatif) Pour créer des liens vers les fichiers importés, cliquez sur la commande Gestion des fichiers dans la
Cette option, lorsqu’elle est sélectionnée, permet de créer un lien vers le fichier importé. Vous pouvez mettre à jour, supprimer ou rétablir des liens depuis le panneau Liens vers des fichiers texte. Toutefois, si vous mettez en forme du texte lié dans InDesign, la mise en forme est conservée lorsque vous mettez à jour le lien. Lorsque cette option est désactivée, les fichiers texte ou feuilles de calcul importés sont incorporés et non liés. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Si vous remplacez un fichier texte ou un graphique par mégarde, choisissez Edition > Annuler remplacer, puis cliquez ou faites glisser le pointeur pour créer un bloc de texte. 3 Choisissez Fichier > Importer. 4 Sélectionnez l’option Remplacer l’élément sélectionné si vous souhaitez que le fichier importé remplace le contenu
Désélectionnez cette option pour placer le fichier importé dans le nouveau bloc. 5 Sélectionnez Afficher les options d’importation et cliquez deux fois sur le fichier à importer. 6 Définissez les options d’importation et cliquez sur OK.
Si un message vous avertit que le filtre requis est introuvable, vérifiez que vous n’essayez pas d’importer un fichier d’une application de traitement de texte différente ou d’une version antérieure de Microsoft®Word, comme Word 6. Ouvrez le fichier dans son application d’origine et enregistrez-le au format RTF, qui conserve la plupart de la mise en forme. Si des points rouges s’affichent dans les cellules du document Excel importé, ajustez la taille de cellule ou les attributs de texte de manière à rendre visible le contenu en excès. Vous pouvez également importer le fichier en tant que texte tabulé non mis en forme, puis le convertir en tableau.
« Placement automatique ou manuel de texte » à la page 142 « Liaison ou incorporation de fichiers texte importés » à la page 139 « Conversion des styles Word en styles InDesign » à la page 194
Texte A propos des filtres d’importation InDesign importe la plupart des attributs de mise en forme de paragraphe et de caractère provenant de fichiers texte, mais ignore la plupart des informations de mise en page, telles que les marges et les paramètres de colonne (que vous pouvez définir dans InDesign). Tenez compte des points suivants :
Pour plus de détails sur les filtres d’importation, reportez-vous au fichier PDF LisezMoi Filtres placé dans le dossier de l’application InDesign.
Texte de table des matières Importe la table des matières comme partie intégrante du texte dans l’article. Ces entrées
Texte d’index Importe l’index comme partie intégrante du texte dans l’article. Ces entrées sont importées au format
Utiliser les guillemets typographiques Garantit que le texte importé comprend les guillemets ouvrant et fermant (“ ”)
Supprimer les styles et la mise en forme du texte et des tableaux Supprime la mise en forme telle que style, couleur et
Conserver les remplacements locaux Lorsque vous choisissez de supprimer les styles et la mise en forme du texte et
Si vous souhaitez importer du texte non mis en forme et des tableaux mis en forme, importez le texte sans mise en forme, puis collez les tableaux de Word dans InDesign. Conserver les styles et la mise en forme du texte et des tableaux Conserve la mise en forme des documents Word
Sauts de page manuels Détermine la mise en forme des sauts de page du fichier Word dans InDesign ou InCopy. Sélectionnez l’option Conserver les sauts de pages pour utiliser les sauts de page de Word ou sélectionnez l’option Convertir en sauts de colonnes ou Aucune césure. Importer les images texte Conserve les images texte du document Word dans InDesign. Importer les styles inutilisés Importe tous les styles du document Word, même si les styles ne sont pas appliqués au
Convertir les puces et numéros en texte Importe les puces et les numéros sous forme de vrais caractères, en préservant l’apparence du paragraphe. Toutefois, dans les listes numérotées, les numéros ne sont pas mis à jour automatiquement lorsque les éléments de la liste sont modifiés. Suivi des modifications pour InCopy Lorsqu’elle est activée, cette option permet de mettre en surbrillance et de barrer
Importer les styles automatiquement Importe les styles à partir du document Word dans le document InDesign
Pour déterminer la façon dont les conflits sont gérés, sélectionnez une option dans le menu Conflits de styles de paragraphe et Conflits de styles de caractère. Si vous choisissez l’option Utiliser la définition du style InDesign, le texte du style importé est mis en forme avec le style InDesign. Si vous choisissez l’option Redéfinir le style InDesign, le texte du style importé est mis en forme en utilisant le style de Word, et le texte InDesign existant formaté avec le style Word est modifié. Si vous choisissez Renommer automatiquement, les styles Word importés sont renommés. Par exemple, si InDesign et Word ont tous deux un style nommé Sous-titre, le style Word importé est renommé Sous-titre_wrd_1 si l’option Renommer automatiquement est sélectionnée. Remarque : InDesign convertit les styles de paragraphe et de caractère, pas les styles de listes à puces et numérotées. Personnaliser l’importation des styles Permet d’utiliser la boîte de dialogue Correspondance de style pour sélectionner le style InDesign à utiliser pour chaque style Word dans le document importé. Enreg. prédéfini Stocke les options d’importation de Word actives pour une utilisation ultérieure. Spécifiez les options
Utiliser par défaut pour utiliser le style prédéfini sélectionné comme style par défaut pour les importations futures de documents Word.
Texte Windows CE, utilisé pour créer le fichier texte. La sélection par défaut est le jeu de caractère correspondant à la langue et à la plate-forme par défaut d’InDesign ou InCopy. Plate-forme Indique si le fichier a été créé sous Windows ou Mac OS. Définir le dictionnaire sur Indique le dictionnaire à utiliser pour le texte importé. Retours chariot supplémentaires Indique la méthode d’importation des retours chariot supplémentaires utilisée. Sélectionnez l’option Supprimer en fin de ligne ou Supprimer entre les paragraphes. Remplacer Remplace le nombre d’espaces spécifié par une tabulation. Utiliser les guillemets typographiques Assurez-vous que le texte importé comprend les guillemets ouvrant et
Sélectionnez l’une des options suivantes lors de l’importation d’un fichier Excel : Feuille Indique la feuille de calcul à importer. Affichage Indique si vous voulez importer des affichages personnels ou personnalisés stockés ou ignorer les affichages. Plage de cellules Indique la plage de cellules, en utilisant le signe deux-points (:) pour désigner la plage (telle que A1:G15). S’il existe des plages nommées dans la feuille de calcul, ces noms apparaissent dans le menu Plage de cellules. Importer les cellules masquées non enregistrées dans cette vue Importe les cellules définies comme cellules masquées
Tableau Définit l’affichage des informations du tableur dans le document.
• Tableau non mis en forme Le tableau est importé sans conserver aucune mise en forme de la feuille de calcul. Lorsque cette option est sélectionnée, vous pouvez appliquer un style de tableau au tableau importé. Si vous mettez en forme du texte en utilisant des styles de paragraphe et de caractère, la mise en forme est préservée, même si vous mettez à jour le lien à la feuille de calcul. • Texte tabulé non mis en forme Le tableau est importé sous forme de texte tabulé que vous pouvez ensuite convertir en tableau dans InDesign ou InCopy.
Style de tableau Applique le style de tableau que vous spécifiez au document importé. Cette option n’est disponible que si l’option Tableau non mis en forme est sélectionnée. Alignement des cellules Indique l’alignement des cellules pour le document importé. Importer les images texte Conserve les images texte du document Excel dans InDesign. Nombre de décimales à inclure Indique le nombre de décimales présentes dans les chiffres de la feuille de calcul.
Texte Pour plus de détails sur la définition de balises, consultez le fichier PDF de texte référencé à l’adresse suivante : www.adobe.com/go/learn_id_taggedtext_cs4_fr (PDF). Les options suivantes sont disponibles lors de l’importation d’un fichier texte référencé si vous avez sélectionné l’option Afficher les options d’importation dans la boîte de dialogue Importer. Utiliser les guillemets typographiques Assurez-vous que le texte importé comprend les guillemets ouvrant et
Supprimer la mise en forme du texte Supprime la mise en forme, telle que le type, la couleur et le style du texte, du
Résoudre les conflits de style de texte avec Indique quel style de paragraphe ou de caractère est appliqué lorsque les styles du fichier texte référencé et de votre document InDesign sont en conflit. Sélectionnez l’option Définition de la composition pour utiliser la définition préexistante pour ce style dans le document InDesign. Sélectionnez Définition du fichier référencé pour utiliser le style défini dans le texte référencé. Cette option permet de créer une occurrence supplémentaire du style avec la mention « copie » en regard de son nom dans le panneau Style. Afficher la liste des références de problèmes avant l’importation Affiche une liste des références non reconnues. Si une liste apparaît, vous pouvez choisir d’annuler ou de poursuivre l’importation. Si vous continuez, le fichier importé risque de présenter un aspect inattendu.
1 Lorsque vous importez un fichier Word ou RTF, assurez-vous d’activer l’option Afficher les options d’importation,
Vous pouvez ensuite sélectionner des paramètres prédéfinis depuis le menu Paramètre prédéfini de la boîte de dialogue Options d’importation chaque fois que vous ouvrez un fichier Word ou RTF.
Texte • Pour appliquer ce changement à un document, ouvrez le document. • Pour appliquer ce changement à tout nouveau document que vous créez, fermez tous les documents. 2 Choisissez la commande Edition > Préférences > Gestion des fichiers (Windows) ou InDesign > Préférences >
3 Pour créer des liens dans des fichiers importés, sélectionnez Créer des liens avec les fichiers de texte et de feuilles
« Gestion des liens de graphiques » à la page 393 « Conversion des styles Word en styles InDesign » à la page 194
Blocs de texte liés Le texte d’un bloc peut être indépendant des autres blocs ou peut se poursuivre dans des blocs reliés. Pour placer du texte de façon à ce qu’il se poursuive dans d’autres blocs, vous devez d’abord relier les blocs ensemble. Les blocs reliés peuvent se trouver sur la même page ou la même planche, ou bien sur une autre page du document. Le processus qui consiste à relier du texte entre plusieurs blocs est appelé liaison de texte. Tous les blocs de texte contiennent un port d’entrée et un port de sortie, qui sont utilisés pour les relier les uns aux autres. Des ports d’entrée ou de sortie vides indiquent respectivement le début ou la fin d’un article. Une flèche dans un port signifie que le bloc correspondant est lié à un autre bloc. Un signe plus rouge (+) dans un port de sortie signifie que le texte de l’article n’est pas terminé mais qu’il n’y a plus de bloc de texte où le placer. Le texte restant et invisible est appelé texte en excès.
1 A l’aide de l’outil Sélection
Cliquez sur le port d’entrée pour ajouter un bloc avant le bloc sélectionné. Inversement, cliquez sur le port de sortie pour ajouter un bloc après le bloc sélectionné. 2 Positionnez l’icône de texte chargée
1 A l’aide de l’outil Sélection, sélectionnez un bloc de texte, puis cliquez sur le port d’entrée ou de sortie pour charger
2 Positionnez l’icône de texte chargée sur le bloc à relier. L’icône de texte chargée se change en icône de lien.
1 A l’aide de l’outil Sélection, cliquez sur le port de sortie correspondant à l’emplacement de l’article où vous
2 Faites glisser le curseur pour créer un bloc, ou sélectionnez un autre bloc de texte. InDesign lie le bloc à la série de
Le texte qui auparavant apparaissait dans les blocs devient du texte en excès (aucun texte n’est supprimé). Tous les blocs suivants sont vides. ❖ A l’aide de l’outil Sélection, utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Cliquez sur un port d’entrée ou de sortie représentant un lien vers un autre bloc. Par exemple, dans le cas d’un lien constitué de deux blocs, cliquez soit sur le port de sortie du premier bloc, soit sur le port d’entrée du second bloc. Positionnez l’icône de texte chargée sur le bloc précédent ou suivant pour afficher l’icône de suppression de lien . Cliquez sur le bloc à supprimer du lien. Open the case for the rst time and take in the
2 Choisissez Edition > Couper. Le bloc disparaît et le texte qu’il contenait se poursuit dans le bloc suivant de l’article.
3 Si vous souhaitez utiliser le bloc dont avez supprimé le lien ailleurs dans le document, accédez à la page dans laquelle
Lorsque vous supprimez un bloc de texte faisant partie d’un lien, le texte n’est pas supprimé mais il devient du texte en excès ou il se poursuit dans le bloc suivant. Si le bloc de texte n’est pas relié à un autre bloc, le bloc et le texte sont tous deux supprimés. 1 Pour sélectionner le bloc de texte, utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Sélectionnez l’outil Texte, maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée et cliquez sur le bloc. 2 Appuyez sur Retour arrière ou Suppr.
Lorsque vous avez importé du texte ou cliqué sur un port d’entrée ou de sortie, le pointeur prend la forme d’une icône de texte chargée . Cette icône permet de placer du texte dans les pages. Vous pouvez déterminer la façon dont le texte sera placé en maintenant une touche de modification enfoncée. L’icône de texte chargée change de forme selon l’endroit où elle est placée. Lorsque vous positionnez l’icône de texte chargée sur un bloc de texte, l’icône est encadrée par des parenthèses . Lorsque vous positionnez l’icône de texte chargée en regard du point de magnétisme d’un repère ou d’une grille, le pointeur noir devient blanc . Vous pouvez placer du texte de quatre façons : Méthode
Placement semi-automatique en cliquant tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée Placement automatique en cliquant tout en maintenant la touche Maj enfoncée Placement automatique de pages fixes en cliquant tout en maintenant les touches Maj+Alt (Windows) ou Maj+Option (Mac OS) enfoncées
Ajoute des pages et des blocs jusqu’à ce que tout le texte soit placé dans le document. Place tout le texte dans le document en ajoutant les blocs nécessaires sans ajouter de pages. Le texte restant est composé en excès.
Texte d’un bloc de texte
• Positionnez l’icône de texte chargée dans une colonne pour créer un bloc de texte de la largeur de cette colonne. Le haut du bloc apparaît là où vous cliquez.
3 S’il y a trop de texte à importer, cliquez sur le port de sortie et répétez les étapes 1 et 2 jusqu’à ce que le texte soit
Remarque : lorsque vous importez du texte dans un bloc lié, le texte se poursuit automatiquement dans les blocs liés, quelle que soit la méthode de placement choisie.
❖ Avec une icône de texte chargée, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée tout en
Le texte est placé dans une colonne à la fois, comme avec le placement manuel, mais l’icône de texte chargée se recharge automatiquement chaque fois qu’une colonne est remplie.
❖ L’icône de texte chargée étant affichée, maintenez la touche Maj enfoncée tout en effectuant l’une des opérations
Pour placer du texte automatiquement sans ajouter de page ❖ Avec une icône de texte chargée, maintenez les touches Maj+Alt (Windows) ou Maj+Option (Mac OS) enfoncées.
La fonction Redistribution intelligente du texte permet d’ajouter ou de supprimer des pages pendant la saisie ou la modification de texte. Elle vous sera précieuse si vous utilisez InDesign comme un éditeur de texte et désirez ajouter une nouvelle page dès que le texte que vous saisissez déborde de la page en cours. Cette fonction permet en outre d’éviter d’avoir du texte en excès ou des pages vides si la répartition change lorsque vous modifiez le texte, affichez ou masquez le texte conditionnel, ou effectuez d’autres modifications de répartition. Par défaut, la fonction Redistribution intelligente du texte est limitée aux blocs de texte types, c’est-à-dire, ceux situés sur un gabarit. Si le document inclut des pages en vis-à-vis, les blocs de texte types doivent apparaître à gauche et à droite des gabarits. Ils doivent par ailleurs être liés pour que la Redistribution intelligente du texte puisse fonctionner.
Texte 2 Sélectionnez l’option Redistribution intelligente du texte. 3 Sélectionnez les options suivantes selon les besoins, puis cliquez sur OK. Ajouter les pages à Cette option permet de déterminer l’emplacement de création de la nouvelle page. Admettons par
Supposons, par exemple, que vous ayez un document de trois pages contenant des blocs de texte liés sur les deux premières et une image pleine page sur la troisième. Si vous saisissez du texte jusqu’à la fin de la deuxième page, vous pouvez déterminer si la nouvelle page est ajoutée après la deuxième page ou après la troisième page contenant l’image. Si vous choisissez l’option Fin de l’article, la nouvelle page est insérée juste après la page actuelle. En revanche, si vous choisissez l’option Fin du document, la nouvelle page est insérée après la page de l’illustration. Dans les documents comportant plusieurs sections, vous pouvez choisir l’option Fin de la section pour ajouter la page à la fin de la section. Limiter aux blocs de texte types Si cette option est désactivée, vous pouvez aussi ajouter ou supprimer des pages
Remarque : lorsque vous utilisez la Redistribution intelligente du texte dans des blocs de texte qui ne sont pas basés sur des gabarits, les pages sont ajoutées avec des blocs de texte pleine page d’une seule colonne, quels que soient les attributs du bloc de texte auquel le nouveau bloc est lié. Si vous souhaitez que les blocs de texte des nouvelles pages aient des attributs et un emplacement identiques au reste du lien, utilisez des blocs de texte types. Conserver les planches de pages en vis-à-vis Cette option détermine si les liens des pages en vis-à-vis sont conservés lors de la redistribution de texte au milieu d’un document. Si cette option est sélectionnée lorsque du texte est redistribué au milieu du document, une nouvelle planche de deux pages est ajoutée. Si elle n’est pas sélectionnée, une seule nouvelle page est insérée et les pages suivantes sont réorganisées.
Supprimer les pages vides Sélectionnez cette option pour supprimer les pages lorsque vous modifiez du texte ou masquez des conditions. Les pages ne sont supprimées que si le bloc de texte vidé est le seul objet de la page.
Texte Edition de texte Sélection de texte ❖ Sélectionnez l’outil Texte, puis utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Cliquez deux fois sur un mot pour le sélectionner. Les espaces adjacents au mot ne sont pas sélectionnés. • Cliquez trois fois n’importe où sur une ligne pour la sélectionner. Si l’option Cliquer trois fois pour sélectionner une ligne n’est pas sélectionnée, le triple clic sélectionne le paragraphe entier.
Tout sélectionner. Si vous ne parvenez pas à sélectionner le texte dans un bloc, cela peut signifier que ce bloc de texte se trouve sur un calque verrouillé ou sur un gabarit. Essayez de déverrouiller le calque ou d’accéder au gabarit. Il se peut également que le bloc de texte soit situé sous un autre bloc de texte ou un objet transparent (voir la section « Pour sélectionner du texte dans un bloc couvert » à la page 145).
« Navigation et sélection du texte » à la page 742
1 Choisissez Edition > Préférences > Texte (Windows) ou InDesign > Préférences > Texte (Mac OS). 2 Sélectionnez la commande Cliquer trois fois pour sélectionner une ligne afin d’activer la sélection de la ligne
1 A l’aide de l’outil Sélection
❖ Choisissez Texte > Afficher les caractères masqués.
Saut de bloc Saut de page Saut de page impaire Saut de page paire Saut de ligne forcé Note InCopy Note InCopy (en mode éditeur) Marqueur d’emplacement (InCopy uniquement) 1 Sélectionnez l’outil Texte, puis cliquez pour créer un point d’insertion à l’endroit où vous voulez insérer le saut. 2 Choisissez Texte > Insérer un caractère de saut, puis sélectionnez une option de saut dans le sous-menu.
Pour supprimer un caractère de saut, choisissez Texte > Afficher les caractères masqués, afin de voir les caractères non imprimables, puis sélectionnez et supprimez le caractère de saut. Remarque : si vous créez un saut en modifiant des paramètres de paragraphe (par exemple des options d’enchaînement), le saut est inséré avant le paragraphe concerné. Si vous créez un saut à l’aide d’un caractère spécial, il est inséré immédiatement après ce caractère spécial.
« Contrôle des sauts de paragraphe » à la page 257
Les options suivantes apparaissent dans le menu Texte > Insérer un caractère de saut : Saut de colonne Insère le texte dans la colonne suivante du bloc de texte actif. Si celui-ci comporte une seule colonne, le texte est inséré dans le bloc lié suivant. Saut de bloc
Passe à la ligne à l’endroit où ce caractère est inséré, sans commencer un nouveau paragraphe (même résultat qu’en appuyant sur les touches Maj+Entrée ou Maj+Retour).
Vous pouvez éditer du texte dans InDesign dans la fenêtre de mise en page ou du mode éditeur. Ecrire ou apporter des modifications dans la fenêtre du mode éditeur permet d’afficher l’article avec les caractères, le corps et l’espacement que vous spécifiez dans la boîte de dialogue Préférences, sans la mise en page ou la mise en forme. Chaque article s’affiche dans une fenêtre différente du mode éditeur. Tout le texte de l’article s’affiche dans le mode éditeur, y compris le texte en excès. Vous pouvez ouvrir plusieurs fenêtres du mode éditeur simultanément, et plusieurs copies du même article. Une règle de profondeur verticale indique la quantité de texte par rapport au bloc, et une ligne indique là ou le texte est en excès. Lorsque vous éditez un article, les modifications s’affichent dans la fenêtre de mise en page. Les articles ouverts sont répertoriés dans le menu Fenêtre. Le mode éditeur ne permet pas de créer de nouvel article.
• Sélectionnez le nom du document au bas du menu Fenêtre.
Vous pouvez afficher ou masquer la colonne du nom de style et la règle de profondeur, développer ou réduire les notes de bas de page, et afficher ou masquer les sauts de paragraphe pour indiquer le début des nouveaux paragraphes. Ces paramètres affectent toutes les fenêtres ouvertes du mode éditeur, ainsi que toutes celles qui seront ouvertes ultérieurement.
éditeur ne laisse que les attributs de texte les plus basiques, certains objets et attributs sont représentés, comme indiqué dans le tableau ci-dessous :
Texte utilise les niveaux de gris pour lisser le texte). L’option Spécial écrans LCD lisse le texte à l’aide des couleurs et non des niveaux de gris ; elle est plus efficace sur les arrière-plans de couleur claire comportant du texte en noir. L’option Tamisé utilise les niveaux de gris, mais offre un aspect plus clair et plus flou que l’option Par défaut. Options du curseur Vous pouvez modifier l’aspect du curseur. Sélectionnez l’option Clignotement par exemple si
L’habillage de texte d’un objet texte ne s’affiche pas dans la fenêtre parent du mode éditeur, mais peut s’afficher dans sa propre fenêtre du mode éditeur.
Le texte conditionnel permet de créer différentes versions d’un même document. Une fois que vous avez créé les conditions, vous les appliquez aux plages de texte souhaitées. Vous pouvez ensuite créer différentes versions des documents en masquant ou en affichant les conditions. Par exemple, si vous créez un guide informatique, vous pouvez créer des conditions distinctes pour Mac OS et Windows. Avant d’imprimer la version Mac OS du guide de l’utilisateur, vous pouvez afficher tout le texte auquel la condition « Mac » est appliquée et masquer celui concerné par la condition « Windows ». Vous pouvez ensuite inverser les états de condition pour imprimer le guide de l’utilisateur pour Windows.
Texte « Redistribution intelligente du texte » à la page 143
Lorsque vous planifiez un projet comportant du texte conditionnel, étudiez la nature du document et la manière dont plusieurs personnes peuvent travailler sur celui-ci à tour de rôle. Prévoyez un traitement cohérent du texte conditionnel afin de faciliter l’utilisation et la gestion du document. Suivez les indications suivantes. Nombre de versions Définissez le nombre de versions que contiendra votre projet une fois terminé. Par exemple, si vous créez un manuel de présentation d’un programme fonctionnant sur les plates-formes Windows et Mac OS, il peut être souhaitable de créer deux versions, une pour Windows et une pour Mac OS. Si vous souhaitez insérer des commentaires de rédaction à certains endroits du texte lors de la révision, vous aurez besoin de quatre versions, à savoir Mac OS avec commentaires, Mac OS sans commentaires, Windows avec commentaires et Windows sans commentaires.
Texte Organisation du contenu Evaluez la mesure dans laquelle le document peut être conditionnel et la manière dont vous pouvez l’organiser pour en simplifier le développement et la gestion. Par exemple, vous pouvez organiser un livre de manière à limiter le texte conditionnel à quelques documents. Vous pouvez aussi choisir de conserver les versions d’un chapitre particulier dans des fichiers séparés plutôt que dans du texte conditionnel et utiliser un fichier de livre différent pour chaque version du livre.
Stratégie de balisage Déterminez l’unité de texte conditionnel la plus petite. Par exemple, si un document va être
La traduction entraînant souvent un changement de l’ordre des mots, l’utilisation de texte conditionnel pour une partie de phrase peut être problématique. Vous devez vous imposer une certaine rigueur pour l’application des conditions aux espaces et à la ponctuation, sous peine d’obtenir des espaces en trop ou des mots mal orthographiés. Décidez si les espaces et la ponctuation doivent être conditionnels. Si du texte conditionnel commence ou se termine par une ponctuation, cette dernière doit également être rendue conditionnelle. Le texte est ainsi plus facile à lire lorsque plusieurs versions sont consultées. Pour éviter les problèmes d’intermots (espace non conditionnel suivi d’un espace conditionnel, par exemple), fixez des règles de gestion pour les espaces suivant du texte conditionnel (soit toujours conditionnels, soit toujours non conditionnels). Pour éviter toute confusion, décidez de l’ordre dans lequel le texte conditionnel apparaîtra et utilisez le même ordre pour tout le document. Index et références croisées Lorsque vous indexez un document, vérifiez bien si les marques d’index sont placées à
Si vous créez une référence croisée à du texte conditionnel, assurez-vous que le texte source possède la même condition. Par exemple, si vous insérez une référence croisée dans un paragraphe « Windows » alors que l’ancrage de texte apparaît dans une condition « Mac », la référence croisée est non résolue lorsque la condition « Mac » est masquée. « HT » apparaît à côté de la référence croisée dans le panneau Hyperliens. Si vous créez une référence croisée à un paragraphe contenant du texte conditionnel, puis modifiez les paramètres de visibilité de cette condition, mettez à jour la référence croisée.
Les conditions que vous créez sont enregistrées dans le document actif. Si aucun document n’est ouvert lorsque vous créez une condition, cette condition apparaît dans tous les nouveaux documents que vous créez.
Texte 2 Choisissez la commande Nouvelle condition dans le menu du panneau Texte conditionnel et saisissez un nom de
Vous pouvez appliquer plusieurs conditions au même texte. Par défaut, les indicateurs de condition identifient le texte conditionnel. S’ils sont masqués, vous pouvez toutefois utiliser le panneau Texte conditionnel pour savoir quelles conditions ont été appliquées au texte actif. Une coche pleine indique que la condition est appliquée au texte actif. Une coche estompée indique que la condition est appliquée à une partie de la sélection uniquement. 1 Sélectionnez le texte auquel vous voulez appliquer la condition. 2 Dans le panneau Texte conditionnel (Fenêtre > Texte et tableaux > Texte conditionnel), utilisez l’une des méthodes
• Pour appliquer une condition et supprimer les autres conditions appliquées au texte, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée tout en cliquant sur une condition.
Remarque : il n’est pas possible d’appliquer de raccourcis clavier à des conditions particulières. Vous pouvez néanmoins appliquer des conditions à l’aide de la commande Application rapide.
Lorsque vous masquez une condition, tout le texte auquel la condition s’applique est masqué. Le fait de masquer les conditions entraîne souvent une modification de la numérotation des pages du document ou livre. Vous pouvez utiliser la fonction Redistribution intelligente du texte pour ajouter et supprimer des pages automatiquement suivant que vous masquez ou affichez les conditions. En général, le texte conditionnel masqué est ignoré dans le document. Par exemple, le texte masqué n’est ni imprimé, ni exporté ; les marques d’index contenues dans du texte conditionnel masqué ne sont pas incluses dans l’index généré ; et le texte conditionnel masqué est exclu lors des opérations de recherche ou de correction orthographique de texte. Lorsque vous masquez une condition, le texte masqué est stocké dans un symbole de condition masquée . Si vous sélectionnez du texte contenant un symbole de condition masquée et essayez de le supprimer, InDesign vous invite à confirmer cette suppression. Vous ne pouvez pas appliquer d’autres conditions, styles ou mises en forme au texte conditionnel masqué.
Texte • Pour afficher ou masquer toutes les conditions, choisissez l’option Tout afficher ou Tout masquer dans le menu du panneau Texte conditionnel.
Un ensemble de conditions capture les paramètres de visibilité de toutes les conditions et permet ainsi d’appliquer rapidement différentes versions d’un même document. Supposons par exemple que vous préparez un document complexe comportant des conditions de plate-forme pour Mac OS, Windows XP, Vista, UNIX, des conditions de langue pour l’anglais, le français, l’allemand et l’espagnol, et des conditions de rédaction telles que Révision de rédaction et Commentaires internes. Pour la révision de la version relative à Vista en français, vous pouvez créer un ensemble affichant uniquement les conditions Vista, Français et Révision de rédaction, et masquant le reste. Les ensembles de conditions ne sont pas indispensables pour parvenir à ce résultat mais ils offrent plus de rapidité et de fiabilité pour modifier différents paramètres de visibilité des conditions. 1 Appliquez les conditions au texte selon les besoins. 2 Si le menu Ensemble ne figure pas dans le panneau Texte conditionnel, choisissez la commande Afficher les options
3 Dans le panneau Texte conditionnel, rendez les conditions visibles ou masquées, selon les besoins. 4 Choisissez la commande Créer un ensemble dans le menu Ensemble, spécifiez un nom pour l’ensemble et cliquez
Le nouvel ensemble devient l’ensemble actif. 5 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour ignorer un ensemble de conditions, sélectionnez cet ensemble afin de le rendre actif et modifiez le paramètre de visibilité d’une condition. Le signe (+) apparaît en regard de l’ensemble de conditions. Sélectionnez de nouveau l’ensemble de conditions pour annuler les omissions. Choisissez la commande Redéfinir « [Ensemble de conditions] » pour mettre à jour l’ensemble de conditions avec les nouveaux paramètres de visibilité.
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes : Supprimer une condition Sélectionnez la condition concernée et cliquez sur l’icône de suppression au bas du
Pour supprimer plusieurs conditions, cliquez tout en maintenant la touche Maj enfoncée pour sélectionner des conditions contiguës ou cliquez tout en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée pour sélectionner des conditions non contiguës, puis cliquez sur l’icône de suppression. Supprimer une condition du texte La suppression d’une balise de condition du texte diffère de celle d’une balise de condition d’un document. Les balises que vous supprimez d’un texte restent dans le document afin de pouvoir être de nouveau appliquées ultérieurement.
Texte conditions) ou Charger les conditions et les ensembles dans le menu du panneau Texte conditionnel. Sélectionnez le document InDesign à partir duquel importer les conditions et cliquez sur Ouvrir. Les conditions et ensembles chargés remplacent tous ceux possédant des noms identiques. Vous ne pouvez pas charger les conditions depuis un fichier InCopy dans InDesign, mais vous pouvez charger les conditions depuis un fichier InDesign vers InDesign et InCopy. Les ensembles chargés ignorent les paramètres de visibilité des conditions actives dans le panneau Texte conditionnel. Synchroniser les conditions dans un livre Pour vous assurer d’utiliser les mêmes conditions dans tous les documents d’un livre, créez les conditions de votre choix dans le document de source des styles, sélectionnez l’option Paramètres de texte conditionnel dans la boîte de dialogue Options de synchronisation, et synchronisez le livre. Afficher ou masquer les indicateurs de condition Choisissez l’option Afficher ou Masquer dans le menu Indicateurs du panneau Texte conditionnel pour afficher ou masquer les indicateurs de condition. Si vous affichez une version et souhaitez voir les domaines conditionnels, affichez les indicateurs de condition. Si vous trouvez les indicateurs de condition gênants pour la visualisation de la mise en page, masquez-les. Choisissez l’option Afficher et imprimer pour imprimer les indicateurs de condition. Modifier le nom d’une condition Dans le panneau Texte conditionnel, cliquez sur une condition, marquez une pause, puis cliquez sur le nom de la condition pour la sélectionner. Saisissez un autre nom. Modifier les indicateurs de condition Dans le panneau Texte conditionnel, cliquez deux fois sur une condition ou
A l’aide de la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer, recherchez le texte auquel une ou plusieurs conditions ont été appliquées et remplacez-le par une ou plusieurs autres conditions. 1 Affichez le texte conditionnel à inclure dans la recherche.
2 Choisissez Edition > Rechercher/Remplacer. 3 Si les zones Rechercher le format et Remplacer le format n’apparaissent pas en bas de la boîte de dialogue, cliquez
4 Cliquez sur la zone Rechercher le format pour afficher la boîte de dialogue Rechercher un format. Dans le menu
Cette fonction recherche le texte correspondant parfaitement aux conditions sélectionnées. Par exemple, si vous sélectionnez Condition 1 et Condition 2, le texte auquel une seule des conditions est appliquée n’est pas trouvé ; il en va de même pour le texte auquel une troisième condition est appliquée en plus de ces deux conditions. 5 Cliquez sur la zone Remplacer le format pour afficher la boîte de dialogue Modifier le format. Spécifiez l’option de
pour remplacer la condition.
Présentation de la fonction de recherche et remplacement La boîte de dialogue Rechercher/Remplacer contient des onglets qui vous permettent de spécifier ce que vous voulez rechercher et modifier.
Glyphe Recherchez et remplacez des glyphes à l’aide des valeurs Unicode ou GID/CID, qui sont particulièrement pratiques pour les langues asiatiques. Objet Recherchez et remplacez les effets et les attributs de mise en forme dans les objets et les blocs. Par exemple, vous pouvez rechercher des objets avec un contour de 4 points et remplacer celui-ci par une ombre portée.
Rechercher une police au lieu de Rechercher/Remplacer.
« Recherche et remplacement de polices » à la page 170
1 Pour rechercher une portion de texte ou un article, sélectionnez le texte ou placez le point d’insertion dans l’article.
2 Choisissez Edition > Rechercher/Remplacer, puis cliquez sur l’onglet Texte. 3 Spécifiez l’étendue de votre recherche dans le menu Rechercher, puis cliquez sur les icônes pour inclure les calques
4 Dans le champ Rechercher, décrivez l’objet de votre recherche :
• Pour rechercher ou remplacer les tabulations, les espaces ou autres caractères spéciaux, sélectionnez un caractère représentatif (métacaractère) dans le menu déroulant à droite du champ Rechercher. Vous pouvez également choisir les options de caractères génériques, tels que Chiffre quelconque ou Caractère quelconque.
5 Dans la zone Remplacer par, entrez ou collez le texte de remplacement. Vous pouvez également sélectionner un
6 Cliquez sur Rechercher. 7 Pour poursuivre la recherche, cliquez sur Suivant, Modifier (pour modifier l’occurrence courante), Tout remplacer
Si vous changez d’avis à propos du remplacement de texte, sélectionnez Edition > Annuler Remplacer le texte (ou Annuler Remplacer tout le texte). Pour rechercher l’occurrence suivante d’une expression préalablement recherchée sans ouvrir la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer, sélectionnez Edition > Suivant. En outre, les chaînes de texte précédemment recherchées sont enregistrées dans la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer. Vous pouvez rechercher une chaîne de texte dans le menu à droite de l’option.
1 Choisissez Edition > Rechercher/Remplacer. 2 Cliquez sur Plus d’options pour afficher des options supplémentaires pour rechercher et modifier le format. 3 Cliquez deux fois sur la zone Rechercher le format ou cliquez sur l’icône Spécifier les attributs à rechercher
4 Dans la zone de gauche de la boîte de dialogue Rechercher un format, sélectionnez un type de mise en forme, puis
Certaines options de mise en forme OpenType s’affichent sous Options OpenType et sous Formats de caractères de base (menu Position). Pour plus de détails sur OpenType et les autres attributs de mise en forme, recherchez les rubriques connexes dans l’aide d’InDesign. Remarque : pour ne rechercher (ou remplacer) que des éléments de mise en forme, laissez les zones Rechercher ou Remplacer par vides. 5 Si vous souhaitez appliquer une mise en forme au texte trouvé, cliquez sur la zone Modifier le format ou cliquez sur
6 Utilisez les boutons de recherche et de remplacement pour modifier le texte mis en forme.
Pour supprimer rapidement tous les attributs de mise en forme dans les zones Rechercher le format ou Modifier le format, cliquez sur le bouton Effacer dans la section appropriée.
Recherche par caractères génériques Spécifiez les caractères génériques, tels que Chiffre quelconque ou Espace
« bulle », « balle », « belle » et « bille » seront recherchés. Vous pouvez saisir les caractères génériques ou choisir une option dans le sous-menu Caractères génériques dans le menu déroulant en regard du champ Rechercher. Presse-papiers pour les recherches de métacaractères Pour rechercher des métacaractères (tiret cadratin ou puce, par exemple), vous pouvez sélectionner d’abord le texte, puis le coller dans la zone Rechercher ; cela vous évite de saisir les métacaractères. InDesign convertit automatiquement les caractères spéciaux collés en métacaractères équivalents.
Texte Recherche et suppression de texte indésirable Pour supprimer du texte indésirable, définissez le texte à supprimer dans la zone Rechercher, puis laissez la zone Remplacer par vide (assurez-vous qu’aucune mise en forme n’est définie dans cette zone). Balisage XML Vous pouvez appliquer des balises XML au texte que vous recherchez.
Menu Chercher dans Contient les options déterminant la portée de la recherche.
• Article Sélectionnez Article pour effectuer une recherche sur tout le texte du bloc sélectionné et sur le texte des blocs de texte liés et le texte en excès. Sélectionnez Articles pour effectuer la recherche sur les articles de tous les blocs sélectionnés. Cette option apparaît uniquement si un bloc de texte est sélectionné ou si un point d’insertion est placé. • Jusqu’à la fin de l’article Recherche à partir du point d’insertion. Cette option apparaît uniquement si un point d’insertion est placé.
Recherche du texte sur des calques qui ont été verrouillés à l’aide de la boîte de dialogue Options de calque. Vous ne pouvez pas remplacer du texte sur des calques verrouillés.
Recherche du texte dans les articles qui ont été extraits dans Adobe Version Cue ou qui font partie d’un flux de production InCopy. Vous ne pouvez pas remplacer du texte dans des articles verrouillés.
Options de calque. Lorsque vous trouvez du texte sur un calque masqué, vous pouvez apercevoir une zone en surbrillance à l’emplacement du texte, mais vous ne pouvez pas voir le texte. Vous pouvez remplacer du texte sur des calques masqués.
Inclure les gabarits
Recherche le ou les mots dont la casse correspond exactement à celle du texte dans la zone Rechercher. Par exemple, si vous recherchez « PréPresse », les occurrences « Prépresse », « prépresse » ou « PREPRESSE » ne seront pas localisées.
2 Dans le bas de la boîte de dialogue, spécifiez l’étendue de la recherche, puis cliquez sur les icônes pour inclure des
3 Dans la zone Rechercher, utilisez l’une des méthodes suivantes pour construire une expression GREP :
• Cliquez sur l’icône Caractères spéciaux pour la recherche à droite de l’option Rechercher et choisissez les options des sous-menus Emplacements, Répétition, Correspondance, Touches de modification et Posix pour vous aider à créer l’expression de recherche. 4 Dans la zone Remplacer par, entrez ou collez le texte de remplacement. 5 Cliquez sur Rechercher. 6 Pour poursuivre la recherche, cliquez sur Suivant, Modifier (pour modifier l’occurrence active), Tout remplacer
Vous pouvez également utiliser les styles GREP pour appliquer un style de caractère à un texte conforme à une expression GREP. En fait, la boîte de dialogue Styles GREP est un bon moyen de tester votre expression GREP. Ajoutez les exemples que vous voulez rechercher dans un paragraphe, puis définissez un style de caractère et une expression GREP dans la boîte de dialogue Styles GREP. Lorsque vous activez le mode Aperçu, vous pouvez modifier l’expression jusqu’à ce qu’elle s’adapte correctement à tous les exemples.
« Création de styles GREP » à la page 205 « Métacaractères de recherche » à la page 165
« ^ » (par exemple, « ^t » pour un onglet) et ceux de l’onglet GREP par le symbole « \ » (par exemple, « \t » pour un onglet). Cependant, tous les métacaractères n’obéissent pas à cette règle. Par exemple, le retour chariot est noté « ^p » dans l’onglet Texte et « \r » dans l’onglet GREP. Pour obtenir la liste des métacaractères utilisés pour les onglets Texte et GREP, reportez-vous à la section « Métacaractères de recherche » à la page 165.
Supposons que vous souhaitez rechercher tous les mots entre guillemets (comme « Espagne ») et que vous voulez supprimer les guillemets et appliquer un style à ces mots (de façon à ce que « Espagne » devienne Espagne). L’expression (")(\W+)(") inclut trois associations, comme indiqué par les parenthèses ( ). Les première et troisième associations indiquent que vous recherchez tous les guillemets ; la deuxième association signale que vous recherchez un ou plusieurs caractères de mot. Vous pouvez utiliser les expressions de texte recherché pour renvoyer à ces associations. Par exemple, $0 renvoie à tout le texte recherché et $2 uniquement à la deuxième association. Si vous insérez $2 dans le champ Remplacer par et que vous spécifiez un style de caractère dans le champ Remplacer le format, vous pouvez rechercher un mot entre guillemets, puis le remplacer par un style de caractère. Si seul $2 est spécifié, les associations $1 et $3 sont supprimées (si vous précisez $0 ou $1$2$3 dans le champ Remplacer par, le style de caractère est également appliqué aux guillemets).
\(?(\d\d\d)\)?[-. ]?(\d\d\d)[-. ]?(\d\d\d\d) Aux Etats-Unis, les numéros de téléphone peuvent apparaître sous de multiples formes, telles que 206-555-3982, (206) 555-3982, 206.555.3982 ou 206 555 3982. Avec cette chaîne, vous recherchez toutes les variantes possibles. Les trois premiers chiffres (\d\d\d) du numéro de téléphone peuvent être ou non entre parenthèses, c’est pourquoi un point d’interrogation apparaît après chaque parenthèse : \(? et \)?. Notez que la barre oblique inverse \ indique que l’on recherche une véritable parenthèse et qu’il ne s’agit pas d’une sous-expression. Tout caractère situé entre crochets [ ] est recherché ; dans cet exemple, [-. ] indique donc que l’on recherche un tiret, un point ou une espace. Le point d’interrogation situé après les crochets indique que les éléments entre crochets sont facultatifs lors de la recherche. Enfin, les chiffres sont entre parenthèses, ce qui signifie que les associations peuvent être signalées dans le champ Remplacer par. Vous pouvez modifier les références des associations dans le champ Remplacer par selon vos besoins. Par exemple, vous pouvez utiliser les expressions suivantes : 206.555.3982 = $1.$2.$3 206-555-3982 = $1-$2-$3 Lookbehind négatif (?<!motif) et positif (?<=motif).
Texte ou GREP de la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer. Pour ne pas perdre de temps à corriger les erreurs de ponctuation, enregistrez les chaînes de recherche sous forme de requêtes. Caractère :
Assurez-vous que les catégories que vous voulez rechercher apparaissent avec l’état adéquat. Vous pouvez activer, désactiver ou ignorer chaque catégorie d’Effets. Par exemple, si vous activez l’effet Ombre portée, la mise en forme de l’ombre portée est incluse dans la recherche ; si vous désactivez l’effet Ombre portée, votre recherche porte que les objets dont la mise en forme de l’ombre portée est désactivée ; si vous ignorez l’effet Ombre portée, les ombres portées ne sont pas incluses dans la recherche. 5 Si vous souhaitez appliquer une mise en forme à l’objet trouvé, cliquez sur la zone Remplacer le format de l’objet
6 Utilisez les boutons de recherche et de remplacement pour modifier les objets mis en forme.
La section Glyphe de la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer est particulièrement utile pour remplacer les glyphes qui partagent la même valeur unicode que les autres glyphes semblables, comme par exemple les variantes de glyphes. 1 Choisissez Edition > Rechercher/Remplacer. 2 Dans le bas de la boîte de dialogue, spécifiez une étendue dans le menu Rechercher, puis cliquez sur les icônes pour
3 Sous Rechercher un glyphe, sélectionnez les options Famille de polices et Style de police dans lesquelles le glyphe
Le menu Famille de polices affiche uniquement les polices qui sont appliquées au texte dans le document actif. Les polices de styles non utilisés n’apparaissent pas. 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour entrer le glyphe que vous voulez rechercher dans la zone du glyphe :
Vous pouvez utiliser d’autres méthodes pour entrer le glyphe que vous voulez rechercher dans la zone Glyphe. Sélectionnez un glyphe dans la fenêtre du document et choisissez Charger le glyphe sélectionné dans Rechercher dans le menu contextuel, ou sélectionnez un glyphe dans le panneau Glyphes puis choisissez Charger un glyphe dans Rechercher dans le menu contextuel. 5 Sous Remplacer le glyphe, entrez le glyphe de remplacement à l’aide des mêmes techniques utilisées pour entrer le
Utilisez la commande Rechercher une police pour rechercher et répertorier les polices utilisées dans le document. Vous pouvez alors remplacer toutes les polices (sauf les polices des graphiques importés) par une autre police disponible sur votre ordinateur. Vous pouvez même remplacer une police faisant partie d’un style de texte. Tenez compte des points suivants :
• Dans la boîte de dialogue Rechercher une police, des icônes identifient le type de police ou l’état de la police : polices de Type 1
Rechercher. Le texte utilisant cette police apparaît. Le bouton Rechercher n’est pas disponible si la police sélectionnée est utilisée dans un graphique importé ou si plusieurs polices sont sélectionnées dans la liste.
Si le format de fichier du graphique sélectionné ne fournit pas d’informations sur le type de police, celui-ci risque d’être indiqué comme Indéterminé. Les polices des graphiques bitmap, tels que les images TIFF, ne s’affichent pas dans la liste, car elles ne sont pas considérées comme des caractères. 5 Pour remplacer une police, sélectionnez la nouvelle police à utiliser dans la liste Remplacer par, puis utilisez l’une
• Pour remplacer toutes les instances de la police sélectionnée dans la liste, cliquez sur Tout remplacer. Activez l’option Redéfinir le style avec Tout remplacer si vous souhaitez redéfinir tout style de paragraphe ou de caractère comprenant la police recherchée. Lorsqu’il n’existe plus aucune occurrence d’une police dans le fichier, son nom est supprimé de la liste Polices du document. Remarque : pour modifier des polices dans des graphiques importés, utilisez le programme d’exportation d’origine du graphique, puis remplacez le graphique ou mettez à jour le lien dans le panneau Liens. 6 Si vous avez cliqué sur Modifier, cliquez sur Suivant pour atteindre l’occurrence suivante de la police. 7 Cliquez sur Terminer.
Pour afficher le dossier système dans lequel une police apparaît, sélectionnez la police dans la boîte de dialogue Rechercher une police et choisissez Faire apparaître dans l’Explorateur (Windows) ou Faire apparaître dans le Finder (Mac OS).
Vous pouvez rechercher et remplacer du texte, des objets et des glyphes en utilisant ou en créant une requête. Une requête est une opération de recherche et de remplacement prédéfinie. InDesign inclut plusieurs requêtes prédéfinies pour modifier les formats de ponctuation et d’autres actions utiles, telles que la modification des formats de numéro de téléphone. En enregistrant une requête que vous avez créée, vous pouvez l’exécuter à nouveau ultérieurement et la partager.
1 Choisissez Edition > Rechercher/Remplacer. 2 Choisissez une requête dans la liste Requête.
3 Spécifiez une étendue de recherche dans le menu Rechercher.
4 Cliquez sur Rechercher. 5 Pour poursuivre la recherche, cliquez sur Suivant, Remplacer (pour modifier le dernier texte ou la dernière marque
Remplacer/Rechercher (pour modifier le texte ou des marques de ponctuation et continuer votre recherche). Après avoir sélectionné une requête de recherche, vous pouvez ajuster les paramètres pour affiner votre recherche.
Enregistrez une requête dans la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer si vous voulez l’exécuter à nouveau ultérieurement ou la partager. Les noms des requêtes que vous enregistrez s’affichent dans la liste Requête dans la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer. 1 Choisissez Edition > Rechercher/Remplacer. 2 Sélectionnez Texte, GREP ou un autre onglet pour effectuer la recherche que vous voulez.
Ces éléments sont inclus dans la requête enregistrée. Toutefois l’étendue de la recherche n’est pas enregistrée dans la requête. 4 Définissez les champs Rechercher et Remplacer par (voir les sections « Métacaractères de recherche » à la page 165
5 Cliquez sur le bouton Enregistrer dans la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer, puis entrez un nom pour la
Si vous utilisez le nom d’une requête existante, vous devrez le changer. Cliquez sur Oui si vous voulez mettre à jour la requête existante.
❖ Sélectionnez une requête dans la liste Requête, puis cliquez sur le bouton Supprimer la requête.
Les requêtes personnalisées sont enregistrées sous forme de fichiers XML. Les noms des requêtes personnalisées s’affichent dans la liste Requête dans la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer. ❖ Pour charger une requête qui vous a été donnée pour qu’elle apparaisse dans la liste Requête, copiez le fichier de
Mac OS Users\[nom d’utilisateur]\Bibliothèque\Preferences\Adobe InDesign\[Version]\[Langue]\Find-Change
Windows XP Documents and Settings\[nom d’utilisateur]\Application Entrez des glyphes à l’aide du panneau Glyphes. Le panneau affiche automatiquement les glyphes de la police sur laquelle le curseur est situé, mais vous pouvez afficher une autre police, afficher un style de caractère dans la police (Light, Regular ou Bold, par exemple) et faire en sorte que le panneau affiche un sous-ensemble de glyphes dans la police (des symboles mathématiques, des numéros ou des symboles de ponctuation, par exemple).
Texte Pour ouvrir le panneau Glyphes ❖ Choisissez la commande Texte > Glyphes ou Fenêtre > Texte et tableaux > Glyphes.
• Cliquez sur l’objet d’interface de cycle (situé à gauche du mot « Glyphes » sur le panneau Glyphes) pour modifier les vues du panneau. Cliquez sur l’objet d’interface pour afficher les vues successivement : le panneau réduit, le panneau entier et le panneau sans les glyphes récemment utilisés.
• Redimensionnez le panneau Glyphes en faisant glisser le coin inférieur droit.
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes pour déterminer quels glyphes s’affichent dans le panneau Glyphes :
• Choisissez une option sous Police entière pour réduire la liste à un sous-ensemble de glyphes. Par exemple, Ponctuation affiche uniquement les glyphes de ponctuation ; Symboles mathématiques réduit le choix aux symboles mathématiques.
❖ Choisissez Par CID / GID ou Par Unicode pour déterminer la manière dont les glyphes sont triés dans le panneau
Un glyphe est une forme spéciale d’un caractère. Par exemple, dans certaines polices, la lettre majuscule A est disponible sous plusieurs formes, telles qu’une lettre italique ornée et en petite majuscule. Vous pouvez utiliser le panneau Glyphes pour rechercher un glyphe dans une police.
Texte Vous pouvez insérer des caractères spéciaux tels qu’un tiret cadratin, un tiret demi-cadratin, un symbole de marque déposée et des points de suspension. 1 Sélectionnez l’outil Texte, puis placez le point d’insertion à l’endroit où vous voulez insérer un caractère. 2 Choisissez Texte > Insérer un caractère spécial >, puis sélectionnez une option de l’une des catégories du menu.
« Création et modification de jeux de glyphes personnalisés » à la page 176
1 Sélectionnez l’outil Texte, puis cliquez pour placer le point d’insertion à l’endroit où vous voulez insérer un
2 Choisissez Texte > Glyphes pour afficher le panneau Glyphes. 3 Pour afficher un autre jeu de caractères dans le panneau Glyphes, utilisez l’une des méthodes suivantes :
4 Faites défiler les caractères jusqu’à ce que le glyphe que vous voulez insérer apparaisse. Si vous avez sélectionné une
5 Cliquez deux fois sur le caractère à insérer. Le caractère apparaît au niveau du point d’insertion.
InDesign répertorie les 35 derniers glyphes que vous avez insérés et les rend disponibles dans la section Récemment utilisés à la première ligne du panneau Glyphes (vous devez développer le panneau pour afficher les 35 glyphes sur la première ligne). ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Choisissez Glyphes récents dans la liste Afficher pour afficher tous les glyphes récemment utilisés dans la partie principale du panneau Glyphes, puis cliquez deux fois sur un glyphe.
Texte (Windows®) ou cliquez en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) sur un glyphe dans la section Récemment utilisés, puis choisissez l’option Supprimer le glyphe des éléments récemment utilisés.
Lorsqu’un caractère inclut des variantes de glyphes, il s’affiche dans le panneau Glyphes avec une icône en forme de triangle dans le coin inférieur droit. Cliquez sur le caractère dans le panneau Glyphes et maintenez le bouton de la souris enfoncé pour afficher un menu déroulant des variantes de glyphes ou affichez les variantes de glyphes dans le panneau Glyphes.
2 Sélectionnez Variantes de sélection dans la liste Afficher. 3 A l’aide de l’outil Texte, sélectionnez un caractère dans le document. 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour remplacer le caractère sélectionné dans le document :
• Sélectionnez un glyphe dans le menu.
Pour une sélection aisée, le panneau Glyphes vous permet d’afficher des caractères pour les attributs OpenType sélectionnés uniquement. Vous pouvez sélectionner différentes options dans le menu afficher du panneau Glyphes.
Texte 2 Choisissez une option dans le menu Afficher.
OpenType, reportez-vous à la section « Application d’attributs de police OpenType » à la page 240. Pour plus de détails sur les polices OpenType, reportez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/opentype_fr.
1 Choisissez Edition > Préférences > Composition (Windows) ou InDesign > Préférences > Composition (Mac OS). 2 Sélectionnez Glyphes remplacés, puis cliquez sur OK. Les glyphes remplacés dans le texte s’affichent en surbrillance
Un jeu de glyphes est un ensemble nommé de glyphes provenant d’une ou de plusieurs polices. Le fait d’enregistrer les glyphes les plus fréquemment utilisés vous évite d’avoir à les rechercher à chaque fois que vous en avez besoin. Les jeux de glyphes ne sont pas liés à un document en particulier. Ils sont enregistrés avec d’autres préférences Indesign dans un fichier séparé qui peut être partagé. Vous pouvez choisir de mémoriser la police associée à un glyphe que vous ajoutez. L’option de mémorisation des polices est utile, notamment lorsque vous travaillez avec des caractères dingbat susceptibles d’apparaître dans d’autres polices. Dans le cas où la police d’un glyphe est mémorisée, mais manquante, le carré de la police s’affiche en rose dans le panneau Glyphes et la boîte de dialogue Modifier le jeu de glyphes. Si la police n’est pas mémorisée en même temps que le glyphe que vous ajoutez, un « u » s’affiche en regard du glyphe pour indiquer que c’est la valeur unicode de la police qui détermine l’apparence du glyphe.
1 Sélectionnez Texte > Glyphes. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Ouvrez le menu contextuel dans le panneau Glyphes, puis choisissez Nouveau jeu de glyphes.
Texte Insérer devant Chaque nouveau glyphe apparaît en premier dans la liste. Ajouter à la fin Chaque nouveau glyphe apparaît en dernier dans la liste. Valeur Unicode Tous les glyphes sont répertoriés dans l’ordre de leur valeur unicode.
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes dans le panneau Glyphes :
• Dans le menu du panneau Glyphes, choisissez Afficher le jeu de glyphes, puis le nom du jeu de glyphes.
1 Choisissez Modifier le jeu de glyphes dans le menu du panneau Glyphes, puis choisissez le jeu de glyphes
2 Sélectionnez le glyphe à modifier, effectuez l’une des opérations suivantes, puis cliquez sur OK :
été définie au préalable pour pouvoir être modifiée.
• Pour modifier l’ordre des glyphes ajoutés au jeu, choisissez une option Ordre d’insertion. Valeur Unicode n’est pas disponible si Insérer devant ou Ajouter à la fin était sélectionné au moment de la création du jeu de glyphes.
1 Dans le menu Afficher du panneau Glyphes, sélectionnez le jeu de glyphes personnalisé. 2 Cliquez avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) sur
1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Dans le menu contextuel, choisissez Supprimer le jeu de glyphes. 2 Cliquez sur le nom d’un jeu de glyphes personnalisé. 3 Cliquez sur le bouton Oui pour confirmer.
Texte Texte de la boîte de dialogue Préférences.
« Création de ponctuation en retrait » à la page 258
1 Choisissez Edition > Préférences > Dictionnaire (Windows) ou InDesign > Préférences > Dictionnaire (Mac OS). 2 Choisissez une langue dans le menu Langue. 3 Utilisez l’une des méthodes suivantes, puis cliquez sur OK :
• Pour Guillemets simples, sélectionnez ou saisissez une paire de guillemets.
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
(apostrophe). Un vingt-quatrième de la largeur d’une espace cadratin.
Lorsque vous vérifiez l’orthographe du texte, le dictionnaire correspondant aux langues que vous avez attribuées au texte de votre document est utilisé. Vous pouvez ajouter rapidement des mots au dictionnaire.
« Césure et dictionnaires » à la page 182 « Affectation d’une langue à un texte » à la page 250
Texte • Sélectionnez Mots en minuscule pour rechercher les mots (tels qu’« allemagne ») qui sont répertoriés dans le dictionnaire avec une majuscule (« Allemagne »).
3 Sélectionnez Activer la vérification orthographique dynamique pour souligner les mots potentiellement mal
4 Spécifiez la couleur à utiliser pour souligner les mots mal orthographiés (mots non trouvés dans les dictionnaires
1 Si votre document contient du texte en langue étrangère, sélectionnez le texte et utilisez le menu Langue du
2 Choisissez Edition > Orthographe > Orthographe.
3 Si vous souhaitez modifier l’étendue de la vérification orthographique, utilisez l’une des méthodes suivantes, puis
Sélectionnez Articles pour vérifier les articles de tous les blocs sélectionnés.
• Sélectionnez Sélection pour ne vérifier que le texte sélectionné. Cette option n’est disponible que si du texte est sélectionné. 4 Lorsqu’un mot inconnu ou mal orthographié ou d’autres erreurs éventuelles s’affichent, choisissez l’une des options
• Cliquez sur Dictionnaire pour afficher la boîte de dialogue Dictionnaire, spécifiez un dictionnaire et une langue et spécifiez les césures du mot ajouté. Si vous voulez ajouter ce mot dans toutes les langues, choisissez la commande Toutes les langues dans le menu Langue. Cliquez sur Ajouter.
Texte Correction automatique des erreurs de casse. Il n’est pas nécessaire d’entrer les mots en capitales dans la liste de corrections automatiques. 5 Pour ajouter un mot que vous avez tendance à mal orthographier, cliquez sur Ajouter, entrez le mot mal
6 Une fois tous les mots souvent mal orthographiés entrés, cliquez sur OK.
Pour supprimer des mots que vous avez ajoutés à la liste de corrections automatiques, sélectionnez-les, puis cliquez sur le bouton Supprimer. Pour modifier des mots de la liste de corrections automatiques, sélectionnez-les, cliquez sur le bouton Modifier, effectuez les corrections nécessaires, puis cliquez sur le bouton OK.
Lorsque la fonction de vérification orthographique dynamique est activée, vous pouvez corriger les fautes d’orthographe et de frappe en utilisant le menu contextuel. Les mots potentiellement mal orthographiés sont soulignés (selon le dictionnaire associé à la langue du texte). Si vous entrez du texte dans une langue différente, sélectionnez le texte et définissez la langue correspondante. 1 Pour activer la vérification orthographique dynamique, choisissez Edition > Orthographe > Vérification
Les mots potentiellement mal orthographiés sont soulignés dans votre document. 2 Cliquez sur le mot souligné avec le bouton droit de la souris (Windows) ou tout en cliquant sur la touche Contrôle
• Sélectionnez Dictionnaire pour ouvrir la boîte de dialogue Dictionnaire. Sélectionnez le dictionnaire cible, changez les césures et spécifiez la langue. Si vous voulez ajouter ce mot dans toutes les langues, choisissez la commande Toutes les langues dans le menu Langue, puis cliquez sur le bouton Ajouter. Le mot est ajouté au dictionnaire et reste inchangé dans le texte.
InDesign utilise les dictionnaires Proximity pour la plupart des langues pour vérifier l’orthographe et la césure des mots. Vous pouvez ajouter des mots à chaque dictionnaire pour le personnaliser. Vous pouvez assigner différentes langues au texte, puis InDesign utilise le dictionnaire adéquat pour vérifier l’orthographe et la césure des mots. Vous pouvez créer des dictionnaires personnels supplémentaires, puis les importer ou les exporter sous forme de listes de mots enregistrées sous un fichier de texte brut. Lorsque vous personnalisez les mots d’un dictionnaire, vous créez des listes de mots ajoutés (c’est-à-dire qui ne sont pas déjà dans le dictionnaire) et de mots supprimés (mots compris dans le dictionnaire que vous souhaitez voir indiqués comme potentiellement mal orthographiés). La boîte de dialogue Dictionnaire permet d’afficher et de modifier les mots ajoutés, les mots supprimés et les mots ignorés (mots qui sont ignorés pour la session en cours parce que vous avez cliqué sur Tout ignorer). Vous pouvez ajouter des mots s’appliquant à toutes les langues. Cette possibilité est très utile dans le cas de noms de famille, noms de rues et autres éléments non spécifiques à une langue donnée. Si vous souhaitez utiliser les dictionnaires de langue d’une version précédente d’InDesign ou InCopy, utilisez la commande Rechercher pour localiser les fichiers de dictionnaire utilisateur (.idc), puis ajoutez-les à la liste de dictionnaires dans les préférences de dictionnaires. Emplacement d’enregistrement des mots de dictionnaires Par défaut, les exceptions de césure et d’orthographe sont entrées dans des fichiers de dictionnaires utilisateurs stockés hors du document, sur l’ordinateur sur lequel InDesign est installé (les noms de fichier des dictionnaires se terminent par l’extension .clam ou .not). Toutefois, vous pouvez choisir de stocker les listes d’exceptions dans les documents InDesign. Vous pouvez également stocker les listes de mots dans un dictionnaire utilisateur externe, dans le document, ou encore dans les deux. L’emplacement des dictionnaires existants apparaît dans les préférences Dictionnaire. Le stockage des exceptions de césure et d’orthographe dans un document permet de faciliter la conservation de la composition de texte lors du transfert du document vers d’autres ordinateurs. Pour cette raison, vous pouvez fusionner le dictionnaire utilisateur avec le document dans les préférences de dictionnaire. Vous pouvez également choisir l’emplacement des exceptions dans la boîte de dialogue Créer dossier Assemblage (voir la section « Assemblage de fichiers » à la page 658). En revanche, le stockage d’une liste d’exceptions indépendamment du document facilite l’utilisation de la même liste pour plusieurs documents. Remarque : si le dictionnaire utilisateur est fusionné dans la liste des exceptions, le dictionnaire personnel entier est ajouté au document, même si les mots ne sont pas utilisés, ce qui accroît par conséquent la taille de fichier du document. Pour appliquer des langues au texte Utilisez le menu Langue du panneau Contrôle ou Caractère pour appliquer une langue au texte sélectionné. Vous pouvez également spécifier une langue par défaut pour un document entier ou pour tous les documents ultérieurs (voir la section « Affectation d’une langue à un texte » à la page 250). Listes d’exceptions Vous pouvez exclure certains termes. Ainsi, si vous souhaitez utiliser une orthographe différente pour un nom commun tel que « bicyclette » (pour un document spécifique ou parce que c’est le nom de votre société par exemple), ajoutez le mot à la liste des mots exclus afin qu’il soit soumis lors d’une vérification orthographique. InDesign peut conserver un ensemble indépendant de mots ajoutés et supprimés pour chaque langue installée.
3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Spécifiez le nom et l’emplacement du dictionnaire personnel (avec l’extension .udc), et cliquez sur Enregistrer.
Remarque : si vous ne trouvez pas le fichier de dictionnaire, utilisez la commande Rechercher du système pour rechercher les fichiers .udc (entrez *.udc), notez l’emplacement, puis réessayez. Le dictionnaire est ajouté à la liste dans le menu Langue. Vous pouvez ajouter des mots au dictionnaire pendant la vérification de l’orthographe ou en faisant appel à la boîte de dialogue Dictionnaire.
Vous pouvez modifier le dictionnaire de langue par défaut pour un document ou pour tous les documents que vous créez. Le changement de dictionnaire par défaut dans un document existant n’affecte pas le texte qui a déjà été créé ou le texte que vous entrez dans un bloc de texte existant. Utilisez le panneau Styles de caractère ou Styles de paragraphe pour définir un dictionnaire spécifique pour un style spécifique. Le menu Langue apparaît dans la section Formats de caractères avancés. 1 Ouvrez le document. 2 Sélectionnez l’outil Sélection dans la barre d’outils et assurez-vous qu’aucun élément n’est sélectionné dans le
3 Sélectionnez Texte > Caractère. 4 Choisissez le dictionnaire souhaité dans le menu Langue du panneau Caractère. Si l’option Langue n’apparaît pas Définition du dictionnaire de langue par défaut pour tous les nouveaux documents 1 Démarrez InDesign, mais n’ouvrez pas de document. 2 Sélectionnez Texte > Caractère. 3 Choisissez le dictionnaire souhaité dans le menu déroulant Langue du panneau Caractère. Si l’option Langue
1 Choisissez Edition > Préférences > Dictionnaire (Windows) ou InDesign > Préférences > Dictionnaire (Mac OS). 2 Dans le menu Langue, choisissez la langue du dictionnaire. 3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Ajout de mots aux dictionnaires Si, lors de la vérification orthographique, InDesign affiche un mot inconnu dans la boîte de dialogue Orthographe, sélectionnez le dictionnaire dans le menu Ajouter à, puis cliquez sur Ajouter. Vous pouvez aussi faire appel à la boîte de dialogue Dictionnaire pour spécifier le dictionnaire et la langue cible et pour préciser la façon dont les mots sont ajoutés à la liste des exceptions. 1 Choisissez Edition > Orthographe > Dictionnaire. 2 Dans le menu Langue, choisissez une langue. Chaque langue contient au moins un dictionnaire. Si vous voulez
3 Dans le menu Cible, choisissez le dictionnaire où stocker le mot. Le menu Cible permet de stocker les modifications
4 Dans le menu Listes du dictionnaire, choisissez Mots ajoutés. 5 Dans la zone Mot, saisissez ou modifiez le mot à ajouter à la liste. 6 Cliquez sur Césure pour afficher la césure par défaut du mot. Les tildes (~) indiquent les points de césure possibles. 7 Si le choix ne vous satisfait pas, utilisez les instructions suivantes pour indiquer la césure à privilégier pour ce mot :
• Si un autre point de césure est envisageable, entrez deux tildes (~~) pour indiquer ce second point. • Entrez trois tildes (~~~) pour indiquer un point de césure peu approprié mais acceptable. • Si vous voulez que le mot ne soit jamais coupé, entrez un tilde avant sa première lettre. Si vous avez besoin d’inclure le signe tilde dans un mot, entrez une barre oblique inverse avant le tilde (\~). 8 Cliquez sur Ajouter, puis sur Terminer. Le mot est ajouté aux listes du dictionnaire sélectionnées.
1 Choisissez Edition > Orthographe > Dictionnaire. 2 Dans le menu Langue, choisissez une langue. 3 Dans le menu Cible, choisissez le dictionnaire dans lequel vous voulez supprimer le mot. Le menu Cible vous
4 Dans le menu Listes du dictionnaire, utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour modifier la liste de mots indiqués comme mal orthographiés, choisissez Mots supprimés. • Pour modifier la liste de mots ignorés lors de la session InDesign en cours, choisissez Mots ignorés. Cette liste comprend tous les mots pour lesquels vous avez choisi Tout ignorer. 5 Dans la liste de mots, modifiez le mot, ou sélectionnez-le et cliquez sur Supprimer.
Texte 2 Choisissez la langue dans le menu Langue, puis, dans le menu Cible, choisissez le dictionnaire qui contient la liste
3 Cliquez sur Exporter, entrez le nom du fichier et son emplacement, puis cliquez sur Enregistrer.
1 Choisissez Edition > Orthographe > Dictionnaire. 2 Choisissez la langue dans le menu Langue et le dictionnaire dans le menu Cible. 3 Cliquez sur Importer, recherchez le fichier texte contenant la liste des exceptions, puis cliquez sur Ouvrir.
Utilisez les préférences de dictionnaire pour définir comment InDesign doit gérer les dictionnaires et la césure. La plupart des langues d’InDesign utilisent des dictionnaires Proximity pour vérifier l’orthographe et la césure des mots. Si vous avez installé des composants orthographiques ou de césure d’une autre société, vous pouvez sélectionner un fournisseur différent pour chaque langue installée. Remarque : la boîte de dialogue Préférences du dictionnaire ne vous permet pas de spécifier le dictionnaire de langue utilisé pour vérifier l’orthographe et la césure des mots. Cette boîte de dialogue est utilisée pour spécifier quels modules externes de césure et d’orthographe InDesign utilise pour la langue spécifiée dans le champ Langue. Si vous utilisez uniquement le module externe de césure et d’orthographe par défaut, vous n’avez pas besoin de modifier les paramètres dans la boîte de dialogue Préférences de dictionnaire. Si vous installez un module externe d’orthographe et de césure différent et fourni par un éditeur tiers, celui-ci apparaît sous forme d’option des menus Césure et Orthographe de cette boîte de dialogue. Vous êtes ainsi libre de sélectionner un moteur d’orthographe ou de césure de mots pour certaines langues et un autre pour les autres langues. 1 Choisissez Edition > Préférences > Dictionnaire (Windows) ou InDesign > Préférences > Dictionnaire (Mac OS). 2 Pour Langue, spécifiez la langue dont vous voulez modifier les paramètres ou modifier le fournisseur de césure ou
3 Créez, ajoutez ou supprimez des dictionnaires personnels (voir la section « Création ou ajout de dictionnaires » à
4 Si vous disposez d’un composant de césure provenant d’une société autre qu’Adobe, vous pouvez le sélectionner
5 Si vous disposez d’un dictionnaire orthographique provenant d’une société autre qu’Adobe, vous pouvez le
• Pour composer le texte à l’aide de la liste des exceptions de césure stockée dans le document, choisissez Document. • Pour composer le texte à l’aide des deux listes, choisissez l’option Dictionnaire personnel et document. Il s’agit du paramètre par défaut. 7 Pour ajouter la liste des exceptions stockée dans le dictionnaire personnel externe à celle des exceptions stockée
Remarque : si vous travaillez avec de nombreux partenaires ou clients, vous pouvez désélectionner l’option Fusionner le dictionnaire personnel avec le document. Par exemple, si vous êtes un prestataire de services, vous préférez sans doute éviter de fusionner votre dictionnaire personnel avec le fichier de tous vos clients. 8 Pour recomposer tous les articles lorsque certains paramètres sont modifiés, sélectionnez Recomposer tous les
Composer avec (voir l’étape 6) ou lorsque vous utilisez la commande Dictionnaire pour ajouter ou supprimer des mots. Le temps requis pour effectuer cette opération dépend de la quantité de texte du document. 9 Cliquez sur OK.
Assurez-vous que pour chaque station de votre groupe de travail, les mêmes dictionnaires personnels sont installés et ajoutés, afin qu’un document utilise les mêmes règles orthographiques et de césure quel que soit l’utilisateur. Vous pouvez faire en sorte que tout le monde ajoute les mêmes dictionnaires à leur ordinateur, ou bien partager un dictionnaire personnel sur le serveur de réseau. Une icône de verrou indique qu’un dictionnaire est verrouillé et qu’il peut être utilisé mais pas modifié. Lorsqu’un dictionnaire personnel est stocké sur un serveur, le premier utilisateur à charger le dictionnaire verrouille le fichier. Les autres utilisateurs peuvent voir que le dictionnaire est verrouillé. Les fichiers peuvent également être verrouillés à l’aide du système d’exploitation en les déclarant en lecture seule. Si vous partagez un dictionnaire personnel sur un serveur de réseau, vous pouvez verrouiller le fichier de façon à ce que les utilisateurs puissent le consulter en lecture seule tout en permettant à l’administrateur d’ajouter des mots. Vérifiez que chaque personne du groupe de travail utilise le dictionnaire utilisateur personnalisé installé sur sa station de travail, et non le dictionnaire stocké dans un document. Toutefois, avant de livrer un document à un prestataire de services, il peut être préférable de fusionner le dictionnaire utilisateur avec le document Si vous ne partagez pas de dictionnaire utilisateur personnalisé sur une station de travail réseau partagée, localisez et copiez les fichiers de votre dictionnaire personnel d’une station de travail à une autre. L’emplacement des dictionnaires utilisateur apparaît dans les préférences de dictionnaire. Une fois que vous avez ajouté un dictionnaire personnel à une station de travail partagée, les modifications n’apparaissent pas sur les stations de travail individuelles jusqu’à ce qu’un utilisateur redémarre InDesign ou appuie sur les touches Ctrl+Alt+/ (Windows) ou Commande+Option+/ (Mac OS) pour recomposer tout le texte.
Texte Une note de bas de page est constituée de deux parties liées : le numéro de référence de la note de bas de page qui apparaît dans le texte, et le texte de la note qui apparaît au bas de la colonne. Vous pouvez créer des notes de bas de page ou les importer de Microsoft Word ou des documents RTF. Les notes de bas de page sont numérotées automatiquement au fur et à mesure que vous les ajoutez au document. La numérotation repart du début pour chaque article. Vous pouvez choisir le style, l’apparence et la mise en page des notes de bas de page. Vous ne pouvez pas ajouter de notes de bas de page à des tableaux ou au texte d’une note de bas de page. Pour consulter une vidéo sur la création de notes de bas de page, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0218_fr. 1 Placez le point d’insertion là où vous souhaitez insérer le numéro de référence de la note de bas de page. 2 Choisissez Texte > Insérer une note de bas de page. 3 Saisissez le texte de la note.
A. Numéro de référence B. Texte de la note de bas de page
Lorsque le point d’insertion se trouve dans une note de bas de page, choisissez Texte > Atteindre la référence de note de bas de page pour revenir au point du texte où vous vous trouviez. Si vous utilisez fréquemment cette option, pensez à créer un raccourci clavier.
« Importation de texte » à la page 134 Vidéo Créer des notes de pied de page
Texte Les modifications apportées à la numérotation et à la mise en page des notes de bas de page s’appliquent aux notes de bas de page existantes et à celles que vous créez ultérieurement. 1 Sélectionnez Texte > Options de note de bas de page du document. 2 Sur l’onglet Numérotation et mise en forme, sélectionnez les options qui déterminent le type de numérotation et
3 Cliquez sur l’onglet Mise en page et sélectionnez les options concernant l’aspect de la section contenant les notes
« Surimpression des filets situés au-dessus des notes de bas de page » à la page 678
Les options suivantes apparaissent dans la section Numérotation et mise en forme de la boîte de dialogue Options de note de bas de page : Style de numérotation Choisissez le style de numérotation à appliquer aux numéros de référence des notes de bas de
Début Spécifiez le numéro à utiliser pour la première note de bas de page de l’article. Tous les articles du document commenceront au numéro spécifié pour Début. Si un livre contient plusieurs documents dont les numéros de page se suivent, vous pouvez faire en sorte que les numéros des notes de bas de page de chaque chapitre reprennent là où le chapitre précédent s’est arrêté.
Recommencer la numérotation à chaque Si vous souhaitez que la numérotation recommence au début au sein d’un même document, sélectionnez cette option et choisissez la commande Page, Planche ou Section pour déterminer l’endroit où la numérotation des notes de bas de page doit repartir du début. Certains types de numérotation, comme l’astérisque (*), sont plus appropriés lorsque la numérotation reprend du début à chaque page. Afficher le préfixe/suffixe dans Sélectionnez cette option pour afficher les préfixes ou les suffixes dans la référence à la note de bas de page, le texte de la note de bas de page, ou encore dans les deux. Les préfixes apparaissent avant le numéro (par exemple [1) et les suffixes après le numéro (par exemple 1]). Cette option est particulièrement utile si vous souhaitez insérer des notes de bas de page entre des caractères, par exemple [1]. Entrez un ou plusieurs caractères ou sélectionnez une option pour Préfixe, Suffixe, ou les deux. Pour sélectionner des caractères spéciaux, cliquez sur les icônes situées en regard des commandes Préfixe et Suffixe pour afficher un menu.
Position Cette option détermine l’apparence du numéro de référence à la note de bas de page (par défaut en exposant).
Style de caractère Vous pouvez choisir un style de caractère à appliquer au numéro de référence des notes de bas de page. Par exemple, au lieu d’utiliser l’exposant, vous pouvez utiliser un style de caractère à une position normale avec une ligne de base surélevée. Le menu affiche les styles de caractères disponibles dans le panneau Styles de caractères.
Texte Séparateur Le séparateur détermine l’espace qui apparaît entre le numéro de la note de bas de page et le début du texte de la note. Pour changer le séparateur, sélectionnez ou supprimez le séparateur existant, puis choisissez un autre séparateur. Vous pouvez inclure plusieurs caractères. Pour insérer des espaces, utilisez le métacaractère approprié, comme ^m pour les espaces cadratin.
Les options suivantes apparaissent dans la section Mise en page de la boîte de dialogue Options de note de bas de page : Espace minimum avant la 1ère note de bas de page Cette option détermine l’espace minimum entre le bas de la
Espace avant du paragraphe de note de bas de page sont ignorés. Espace entre les notes de bas de page Cette option détermine la distance entre le dernier paragraphe d’une note de
Décalage de la 1re ligne de base Cette option détermine la distance entre le début de la zone de note de bas de page (là où le séparateur apparaît par défaut) et la première ligne du texte de la note de bas de page.
Placer les notes de bas de page de fin d’article en bas du texte Sélectionnez cette option si vous souhaitez que les notes de bas de page de la dernière colonne apparaissent juste sous le texte du dernier bloc de l’article. Si cette option est sélectionnée, toutes les notes de bas de page du dernier bloc de l’article apparaîtront au bas de la colonne. Autoriser le fractionnement des notes de bas de page Sélectionnez cette option si vous souhaitez que les notes de bas
Lignes solidaires et Toutes les lignes du paragraphe. Si la note de bas de page contient plusieurs paragraphes, utilisez l’option Paragraphes solidaires X lignes dans le premier paragraphe du texte de la note de bas de page. Choisissez Texte > Insérer un caractère de saut > Saut de colonne pour choisir l’emplacement du fractionnement de la note de bas de page.
Texte Suppression de notes de bas de page ❖ Pour supprimer une note de bas de page, sélectionnez le numéro de référence à la note qui apparaît dans le texte et
Tenez compte des points suivants lorsque vous modifiez un texte de note de bas de page :
Tout sélectionner, tout le texte de la note de bas de page est sélectionné, mais pas les autres notes de bas de page ni aucun autre texte.
• En Mode éditeur, vous pouvez cliquer sur l’icône de la note de bas de page pour développer ou réduire une note. Vous pouvez développer ou réduire toutes les notes de bas de page en choisissant Affichage > Mode éditeur > Développer toutes les notes de bas de page ou Réduire toutes les notes de bas de page.
• Si vous effacez les remplacements et les styles de caractère d’un paragraphe contenant un marqueur de référence de note de bas de page, les numéros de référence aux notes de bas de page perdent les attributs appliqués dans la boîte de dialogue Options de note de bas de page du document.
A propos des styles de caractère et de paragraphe Un style de caractère rassemble tous les attributs de mise en forme applicables simultanément à un texte. Un style de paragraphe comprend les attributs de mise en forme de caractère et de paragraphe, et peut être appliqué à un ou plusieurs paragraphes. Les styles de paragraphes et les styles de caractères sont disponibles à partir de panneaux différents. Les styles de paragraphe et de caractères sont parfois appelés styles de texte. Lorsque vous modifiez la mise en forme d’un style, l’ensemble du texte auquel il a été appliqué est réactualisé avec le nouveau format. Styles [Paragraphe standard] Par défaut, chaque nouveau document comprend un style [Paragraphe standard] qui s’applique au texte saisi. Vous pouvez modifier ce style, mais vous ne pouvez pas le renommer, ni le supprimer. Vous pouvez renommer et supprimer uniquement les styles que vous créez. Vous pouvez également sélectionner un autre style par défaut pour l’appliquer au texte. Attributs de style de caractère Contrairement aux styles de paragraphe, les styles de caractère ne comprennent pas tous les attributs de mise en forme du texte sélectionné. Lorsque vous créez un style de caractère, InDesign enregistre uniquement dans ce style les attributs différents de la mise en forme du texte sélectionné. Ainsi, vous pouvez créer un style de caractère qui, lorsqu’il est appliqué au texte, ne modifie que certains attributs, tel que la famille et la taille de la police, tout en ignorant tous les autres attributs de caractère. Si vous voulez que d’autres attributs soient enregistrés sous ce style, ajoutez-les lorsque vous modifiez le style. Style suivant Vous pouvez appliquer des styles automatiquement à mesure que vous tapez. Si, par exemple, vous souhaitez que le style « Corps de texte » soit suivi d’un style de titre appelé « Titre 1 » dans votre document, vous pouvez indiquer « Titre 1 » pour l’option Style suivant de « Corps de texte ». Après avoir saisi un paragraphe en style « Titre 1 », appuyez sur la touche Entrée ou Retour pour commencer un nouveau paragraphe en style « Corps de texte ». Si vous utilisez le menu contextuel pour appliquer un style à plusieurs paragraphes, vous pouvez choisir d’appliquer le style parent au premier paragraphe et le style suivant aux autres paragraphes (voir la section « Application de styles » à la page 195). Pour utiliser la fonction Style suivant, choisissez un style dans le menu Style suivant lors de la création ou de la modification d’un style. Pour consulter une vidéo sur l’utilisation des styles de texte, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0076_fr.
Styles à des paragraphes entiers. Les styles sont enregistrés avec un document et s’affichent dans le panneau à chaque ouverture de ce document. Lorsque vous sélectionnez du texte ou que vous placez le point d’insertion, tout style appliqué à ce texte est mis en surbrillance dans l’un des panneaux Styles, à moins que le style ne figure dans un groupe de style réduit. Si vous sélectionnez une plage de texte comprenant plusieurs styles, aucun style n’est mis en surbrillance dans le panneau Styles. Si vous sélectionnez une plage de texte à laquelle plusieurs styles sont appliqués, le panneau Styles affiche « (Mixte) ».
❖ Pour afficher le panneau Styles de paragraphe, choisissez Texte > Styles de paragraphe ou cliquez sur l’onglet Styles
❖ Choisissez Texte > Styles de caractère ou cliquez sur l’onglet Styles de caractère à droite de la fenêtre d’application.
« Regroupement de styles » à la page 212 « Création de styles imbriqués » à la page 200 « Application de styles » à la page 195 « Duplication des styles ou des groupes de styles » à la page 211
1 Pour créer un style à partir de la mise en forme d’un texte existant, sélectionnez le texte mis en forme ou placez-y
Si un groupe est sélectionné dans le panneau Styles, le nouveau style fera partie de ce groupe. 2 Choisissez Nouveau style de paragraphe dans le menu du panneau Styles de paragraphe ou Nouveau style de
3 Pour l’option Nom du style, entrez le nom du nouveau style. 4 Dans la liste D’après, sélectionnez le nom du style sur lequel repose le style actuel.
5 Pour l’option Style suivant (panneau Styles de paragraphe uniquement), indiquez le nom du style appliqué à la suite
Maj et Commande (Mac OS) enfoncée, puis appuyez sur un chiffre du pavé numérique. Vous ne pouvez pas utiliser de lettres ni de nombres hors du pavé numérique pour définir des raccourcis de style. 7 Si vous souhaitez que le nouveau style soit appliqué au texte sélectionné, choisissez Appliquer le style à la sélection. 8 Pour spécifier les attributs de mise en forme, cliquez sur une catégorie (Formats de caractères de base, par exemple)
Lorsque vous spécifiez une couleur de caractère dans la boîte de dialogue Options de style, vous créez une couleur en cliquant deux fois dans la case du fond ou du contour. 9 Pour les styles de caractère, les attributs non spécifiés sont ignorés ; lorsque le style est appliqué, le texte conserve
• Dans une zone de texte, supprimez le texte de l’option. • Dans une case à cocher, cliquez jusqu’à ce qu’une petite case (Windows) ou un trait (-) (Mac OS) s’affiche. • Pour une couleur de caractère, maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée en cliquant sur la nuance de couleur. 10 Cliquez ensuite sur OK.
De nombreux modèles de documents sont dotés de hiérarchies de styles partageant certains attributs. Les titres et les sous-titres, par exemple, utilisent souvent la même police. Vous pouvez facilement établir des liens entre des styles similaires en créant un style de base ou parent. Lorsque vous modifiez le style parent, les styles enfants sont également modifiés. Vous pouvez ensuite modifier les styles enfants pour les différencier du style parent. Pour créer un style approximativement identique à un autre style, mais sans relation parent-enfant, utilisez la commande Dupliquer un style, puis modifiez la copie. 1 Créez un style. 2 Dans le menu déroulant D’après de la boîte de dialogue Nouveau style de paragraphe ou Nouveau style de caractère,
Par défaut, les nouveaux styles sont définis sur [Aucun style de paragraphe] ou [Aucun], ou sur le style du texte actuellement sélectionné. 3 Spécifiez la mise en forme du nouveau style pour le différencier du style sur lequel il repose. Par exemple, vous
Si vous avez modifié la mise en forme d’un style enfant et que vous décidez de tout reprendre à zéro, cliquez sur le bouton Réinitialiser à la base. La mise en forme du style enfant redevient celle du style sur lequel il repose. Vous pouvez ensuite spécifier une nouvelle mise en forme. De même, si vous modifiez le style D’après du style enfant, la définition du style enfant est mise à jour afin de correspondre au nouveau style parent.
Styles • Dans le menu du panneau Styles, sélectionnez Charger les styles de caractère ou Charger les styles de paragraphe. • Sélectionnez Charger tous les styles de texte dans le panneau Styles pour charger les styles de caractère et de paragraphes. 2 Cliquez deux fois dans le document InDesign contenant les styles que vous voulez importer. 3 Dans la boîte de dialogue Charger des styles, assurez-vous qu’une coche apparaît en regard des styles à importer. Si
Utiliser la définition du style importé Ecrase le style existant avec le style chargé et applique ses nouveaux attributs à
Renommer automatiquement Renomme le style chargé. Par exemple, si les deux documents disposent d’un style Sous-titre, le style chargé est renommé « Copie de Sous-titre » dans le document actif.
Lorsque vous importez un document Microsoft Word dans InDesign ou InCopy, vous pouvez faire correspondre chaque style utilisé dans Word à un style correspondant dans InDesign ou InCopy. Cela permet d’indiquer les styles utilisés pour mettre en forme le texte importé. Une icône de disquette s’affiche en regard de chaque style Word importé jusqu’à ce que vous modifiiez le style dans InDesign ou InCopy. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Sélectionnez Afficher les options d’importation, puis cliquez deux fois sur le document Word.
2 Sélectionnez l’option Conserver les styles et la mise en forme du texte et des tableaux. 3 Sélectionnez Personnaliser l’importation des styles, puis cliquez sur Correspondance de style. 4 Dans la boîte de dialogue Correspondance de style, sélectionnez le style Word, puis une option dans le menu situé
Les styles de caractère suppriment ou réinitialisent les attributs de caractère du texte si ces attributs sont définis par le style.
« Utilisation de la commande Application rapide » à la page 236 « Remplacement de styles de caractère et de paragraphe » à la page 197
1 Sélectionnez les caractères auxquels appliquer le style. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Dans la liste déroulante du panneau Contrôle, sélectionnez le nom du style de caractère. • Appuyez sur le raccourci clavier que vous avez attribué au style. Vérifiez que la touche Verr num est activée.
1 Cliquez sur un paragraphe ou sélectionnez l’ensemble ou une partie des paragraphes auxquels appliquer le style. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Sélectionnez le nom du style de paragraphe dans le menu du panneau Contrôle. • Appuyez sur le raccourci clavier que vous avez attribué au style. Vérifiez que la touche Verr num est activée. 3 Si une mise en forme non souhaitée reste dans le texte, choisissez Effacer les remplacements dans le panneau Styles
L’option Style suivant indique le style automatiquement appliqué lorsque vous appuyez sur la touche Entrée ou Retour après avoir appliqué un style particulier. Elle vous permet également d’appliquer différents styles à plusieurs paragraphes en une seule opération.
Styles Si le texte contient des remplacements de mise en forme ou des styles de caractère, le menu contextuel vous permet de les supprimer.
L’utilisation des styles offre entre autres l’avantage suivant : lorsque vous modifiez un style, l’ensemble du texte mis en forme selon ce style change également pour refléter les nouveaux critères. Remarque : si vous modifiez les styles d’un contenu InCopy lié à un document InDesign, les modifications sont remplacées lorsque le contenu lié est mis à jour.
« Remplacement de styles de caractère et de paragraphe » à la page 197
1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Modifier [nom de style].
2 Modifiez les paramètres dans la boîte de dialogue, puis cliquez sur OK.
Styles 1 A l’aide de l’outil Texte
3 Dans le menu du panneau Styles, choisissez Redéfinir le style.
Lorsque vous supprimez un style, vous pouvez sélectionner un style différent pour le remplacer et vous pouvez choisir de conserver la mise en forme. Lorsque vous supprimez un groupe de styles, vous supprimez tous les styles du groupe. Vous êtes invité à remplacer chaque style du groupe, l’un après l’autre. 1 Dans le panneau Styles, sélectionnez le nom de style souhaité. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
(Mac OS), puis choisissez Supprimer le style. Cette méthode est particulièrement utile pour supprimer un style sans l’appliquer au texte. 3 Dans la boîte de dialogue Supprimer le style de paragraphe, sélectionnez le style de remplacement.
Styles, puis cliquez sur l’icône de suppression. Lorsque vous supprimez un style inutilisé, vous n’êtes pas invité à le remplacer.
« Regroupement de styles » à la page 212
Lorsque vous appliquez un style de paragraphe, les styles de caractère et autres mises en forme demeurent intacts. Après avoir appliqué le style, vous pouvez remplacer tous les paramètres définis en appliquant une mise en forme ne faisant pas partie du style. Dans ce cas, on parle de remplacement ou de mise en forme locale. Lorsque vous sélectionnez du texte avec un remplacement, un signe plus (+) s’affiche en regard du nom du style. Dans les styles de caractère, un remplacement s’affiche uniquement si l’attribut appliqué appartient à ce style. Par exemple, si un style de caractère modifie uniquement la couleur du texte, la modification du corps de la police n’est pas considérée comme un remplacement. Vous pouvez effacer les styles de caractères et les remplacements de mise en forme lors de l’application d’un style. Vous pouvez également effacer les remplacements d’un paragraphe auquel un style a été appliqué.
Styles • Pour appliquer un style de paragraphe et préserver les styles de caractères, tout en supprimant les remplacements, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée lorsque vous cliquez sur le nom du style dans le panneau Styles de paragraphes.
Cliquez avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) sur le style du panneau Styles de paragraphe, puis choisissez une option dans le menu contextuel. Vous pouvez effacer les remplacements et/ou les styles de caractère lors de l’application du style.
1 Sélectionnez le texte comportant des remplacements. Vous pouvez même sélectionner plusieurs paragraphes avec
2 Dans le panneau Styles de paragraphes, utilisez l’une des méthodes suivantes :
Styles de paragraphes, maintenez les touches Maj+Ctrl (Windows) ou Maj+Commande (Mac OS) enfoncées lorsque vous cliquez sur l’icône Effacer les remplacements. Remarque : lorsque vous effacez les remplacements, les remplacements effectués au niveau des paragraphes sont supprimés de l’ensemble du paragraphe, même si celui-ci n’est qu’en partie sélectionné. Les remplacements effectués au niveau des caractères sont supprimés dans la sélection uniquement. L’effacement des remplacements ne fait pas disparaître la mise en forme du style de caractères. Pour supprimer la mise en forme de style de caractères, sélectionnez le texte contenant le style de caractères en question, puis cliquez sur [Aucun] dans le panneau Styles de caractère.
Lorsque vous rompez le lien entre le texte et son style, le texte conserve sa mise en forme. Toutefois, les modifications ultérieures de ce style n’affectent pas le texte séparé du style. 1 Sélectionnez le texte pour lequel vous souhaitez annuler le lien au style. 2 Dans le menu du panneau Styles, choisissez Annuler le lien au style.
Remarque : si vous convertissez les puces du style en un article InCopy lié à une mise en page InDesign, la modification peut être annulée lorsque le contenu est mis à jour dans InDesign. 1 Dans le panneau Styles de paragraphe, sélectionnez le style qui contient les puces et la numérotation. 2 Dans le menu du panneau Styles de paragraphe, choisissez Convertir les puces et la numérotation « [style] » en
Si vous convertissez les puces et la numérotation en texte dans un style servant à créer un autre style (style parent), les puces et la numérotation du style enfant sont également converties en texte. Après avoir converti une numérotation en texte, il se peut que vous deviez mettre à jour les nombres manuellement si vous modifiez le texte.
« Création d’un style de paragraphe pour les listes continues » à la page 276
Utilisez la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer pour rechercher les occurrences d’un style particulier et les remplacer par un autre style. 1 Choisissez Edition > Rechercher/Remplacer. 2 Dans la zone Recherche, sélectionnez Document pour modifier le style dans l’ensemble du document. 3 Laissez les zones Rechercher et Remplacer par vides. Si les zones Rechercher le format et Remplacer le format
4 Cliquez sur la zone Rechercher le format pour afficher la boîte de dialogue Rechercher un format. Sous Options de
5 Cliquez sur la zone Remplacer le format pour afficher la boîte de dialogue Modifier le format. Sous Options de style,
6 Cliquez sur Rechercher et utilisez les boutons Remplacer, Remplacer/Rechercher ou Tout remplacer pour
« Recherche et remplacement de texte » à la page 158 « Recherche et remplacement de polices » à la page 170
La fonction Lettrines et styles imbriqués a trois applications principales : elle peut être utilisée pour appliquer un style de caractère à une lettrine, pour appliquer un style imbriqué au texte de début d’un paragraphe et pour appliquer un style de ligne imbriqué à une ou plusieurs lignes d’un paragraphe.
Styles 3 Spécifiez le nombre de lignes de lettrines et de caractères, puis choisissez le style de caractère. 4 Si la lettrine est trop éloignée du bord gauche, choisissez Aligner le bord gauche.
5 Si le caractère de la lettrine chevauche le texte situé en dessous, sélectionnez Echelle de jambage inférieur. 6 Cliquez sur OK.
« Utilisation de lettrines » à la page 255
Vous pouvez spécifier une mise en forme de niveau de caractère pour une ou plusieurs portions de texte d’un paragraphe ou d’une ligne. Vous pouvez également définir deux ou plusieurs styles imbriqués de sorte que l’un succède à l’autre. Pour les paragraphes à la mise en forme répétitive et prévisible, vous pouvez même revenir au premier style de la séquence. Les styles imbriqués sont particulièrement adaptés aux titres continus. Par exemple, vous pouvez appliquer un style de caractère à la première lettre d’un paragraphe et un autre style au reste du titre jusqu’au signe deux-points (:). Pour chaque style imbriqué, vous pouvez définir un caractère qui termine le style, tel qu’une tabulation ou la fin d’un mot.
Styles Lettrines et styles imbriqués.
Remarque : pour un résultat optimal, appliquez les styles imbriqués dans le cadre des styles de paragraphe. Si vous appliquez des styles imbriqués comme remplacements locaux dans un paragraphe, toute modification ultérieure apportée au style imbriqué risque d’engendrer une mise en forme inattendue des caractères du texte. 3 Cliquez sur le bouton Nouveau style imbriqué une ou plusieurs fois.
Styles • Spécifiez l’élément qui marque la fin du style de caractère. Vous pouvez également saisir le caractère, par exemple deux-points (:) ou toute autre lettre ou chiffre. Vous ne pouvez pas entrer de mot.
• Choisissez Sur ou Jusqu’à. L’option Sur inclut le caractère marquant la fin du style. Jusqu’à s’applique uniquement aux caractères précédents.
L’ordre des styles définit l’ordre dans lequel la mise en forme est appliquée. La mise en forme définie par le second style commence là où finit la mise en forme du premier style. Si vous appliquez un style de caractère à une lettrine, celui-ci fait office de premier style imbriqué.
Vous pouvez appliquer un style de caractère à un nombre donné de lignes d’un paragraphe. Comme pour les styles imbriqués, vous pouvez définir au moins deux styles de ligne imbriqués à combiner, et créer une séquence qui se répète. Les attributs appliqués par des styles de ligne imbriqués peuvent coexister avec des attributs appliqués par des styles imbriqués. Un style de ligne imbriqué peut par exemple appliquer une couleur, alors qu’un style imbriqué peut appliquer des italiques. Si les deux styles définissent des paramètres en conflit pour le même attribut (rouge et bleu par exemple), le style imbriqué prévaut sur le style de ligne imbriqué. 1 Créez un ou plusieurs styles de caractère à appliquer au texte. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Lettrines et styles imbriqués.
3 Cliquez sur le bouton Nouveau style de ligne imbriqué une ou plusieurs fois. 4 Cliquez sur la zone de style de caractère, puis sélectionnez un style de caractère afin de déterminer l’apparence de
5 Spécifiez le nombre de lignes de paragraphe auxquelles vous souhaitez appliquer le style de caractère.
Vous pouvez répéter une série de styles imbriqués tout au long d’un paragraphe. Vous pourriez par exemple tout simplement alterner des mots en vert et en rouge dans un paragraphe, ou, avec les styles de ligne imbriqués, vous pourriez alterner des lignes en vert et en rouge dans un paragraphe Le motif répété reste intact même si vous ajoutez ou supprimez des mots dans le paragraphe. 1 Créez les styles de caractère que vous souhaitez utiliser.
Styles 3 Dans la boîte de dialogue ou section Lettrines et styles imbriqués, cliquez au moins deux fois sur la
4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Vous pouvez au besoin ignorer le ou les premiers styles. Par exemple, un paragraphe mettant en avant un calendrier d’évènements peut inclure « A la une cette semaine » suivi des jours de la semaine et des évènements associés. Dans cet exemple, vous pouvez créer cinq styles imbriqués : un pour « A la une cette semaine », un pour les jours, un pour les événements, un pour l’heure des événements et un dernier doté d’une valeur [Répétition] de 3, excluant ainsi le premier style imbriqué de la boucle. L’élément [Répétition] doit être le dernier de la liste. Tous les styles imbriqués situés sous [Répétition] sont ignorés.
Phrases Les points, points d’interrogation et points d’exclamation indiquent la fin d’une phrase. Si un guillemet suit
Mots Les espaces indiquent la fin d’un mot. Caractères Tous les caractères, sauf les marques de largeur zéro (ancres, marques d’index, balises XML, etc.).
Lettres Tout caractère ne contenant ni signe de ponctuation, ni espace, ni chiffre, ni symbole. Chiffres Les chiffres arabes de 0 à 9 sont inclus. Caractère du style imbriqué de fin Etend le style imbriqué jusqu’à l’occurrence du caractère de fin du style imbriqué
Autre > Fin du style imbriqué ici. Tabulations Etend le style imbriqué jusqu’au caractère de tabulation, inclus ou non (non le paramètre de tabulation). Saut de ligne forcé Etend le style imbriqué jusqu’au saut de ligne forcé, inclus ou non. Choisissez Texte > Insérer un caractère de saut > Saut de ligne forcé. Caractère en retrait jusqu’à ce point Etend le style imbriqué jusqu’au caractère en retrait jusqu’à ce point, inclus ou non. Choisissez la commande Texte > Insérer un caractère spécial > Autre > Retrait jusqu’à ce point. Espaces cadratins, demi-cadratins ou insécables Etend le style imbriqué jusqu’à l’espace, incluse ou non (choisissez
Marqueur d’objet ancré Etend le style imbriqué jusqu’au symbole d’image texte, inclus ou non, qui s’affiche au point d’insertion de l’image texte. Numérotation automatique des pages ou Marque de section Etend le style imbriqué jusqu’au repère de pagination ou
Dans la plupart des cas, un style imbriqué prend fin selon les conditions définies par le style défini, par exemple après trois mots ou lorsqu’un point apparaît. Vous pouvez toutefois mettre fin à un style imbriqué avant que les conditions ne soient satisfaites en utilisant le caractère Fin de style imbriqué. 1 Placez le point d’insertion là où vous souhaitez que le style imbriqué prenne fin. 2 Choisissez la commande Texte > Insérer un caractère spécial > Autre > Fin du style imbriqué ici.
Options de style de paragraphe, sélectionnez le style imbriqué, puis cliquez sur le bouton Supprimer.
1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
GREP dans le menu du panneau Paragraphe ou Contrôle.
2 Cliquez sur Nouveau style GREP. 3 Cliquez à droite de Appliquer le style, puis spécifiez un style de caractère. Si vous n’avez pas créé de style de
4 Cliquez à droite de Au texte, puis utilisez l’une des méthodes suivantes pour créer une expression GREP :
Lors de la création de styles, certains styles peuvent partager des caractéristiques identiques. Au lieu d’indiquer ces caractéristiques à chaque fois que vous définissez le style suivant, vous pouvez créer un style d’objet à partir d’un autre. Lorsque vous changez le style de base, les attributs partagés du style « parent » changent également dans le style « enfant ». Pour consulter une vidéo sur l’utilisation des styles d’objet, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0072_fr.
• Sélectionnez Petites rangées de panneau dans le menu de panneau pour afficher une version condensée des styles d’objet.
Styles 1 Sélectionnez l’objet ou le bloc de texte qui utilise les paramètres à inclure au style d’objet. 2 Choisissez la commande Nouveau style d’objet dans le menu du panneau Styles d’objet ou maintenez la
3 Dans la boîte de dialogue Nouveau style d’objet, indiquez le nom du style. 4 Pour créer un style à partir d’un autre style, choisissez un style dans la liste déroulante D’après.
5 Pour ajouter un raccourci clavier, placez le point d’insertion dans la zone Raccourci et assurez-vous que le
6 Dans Attributs de base, sélectionnez les catégories dont vous souhaitez définir les options et paramétrez-les à votre
7 Pour appliquer des effets, choisissez une option dans Effets (Objet, Contour, Fond ou Texte), puis sélectionnez des
8 Cliquez sur le bouton OK.
Si vous souhaitez que le style applique uniquement certains attributs sans modifier les autres paramètres, vérifiez l’état des catégories devant être contrôlées par le style. Trois états sont possibles pour chaque catégorie : activée, désactivée ou ignorée. Par exemple, lorsque vous activez la case Ombre portée, la mise en forme correspondante est incluse dans le style d’objet. Lorsque vous désélectionnez la case Ombre portée, l’ombre portée est désactivée dans le style (toute ombre portée appliquée à un objet s’affiche en tant que remplacement). Si vous définissez la case Ombre portée sur « Ignorer » (s’affiche sous forme de petite case sous Windows ou de tiret sous Mac OS), l’effet d’ombre portée est exclus du style. De ce fait, aucune ombre portée appliquée au style ne s’affiche en tant que remplacement.
Styles Application de styles d’objet 1 Sélectionnez un objet, un bloc ou un groupe. 2 Cliquez sur un style d’objet dans le panneau Contrôle ou le panneau Styles d’objet pour appliquer un style.
Vous pouvez également faire glisser un style d’objet sur un objet pour appliquer celui-ci sans avoir auparavant sélectionné l’objet. Si un groupe est sélectionné lorsque vous appliquez un style d’objet, ce style est appliqué à chaque objet du groupe. Une fois le style appliqué, vous pouvez appliquer d’autres paramètres à l’objet selon votre convenance. Vous remplacerez peut-être un paramètre défini dans le style, mais vous ne perdrez pas le lien avec ce style.
« Utilisation de la commande Application rapide » à la page 236
Pour chaque nouveau document, le panneau énumère une liste par défaut des styles d’objet. Lorsque vous créez un objet, un style d’objet lui est appliqué. Par défaut, si vous créez un bloc de texte, le style d’objet appliqué est le style [bloc de texte standard]. Si vous dessinez un tracé ou une forme, le style d’objet appliqué est le style [bloc graphique standard]. Si vous importez une image ou dessinez un emplacement réservé comportant un X, le style d’objet appliqué est le style [Aucun]. Vous pouvez sélectionner un autre style d’objet par défaut pour les blocs de texte et les blocs graphiques.
Vous pouvez modifier les styles [standard], mais vous ne pouvez pas les supprimer.
Lorsque la mise en forme d’un objet est en conflit avec une partie de la définition de style appliquée à cet objet, il s’agit d’un remplacement. Lorsque vous sélectionnez un objet avec un remplacement, un signe plus (+) s’affiche en regard du nom du style. Utilisez la commande Effacer les remplacements pour remplacer toute mise en forme active ou non active dans le style d’objet ; utilisez la commande Effacer les attributs non définis par le style pour effacer les attributs ignorés.
1 Sélectionnez l’objet ou le groupe à modifier. 2 Dans le panneau Styles d’objet, cliquez sur le bouton Effacer les remplacements
Un remplacement s’affiche uniquement si l’attribut appliqué fait partie du style.
Vous pouvez également supprimer les attributs d’un objet même si ces derniers sont ignorés dans un style. Par exemple, si la catégorie Fond est ignorée dans un style d’objet et que vous appliquez un fond rouge à un bloc auquel le style d’objet est appliqué, choisissez la commande Effacer les attributs non définis par le style pour supprimer le fond rouge. Remarque : si une catégorie de style d’objet est désactivée (non cochée) et non pas ignorée, la commande Effacer les remplacements vous permet de remplacer le style. 1 Sélectionnez l’objet ou le groupe à modifier. 2 Dans le panneau Styles d’objet, cliquez sur le bouton Effacer les attributs non définis par le style
Vous pouvez rompre le lien entre un objet et le style qui lui est appliqué. L’objet conserve les mêmes attributs, mais ne change pas si le style est modifié. 1 Sélectionnez l’objet auquel le style d’objet est appliqué. 2 Dans le menu du panneau Styles d’objet, choisissez Annuler le lien au style.
3 Dans la boîte de dialogue Options de style d’objet, indiquez le nouveau nom du style, puis cliquez sur OK.
1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
2 Dans la boîte de dialogue Options de style d’objet, sélectionnez la catégorie qui contient les options que vous voulez
3 Choisissez si vous voulez activer, désactiver ou ignorer les catégories de style d’objet. 4 Cliquez sur le bouton OK.
1 Dans le panneau Styles d’objet, sélectionnez un style d’objet. 2 Choisissez la commande Supprimer le style dans le menu du panneau ou faites glisser le style vers l’icône de
3 Si vous supprimez un style appliqué à des objets ou servant à créer d’autres styles, vous êtes invité à indiquer un
Conserver la mise en forme, puis cliquez sur OK. Remarque : pour supprimer tous les styles qui ne sont pas appliqués aux objets, choisissez Sélectionner tous les styles inutilisés dans le menu du panneau Styles d’objet, puis cliquez sur l’icône de suppression.
Styles 3 Dans le menu du panneau Styles d’objet, choisissez Redéfinir le style d’objet dans le menu du panneau Styles
La définition du style d’objet est modifiée pour correspondre aux paramètres de remplacement que vous avez appliqués. Toutes les occurrences du style d’objet dans le document sont mises à jour en fonction des nouveaux paramètres. Remarque : si l’option Redéfinir le style d’objet n’est pas disponible, les attributs que vous avez définis ne font pas partie de la définition de style d’objet. Pour modifier directement la définition de style, choisissez Options de style d’objet ou créez un style à partir de l’objet.
Vous pouvez importer des styles à partir d’autres documents. En plus des styles d’objet eux-mêmes, InDesign importe tous les nuanciers, contours personnalisés, styles de caractère ou de paragraphe utilisés dans les styles. Si un nuancier, un contour ou un style de paragraphe importé porte le même nom qu’un nuancier ou un style existant mais a une valeur différente, InDesign le renomme (par exemple, Orange foncé devient Orange foncé 2). 1 Sélectionnez Charger les styles d’objet à partir du menu du panneau Styles d’objet. 2 Sélectionnez le fichier à partir duquel importer des styles d’objet, puis cliquez sur Ouvrir. 3 Dans la boîte de dialogue Charger des styles, assurez-vous qu’une coche apparaît en regard des styles à importer.
Utiliser la définition du style importé Ecrase le style existant avec le style chargé et applique ses nouveaux attributs à tout le texte du document actuel qui utilisait l’ancien style. Les définitions des styles chargés et existants s’affichent au bas de la boîte de dialogue Charger des styles pour faciliter la comparaison. Renommer automatiquement Renomme le style chargé.
Duplication des styles ou des groupes de styles ❖ Cliquez avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) sur
Un nouveau style ou groupe s’affiche dans le panneau Styles, de nom identique suivi de la mention « copie ». Si vous avez dupliqué un groupe de styles, les noms des styles au sein du groupe restent intacts.
Styles Vous pouvez organiser les styles en les groupant dans des dossiers séparés dans les panneaux Styles de caractère, Styles de paragraphe, Styles d’objet, Styles de tableau et Styles de cellule. Vous pouvez également imbriquer des groupes dans d’autres groupes. Il n’est pas nécessaire de placer les styles dans des groupes. Vous pouvez les ajouter à un groupe ou à la racine du panneau.
1 Dans le panneau Styles :
• Pour créer un groupe dans un groupe, sélectionnez et ouvrez un groupe. • Pour inclure des styles existants dans un groupe, sélectionnez les styles. 2 Choisissez la commande Nouveau groupe de styles dans le menu du panneau Styles ou la commande Nouveau
3 Entrez le nom du groupe, puis cliquez sur OK. 4 Pour déplacer un style dans le groupe, faites-le glisser sur le groupe de styles. Lorsque le groupe de styles est mis en
Lorsque vous copiez un style dans un groupe différent, les styles ne sont pas liés. Bien qu’ils portent le même nom, la modification d’un style ne change pas les attributs de l’autre. 1 Sélectionnez le style ou le groupe que vous souhaitez copier. 2 Choisissez la commande Copier vers le groupe dans le menu du panneau Styles. 3 Sélectionnez le groupe (ou le niveau [Racine]) dans lequel vous souhaitez copier les styles ou le groupe, puis cliquez
Si le groupe contient déjà des noms de style identiques à ceux copiés, les copies chargées sont renommées.
• Pour développer ou réduire un seul groupe, cliquez sur l’icône de triangle située en regard du groupe. • Pour développer ou réduire le groupe et l’ensemble de ses sous-groupes, cliquez sur l’icône de triangle tout en maintenant enfoncée la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS).
Lorsque vous supprimez un groupe de styles, le groupe et l’ensemble de son contenu sont supprimés, y compris les styles et autres groupes. 1 Sélectionnez le groupe que vous souhaitez supprimer. 2 Choisissez la commande Supprimer le groupe de styles dans le menu du panneau Styles et cliquez sur le
3 Pour chacun des styles du groupe, définissez un style de remplacement ou choisissez l’option [Sans], puis cliquez
Par défaut, les styles que vous créez apparaissent au bas du groupe de styles ou du panneau.
Vous pouvez créer des objets ancrés aux emplacements suivants : Sur la ligne Aligne l’objet ancré sur la ligne de base du point d’insertion. Vous pouvez modifier le décalage sur Y afin de placer l’objet au-dessus ou au-dessous de la ligne de base. Il s’agit du type d’objet ancré par défaut. Dans les versions précédentes d’InDesign, ces objets étaient appelés images texte. Au-dessus de la ligne Importe l’objet ancré au-dessus de la ligne et propose les alignements suivants : Gauche, Centrer, Droite, Aligné au dos, Aligné à l’opposé du dos et (Alignement du texte). L’option Alignement du texte correspond à l’alignement appliqué au paragraphe qui contient le marqueur d’ancrage. Personnalisé Importe l’objet ancré à l’endroit défini dans la boîte de dialogue Options d’objet ancré. Vous pouvez
Remarque : vous pouvez utiliser des objets sur la ligne et au-dessus de la ligne avec un texte curviligne (voir la section « Ajout d’objets ancrés à un texte curviligne » à la page 233).
Association de texte et d’objets
Vous pouvez ancrer des caractères de texte en vectorisant le texte. La vectorisation permet de convertir automatiquement chaque caractère de texte en objet ancré sur la ligne. 2 Pour placer un objet, sélectionnez-le à l’aide d’un outil de sélection, puis choisissez Objet > Objet ancré > Options.
Si vous ne souhaitez pas afficher la boîte de dialogue Objet ancré, utilisez le raccourci clavier Insérer l’objet ancré/Atteindre le marqueur d’ancrage. Vous devrez définir les touches de ce raccourci dans l’éditeur de raccourcis clavier (dans la zone Texte et tableaux). Appuyez deux fois sur les touches du raccourci clavier pour désélectionner l’objet et replacer le pointeur dans le texte principal (voir la section « Utilisation des ensembles de raccourcis clavier » à la page 25).
Association de texte et d’objets
Lorsque vous insérez un emplacement réservé à un objet ancré, vous pouvez définir les options suivantes à propos de son contenu : Contenu Indique le type d’objet que l’emplacement réservé doit contenir.
Non attribué, InDesign sélectionne l’emplacement de l’objet. Style d’objet Indique le style à utiliser pour mettre l’objet en forme. Si vous avez défini et enregistré des styles d’objet, ceux-ci apparaissent dans le menu. Style de paragraphe Indique le style de paragraphe à utiliser pour mettre l’objet en forme. Si vous avez défini et
Remarque : si un style de paragraphe est activé en même temps qu’un style d’objet et si vous choisissez un style différent dans le menu Style de paragraphe, ou si vous modifiez les options Position ancrée d’un style, un signe plus (+) apparaît dans le menu Style d’objet pour indiquer que des remplacements ont été effectués. Hauteur et Largeur Indique les dimensions de l’emplacement réservé.
Lorsque vous choisissez Sur la ligne ou Au-dessus de la ligne dans le menu Position de la boîte de dialogue Options d’objet ancré, les options suivantes permettent de modifier la position de l’objet ancré. Vous pouvez également accéder à ces options dans la boîte de dialogue Insérer l’objet ancré. Sur la ligne Aligne le bas de l’objet ancré sur la ligne de base. Les objets sur la ligne sont soumis à certaines contraintes lorsqu’ils sont déplacés le long de l’axe des Y : le haut de l’objet ne peut pas se situer en dessous de la ligne-bloc de l’interligne inférieur et le bas de l’objet ne peut pas se trouver au-dessus du haut de la ligne-bloc de l’interligne. Décalage sur Y Ajuste la position de la ligne de base. Vous pouvez également utiliser la souris pour faire glisser l’objet verticalement sur la page. Au-dessus de la ligne Aligne l’objet au-dessus de la ligne de texte comprenant le marqueur d’ancrage et au-dessous de la ligne de texte située au-dessus du marqueur d’ancrage. Alignement Choisissez l’une des options suivantes :
• Aligné au dos ou Aligné à l’opposé du dos Alignent l’objet à gauche ou à droite selon le côté de la planche où se situe l’objet. Ces options ne tiennent pas compte des valeurs de retrait appliquées au paragraphe et alignent l’objet au sein de la colonne entière. • (Alignement du texte) Aligne l’objet selon l’alignement défini par le paragraphe. Cette option utilise les valeurs de retrait du paragraphe lors de l’alignement de l’objet. Espace avant Indique la position de l’objet par rapport au bas de la ligne-bloc de l’interligne de la ligne précédente du
Espace après Indique la position de l’objet par rapport à la hauteur de capitale du premier caractère de la ligne située en dessous de l’objet. Une valeur de 0 permet d’aligner le bas de l’objet à la position de la hauteur de capitale. Les valeurs positives déplacent le texte situé sous l’objet vers le bas (elles l’éloignent du bas de l’objet). Les valeurs négatives font remonter le texte situé en dessous de l’objet (vers cet objet).
Association de texte et d’objets
Association de texte et d’objets
Indique l’emplacement de l’objet que vous souhaitez aligner sur l’emplacement de la page (comme indiqué par le point de référence de la position ancrée). Par exemple, si vous souhaitez aligner le côté droit de l’objet avec un élément de la page, comme un bloc de texte, cliquez sur le point le plus à droite de cette doublure. Pour plus d’informations sur l’utilisation de ce point de référence, voir la section « Placement d’un objet ancré selon des options personnalisées » à la page 220.
Indique l’emplacement de la page (défini à l’aide des options Axe des X relatif à et Axe des Y relatif à) vis-à-vis duquel vous souhaitez aligner l’objet. Par exemple, si vous choisissez Bloc de texte pour l’option Axe des X relatif à et Ligne (ligne de base) pour l’option Axe des Y relatif à, cette doublure représente la zone horizontale du bloc de texte et la zone verticale de la ligne de texte comprenant le marqueur d’ancrage de l’objet. Si vous cliquez sur le point à l’extrême gauche de cette doublure, le point de référence de l’objet s’aligne sur le bord gauche du bloc de texte et la ligne de base du texte.
Association de texte et d’objets
Axe des X relatif à Indique ce que vous souhaitez utiliser comme base de l’alignement horizontal. Par exemple, Bloc de texte vous permet d’aligner l’objet à gauche, au centre ou à droite du bloc de texte. L’alignement horizontal exact dépend du point de référence choisi et des valeurs spécifiées pour le Décalage sur X.
A. Alignement du côté droit d’un objet sur le côté gauche du bloc de texte B. Alignement du côté droit d’un objet sur le côté gauche de la marge de la page
Axe des Y relatif à Indique par rapport à quel élément l’objet s’aligne verticalement. Par exemple, l’option Bord de
échéant. Cette option est disponible uniquement lorsque vous sélectionnez une option de ligne, comme Ligne (ligne de base) pour Axe des Y relatif à. Remarque : lorsque InDesign remplace la position de l’objet pour la faire correspondre aux limites de la colonne, la valeur de décalage sur Y que vous spécifiez est indiquée par un signe plus (+) dans la boîte de dialogue. Empêcher le positionnement manuel Fait en sorte que vous ne puissiez pas déplacer l’objet ancré en le faisant glisser
Aperçu Affiche les paramètres de position sur la page tels que vous les avez définis.
Suivez ces conseils lorsque vous utilisez la boîte de dialogue Options d’objet ancré pour positionner les objets ancrés selon les options personnalisées.
à sur Marge de page, puis cliquez sur le point de référence supérieur gauche de l’objet et celui de l’élément de page . Lors du déplacement du texte, l’objet reste dans le coin supérieur gauche, dans les marges de la page. L’objet est déplacé uniquement lorsque la ligne de texte contenant l’ancrage passe sur une autre page, à savoir dans le coin supérieur gauche de la page suivante.
1 Sélectionnez l’objet et choisissez Objet > Objet ancré > Options. 2 Dans le menu Position, choisissez Personnalisée.
3 Pour conserver l’objet sur le même côté de la page, relatif au dos du document, sélectionnez Relative au dos. Par
4 Cliquez sur le point de la doublure du point de référence de l’objet ancré
Association de texte et d’objets
(ligne de base). 7 Cliquez sur le point de la doublure du point de référence de la position ancrée
9 Pour être sûr que l’objet ne dépasse pas des bords supérieur et inférieur d’une colonne lors du déplacement du texte,
L’outil Sélection ne vous permet de sélectionner qu’un objet ancré à la fois. L’outil Texte vous permet de sélectionner une plage de texte avec plusieurs marqueurs d’objet ancrés. Lorsque vous sélectionnez plusieurs marqueurs d’ancrage avec l’outil Texte, vous pouvez changer simultanément les options de position de tous les objets ancrés. Remarque : si plusieurs objets ancrés se trouvent à la même place (par exemple, si une ligne de texte comporte les marqueurs de deux objets ancrés avec les mêmes attributs d’ancrage) les objets se chevauchent. Lorsque vous copiez du texte comportant un marqueur d’objet ancré, vous copiez également l’objet ancré. Si vous copiez un objet ancré, puis le collez hors du texte, cet objet ancré devient une image indépendante qui n’est pas liée au texte.
Pour afficher les ancrages et leur relation vis-à-vis du texte sur la page, vous pouvez afficher les marqueurs d’objets. Utilisez l’une des méthodes suivantes :
L’affichage des symboles d’ancrage vous permet de déterminer les objets ancrés.
Lorsque vous déplacez un bloc, vous déplacez également ses objets ancrés, sauf si l’objet est positionné par rapport aux marges ou aux pages. Remarque : avant de déplacer un objet ancré, vérifiez que l’option Empêcher le repositionnement manuel de l’objet est désélectionnée dans la boîte de dialogue Objets ancrés ou choisissez Objet > Déverrouiller la position. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour déplacer un objet ancré sur la ligne parallèlement à la ligne de base, placez le point d’insertion avant ou après l’objet et indiquez une nouvelle valeur de crénage. Pour déplacer un objet sur la ligne ou au-dessus de la ligne de sorte qu’il se trouve en dehors du bloc de texte, convertissez-le en objet positionné selon des options personnalisées, puis déplacez-le à votre gré.
Si vous ne voulez plus lier les déplacements d’un objet à ceux du texte qui lui est associé, vous pouvez le libérer ou supprimer son ancrage. ❖ Sélectionnez l’objet ancré avec un outil de sélection, puis choisissez Objet > Objet ancré > Annuler.
Remarque : la commande Annuler ne fonctionne pas pour les objets ancrés sur la ligne ou au-dessus de la ligne. Si vous ne pouvez pas utiliser la commande Annuler, sélectionnez l’objet ancré, puis coupez-le et collez-le. Vous pouvez également utiliser l’outil Texte pour sélectionner et couper l’objet ancré.
Habillage d’objets avec du texte Vous pouvez habiller n’importe quel objet avec du texte, y compris les blocs de texte, les images importées et les objets créés dans InDesign. Lorsque vous appliquez un habillage à un objet, InDesign crée un cadre autour de l’objet qui repousse le texte. L’objet autour duquel le texte est appliqué s’appelle objet habillé. N’oubliez pas que les options d’habillage de texte s’appliquent à l’objet habillé, non au texte. Toute modification appliquée au cadre d’habillage sera conservée si vous déplacez l’objet habillé à proximité d’un autre bloc de texte.
Association de texte et d’objets
« Tracés transparents et formes composées » à la page 365
1 Pour afficher le panneau Habillage de texte, choisissez Fenêtre > Habillage de texte. 2 A l’aide de l’outil Sélection
Crée un habillage rectangulaire dont la largeur et la hauteur sont déterminées par le cadre de sélection de l’objet sélectionné, en tenant compte des distances de décalage que vous spécifiez. Habiller le cadre de sélection
Correspond à l’habillage de contour, crée un cadre d’habillage de texte adapté à la forme du bloc sélectionné (plus ou moins les distances de décalage spécifiées).
Si vous ne parvenez pas à habiller une image, vérifiez que l’option Ignorer l’habillage n’est pas sélectionnée pour le bloc de texte concerné. De plus, si l’option L’habillage n’agit que sur le texte au-dessous est sélectionnée dans les préférences de Composition, assurez-vous que le bloc de texte se trouve bien sous l’objet habillé. Les blocs de texte dans un groupe ne sont pas affectés par l’habillage de texte que vous appliquez au groupe. Pour définir des options d’habillage par défaut pour les nouveaux objets, désélectionnez tous les objets, puis spécifiez les paramètres de l’habillage.
Pour habiller de texte une image importée, enregistrez le masque dans l’application dans laquelle vous avez créé l’image, si possible. Lorsque vous importez l’image dans InDesign, sélectionnez l’option Appliquer le masque Photoshop dans la boîte de dialogue Options d’importation d’image. 1 Pour afficher le panneau Habillage de texte, choisissez Fenêtre > Habillage de texte. 2 Sélectionnez une image importée, puis dans le panneau Habillage de texte, cliquez sur l’icône Habiller la forme de
5 Dans le menu Type, choisissez une option de contour : Cadre de sélection Habille de texte le rectangle formé par la hauteur et la largeur de l’image. Détection des contours Génère le cadre par détection automatique des contours (pour ajuster la détection des
Couche alpha Génère le cadre à partir d’une couche alpha enregistrée avec l’image. Si aucune couche alpha n’a été
Association de texte et d’objets
Tracé Photoshop Génère le cadre à partir d’un tracé enregistré avec l’image. Choisissez Tracé Photoshop, puis
Tracé Photoshop n’est pas disponible. Bloc graphique Génère le cadre à partir du bloc conteneur. Identique au masque Génère le cadre à partir du masque de l’image importée.
1 A l’aide de l’outil Sélection
1 A l’aide de l’outil Sélection directe
• Utilisez l’outil Plume
Si l’option Appliquer au gabarit uniquement est sélectionnée, vous devez remplacer un élément de gabarit sur une page de document pour l’habiller de texte. Si cette option est désélectionnée, le texte des gabarits et des pages de document peut habiller les éléments de gabarit sans que ceux-ci ne soient remplacés. 1 Sélectionnez l’objet sur la page de gabarit. 2 Dans le menu du panneau Habillage de texte, sélectionnez ou désélectionnez Appliquer au gabarit seulement.
« Gabarits » à la page 69
Si vous appliquez un habillage à un objet ancré, l’habillage affecte les lignes de texte de l’article qui suivent le marqueur d’ancrage. Toutefois, l’habillage n’affecte pas la ligne de texte comportant le marqueur d’ancrage ou les lignes le précédant. Lorsque vous collez un objet sous forme d’objet sur la ligne, son cadre d’habillage est préservé.
Lorsque vous masquez un calque contenant un habillage, les blocs de texte des autres calques habillent l’objet, sauf si l’option Supprimer l’habillage lorsque le calque est masqué est activée dans la boîte de dialogue Options de calque. Si cette option est activée, le masquage d’un calque peut entraîner la recomposition du texte sur d’autres calques. 1 Dans le panneau Calques, cliquez deux fois sur le calque contenant l’habillage. 2 Sélectionnez Supprimer l’habillage lorsque le calque est masqué.
Association de texte et d’objets
Lorsque vous spécifiez le mode de justification du texte autour des objets habillés, la modification s’applique à tout le document. 1 Choisissez la commande Edition > Préférences > Composition (Windows) ou InDesign > Préférences >
2 Sélectionnez l’une des options suivantes, puis cliquez sur OK : Justifier le texte en regard d’un objet habillé recouvrant complètement la colonne Justifie le texte en regard des objets qui séparent une colonne de texte. Ce paramètre s’applique uniquement lorsque l’habillage interrompt complètement des lignes de texte, de sorte que chaque ligne est divisée en deux parties ou plus.
L’habillage n’agit que sur le texte au-dessous Le texte superposé au-dessus de l’objet habillé n’est pas affecté par
Il peut être parfois utile de désactiver l’habillage dans un bloc. Par exemple, vous souhaitez qu’un bloc habille une image, mais vous souhaitez afficher un bloc différent dans cette image. 1 Sélectionnez le bloc de texte, puis choisissez Objet > Options de bloc de texte. 2 Sélectionnez Ignorer l’habillage, puis cliquez sur OK.
Association de texte et d’objets
Création de texte curviligne Vous pouvez créer un texte qui suit le contour d’un tracé ouvert ou fermé de n’importe quelle forme. Vous pouvez appliquer des options et des effets à un texte curviligne : faites-le glisser le long d’un tracé, créez une symétrie de chaque côté du tracé ou déformez les caractères selon la forme du tracé. Un texte curviligne est doté d’un port d’entrée et de sortie comme les autres blocs de texte, vous permettant de créer des liens depuis ou vers le texte. Vous pouvez afficher une seule ligne de texte sur un tracé. Ainsi, tout texte ne tenant pas sur le tracé est en excès (masqué), sauf si vous l’avez lié à un autre tracé ou bloc de texte. Vous pouvez ajouter des objets ancrés sur la ligne et au-dessus de la ligne à un texte curviligne. Il est impossible de créer un texte curviligne à l’aide de tracés transparents, tels que ceux obtenus avec la commande Vectoriser.
« Ajustement de la position du texte curviligne » à la page 231.
Association de texte et d’objets
Remarque : si le tracé était visible à l’origine, il le reste après l’ajout de texte. Pour masquer le tracé, sélectionnez-le à l’aide de l’outil Sélection ou Sélection directe, puis définissez les valeurs de fond et de contour sur Sans.
Vous pouvez appliquer des options de caractère et de paragraphe à un texte curviligne. Toutefois, les options de filet et d’espacement des paragraphes sont sans effet sur les textes curvilignes. Le paramètre d’alignement du panneau Paragraphe contrôle l’alignement du texte curviligne.
1 A l’aide de l’outil Texte curviligne, utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour sélectionner des caractères, faites glisser le pointeur sur le texte curviligne. 2 Modifiez et mettez le texte en forme à votre gré.
1 A l’aide de l’outil Sélection
1 A l’aide de l’outil Sélection ou Texte, sélectionnez le texte curviligne. 2 Choisissez la commande Texte > Texte curviligne > Options ou cliquez deux fois sur l’outil Texte curviligne. 3 Entrez une valeur en points pour l’option Espacement. Des valeurs élevées permettent de supprimer davantage
Association de texte et d’objets
Vous pouvez modifier la position de début et de fin d’un texte curviligne, le faire glisser et le modifier de plusieurs façons.
1 A l’aide de l’outil Sélection
3 Faites glisser l’équerre de début ou de fin le long du tracé.
1 A l’aide de l’outil Sélection
Vous pouvez également rendre un texte curviligne symétrique par le biais d’une boîte de dialogue. A l’aide de l’outil Sélection ou Texte, sélectionnez le texte curviligne. Choisissez Texte > Texte curviligne > Options. Sélectionnez l’option Symétrie, puis cliquez sur OK.
1 A l’aide de l’outil Sélection ou Texte, sélectionnez le texte curviligne. 2 Choisissez la commande Texte > Texte curviligne > Options ou cliquez deux fois sur l’outil Texte curviligne. 3 Choisissez l’une des options suivantes dans le menu Effet, puis cliquez sur OK :
1 A l’aide de l’outil Texte ou Texte curviligne, cliquez pour ajouter un point d’insertion à l’endroit du texte où vous
2 Ajoutez l’objet ancré. Vous pouvez ajouter des objets ancrés sur la ligne ou au-dessus de la ligne, mais aussi des
Remarque : les options disponibles pour les objets ancrés au-dessus de la ligne dans un tracé diffèrent légèrement des options d’objets ancrés dans un bloc de texte habituel : l’option Alignement est relative au marqueur d’objet ancré et l’option Espace avant n’est pas disponible.
Utilisez le panneau Contrôle pour modifier l’aspect du texte. Lors de la sélection de texte ou de l’insertion d’un point dans un texte, les commandes de mise en forme des caractères ou les commandes de mise en forme des paragraphes ou une combinaison des deux s’affichent dans le panneau Contrôle selon la résolution de votre écran. Les mêmes commandes de mise en forme de texte s’affichent dans les panneaux Caractère et Paragraphe. Vous pouvez également utiliser le panneau Caractère et le panneau Paragraphe pour modifier l’aspect du texte. Pour la mise en forme de texte, utilisez l’une des méthodes suivantes :
Vous pouvez également sélectionner du texte sur plusieurs paragraphes.
Pour consulter une vidéo sur l’utilisation de texte, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0075_fr. 1 Sélectionnez l’outil Texte
mise en forme des paragraphes
L’outil Pipette permet de copier des attributs de caractère, de paragraphe, de fond et de contour, puis de les appliquer à un autre texte. Par défaut, l’outil Pipette copie tous les attributs de texte. Pour personnaliser les attributs à copier à l’aide de l’outil Pipette, utilisez la boîte de dialogue Options de l’outil Pipette.
« Application de couleurs à l’aide de l’outil Pipette » à la page 475
1 A l’aide de l’outil Pipette
3 Pour désélectionner l’outil Pipette, cliquez sur un autre outil.
(Windows) ou Option (Mac OS). L’outil Pipette change de sens et apparaît vide pour indiquer qu’il est prêt à prélever de nouveaux attributs. Cliquez sur un objet contenant les attributs à copier, puis faites glisser les nouveaux attributs vers un autre objet. EDMUND : Some
2 A l’aide de l’outil Pipette
2 Dans la boîte de dialogue Options de la pipette, choisissez Caractères ou Paragraphes. 3 Sélectionnez les attributs à copier à l’aide de l’outil Pipette, puis cliquez sur OK.
La commande Application rapide vous permet de rechercher et d’appliquer des commandes de menu, des scripts, des variables, ainsi que la plupart des commandes se trouvant dans la boîte de dialogue Raccourcis clavier. 1 Sélectionnez le texte ou le bloc auquel vous souhaitez appliquer le style, la commande de menu, le script ou la
2 Choisissez Edition > Application rapide ou appuyez sur les touches Ctrl+Entrée (Windows) ou
4 Sélectionnez l’élément que vous souhaitez appliquer, puis :
• Pour fermer la liste Application rapide sans appliquer d’élément, appuyez sur la touche Echap ou cliquez à un endroit quelconque de la fenêtre de document.
Lorsque la liste Application rapide est à l’écran, appuyez sur les touches flèche gauche et flèche droite pour parcourir le champ d’édition et sur les touches flèche haut et flèche bas pour parcourir la liste d’éléments.
A propos des polices Une police est un ensemble complet de caractères alphabétiques, chiffres et symboles qui partagent une graisse, une chasse et un style (par exemple, Adobe Garamond, 10 points, gras). Les types de caractères (souvent appelés familles de caractères ou familles de polices) sont des ensembles de polices de caractères apparentés par le graphisme et conçus pour être utilisés ensemble (par exemple, Adobe Garamond). Un style de caractères est une variante d’une police au sein d’une même famille caractères. En général, l’élément d’une famille de polices appelé Romain ou Normal (le nom diffère d’une famille à l’autre) constitue la police de base comprenant les styles de caractères, tels que normal, gras, demi-gras, italique et gras italique.
Lors de l’installation d’InDesign ou d’Adobe Creative Suite, les polices sont automatiquement installées dans le dossier des polices système : Windows\Fonts sous Windows ou Bibliothèque/Fonts sous Mac OS. Pour plus de détails sur l’installation et l’activation des polices pour toutes les applications, consultez la documentation de votre système ou de votre gestionnaire de polices. Vous pouvez rendre les polices disponibles dans InDesign en copiant les fichiers de polices du dossier Polices dans le dossier Adobe® InDesign® CS4 de votre disque dur. Notez toutefois que les polices installées dans ce dossier ne seront disponibles que dans InDesign. Si deux polices ou plus sont actives dans InDesign et utilisent le même nom de famille, mais des noms Adobe PostScript différents, elles sont disponibles dans InDesign. Les polices dupliquées sont affichées dans les menus avec l’abréviation de leur technologie entre parenthèses. Par exemple, une police Helvetica TrueType s’affiche comme « Helvetica (TT) », une police Helvetica PostScript Type 1 s’affiche comme « Helvetica (T1) » et une police Helvetica OpenType s’affiche comme « Helvetica (OTF) ». Si deux polices portent le même nom PostScript, et que l’une d’entre elles contient .dfont dans son nom, l’autre police est utilisée.
« Installation de polices OpenType » à la page 239
Le plus souvent, la version spécifique de style gras ou italique est appliquée. Cependant, certaines polices peuvent appliquer une variation de style gras ou italique qui n’est pas nommée comme telle. Par exemple, certains créateurs de polices définissent que lorsqu’un style gras est appliqué à une police, la variation demi-gras doit être utilisée. 1 Sélectionnez le texte à modifier. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Par défaut, le corps d’un caractère est mesuré en points (un point équivaut à 1/72 de pouce). Vous pouvez spécifier un corps de caractère compris entre 0,1 et 1296 par incréments de 0,001 point. 1 Sélectionnez les caractères ou les objets texte à modifier. Si vous ne sélectionnez pas de texte, le corps de caractère
2 Effectuez l’une des opérations suivantes :
• Choisissez un corps dans le menu Texte > Corps. Lorsque vous choisissez Autre, vous pouvez entrer un nouveau corps dans le panneau Caractère. Vous pouvez modifier l’unité de mesure des caractères dans la boîte de dialogue Préférences.
Vous pouvez visualiser des échantillons d’une police dans les menus de familles de caractères et de styles de caractères du panneau Caractères ou dans les autres espaces de l’application permettant de choisir les polices. Les icônes suivantes sont utilisées pour désigner différents types de polices :
• Type 1 Les polices OpenType affichent l’icône
Installation de polices OpenType InDesign contient des polices de diverses familles OpenType, y compris Adobe Garamond Pro, Adobe Caslon Pro, Trajan Pro, Caflisch Script Pro, Myriad Pro, Lithos et Adobe Jenson Pro. Les polices OpenType sont automatiquement installées lors de la procédure d’installation d’InDesign ou d’Adobe Creative Suite 4. D’autres polices OpenType sont disponibles dans le sous-dossier Adobe OpenType Fonts du dossier Extras situé sur le DVD de l’application. Pour plus de détails sur l’installation et l’utilisation de polices OpenType, parcourez le DVD de l’application ou consultez le site Web d’Adobe.
« Installation des polices » à la page 237
« Insertion de glyphes et de caractères spéciaux » à la page 173 « Polices OpenType » à la page 239
1 Sélectionnez du texte. 2 Vérifiez qu’une police OpenType est sélectionnée dans le panneau Caractère ou Contrôle. 3 Choisissez la commande OpenType dans le menu du panneau Caractère, puis sélectionnez un attribut OpenType,
Les fonctionnalités incompatibles avec la police active s’affichent entre crochets (par exemple, [Lettre italique ornée]). Vous pouvez également sélectionner des attributs de police OpenType lors de la définition d’un style de paragraphe ou de caractère. Utilisez la section Fonctionnalités OpenType de la boîte de dialogue Options de style.
Lorsque vous sélectionnez une police OpenType pour mettre en forme du texte ou définir un style, vous pouvez choisir des fonctionnalités OpenType dans le panneau Contrôle ou Caractère. Remarque : OpenType offre un grand nombre de styles et d’attributs différents selon la police. Les fonctionnalités non disponibles s’affichent entre crochets (par exemple, [Lettre italique ornée]) dans le menu du panneau Contrôle. Ligatures conditionnelles Toutes les ligatures conditionnelles proposées par le créateur de la police ne doivent pas être
« Application de ligatures à des paires de lettres » à la page 248. Fractions Les chiffres séparés par une barre oblique (par exemple, 1/2) sont convertis en fractions, lorsque cette option
Ordinal Les chiffres ordinaux, tels que 1er et 2e, utilisent des caractères en exposant (1er et 2e), lorsque cette option est
également correctement composés. Lettre italique ornée Si disponibles, les lettres italiques ornées normales et contextuelles, pouvant inclure des variantes de capitales et de fins de mots, sont incluses. Variantes de titrage Si disponibles, les caractères en majuscules utilisés dans les titres sont activés. Certaines polices produisent des effets inattendus, si vous appliquez cette option à un texte contenant des caractères en majuscules et en minuscules. Variantes contextuelles Si disponibles, les ligatures contextuelles et de connexion sont activées. Des caractères de
(notamment les polices condensées), il peut être difficile de faire la distinction entre le numéro 0 et la lettre capitale O. Jeux stylistiques Certaines polices OpenType intègrent des jeux de glyphes de substitution conçus pour améliorer
Les glyphes de chacun des jeux s’affichent dans le panneau Glyphes. Formes positionnelles Certaines écritures cursives et certaines langues telles que l’arabe comportent des caractères qui
Exposant/Supérieur et Indice/Inférieur Certaines polices OpenType incluent des glyphes en exposant ou en indice, et de taille relative aux caractères qui les entourent. Si une police OpenType ne contient pas ces glyphes pour les fractions non standard, vous pouvez utiliser les attributs Numérateur et Dénominateur. Numérateur et Dénominateur Certaines polices OpenType convertissent uniquement les fractions de base (par
Chiffres alignés tabulaires Les types à hauteur fixe ont tous la même largeur. Cette option est appropriée dans le cas
Chiffres elzéviriens proportionnels Des types à hauteur et à largeur variables sont inclus. Cette option est recommandée pour donner aux textes n’utilisant pas de capitales un aspect à la fois élégant et sophistiqué. Chiffres alignés proportionnels Des types à hauteur fixe, tous de la même largeur sont inclus. Cette option est appropriée dans le cas de textes en capitales. Chiffres elzéviriens tabulaires Des types à hauteur variable, de largeur fixe et égale sont inclus. Cette option est recommandée pour obtenir l’aspect classique des caractères elzévir pour le texte aligné dans des colonnes, dans un rapport annuel par exemple. Style de chiffre par défaut Les glyphes numériques utilisent le style du chiffre par défaut de la police active.
Lorsque vous ouvrez ou importez des documents contenant des polices qui ne sont pas installées sur votre système, un message d’alerte indiquant les polices manquantes apparaît. Si vous sélectionnez du texte contenant une police manquante, celle-ci s’affiche entre crochets dans le menu déroulant des polices du panneau Caractère ou Contrôle. InDesign substitue les polices manquantes par une police disponible. Lorsque cela se produit, vous pouvez sélectionner le texte et lui appliquer n’importe quelle police disponible. Les polices manquantes remplacées par d’autres polices sont répertoriées en haut du menu Texte > Police, dans une section intitulée « Polices manquantes ». Par défaut, le texte mis en forme avec des polices manquantes apparaît surligné en rose.
Typographie « Recherche et remplacement de polices » à la page 170 « Installation des polices » à la page 237
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Placez les polices manquantes dans le dossier Polices, situé dans le dossier d’application InDesign. Les polices de ce dossier sont disponibles uniquement dans InDesign (voir la section « Installation des polices » à la page 237).
Si vous ne parvenez pas à localiser une police manquante, utilisez la commande Rechercher une police pour la rechercher et la remplacer.
Si vous avez sélectionné l’option Polices substituées dans la boîte de dialogue des préférences, les plages de texte associées à une police manquante apparaissent surlignées en rose, ce qui permet de les localiser plus facilement. 1 Choisissez la commande Edition > Préférences > Composition (Windows®) ou InDesign > Préférences >
2 Sélectionnez l’option Polices substituées, puis cliquez sur OK. 72 points, le corps optique d’une police plus petite, tel que 10 points, est conçu avec des hampes et des empattements plus gros, des caractères plus larges, moins de contraste entre les lignes épaisses et minces, un œil plus important et un espacement plus large entre les caractères. 1 Choisissez Edition > Préférences > Texte (Windows) ou InDesign > Préférences > Texte (Mac OS). 2 Sélectionnez Utiliser automatiquement le corps optique correct, puis cliquez sur OK.
Par défaut, l’interligne est considéré comme un attribut de caractère, ce qui signifie que vous pouvez appliquer différentes valeurs d’interligne au sein du même paragraphe. Dans une ligne de texte, la valeur d’interligne la plus élevée détermine la valeur d’interligne de la ligne entière. Vous pouvez cependant sélectionner une option de préférence pour appliquer la valeur d’interligne à un paragraphe entier, plutôt qu’au texte du paragraphe. Ce paramètre n’affecte pas l’interligne des blocs existants.
1 Sélectionnez le texte à modifier. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
1 Sélectionnez les paragraphes à modifier. 2 Choisissez la commande Justification dans le menu du panneau Paragraphe ou Contrôle. 3 Pour l’option Interligne automatique, spécifiez un nouveau pourcentage par défaut. La valeur minimum est de 0 %,
A propos du crénage et de l’approche Le crénage consiste à augmenter ou à diminuer l’espacement de paires de lettres spécifiques. L’approche consiste à définir un espacement identique à l’intérieur d’un bloc de texte. Types de crénage Le crénage peut être métrique ou optique. Le crénage métrique utilise le crénage par paire inclus dans la plupart des polices. Le crénage par paire contient des informations concernant l’espacement de paires de caractères spécifiques. Par exemple : LA, P., To, Tr, Ta, Tu, Te, Ty, Wa, WA, We, Wo, Ya et Yo. Par défaut, InDesign utilise le crénage métrique de façon à ce que le crénage par paire soit automatiquement respecté lorsque vous importez ou saisissez du texte. Pour désactiver le crénage métrique, sélectionnez 0. Le crénage optique permet de modifier l’espacement entre deux caractères adjacents en fonction de leur forme. Certaines polices comportent d’importantes spécifications de crénage par paire. Toutefois, si une police comporte uniquement un crénage intégré réduit ou ne comporte pas de crénage, ou encore si vous utilisez deux polices ou deux corps différents dans un ou plusieurs mots d’une ligne, vous pouvez utiliser l’option de crénage optique.
Le crénage diffère de l’option Intermots de la boîte de dialogue Justification dans le sens où il permet de modifier uniquement la valeur de crénage entre le premier caractère d’un mot et l’espace précédant ce caractère.
Typographie Vous pouvez appliquer le crénage, l’approche ou les deux au texte sélectionné. L’approche et le crénage sont mesurés en 1/1000 de cadratin, une unité de mesure relative au corps du caractère utilisé. Pour un corps de 6 points, 1 cadratin est égal à 6 points ; pour un corps de 10 points, 1 cadratin est égal à 10 points. Le crénage et l’approche sont strictement proportionnels au corps du caractère utilisé. Les effets des options d’approche et de crénage s’additionnent ; vous pouvez ainsi commencer par modifier des paires de lettres, puis, sans modifier leur position relative, resserrer ou élargir une plage entière de texte. Si vous introduisez un point d’insertion entre deux lettres, InDesign affiche les valeurs de crénage dans les panneaux Caractère et Contrôle. Les valeurs de crénage métrique et optique (crénage par paire) s’affichent entre parenthèses. De même, si vous sélectionnez un mot ou une plage de texte, InDesign affiche les valeurs d’approche dans les panneaux Caractère et Contrôle.
Vous pouvez appliquer l’un des deux types de crénage automatique (crénage métrique ou crénage optique) ou modifier manuellement l’espace entre les lettres.
« Mise en forme du texte » à la page 741
1 Positionnez le point d’insertion de texte entre les caractères auxquels doit s’appliquer le crénage par paire, ou bien
2 Choisissez la commande Métrique dans le menu Crénage
1 Positionnez le point d’insertion de texte entre les caractères auxquels doit s’appliquer le crénage par paire, ou bien
2 Choisissez la commande Optique dans le menu Crénage
1 A l’aide de l’outil Texte
Commande (Mac OS) enfoncée, la valeur de crénage correspond à celle spécifiée dans les préférences de crénage, multipliée par 5.
❖ Dans la section Unités et incréments de la boîte de dialogue Préférences, entrez une nouvelle valeur pour
1 Sélectionnez du texte. 2 Entrez ou sélectionnez 0 dans le menu Crénage du panneau Caractère ou Contrôle.
1 Sélectionnez une plage de caractères. 2 Dans le panneau Caractère ou Contrôle, entrez ou sélectionnez une valeur numérique pour l’option Approche
Dans certains cas, il peut être nécessaire de mettre en évidence le texte auquel une approche ou un crénage personnalisé a été appliqué. Lorsque l’option Approche/Crénage personnalisés est activée dans la boîte de dialogue des préférences, le texte faisant l’objet d’une approche ou d’un crénage personnalisé est surligné en vert. 1 Choisissez Edition > Préférences > Composition (Windows) ou InDesign > Préférences > Composition (Mac OS). 2 Sélectionnez Approche/Crénage personnalisés, puis cliquez sur OK.
❖ A l’aide de l’outil Texte
Option+Commande+\ (Mac OS).
Option+Commande+Suppr (Mac OS). à la ligne de base du texte. Cette option est particulièrement utile lorsque vous composez des fractions manuellement ou que vous modifiez la position des images texte.
Pour modifier l’incrément par défaut du décalage vertical, spécifiez une valeur pour l’option Décalage vertical dans la section Unités et incréments de la boîte de dialogue Préférences.
1 Sélectionnez du texte. 2 Dans le menu du panneau Caractère ou Contrôle, choisissez la commande Supérieur/Exposant
Lorsque vous sélectionnez Exposant ou Indice, InDesign applique des valeurs prédéfinies de décalage vertical et de corps de caractère au texte sélectionné. Les valeurs appliquées sont des pourcentages du corps de la police et de l’interligne utilisés, et reposent sur les paramètres définis dans la boîte de dialogue des préférences de texte. Lorsque vous sélectionnez le texte, ces valeurs n’apparaissent pas dans les zones Décalage vertical et Taille du panneau Caractère. Remarque : vous pouvez modifier la taille par défaut et la position des exposants et indices dans les préférences Texte avancé.
« Application d’attributs de police OpenType » à la page 240 Application de soulignement et de style barré au texte 1 Sélectionnez du texte. 2 Dans le menu du panneau Caractère ou Contrôle, sélectionnez Souligné ou Barré.
Avant et après l’ajustement des soulignements
2 Utilisez l’une des méthodes suivantes, puis cliquez sur OK :
• Pour Décalage, définissez la position verticale de la ligne. Le décalage est mesuré à partir de la ligne de base. Les valeurs négatives placent le soulignement au-dessus de la ligne de base et le style barré sous la ligne de base.
Pour modifier les options de soulignement ou de texte barré dans un style de caractère ou de paragraphe, utilisez la section Options de soulignement ou Options de texte barré de la boîte de dialogue qui s’affiche lorsque vous créez ou éditez ce style.
InDesign peut insérer des ligatures automatiquement si elles sont disponibles dans la police. Les ligatures sont des caractères typographiques de remplacement pour certaines paires de lettres telles que « fi » et « fl ». Avec l’option Ligatures, InDesign applique au texte des caractères qui apparaissent et s’impriment en tant que ligatures. Cependant, ces caractères sont entièrement modifiables et le vérificateur orthographique ne relève pas les mots qui en contiennent.
Typographie 1 Sélectionnez du texte. 2 Choisissez la commande Ligatures dans le menu du panneau Caractère ou Contrôle.
« Polices OpenType » à la page 239
Vous pouvez appliquer des couleurs, des dégradés et des contours aux caractères et continuer à modifier le texte. Faites appel aux panneaux Nuancier et Contour pour appliquer les couleurs, les dégradés et les contours de votre choix au texte. Vous pouvez aussi changer les paramètres de couleur des caractères lors de la création ou de la modification d’un style.
Nuancier pour sélectionner le texte, plutôt que le bloc de texte.
• Dans le panneau Contour, spécifiez une épaisseur ou d’autres options de contour (voir la section « Options du panneau Contour » à la page 360). Vous pouvez également appliquer un dégradé à une plage de texte en activant l’outil Nuance de dégradé ou l’outil Contour progressif dégradé (que vous pouvez sélectionner en cliquant sur l’outil Nuance de dégradé et en maintenant le bouton de la souris enfoncé), puis en faisant glisser le pointeur sur le texte sélectionné. Pour créer du texte inversé, utilisez le blanc ou [Papier] comme couleur de fond pour le texte et sélectionnez une couleur foncée pour le fond du bloc. Vous pouvez également créer du texte inversé en utilisant un filet de paragraphe derrière le texte ; toutefois, si le filet est de couleur noire, vous devrez sélectionner le blanc comme couleur de texte.
« Application des couleurs » à la page 470 « Ajout de filets au-dessus ou au-dessous des paragraphes » à la page 255 « Application de dégradés au texte » à la page 491
1 Utilisez l’outil Sélection
3 Choisissez Texte dans le menu Paramètres pour.
4 Spécifiez les attributs d’effet, puis cliquez sur OK.
« Effets de transparence » à la page 447
L’affectation d’une langue à un texte détermine le dictionnaire utilisé pour la vérification orthographique et les césures. Ceci ne modifie pas le texte réel. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Après avoir fermé tous les documents, cliquez sur une langue pour choisir le dictionnaire de langue par défaut d’InDesign.
2 Dans le panneau Caractère, choisissez le dictionnaire approprié dans le menu déroulant Langue.
Typographie Les commandes Tout en capitales ou Petites capitales modifient l’aspect du texte, sans modifier le texte lui-même. De même, la commande Modifier la casse modifie le paramètre de casse du texte sélectionné. Cette distinction est importante lorsque vous effectuez une recherche ou une vérification orthographique dans le texte. Par exemple, supposons que vous entrez le mot « fichiers » dans votre document, puis appliquez l’option Tout en capitales à ce mot. Si vous utilisez alors la commande Rechercher/Remplacer (avec l’option Respecter la casse sélectionnée) pour rechercher « FICHIERS », vous ne trouverez pas l’instance « fichiers » à laquelle vous avez appliqué l’option Tout en capitales. Pour obtenir de meilleurs résultats de recherche et de vérification orthographique, utilisez la commande Modifier la casse et non la commande Tout en capitales.
InDesign peut modifier automatiquement la casse du texte sélectionné. Lorsque vous mettez en forme du texte en petites capitales, InDesign utilise automatiquement les petites capitales conçues au sein de la police, à condition que ces dernières soient disponibles. Sinon, InDesign reproduit les petites capitales en utilisant une version réduite des lettres capitales normales. Vous pouvez définir la taille des petites capitales reproduites dans la boîte de dialogue des préférences de texte.
2 Choisissez la commande Tout en capitales ou Petites capitales dans le menu du panneau Caractère ou Contrôle.
1 Choisissez Edition > Préférences > Texte avancé (Windows) ou InDesign > Préférences > Texte avancé (Mac OS). 2 Dans la zone de texte de l’option Petites capitales, saisissez un pourcentage du corps de la police d’origine pour que
1 Sélectionnez du texte. 2 Choisissez l’une des options suivantes dans le sous-menu Texte > Modifier la casse :
• Pour mettre en capitales la première lettre de chaque mot, choisissez Première lettre des mots en capitales. • Pour changer tous les caractères en majuscules, choisissez Capitales. • Pour mettre en capitales la première lettre de chaque phrase, choisissez Casse de la phrase. Remarque : la commande Casse de la phrase suppose que le point (.), le point d’exclamation (!) et le point d’interrogation (?) marquent la fin de phrases. L’application de l’option Casse de la phrase peut entraîner des modifications de casse inattendues lorsque ces caractères sont utilisés différemment, comme dans des abréviations, des noms de fichiers ou des adresses Internet. De plus, les noms propres risquent de perdre leur capitale.
Vous pouvez spécifier les proportions entre la hauteur et la largeur du texte en fonction de la hauteur et de la largeur d’origine des caractères. Les caractères dont l’échelle n’a pas été modifiée ont une valeur de 100 %. Certaines familles de polices comprennent une vraie police étendue, conçue avec un empattement (ou sérif) plus grand que celui du style de caractère normal. La mise à l’échelle déforme la police. En général, il est préférable d’utiliser une police condensée ou étendue, si disponible.
Typographie 1 Sélectionnez le texte à mettre à l’échelle. 2 Dans le panneau Caractère ou Contrôle, entrez une valeur numérique pour modifier le pourcentage de
Lorsque vous modifiez l’échelle d’un bloc, le texte qu’il contient est également mis à l’échelle. Par exemple, lorsque vous doublez la taille d’un bloc de texte, le corps du texte double également ; s’il était de 20 points, il passe à 40 points. Vous pouvez modifier une option de préférence pour déterminer comment s’affiche le texte mis à l’échelle dans les panneaux :
Caractère indiquent le nouveau corps du texte (par exemple 40 pt). Si vous sélectionnez l’option Ajuster le pourcentage de mise à l’échelle, les zones Corps indiquent à la fois le corps du texte initial et le corps du texte mis à l’échelle, par exemple « 20 pt (40) ».
Typographie 2 Sélectionnez l’option Ajuster le pourcentage de mise à l’échelle et cliquez sur le bouton OK.
1 Sélectionnez du texte. 2 Dans le panneau Caractère, entrez une valeur numérique pour l’option Inclinaison
Espacement des paragraphes Vous pouvez contrôler l’espace entre les paragraphes. Si un paragraphe est situé en haut d’une colonne ou d’un bloc, InDesign n’insère pas d’espace avant le paragraphe. Dans ce cas, vous pouvez augmenter l’interligne de la première ligne du paragraphe ou augmenter l’encart supérieur du bloc de texte dans InDesign 1 Sélectionnez du texte. 2 Dans le panneau Paragraphe ou Contrôle, ajustez les valeurs appropriées pour les options Espace avant
Vous pouvez également créer un style de caractère pour l’appliquer aux lettrines. Par exemple, vous pouvez créer une grande initiale en spécifiant une lettrine d’une ligne et d’un caractère et en appliquant un style de caractère qui augmente le corps de la première lettre.
1 Activez l’outil Texte
3 Dans le champ Un ou plusieurs caractères en lettrine
Vous pouvez également utiliser la boîte de dialogue Lettrines et styles imbriqués pour aligner la lettrine sur le bord du texte (l’espace situé à gauche de la lettrine étant ainsi réduit), puis l’ajuster sur des jambages, tels que « g » et « y ». Si vous souhaitez redimensionner, incliner ou modifier la police de la lettrine pour plus d’effet, sélectionnez une ou plusieurs lettres et apportez les modifications de mise en forme.
1 Activez l’outil Texte
Les filets sont des attributs de paragraphe qui se déplacent et sont redimensionnés dans la page avec le paragraphe. Si vous utilisez un filet pour les titres de votre document, vous pouvez l’intégrer à la définition de style du paragraphe. La largeur du filet est définie par la largeur de la colonne. Le décalage d’un filet au-dessus d’un paragraphe est mesuré à partir de la ligne de base de la première ligne de texte jusqu’au bas du filet. Le décalage d’un filet au-dessous d’un paragraphe est mesuré à partir de la ligne de base de la dernière ligne de texte jusqu’au sommet du filet.
Typographie 3 En haut de la boîte de dialogue Filets de paragraphe, sélectionnez Filet au-dessus ou Filet au-dessous. 4 Sélectionnez Filet.
5 Sélectionnez Aperçu pour visualiser le filet en place. 6 Pour l’option Epaisseur, sélectionnez une épaisseur ou entrez une valeur pour déterminer l’épaisseur du filet. Si
7 Sélectionnez Surimpression du contour pour vous assurer que le contour ne masque pas les couleurs sous-jacentes
8 Utilisez l’une ou plusieurs des méthodes suivantes :
Couleur du texte pour attribuer au filet supérieur la couleur du premier caractère du paragraphe, et au filet inférieur la couleur du dernier caractère du paragraphe.
9 Choisissez la largeur du filet. Vous pouvez sélectionner Texte (du bord gauche du texte jusqu’à la fin de la ligne) ou
10 Pour définir la position verticale du filet, entrez une valeur pour Décalage. 11 Pour vous assurer qu’un filet placé au-dessus du texte sera positionné à l’intérieur du bloc de texte, sélectionnez
13 Sélectionnez l’option Surimpression du contour si le filet de paragraphe doit être imprimé par-dessus une autre
1 A l’aide de l’outil Texte
3 Désélectionnez Filet et cliquez sur OK.
Vous pouvez éviter les lignes orphelines et veuves, c’est-à-dire les lignes composées d’un seul mot ou les lignes de texte uniques qui sont isolées du reste du paragraphe. Les orphelines figurent au bas d’une colonne ou d’une page et les veuves en haut. Un autre problème typographique à éviter est un titre se retrouvant seul sur une page, avec le paragraphe qu’il annonce décalé sur la page suivante. Différentes options permettent de résoudre les problèmes de coupure de paragraphe, tels que les veuves, les orphelines et les lignes de fin trop courtes. Tirets conditionnels Un tiret conditionnel (Texte > Insérer un caractère spécial > Césures et tirets > Tiret
à savoir l’apparition de mots coupés, par exemple « consti-tution », au milieu d’une ligne lorsque le texte est réagencé. Vous pouvez également insérer un saut de ligne conditionnel. Sans retour automatique Choisissez la commande Sans retour automatique dans le menu du panneau Caractère pour faire en sorte que l’ensemble du texte sélectionné reste sur la même ligne. Espaces insécables Insérez une espace insécable (Texte > Insérer une espace > [espace insécable]) entre les mots qui ne doivent pas être séparés. Options d’enchaînement Choisissez la commande Options d’enchaînement dans le menu du panneau Paragraphe pour indiquer combien de lignes du paragraphe suivant doivent rester liées au paragraphe actif. Début du paragraphe Sélectionnez l’option Début du paragraphe dans la boîte de dialogue Options d’enchaînement pour faire en sorte qu’un paragraphe (généralement un titre ou en-tête) s’affiche en haut d’une page, d’une colonne ou d’une section. Cette option prend tout son intérêt lorsqu’elle fait partie d’un style de titre. Paramètres de la césure Choisissez la commande Césure dans le menu du panneau Paragraphe pour modifier les
Modification du texte Il se peut que vous n’ayez pas la possibilité de modifier le texte, suivant la nature du document traité. Si vous avez l’autorisation de récrire le texte, il suffit dans bien des cas de changer quelques mots pour obtenir des sauts de lignes plus harmonieux. Utilisation d’un autre compositeur En général, la composition des paragraphes dans InDesign se fait de façon
Contrôle pour ajuster séparément chacune des lignes sélectionnées (voir la section « Composition de texte » à la page 280).
Typographie S’il n’est pas nécessaire que les colonnes de votre document partagent la dernière ligne de base, les options d’enchaînement peuvent ne pas vous être utiles. Pour mettre en surbrillance les paragraphes qui ne respectent pas les options d’enchaînement, choisissez la commande Edition > Préférences > Composition (Windows) ou InDesign > Préférences > Composition (Mac OS), sélectionnez l’option Infractions et cliquez sur le bouton OK. 1 Sélectionnez le ou les paragraphes appropriés. 2 Choisissez la commande Options d’enchaînement dans le menu du panneau Paragraphe ou Contrôle. Il est
3 Sélectionnez l’une des options suivantes, puis cliquez sur OK :
• Sélectionnez l’option Lignes solidaires, puis l’option Au début/A la fin du paragraphe et spécifiez le nombre de lignes devant apparaître au début ou à la fin du paragraphe pour éviter les orphelines et les veuves.
Lorsque vous créez des styles de paragraphe pour les titres, utilisez le volet Options d’enchaînement pour que le titre reste lié au paragraphe qui le suit.
« Ajout de colonnes, blocs et sauts de page » à la page 148
L’alignement des bordures gauche et droite des colonnes contenant des signes de ponctuation et des lettres telles que « W » peut sembler altéré. L’alignement optique des marges permet de contrôler si les signes de ponctuation (tels que les points, les virgules, les points d’interrogation et les tirets) et le bord de certaines lettres (telles que W ou A) sont en retrait à l’extérieur des marges, de façon à ce que le texte semble aligné.
Typographie Pour un résultat optimal, utilisez la même taille que le texte de votre article. Pour désactiver l’option Alignement optique des marges pour un paragraphe donné, choisissez la commande Ignorer la marge optique dans le menu du panneau Paragraphe ou Contrôle.
Alignement ou justification du texte Le texte peut être aligné par rapport à un ou aux deux bords (ou encarts) d’un bloc de texte. Le texte est justifié lorsqu’il est aligné par rapport aux deux bords. Vous pouvez justifier le texte d’un paragraphe en excluant la dernière ligne (Justifier à gauche ou Justifier à droite) ou en l’incluant (Justifier toutes les lignes). Lorsque la dernière ligne ne contient que quelques caractères, vous pouvez utiliser un caractère spécial de fin d’article et créer une espace sans alinéa.
InDesign décale le texte pour que le paragraphe soit harmonieux et sa densité constante. Vous pouvez ajuster précisément l’espacement dans du texte justifié. 1 Sélectionnez du texte. 2 Cliquez sur l’un des boutons d’alignement (Aligner à gauche, Centrer, Aligner à droite, Justifié à gauche, Justifié au
3 (Facultatif) Cliquez sur Aligner au dos ou Aligner à l’opposé du dos.
Typographie Si vous voulez que le côté gauche d’une ligne de texte soit aligné à gauche et le côté droit à droite, placez le point d’insertion à l’endroit où vous souhaitez aligner le texte à droite, appuyez sur la touche de tabulation, puis alignez le reste de la ligne à droite.
« Alignement ou justification de texte verticalement au sein d’un bloc de texte » à la page 261 « Modification des paramètres de justification » à la page 283
La grille de ligne de base représente l’interligne du corps de texte dans un document. Vous pouvez utiliser des multiples de ces valeurs d’interligne avec tous les éléments de la page pour garantir que le texte s’aligne toujours entre les colonnes d’une page sur l’autre. Par exemple, si l’interligne du texte dans votre document est de 12 points, vous pouvez définir l’interligne du texte de titre sur 18 points et ajouter une espace de 6 points avant les paragraphes qui suivent les titres. L’utilisation d’une grille de ligne de base assure la cohérence de position des éléments de texte d’une page. Vous pouvez modifier l’interligne du paragraphe pour faire en sorte que ses lignes de base soient alignées sur la grille sous-jacente de la page. Cela est utile lorsque vous voulez aligner les lignes de base en plusieurs colonnes ou des blocs de texte adjacents. Vous pouvez modifier les paramètres de la grille de ligne de base dans la section Grilles de la boîte de dialogue Préférences. Vous pouvez également aligner uniquement la première ligne d’un paragraphe sur la grille de ligne de base, de sorte que les autres lignes suivent les valeurs d’interligne spécifiées. Pour afficher la ligne de grille de base, choisissez Affichage > Grilles et repères > Afficher la grille de ligne de base. Remarque : la grille de ligne de base est visible uniquement si le niveau de zoom du document est supérieur au seuil d’affichage défini dans les préférences de la grille. Effectuez un zoom avant pour afficher la grille de la ligne de base.
« Grilles » à la page 53 « Définition des grilles de ligne de base d’un bloc de texte » à la page 130
1 Sélectionnez du texte. 2 Dans le panneau Paragraphe ou Contrôle, sélectionnez l’option Aligner sur la grille de ligne de base
1 Sélectionnez les paragraphes à aligner. 2 Choisissez la commande Aligner seulement la première ligne sur la grille dans le menu du panneau Paragraphe ou
2 Dans le panneau Paragraphe ou Contrôle, sélectionnez l’option Equilibrer les lignes en drapeau.
Il est possible d’aligner ou de distribuer des lignes de texte dans un bloc le long de son axe vertical pour répartir le texte à la verticale de façon uniforme parmi les blocs et leurs colonnes. Vous pouvez aligner le texte en haut, au centre ou en bas du bloc à l’aide des paramètres d’interligne et d’espacement de chaque paragraphe. Vous avez également la possibilité de justifier le texte verticalement de sorte à espacer les lignes régulièrement, quelles que soient les valeurs d’interligne et d’espacement du paragraphe.
Tom Sawyer,” but that ain’t no matter. • Le bord supérieur du bloc est défini en tant que ligne de base de la première ligne de texte alignée en haut. L’option Décalage de la 1re ligne de base dans la boîte de dialogue Options de bloc de texte agit sur cette valeur.
• La justification verticale ne s’applique pas à du texte prenant une forme non rectangulaire, forme due à l’effet d’un bloc de texte particulier ou d’un habillage ou encore d’effets d’arrondis. Dans un tel cas de figure, un alignement en haut s’applique. Lorsque vous appliquez un effet d’arrondi, vous pouvez effectuer une justification verticale si vous modifiez la zone de texte en une zone rectangulaire en augmentant la valeur Marge dans la boîte de dialogue Options de bloc de texte par rapport à la valeur Taille dans la boîte de dialogue Effets d’arrondis. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• A l’aide de l’outil Texte
3 Dans la section Justification verticale de la boîte de dialogue Options de bloc de texte, choisissez l’une des options
• Pour centrer des lignes de texte dans le bloc, choisissez Centrer. • Pour aligner les lignes de texte verticalement vers le haut à partir du bas du bloc, choisissez De pied. • Pour distribuer les lignes de texte verticalement de manière régulière entre le haut et le bas du bloc, choisissez Justifier. 4 Si vous choisissez Justifier et souhaitez empêcher que la valeur d’interligne n’augmente de manière
EDMUND : Some officers take th m away: good guard,Until their greater pleasures first be known That are to censure them. CORDELIA: We are not the first Who, with best meaning, have incurr’d the worst. Dans un bloc, les tabulations positionnent le texte à des emplacements horizontaux spécifiques. Les paramètres de tabulation par défaut dépendent des unités de la règle horizontale définies dans le panneau Unités et règles de la boîte de dialogue Préférences. Les tabulations s’appliquent à l’ensemble du paragraphe. Lorsque vous définissez la première tabulation, toutes les tabulations par défaut situées à gauche de celle-ci sont supprimées. Les tabulations suivantes suppriment toutes les tabulations par défaut situées entre les tabulations que vous avez définies. Vous pouvez définir des tabulations à gauche, centrées, à droite et décimales ou des tabulations de caractère spécial. Utilisez la boîte de dialogue Tabulations pour définir des tabulations.
2 Choisissez Texte > Tabulations.
1 Faites défiler le document jusqu’à ce que la partie supérieure du bloc de texte s’affiche. 2 Cliquez sur l’icône de l’aimant
Vous pouvez définir des tabulations à gauche, centrées, à droite et décimales ou des tabulations de caractère spécial. Lorsque vous utilisez la tabulation de caractère spécial, vous pouvez définir une tabulation pour un alignement sur le caractère de votre choix, tel que le signe deux-points (:) ou le signe dollar ($). 1 A l’aide de l’outil Texte
4 Pour définir votre première tabulation, cliquez sur l’un des boutons d’alignement de tabulation (gauche, droite,
5 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
6 Pour les tabulations suivantes dotées d’alignements différents, répétez les étapes 3 et 4.
La commande Répéter la tabulation crée plusieurs tabulations en fonction de la distance entre chacune d’entre elles et le retrait gauche ou le taquet précédent. 1 Créez un point d’insertion dans le paragraphe.
Typographie Utilisez la boîte de dialogue Tabulations pour déplacer, supprimer et modifier les paramètres de tabulation.
1 A l’aide de l’outil Texte
3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Faites glisser la tabulation.
1 Créez un point d’insertion dans le paragraphe. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Sélectionnez la tabulation, puis choisissez Supprimer la tabulation dans le menu du panneau. • Pour revenir aux taquets de tabulation par défaut, choisissez Tout supprimer dans le menu du panneau.
1 Dans la boîte de dialogue Tabulations, sélectionnez une tabulation sur la règle de tabulation. 2 Cliquez sur un bouton d’alignement de tabulation.
(Mac OS) enfoncée pour changer d’option d’alignement.
Vous pouvez utiliser les tabulations décimales pour aligner le texte sur un caractère spécifique, par exemple, un point ou un symbole dollar. 1 Dans le panneau Tabulations, créez ou sélectionnez une tabulation décimale
1 Dans le panneau Tabulations, sélectionnez un taquet sur la réglette. 2 Saisissez une série de huit caractères au maximum dans la zone Point de conduite, puis appuyez sur la
3 Pour modifier la police ou tout autre attribut de mise en forme des points de conduite de tabulation, sélectionnez
En une seule opération, vous pouvez ajouter une tabulation alignée à droite pour un retrait à droite, ce qui facilite la préparation d’un texte séparé par des tabulations et disposé dans une colonne entière. Les tabulations de retrait à droite diffèrent légèrement des tabulations normales. Une tabulation de retrait à droite :
1 A l’aide de l’outil Texte
Les retraits déplacent le texte des bords droit et gauche d’un bloc vers l’intérieur. Utilisez surtout les retraits de première ligne, et non les espaces ou les tabulations, pour mettre la première ligne d’un paragraphe en retrait.
Typographie Il est possible également de mettre une liste à puces ou numérotée en retrait.
« Création de listes à puces ou numérotées » à la page 270
1 A l’aide de l’outil Texte
3 Dans la boîte de dialogue Tabulations, effectuez l’une des opérations suivantes sur les marques de retrait
• Sélectionnez la marque du haut et entrez une valeur pour X afin de mettre en retrait la première ligne de texte. Sélectionnez la marque du bas et entrez une valeur pour X pour déplacer les deux marques et mettre en retrait l’ensemble du paragraphe. Pour plus de détails sur l’utilisation de la boîte de dialogue Tabulations, voir la section « Présentation de la boîte de dialogue Tabulations » à la page 263.
1 A l’aide de l’outil Texte
2 Indiquez une valeur de retrait à gauche supérieure à 0 dans la boîte de dialogue Tabulations ou le
3 Pour spécifier une valeur négative de retrait à gauche de première ligne, utilisez l’une des méthodes suivantes :
Mise en retrait à droite de la dernière ligne d’un paragraphe L’option Retrait à droite de dernière ligne permet de créer un retrait négatif à droite de la dernière ligne d’un paragraphe. Cette option est particulièrement utile pour aligner les prix à droite dans un catalogue.
Typographie 3 Pour mettre les paragraphes en retrait à droite, entrez une valeur (par exemple, 2p) dans le champ Retrait à droite
4 Pour décaler vers la droite le texte qui suit la tabulation, entrez une valeur négative (par exemple, -2p) dans le
Vous pouvez utiliser le caractère spécial Retrait jusqu’à ce point pour mettre en retrait des lignes dans un paragraphe, indépendamment de la valeur de retrait à gauche du paragraphe. Le caractère spécial Retrait jusqu’à ce point diffère du retrait à gauche d’un paragraphe sur les points suivants :
Dans une liste à puces, chaque paragraphe commence par une puce. Dans une liste numérotée, chaque paragraphe commence par une expression constituée d’un numéro ou d’une lettre et d’un séparateur tel qu’un point ou une parenthèse. La numérotation est automatiquement mise à jour dans une liste numérotée dès que vous ajoutez ou supprimez des paragraphes. Vous pouvez changer de type de puce, de style de numéro ou de séparateur, ou modifier les attributs de la police, le style de caractère et le type et la longueur du retrait. Vous ne pouvez pas utiliser l’outil Texte pour sélectionner les puces ou les numéros d’une liste. Vous pouvez en revanche modifier leur mise en forme et la longueur du retrait dans la boîte de dialogue Puces et numérotation, dans le panneau Paragraphe ou, s’ils font partie d’un style, dans la section Puces et numérotation de la boîte de dialogue Styles de paragraphe.
Par conséquent, ils ne peuvent pas faire l’objet d’une recherche avec la fonction de recherche de texte et ne peuvent pas non plus être sélectionnés à l’aide de l’outil Texte s’ils n’ont pas été préalablement convertis en texte. Les puces et numéros n’apparaissent pas non plus dans la fenêtre du mode éditeur (sauf dans la colonne des styles de paragraphe). Pour consulter une vidéo sur la création des listes à puces et numérotées, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0077_fr. 1 Sélectionnez les paragraphes composant la liste ou cliquez à l’endroit où vous voulez faire commencer la liste pour
3 Pour continuer la liste au paragraphe suivant, déplacez le point d’insertion à la fin de la liste et appuyez sur Entrée
4 Pour terminer la liste (ou une section de la liste, si la liste doit se poursuivre plus loin dans l’article), cliquez de
« Création d’un style de paragraphe pour les listes continues » à la page 276 « Création de listes multiniveau » à la page 276 Vidéo Listes à puces et numérotées
1 A l’aide de l’outil Texte
• Sélectionnez le style que vous souhaitez appliquer aux numéros ou aux puces dans la liste Style de caractère. 4 Pour modifier la position de la puce ou du numéro, spécifiez l’une des options suivantes : Alignement Permet d’aligner à gauche ou à droite, ou de centrer les puces ou les numéros dans l’espace qui leur est
Retrait à gauche Définit la longueur du retrait du paragraphe à partir de la deuxième ligne. Retrait de 1re ligne Définit l’emplacement de la puce ou du numéro. Position de la tabulation Insère une tabulation pour créer une espace entre la puce ou le numéro et le début de
Par défaut, les puces et les numéros héritent de certains des paramètres de mise en forme appliqués au premier caractère du paragraphe auquel ils sont associés. Si le premier caractère d’un paragraphe est différent des caractères commençant les autres paragraphes, le numéro ou la puce aura un aspect probablement discordant par rapport aux autres éléments de la liste. Si ces paramètres de mise en forme ne vous conviennent pas, créez un style de caractère pour les puces et les numéros et appliquez-le à votre liste à l’aide de la boîte de dialogue Puces et numérotation.
1. Mix the cherries, sugar, corn starch and orange in a large saucepan. Si vous ne souhaitez pas utiliser l’une des puces existantes, vous pouvez ajouter de nouvelles puces dans la grille Puce. Une puce disponible dans une police donnée n’est pas forcément disponible dans une autre police. Vous pouvez choisir de mémoriser la police associée à une puce que vous ajoutez. Si vous souhaitez utiliser une puce issue d’une police particulière (comme la main pointant vers une direction de Dingbats), pensez à mémoriser la police associée à cette puce. Si vous utilisez une puce standard, il n’est pas nécessaire de mémoriser sa police puisque la plupart des polices auront leur propre version de cette puce. Selon que vous avez sélectionné ou non l’option Mémoriser la police avec cette puce, la puce à ajouter peut faire référence à une valeur Unicode, une famille et un style de police spécifiques ou bien à une valeur Unicode uniquement. Remarque : les puces qui font uniquement référence à une valeur Unicode (sans police mémorisée) s’affichent avec l’indicateur « u ».
Typographie 1 Dans le menu du panneau Contrôle ou du panneau Paragraphe, sélectionnez Puces et numérotation. 2 Dans la boîte de dialogue Puces et numérotation, choisissez la commande Puces dans le menu Type de liste. 3 Sélectionnez une autre puce, puis cliquez sur OK.
1 Dans la boîte de dialogue Puces et numérotation, choisissez la commande Puces dans le menu Type de liste, puis
2 Sélectionnez le glyphe à utiliser comme puce. Plusieurs familles et styles de polices contiennent différents glyphes. 3 Pour que la nouvelle puce mémorise la police et le style actifs, sélectionnez l’option Mémoriser la police avec cette puce. 4 Cliquez sur Ajouter.
Lorsque vous collez ou chargez des styles de paragraphe d’un autre document, les puces utilisées dans ces styles sont visibles dans la boîte de dialogue Puces et numérotation avec les autres puces du document.
1 Dans la boîte de dialogue Puces et numérotation, choisissez la commande Puces dans le menu Type de liste. 2 Sélectionnez la puce à supprimer, puis cliquez sur Supprimer. La première puce prédéfinie ne peut pas être
Dans une liste numérotée, la numérotation est automatiquement mise à jour dès que vous ajoutez ou supprimez des paragraphes. Les paragraphes qui font partie de la même liste sont numérotés de façon séquentielle. Il n’est pas nécessaire que ces paragraphes se suivent si vous avez défini une liste pour les paragraphes Vous pouvez également créer une liste multiniveau dont les éléments sont numérotés de façon hiérarchique et mis en retrait sur plusieurs niveaux. 1 Ouvrez la boîte de dialogue Puces et numérotation. 2 Sous Style de numérotation, sélectionnez le type de numérotation à utiliser dans le menu Format. 3 Dans la zone Numéro, utilisez l’expression par défaut (le point (.) et la tabulation (^t)) ou générez votre propre
4 Choisissez un style de caractère pour l’expression (le style sélectionné s’appliquera à l’ensemble de l’expression
5 Dans Mode, sélectionnez l’une des options suivantes : Suite du numéro précédent Numérote la liste de façon séquentielle. Début Fait commencer la numérotation à partir de la valeur (numéro ou autre) entrée dans la zone de texte. Entrez un numéro, et non pas une lettre, même si votre liste est numérotée au moyen de lettres ou de chiffres romains.
Une liste définie peut être interrompue par d’autres paragraphes et listes ; elle peut également s’étendre sur plusieurs articles ou plusieurs documents d’un livre. Par exemple, utilisez les listes définies pour créer une vectorisation multiniveau ou pour créer une liste continue de noms de tableaux numérotés dans le document. Vous pouvez également définir des listes pour les éléments numérotés ou à puces individuels qui sont mélangés. Par exemple, si le document contient une liste de questions et de réponses, vous pouvez définir une liste pour numéroter les questions et une autre pour numéroter les réponses. Les listes définies permettent souvent de conserver un lien entre les paragraphes de façon à les numéroter. Si vous avez créé un style de paragraphe pour la numérotation, vous pouvez appliquer ce style à une liste définie : les paragraphes seront numérotés sur la base de ce style en fonction de leur emplacement dans la liste définie. Par exemple, le premier paragraphe se verra attribuer le numéro 1 (« Tableau 1 ») et le paragraphe suivant le numéro 2 (« Tableau 2 ») même s’ils sont séparés de plusieurs pages. Comme les deux paragraphes font partie de la même liste définie, ils seront numérotés de façon séquentielle, quelle que soit la distance qui les sépare au sein du document ou du livre. Définissez une nouvelle liste pour chaque type d’élément à numéroter : étapes d’une procédure, tableaux et figures par exemple. Lorsque vous définissez plusieurs listes, vous pouvez interrompre une liste par une autre et conserver la séquence de numérotation de chaque liste.
Typographie Pour définir une liste 1 Choisissez la commande Texte > Listes à puces et numérotées > Définir des listes. 2 Cliquez sur Nouveau dans la boîte de dialogue Définir des listes. 3 Attribuez un nom à la liste et indiquez si la numérotation doit se poursuivre d’un article à l’autre et si elle doit
4 Cliquez deux fois sur OK.
Remarque : certaines listes sont automatiquement définies. Par exemple, lorsque vous importez une liste numérotée à partir d’un document Microsoft Word, une liste est automatiquement définie pour ce document.
1 Choisissez la commande Texte > Listes à puces et numérotées > Définir des listes. 2 Sélectionnez une liste et cliquez sur le bouton Modifier. 3 Modifiez le nom de la liste ou redéfinissez les options Continuer la numérotation.
Typographie 1 Choisissez la commande Texte > Listes à puces et numérotées > Définir des listes. 2 Sélectionnez une liste. 3 Cliquez sur le bouton Supprimer et indiquez par quelle liste (liste par défaut ou autre liste) la liste supprimée doit
Pour créer une liste continue (liste entrecoupée d’autres paragraphes ou qui s’étend sur plusieurs articles ou documents), générez un style de paragraphe et appliquez-le aux paragraphes que vous souhaitez intégrer à la liste. Si, par exemple, vous souhaitez créer une liste continue des tableaux de votre document, créez un style de paragraphe nommé Tableaux, ajoutez une liste définie au style, puis appliquez le style de paragraphe Tableaux à tous les paragraphes qui doivent apparaître dans votre liste Tableaux. 1 Choisissez la commande Nouveau style de paragraphe dans le menu du panneau Styles de paragraphe. 2 Attribuez un nom au style. 3 Sur le côté gauche de la boîte de dialogue Nouveau style de paragraphe, cliquez sur Puces et numérotation. 4 Pour l’option Type de liste, sélectionnez Puces ou Numéros. 5 Si vous créez un style pour listes numérotées, sélectionnez une liste définie dans le menu Liste, ou choisissez la
6 Spécifiez les caractéristiques de la puce ou des numéros. 7 Utilisez les options de la section Position de la puce ou de la numérotation de la boîte de dialogue Nouveau style de
8 Spécifiez d’autres attributs de style de paragraphe, puis cliquez sur OK.
« Ajout de styles de paragraphe et de caractère » à la page 192
Une liste multiniveau est une liste qui définit les liens hiérarchiques entre les paragraphes de la liste. Les listes de ce type sont également appelées listes hiérarchiques car elles s’apparentent à une structure hiérarchique. Le modèle de numérotation d’une liste, tout comme la longueur des retraits, permettent de connaître le niveau hiérarchique d’un élément et de savoir comment celui-ci se positionne par rapport aux autres. Vous pouvez facilement déterminer à quel niveau se situe un paragraphe dans la liste par rapport au paragraphe qui le suit et à celui qui le précède. Vous pouvez inclure jusqu’à neuf niveaux dans une liste multiniveau.
Typographie Pour visionner une vidéo sur la vectorisation et la création de listes multiniveaux, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/learn_id_numbered_lists_fr. 1 Choisissez la commande Nouveau style de paragraphe dans le menu du panneau Styles de paragraphe. 2 Attribuez un nom au style. 3 Si vous avez déjà créé un style pour votre liste multiniveau, choisissez le style que vous allez associer aux niveaux
4 Sur le côté gauche de la boîte de dialogue Nouveau style de paragraphe, cliquez sur Puces et numérotation. 5 Choisissez la commande Numéros dans le menu Type de liste. 6 Choisissez l’une des listes définies dans le menu Liste. Si vous n’avez pas encore défini votre liste, choisissez
7 Dans le champ Niveau, entrez le numéro correspondant au niveau de la liste multiniveau auquel se destine le style
8 Dans le menu Format, choisissez le type de numérotation à utiliser. 9 Dans le champ Numéro, indiquez sous quelle forme les éléments de la liste doivent être numérotés à ce niveau. Pour
11 Dans la zone Position de la puce ou de la numérotation, définissez les options de retrait ou de tabulation de telle
Les légendes continues permettent de numéroter les figures, les tableaux et d’autres types d’éléments de façon séquentielle dans un document. Par exemple, la légende de la première figure peut commencer par les mots « Figure 1 », celle de la deuxième par les mots « Figure 2 », etc. Pour vous assurer que les figures, les tableaux et autres éléments semblables seront numérotés de façon séquentielle, définissez une liste pour l’élément, puis créez un style de paragraphe incluant cette définition de liste. Vous pouvez également ajouter des mots descriptifs, par exemple « figure » ou « tableau », au modèle de numérotation du style de paragraphe. 1 Créez un nouveau style de paragraphe et, dans la section Puces et numérotation de la boîte de dialogue Options de
2 Sélectionnez une liste définie dans le menu Liste ou choisissez la commande Nouvelle liste pour en définir une. 3 Sous Style de numérotation, sélectionnez le type de numérotation à utiliser dans le menu Format.
4 Dans la zone Numéro, entrez un terme descriptif, ainsi que les espaces et les signes de ponctuation nécessaires, en
Par exemple, pour créer un effet « Figure A », entrez le mot « Figure » et une espace avant les métacaractères (tel que Figure ^#.^t). Cette action ajoute le mot « Figure » suivi d’un numéro séquentiel (^#), d’un point et d’une tabulation (^t). Remarque : pour inclure les numéros de chapitre dans les légendes continues, choisissez la commande Insérer une balise d’emplacement de numéro >Numéro de chapitre dans la liste Numéro ou entrez ^H là où le numéro de chapitre doit apparaître dans le modèle de numérotation. 5 Finalisez le style et cliquez sur le bouton OK.
Vous pouvez utiliser la fonction Table des matières pour générer la liste des tableaux ou des figures.
« Création d’une table des matières » à la page 316
InDesign offre des commandes permettant de recommencer ou de continuer la numérotation d’une liste : Pour recommencer la numérotation d’une liste Placez le point d’insertion dans le paragraphe et choisissez la commande Recommencer la numérotation dans le menu contextuel ou choisissez la commande Texte > Listes à puces
Typographie Pour continuer la numérotation d’une liste Choisissez la commande Continuer la numérotation dans le menu
élément de liste imbriqué. InDesign offre également des commandes permettant de numéroter les listes qui commencent dans un article ou un livre et qui se poursuivent dans l’article ou le livre suivant.
Suivant les paramètres de configuration de la liste, la numérotation continue à la suite de l’article précédent ou recommence dans l’article actif. 1 Choisissez la commande Texte > Listes à puces et numérotées > Définir des listes. 2 Sélectionnez une liste et cliquez sur le bouton Modifier.
3 Sélectionnez l’option Continuer la numérotation au fil des articles pour continuer la numérotation de la liste à la
4 Cliquez deux fois sur OK.
Suivant les paramètres de configuration de la liste, la numérotation continue à la suite du document précédent du livre ou recommence dans le document actif. 1 Choisissez la commande Texte > Listes à puces et numérotées > Définir des listes. 2 Sélectionnez une liste et cliquez sur le bouton Modifier. 3 Sélectionnez l’option Continuer la numérotation du document précédent du livre pour continuer la numérotation
4 Cliquez deux fois sur OK.
1 Sélectionnez le paragraphe contenant la liste à puces ou numérotée. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Remarque : pour supprimer les numéros ou les puces de la liste, cliquez sur le bouton Liste numérotée ou Liste à puces pour annuler l’application de la mise en forme de la liste au texte sélectionné.
Typographie Composition de texte L’aspect du texte sur une page dépend d’un système complexe d’interaction entre différents processus, appelé composition. A l’aide des options d’espacement des mots et des lettres, d’échelle glyphe et de césure que vous avez sélectionnées, InDesign compose votre texte afin qu’il corresponde le mieux aux paramètres spécifiés. InDesign offre deux méthodes de composition : le Compositeur de paragraphe Adobe (par défaut) et le Compositeur ligne simple Adobe (les deux étant accessibles à partir du panneau Contrôle). Vous pouvez sélectionner le compositeur à utiliser dans le menu du panneau Paragraphe, de la boîte de dialogue Justification ou du menu du panneau Contrôle. Pour consulter une vidéo sur l’utilisation de texte, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0075_fr.
Vidéo Travailler avec du texte « Modification des paramètres de justification » à la page 283 « Justification du texte d’habillage en regard d’un objet » à la page 228
InDesign propose deux méthodes de composition : le compositeur de paragraphe Adobe (la méthode par défaut) et le compositeur de ligne simple Adobe. Ces deux méthodes de composition évaluent les coupures possibles et sélectionnent celle qui correspond le mieux aux options de césure et de justification que vous avez spécifiées pour un paragraphe donné. Compositeur de paragraphe Adobe Le compositeur de paragraphe Adobe prend en considération un réseau de points de coupure pour une plage de lignes et peut ainsi optimiser les lignes du début d’un paragraphe afin d’éliminer ultérieurement les coupures désagréables à l’œil. L’utilisation du compositeur de paragraphe entraîne un espacement plus régulier et moins de césures. Le compositeur de paragraphe aborde une composition en identifiant et en évaluant les points de coupure possibles et en leur attribuant une pénalité pondérée basée sur les principes tels que la régularité de l’espacement des lettres et des mots, et de la césure. Vous pouvez utiliser la boîte de dialogue Césure pour définir la relation entre un meilleur espacement et le nombre de césures (voir la section « Césure de texte » à la page 281). Compositeur ligne simple Adobe Le compositeur de ligne simple propose une composition traditionnelle du texte, ligne par ligne. Cette option est utile si vous voulez limiter les effets des modifications de dernière minute sur la composition.
Définition des préférences de composition 1 Choisissez Edition > Préférences > Composition (Windows) ou InDesign > Préférences > Composition (Mac OS). 2 Pour utiliser la mise en surbrillance afin d’identifier les problèmes de composition, sélectionnez Infractions et
3 Pour justifier le texte qui habille un objet, vous devez sélectionner Justifier le texte en regard d’un objet habillé
Les paramètres sélectionnés pour la césure et la justification ont un impact sur l’espacement horizontal des lignes et l’aspect esthétique du texte sur une page. Les options de césure déterminent si les mots peuvent être coupés et, si tel est le cas, quelles coupures sont autorisées. La justification dépend de l’option d’alignement sélectionnée, de l’intermots et de l’interlettrage spécifiés et de l’utilisation ou non de la mise à l’échelle glyphe. Vous pouvez également justifier des mots isolés dans les colonnes étroites d’un texte justifié.
« Définition de l’intermots et de l’interlettrage dans un texte justifié » à la page 283 « Césure et dictionnaires » à la page 182
Vous pouvez couper les mots manuellement ou automatiquement ou bien combiner les deux méthodes. La méthode de césure manuelle la plus sûre consiste à insérer un tiret conditionnel : ce type de tiret n’apparaît que s’il est nécessaire de couper le mot en fin de ligne. Un tiret conditionnel placé au début d’un mot l’empêche d’être coupé en deux. 1 A l’aide de l’outil Texte
• Appuyez sur les touches Ctrl+Maj+- (Windows) ou Commande+Maj+- (Mac OS) pour insérer un tiret conditionnel. Remarque : un tiret conditionnel n’implique pas forcément que le mot qui le contient sera coupé. La coupure du mot à l’endroit indiqué dépend d’autres paramètres de césure et de composition. Cependant, si le mot doit être coupé, la césure se fera à l’endroit du tiret conditionnel.
Typographie ❖ Pour activer ou désactiver la césure automatique d’un paragraphe, activez ou désactivez l’option Césure du
Lorsque vous définissez des options de césure automatique, vous pouvez indiquer le meilleur compromis entre l’espacement et le nombre de césures. Il est possible également d’éviter que les mots en capitales et le dernier mot d’un paragraphe soient coupés.
1 Cliquez sur un paragraphe ou sélectionnez la plage de paragraphes concernée. 2 Choisissez Césure dans le menu du panneau Paragraphe. 3 Sélectionnez l’option Césure. 4 Modifiez les paramètres suivants selon les besoins, puis cliquez sur le bouton OK : Mots d’au moins _ lettres Indiquez le nombre minimum de caractères qu’un mot doit comporter pour pouvoir être
Zone de césure Spécifiez à quelle distance de la fin de la ligne doit s’effectuer la coupure d’un mot dans du texte non
Meilleur espacement / Moins de césures Pour modifier l’équilibre entre ces deux options, faites glisser le curseur situé
Césure des mots en capitales Pour éviter que les mots en capitales soient coupés, désélectionnez cette option. Couper le dernier mot Désélectionnez cette option pour éviter que le dernier mot d’un paragraphe soit coupé. Césure sur la colonne Désélectionnez cette option pour éviter qu’un mot soit coupé sur une colonne, un bloc ou une
L’utilisation de tirets conditionnels vous permet d’éviter la coupure de certains mots, tels que les noms propres ou des mots pour lesquels la césure n’est pas souhaitable. Vous pouvez également éviter la césure d’un groupe de mots, par exemple, un groupe d’initiales accompagnant un nom de famille (tel que « J.-P. Sartre »).
1 Sélectionnez le texte devant tenir sur la même ligne. 2 Choisissez la commande Sans retour automatique dans le menu du panneau Caractère ou Contrôle.
Typographie Utilisez le panneau Justification pour contrôler avec précision l’espacement des lettres et des mots ainsi que la mise à l’échelle glyphe. Le réglage de l’espacement est particulièrement utile avec du texte justifié, bien qu’il soit également possible de régler l’espacement d’un texte non justifié.
1 Insérez le pointeur dans le paragraphe à modifier ou sélectionnez un cadre ou objet texte pour modifier tous ses
2 Choisissez Justification dans le menu du panneau Paragraphe. 3 Saisissez des valeurs dans les zones Intermots, Interlettrage et Mise à l’échelle glyphe. Les valeurs Minimum et
Optimum définit l’espacement souhaité pour les paragraphes justifiés et non justifiés : Intermots Espace entre les mots créé en appuyant sur la barre d’espace. Les valeurs d’intermots sont comprises entre 0 % et 1 000 %. Une valeur de 100 % indique qu’aucun espacement supplémentaire n’est inséré entre les mots. Interlettrage Distance entre les lettres, valeurs de crénage ou d’approche comprises. Les valeurs d’interlettrage peut
Mise à l’échelle du glyphe Chasse des caractères (un glyphe est un caractère de n’importe quelle police). La mise à
Les options d’espacement s’appliquent toujours à un paragraphe entier. Pour modifier l’espacement de quelques caractères seulement, utilisez l’option Approche. 4 Définissez l’option Justification d’un seul mot pour indiquer le type de justification appliqué aux paragraphes d’un
Il arrive que les colonnes étroites contiennent un seul mot sur une ligne. Si la justification entière est définie pour le paragraphe, un seul mot sur une ligne peut apparaître trop étiré. Vous pouvez choisir de centrer ce mot ou de l’aligner à droite, ou à gauche dans la colonne.
1 Créez un point d’insertion dans un paragraphe ou sélectionnez les paragraphes concernés. 2 Choisissez Justification dans le menu du panneau Paragraphe.
Typographie Avant (en haut) et après (en bas) la mise à l’échelle glyphe de texte justifié
L’utilisation d’un caractère d’espace sans alinéa ajoute une quantité variable d’espace à la dernière ligne d’un paragraphe entièrement justifié, entre le dernier mot et un caractère de fin d’article d’une police décorative, par exemple. Utilisée avec du texte non justifié, l’espace sans alinéa apparaît comme un caractère d’espace normal. Dans un texte justifié, elle s’agrandit pour assimiler tous les espaces supplémentaires présents sur la dernière ligne. L’utilisation d’une espace sans alinéa peut avoir un effet spectaculaire sur la façon dont le paragraphe est mis en forme par le compositeur de paragraphe Adobe.
Création de tableaux Un tableau se compose de lignes et de colonnes de cellules. Une cellule est un bloc de texte dans lequel il est possible d’insérer du texte, des images texte ou d’autres tableaux. Vous pouvez créer des tableaux de toutes pièces ou en convertissant du texte en tableau. Vous pouvez également imbriquer un tableau dans un tableau. Lorsque vous créez un tableau, il occupe la largeur du bloc de texte contenant. Il est inséré sur la même ligne que le point d’insertion ou sur la ligne suivante, selon que celui-ci figure respectivement au début ou au milieu de la ligne. Les tableaux accommodent le texte avoisinant de la même manière que les images texte. Ainsi, un tableau subit le même déplacement que les blocs liés lorsque vous modifiez le corps du texte situé au-dessus ou lorsque vous insérez ou supprimez du texte. En revanche, il est impossible d’insérer un tableau dans un bloc de texte curviligne. Pour consulter une vidéo sur la création et la mise en forme des tableaux, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0081_fr.
« Mise en forme de tableaux » à la page 295 Vidéo Créer et mettre en forme des tableaux
Le tableau que vous créez occupe la largeur du bloc de texte. 1 A l’aide de l’outil Texte
3 Spécifiez le nombre de lignes et de colonnes. 4 Si le contenu du tableau doit être réparti sur plusieurs colonnes ou blocs, spécifiez le nombre de rangées d’en-tête
5 (Facultatif) Spécifiez un style de tableau. 6 Cliquez sur OK.
1 Pour préparer la conversion d’un texte, insérez des tabulations, des virgules, des retours chariot ou d’autres
2 A l’aide de l’outil Texte
4 Dans Séparateur de lignes et Séparateur de colonnes, indiquez le début des nouvelles lignes et colonnes. Choisissez
5 Si vous spécifiez le même séparateur pour les colonnes et les rangées, indiquez le nombre de colonnes à inclure dans
6 (Facultatif) Spécifiez un style de tableau pour mettre en forme le tableau. 7 Cliquez sur OK.
1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
2 S’il y a lieu, ajustez l’encart de cellule (voir la section « Mise en forme de texte dans un tableau » à la page 297).
Lorsque vous importez un document Microsoft Word comprenant des tableaux ou une feuille de calcul Microsoft Excel, à l’aide de la commande Importer, les données importées se présentent sous forme de tableau modifiable. Vous pouvez en contrôler la mise en forme grâce à la boîte de dialogue Options d’importation. Vous pouvez également coller des données provenant d’une feuille de calcul Excel ou d’un tableau Word dans un document InDesign ou InCopy. Les préférences de Gestion du presse-papiers déterminent la mise en forme du texte collé depuis une autre application. Si l’option Texte seul est activée, les informations s’affichent sous forme de texte tabulé non mis en forme, que vous pouvez convertir en tableau. Si l’option Toutes les informations est sélectionnée, le texte collé prend la forme d’un tableau mis en forme. Si vous collez du texte depuis une autre application dans un tableau existant, insérez suffisamment de rangées et de colonnes pour le texte collé, choisissez l’option Texte seul dans les préférences de Gestion du presse-papiers, et sélectionnez au moins une cellule (sauf si vous souhaitez imbriquer le tableau collé dans une cellule). Si vous souhaitez contrôler davantage la mise en forme du tableau importé ou si vous souhaitez conserver un lien vers la mise en forme de la feuille de calcul, utilisez la commande Importer pour importer le tableau.
Tableaux Vous pouvez ajouter du texte, des objets ancrés, des balises XML ou d ’autres tableaux à des cellules. La hauteur de ligne du tableau s’ajuste au texte supplémentaire, à moins que vous ne choisissiez une hauteur fixe. Il n’est pas possible d’ajouter des notes de bas de page aux tableaux. ❖ A l’aide de l’outil Texte
à l’autre (si vous appuyez sur cette touche alors que le curseur se trouve dans la dernière cellule, vous insérez une nouvelle ligne). Appuyez sur les touches Maj+tabulation pour passer aux cellules précédentes.
• Placez le point d’insertion à l’endroit où vous voulez insérer le texte, choisissez Fichier > Importer, puis cliquez deux fois sur un fichier texte.
« Redimensionnement de colonnes, rangées et tableaux » à la page 295 « Gestion des cellules en excès » à la page 299 « Balisage d’éléments » à la page 614
Pour consulter une vidéo sur l’importation d’images dans un tableau, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0083_fr. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Si les dimensions du graphique sont supérieures à celles de la cellule, la hauteur de celle-ci s’ajuste au graphique tandis que sa largeur reste inchangée (le graphique risque de déborder à droite de la cellule). Si la hauteur du graphique est supérieure à la hauteur fixe de la rangée à laquelle il est destiné, la cellule sera composée par excès. Pour empêcher toute cellule en excès, vous pouvez importer l’image en dehors du tableau, la redimensionner, puis la coller dans la cellule de tableau.
Tableaux Vous pouvez ajouter des lignes d’en-tête ou de pied de tableau lors de la création du tableau. Vous pouvez également utiliser la boîte de dialogue Options de tableau pour ajouter des lignes d’en-tête et de pied de tableau et modifier leur aspect dans le tableau. Il est aussi possible de convertir des lignes de corps en lignes d’en-tête ou de pied de tableau.
à l’en-tête ou au pied de tableau (voir la section « Création de légendes continues de figures et tableaux » à la page 278). Pour consulter une vidéo sur la création d’en-têtes et de pieds de tableau, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0082_fr.
« Répartition de tableaux sur plusieurs blocs » à la page 296 « Création de variables pour des en-têtes et des pieds de page continus » à la page 97
1 Sélectionnez les lignes du haut du tableau pour créer des lignes d’en-tête ou celles du bas du tableau pour créer des
2 Choisissez Tableau > Convertir les lignes > En ligne d’en-tête ou En ligne de pied de tableau.
1 Placez le point d’insertion dans le tableau et choisissez la commande Tableau > Options de tableau > En-têtes et
2 Spécifiez le nombre de lignes d’en-tête ou de pied de tableau. Des lignes vierges peuvent être ajoutées dans le haut
3 Indiquez si les informations contenues dans l’en-tête ou le pied de tableau doivent apparaître dans toutes les
4 Sélectionnez Ignorer premier en-tête pour éviter que les informations d’en-tête apparaissent dans la première ligne
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
La sélection de l’ensemble ou d’une partie du texte d’une cellule présente le même aspect que du texte sélectionné en dehors d’un tableau. Si toutefois cette sélection s’étend sur plusieurs cellules, les cellules et leur contenu sont sélectionnés. Si un tableau s’étend sur plusieurs blocs et que vous placez le pointeur de la souris au-dessus d’une ligne d’en-tête ou de pied de tableau autre que la première ligne d’en-tête ou de pied de tableau, une icône de verrou apparaît, indiquant que vous ne pouvez pas sélectionner le texte ou les cellules de cette ligne. Pour sélectionner des cellules d’une ligne d’en-tête ou de pied de tableau, placez le pointeur au début du tableau.
« Fonction des touches dans les tableaux » à la page 739
❖ A l’aide de l’outil Texte
Pour basculer entre la sélection de tout le texte d’une cellule et la sélection de la cellule, appuyez sur la touche Echap.
❖ A l’aide de l’outil Texte
1 Cliquez à l’intérieur d’un tableau ou sélectionnez le texte. 2 Choisissez Tableau > Sélectionner > Lignes d’en-tête, Lignes de corps ou Lignes de pied de tableau.
• Faites glisser l’outil Texte sur tout le tableau. Vous pouvez sélectionner un tableau de la même manière qu’un graphique ancré. Pour cela, placez le point d’insertion juste avant ou après le tableau, puis maintenez la touche Maj enfoncée tandis que vous appuyez respectivement sur la touche flèche droite ou flèche gauche pour sélectionner le tableau.
Il existe plusieurs méthodes pour insérer des rangées et des colonnes.
1 Placez le point d’insertion dans la ligne située au-dessous ou au-dessus de l’emplacement auquel insérer la nouvelle
2 Choisissez Tableau > Insérer > Ligne. 3 Spécifiez le nombre de lignes à insérer. 4 Spécifiez l’emplacement de la ou des nouvelles lignes (au-dessus ou au-dessous de la ligne sélectionnée), puis
Les nouvelles cellules présentent la même mise en forme que le texte de la rangée dans laquelle figure le point d’insertion. Vous pouvez également créer une nouvelle ligne en appuyant sur la touche de tabulation lorsque le point d’insertion figure dans la dernière cellule.
1 Placez le point d’insertion dans la colonne adjacente sur l’emplacement d’insertion de la nouvelle colonne. 2 Choisissez Tableau > Insérer > Colonne. 3 Spécifiez le nombre de colonnes à insérer. 4 Spécifiez l’emplacement de la ou des nouvelles colonnes (avant ou après la colonne sélectionnée), puis cliquez
Les nouvelles cellules présentent la même mise en forme que le texte de la colonne dans laquelle figure le point d’insertion.
Tableaux Vous pouvez également modifier le nombre de rangées et de colonnes dans le panneau Tableau. Pour afficher le panneau Tableau, choisissez Fenêtre > Texte et tableaux > Tableau.
Lors de l’insertion de colonnes, si vous faites glisser une colonne sur une distance supérieure à une fois et demi sa largeur, les nouvelles colonnes ont la même largeur que la colonne d’origine. Si vous faites glisser pour insérer une seule colonne, la largeur de celle-ci peut être inférieure ou supérieure à celle de la colonne à partir de laquelle vous effectuez le glissement. Il en est de même pour les lignes, à moins que la hauteur de la ligne que vous faites glisser soit définie sur la valeur Au moins. Dans ce cas, si vous faites glisser pour créer une seule ligne, InDesign ajuste la nouvelle ligne, s’il y a lieu, afin qu’elle puisse contenir le texte. 1 Placez l’outil Texte
• Pour supprimer une ligne, une colonne ou un tableau, placez le point d’insertion à l’intérieur du tableau ou sélectionnez le texte dans le tableau , puis choisissez Tableau > Supprimer > Ligne, Colonne ou Tableau.
Options de tableau > Format de tableau. Spécifiez un nombre différent de lignes et de colonnes, puis cliquez sur OK. Les lignes sont supprimées au bas du tableau et les colonnes à droite du tableau.
Remarque : si vous appuyez sur la touche Alt ou Option avant de maintenir le bouton de la souris enfoncé, l’outil Main apparaît. Veillez donc à appuyer sur cette touche avant de commencer à faire glisser.
échéant, vous pouvez définir l’alignement du tableau à l’intérieur du bloc. 1 Placez le point d’insertion à droite ou à gauche du tableau. Assurez-vous que le point d’insertion du texte est placé
2 Cliquez sur un bouton d’alignement (par exemple le bouton Centrer) du panneau Paragraphe ou Contrôle.
« Redimensionnement de colonnes, rangées et tableaux » à la page 295
Vous pouvez vous déplacer dans un tableau à l’aide de la touche Tabulation ou des touches de direction. Vous pouvez également atteindre une rangée spécifique d’un tableau, ce qui est particulièrement utile dans les tableaux longs.
« Fonction des touches dans les tableaux » à la page 739
• Appuyez sur la touche de tabulation pour passer à la cellule suivante. Si vous appuyez sur cette touche alors que le point d’insertion est placé dans la dernière cellule du tableau, vous créez une nouvelle ligne. Pour plus de détails sur l’insertion de tabulations et de retraits dans un tableau, reportez-vous à la section « Mise en forme de texte dans un tableau » à la page 297.
• Appuyez sur les touches de direction pour vous déplacer à l’intérieur des cellules du tableau ou d’une cellule à l’autre. Si vous appuyez sur la touche flèche droite alors que le point d’insertion est placé à la fin de la dernière cellule d’une ligne, celui-ci s’affiche au début de la première cellule de cette même ligne. De la même manière, si vous appuyez sur la touche flèche bas alors que le point d’insertion est placé à la fin de la dernière cellule d’une colonne, celui-ci se déplace au début de la première cellule de cette même colonne.
1 Choisissez Tableau > Atteindre la ligne. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Si une ligne d’en-tête ou de pied de tableau est définie dans le tableau sélectionné, choisissez En-tête ou Pied de tableau dans le menu et cliquez sur OK.
Tableaux Pour optimiser vos résultats, utilisez un séparateur différent pour les colonnes et les lignes, par exemple des tabulations pour les colonnes et des sauts de paragraphe pour les lignes. 4 Cliquez sur OK.
Utilisez la commande Coller pour fusionner deux ou plusieurs tableaux en un seul. 1 Dans le tableau cible, insérez au moins autant de lignes que vous en collerez depuis les autres tableaux (si vous
2 Dans le tableau source, sélectionnez les cellules que vous voulez copier (si vous copiez plus de cellules de colonnes
3 Sélectionnez au moins une cellule à l’endroit où vous voulez insérer les nouvelles lignes, puis choisissez Edition >
« Styles de tableau et de cellule » à la page 304
Lorsque vous choisissez la commande Edition > Modifier en mode éditeur, les tableaux et leur contenu s’affichent en mode éditeur. Vous avez alors la possibilité de les modifier.
Vous pouvez mettre en forme le texte d’un tableau à l’aide du panneau Contrôle ou du panneau Caractère, comme s’il s’agissait d’un texte ordinaire. Vous disposez également de deux boîtes de dialogue dédiées à la mise en forme d’un tableau : Options de tableau et Options de cellule. Vous pouvez y modifier le nombre de lignes et de colonnes et l’aspect du contour et du fond d’un tableau, y définir l’espace avant ou après le tableau, y éditer les lignes d’en-tête et de pieds de tableau, et bien d’autres attributs de mise en forme. Le panneau Tableau, le panneau Contrôle, et le menu contextuel vous permettent également de mettre en forme un tableau. Sélectionnez une ou plusieurs cellules, puis cliquez avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) pour afficher un menu contextuel comportant des options relatives aux tableaux. Pour consulter une vidéo sur la création et la mise en forme des tableaux, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0081_fr.
« Contours et fond des tableaux » à la page 300 Vidéo Créer et mettre en forme des tableaux
Il existe plusieurs méthodes pour redimensionner des colonnes, des rangées et des tableaux.
« Modification de l’alignement d’un tableau dans un bloc » à la page 292
1 Sélectionnez des cellules dans les colonnes et les lignes à redimensionner. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Choisissez la commande Tableau > Options de cellules > Lignes et colonnes, définissez la valeur des options Hauteur de la ligne et Largeur de la colonne, puis cliquez sur le bouton OK. Remarque : si vous sélectionnez l’option Supérieure ou égale à pour définir une hauteur de ligne minimale, cette hauteur augmente selon le texte inséré ou la force de corps choisie. Si vous sélectionnez l’option Exactement pour définir une hauteur de ligne fixe, cette hauteur ne change pas quand vous ajoutez ou supprimez du texte. Il arrive souvent que ce type de cellule contienne du texte en excès (voir la section « Gestion des cellules en excès » à la page 299).
Pour redimensionner des colonnes et des rangées sans modifier la largeur du tableau • Maintenez la touche Maj enfoncée tout en faisant glisser le bord d’une ligne ou d’une colonne intérieure (et non les limites du tableau). Une ligne ou une colonne s’agrandit alors que l’autre diminue.
Maintenez la touche Maj enfoncée tandis que vous faites glisser le bord droit ou le bord inférieur du tableau pour redimensionner respectivement toutes les colonnes ou toutes les lignes proportionnellement.
❖ A l’aide de l’outil Texte
1 Sélectionnez des cellules dans les colonnes ou les lignes auxquelles appliquer une largeur ou une hauteur uniforme. 2 Choisissez Tableau > Répartir les lignes uniformément ou Répartir les colonnes uniformément.
1 Après avoir placé le point d’insertion à l’intérieur du tableau, choisissez Tableau > Options de tableau > Format de
2 Dans la section Espacement du tableau, spécifiez des valeurs différentes pour les options Espace avant et Espace
Notez que cette modification n’agit pas sur l’espacement d’une ligne qui se situe en haut d’un bloc.
Les options d’enchaînement vous permettent de définir le nombre de lignes à conserver ensemble ou de spécifier l’emplacement de la coupure d’une ligne, le haut d’une colonne ou d’un bloc, par exemple.
Tableaux 2 Choisissez Tableau > Options de cellules > Lignes et colonnes. 3 Pour conserver les lignes sélectionnées ensemble, sélectionnez Lignes solidaires. 4 Pour couper la ligne à un endroit précis, sélectionnez une option (par exemple, Prochain bloc) du menu Début de
Si vous créez un seul tableau s’étendant sur une double page, ajoutez une colonne vide au milieu du tableau pour créer des marges.
« Ajout d’en-têtes et de pieds de tableau » à la page 288
Un tableau est ancré aux paragraphes immédiatement adjacents. Si vous insérez un tableau au début d’un bloc de texte, il vous est impossible de cliquer au-dessus du tableau pour y placer un point d’insertion. Il vous faut donc utiliser les touches de direction pour amener le point d’insertion avant le tableau. ❖ Placez le point d’insertion au début du paragraphe de la première cellule, appuyez sur la touche flèche gauche, puis
De manière générale, vous pouvez mettre en forme du texte dans un tableau comme s’il s’agissait de texte non contenu dans un tableau.
« Gestion des cellules en excès » à la page 299 « Spécification de caractères pour les tabulations décimales » à la page 265
Lorsque le point d’insertion est placé à l’intérieur du tableau, la touche Tabulation a pour effet de déplacer ce point vers la cellule suivante. Vous pouvez toutefois insérer un caractère de tabulation dans une cellule de tableau. Utilisez le panneau Tabulations pour définir les paramètres de tabulation d’un tableau, lesquels agissent sur le paragraphe dans lequel le point d’insertion se trouve. 1 A l’aide de l’outil Texte
4 Dans la section Première ligne de base, sélectionnez une option de décalage du texte par rapport au haut de la
Les options disponibles sont identiques à celles de la boîte de dialogue Options de bloc de texte (voir la section « Modification des propriétés d’un bloc de texte » à la page 128). 5 Cliquez sur OK.
1 Placez le point d’insertion dans la cellule à faire pivoter ou sélectionnez les cellules concernées. 2 Choisissez Tableau > Options de cellules > Texte ou affichez le panneau Tableau. 3 Sélectionnez une valeur de rotation, puis cliquez sur OK.
1 A l’aide de l’outil Texte
3 Dans la section Marges de cellule, spécifiez les valeurs des options De tête, De pied, Gauche et Droite, puis cliquez
Dans la plupart des cas, l’augmentation de la marge de cellule se répercute proportionnellement sur la hauteur des lignes. Si la valeur de la hauteur de ligne est fixe, veillez à réserver suffisamment d’espace pour les valeurs d’encart afin d’éviter tout débordement de texte.
Vous pouvez fusionner (combiner) ou fractionner (diviser) les cellules d’un tableau.
Tableaux , sélectionnez les cellules que vous souhaitez fusionner.
❖ Placez le point d’insertion dans la cellule fusionnée et choisissez Tableau > Annuler la fusion des cellules.
Vous pouvez par ailleurs fractionner les cellules sur l’axe horizontal ou vertical, ce qui est très pratique lors de la création des tableaux de formulaire. Vous pouvez ainsi sélectionner plusieurs cellules et les fractionner verticalement ou horizontalement. 1 Placez le point d’insertion dans la cellule à fractionner, ou sélectionnez une ligne, une colonne ou un bloc de
2 Choisissez Tableau > Scinder la cellule dans le sens vertical ou Scinder la cellule dans le sens horizontal.
En règle générale, la cellule d’un tableau s’élargit verticalement en fonction des nouveaux graphiques ou textes insérés. Si toutefois vous définissez une hauteur de ligne fixe et ajoutez du texte ou des graphiques trop larges par rapport à la cellule, un petit point rouge apparaît dans l’angle inférieur droit de la cellule pour signaler un excédent de texte. Il est impossible de répartir du texte en excès dans une autre cellule. Il vous faut donc éditer ou redimensionner le contenu ou élargir la cellule ou le bloc de texte qui reçoit le tableau. S’il s’agit d’une image texte ou d’un texte à interligne fixe, il est impossible de faire déborder le contenu de la cellule de son contour. S’il y a lieu, sélectionnez l’option Ecrêter le contenu selon la cellule pour rogner le texte ou l’image texte en excès à la bordure de la cellule. Toutefois, si des images texte sont en excès et s’étendent au-delà des bords inférieurs des cellules (tableaux horizontaux), cette opération ne s’applique pas.
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Modifiez la mise en forme du texte. Pour sélectionner le contenu de la cellule, cliquez sur la cellule en excès, appuyez sur la touche Echap, puis mettez le texte en forme avec les options du panneau Contrôle.
Si une image est trop grande pour une cellule, elle s’étend au-delà des bords de la cellule. Vous pouvez écrêter les parties de l’image qui s’étendent au-delà de la bordure. 1 Placez le point d’insertion dans la cellule à rogner ou sélectionnez la ou les cellules sur lesquelles l’écrêtage agira. 2 Choisissez Tableau > Options de cellules > Texte. 3 Sélectionnez l’option Ecrêter le contenu selon la cellule, puis cliquez sur le bouton OK.
Il existe plusieurs façons d’ajouter des contours et un fond aux tableaux. Utilisez la boîte de dialogue Options de tableau pour modifier le contour de la bordure d’un tableau et ajouter des fonds et des contours alternés aux colonnes et aux lignes. La boîte de dialogue Options de cellule ou les panneaux Nuancier, Contour et Couleur sont à votre disposition pour modifier le contour et le fond de cellules individuelles ou de cellules d’en-têtes et de pieds de tableau. Par défaut, la mise en forme définie dans la boîte de dialogue Options de tableau prévaut sur toute mise en forme précédemment appliquée aux cellules du tableau. Si toutefois vous sélectionnez l’option Conserver la mise en forme locale dans la boîte de dialogue Options de tableau, les contours et les fonds appliqués individuellement aux cellules sont conservés. Pour appliquer la même mise en forme à plusieurs tableaux ou cellules, vous pouvez créer et appliquer des styles de tableau et de cellule.
« Styles de tableau et de cellule » à la page 304
Vous pouvez modifier la bordure d’un tableau au moyen de la boîte de dialogue Format de tableau ou du panneau Contour. 1 Après avoir placé le point d’insertion à l’intérieur du tableau, choisissez Tableau > Options de tableau > Format de
2 Dans la section Bordure du tableau, spécifiez les paramètres d’épaisseur, de type, de couleur, de teinte et d’espace
3 Dans l’option Ordre de dessin des contours, sélectionnez l’un des ordres de tracé suivants : Meilleurs sommets Cette option permet d’afficher les contours des lignes au premier plan là où les contours de
Contours de ligne au premier plan Cette option permet de faire apparaître les contours de ligne au premier plan. Contours de colonne au premier plan Cette option permet de faire apparaître les contours de colonne au premier plan. Compatibilité avec InDesign 2.0 Cette option permet de faire apparaître les contours de ligne au premier plan. En
4 Si vous souhaitez conserver la mise en forme individuelle des cellules, sélectionnez Conserver la mise en forme
Pour appliquer un contour et un fond à l’aide de la boîte de dialogue Options de cellules Déterminez les lignes de cellules à mettre en forme avec un contour ou un fond en sélectionnant ou en désélectionnant des lignes dans la zone d’aperçu. Pour modifier l’aspect de toutes les lignes ou colonnes du tableau, utilisez une alternance de motifs de contours ou de fonds en choisissant 0 pour le second motif. 1 A l’aide de l’outil Texte
3 Dans la zone d’aperçu, spécifiez les lignes sur lesquelles les modifications de contour doivent porter. Si, par
4 Dans la section Contour de cellule, spécifiez les paramètres d’épaisseur, de type, de couleur, de teinte et
5 Dans la section Fond de cellule, spécifiez la couleur et la teinte qui vous conviennent. 6 S’il y a lieu, sélectionnez Surimpression du contour et Surimpression du fond, puis cliquez sur OK.
1 Sélectionnez la ou les cellules appropriées. Pour appliquer un contour à des cellules d’en-tête ou de pied de tableau,
2 Choisissez Fenêtre > Contour pour afficher le panneau Contour. 3 Dans la zone d’aperçu, spécifiez les lignes sur lesquelles les modifications de contour doivent porter. 4 Dans le panneau Outils, assurez-vous que le bouton Objet
1 Sélectionnez la ou les cellules appropriées. Pour appliquer un fond à des cellules d’en-tête ou de pied de tableau,
2 Choisissez Fenêtre > Nuancier pour afficher le panneau Nuancier. 3 Assurez-vous que le bouton Objet
1 Sélectionnez les cellules que vous souhaitez mettre en forme. Pour appliquer un dégradé à des cellules d’en-tête ou
2 Choisissez Fenêtre > Dégradé pour afficher le panneau Dégradé. 3 Cliquez sur Gamme des dégradés pour appliquer un dégradé aux cellules sélectionnées. Ajustez les paramètres de
1 A l’aide de l’outil Texte
3 Cliquez sur le bouton correspondant au type de diagonale à ajouter. 4 Dans la section Contour, spécifiez les paramètres d’épaisseur, de type, de couleur et d’espacement ; spécifiez un
5 Dans le menu Tracer, choisissez l’option Diagonales au premier plan pour placer toute ligne diagonale devant le
Lors de la sélection de contours et de fonds pour un tableau ou des cellules, vous avez le choix parmi les options suivantes : Epaisseur Définit l’épaisseur du tracé de la bordure de la cellule ou du tableau. Type Indique le style de tracé, par exemple Epais - Fin. Couleur Définit la couleur du tracé de la bordure de la cellule ou du tableau. Les options répertoriées sont identiques à celles du panneau Nuancier. Teinte Indique le coefficient d’encre de la couleur spécifiée à appliquer au contour ou au fond. Couleur d’espace Applique une couleur aux espaces entre les tirets, les pointillés ou les lignes. Cette option n’est pas
Teinte d’espace Applique une teinte aux espaces entre les tirets, les pointillés ou les lignes. Cette option n’est pas
Surimpression L’encre spécifiée dans le menu déroulant Couleur est appliquée par-dessus toutes les couleurs sous-
L’application de contours et de fonds alternés à des colonnes affecte néanmoins les lignes d’en-tête et de pied de tableau. Les paramètres de contour et de fond alternés prévalent sur la mise en forme du contour des cellules, à moins que vous ne sélectionniez l’option Conserver la mise en forme locale dans la boîte de dialogue Options de tableau. Si vous souhaitez appliquer un fond ou un contour à chaque cellule de corps du tableau et non pas seulement aux motifs alternés, vous pouvez quand même utiliser les paramètres de contour et de fond alternés pour créer des motifs non alternés. Pour créer un tel effet, spécifiez 0 pour Suivante.
1 Après avoir placé le point d’insertion dans le tableau, choisissez Tableau > Options de tableau > Contours de ligne
2 Dans le menu Motif en alternance, sélectionnez le type de motif à utiliser. Sélectionnez Ligne personnalisée ou
3 Dans la section En alternance, spécifiez les options de contour ou de fond pour le premier motif ainsi que le suivant.
Remarque : dans les tableaux répartis sur plusieurs blocs, les contours et les fonds alternés des lignes ne reprennent pas au début des blocs supplémentaires de l’article (voir la section « Répartition de tableaux sur plusieurs blocs » à la page 296). 4 Sélectionnez Conserver la mise en forme locale si vous souhaitez conserver les contours mis en forme
5 Pour les options Ignorer la/les première(s) et Ignorer la/les dernière(s), spécifiez le nombre de lignes ou de colonnes
1 Après avoir placé le point d’insertion à l’intérieur du tableau, choisissez Tableau > Options de tableau > Fonds en
2 Dans le menu Motif en alternance, sélectionnez le type de motif à utiliser. Sélectionnez Ligne personnalisée ou
4 Sélectionnez Conserver la mise en forme locale si vous souhaitez conserver les fonds mis en forme précédemment
5 Pour les options Ignorer la/les première(s) et Ignorer la/les dernière(s), spécifiez le nombre de lignes ou de colonnes
1 Placez le point d’insertion dans le tableau. 2 Choisissez Tableau > Options de tableau > Contours de ligne en alternance, Contours de colonne en alternance ou
3 Dans le menu Motif en alternance, choisissez Aucun, puis cliquez sur OK.
A propos des styles de tableau et de cellule De même que vous avez recours aux styles de texte pour mettre en forme un texte, vous pouvez utiliser des styles de tableau et de cellule pour mettre en forme des tableaux en quelques instants. Un style de tableau rassemble tous les attributs de mise en forme de tableau, tels que les bordures de tableau ainsi que les contours de ligne et de colonne, applicables simultanément à un tableau. Un style de cellule comprend les attributs de mise en forme, comme les marges de cellule, les styles de paragraphe, les contours et les fonds. Lorsque vous modifiez un style, tous les tableaux ou les cellules auxquels ce style est appliqué sont mis à jour automatiquement. Remarque : il existe une différence significative entre les styles de texte et les styles de tableau. Contrairement aux attributs de style de caractère, qui peuvent faire partie d’un style de paragraphe, les attributs de style de cellule ne figurent pas dans le style de tableau. Par exemple, vous ne pouvez pas utiliser un style de tableau pour modifier la couleur de la bordure des cellules qui figurent à l’intérieur du tableau. Dans ce cas, vous devez créer un style de cellule et l’inclure dans le style de tableau. Styles [Tableau simple] et [Aucun] Par défaut, chaque nouveau document contient un style [Tableau simple] qui peut être appliqué aux tableaux que vous créez et un style [Aucun] qui peut être utilisé pour supprimer des styles de cellule appliqués aux cellules. Vous pouvez modifier le style [Tableau simple], mais vous ne pouvez ni renommer ni supprimer [Tableau simple] ou [Aucun]. Pour utiliser des styles de cellule dans les styles de tableau Lorsque vous créez un style de tableau, vous pouvez spécifier quels styles de cellule sont appliqués aux différentes régions du tableau : lignes d’en-tête et de pied, colonnes droite et gauche, et lignes de corps. Par exemple, pour la ligne d’en-tête, vous pouvez assigner un style de cellule qui applique un style de paragraphe, et pour les colonnes gauche et droite des cellules, vous pouvez assigner un style de cellule différent qui applique un fond ombré.
Tableaux Attributs de style de cellule Les styles de cellule n’incluent pas forcément tous les attributs de mise en forme d’une cellule sélectionnée. Lorsque vous créez un style de tableau, vous pouvez déterminer quels sont les attributs inclus. Ainsi, lorsqu’il est appliqué, le style de cellule modifie seulement certains attributs, tels que la couleur de fond de la cellule, et ignore tous les autres attributs de la cellule. Priorité des attributs de mise en forme dans les styles Si un conflit survient dans la mise en forme appliquée à une cellule de tableau, l’ordre de priorité suivant détermine la mise en forme utilisée : Priorité de style de cellule 1. En-tête/Pied 2. Colonne gauche/droite 3. Lignes de corps. Par exemple, si une cellule
Priorité de style de tableau 1. Priorité de la cellule 2. Style de cellule 3. Styles de cellule appliqués à partir d’un style de
Options de cellule, et un autre fond à l’aide du style de cellule, le fond de la boîte de dialogue Options de cellule est utilisé. Pour consulter une vidéo sur l’utilisation des styles de tableau, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0084_fr.
Utilisez le panneau Styles de tableau pour créer et nommer des styles de tableau, et les appliquer aux tableaux existants ou aux tableaux que vous créez ou importez. Utilisez le panneau Styles de cellule pour créer et nommer des styles de cellule et les appliquer aux cellules de tableau. Les styles sont enregistrés avec un document et s’affichent dans le panneau à chaque ouverture de ce document. Vous pouvez enregistrer les styles de tableau et de cellule dans des groupes pour faciliter leur gestion. Lorsque vous placez le point d’insertion dans une cellule ou un tableau, chaque style appliqué est mis en surbrillance dans chacun des panneaux. Le nom de chaque style de cellule appliqué dans un style de tableau apparaît dans le coin inférieur gauche de la zone Styles de cellule. Si vous sélectionnez une plage de cellules contenant plusieurs styles, aucun style n’est mis en surbrillance et le panneau Styles de cellule indique « (Mixte) ».
❖ Choisissez Fenêtre > Texte et tableaux, puis Styles de tableau ou Styles de cellule.
• Sélectionnez Petites rangées de panneau pour afficher une version condensée des styles.
Tableaux Définition de styles de tableau et de cellule Pour consulter une vidéo sur l’utilisation des styles de tableau, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0084_fr. 1 Si vous voulez créer un style à partir de la mise en forme d’une cellule ou d’un tableau existant, placez le point
2 Le cas échéant, définissez un style de paragraphe pour le style de cellule. 3 Choisissez Nouveau style de tableau dans le menu du panneau Styles de paragraphe ou Nouveau style de cellule
4 Dans Nom du style, saisissez un nom. 5 Dans la liste D’après, sélectionnez le nom du style sur lequel repose le style actuel. 6 Pour ajouter un raccourci clavier, placez le point d’insertion dans la zone de texte Raccourci et assurez-vous que le
7 Pour définir les attributs de mise en forme, cliquez sur une catégorie à gauche, puis spécifiez les attributs souhaités.
Pour les styles de cellule, les options qui n’ont pas de paramètre spécifié sont ignorées dans le style. Si vous ne voulez qu’aucun paramètre ne soit défini dans le style, choisissez (Ignorer) dans le menu du paramètre, effacez le contenu du champ ou cliquez sur une case jusqu’à ce qu’une petite case (Windows) ou qu’un trait d’union (-) (Mac OS) s’affiche. 8 Si vous voulez que le nouveau style apparaisse dans un groupe de style que vous avez créé, faites-le glisser vers le
« Regroupement de styles » à la page 212 Vidéo Utiliser des styles de tableaux
Vous pouvez importer des styles de tableau et de cellule depuis un autre document InDesign vers le document actif. Pendant l’importation, vous pouvez définir les styles chargés et indiquer ce qui doit se passer lorsqu’un style chargé porte le même nom qu’un style du document actuel. Vous pouvez également importer des styles à partir d’un document InCopy. 1 Dans le menu du panneau Styles de cellule ou Styles de tableau, choisissez Charger les styles de cellule, Charger les
2 Cliquez deux fois dans le document InDesign contenant les styles que vous voulez importer.
Tableaux Utiliser la définition du style importé Ecrase le style existant avec le style chargé et applique ses nouveaux attributs à toutes les cellules du document actuel qui utilisait l’ancien style. Les définitions des styles chargés et existants s’affichent au bas de la boîte de dialogue Charger des styles pour faciliter la comparaison. Renommer automatiquement Renomme le style chargé. Par exemple, si les deux documents ont un style nommé « Style tableau 1 », le style chargé est renommé « copie Style tableau 1 » dans le document actif.
A l’inverse des styles de paragraphe et de caractère, les styles de tableau et de cellule ne partagent pas d’attributs. Par conséquent, l’application d’un style de tableau n’a pas pour effet de remplacer la mise en forme de la cellule et l’application d’un style de cellule n’a pas pour effet de remplacer la mise en forme du tableau. Par défaut, l’application d’un style de cellule a pour effet de supprimer la mise en forme appliquée par tout style de cellule précédent, mais ne supprime pas la mise en forme de la cellule locale. De même, l’application d’un style de tableau a pour effet de supprimer la mise en forme appliquée par un style de tableau précédent, mais ne supprime pas les remplacements effectués à l’aide de la boîte de dialogue Options de tableau. Dans le panneau Styles, un signe plus (+) apparaît en regard du style de cellule ou de tableau actif si la cellule ou le tableau sélectionné dispose d’une mise en forme supplémentaire qui ne fait pas partie du style appliqué. Ce type de mise en forme complémentaire est appelé remplacement. 1 Placez le point d’insertion dans un tableau ou sélectionnez les cellules auxquelles vous voulez appliquer le style. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
« Utilisation de la commande Application rapide » à la page 236
Vous pouvez établir des liens entre des styles similaires de tableau ou de cellule en créant un style de base, appelé style parent. Lorsque vous modifiez le style parent, tous les attributs modifiés apparaissant dans les styles enfant sont également modifiés. Par défaut, les styles de tableau reposent sur [Aucun style de tableau] et les styles de cellule reposent sur [Aucun]. 1 Créez un nouveau style. 2 Dans le menu déroulant D’après de la boîte de dialogue Nouveau style de tableau ou Nouveau style de cellule,
3 Spécifiez la mise en forme pour le nouveau style pour le distinguer du style parent.
« Duplication des styles ou des groupes de styles » à la page 211
(Windows) ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) sur le nom du style dans le panneau Styles, puis choisissez la commande Modifier [nom de style].
2 Modifiez les paramètres dans la boîte de dialogue, puis cliquez sur OK.
Lorsque vous supprimez un style, vous pouvez sélectionner un style différent pour le remplacer et vous pouvez choisir de conserver la mise en forme. 1 Dans le panneau Styles, sélectionnez le style souhaité. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Cliquez sur l’icône de suppression
(Mac OS), puis choisissez Supprimer le style. Cette méthode est particulièrement utile pour supprimer un style sans l’appliquer à la cellule ou au tableau sélectionné. 3 Sélectionnez le style à remplacer.
Après avoir appliqué le style, vous pouvez remplacer tous les paramètres définis. Si vous décidez de conserver les modifications, vous pouvez redéfinir le style pour conserver la nouvelle mise en forme. 1 Placez le point d’insertion dans le tableau (ou la cellule) mis en forme avec le style que vous voulez redéfinir. 2 Apportez vos modifications au tableau (ou à la cellule) comme vous le souhaitez. 3 Dans le menu du panneau Styles, choisissez Redéfinir le style.
Vous pouvez effacer les remplacements de tableau ou de cellule lorsque vous appliquez un style. Vous pouvez également effacer les remplacements d’un tableau (ou d’une cellule) auquel un style a déjà été appliqué. Si un signe plus (+) s’affiche en regard d’un style, placez le pointeur sur le style pour afficher une description des attributs de remplacement.
• Pour appliquer un style de tableau et préserver les styles de cellule, tout en supprimant les remplacements, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée lorsque vous cliquez sur le style dans le panneau Styles de tableau.
Styles de tableau. Cliquez avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) sur le style dans le panneau Styles de tableau, puis choisissez Appliquer [style de tableau], puis Effacer les styles de cellule pour appliquer un style et effacer les styles de cellule.
❖ Pour appliquer un style de cellule et supprimer les remplacements, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option
Remarque : seuls les attributs qui font partie du style de cellule sont considérés comme des remplacements. Par exemple, si le style de cellule inclut un fond rouge et si tous les autres attributs sont ignorés, la modification d’une option de cellule n’est pas considérée comme un remplacement.
❖ Choisissez l’option Effacer les attributs non définis par le style dans le menu du panneau Styles de cellule.
1 Sélectionnez le tableau ou les cellules contenant les remplacements. 2 Dans le panneau Styles, cliquez sur l’icône Effacer les remplacements dans la sélection
Lorsque vous rompez le lien entre les tableaux (ou les cellules) et le style qui leur est appliqué, les tableaux (ou cellules) conservent leur mise en forme actuelle. Toutefois, les modifications ultérieures de ce style ne les affecteront pas. 1 Sélectionnez les cellules auxquelles le style a été appliqué. 2 Dans le menu du panneau Styles, choisissez Annuler le lien au style.
Assemblez des documents longs à l’aide de livres, de tables des matières et d’index. Vous pouvez regrouper des documents connexes dans un livre afin de numéroter consécutivement leurs pages et chapitres, de partager les styles, les nuanciers et les gabarits, et d’imprimer ou d’exporter le groupe de documents.
Création d’un livre Un fichier livre est un ensemble de documents pouvant partager des styles, des nuanciers, des gabarits et autres éléments. Vous pouvez numéroter en séquence les pages des documents d’un livre, imprimer des documents sélectionnés dans le livre ou les exporter au format PDF. Un même document peut appartenir à plusieurs livres. L’un des documents ajoutés à un livre est la source des styles. Par défaut, ce fichier est le premier fichier du livre, mais vous pouvez sélectionner une autre source des styles à tout moment. Lorsque vous synchronisez les documents d’un livre, les styles et les nuanciers spécifiés dans la source des styles remplacent les styles et les nuanciers présents dans les autres documents du livre. 1 Sélectionnez Fichier > Nouveau > Livre. 2 Attribuez un nom au livre, spécifiez un emplacement, puis cliquez sur Enregistrer.
3 Ajoutez des documents au livre.
« Synchronisation des documents d’un livre » à la page 312
Lorsque vous créez un livre, le panneau Livre s’affiche. Le panneau Livre correspond à l’espace de travail d’un livre : vous pouvez y ajouter, supprimer ou réorganiser des documents. 1 Sélectionnez Ajouter un document dans le menu du panneau Livre ou cliquez sur le bouton Plus
2 Sélectionnez les documents Adobe InDesign à ajouter, puis cliquez sur Ouvrir.
(Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée pour copier le document. 3 Si vous avez inclus des documents créés à l’aide de versions antérieures d’InDesign, ceux-ci sont convertis au format
Fonctionnalités des documents longs
4 Au besoin, modifiez l’ordre des documents du panneau en les faisant glisser vers le haut ou vers le bas de la liste. 5 Pour choisir un document comme source des styles, cochez la case en regard du nom du document dans le panneau.
« Synchronisation des documents d’un livre » à la page 312
Chaque livre ouvert s’affiche dans un onglet distinct du panneau Livre. Si plusieurs livres sont ouverts simultanément, cliquez sur un onglet pour afficher le livre correspondant et accéder à son menu. Les icônes du panneau Livre indiquent l’état du document actif, par exemple ouvert , manquant (le document a été déplacé, renommé ou supprimé), modifié (le document a été modifié ou ses numéros de page ou de section ont changé lors de la fermeture du livre), ou en cours d’utilisation (si une autre personne consulte le document dans le cadre d’un flux de production géré). Les documents fermés ne sont pas signalés par une icône. Pour afficher le chemin d’accès d’un document du livre, placez le pointeur de la souris sur le nom du document jusqu’à ce qu’une info-bulle s’affiche. Vous pouvez également choisir Informations sur le document dans le menu du panneau Livre.
« Création d’un livre » à la page 310 Les livres sont des fichiers indépendants des fichiers de document. Ainsi, si vous sélectionnez la commande Enregistrer le livre, InDesign enregistre les modifications apportées au livre et non les documents du livre. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour fermer un seul livre, sélectionnez Fermer le livre dans le menu du panneau Livre. • Pour fermer tous les livres ouverts et ancrés sur le même panneau, cliquez sur le bouton de fermeture de la barre de titre du panneau Livre.
1 Sélectionnez le document dans le panneau Livre.
Fonctionnalités des documents longs
1 Sélectionnez le document dans le panneau Livre. 2 Sélectionnez la commande Remplacer le document dans le menu du panneau, recherchez le nouveau document,
Lorsque vous synchronisez des documents dans un livre, les éléments que vous spécifiez (styles, variables, gabarits, recouvrements prédéfinis, formats de références croisées, paramètres de texte conditionnel, listes de numérotation et nuanciers) sont copiés de la source des styles vers les documents spécifiés dans le livre, en remplaçant tous les éléments dont les noms sont identiques. Si les éléments de la source des styles ne sont pas présents dans les documents en cours de synchronisation, ils seront ajoutés. Les éléments qui ne sont pas inclus dans la source des styles sont laissés en l’état dans les documents en cours de synchronisation. Pour consulter une vidéo sur la synchronisation des documents dans un livre, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0216_fr.
Vidéo Synchroniser les pages maîtresses
1 Sélectionnez la commande Options de synchronisation dans le menu du panneau Livre. 2 Sélectionnez les éléments que vous voulez copier de la source des styles vers les autres documents du livre.
3 Sélectionnez l’option Correspondance intelligente des groupes de styles pour éviter la duplication de styles ayant
Supposons que la source des styles comprenne un style de caractère dans un groupe de styles et que les documents à synchroniser comprennent ce même style de caractère hors du groupe de styles. Si cette option est sélectionnée, le style de caractère est placé dans le groupe de styles dans les documents synchronisés. En revanche, si vous ne sélectionnez pas cette option, une seconde instance du style de caractère est créée dans le groupe de styles avec les options correspondant à la source. Le style de caractère situé hors du groupe de styles reste inchangé. Remarque : si un document contient plusieurs styles portant le même nom (par exemple, Style de caractère 1 dans un groupe de styles et Style de caractère 1 hors d’un groupe), InDesign ignore cette option et considère qu’elle n’est pas sélectionnée. Pour éviter les surprises, pensez toujours à donner des noms uniques aux styles que vous créez. 4 Cliquez sur OK.
Fonctionnalités des documents longs
Vous pouvez synchroniser le livre alors que les documents de celui-ci sont fermés. InDesign ouvre les documents fermés, effectue les modifications nécessaires, puis enregistre et ferme les documents ouverts. Les documents ouverts lors de la synchronisation sont modifiés, mais ne sont pas enregistrés. 1 Dans le panneau Livre, activez la case vide en regard du document que vous avez choisi comme source des styles :
3 Dans le panneau Livre, sélectionnez les documents à synchroniser avec le document de source des styles. Si aucun
Pour vérifier qu’aucun document n’est sélectionné, cliquez dans la zone grise vide en dessous des documents de livre (faites défiler ou redimensionnez le panneau Livre si nécessaire). Vous pouvez également maintenir la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée et cliquer sur un document sélectionné pour le désélectionner. 4 Choisissez Synchroniser les documents sélectionnés ou Synchroniser le livre dans le menu du panneau Livre, ou
Les gabarits sont synchronisés à la manière d’autres éléments : les gabarits qui portent le même nom (A-Gabarit par ex.) que ceux de la source des styles sont remplacés. La synchronisation des gabarits s’avère utile pour les documents qui font appel aux mêmes éléments de composition (en-têtes et pieds de page continus, par exemple). Cependant, si vous voulez préserver des éléments de page sur un gabarit de document autre que la source des styles, ne synchronisez pas les gabarits ou créez des gabarits avec des noms différents. Les éléments de gabarit qui sont remplacés sur les pages de document avant la première synchronisation des gabarits sont détachés du reste du document. Ainsi, si vous voulez synchroniser les gabarits de votre livre, il est conseillé de synchroniser l’ensemble des documents du livre au début du processus de composition. De la sorte, les éléments remplacés conservent leur lien avec le gabarit et continueront d’être mis à jour à chaque modification des éléments du gabarit dans la source des styles. Il est également conseillé de synchroniser les gabarits à l’aide d’une seule source de styles. Si vous effectuez la synchronisation à partir d’une source de styles différente, les éléments remplacés du gabarit risquent d’être dissociés du reste du document. Pour synchroniser à l’aide d’une source de styles différente, désélectionnez d’abord l’option Gabarits dans la boîte de dialogue Options de synchronisation.
Fonctionnalités des documents longs
Pour convertir un livré créé dans une version antérieure d’InDesign, ouvrez-le dans InDesign CS4 et enregistrez-le. Lorsque vous synchronisez, mettez à jour la numérotation, imprimez, assemblez ou exportez un livre converti, les documents qu’il contient sont également convertis au format InDesign CS4. Vous pouvez choisir de remplacer ou de conserver les documents d’origine.
1 Dans InDesign CS4, choisissez Fichier > Ouvrir. 2 Sélectionnez le livre créé dans une version antérieure d’InDesign et cliquez sur OK.
3 Sélectionnez la commande Enregistrer le livre sous dans le menu du panneau Livre. Spécifiez un nouveau nom de
1 Ouvrez le livre dans InDesign CS4. 2 Dans le menu du panneau Livre :
3 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour convertir les documents :
4 Si l’option Conversion automatique des documents n’est pas sélectionnée, InDesign vous invite à enregistrer
Remarque : les documents sont également convertis lorsque vous imprimez ou exportez le livre dans Adobe PDF.
Vous pouvez définir la numérotation des pages, chapitres et paragraphes d’un livre. Dans un livre, les styles de numérotation et les numéros de début des pages et chapitres dépendent des paramètres définis pour chaque document dans la boîte de dialogue Options de numérotation et de section ou Options de numérotation du document. Pour accéder à l’une de ces boîtes de dialogue, choisissez la commande Page > Options de numérotation et de section dans le document ou la commande Options de numérotation du document dans le menu du panneau Livre. Dans le cas des paragraphes numérotés (tels que les listes d’illustrations), la numérotation dépend de la définition des styles de liste numérotée incluse dans le style de paragraphe. Le groupe de pages s’affiche en regard de chaque nom de document dans le panneau Livre. Par défaut, InDesign met à jour la numérotation des pages et des sections dans le panneau Livre lorsque vous ajoutez ou supprimez des pages de documents ou lorsque vous modifiez un livre en réorganisant des pages ou en ajoutant ou supprimant des documents. Si vous désactivez le paramètre de mise à jour automatique des numéros de pages et de sections, vous pouvez mettre à jour manuellement la numérotation d’un livre.
Fonctionnalités des documents longs
Supprimez ou remplacez le document manquant avant de mettre à jour la numérotation. Si un utilisateur consulte le document sur un autre ordinateur dans le cadre d’un flux de production géré, l’icône de document en cours d’utilisation s’affiche : l’autre utilisateur doit alors fermer le document pour vous permettre de mettre à jour la numérotation. Pour consulter une vidéo sur la numérotation des pages dans un livre, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0217_fr.
« Création d’un style de paragraphe pour les listes continues » à la page 276 « Ajout de numéros de page, section et chapitre » à la page 87 Vidéo Définir la pagination
1 Sélectionnez le document dans le panneau Livre. 2 Choisissez Options de numérotation du document dans le menu du panneau Livre ou cliquez deux fois sur les
3 Spécifiez les options de numérotation de pages, sections et chapitres (voir la section « Options de numérotation de
Numérotation automatique des pages, le document du livre commencera à la page spécifiée et tous les documents suivants du livre seront renumérotés en conséquence.
Vous pouvez commencer la numérotation d’un document de livre sur une page paire ou impaire. 1 Sélectionnez la commande Options de numérotation des pages du livre dans le menu du panneau Livre. 2 Sélectionnez A la suite de la page paire suivante ou A la suite de la page impaire suivante. 3 Sélectionnez Insérer une page blanche pour ajouter une page vide à la fin d’un document suivi d’un autre document
1 Sélectionnez la commande Options de numérotation des pages du livre dans le menu du panneau Livre. 2 Désélectionnez l’option Mettre à jour automatiquement les numéros de page et de section, puis cliquez sur OK. 3 Pour mettre à jour automatiquement les numéros de page, choisissez Mettre à jour la numérotation > Mettre à jour
Vous pouvez également choisir de mettre à jour uniquement les numéros de page et de section ou les numéros de chapitre et de paragraphe.
Fonctionnalités des documents longs
Pour utiliser la numérotation séquentielle des paragraphes pour les listes d’illustration, les tableaux ou d’autres éléments, vous devez d’abord définir une liste numérotée à utiliser dans un style de paragraphe. La liste numérotée que vous définissez détermine si les paragraphes doivent conserver une numérotation séquentielle dans tous les documents d’un livre. 1 Ouvrez le document utilisé comme source des styles du livre. 2 Choisissez la commande Texte > Listes à puces et numérotées > Définir des listes. 3 Cliquez sur Nouveau pour définir une liste ou sélectionnez une liste existante et choisissez Modifier. 4 Sélectionnez les deux options Continuer la numérotation au fil des articles et Continuer la numérotation du
5 Cliquez sur OK. 6 Définissez un style de paragraphe utilisant la liste numérotée et appliquez-le au texte de chaque document
Pour vous assurer que le même paramètre de liste numérotée est utilisé dans tous les documents du livre, sélectionnez les options Styles de paragraphe et Listes numérotées de la boîte de dialogue Options de synchronisation, puis synchronisez le livre.
L’un des avantages de la fonction de livre est que vous pouvez utiliser une seule commande pour la sortie des documents sélectionnés ou du livre entier (pour imprimer, réaliser un contrôle en amont, assembler ou exporter au format PDF). 1 Dans le panneau Livre, utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour imprimer un livre entier, assurez-vous qu’aucun document n’est sélectionné. 2 Sélectionnez une commande de sortie, telle que Imprimer Livre ou Documents sélectionnés, dans le menu du
A propos des tables des matières Une table des matières peut répertorier le contenu d’un livre, d’un magazine ou d’une autre publication, afficher la liste des illustrations, des annonceurs publicitaires ou des crédits photo, ou encore inclure des informations destinées à faciliter la recherche dans un document ou un livre. Un document peut contenir plusieurs tables des matières, par exemple, la liste des chapitres et la liste des illustrations.
Fonctionnalités des documents longs
La création d’une table des matières comprend trois grandes étapes. Dans un premier temps, créez et appliquez les styles de paragraphe à utiliser dans la table des matières. Ensuite, spécifiez les styles à utiliser dans la table des matières et la mise en forme de votre choix. Enfin, placez la table des matières dans le document. Les entrées de la table des matières peuvent être ajoutées automatiquement au panneau Signets pour les documents exportés au format Adobe PDF. Conseils pour la planification d’une table des matières Prenez en compte les points suivants lors de la planification d’une table des matières :
Pour consulter une vidéo sur la création d’une table des matières, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0219_fr.
Vidéo Créer une table des matières
Pour un résultat optimal, veillez à respecter les points suivants avant de créer une table des matières pour un livre :
Fonctionnalités des documents longs
• Si vous créez une table des matières pour plusieurs documents d’un livre, créez ou ouvrez le document à utiliser pour la table des matières, insérez ce document dans le livre, puis ouvrez le livre. 2 Sélectionnez Page > Table des matières.
3 Dans la zone de titre, indiquez un titre pour votre table des matières (par ex. Contenu ou Liste des illustrations). Ce
4 Sélectionnez Inclure les documents du livre pour créer une table des matières pour tous les documents dans la liste
5 Déterminez le contenu à inclure dans la table des matières en cliquant deux fois sur les styles de paragraphe de la
6 Sélectionnez Remplacer la table des matières existante pour remplacer tous les articles de la table des matières
7 Définissez les options de mise en forme pour chaque style de paragraphe de la table des matières (voir la section
Il est conseillé de définir un style de table des matières qui définit sa mise en forme et autres éléments. Pour ce faire, cliquez sur Enregistrer le style. Vous pouvez également créer des styles de tables des matières en choisissant Page > Styles de tables des matières. 8 Cliquez sur OK.
Fonctionnalités des documents longs
9 Cliquez sur l’icône de texte chargée ou faites-la glisser sur une page pour importer l’article de la nouvelle table des
Remarque : évitez de relier le bloc de la table des matières à d’autres blocs de texte du document. En effet, si vous remplacez la table des matières existante, l’article entier sera remplacé par la nouvelle table mise à jour.
Remarque : ne confondez pas les styles de tables des matières avec les styles de paragraphe dotés d’un préfixe « TOC » Les styles de paragraphe avec préfixe TOC (« Titre de la table des matières » par exemple) sont utilisés pour la mise en forme des entrées d’une table des matières. Par opposition, un style de table des matières est un ensemble de paramètres utilisés pour créer une table des matières de manière automatique.
1 Choisissez la commande Page > Styles de tables des matières. 2 Cliquez sur Nouveau. 3 Saisissez un nom pour le style de table des matières que vous créez. 4 Dans la zone de titre, indiquez un titre pour votre table des matières (par ex. Contenu ou Liste des illustrations). Ce
5 Dans la liste Autres styles, sélectionnez les styles de paragraphe qui représentent le contenu à inclure dans la table
6 Définissez les options de mise en forme pour chaque style de paragraphe (voir la section « Conseils pour la mise en
1 Choisissez la commande Page > Styles de tables des matières. 2 Cliquez sur Charger, sélectionnez le fichier InDesign contenant les styles à copier, puis cliquez sur Ouvrir. 3 Cliquez sur OK.
Lorsque vous générez ou modifiez une table des matières, utilisez ces options pour définir l’apparence du texte de la table des matières générée. Certaines de ces options sont disponibles uniquement lorsque vous cliquez sur Plus d’options dans la boîte de dialogue.
Fonctionnalités des documents longs
Inclure les styles de paragraphes. Vous pouvez définir différentes options de mise en forme pour chaque style. Style des entrées Pour chaque style répertorié sous Inclure les styles de paragraphes, choisissez le style de paragraphe
Numéro de page Vous pouvez créer un style de caractère pour mettre en forme les numéros de page, puis sélectionner
Pour inclure les préfixes sur les numéros de page de la table des matières ou pour utiliser une convention de numérotation différente, reportez-vous à la section « Définition de la numérotation de section » à la page 89. Entre l’entrée et le numéro Spécifiez les caractères à afficher entre l’entrée de table des matières et le numéro de page. Le caractère par défaut ^t indique à InDesign d’insérer une tabulation. Vous pouvez choisir un autre caractère spécial, comme Tabulation de retrait à droite ou Espace cadratin, dans la liste déroulante. Pour obtenir la liste complète des caractères spéciaux et savoir comment les utiliser, reportez-vous à la section « Insertion de glyphes et de caractères spéciaux » à la page 173.
Vous pouvez créer un style de caractère pour mettre en forme l’espace entre l’entrée et le numéro de la page, puis sélectionner ce style dans le menu déroulant Style, à droite de l’option Entre l’entrée et le numéro (voir la section « Ajout de styles de paragraphe et de caractère » à la page 192). Si le style de paragraphe de l’entrée inclut un paramètre de point de conduite et que le caractère de tabulation (^t) est sélectionné, des points de conduite apparaissent dans la table des matières générée. Pour plus de détails, voir la section « Création d’entrées de table des matières avec des points de conduite » à la page 321.
Introduction Langue du panneau Caractère. Niveau Par défaut, chaque élément ajouté à la liste de l’option Inclure les styles de paragraphe est défini sur un niveau
Créer des signets PDF Sélectionnez cette option pour que les entrées de la table des matières apparaissent dans le panneau Signets d’Adobe Acrobat ou d’Adobe Reader® une fois le document exporté au format PDF. Continues Sélectionnez cette option si vous voulez toutes les entrées d’une table des matières dans un seul et même
Inclure le texte des calques masqués Sélectionnez cette option uniquement si vous voulez que les paragraphes des calques masqués soient inclus dans la table des matières. Cette option est utile pour créer une liste des annonceurs publicitaires ou d’illustrations qui n’apparaissent pas dans le document. Désélectionnez-la si vous avez utilisé les calques pour stocker différentes versions ou traductions d’un texte. Paragraphes numérotés Si votre table des matières contient un style de paragraphe avec une numérotation, spécifiez si l’entrée de table des matières comprend le paragraphe entier (numéros et texte), uniquement les numéros ou uniquement le paragraphe.
Les entrées d’une table des matières sont souvent séparées de leur numéro de page par des pointillés ou des points de conduite.
2 Pour mettre à jour les paramètres du contenu, utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Sélectionnez Page > Table des matières (si vous n’utilisez pas de style de tables des matières). 3 Sous Inclure les styles de paragraphes, sélectionnez un élément qui doit s’afficher avec un point de conduite dans
4 Pour Style des entrées, sélectionnez le style de paragraphe qui contient le point de conduite. 5 Cliquez sur Plus d’options.
Fonctionnalités des documents longs
7 Le cas échéant, sélectionnez Page > Mettre à jour la table des matières. Ensuite, importez l’article de la nouvelle table
1 Sélectionnez Fenêtre > Texte et tableaux > Styles de paragraphe pour afficher le panneau du même nom. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes dans le panneau qui s’affiche :
• Dans le menu du panneau, choisissez Nouveau style de paragraphe. 3 Le cas échéant, entrez un nom pour le style de paragraphe. 4 Cliquez sur Tabulations. 5 Sélectionnez l’icône de tabulation justifiée à droite
Si les paragraphes auxquels vous appliquez le style comportent des listes numérotées, pensez à définir deux tabulations : la première pour le numéro en retrait et la seconde pour les points de conduite. 6 Dans le champ Point de conduite, entrez un point (.). 7 Sélectionnez d’autres options de style, puis cliquez sur OK.
La table des matières reflète le contenu de votre document. Si vous modifiez un numéro de page ou un autre élément répertorié dans la table des matières, tel qu’un titre, la table des matières doit être mise à jour.
« Modification des styles de caractère et de paragraphe » à la page 196
1 Ouvrez le document contenant la table des matières. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
3 Sélectionnez le bloc de texte contenant la table des matières ou placez-y le point d’insertion, puis choisissez la
Fonctionnalités des documents longs
Lorsque vous générez l’index, chaque rubrique est répertoriée, ainsi que la page dont elle provient. Les rubriques sont classées par ordre alphabétique, généralement sous des titres de section (A, B, C, etc.). Une entrée d’index consiste en une rubrique (le terme recherché par l’utilisateur) associée à une référence de page (numéro(s) de page(s)) ou une référence croisée. Une référence croisée, précédée de « Voir » ou « Voir aussi », dirige l’utilisateur vers d’autres entrées d’index, plutôt que vers un numéro de page.
Fonctionnalités des documents longs
Procédure de création d’un index Pour créer un index, procédez comme suit : 1. Créez une liste de rubriques (facultatif). Une liste de rubriques vous aide à conserver une certaine cohérence dans
2. Ajoutez des marques d’index. Ajoutez des marques d’index sur les pages du document auxquelles vous souhaitez
3. Générez l’index. La génération d’un index crée un ensemble d’entrées pour les marques et les numéros des pages
4. Placez l’article d’index. Utilisez l’icône de texte chargée pour placer l’index dans un bloc de texte. Dans la plupart des cas, il est préférable que l’index commence sur une nouvelle page. Après avoir placé l’index, vous pouvez mettre en forme les pages et l’index.
Pour consulter une vidéo sur la création d’un index, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0220_fr.
« Ajout d’entrées d’index » à la page 326 Vidéo Créer un index Pour créer, modifier et prévisualiser l’index, utilisez le panneau Index (Fenêtre > Texte et tableaux > Index). Il comprend deux modes : Référence et Rubrique. En mode Référence, la zone d’aperçu affiche l’ensemble des entrées d’index dans le document ou dans le livre actuel. En mode Rubrique, la zone d’aperçu n’affiche ni les numéros de page ni les références croisées, mais uniquement les rubriques. Le mode Rubrique est principalement utilisé pour créer la structure de l’index, tandis que le mode Référence vous permet d’ajouter des entrées d’index. En mode Référence, les entrées d’index sont classées par ordre alphabétique et divisées en sections par lettre. Un triangle en regard d’une entrée permet de développer ou de réduire cette dernière pour afficher les sous-entrées, les numéros de page et les références croisées. Les codes suivants s’affichent au lieu des références de page, indiquant les entrées d’index qui ne sont peut-être pas incluses dans l’index. Pour visualiser ces codes, il est parfois nécessaire de choisir l’option Mettre à jour l’aperçu dans le panneau Index. PB Indique les entrées d’index sur la table de montage (non visibles dans l’index généré). HL Indique les entrées d’index sur un calque masqué. Lors de la génération de l’index, vous avez la possibilité d’inclure les entrées qui figurent sur un calque masqué. HT Indique les entrées d’index dans une condition masquée (non incluses dans l’index).
Fonctionnalités des documents longs
Gabarit Indique les entrées d’index sur un gabarit (non visibles dans l’index généré).
(Mac OS) enfoncée. Pour développer ou réduire toutes les entrées sœurs, cliquez sur le triangle correspondant tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée. Sélectionnez Mettre à jour l’aperçu dans le menu du panneau Index pour mettre à jour la zone d’aperçu. Cette commande est très utile si vous avez apporté de nombreuses modifications au document ou déplacé des marques d’index dans la fenêtre de document.
« Ajout d’entrées d’index » à la page 326 Vidéo Créer un index Vous pouvez créer ou importer une liste de rubriques comme point de départ pour la création d’un index. Ensuite, lorsque vous ajoutez des entrées, vous pouvez sélectionner des rubriques dans cette liste (au lieu d’avoir à les saisir à chaque fois) de façon à ce que toutes les informations du livre ou document soient indexées. Pour créer et modifier une liste de rubriques, utilisez le panneau Index en mode Rubrique. Le mode Rubrique affiche uniquement les rubriques. Pour afficher les numéros de page et les références croisées, utilisez le mode Référence.
Vous n’êtes pas obligé de créer une liste de rubriques pour ajouter les entrées d’index. Chaque fois que vous créez une entrée d’index, sa rubrique est ajoutée automatiquement à la liste des rubriques pour une utilisation ultérieure. Par défaut, les rubriques que vous ajoutez à la liste des rubriques n’apparaissent pas dans la liste Référence, laquelle contient uniquement les rubriques associées à une page. Toutefois, pour afficher les rubriques dans la liste Référence, vous pouvez choisir l’option Afficher les rubriques inutilisées dans le menu du panneau Index en mode Référence.
Fonctionnalités des documents longs
1 Sélectionnez Fenêtre > Texte et tableaux > Index pour afficher le panneau Index. 2 Sélectionnez Rubrique. 3 Sélectionnez Nouvelle rubrique dans le menu du panneau Index ou cliquez sur l’icône Créer une entrée d’index au
4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
« chats » est en retrait sous « animaux ». Pour créer une sous-entrée dans la sous-entrée, saisissez un nom (Calicots) dans la troisième zone de texte, etc.
5 Cliquez sur Ajouter pour ajouter la rubrique. Celle-ci apparaît désormais dans la boîte de dialogue Nouvelle
6 Cliquez sur Terminé lorsque vous n’avez plus de rubrique à ajouter.
1 Sélectionnez la commande Importer des rubriques dans le menu du panneau Index. 2 Choisissez le document contenant les rubriques d’index à importer, puis cliquez sur Ouvrir.
Utilisez le panneau Index pour modifier les entrées avant ou après la génération de l’index. Les modifications apportées aux entrées du panneau Index s’afficheront dans le prochain index que vous générerez, mais les modifications apportées à l’article d’index généré seront perdues lors de la regénération de l’index. 1 Ouvrez un document contenant les rubriques de l’index. 2 Dans le panneau Index, choisissez le mode Rubrique. 3 Dans la zone d’aperçu, cliquez deux fois sur une rubrique. 4 Modifiez la rubrique à votre convenance, puis cliquez sur OK.
Utilisez le panneau Index en mode Référence pour ajouter des entrées d’index. Les entrées d’index sont composées de deux parties : une rubrique et une référence. Les rubriques peuvent être définies à l’avance à l’aide d’une liste de rubriques. Une référence peut renvoyer à un numéro de page ou une référence d’une autre rubrique.
« Options de groupes de pages dans les index » à la page 330 « Ajout de références croisées « Voir » ou « Voir aussi » dans un index » à la page 331
1 A l’aide de l’outil Texte
2 Sélectionnez Fenêtre > Texte et tableaux > Index pour afficher le panneau Index. 3 Sélectionnez Référence.
4 Pour afficher les entrées d’index à partir des documents ouverts d’un livre, sélectionnez Livre. 5 Sélectionnez Nouvelle référence de page dans le menu du panneau Index. Si cette commande n’est pas visible,
6 Pour ajouter du texte dans la zone Niveaux de rubrique, utilisez l’une des méthodes suivantes :
Fonctionnalités des documents longs
Vous pouvez également sélectionner l’ordre de tri des chiffres, des symboles et des langues, et modifier les informations de tri des caractères chinois (voir la section « Modification de l’ordre de tri des index » à la page 334). 8 Indiquez le type d’entrée d’index :
(comme Voir ou Voir aussi) dans le menu déroulant Type, puis saisissez le nom de l’entrée dans la zone de texte Référencée ou faites glisser l’entrée existante dans la liste située au bas de la zone Référencée. Vous pouvez également personnaliser les termes « Voir » et « Voir aussi » qui s’affichent dans les entrées des références croisées en sélectionnant Référence croisée personnalisée dans le menu déroulant Type (voir la section « Ajout de références croisées « Voir » ou « Voir aussi » dans un index » à la page 331). 9 Pour mettre en valeur une entrée particulière, sélectionnez l’option Remplacement du style de numéro, puis
10 Pour ajouter une entrée dans l’index, utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Cliquez sur l’option Tout ajouter pour rechercher l’ensemble des occurrences du texte sélectionné dans la fenêtre du document et créer une marque d’index pour chacune d’entre elles. L’option Tout ajouter n’est disponible que si du texte est sélectionné.
Remarque : les entrées d’index ne sont pas supprimées si vous cliquez sur le bouton Annuler après avoir cliqué sur le bouton Ajouter. Pour éliminer ces entrées, vous devez faire appel à la commande Annuler. 11 Pour fermer la boîte de dialogue, cliquez sur OK ou sur Terminer.
Fonctionnalités des documents longs
En utilisant un raccourci d’indexation, vous pouvez rapidement indexer des mots simples, une expression ou une liste de mots et d’expressions. Adobe InDesign reconnaît deux types de raccourcis d’indexation : le premier pour les entrées d’index standard et le second pour les noms propres. Le raccourci du nom propre permet de créer des entrées d’index en inversant l’ordre d’un nom, de sorte que le tri s’opère par le nom de famille. De cette manière, vous pouvez répertorier un nom précédé d’un prénom en le faisant apparaître dans un index trié par nom de famille. Par exemple, le nom Alexandre Dumas apparaîtra dans l’index sous la forme Dumas, Alexandre. Pour préparer une liste d’indexation, séparez chaque élément à indexer par l’un des délimiteurs suivants : retour, retour chariot (Maj+touche Entrée), tabulation, tabulation de retrait à droite (Maj+Tab), point-virgule ou virgule. Le raccourci d’indexation ajoute une marque devant chaque entrée et place tous les éléments dans l’index. 1 Dans la fenêtre du document, sélectionnez le ou les mots à indexer. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Maj+Option+Commande+[ (Mac OS). Pour indexer des noms de famille composés ou comportant un titre de noblesse, utilisez des espaces insécables entre les mots. Par exemple, si vous voulez indexer « Alexandre Dumas père » sous « Dumas » et non sous « père », vous devez insérer une espace insécable entre « Dumas » et « père ». Pour insérer une espace insécable, sélectionnez Texte > Insérer une espace > Espace insécable.
Il arrive souvent qu’une rubrique indexée apparaisse à plusieurs endroits du livre ou document. Vous pouvez alors créer plusieurs entrées d’index basées sur d’autres entrées déjà présentes dans l’index, de façon à garantir une cohérence. 1 Dans la fenêtre de document, cliquez pour créer un point d’insertion ou sélectionnez du texte là où vous voulez
2 Dans le panneau Index, sélectionnez le mode Référence et recherchez l’entrée à copier en faisant défiler la zone
3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Option (Mac OS) enfoncée, cliquez sur le bouton Nouveau. La boîte de dialogue Nouvelle référence de page s’affiche, présentant les informations sur l’entrée sélectionnée. Apportez les modifications nécessaires, puis cliquez sur Ajouter ou sur OK. Vous pouvez également créer une liste de rubriques, puis sélectionner vos entrées pour l’index dans cette liste.
Fonctionnalités des documents longs
L’utilisation de l’option Tout ajouter est un moyen efficace d’indexer toutes les occurrences d’un terme spécifique dans un document ou un livre. Lorsque vous choisissez cette option, InDesign crée une marque d’index pour chaque occurrence des mots sélectionnés dans le document (et non du texte spécifié dans la boîte de dialogue). Par la suite, vous pouvez supprimer les entrées qui pointent vers une information moins pertinente. Lors de la recherche des occurrences du texte sélectionné, seuls les mots entiers sont pris en considération et la casse est respectée. Par exemple, si vous sélectionnez le mot guépard, les mots guépards et Guépard ne sont pas indexés. 1 Dans la fenêtre de document, sélectionnez le texte à rechercher. 2 Dans le panneau Index, sélectionnez le mode Référence. 3 Pour créer des entrées d’index dans un document ouvert du livre, sélectionnez Livre. 4 Sélectionnez Nouvelle référence de page dans le menu du panneau Index. 5 Sélectionnez l’option Tout ajouter. InDesign ajoute une marque d’index à tout texte qui correspond au texte
Le mode Rubrique du panneau Index permet de modifier une rubrique (tel que son nom ou son ordre de tri) et de mettre à jour toutes les entrées apparentées à cette rubrique automatiquement. Pour modifier les entrées une à une, utilisez le mode Référence. Ce mode permet d’ajouter des références croisées ou de rechercher la marque d’index associée à une référence de page. 1 Ouvrez le document contenant les entrées d’index. 2 Dans le panneau Index, utilisez l’une des méthodes suivantes :
3 Dans la zone d’aperçu, sélectionnez une entrée ou une référence de page. Pour sélectionner une référence de page,
4 Cliquez deux fois sur l’entrée ou la référence de page à modifier. 5 Apportez les modifications nécessaires à l’entrée, puis cliquez sur OK.
Vous pouvez créer des entrées d’index comportant un groupe de pages (tel que chats 82 – 87), au lieu d’une seule référence de page. Le menu déroulant Type, dans la boîte de dialogue Nouvelle référence de page, propose les options de groupe de pages suivantes : Page active Le groupe de pages ne s’étend pas au-delà de la page active. Jusqu’au style suivant Le groupe de pages s’étend de la marque d’index jusqu’au style de paragraphe suivant. Jusqu’au style indiqué Le groupe de pages s’étend de la marque d’index jusqu’à la page contenant le style de
Jusqu’à la fin de l’article Le groupe de pages s’étend de la marque d’index jusqu’à la fin des blocs de texte liés
Jusqu’à la fin du document Le groupe de pages s’étend de la marque d’index jusqu’à la fin du document.
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Nombre de paragraphes indiqué Le groupe de pages s’étend de la marque d’index jusqu’à la fin du nombre de paragraphes indiqué dans la zone adjacente ou jusqu’à la fin de tous les paragraphes. Nombre de pages indiqué Le groupe de pages s’étend de la marque d’index jusqu’à la fin du nombre de pages indiqué dans la zone adjacente ou jusqu’à la fin de toutes les pages. Supprimer l’étendue Désactive l’option d’étendue de pages.
Les références croisées sont des entrées d’index qui renvoient non pas à un numéro de page, mais à des entrées apparentées. Pour créer des références croisées, utilisez le panneau Index. Les avantages d’une référence croisée sont multiples :
à un terme équivalent dans l’index.
Chats. Voir aussi Chats sauvages. Dans ce cas, l’entrée d’index contenant la référence croisée contient également les numéros de page et/ou les sous-entrées directement associés à la rubrique de l’entrée.
A. Référence croisée renvoyant à une information apparentée (Voir aussi) B. Référence croisée renvoyant à un terme équivalent (Voir) L’option « Voir [aussi] » vous évite de mettre à jour manuellement les références croisées lorsque le contenu des entrées est modifié. 1 Sélectionnez Fenêtre > Texte et tableaux > Index. 2 Sélectionnez Référence. 3 Sélectionnez Livre pour afficher les entrées d’index dans un document de livre ouvert (facultatif). 4 Sélectionnez Nouvelle référence de page dans le menu du panneau Index. 5 Entrez une ou plusieurs rubriques dans les zones Niveaux de rubrique. 6 Dans le menu Type, choisissez un préfixe associé à la référence croisée (tel que Voir aussi) au bas du menu. 7 Entrez une rubrique dans la zone Référencée ou faites glisser une rubrique existante dans la liste des rubriques du bas. 8 Cliquez sur Ajouter pour ajouter la référence croisée à l’index.
Fonctionnalités des documents longs
Les références croisées avec un préfixe « Voir [aussi] » s’affichent avec le préfixe « Voir [aussi] » dans le panneau Index. Le préfixe approprié s’affichera dans l’article d’index généré.
« Références croisées » à la page 575 « Présentation du panneau Index » à la page 324
Lorsque les entrées d’index sont ajoutées et affichées dans le panneau Index, vous pouvez générer un index et le placer dans votre document. Un article d’index peut apparaître dans un document séparé ou dans un document existant. Lorsque vous générez un index, InDesign compile les entrées et met à jour les numéros de page pour tout le livre ou le document. Si vous ajoutez ou supprimez des entrées d’index ou que vous mettez à jour la numérotation du document, vous devez générer de nouveau l’index. Si des marques d’index apparaissent dans un texte en excès, vous êtes invité à inclure ces marques dans l’index lorsque vous générez ce dernier. Si vous cliquez sur Oui, l’entrée s’affiche dans l’index sans numéro de page. Si une marque d’index figure dans du texte conditionnel masqué, l’entrée correspondante est exclue de l’index. Pour consulter une vidéo sur la création d’un index, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0220_fr. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Si vous créez un index pour plusieurs documents dans un livre, créez ou ouvrez le document à utiliser pour l’index et insérez ce document dans le livre. 2 Sélectionnez la commande Générer l’index dans le menu du panneau Index. Spécifiez les paramètres pour les
Désélectionnez cette option pour créer plusieurs index.
3 Cliquez sur OK. Lorsque l’option Remplacer l’index existant est désélectionnée, une icône de texte chargée s’affiche.
Si vous modifiez les entrées directement dans l’index, les modifications effectuées sont perdues lorsque vous régénérez l’index. Pour obtenir un résultat optimal, modifiez l’index dans le panneau Index, puis générez de nouveau l’index.
Fonctionnalités des documents longs
également créer et appliquer vos propres styles. Une fois l’index généré, vous pouvez modifier ces styles à partir des panneaux Styles de paragraphe et Styles de caractère.
Inclure les sections d’index vides Sélectionnez cette option pour générer un titre de section pour chaque lettre de l’alphabet, même lorsqu’il n’existe pas d’entrée de premier niveau sous la lettre de la section. Style des niveaux Choisissez un style de paragraphe à appliquer aux entrées de chaque niveau d’index. Une fois l’index
Titre de section Sélectionnez le style de paragraphe qui définit l’aspect des titres de section (A, B, C, etc.) dans l’index
Numéro de page Sélectionnez le style de caractère qui définit l’aspect des numéros de page dans l’index généré. Ce
Remarque : pour inclure des préfixes dans les numéros de page des tables des matières, tels que B-1 ou II-1, reportez-vous à la section « Définition de la numérotation de section » à la page 89. Référence croisée Sélectionnez le style de caractère qui définit l’aspect du préfixe des références croisées, tel que Voir
Rubrique en référence croisée Sélectionnez le style de caractère qui définit l’aspect de la rubrique à laquelle vous renvoyez, tel que animaux dans Voir aussi animaux, dans l’index généré.
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Entre les numéros de page Saisissez ou sélectionnez un caractère spécial pour séparer plusieurs numéros de page ou plusieurs groupes de pages. Le séparateur par défaut est une virgule suivie d’une espace demi-cadratin. Entre les entrées Si Continu est sélectionné, saisissez ou sélectionnez un caractère spécial pour définir le séparateur
Avant la référence croisée Saisissez ou sélectionnez un caractère spécial pour séparer une référence d’une référence croisée, par exemple Animaux. Voir aussi animaux. Le séparateur par défaut est un point suivi d’une espace. Définissez la mise en forme de ce caractère en choisissant un autre niveau de style ou en modifiant le niveau de style correspondant. Etendue Saisissez ou sélectionnez un caractère spécial pour séparer le premier et le dernier numéro de page dans un
Fin de l’entrée Saisissez ou sélectionnez un caractère spécial devant apparaître à la fin des entrées. Si Continu est
Vous pouvez modifier l’ordre de tri des langues et des symboles. Ceci est particulièrement utile pour les langues grecque, cyrilliques et asiatiques. Il en est de même si vous souhaitez modifier l’emplacement des symboles dans l’index. Si vous souhaitez que les symboles figurent à la fin, vous pouvez déplacer la catégorie Symbole au bas de la liste de priorités. Lorsque vous changez l’ordre de tri, cela modifie également l’ordre de tri dans le panneau Index et dans les articles d’index générés ultérieurement. Vous pouvez créer plusieurs index avec des ordres de tri différents. Par exemple, vous pouvez générer un index en allemand, modifier l’ordre de tri, puis générer un index séparé en suédois : assurez-vous que l’option Remplacer l’index existant n’est pas sélectionnée lorsque vous générez l’index. 1 Choisissez Options de tri dans le menu du panneau Index. 2 Assurez-vous que les éléments que vous voulez trier sont sélectionnés. 3 Pour déterminer le type de script de langue utilisé, cliquez sur l’élément sous Type d’en-tête et choisissez une autre
Par exemple, pour le cyrillique, vous avez le choix entre russe, biélorusse, bulgare ou ukrainien. Pour le chinois, vous avez le choix entre Pinyin, surtout utilisé pour le chinois simplifié, ou Nombre de frappes, surtout utilisé pour le chinois traditionnel. 4 Pour modifier la position d’une langue ou d’un symbole, sélectionnez-le dans la liste, puis cliquez sur les boutons
Les éléments placés en haut dans la liste sont triés avant les éléments inférieurs. Tous les caractères des langues qui ne sont pas incluses dans la boîte de dialogue Options de tri sont triés en tant que symboles. Par exemple, si vous avez un texte en grec dans votre document, mais que la langue grecque n’est pas incluse dans les Options de tri, tout texte grec indexé apparaîtra sous Symboles.
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Lors de la création d’entrées d’index pour les langues asiatiques, tenez compte des points suivants :
Il n’est pas nécessaire d’entrer la lecture yomi pour les caractères hiragana pleine chasse, katakana, les caractères alphanumériques, certains symboles, les caractères alphanumériques demi-chasse et les entrées d’index n’ayant que des symboles dans la zone de texte Yomi. Les entrées de la zone Niveaux de rubrique sont triées. Dans certains cas, lorsqu’une entrée contient à la fois des symboles pleine chasse et demi-chasse, le tri peut ne pas s’effectuer comme prévu. Une lecture yomi appropriée doit alors être saisie.
• Pour l’ordre de tri du coréen, vous avez le choix entre Consonne coréenne et Consonne coréenne plus voyelle.
Vous déterminez l’ordre de tri des caractères chinois à deux emplacements : dans la boîte de dialogue Options de tri et dans le champ Tri par lors de la création ou de la modification d’une entrée d’index. Boîte de dialogue Options de tri La commande Options de tri du menu du panneau Index vous permet de modifier
Trier par Lorsque vous créez ou modifiez une entrée d’index, la saisie de caractères chinois dans les champs Niveaux
Pour Pinyin, si plusieurs mots ont le même Pinyin, les entrées sont triées par (1) ton et (2) nombre de frappes en ordre croissant. Pour Nombre de frappes, chaque caractère est trié par (1) nombre de frappes, (2) première frappe et (3) seconde frappe. Vous pouvez modifier les informations de tri directement dans le champ Trier par ou cliquer sur la flèche à droite du champ Trier par pour ouvrir la boîte de dialogue Entrée Pinyin ou Entrée Nombre de frappes. Vous pouvez modifier les champs et cliquer sur OK. Répétez cette procédure pour chaque niveau de rubrique.
Une fois que vous avez généré l’index et ajouté les marques d’index au document, plusieurs méthodes permettent de gérer l’index. Vous pouvez afficher l’ensemble des rubriques d’index dans un livre, supprimer de la liste Rubrique celles qui ne sont pas utilisées dans la liste Référence, rechercher des entrées dans la liste Référence ou Rubrique et supprimer des marques d’index du document.
2 Sélectionnez Livre en haut du panneau Index.
Lorsque vous indexez un livre contenant plusieurs documents, vous pouvez afficher les rubriques d’index pour tous les documents répertoriés en générant l’index du livre, avec l’ensemble des documents. Vous n’avez alors pas besoin d’utiliser l’option Importer des rubriques du menu Index pour importer manuellement les rubriques dans chaque document.
Après avoir créé votre index, vous pouvez supprimer des rubriques qui n’étaient pas comprises dans l’index. 1 Sélectionnez Fenêtre > Texte et tableaux > Index pour afficher le panneau Index. 2 Dans le menu du panneau Index, sélectionnez la commande Supprimer les rubriques inutilisées. Les rubriques sans
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
1 Sélectionnez Afficher le champ Rechercher dans le menu du panneau Index. 2 Dans la zone Rechercher, saisissez le nom de l’entrée à rechercher, puis cliquez sur le bouton flèche haut ou bas.
1 Sélectionnez Texte > Afficher les caractères masqués pour afficher les marques d’index dans la fenêtre du
2 Dans le panneau Index, cliquez sur Référence, puis sélectionnez l’entrée que vous souhaitez rechercher.
La boîte de dialogue Composer en majuscules propose une solution globale pour modifier la casse des entrées d’index. Par exemple, si vous avez indexé une entrée en minuscules (chats) et la même entrée avec une lettre initiale en majuscule (Chats), ces entrées sont considérées comme deux rubriques distinctes. Vous pouvez corriger cette erreur en sélectionnant des entrées et en les composant en majuscules. 1 Dans la zone d’aperçu du panneau Index, sélectionnez une entrée. 2 Sélectionnez la commande Composer en majuscules dans le menu du panneau Index. 3 Choisissez une composition en majuscules pour la rubrique sélectionnée uniquement, la rubrique sélectionnée et
A propos des marques InDesign insère une marque dans le texte pour les éléments tels que les entrées d’index, les balises XML, les ancrages et les hyperliens. Ces marques n’ont aucune valeur de largeur et n’affectent pas la composition du texte. Vous pouvez toutefois les sélectionner, les couper et les copier ou les supprimer. InDesign se sert de l’emplacement des marques pour créer un signet ou une référence de page précis dans la table des matières, l’index et les fichiers PDF exportés. Vous pouvez afficher toutes les marques simultanément ou afficher les marques balisées ou d’hyperlien uniquement. Vous pouvez également afficher les marques en mode éditeur, où elles sont plus grandes et plus faciles à identifier. Remarque : lorsque vous sélectionnez un mot, toutes les marques correspondantes le sont également. Gardez cela à l’esprit lorsque vous coupez, copiez ou supprimez du texte.
3 Maintenez la touche Maj enfoncée et appuyez sur la touche flèche gauche ou droite pour sélectionner la marque.
Présentation des tracés et des formes Types de tracés et de formes Vous pouvez créer des tracés et les combiner de multiples façons dans InDesign. InDesign crée les types de tracés et de formes suivants : Tracés simples Les tracés simples constituent les pièces maîtresses des tracés transparents et des formes composées. Ils
Tracés transparents Les tracés transparents consistent en un minimum de deux tracés simples qui interagissent ou
Les tracés combinés dans un tracé transparent agissent comme un objet et partagent des attributs (tels que les couleurs et styles de contour). Formes composées Les formes composées consistent en plusieurs tracés, tracés transparents, groupes, dégradés, textes vectorisés, blocs de texte ou autres formes qui interagissent et s’interceptent pour créer de nouvelles formes modifiables. Certaines formes composées apparaissent comme tracés transparents mais leurs tracés transparents peuvent être modifiés par tracé et ne partagent pas nécessairement les mêmes attributs.
Lorsque vous sélectionnez un point d’ancrage qui relie des segments incurvés (ou lorsque vous sélectionnez le segment lui-même), les points d’ancrage des segments reliés affichent des poignées de direction, qui se composent de lignes directrices se terminant par des points directeurs. L’angle et la longueur des lignes directrices déterminent la forme et la taille des segments incurvés. Le déplacement des points directeurs modifie la forme de la courbe. Les lignes directrices n’apparaissent pas sur la sortie finale.
Un sommet peut quant à lui avoir une, deux ou aucune lignes directrices, selon qu’il relie respectivement un, deux ou aucun segments courbes. Les lignes directrices d’un sommet conservent le sommet en utilisant différents angles. Lorsque vous placez une ligne directrice sur un sommet, seule la courbe située du même côté du point que la ligne directrice est ajustée.
L’inclinaison de chaque ligne directrice détermine celle de la courbe. De même, la longueur de chaque ligne directrice détermine la hauteur ou l’incurvation de la courbe.
Dessin Création d’un tracé à l’aide de l’outil Trait et des outils de forme Création de traits et de formes de base 1 Dans le panneau Outils, utilisez l’une des méthodes suivantes :
Vous pouvez modifier la valeur de coupe, le point de référence ainsi que d’autres options d’ajustement d’un bloc d’emplacement réservé en choisissant Objet > Ajustement > Options d’ajustement de bloc.
❖ Cliquez deux fois sur l’outil Polygone
Les pointes des branches touchent le bord extérieur du cadre de sélection du polygone et le pourcentage détermine la profondeur de la dépression entre chaque branche. Plus le pourcentage est élevé, plus les branches sont longues et fines. Remarque : les paramètres de polygone s’appliquent uniquement au polygone suivant que vous dessinez ; vous ne pouvez pas les appliquer à un polygone qui existe déjà dans le document.
Il est possible de convertir tout tracé en une forme prédéfinie. Par exemple, il est possible de convertir un rectangle en triangle. Les paramètres de contour du tracé initial restent appliqués au nouveau tracé. Si le nouveau tracé est un polygone, sa forme dépend des options définies dans la boîte de dialogue Polygone. Si le nouveau tracé comporte un effet d’arrondi, la taille du rayon de l’arrondi dépend du paramètre de taille défini dans la boîte de dialogue Options d’arrondis. 1 Sélectionnez le tracé. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Dans le panneau Pathfinder (Fenêtre > Objet et mise en page > Pathfinder), cliquez sur un bouton de forme dans la zone Convertir la forme.
Dessin avec l’outil Crayon L’outil Crayon fonctionne de la même manière dans Adobe Illustrator et dans InDesign. Il permet de dessiner des tracés ouverts et fermés, comme lorsque vous dessinez sur papier. Il se prête tout particulièrement à la réalisation d’esquisses ou de dessins à la main. Une fois le tracé terminé, vous pouvez le modifier immédiatement, si nécessaire.
Dessin 4 Lorsque le tracé atteint la taille et la forme souhaitées, relâchez le bouton de la souris (mais pas la touche Alt
Pour créer un tracé fermé, vous n’avez pas besoin de positionner le curseur sur le point de départ du tracé ; si vous relâchez le bouton de la souris à un autre endroit, l’outil Crayon ferme la forme en créant la ligne la plus courte possible vers le point d’origine.
Vous pouvez modifier un tracé à l’aide de l’outil Crayon et ajouter des lignes et des formes libres dans n’importe quelle forme.
1 Sélectionnez un tracé. 2 Sélectionnez l’outil Crayon. 3 Placez la pointe du crayon sur une extrémité du tracé.
4 Faites glisser le pointeur pour terminer le tracé.
Dessin 5 Faites glisser sur l’extrémité de l’autre tracé, relâchez le bouton de la souris, puis relâchez les touches Ctrl ou
Remarque : pour des résultats optimaux, faites glisser le pointeur d’un tracé vers l’autre comme si vous poursuiviez les tracés vers leur point d’origine.
1 Sélectionnez le tracé à modifier. 2 Placez l’outil Crayon sur le tracé à modifier ou à proximité de celui-ci.
3 Faites glisser l’outil jusqu’à ce que le tracé ait la forme souhaitée.
Par exemple, vous pouvez transformer sans le vouloir un tracé fermé en tracé ouvert, et inversement, ou perdre une partie d’une forme.
Cliquez deux fois sur l’outil Crayon pour définir l’une des options suivantes : Fidélité Contrôle la distance que doit parcourir la souris ou le stylet avant qu’un point d’ancrage ne soit ajouté au tracé. Plus la valeur est élevée, plus le tracé est lisse et moins il est complexe. Plus les valeurs sont basses, moins la correspondance du tracé est précise par rapport à la ligne que vous avez dessinée. La fidélité va de 0,5 à 20 pixels. Lissage Contrôle le pourcentage de lissage appliqué lors de l’utilisation de l’outil. Le lissage va de 0 à 100 %. Plus la
Remplir les nouveaux contours au crayon (Illustrator uniquement) Applique un fond aux contours au crayon après
Conserver la sélection Détermine s’il faut conserver le tracé sélectionné après que vous l’ayez dessiné. Cette option est
Dans les limites de : _ pixels Permet de déterminer la distance entre la souris ou le stylet et le tracé pour pouvoir modifier celui-ci à l’aide de l’outil Crayon. Cette option est disponible uniquement si l’option Modifier les tracés sélectionnés est activée.
Dessin de segments droits avec l’outil Plume La ligne droite est le tracé le plus simple à réaliser avec l’outil Plume. Il suffit de cliquer avec l’outil Plume pour créer deux points d’ancrage. Si vous continuez à cliquer, vous créez un tracé composé de segments rectilignes reliés par des sommets.
2 Placez l’outil Plume à l’endroit où commencer le segment de droite et cliquez pour définir le premier point
Remarque : le premier segment dessiné ne sera visible que lorsque vous aurez cliqué pour définir un second point d’ancrage (sélectionnez l’option Etirement dans Photoshop pour afficher un aperçu des segments de tracé). Si vous faites glisser l’outil Plume accidentellement, des lignes directrices apparaissent ; sélectionnez Edition > Annuler et cliquez de nouveau. 3 Cliquez de nouveau à l’endroit où doit se terminer le segment (maintenez la touche Maj enfoncée pour contraindre
4 Continuez de cliquer pour définir les points d’ancrage des autres segments droits.
5 Terminez le tracé en procédant de l’une des façons suivantes :
Pour créer une courbe, ajoutez un point d’ancrage à l’endroit où la courbe change de sens et faites glisser les lignes directrices contrôlant la forme de la courbe. La longueur et la pente des lignes directrices déterminent la forme de la courbe. Les courbes se modifient plus facilement, et s’affichent et s’impriment plus rapidement si vous les dessinez avec le moins de points d’ancrage possible. De plus, si vous utilisez trop de points, la courbe risque de présenter des irrégularités non désirées. Vous avez donc plutôt intérêt à espacer autant que possible les points d’ancrage et à modeler la courbe en agissant sur la longueur et l’inclinaison des lignes directrices. 1 Sélectionnez l’outil Plume. 2 Placez l’outil Plume à l’endroit où commencer la courbe et maintenez le bouton de la souris enfoncé.
3 Faites glisser pour définir l’inclinaison de la courbe que vous tracez, puis relâchez le bouton de la souris.
Maintenez la touche Maj enfoncée pour contraindre l’outil à des multiples de 45°.
Maintenez la touche Alt enfoncée (Windows) ou Option (Mac OS) et faites glisser les lignes directrices pour arrêter les lignes directrices à un point d’ancrage. 6 Terminez le tracé en procédant de l’une des façons suivantes :
Pour laisser le tracé ouvert, vous pouvez également sélectionner un autre outil ou choisir Sélection > Désélectionner dans Illustrator ou Edition > Tout désélectionner dans InDesign. Pour visualiser une vidéo relative à l’utilisation de l’outil Crayon dans Illustrator, rendez-vous à l’adresse suivante : www.adobe.com/go/vid0037_fr.
Vidéo de l’outil Plume dans Illustrator
❖ Après avoir cliqué pour créer un point d’ancrage, gardez le bouton de la souris enfoncé, maintenez la barre
Pour laisser le tracé ouvert, vous pouvez également sélectionner un autre outil ou choisir Sélection > Désélectionner dans Illustrator ou Edition > Tout désélectionner dans InDesign.
1 A l’aide de l’outil Plume, cliquez pour créer des sommets à deux emplacements et dessiner un segment droit. 2 Placez l’outil Plume sur l’extrémité sélectionnée. Dans Illustrator et InDesign, une icône de conversion de point
Cette opération convertit le point d’inflexion en sommet en scindant les lignes directrices. 3 Repositionnez l’outil Plume sur le point d’arrivée du second segment incurvé et faites glisser un nouveau point
• Si vous pouvez voir les points, vous pouvez cliquer dessus à l’aide de l’outil Sélection directe
Effectuez l’une des opérations suivantes :
• Si un point d’ancrage relie deux segments, le déplacement de ce point d’ancrage modifie toujours les deux segments.
(Windows) ou Commande (Mac OS) pendant le dessin. Dans Illustrator, le fait d’appuyer sur la touche Ctrl ou Command tout en dessinant active le dernier outil de sélection utilisé.
1 Avec l’outil Sélection directe
1 Avec l’outil Sélection directe
Dans Illustrator ou InDesign, si vous voulez uniquement élargir ou rétrécir un rectangle, il est plus facile de le sélectionner à l’aide de l’outil Sélection et de le redimensionner avec l’une des poignées situées sur les côtés de son cadre de sélection.
1 Avec l’outil Sélection directe, sélectionnez un segment courbe ou un point d’ancrage à chaque extrémité du segment
2 Effectuez l’une des opérations suivantes :
• Choisissez l’outil Conversion de point directeur et cliquez sur le point d’ancrage de la poignée. • Faites glisser le point directeur et déposez-le sur le point d’ancrage.
1 Après avoir sélectionné l’outil Plume, placez le pointeur sur l’extrémité du tracé ouvert que vous souhaitez
2 Cliquez sur l’extrémité de tracé. 3 Effectuez l’une des opérations suivantes :
étendez un tracé qui se termine à un point d’inflexion, le nouveau segment sera incurvé par la ligne directrice existante. Remarque : dans Illustrator, si vous prolongez un tracé qui se termine par un point d’inflexion, le nouveau segment sera droit.
1 Après avoir sélectionné l’outil Plume, placez le pointeur sur l’extrémité du tracé ouvert que vous souhaitez relier à
2 Cliquez sur l’extrémité de tracé.
Dessin • Pour relier un nouveau tracé à un tracé existant, dessinez le nouveau tracé près du tracé existant, puis déplacez l’outil Plume sur l’extrémité (non sélectionnée) du tracé existant. Cliquez sur l’extrémité lorsque le petit symbole de fusion apparaît en regard du pointeur. Dans InDesign, vous pouvez également utiliser le panneau Pathfinder pour joindre des tracés. Pour fermer un tracé ouvert, utilisez l’outil de Sélection pour sélectionner le tracé et cliquez sur l’option Fermer le tracé du panneau Pathfinder. Pour joindre les extrémités de deux tracés, sélectionnez ces derniers et cliquez sur l’option Joindre les tracés. Au besoin, cliquez de nouveau sur l’option Joindre les tracés pour joindre la deuxième extrémité.
1 Sélectionnez le point d’ancrage ou le segment de tracé.
2 Cliquez ou maintenez enfoncée une touche de direction sur le clavier pour déplacer 1 pixel à la fois dans le sens de
Pour déplacer 10 pixels à la fois, maintenez la touche Maj enfoncée avec la touche de direction. Remarque : dans Illustrator et InDesign, vous pouvez modifier la distance d’un positionnement en modifiant les préférences d’incrément du clavier. Lorsque vous modifiez l’incrément par défaut, maintenir la touche Alt enfoncée positionne à 10 fois la distance spécifiée.
L’ajout de points d’ancrage permet dans certains cas d’obtenir un tracé plus précis ou de prolonger un tracé ouvert. Il est recommandé toutefois de limiter autant que possible le nombre de points d’ancrage. Moins un tracé comporte de points et plus il s’imprime et s’affiche rapidement, et plus il est facile de le modifier. Il est possible de simplifier un tracé en supprimant les points d’ancrage inutiles. La boîte à outils contient trois outils permettant d’ajouter ou de supprimer des points : l’outil Plume de point d’ancrage et l’outil Suppression de point d’ancrage .
Photoshop, vous devez sélectionner Ajout/Suppression auto dans la barre d’options pour activer l’outil Plume afin qu’il se modifie automatiquement en outil Ajout de point d’ancrage ou Suppression de point d’ancrage). Dans Photoshop et InDesign, vous pouvez sélectionner et modifier plusieurs tracés simultanément ; dans Illustrator, vous ne pouvez ajouter ou supprimer des points que pour un tracé en même temps. Dans Photoshop et InDesign, vous pouvez remodeler un tracé en ajoutant des points d’ancrage ; pour ce faire, il vous suffit de cliquer et de faire glisser pendant l’ajout. Remarque : n’utilisez pas les touches Suppr, Retour arrière ou d’effacement, ni les commandes Edition > Couper et Edition > Effacer pour supprimer des points d’ancrage : l’utilisation de ces touches et commandes entraîne la suppression du point et des segments de lignes reliés à celui-ci.
1 Sélectionnez le tracé à modifier.
Dessin d’ancrage, placez le pointeur sur ce dernier et cliquez. Dans Illustrator, vous pouvez ajouter des points d’ancrage à un tracé en sélectionnant l’objet et en choisissant Objet > Tracé > Ajouter des points d’ancrage.
Vous pouvez désactiver le basculement automatique de l’outil Plume en outil Ajout de point d’ancrage ou Suppression de point d’ancrage. Cette manipulation est particulièrement utile lorsque vous souhaitez commencer un nouveau tracé par-dessus un tracé existant.
• Dans Illustrator ou InDesign, maintenez la touche Maj enfoncée et placez l’outil Plume sur le tracé ou sur un point d’ancrage sélectionné (pour éviter que la touche Maj ne contraigne le tracé, relâchez-la avant de relâcher le bouton de la souris).
> Général (Mac OS) et sélectionnez l’option Désactiver Ajout/Suppression auto.
Les tracés peuvent être dotés de deux types de points d’ancrage, les sommets et les points lisses. Au niveau d’un sommet, un tracé change brusquement de sens. Au niveau d’un point lisse, les segments de tracé sont reliés en une courbe continue. L’outil Conversion de point directeur permet de convertir un sommet en point lisse et inversement. 1 Utilisez l’outil Sélection directe
Pour basculer temporairement de l’outil Conversion de point directeur à l’outil Sélection directe, appuyez sur la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS).
Vous pouvez scinder un tracé, un bloc d’image ou un bloc de texte vide au niveau de n’importe quel point d’ancrage ou le long de n’importe quel segment. Lorsque vous scindez un tracé, tenez compte des indications suivantes :
au milieu d’un segment, les deux nouvelles extrémités du tracé sont superposées et l’une des extremités est sélectionnée. 3 Utilisez l’outil Sélection directe pour ajuster le nouveau point d’ancrage ou segment de tracé.
1 Sélectionnez un tracé fermé. 2 Pour ouvrir le panneau Pathfinder, choisissez la commande Fenêtre > Objet et mise en page > Pathfinder. 3 Cliquez sur le bouton Ouvrir le tracé du panneau Pathfinder.
Utilisez l’outil Arrondi pour supprimer les irrégularités indésirables d’un tracé ou d’une partie d’un tracé. L’outil Arrondi conserve autant que possible la forme d’origine du tracé. Les tracés lissés sont généralement dotés de moins de points, ce qui les rend plus faciles à modifier, afficher et imprimer.
2 Sélectionnez l’outil Arrondi.
Fidélité Vérifie la droiture de vos courbes avant la modification du tracé. Avec des valeurs de fidélité basses, le tracé correspond moins précisément à la ligne que vous avez dessinée, alors que les valeurs élevées permettent d’obtenir un tracé qui lui correspond plus fidèlement. La plage des valeurs de pixel varie entre 0,5 et 20 pixels. Lissage Contrôle le pourcentage de lissage appliqué lors de l’utilisation de l’outil. Les valeurs possibles pour cette
Conserver la sélection Détermine s’il faut conserver le tracé sélectionné après que vous l’ayez lissé.
Dessin 2 Positionnez le pointeur sur le point d’ancrage ou sur le segment de tracé que vous voulez désigner comme foyer (le
3 Faites glisser les points d’ancrage en surbrillance pour modifier le tracé. Le mouvement d’un segment de tracé
• Les points sélectionnés non désignés comme foyers se déplacent en tandem avec le point foyer pendant le glissement.
L’outil Position d’InDesign a la même fonction que l’outil Recadrer d’Adobe PageMaker. Il est utilisé avec l’outil Sélection pour permettre de contrôler le placement du contenu dans un bloc et de changer la taille du bloc. L’outil Position est dynamique : il change automatiquement en fonction des différents états. Lorsqu’il est placé directement sur une image, il se transforme en outil Main pour indiquer que vous pouvez faire glisser le contenu dans un bloc. Lorsqu’il est placé sur un bloc de texte, il se transforme en barre verticale pour représenter le point d’insertion de texte. Vous pouvez aussi utiliser l’outil Position pour placer des images texte et du contenu autre que des images, comme des blocs de texte et des boutons. 1 Placez le pointeur sur l’outil Sélection directe
2 Sélectionnez le bloc contenant le graphique à recadrer.
3 Pour redimensionner le bloc graphique, placez l’outil Position sur l’une des poignées du bloc jusqu’à ce qu’il ne
lorsque vous le placez sur le contenu du bloc.
Lorsque vous utilisez l’outil Position pour déplacer un graphique, vous pouvez maintenir le bouton de la souris enfoncé pendant quelques secondes pour afficher un aperçu dynamique (une image fantôme) d’une partie de l’image qui apparaît en dehors du bloc. Il est possible de définir les paramètres d’affichage et le délai d’apparition de l’aperçu. 1 Cliquez deux fois sur l’outil Position
Il est possible d’appliquer des contours, ou paramètres de trait, aux tracés, aux formes, aux blocs de texte et au texte vectorisé. Le panneau Contour permet de définir l’épaisseur et l’aspect du contour, et notamment le mode de jonction des segments, les angles et les formes de départ et d’arrivée. Vous pouvez également définir les paramètres de contour à partir du panneau Contrôle lorsqu’un tracé ou un bloc est sélectionné.
Dessin 1 Sélectionnez le tracé dont vous voulez modifier le contour.
2 Choisissez Fenêtre > Contour pour afficher le panneau Contour. 3 Dans le champ Epaisseur, choisissez l’épaisseur du contour dans le menu ou entrez une valeur et appuyez sur la
Remarque : les contours inférieurs à 0,25 point sont parfois trop fins pour être facilement repérables lorsqu’ils sont imprimés sur les périphériques de sortie haute résolution tels qu’une photocomposeuse. Pour supprimer le contour, entrez la valeur 0 (zéro). 4 Choisissez Afficher les options dans le menu du panneau pour afficher les autres attributs de contour si ceux-ci sont
5 Modifiez les autres attributs de contour selon vos besoins.
« Application de couleurs » à la page 470).
« Modification de la couleur, du dégradé ou du contour du texte » à la page 249
Pointe Permet de spécifier le rapport longueur du sommet/largeur du contour à partir duquel un sommet en pointe doit être converti en sommet en biseau. Par exemple, si l’on règle ce paramètre sur 9, la longueur du sommet doit être 9 fois égale à la largeur du contour pour que le sommet soit converti en sommet en biseau. Entrez une valeur (entre 1 et 500), puis appuyez sur Entrée ou Retour. L’option Pointe ne s’applique pas aux sommets en arrondi.
Extrémité Sélectionnez un style pour spécifier l’aspect des deux extrémités d’un tracé ouvert :
Sommet Spécifiez l’aspect du contour aux sommets :
• Sommet en arrondi Permet de créer des sommets arrondis qui s’étendent de la moitié de la largeur du contour au-delà des extrémités de tracé. • Sommet en biseau
Alignement de contour Cliquez sur une icône pour spécifier l’emplacement du contour par rapport à son tracé. Type Choisissez un type de contour dans le menu. Si vous choisissez Tirets, un nouveau groupe d’options s’affiche. Début Faites une sélection pour le début du tracé. Fin Faites une sélection pour la fin du tracé. Couleur d’espace Spécifiez une couleur pour l’espace entre les tirets, les points ou les différentes lignes dans un
Teinte d’espace Spécifiez une teinte (lorsqu’une couleur d’espace est indiquée).
à l’aide d’un style de contour personnalisé.
Gardez à l’esprit les instructions suivantes lorsque vous travaillez avec des formes de début et de fin :
Utilisez les menus Début et Fin du panneau Contour pour ajouter une pointe de flèche ou une autre forme à la fin d’un tracé ouvert. 1 Sélectionnez un tracé ouvert à l’aide d’un outil de sélection. 2 Choisissez un style dans les menus Début et Fin du panneau Contour. Début applique une forme à la première
1 Sélectionnez un tracé à l’aide de l’outil Sélection directe
3 Cliquez sur Nouveau. 4 Attribuez un nom au style du contour. 5 Dans le champ Type, sélectionnez l’une des options suivantes :
• Bande pour définir un style avec une ou plusieurs lignes parallèles ; • Pointillés pour définir un style avec des points à intervalles réguliers ou irréguliers.
Dessin s’ajuste pour s’adapter à la longueur spécifiée. 7 Pour définir le motif du contour, utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Faites glisser un tiret, un point ou une bande pour le déplacer. • Pour régler la largeur d’un tiret, déplacez les marques de la règle
9 Pour les motifs en tirets ou en pointillé, utilisez l’option Angles afin de déterminer l’emplacement des tirets et des
10 Pour les motifs en tirets, sélectionnez un style pour Extrémité afin de déterminer la forme des tirets. Ce paramètre
11 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Vous pouvez enregistrer des styles de contour personnalisés de façon à les utiliser dans d’autres documents InDesign.
Dessin 2 Sélectionnez un style de contour personnalisé et cliquez sur Enregistrer.
3 Spécifiez un nom et un emplacement pour le fichier de style de contour (.inst) et cliquez sur OK.
1 Choisissez Styles de contour dans le panneau Contour. 2 Cliquez sur Charger. 3 Sélectionnez le fichier de style de contour (.inst) qui contient le style de contour personnalisé à importer, puis
❖ Sélectionnez un tracé ou un bloc, puis choisissez un style de contour personnalisé dans le menu Type du panneau
La commande Options d’arrondis vous permet d’appliquer rapidement des effets d’arrondi à tout tracé. Les effets disponibles incluent l’arrondi simple et les ornements fantaisie.
1 Sélectionnez un tracé à l’aide d’un outil de sélection. 2 Sélectionnez Objet > Options d’arrondis. 3 Choisissez un effet dans le menu Effet. 4 Dans la zone Taille, entrez une valeur pour spécifier le rayon d’extension de l’effet d’arrondi à partir de chaque
5 Sélectionnez Aperçu pour voir les résultats de l’effet avant de l’appliquer. Cliquez ensuite sur OK.
Tenez compte des points suivants :
Taille dans la boîte de dialogue Options d’arrondis ou augmentez l’épaisseur de contour dans le panneau Contour.
A propos des tracés transparents Vous pouvez combiner plusieurs tracés en un objet unique appelé tracé transparent. Créez un tracé transparent, puis utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Conservez les zones transparentes incluses dans certains caractères, tels que o et e, lorsque vous convertissez des caractères en dessins de lettres modifiables en utilisant la commande Vectoriser. L’utilisation de la commande Vectoriser résulte toujours en la création de tracés transparents.
Gardez à l’esprit les instructions suivantes lorsque vous modifiez des tracés transparents :
Pour conserver les attributs de contour et de fond de chaque tracé que vous voulez combiner, associez-les.
Annuler, les tracés annulés héritent des propriétés du tracé transparent et ne récupèrent pas leurs propriétés d’origine.
Remarque : si un ou plusieurs objets ont un contenu, tel que du texte ou une image importée, les attributs et le contenu du tracé transparent obtenu sont définis par les attributs et le contenu de l’objet le plus bas. Les objets sélectionnés plus avant, mais sans contenu n’affectent pas le tracé. Vous pouvez modifier la forme de n’importe quelle partie d’un tracé transparent en utilisant l’outil Sélection directe pour sélectionner un point d’ancrage sur un sous-tracé. 1 Utilisez l’outil Sélection
Le sens de chaque sous-tracé (l’ordre dans lequel ses points ont été créés) détermine si la zone qu’il renferme se trouve à l’intérieur (zones remplies) ou à l’extérieur (trous). Si certains trous du tracé transparent apparaissent à des endroits inattendus, vous pouvez inverser le sens du sous-tracé.
Dessin 1 Sélectionnez un tracé transparent à l’aide de l’outil Sélection
1 A l’aide de l’outil Sélection directe
Ne sélectionnez pas l’intégralité du tracé transparent.
Intersection Crée une forme à partir de zones se chevauchant. Exclusion du chevauchement Crée une forme à partir de zones qui ne se chevauchent pas. Soustraction (avant-arrière) Les objets à l’arrière-plan « perforent » l’objet au premier-plan.
Lorsque vous incluez un bloc de texte dans une forme composée, la forme du bloc de texte se transforme mais le texte lui-même ne change pas. Pour modifier le texte, créez un tracé transparent à l’aide de textes vectorisés
Vous pouvez utiliser une forme composée comme unité simple ou libérer ses tracés de composants pour travailler individuellement avec chacun d’eux. Vous pouvez par exemple appliquer un fond en dégradé à une partie seulement de la forme composée.
Dessin 2 Sélectionnez les objets à combiner dans une forme composée 3 Cliquez sur un bouton (Ajouter, par exemple) dans la section Pathfinder du panneau Pathfinder.
❖ Sélectionnez la forme composée. Choisissez la commande Object > Tracés > Annuler le tracé transparent. La forme
Pour regrouper des tracés de composants sans perdre les modifications appliquées aux différents tracés, choisissez Associer dans le menu Objet plutôt que Tracés transparents > Créer.
Utilisez la commande Vectoriser pour convertir des caractères sélectionnés en un ensemble de tracés transparents que vous pouvez modifier et manipuler comme tout autre tracé. La commande Vectoriser est particulièrement utile pour créer des effets destinés à un affichage grand format, mais elle est rarement utilisée pour le corps du texte et autres petits caractères. Si vous voulez simplement appliquer un contour en couleur, un fond ou un contour dégradé à des caractères, il n’est pas nécessaire de vectoriser le texte. Vous pouvez utiliser le panneau d’outils, ainsi que les panneaux Nuancier, Couleur ou Dégradé pour appliquer les couleurs et les dégradés directement au contour ou au fond des caractères sélectionnés. La commande Vectoriser utilise les données de vectorisation de police des fichiers de polices Type 1, TrueType ou OpenType. Lorsque vous créez un texte vectorisé, les caractères sont convertis à leur emplacement courant et conservent tous leurs attributs de mise en forme graphique, tels que le contour et le fond. Remarque : certains éditeurs de polices de caractères bloquent des données de police indispensables à la vectorisation. Si vous choisissez une police ainsi protégée et que vous sélectionnez Texte > Vectoriser, un message vous informe que la police ne peut pas être convertie. Lorsque vous convertissez du texte en texte vectorisé, le texte perd les renseignements qu’il contient, c’est-à-dire les instructions intégrées aux polices vectorisées pour modifier leur forme et permettre à votre système de les afficher ou de les imprimer de façon optimale, quelle que soit leur taille. Par conséquent, l’affichage d’un texte converti en texte vectorisé risque d’être médiocre en petite taille ou à une résolution faible. Une fois le texte vectorisé, vous pouvez utiliser l’une des méthodes suivantes :
• Changer les attributs de contour des dessins de lettres. • Utiliser la vectorisation de texte pour créer des formes composées. &&&&&&&& &&&&&&&& &&&&&&&& Par défaut, la vectorisation de texte supprime le texte d’origine. Vous pouvez toutefois, si vous le préférez, afficher la vectorisation par-dessus une copie du texte pour éviter de perdre le texte d’origine. Lorsque vous sélectionnez des caractères dans un bloc de texte et que vous les vectorisez, la vectorisation obtenue devient un objet ancré inséré dans le flot du texte. Le texte converti étant devenu objet graphique, vous ne pouvez plus le mettre en surbrillance ni modifier ses caractères à l’aide de l’outil Texte. En outre, les commandes typographiques ne s’appliquent plus. Assurez-vous que vous êtes satisfait des paramètres typographiques du texte avant de le vectoriser et créez une copie du texte original. 1 Utilisez l’outil Sélection
InDesign permet d’importer une grande variété de formats de fichiers graphiques. Consultez les fournisseurs de services avec lesquels vous travaillez pour savoir quels formats utiliser dans vos documents. De cette manière, vous pourrez utiliser les options et formats les mieux adaptés à votre projet. Le tableau suivant indique les formats graphiques à utiliser pour le type de document que vous concevez. Impression finale
Les objets vectoriels que vous créez à l’aide des outils de dessin et de formes dans Adobe Creative Suite sont des exemples de graphiques vectoriels. Vous pouvez utiliser les commandes Copier/Coller pour dupliquer les graphiques vectoriels entre les différents composants Creative Suite.
Graphiques Les images bitmap sont dépendantes de la résolution, c’est-à-dire qu’elles sont constituées d’un nombre fixe de pixels. Leur affichage est donc irrégulier et moins net si elles sont mises à l’échelle à l’écran ou si elles sont imprimées avec une résolution inférieure à leur résolution d’origine.
300 ppp contient un total de 90 000 pixels. Pour les images bitmap importées, la résolution est déterminée par le fichier d’origine. Pour les effets bitmap, vous pouvez spécifier une résolution personnalisée. Pour déterminer la résolution de l’image, prenez en compte son support de distribution. Les indications suivantes permettent de déterminer vos exigences en termes de résolution d’image : Impression commerciale L’impression commerciale requiert des images de 150 à 300 ppp (voire plus) selon la presse
Performances d’affichage. Si votre prestataire de services prend en charge les fichiers OPI (Open Prepress Interface), il peut également vous fournir des images basse résolution. Impression de bureau L’impression de bureau requiert souvent une résolution d’image allant de 72 ppp (impression de photographies sur une imprimante de 300 ppp) à 150 ppp (impression de photographies sur des périphériques atteignant 1 000 ppp). Pour les dessins au trait (images de 1 bit), vérifiez que la résolution des images correspond à la résolution de l’imprimante. Publication sur le Web La publication en ligne requiert souvent des images aux dimensions adaptées aux exigences du
Importations de graphiques Adobe Illustrator Le mode d’importation de graphiques Illustrator dépend de la quantité de modifications à apporter au graphique après l’importation. Vous pouvez importer des graphiques Illustrator dans InDesign dans leur format natif (.ai). Pour régler la visibilité des calques dans InDesign Importez le graphique à l’aide de la commande Importer, puis choisissez Edition > Modifier l’original pour ouvrir le graphique dans Illustrator et le modifier à votre convenance. Pour une publication multilingue par exemple, vous pouvez créer une illustration comprenant un calque de texte pour chaque langue. Vous pouvez transformer l’illustration en un objet dans InDesign, mais vous ne pouvez alors plus modifier les tracés, les objets ou le texte dans l’illustration.
Copiez l’image à partir d’Illustrator et collez-la dans un document InDesign. Par exemple, dans le cas d’un magazine, vous pouvez utiliser le même élément de composition pour chaque numéro mais modifier sa couleur tous les mois. Lorsque vous collez un graphique dans InDesign, vous pouvez modifier la couleur, le tracé ou les paramètres de transparence des objets à l’aide des outils InDesign conçus à cet effet.
Graphiques « Collage ou glisser-déposer de graphiques » à la page 390
Vous pouvez enregistrer un graphique Illustrator sous forme de fichier PDF multicalque et contrôler la visibilité des calques dans InDesign. En réglant la visibilité des calques dans InDesign, vous pouvez adapter une illustration au contexte. Plutôt que de créer plusieurs versions de la même illustration, par exemple pour une publication multilingue, placez la même illustration là où vous en avez besoin et réglez la visibilité des calques. Vous pouvez transformer un fichier PDF en objet (vous pouvez ainsi le redimensionner ou le faire pivoter), mais dans ce cas, vous ne pouvez plus modifier les tracés, les objets ou le texte dans l’illustration. Si vous importez un fichier Illustrator contenant plusieurs plans de travail, vous pouvez spécifier celui que vous voulez utiliser, comme lors de l’importation de fichiers PDF multipages. Remarque : évitez de placer des calques dans des ensembles de calques imbriqués si vous souhaitez pouvoir modifier les calques dans InDesign. 1 Dans Illustrator, choisissez Fichier > Enregistrer sous. 2 Dans la boîte de dialogue Enregistrer sous, entrez un nom de fichier et choisissez l’emplacement du fichier. 3 Choisissez le format Adobe PDF (.pdf) et cliquez sur Enregistrer. 4 Dans la boîte de dialogue Options Adobe PDF, choisissez Acrobat 6 (1.5) ou une version ultérieure dans le
5 Sélectionnez Créer des calques Acrobat d’après des calques de niveau supérieur et cliquez sur Enregistrer en PDF.
Lorsque vous importez un graphique depuis Illustrator 8.0 ou version ultérieure dans un document InDesign, l’image s’affiche dans InDesign comme un ensemble d’objets modifiables. Par exemple, si vous copiez à partir d’Illustrator le dessin d’un ballon formé de pièces créées individuellement, InDesign les colle en les groupant ; elles peuvent ensuite être dissociées et modifiées à l’aide des outils d’InDesign. La visibilité des calques ne peut pas être modifiée dans l’illustration.
InDesign. Les objets TSL et objets Web RVB sont convertis en couleurs RVB dans InDesign. Les couleurs avec des ombres lisses et des dégradés peuvent être modifiées dans InDesign. Dégradés Les dégradés linéaires et radiaux créés dans Illustrator peuvent être modifiés à l’aide de l’outil Dégradé ou
Transparence La transparence est aplatie lorsqu’un graphique Illustrator est collé ou glissé dans InDesign. Styles graphiques Les styles graphiques Illustrator ne deviennent pas des styles d’objet InDesign lorsqu’une image est importée dans InDesign par collage ou glisser-déposer. Motifs Les objets Illustrator avec un motif pour le fond ou le contour deviennent des images EPS incorporées lorsqu’ils
Texte Si vous faites glisser du texte depuis Illustrator dans InDesign, celui-ci est vectorisé et ne peut pas être modifié avec l’outil Texte. Si vous sélectionnez le texte avec l’outil Texte dans Illustrator, puis que vous le copiez dans un bloc de texte dans InDesign, le texte perd sa mise en forme mais reste modifiable. Si vous faites glisser le texte dans InDesign sans sélectionner de bloc, le texte perd sa mise en forme et ne peut plus être modifié.
être transformés et colorisés dans InDesign, mais pas modifiés. Par exemple, si vous créez du texte sur un tracé dans Illustrator, puis que vous le collez dans InDesign, le texte peut être colorisé, subir une rotation et une mise à l’échelle, mais il ne peut pas être modifié à l’aide de l’outil Texte. Pour pouvoir modifier le texte, utilisez l’outil Texte pour le coller dans un bloc de texte. Illustration Les illustrations copiées depuis Illustrator et collées dans InDesign sont incorporées dans le document
Vous pouvez importer des graphiques créés dans Adobe Photoshop 4.0 et versions ultérieures directement dans une mise en page InDesign. Calques et compositions de calques Vous pouvez régler la visibilité des calques de niveau supérieur dans InDesign et afficher différentes compositions de calques. La modification de la visibilité des calques ou des compositions de calques dans InDesign ne modifie pas le fichier Photoshop initial. Tracés, masques ou couches alpha Si vous enregistrez des tracés, des masques ou des couches alpha dans un fichier
Couches de tons directs Les couches de tons directs, dans les fichiers PSD ou TIFF d’Adobe Photoshop, apparaissent
« Options d’importation de graphiques » à la page 383 « Importation de graphiques » à la page 381 « Gestion des couleurs » à la page 497 « Création d’un pseudonyme d’encre pour un ton direct » à la page 681
Les options de sélection de groupes de pages apparaissent si vous sélectionnez Afficher les options d’importation dans la boîte de dialogue Importer. Cette boîte de dialogue contient un aperçu présentant une vignette des pages avant que vous ne les importiez. Si vous importez plusieurs pages, InDesign recharge l’icône de graphique avec la page suivante, afin que vous puissiez importer les pages les unes après les autres. InDesign n’importe pas les films, sons, liens ni boutons d’un fichier PDF. Comparer la résolution du périphérique et la résolution d’écran des pages PDF importées Une page PDF importée s’affiche avec des résolutions d’écran et de mise à l’échelle optimisées. Lorsqu’elle est imprimée sur un périphérique de sortie PostScript, une page PDF importée s’imprime toujours avec la résolution du périphérique. Si l’impression s’effectue sur une imprimante non-PostScript, une page PDF importée s’imprime avec la même résolution que les autres objets InDesign du document. Par exemple, les objets vectoriels (dessins) s’imprimeront avec une résolution semblable à celle des autres objets vectoriels du document. La résolution d’impression des images bitmap sera la résolution la plus haute du fichier PDF importé.
Graphiques • Si vous ajoutez un mot de passe au fichier PDF d’origine qui a été importé dans un document InDesign et que vous actualisez le lien, le système vous invite à entrer le mot de passe.
Couleur dans les pages PDF importées InDesign préserve les couleurs incorporées dans les pages PDF, même si la couleur provient d’une bibliothèque de couleurs qui n’a pas été installée avec InDesign (telle que la bibliothèque Hexachrome® PANTONE). En outre, l’importation préserve les recouvrements de couleurs d’une page PDF. Lorsque la gestion des couleurs est active, InDesign affiche le fichier PDF importé à l’aide du profil ICC incorporé ou du profil de rendu de la sortie (PDF/X uniquement). Si la gestion des couleurs est désactivée ou si vous importez un fichier PDF qui ne contient pas de profil ICC ou de profil de rendu de la sortie, les couleurs du fichier PDF importé sont étalonnées à l’aide du profil de couleurs du document InDesign. Lorsque vous exportez ou imprimez le document, vous pouvez préserver le profil ICC incorporé dans le fichier PDF importé ou le remplacer par le profil du document. Les profils de rendu de la sortie sont utilisés pour l’affichage et sont inclus lorsque vous exportez sous PDF/X ; ils ne sont pas utilisés pour l’impression du document et ne sont pas inclus lors de l’exportation dans un autre format. Paramètres de sécurité dans les pages PDF importées Etant donné qu’une page PDF importée est liée au fichier PDF d’origine, elle comporte également les paramètres de sécurité de ce fichier. Si une personne modifie ces paramètres, ils sont mis à jour dans la page PDF importée lors de la mise à jour des liens. Si vous entrez un mot de passe principal lors de l’importation d’une page PDF, vous annulez toute restriction dans la page PDF, permettant ainsi à la page PDF importée de s’exporter correctement.
« Options d’importation Acrobat (.pdf) et Illustrator (.ai) » à la page 385 « Contrôle de la visibilité des calques des images importées » à la page 388 « Options d’importation de graphiques » à la page 383
A l’aide de la commande Importer, vous pouvez importer des pages d’un document InDesign dans un autre. Vous pouvez importer une page, une plage de pages ou toutes les pages du document. Les pages sont importées en tant qu’objets (de la même façon que les fichiers PDF sont importés).
Graphiques Les noms des éléments importés secondaires sont recensés sous un triangle d’affichage dans le panneau Liens, afin que vous puissiez les différencier des pages importées.
« Importation de graphiques » à la page 381 « Contrôle de la visibilité des calques des images importées » à la page 388
InDesign prend en charge un certain nombre de formats graphiques, y compris les formats de bitmaps, tels que TIFF, GIF, JPEG et BMP ainsi que les formats vectoriels tels que EPS. Les formats DCS, PICT, WMF, EMF, PCX, PNG et Scitex CT (.SCT) sont également pris en charge. Vous pouvez importer un fichier SWF en tant que séquence vidéo.
« Importation de graphiques » à la page 381 « Options d’importation de graphiques » à la page 383 « Exportation » à la page 115 « Importation de nuances » à la page 481 « Films et sons » à la page 583
TIFF est un format d’image bitmap souple pris en charge par la plupart des applications de dessin, de retouche d’images et de mise en page. En outre, presque tous les scanners de bureau sont en mesure de produire des images TIFF. Le format TIFF prend en charge les modes colorimétriques CMJN, RVB, niveaux de gris, LAB, couleurs indexées et les fichiers bitmap contenant des couches alpha et tons directs. Vous pouvez sélectionner une couche alpha lorsque vous importez un fichier TIFF. Les couches de tons directs apparaissent dans InDesign comme des tons directs dans le panneau Nuancier. Utilisez un programme de retouche d’images comme Photoshop pour créer un masque si vous souhaitez un arrièreplan transparent dans une image TIFF. InDesign prend en charge les masques dans les images TIFF et reconnaît les commentaires OPI codés.
Graphiques Le format JPEG (Joint Photographic Experts Group) s’utilise beaucoup pour l’affichage de photographies et autres images à tons continus au format HTML sur le Web et autres supports en ligne. Le format JPEG prend en charge les modes colorimétriques CMJN, RVB et niveaux de gris. Contrairement au format GIF, le format JPEG conserve toutes les informations colorimétriques d’une image RVB. Le format JPEG utilise un schéma de compression ajustable et avec perte qui réduit de manière efficace la taille du fichier en identifiant et en supprimant les données inutiles à l’affichage de l’image. Un niveau de compression élevé induit une qualité d’image basse tandis qu’un niveau de compression bas implique une image de meilleure qualité mais une taille de fichier supérieure. Dans la plupart des cas, la compression d’une image à l’aide de l’option de qualité Maximale permet d’obtenir un résultat parfaitement identique à l’original. L’ouverture d’une image JPEG entraîne automatiquement sa décompression. Remarque : le codage JPEG, qui peut être effectué sur un fichier EPS ou DCS à l’aide d’une application de retouche d’images comme Photoshop, ne crée pas de fichier JPEG. Il compresse le fichier selon le schéma de compression JPEG expliqué plus haut. Le format JPEG est adapté aux photographies, mais les images JPEG de couleurs unies (images contenant de grandes étendues d’une seule couleur) ont tendance à perdre de leur netteté. InDesign reconnaît et prend en charge les masques des fichiers JPEG créés dans Photoshop. Le format JPEG peut être utilisé pour l’impression en ligne et commerciale. Travaillez en collaboration avec votre prestataire de services prépresse pour préserver la qualité JPEG lors de l’impression.
BMP est le format standard des images bitmap Windows sur des ordinateurs compatibles DOS et Windows. Il ne prend pas en charge le modèle CMJN et sa gestion des couleurs se limite à 1, 4, 8 ou 24 bits. Il est donc mal adapté à l’impression commerciale ou à la diffusion en ligne et n’est pas pris en charge par certains navigateurs Web. Les images BMP offrent une qualité d’impression acceptable à basse résolution ou sur des imprimantes non-PostScript.
Photoshop, qui ne contiennent pas de graphiques vectoriels. InDesign peut reconstituer une image composite à partir de fichiers de séparations de couleurs DCS 2.0 ou 1.0, s’ils ont été créés dans Photoshop. Pour de meilleurs résultats, n’incluez pas les fichiers DCS 1.0 ou DCS 2.0 créés dans des programmes autres que Photoshop lorsque vous créez des épreuves composites couleur haute résolution ou lorsque vous effectuez une séparation d’un document in-RIP ou à partir d’un fichier composite.
Le format PICT (ou Picture) de Macintosh est très utilisé pour les images Mac OS dans des applications de mise en page et pour le transfert de fichiers d’une application à une autre. Le format PICT est particulièrement efficace pour la compression d’images présentant de grandes zones de couleurs unies. InDesign pour Windows et Mac OS permet l’importation de fichiers PICT créés à partir de captures d’écran sur Mac OS et de nombreuses autres applications, y compris les collections d’images électroniques. InDesign prend en charge les images PICT RVB avec des résolutions variables et des images QuickTime incorporées. Les images PICT ne prennent pas en charge la séparation des couleurs et sont dépendantes du périphérique ; elles sont déconseillées pour l’impression commerciale haute résolution. Le format PICT fournit une qualité d’impression acceptable uniquement si l’impression s’effectue sur des imprimantes basse résolution ou non-PostScript.
Les formats WMF (Windows Metafile Format) et EMF (Windows Enhanced Metafile Format) sont des formats Windows natifs utilisés principalement pour des graphiques vectoriels, tels que des images électroniques partagées par plusieurs applications Windows. Les métafichiers peuvent contenir des informations d’images pixellisées ; InDesign reconnaît les informations vectorielles et assure une prise en charge limitée des opérations pixellisées. La prise en charge des couleurs est limitée à la résolution RVB 16 bits et aucun de ces deux formats ne prend en charge la séparation des couleurs. Les formats de métafichiers ne sont pas les mieux adaptés à l’impression commerciale ou à la diffusion en ligne ; ils offrent une qualité d’impression acceptable si l’impression s’effectue sur des imprimantes basse résolution ou non-PostScript à partir d’un ordinateur Windows.
Graphiques été développé pour offrir une alternative sans brevet au format GIF. Il prend en charge la transparence des couches alpha ou d’une couleur désignée. Le format PNG s’utilise surtout pour des documents en ligne et sa gestion des couleurs le rend plus adapté à l’impression que le format GIF. Les images PNG en couleurs importées dans un document InDesign sont des images RVB bitmap et s’impriment uniquement comme des images composites sans séparation des couleurs.
Le format CT (Scitex Continuous Tone) est utilisé pour le traitement d’images haut de gamme sur des ordinateurs Scitex. Les fichiers CT Scitex proviennent souvent de scanners Scitex, qui produisent des images numérisées de haute qualité pour l’impression commerciale. Le format CT Scitex prend en charge les fichiers CMJN, RVB et niveaux de gris mais pas les couches alpha. Contactez Scitex pour obtenir des utilitaires de transfert de fichiers enregistrés au format CT Scitex vers un système Scitex.
Importation de graphiques La commande Importer constitue la première méthode d’importation des graphiques dans InDesign, car elle offre le plus haut niveau de prise en charge de la résolution, des formats de fichier, des fichiers INDD et PDF multipages et de la couleur. Si vous créez un document pour lequel les caractéristiques citées ci-dessus ne sont pas essentielles, effectuez un copier-coller pour importer le graphique souhaité dans InDesign. Cependant, lorsque vous collez un graphique, celui-ci est intégré au document. Le lien vers le fichier graphique d’origine est rompu et ne s’affiche pas dans le panneau Liens. Vous ne pouvez donc pas mettre à jour le graphique à partir du fichier d’origine. Cependant, le collage de graphiques Illustrator vous permet de modifier les tracés dans InDesign (voir « Importations de graphiques Adobe Illustrator » à la page 373). Les options qui vous sont proposées lorsque vous importez un fichier graphique dépendent du type de graphique. Ces options apparaissent si vous sélectionnez Afficher les options d’importation dans la boîte de dialogue Importer. Si vous n’activez pas l’option Afficher les options d’importation, InDesign applique les paramètres par défaut ou les derniers paramètres utilisés pour l’importation d’un fichier graphique du même type. Les noms des graphiques importés s’affichent dans le panneau Liens. Remarque : si vous importez ou faites glisser un graphique depuis un support amovible tel qu’un CD-ROM, le lien vers celui-ci sera rompu dès l’éjection de ce support.
Graphiques • Pour importer un graphique dans un bloc existant, sélectionnez ce bloc. Si la nouvelle image est plus grande que le bloc, vous pouvez redimensionner le bloc ultérieurement (choisissez Objet > Ajustement > [commande d’ajustement].
2 Choisissez Fichier > Importer et sélectionnez un ou plusieurs fichiers graphique, de n’importe quel format
Si vous sélectionnez plusieurs fichiers, vous pouvez les importer un par un dans le document d’un simple clic ou par glisser-déposer (voir la section « Importation de plusieurs graphiques » à la page 387). 3 Pour remplacer un objet sélectionné, choisissez Remplacer l’élément sélectionné. 4 Pour définir des options d’importation selon le format, utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Tout en maintenant la touche Maj enfoncée, cliquez sur Ouvrir ou cliquez deux fois sur le nom du fichier. Remarque : lorsque vous importez un graphique créé dans Illustrator 9.0 (ou une version ultérieure) au moyen de la boîte de dialogue Afficher les options d’importation, les options sont identiques que dans le cas de fichiers PDF. Dans le cas d’un graphique Illustrator 5.5-8.x, les options sont identiques à celles des fichiers EPS. 5 Si la boîte de dialogue Importer s’affiche (si vous avez choisi de définir des options d’importation selon le format),
6 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour importer l’élément vers un bloc existant sélectionné, aucune action n’est requise. L’image s’affiche automatiquement dans ce bloc.
Si, par mégarde, vous remplacez une image existante par une image importée, annulez cette action en appuyant sur les touches Ctrl+Z (Windows) ou Commande+Z (Mac OS) afin de restaurer l’image d’origine dans le bloc et d’afficher l’icône du graphique chargé. 7 Pour importer le graphique suivant ou la page suivante d’un fichier PDF multipage, cliquez sur l’icône de graphique
« A propos des liens et des graphiques incorporés » à la page 393 « Choix d’un format de graphique approprié » à la page 371 Vidéo Importer un contenu
Les options d’importation de graphiques varient en fonction du type d’image importée. Pour les visualiser, veillez à bien sélectionner l’option Afficher les options d’importation dans la boîte de dialogue Importer.
Lorsque vous importez une image EPS (ou un fichier enregistré dans Illustrator 8.0 ou ultérieur) et que vous sélectionnez Afficher les options d’importation dans la boîte de dialogue Importer, une boîte de dialogue contenant les options suivantes s’affiche : Lire les liens d’images incorporés OPI Cette option active la lecture par InDesign des liens de commentaires OPI des
Désélectionnez cette option si votre flux de production est basé sur des doublures et si vous envisagez de charger votre prestataire de services du remplacement des images à l’aide d’un logiciel OPI. Si cette option est désélectionnée, InDesign préserve les liens OPI mais ne les lit pas. Lors de l’impression ou de l’exportation, la doublure et les liens sont transmis au fichier de sortie. Sélectionnez cette option si votre flux de production est basé sur des doublures et si vous souhaitez qu’InDesign, et non votre prestataire de services, se charge du remplacement des images lors de l’impression ou de l’affichage du fichier final. Si cette option est sélectionnée, les liens OPI s’affichent dans le panneau Liens. Sélectionnez également cette option si vous importez des fichiers EPS avec des commentaires OPI ne faisant pas partie d’un flux de production basé sur des doublures. Par exemple, si vous importez un fichier EPS contenant les commentaires OPI d’une image bitmap ou TIFF ignorée, sélectionnez cette option afin qu’InDesign accède aux informations TIFF lors de l’impression ou de l’affichage du fichier. Appliquer le masque Photoshop Que l’option soit sélectionnée ou non, un fichier EPS importé inclut un masque dans
Création d’une doublure Cette option crée une représentation bitmap basse résolution d’une image pour un affichage
• Pixelliser le PostScript Sélectionnez cette option si vous souhaitez ignorer l’aperçu intégré. Cette option est généralement plus lente mais permet d’obtenir des résultats de qualité optimale. Remarque : lorsque vous importez plusieurs fichiers dans le même document, toutes les occurrences du fichier importé partagent le même paramètre de doublure que la première occurrence.
Graphiques Lorsque vous importez un fichier PSD, TIFF, GIF, JPEG ou BMP, puis que vous sélectionnez Afficher les options d’importation dans la boîte de dialogue Importer, une boîte de dialogue contenant les options suivantes s’affiche : Appliquer le masque Photoshop Cette option n’est pas disponible si l’image n’a pas été enregistrée avec un masque ou
Couche alpha Sélectionnez une couche alpha pour importer la zone de l’image enregistrée en tant que couche alpha
Profil Si l’option Utiliser les paramètres par défaut du document est activée, ne la modifiez pas. Sinon, choisissez un
Mode de rendu Choisissez une méthode de mise à l’échelle de la gamme des couleurs du graphique en fonction de celle du périphérique de sortie. Choisissez de préférence l’option Perception (Images), car elle reproduit les couleurs des photographies de manière très précise. Les options Saturation (Graphiques), Colorimétrie relative et Colorimétrie absolue sont idéales pour des zones de couleur unie, mais pas pour des photographies. Les options de mode de rendu ne sont pas disponibles pour les images bitmap, en niveaux de gris et en mode couleurs indexées.
Lorsque vous importez une image PNG et que vous sélectionnez Afficher les options d’importation dans la boîte de dialogue Importer, une boîte de dialogue présentant trois sections de paramètres d’importation s’affiche. Deux sections contiennent les mêmes options que les autres formats d’images bitmap. La troisième section PNG contient les paramètres suivants : Utiliser les informations de transparence Cette option est activée par défaut lorsqu’une image PNG inclut des
Fond blanc Si une image PNG ne contient pas de couleur d’arrière-plan définie par le fichier, cette option est
Appliquer la correction du gamma Sélectionnez cette option pour ajuster les valeurs du gamma (tons moyens) de
Valeur du gamma Cette option, disponible uniquement si l’option Appliquer la correction du gamma est sélectionnée, affiche la valeur du gamma enregistrée avec l’image. Pour modifier cette valeur, entrez un nombre positif compris entre 0,01 et 3.
La mise en page, les graphiques et la typographie dans un fichier PDF sont conservés. Comme pour les autres graphiques importés, vous ne pouvez pas modifier une page PDF importée dans InDesign. Vous pouvez par contre gérer la visibilité des calques des fichiers PDF multicalques. Vous pouvez également importer plusieurs pages d’un PDF multipage. Lorsque vous importez un fichier PDF enregistré avec des mots de passe, vous êtes invité à entrer les mots de passe requis. Si le fichier PDF a été enregistré avec des restrictions d’utilisation (pour empêcher l’édition ou l’impression par exemple) mais sans mot de passe, vous pouvez tout de même importer le fichier. Lorsque vous importez un fichier PDF (ou un fichier enregistré dans Illustrator 9.0 ou version ultérieure) et que vous sélectionnez Afficher les options d’importation dans la boîte de dialogue Importer, une boîte de dialogue contenant les options suivantes s’affiche : Afficher l’aperçu Affichez un aperçu de la page d’un fichier PDF avant de l’importer. Si vous importez une page à partir d’un fichier PDF contenant plusieurs pages, cliquez sur les flèches ou entrez un numéro de page sous l’aperçu pour prévisualiser la page à importer. Pages Spécifiez les pages à importer : les pages affichées dans l’aperçu, toutes les pages ou un groupe de pages. Dans le cas des fichiers Illustrator, vous pouvez spécifier le plan de travail à importer.
Recadrer selon Spécifiez la partie de la page PDF à importer :
• Graphiques Importe uniquement la page PDF dans un rectangle créé par l’auteur et délimité en tant qu’illustration pouvant être importée (images électroniques par exemple). • Recadrage Importe la page PDF uniquement dans la zone qui s’affiche ou s’imprime dans Adobe Acrobat. • Rognage Identifie l’emplacement où la page finale sera rognée lors de la phase finale de production, s’il existe des traits de coupe.
Graphiques Lorsque vous importez un fichier InDesign et que vous activez l’option Afficher les options d’importation dans la boîte de dialogue Importer, une boîte de dialogue contenant les options suivantes s’affiche : Afficher l’aperçu Affichez l’aperçu d’une page avant de l’importer. Vous pouvez saisir un numéro de page ou cliquer sur les flèches pour afficher l’aperçu d’une page dans un document multipage. Pages Spécifiez les pages à importer : les pages affichées dans l’aperçu, toutes les pages ou un groupe de pages.
Graphiques Importation de plusieurs graphiques La commande Importer vous permet d’importer plusieurs éléments en même temps. 1 Créez des blocs pour les graphiques si vous souhaitez en importer certains, ou tous, dans des blocs. 2 Choisissez Fichier > Importer et sélectionnez des fichiers.
3 Vous pouvez également activer l’option Afficher les options d’importation, cliquer sur Ouvrir, puis spécifier les
Une vignette du premier graphique que vous avez sélectionné s’affiche en regard de l’icône de graphique chargé. Un nombre apparaît également en regard de l’icône de graphique chargé pour vous indiquer le nombre de graphiques prêts à être importés. Les noms des graphiques s’affichent dans le panneau Liens. Les lettres LP (pour « loaded in place cursor » en anglais (chargé dans le curseur d’importation)) apparaissent en regard du nom du graphique situé au premier plan.
Remarque : vous pouvez empêcher les vignettes de s’afficher dans l’icône de graphique chargé si leur affichage ralentit votre ordinateur. Dans la zone Interface de la boîte de dialogue Préférences, désactivez l’option Afficher les vignettes à l’importation. 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Contrôle de la visibilité des calques des images importées Lorsque vous importez des fichiers PSD Photoshop, des fichiers PDF multicalques ou des fichiers INDD, vous pouvez contrôler la visibilité des calques de niveau supérieur. En réglant la visibilité des calques dans InDesign, vous pouvez adapter une illustration au contexte. Pour une publication multilingue par exemple, vous pouvez créer une illustration comprenant un calque de texte pour chaque langue. Vous pouvez régler la visibilité des calques soit au moment d’importer le fichier, soit au moyen de la boîte de dialogue Options de calque d’objet. En outre, si le fichier Photoshop contient des compositions de calques, vous pouvez afficher la composition de votre choix.
« Importations de graphiques Adobe Illustrator » à la page 373 « Création d’un fichier PDF multicalque dans Adobe Illustrator » à la page 374 « Importation des fichiers Adobe Photoshop (.PSD) » à la page 375
1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour importer un graphique dans un bloc existant, sélectionnez ce bloc. • Pour remplacer une image existante, sélectionnez le bloc de l’image. 2 Choisissez Fichier > Importer, puis sélectionnez un fichier graphique. 3 Pour remplacer un objet sélectionné, choisissez Remplacer l’élément sélectionné. 4 Sélectionnez Afficher les options d’importation, puis cliquez sur Ouvrir. 5 Dans la boîte de dialogue Options d’importation d’image ou Importation, cliquez sur l’onglet Calques. 6 Pour afficher un aperçu de l’image, cliquez sur Afficher l’aperçu. 7 (Fichiers PDF uniquement) Si vous importez une page à partir d’un fichier PDF multipage, cliquez sur les flèches
8 (Fichiers PSD Photoshop uniquement) Si l’image contient des compositions de claques, choisissez la composition
9 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour masquer un calque ou un ensemble de calques, cliquez sur l’icône d’œil situé en regard du calque ou de l’ensemble de calques.
Graphiques Utiliser la visibilité des calques de Photoshop/PDF Fait correspondre les paramètres de visibilité des calques à ceux du
Conserver les remplacements de visibilité des calques Conserve les paramètres de visibilité des calques comme
11 Cliquez sur OK, puis utilisez l’une des méthodes suivantes :
Si, par mégarde, vous remplacez une image existante par une image importée, annulez cette action en appuyant sur les touches Ctrl+Z (Windows) ou Commande+Z (Mac OS) afin de restaurer l’image d’origine dans le bloc et d’afficher l’icône du graphique chargé.
Une fois que vous avez importé un fichier PSD Photoshop, un fichier PDF multicalque, un fichier AI Illustrator ou un fichier INDD InDesign, vous pouvez contrôler la visibilité de ses calques à l’aide de la boîte de dialogue Options de calque d’objet. Si le fichier Photoshop contient des compositions de calques, vous pouvez choisir la composition à afficher. Vous pouvez en outre choisir de conserver ou non les paramètres de visibilité ou de faire correspondre les paramètres du fichier d’origine chaque fois que vous mettez le lien à jour. 1 Sélectionnez le fichier dans le document InDesign. 2 Choisissez Objet > Options de calque d’objet. 3 Pour afficher un aperçu de l’image, sélectionnez Aperçu. 4 (Fichiers PSD Photoshop uniquement) Si l’image contient des compositions de claques, choisissez la composition
5 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour masquer un calque ou un ensemble de calques, cliquez sur l’icône d’œil situé en regard du calque ou de l’ensemble de calques.
Utiliser la visibilité des calques Fait correspondre les paramètres de visibilité des calques à ceux du fichier lié lorsque
Conserver les remplacements de visibilité des calques Conserve les paramètres de visibilité des calques comme
Lorsque vous effectuez un copier-coller ou que vous faites glisser un graphique dans un document InDesign, certains attributs de l’objet d’origine risquent d’être perdus, en fonction des limitations du système d’exploitation et des types de données que l’autre application met à disposition pour le transfert, ainsi que des préférences du presse-papier InDesign. Le déplacement de graphiques Illustrator par collage ou glisser-déposer permet de sélectionner et de modifier les tracés dans l’image. Les opérations de copier-coller ou de glissement entre deux documents InDesign ou au sein d’un même document préservent tous les attributs des graphiques importés ou appliqués. Par exemple, si vous copiez, puis que vous collez un graphique d’un document InDesign vers un autre, la nouvelle copie est la réplique exacte de l’original, incluant les informations de lien du document d’origine, ce qui vous permet de mettre à jour le graphique même si le fichier du disque est modifié.
« A propos des liens et des graphiques incorporés » à la page 393 « Collage de graphiques Illustrator dans InDesign » à la page 374
Lorsque vous copiez, puis collez un graphique d’un document InDesign vers un autre, InDesign ne crée pas de lien vers le graphique dans le panneau Liens. Le graphique peut être converti par le biais du presse-papiers lors du transfert. Par conséquent, la qualité d’image et d’impression dans InDesign peut être inférieure à celle du graphique dans son application d’origine. 1 Dans InDesign ou un autre programme, sélectionnez le graphique d’origine, puis choisissez Edition > Copier. 2 Sélectionnez une fenêtre de document InDesign, puis choisissez Edition > Coller.
La méthode de glisser-déposer fonctionne de la même façon que la commande Importer, et les images apparaissent dans le panneau Liens après qu’elles ont été importées. Vous ne pouvez pas définir d’options d’importation pour les fichiers que vous déplacez par glisser-déposer. Cependant, vous pouvez faire glisser et déposer plusieurs fichiers à la fois (les fichiers sont chargés dans l’icône de graphique dès que vous faites glisser et déposez plusieurs fichiers). Sélectionnez un graphique dans Adobe Illustrator, Adobe Bridge, l’Explorateur (Windows), le Finder (Mac OS) ou sur votre bureau et faites-le glisser dans InDesign. L’image doit présenter un format qu’InDesign peut importer.
Graphiques 1 Sélectionnez le graphique d’origine. 2 Faites glisser le graphique vers une fenêtre de document ouverte dans InDesign.
Pour annuler le déplacement d’un graphique, déposez le graphique sur la barre de titre de n’importe quel panneau ou sur la barre de titre du document.
Vous pouvez contrôler la résolution des graphiques importés dans votre document. Vous pouvez modifier les paramètres d’affichage du document entier ou de graphiques particuliers. Vous pouvez également modifier un paramètre afin d’autoriser ou de remplacer les paramètres d’affichage de documents individuels.
Un document s’ouvre toujours en utilisant les préférences de performance d’affichage par défaut. Vous pouvez changer les performances d’affichage d’un document lorsqu’il est ouvert, mais les paramètres ne sont pas enregistrés avec le document. Si vous avez configuré les performances d’affichage de certaines images séparément, vous pouvez remplacer les paramètres de façon à ce que tous les objets utilisent les mêmes paramètres. 1 Choisissez Affichage > Performances d’affichage, puis sélectionnez une option dans le sous-menu. 2 Pour forcer les objets que vous avez configurés individuellement à utiliser les paramètres du document,
1 Pour préserver les performances d’affichage de chaque objet lorsque le document est fermé et rouvert, assurez-vous
2 Choisissez Affichage > Performances d’affichage et assurez-vous que l’option Autoriser les paramètres d’affichage
3 Sélectionnez une image importée à l’aide de l’outil Sélection
Standard Affiche une doublure d’image basse résolution (par défaut), idéale pour identifier et positionner une image
Qualité supérieure Affiche les images pixellisées ou les graphiques vectoriels avec une haute résolution (par défaut). Cette option permet d’obtenir une qualité élevée mais ralentit les performances. Utilisez cette option pour modifier une image de manière précise.
EPS ou PDF, la résolution finale d’une image dépend des options de sortie sélectionnées au moment de l’impression ou de l’exportation du fichier.
Les préférences de performances d’affichage permettent de configurer l’option d’affichage par défaut utilisée par InDesign pour tous les documents. Vous pouvez modifier les performances d’affichage d’un document à l’aide du menu Affichage, ou changer la configuration des différents objets à l’aide du menu Objet. Par exemple, si vous travaillez sur des projets contenant de nombreuses photos haute résolution (un catalogue par exemple), il est préférable de pouvoir ouvrir tous les documents rapidement. Vous pouvez configurer l’option d’affichage par défaut sur Rapide. Si vous souhaitez voir les images plus en détail, vous pouvez choisir l’affichage Standard ou Qualité supérieure (en laissant les préférences sur Rapide). Vous pouvez également choisir d’afficher ou de remplacer les paramètres d’affichage appliqués aux différents objets. Si l’option Conserver les paramètres d’affichage de niveau objet est sélectionnée, tous les paramètres appliqués aux objets sont enregistrés avec le document. 1 Sélectionnez Edition > Préférences > Performances d’affichage (Windows) ou InDesign > Préférences >
2 Dans le champ Affichage par défaut, sélectionnez Standard, Rapide ou Qualité supérieure. L’option d’affichage que 5 Cliquez sur le bouton OK.
Graphiques A propos des liens et des graphiques incorporés Lorsque vous importez un graphique, une version du fichier avec une résolution d’écran s’affiche dans la mise en page afin que vous puissiez visualiser et positionner le graphique. Néanmoins, le fichier graphique lui-même peut être soit lié, soit incorporé.
Pour déterminer si l’illustration est liée ou incorporée ou pour modifier son état de l’un à l’autre, utilisez le panneau Liens. Si l’image bitmap que vous importez est d’une taille inférieure ou égale à 48 Ko, InDesign incorpore automatiquement dans votre mise en page l’image présentant une résolution maximale plutôt que la version présentant une résolution d’écran. InDesign affiche ces images dans le panneau Liens, ce qui vous permet de contrôler les versions et de mettre à jour le fichier à tout moment. Le lien n’est toutefois pas nécessaire pour une sortie optimale. Remarque : si vous déplacez un document vers un autre dossier ou disque (par exemple, pour le transmettre à un prestataire de services), veillez à déplacer également les fichiers graphiques liés stockés hors du document. Vous pouvez copier automatiquement tous les fichiers associés, à l’aide des outils de contrôle en amont et d’assemblage.
« Définition de profils de contrôle en amont » à la page 653 « Assemblage de fichiers » à la page 658
Tous les fichiers importés dans un document sont répertoriés dans le panneau Liens. Ceci comprend les fichiers locaux (sur disque) et les ressources gérées sur un serveur. Les fichiers collés à partir d’un site Web n’apparaissent toutefois pas dans ce panneau. Remarque : si vous travaillez avec des fichiers Adobe Version Cue, le panneau Liens affiche des informations de fichiers supplémentaires.
Graphiques A jour La colonne Etat est vide lorsqu’un fichier est à jour. Modifié Cette icône signifie que la version du fichier sur le disque est plus récente que la version de votre document.
Une version légèrement différente de l’icône de modification s’affiche lorsqu’une image est modifiée mais que seules certaines de ses occurrences sont mises à jour. Manquant L’image existe toujours mais elle n’est plus située à l’emplacement à partir duquel elle a été importée. Un
Incorporé L’incorporation du contenu d’un fichier lié met fin aux opérations de gestion de ce lien. Si le lien sélectionné est en cours de modification, cette option n’est pas activée. L’annulation de l’incorporation du fichier rétablit les opérations de gestion effectuées sur le lien.
Pour consulter une vidéo sur l’utilisation du panneau Liens, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid4027_id_fr.
Graphiques , cliquez sur le numéro de page du lien dans la colonne Page ou choisissez la commande Atteindre le liens dans le menu du panneau Liens. InDesign centre l’affichage autour du graphique sélectionné. Pour afficher un objet masqué, affichez le calque (ou la condition s’il s’agit d’un objet ancré).
Les options de panneau permettent d’ajouter des colonnes au panneau Liens.
Il est possible d’afficher des catégories supplémentaires (Date de création et Calque, par exemple) dans le panneau Liens afin de visualiser d’autres informations sur les graphiques. Pour chacune des catégories, vous pouvez indiquer si les informations doivent s’afficher dans une colonne et dans la section Informations sur les liens au bas du panneau Liens. 1 Choisissez la commande Options de panneau dans le menu du panneau Liens. 2 Cochez les cases voulues dans la section Afficher la colonne pour ajouter les colonnes correspondantes au
Le Dossier 0 contient le fichier lié, le Dossier 1 contient le dossier 0, etc. 3 Cochez les cases voulues dans la section Afficher dans les informations sur les liens. Les informations seront ainsi
1 Choisissez la commande Options de panneau dans le menu du panneau Liens. 2 Définissez la taille de rangée en sélectionnant l’option Petites rangées, Rangées normales ou Grandes rangées. 3 S’agissant des vignettes de graphique, indiquez si elles doivent s’afficher dans la colonne Nom et dans la section
Graphiques Pour modifier les informations affichées dans la section Informations sur les liens du panneau Liens, choisissez la commande Options de panneau dans le menu de ce panneau, puis cochez les cases voulues dans la colonne Afficher dans les informations sur les liens. ❖ Cliquez deux fois sur un lien ou sélectionnez-le et cliquez sur l’icône Afficher/Masquer les informations sur les
Si un fichier lié ou incorporé contient des métadonnées, vous pouvez visualiser ces dernières à l’aide du panneau Liens. Vous ne pouvez ni modifier ni remplacer de métadonnées associées à un fichier lié. ❖ Sélectionnez un fichier dans le panneau Liens et choisissez la commande Utilitaires > Informations sur le fichier
Plutôt que de créer un lien vers un fichier que vous avez importé dans un document, vous pouvez incorporer (ou stocker) le fichier dans le document. Lorsque vous incorporez un fichier, vous rompez le lien avec le document d’origine. Sans le lien, le panneau Liens ne vous prévient pas lorsque le document d’origine est modifié, et vous ne pouvez pas mettre le fichier à jour automatiquement. L’incorporation d’un fichier augmente la taille du document.
1 Sélectionnez un fichier dans le panneau Liens. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Si plusieurs occurrences du fichier sont disponibles, choisissez la commande Incorporer toutes les occurrences de (nom du fichier) dans le menu du panneau Liens. Pour incorporer une seule occurrence, sélectionnez-la et choisissez la commande Incorporer un fichier. Le fichier subsiste dans le panneau Liens marqué d’une icône de lien incorporé
ou choisissez l’option Rééditer le lien dans le menu du panneau Liens.
InDesign sont préservées (si vous activez l’option permettant de conserver les dimensions de l’image lors de la réédition du lien dans les préférences de gestion de fichiers). Par exemple, si vous importez un graphique carré, que vous le faites pivoter de 30° et que vous le reliez à un graphique n’ayant subi aucune rotation, InDesign lui applique une rotation de 30° afin de l’adapter à la mise en page du graphique qu’il remplace. Remarque : les fichiers EPS importés peuvent contenir des liens OPI s’affichant dans le panneau Liens. Ne rééditez pas les liens OPI vers des fichiers autres que les fichiers d’origine du créateur du fichier EPS. Cela risquerait de créer des problèmes de téléchargement des polices et de séparation des couleurs.
Lorsque vous rééditez le lien d’un graphique pour le remplacer par un autre fichier source, vous pouvez conserver les dimensions d’image du fichier remplacé ou afficher le nouveau fichier dans ses propres dimensions. 1 Choisissez la commande Edition > Préférences > Gestion des fichiers (Windows) ou InDesign Préférences >
2 Choisissez l’option Conserver les dimensions de l’image lors de la réédition du lien si vous voulez que les images
Les liens modifiés sont également qualifiés de « liens obsolètes ». ❖ Dans le panneau Liens, utilisez l’une des méthodes suivantes :
Cliquez ensuite sur le bouton Mettre à jour le lien menu du panneau Liens.
1 Sélectionnez un lien dans le panneau Liens, puis cliquez sur le bouton Rééditer le lien
3 Choisissez l’option Afficher les options d’importation pour spécifier le mode d’importation du nouveau fichier
4 Recherchez le nouveau fichier source et cliquez deux fois dessus. 1 Pour restaurer un lien manquant, sélectionnez un lien indiqué par l’icône de lien manquant
Pour rechercher des liens manquants Par défaut, InDesign recherche les liens manquants et tente de les résoudre à l’ouverture du document. Les préférences incluent deux options qui permettent à InDesign de rechercher automatiquement des liens manquants à l’ouverture d’un document. Vérifier les liens avant l’ouverture du document Lorsque vous désactivez cette option, InDesign ouvre
Rechercher les liens manquants avant l’ouverture du document Si vous désactivez cette option, InDesign ne tente pas
Rechercher les liens manquants La commande Rechercher les liens manquants permet de rechercher les liens manquants dans un document et d’y remédier. Cette commande est utile si, après avoir désactivé l’option permettant de rechercher des liens manquants à l’ouverture d’un document dans les préférences, vous constatez qu’il manque des liens. Elle peut également se révéler utile si vous montez un serveur utilisé pour le stockage des images après avoir ouvert un document.
Cette commande est estompée si le document ne contient aucun lien manquant.
1 Dans la boîte de dialogue Préférences, sélectionnez l’option Gestion des fichiers. 2 Dans le menu Dossier de réédition de lien par défaut, choisissez l’une des options suivantes, puis cliquez sur le
Dernier dossier de réédition de lien Cette option permet d’afficher le dernier dossier sélectionné pour la réédition de
Dossier de réédition de lien d’origine Cette option permet d’afficher l’emplacement d’origine du fichier lié,
dans le menu du panneau Liens. 2 Indiquez le dossier dans lequel copier les fichiers liés, puis choisissez l’option Sélectionner (Windows ou Mac OS).
Lorsque vous utilisez la commande Rééditer le lien du dossier, vous pouvez désigner un dossier contenant des fichiers possédant le même nom que les liens obsolètes. Par exemple, si les liens actuels pointent vers des images basse résolution, vous pouvez définir un autre dossier contenant des images haute résolution. L’extension des fichiers pouvant être modifiée, vous pouvez remplacer l’extension .jpg par .tiff dans les liens. 1 Sélectionnez un ou plusieurs liens dans le panneau Liens. 2 Choisissez la commande Rééditer le lien du dossier dans le menu du panneau Liens. 3 Indiquez l’emplacement du nouveau dossier. 4 Pour utiliser une autre extension, sélectionnez l’option Correspondance de nom de fichier mais pas d’extension,
5 Cliquez sur l’option Sélectionner (Windows ou Mac OS).
1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Vous pouvez copier le chemin d’accès complet d’une image liée ou le chemin de style de plate-forme. Le chemin complet de l’image est utile lorsqu’il convient d’indiquer l’emplacement de l’image aux membres de l’équipe. Vous pouvez par exemple copier le chemin complet et le coller dans un message de courrier électronique. Le chemin de style de plate-forme peut être utilisé lors de la création de scripts ou pour définir des champs d’image dans le cadre d’une fusion de données. 1 Sélectionnez un lien dans le panneau Liens. 2 Choisissez la commande Utilitaires > Copier le chemin complet ou Copier le chemin de style de plate-forme dans
Graphiques Pour modifier une illustration d’origine à l’aide de l’application par défaut Par défaut, InDesign laisse le soin au système d’exploitation de déterminer l’application à utiliser à l’ouverture du fichier d’origine. Si vous modifiez une illustration à l’aide d’une autre application, InDesign ouvre la dernière application utilisée. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
2 Apportez les changements nécessaires dans l’application d’origine, puis enregistrez le fichier.
1 Sélectionnez l’image. 2 Choisissez la commande Edition > Modifier avec, puis indiquez l’application à utiliser pour ouvrir le fichier. Si
Méthodes pour réutiliser les graphiques et le texte InDesign permet de réutiliser les graphiques et le texte de diverses manières. Extraits de code Un extrait est un fichier qui contient des objets et décrit leur emplacement les uns par rapport aux
Bibliothèques d’objets Une bibliothèque d’objets est particulièrement utile pour stocker des éléments tels que des logos, des barres de défilement, des légendes et autres éléments récurrents (voir la section « Utilisation des bibliothèques d’objets » à la page 402). Modèles Un modèle est un document comportant un texte et des graphiques de substitution (voir la section
« XML » à la page 597 « Exportation » à la page 115
Graphiques Le contenu des extraits conserve ses associations de calque lors de l’importation. Lorsqu’un extrait contient des définitions de ressource et que celles-ci se trouvent également dans le document dans lequel l’extrait est copié, l’extrait utilise les définitions de ressource du document. Il est impossible d’ouvrir des extraits créés dans InDesign CS4 dans des versions antérieures de cette application.
« Utilisation de XML » à la page 597 « Utilisation des bibliothèques d’objets » à la page 402
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes : • Faites glisser un élément de la vue Structure sur le bureau.
1 Choisissez Fichier > Importer. 2 Sélectionnez un ou plusieurs fichiers d’extrait (*.IDMS ou *.INDS). 3 Cliquez sur le curseur d’extrait chargé à l’endroit où vous souhaitez positionner le coin supérieur gauche du fichier
4 Si vous avez chargé plusieurs extraits, faites défiler la page et cliquez sur le curseur d’extrait chargé pour importer
Vous pouvez faire glisser un fichier d’extrait de votre bureau vers le document InDesign, puis cliquer à l’endroit où vous souhaitez positionner le coin supérieur gauche de l’extrait.
Graphiques • Dans les préférence de gestion des fichiers, choisissez l’option Position à l’emplacement original pour conserver l’emplacement original des objets dans les extraits. Choisissez l’option Position à l’emplacement du curseur pour placer les extraits selon l’endroit où vous cliquez dans une page. Vous pouvez appuyer sur la touche Alt (Windows) ou Option (Mac) pour ignorer le paramètre de position choisi pour la gestion des extraits. Par exemple, si vous avez choisi l’option Position à l’emplacement du curseur, mais que vous souhaitez importer des objets d’extraits à leur emplacement d’origine, maintenez la touche Alt/Option enfoncée tout en cliquant sur le curseur d’extrait chargé sur la page.
Les bibliothèques d’objets permettent d’organiser les images, les pages et le texte les plus fréquemment utilisés. Elles peuvent également contenir des repères de règle, des grilles, des formes de dessin et des images groupées. Vous pouvez créer autant de bibliothèques que vous le souhaitez : plusieurs bibliothèques d’objets pour différents clients ou projets, par exemple. Au cours d’une session de travail, vous pouvez ouvrir autant de bibliothèques que la mémoire de votre système le permet. Les bibliothèques d’objets peuvent être partagées entre différents serveurs et différentes plates-formes mais elles ne peuvent être ouvertes que par une personne à la fois. Si une bibliothèque d’objets inclut des fichiers texte, assurez-vous que les polices du fichier sont disponibles et actives sur tous les systèmes ayant accès à la bibliothèque. Lorsque vous ajoutez un élément de page, comme un graphique, à une bibliothèque d’objets, InDesign préserve tous les attributs importés ou appliqués. Par exemple, si vous ajoutez à une bibliothèque le graphique d’un document InDesign, la copie de ce graphique dans la bibliothèque est la réplique de l’original. Elle contient donc les mêmes informations de lien que le graphique d’origine afin de permettre une mise à jour du graphique copié en cas de modification du fichier situé sur le disque. Si vous supprimez l’objet du document InDesign, la vignette de l’objet reste affichée dans le panneau Bibliothèque et toutes les informations de lien restent inchangées. Si vous déplacez ou supprimez l’objet d’origine, une icône de lien manquant s’affiche dans le panneau Liens lorsque vous réimportez cet objet du panneau Bibliothèque vers votre document. Chaque bibliothèque d’objets permet d’identifier et de rechercher les éléments par titre, par date d’ajout à la bibliothèque ou par mot-clé. Vous pouvez aussi simplifier l’affichage d’une bibliothèque d’objets en triant ses éléments et en affichant leurs sous-ensembles (tous les éléments sauf les fichiers EPS, par exemple).
• Les styles de paragraphe, les styles de caractère et les styles d’objets dont les noms sont identiques à ceux présents dans le document de destination sont convertis en styles du document de destination, tandis que ceux nominalement différents sont ajoutés au document.
Une bibliothèque d’objets se présente sous la forme d’un fichier nommé sur le disque. Lorsque vous la créez, vous devez spécifier son emplacement. Lorsque vous l’ouvrez, elle s’affiche sous la forme d’un panneau que vous pouvez regrouper avec d’autres panneaux. Le nom de fichier de la bibliothèque d’objets apparaît sur l’onglet du panneau. La fermeture d’une bibliothèque d’objets la supprime de la session en cours mais n’efface pas son fichier. Vous pouvez ajouter ou supprimer des objets, des éléments de page sélectionnés ou une page entière d’éléments dans une bibliothèque d’objets. Il est également possible d’ajouter ou de déplacer des objets d’une bibliothèque à une autre. 1 Choisissez Fichier > Nouveau > Bibliothèque. 2 Spécifiez un emplacement et un nom pour cette bibliothèque, puis cliquez sur Enregistrer. N’oubliez pas que le nom
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
❖ Dans l’Explorateur (Windows) ou le Finder (Mac OS), faites glisser un fichier de bibliothèque vers la corbeille. Sous
• Sélectionnez un ou plusieurs objets dans une fenêtre de document, puis cliquez sur le bouton Nouvel élément de bibliothèque dans le panneau Bibliothèques d’objets.
Bibliothèque d’objets pour ajouter tous les objets en tant qu’objets de bibliothèques distincts.
Lorsque vous utilisez les commandes ci-dessus tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée, la boîte de dialogue Informations sur l’élément s’affiche lors de l’ajout de l’élément à la bibliothèque.
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Dans ce panneau, sélectionnez un objet, puis choisissez Importer un/des élément(s) dans le menu du panneau. Cette méthode importe l’objet sur ses coordonnées X et Y d’origine.
Utilisez le panneau Bibliothèque d’objets pour gérer les objets. Pour remplacer un objet de bibliothèque par un nouvel élément 1 Dans la fenêtre du document, sélectionnez l’élément à ajouter au panneau Bibliothèque. 2 Dans le panneau Bibliothèque, sélectionnez l’objet à remplacer, puis choisissez Mettre à jour l’élément de
Pour copier ou déplacer un objet d’une bibliothèque à une autre 1 Séparez les deux bibliothèques pour les afficher simultanément en faisant glisser l’onglet du panneau d’une bibliothèque hors du groupe de panneaux de bibliothèques d’objets. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Pour supprimer un objet d’une bibliothèque ❖ Dans le panneau Bibliothèques d’objets, sélectionnez un objet et utilisez l’une des méthodes suivantes :
La bibliothèque affiche les objets sous forme de vignettes ou de liste. Vous pouvez trier les vignettes ou la liste par nom, date de création ou type d’objet. Optimisez l’utilisation des options d’affichage et de tri de la liste en cataloguant les objets. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Bibliothèques d’objets.
Pour afficher tous les objets ❖ Choisissez Tout afficher dans le menu du panneau Bibliothèques d’objets. Pour afficher, ajouter ou modifier des informations de bibliothèque Si la bibliothèque contient de nombreux objets ou des objets volumineux, répertoriez les informations de bibliothèque selon le nom des objets affichés par type d’objet ou par mots descriptifs. 1 Dans le panneau Bibliothèques d’objets, utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Sélectionnez un objet, puis cliquez sur le bouton Informations sur les éléments de bibliothèque. • Sélectionnez un objet, puis choisissez Informations sur l’élément dans le menu du panneau Bibliothèques d’objets. 2 Vérifiez et modifiez si nécessaire les options Nom de l’élément, Type d’objet ou Description, puis cliquez sur OK.
Lorsque vous recherchez des objets, seuls les résultats de votre recherche sont affichés. Vous pouvez également utiliser la fonction de recherche pour afficher et masquer certaines catégories d’objets. Par exemple, vous pouvez afficher uniquement les noms d’éléments d’objets comportant le mot « étoile ». 1 Choisissez Afficher le sous-ensemble dans le menu du panneau Bibliothèques d’objets ou cliquez sur le bouton
2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour rechercher uniquement parmi les objets répertoriés (ou affiner une précédente recherche), sélectionnez Rechercher dans les éléments affichés. 3 Dans le premier menu de la section Paramètres, choisissez une catégorie. 4 Dans le second menu, précisez si cette catégorie doit être exclue de la recherche ou non. 5 A droite du second menu, entrez un ou plusieurs mots à rechercher dans la catégorie donnée.
Graphiques 7 Pour afficher uniquement les objets répondant à tous les critères de recherche, sélectionnez l’option Correspondre
à au moins un paramètre. 8 Cliquez sur OK pour lancer la recherche.
InDesign propose les méthodes et outils de sélection suivants : Permet de sélectionner du texte et des blocs graphiques, et de travailler avec un objet à l’aide de son
Permet de sélectionner le contenu d’un bloc, tel qu’un graphique importé, ou de travailler directement avec des objets modifiables, tels que des tracés, des rectangles ou du texte converti en tracé vectoriel.
Boutons de sélection du panneau Contrôle Vous pouvez sélectionner le contenu à l’aide du bouton Sélectionner le
Permet de redimensionner une image, déplacer une image dans un bloc et déplacer le bloc et l’image vers un nouvel emplacement dans le document.
Cliquez deux fois sur un objet pour basculer entre les outils de sélection. Cliquez deux fois sur un bloc de texte pour placer le point d’insertion et passer à l’outil Texte.
« Sélection et déplacement d’objets » à la page 737
pour sélectionner le contenu d’un conteneur (tel qu’un graphique importé) ou des points individuels sur un tracé pour des opérations de redimensionnement sur des graphiques importés, de dessin et de modification de tracés, et de modification de texte.
être de tailles différentes. Pour reconnaître les éléments sélectionnés dans InDesign, reportez-vous à la section « Modification d’objets à l’aide de blocs graphiques » à la page 435.
Un cadre de sélection affiche toujours huit grands points d’ancrage creux. Un tracé rectangulaire affiche toujours quatre petits points d’ancrage (creux ou solides).
« Tracés et blocs » à la page 83 « Présentation des tracés et des formes » à la page 339 « Sélection d’objets imbriqués ou superposés » à la page 411 « Repères de règle » à la page 56 « Sélection et déplacement d’objets » à la page 737 Vidéo Faire des sélections
Pour tout objet, vous pouvez sélectionner son cadre de sélection, c’est-à-dire le rectangle indiquant ses dimensions horizontales et verticales (pour les objets associés, le cadre de sélection est un rectangle en pointillé). Le cadre de sélection permet de déplacer, dupliquer et mettre à l’échelle un objet sans recourir à d’autres outils. Dans le cas d’un tracé, le cadre de sélection permet de traiter l’ensemble de l’objet sans risque de modification accidentelle des points d’ancrage qui définissent sa forme. Remarque : pour effectuer des opérations de déplacement ou de mise à l’échelle plus avancées, ou bien d’autres types de modification (rotation, etc.), utilisez le panneau Contrôle ou Transformation. ❖ A l’aide de l’outil Sélection
• Créez un rectangle de sélection autour de l’objet ou d’une partie de l’objet, par glisser-déplacer. • Une fois l’objet graphique ou le contenu imbriqué sélectionné, cliquez sur le bouton Sélectionner le conteneur dans le panneau Contrôle. Lorsque vous sélectionnez un ou plusieurs objets à l’aide de l’outil Sélection, un cadre de sélection indiquant la taille de chaque objet s’affiche. Si l’objet est sélectionné mais que le cadre de sélection ne s’affiche pas, il se peut que vous ayez utilisé l’outil Sélection directe pour sélectionner l’objet. Si vous cliquez sur un bloc et que celui-ci n’est pas sélectionné, cela peut signifier que le bloc se trouve sur un calque verrouillé ou un gabarit. Si le bloc se trouve sur un calque verrouillé, une icône de crayon s’affiche. Si le bloc se trouve sur un gabarit, vous pouvez l’ignorer pour le sélectionner.
Dans InDesign, les tracés sont définis par des points d’ancrage, des points d’extrémité et des lignes directrices. Vous sélectionnez les points d’ancrage et les points d’extrémité à l’aide de l’outil Sélection directe.
Observez la transformation de l’outil lorsque vous le placez sur un tracé
• Pour sélectionner plusieurs points sur un tracé, appuyez sur la touche Maj et cliquez sur chaque point. • Pour sélectionner simultanément tous les points d’un tracé, cliquez sur le point situé au centre de l’objet, ou maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée et cliquez sur le tracé. Si vous sélectionnez une partie de l’objet à l’aide de l’outil Sélection directe, la commande Tout sélectionner vous permet également de sélectionner tous les points.
• Pour sélectionner du texte par glisser-déplacer, cliquez sur un bloc de texte à l’aide de l’outil Texte. Un point d’insertion s’affiche.
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Après avoir sélectionné un bloc, cliquez sur le bouton Sélectionner le contenu
• Pour sélectionner tous les objets compris dans une zone rectangulaire, utilisez l’outil Sélection
Vous pouvez procéder de même avec l’outil Sélection directe pour sélectionner les objets imbriqués dans un groupe ou dans un bloc.
Pour désélectionner tous les objets d’une planche et de sa table de montage, choisissez Edition > Tout désélectionner. Ou, si l’outil Sélection ou Sélection directe est actif, cliquez au moins à trois pixels de distance d’un objet. L’action de la commande Tout sélectionner diffère selon le contexte :
Si aucun objet n’est sélectionné, la commande Tout sélectionner sélectionne tous les objets de tracé de la planche ou de la table de montage.
1 Sélectionnez l’outil à utiliser. Si vous le souhaitez, sélectionnez un objet ou placez le point d’insertion dans un bloc
Lorsqu’un cadre contient un objet, on dit que cet objet est imbriqué dans un conteneur, ou bloc. Il existe trois principaux types d’imbrication : tracés dans des blocs, blocs dans des blocs et groupes dans des groupes. Vous devez toujours connaître avec exactitude les objets et les attributs d’objets à sélectionner, lesquels sont actuellement sélectionnés et les outils de sélection à utiliser pour modifier les sélections. Pour contrôler les sélections dans les groupes imbriqués, utilisez les outils Sélection directe et Sélection ainsi que les boutons Sélectionner le contenu et Sélectionner le conteneur. Vous pouvez sélectionner des caractères de texte à tout moment à l’aide de l’outil Texte, quel que soit le niveau d’imbrication du bloc de texte.
Lorsque vous imbriquez des objets ou que vous superposez des objets sur un même calque, il peut être difficile de sélectionner un seul objet ou bloc. Le menu Objet et le menu contextuel contiennent des options de sélection facilitant la sélection de l’objet voulu.
Choisissez ensuite Sélection, puis l’option de sélection désirée. Remarque : la sélection d’objets par les commandes du menu contextuel ne produit pas les mêmes effets que les commandes du menu Objet > Sélectionner. Dans le menu contextuel, les sélections sont basées sur le point où vous cliquez pour l’affichage du menu. Dans cette optique, seul l’objet au-dessus ou au-dessous du point où vous cliquez est sélectionné, et non-pas l’objet suivant dans l’ordre de superposition.
Objet inférieur suivant ou Objet supérieur suivant jusqu’à ce que l’objet souhaité soit sélectionné. Lorsque vous atteignez le haut ou le bas de la pile, la sélection ne change pas.
Option+Commande (Mac OS) enfoncées et cliquez sur la pile à l’aide de l’outil Sélection. Remarque : les options du menu contextuel dépendent de la position du pointeur de votre souris.
1 A l’aide de l’outil Sélection directe
Les options du sous-menu Sélection (choisissez Objet > Sélection ou Sélection dans le menu contextuel) vous permettent de sélectionner des objets superposés, imbriqués ou associés. Certaines options peuvent ne pas être disponibles en fonction du type d’objet sur lequel vous travaillez. Lorsque vous utilisez le menu contextuel, l’objet sélectionné dépend de la position du pointeur de la souris. Premier objet supérieur Sélectionne l’objet le plus haut dans la pile. Objet précédent Sélectionne l’objet juste au-dessus de l’objet actif. Objet suivant Sélectionne l’objet juste au-dessous de l’objet actif. Dernier objet inférieur Sélectionne l’objet le plus bas dans la pile. Contenu Sélectionne le contenu du bloc graphique sélectionné ou un objet à l’intérieur du groupe sélectionné. Vous
Conteneur Sélectionne le bloc contenant l’objet sélectionné ou le groupe contenant l’objet sélectionné. Vous pouvez
Objet précédent/Objet suivant Sélectionne l’objet précédent ou suivant du groupe si l’objet sélectionné fait partie d’un groupe, ou, s’il ne fait pas partie d’un groupe, sélectionne l’objet précédent ou suivant sur la planche. Cliquez tout en maintenant la touche Maj enfoncée pour ignorer cinq objets à la fois Cliquez tout en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée pour sélectionner le premier ou le dernier objet de la pile.
Les objets superposés sont empilés dans l’ordre de leur création ou importation. Vous pouvez modifier l’ordre de superposition des objets à l’aide du sous-menu Disposition. Modifier la disposition des objets ne revient pas à utiliser le panneau Calques. Tous les calques nommés contiennent leur propre superposition d’objets et les commandes du menu Objet > Disposition contrôlent séparément la superposition de chacun d’entre eux. Si vous n’avez créé aucun calque nommé, votre document contient simplement une superposition d’objets sur le calque par défaut. Les objets des gabarits se trouvent derrière tous les calques nommés.
1 Sélectionnez l’objet à déplacer au début ou à la fin d’une pile. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Premier plan ou Objet > Disposition > Arrière-plan. Pour afficher les données géométriques des objets Lorsque vous sélectionnez un objet, ses informations géométriques apparaissent dans les panneaux Transformation et Contrôle. Si vous en avez sélectionné plusieurs, la somme des données géométriques de tous les objets apparaît, comme s’il s’agissait d’un tout. ❖ Sélectionnez un ou plusieurs objets et affichez le panneau Transformation (Fenêtre > Objet et mise en page >
Les informations sur la position dépendent de l’origine de la règle et du point de référence de l’objet. Les données relatives à l’angle dépendent de la table de montage, dans laquelle une ligne horizontale présente un angle de 0°.
Le panneau Transformation comprend plusieurs options qui définissent la manière dont les objets sont transformés ainsi que l’affichage des transformations dans les panneaux Transformation et Contrôle.
Toutes les transformations ont pour origine un point fixe sur l’objet ou près de celui-ci, appelé point de référence. Le point de référence est signalé par une icône lorsqu’un outil de transformation, tel que l’outil Mise à l’échelle, est actif.
Remarque : lorsqu’un outil de transformation est sélectionné, le fait de cliquer en dehors de l’objet ne le désélectionne pas, mais déplace simplement le point de référence. Choisissez Edition > Tout désélectionner pour désélectionner un objet. Le dernier point de référence choisi sur le localisateur de point de référence devient le point de référence par défaut pour tous les outils et objets. Lorsque vous faites glisser l’icône d’un point de référence vers un emplacement personnalisé (en dehors d’un point d’ancrage), le point de référence du panneau reprend sa position par défaut une fois que l’objet n’est plus sélectionné. InDesign préserve la position par défaut du point de référence pour tout nouveau document, ce qui vous évite de la réinitialiser.
Le panneau Transformation oriente un objet vers la table de montage de la planche, où l’angle de rotation d’une ligne horizontale est de 0°. Par défaut, cela s’applique même si l’objet est imbriqué dans un objet conteneur transformé (c’està-dire si l’objet fait partie d’un groupe transformé ou a été collé dans un bloc transformé). Par exemple, si vous collez dans un bloc une image n’ayant subi aucune rotation, appliquez une rotation de 10° au bloc contenant l’image, puis sélectionnez l’image à l’aide de l’outil Sélection directe. Le panneau Transformation indique que l’image présente un angle de rotation de 10°.
Pour mesurer la position des objets sélectionnés La commande Afficher le décalage du contenu détermine l’aspect des valeurs X et Y dans le panneau Transformation pour les objets imbriqués sélectionnés avec l’outil Sélection directe . Le point de référence sélectionné dans le localisateur de point de référence du panneau Transformation ou Contrôle détermine lequel des neuf points de référence de l’objet sélectionné doit être comparé à l’origine du document ou du bloc conteneur. L’origine d’un bloc conteneur correspond toujours à son coin supérieur gauche. La position des objets sélectionnés est mesurée à partir de trois positions :
❖ Dans le menu du panneau Transformation ou Contrôle, sélectionnez ou désélectionnez Afficher le décalage du
L’épaisseur du contour peut affecter la taille et la position de l’objet. Vous pouvez modifier l’alignement du contour, puis choisir de mesurer, dans le panneau Transformation, la taille et la position de cet objet à partir du centre ou du bord de son contour. Pour plus de détails sur la modification de l’alignement du contour, reportez-vous à la section « Options du panneau Contour » à la page 360.
❖ Dans le menu du panneau Transformation ou Contrôle, utilisez l’une des méthodes suivantes :
Vous pouvez modifier la taille ou la forme d’un objet et changer son orientation sur la table de montage en utilisant des outils et des commandes. Le panneau Outils contient quatre outils de transformation : Rotation, Mise à l’échelle, Déformation et Transformation manuelle. Toutes les transformations (y compris Réflexion) sont accessibles dans les panneaux Transformation et Contrôle, dans lesquels vous pouvez spécifier des mesures de transformation très précises.
Pour consulter une vidéo sur l’utilisation des objets, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0071_fr.
« Modification des paramètres de transformation » à la page 413 « Galerie d’outils de transformation » à la page 31 « Transformation des objets » à la page 738 « Répétition de transformations » à la page 429 « Effacement de transformations » à la page 430
InDesign ne propose plus la commande Transformer le contenu. Vous pouvez utiliser à la place les outils de sélection pour choisir de transformer le bloc et son contenu ensemble ou séparément. 1 Choisissez Fenêtre > Objet et mise en page > Transformation. 2 Sélectionnez l’objet à transformer.
• Pour transformer le contenu sans affecter le bloc, servez-vous de l’outil Sélection directe
3 Dans le panneau Transformation, définissez le point de référence de la transformation.
4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Choisissez des valeurs dans les menus contextuels disponibles. • Choisissez des commandes dans le menu du panneau. Remarque : pour conserver les proportions de l’objet avec les options % de mise à l’échelle sur X et % de mise à l’échelle sur Y, cliquez sur l’icône Conserver les proportions du panneau. Lorsque cette option est désactivée, l’icône prend la forme d’un chaînon brisé. Au lieu des pourcentages, vous pouvez également spécifier des dimensions accompagnées de l’unité de mesure, par exemple « 6p ». 5 Appuyez sur la touche Tabulation, Entrée (Windows) ou Retour (Mac OS) pour appliquer les modifications.
L’outil Transformation manuelle fonctionne de la même façon que dans Adobe Photoshop et Adobe Illustrator. Il permet d’effectuer toutes les transformations à l’aide d’un seul outil. Lorsqu’il est actif, vous pouvez combiner plusieurs transformations, telles que la rotation et la mise à l’échelle. Vous pouvez utiliser les raccourcis clavier pour permuter les outils Transformation manuelle (E), Sélection (V) et Sélection directe (A). 1 Sélectionnez les objets à transformer à l’aide de l’outil de sélection approprié. 2 Sélectionnez l’outil Transformation manuelle
Diverses méthodes vous permettent de faire pivoter des objets.
1 Sélectionnez l’objet à faire pivoter. Pour faire pivoter le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de
2 Sélectionnez l’outil Rotation
Vous pouvez également faire pivoter les objets à l’aide de l’outil Transformation manuelle.
1 Sélectionnez l’objet à faire pivoter. Pour faire pivoter le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de
2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
(Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée. Lorsque vous faites pivoter un seul objet, la valeur que vous avez spécifiée reste affichée dans le panneau Transformation ou Contrôle. Lorsque vous faites pivoter plusieurs objets, l’angle de rotation est redéfini sur 0 degrés, bien que les objets soient soumis à une rotation.
Vous pouvez utiliser la commande Rotation pour faire pivoter un objet d’une valeur précise. Cette commande vous permet également de faire pivoter une copie de l’objet sélectionné, en laissant l’original intact. 1 Sélectionnez l’objet à faire pivoter. Pour faire pivoter le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de
2 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour ouvrir la boîte de dialogue Rotation :
• Cliquez deux fois sur l’outil Rotation 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour faire pivoter l’objet, cliquez sur OK. • Pour faire pivoter une copie de l’objet, cliquez sur Copier.
« Transformation d’objets » à la page 417 « Création de gabarits » à la page 70 « Modification des paramètres de transformation » à la page 413 « Utilisation de repères commentés » à la page 61
A l’aide de l’outil Sélection, vous pouvez déplacer le bloc et son contenu, tandis que l’outil Sélection directe vous permet de déplacer soit le bloc, soit son contenu. Remarque : pour obtenir des résultats optimaux, utilisez l’outil Sélection pour déplacer plusieurs objets. Si vous utilisez l’outil Sélection directe pour sélectionner plusieurs objets ou tracés, seuls le graphique, le tracé ou les points d’ancrage sélectionnés sont déplacés par glissement. 1 Sélectionnez l’objet à déplacer. Pour déplacer le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de l’outil Sélection.
2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Sélectionnez la planche cible, puis choisissez Edition > Coller. Les objets apparaissent au centre de la planche cible.
Pour qu’un objet apparaisse au même endroit sur plusieurs pages, créez un gabarit contenant l’objet.
(Windows) ou Retour (Mac OS).
Vous pouvez utiliser la commande Déplacement pour déplacer un objet d’une distance précise. Cette commande vous permet également de déplacer une copie de l’objet sélectionné, en laissant l’original à sa place. 1 Sélectionnez l’objet à déplacer. Pour déplacer le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de l’outil Sélection.
2 Choisissez Objet > Transformation > Déplacement ou cliquez deux fois sur l’icône de l’outil Sélection ou
3 Dans la boîte de dialogue Déplacement, utilisez l’une des méthodes suivantes :
équivalent à -90°). 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour déplacer l’objet, cliquez sur OK. • Pour déplacer une copie de l’objet, cliquez sur Copier.
1 Sélectionnez l’objet à déplacer. 2 Si vous souhaitez utiliser un autre point de référence pour le déplacement, cliquez à l’endroit où vous souhaitez
Si, par exemple, vous souhaitez déplacer l’objet dans l’angle supérieur gauche de la page, sélectionnez le point de référence supérieur gauche. 3 Dans les champs X et Y du panneau Transformation, saisissez les coordonnées de l’emplacement où la sélection
1 Choisissez Edition > Préférences > Unités et incréments (Windows) ou InDesign > Préférences > Unités et
2 Dans Touche curseur, indiquez la distance selon laquelle la sélection doit se déplacer chaque fois que vous appuyez Si vous maintenez la touche Maj enfoncée tout en déplaçant la sélection, cette distance est multipliée par dix.
Le redimensionnement et la mise à l’échelle sont deux opérations bien distinctes dans InDesign. Dans le premier cas, il s’agit simplement de modifier la largeur et la hauteur d’un objet. En revanche, la mise à l’échelle applique une valeur en pourcentage en se basant sur l’échelle d’origine (100 %) du bloc.
Redimensionnement d’un bloc Par défaut, lorsque le bloc (et non son contenu) est sélectionné, les nouvelles valeurs des champs Largeur et Hauteur affectent uniquement le bloc, et ce quel que soit l’outil de sélection utilisé. Mise à l’échelle d’un bloc et de son contenu Si vous cliquez sur le bloc à l’aide de l’outil Sélection, les nouvelles valeurs des champs % de mise à l’échelle sur X et % de mise à l’échelle sur Y s’appliquent à la fois au bloc et à son contenu. Redimensionnement ou mise à l’échelle du contenu du bloc Si vous désirez modifier uniquement le contenu d’un bloc, commencez par sélectionner ce contenu à l’aide de l’outil Sélection directe. Vous pouvez ensuite modifier les valeurs des champs Largeur et Hauteur ou des champs d’échelle, selon le cas. Contournement des valeurs par défaut Si vous voulez modifier l’échelle du bloc ou de son contenu en pourcentage, alors que les valeurs des champs sont exprimées dans le système de mesure actif, vous pouvez spécifier une valeur accompagnée du signe pourcent pour ignorer le système de mesure par défaut. Si, par exemple, la largeur est de 12p et vous voulez la réduire à 75 % de sa valeur actuelle, il suffit d’indiquer 75 % dans le champ Largeur. Dès que vous appuyez sur la touche Entrée, la valeur du champ devient 9p. De la même façon, vous avez la possibilité de saisir des valeurs dans d’autres systèmes de mesure, même si les résultats sont exprimés en pourcentage par rapport à l’échelle d’origine. Vous pouvez, par exemple, remplacer 100 % par 9p et laisser à InDesign le soin de calculer le pourcentage correspondant à cette largeur/hauteur.
« Redimensionnement d’objets » à la page 423 « Mise à l’échelle d’objets » à la page 424
Lorsque vous faites glisser la poignée d’un bloc comprenant du contenu, tel qu’un graphique importé, vous vous attendez peut-être à ce que le contenu soit également redimensionné. Il est important de bien comprendre que le contenu et le bloc conteneur sont deux éléments distincts ayant chacun un cadre de sélection. Lorsque vous faites glisser le bloc d’un graphique importé, le graphique est rogné ou entouré d’un espace blanc, selon la direction dans laquelle vous redimensionnez le bloc. Le fait de pouvoir modifier le bloc séparément du contenu offre une plus grande souplesse, mais vous aurez besoin d’un peu de temps pour vous y accoutumer. La fonction Repères commentés est très utile pour redimensionner des objets en se basant sur d’autres objets de la mise en page. En effet, pendant que vous redimensionnez un objet, des repères temporaires indiquent que cet objet est centré sur la page ou aligné par rapport à l’un de ses bords, ou encore que sa hauteur ou sa largeur est égale à celle d’un autre élément de page.
Largeur ou Hauteur du panneau Transformation, puis appuyez sur Entrée en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée. Après avoir redimensionné un bloc ou un objet, vous pouvez ajuster le contenu au bloc, ou le bloc au contenu, à l’aide de l’option Ajustement (Objet > Ajustement).
« Mise à l’échelle d’objets » à la page 424 « Mise à l’échelle et redimensionnement d’objets » à la page 422 « Utilisation de repères commentés » à la page 61
Mettre à l’échelle un objet consiste à l’agrandir ou à le réduire horizontalement (sur l’axe des x), verticalement (sur l’axe des y) ou les deux à la fois, par rapport au point de référence que vous spécifiez. Par défaut, InDesign met les contours à l’échelle. Par exemple, si vous mettez à l’échelle à 200 % un objet sélectionné doté d’un contour de 4 points, le panneau Contour indique un contour de 8 points et l’épaisseur du contour est visiblement doublée. Pour modifier le comportement par défaut du contour, désactivez l’option Ajuster l’épaisseur du contour lors de la mise à l’échelle dans le menu du panneau Transformation ou Contrôle.
« Mise à l’échelle et redimensionnement d’objets » à la page 422 « Modification des paramètres de transformation » à la page 413
❖ Pour mettre à l’échelle le contenu et le bloc simultanément, utilisez l’outil Sélection et maintenez la touche Ctrl
1 Sélectionnez l’objet à mettre à l’échelle. Pour mettre à l’échelle le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide
2 Sélectionnez l’outil Mise à l’échelle
à l’échelle. Pour un contrôle plus précis, commencez à partir d’un point plus éloigné du point de référence de l’objet. Vous pouvez également mettre à l’échelle les objets à l’aide de l’outil Transformation manuelle.
Pour conserver les proportions d’origine de l’objet lorsque vous utilisez le panneau Transformation, assurez-vous que l’icône Conserver les proportions est sélectionnée. 1 Sélectionnez l’objet à mettre à l’échelle. Pour mettre à l’échelle le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide
2 Dans le panneau Transformation ou Contrôle, utilisez l’une des méthodes suivantes :
1 Sélectionnez l’objet à mettre à l’échelle. Pour mettre à l’échelle le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide
• Cliquez deux fois sur l’outil Mise à l’échelle
4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour mettre l’objet à l’échelle, cliquez sur OK. • Pour mettre à l’échelle une copie de l’objet, cliquez sur Copier.
Vous avez la possibilité de déterminer le mode de suivi de la mise à l’échelle dans l’interface. Si l’option de préférence Appliquer au contenu est sélectionnée dans les préférences générales, les valeurs de mise à l’échelle sont réinitialisées à 100 % dans le panneau Transformation une fois l’objet mis à l’échelle. Si l’option Ajuster le pourcentage de mise à l’échelle est sélectionnée, les valeurs de mise à l’échelle restent telles que spécifiées (125 %, par exemple). Lorsque plusieurs objets sont sélectionnés, la valeur de mise à l’échelle affichée est toujours de 100 %. Cependant, vous pouvez sélectionner les objets individuellement pour visualiser l’application de la transformation (125 %, par exemple) si l’option Ajuster le pourcentage de mise à l’échelle est sélectionnée. 1 Choisissez Edition > Préférences > Général (Windows) ou InDesign > Préférences > Général (Mac OS). 2 Dans la zone Lors de la mise à l’échelle, sélectionnez l’option Appliquer au contenu ou Ajuster le pourcentage de
Si l’option Ajuster le pourcentage de mise à l’échelle est sélectionnée et vous décidez de mettre à l’échelle un objet, vous pouvez choisir la commande Redéfinir la mise à l’échelle à 100 % dans le menu des panneaux Transformation ou Contrôle pour rétablir l’échelle à 100 %.
❖ Activez l’option Ajuster l’épaisseur du contour lors de la mise à l’échelle dans le panneau Transformation ou
Si, par exemple, vous mettez à l’échelle à 200 % un contour de 4 points lorsque cette option est activée, l’épaisseur du contour est alors de 8 points. Si vous désactivez cette option, la taille de l’objet est doublée, mais l’épaisseur du contour reste de 4 points. Si vous mettez à l’échelle un objet de manière non proportionnelle lorsque cette option est activée, InDesign applique l’épaisseur de contour minimum à tous les côtés. Supposons par exemple que vous mettez à l’échelle à 200 % uniquement sur l’axe X un objet sélectionné doté d’un contour de 4 points. Plutôt que d’appliquer un contour de 8 points sur l’axe X et un contour de 4 points sur l’axe Y, InDesign applique la plus petite valeur (4 points) à tous les côtés.
Vous pouvez au besoin réinitialiser sur 100 % les valeurs Mise à l’échelle sur X et Mise à l’échelle sur Y d’un objet sans le redimensionner. Supposons par exemple que vous avez ouvert un document depuis une version précédente d’InDesign, pour lequel les valeurs de mise à l’échelle sont différentes de 100 %, ou que vous avez mis à l’échelle un objet avec l’option Ajuster le pourcentage de mise à l’échelle activée. Lorsque vous choisissez cette commande, les valeurs de mise à l’échelle de tous les blocs sélectionnés sont réinitialisées sur 100 %. Cette commande ne modifie pas la taille ni l’apparence des objets. 1 Sélectionnez un ou plusieurs objets pour lequel ou lesquels les valeurs de mise à l’échelle sont différentes de 100 %.
2 Choisissez la commande Redéfinir la mise à l’échelle à 100 % dans le menu du panneau Transformation
Remarque : cette commande peut entraîner un comportement inattendu avec des objets appartenant à des groupes transformés.
1 Sélectionnez l’objet auquel vous souhaitez appliquer une symétrie. Pour appliquer une symétrie au bloc et à son
2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Vous pouvez également appliquer un effet de symétrie aux objets en utilisant l’outil Sélection ou l’outil Transformation manuelle pour faire passer l’un des côtés du cadre de sélection d’un objet au côté opposé, ou en entrant des valeurs négatives dans les zones % de mise à l’échelle sur X ou % de mise à l’échelle sur Y du panneau Transformation ou Contrôle.
Déformer un objet consiste à l’incliner le long de l’axe horizontal ou vertical, mais aussi à faire pivoter les deux axes de l’objet. Cette option permet notamment de :
• incliner un bloc de texte ; • créer des ombres portées, lesquelles consistent à incliner une copie des objets.
« Modification des paramètres de transformation » à la page 413
1 Sélectionnez l’objet à déformer. Pour déformer le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de
2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Largeur ou Hauteur du panneau Transformation, puis appuyez sur la touche Entrée en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée. Lorsque vous déformez un seul objet, la valeur que vous avez spécifiée reste affichée dans le panneau Transformation ou Contrôle. Lorsque vous déformez plusieurs objets, l’angle de déformation est redéfini sur 0 degrés, bien que les objets soient déformés. Vous pouvez également déformer les objets à l’aide de l’outil Transformation manuelle.
Vous pouvez déformer un objet à l’aide d’une valeur précise grâce à la commande Déformation. Cette commande vous permet également de déformer une copie de l’objet sélectionné, en laissant l’original intact. 1 Sélectionnez l’objet à déformer. Pour déformer le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de
2 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour ouvrir la boîte de dialogue Déformation :
• Cliquez deux fois sur l’outil Déformation 4 Spécifiez l’axe selon lequel déformer l’objet. Vous pouvez déformer un objet le long d’un axe horizontal ou vertical. 5 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour déformer l’objet, cliquez sur OK. • Pour déformer une copie de l’objet, cliquez sur Copie.
Vous pouvez répéter des transformations, comme un déplacement, une mise à l’échelle, une rotation, un redimensionnement, un effet de symétrie, une déformation et un ajustement. Vous pouvez répéter une transformation simple ou une série de transformations. Vous pouvez appliquer ces transformations à plusieurs objets en même temps. InDesign garde toutes les transformations en mémoire jusqu’à ce que vous sélectionniez un objet différent pour réaliser une tâche différente. Remarque : toutes les transformations ne sont pas mémorisées. La modification d’un tracé ou de ses points par exemple n’est pas enregistrée comme une transformation. 1 Sélectionnez un ou plusieurs objets, puis appliquez toutes les transformations que vous souhaitez répéter. 2 Sélectionnez les objets auxquels vous voulez appliquer les mêmes transformations.
Répéter la transformation en séquence Applique la dernière série de transformations à la sélection. Répéter la transformation en séquence individuellement Applique la dernière série de transformations à chacun des
1 Sélectionnez les objets transformés. 2 Choisissez la commande Effacer les transformations dans le menu du panneau Transformation ou Contrôle.
Remarque : si les valeurs de mise à l’échelle ont été réinitialisées à 100 %, l’effacement des transformations ne modifie pas l’échelle.
Présentation du panneau Alignement Le panneau Alignement (Fenêtre > Objet et mise en page > Alignement) vous permet d’aligner ou de distribuer des objets horizontalement ou verticalement le long de la sélection, des marges, de la page ou de la planche. Prenez en compte les points suivants lorsque vous utilisez le panneau Alignement :
4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour distribuer des objets, cliquez sur le bouton correspondant au type de distribution souhaité. Par exemple, si vous cliquez sur le bouton Répartir les bords gauches lorsque l’option Aligner sur la sélection est activée, InDesign applique le même espacement entre tous les bords de gauche de tous les objets sélectionnés.
Vous pouvez également faire appel à la fonction Espacement intelligent pour aligner ou espacer les objets pendant que vous les déplacez. Supposons, par exemple, que l’espace entre deux objets disposés verticalement soit de 12 points et que vous vouliez placer un troisième objet sous le deuxième. Lorsque la distance entre ces deux objets est quasiment égale à 12 points, des repères temporaires apparaissent pour vous aider à placer le nouvel objet au bon endroit.
2 Choisissez Objet > Associer ou Objet > Dissocier. « Sélection d’objets imbriqués ou superposés » à la page 411 Blocs et objets
« Verrouillage ou déverrouillage de calques » à la page 82
❖ Sélectionnez un ou plusieurs objets, puis choisissez Edition > Dupliquer.
Vous pouvez dupliquer un objet chaque fois que vous modifiez sa position, son orientation ou ses proportions. Pour créer une fleur, par exemple : dessinez un pétale et définissez le point de référence à la base du pétale, faites-le pivoter à plusieurs reprises en augmentant l’angle et en dupliquant l’objet à chaque fois pour laisser une copie du pétale à chaque nouvelle position d’angle. ❖ Pendant la transformation, utilisez l’une des méthodes suivantes :
Option (Mac OS) enfoncée.
Utilisez la commande Exécuter et répéter pour créer instantanément des lignes ou des colonnes de copies. Vous pouvez par exemple remplir une page de cartes de visites espacées de manière régulière. 1 Sélectionnez le ou les objets que vous souhaitez dupliquer. 2 Choisissez Edition > Exécuter et répéter. 3 Dans Nombre de répétitions, indiquez le nombre de copies que vous voulez créer, sans compter l’original. 4 Dans Décalage horizontal et Décalage vertical, indiquez la distance devant séparer chaque nouvelle copie de la copie
Exécuter et répéter en spécifiant un décalage horizontal de 0 ; la ligne est copiée autant de fois que nécessaire pour remplir la page.
Vous pouvez créer des objets qui apparaissent à l’écran mais qui ne seront pas imprimés et qui n’apparaîtront pas dans les versions portables du document. Vous pouvez également utiliser des calques pour masquer ou afficher des éléments dans un document, et définir les calques comme non imprimables. 1 Sélectionnez l’objet ou le bloc de texte que vous ne voulez pas imprimer. 2 Ouvrez le panneau Options d’objet (Fenêtre > Options d’objet). 3 Dans le panneau Options d’objet, sélectionnez Non imprimable.
Dans Adobe InDesign, on appelle « objet » tout élément ajouté ou créé dans la fenêtre de document, y compris les tracés ouverts, les tracés fermés, les formes et tracés transparents, le texte, les illustrations bitmap, les objets 3D et tout fichier importé (fichier graphique, par exemple). Si un graphique est placé dans un bloc (c’est le cas de tous les graphiques importés), vous pouvez le modifier en changeant le bloc qui le contient pour effectuer les opérations suivantes :
• Créer divers effets de masque et de mise en page en collant un objet dans un bloc. • Ajouter une ligne de repère ou un contour à un graphique en changeant l’épaisseur de son contour et la couleur de son bloc.
Vous pouvez imbriquer des graphiques dans des blocs conteneur à l’aide de la commande Coller dedans. Vous pouvez également imbriquer des graphiques dans des blocs imbriqués.
• Pour coller un bloc de texte dans un autre bloc et conserver son apparence, sélectionnez l’ensemble du bloc de texte avec l’outil Sélection
• Pour supprimer des caractères de texte, sélectionnez-les avec l’outil Texte
Lorsque vous importez ou collez un objet dans un bloc, celui-ci apparaît par défaut dans l’angle supérieur gauche du bloc. Si le contenu n’a pas la même taille que le bloc, vous pouvez utiliser la commande Ajustement pour que leurs tailles soient automatiquement ajustées. Les options d’alignement de bloc s’appliquent aux blocs contenant soit une image, soit un autre bloc de texte (dans le cas de blocs de texte imbriqués), mais elles ne s’appliquent pas aux paragraphes au sein des blocs de texte : l’alignement et le positionnement du texte lui-même se règlent avec la commande Options de bloc de texte et les panneaux Paragraphe, Styles de paragraphe et Article. 1 Sélectionnez le bloc de l’objet.
Ajustement du contenu au bloc Ajuste le contenu aux dimensions d’un bloc et permet de changer les proportions du contenu. Le bloc n’est pas modifié, mais le contenu peut apparaître étiré si le contenu et le bloc sont de proportions différentes. Ajuster le bloc au contenu Ajuste un bloc aux dimensions de son contenu. Si nécessaire, les proportions du bloc sont
Pour ajuster rapidement un bloc à son contenu, cliquez deux fois sur une poignée d’angle du bloc. Le bloc est redimensionné en s’écartant du point cliqué. Si vous cliquez sur une poignée latérale, le bloc est redimensionné dans cette dimension uniquement.
Remplir le bloc proportionnellement Ajuste le contenu pour remplir le bloc en entier tout en préservant les
Remarque : les commandes Ajustement permettent d’ajuster les bords externes du contenu au centre du contour du bloc. Si le contour du bloc est épais, les bords extérieurs du contenu sont masqués. Vous pouvez ajuster l’alignement du contour par rapport aux bords du bloc et créer ainsi un contour centré, intérieur ou extérieur (voir la section « Définition de contours » à la page 359).
Vous pouvez associer une option d’ajustement à un bloc de substitution, de manière à ce que la commande d’ajustement soit appliquée à chaque fois que vous importez du nouveau contenu dans le bloc. 1 Sélectionnez un bloc. 2 Choisissez Objet > Ajustement > Options d’ajustement de bloc. 3 Spécifiez les options suivantes, puis cliquez sur OK : Point de référence Indiquez un point de référence pour les actions de recadrage et d’ajustement. Ainsi, si vous
Valeur de recadrage Indiquez l’emplacement du cadre de sélection de l’image par rapport au bloc. Des valeurs
Si vous saisissez des valeurs de recadrage trop importantes pour que l’image reste visible, ces valeurs sont ignorées, mais l’option d’ajustement est tout de même appliquée. Ajustement sur un bloc vide Indiquez si vous souhaitez ajuster le contenu au bloc (ce qui peut entraîner une
L’action d’ajustement est appliquée uniquement lorsque le contenu est importé dans un bloc. Si vous redimensionnez le bloc, l’option d’ajustement n’est pas automatiquement réappliquée.
« Utilisation de balises d’emplacement dans la conception des pages » à la page 85 « Styles d’objet » à la page 206
Si vous déplacez un bloc avec l’outil Sélection, le contenu accompagne le bloc. Les méthodes ci-dessous indiquent comment déplacer un bloc ou son contenu indépendamment l’un de l’autre. Ces méthodes sont particulièrement utiles pour ajuster la façon dont les images sont recadrées ou masquées par leur bloc. Pour plus de détails sur l’utilisation de l’outil Position, reportez-vous à la section « Recadrage du contenu à l’aide de l’outil Position » à la page 358. Si un outil Sélection n’agit pas comme vous le souhaitez, essayez d’abord de tout désélectionner. Pour ce faire, appuyez sur les touches Ctrl+Maj+A (Windows) ou Commande+Majuscule+A (Mac OS). ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Remarque : si vous maintenez le bouton de la souris enfoncé sur une image avant de la déplacer, une prévisualisation dynamique (image fantôme) de l’ensemble du graphique apparaît en dehors du bloc, mais l’aperçu de l’image à l’intérieur du bloc reste opaque. Cela facilite le positionnement de l’image par rapport au bloc.
Les blocs graphiques constituent la solution idéale pour ajouter une bordure ou un fond à du contenu, car il est possible de modifier leur épaisseur et leur fond indépendamment de leur contenu.
3 Utilisez le panneau Nuancier et le panneau Outils pour appliquer une couleur de contour et de fond. 4 Utilisez le panneau Contour pour ajuster l’épaisseur, le style ou l’alignement du contour du bloc.
« Application des paramètres de contour » à la page 359 « Application de couleurs » à la page 470
Les termes recadrage et masquage désignent tous deux l’action de cacher une partie d’un objet. La différence tient généralement au fait que le recadrage utilise un rectangle pour rogner les côtés d’une image, et que le masquage utilise une forme arbitraire pour rendre transparent l’arrière-plan de l’objet. Le masque en est un exemple typique : c’est un masque conçu pour une image spécifique.
Remarque : seules les données des parties visibles des images recadrées ou masquées sont imprimées. Vous pouvez néanmoins économiser de l’espace disque et de la mémoire si vous recadrez ou masquez les images pour leur donner la forme et la taille souhaitées avant de les importer dans le document.
Options d’ajustement de bloc, puis spécifiez la valeur de recadrage. Dans le cas de graphiques importés, vous pouvez également créer un masque à l’aide des outils de dessin pour modifier la forme du bloc du graphique.
Masques Vous pouvez utiliser des masques pour détourer les objets d’une page. Des portions de ces objets apparaîtront à travers les formes de masquage. Il est possible de créer des masques pour cacher des parties d’une image, en créant à la fois un tracé pour l’image et un cadre pour le graphique. Le masque étant séparé du bloc graphique, vous pouvez modifier librement le masque sans que cela affecte le bloc à l’aide de l’outil Sélection directe et des autres outils de dessin du panneau Outils. Utilisez l’une des méthodes suivantes pour créer des masques :
(masques) qu’InDesign peut utiliser automatiquement. Pour ajouter des tracés et des couches alpha aux graphiques, vous pouvez utiliser un logiciel comme Adobe Photoshop.
été enregistré avec un masque.
Si vous utilisez l’une des méthodes automatiques d’InDesign pour générer un masque, l’image est associée à un masque InDesign ; elle est donc rognée par le tracé et recadrée par le bloc. Remarque : le bloc graphique affiche la couleur du calque sur lequel il apparaît, et le masque est dessiné dans la couleur complémentaire du calque. Par exemple, si le calque est bleu, le bloc graphique apparaît en bleu et le masque en orange.
InDesign peut recadrer un graphique EPS, TIFF ou Photoshop importé à l’aide d’un masque ou d’une couche alpha enregistré dans le fichier. Si le graphique importé contient plusieurs tracés ou couches alpha, vous pouvez choisir le tracé ou la couche alpha à utiliser en créant un masque. Une couche alpha est une couche invisible définissant les zones transparentes d’un graphique. Elle est stockée à l’intérieur du graphique, avec les couches RVB ou CMJN. Les couches alpha sont généralement utilisées dans les applications de montage vidéo. InDesign reconnaît automatiquement la transparence par défaut de Photoshop (le motif à damier) comme couche alpha. Si le graphique a un arrière-plan opaque, vous devez utiliser Photoshop pour le supprimer, ou créer et enregistrer une ou plusieurs couches alpha avec le graphique. Dans Adobe Photoshop, vous pouvez créer des couches alpha à l’aide des commandes de suppression de fond telles que les masques de fusion, le panneau Couches, la gomme d’arrière-plan ou la gomme magique.
5 Pour inverser les zones visibles et masquées, sélectionnez Inverser. 6 Si vous choisissez une couche alpha, indiquez les autres options de masque et cliquez sur OK.
Si vous voulez supprimer le fond d’un graphique n’ayant pas été enregistré avec un masque, vous pouvez le faire automatiquement à l’aide de l’option Détection des contours de la boîte de dialogue Masque. L’option Détection des contours masque les zones les plus claires ou les plus sombres d’un graphique ; elle est donc plus efficace lorsque le sujet est placé sur un fond blanc ou noir uni.
2 Dans la boîte de dialogue Masque, choisissez Détection des contours dans le menu Type. Par défaut, la commande
Inverser. 3 Spécifiez les options de masque suivantes, puis cliquez sur OK.
Seuil Indique la valeur de pixel la plus sombre qui définira le masque résultant. Si vous augmentez cette valeur, davantage de pixels deviennent transparents par l’extension de la plage des valeurs de luminosité, débutant à 0 (blanc) ajoutées à la zone cachée. Par exemple, si vous souhaitez supprimer une ombre portée très claire lors de l’utilisation de la commande Détection des contours, essayez d’augmenter le seuil jusqu’à faire disparaître l’ombre. Si certains pixels que vous souhaitez voir affichés sont invisibles, le seuil est trop élevé.
Inclure les contours intérieurs Sélectionnez cette option pour rendre transparentes les zones qui se trouvent dans le
Limiter au bloc Crée un masque qui s’arrête au côté visible du graphique. Cela peut aboutir à un tracé plus simple lorsque vous utilisez le bloc du graphique pour recadrer le graphique. Image haute résolution Calcule les zones transparentes à l’aide du fichier réel pour un maximum de précision.
• Choisissez la commande Objet > Masque > Convertir le masque en bloc.
Lorsque vous créez un objet, que vous appliquez un contour ou un fond ou que vous saisissez du texte, ces éléments sont pleins par défaut, c’est à dire qu’ils présentent une opacité de 100 %. Vous pouvez les transformer en éléments transparents de plusieurs manières. Vous pouvez par exemple nuancer la valeur d’opacité sur une échelle allant de 100 % (opacité totale) à 0 % (transparence totale). Lorsque vous réduisez l’opacité d’un élément (objet, contour, fond ou texte), l’illustration sous-jacente transparaît à la surface de celui-ci. Le panneau Effets permet de régler l’opacité d’un objet, de son contour, de son fond ou de son texte. Vous pouvez définir le mode de fusion de l’objet, de son contour, de son fond ou de son texte avec les objets situés en dessous. En ce qui concerne les objets, vous pouvez décider de limiter la portée de la fusion à des objets spécifiques, de sorte que seuls certains objets d’un groupe fusionnent avec les objets situés en dessous d’eux, ou bien faire en sorte que les objets d’un groupe masquent les objets du même groupe au lieu de fusionner avec ceux-ci. Pour plus de détails sur l’utilisation de la transparence (PDF), rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/learn_id_transparency_bp_fr.
« A propos de l’aplatissement » à la page 457
Graphique) pour afficher ou masquer ces paramètres de niveau. L’icône FX apparaît sur un niveau lorsque vous lui appliquez des paramètres de transparence. Vous pouvez cliquez deux fois sur cette icône pour modifier les paramètres. Fusion isolée Applique un mode de fusion à un groupe d’objets sélectionné (voir la section « Modes de fusion isolée » à la page 456). Groupe perçant Permet aux attributs d’opacité et de fusion de chaque objet d’un groupe de masquer, ou bloquer, les
Bouton Tout effacer Supprime les effets (contour, fond ou texte) appliqués à un objet, rétablit le mode de fusion
Bouton FX Affiche une liste des effets de transparence (voir la section « Application d’effets de transparence » à la
❖ Choisissez la commande Fenêtre > Effets et, si nécessaire, ouvrez le menu du panneau Effets et choisissez la
Les options du panneau Effets sont également disponibles dans la boîte de dialogue Effets (sélectionnez un objet et choisissez la commande Objet > Effets > Transparence) et sous forme simplifiée dans le panneau Contrôle.
Effets de transparence
1 Sélectionnez un objet. Pour appliquer des effets à un graphique, sélectionnez celui-ci à l’aide de l’outil Sélection
2 Choisissez la commande Fenêtre > Effets pour afficher le panneau Effets. 3 Sélectionnez un niveau pour désigner la ou les parties de l’objet à modifier : Objet Agit sur l’objet dans son ensemble : contour, fond et texte. Graphique Agit uniquement sur le graphique sélectionné à l’aide de l’outil Sélection directe. Un graphique conserve les effets que vous lui avez appliqués lorsque vous le collez dans une autre image. Groupe Agit sur tous les objets et le texte du groupe (utilisez l’outil Sélection directe pour appliquer des effets aux
Contour Agit sur le contour de l’objet uniquement (y compris sur la couleur d’espace). Fond Agit sur le fond de l’objet uniquement. Texte Agit uniquement sur le texte compris dans l’objet ; n’agit pas sur le bloc de texte Les effets que vous appliquez au texte agissent sur l’intégralité du texte contenu dans l’objet. Il est impossible d’appliquer un effet à des mots ou lettres individuels.
4 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour ouvrir la boîte de dialogue Effets :
• Dans le menu du panneau contextuel, choisissez la commande Effets, puis un nom d’effet. • Choisissez la commande Objet > Effets, puis un nom d’effet. • Dans le panneau Effets, cliquez si nécessaire sur l’icône en forme de triangle pour afficher les paramètres de niveau, puis cliquez deux fois sur un paramètre de niveau : Objet, Contour, Fond ou Texte. Lorsque vous cliquez deux fois sur un paramètre de niveau, vous ouvrez la boîte de dialogue Effets et choisissez en même temps un paramètre de niveau. 5 Choisissez des options et des paramètres pour l’effet (voir la section « Options et paramètres de transparence
« Définition de l’opacité d’un objet » à la page 452 Vidéo Contours progressifs • Sur le panneau Effets, cliquez deux fois sur l’icône FX située à droite de Objet (et non au bas du panneau). Si nécessaire, cliquez sur l’icône en forme de triangle en regard du mot Objet pour afficher l’icône FX.
Effets de transparence
3 Modifiez l’effet.
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes pour copier un effet de transparence :
(Mac OS) enfoncée et faites glisser l’icône FX d’un niveau à l’autre (Contour, Fond, Texte) sur le panneau Effets. Vous pouvez déplacer un effet d’un niveau à l’autre au sein d’un même objet en faisant glisser l’icône FX.
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Opacité sur 100 %, cliquez sur le bouton Effacer les effets toute transparence dans le menu du panneau Effets.
InDesign propose neuf effets de transparence. Un grand nombre de paramètres et d’options permettant de créer ces effets sont similaires.
Effets de transparence
Biseau et estampage Ajoute différentes combinaisons de tons clairs et foncés pour donner un aspect 3D au texte et
Satin Applique un ombrage interne créant un fini satiné. Contour progressif simple, Contour progressif directionnel et Contour progressif dégradé Vous pouvez lisser les
Remarque : en complément des descriptions abordées dans cette section, reportez-vous à la section « Options et paramètres de transparence courants » à la page 448.
Un grand nombre de paramètres et d’options permettant de créer des effets de transparence sont similaires. Les options et paramètres de transparence courants comprennent les suivants : Angle et Elévation Détermine l’angle d’un effet d’éclairage. La valeur 0 correspond au niveau du sol et la valeur 90 place la source de lumière directement au-dessus de l’objet. Cliquez sur le rayon d’angle ou saisissez une valeur en degrés. Activez l’option Utiliser l’éclairage global si vous souhaitez un angle d’éclairage uniforme pour tous les objets. Ce paramètre est utilisé pour les effets Ombre portée, Ombre interne, Biseau et estampage, Satin et Contour progressif. Mode de fusion Détermine l’interaction entre les couleurs des objets transparents et les objets situés derrière. Ce
Effets de transparence
Distance Détermine la distance de décalage pour les effets Ombre portée, Ombre interne ou Satin. Bruit Spécifie la quantité des éléments aléatoires dans l’opacité d’une lueur ou d’une ombre lorsque vous entrez une valeur ou que vous déplacez le curseur correspondant. Ce paramètre est utilisé pour les effets Ombre portée, Ombre interne, Lueur externe, Lueur interne et Contour progressif. Opacité Définit l’opacité d’un effet. Faites glisser le curseur ou saisissez une mesure en pourcentage (voir la section « Définition de l’opacité d’un objet » à la page 452). Ce paramètre est utilisé pour les effets Ombre portée, Ombre interne, Lueur externe, Lueur interne, Contour progressif dégradé, Biseau et estampage et Satin. Taille Indique la quantité d’ombre ou de lueur. Ce paramètre est utilisé pour les effets Ombre portée, Ombre interne,
Grossi Détermine la transparence de flou des effets d’ombre ou de lueur, telle que définie par le paramètre Taille. Un pourcentage supérieur rend le flou plus opaque. Ce paramètre est utilisé pour les effets Ombre portée et Lueur externe. Technique Ces paramètres définissent le mode d’interaction entre le bord d’un effet de transparence et les couleurs
Utiliser l’éclairage global Applique le paramètre d’éclairage global à l’ombre. Ce paramètre est utilisé pour les effets Ombre portée, Biseau et estampage, et Ombre interne. Décalage sur X et Décalage sur Y Décale l’ombre sur l’axe des x ou l’axe des y de la valeur que vous indiquez. Ce paramètre est utilisé pour les effets Ombre portée et Ombre interne.
L’effet Ombre portée crée une ombre tridimensionnelle. Vous pouvez décaler l’ombre portée le long de l’axe des x ou de l’axe des y et modifier le mode de fusion, la couleur, l’opacité, la distance, l’angle et la taille de l’ombre portée. Ces options vous permettent de définir le mode d’interaction de l’ombre portée avec des objets et des effets de transparence : Ombre masquée par l’objet L’objet s’affiche au-dessus de l’ombre qu’il projette. Autres effets respectés par l’ombre L’ombre portée inclut d’autres effets de transparence. Par exemple, si l’objet comporte un contour progressif sur l’un de ses côtés, vous pouvez faire en sorte que l’ombre portée soit appliquée sans tenir compte de ce contour, pour éviter que son bord ne soit estompé ou, au contraire, faire en sorte que l’ombre présente un contour progressif comme l’objet.
Pour sélectionner la couleur de l’ombre portée, cliquez sur le bouton Définir la couleur de l’ombre (en regard du menu Mode de fusion), puis sélectionnez une couleur. Pour consulter une vidéo sur la création des ombres portées, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0085_fr.
Effets de transparence
L’effet Biseau et estampage permet de donner aux objets un aspect tridimensionnel réaliste. Les paramètres Structure déterminent la taille et la forme de l’objet : Style Définit le style de biseau : l’option Biseau externe crée le biseau sur les bords externes de l’objet ; l’option Biseau interne crée le biseau sur les bords internes ; l’option Estampage simule l’effet de l’estampage de l’objet sur des objets sous-jacents ; l’option Estampage oreiller simule l’effet de l’estampage des bords de l’objet sur des objets sous-jacents. Taille Détermine la taille de l’effet de biseau et d’estampage. Technique Détermine le mode d’interaction entre le bord de l’effet de biseau ou d’estampage et les couleurs d’arrière-
Ciselage marqué) ; l’option Ciselage marqué applique un bord plus épais et visible (cette option conserve mieux les détails des caractéristiques que les options Arrondi et Ciselage léger). Atténuation En complément du paramètre Technique, cette option estompe l’effet pour réduire les artefacts indésirables et lisser les contours. Sens Choisissez les options Haut ou Bas pour que l’effet semble poussé vers le haut ou vers le bas. Profondeur Détermine la profondeur de l’effet de biseau et d’estampage.
Angle et Elévation Définit la hauteur de la source de lumière. La valeur 0 correspond au niveau du sol et la valeur 90
Utiliser l’éclairage global Applique la source d’éclairage global telle que définie pour tous les effets de transparence. Lorsqu’elle est activée, cette option remplace les paramètres Angle et Elévation. Tons clairs et tons foncés Spécifie le mode de fusion des tons clairs ou foncés d’un biseau ou d’un estampage.
Effets de transparence
L’effet Contour progressif adoucit (estompe) les bords d’un objet sur une distance que vous indiquez : Largeur de contour progressif Définit la distance sur laquelle l’objet doit passer d’opaque à transparent. Maigri Tout comme le paramètre Largeur de contour progressif, ce paramètre détermine la part d’opacité et la part de
Angles Choisissez parmi Pointus, Arrondis ou Diffus :
• Arrondis Arrondit les angles de la valeur du rayon du contour progressif. Concrètement, un contour incrusté, puis un contour en relief sont ajoutés pour former les deux contours. Cette option est optimale pour les rectangles. • Diffus Utilise la méthode d’Adobe Illustrator qui rend transparents les angles opaques de l’objet. Pour consulter une vidéo sur les contours progressifs, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0086_fr. Bruit Spécifie la quantité des éléments aléatoires dans la lueur d’atténuation. Cette option vous permet d’atténuer la
Bruit Spécifie la quantité des éléments aléatoires dans la lueur d’atténuation. Cette option vous permet de créer une lueur plus douce. Maigri Tout comme les paramètres de largeur, ce paramètre détermine la part d’opacité et la part de transparence de
Forme Choisissez une option (Premier bord uniquement, Bords d’interlignage ou Tous les bords) afin de délimiter la
Angle Fait pivoter le cadre de référence de l’effet de contour progressif, de sorte que les contours progressifs sont
Effets de transparence
écarter une couleur).
étapes, c’est-à-dire une transition brutale ou plus progressive. Inverser le dégradé Cliquez sur cette option pour inverser le sens du dégradé. Cette case se situe à droite du curseur
Opacité Définit la transparence entre les points de dégradé. Sélectionnez un point et faites glisser le curseur d’opacité. Emplacement Ajuste la position d’une couleur de dégradé. Sélectionnez une couleur de dégradé, puis faites glisser le
Type L’option Linéaire applique un dégradé en ligne droite depuis le point de dégradé de départ au point de dégradé
Angle Pour les dégradés linéaires, établit l’angle des lignes de dégradé. A 90 degrés, par exemple, les lignes sont
Vous pouvez appliquer un angle d’éclairage uniforme aux effets de transparence qui ont l’ombre pour facteur : Ombre portée, Ombre interne et Biseau et estampage. Lorsque vous appliquez l’option Utiliser l’éclairage global à l’un de ces effets, l’éclairage dépend du paramètre global défini dans la boîte de dialogue Eclairage global. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour ouvrir la boîte de dialogue Eclairage global :
• Choisissez Objet > Effets > Eclairage global. 2 Entrez une valeur ou déplacez le rayon d’angle pour définir les valeurs Angle et Elévation, puis cliquez sur OK.
Il est possible d’appliquer un effet de transparence à un objet individuel ou à des objets sélectionnés (y compris les images et blocs de texte), mais pas à des caractères individuels ou calques. Toutefois, les images importées avec ces types d’effets de transparence s’affichent et s’impriment correctement. Pour consulter des vidéos sur l’ajout d’opacité, rendez-vous aux adresses www.adobe.com/go/vid0087_fr et www.adobe.com/go/vid0088_fr. 1 Sélectionnez le ou les objets.
Effets de transparence
3 Dans le panneau Contrôle ou Effets, saisissez une valeur pour l’opacité ou cliquez sur la flèche située en regard du
Remarque : si vous sélectionnez un objet avec l’outil Sélection directe, que vous le coupez ou le copiez depuis un groupe transparent dans InDesign, puis que vous le collez dans une autre partie du document, l’objet collé ne sera pas transparent à moins de l’avoir préalablement sélectionné individuellement et d’y avoir appliqué une transparence.
« Synchronisation des paramètres de couleur entre les applications Adobe » à la page 501 « Application de la transparence aux groupes » à la page 453 Vidéo Application des effets d’opacité Vidéo Définition de l’opacité
Outre l’application d’effets de transparence à des objets individuels, vous pouvez les appliquer à des groupes. Si vous sélectionnez simplement des objets et modifiez leur paramètre d’opacité individuel, l’opacité des objets sélectionnés change en fonction de l’opacité des autres. les intersections affichent alors une opacité cumulée. Si, en revanche, vous ciblez un groupe créé à l’aide de la commande Associer, puis que vous modifiez l’opacité, le groupe est traité comme un tout par le panneau Effets (ce dernier ne présente qu’une seule option de niveau : Groupe) et les opacités au sein du groupe restent inchangées. En d’autres termes, les transparences des objets du groupe n’interagissent pas les unes avec les autres.
Utilisez la boîte de dialogue Performances d’affichage pour définir les préférences de transparence. Ces préférences déterminent la qualité d’affichage à l’écran des objets transparents dans les nouveaux documents et dans les documents enregistrés avec des préférences modifiées. Vous pouvez également définir les préférences de façon à activer ou désactiver l’affichage de la transparence dans le document. Si vous désactivez l’affichage des transparences, elles apparaîtront néanmoins lors de l’impression ou de l’exportation du fichier.
Effets de transparence
1 Choisissez Edition > Préférences > Performances d’affichage (Windows) ou Adobe InDesign > Préférences >
• Standard affiche des effets basse résolution et définit la résolution à 72 ppp. • Qualité supérieure améliore l’affichage des effets, principalement dans les fichiers PDF et EPS, et définit la résolution à 144 ppp. 3 Faites glisser le curseur de transparence. Le paramètre par défaut est Qualité moyenne. Il affiche des ombres portées
4 Cliquez sur OK. 5 Lorsque des encres se superposent à des modes de fusion, choisissez la commande Affichage > Aperçu de la
Utilisez le menu Affichage pour régler rapidement le mode d’affichage des transparences sur Affichage rapide, Affichage standard ou Affichage de qualité supérieure.
« Contrôle des performances d’affichage des graphiques » à la page 391 Il est possible de désactiver l’affichage des transparences pour améliorer les performances d’affichage. Si vous désactivez l’affichage des transparences à l’écran, elles apparaîtront néanmoins lors de l’impression ou de l’exportation du fichier. ❖ Choisissez Affichage > Performances d’affichage > Affichage rapide.
Définition du mode de fusion des couleurs Grâce aux modes de fusion, vous pouvez fusionner les couleurs de deux objets superposés. Les modes de fusion permettent de diversifier les méthodes utilisées pour mélanger les couleurs des objets empilés. 1 Sélectionnez un ou plusieurs objets, ou bien un groupe. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Dans le menu de la zone Transparence de la boîte de dialogue Effets, choisissez un mode de fusion.
Effets de transparence
Les modes de fusion permettent de contrôler le mode d’interaction de la couleur de départ, c’est-à-dire la couleur sousjacente dans l’illustration, avec la couleur de dégradé, c’est-à-dire la couleur de l’objet ou du groupe d’objets sélectionné. La couleur d’arrivée correspond à la couleur obtenue à l’issue de la fusion. Normal Applique la couleur de dégradé à la sélection sans interaction avec la couleur de départ. Il s’agit du mode par
Produit Multiplie la couleur de départ par la couleur de dégradé. La couleur d’arrivée est toujours plus foncée. Le produit d’une couleur quelconque par le noir rend du noir. Le produit d’une couleur quelconque par le blanc n’a aucune incidence sur la couleur. Cet effet équivaut à dessiner sur une image à l’aide de plusieurs marqueurs magiques. Superposition Multiplie le contraire des couleurs de dégradé et de départ. La couleur d’arrivée est toujours plus claire.
Cet effet équivaut à projeter plusieurs diapositives les unes sur les autres. Incrustation Multiplie ou superpose les couleurs, selon la couleur de départ. Les motifs et les couleurs recouvrent
Lumière tamisée Assombrit ou éclaircit les couleurs, selon la couleur de dégradé. L’effet est semblable à la projection
Si la couleur de dégradé (source lumineuse) contient moins de 50% de gris, l’illustration est éclaircie comme si elle était estompée. Si elle contient plus de 50% de gris, l’illustration est assombrie comme si elle était surexposée. Lorsque vous dessinez avec un noir ou un blanc pur, vous obtenez une zone nettement plus foncée ou plus claire, mais vous n’obtenez ni un noir ni un blanc pur. Lumière crue Multiplie ou superpose les couleurs, selon la couleur de dégradé. L’effet est semblable à la projection
Si la couleur de dégradé (source lumineuse) contient moins de 50% de gris, l’illustration est éclaircie comme si elle était filtrée. Ce mode est idéal pour ajouter des tons clairs à l’illustration. Si elle contient plus de 50 % de gris, l’illustration est assombrie comme si elle était multipliée. Ce mode est idéal pour ajouter des ombres à l’illustration. Lorsque vous dessinez avec un noir ou un blanc pur, vous obtenez un noir ou un blanc pur. Densité couleur - Eclaircit la couleur de départ pour réfléchir la couleur de dégradé. La fusion avec du noir ne produit
Densité couleur + Assombrit la couleur de départ pour réfléchir la couleur de dégradé. La fusion avec du blanc ne
Obscurcir Sélectionne la couleur la plus foncée comme couleur d’arrivée, qu’il s’agisse de la couleur de départ ou de
Eclaircir Sélectionne la couleur la plus claire comme couleur d’arrivée, qu’il s’agisse de la couleur de départ ou de dégradé. Les zones plus foncées que la couleur de dégradé sont remplacées et les zones plus claires restent intactes. Différence Soustrait la couleur de dégradé de la couleur de départ, ou inversement, en fonction de la couleur la plus
Exclusion Produit un effet semblable au mode Différence avec un contraste moindre. La fusion avec du blanc inverse
Teinte Crée une couleur avec la luminance et la saturation de la couleur de départ et la teinte de la couleur de dégradé. Saturation Crée une couleur avec la luminance et la teinte de la couleur de départ et la saturation de la couleur de
Effets de transparence
Luminosité Crée une couleur avec la teinte et la saturation de la couleur de départ et la luminance de la couleur de dégradé. Ce mode produit l’effet inverse du mode Couleur.
Lorsque vous appliquez un mode de fusion à un objet, ses couleurs fusionnent avec tous les objets situés en dessous d’eux. Si vous souhaitez limiter la portée de la fusion à certains objets spécifiques, vous pouvez regrouper ces objets, puis appliquer l’option Fusion isolée au groupe. Cette option limite la portée de la fusion aux objets du groupe, les objets n’appartenant pas au groupe n’étant pas affectés (cette fonction est utile dans le cas d’objets auxquels un mode de fusion autre que Normal a été appliqué).
Fusion isolée s’applique au groupe. L’option a pour effet de restreindre la portée de la fusion aux seuls objets du groupe sélectionné. Elle n’a aucune incidence sur les modes de fusion appliqués directement aux objets du groupe. 1 Appliquez les modes de fusion et les paramètres d’opacité aux objets individuels que vous souhaitez fusionner de
2 A l’aide de l’outil Sélection, sélectionnez les objets que vous souhaitez isoler. 3 Sélectionnez Objet > Associer. 4 Dans le panneau Effets, sélectionnez l’option Fusion isolée (si l’option ne s’affiche pas, choisissez la
Il est possible de fusionner des objets de façon isolée dans un fichier PDF comportant des modes de fusion. Commencez par importer le fichier PDF en vous assurant que l’option Arrière-plan transparent est activée dans la boîte de dialogue Importer un fichier PDF. Ensuite, appliquez l’option Fusion isolée.
Utilisez l’option Groupe perçant du panneau Effets pour que les attributs d’opacité et de fusion de chaque objet du groupe sélectionné masquent les objets sous-jacents du groupe. Seuls les objets du groupe sélectionné sont masqués. Les objets situés en dessous du groupe sélectionné sont toujours affectés par les attributs de fusion et d’opacité appliqués aux objets du groupe. Il est important de bien comprendre que les modes de fusion et les attributs d’opacité s’appliquent aux objets individuels, mais que l’option Groupe perçant s’applique au groupe.
Effets de transparence
à l’affichage à l’écran et lors de l’aplatissement. L’espace de fusion est uniquement appliqué aux planches contenant des transparences. ❖ Sélectionnez Edition > Espace de fusion des transparences, puis choisissez l’un des espaces colorimétriques du
Remarque : dans le cas d’un flux de production d’impression standard, choisissez l’espace colorimétrique CMJN du document. Si votre document ou votre illustration fait appel à la transparence, il est généralement nécessaire d’appliquer un processus appelé aplatissement pour sa sortie. L’aplatissement divise l’illustration transparente en zones vectorielles et en zones pixellisées. Plus l’illustration est complexe (mêlant images, vecteurs, tons directs, surimpression, etc.), plus l’aplatissement et son résultat le sont également. L’aplatissement peut être nécessaire lors de l’impression ou lors de l’enregistrement ou de l’exportation dans des formats différents ne prenant pas en charge la transparence. Pour conserver la transparence sans aplatissement lorsque vous créez des fichiers PDF, enregistrez-les en tant que documents PDF Adobe 1.4 (Acrobat 5.0) ou version ultérieure.
Effets de transparence
Remarque : l’aplatissement de la transparence ne peut pas être annulé après enregistrement du fichier.
Si vous imprimez ou exportez régulièrement des documents contenant des transparences, vous pouvez automatiser le processus d’aplatissement en enregistrant des paramètres dans un aplatissement prédéfini des transparences. Vous pouvez ensuite appliquer ces paramètres pour une sortie imprimée, ainsi que pour l’enregistrement et l’exportation des fichiers aux formats PDF 1.3 (Acrobat 4.0), EPS et PostScript. En outre, dans Illustrator, vous pouvez appliquer ces paramètres lorsque vous enregistrez les fichiers dans des versions antérieures d’Illustrator ou lorsque vous les copiez dans le Presse-papiers ; dans InDesign, vous pouvez également les appliquer lorsque vous exportez les fichiers au format SVG ; enfin, dans Acrobat, vous pouvez appliquer ces paramètres lors de l’optimisation de fichiers PDF. Ces paramètres contrôlent également le comportement de l’aplatissement lors de l’exportation dans des formats ne prenant pas en charge les transparences. Vous pouvez sélectionner un aplatissement prédéfini dans le panneau Avancés de la boîte de dialogue Imprimer ou de la boîte de dialogue propre au format qui apparaît après la boîte de dialogue initiale Exporter ou Enregistrer sous. Vous pouvez créer vos propres aplatissements prédéfinis ou sélectionner une option par défaut fournie avec le logiciel. Les paramètres de chacune de ces options sont conçus pour correspondre à la qualité et la vitesse de l’aplatissement avec une résolution appropriée pour les zones transparentes pixellisées, suivant l’usage prévu du document : [Haute résolution] S’utilise pour les impressions finales sur presse et les épreuves haute qualité comme les épreuves
[Résolution moyenne] S’utilise pour les épreuves de bureau et les documents destinés à une impression sur demande
[Basse résolution] S’utilise pour obtenir des épreuves rapides à imprimer sur des imprimantes de bureau en noir et
Vous pouvez sélectionner un aplatissement prédéfini dans la boîte de dialogue Imprimer ou dans la boîte de dialogue de format qui s’affiche à la suite de la boîte de dialogue d’exportation.
Effets de transparence
❖ Dans le panneau Avancé des boîtes de dialogue Imprimer, Exportation EPS ou Exporter au format Adobe PDF,
[Basse résolution] S’utilise pour obtenir des épreuves rapides à imprimer sur des imprimantes de bureau en noir et
[Résolution moyenne] S’utilise pour les épreuves de bureau et les documents destinés à une impression sur demande
[Haute résolution] S’utilise pour les impressions finales sur presse et les épreuves haute qualité comme les épreuves
Remarque : les paramètres d’aplatissement sont utilisés uniquement si l’illustration contient des transparences ou si l’option Simuler la surimpression est activée dans la zone Sortie de la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF.
Il est possible d’enregistrer les aplatissements prédéfinis des transparences dans un fichier séparé, ce qui vous permet d’effectuer des copies de sauvegarde ou les mettre à disposition de vos flasheurs, de vos clients ou de vos collaborateurs. Dans InDesign, les fichiers d’aplatissements prédéfinis de la transparence portent l’extension .flst. 1 Choisissez Edition > Modules d’aplatissement des transparences prédéfinis. 2 Effectuez l’une des opérations suivantes :
• Pour créer un aplatissement prédéfini basé sur un paramètre prédéfini, sélectionnez-en un dans la liste et cliquez sur Nouveau.
Remarque : il n’est pas possible de modifier les aplatissements prédéfinis par défaut. 3 Définissez les options d’aplatissement. 4 Cliquez sur OK pour retourner dans la boîte de dialogue Aplatissement prédéfini des transparences, puis cliquez
Vous pouvez exporter ou importer les paramètres d’aplatissement des transparences prédéfinis pour les partager avec vos prestataires de services, vos clients ou vos collaborateurs. 1 Choisissez Edition > Modules d’aplatissement des transparences prédéfinis. 2 Sélectionnez un aplatissement prédéfini dans la liste.
Effets de transparence
(Illustrator). Localisez et sélectionnez le fichier contenant le paramètre prédéfini à charger, puis cliquez sur Ouvrir.
1 Choisissez Edition > Modules d’aplatissement des transparences prédéfinis. 2 Sélectionnez un aplatissement prédéfini dans la liste. 3 Effectuez l’une des opérations suivantes :
Remarque : vous ne pouvez pas supprimer les paramètres prédéfinis par défaut.
Vous pouvez appliquer des paramètres d’aplatissement à chaque planche d’un document, annulant ainsi l’aplatissement prédéfini pour l’ensemble du document ou du livre. Ceci s’avère utile pour contrôler la qualité d’aplatissement des documents associant des images haute résolution avec nombre de transparences et des images basse résolution. Dans ce cas, vous pouvez aplatir la planche complexe avec une qualité supérieure et utiliser un aplatissement prédéfini sommaire sur les autres planches. Au moment de l’exportation ou de l’impression, il est possible de rétablir les paramètres d’aplatissement pour le document ou le livre. 1 Affichez la planche dans la fenêtre de document. 2 Dans le menu du panneau Pages, choisissez l’option Aplatissement des planches. 3 Sélectionnez l’une des options suivantes, puis cliquez sur OK : Par défaut Permet d’appliquer l’aplatissement prédéfini du document à la planche. Aucun (ignorer la transparence) Ignore les transparences de la planche. Cette option peut se révéler utile pour les
Autre Ouvre la boîte de dialogue Paramètres personnalisés d’aplatissement des planches en vue de définir les
❖ Sélectionnez Ignorer le remplacement des planches à l’un des emplacements suivants dans InDesign :
• Zone Avancé de la boîte de dialogue Imprimer ou Exporter au format Adobe PDF.
Aucune (aperçu en couleur) Désactive l’aperçu. Zones complexes pixellisées Met en surbrillance les zones à pixelliser pour des raisons de performances à l’aide du
Objets transparents Met en surbrillance les objets sources de transparence, tels que les objets présentant une opacité
Tous les objets concernés Met en surbrillance tous les objets impliqués dans la transparence, y compris les objets
Fichiers EPS associés affectés (Illustrator uniquement) Met en surbrillance tous les fichiers EPS associés affectés par la
Graphiques affectés (InDesign uniquement) Met en surbrillance l’ensemble du contenu placé affecté par la
Motifs décomposés (Illustrator et Acrobat) Met en surbrillance tous les motifs dont l’implication dans la transparence
Contours vectorisés Met en surbrillance tous les contours vectorisés du fait de la présence de transparences ou de
Texte vectorisé (Illustrator et InDesign) Met en surbrillance l’ensemble du texte vectorisé du fait de la présence de transparences ou de l’activation de l’option Vectoriser tout le texte.
Contours et texte pixellisés (InDesign uniquement) Met en surbrillance les contours et le texte pixellisés suite à
Toutes les zones pixellisées (Illustrator et InDesign) Met en surbrillance les objets et les intersections d’objets auxquels est appliquée la pixellisation car il n’existe aucun autre moyen de les représenter en PostScript ou du fait de leur complexité par rapport au seuil spécifié par le curseur Equilibre Pixellisation/Vectorisation. Par exemple, l’intersection de deux dégradés transparents sera toujours pixellisée, même si la valeur Equilibre Pixellisation/Vectorisation est égale à 100. L’option Toutes les zones pixellisées permet également d’afficher les graphiques pixellisés (tels que les fichiers Photoshop) impliqués dans la transparence, ainsi que les effets de la pixellisation tels que les ombres portées et les contours progressifs. Notez que le traitement de cette option est plus long que les autres.
Effets de transparence
Nom/Paramètre prédéfini Indique le nom d’un paramètre prédéfini. Selon la boîte de dialogue qui apparaît, vous
Equilibre Pixellisation/Vectorisation Spécifie la quantité d’informations vectorielles qui seront conservées. Plus la
Remarque : le niveau de pixellisation atteint dépend de la complexité de la page et des types d’objets se chevauchant. Résolution des dessins au trait et du texte Pixellise tous les objets, y compris les images, les illustrations vectorielles, le texte et les dégradés selon la résolution spécifiée. Acrobat et InDesign autorisent un maximum de 9 600 pixels par pouce (ppp) pour les dessins et de 1 200 ppp pour les filets. Illustrator autorise un maximum de 9 600 ppp à la fois pour les dessins et les filets. La résolution affecte la précision des intersections aplaties. L’option Résolution des dessins au trait et du texte doit généralement être définie entre 600 et 1 200 pour une qualité de pixellisation optimale, notamment en serif ou en une petite taille de points. Résolution des dégradés et des filets Indique la résolution des objets de dégradés et de filets Illustrator pixellisés en raison de l’aplatissement. Cette résolution est comprise entre 72 et 2 400 ppp. La résolution affecte la précision des intersections aplaties. La résolution de dégradé et de filet doit généralement être définie entre 150 et 300 pixels par pouce car la qualité des dégradés, des ombres portées et des contours progressifs ne s’améliore pas avec une résolution plus élevée, mais le temps d’impression et la taille de fichier augmentent. Vectoriser tout le texte Convertit tous les objets de type (type de point, type de zone et type de chemin) en contours et supprime l’ensemble des informations de glyphe sur les types dans les pages contenant une transparence. Cette option préserve la largeur du texte lors de l’aplatissement. Notez que l’activation de cette option a pour effet de donner aux petites polices un aspect légèrement plus épais lors de l’affichage dans Acrobat ou lors de l’impression sur des imprimantes à faible résolution. La qualité du type imprimé sur des imprimantes à résolution élevée ou sur des photocomposeuses n’est pas affectée. Vectoriser tous les contours Convertit tous les contours en tracés simples remplis dans les pages contenant une
Ecrêter les zones complexes Garantit que les limites entre l’illustration vectorielle et l’illustration pixellisée
Effets de transparence
(Illustrator uniquement) Sélectionnez Conserver la transparence alpha (boîte de dialogue Aplatissement de la transparence uniquement) Conserve l’opacité globale des objets aplatis. Avec cette option, les modes de fusion et les
Conserver la transparence alpha peut être utile lors de l’exportation au format SWF ou SVG, étant donné que ces deux formats prennent en charge la transparence alpha. (Illustrator uniquement) Sélectionnez Conserver les surimpressions et les tons directs (boîte de dialogue Aplatissement de la transparence uniquement) Conserve généralement les tons directs. Cette option conserve également la
Conserver la surimpression (Acrobat uniquement) Fusionne la couleur des illustrations transparentes et la couleur
Les options d’aperçu de l’aperçu de l’aplatissement permettent de mettre en surbrillance les zones affectées par l’aplatissement. Ces informations fournies sous forme de codes de couleur vous permettent de régler les options d’aplatissement. Remarque : l’aperçu de l’aplatissement ne donne pas un aperçu précis des tons directs, des surimpressions et des objets fusionnés. Pour ce faire, utilisez plutôt l’aperçu de la surimpression. 1 Affichage du panneau Aperçu de l’aplatissement (ou boîte de dialogue) :
• Dans Acrobat, sélectionnez Options avancées > Impression > Aperçu de l’aplatissement. • Dans InDesign, sélectionnez Fenêtre > Sortie > Aperçu de l’aplatissement. 2 Dans le menu Sélection, sélectionnez le type de zones à mettre en surbrillance. La disponibilité des options dépend
3 Sélectionnez les paramètres d’aplatissement à utiliser : sélectionnez un paramètre prédéfini ou, le cas échéant,
Remarque : (Illustrator) si les paramètres d’aplatissement n’apparaissent pas, sélectionnez Afficher les options dans le menu du panneau pour les afficher. 4 Si l’illustration contient des objets surimprimés ayant une interaction avec des objets transparents, dans Illustrator,
5 A tout moment, cliquez sur Actualiser pour afficher un aperçu actualisé en fonction des paramètres sélectionnés.
Effets de transparence
« A propos de l’aplatissement » à la page 457
• Pour faire en sorte que l’affichage soit automatiquement réactualisé dès qu’il n’est plus à jour ou lorsqu’il reste inchangé, sélectionnez Rafraîchir auto. sélection.
Dans les deux cas, l’affichage est mis à jour dans la fenêtre du document en fonction des paramètres d’aplatissement des transparences sélectionnés.
Dans la plupart des cas, l’aplatissement permet d’obtenir des résultats optimaux lorsque vous utilisez un aplatissement prédéfini adapté ou lorsque vous créez un aplatissement prédéfini avec des paramètres adaptés à votre sortie finale. Pour obtenir un guide complet de référence et de dépannage sur l’impression des effets de transparence, voir le document « Achieving Reliable Print Output with Transparency » (Obtenir une impression de qualité avec effets de transparence) (en anglais uniquement) sur le site Web d’Adobe. Cependant, si votre document présente des zones superposées complexes et que vous souhaitez une sortie haute résolution, vous pouvez obtenir une impression de meilleure qualité en suivant certaines règles élémentaires : Important : si vous appliquez des transparences aux documents destinés à une sortie haute résolution, parlez-en à votre fournisseur de services. N’hésitez pas à consulter ce dernier régulièrement car une bonne communication conditionne des résultats proches de vos attentes. Surimpression d’objets Les objets aplatis semblent transparents mais ils sont en fait opaques et ne laissent pas transparaître les objets situés au-dessous. Toutefois, si vous n’appliquez pas de simulation de la surimpression, l’aplatissement des transparences pourra préserver une surimpression de base des objets lors de l’impression ou de l’exportation vers un fichier PDF. Dans ce cas, les destinataires du fichier PDF devront sélectionner Aperçu de la surimpression dans Acrobat 5.0 ou ultérieur pour visualiser correctement les résultats de la surimpression. Inversement, si vous appliquez la simulation de la surimpression, l’aplatissement des transparences produit une simulation de la surimpression qui correspond à tous les objets opaques. En sortie PDF, cette simulation convertit les tons directs en leurs équivalents quadri. Par conséquent, l’option Simuler la surimpression ne doit pas être sélectionnée pour toute sortie dont les couleurs seront par la suite séparées. Tons directs et modes de fusion L’utilisation des tons directs avec certains modes de fusion peut parfois produire des résultats inattendus. Ceci s’explique parce qu’InDesign utilise des équivalents quadri à l’écran et des tons directs à l’impression. En outre, les fusions isolées dans une image importée risquent de créer des groupes perçants dans le document actif.
Effets de transparence
Affichage. Cette option donne un aperçu approximatif des tons directs en surimpression ou en interaction avec les objets transparents. Si l’effet visuel obtenu n’est pas celui escompté, procédez de l’une des façons suivantes :
Espace de fusion Si vous appliquez des transparences aux objets d’une planche, toutes les couleurs de la planche sont converties selon l’espace de fusion des transparences que vous avez défini (dans Edition > Espace de fusion des transparences), c’est-àdire Document RVB ou Document CMJN, même si la transparence ne les affecte pas. La conversion de toutes les couleurs assure l’homogénéité de deux objets de même couleur d’une planche et réduit les problèmes de rendu des couleurs sur les contours des transparences. Les couleurs sont converties au fur et à mesure de la conception des objets. Les couleurs des images importées qui interagissent avec les transparences sont également converties en fonction de l’espace de fusion. Ceci a pour effet d’altérer l’aspect des couleurs à l’écran et à l’impression, mais pas la façon dont elles sont définies dans le document. Selon votre flux de production, optez pour l’une des méthodes suivantes :
• Si vos documents sont destinés à une diffusion sur le Web uniquement, choisissez Document RVB. • Si vos documents sont destinés à une impression et un affichage sur le Web, choisissez l’espace de fusion correspondant à la sortie finale la plus importante à vos yeux.
Type Si le texte est proche d’objets transparents, il risque d’interagir avec ces objets transparents de façon inattendue. Par exemple, un texte qui habille un objet transparent peut ne pas être superposé par rapport à l’objet et il se peut que les glyphes ne soient pas assez proches pour interagir avec les transparences. Dans ce cas, l’aplatissement peut vectoriser les glyphes afin d’obtenir des contours épais uniquement pour les glyphes. Si cela se produit, effectuez l’une des opérations suivantes :
Cette option risque de réduire les performances de traitement. Remplacement des images L’aplatissement requiert des données haute résolution permettant d’assurer un traitement précis des documents présentant des transparences. Cependant, dans le cadre d’un flux de production OPI, le serveur OPI remplacera les marques de réservation ou doublures d’images par des versions haute résolution. Si l’aplatissement n’a pas accès aux données haute résolution, aucun commentaire OPI n’est produit et seules les doublures d’images à basse résolution sont sorties ; les images finales présentent alors une basse résolution.
Effets de transparence
Conversion des couleurs Si un objet transparent chevauche un objet doté de tons directs, cela peut produire des résultats inattendus lors de l’exportation au format EPS et une conversion des tons directs en couleurs quadri au moment de l’impression ou de la création des séparations de couleurs dans une application autre qu’InDesign. Pour éviter ce type de problème, utilisez le Gestionnaire d’encres et convertissez les tons directs en équivalents quadri avant d’exporter à partir d’InDesign. Une autre solution consiste à s’assurer que les tons directs de l’application initiale (Adobe Illustrator par exemple) sont en adéquation avec ceux d’InDesign. Il sera peut-être nécessaire d’ouvrir un document Illustrator, de convertir des tons directs en couleurs quadri, d’exporter ce document au format EPS, puis d’importer ce dernier dans la mise en page InDesign. Fichiers PDF L’exportation vers Acrobat 4.0 (Adobe PDF1.3) a toujours pour effet d’aplatir un document avec des transparences, ce qui altère l’apparence de ses objets transparents. Un contenu dépourvu de transparence n’est pas aplati, sauf si l’option Simuler la surimpression est activée dans la zone Sortie de la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF. Par conséquent, lorsque vous exportez un document InDesign avec des transparences au format PDF, procédez de l’une des façons suivantes :
Acrobat 7.0 (Adobe PDF 1.6) dans la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF pour que les transparences soient conservées et demeurent modifiables. Vérifiez que votre fournisseur de services peut travailler avec des fichiers Acrobat 5.0, Acrobat 6.0 ou Acrobat 7.0.
Recouvrement Il se peut que l’aplatissement convertisse les vecteurs en zones pixellisées. Les recouvrements appliqués aux illustrations dans Adobe Illustrator à l’aide de contours et importées dans InDesign sont préservés. Il se peut que les recouvrements appliqués aux illustrations vectorielles conçues dans InDesign, puis vectorisées ne soient pas préservés. Pour conserver un maximum de vecteurs d’objets, sélectionnez l’aplatissement prédéfini des transparences [Haute résolution] dans la zone Avancé de la boîte de dialogue Imprimer ou Exporter au format Adobe PDF.
Effets de transparence
Les couleurs quadrichromiques et les tons directs constituent les deux principaux types d’encres utilisés en impression commerciale. Dans le panneau Nuancier, vous avez la possibilité d’identifier le type d’une couleur à l’aide de l’icône située en regard de son nom. Tenez compte du support final lorsque vous appliquez de la couleur aux tracés et aux images, de manière à choisir le mode colorimétrique le mieux adapté. Si votre flux de production de couleurs comprend le transfert de documents d’un périphérique à un autre, il est conseillé d’utiliser un système de gestion des couleurs (SGC) afin d’assurer l’uniformité des couleurs tout au long du processus.
Un ton direct est une encre spéciale prémélangée, utilisée à la place ou en complément d’encres quadrichromiques et qui nécessite sa propre plaque d’impression sur une presse. Il est conseillé d’utiliser des tons directs lorsqu’un nombre limité de couleurs est spécifié et que la précision des couleurs est primordiale. Les tons directs permettent de reproduire fidèlement des couleurs situées hors de la gamme de couleurs quadrichromiques. Toutefois, à l’impression, l’apparence exacte des tons directs dépend du mélange d’encre effectué par l’imprimeur et du papier utilisé, et non des valeurs chromatiques attribuées, ni de la gestion des couleurs. Lorsque vous spécifiez des valeurs de tons directs, vous ne faites que décrire une simulation de l’aspect de la couleur sur votre moniteur ou votre imprimante composite (qui varie selon les limitations de gamme spécifiques à chaque périphérique). Gardez les points suivants à l’esprit lorsque vous spécifiez un ton direct :
Gardez les points suivants à l’esprit lorsque vous spécifiez une couleur quadri :
Remarque : le fait qu’une couleur soit globale ou non influe uniquement sur le mode d’application d’une couleur aux objets, et en aucun cas sur le procédé de séparation des couleurs, ni sur leur comportement en cas de transfert d’une application à une autre.
Couleur Dans InDesign, vous pouvez mélanger des couleurs quadri et des tons directs pour créer des encres mélangées.
« Mélange des encres » à la page 492
La méthode d’application des couleurs nommées dans Adobe InDesign diffère légèrement de celle utilisée dans Adobe Illustrator. Dans Illustrator, vous avez la possibilité de définir des couleurs nommées comme étant des couleurs globales ou non globales. Dans InDesign, toutes les couleurs sans nom sont traitées comme des couleurs quadri non globales. Dans InDesign, les nuances sont les équivalents des couleurs globales. Les nuanciers facilitent les modifications générales des couleurs, car ils évitent d’avoir à rechercher et à retoucher chaque objet séparément. Ils conviennent particulièrement aux documents standardisés et à grand tirage, tels que les magazines. Les couleurs InDesign étant liées aux nuances du panneau Nuancier, tout changement apporté à une nuance se répercute sur tous les objets auxquels la couleur est appliquée. Dans InDesign, les couleurs non globales correspondent aux couleurs sans nom. Les couleurs sans nom n’apparaissent pas dans le panneau Nuancier, et elles ne sont pas mises à jour automatiquement à l’échelle du document lorsqu’elles sont modifiées dans le panneau Couleur. Vous pouvez toutefois ajouter ultérieurement une couleur sans nom au panneau Nuancier. Le fait qu’une couleur soit nommée ou sans nom influe uniquement sur la façon dont une couleur est mise à jour dans le document, et en aucun cas sur le procédé de séparation des couleurs, ni sur leur comportement en cas de transfert d’une application à une autre.
Application de couleurs Adobe InDesign dispose d’un grand nombre d’outils d’application des couleurs, notamment le panneau Outils, le panneau Nuancier, le panneau Couleur et le sélecteur de couleurs. Lorsque vous appliquez une couleur, vous pouvez préciser si celle-ci s’applique au contour ou au fond d’un objet. Le contour renvoie à la bordure ou à l’encadrement d’un objet, tandis que le fond correspond à son arrière-plan. Lorsque vous appliquez une couleur à un bloc de texte, vous pouvez préciser si celle-ci affecte l’encadrement du texte ou le texte situé à l’intérieur du bloc. 1 Sélectionnez l’objet à colorer en utilisant l’une des méthodes suivantes :
Pour modifier la couleur des espaces dans un contour en tirets, en pointillé ou en bandes, utilisez le panneau Contour. 2 Dans le panneau Outils, Couleur ou Nuancier, sélectionnez la commande La mise en forme agit sur le texte ou La
3 Dans le panneau Outils, Couleur ou Nuancier, sélectionnez la case Fond ou Contour pour définir le fond ou le
A. Case Fond B. La mise en forme agit sur le conteneur C. Case Contour D. La mise en forme agit sur le texte
• Cliquez deux fois sur la case Fond ou Contour du panneau Outils ou sur le panneau Couleur pour ouvrir le sélecteur de couleurs. Sélectionnez la couleur souhaitée, puis cliquez sur OK. Vous pouvez appliquer de la couleur à n’importe quelle image en niveaux de gris, à condition qu’elle ne contienne ni couche alpha ni couche de tons directs. Si vous avez importé une image avec un masque, sélectionnez le masque au moyen de l’outil Sélection directe pour appliquer la couleur uniquement à la zone rognée.
Le sélecteur de couleurs vous permet de choisir les couleurs à partir d’un champ de couleur ou de spécifier les couleurs numériquement. Vous pouvez définir les couleurs au moyen des modèles colorimétriques RVB, LAB ou CMJN. 1 Cliquez deux fois sur la case Fond ou Contour du panneau Outils ou sur le panneau Couleur pour ouvrir le sélecteur
2 Pour modifier le spectre des couleurs affiché dans le sélecteur de couleurs, cliquez sur une lettre : R (rouge), V (vert)
• Saisissez des valeurs dans les zones de texte. 4 Pour enregistrer la couleur en tant que nuance, cliquez sur Ajouter une nuance CMJN, Ajouter la nuance RVB ou
Le panneau Outils affiche la dernière couleur ou le dernier dégradé appliqué. Vous pouvez appliquer cette couleur ou ce dégradé directement à partir du panneau Outils. 1 Sélectionnez l’objet ou le texte à colorer. 2 Dans le panneau Outils, cliquez sur le bouton Fond ou Contour selon la partie du texte ou de l’objet à colorer. 3 Dans le panneau Outils, effectuez l’une des opérations suivantes :
Suppression de la couleur du fond ou du contour 1 Sélectionnez le texte ou l’objet dont vous voulez supprimer la couleur.
Couleur 3 Cliquez sur le bouton Aucun
Vous pouvez appliquer facilement des couleurs ou des dégradés en les faisant glisser d’une source de couleur vers un objet ou un panneau. Le glisser-déposer permet d’appliquer des couleurs et des dégradés aux objets sans les sélectionner au préalable. Vous pouvez faire glisser les éléments suivants :
• La case de dégradé du panneau Dégradé. • Les nuances du panneau Nuancier. • La dernière nuance utilisée, située en regard de l’icône hors gamme
Si vous faites glisser une ou plusieurs nuances du panneau Nuancier ou une nuance située en regard d’une icône non imprimable, vous pouvez les déposer dans une autre fenêtre de document InDesign pour les ajouter à son panneau Nuancier.
1 A l’aide de l’outil Sélection 3 Dans le panneau Nuancier, sélectionnez la case Fond ou Contour. 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes : a Pour appliquer une couleur au texte sélectionné, cliquez sur le bouton Texte
Les couleurs de fond ou de contour par défaut se définissent comme les autres paramètres par défaut InDesign. Choisissez Edition > Tout désélectionner pour vous assurer qu’aucun objet n’est sélectionné, puis choisissez une couleur.
Bien que le panneau Nuancier soit l’outil recommandé pour manipuler les couleurs, vous pouvez également les mélanger à l’aide du panneau Couleur, dont le fonctionnement vous est sûrement familier si vous utilisez d’autres logiciels Adobe comme Adobe Illustrator.
Couleur Pour modifier la couleur du fond ou du contour 1 Sélectionnez l’objet ou le texte à modifier. 2 Si le panneau Couleur n’est pas affiché, sélectionnez Fenêtre > Couleur. 3 Sélectionnez la case Fond ou Contour dans le panneau Couleur.
5 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Choisissez un modèle colorimétrique LAB, CMJN ou RVB dans le menu du panneau Couleur, puis utilisez les curseurs pour modifier les valeurs chromatiques. Vous pouvez également saisir des valeurs numériques dans les zones situées en regard des curseurs de couleurs.
• Cliquez deux fois sur la case Fond ou Contour, puis sélectionnez une couleur dans le sélecteur de couleurs. Cliquez sur OK. 6 Si une icône d’avertissement hors gamme
CMJN les plus proches de la couleur initialement spécifiée, cliquez sur la petite case de couleur en regard de l’icône d’avertissement.
1 Dans le panneau Couleur, assurez-vous que la case Fond ou Contour affiche la couleur à ajouter. 2 Dans le menu du panneau, choisissez Ajouter au nuancier.
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Dans la boîte de dialogue Nouvelle couleur ou Options de nuance, cliquez sur la case de couleur en maintenant la touche Maj enfoncée.
Couleur Utilisez l’outil Pipette pour copier les attributs de fond et de contour, tels que la couleur, d’un objet contenu dans un fichier InDesign, y compris les images importées. Par défaut, l’outil Pipette charge tous les attributs de fond et de contour disponibles d’un objet et les définit comme paramètres par défaut pour tout nouvel objet dessiné. Vous pouvez utiliser la boîte de dialogue Options de la pipette pour modifier les attributs que cet outil copie. Vous pouvez aussi utiliser l’outil Pipette pour copier les attributs de texte et de transparence. Remarque : si un attribut n’est pas répertorié dans la boîte de dialogue Options de la pipette, il ne peut pas être copié avec cet outil.
1 Sélectionnez un ou plusieurs objets dotés d’attributs de fond et de contour à modifier. 2 Sélectionnez l’outil Pipette
4 Pour appliquer les même attributs à d’autres objets, cliquez sur ces derniers avec la pipette pleine. Si un objet est
1 Appuyez sur Alt (Windows) ou Option (Mac OS) lorsque l’outil Pipette
1 Dans le panneau Outils, cliquez deux fois sur l’outil Pipette
3 Sélectionnez les attributs de fond et de contour à copier avec l’outil Pipette, puis cliquez sur OK.
Lorsque le contour ou le fond du texte sélectionné ou d’un objet contient une couleur appliquée à partir du panneau Nuancier, la nuance appliquée est mise en surbrillance dans le panneau Nuancier. Les nuances que vous créez ne sont associées qu’au document actif. Chaque document peut être doté de différents ensembles de nuances stockés dans le panneau Nuancier. Les nuances vous permettent d’identifier clairement les tons directs lorsque vous travaillez avec un prestataire de services prépresse. Vous pouvez également spécifier les paramètres de couleur dans un profil de contrôle en amont, afin de déterminer les valeurs correctes pour votre imprimeur. Six couleurs CMJN apparaissent dans le panneau Nuancier par défaut : cyan, magenta, jaune, rouge, vert et bleu. Remarque : lorsque vous imprimez un livre dont les chapitres contiennent des nuances en conflit, vous pouvez configurer InDesign de façon à synchroniser les paramètres avec le document type (voir la section « Synchronisation des documents d’un livre » à la page 312).
« Présentation des tons directs et des couleurs quadri » à la page 468 « Importation de nuances » à la page 481 « Mélange des encres » à la page 492 « Teintes » à la page 485
Le panneau Nuancier contient les types de nuances suivants : Couleurs Les icônes du panneau Nuancier identifient les types de tons directs
situés derrière un objet de couleur papier ne s’imprimeront pas à l’endroit où cet objet les chevauche. C’est la couleur du papier sur lequel vous imprimez qui apparaîtra. Vous pouvez personnaliser la couleur Papier en cliquant deux fois dessus dans le panneau Nuancier. Utilisez la couleur Papier à des fins de prévisualisation uniquement : elle n’apparaîtra pas sur une imprimante composite ni en séparations de couleurs. Il est impossible de supprimer cette nuance. N’appliquez pas la nuance Papier pour supprimer la couleur d’un objet. Utilisez plutôt la nuance Aucune.
Noir Le Noir est une couleur quadri à 100 % de noir intégrée définie à partir du modèle colorimétrique CMJN. Il est
Vous pouvez également ajouter des couleurs au panneau Nuancier à partir de n’importe quelle bibliothèque de couleurs, de sorte qu’elles soient enregistrées avec votre document
Vous pouvez modifier la taille des nuances et activer ou non l’affichage de leur nom. 1 Dans le menu du panneau Nuancier, choisissez l’une des options suivantes :
• Les options Affichage par petites vignettes et Affichage par grandes vignettes ne permettent d’afficher que la nuance. Un triangle avec un point dans le coin de la vignette indique un ton direct. Un triangle sans point indique une couleur quadri. 2 Pour définir quel type de nuances doit être affiché, cliquez sur l’un des boutons suivants situés au bas du panneau
Avant de créer des nuances, demandez à votre prestataire de services d’impression de vous fournir les paramètres corrects. Vous pouvez spécifier les paramètres de couleur dans un profil de contrôle en amont, afin de mettre en évidence les valeurs incorrectes pour votre imprimeur.
« Utilisation de couleurs provenant de graphiques importés » à la page 495 « Contrôle en amont de fichiers avant envoi » à la page 652
Couleur 2 Dans Type, choisissez la méthode à utiliser pour imprimer les couleurs des documents sur la presse d’imprimerie. 3 Dans Nom de la nuance, utilisez l’une des méthodes suivantes :
4 Dans Mode, choisissez le mode de définition des couleurs à utiliser. Evitez de modifier ce mode après avoir défini
5 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
6 Si une icône d’avertissement hors gamme
• Cliquez sur OK pour ajouter la nuance et fermer la boîte de dialogue. Pour définir directement un ton direct à l’aide du bouton Nouvelle nuance du panneau Nuancier, assurez-vous qu’aucune nuance n’est sélectionnée et maintenez les touches Alt+Ctrl (Windows) ou Option+Commande (Mac OS) enfoncées tout en cliquant sur le bouton Nouvelle nuance .
1 Sélectionnez l’objet. 2 Dans le panneau Outils ou le panneau Nuancier, sélectionnez la case Fond ou Contour. 3 Dans le panneau Nuancier, utilisez l’une des méthodes suivantes :
Pour ajouter des couleurs sans nom au panneau Nuancier Bien qu’il soit possible de créer des couleurs au moyen du panneau Couleur ou du sélecteur de couleurs, il est difficile par la suite de modifier et d’utiliser avec cohérence les couleurs sans nom. Utilisez l’option Ajouter les couleurs sans nom pour rechercher les couleurs sans nom appliquées aux objets dans le document, puis ajoutez-les au panneau Nuancier. Un nom est automatiquement attribué aux couleurs en fonction de leurs composants CMJN, RVB ou LAB. ❖ Dans le panneau Nuancier, choisissez la commande Ajouter les couleurs sans nom.
Couleur « Importation de nuances » à la page 481 « Encres, séparations et linéature » à la page 679 « Mélange des encres » à la page 492
Vous pouvez modifier les nuances apparaissant par défaut dans les nouveaux documents. 1 Fermez tous les documents actifs. 2 Modifiez les nuances selon vos besoins dans le panneau Nuancier.
Vous pouvez également dupliquer les nuances, ce qui permet notamment de créer une variante plus chaude ou plus froide d’une couleur existante. Sachez toutefois que chaque ton direct créé nécessite une plaque d’impression supplémentaire. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes : • Sélectionnez une nuance et cliquez sur le bouton Nouvelle nuance
Vous pouvez modifier tous les attributs d’une nuance à l’aide de la boîte de dialogue Options de nuance. Des options supplémentaires sont disponibles lors de la modification de nuances et de groupes d’encres mélangées. 1 Dans le panneau Nuancier, sélectionnez une nuance et utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Choisissez Options de nuance dans le menu du panneau Nuancier. 2 Modifiez les différents paramètres, puis cliquez sur OK.
Par défaut, le nom d’une couleur quadri provient des valeurs la composant. Ainsi, si vous créez une couleur quadri rouge en utilisant 10 % de cyan, 75 % de magenta, 100 % de jaune et 0 % de noir, cette nuance est nommée par défaut C=10 M=75 J=100 N=0. Cela facilite l’identification des composants des couleurs quadri. Par défaut, le nom d’une couleur quadri est automatiquement mis à jour lorsque vous modifiez ses valeurs CMJN. Vous pouvez activer ou désactiver cette option pour chacune des nuances à votre convenance. Comme pour toute nuance que vous définissez, vous pouvez modifier le nom d’une couleur quadri à tout moment. 1 Cliquez deux fois sur une couleur quadri dans le panneau Nuancier. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes, puis cliquez sur OK :
Suppression de nuances individuelles Lorsque vous supprimez une nuance qui a été appliquée à un objet dans le document, InDesign vous invite à choisir une nuance de remplacement. Vous pouvez sélectionner une nuance existante ou une nuance sans nom. Si vous supprimez une nuance basée sur une teinte ou sur une encre mélangée, vous êtes invité à choisir une nuance de remplacement. 1 Sélectionnez une ou plusieurs couleurs. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Cliquez sur l’icône de suppression située au bas du panneau Nuancier. Remarque : vous ne pouvez pas supprimer les tons directs utilisés par des graphiques importés dans le document. Pour les supprimer, il faut d’abord supprimer le graphique. Toutefois, dans de rares cas, le ton direct ne peut pas être supprimé même si le graphique a été supprimé. Dans ce cas, utilisez la commande Fichier > Exporter pour créer un fichier InDesign Interchange (INX). Ensuite, rouvrez ce fichier dans InDesign. 3 Un message s’affiche pour vous demander comment remplacer les nuances supprimées. Utilisez l’une des méthodes
1 Choisissez l’option Sélectionner toutes les nuances inutilisées dans le menu du panneau Nuancier. Seules les
2 Cliquez sur l’icône de suppression.
Lorsque vous importez des nuances ou copiez des éléments d’autres documents, vous risquez d’obtenir des nuances en double appliquées à différents objets. La commande Fusionner les nuances permet d’éliminer ces doublons. 1 Dans le panneau Nuancier, sélectionnez plusieurs nuances en double. 2 Choisissez la commande Fusionner les nuances dans le menu du panneau Nuancier.
Pour utiliser des nuances dans d’autres fichiers ou pour les partager avec d’autres graphistes, vous pouvez enregistrer les nuances au format d’échange de nuances Adobe (.ase). Tout comme Illustrator et Adobe Photoshop, InDesign peut importer des nuances à partir d’un fichier Colorbook. 1 Dans le panneau Nuancier, sélectionnez les nuances à enregistrer. 2 Choisissez la commande Enregistrer le nuancier dans le menu du panneau Nuancier. 3 Spécifiez un nom et un emplacement pour le fichier puis cliquez sur Enregistrer.
Couleur 1 Dans le panneau Nuancier, créez les nuances de couleurs quadrichromiques et de tons directs que vous souhaitez
Remarque : il est impossible de partager les types de nuances suivants entre différentes applications : motifs, dégradés, encres et teintes mélangées, et repérage provenant d’Illustrator ou d’InDesign, références de catalogue de couleurs et TSL, XYZ, bichrome, RVB moniteur, opacité, encrage total et RVB Web de Photoshop. Ces types de nuanciers sont automatiquement exclus lorsque vous enregistrez des nuanciers. 2 Sélectionnez l’option Enregistrer le nuancier dans le menu du panneau Nuancier et enregistrez les bibliothèques de
3 Chargez la bibliothèque de nuances dans le panneau Nuancier pour Photoshop, Illustrator ou InDesign.
Vous pouvez importer des couleurs et dégradés issus d’autres documents et ajouter autant de nuances que vous le souhaitez au panneau Nuancier. Vous pouvez charger des nuances à partir de fichiers InDesign (.indd), de modèles InDesign (.indt), de fichiers Illustrator (.ai ou .eps) et de fichiers d’échange de nuances Adobe (.ase) créés dans InDesign, Illustrator ou Photoshop. Les fichiers d’échange de nuances Adobe contiennent des nuances enregistrées au format d’échange de nuances Adobe. InDesign inclut également des bibliothèques de couleurs provenant d’autres systèmes de couleurs tels que PANTONE Process Color System®. Remarque : les tons directs utilisés par les fichiers EPS, PDF, TIFF et Adobe Photoshop (PSD) sont également ajoutés au panneau Nuancier.
importer des nuances. 3 Cliquez sur le bouton Ouvrir. 4 Sélectionnez les nuances à importer. 5 Cliquez sur OK.
1 Dans le menu du panneau Nuancier, choisissez l’option Charger un nuancier. 2 Cliquez deux fois sur un document InDesign.
Couleur également copier les teintes et dégradés de la nuance, il est nécessaire de copier l’objet d’origine et pas seulement la nuance. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Sélectionnez les nuances à copier et faites-les glisser du panneau Nuancier vers la fenêtre d’un autre document InDesign. Remarque : si vous faites glisser une nuance ayant un nom identique à celui d’une nuance existante (casse comprise), mais dont les valeurs de couleur sont différentes, InDesign renomme la nuance : « [nom de la nuance d’origine] 2 ».
Plusieurs bibliothèques de couleurs (dont PANTONE Process Color System, Toyo™ Ink Electronic Color Finder™ 1050, le système de couleurs Focoltone®, le nuancier Trumatch™ et DIC Process Color Note) sont à votre disposition, sans oublier les bibliothèques conçues spécialement pour le Web. Avant d’utiliser des nuances provenant d’un système de concordances des couleurs, demandez à vos prestataires de services prépresse quel système ils utilisent. 1 Dans le menu du panneau Nuancier, choisissez l’option Nouvelle couleur. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Choisissez la commande Autre bibliothèque dans la liste Mode, localisez le fichier de bibliothèque, puis cliquez sur le bouton Ouvrir. 3 Sélectionnez une ou plusieurs nuances dans la bibliothèque, puis cliquez sur Ajouter (pour fermer la boîte de
4 Une fois l’ajout des nuances terminé, cliquez sur Terminer.
InDesign installe des bibliothèques de couleurs pour les couleurs correspondant aux systèmes décrits ci-dessous. Vous pouvez installer des bibliothèques de couleurs supplémentaires et charger des nuances à partir de ces bibliothèques dans InDesign. Couleur ANPA Cette bibliothèque comporte 300 couleurs sélectionnées par l’ANPA (American Newspaper Publishers
Couleur DIC Comporte 1 280 tons directs CMJN provenant de la bibliothèque DIC Process Color Note. A chaque
Focoltone Le système de couleurs FOCOLTONE comporte 763 couleurs CMJN. Vous pouvez utiliser les couleurs
Vous pouvez obtenir auprès de Focoltone un catalogue d’échantillons regroupant les spécifications de couleurs pour la quadrichromie et les tons directs, des tables de surimpression et un système de marquage des maquettes. Pour plus d’informations, contactez Focoltone International, Ltd., à Stafford (Royaume-Uni). HKS A utiliser lorsque le travail d’impression spécifie des couleurs relevant du système HKS utilisé en Europe.
Couleur Vous pouvez imprimer une couleur PANTONE en aplat en CMJN. Pour comparer une couleur PANTONE en aplat à la couleur quadri la plus proche, utilisez le guide de correspondance des couleurs quadri en tons directs PANTONE. Les pourcentages de teintes écran CMJN sont indiqués sous chaque couleur. Le guide est imprimé sur papier couché plus lumineux et indique les correspondances entre les 147 nouvelles couleurs en aplat et leurs équivalents CMJN. Le guide des tons directs PANTONE vous permet de choisir parmi 3 000 combinaisons de tons directs, imprimées sur papier couché et non couché. Sa présentation en éventail et le classement des couleurs dans l’ordre chromatique facilite le choix des couleurs et la consultation des valeurs d’écran CMJN. Pour plus d’informations, contactez Pantone, Inc., à Carlstadt, New Jersey (Etats-Unis). Système (Windows) Ce système inclut les 256 couleurs du panneau 8 bits par défaut de Windows reposant sur un
Système (Mac OS) Ce système inclut les 256 couleurs du panneau 8 bits par défaut de Mac OS reposant sur un échantillonnage uniforme des couleurs RVB. Toyo Color Finder Cette bibliothèque comporte 1050 couleurs correspondant aux encres d’impression les plus courantes au Japon. Vous pouvez utiliser la bibliothèque Toyo 94 Color Finder ou sa version plus récente. Consultez le catalogue des couleurs Toyo contenant des échantillons des diverses encres. Vous pouvez vous le procurer auprès des imprimeurs et des magasins spécialisés dans les arts graphiques. Pour plus d’informations, contactez Toyo Ink Manufacturing Co., Ltd., à Tokyo (Japon). Trumatch Ce système propose des équivalences CMJN pour plus de 2 000 couleurs générées électroniquement. Les
Trumatch Color Finder affiche jusqu’à 40 teintes et nuances par tonalité, créées en quadrichromie et reproductibles en ce mode sur photocomposeuse électronique. En outre, ce système comprend des gris quadrichromiques de différents niveaux. Pour plus d’informations, contactez Trumatch Inc., à New York, New York (Etats-Unis). Web Ce système inclut les 216 couleurs RVB Web sécurisées les plus souvent utilisées pour afficher des images 8 bits.
A propos du panneau Kuler Le panneau Kuler™ vous permet d’accéder à des groupes de couleurs et à des thèmes créés par la communauté de concepteurs en ligne. Vous pouvez l’utiliser pour parcourir des milliers de thèmes sur Kuler™ et pour télécharger ceux de votre choix afin de les modifier ou de les inclure dans vos projets. Vous pouvez également utiliser le panneau Kuler pour créer et enregistrer des thèmes. Il vous suffit ensuite de les télécharger pour les partager avec la communauté Kuler. Le panneau Kuler est disponible dans Adobe Photoshop® CS4, Adobe Flash® Professional CS4, Adobe InDesign® CS4, Adobe Illustrator® CS4 et Adobe Fireworks® CS4. Le panneau n’est pas disponible dans les versions françaises de ces produits. Une vidéo consacrée au panneau Kuler est disponible à l’adresse suivante : www.adobe.com/go/lrvid4088_xp_fr.
Couleur Il convient de disposer d’une connexion Internet pour parcourir les thèmes en ligne. Recherche de thèmes 1 Choisissez la commande Fenêtre > Extensions > Kuler, puis sélectionnez le panneau Parcourir. 2 Effectuez l’une des opérations suivantes :
Remarque : utilisez uniquement des caractères alphanumériques (Aa-Zz, 0-9) lors d’une recherche. Affichage d’un thème en ligne sur Kuler 1 Accédez au panneau Parcourir, puis sélectionnez un thème dans la liste des résultats de la recherche. 2 Cliquez sur le triangle situé à droite du thème et sélectionnez l’option Afficher la version en ligne dans Kuler.
1 Sélectionnez l’option Personnalisé dans le premier menu déroulant du panneau Parcourir. 2 Dans la boîte de dialogue qui s’affiche, entrez les termes à rechercher et enregistrez-les.
Pour supprimer une recherche enregistrée, sélectionnez l’option Personnalisé dans le menu déroulant. Effacez ensuite les recherches à supprimer et cliquez sur la commande Enregistrer.
Le panneau Kuler vous permet de créer ou de modifier des thèmes et de les utiliser dans le cadre d’un projet. Remarque : si vous souhaitez créer ou modifier des thèmes dans Illustrator, vous devez utiliser la boîte de dialogue Modifier les couleurs/Redéfinir les couleurs de l’illustration plutôt que le panneau Création. Pour plus de détails, reportez-vous à l’aide d’Illustrator. Ajout d’un thème au panneau Nuancier de votre application 1 Dans le panneau Parcourir, sélectionnez le thème que vous souhaitez utiliser. 2 Cliquez sur le triangle situé à droite du thème et sélectionnez l’option Ajouter au nuancier.
Ajouter au nuancier situé au bas du panneau. Modification d’un thème 1 Accédez au panneau Parcourir, recherchez le thème que vous souhaitez modifier dans la liste des résultats et cliquez deux fois sur ce thème. Le thème s’ouvre dans le panneau Créer. 2 Dans le panneau Créer, modifiez le thème à l’aide des outils mis à votre disposition. Pour plus de détails, reportez-
• Téléchargez le thème vers le service Kuler à l’aide du bouton de téléchargement situé en bas du panneau. Outils du panneau Créer Le panneau Créer fournit différents outils permettant de créer ou de modifier des thèmes.
• Utilisez la roue chromatique pour gérer les couleurs. A mesure que vous effectuez des modifications, les couleurs du groupe de couleurs sont générées en fonction de la règle d’harmonie sélectionnée.
• Définissez l’une des quatre autres couleurs du groupe de couleurs comme couleur de base. Sélectionnez la case de la couleur et cliquez sur le bouton en forme de cible situé en dessous du groupe de couleurs.
Supprimer la couleur situé en dessous du groupe de couleurs. Pour ajouter une nouvelle couleur, sélectionnez une case de couleur vide et cliquez sur le bouton Ajouter une couleur.
A propos des teintes Une teinte est une variante filtrée (plus claire) d’une couleur. La création de teintes constitue une façon économique de créer de nouvelles variantes de tons directs sans avoir à acheter d’autres encres de ton direct. Elle permet également de créer rapidement des variantes plus claires des couleurs quadri, bien que cela ne réduise pas le coût d’impression des couleurs quadri. Comme pour les autres couleurs, il est préférable de nommer et de stocker les teintes dans le panneau Nuancier de manière à pouvoir modifier facilement toutes les occurrences de la teinte dans le document.
Couleur La gamme de teintes dans Adobe Creative Suite 3 est comprise entre 0 et 100 % ; plus la valeur est faible, plus la teinte est claire.
Vous pouvez modifier la teinte d’un objet spécifique ou créer des teintes à l’aide du curseur Teinte du panneau Nuancier ou du panneau Couleur. La gamme de teintes est comprise entre 0 et 100 % ; plus la valeur est faible, plus la teinte est claire. Etant donné que les couleurs et les teintes sont mises à jour en même temps, lorsque vous modifiez une nuance, tous les objets qui utilisent une teinte de cette nuance sont modifiés en conséquence. Vous pouvez également modifier la nuance de base d’une teinte nommée à l’aide de la commande Options de nuance du menu du panneau Nuancier ; toutes les autres teintes reposant sur la même nuance sont alors mises à jour.
1 Dans le panneau Nuancier, sélectionnez une couleur. 2 Sélectionnez la flèche en regard de la case Teinte. 3 Déplacez le curseur Teinte, puis cliquez sur le bouton Nouvelle nuance
La teinte apparaît dans le panneau Nuancier avec le nom de sa couleur de base et le pourcentage de la teinte.
1 Dans le panneau Nuancier, sélectionnez une nuance. 2 Dans le panneau Couleur, déplacez le curseur Teinte ou entrez une valeur de teinte dans la case Pourcentage. 3 Dans le menu du panneau Couleur, choisissez l’option Ajouter au nuancier.
Couleur 1 Dans le panneau Nuancier, sélectionnez la case Fond ou Contour. 2 Déplacez le curseur Teinte ou entrez une valeur de teinte dans la case Pourcentage.
1 Dans le panneau Nuancier, cliquez deux fois sur la teinte. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes, puis cliquez sur OK :
• Pour modifier la couleur de base de la teinte, changez le mode colorimétrique ou les valeurs du mode colorimétrique. Toutes les autres teintes reposant sur la même couleur sont également mises à jour.
A propos des dégradés Un dégradé résulte d’une fusion progressive entre au moins deux couleurs ou teintes de même valeur chromatique. La séparation des couleurs du dégradé dépend du périphérique de sortie utilisé. Les dégradés peuvent inclure des couleurs quadri, des tons directs, la nuance Papier ou des nuances d’encres mélangées utilisant n’importe quel mode colorimétrique. Les dégradés sont définis par un ensemble de paliers de couleur (appelés étapes de dégradé) sur la gamme des dégradés. Une étape de dégradé, représentée par un taquet de couleur situé audessous de la barre de dégradé, correspond au point auquel un dégradé passe d’une couleur à une autre. Par défaut, les dégradés commencent avec deux couleurs et un point médian à 50 %. Remarque : si vous créez un dégradé à partir de couleurs reposant sur des modes colorimétriques différents, puis que vous imprimez le dégradé ou en séparez les couleurs, toutes les couleurs sont converties en couleurs quadri CMJN. Le changement de mode colorimétrique peut entraîner un glissement des couleurs. Pour obtenir de meilleurs résultats, définissez les dégradés en utilisant des couleurs CMJN.
« A propos de l’impression » à la page 630
3 Dans Type, choisissez Linéaire ou Radial. 4 Sélectionnez la première étape du dégradé.
Par défaut, le premier palier de couleur du dégradé correspond au blanc. Pour rendre ce palier transparent, appliquez la nuance Papier. 6 Pour modifier la dernière couleur du dégradé, sélectionnez la dernière étape de dégradé et répétez l’étape 5. 7 Pour régler la position des couleurs de dégradé, utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Sélectionnez une étape de dégradé sous la barre et entrez une valeur dans la zone Emplacement pour définir la position de la couleur. La position représente la distance qui sépare une couleur, en pourcentage, de la couleur précédente et de la couleur suivante. 8 Pour régler le point médian entre deux couleurs du dégradé (le point au niveau duquel les couleurs sont chacune à
• Sélectionnez le losange situé au-dessus de la barre et entrez une valeur dans la zone Emplacement pour définir la position de cette couleur. La position représente la distance qui sépare une couleur, en pourcentage, de la couleur précédente et de la couleur suivante.
Couleur Bien que le panneau Nuancier soit l’outil recommandé pour créer et enregistrer des dégradés, vous pouvez également mélanger les dégradés à l’aide du panneau Dégradé, dont le fonctionnement vous est sûrement familier si vous utilisez Adobe Illustrator. Vous pouvez ajouter à tout moment le dégradé actif au panneau Nuancier. Le panneau Dégradé permet, par exemple, de créer un dégradé sans nom qui ne sera pas utilisé très souvent.
3 Pour ouvrir le panneau Dégradé, choisissez Fenêtre > Dégradé ou cliquez deux fois sur l’outil Dégradé
4 Pour définir la couleur de départ d’un dégradé, cliquez sur l’étape de dégradé située le plus à gauche, sous la barre
• Cliquez sur une nuance du panneau Nuancier tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée.
5 Pour définir la couleur d’arrivée du dégradé, cliquez sur l’étape de dégradé située le plus à droite sous la barre des
6 Sélectionnez Linéaire ou Radial dans le menu Type et réglez la couleur et le point médian comme indiqué dans la
Remarque : lorsque vous modifiez le type de dégradé, les points de départ et d’arrivée du dégradé reprennent leur valeur par défaut pour l’objet sélectionné. 7 Pour régler l’angle du dégradé, entrez une valeur dans la zone Angle.
Pour modifier les dégradés, ajoutez des couleurs (pour obtenir des dégradés multicolores) ou redéfinissez leurs points médians et leurs étapes. Il est conseillé d’appliquer le dégradé au fond d’un objet afin d’en prévisualiser l’effet sur l’objet et de le régler.
Couleur Pour ajouter des couleurs intermédiaires à un dégradé 1 Cliquez deux fois sur un dégradé dans le panneau Nuancier ou affichez le panneau Dégradé. 2 Cliquez sous la barre des dégradés pour ajouter une nouvelle étape de dégradé. La nouvelle étape prend
3 Réglez la nouvelle étape de dégradé.
❖ Sélectionnez l’étape de dégradé intermédiaire et faites-la glisser hors du panneau.
1 Activez un dégradé. 2 Dans le panneau Dégradé, cliquez sur le bouton Inverser
Une fois qu’un fond en dégradé est appliqué à un objet, vous pouvez modifier le dégradé à l’aide de l’outil Dégradé ou de l’outil Contour progressif dégradé afin de « repeindre » le fond en déplaçant le pointeur le long d’une trajectoire imaginaire. Les outils Dégradé vous permettent de modifier le sens du dégradé, ses points de départ et d’arrivée et de l’appliquer à plusieurs objets. L’outil Contour progressif dégradé vous permet de lisser le dégradé dans la direction dans laquelle vous faites glisser l’outil. 1 Dans le panneau Nuancier ou Outils, sélectionnez la case Fond ou Contour selon l’emplacement du dégradé
2 Sélectionnez l’outil Dégradé et placez-le à l’endroit où vous souhaitez définir le point de départ du dégradé. Faites
En faisant glisser l’outil Contour progressif dégradé sur le dégradé, vous pouvez adoucir progressivement les couleurs du dégradé dans la zone dans laquelle vous le faites glisser. 3 Relâchez le bouton de la souris à l’endroit choisi pour la couleur d’arrivée.
1 Assurez-vous que tous les objets sélectionnés utilisent déjà un dégradé. 2 Dans le panneau Outils, sélectionnez la case Fond ou Contour. 3 Sélectionnez l’outil Dégradé
Faites glisser le pointeur sur l’objet en suivant le sens du dégradé recherché. Maintenez la touche Maj enfoncée afin de contraindre l’outil à appliquer un multiple de 45°.
Couleur Si un tracé transparent avec dégradé est sélectionné, vous pouvez modifier le dégradé sur tous ses sous-tracés à l’aide du seul panneau Dégradé, sans avoir à recourir à l’outil Dégradé.
Il est possible de créer plusieurs groupes de texte dégradé coexistant avec du texte noir par défaut et du texte en couleurs dans un même bloc de texte. Les extrémités des dégradés sont toujours ancrées au cadre de sélection du tracé ou du bloc de texte. Chaque caractère affiche la portion du dégradé sur lequel il se trouve. Si vous redimensionnez le bloc de texte ou que vous effectuez d’autres modifications affectant la répartition du texte, les caractères n’occupent plus la même place sur le dégradé et leur couleur change en conséquence.
Il est possible de sélectionner plusieurs groupes de texte et de leur appliquer différents dégradés dans un même bloc de texte. Chaque dégradé est ajouté au bloc de texte et associé aux caractères sélectionnés lors de l’application du dégradé. Les extrémités des dégradés restent toutefois ancrées au cadre de sélection du bloc de texte et non à chaque groupe de texte.
Création et modification de nuances d’encres mélangées Lorsque vous disposez d’un nombre d’encres limité pour obtenir le maximum de couleurs imprimées, vous pouvez créer de nouvelles nuances en mélangeant deux tons directs ou un ton direct avec une ou plusieurs couleurs quadri. Vous pouvez ainsi augmenter le nombre de couleurs disponibles sans augmenter le nombre de séparations utilisées pour imprimer le document. Vous pouvez créer une seule nuance d’encres mélangées ou plusieurs à la fois en créant un groupe d’encres mélangées. Un groupe d’encres mélangées contient une série de couleurs créées à partir de pourcentages incrémentés de différentes couleurs quadri et tons directs. Par exemple, le mélange de quatre teintes de cyan quadri (20 %, 40 %, 60 % et 80 %) avec cinq teintes d’un ton direct (10 %, 20 %, 30 %, 40 % et 50 %) produit un groupe d’encres mélangées contenant 20 nuances distinctes.
2 Attribuez un nom à la nuance. 3 Pour inclure une encre dans la nuance, cliquez sur la case vide en regard de son nom. Une icône d’encre
4 Ajustez le pourcentage de chaque encre à inclure dans la nuance en déplaçant le curseur ou en entrant une valeur
5 Pour ajouter la nuance au panneau Nuancier, cliquez sur Ajouter ou sur OK.
1 Dans le menu du panneau Nuancier, cliquez sur l’option Nouveau groupe d’encres mélangées (cette option est
2 Attribuez un nom au groupe. Les couleurs du groupe adopteront ce nom, suivi du suffixe Nuance incrémenté pour
3 Pour inclure une encre dans le groupe, cliquez sur la case vide en regard de son nom. 4 Pour chaque encre sélectionnée, procédez comme suit :
• Dans la zone Répétition, indiquez le nombre d’incrémentations du pourcentage souhaitées. • Dans la zone Incrément, indiquez le pourcentage d’encre à ajouter pour chaque répétition. 5 Cliquez sur Prévisualiser le nuancier afin de générer les nuances sans fermer la boîte de dialogue ; vous pouvez ainsi
Remarque : si le total des valeurs saisies dans les zones Initial, Répétition et Incrément dépasse 100 % d’une encre donnée, un avertissement s’affiche. Si vous décidez de poursuivre malgré tout, InDesign plafonne les pourcentages à 100 %. 6 Cliquez sur OK pour ajouter toutes les encres du groupe au panneau Nuancier.
La modification d’une nuance d’encres mélangées est identique à la modification des autres nuances. Lorsque vous modifiez une nuance ou un groupe d’encres mélangées, tenez compte des points suivants :
InDesign vous invite à choisir une encre de remplacement. Une nuance d’encres mélangées doit contenir au moins un ton direct, faute de quoi elle sera convertie en couleur quadri.
Couleur • Si vous convertissez une encre mélangée en couleur quadri, elle est retirée du groupe d’encres mélangées auquel elle est associée.
1 Dans le panneau Nuancier, cliquez deux fois sur la nuance parent
• Cliquez sur la case figurant en regard d’une encre pour exclure ou inclure celle-ci dans le groupe d’encres mélangées. Remarque : vous ne pouvez pas modifier les pourcentages, répétitions ou incréments définis lors de la création du groupe. 3 Cliquez sur OK.
Utilisez le panneau Nuancier pour supprimer les groupes d’encres mélangées, ajouter des nuances et convertir des nuances d’encres mélangées en couleurs quadri.
❖ Dans le panneau Nuancier, sélectionnez la nuance parent du groupe d’encres mélangées à supprimer, puis cliquez
1 Dans le panneau Nuancier, sélectionnez la nuance parent du groupe d’encres mélangées. 2 Dans le menu du panneau, choisissez Nouvelle couleur. 3 Attribuez un nom à la nuance, si vous le souhaitez. 4 Pour chaque encre répertoriée, spécifiez le pourcentage à ajouter à la nuance d’encres mélangées (vous ne pouvez
Il est possible de réduire les coûts d’impression en convertissant des nuances d’encres mélangées en couleurs quadri. Lorsque vous convertissez la nuance parent d’un groupe d’encres mélangées en couleur quadri, elle disparaît et les autres nuances du groupe sont converties en couleurs quadri. 1 Cliquez deux fois sur la nuance d’encres mélangées à convertir. 2 Dans la zone Type, sélectionnez Quadrichromie et cliquez sur OK.
❖ Cliquez deux fois sur la nuance parent
Utilisation de l’outil Pipette pour échantillonner les couleurs Vous pouvez utiliser l’outil Pipette pour ajouter à votre document des couleurs provenant d’images importées ou pour les appliquer aux objets qu’il contient. Cela permet de coordonner la disposition des couleurs avec les images. Pour obtenir de meilleurs résultats avec les séparations de couleurs, vérifiez que le nom, le type (ton direct ou quadri) et le modèle (tel que RVB ou CMJN) des couleurs échantillonnées dans InDesign correspondent à la définition des couleurs des graphiques importés. En cas de doute sur les meilleurs paramètres à utiliser, consultez votre prestataire de services prépresse.
« Application de couleurs à l’aide de l’outil Pipette » à la page 475
Si vous importez un fichier Photoshop (PSD) ou TIFF dans un document InDesign, les couches de tons directs présentes dans le fichier apparaissent dans le panneau Nuancier du document sous forme de tons directs. Vous pouvez sélectionner et appliquer ces nuances à des objets du document, mais pour les supprimer, vous devez d’abord supprimer l’image importée. Si vous importez un fichier qui contient une couche de tons directs portant le même nom qu’un ton direct déjà présent dans le document, mais dont les valeurs chromatiques diffèrent, un message s’affiche pour vous demander si vous voulez utiliser les valeurs chromatiques du fichier importé ou celles du document.
Si le graphique que vous importez contient un ton direct portant le même nom qu’un ton direct déjà présent dans le document, mais dont les valeurs chromatiques diffèrent, un message s’affiche pour vous demander si vous voulez utiliser les valeurs chromatiques du fichier importé ou celles du document.
Couleur 1 Dans le panneau Nuancier, cliquez deux fois sur la nuance à convertir. 2 Dans la boîte de dialogue Options de nuance, choisissez Quadri dans le menu Type.
Définition de la gestion des couleurs Pourquoi les couleurs ne concordent pas toujours ? Aucun module d’édition n’est capable de reproduire la totalité des couleurs perceptibles à l’œil humain. Chaque périphérique utilise son propre espace colorimétrique, qui produit un ensemble (ou gamme) de couleurs spécifique. Un modèle de couleur détermine la relation qui existe entre les valeurs, tandis que l’espace colorimétrique définit les couleurs absolues désignées par ces valeurs. Certains modèles de couleur (CIE L*a*b, par exemple) se caractérisent par un espace colorimétrique fixe, car ils sont directement liés à la manière dont l’être humain perçoit les couleurs. Ces modèles sont dits indépendants du périphérique. Les autres modèles de couleur (RVB, TSI, TSL, CMJN, etc.) peuvent porter sur plusieurs espaces colorimétriques. Etant donné que ces modèles varient selon l’espace colorimétrique ou le périphérique qui leur est associé, ils sont dits dépendants du périphérique. Du fait de la variation de ces espaces colorimétriques, il est possible que l’aspect des couleurs diffère en cas de transfert de documents d’un périphérique à l’autre. Les variations chromatiques peuvent avoir des origines diverses : différences dans les sources d’images, méthode de définition des couleurs utilisée par les applications logicielles, supports d’impression (le papier journal reproduit une gamme plus réduite que le papier pour magazines et revues), ainsi que d’autres variations naturelles, telles que les différences de fabrication des moniteurs ou l’ancienneté de ces derniers.
Un système de gestion des couleurs convertit les couleurs grâce aux profils colorimétriques. Un profil désigne une description mathématique de l’espace colorimétrique d’un périphérique. Par exemple, un profil de scanner indique à un système de gestion des couleurs comment le scanner « perçoit » les couleurs. Le système de gestion des couleurs d’Adobe fait appel aux profils ICC, format multiplate-forme normalisé, défini par l’International Color Consortium (ICC). Aucune méthode de conversion chromatique ne pouvant convenir à tous les types d’images, un système de gestion des couleurs propose divers modes de rendu (ou méthodes de conversion) pour vous permettre d’appliquer le mode approprié à un élément graphique particulier. Ainsi, une méthode de conversion chromatique reproduisant les relations exactes entre les couleurs d’une photo de safari peut toutefois dénaturer les couleurs d’un logo comportant des teintes en aplat. Remarque : ne confondez pas la gestion des couleurs avec la correction des couleurs. Un système de gestion des couleurs ne corrige pas une image enregistrée avec des problèmes de tons ou d’équilibre des couleurs. Il fournit un environnement vous permettant d’évaluer en toute fiabilité les images dans l’optique de la sortie finale.
« A propos des profils colorimétriques » à la page 512 « A propos des modes de rendu » à la page 521
Sans un système de gestion des couleurs, vos spécifications chromatiques dépendent du périphérique de sortie. La gestion des couleurs n’est pas nécessaire lorsque le processus de production est rigoureusement orienté vers un seul support. Par exemple, vous pouvez préférer, de même que votre prestataire de service d’impression, retoucher des images CMJN et spécifier les valeurs chromatiques appropriées à un environnement d’impression spécifique bien établi. L’importance de la gestion des couleurs augmente avec l’accroissement du nombre de variables dans le processus de production. La gestion des couleurs est recommandée si vous prévoyez de réutiliser des images en couleurs sur des supports d’impression ou en ligne et d’utiliser divers types de périphériques pour un seul support (différentes presses d’imprimerie, par exemple) ou si vous gérez plusieurs postes de travail. Vous pourrez bénéficier de tous les avantages d’un système de gestion des couleurs si vous devez réaliser l’une des tâches suivantes :
Gestion des couleurs
Votre environnement de travail détermine votre perception visuelle de la couleur sur un moniteur et sur une impression. Afin d’obtenir les meilleurs résultats, exploitez la couleur et la lumière de votre lieu de travail comme suit :
Par exemple, l’évolution des caractéristiques chromatiques de la lumière du soleil au cours de la journée se répercute sur l’affichage des couleurs à l’écran. Il est donc préférable d’abaisser les stores ou de travailler dans une pièce sans fenêtres. Pour éliminer la dominante bleu-vert d’un éclairage fluorescent, vous pouvez installer un éclairage D50 (5 000 °Kelvin). Vous pouvez également visualiser des documents imprimés à l’aide d’une table lumineuse D50.
A propos de la gestion des couleurs dans les applications Adobe La gestion des couleurs d’Adobe a pour fonction de préserver l’aspect des couleurs lorsque vous importez des images à partir de sources externes, modifiez des documents et les transférez entre différentes applications Adobe, puis que vous imprimez vos compositions finies. Ce système repose sur des conventions développées par l’organisme International Color Consortium, un groupe chargé de la normalisation des formats de profil et des procédures visant à garantir l’homogénéisation et la précision des couleurs tout au long d’un flux de production. Par défaut, la gestion des couleurs est activée dans les applications Adobe faisant appel à la gestion des couleurs. Si vous avez acheté Adobe Creative Suite, les paramètres de couleur sont synchronisés entre toutes les applications pour offrir un affichage homogène des couleurs RVB et CMJN. Cela signifie que les couleurs ont le même aspect dans toutes les applications de la suite.
Gestion des couleurs
également personnaliser les paramètres de couleur pour qu’ils correspondent aux besoins d’un flux de couleur spécifique. Gardez à l’esprit que les types d’images utilisés ainsi que vos besoins en matière de sortie influencent votre manière d’utiliser la gestion des couleurs. Par exemple, les problèmes liés à l’homogénéité des couleurs sont différents pour un flux d’impression photo RVB, d’impression commerciale CMJN, d’impression numérique RVB/CMJN et d’édition via Internet.
1. Consultez vos partenaires de production (le cas échéant) pour vous assurer que tous les aspects de votre flux de gestion des couleurs s’intègrent au leur en toute transparence.
2. Etalonnez le moniteur, et créez son profil.
Gestion des couleurs
4. Configurez la gestion des couleurs dans les applications Adobe.
« Configuration de la gestion des couleurs » à la page 502). 5. (Facultatif) Prévisualisez les couleurs sur une épreuve-écran.
Remarque : une épreuve-écran seule ne permet pas d’obtenir un aperçu de l’aspect des surimpressions imprimées sur une presse offset. Si vous utilisez des documents contenant des surimpressions, activez l’option Aperçu de la surimpression pour prévisualiser avec précision les surimpressions sur une épreuve-écran. Dans Acrobat, cette option est automatiquement appliquée. 6. Utilisez la gestion des couleurs lorsque vous imprimez et enregistrez des fichiers.
à la page 509 et « Gestion des couleurs de documents pour un affichage en ligne » à la page 505).
Si vous utilisez Adobe Creative Suite, Adobe Bridge vous permet de synchroniser automatiquement les paramètres de couleur entre les applications. Ainsi, les couleurs sont identiques dans toutes les applications Adobe faisant appel à la gestion des couleurs. Si les paramètres de couleur ne sont pas synchronisés, un message d’avertissement apparaît en haut de la boîte de dialogue Couleurs de chaque application. Adobe vous recommande de synchroniser les paramètres de couleur avant d’utiliser des documents existants ou de nouveaux documents. 1 Ouvrez l’application Bridge.
Gestion des couleurs Configuration de la gestion des couleurs 1 Effectuez l’une des opérations suivantes :
• (Acrobat) Sélectionnez la catégorie Gestion des couleurs de la boîte de dialogue Préférences. 2 Sélectionnez un paramètre de couleur dans le menu Paramètres, puis cliquez sur OK.
Remarque : les paramètres de couleur Acrobat constituent un sous-ensemble de ceux utilisés dans InDesign, Illustrator et Photoshop. Dans certaines situations, notamment lorsqu’un prestataire de services fournit un profil de sortie personnalisé, vous devrez peut-être personnaliser des options spécifiques de la boîte de dialogue Couleurs. Notez que la personnalisation est strictement recommandée aux utilisateurs expérimentés. Remarque : si vous utilisez plusieurs applications Adobe, il est fortement conseillé de synchroniser les paramètres de couleur entre les différentes applications (voir la section « Synchronisation des paramètres de couleur entre les applications Adobe » à la page 501).
« Personnalisation des paramètres de couleur » à la page 517
Le noir CMJN pur (N = 100) apparaît comme du noir intense à l’écran, après impression sur une imprimante de bureau autre que PostScript ou après exportation dans un format de fichier RVB. Si vous préférez pouvoir distinguer le noir pur du noir intense tel qu’il apparaîtra après impression sur une presse commerciale, vous pouvez modifier les préférences d’aspect du noir. Ces préférences ne modifient pas les valeurs chromatiques d’un document. 1 Choisissez Edition > Préférences > Aspect du noir (Windows) ou [nom de l’application] > Préférences > Aspect du
2 Choisissez une option A l’écran : Afficher tous les noirs avec précision Affiche le noir CMJN pur en tant que gris foncé. Ce paramètre vous permet de distinguer le noir pur du noir intense.
Gestion des couleurs
Reproduire tous les noirs avec précision Lors d’une impression sur une imprimante de bureau non PostScript ou d’une exportation dans un format de fichier RVB, le noir CMJN pur est reproduit à l’aide des numéros de couleurs du document. Ce paramètre vous permet de distinguer le noir pur du noir intense. Reproduire tous les noirs comme noirs intenses Lors d’une impression sur une imprimante de bureau non PostScript
Lorsque la gestion des couleurs est activée, toutes les couleurs que vous appliquez ou créez dans une application Adobe faisant appel à cette fonction utilisent automatiquement un profil colorimétrique correspondant au document. Si vous passez à un autre mode colorimétrique, le système de gestion des couleurs utilise les profils appropriés pour convertir la couleur selon le modèle que vous avez choisi. Gardez à l’esprit les indications suivantes lorsque vous utilisez des couleurs quadrichromiques et des tons directs :
Pour savoir comment passer des valeurs Lab aux valeurs CMJN pour les tons directs, consultez l’aide d’Illustrator ou d’InDesign. Remarque : la gestion des couleurs en tons directs permet d’obtenir une excellente approximation d’un ton direct sur votre périphérique d’épreuvage ou un moniteur. Cependant, Il est difficile de reproduire avec exactitude un ton direct sur un moniteur ou un périphérique d’épreuvage, car de nombreuses encres de tons directs se situent hors des gamme de couleurs de ces périphériques.
Gestion des couleurs des images importées (Illustrator, InDesign) L’intégration des images importées dans l’espace colorimétrique d’un document est différente selon que l’image possède ou non un profil incorporé :
Gestion des couleurs
« Options de la règle de gestion des couleurs » à la page 520
Un flux de production CMJN sécurisé garantit que les numéros de couleurs CMJN sont conservés jusqu’au périphérique de sortie et ne sont pas convertis par le système de gestion des couleurs. Ce flux de production est utile si vous souhaitez adopter progressivement des pratiques de gestion des couleurs. Par exemple, vous pouvez utiliser des profils CMJN pour vérifier des documents à l’écran et sur papier sans que des couleurs ne soient converties intempestivement pendant la sortie finale. Par défaut, Illustrator et InDesign prennent en charge un flux de production CMJN sécurisé. Ainsi, lorsque vous ouvrez ou importez une image CMJN à laquelle un profil est incorporé, l’application ignore le profil et conserve les numéros de couleurs bruts. Si vous souhaitez que l’application modifie les numéros de couleurs en fonction d’un profil incorporé, définissez la règle de couleur CMJN sur Conserver les profils incorporés dans la boîte de dialogue Couleurs. Vous pouvez facilement restaurer le flux de production CMJN sécurisé en redéfinissant la règle de couleur CMJN sur Conserver les numéros (ignorer les profils liés). Vous pouvez ignorer les paramètres CMJN sécurisés lorsque vous imprimez un document ou que vous l’enregistrez au format Adobe PDF. Toutefois, cette action risque d’entraîner une nouvelle séparation des couleurs. Par exemple, les objets noirs CMJN purs pourraient être de nouveau séparés en objets noirs intenses. Pour plus de détails sur les options de gestion des couleurs pour l’impression et l’enregistrement des fichiers PDF, consultez l’aide.
« Options de la règle de gestion des couleurs » à la page 520
Suivez les consignes générales ci-après pour préparer la gestion des couleurs des images dans les applications Adobe.
(Photoshop), AI (Illustrator), INDD (InDesign), Photoshop EPS, Format de document volumineux et TIFF prennent en charge les profils incorporés.
Si vous devez enregistrer une image sous un modèle de couleur autre que RVB ou Lab, conservez une copie de l’image d’origine. Les gamme de couleurs des modèles RVB et Lab sont plus étendues que celles de la plupart des périphériques de sortie ; elles conservent un grand nombre de données chromatiques avant d’être converties en une gamme de couleurs de sortie plus limitée.
« Incorporation d’un profil colorimétrique » à la page 515
• Si vous importez une image, choisissez Fichier > Importer, sélectionnez Afficher les options d’importation, sélectionnez le fichier, puis cliquez sur l’onglet Couleur. 2 Dans le menu Profil, choisissez le profil source à appliquer à l’image du document. Si un profil est actuellement
3 (Facultatif) Choisissez un mode de rendu, puis cliquez sur OK. Dans la plupart des cas, il est préférable d’utiliser le
Remarque : vous pouvez également afficher ou modifier les profils d’objets dans Acrobat.
« Conversion des couleurs du document dans un autre profil (Photoshop) » à la page 516
Gestion des couleurs de documents pour un affichage en ligne La gestion des couleurs appliquée en vue d’un affichage en ligne diffère nettement de celle utilisée pour des supports d’impression. Vous pouvez mieux contrôler l’aspect du document final imprimé. Avec les supports en ligne, vos moyens d’action sur l’homogénéité des couleurs sont sensiblement limités, car les documents s’affichent sur une grande variété de moniteurs et systèmes d’affichage vidéo non étalonnés. Lorsque vous gérez les couleurs de documents qui seront exclusivement visionnés sur le Web, Adobe vous recommande d’utiliser l’espace colorimétrique sRVB. Il s’agit de l’espace de travail adopté par défaut pour la plupart des paramètres de couleur Adobe. Vérifiez toutefois que l’option sRVB est sélectionnée dans la boîte de dialogue Couleurs (Photoshop, Illustrator, InDesign) ou dans les préférences de gestion des couleurs (Acrobat). Lorsque l’espace de travail est défini sur sRVB, toutes les images RVB créées utilisent sRVB comme espace colorimétrique. Lorsque vous utilisez une image dont le profil incorporé n’est pas sRVB, convertissez ses couleurs vers l’espace de travail sRVB avant de l’enregistrer en vue de son utilisation sur le Web. Si vous souhaitez que l’application convertisse automatiquement les couleurs dans leurs équivalents de l’espace sRVB lorsque vous ouvrez l’image, sélectionnez Convertir selon l’espace de travail comme règle de gestion des couleurs RVB. (Assurez-vous que l’espace de travail RVB est défini sur sRVB.) Dans Photoshop et InDesign, vous pouvez aussi convertir manuellement les couleurs vers l’espace sRVB en choisissant la commande Edition > Convertir en profil. Remarque : dans InDesign, la commande Convertir en profil convertit uniquement les couleurs des objets natifs, et non les objets positionnés, du document.
Gestion des couleurs
Lors de l’exportation des fichiers PDF, vous pouvez choisir d’incorporer des profils. Les fichiers PDF avec des profils incorporés reproduisent les couleurs uniformément dans Acrobat 4.0, ou version ultérieure, exécuté avec un système de gestion des couleurs correctement configuré. Gardez à l’esprit que l’incorporation des profils colorimétriques a pour effet de gonfler la taille des fichiers PDF. Les profils RVB sont généralement petits (environ 3 Ko). Cependant, la taille des profils CMJN peut varier de 0,5 Ko à 2 Mo.
« Impression avec la gestion des couleurs » à la page 509 La plupart des navigateurs Web ne prennent pas en charge la gestion des couleurs. Parmi les navigateurs prenant en charge cette fonction, il est impossible d’affirmer que tous gèrent effectivement les couleurs sachant que certains fonctionnent sur des systèmes dont les moniteurs ne sont pas étalonnés. En outre, rares sont les pages Web dont les images sont associées à des profils incorporés. Si vous gérez un environnement informatique très contrôlé, comme l’intranet d’un studio de création, il est possible d’obtenir un certain niveau de gestion des images HTML en équipant tous les ordinateurs de navigateurs prenant en charge la gestion des couleurs et en étalonnant tous les moniteurs. Vous pouvez déterminer approximativement l’aspect des couleurs sur des moniteurs non étalonnés en utilisant l’espace colorimétrique sRVB. Cependant, étant donné que la reproduction des couleurs varie d’un moniteur non étalonné à un autre, il vous sera impossible de connaître l’étendue des écarts d’affichage possibles.
A propos de la vérification des épreuves-écran de couleurs L’une des étapes d’un processus d’édition traditionnel consiste à tirer une épreuve papier de votre document afin de vérifier l’aspect de ses couleurs une fois reproduites sur un périphérique de sortie particulier. Grâce à la gestion des couleurs et à la précision des profils colorimétriques, vous êtes en mesure de vérifier l’épreuve de votre document directement sur le moniteur. Vous pouvez visualiser un aperçu des couleurs telles qu’elles seront reproduites sur un périphérique de sortie donné. Toutefois, retenez que la fiabilité de l’épreuve-écran dépend de la qualité du moniteur, des profils du moniteur et des périphériques de sortie, sans oublier l’éclairage ambiant de votre environnement de travail. Remarque : une épreuve-écran seule ne permet pas d’obtenir un aperçu de l’aspect des surimpressions imprimées sur une presse offset. Si vous utilisez des documents contenant des surimpressions, activez l’option Aperçu de la surimpression pour prévisualiser avec précision les surimpressions sur une épreuve-écran. Dans Acrobat, cette option est automatiquement appliquée.
Gestion des couleurs
• Choisissez Personnalisé (Photoshop et InDesign) ou Personnaliser (Illustrator) pour créer un format d’épreuve personnalisé pour une condition de sortie spécifique. Il s’agit de l’option recommandée pour obtenir l’aperçu le plus précis possible de l’impression finale. 2 Choisissez la commande Affichage > Couleurs d’épreuve pour activer et désactiver l’affichage des épreuves-écran.
Pour comparer les couleurs de l’image d’origine et celles de l’épreuve-écran, ouvrez le document dans une nouvelle fenêtre avant de configurer l’épreuve-écran.
Espace de travail CMJN Crée une épreuve-écran des couleurs à partir de l’espace de travail CMJN actif tel qu’il est
Espace CMJN du document (InDesign) Crée une épreuve-écran des couleurs à partir du profil CMJN du document. Plaque de travail Cyan, Plaque de travail Magenta, Plaque de travail Jaune, Plaque de travail Noir ou Plaques de travail CMJ (Photoshop) Crée une épreuve-écran des couleurs d’encrage CMJN en utilisant l’espace de travail CMJN actif. RVB Macintosh ou RVB Windows (Photoshop et Illustrator) Crée une épreuve-écran des couleurs d’une image en utilisant un moniteur standard Mac OS ou Windows comme espace de profil d’épreuve à simuler. Ces deux options supposent que le périphérique simulé affiche le document sans utiliser la gestion des couleurs. Aucune de ces options n’est disponible pour les documents Lab ou CMJN. RVB moniteur (Photoshop et Illustrator) Crée une épreuve-écran des couleurs d’un document RVB en utilisant l’espace colorimétrique de votre moniteur actif comme espace de profil d’épreuve. Cette option suppose que le périphérique simulé affiche le document sans utiliser la gestion des couleurs. Elle n’est pas disponible pour les documents Lab et CMJN. Dyschromatopsie (Photoshop et Illustrator) Crée une épreuve-écran qui reflète les couleurs visibles pour une personne atteinte de dyschromatopsie (ou, plus communément, de daltonisme). Les deux options d’épreuve-écran, Protanopie et Deutéranopie, simulent la perception des couleurs pour les formes les plus courantes de dyschromatopsie. Pour plus de détails, voir la section « Epreuve-écran pour la dyschromatopsie (Photoshop et Illustrator) » à la page 508.
Périphérique de simulation Spécifie le profil colorimétrique du périphérique pour lequel vous voulez créer l’épreuve. L’utilité d’un profil se mesure à la précision avec laquelle il décrit le comportement du périphérique. Ce sont
Gestion des couleurs
Conserver les numéros CMJN ou Conserver les numéros RVB Simule l’aspect des couleurs qui n’auront pas été
Mode de rendu (Photoshop et Illustrator) Lorsque l’option Conserver les numéros est désélectionnée, cette option spécifie un mode de rendu pour la conversion des couleurs en fonction du périphérique que vous essayez de simuler. Utiliser la compensation du point noir (Photoshop) Garantit que le détail des ombres de l’image est conservé par la
Simuler la teinte du papier Simule le blanc terne du vrai papier en fonction du profil de l’épreuve. Tous les profils ne
Simuler l’encre noire Simule le gris foncé que vous obtenez à la place du noir intense sur de nombreuses imprimantes,
Dans Photoshop, si vous voulez utiliser le format personnalisé comme format d’épreuve par défaut des documents, fermez toutes les fenêtres de document avant de choisir la commande Affichage > Format d’épreuve > Personnalisé.
Le système CUD (Color Universal Design) garantit la transmission exacte des informations graphiques aux personnes présentant différents types de vision des couleurs, y compris les personnes atteintes de dyschromatopsie. Plusieurs pays disposent de directives exigeant des images conformes au système CUD dans les espaces publics. Les types les plus courants de dyschromatopsie sont la protanopie (cécité à la couleur rouge) et la deutéranopie (cécité à la couleur verte). Environ un tiers des daltoniens présentent une cécité totale à la couleur rouge ou verte ; la plupart des autres personnes atteintes présentent une forme bénigne de dyschromatopsie.
2 (Facultatif) Pour afficher simultanément le document original et un épreuvage à l’écran, choisissez la commande
3 Choisissez la commande Affichage > Format d’épreuve > Dyschromatopsie, puis l’option Protanopie Gestion des couleurs
• Le rouge pur tend à apparaître sombre et terne ; le rouge orangé est plus facile à distinguer. • Le vert bleuâtre est moins déroutant que le vert jaunâtre. • Le gris peut être confondu avec le magenta, le rose pâle, le vert pâle ou le vert émeraude. • Evitez, si possible, les combinaisons suivantes : rouge et vert, jaune et vert clair, bleu clair et rose, bleu foncé et violet.
• Ajoutez de larges bordures blanches, noires ou sombres aux limites de couleur. • Utilisez différentes familles ou styles de polices. 2 Choisissez le profil colorimétrique d’un périphérique de sortie déterminé dans le menu Profil de simulation. 3 Choisissez une option d’épreuvage à l’écran : Simuler l’encre noire Simule le gris foncé que vous obtenez à la place du noir intense sur de nombreuses imprimantes,
Simuler la teinte du papier Simule le blanc terne du vrai papier en fonction du profil de l’épreuve. Tous les profils ne
Impression avec la gestion des couleurs Les options de gestion des couleurs pour l’impression vous permettent d’indiquer aux applications Adobe comment traiter les données des images sortantes pour que l’imprimante imprime les couleurs conformément à l’affichage sur le moniteur. Les options d’impression des documents appliquant la gestion des couleurs dont vous disposez dépendent de l’application Adobe utilisée, ainsi que du périphérique de sortie choisi. En général, vous avez le choix entre les options suivantes :
• Laisser l’application déterminer les couleurs
Si vous choisissez cette méthode, vous devez impérativement configurer les options d’impression et activer la gestion des couleurs dans le pilote de l’imprimante. Consultez l’aide pour obtenir des instructions supplémentaires. Si vous sélectionnez une imprimante PostScript, vous pouvez exploiter la gestion des couleurs PostScript. La gestion des couleurs PostScript permet de réaliser une sortie composite couleur ou la séparation des couleurs au niveau du processeur d’image pixellisée (processus appelé séparations In-RIP, de sorte qu’un programme a seulement besoin de spécifier des paramètres de séparation et de laisser le périphérique calculer les valeurs chromatiques finales. Les flux de production de sortie avec gestion des couleurs PostScript nécessitent un périphérique de sortie prenant en charge la gestion des couleurs PostScript à l’aide du langage PostScript Niveau 2, version 2017 ou supérieure ou PostScript Niveau 3.
Avec ce flux de production, l’application procède à la conversion de toutes les couleurs et génère ainsi des données chromatiques spécifiques à un périphérique de sortie. L’application utilise les profils colorimétriques attribués pour convertir les couleurs selon la gamme du périphérique de sortie et envoie les valeurs résultantes au périphérique de sortie. La fiabilité de cette méthode dépend de la précision du profil d’imprimante sélectionné. Utilisez ce flux de production lorsque vous disposez de profil ICC personnalisés pour chaque combinaison d’imprimante, d’encre et de papier spécifique. Si vous choisissez cette option, vous devez impérativement désactiver la gestion des couleurs dans le pilote de l’imprimante. Si vous laissez l’application et le pilote d’imprimante gérer simultanément les couleurs lors de l’impression, vous risquez d’obtenir des résultats inattendus. Consultez l’aide pour obtenir des instructions supplémentaires.
Si les profils de sortie livrés avec l’imprimante ne produisent pas les résultats escomptés, vous pouvez obtenir des profils personnalisés de plusieurs façons :
Gestion des couleurs
« Installation d’un profil colorimétrique » à la page 514
Lorsque vous créez des fichiers Adobe PDF pour une impression commerciale, vous pouvez indiquer comment les informations relatives à la couleur seront représentées. Pour ce faire, il suffit d’utiliser une norme PDF/X. Cependant, vous pouvez aussi spécifier manuellement des options de traitement des couleurs dans la section Sortie de la boîte de dialogue PDF. Pour plus de détails sur la norme PDF/X et la création de fichiers PDF, consultez l’aide. En général, lorsque vous créez des fichiers PDF, vous avez le choix entre les possibilités de traitement de la couleur suivantes :
Remarque : toutes les informations de tons directs sont préservées lors de la conversion des couleurs ; seuls les équivalents quadri sont convertis vers l’espace colorimétrique désigné.
« Utilisation d’un flux de travail CMJN sécurisé » à la page 504 Une gestion des couleurs homogène et précise exige des profils fiables, conformes à la norme ICC, pour tous vos périphériques couleur. Par exemple, sans un profil de scanner approprié, une image numérisée parfaite peut présenter des défauts dans un autre programme, en raison d’une simple différence entre le scanner et le logiciel d’affichage graphique. Cette représentation équivoque peut vous amener à retoucher voire détériorer inutilement une image d’une qualité satisfaisante. Avec un profil fiable, le programme qui importe l’image peut rectifier tous les écarts entre les périphériques et ainsi afficher les couleurs réelles d’une image numérisée. Un système de gestion des couleurs utilise les types de profils suivants : Profils de moniteur Ils indiquent comment le moniteur reproduit actuellement les couleurs. Il s’agit des premiers
Profils de périphérique d’entrée Ils décrivent les couleurs qu’un périphérique d’entrée est capable de capturer ou
Profils de périphérique de sortie Ils décrivent l’espace colorimétrique de périphériques de sortie comme les
La plupart des pilotes d’imprimante sont livrés avec des profils colorimétriques intégrés. Il est recommandé de tester ces profils avant d’investir dans des profils personnalisés. Profils de document Ils définissent l’espace colorimétrique RVB ou CMJN d’un document. En attribuant un profil à
Adobe RVB, ces numéros indiquent une couleur ou une longueur d’onde de lumière réelle. Dans le présent cas de figure, il s’agit d’une teinte spécifique de violet. Lorsque la gestion des couleurs est activée, les applications Adobe attribuent automatiquement aux nouveaux documents un profil basé sur les options Espace de travail de la boîte de dialogue Couleurs. Les documents sans profils sont dits sans description (ou sans balise) et contiennent uniquement des numéros de couleurs bruts. Lorsque vous utilisez des documents sans description, les applications Adobe utilisent le profil de l’espace colorimétrique actif pour afficher les couleurs et les modifier.
Gestion des couleurs
« Laisser l’imprimante déterminer les couleurs lors de l’impression » à la page 510 « Obtention de profils personnalisés pour les imprimantes de bureau » à la page 510 « A propos des espaces de travail colorimétriques » à la page 518
Les logiciels de profilage permettent à la fois d’étalonner et de caractériser un moniteur. Etalonner un moniteur signifie le rendre conforme à un standard prédéfini. Par exemple, vous pouvez régler votre moniteur afin qu’il affiche les couleurs en utilisant la température de la couleur du point blanc standard de l’industrie graphique de 5 000 degrés Kelvin. Caractériser un moniteur revient simplement à créer un profil qui décrit comment le moniteur reproduit actuellement les couleurs. L’étalonnage d’un moniteur implique le réglage des paramètres vidéo suivants : Luminosité et contraste Respectivement, niveau et écart d’intensité de l’affichage. Ces paramètres sont identiques à
Gamma Mesure de la luminosité des tons moyens. Les valeurs comprises entre le noir et le blanc produites par un moniteur ne sont pas linéaires. Si vous les reportez sur un graphe, elles forment une courbe et non une droite. Le gamma définit la valeur de cette courbe à mi-chemin entre le blanc et le noir. Luminophores Substances utilisées par les moniteurs à tube cathodique pour l’émission de lumière. Les caractéristiques colorimétriques varient d’un luminophore à l’autre. Point blanc Couleur et intensité du blanc le plus brillant que le moniteur puisse reproduire.
Gestion des couleurs
L’étalonnage du moniteur consiste à le régler pour le rendre conforme à une spécification donnée. Une fois que le moniteur est étalonné, l’utilitaire de profilage vous permet d’enregistrer un profil colorimétrique. Le profil décrit la façon dont le moniteur traite les couleurs : les couleurs qu’il peut et ne peut pas afficher et la méthode de conversion des valeurs numériques des couleurs de l’image pour qu’elles s’affichent correctement. 1 Veillez à allumer votre moniteur au moins une demi-heure à l’avance. Ce délai est suffisant pour le préchauffage du
2 Vérifiez que votre moniteur affiche au moins des milliers de couleurs. Dans l’idéal, vérifiez que votre moniteur
3 Supprimez les motifs d’arrière-plan colorés du bureau de votre ordinateur, et configurez votre bureau de sorte qu’il
4 Effectuez l’une des opérations suivantes pour étalonner votre moniteur et créer son profil :
• Sous Mac OS, utilisez l’utilitaire d’étalonnage situé sous l’onglet Préférences système/ Affichages/ Couleur. • Pour obtenir des résultats optimaux, utilisez un logiciel tiers et des appareils de mesure. En général, l’utilisation conjointe d’un appareil de mesure, comme un colorimètre, et d’un logiciel permet de créer des profils plus fiables, car un instrument peut mesurer les couleurs affichées sur un moniteur beaucoup plus précisément que l’œil humain. Remarque : les performances d’un moniteur évoluent et s’amoindrissent au fil du temps. Il est donc conseillé d’étalonner votre moniteur et de lui créer un nouveau profil environ tous les mois. S’il vous semble difficile, voire impossible, de procéder à cette opération selon les normes, c’est que le moniteur est sans doute trop vieux et usé. La plupart des logiciels de profilage attribuent automatiquement le nouveau profil en tant que profil par défaut du moniteur. Pour savoir comment attribuer manuellement le profil du moniteur, consultez l’aide de votre système d’exploitation.
Lorsque vous installez un nouveau périphérique, des profils colorimétriques sont généralement ajoutés sur votre ordinateur. La fiabilité de ces profils (souvent appelés profils génériques ou profils prêts à l’emploi) varie d’un fabricant à l’autre. Vous pouvez également obtenir des profils de périphérique en vous adressant à votre prestataire de services, en les téléchargeant depuis Internet ou en créant des profils personnalisés à l’aide d’un équipement de profilage professionnel.
Après avoir installé les profils colorimétriques, veillez à redémarrer les applications Adobe.
« Obtention de profils personnalisés pour les imprimantes de bureau » à la page 510
• (Acrobat, Photoshop et InDesign) Convertissez les couleurs du document selon l’espace colorimétrique d’un autre profil. Les numéros de couleurs sont décalés pour que l’aspect des couleurs d’origine soit conservé.
1 Choisissez Edition > Attribuer un profil. 2 Sélectionnez une option, puis cliquez sur OK : Ne pas appliquer la gestion des couleurs/Ne pas gérer les couleurs de ce document Supprime le profil existant du
Espace de travail [modèle de couleur : espace de travail] Attribue le profil d’espace de travail au document. Profil Vous permet de sélectionner un autre profil. L’application attribue le nouveau profil au document sans
Attribuer l’espace de travail actuel [espace de travail] Attribue le profil d’espace de travail au document. Attribuer un profil Vous permet de sélectionner un autre profil. L’application attribue le nouveau profil au document
3 Choisissez un mode de rendu pour chaque type d’image du document : vous pouvez choisir l’un des quatre modes
Couleurs. Pour plus de détails sur les modes de rendu, consultez l’aide. Les types d’images sont les suivants : Rendu des couleurs en aplat Définit le mode de rendu pour toutes les illustrations vectorielles (zones de couleur unie)
Rendu des images par défaut Définit le mode de rendu par défaut des images bitmap placées dans InDesign. Vous
Rendu après application du dégradé Applique le mode de rendu à l’espace colorimétrique final ou d’épreuve pour les
4 Pour prévisualiser les effets du nouveau profil dans le document, sélectionnez Aperçu, puis cliquez sur OK.
« Modification du profil colorimétrique d’un document » à la page 515 « Affichage ou modification des profils d’images bitmap importées (InDesign) » à la page 505 2 Dans la section Espace de destination, choisissez le profil colorimétrique vers lequel convertir les couleurs du
3 Dans la section Options de conversion, indiquez un moteur de gestion des couleurs, un mode de rendu et des
4 Pour aplatir tous les calques du document en un seul calque après conversion, sélectionnez Aplatir l’image. 5 Pour prévisualiser les effets de la conversion dans le document, sélectionnez Aperçu.
« Modification du profil colorimétrique d’un document » à la page 515
Lien de périphérique Profils permettant de convertir des couleurs d’un espace colorimétrique de périphérique dans un autre sans utiliser d’espace colorimétrique intermédiaire. Ces profils sont tout particulièrement utiles s’il est nécessaire d’établir des correspondances spécifiques entre des valeurs de périphériques (par exemple 100 % noir). Abstrait Profils permettant d’obtenir des effets d’image personnalisés. Les valeurs d’entrée et de sortie des profils de type Abstrait peuvent être des valeurs LAB/XYZ, ce qui permet de générer une table de conversion personnalisée en vue d’obtenir l’effet spécial souhaité.
3 Pour prévisualiser les effets de la conversion dans le document, sélectionnez Aperçu.
« Modification du profil colorimétrique d’un document » à la page 515
Vous convertissez les couleurs dans un fichier PDF à l’aide de l’outil Convertir les couleurs dans la barre d’outils Impression. Pour plus d’informations, reportez-vous aux rubriques de conversion des couleurs dans l’aide d’Acrobat.
Personnalisation des paramètres de couleur Pour la plupart des flux de production utilisant la gestion des couleurs, il est préférable d’utiliser un paramètre de couleur prédéfini ayant fait l’objet d’un test par Adobe Systems. Ne modifiez des options spécifiques que si vous êtes habitué à utiliser la gestion des couleurs et que vous êtes sûr des changements que vous allez effectuer. Après avoir personnalisé des options, vous pouvez les enregistrer en tant que paramètre prédéfini afin de pouvoir les réutiliser et les partager avec d’autres utilisateurs ou applications.
Gestion des couleurs
L’expression espace de travail désigne un espace colorimétrique intermédiaire utilisé pour définir des couleurs et les modifier dans les applications Adobe. Chaque modèle de couleur est associé à un profil d’espace de travail. Vous pouvez choisir les profils d’espace de travail dans la boîte de dialogue Couleurs. Un profil d’espace de travail fait office de profil source pour les documents nouvellement créés qui utilisent le modèle de couleur associé. Par exemple, si le profil d’espace de travail RVB défini est Adobe RVB (1998), tous les documents RVB que vous créerez utiliseront des couleurs de la gamme Adobe RVB (1998). Les espaces de travail déterminent également l’aspect des couleurs dans les documents sans description. Si vous ouvrez un document dont le profil colorimétrique incorporé ne correspond pas au profil d’espace de travail, l’application utilise une règle de gestion des couleurs pour déterminer le mode de traitement des données chromatiques. Dans la plupart des cas, la règle par défaut consiste à conserver le profil incorporé.
« A propos des profils colorimétriques manquants et non concordants » à la page 519 « Options de la règle de gestion des couleurs » à la page 520
Pour afficher les options d’un espace de travail dans Photoshop, Illustrator et InDesign, sélectionnez Edition > Couleurs. Dans Acrobat, sélectionnez la catégorie Gestion des couleurs de la boîte de dialogue Préférences. Pour afficher la description d’un profil, sélectionnez-le, puis placez le pointeur de la souris au-dessus de son nom. La description apparaît au bas de la boîte de dialogue. RVB Détermine l’espace colorimétrique RVB de l’application. En règle générale, il est recommandé de choisir Adobe RVB ou sRVB plutôt que le profil d’un périphérique spécifique (comme un profil de moniteur).
L’option Adobe RVB est recommandée lorsque vous préparez des documents en vue de leur impression, car la gamme Adobe RVB comprend des couleurs imprimables (des cyans et des bleus, par exemple) qu’il est impossible de définir à l’aide de l’option sRVB. Il s’agit également du choix idéal lorsque vous utilisez des images issues d’appareils photo numériques de type professionnel, car la plupart de ces appareils utilisent l’espace Adobe RVB comme espace colorimétrique par défaut. CMJN Détermine l’espace colorimétrique CMJN de l’application. Tous les espaces de travail CMJN dépendent d’un
CMJN fournis par Adobe sont basés sur les conditions d’impression commerciale standard. Niveaux de gris Détermine l’espace colorimétrique des niveaux de gris de l’application. Ton direct (Photoshop) Spécifie l’engraissement à utiliser lors de l’affichage des couches de tons directs et bichromes.
Gestion des couleurs
Les applications Adobe sont livrées avec un ensemble standard de profils d’espace de travail recommandés et testés par Adobe Systems pour la majorité des flux de gestion des couleurs. Par défaut, seuls ces profils figurent dans les menus d’espace de travail. Pour afficher d’autres profils colorimétriques installés sur le système, sélectionnez Mode avancé (Illustrator et InDesign) ou Plus d’options (Photoshop). Un profil colorimétrique doit être bidirectionnel, c’est-à-dire qu’il doit contenir des spécifications de conversion vers un espace colorimétrique ou depuis celui-ci pour apparaître dans les menus d’espace de travail. Remarque : vous pouvez créer des profils d’espace de travail personnalisés dans Photoshop. Cependant, Adobe vous recommande d’utiliser un profil d’espace de travail standard plutôt que de créer un profil personnalisé. Pour plus de détails, consultez la base de connaissances du support technique Photoshop à l’adresse suivante : www.adobe.com/fr/support/products/photoshop.html.
Avec un nouveau document, le flux de production de couleurs est généralement transparent : sauf instruction contraire, le document utilise le profil d’espace de travail associé à son mode colorimétrique pour créer et modifier des couleurs. Certains documents existants peuvent toutefois ne pas utiliser le profil d’espace de travail spécifié et ne pas bénéficier de la gestion des couleurs. Les exceptions suivantes sont souvent observées dans un flux de production appliquant la gestion des couleurs :
Dans les deux cas, l’application utilise une règle de gestion des couleurs pour choisir le mode de traitement des données chromatiques du document. Si le profil est manquant ou ne correspond pas à l’espace de travail, il se peut que l’application affiche un message d’avertissement (l’affichage dépend des options définies dans la boîte de dialogue Couleurs). Les avertissements sur les profils sont désactivés par défaut, mais vous pouvez les activer pour vous assurer que la gestion des couleurs appropriée des documents s’effectue au cas par cas. Les messages d’avertissement varient d’une application à une autre, mais vous disposez généralement des options suivantes :
Gestion des couleurs
Une règle de gestion des couleurs détermine comment l’application traite les données chromatiques lorsque vous ouvrez un document ou importez une image. Vous pouvez choisir différentes règles pour les images RVB et CMJN et indiquer à quel moment les messages d’avertissement doivent apparaître. Pour afficher les options des règles de gestion des couleurs, choisissez Edition > Couleurs. Pour afficher la description d’une règle, sélectionnez-la, puis placez le pointeur de la souris au-dessus de son nom. La description apparaît au bas de la boîte de dialogue. RVB, CMJN et Niveaux de gris (L’option Niveaux de gris est uniquement disponible dans Photoshop.) Indique la règle
Cette option est recommandée pour la plupart des flux de production, car elle permet une gestion homogène des couleurs. Toutefois, si vous souhaitez conserver les numéros CMJN, sélectionnez l’option Conserver les numéros (ignorer les profils liés). • Convertir selon l’espace de travail Convertit les couleurs en fonction du profil d’espace de travail actif à l’ouverture des fichiers et lors de l’importation d’images. Sélectionnez cette option si vous voulez que toutes les couleurs utilisent un seul profil (le profil d’espace de travail actif). • Conserver les numéros (ignorer les profils liés) Cette option est disponible dans InDesign et Illustrator pour les couleurs CMJN. Elle conserve les numéros de couleurs à l’ouverture des fichiers et lors de l’importation d’images, mais elle vous permet également d’utiliser la gestion des couleurs pour afficher correctement les couleurs dans les applications Adobe. Sélectionnez cette option si vous souhaitez utiliser un flux de production CMJN sécurisé. Dans InDesign, vous pouvez remplacer cette règle pour un seul objet à la fois en choisissant Objet > Couleurs de l’image. • Désactivé Ne tient aucun compte des profils colorimétriques incorporés lors de l’ouverture de fichiers et de l’importation d’images et n’attribue pas le profil d’espace de travail aux nouveaux documents. Sélectionnez cette option si vous souhaitez ignorer les métadonnées chromatiques fournies par l’auteur du document d’origine. Non-concordances des profils : choix à l’ouverture Affiche un message dès que vous ouvrez un document contenant la
Non-concordances des profils : choix au collage Affiche un message lorsqu’un profil colorimétrique n’est pas concordant, car les couleurs sont importées dans un document par collage ou par glisser-déposer. Vous aurez alors la possibilité de supprimer le comportement par défaut de la règle. Sélectionnez cette option pour garantir une gestion appropriée des couleurs collées au cas par cas. Profils manquants : choix à l’ouverture Affiche un message dès que vous ouvrez un document sans description. Vous
Gestion des couleurs
Les options de conversion des couleurs vous permettent de contrôler la façon dont l’application gère les couleurs d’un document lorsque celui-ci est déplacé d’un espace colorimétrique à un autre. Ne modifiez ces options que si vous êtes habitué à utiliser la gestion des couleurs et que vous êtes sûr des changements que vous allez effectuer. Pour afficher les options de conversion, choisissez Edition > Couleurs, puis sélectionnez Mode avancé (Illustrator et InDesign) ou Plus d’options (Photoshop). Dans Acrobat, sélectionnez la catégorie Gestion des couleurs de la boîte de dialogue Préférences. Moteur Désigne le module de gestion des couleurs (MGC) utilisé pour associer la gamme d’un espace colorimétrique à celle d’un autre espace. Le moteur par défaut Adobe (ACE) répond à tous les besoins de conversion de la plupart des utilisateurs.
Mode (Photoshop, Illustrator, InDesign) Indique le mode de rendu utilisé pour convertir un espace colorimétrique en un autre. Les différences entre les modes de rendu sont perceptibles uniquement lorsque vous imprimez un document ou le convertissez en un espace de travail distinct. Utiliser la compensation du point noir Garantit que le détail des ombres de l’image est conservé par la simulation de
Simulation (Photoshop) Indique si les couleurs doivent être simulées lors de la conversion d’images à 8 bits par couche
Compenser les profils de scène (Photoshop) Compare le contraste vidéo lors de la conversion des profils de scène en profils de sortie. Cette option reflète la gestion des couleurs par défaut dans After Effects.
Le mode de rendu détermine la façon dont le système de gestion des couleurs convertit les couleurs d’un espace colorimétrique à l’autre. Les règles de détermination d’ajustement des couleurs source varient selon les modes de rendu. Par exemple, les couleurs comprises dans la gamme cible peuvent rester intactes ou être ajustées de sorte qu’elles conservent leur champ de relations visuelles d’origine lorsqu’elles sont converties dans une gamme cible plus petite. Le résultat du mode de rendu choisi dépend du contenu graphique des documents et des profils utilisés pour définir les espaces colorimétriques. Certains profils produisent les mêmes résultats avec des modes de rendu différents. D’une manière générale, il est préférable d’utiliser le mode de rendu par défaut du paramètre de couleur sélectionné, car il a été testé par Adobe Systems pour répondre aux normes industrielles. Par exemple, si vous choisissez un paramètre de couleur pour l’Amérique du Nord ou l’Europe, le mode de rendu par défaut est Colorimétrie relative. Si vous choisissez un paramètre de couleur pour le Japon, le mode de rendu par défaut est Perception. Vous pouvez sélectionner un mode de rendu lorsque vous définissez des options de conversion des couleurs pour le système de gestion des couleurs, des couleurs d’épreuve-écran et des illustrations : Perception Ce mode vise à conserver les relations visuelles entre les couleurs, afin qu’elles soient perçues comme
Gestion des couleurs
Colorimétrie relative Ce mode compare les tons clairs les plus intenses de l’espace colorimétrique source à ceux de
Colorimétrie absolue Ce mode conserve les couleurs de la gamme cible intactes. Toutes les couleurs hors de la gamme
Dans Photoshop, pour afficher les options avancées de gestion des couleurs, choisissez Edition > Couleurs, puis sélectionnez Plus d’options. Désaturer les couleurs du moniteur de Indique si les couleurs doivent être désaturées selon la quantité spécifiée
Fusionner les couleurs RVB avec le gamma Contrôle la façon dont les couleurs RVB fusionnent pour produire des
Remarque : si vous sélectionnez l’option Fusionner les couleurs RVB avec le gamma, les documents multicalques n’auront pas le même aspect lorsqu’ils seront affichés dans Photoshop et dans d’autres applications.
La qualité d’un travail d’impression dépend en grande partie des encres utilisées pour l’impression. Pour réduire les effets des erreurs de mise en registre, les imprimeurs ont développé une technique appelée recouvrement.
A propos du recouvrement de l’encre Lorsqu’un document destiné à l’impression offset utilise plusieurs encres sur une même page, chaque encre doit être imprimée par impression superposée (alignement parfait) de toutes les encres aboutées afin qu’il n’existe aucun blanc à la jointure entre les différentes encres. Toutefois, il est impossible de garantir une impression superposée parfaite pour chaque objet de chaque page imprimée. Des problèmes de repérage des encres risquent donc de se produire. Ces problèmes créent des blancs indésirables entre les encres. Pour masquer ces blancs, vous pouvez agrandir légèrement l’un des objets afin qu’il chevauche un autre objet de couleur différente : cette procédure est appelée recouvrement. Par défaut, lorsqu’une encre est placée sur une autre, l’encre sous-jacente est défoncée ou supprimée afin d’éviter les mélanges imprévus de couleurs. Cependant, la procédure de recouvrement requiert une impression superposée, ou l’impression d’une encre sur une autre, afin d’obtenir un chevauchement ou un chevauchement partiel.
Pour appliquer un recouvrement à un document, plusieurs méthodes existent, que vous pouvez combiner :
• Surimpression du noir • Surimpression manuelle des contours ou des fonds • Utilisation du recouvrement intégré d’Adobe InDesign CS4 ou du recouvrement Adobe In-RIP • Recouvrement des images importées, à l’aide des fonctions de recouvrement des logiciels d’illustration dans lesquels elles ont été créées Reportez-vous à la documentation fournie avec ces logiciels.
Recouvrement des couleurs
Vous pouvez éviter de recourir au recouvrement en éliminant le risque d’erreur de mise en registre dans votre utilisation des couleurs. Pour ce faire, vérifiez que les couleurs quadri aboutées disposent d’encres communes. Par exemple, un contour violet foncé et un fond rouge vif présentent tous deux une quantité importante de magenta. Le magenta commun aux deux couleurs s’imprime sur une seule zone de telle sorte que si des erreurs de mise en registre se produisent avec d’autres encres de couleur quadri, la plaque d’impression magenta dissimulera les zones vides.
« A propos de la surimpression » à la page 676
InDesign peut effectuer un recouvrement automatique des documents en couleurs à l’aide d’un moteur de recouvrement intégré. InDesign utilise également le moteur de recouvrement des couleurs Adobe In-RIP, disponible sur les périphériques de sortie Adobe PostScript qui le prennent en charge. Les deux moteurs de recouvrement calculent les réglages jusqu’aux bords du texte et des graphiques. Ils appliquent des techniques de recouvrement sur différentes parties d’un seul objet, même si du texte ou des objets InDesign chevauchent plusieurs couleurs d’arrière-plan. Les réglages de recouvrement s’effectuent automatiquement et vous pouvez définir des recouvrements prédéfinis répondant aux exigences d’un groupe de pages spécifiques. Les effets du recouvrement sont uniquement visibles sur les séparations de couleur générées par un moteur de recouvrement ; ils ne sont pas visibles à l’écran dans InDesign. Le moteur de recouvrement détecte les bords de couleurs différentes. Il crée ensuite des recouvrements d’après les densités neutres (aspect clair ou foncé) des couleurs contiguës, en étalant les couleurs les plus claires sur les couleurs plus foncées adjacentes. Les paramètres de recouvrement spécifiés dans le panneau Recouvrements prédéfinis modifient les résultats obtenus par l’utilisation du moteur de recouvrement.
Pour effectuer des recouvrements dans des documents à l’aide du moteur intégré InDesign, il vous faut un fichier PPD qui prenne en charge les séparations. Pour effectuer des recouvrements dans des documents à l’aide du moteur Adobe In-RIP, vous devez disposer des logiciels et du matériel suivants :
points, quelles que soient les valeurs entrées pour les largeurs de recouvrement. Pour une largeur plus élevée, utilisez le recouvrement Adobe In-RIP. Images vectorielles au format EPS Le moteur de recouvrement intégré ne permet pas de recouvrir les images vectorielles EPS importées ; le recouvrement Adobe In-RIP permet de recouvrir toutes les images importées.
Le recouvrement intégré permet de recouvrir du texte et des images par des images bitmap telles que des photographies. Les images bitmap doivent être enregistrées à l’aide d’un format de fichier pixels prenant en charge les exigences de couleurs de l’impression professionnelle. Les formats PSD (Photoshop) et TIFF sont les plus appropriés pour les travaux d’impression professionnels ; avant d’utiliser d’autres formats, consultez votre service de prépresse. Si vous utilisez un serveur OPI (Open Prepress Interface), vérifiez qu’il crée des images FPO (For-Position-Only) à l’aide des formats TIFF ou PSD. Si les images sont au format TIFF ou PSD, il est éventuellement possible d’utiliser le recouvrement intégré si vous ne sélectionnez aucune option Ignorer pour OPI pour la sortie. (Les options Ignorer pour OPI se trouvent dans le panneau Avancés de la boîte de dialogue Imprimer lorsqu’une imprimante PostScript est ciblée.) Remarque : le comportement et la précision du recouvrement dans le cadre d’un flux de travail OPI dépendent de plusieurs facteurs, tels que la méthode de sous-échantillonnage utilisée par le serveur OPI pour générer des images FPO. Pour des résultats optimaux, consultez votre revendeur OPI afin d’obtenir des informations sur l’intégration de solutions de recouvrement Adobe dans le serveur OPI du revendeur.
Le recouvrement Adobe In-RIP et le recouvrement intégré peuvent tous deux recouvrir du texte et des images créés à l’aide des outils InDesign, ainsi que des fichiers vectoriels PDF importés. Cependant, le recouvrement intégré ne permet pas de recouvrir les images vectorielles EPS importées. Le texte, les tracés et les blocs créés dans InDesign ne sont pas recouverts correctement s’ils chevauchent un bloc contenant une image importée ne pouvant pas bénéficier du recouvrement intégré, comme les images vectorielle EPS. Ces objets sont toutefois correctement recouverts lorsque vous utilisez le recouvrement Adobe In-RIP. Il se peut que vous puissiez utiliser le recouvrement intégré sur des documents contenant une image vectorielle EPS si vous réglez le bloc de l’image. Si l’image EPS importée n’est pas rectangulaire, modifiez la forme du bloc pour qu’elle se rapproche le plus possible de l’élément graphique et qu’elle s’éloigne des autres objets. Par exemple, utilisez la commande Objet > Masque pour ajuster le bloc à la taille de l’élément graphique.
Recouvrement des couleurs
Les moteurs de recouvrement intégré et Adobe In-RIP peuvent tous deux recouvrir les caractères d’un autre texte ou d’autres images. Le recouvrement intégré s’applique à du texte et des images générés dans InDesign, mais non contenus dans des images importées. Un caractère chevauchant plusieurs couleurs d’arrière-plan recouvre précisément toutes ces couleurs. Le recouvrement Adobe In-RIP permet de recouvrir tous les types de polices. En revanche, le recouvrement intégré fonctionne mieux avec les polices Type 1, Open Type et Multiple Master ; l’utilisation des polices TrueType risque d’entraîner des recouvrements irréguliers. Si vous devez utiliser des polices TrueType avec le recouvrement intégré, vectorisez l’ensemble des caractères TrueType. Pour cela, sélectionnez le texte, puis choisissez Texte > Vectoriser. Le texte se transforme en objets InDesign pouvant être recouverts de façon fiable. Vous ne pouvez plus modifier le texte après vectorisation.
Que vous utilisiez le recouvrement Adobe In-RIP ou le recouvrement intégré, vous gagnerez du temps en excluant les pages ne nécessitant pas de recouvrement, telles que celles contenant uniquement du texte en noir. Vous pouvez utiliser des recouvrements prédéfinis afin d’activer le recouvrement uniquement pour les intervalles de pages qui en ont besoin. La vitesse du recouvrement intégré dépend de celle de votre ordinateur. Si vous procédez au recouvrement de chaque page d’un long document, utilisez le plus rapide des ordinateurs disponibles. Le disque dur de votre ordinateur étant sollicité de façon intensive, le moteur de recouvrement intégré est plus performant avec un disque dur et un bus de données rapides. Pour optimiser le temps pendant lequel vos ordinateurs sont disponibles pour d’autres tâches, pensez à utiliser le recouvrement Adobe In-RIP qui traite tous les recouvrements au niveau du module de pixellisation (RIP, Raster Image Processor), et non au niveau de votre ordinateur.
Afin d’effectuer le recouvrement des contours de chaque couleur pour laquelle cette opération est nécessaire, le logiciel de recouvrement crée de nombreux chemins utilisés uniquement par le périphérique de sortie (les chemins ne sont pas stockés dans votre document). Par opposition à la méthode In-RIP qui traite et stocke ces tracés supplémentaires au niveau du RIP, le recouvrement intégré les stocke temporairement sur le disque dur de l’ordinateur. Avant d’utiliser le recouvrement intégré, libérez autant d’espace que possible sur votre disque dur. La quantité d’espace disque nécessaire dépend de nombreux facteurs et il est impossible de prévoir avec exactitude les besoins d’une tâche de recouvrement spécifique. Toutefois, plus les caractéristiques suivantes de votre document seront importantes, plus les besoins en espace disque seront susceptibles d’augmenter :
Recouvrement des couleurs
• nombre d’images nécessitant un recouvrement ; • texte nécessitant un recouvrement ; • résolution de la sortie finale. Si le traitement d’un travail d’impression utilisant le recouvrement intégré est interrompu ou manque d’espace disque, les données de recouvrement risquent de rester stockées sur votre disque dur. Si nécessaire, vous pouvez quitter l’application, puis rechercher et supprimer les données temporaires du dossier C:\Temp (Windows). Sous Mac OS, redémarrez votre ordinateur.
Avant de modifier les paramètres de recouvrement par défaut, consultez votre prestataire de services prépresse ; il est également recommandé d’avoir une bonne compréhension du fonctionnement des options de recouvrement dans le contexte de votre document et de vos conditions d’impression spécifiques. Si vous effectuez un recouvrement sur plusieurs documents d’un livre, assurez-vous d’avoir attribué, si nécessaire, des recouvrements prédéfinis aux groupes de pages dans les différents documents du livre. Vous ne pouvez pas appliquer des paramètres de recouvrement à tous les documents d’un livre à la fois. Vous pouvez cependant résoudre les recouvrements prédéfinis conflictuels d’un document. 1 Créez si nécessaire un recouvrement prédéfini pour définir des paramètres spécifiques au document et aux
2 Attribuez le recouvrement prédéfini à un groupe de pages. 3 Choisissez Fichier > Imprimer pour ouvrir la boîte de dialogue Impression. 4 Sélectionnez Sortie dans la liste située à gauche. 5 Dans Couleur, choisissez Séparations ou Séparations In-RIP, selon que vous créez des séparations sur un
6 Dans Recouvrement, sélectionnez l’une des options suivantes :
• Adobe In-RIP. Cette option fonctionne uniquement si le périphérique de sortie prend en charge le recouvrement In-RIP. 7 Si votre prestataire de services prépresse recommande de changer les paramètres d’encre, cliquez sur l’option
8 Spécifiez les autres options d’impression, puis cliquez sur Imprimer pour lancer l’impression du document.
« Création ou modification d’un recouvrement prédéfini » à la page 528 « A propos de l’impression » à la page 630 « Attribution d’un recouvrement prédéfini aux pages » à la page 529
Recouvrement des couleurs
à un groupe de pages dans un document. Le panneau Recouvrements prédéfinis fournit une interface permettant de définir des paramètres de recouvrement et d’enregistrer des paramètres de recouvrement prédéfinis. Vous pouvez appliquer des recouvrements prédéfinis à n’importe quelle page d’un document (ou à toutes les pages) ou importer les recouvrements prédéfinis à partir d’un autre document InDesign. Si vous n’appliquez pas un recouvrement prédéfini à un groupe de pages de recouvrement, celui-ci utilisera le recouvrement prédéfini par défaut.
« A propos des styles et des paramètres prédéfinis InDesign » à la page 40
1 Si le panneau Recouvrements prédéfinis n’est pas affiché, sélectionnez Fenêtre > Sortie > Recouvrements
2 Utilisez l’une des méthodes suivantes dans le panneau Recouvrements prédéfinis : Pour réduire la liste des recouvrements prédéfinis ❖ Dans le menu du panneau Recouvrements prédéfinis, choisissez Petites rangées de panneau.
❖ Dans le menu du panneau Recouvrements prédéfinis, choisissez Sélectionner tous les styles inutilisés. Le moteur de
1 Si le panneau Recouvrements prédéfinis n’est pas affiché, sélectionnez Fenêtre > Sortie > Recouvrements
Nom Attribuez un nom au recouvrement prédéfini. Vous ne pouvez pas renommer le recouvrement prédéfini [Par
Largeur de recouvrement Entrez des valeurs pour spécifier la largeur de chevauchement des encres. Aspect de recouvrement Spécifiez les options qui déterminent la forme des recouvrements. Image Spécifiez les paramètres déterminant le recouvrement des images bitmap importées.
Recouvrement des couleurs
« Options de recouvrements prédéfinis » à la page 530 « Recouvrement des images bitmap importées » à la page 525
Vous pouvez dupliquer, supprimer, importer et personnaliser des recouvrements prédéfinis.
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes : • Choisissez Supprimer les recouvrements prédéfinis dans le menu du panneau. 2 Si un message vous invite à remplacer un recouvrement prédéfini, choisissez-en un dans la boîte de dialogue
3 Cliquez sur le bouton Oui pour confirmer la suppression.
1 Dans le menu du panneau Recouvrements prédéfinis, choisissez Charger des recouvrements prédéfinis. 2 Sélectionnez le fichier InDesign et cliquez sur Ouvrir.
Vous pouvez attribuer un recouvrement prédéfini à un document ou à un groupe de pages dans un document. Si vous désactivez le recouvrement pour les pages ne contenant pas de couleurs contiguës, celles-ci s’impriment plus rapidement. Le recouvrement ne se produit réellement qu’au moment de l’impression du document.
Recouvrement des couleurs
2 Dans la zone Recouvrement prédéfini, choisissez le recouvrement prédéfini à appliquer. 3 Sélectionnez les pages auxquelles appliquer le recouvrement prédéfini. 4 Cliquez sur Attribuer, puis sur Terminer.
à l’aide du bouton Attribuer sont conservés.
1 Dans le menu du panneau Recouvrements prédéfinis, choisissez Attribuer un recouvrement prédéfini. 2 Dans la zone Recouvrement prédéfini, choisissez le recouvrement prédéfini à appliquer aux groupes de pages. 3 Sélectionnez Etendue, puis entrez un ou plusieurs groupes de pages par ordre croissant, en insérant un tiret entre
4 Cliquez sur Attribuer, puis sur Terminer.
Vous pouvez modifier les options de recouvrements prédéfinis chaque fois que vous créez ou modifiez un recouvrement prédéfini. Les mêmes options de recouvrements prédéfinis sont disponibles dans Acrobat et InDesign. Dans Acrobat, vous pouvez afficher les recouvrements prédéfinis en sélectionnant Outils > Impression > Recouvrements prédéfinis. Dans InDesign, sélectionnez Fenêtre > Sortie > Recouvrements prédéfinis.
La largeur de recouvrement correspond à la largeur du chevauchement de chaque recouvrement. En raison des différences de caractéristiques de papier, de linéature et de conditions d’impression, les largeurs de recouvrement varient. Pour déterminer les largeurs de recouvrement convenant à chaque travail d’impression, consultez votre imprimeur. Par défaut Indique la largeur de recouvrement en points pour le recouvrement de toutes les couleurs, excepté celles contenant du noir. La valeur par défaut est 0,25 pt.
Recouvrement des couleurs
1,5 à 2 fois supérieure à la largeur de recouvrement par défaut. Dans InDesign, la valeur définie pour l’option Couleur noire détermine la valeur pour un noir ou un noir intense, noir quadrichromique (N) mélangé avec des encres de couleur pour augmenter l’opacité et l’intensité de la couleur. Remarque : (InDesign) Si vous sélectionnez le recouvrement intégré de l’application et que vous spécifiez une largeur de recouvrement Par défaut ou une largeur de recouvrement Noir supérieure à 4 points, la largeur de recouvrement obtenue se limite à 4 points Toutefois, la valeur spécifiée reste affichée, car, si vous passez au recouvrement Adobe In-RIP, les recouvrements supérieurs à 4 points s’appliquent comme indiqué.
Un sommet représente la jonction de deux bords de recouvrement en une extrémité commune. Vous pouvez contrôler la forme d’un sommet extérieur formé par deux segments de recouvrement et de l’intersection entre trois recouvrements. Style de sommet Définit la forme du sommet extérieur constitué par deux segments de recouvrement. Choisissez un
L’extrémité du recouvrement le plus clair est chevauchée au point d’intersection des trois objets.
Etape Spécifie le seuil de changement de couleur à partir duquel le logiciel crée un recouvrement. Pour certains
Recouvrement des couleurs
Pour modifier le degré de variation que peuvent subir les encres composant les couleurs contiguës avant qu’un recouvrement de ces couleurs n’intervienne, ajustez la valeur de l’option Tolérance dans les boîtes de dialogue Nouveau recouvrement prédéfini ou Modifier les options de recouvrement prédéfini. La valeur par défaut de cet attribut est 10 %. Pour des résultats optimaux, choisissez une valeur entre 8 % et 20 %. Les pourcentages inférieurs augmentent la sensibilité aux différences de couleur et donc le nombre de recouvrements. Couleur noire Spécifie la quantité minimale d’encre noire requise avant que la valeur de l’option de largeur de recouvrement Noir ne soit appliquée. La valeur par défaut est 100%. Pour des résultats optimaux, choisissez une valeur supérieure ou égale à 70 %. Densité du noir Indique la valeur de densité neutre à partir de laquelle InDesign considère que l’encre est noire. Par exemple, si vous souhaitez que la valeur de la largeur de recouvrement Noir soit appliquée à une encre de ton direct foncé, entrez une valeur de densité neutre ici. Cette valeur est en général définie sur un chiffre proche de la valeur par défaut (1,6). Variation Détermine lorsque le moteur de recouvrement commence à chevaucher la ligne médiane de la zone de
à la valeur de densité neutre d’une couleur contiguë plus foncée. Par exemple, une valeur Variation de 70 % a pour effet de déplacer le positionnement du recouvrement afin qu’il commence à chevaucher la ligne médiane lorsque la couleur la plus claire dépasse 70 % de la couleur la plus foncée en densité neutre (la densité neutre de la couleur la plus claire divisée par la densité neutre de la couleur la plus foncée > 0,70). Les couleurs de densités neutres identiques chevauchent toujours exactement la ligne centrale, à moins que l’option Variation ne soit définie sur 100 %. Réduction de la couleur de recouvrement Indique le pourcentage d’utilisation de composants de couleurs aboutées
Vous pouvez créer un recouvrement prédéfini pour gérer les recouvrements d’images, ainsi que les recouvrements entre images bitmap (photographies et images enregistrées dans des fichiers PDF pixellisés, par exemple) et objets vectoriels (objets de programme d’illustration et fichiers PDF vectoriels, par exemple). Chaque logiciel de recouvrement traite différemment les images importées. Il est important de connaître ces différences lors de la configuration des options de recouvrement. Application Propose des options indiquant l’emplacement du recouvrement lorsque des images bitmap sont recouvertes par des objets vectoriels (notamment les objets dessinés dans InDesign). Toutes les options, excepté Densité neutre, créent un bord cohérent. L’option Bande centrale crée un recouvrement à cheval sur la limite entre les objets et les images. Quand l’option Maigri est activée, les objets chevauchent l’image aboutée. L’option Densité neutre applique les règles de recouvrement utilisées pour le reste du document. Lorsque cette option est sélectionnée et qu’un objet recouvre une photographie, les bords risquent d’être visiblement irréguliers, car le recouvrement passe d’un bord à un autre. Quand l’option Grossi est sélectionnée, l’image bitmap chevauche l’objet abouté. Recouvrement d’objets sur images Associée à une option de la liste Application, permet le recouvrement des images par des objets vectoriels (tels que les cadres utilisés comme lignes clés). Si les objets vectoriels ne chevauchent pas les images lors du recouvrement d’un intervalle de pages, désactivez cette option pour accélérer la procédure de recouvrement. Recouvrement d’images sur images Active le recouvrement le long de la limite entre les images bitmap aboutées ou se
Recouvrement des couleurs
Images de 1 bit Permet le recouvrement d’objets aboutés par des images de 1 bit. Cette option n’utilise pas les paramètres d’application car les images de 1 bit ne contiennent qu’une seule couleur. En règle générale, sélectionnez cette option. Dans certains cas, notamment lorsque les pixels d’images de 1 bit sont très espacés, cette option risque d’obscurcir l’image et de ralentir la procédure de recouvrement.
1 Choisissez Nouveau recouvrement prédéfini dans le menu du panneau pour créer un recouvrement prédéfini ou
2 Dans le champ Variation de la zone Seuils de recouvrement, entrez un pourcentage compris entre 0 et 100 ou
Lorsque vous créez ou modifiez des recouvrements prédéfinis, la valeur saisie pour l’option Couleur noire détermine ce qui est considéré comme noir et noir intense. La couleur noir intense correspond à n’importe quelle couleur noire utilisant un tramage (ajout d’une ou plusieurs encres quadrichromiques pour intensifier la couleur noire). L’option Couleur noire permet de compenser un engraissement extrême (quand vous utilisez un papier de faible qualité, par exemple). Dans ce cas, les zones dont le pourcentage de noir est inférieur à 100 % s’impriment sous forme de zones unies. Pour compenser l’engraissement et garantir que le logiciel de recouvrement utilise la largeur et l’application de recouvrement correctes pour les objets noirs, tramez le noir et le noir intense (à l’aide de teintes de noir uni) et diminuez la valeur de l’option Couleur noire (définie par défaut sur 100 %). Lorsqu’une couleur atteint la valeur de l’option Couleur noire, la valeur de la largeur de recouvrement Noir est appliquée à toutes les couleurs aboutées et des recouvrements réservés sont créés pour les zones de noir intense à l’aide de l’option de largeur de recouvrement Noir. Si le tramage s’étend jusqu’au bord d’une zone noire, tout problème de repérage des encres rend les bords du tramage visibles et crée un flou imprévu ou une distorsion des bords des objets. Le logiciel de recouvrement utilise un recouvrement réservé (retenu), pour le noir intense afin que le tramage reste éloigné des bords d’éléments inversés ou clairs du premier plan. Les éléments clairs conservent ainsi leur netteté. Vous pouvez contrôler la distance entre le tramage et les bords des zones noires en spécifiant une valeur dans le champ de largeur de recouvrement Noir. Remarque : si l’élément que vous recouvrez est un élément fin, comme un contour noir autour de graphiques, le moteur de recouvrement remplace le paramètre de largeur de recouvrement Noir et limite le recouvrement à la moitié de la largeur de l’élément fin.
1 Choisissez Nouveau recouvrement prédéfini dans le menu du panneau pour créer un recouvrement prédéfini ou
Recouvrement des couleurs
3 Définissez les valeurs pour les paramètres Couleur noire et Densité du noir.
« Présentation du panneau Recouvrements prédéfinis » à la page 528 « Options de recouvrements prédéfinis » à la page 530
Vous pouvez normalement appliquer un recouvrement prédéfini à une feuille de sortie telle qu’une page. Mais si vous imprimez plusieurs documents d’un livre et que chaque document ou chaque page possède son propre recouvrement prédéfini, InDesign peut résoudre certains conflits de recouvrement prédéfinis en synchronisant les paramètres entre les documents :
Recouvrement prédéfini dans la boîte de dialogue Options de synchronisation.
également utiliser le recouvrement prédéfini [Par défaut]. Les paramètres apparaissent dans le menu Recouvrement prédéfini de la boîte de dialogue Attribuer des recouvrements prédéfinis. Remarque : si plusieurs recouvrements prédéfinis sont appliqués aux pages de planches, InDesign les applique individuellement.
« Synchronisation des documents d’un livre » à la page 312
Réglage des valeurs de densité neutre des encres Vous pouvez régler les valeurs de densité neutre des encres utilisées par le logiciel de recouvrement pour déterminer l’application exacte des recouvrements. Les valeurs de densité neutre par défaut des encres quadrichromiques se basent sur les lectures de densité neutre des échantillons des encres quadrichromiques conformes aux normes reconnues dans différents pays. La langue détermine cette norme. Par exemple, les valeurs de densité neutre des versions anglaise (Etats-Unis) et canadienne sont conformes aux valeurs de la norme SWOP (Specifications for Web Offset Publications) publiée par la fondation Graphic Arts Technical Foundation of North America. Vous pouvez adapter les densités neutres des encres quadrichromiques afin qu’elles correspondent aux normes reconnues dans d’autres pays.
Recouvrement des couleurs
Pour obtenir la valeur de densité neutre convenant à une encre spécifique, contactez votre imprimeur. Pour déterminer la valeur de densité neutre d’une encre de façon précise, mesurez un échantillon de l’encre concernée avec un densitomètre. Lisez la valeur de densité de l’encre (n’utilisez pas de filtre). Si cette valeur diffère de la valeur par défaut, saisissez-la dans la zone de texte Densité neutre. Remarque : la modification de la densité neutre d’un ton direct affecte uniquement le recouvrement de cette couleur. Elle n’a aucune incidence sur l’aspect de la couleur dans le document. Suivez ces instructions lorsque vous ajustez des valeurs de densité neutre : Encres métalliques et opaques Les encres métalliques sont souvent plus foncées que leurs équivalents CMJN. Les encres opaques obscurcissent les encres sous-jacentes. En général, vous devez définir la densité neutre des encres métalliques et des tons directs opaques sur des valeurs beaucoup plus élevées que les valeurs par défaut afin que les tons directs ne s’étalent pas.
Encres pastels Ces encres sont en général plus claires que leurs équivalents quadrichromiques. Vous pouvez donc
Autres tons directs Certains tons directs, turquoise ou orange néon par exemple, sont beaucoup plus foncés ou clairs
équivalents CMJN. Vous pouvez régler la densité neutre de ces tons directs sur des valeurs plus élevées ou plus faibles, selon les besoins.
Vous devez tenir compte de certains éléments lorsque vous utilisez certaines encres pour le recouvrement. Par exemple, si vous vous servez d’un vernis sur un document, ce vernis ne doit pas affecter le recouvrement. Toutefois, quand vous surimprimez certaines zones avec une encre entièrement opaque, vous n’avez pas besoin de créer de recouvrement pour les éléments sous-jacents. Des options d’encre sont disponibles pour ces cas de figure. En règle générale, il est préférable de ne pas modifier les paramètres par défaut, à moins que votre service de prépresse ne vous l’ait recommandé. Remarque : il se peut que les encres spécialisées et les vernis utilisés dans le document aient été créés en mélangeant deux tons directs ou en mélangeant un ton direct et une ou plusieurs encres quadrichromiques. 1 Ouvrez le Gestionnaire d’encres, puis sélectionnez une encre requérant un traitement particulier. 2 Choisissez l’une des options suivantes dans le menu Type, puis cliquez sur le bouton OK : Normal A utiliser pour des encres quadrichromiques classiques et la plupart des tons directs. Transparent A utiliser pour les encres claires afin de garantir le recouvrement des éléments sous-jacents. Utilisez cette
Recouvrement des couleurs
Ignorer Opaque A utiliser pour les encres fortes non transparentes afin d’empêcher le recouvrement des couleurs
« Présentation du gestionnaire d’encres » à la page 679 « Mélange des encres » à la page 492
La séquence de recouvrement (également appelée ordre de recouvrement) reflète l’ordre d’impression des encres sur la presse, et non celui des séparations sur le périphérique de sortie. La séquence de recouvrement est particulièrement importante lorsque vous imprimez plusieurs couleurs opaques, comme des encres métalliques. Les encres opaques dont la séquence de recouvrement est faible s’étalent sous les encres opaques dont la séquence est plus élevée. Grâce à ce processus, la dernière encre appliquée n’est pas étalée et les recouvrements sont de bonne qualité. Remarque : ne modifiez pas la séquence de recouvrement par défaut sans consulter votre service de prépresse. 1 Ouvrez le Gestionnaire d’encres. La séquence de recouvrement actuelle s’affiche dans la colonne Séquence de la liste
2 Sélectionnez une encre, saisissez une nouvelle valeur dans le champ Séquence de recouvrement, puis appuyez sur
3 Recommencez cette étape pour toutes les encres nécessaires, puis cliquez sur OK.
« Présentation du gestionnaire d’encres » à la page 679
électroniques. Compacts et complets, les fichiers Adobe PDF peuvent être partagés, affichés et imprimés par tous les utilisateurs disposant du logiciel gratuit ®Adobe Reader. Adobe PDF est particulièrement adapté aux processus de publication. En enregistrant un composite de votre illustration au format Adobe PDF, vous créez un fichier compact et fiable que vous ou votre prestataire de services pouvez afficher, modifier, organiser et vérifier. Au moment approprié du processus, votre prestataire de services peut alors générer directement le fichier Adobe PDF ou le traiter à l’aide d’outils de diverses sources pour des tâches de posttraitement telles que vérifications de contrôle en amont, recouvrement, imposition et séparation des couleurs. Lors de l’enregistrement dans Adobe PDF, vous pouvez choisir de créer un fichier conforme à la norme PDF/X. PDF/X (Portable Document Format Exchange) est un sous-ensemble d’Adobe PDF qui permet d’éliminer de nombreuses variables de couleur, police et recouvrement pouvant entraîner des problèmes d’impression. Vous pouvez avoir recours à la norme PDF/X dès lors que des fichiers PDF utilisés comme matrices numériques sont échangés en vue d’une impression professionnelle, tant à l’étape de la création que de la sortie, à condition que la norme soit prise en charge par les applications et les périphériques de sortie. Le fichier PDF d’Adobe peut résoudre les problèmes suivants associés aux documents électroniques : Problème courant
Les archives électroniques combinées aux archives papier occupent beaucoup d’espace, offrent des possibilités limitées en termes de recherche et impliquent que l’on dispose des applications dans lesquelles les documents ont été créés.
Les documents dont la mise en page est complexe sont inaccessibles aux malvoyants.
InDesign que vous exportez au format PDF, tant que vous ne les modifiez pas de nouveau. Vous pouvez utiliser des paramètres prédéfinis pour appliquer rapidement des paramètres personnalisés aux fichiers PDF. Vous pouvez exporter un document, un livre ou des documents sélectionnés dans un livre sous la forme d’un fichier PDF unique. Vous pouvez également copier le contenu de votre mise en page InDesign dans le Presse-papiers, puis créer automatiquement un fichier Adobe PDF à partir de ce contenu. Cette fonction est très utile pour coller un fichier PDF dans une autre application, telle qu’Adobe Illustrator. Lorsque vous exportez un fichier InDesign au format PDF, vous pouvez conserver les éléments de navigation tels que les tables des matières et les entrées d’index, ainsi que les fonctions interactivité tels que les hyperliens, les signets, les séquences multimédias et les boutons. Vous pouvez également exporter des calques masqués, des calques et des objets non imprimables au format PDF. Si vous exportez un livre, vous pouvez fusionner les calques de noms identiques à l’aide du panneau Livre.
« Options Adobe PDF » à la page 543 « Niveaux de compatibilité PDF » à la page 544 « Création de documents dynamiques pour PDF » à la page 567
1 Choisissez Fichier > Exporter. 2 Entrez un nom de fichier et choisissez un emplacement. 3 Dans la zone Type (Windows) ou Format (Mac OS) de la boîte de dialogue Enregistrer sous, choisissez l’option
4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Paramètres prédéfinis Adobe PDF.
Adobe PDF, soit un format PDF/X prédéfini dans le menu Standard.
5 Dans le champ Compatibilité, sélectionnez la plus ancienne des versions PDF pouvant être utilisée pour ouvrir les
6 Cliquez sur Exporter (Windows) ou Enregistrer (Mac OS).
Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée et cliquez sur Réinitialiser. Le bouton Annuler devient Réinitialiser.
PDF. Pour éviter la duplication des noms de calques dans le PDF, vous pouvez fusionner les calques lors de l’exportation.
1 Si vous ne voulez pas que certains calques soient fusionnés, donnez-leur un nom différent et unique dans chaque
Les noms de calques sont sensibles à la casse. Par exemple, les calques « Art » et « art » ne sont pas fusionnés. 2 Dans le menu du panneau Livre, sélectionnez Fusionner les calques de noms identiques à l’exportation.
1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
2 Spécifiez un nom et un emplacement pour le fichier PDF, puis cliquez sur Enregistrer. 3 Sélectionnez un paramètre prédéfini dans le menu Paramètres prédéfinis Adobe PDF ou sélectionnez une catégorie
4 Cliquez sur Exporter (Windows) ou Enregistrer (Mac OS).
• Dans la zone Compression, sous-échantillonnez les images à 72 pixels par pouce, sélectionnez la compression automatique ainsi que la qualité d’image basse ou moyenne pour les images en couleurs et en niveaux de gris. Lorsque vous travaillez avec des images photographiques, utilisez la compression Automatique (JPEG 2000) ; lorsque vous travaillez avec des images aux couleurs unies, telles que les diagrammes et les graphes, utilisez la compression ZIP.
Pour réduire la taille des fichiers PDF, ouvrez le PDF dans Acrobat 8.0 ou version ultérieure, choisissez la commande Document > Réduire la taille du fichier, puis spécifiez le niveau de compatibilité. Pour un meilleur contrôle, choisissez la commande Options avancées > Optimisation PDF. Pour plus de détails sur la réduction de la taille des fichiers PDF, reportez-vous à l’aide d’Acrobat et au site Web d’Adobe.
Creative Suite, y compris InDesign, Illustrator, Photoshop et Acrobat. Vous avez également la possibilité de créer et de partager des paramètres prédéfinis personnalisés pour vos exigences particulières en matière de sortie. Certains des paramètres prédéfinis répertoriés ci-dessous ne sont disponibles qu’une fois déplacés, selon vos besoins, du dossier Extras (où ils sont installés par défaut) vers le dossier Settings. De manière générale, les dossiers Extras et Settings sont disponibles dans ProgramData\Adobe\AdobePDF (Windows Vista), Documents and Settings\All Users\Application Data\Adobe\Adobe PDF (Windows XP) ou dans Bibliothèque/Application Support/Adobe PDF (Mac OS). Quelques paramètres prédéfinis ne sont pas disponibles dans certains composants Creative Suite. Les paramètres personnalisés sont enregistrés dans le dossier /Documents and Settings/[nom utilisateur]/Application Data/Adobe/Adobe PDF/Settings (Windows XP), Users/[nom utilisateur]/AppData/Roaming/Adobe/Adobe PDF/Settings (Windows Vista) ou Users/[nom utilisateur]/Bibliothèque/Application Support/Adobe/PDF/Settings également les jeux partiels de polices, ne modifie pas les couleurs et n’aplatit pas la transparence (pour les types de fichiers ayant la capacité de transparence). Les fichiers PDF créés avec ce fichier de paramètres peuvent être ouverts avec Acrobat 5.0, Adobe Reader 5.0 et versions ultérieures. Dans InDesign, ce paramètre prédéfini crée également des fichiers PDF balisés. Illustrator par défaut (Illustrator uniquement) Crée un fichier PDF dans lequel les données d’Illustrator sont conservées. Les fichiers PDF créés à l’aide de ce paramètre prédéfini peuvent être de nouveau ouverts dans Illustrator sans perte de données. Pages hors format (Acrobat uniquement) Crée des fichiers PDF adaptés à l’affichage et à l’impression de dessins
être ouverts avec Acrobat, Reader 7.0 et versions ultérieures. PDF/A-1b: 2005 (CMJN ou RVB) (Acrobat uniquement) Utilisé pour la préservation (l’archivage) durable des
Acrobat et Reader version 5.0 et ultérieures. PDF/X-1a (2001 et 2003) PDF/X-1a requiert l’incorporation de toutes les polices, la spécification des repères et fonds
Le format PDF/X-1a utilise PDF 1.3, sous-échantillonne les images couleur et en niveaux de gris à 300 ppp et les images monochromes à 1 200 ppp. Il incorpore également les jeux partiels de polices, crée des fichiers PDF non balisés et aplatit la transparence à l’aide du paramètre Haute Résolution. Remarque : le format PDF/X1-a:2003 et les paramètres prédéfinis PDF/X-3 (2003) sont placés sur votre ordinateur au cours de l’installation. Cependant, ils ne sont disponibles qu’une fois déplacés du dossier Extras vers le dossier Settings.
Les fichiers PDF créés avec la conformité à la norme PDF/X-4 peuvent être ouverts dans Acrobat 7.0, Reader 7.0 et versions ultérieures. Qualité optimale Crée des fichiers PDF pour la production d’impression de haute qualité (par exemple, pour l’impression numérique ou pour les séparations sur photocomposeuse ou imageuse de plaques), mais ne crée pas de fichiers compatibles PDF/X. Dans ce cas, la qualité du contenu est prioritaire, dans le but de conserver dans le fichier PDF toutes les informations nécessaires à un imprimeur ou un prestataire de service d’impression afin de garantir la précision de l’impression du document. Ce jeu d’options utilise PDF 1.4, convertit les couleurs en CMJN, sous-échantillonne les images couleur et en niveaux de gris à 300 ppp et les images monochromes à 1 200 ppp. Il incorpore également les jeux partiels de polices et conserve la transparence (pour les types de fichiers ayant la capacité de transparence).
Remarque : avant de créer un fichier Adobe PDF destiné à un imprimeur professionnel ou un prestataire de service d’impression, demandez-lui la résolution de sortie et les autres paramètres requis ou de vous fournir le fichier .joboptions adéquat. Il vous faudra peut-être modifier les paramètres Adobe PDF en fonction des recommandations du prestataire de services, puis lui fournir votre propre fichier .joboptions. Rich Content PDF Permet de créer des fichiers PDF accessibles comprenant des balises, des hyperliens, des signets, des
Remarque : le paramètre prédéfini s’appelait eBook dans les versions précédentes de certaines applications. Taille de fichier minimale Permet de créer des fichiers PDF adaptés à un affichage sur le Web, un intranet ou à la distribution par courrier électronique. Cet ensemble d’options utilise la compression, le sous-échantillonnage et une résolution d’image relativement basse. Il permet la conversion de toutes les couleurs en sRVB et l’incorporation des polices. Il optimise également les fichiers pour le téléchargement page à page.
Standard (Acrobat uniquement) Crée des fichiers PDF destinés à l’impression sur des imprimantes de bureau ou numériques, à l’édition sur CD-ROM ou à l’envoi à un client comme épreuve d’impression. Ce jeu d’options utilise la compression et le sous-échantillonnage afin de maintenir la taille du fichier au minimum, mais comprend également des jeux partiels de toutes les polices (autorisées) utilisées dans le fichier, convertit les couleurs en sRVB et applique une résolution moyenne. Veuillez noter que les jeux partiels de polices Windows ne sont pas incorporés par défaut. Les fichiers PDF créés avec ce fichier de paramètres peuvent être ouverts dans Acrobat 5.0, Acrobat Reader 5.0 et versions ultérieures.
• Pour enregistrer un paramètre prédéfini à un emplacement autre que le sous-dossier de paramètres du dossier Adobe (emplacement par défaut), sélectionnez le paramètre, puis cliquez sur Enregistrer sous. Spécifiez un emplacement, puis cliquez sur Enregistrer. Sinon, vous pouvez créer un paramètre prédéfini personnalisé lorsque vous enregistrez un fichier PDF en cliquant sur Enreg. prédéfini en bas de la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF. Attribuez un nom au paramètre prédéfini et cliquez sur OK.
Les paramètres prédéfinis PDF InDesign supplémentaires sont installés dans le dossier Adobe PDF\Extras. Recherchez les autres fichiers .joboptions à l’aide de l’utilitaire de recherche de votre système. Vous pouvez aussi recevoir des paramètres prédéfinis personnalisés PDF de vos prestataires de services ou de vos collègues. Pour que ces paramètres prédéfinis s’affichent dans le menu Paramètres prédéfinis Adobe PDF, ils doivent être déplacés vers le dossier des paramètres soit manuellement soit à l’aide de la commande Charger.
1 Choisissez Fichier > Paramètres prédéfinis Adobe PDF > Définir. 2 Cliquez sur Charger et sélectionnez le fichier .joboptions que vous voulez charger.
4 Cliquez deux fois sur le fichier que vous voulez convertir.
Standard et Compatibilité qui se situent dans la partie supérieure. Lorsque vous exportez au format PDF et que vous modifiez l’une des options, la mention « modifié » est ajoutée à la fin du nom du paramètre prédéfini. Standard Permet d’attribuer un format PDF/X au fichier. Compatibilité Permet d’attribuer une version PDF au fichier. Général Permet de définir les options de base du fichier. Compression Permet d’indiquer si l’illustration doit être compressée et sous-échantillonnée et, dans ce cas, la méthode et les paramètres à utiliser. Repères et fonds perdus Permet de définir les repères d’impression, ainsi que les zones de fonds perdus et de lignes-
Sortie Permet de définir le mode d’enregistrement des couleurs et des profils de rendu de la sortie PDF/X dans le
Avancé Permet de définir le mode d’enregistrement des polices, des spécifications OPI, des paramètres d’aplatissement des transparences et des instructions JDF dans le fichier PDF. Protection Permet de protéger les fichiers PDF. Les options de sécurité ne sont pas disponibles lorsque vous créez ou
Résumé Permet d’obtenir un résumé des paramètres PDF définis. Vous pouvez cliquer sur la flèche en regard d’une
échanges de contenus graphiques. Au cours de la conversion au format PDF, le fichier en cours de traitement est contrôlé par rapport à la norme spécifiée. Si le fichier PDF ne respecte pas la norme ISO sélectionnée, un message s’affiche vous demandant d’annuler la conversion ou de poursuivre la création du fichier non conforme. Les formats PDF/X (notamment PDF/X-1a et PDF/X-3) représentent les normes les plus courantes dans les flux de travail d’imprimerie. Remarque : pour plus de détails sur les normes PDF/X, consultez le site Web de l’Organisation internationale de normalisation (ISO) et le site Web d’Adobe.
A moins que la compatibilité avec des versions antérieures s’avère nécessaire, il est en général recommandé d’utiliser la version la plus récente (1.7 dans le cas présent). La dernière version comprend les toutes dernières fonctions et fonctionnalités. Cependant, si vous prévoyez de diffuser le fichier créé à un grand nombre d’utilisateurs, vous pouvez envisager de choisir Acrobat 5 (PDF 1.4) ou Acrobat 6 (PDF 1.5) pour vous assurer qu’ils pourront tous afficher et imprimer ce document. Le tableau ci-après offre un comparatif de certaines fonctionnalités des fichiers PDF créés avec différents paramètres de compatibilité. Acrobat 4 (PDF 1.3)
La plupart de ces fichiers PDF peuvent être ouverts avec Acrobat 4.0, Acrobat Reader 4.0 et versions ultérieures. Cependant, les fonctions spécifiques à des versions ultérieures peuvent être perdues ou non visibles.
Veillez à aplatir toute option de transparence préalablement à la conversion au format PDF 1.3.
Acrobat Distiller aplatit la transparence).
Acrobat Distiller aplatit la transparence).
Acrobat Distiller aplatit la transparence).
(Distiller convertit les polices lors de leur incorporation).
coller une description à partir du Presse-papiers. Toutes Exporte toutes les pages du document ou du livre actif. Etendue Indique l’étendue de pages à exporter dans le document actif. Vous pouvez spécifier une étendue avec un tiret
Planches Exporte toutes les pages ensemble comme si elles étaient imprimées sur la même feuille.
Incorporer les vignettes de page Crée un aperçu sous forme de vignette pour chaque page à exporter ou une vignette pour chaque planche si l’option Planches est sélectionnée. La vignette s’affiche dans les boîtes de dialogue InDesign Ouvrir ou Importation. L’ajout de vignettes augmente la taille du fichier PDF. Optimiser pour un affichage rapide sur le Web Réduit la taille du fichier PDF et optimise celui-ci pour le
Créer un PDF balisé Balise automatiquement les éléments de l’article pendant l’exportation, selon un sous-ensemble
élémentaires de mise en forme du texte, des listes et des tableaux (vous pouvez insérer et ajuster ces balises dans le document avant de l’exporter au format PDF, voir la section « Ajout d’une structure aux PDF » à la page 557). Remarque : si le paramètre Compatibilité est défini sur Acrobat 6 (PDF 1.5) ou version ultérieure, les balises sont compressées pour réduire la taille du fichier. Si vous ouvrez le PDF ainsi obtenu dans Acrobat 4.0 ou Acrobat 5.0, les balises ne sont pas visibles : en effet, ces versions d’Acrobat ne peuvent pas décompresser les balises. Afficher le PDF après exportation Ouvre le fichier PDF nouvellement créé dans l’application de visualisation PDF par
Créer des calques Acrobat Enregistre chaque calque InDesign sous forme de calque Acrobat dans le PDF. Exporte
Exporter les calques Détermine si les calques visibles et les calques non imprimables sont inclus dans le PDF. Vous pouvez utiliser les paramètres Options de calque pour déterminer si chaque calque est masqué ou défini comme non imprimable. Lors de l’exportation au format PDF, choisissez si vous voulez exporter tous les calques (y compris les calques masqués et non imprimables), les calques visibles (calques non imprimables inclus) ou les calques visibles et imprimables. Signets Crée des signets pour les entrées de la table des matières et préserve les niveaux de cette dernière. Les signets
Hyperliens Crée des annotations PDF sous forme d’hyperliens pour les hyperliens InDesign, les entrées de table des matières et les entrées d’index. Grilles de ligne de base et repères visibles Exporte les repères de marge, les repères de règle, les repères de colonne et les grilles de ligne de base visibles dans le document. Les grilles et les repères sont exportés dans la même couleur que celle utilisée dans le document. Objets non imprimables Exporte les objets auxquels l’option Non imprimable a été appliquée dans le panneau
Eléments interactifs Exporte toutes les séquences vidéo, les sons et les boutons. Acrobat 4.0 et 5.0 exigent que les
Multimédia Permet de définir la méthode d’incorporation ou de liaison des séquences et des sons :
• Tout lier Lie les séquences audio et vidéo placées dans le document. Si vous choisissez de ne pas incorporer les séquences dans le fichier PDF, veillez à les placer dans le même dossier que le fichier PDF. • Tout incorporer Incorpore toutes les séquences audio et vidéo, quels que soient les paramètres d’incorporation définis pour chaque objet. Remarque : l’option Multimédia est uniquement disponible lorsque le paramètre de compatibilité est défini sur Acrobat 6 (PDF 1.5) et lorsque l’option Eléments interactifs est activée. Lorsque l’option Compatibilité est définie sur Acrobat 4 (PDF 1.3) ou Acrobat 5 (PDF 1.4) et que l’option Eléments interactifs est sélectionnée, InDesign incorpore les séquences vidéo et les sons en fonction des paramètres des objets individuels.
« Exportation au format PDF » à la page 538 « Hyperliens » à la page 569 « Signets » à la page 568
Format PDF Options de compression et de sous-échantillonnage appliqués aux PDF Lorsque vous exportez un document au format Adobe PDF, vous pouvez compresser le texte et les dessins au trait et compresser et sous-échantillonner les images bitmap. Selon les paramètres choisis, la compression et le souséchantillonnage peuvent réduire de manière sensible la taille du fichier PDF et ce avec très peu, voire aucune perte de détails et de précision. La zone Compression de la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF est divisée en trois sections. Chaque section propose les options suivantes pour la compression et le sous-échantillonnage des images couleur, en niveaux de gris ou monochromes. Sous-échantillonnage Si vous envisagez d’utiliser le fichier PDF sur le Web, le sous-échantillonnage permet un niveau de compression supérieur. Si vous envisagez d’imprimer le fichier PDF en haute résolution, consultez votre fournisseur de services prépresse avant de définir les options de compression et de sous-échantillonnage.
PDF à partir d’une carte géographique, prévoyez d’utiliser une résolution d’image élevée, de sorte que les utilisateurs puissent agrandir la carte. Le sous-échantillonnage désigne la réduction du nombre de pixels dans une image. Pour sous-échantillonner des images en couleur, en niveaux de gris ou monochromes, choisissez une méthode d’interpolation (interpolation, souséchantillonnage bicubique ou échantillonnage) et saisissez la résolution souhaitée (en pixels par pouce). Saisissez ensuite une résolution dans la zone de texte « pour les images au-dessus de ». Toutes les images dont la résolution dépasse ce seuil seront sous-échantillonnées. La méthode d’interpolation choisie détermine la façon dont les pixels sont supprimés :
• Echantillonnage à Choisit un pixel au centre de la zone d’échantillonnage et remplace toute la zone par la couleur de ce pixel. L’échantillonnage est plus rapide que le sous-échantillonnage mais produit des images aux variations chromatiques plus brutales. • Sous-échantillonnage bicubique à Utilise une moyenne pondérée pour déterminer la couleur de pixel, ce qui donne généralement de meilleurs résultats que la méthode d’interpolation par calcul de moyenne. C’est la méthode la plus lente mais aussi la plus précise, qui donne les variations chromatiques les plus douces. Compression Détermine le type de compression à utiliser :
• ZIP Convient aux images qui présentent des zones étendues de couleurs unies ou des motifs récurrents, ainsi qu’aux images en noir et blanc aux textures répétées. Selon la valeur du paramètre Qualité de l’image, la compression ZIP peut être sans perte ou avec perte.
Format PDF Elle présente des avantages supplémentaires, tels que l’affichage progressif. L’option JPEG 2000 est uniquement disponible lorsque l’option Compatibilité est définie sur Acrobat 6 (PDF 1.5) ou version ultérieure. • Automatique (JPEG 2000) Calcule automatiquement le niveau de compression permettant d’obtenir des images en couleurs et en niveaux de gris de qualité optimale. L’option Automatique (JPEG 2000) est uniquement disponible lorsque l’option Compatibilité est définie sur Acrobat 6 (PDF 1.5) ou version ultérieure. • Compressions CCITT et RLE Disponibles uniquement pour les images bitmap monochromes. La compression CCITT (Consultative Committee on International Telegraphy and Telephony) convient aux images noir et blanc ou aux images numérisées avec une profondeur de 1 bit. Groupe 4 est une méthode générale qui produit une bonne compression pour la plupart des images monochromes. Groupe 3, utilisé par la plupart des télécopieurs, compresse les images bitmap monochromes une rangée à la fois. RLE est la meilleure compression lorsque les images contiennent des zones étendues de blancs ou noirs unis. Remarque : les images en niveaux de gris qui ont été colorisées dans InDesign se voient appliquer les paramètres de compression des images en couleur. En revanche, les images en niveaux de gris colorisées à l’aide d’un ton direct (et dont les blocs sont associés à [Aucun]) utilisent les paramètres de compression des images en niveaux de gris. Qualité d’image Détermine le niveau de compression devant être appliqué. Pour la compression JPEG ou JPEG 2000,
Taille du carreau Détermine la taille des carreaux pour l’affichage progressif. Cette option est uniquement disponible
Compression du texte et des dessins au trait Utilise la compression Flate (similaire à la compression ZIP destinée aux
Recadrer les données de l’image sur les cadres Peut réduire la taille du fichier en exportant uniquement les données
Il représente en quelque sorte votre marge d’erreur, afin de garantir que l’encre s’étend bien jusqu’aux bords, une fois la page rognée, ou que le positionnement de l’illustration peut respecter un filet technique défini sur la page. Vous pouvez définir l’étendue des fonds perdus et ajouter un ensemble de repères d’impression au fichier.
« Repères d’impression et fonds perdus » à la page 641
Toutes les informations de tons directs sont préservées lors de la conversion des couleurs ; seuls les équivalents quadri sont convertis vers l’espace colorimétrique désigné.
Règle d’inclusion de profil permet de spécifier si le profil doit être inclus ou non. • Convertir vers la destination (conserver les numéros) Convertit les couleurs vers l’espace colorimétrique de destination uniquement si leurs profils incorporés diffèrent du profil de destination (ou bien s’il s’agit de couleurs RVB alors que le profil de destination correspond à CMJN, et inversement). Les objets de couleur non balisés (objets sans profil incorporé) et les objets natifs (tels que les dessins au trait ou le texte) ne sont pas convertis. Cette option n’est pas disponible si la gestion des couleurs est désactivée. L’option Règle d’inclusion de profil permet de spécifier si le profil doit être inclus ou non. Destination Décrit la gamme de votre périphérique de sortie RVB ou CMJN final, tel que le moniteur ou une
Règle d’inclusion de profil Permet d’indiquer si un profil de couleurs doit être inclus dans le fichier. La disponibilité de cette option et les valeurs associées varient suivant le paramètre sélectionné dans le menu Conversion de la couleur, selon que l’une des normes PDF/X a été sélectionnée ou non et selon que la gestion des couleurs est activée ou désactivée.
• Inclure les profils de source balisée Laisse les couleurs dépendantes du périphérique inchangées et conserve les couleurs dépendantes du périphérique sous leur forme équivalente la plus proche dans le PDF. Cette option est utile aux imprimeurs qui ont étalonné tous leurs périphériques, qui ont utilisé les informations correspondantes pour définir la couleur dans le fichier et qui utilisent uniquement ces périphériques pour le traitement en sortie. • Inclure tous les profils CMJN de source balisée et RVB Intègre tous les profils associés aux objets RVB balisés et aux objets CMJN balisés, tels que les objets importés comportant des profils incorporés. Cette option a également pour effet d’intégrer le profil Document RVB associé aux objets RVB non balisés. • Inclure le profil de destination Associe le profil de destination à tous les objets. Lorsque l’option Convertir vers la destination (conserver les numéros) est sélectionnée, les objets non balisés du même espace colorimétrique se voient attribuer le profil de destination, de sorte que les numéros de couleur ne changent pas. Simuler la surimpression Simule l’aspect des séparations à l’impression en conservant l’aspect de la surimpression sur
Aperçu de la surimpression dans Acrobat pour visualiser les chevauchements de couleurs. Lorsque l’option Simuler la surimpression est sélectionnée, les tons directs sont convertis en leur équivalent quadri et les couleurs se chevauchant s’affichent et s’impriment correctement, même si l’option Aperçu de la surimpression est désactivée dans Acrobat. Lorsque l’option Simuler la surimpression est sélectionnée et que l’option Compatibilité (zone Général) est définie sur
Gestionnaire d’encres Permet d’indiquer si les tons directs doivent être convertis en leur équivalent quadri et de
Nom du profil de rendu de la sortie Définit les conditions d’impression spécifiques du document. Le profil de rendu
à un périphérique de sortie CMJN). Nom de condition de sortie Décrit les conditions d’impression prévues. Cette description peut être utile au destinataire du document PDF. Identificateur de condition de sortie Indique une référence renvoyant à d’autres informations sur les conditions d’impression prévues. Ce champ est automatiquement renseigné si les conditions d’impression sont comprises dans le registre ICC. Lorsque l’une des normes (ou paramètres définis) PDF/X-3 est utilisée, cette option ne peut pas être activée car si elle l’était, les fichiers obtenus ne pourraient pas satisfaire aux tests de compatibilité réalisés dans le cadre de la fonction de contrôle en amont d’Acrobat 7.0 Professional ou version ultérieure, ou de l’application Enfocus PitStop (module externe d’Acrobat 6.0). Nom du registre Indique une URL permettant d’obtenir des informations complémentaires sur le registre. Ce champ
Professional ou version ultérieure, ou de l’application Enfocus PitStop (module externe d’Acrobat 6.0).
Jeux partiels de polices lorsque le pourcentage de caractères utilisé est inférieur à Définit le seuil d’incorporation de polices complètes en fonction du nombre de caractères de la police utilisée dans le document. Dès que le pourcentage de caractères utilisé dans le document pour une police donnée dépasse ce seuil, la totalité de la police est incorporée. Sinon, la police est incorporée dans un jeu partiel. Pour incorporer toutes les polices, entrez 0 (zéro), mais sachez que l’incorporation de polices complètes augmente la taille des fichiers. Vous pouvez aussi définir un seuil dans la boîte de dialogue Préférences générales afin de déclencher l’incorporation d’un jeu partiel en fonction du nombre de glyphes que contient une police. OPI Permet d’ignorer de manière sélective différents types d’images importées lors de l’envoi des données d’image vers
Paramètre prédéfini Si Compatibilité (dans la zone Général de la boîte de dialogue) est défini sur Acrobat 4 (PDF 1.3), vous pouvez spécifier un paramètre prédéfini (ou jeu d’options) pour l’aplatissement des transparences. Ces options sont utilisées uniquement lors de l’exportation de planches comprenant des transparences.
Ignorer rempl. des planches Applique les paramètres d’aplatissement à toutes les planches d’un document ou d’un
Créer un fichier JDF avec Acrobat Crée un fichier JDF (Job Definition Format) et lance Acrobat Professional en vue du traitement de ce fichier. Une définition de tâche dans Acrobat comporte des références aux fichiers à imprimer, ainsi que des instructions et des informations destinées aux prestataires de services prépresse. Cette option n’est disponible que si Acrobat 7.0 Professional (ou version ultérieure) est installé sur votre ordinateur. Pour plus de détails, reportezvous à l’Aide d’Acrobat.
« Options d’omission d’images » à la page 647
Il se peut que vous deviez saisir des mots de passe pour ouvrir un fichier PDF (mot de passe d’ouverture du document) et modifier les paramètres de protection (mot de passe d’accès aux droits). Si vous restreignez l’accès à certaines fonctions d’un fichier, vous devez également définir les mots de passe (autrement, tout utilisateur ayant accès au fichier pourrait supprimer les restrictions). Lorsque le fichier est ouvert avec ce mot de passe, les restrictions de sécurité sont désactivées temporairement. La méthode de protection par mot de passe RC4 de RSA Corporation est utilisée pour protéger les fichiers PDF. Le niveau de chiffrement dépend de la valeur de l’option Compatibilité (catégorie Général). Remarque : les paramètres prédéfinis Adobe PDF ne prennent pas en charge les mots de passe et les paramètres de sécurité. Si vous définissez des mots de passe et des paramètres de sécurité dans la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF, puis que vous cliquez sur le bouton Enreg. prédéfini, les mots de passe et les paramètres de sécurité ne sont pas conservés.
PDF par mot de passe. La disponibilité et les valeurs proposées pour chacune des options dépendent du paramètre Compatibilité. Les options de sécurité ne sont pas disponibles pour les normes ou paramètres prédéfinis PDF/X. Compatibilité Le niveau de chiffrement appliqué aux documents protégés par mot de passe dépend de ce paramètre. Un niveau de chiffrement bas (RC4 à 40 bits) est utilisé si vous avez sélectionné Acrobat 4 (PDF 1.3) et un niveau de chiffrement élevé (RC4 ou AES à 128 bits) si vous avez sélectionné l’une des autres options.
Exiger un mot de passe pour l’ouverture du document Sélectionnez cette option pour obliger les utilisateurs à saisir le
Mot de passe d’ouverture Indiquez le mot de passe nécessaire aux utilisateurs pour ouvrir le fichier PDF.
Utiliser un mot de passe pour restreindre l’impression, la modification et autres opérations Restreint l’accès aux paramètres de sécurité du fichier PDF. Si le fichier est ouvert dans Adobe Acrobat, l’utilisateur peut le visualiser mais il doit indiquer le mot de passe d’accès aux droits pour pouvoir modifier les paramètres de sécurité et d’autorisation. Si le fichier est ouvert dans Illustrator, Adobe Photoshop ou Adobe InDesign, l’utilisateur doit indiquer le mot de passe d’accès aux droits ; en effet, il n’est pas possible d’ouvrir le fichier en mode Affichage seulement. Mot de passe d’accès aux droits Indiquez le mot de passe requis pour modifier les paramètres de droits. Cette option est disponible uniquement si l’option précédente est sélectionnée. Impression autorisée Définit le niveau d’impression autorisé pour le document.
• Basse résolution (150 ppp) Permet à l’utilisateur d’imprimer à toute résolution inférieure ou égale à 150 ppp. L’impression risque d’être plus lente, chaque page étant imprimée comme image bitmap. Cette option est uniquement disponible si l’option de compatibilité est définie sur Acrobat 5 (PDF 1.4) ou version ultérieure. • Haute résolution Permet aux utilisateurs d’imprimer en toute résolution, en transférant une sortie vectorielle de haute qualité à des imprimantes Adobe PostScript ou dotées de fonctionnalités avancées pour l’impression de haute qualité. Modifications autorisées Définit le type de modifications autorisées dans le document PDF.
Modifications autorisées, telles que le remplissage de champs de formulaire ou l’ajout de commentaires. • Insertion, suppression et rotation des pages Autorise les utilisateurs à insérer, supprimer et faire pivoter des pages, et à créer des signets et des vignettes. Cette option est uniquement disponible pour un niveau de chiffrement élevé (RC4 ou AES à 128 bits). • Remplir des formulaires et apposer une signature Permet aux utilisateurs de remplir des formulaires et d’apposer des signatures numériques. Cette option ne les autorise pas à insérer des commentaires, ni à créer des champs de formulaire. Cette option est uniquement disponible pour un niveau de chiffrement élevé (RC4 ou AES à 128 bits).
• Mettre en page, remplir des formulaires et apposer une signature Autorise les utilisateurs à insérer, supprimer et faire pivoter des pages, créer des signets et des vignettes, remplir des formulaires et apposer une signature numérique. Cette option ne les autorise pas à créer des champs de formulaire. Cette option est disponible uniquement pour le niveau de chiffrement faible (RC4 à 40 bits). • Tout sauf extraire des pages Permet aux utilisateurs de modifier le document, de créer et de remplir les champs du formulaire, ainsi que d’ajouter des commentaires et d’apposer des signatures numériques. Activer la copie de texte, d’images et d’autre contenu Permet aux utilisateurs de sélectionner et de copier le contenu
Activer la copie de contenu et l’accès pour les malvoyants Permet aux utilisateurs malvoyants de lire et de copier le document à l’aide de lecteurs d’écran. Cette option est disponible uniquement pour le niveau de chiffrement faible (RC4 à 40 bits). Activer l’accès au texte pour les lecteurs d’écran destinés aux malvoyants Permet aux utilisateurs malvoyants de lire le document à l’aide de lecteurs d’écran, mais n’autorise pas les utilisateurs à copier ni à extraire le contenu du document. Cette option est disponible uniquement pour un niveau de chiffrement élevé (RC4 ou AES à 128 bits).
Cette option est uniquement disponible lorsque le paramètre Compatibilité est défini sur Acrobat 6 (PDF 1.5) ou version ultérieure. Sélectionnez cette option pour autoriser les systèmes de stockage/recherche et les moteurs de recherche à accéder aux métadonnées stockées dans le document.
Une police ne peut être incorporée que si son auteur a ajouté un paramètre permettant de le faire. L’incorporation permet d’empêcher la substitution des polices lors de l’affichage ou l’impression du fichier et garantit que les lecteurs visualisent les polices d’origine. L’incorporation accroît la taille des fichiers dans une faible mesure, à moins que le document ne contienne des polices CID, format généralement utilisé pour les polices asiatiques. Vous pouvez incorporer ou substituer des polices dans Acrobat ou lors de l’exportation d’un document InDesign au format PDF. Il est possible d’incorporer la police complète ou uniquement le jeu de caractères utilisés dans le fichier. Le recours à un jeu partiel permet de s’assurer que les polices et la force de corps de ses caractères seront utilisées à l’impression par la création d’un nom de police personnalisé. De cette manière, par exemple, votre version de la police Adobe Garamond® (et non celle du prestataire de services) est disponible à tout moment pour l’affichage et l’impression du document par le prestataire de services. Il est possible d’incorporer les polices Type 1 et TrueType à condition qu’elles soient incluses dans le fichier PostScript ou disponibles dans l’un des dossiers de polices contrôlés par Distiller et qu’elles ne présentent aucune restriction d’incorporation. Si la configuration choisie par l’auteur d’une police empêche l’incorporation de cette dernière, une police de caractères Multiple Master lui est temporairement substituée lors de l’affichage et de l’impression du fichier PDF sur un système ne disposant pas de la police d’origine. AdobeSerifMM remplace les polices sérif et AdobeSansMM se substitue aux polices sans sérif. Les caractères Multiple Master peuvent être étirés ou condensés pour occuper le même espace que le caractère d’origine et préserver les sauts de ligne et de page du document d’origine. Cependant, il peut arriver que la forme du caractère de substitution ne corresponde pas à celle du caractère d’origine, notamment lorsque les caractères ne sont pas courants (les caractères d’écriture, par exemple).
Avec ses tailles de fichier réduites, sa compatibilité interplate-forme et ses possibilités de navigation en ligne, le format Adobe PDF est idéal pour la distribution électronique des documents et leur visualisation à l’écran. Vous pouvez envoyer des documents Adobe PDF à d’autres utilisateurs comme pièces jointes à un courrier électronique, ou les distribuer sur le Web ou sur un intranet. Les instructions ci-dessous s’appliquent à la distribution électronique de fichiers Adobe PDF :
• Vérifiez que le fichier porte une extension PDF si le fichier doit être visualisé sur un ordinateur Windows ou sur Internet.
Remarque : pour visualiser les fichiers Adobe PDF exportés à partir de documents InDesign contenant des surimpressions ou des transparences, il est conseillé d’utiliser Acrobat version 5.0 ou ultérieur, ou bien Adobe Reader 7.0 ou ultérieur, en s’assurant que l’option Aperçu de la surimpression est activée.
« Personnalisation des paramètres prédéfinis Adobe PDF » à la page 542 « Options générales appliquées aux fichiers PDF » à la page 545
A propos des outils de publication traditionnels PDF Dans certains flux de production de publication traditionnels, les documents sont distribués dans le format de l’application ayant servi à les créer (appelé format natif). Une fois approuvés, les fichiers sont enregistrés en PostScript ou dans un format propriétaire pour les travaux de prépresse et l’impression finale. Etant donné que le mode de création des fichiers PostScript varie considérablement d’une application à l’autre, les fichiers PostScript obtenus peuvent être exagérément volumineux et complexes. De plus, des problèmes de fiabilité (polices manquantes, fichiers corrompus, éléments graphiques manquants et fonctions non prises en charge) peuvent se produire au moment de la sortie. En réponse à cela, Adobe et ses partenaires continuent de créer des solutions de flux de production de publication fiables basées sur le format PDF. InDesign vous permet d’exporter un document sous la forme d’un fichier Adobe PDF composite appelé gabarit numérique. Ces gabarits numériques sont des fichiers fiables et de taille réduite que vous (ou votre prestataire de services prépresse) pouvez visualiser, modifier, organiser et utiliser en tant qu’épreuve. Par la suite, au stade approprié du flux de production, le prestataire de services de prépresse peut soit créer le PDF directement, soit l’ouvrir dans différents outils pour réaliser des opérations de post-traitement telles que le contrôle en amont, le recouvrement, l’imposition et la séparation de couleurs. Fichiers PDF dans le flux de production La plupart des grands imprimeurs utilisent le format PDF pour rationaliser les tâches de révision et de production. De nombreux magazines et journaux, par exemple, ont adopté PDF comme format standard pour communiquer les encarts publicitaires aux imprimeurs locaux par satellite ou ligne RNIS. Grâce à ce format, les imprimeurs peuvent visualiser instantanément l’encart publicitaire tel qu’il a été conçu, effectuer des corrections de texte de dernière minute et imprimer en toute fiabilité à partir de n’importe quel ordinateur.
Adobe s’efforce de répondre aux besoins des prestataires de services en matière de flux de production de publication et vous invite à consulter régulièrement le site Web Adobe, situé à l’adresse www.adobe.com/fr/ pour connaître les dernières évolutions. Adobe propose actuellement une solution reposant sur un système qui intègre plusieurs technologies :
• La technologie d’impression Adobe PostScript 3, pour la compatibilité interplate-forme, le recouvrement Adobe In-RIP, les séparations de couleurs in-RIP et les dégradés lissés.
Un flux de production composite haute résolution PDF comprend généralement un périphérique d’impression PostScript 3 dont le processeur RIP prend en charge les séparations in-RIP. Par conséquent, si vous utilisez un périphérique d’impression PostScript Niveau 2 ou qui ne prend pas en charge les séparations in-RIP, utilisez un flux de production d’impression PostScript préséparé.
« A propos des normes PDF/X » à la page 544
• Pour obtenir de meilleurs résultats, utilisez uniquement des images CMJN en quadrichromie. Vous pouvez également choisir de convertir les images RVB en CMJN dans la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF (catégorie Sortie).
« Définition de profils de contrôle en amont » à la page 653 « Aplatissement d’une illustration avec transparence » à la page 457 « Aperçu des séparations de couleurs » à la page 673
Un prestataire de services peut utiliser Acrobat 7.0 Professional ou version ultérieure pour réaliser les tâches de contrôle en amont et de séparation des couleurs. Acrobat Professional contient des outils avancés supplémentaires de contrôle en amont, notamment la capacité d’effectuer certaines corrections de façon automatique. Diverses applications de prépresse et technologies in-RIP permettent également de réaliser les tâches de contrôle en amont, de recouvrement et d’imposition, ainsi que les séparations de couleurs des pages dans le gabarit. Si vous choisissez d’omettre les images au moment de créer le fichier Adobe PDF, assurez-vous que le prestataire de services prépresse peut accéder aux images haute résolution requises pour l’impression. Vérifiez également que le prestataire de services de prépresse dispose d’Acrobat Reader 7.0 ou version ultérieure pour pouvoir visualiser avec précision le texte et les images en couleur. Pour une qualité de visualisation optimale, Acrobat 8 Professional (ou une version ultérieure) est recommandé. Si vous utilisez la gestion des couleurs dans votre flux de production, vous pouvez tirer parti de la précision des profils colorimétriques pour réaliser une prévisualisation à l’écran (vérification à l’écran). Vous pouvez ainsi visualiser l’aspect qu’auront les couleurs lorsqu’elles seront reproduites sur un périphérique d’impression particulier. Remarque : à moins que vous n’utilisiez un système de gestion des couleurs (SGC) avec des profils ICC précis et un moniteur étalonné avec exactitude, les couleurs à l’écran risquent de ne pas être fiables. 1 Préparez le document à exporter au format Adobe PDF. 2 Procédez à l’exportation en vous appuyant sur le fichier .joboptions que vous a fourni le prestataires de services. Si
3 Effectuez un contrôle en amont du PDF dans Adobe Acrobat 7.0 Professional ou version ultérieure. 4 Lancez une épreuve et corrigez le fichier PDF. 5 Remettez le fichier optimisé à votre prestataire de services de prépresse.
Général de la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF, InDesign ajoute automatiquement aux pages exportées un ensemble de balises de structure fournissant une description du contenu et permettant d’identifier les différents éléments de page, tels que les titres, les articles et les images. Pour ajouter des balises supplémentaires ou régler les balises existantes avant l’exportation, utilisez le panneau Balises d’InDesign. Le volet Structure (Affichage > Structure > Afficher la structure) permet de visualiser le résultat obtenu suite aux modifications effectuées. Vous pouvez améliorer l’accessibilité et les possibilités de réutilisation des documents Adobe PDF en ajoutant des balises aux documents InDesign avant de les exporter. Si le document PDF ne contient pas de balises, il se peut qu’Adobe Reader ou Adobe Acrobat tente de le baliser lorsque l’utilisateur essaie de le lire ou de le redistribuer, mais les résultats risquent d’être décevants. Si le fichier Adobe PDF ne donne pas les résultats escomptés, vous pouvez utiliser les outils disponibles dans Acrobat 6.0 Professional ou version ultérieure, pour modifier la structure du document PDF balisé. Utilisez Acrobat 9 Professional pour bénéficier des outils les plus avancés. Lorsque vous appliquez des balises à un document à exporter au format PDF, ces balises ne déterminent pas quel est le contenu à exporter, comme c’est le cas avec l’exportation XML. Elles fournissent simplement à Acrobat des informations supplémentaires sur la structure du document. Avantages de l’utilisation des balises En appliquant des balises à un document avant de l’exporter au format PDF, vous pouvez :
• Donner un titre à un ensemble d’articles ou regrouper vos articles et illustrations sous forme de reportages. • Classer vos articles et illustrations afin de définir un ordre de lecture. • Permettre l’identification des tableaux, des listes mises en forme et des tables des matières. Associer les différents blocs de contenu aux articles dont ils dépendent.
« Présentation du volet Structure » à la page 619 « Balisage d’éléments » à la page 614
Le contenu d’un document Adobe PDF peut être réutilisé de différentes manières suivant les besoins. Vous pouvez, par exemple, créer un fichier Adobe PDF d’un rapport comportant du texte, des tableaux et des images et le diffuser sous différents formats : impression ou affichage sur un moniteur de bureau, affichage sur un appareil de poche, lecture à voix haute à l’aide d’un lecteur d’écran et accès direct, sous forme de pages HTML, au moyen d’un navigateur Web. Lorsque l’on tente de réutiliser du contenu, on obtient des résultats plus ou moins satisfaisants suivant la qualité de la structure logique sous-jacente du document. Pour vous assurer que les documents Adobe PDF pourront être correctement réutilisés, vous devez leur ajouter des balises. L’ajout de balises permet de définir la structure logique, ou structure organisationnelle sous-jacente, du document. La structure logique correspond à l’organisation du contenu du document (page de titre, chapitres, sections, sous-sections, etc.). Elle peut être utilisée pour définir un ordre de lecture précis et faciliter la navigation, notamment si le document est long et complexe, sans pour autant modifier l’aspect du PDF. Les personnes souffrant de déficiences visuelles qui éprouvent des difficultés à lire les documents peuvent avoir recours à des dispositifs d’assistance destinés à rendre le contenu accessible. La plupart des dispositifs d’assistance s’appuient sur la structure logique d’un document pour faire passer le sens du texte ou d’une image sous une forme alternative, par exemple sous forme audio. Dans un document non balisé, une telle structure n’existe pas : Acrobat doit déterminer comment le document est agencé sur la base des paramètres d’ordre de lecture définis dans les préférences. Cette méthode n’est pas fiable et, dans de nombreux cas, les différents éléments de page sont lus dans un ordre incorrect ou ne peuvent tout simplement pas être lus. Les balises s’affichent au niveau de l’onglet Balises d’Acrobat 6.0 ou version ultérieure et sont imbriquées suivant les paramètres de liaison définis pour chacun des éléments balisés. Il est impossible de modifier les balises dans Acrobat Standard. Si vous devez travailler directement avec des balises, utilisez Adobe Acrobat 9 Professional. Pour plus de détails, reportez-vous à l’Aide d’Acrobat.
Vous pouvez redistribuer le contenu d’un document PDF de sorte que celui-ci puisse être lu sur un appareil de poche, sur un écran de petite taille ou sur un moniteur standard à un niveau de zoom élevé, sans qu’il soit nécessaire de faire défiler les lignes dans le sens horizontal.
éléments suivants ne sont pas réagencés : numéros de page, en-têtes et pieds de page (artefacts), mais aussi champs de formulaire, de commentaire et de signature numérique. Les pages contenant à la fois du texte exploitable et des champs de formulaire ou de signature numérique ne sont pas redistribuées. Le texte vertical est redistribué horizontalement. En tant qu’auteur, vous pouvez optimiser les documents PDF pour la redistribution en y insérant des balises. L’insertion de balises permet de s’assurer que les blocs de texte sont correctement réagencés et que le contenu se présente dans l’ordre prévu, de sorte que les lecteurs puissent suivre le fil d’un article qui s’étend sur plusieurs pages et plusieurs colonnes sans que le cours de la lecture soit interrompu pas d’autres articles. L’ordre de lecture est défini au niveau de la structure du document ; il est possible de modifier cette structure par le biais du volet Structure.
« Réorganisation des éléments structurés » à la page 620
Vous pouvez baliser des blocs de texte et des blocs graphiques automatiquement ou manuellement. Après avoir balisé des éléments de page, vous pouvez utiliser le volet Structure pour modifier l’ordre de votre page en faisant glisser les éléments vers un nouvel emplacement dans la hiérarchie. Si vous modifiez l’ordre des éléments dans le volet Structure, ces modifications seront prises en compte dans le fichier Adobe PDF. L’ordre des éléments est utile lorsque le fichier PDF est enregistré en tant que fichier HTML ou XML à partir d’Acrobat.
Lorsque vous choisissez la commande Ajouter les éléments sans balise, InDesign ajoute des balises au panneau Balises et applique les balises Article et Image à certains éléments de page sans balise. La balise Article est appliquée à tout bloc de texte non balisé et la balise Image est appliquée à tout graphique non balisé. Vous pouvez ensuite appliquer manuellement d’autres balises à des sections de texte. Néanmoins, le balisage automatique des éléments de page ne garantit pas que les éléments seront structurés en conséquence dans le fichier PDF exporté. 1 Sélectionnez Fenêtre > Balises pour afficher le panneau Balises. 2 Pour afficher le volet Structure, choisissez Affichage > Structure > Afficher la structure (le volet apparaît sur le côté
3 Choisissez Ajouter les éléments sans balise dans le menu du volet Structure.
1 Sélectionnez Fenêtre > Balises pour afficher le panneau Balises. 2 Pour afficher le volet Structure, choisissez Affichage > Structure > Afficher la structure (le volet apparaît sur le côté
3 Choisissez Ajouter les éléments sans balise dans le menu du volet Structure. 4 Sélectionnez un élément de page dans le document. 5 Sélectionnez une balise dans le panneau Balises. Tenez compte des suggestions d’usage suivantes pour certains
Artefact Cette balise permet de masquer les éléments de page, tels que les numéros de page ou les objets de moindre importance, lorsque vous affichez le fichier PDF exporté dans une vue redistribuée ; seuls les éléments balisés sont
Format PDF Image Cette balise convient aux graphiques importés. La balise Image est appliquée à tous les blocs graphiques sans
Balises Paragraphe (P, H, H1-H6) Ces balises n’ont aucun effet sur le texte PDF exporté affiché dans une vue
Article Cette balise convient aux articles. La balise Article est appliquée à tous les blocs de texte sans balise lorsque vous
L’attribut Alt text vous permet de créer un texte destiné à se substituer à une image. L’attribut ActualText est similaire à l’attribut Alt text dans le sens où le texte défini apparaît également à la place d’une image, mais ce texte se substitue à une image faisant partie d’un mot, comme c’est le cas pour les lettrines. Dans cet exemple, l’attribut ActualText fait en sorte que la lettrine soit lue comme faisant partie du mot. Lorsque vous exportez un fichier au format Adobe PDF, les valeurs des attributs Alt text et ActualText sont enregistrées dans le fichier PDF et peuvent être consultées dans Acrobat 6.0 ou toute version ultérieure. Ces informations textuelles peuvent alors être utilisées lorsque le fichier PDF est enregistré en tant que fichier HTML ou XML à partir d’Acrobat. Pour plus de détails, reportez-vous à la documentation d’Adobe Acrobat. 1 Au besoin, choisissez la commande Affichage > Afficher la structure pour afficher le volet Structure, puis
2 Choisissez Ajouter les éléments sans balise dans le menu du volet Structure. 3 Pour vous assurer que l’image porte la balise Image, sélectionnez l’image, puis sélectionnez Image dans le panneau
4 Sélectionnez l’élément Image dans le volet Structure, puis choisissez Nouvel attribut dans le menu du volet
Utilisez le volet Structure pour regrouper logiquement des éléments de page en un élément Article. Par exemple, si un ensemble d’articles occupe plusieurs pages, vous pouvez créer un élément parent qui réunira ces articles en un seul groupe. Ces éléments sont appelés éléments structurels. Vous pouvez également nommer vos articles groupés. Remarque : il est impossible de baliser un groupe d’éléments de page.
élément dans le volet Structure.
Structure, puis sélectionnez Nouvel attribut. Dans le champ Nom, saisissez Titre. Dans le champ Valeur, saisissez le nom à attribuer à l’article.
« Présentation du volet Structure » à la page 619
Pour créer un contenu destiné à Flash Player, vous avez la possibilité d’exporter les données au format SWF ou XFL. SWF Le fichier obtenu lors de l’exportation au format SWF peut être visionné directement avec Adobe Flash Player.
Pour visionner une vidéo sur l’édition dans Flash Pro des fichiers XFL exportés, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid4093_fl_fr. Problèmes d’exportation vers Flash Lors de la conception du document InDesign destiné à Flash, gardez à l’esprit les points suivants. Mode de conversion des pages InDesign Lorsque vous exportez le document au format SWF ou XFL, les planches InDesign deviennent des clips distincts dans le montage, comme les diapositives d’un diaporama. Chacune de ces
Documents dynamiques 800 x 600) à partir du menu Format de page de la boîte de dialogue Nouveau document. Au moment de l’exportation, vous avez également la possibilité de modifier l’échelle ou la résolution du fichier SWF ou XFL exporté. Boutons Dans un fichier SWF exporté, les boutons associés aux actions Page suivante et Page précédente sont particulièrement utiles pour faciliter la lecture dans Flash Player. En revanche, certaines actions qui fonctionnent parfaitement dans les fichiers PDF interactifs n’ont aucun effet dans Flash Player. C’est notamment le cas des actions Fermer, Quitter, Atteindre la vue suivante/précédente, Séquence, Ouvrir le fichier, Son et Afficher le zoom.
Transitions de page (SWF) Toutes les transitions de page fonctionnent bien dans Flash Player. En complément des transitions de page qui apparaissent lors du changement de page, vous pouvez inclure pendant l’exportation la fonction de coin de page interactif qui permet de faire glisser le coin de la page pour la tourner. Hyperliens (SWF) Créez des liens renvoyant à des sites Web ou à d’autres pages du document. Dans les fichiers XFL, les hyperliens ne sont pas maintenus. Texte Lors de l’exportation au format SWF ou XFL, vous pouvez spécifier le mode de sortie du texte : texte Flash,
Images Lorsque vous exportez des images au format SWF, vous pouvez modifier divers paramètres : Compression
Si vous choisissez le format XFL, les images sont exportées dans des fichiers PNG sans compression. Si votre document InDesign contient une image importée plusieurs fois, celle-ci est enregistrée comme une seule ressource avec un emplacement partagé lors de l’exportation sous forme de fichier XFL. Gardez toutefois à l’esprit qu’un grand nombre d’images vectorielles dans le document InDesign risque de compromettre sérieusement les performances du fichier exporté. Pour contenir la taille du fichier, pensez à importer les images répétées sur les gabarits, et évitez de copier et coller les images. Si vous importez plusieurs fois une même image dans le document sans la transformer ou la recadrer, une seule copie du fichier d’image est exportée dans le fichier XFL. Les images que vous copiez et collez sont, quant à elles, considérées comme des objets distincts. Par défaut, un fichier Illustrator importé est traité comme une seule image dans le fichier XFL. Si, en revanche, vous copiez et collez un fichier Illustrator, vous générez autant d’objets indépendants. Pour obtenir un résultat optimal, il est préférable d’importer l’image Illustrator sous forme de fichier PDF au lieu de la copier et de la coller à partir d’Illustrator. Vous évitez ainsi de créer d’innombrables tracés modifiables. Pour vous assurer que chaque objet Illustrator que vous collez reste un seul objet et non un ensemble de petits vecteurs, pensez à modifier certaines préférences. Dans les préférences Illustrator Gestion des fichiers et presse-papiers, sélectionnez l’option PDF, puis désélectionnez l’option AICB (pas de prise en charge des transparences). Dans les préférences InDesign Gestion du presse-papiers, sélectionnez les options Préférer le PDF au collage et Copier dans le presse-papiers au format PDF. Résolution Lors de l’exportation au format SWF ou XFL, InDesign convertit automatiquement les ressources
Séquences vidéo et audio Les séquences vidéos et sonores ne figurent pas dans les fichiers SWF ou XFL exportés, mais
« Exportation de contenu au format SWF » à la page 121 « Exportation de contenu au format XFL » à la page 123
Signets Les signets créés dans un document InDesign s’affichent sur l’onglet Signets, sur le côté gauche de la fenêtre
Séquences vidéo et audio Vous pouvez ajouter des séquences vidéo et audio à un document ou encore créer des liens
Hyperliens Les hyperliens présents dans un document PDF exporté permettent d’accéder directement à d’autres emplacements du même document, à d’autres documents PDF ou à des sites Web. Références croisées Les références croisées renvoient le lecteur d’une partie à une autre du fichier PDF exporté. Elles sont particulièrement utiles dans les guides de l’utilisateur et les manuels de référence. Lors de l’exportation au format PDF d’un document contenant des références croisées, celles-ci se comportent comme des hyperliens interactifs. Transitions de page Les transitions de page sont des effets décoratifs, tels qu’un fondu ou un balayage, qui
Pour garantir le bon fonctionnement des éléments interactifs dans le fichier PDF, veillez à spécifier les options Signets, Hyperliens et Eléments interactifs dans les paramètres d’exportation au format Adobe PDF.
« Exportation au format Adobe PDF » à la page 537
également définir des signets supplémentaires pour attirer l’attention du lecteur sur un élément particulier ou pour simplifier encore davantage la consultation d’un document. Des signets peuvent être imbriqués sous d’autres signets. 1 Choisissez la commande Fenêtre > Objet interactif > Signets pour afficher le panneau Signets. 2 Cliquez sur le signet qui doit précéder le nouveau signet, faute de quoi ce dernier sera automatiquement inclus à la
3 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour définir la cible du signet :
• Sélectionnez du texte. Par défaut, le texte sélectionné est utilisé comme libellé du signet. • Sélectionnez un graphique à l’aide de l’outil Sélection
4 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour créer le signet :
• Choisissez la commande Nouveau signet dans le menu du panneau. Remarque : lors de la mise à jour d’une table des matières, les signets sont réorganisés ; ceux qui ont été générés à partir de la table des matières sont affichés en fin de liste.
« Options générales appliquées aux fichiers PDF » à la page 545 « Exportation au format PDF » à la page 538
Utilisez le panneau Signets pour renommer, supprimer et organiser les signets.
❖ Cliquez sur le signet souhaité dans le panneau Signets, puis choisissez Renommer le signet dans le menu du
❖ Cliquez sur le signet souhaité dans le panneau Signets, puis choisissez Supprimer le signet dans le menu du
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Le ou les signets déplacés sont imbriqués dans le signet parent, sans toutefois entraîner le déplacement des pages cibles de leur position d’origine.
Faites glisser les icônes correspondantes au-dessous puis sur la gauche du signet parent. Une barre noire apparaît, indiquant le nouvel emplacement des signets. Relâchez le bouton de la souris.
Présentation du panneau Hyperliens Vous pouvez créer des hyperliens dans un document de sorte que, une fois le document exporté au format Adobe PDF ou SWF dans InDesign, les utilisateurs puissent cliquer sur ces liens pour accéder directement à d’autres emplacements du document, à d’autres documents PDF ou à des sites Web. Les hyperliens exportés au format PDF ou SWF dans InCopy ne sont pas actifs. La source est un texte, bloc de texte ou bloc graphique lié à la cible. La cible correspond à l’adresse URL, au fichier, à l’adresse de courrier électronique, à l’ancre de texte de la page ou à la destination partagée, accessible grâce à l’hyperlien. La source ne peut avoir qu’une seule cible, mais plusieurs sources peuvent accéder à la même cible. Remarque : si vous souhaitez générer le texte source à partir du texte cible, insérez une référence croisée au lieu d’un hyperlien (voir la section « Références croisées » à la page 575).
Documents dynamiques Pour trier les hyperliens dans le panneau Hyperliens ❖ Choisissez la commande Tri dans le menu du panneau Hyperliens, puis sélectionnez l’une des options suivantes : Manuel Affiche les hyperliens en respectant l’ordre dans lequel ils ont été ajoutés au document. Par nom Affiche les hyperliens dans l’ordre alphabétique. Par type Affiche les hyperliens en les regroupant selon leur type.
❖ Choisissez la commande Petites rangées de panneau dans le menu du panneau Hyperliens.
Vous pouvez créer des hyperliens renvoyant à des pages, des adresses URL, des ancres de texte, des adresses de courrier électronique et des fichiers. Si vous prévoyez des hyperliens pour accéder à des pages ou ancres de texte d’un autre document, vous devez veiller à ce que les fichiers exportés figurent dans le même dossier. Pour afficher ou masquer les hyperliens, sélectionnez Affichage > Afficher les hyperliens ou Masquer les hyperliens. Remarque : pour inclure les hyperliens dans les fichiers Adobe PDF exportés, vous devez sélectionner l’option Hyperliens dans la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF dans InDesign. De même, pour faire figurer les hyperliens dans les fichiers SWF exportés, vous devez sélectionner l’option Inclure les hyperliens dans la boîte de dialogue Exporter au format SWF.
Documents dynamiques Pour créer un hyperlien vers une page Web (URL) Il existe plusieurs méthodes pour créer des hyperliens renvoyant à des adresses URL. Pour spécifier ces adresses, vous pouvez utiliser tous les protocoles de ressources Internet valides : http://, file://, ftp:// ou mailto://. Vous avez également la possibilité de faire appel à la fonction Boutons pour créer des liens vers des pages Web. 1 Sélectionnez le texte, le bloc ou le graphique que vous voulez désigner comme source de l’hyperlien. Vous pouvez,
2 Pour créer un hyperlien renvoyant à une adresse URL à partir du panneau Hyperliens, procédez de l’une des façons
• Sélectionnez une adresse URL ajoutée antérieurement dans le menu URL. Le nouvel hyperlien a le même aspect que l’adresse URL utilisée pour le créer.
Lorsque vous créez un hyperlien renvoyant à un fichier, il suffit de cliquer sur ce lien dans le fichier PDF ou SWF exporté pour ouvrir le fichier cible dans son application d’origine, par exemple Microsoft Word pour les fichiers .doc. Veillez à ce que le fichier spécifié soit accessible à tous les utilisateurs qui ouvriront le fichier PDF ou SWF que vous exportez. Si, par exemple, vous envoyez le fichier PDF exporté à un collaborateur, spécifiez un fichier cible situé sur un serveur partagé et non sur votre disque dur. 1 Sélectionnez le texte, le bloc ou le graphique que vous voulez désigner comme source de l’hyperlien. 2 Choisissez la commande Nouvel hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens ou cliquez sur le bouton Créer un
4 Pour définir l’option Chemin, saisissez le chemin d’accès ou cliquez sur le bouton de dossier pour rechercher le
5 Sélectionnez l’option Cible d’hyperlien partagée pour stocker le message électronique dans le panneau Hyperliens,
6 Définissez les options d’aspect de la source de l’hyperlien, puis cliquez sur le bouton OK.
Documents dynamiques 2 Choisissez la commande Nouvel hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens ou cliquez sur le bouton Créer un
4 Dans la zone de texte Adresse, saisissez l’adresse de courrier électronique, par exemple utilisateur@société.com. 5 Dans la zone Objet, saisissez le texte correspondant à l’objet du message de courrier électronique. 6 Sélectionnez l’option Cible d’hyperlien partagée pour stocker le message électronique dans le panneau Hyperliens,
7 Définissez les options d’aspect de la source de l’hyperlien, puis cliquez sur le bouton OK.
Vous pouvez créer un hyperlien vers une page sans créer préalablement la cible. Si toutefois vous créez cette cible, vous avez la possibilité de spécifier un numéro de page et un paramètre d’affichage. 1 Sélectionnez le texte, le bloc ou le graphique que vous voulez désigner comme source de l’hyperlien. 2 Choisissez la commande Nouvel hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens ou cliquez sur le bouton Créer un
4 Pour l’option Document, sélectionnez le document contenant la cible à laquelle vous voulez accéder. Tous les
Ouvrir. 5 Indiquez le numéro de la page cible dans le champ Page. 6 Pour l’option Zoom, utilisez l’une des méthodes suivantes pour sélectionner l’état d’affichage de la page cible :
• Sélectionnez l’option Taille écran pour afficher la page actuelle dans la fenêtre cible. • Sélectionnez l’option Pleine largeur ou Page entière pour afficher la largeur ou la hauteur de la page actuelle dans la fenêtre cible.
7 Définissez les options d’aspect, puis cliquez sur le bouton OK.
La création d’une cible d’hyperlien est justifiée uniquement si vous définissez un hyperlien ou une référence croisée renvoyant à une ancre de texte. Cette dernière peut faire référence à du texte sélectionné ou à l’emplacement du point d’insertion. Vous créez ensuite l’hyperlien ou la référence croisée pointant vers la cible choisie. Vous pouvez également définir des cibles d’hyperliens pour des pages ou des adresses URL, bien que ce ne soit pas indispensable pour ces liens.
Documents dynamiques sélectionnez la plage de texte que vous voulez définir comme point d’ancrage. Vous ne pouvez pas définir un texte sur un gabarit comme ancre cible. 2 Choisissez la commande Nouvelle cible d’hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens. 3 Utilisez l’une des méthodes suivantes, puis cliquez sur le bouton OK :
• Choisissez la commande Page dans le menu Type. Spécifiez le numéro de la page à laquelle vous voulez accéder, ainsi que le zoom. Saisissez un nom pour la page ou sélectionnez l’option Nom avec numéro de page pour attribuer automatiquement un nom à la cible, en fonction du numéro de page et du zoom spécifiés.
Vous pouvez utiliser tout protocole de ressources Internet valide : http://, file://, ftp:// ou mailto://.
1 Sélectionnez le texte, le bloc ou le graphique que vous voulez désigner comme source de l’hyperlien. 2 Choisissez la commande Nouvel hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens ou cliquez sur le bouton Créer un
3 Choisissez la commande Ancre de texte dans le menu Lien vers. 4 Pour l’option Document, sélectionnez le document contenant la cible à laquelle vous voulez accéder. Tous les
Ouvrir. 5 Dans le menu Ancre de texte, choisissez l’ancre cible que vous avez créée. 6 Définissez les options d’aspect de l’hyperlien, puis cliquez sur le bouton OK.
Lors de la création d’un hyperlien, si vous choisissez la commande Destination partagée dans le menu Lien vers, vous pouvez spécifier une cible nommée quelconque. Pour nommer une cible, il suffit de saisir une adresse URL dans la zone de texte correspondante ou de sélectionner l’option Cible d’hyperlien partagée lors de la création d’un hyperlien renvoyant à une adresse URL, un fichier ou une adresse de courrier électronique. 1 Sélectionnez le texte, le bloc ou le graphique que vous voulez désigner comme source de l’hyperlien. 2 Choisissez la commande Nouvel hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens ou cliquez sur le bouton Créer un
3 Dans la boîte de dialogue Nouvel hyperlien, choisissez l’option Destination partagée dans le menu Lien vers. 4 Pour l’option Document, sélectionnez le document contenant la cible à laquelle vous voulez accéder. Tous les
Ouvrir. 5 Sélectionnez une cible dans le menu Nom. 6 Définissez les options d’aspect de l’hyperlien, puis cliquez sur le bouton OK.
Documents dynamiques Style de caractère Choisissez un style de caractère à appliquer à la source de l’hyperlien. Cette option est disponible uniquement si vous avez sélectionné du texte, et non un bloc ou un graphique, pour la source de l’hyperlien.
Type Choisissez l’une des deux options proposées : Rectangle visible et Rectangle invisible. Sélecteur Les options disponibles sont les suivantes : Inverser, Contour, Marge et Sans. Ces options permettent de définir l’aspect de l’hyperlien lorsque l’utilisateur clique dessus dans le fichier PDF ou SWF. Couleur Sélectionnez la couleur du rectangle visible de l’hyperlien. Largeur Définissez l’épaisseur du filet du rectangle de l’hyperlien à l’aide de l’une des options suivantes : Fin, Moyen
Style Sélectionnez l’option Continu ou Tirets pour définir l’aspect du rectangle de l’hyperlien.
Utilisez le panneau Hyperliens pour modifier, supprimer, réinitialiser ou rechercher les hyperliens. Dans InCopy, vous pouvez gérer les hyperliens uniquement si vous avez extrait l’article en vue de le modifier.
1 Dans le panneau Hyperliens, cliquez deux fois sur l’élément à modifier. 2 Dans la boîte de dialogue Modifier les hyperliens, effectuez toutes les corrections nécessaires, puis cliquez sur le
Remarque : pour modifier un hyperlien renvoyant à une adresse URL, sélectionnez-le, corrigez l’adresse URL dans la zone de texte correspondante, et appuyez sur la touche Tab ou Entrée.
Lorsque vous supprimez un hyperlien, le texte ou le graphique source est conservé. ❖ Sélectionnez les éléments à supprimer dans le panneau Hyperliens, puis cliquez sur le bouton Supprimer situé au
Si vous renommez la source d’un hyperlien, vous changez également la façon dont elle apparaît dans le panneau Hyperliens. 1 Dans le panneau Hyperliens, sélectionnez l’hyperlien qui vous intéresse. 2 Choisissez la commande Renommer l’hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens, puis spécifiez un nouveau nom.
1 Ouvrez le document dans lequel apparaît la cible. 2 Choisissez Options de cible d’hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens.
Documents dynamiques • Cliquez sur Supprimer pour supprimer la cible. 5 Une fois la modification ou suppression terminée, cliquez sur le bouton OK.
1 Sélectionnez la plage de texte, le bloc de texte ou le bloc graphique que vous voulez définir comme nouvelle source
2 Sélectionnez l’hyperlien dans le panneau Hyperliens. 3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour mettre à jour un hyperlien pointant vers un document externe, choisissez Mettre à jour l’hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens.
• Pour rechercher la source d’un hyperlien ou d’une référence croisée, sélectionnez l’élément à repérer dans le panneau Hyperliens. Choisissez Accéder à la source dans le menu du panneau Hyperliens. Le texte ou le bloc est sélectionné.
Si la cible est une adresse URL, InDesign lance ou active votre navigateur Web pour l’afficher. Si l’élément est un ancrage de texte ou une page cible, InDesign accède à cet emplacement.
Si vous rédigez un manuel ou un document de référence, vous aurez sans doute besoin d’insérer des références croisées pour inviter le lecteur à consulter d’autres parties de votre document. En voici un exemple : Pour plus de détails, voir la section « Rats des champs », page 249. Vous pouvez préciser si les références croisées sont créées à partir d’un style de paragraphe, par exemple un style de titre, ou à partir d’une ancre de texte définie par vos soins. Vous avez également la possibilité de spécifier le format des références croisées, en choisissant d’inclure uniquement le numéro de page ou le paragraphe entier accompagné du numéro de page.
Le texte de la source de référence croisée est modifiable et peut contenir des retours à la ligne.
Documents dynamiques
2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Choisissez la commande Fenêtre > Texte et tableaux > Références croisées, puis sélectionnez la commande Insérer la référence croisée dans le menu du panneau Hyperliens.
Si vous sélectionnez l’option Paragraphe, votre référence croisée pourra renvoyer au paragraphe de votre choix dans le document spécifié. En revanche, si vous sélectionnez l’option Ancre de texte, votre référence croisée pourra renvoyer à du texte dans lequel vous avez créé une cible d’hyperlien (voir la section « Pour créer une cible d’hyperlien » à la page 572). La création d’une ancre de texte peut se révéler utile lorsque la référence doit contenir un texte différent du paragraphe cible. 4 Pour l’option Document, sélectionnez le document contenant la cible à laquelle vous voulez faire référence. Tous
5 Cliquez sur un style de paragraphe (par exemple, Titre1) dans la zone de gauche pour limiter la liste des choix, puis
6 Choisissez le format de référence croisée à utiliser dans le menu Format.
Documents dynamiques 8 Cliquez sur le bouton OK.
Par défaut, la boîte de dialogue Nouvelle référence croisée propose plusieurs formats de référence croisée. Vous pouvez modifier ces formats, les supprimer ou créer des formats personnalisés. Remarque : si vous avez supprimé ou modifié des formats de référence croisée dans votre document et désirez rétablir les formats par défaut, il vous suffit de choisir la commande Charger les formats de référence croisée dans le menu du panneau et de sélectionner un document contenant les formats originaux. Il est également possible de synchroniser les formats de référence croisée dans un livre. Pour visionner une vidéo sur la modification des formats de référence croisée, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid4024_id_fr.
Les formats de référence croisée, à l’inverse des autres paramètres prédéfinis, peuvent être modifiés ou supprimés. La modification de l’un de ces formats entraîne la mise à jour automatique de toutes les références croisées sources utilisant ce format. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pendant la création ou la modification d’une référence croisée, cliquez sur le bouton Créer ou modifier les formats des références croisées
• Pour créer un format, sélectionnez celui qui servira de modèle, puis cliquez sur le bouton Créer un format
3 Spécifiez le nom du nouveau format dans la zone de texte correspondante. 4 Dans la zone de texte Définition, modifiez le texte en ajoutant ou supprimant des informations, si nécessaire.
5 Pour appliquer un style de caractère à l’ensemble de la référence croisée, sélectionnez l’option Style de caractère de
Vous pouvez également faire appel au bloc fonctionnel Style de caractère pour appliquer un style au texte de la référence croisée. 6 Cliquez sur le bouton Enregistrer pour valider les modifications. Cliquez sur le bouton OK.
Documents dynamiques Insère le texte du paragraphe sans le Voir la section « <paraText/> » numéro dans une référence croisée Voir la section « Animaux » renvoyant à une liste numérotée. Dans cet exemple, la référence croisée utilise seulement le texte du paragraphe qui commence par « 1. Animaux ».
Pour créer des ancres de texte, il suffit de choisir la commande Nouvelle cible d’hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens.
Voir Figure 1 Exemple du chapitre <chapNum/> du chapitre 3
Spécifiez le nom du style de caractère, ainsi que le texte auquel vous voulez l’appliquer entre les balises <cs name=””> et </cs>. Voir la section « Application de styles de caractères à des références croisées » à la page 580.
Vous avez la possibilité de définir des formats de référence croisée de façon à inclure uniquement la première partie d’un paragraphe. Si, par exemple, les titres de votre document se présentent sous la forme « Chapitre 7 — De Grenade à Barcelone », vous pouvez parfaitement créer une référence croisée renvoyant seulement à « Chapitre 7 ».
A. La source de la référence croisée se termine au tiret cadratin (^_) B. « false » exclut le tiret cadratin de la source.
De Grenade). Pour insérer un caractère spécial tel que le tiret cadratin (^_), l’espace cadratin (^m) et la puce (^8), il suffit de choisir l’une des options proposées dans le menu qui apparaît lorsque vous cliquez sur l’icône Caractères spéciaux. En second lieu, vous devez préciser si ce délimiteur sera exclu (Chapitre 7) ou inclus (Chapitre 7—). Pour exclure le délimiteur, spécifiez includeDelim=”false”. En revanche, pour le faire figurer dans la référence croisée, saisissez includeDelim=”true”. Vous pouvez remplacer les valeurs « false » et « true » respectivement par « 0 » et « 1 ».
Documents dynamiques A B C Application d’un style de caractère à une partie d’une référence croisée A. Cette balise applique un style de caractère nommé « Rouge ». B. Cette balise met fin au style de caractère. C. Le style de caractère « Gras » est appliqué au reste de la source de la référence croisée.
2 Dans la boîte de dialogue Formats de référence croisée, créez ou modifiez le format à appliquer. 3 Dans la zone Définition, sélectionnez le texte et les blocs fonctionnels auxquels vous voulez appliquer le style de
4 Choisissez l’option Style de caractère dans le menu situé à droite de la liste de définition. 5 Saisissez le nom du style de caractère entre les guillemets, exactement tel qu’il apparaît dans le panneau Styles
Il est important de respecter les majuscules et les minuscules dans les noms de styles. Si le style de caractère fait partie d’un groupe, saisissez le nom du groupe suivi du signe deux-points et du nom du style de caractère, par exemple Groupe de style 1: Rouge. 6 Cliquez sur le bouton Enregistrer, puis sur le bouton OK.
Lorsque vous chargez des formats de référence croisée à partir d’un autre document, ils remplacent les formats existants qui portent le même nom. Dans InCopy, vous pouvez importer des formats de référence croisée uniquement dans les documents autonomes. Par ailleurs, il est impossible d’importer des formats à partir d’un document InCopy dans un document InDesign. Si le format nouveau ou modifié dans InCopy est en conflit avec un format du document InDesign lors de l’extraction de l’article, le format InDesign prend le pas sur l’autre. 1 Choisissez la commande Charger les formats de référence croisée dans le menu du panneau Hyperliens.
Documents dynamiques Suppression des formats de référence croisée Il est impossible de supprimer un format appliqué à des références croisées dans le document. 1 Dans la boîte de dialogue Formats de référence croisée, sélectionnez le format à supprimer. 2 Cliquez sur le bouton Supprimer le format
Lorsque vous insérez une référence croisée, son état apparaît dans le panneau Hyperliens. Des icônes indiquent si, par exemple, le texte cible figure sur la table de montage , dans un gabarit , sur un calque masqué , dans du texte en excès ou dans du texte masqué . Les références croisées renvoyant à ces zones cibles sont non résolues. A l’aide du panneau, vous pouvez également déterminer si le paragraphe cible a été modifié (le lien est alors obsolète) ou s’il est manquant . Le texte cible est manquant si ce texte ou le fichier qui le contient sont introuvables. Maintenez le pointeur de la souris sur une icône pour afficher l’info-bulle correspondante. Dans InCopy, vous pouvez gérer les références croisées uniquement si vous avez extrait l’article en vue de le modifier.
La présence d’une icône de mise à jour indique que le texte cible ou source de la référence croisée a changé. Dans ce cas, il suffit de mettre à jour la référence croisée. En revanche, si la cible a changé de page, la mise à jour de la référence croisée est automatique. Lorsque vous mettez à jour une référence croisée, vous perdez toutes les modifications de mise en forme appliquées au texte source. Lors de l’impression ou de la sortie du document, un message vous informe des éventuelles références croisées obsolètes ou non résolues. Vous pouvez également faire appel au panneau Contrôle en amont pour obtenir ces renseignements. Pour cela, vous devez simplement sélectionner l’option Références croisées dans la section Texte, lors de la définition du profil (voir la section « Définition de profils de contrôle en amont » à la page 653). 1 Sélectionnez une ou plusieurs références croisées obsolètes. Si vous désirez mettre à jour toutes les références
2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Choisissez la commande Texte > Hyperliens et références croisées > Mettre à jour la référence croisée. Pour mettre à jour toutes les références croisées d’un livre, choisissez la commande Mettre à jour toutes les références croisées dans le menu du panneau Livre. Un message vous informe de l’éventuelle présence de références croisées non résolues.
Documents dynamiques 1 Dans la section Références croisées du panneau Hyperliens, sélectionnez la référence croisée dont vous voulez
2 Choisissez la commande Rééditer le lien de la référence croisée dans le menu du panneau Hyperliens. 3 Recherchez le document contenant le texte cible, puis cliquez sur le bouton Ouvrir.
Si vous désirez changer l’aspect d’une référence croisée source ou spécifier un autre format, vous pouvez simplement modifier la référence croisée. Si elle renvoie à un autre document, celui-ci s’ouvre automatiquement. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Dans la section Références croisées du panneau Hyperliens, cliquez deux fois sur la référence croisée à modifier. • Sélectionnez la référence croisée, puis choisissez la commande Options de référence croisée dans le menu du panneau Hyperliens. 2 Apportez les modifications nécessaires à la référence croisée, puis cliquez sur le bouton OK.
Lorsque vous supprimez une référence croisée, la référence source est convertie en texte. 1 Dans la section Références croisées du panneau Hyperliens, sélectionnez la ou les références croisées à supprimer. 2 Cliquez sur l’icône de suppression ou choisissez la commande Supprimer l’hyperlien/la référence croisée dans le
3 Cliquez sur le bouton Oui pour confirmer l’opération.
Vous avez la possibilité de modifier le texte de la source des références croisées. Vous pouvez ainsi sans problème changer l’approche ou l’espace intermots à des fins de calibrage ou encore effectuer d’autres modifications. Malheureusement, lorsque vous mettez à jour la référence croisée ou rééditez son lien, vous perdez toutes les modifications locales apportées à la mise en forme.
Documents dynamiques Vous pouvez ajouter des séquences vidéo et audio à un document ou encore créer des liens vers des fichiers vidéo exécutés en continu sur Internet. Les séquences multimédias ne sont pas directement exécutables dans la mise en page InDesign ; en revanche, elles le sont une fois le document exporté au format Adobe PDF ou XML (dans ce cas, une adaptation des balises est nécessaire). Une affiche est une image représentant une séquence multimédia. Elle n’est pas obligatoire, une séquence audio ou vidéo pouvant apparaître sans affiche. Si l’affiche dans InDesign est plus grande que la séquence vidéo, elle est rognée en fonction de la taille de cette dernière dans le document PDF exporté. Vous devez impérativement disposer de QuickTime 6.0 (ou version ultérieure) pour utiliser des séquences vidéo dans InDesign. Vous pouvez ajouter des séquences vidéo QuickTime, AVI, MPEG et SWF. Toutefois, QuickTime ne reconnaît plus totalement les fichiers SWF. Vous pouvez également ajouter des séquences audio WAV, AIF et AU. InDesign ne prend en charge que les fichiers WAV 8 et 16 bits non compressés. Assurez le suivi des fichiers multimédias que vous ajoutez à un document InDesign au cours du cycle de production. Si vous déplacez une séquence multimédia liée après l’avoir ajoutée au document, utilisez le panneau Liens pour redéfinir son lien. Si vous devez transmettre le document InDesign à une autre personne, envoyez également tout fichier multimédia ajouté à ce document. les séquences vidéo MPEG et SWF d’un document PDF peuvent être lues uniquement dans Acrobat 6.x ou une version ultérieure et les séquences vidéo QuickTime et AVI, dans Acrobat 5.0 ou une version ultérieure.
« Exportation au format PDF » à la page 538
1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour convertir un bloc en séquence multimédia, sélectionnez-le, puis choisissez Objet > Objet interactif > Options vidéo ou Options audio. Vous obtenez ainsi un bloc vidéo ou audio vide. Après avoir ajouté une séquence vidéo selon la méthode décrite ici, choisissez Objet > Ajustement > Ajuster le bloc au contenu afin que le bloc soit de la même taille que la séquence. lorsque vous importez un fichier audio ou vidéo dans un document, un objet multimédia apparaît dans un bloc. Cet objet constitue le lien avec le fichier multimédia. Vous pouvez le redimensionner en fonction de la taille de la zone de lecture requise Si le point central de la séquence vidéo est situé en dehors de la page, la séquence ne sera pas exportée au format PDF. 2 Pour modifier les options de vidéo, de son ou d’affiche, cliquez deux fois sur l’objet multimédia.
Une fois le document exporté au format Adobe PDF ou autre, il suffit de cliquer sur cet objet pour lire la séquence vidéo, à condition de disposer d’une connexion Internet. 1 Dessinez un rectangle correspondant à la zone de lecture de la séquence, si nécessaire. Vous pourrez inclure une
2 Sélectionnez un objet, puis choisissez Objet > Objet interactif > Options vidéo. 3 Cliquez sur Spécifier une URL, puis entrez ou collez l’URL. 4 Cliquez sur Vérifier l’URL et la taille de la séquence pour vous assurer que l’URL est valide. Vous devez disposer
5 Définissez d’autres options, si nécessaire, puis cliquez sur OK.
Sélectionner un fichier Pour choisir une autre séquence, cliquez sur le bouton Parcourir (Windows) ou Choisir (Mac
Incorporer la séquence dans le PDF Bien que cette opération augmente la taille du document PDF, elle vous évite
Vous pouvez annuler ces options en liant ou en incorporant tous les fichiers multimédias, ou vous pouvez les utiliser pour chaque objet. Les séquences incorporées exigent l’utilisation d’Acrobat 6.0 (ou version ultérieure), ou d’Adobe Reader 6.0 (ou version ultérieure). Spécifier une URL Pour lire une vidéo diffusée en continu depuis un site Web, sélectionnez Spécifier une URL, puis
Affiche Spécifiez le type d’image à afficher dans la zone de lecture de la séquence. Mode Indiquez si la séquence doit être lue en boucle, lue une seule fois puis fermée ou lue une seule fois et rester
Lire lors de l’accès à la page La séquence est lue lors de la consultation de la page du document PDF sur laquelle elle
Fenêtre flottante Lancez la lecture de la séquence dans une fenêtre séparée. Dans ce cas, précisez la position et la taille
Pour modifier les options audio, cliquez deux fois sur la zone de lecture de la séquence à l’aide de l’outil Sélection ou sélectionnez l’objet audio et choisissez Objet > Objet interactif > Options audio. Description Entrez la description à afficher si la séquence audio ne peut pas être lue dans Acrobat. Cette description
Fichier Pour choisir une autre séquence audio, cliquez sur le bouton Parcourir (Windows) ou Choisir (Mac OS) en regard de la zone Sélectionner un fichier, puis cliquez deux fois sur le nom de fichier requis. Affiche Spécifiez le type d’image à afficher dans la zone de lecture de la séquence. Lire lors de l’accès à la page La séquence est lue lors de la consultation de la page du document PDF sur laquelle elle
Ne pas imprimer l’aperçu Sélectionnez cette option si vous ne voulez pas imprimer l’affiche dans InDesign. Incorporer le son dans le PDF Bien que cette opération entraîne une augmentation de la taille du document PDF, elle vous évite d’avoir à copier ou à envoyer le fichier multimédia avec le PDF.
Vous ne pouvez pas simplement utiliser une image importée comme affiche. Vous devez définir le type d’affiche requis dans la boîte de dialogue Options vidéo ou Options audio : Aucune La séquence audio ou vidéo n’est représentée par aucune affiche. Cette option est utile si vous souhaitez que
Standard La séquence audio ou vidéo est représentée par une affiche générique qui n’est pas basée sur son contenu.
Affiche par défaut L’image d’affiche assemblée avec la séquence vidéo est utilisée. Elle correspond à la première image
Image issue d’une séquence Cette option reste grisée tant que vous n’avez pas spécifié une image à l’aide de l’option Choisir une image de séquence comme affiche. Choisir une image comme affiche Cette option vous permet de choisir l’image à utiliser comme affiche. Cliquez sur
Pour définir une image comme affiche, vous pouvez également sélectionner le bloc devant accueillir l’affiche à l’aide de l’outil Sélection directe, puis insérer un graphique dans ce bloc à l’aide de la commande Importer.
Documents dynamiques Lorsque vous exportez le document au format PDF, le cadre de l’objet vidéo détermine la taille de la séquence dans le document PDF, mais pas la taille du bloc ou de l’affiche. Pour obtenir de meilleurs résultats, faites en sorte que la taille de l’affiche soit identique à celle de la séquence vidéo. Si vous appliquez un masque à l’image ou si vous la redimensionnez, ces modifications risquent d’être ignorées dans le document PDF exporté. Les séquences vidéo sont affichées sur le calque supérieur du document PDF. Si, dans InDesign, vous superposez un autre objet à une séquence vidéo, cet objet apparaîtra en dessous de la séquence dans le fichier PDF exporté. Si le document PDF doit comporter une zone de lecture avec des contours progressifs ou autres effets difficilement exportables dès lors qu’ils sont appliqués à une affiche, utilisez une image importée dans la zone de lecture, puis placez la séquence vidéo (sans affiche) sur cette image.
(maintenez la touche Maj enfoncée pour conserver les proportions).
• Pour redimensionner l’affiche ou l’objet multimédia, utilisez l’outil Sélection directe
Exportation au format PDF 1.3/1.4 • Les affiches audio ou vidéo non RVB ne sont pas visibles dans le document PDF exporté.
• Les sons ne peuvent pas être liés. Exportation au format PDF 1.5 ou version ultérieure QuickTime est le lecteur multimédia par défaut lors de l’exportation d’un document au format PDF. Pour utiliser un autre lecteur multimédia par défaut, vous devez modifier le rendu dans Acrobat 6.0 ou version ultérieure. Exportation dans un format PDF quelconque • Les blocs multimédias non rectangulaires n’apparaissent pas dans le document PDF exporté.
La transition Page tournée fonctionne uniquement dans les fichiers SWF exportés, et non dans les fichiers PDF. Pour tourner les pages manuellement dans le fichier SWF, il n’est pas nécessaire d’appliquer la transition Page tournée. En effet, si vous sélectionnez l’option Inclure le coin de page interactif dans la boîte de dialogue Exporter au format SWF, vous pouvez ensuite faire glisser le coin des pages pour les tourner manuellement dans le fichier SWF exporter ou utiliser les touches fléchées ou les boutons de navigation pour activer les transitions appliquées à chaque page. Lorsque vous appliquez une transition de page à une planche, une icône de transition de page apparaît en regard de cette planche dans le panneau Pages. Vous avez la possibilité de masquer ces icônes dans le panneau Pages en désélectionnant l’option Transitions de page dans la boîte de dialogue Options de panneau.
Documents dynamiques Assurez-vous que la planche est bien sélectionnée. Les numéros sous les pages doivent apparaître en surbrillance dans le panneau Pages. 2 Pour afficher le panneau Transitions de page, choisissez la commande Fenêtre > Objet interactif > Transitions de page. 3 Choisissez l’un des effets proposés dans le menu Transition.
4 Personnalisez la transition à votre guise à l’aide des options des menus Sens et Vitesse. 5 (Facultatif) Pour appliquer la transition sélectionnée à l’ensemble des planches du document, cliquez sur
1 Dans le panneau Pages, sélectionnez les planches auxquelles vous voulez appliquer la transition.
2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Dans le menu du panneau Transitions de page, choisissez la commande Sélectionner. • Choisissez la commande Page > Pages > Transitions de page > Sélectionner. 3 Sélectionnez la transition que vous souhaitez appliquer.
4 (Facultatif) Pour appliquer la transition sélectionnée à l’ensemble des planches du document, activez l’option
5 Cliquez sur le bouton OK.
• Dans le panneau Pages, sélectionnez la planche dans laquelle vous voulez effacer la transition, puis choisissez l’option Sans dans le menu Transition du panneau Transitions de page.
Création de boutons Vous pouvez créer des boutons permettant d’effectuer certaines opérations une fois le document exporté au format SWF ou PDF. Il peut s’agir, par exemple, d’un bouton pour accéder à une autre page ou à un site Web.
• définir leur ordre de sélection sur une page PDF. Lorsque vous créez ou modifiez des boutons et concevez des documents dynamiques, sélectionnez l’espace de travail Interactivité.
1 Servez-vous de l’outil Texte ou d’un outil de dessin (par exemple, Rectangle ou Ellipse) pour tracer la forme du
Vous pouvez ajouter des boutons de navigation (par exemple, « Page suivante » ou « Page précédente ») à un gabarit, ce qui vous évite de devoir les recréer sur chaque page. Ces boutons apparaîtront alors sur toutes les pages de document auxquelles vous avez appliqué ce gabarit. 2 A l’aide de l’outil Sélection
3 Choisissez la commande Objet > Objet interactif > Convertir en bouton.
Le panneau Boutons exemples propose plusieurs boutons prédéfinis que vous pouvez faire glisser vers votre document. Ces boutons comportent des effets, tels que le contour progressif dégradé et l’ombre portée, et présentent un aspect légèrement différent pour l’état Survol. Des actions sont également affectées à ces exemples de boutons, notamment Atteindre la page suivante et Atteindre la page précédente pour les boutons contenant des flèches. Vous pouvez modifier ces boutons à votre convenance. Le panneau Boutons exemples est une bibliothèque d’objets. Vous pouvez ainsi y ajouter d’autres boutons et supprimer ceux dont vous n’avez pas besoin (voir la section « Utilisation des bibliothèques d’objets » à la page 402). Les exemples de bouton sont stockés dans le fichier ButtonLibrary.indl, situé dans le dossier Presets/Button Library du dossier de l’application InDesign. 1 Pour afficher le panneau Boutons exemples, choisissez la commande éponyme dans le menu du panneau Boutons. 2 Faites glisser l’un des boutons du panneau Boutons exemples vers le document. 3 Sélectionnez le bouton à l’aide de l’outil Sélection, puis modifiez-le à votre guise à l’aide du panneau Boutons.
InDesign vous permet de créer, de modifier et de gérer des effets interactifs. Ces actions deviennent actives dans le document PDF après exportation du document au format Adobe PDF ou SWF. Supposons à titre d’exemple que vous devez créer un bouton pour lire une séquence audio dans un document PDF. Vous devez d’abord importer le fichier son dans le document InDesign, puis créer le bouton qui déclenchera la lecture de la séquence audio lorsque vous cliquerez dessus dans le document PDF. Dans cet exemple, le fait de cliquer avec le bouton de la souris correspond à l’événement, et la lecture de la séquence audio correspond à l’action.
Documents dynamiques
Vous pouvez associer des actions à divers événements. Par exemple, vous pouvez faire en sorte qu’une séquence audio dans un fichier PDF exporté démarre lorsque le pointeur de la souris se trouve dans la zone du bouton ou encore qu’une séquence vidéo soit activée après un clic suivi du relâchement du bouton de la souris. Vous pouvez également associer plusieurs actions à un même événement. Ainsi, vous pouvez faire en sorte qu’un événement entraîne la lecture d’une séquence vidéo et l’affiche dans sa taille réelle. 1 A l’aide de l’outil Sélection
3 Cliquez sur le bouton contenant le signe plus
4 Définissez les divers paramètres de l’action.
5 Continuez à ajouter les actions de votre choix aux divers événements.
Clic Déclenche l’action dès que l’utilisateur clique à l’aide du bouton de la souris (sans le relâcher). A moins d’avoir
Effleuré Déclenche l’action dès que le pointeur entre dans la zone du bouton définie par le cadre de sélection. Sortie Déclenche l’action dès que le pointeur de la souris est déplacé hors de la zone du bouton. Champ activé Déclenche l’action lors de la sélection du bouton au moyen de la souris ou de la touche de tabulation. Champ désactivé Déclenche l’action lors de la sélection d’un autre bouton ou champ de formulaire.
La création d’une action consiste à spécifier l’opération que doit déclencher un événement donné (le plus courant étant l’utilisateur qui clique sur le bouton). Il est possible de sélectionner parmi les actions suivantes celle qui doit se déclencher lorsque l’événement se produit : Fermer (format PDF) Ferme le document PDF. Quitter (format PDF) Quitte l’application utilisée pour consulter le document PDF (Adobe Reader, par exemple). Atteindre le point d’ancrage Affiche le signet ou l’ancre de texte auxquels renvoie le bouton (voir la section « Création
Atteindre la première/dernière page, Atteindre la page suivante/précédente Affiche la première ou la dernière page ou encore la page suivante ou précédente du fichier PDF ou SWF. Sélectionnez le mode d’affichage de la page dans le menu Zoom. Atteindre la vue précédente (format PDF) Permet d’atteindre la dernière page visualisée dans le document PDF ou de
Atteindre la vue suivante (format PDF) Affiche une autre page après consultation d’une vue précédente. Tout comme
être utilisée tant que l’utilisateur n’a pas consulté une vue précédente. Atteindre la page (format SWF uniquement) Affiche la page du fichier SWF que vous avez spécifiée. Atteindre l’URL Ouvre la page Web correspondant à l’URL définie. Séquence vidéo (format PDF) Lance, suspend, arrête ou redémarre la séquence vidéo sélectionnée. Seules les
Ouvrir le fichier (format PDF) Ouvre le fichier défini. Si ce dernier n’est pas au format PDF, il convient de disposer de
Afficher/Masquer les boutons Affiche ou masque alternativement les boutons spécifiés dans le fichier PDF ou SWF
Son (format PDF) Lance, suspend, arrête ou redémarre la séquence audio sélectionnée. Seules les séquences incluses
Modification ou suppression des actions de bouton 1 Sélectionnez le bouton souhaité à l’aide de l’outil Sélection
• Pour supprimer une action, sélectionnez-la dans la zone de liste, puis cliquez sur le bouton Supprimer le script d’action sélectionné
Si vous créez un signet ou un point d’ancrage dans un document InDesign, vous pouvez utiliser un bouton pour atteindre ce point d’ancrage, même s’il se trouve dans un autre document InDesign. Utilisez les panneaux Signets et Hyperliens pour ajouter des points d’ancrage. Remarque : si le bouton a pour cible un hyperlien, ce dernier sera sans effet dans le document PDF ou SWF exporté. 1 Sélectionnez le bouton souhaité à l’aide de l’outil Sélection
3 Cliquez sur le bouton contenant le signe plus situé à côté de la section Scripts d’action, puis choisissez la commande
4 Dans le menu Documents, sélectionnez l’un des documents InDesign ouverts, ou cliquez sur l’icône de dossier
5 Définissez le point d’ancrage créé à l’aide du panneau Signets ou Hyperliens. 6 Sélectionnez le mode d’affichage de la page dans le menu Zoom. 7 Cliquez sur Ajouter pour ajouter le comportement, puis sur OK.
« Création de signets pour un document PDF » à la page 568 « Présentation du panneau Hyperliens » à la page 569
Si, par exemple, vous souhaitez rendre un bouton visible uniquement lorsque vous cliquez sur un autre bouton, vous avez la possibilité de le masquer dans tous les autres cas de figure. 1 Sélectionnez le bouton souhaité à l’aide de l’outil Sélection
Si, par exemple, vous sélectionnez un état et appliquez une autre couleur d’arrière-plan ou modifiez le texte, cette modification se limite à l’état sélectionné. En revanche, si vous déplacez ou redimensionnez le bouton à l’aide de l’outil Sélection, cette modification est répercutée sur tous les états. Gardez à l’esprit que chaque état est en réalité un objet appartenant au groupe du bouton. Si vous désirez modifier un seul état et non tout le groupe, utilisez l’outil Sélection directe. 1 Choisissez la commande Fenêtre > Objet interactif > Boutons pour afficher le panneau correspondant. 2 A l’aide de l’outil Sélection
4 Sans désélectionner l’état Survol, effectuez toutes les modifications désirées.
Pour changer la taille des vignettes Aspect de l’état dans le panneau Boutons, choisissez la commande Options de panneau dans le menu du panneau Boutons, sélectionnez l’option désirée, puis cliquez sur le bouton OK.
1 Sélectionnez l’état voulu dans le panneau Boutons.
2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Remarque : il est impossible de supprimer ou de désactiver l’état Normal.
Il est parfois souhaitable que la zone du bouton (ou « zone sensible ») demeure invisible jusqu’à ce que le pointeur de la souris soit placé dessus. Il est possible, par exemple dans le cas d’une carte géographique, de faire en sorte qu’une image représentant une région apparaisse lorsque l’utilisateur place le pointeur de la souris sur un bouton et qu’elle disparaisse lorsqu’il retire le pointeur de la zone correspondante. L’une des façons d’obtenir cet effet consiste à appliquer une image à l’état Survol du panneau Etats. Pour ce faire, il vous suffit de créer un bouton sans bordure ni arrière-plan pour l’état Normal. Sélectionnez ensuite l’état Survol dans le panneau Boutons, puis ajoutez une image en faisant appel à la commande Importer ou Coller dedans.
L’ordre des tabulations détermine l’ordre de sélection des champs dans le document PDF ou SWF lorsque l’utilisateur appuie sur la touche de tabulation (ou sur les touches Maj+Tab). L’ordre des tabulations concerne les boutons figurant sur les calques masqués, non ceux des gabarits. 1 Accédez à la page contenant les boutons. 2 Choisissez Objet > Objet interactif > Définir l’ordre des tabulations. 3 Sélectionnez chaque bouton à déplacer et faites-le glisser à l’endroit requis ou cliquez sur les boutons Déplacer vers
Lorsque vous convertissez un bouton en objet, son contenu reste sur la page, mais sans les propriétés du bouton. Tout contenu associé aux autres états du bouton est également supprimé. 1 Sélectionnez le bouton souhaité à l’aide de l’outil Sélection
Langage extensible XML est considéré comme un langage extensible parce que chaque utilisateur peut créer ses propres balises XML ; chacun peut créer une balise pour chaque type d’information qu’il souhaite réutiliser. Les balises XML ne contiennent pas d’informations sur le mode d’affichage ou de mise en forme des données. Elles servent exclusivement à identifier le contenu. Dans InDesign, par exemple, vous créez une balise Titre1 que vous affectez à chaque titre de niveau 1 d’un document. Après avoir enregistré le document au format XML, le contenu de Titre1 peut être importé et réutilisé par toute application compatible XML dans une page Web, un catalogue imprimé, un répertoire, une liste de tarifs ou un tableau de base de données. InDesign est l’une des nombreuses applications capables de produire et d’utiliser le format XML. Après avoir balisé du contenu dans un fichier InDesign, vous pouvez enregistrer et exporter le fichier au format XML afin de pouvoir le réutiliser dans une application telle qu’InDesign. De même, vous pouvez importer un fichier XML dans InDesign et configurer InDesign de façon à afficher et mettre en forme les données XML à votre convenance. Dans InDesign, vous pouvez créer des balises XML et baliser certaines parties d’un document, même si vous n’avez aucune connaissance de la norme XML. InDesign gère la programmation XML en arrière-plan et crée le contenu XML automatiquement lorsque vous exportez un document au format XML. Important : ne confondez pas balises XML et texte référencé dans InDesign. Pour plus de détails sur le texte référencé, qui constitue une autre méthode pour exporter et importer du contenu InDesign, consultez le fichier PDF de texte référencé à l’adresse suivante www.adobe.com/go/learn_id_taggedtext_cs4_fr (PDF). Structure de données XML L’élément est le bloc de construction des données XML ; un élément est une donnée à laquelle une balise a été appliquée. Les éléments d’un fichier XML sont imbriqués dans d’autres éléments afin de créer une structure hiérarchique des données.
Dans la structure XML, les éléments enfants sont contenus dans des éléments parents, qui peuvent eux-aussi être enfants d’autres éléments. Vu de l’angle opposé, les éléments parents contiennent des éléments enfants, ces derniers pouvant à leur tour être des éléments parents et contenir d’autres éléments enfants. Par exemple, l’illustration suivante présente un élément chapitre qui contient (est le parent de) plusieurs éléments recette. Chaque élément recette, à son tour, est le parent d’éléments appelés nom-recette, ingrédients, instructions, notes et convives. Tous les éléments sont contenus dans l’élément Racine, qui apparaît en haut du volet Structure.
« Présentation du volet Structure » à la page 619 « Importation de texte » à la page 134
Structure présente tous les éléments contenus dans le document ainsi que leur structure hiérarchique. Dans InDesign, tous les éléments sont matérialisés par une balise et une icône indiquant le type de données qu’ils contiennent, ce qui vous permet de les identifier plus facilement. De plus, le volet Structure peut afficher les premiers mots de texte d’un élément, c’est-à-dire un extrait de texte, à ne pas confondre avec un fichier d’extrait contenant des objets à réutiliser.
« Présentation du volet Structure » à la page 619
Definition). Un fichier DTD fournit un ensemble d’éléments et d’attributs qui peut être utilisé par tous les membres du groupe. Il définit également les règles de positionnement des éléments dans la structure hiérarchique. Par exemple, un fichier DTD peut stipuler qu’un élément Titre doit être un élément enfant de l’élément Article dans la mesure où le titre est censé figurer au sein de l’article ; ainsi, si vous balisez un titre sans baliser l’article dans lequel il apparaît, le fichier DTD désigne l’élément Titre comme élément invalide. Vous pouvez rechercher et mettre en évidence les erreurs de structure contenues dans un fichier InDesign au moyen d’un fichier DTD. Ce processus s’appelle « validation ». Pour utiliser un fichier DTD (si votre document n’en contient encore aucun), vous devez le charger dans le document. Cette opération a pour effet d’importer les noms d’éléments issus du fichier DTD dans le panneau Balises. Les autres utilisateurs qui ont chargé ce fichier DTD disposent des mêmes noms d’éléments, ce qui permet de s’assurer que tous les membres du groupe utilisent bien des éléments communs. Les éléments importés sont verrouillés, ce qui signifie qu’ils ne peuvent être ni supprimés ni renommés tant que le fichier DTD n’est pas retiré du document. Il est probable qu’un fichier DTD créé par un groupe semblable au vôtre comprenne les balises et les structures qui vous conviennent. Pour obtenir une liste actualisée des fichiers DTD répertoriés, rendez-vous à l’adresse www.xml.com/pub/rg/DTD_Repositories (disponible uniquement en anglais).
Pour plus de détails sur les ensembles de règles XML et autres ressources de création de script XML, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/learn_id_XMLscript_fr.
Pour insérer des balises XML dans des fichiers en vue de les exploiter dans des environnements de flux de productions K4 ou InDesign/InCopy, vous devrez peut-être modifier la façon dont vous structurez et importez les données XML dans les fichiers InDesign. Il existe deux méthodes pour importer les données XML dans InDesign : la fusion et l’ajout. Si vous optez pour la fusion, la structure existante peut être remplacée. En revanche, dans le cas de l’ajout, elle est simplement complétée. Quel que soit votre choix, vous devez veiller à ce que l’élément racine ne soit associé à aucun bloc de texte. Vous pouvez utiliser l’élément racine par défaut et éventuellement changer son nom en fonction de votre flux de production actuel, tout en vous assurant qu’il n’est associé à aucun bloc de texte. Pour plus de détails sur l’utilisation des données XML dans les flux de productions K4 ou InCopy, prenez contact avec votre administrateur système.
Ajout ou fusion Il existe deux modes d’importation de contenu XML : le mode ajout et le mode fusion. Vous devez choisir une méthode selon le type de flux de production mis en place (manuel ou automatique), suivant la façon dont le contenu existant doit être géré et selon que vous souhaitez disposer ou non de fonctions avancées pour le traitement des données importées. Mode ajout Lorsque vous ajoutez du contenu importé, la structure existante et le contenu déjà présent dans le
Mode fusion Lorsque vous fusionnez le contenu importé, InDesign effectue une comparaison entre le contenu XML
Une fois le contenu XML importé, vous devez le placer dans le document. Le contenu peut être placé de façon manuelle, de façon automatique ou par le biais de scripts. Vous devez choisir une méthode en fonction du contenu importé, de la mise en page du document et du processus mis en place dans le cadre du flux de production. Insertion manuelle de contenu Si vous optez pour la méthode manuelle, vous devez faire glisser les éléments à partir du volet Structure vers des pages de votre document ou vers des blocs. Cette méthode est simple à mettre en œuvre et demande peu de préparatifs. Utilisez cette méthode si vous importez différents types de contenus ou si vous récupérez du contenu en provenance de sources diverses.
A propos de la fusion Vous pouvez insérer des données XML dans un document en mode fusion ou en mode ajout. Le mode fusion vous permet d’automatiser l’opération d’insertion du contenu. Vous pouvez également filtrer les données du fichier XML pour n’insérer que des parties spécifiques de ce fichier. Fusionnez le contenu XML entrant lorsque :
• le document contient du contenu XML que vous souhaitez remplacer par le contenu XML importé. • le document ne contient aucune structure XML et vous voulez remplacer la racine par défaut par la racine du fichier XML entrant. En mode fusion, InDesign effectue une comparaison entre les données XML et les éléments existants contenus dans le document. InDesign parcourt le fichier élément par élément et compare les éléments entrants aux éléments existants de la façon suivante : 1. InDesign commence la comparaison au niveau de l’élément racine. • Si l’élément racine du fichier XML importé et celui du document InDesign ne correspondent pas et si le volet Structure ne contient aucune structure, InDesign remplace la racine du document InDesign par celle du fichier XML et importe ce fichier.
• Si InDesign trouve un élément correspondant dans le volet Structure, il le remplace par l’élément issu du fichier XML entrant.
3. InDesign continue de comparer les éléments. InDesign continue de comparer le fichier XML entrant avec la structure existante, élément par élément. Le point de départ de la recherche se déplace dans le volet Structure à mesure que la recherche progresse, chaque nouvelle phase de recherche commençant juste en dessous du dernier élément inséré ou remplacé. InDesign se déplace toujours vers le bas, à partir de l’emplacement actif ; il ne place jamais d’éléments au-dessus du dernier élément inséré ou remplacé.
1 Ouvrez un document InDesign ou créez un document destiné à recevoir le contenu XML. 2 Ouvrez le volet Structure. (Choisissez la commande Affichage > Structure > Afficher la structure.) 3 Choisissez la commande Fichier > Importation XML (ou choisissez la commande Importation XML dans le menu
4 Sélectionnez Afficher les options d’importation XML. 5 Sélectionnez la commande Ajouter le contenu et cliquez sur le bouton Ouvrir. 6 Pour lier le contenu XML au fichier XML d’origine, sélectionnez Créer un lien.
« Liaison ou incorporation de fichiers texte importés » à la page 139 « Importation et fusion de contenu XML » à la page 610
éléments à partir du volet Structure vers une page ou un bloc existant. Lorsque vous insérez un élément, ses éléments enfants (et les éléments enfants de ces éléments, s’ils existent) sont également insérés. Dès qu’un élément est inséré dans le document, un losange bleu indiquant son niveau hiérarchique apparaît sur son icône dans le volet Structure ; les éléments qui n’ont pas été insérés dans le document se voient attribuer une icône d’élément non placé.
éléments soient déjà mis en page. Lorsque vous fusionnez du contenu importé, InDesign agence automatiquement les éléments dans les blocs existants s’ils sont structurés et balisés de la même façon. 1 Ouvrez le volet Structure (Affichage > Structure > Afficher la structure) et sélectionnez les éléments à mettre en page. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour chacun des éléments à placer dans le document :
• Faites glisser l’élément vers un bloc existant. Si le bloc contient des données, celles-ci sont remplacées par les données XML. 3 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour mettre en forme les éléments mis en page :
• Appliquez des styles aux éléments. • Sélectionnez du contenu et mettez-le en forme manuellement au moyen des options de mise en forme disponibles dans le panneau Commande.
Les balises XML ne sont ni plus ni moins que des descriptions de données ; elles ne comportent aucune instruction de mise en forme. C’est la raison pour laquelle vous devez mettre en forme le contenu XML importé et mis en page. Pour ce faire, vous pouvez faire correspondre les balises XML avec des styles de paragraphe, de caractère, de tableau ou de cellule. Par exemple, vous pouvez faire correspondre la balise Signature au style de caractère Auteur. Ainsi, tout le contenu XML importé et inséré auquel vous appliquerez la balise Signature se verra automatiquement attribuer le style de caractère Auteur. Lorsque vous faites correspondre les balises avec des styles, la procédure de mise en forme du contenu XML importé devient plus simple et moins fastidieuse. Il n’est pas obligatoire de faire correspondre toutes les balises avec un style de paragraphe ou de caractère. Il peut être plus simple dans certains cas de mettre en forme les éléments un par un ; il se peut également que certains éléments ne soient pas visibles dans la page. En outre, les éléments enfants héritent du style de paragraphe ou de caractère appliqué à l’élément parent, ce qui peut donner des résultats inattendus, auquel cas il est préférable de définir séparément les associations des éléments parents et des éléments enfants. Important : la commande Faire correspondre les balises aux styles a pour effet de réappliquer les styles sur l’ensemble d’un document, ce qui peut donner des résultats imprévus. Lorsque vous faites correspondre une balise avec un style, certaines plages de texte associées à un style spécifique peuvent se voir attribuer un autre style, suivant la balise XML qui leur est appliquée. Si vous avez déjà mis en forme du texte, il peut être préférable d’appliquer les styles manuellement pour éviter que les styles de paragraphe et de caractère que vous avez choisis soient remplacés. 1 Choisissez la commande Faire correspondre les balises aux styles dans le menu du panneau Balises ou Structure.
• Pour associer automatiquement les balises aux styles portant le même nom, cliquez sur le bouton Faire correspondre avec le nom. Les styles portant le même nom que les balises sont sélectionnés dans la colonne Style. On considère que les noms d’une balise et d’un style correspondent s’ils ont la même orthographe, mais aussi la même casse ; par exemple, H1 et h1 sont considérés comme deux noms différents. Si le même nom de style est présent dans deux groupes de styles différents, l’option Faire correspondre avec le nom ne donne aucun résultat et vous êtes invité à renommer l’un des styles. 3 Cliquez sur OK.
« Ajout de styles de paragraphe et de caractère » à la page 192 « Création et chargement des balises XML » à la page 612
Vous pouvez utiliser InDesign pour automatiser le processus d’insertion de contenu XML importé dans une page. Pour ce faire, créez tout d’abord des tableaux ou des blocs de substitution et appliquez-leur des balises portant le même nom que les éléments XML qui leur sont destinés. Ensuite, vous devez importer le contenu XML dans les blocs de substitution en mode fusion. Lorsque InDesign trouve des balises portant le même nom et situées au même niveau hiérarchique, il fusionne le contenu XML et, pour ce faire, remplace le contenu existant présent dans le document. Cette fonction peut vous être utile si vous souhaitez utiliser la même mise en page pour différentes séries de contenus. Par exemple, un bulletin hebdomadaire conserve la même mise en page d’une semaine à l’autre, mais offre du contenu différent à chaque numéro. Pour que les données XML importées puissent être directement fusionnées dans une page, le document doit remplir les conditions suivantes :
éléments du fichier XML que vous prévoyez d’importer.
XML « Liaison du texte » à la page 139 « Balisage d’éléments » à la page 614 « Réorganisation des éléments structurés » à la page 620
On dit que le contenu XML se répète lorsque la même configuration d’éléments apparaît plusieurs fois de suite sur une rangée, chacune des instances contenant des données différentes. Par exemple, les éléments d’une base de données se répètent. Les adresses d’un tableau de données contiennent des informations qui se répètent (nom, adresse postale, ville, code postal) d’un individu à un autre. Lorsque vous importez un contenu XML, vous pouvez sélectionner l’option Dupliquer les éléments de texte répétés dans la boîte de dialogue Options d’importation XML. Vous indiquez ainsi à InDesign de cloner les éléments répétés dans la structure. Le clonage permet de fusionner du contenu XML qui se répète dans un document sans qu’il soit nécessaire de créer des balises d’emplacement dans le volet Structure (ou du texte de substitution dans un bloc) pour chaque enregistrement. Par exemple, pour importer une liste d’adresses XML constituée de 25 entrées, il vous suffit de créer la structure d’éléments correspondant à une entrée dans le volet Structure. Lorsque vous importez la liste complète, InDesign clone cette structure pour créer les éléments correspondant aux 25 entrées. Les données XML qui se répètent sont placées sous la forme d’un article unique lorsque InDesign les fusionne dans le document. Si vous avez lié des blocs de substitution, InDesign répartit les données de bloc en bloc. Si les données XML ne tiennent pas dans les balises d’emplacement qui leur sont réservées, vous pouvez créer des blocs supplémentaires et les relier pour permettre le placement automatique des données restantes ; il n’est pas nécessaire de faire glisser manuellement des éléments à partir du volet Structure vers des blocs individuels.
Créez des blocs (ou des tableaux) de substitution dans votre document si vous souhaitez que InDesign fusionne automatiquement le contenu XML importé dans votre page.
Vous pouvez également créer du texte de substitution pour vous assurer que les données XML seront correctement placées et mises en forme dans la page. Le texte de substitution peut également être utilisé pour insérer des tabulations, des espaces ou des libellés (que l’on appelle « texte statique ») entre les éléments XML qui apparaissent dans un bloc.
A. Retours chariots et texte statique ajoutés entre les éléments B. Texte de réservation « Prix : » devant les segments de texte de substitution correspondant à ces éléments. Lorsque InDesign fusionne les données XML avec le bloc, il conserve les espaces, les tabulations et les étiquettes statiques entre les éléments de contenu. Remarque : lorsque vous fusionnez des données XML qui se répètent dans votre document et que vous utilisez la fonction de clonage des éléments devant se répéter, InDesign clone également le texte statique et les espaces pour chacune des instances de données.
« Blocs de texte liés » à la page 139 « Création et chargement des balises XML » à la page 612 « Réorganisation des éléments structurés » à la page 620 « Balisage d’éléments » à la page 614
1 A l’aide de l’outil Texte, créez un bloc de texte pour le contenu XML.
2 Ouvrez le volet Structure (Affichage > Structure > Afficher la structure) et le panneau Balises (Fenêtre > Balises). 3 Si les balises contenues dans le panneau Balises ne portent pas le même nom que les éléments XML que vous
5 Le cas échéant, insérez de nouveaux éléments ou réorganisez les éléments existants dans le volet Structure pour
Vous pouvez importer des éléments XML dans un bloc de substitution ou dans un tableau de substitution. Dans un tableau, chaque cellule est représentée par un élément. InDesign place le contenu XML dans le tableau cellule par cellule et élément par élément, en commençant par le coin supérieur gauche du tableau et en faisant correspondre l’élément à la cellule balisée. Lorsque vous créez un tableau de substitution, vous devez baliser le tableau et toutes les cellules du tableau (les cellules fusionnées sont considérées comme une seule et même cellule). Comme InDesign ne fait pas la distinction entre les lignes et les colonnes lors de l’importation, le nombre de colonnes dans le tableau de substitution doit correspondre au nombre de colonnes dans le contenu importé. En outre, tous les éléments cellules de tableau doivent être contenus dans un seul élément tableau. En d’autres termes, les cellules sont toutes des éléments de même niveau ayant le même élément parent.
2 Si les balises contenues dans le panneau Balises ne portent pas le même nom que les éléments de tableau XML que
Remarque : vous devez avoir au minimum des balises pour l’élément parent des cellules du tableau, les cellules du tableau et l’élément dans lequel le tableau va résider. 3 Créez un tableau contenant le nombre approprié de colonnes pour le contenu XML. Vous n’avez pas besoin de
4 Après avoir placé le point d’insertion à l’intérieur du tableau, choisissez Tableau > Sélectionner > Tableau et
(par exemple si vous souhaitez baliser la première ligne ou ligne de titre) et appliquer la même balise à toutes les cellules sélectionnées. 6 Le cas échéant, insérez de nouveaux éléments ou réorganisez les éléments existants dans le volet Structure, de telle
Les règles de fusion de contenu XML restent applicables en cas de fusion de contenu XML qui se répète : la structure des éléments définie dans le volet Structure doit refléter la structure du contenu XML importé et les blocs de substitution doivent se voir appliquer les mêmes balises que les éléments parents du fichier XML.
A. Elément devant recevoir tous les éléments répétés B. Elément devant être cloné lors de l’importation du contenu XML qui se répète C. Eléments enfants correspondant aux données contenues dans l’élément devant se répéter
Par exemple, un élément chapitre qui contiendra une série de recettes. 2 Créez sous cet élément parent un élément définissant l’information (ou « enregistrement ») devant se répéter.
3 Créez sous cet élément des éléments enfants définissant les unités d’information (ou « champs ») qui composent
L’importation d’un échantillon de contenu XML est la meilleure manière d’obtenir toutes les balises nécessaires et de s’assurer que la structure du document correspond bien au fichier XML. 4 Créez les blocs de substitution destinés à recevoir le contenu XML (et reliez-les). 5 Activez l’outil Texte, cliquez sur le premier bloc afin de créer un point d’insertion et tapez du texte de substitution
Remarque : si vous prévoyez d’importer des données qui se répètent, vous ne devez créer qu’une seule instance de texte échantillon pour les éléments devant se répéter. 6 Mettez le texte en forme de la manière dont vous voulez qu’il apparaisse dans le document final. 7 Appliquez au bloc de texte la balise de l’élément parent destiné à recevoir les éléments (ou le contenu qui se répète)
8 Placez le point d’insertion dans le texte de substitution et choisissez la commande Edition > Modifier en mode
9 Choisissez Affichage > Structure > Afficher les marques de balises. 10 Choisissez Edition > Tout sélectionner. 11 Dans le panneau Balises, cliquez sur le bouton Ajouter, puis sélectionnez la balise que vous avez appliquée au bloc.
12 Sélectionnez le texte représentant le premier élément enfant, puis cliquez sur sa balise dans le panneau Balises.
Important : lorsque vous balisez du texte de substitution, ne sélectionnez pas le texte statique ou les espaces qui doivent figurer entre les éléments. Balisez uniquement le texte que vous voulez remplacer par du contenu XML. 13 Dans le volet Structure, passez en revue la structure hiérarchique obtenue suite au balisage pour vérifier qu’elle
Vous devez utiliser l’option Fusionner le contenu pour importer du contenu XML dans les balises d’emplacement (ou pour remplacer du contenu dans le document). Lorsque vous fusionnez du contenu, InDesign remplace les éléments du document partageant des balises et une structure communes par les éléments XML importés. Vous pouvez utiliser des options d’importation supplémentaires pour exclure du contenu importé (c’est-à-dire filtré) dont la structure ne respecte pas celle du document, pour supprimer les éléments du document qui diffèrent ou pour remplacer le contenu XML importé et cloner les éléments XML récurrents. Si le fichier XML importé contient des éléments qui ne sont pas présents dans le document, InDesign les place dans le volet Structure sans les mettre en page dans votre document.
• Dans le texte de substitution, assurez-vous que les espacements, les retours, les tabulations et le texte statique sont placés en dehors des balises de l’élément de la balise d’emplacement, mais à l’intérieur de l’élément parent de l’article.
(vous conservez ainsi l’espacement et le texte statique si les éléments XML importés contiennent uniquement des espaces).
1 Ouvrez le document InDesign contenant les blocs de réservation pour le contenu XML. 2 Ouvrez le volet Structure (Affichage > Structure > Afficher la structure). 3 Choisissez la commande Fichier > Importation XML (ou choisissez la commande Importation XML dans le menu
4 Sélectionnez la commande Afficher les options d’importation XML. 5 Sélectionnez la commande Fusionner le contenu et cliquez sur le bouton Ouvrir. 6 Pour lier le contenu XML au fichier XML d’origine, sélectionnez Créer un lien.
7 Sélectionnez au besoin d’autres options d’importation : Cloner les éléments de texte répétés Si vous importez du contenu XML qui se répète, cette option clone un seul élément de balise d’emplacement afin de créer un conteneur pour chaque enregistrement dans le fichier. N’importer que les éléments qui correspondent à la structure Filtre le contenu XML entrant, de sorte que les éléments
Ne pas importer le contenu des éléments blancs Préserve les espacements et le texte statique insérés entre les éléments
Supprimer les éléments, les blocs et le contenu qui ne correspondent pas au fichier XML importé Après l’importation
Créer un lien Lie le contenu au fichier XML de sorte que si le fichier XML est mis à jour, vous pouvez actualiser les
Appliquer XSLT Applique une feuille de style afin de définir la transformation du contenu XML importé. Sélectionnez
Cloner les éléments de texte répétés Reproduit la mise en forme appliquée au texte de réservation balisé pour le contenu qui se répète. Créez une instance de mise en forme (par exemple une adresse), puis réutilisez sa mise en page pour créer d’autres instances automatiquement (voir la section « Traitement des données qui se répètent » à la page 606). N’importer que les éléments qui correspondent à la structure Filtre le contenu XML importé, de sorte que seuls les éléments du fichier XML importé qui correspondent à un élément du document sont importés. Importer les éléments de texte dans des tableaux si les balises correspondent Importe les éléments dans un tableau si les balises correspondent aux balises appliquées au tableau de réservation et à ses cellules. Vous pouvez utiliser cette option pour placer des éléments de base de données dans un tableau, par exemple, lorsque vous créez des listes de tarifs ou des feuilles d’inventaire. Ne pas importer le contenu des éléments blancs Conserve tout contenu existant si le contenu XML correspondant ne contient que des blancs (retour chariot ou tabulation). Utilisez cette option si vous avez inclus du texte entre les éléments de vos blocs de substitution et que vous souhaitez le conserver. Par exemple, lorsque vous mettez en page des recettes provenant d’une base de données, vous pouvez ajouter des étiquettes, comme « Ingrédients » ou « Instructions ». Tant que l’élément parent englobant chaque recette ne contient que des blancs, InDesign garde les étiquettes telles quelles. Supprimer les éléments, les blocs et le contenu qui ne correspondent pas au fichier XML importé Supprime des
Importer des tableaux CALS en tant que tableaux InDesign Importe les tableaux CALS dans le fichier XML comme
• Importez un fichier DTD. • Importez des balises (ainsi qu’un contenu) en utilisant la commande Importation XML.
1 Choisissez la commande Fenêtre > Balises pour afficher le panneau Balises. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Cliquez sur le bouton Nouvelle balise
4 Si vous avez créé la balise à partir du menu du panneau Balises, attribuez-lui une couleur. (Si vous avez créé la balise
Remarque : vous pouvez appliquer une même couleur à plusieurs balises. La couleur sélectionnée apparaît lorsque vous appliquez la balise à un bloc, puis choisissez Affichage > Structure > Afficher les blocs balisés ou lorsque vous l’appliquez au texte d’un bloc, puis choisissez Affichage > Structure > Afficher les marques de balises. (Les couleurs des balises n’apparaissent pas dans le fichier XML exporté.) 5 Cliquez sur OK.
Vous pouvez charger des balises à partir d’un fichier XML, d’un document InDesign ou d’un document InCopy. Remarque : lorsque vous chargez un fichier XML, InDesign ajoute automatiquement les balises au panneau Balises. 1 Choisissez la commande Charger des balises dans le menu du panneau Balises. 2 Sélectionnez le fichier contenant les balises à charger dans le panneau Balises, puis cliquez sur le bouton Ouvrir.
1 Cliquez deux fois sur le nom d’une balise dans le panneau Balises ou choisissez la commande Options de balise dans
2 Modifiez le nom ou la couleur de la balise, puis cliquez sur OK.
Créez (ou chargez) des balises en vue d’identifier chacun des éléments de contenu devant être exportés ou importés. Ensuite, utilisez l’une des méthodes suivantes pour baliser les éléments textuels ou de page : Balisage manuel Sélectionnez un bloc ou une plage de texte, puis cliquez sur une balise dans le panneau Balises, ou
Balisage automatique Sélectionnez un bloc de texte, un tableau, des cellules de tableau ou une image, puis cliquez sur l’icône Balise automatique du panneau Balises. Les éléments sont balisés en fonction des options de balisage définies. Mise en correspondance des balises aux styles Associez des balises à des styles de paragraphe, de caractère, de tableau ou de cellule, puis appliquez automatiquement des balises aux plages de texte, aux tableaux, aux cellules de tableau et aux paragraphes auxquels ces styles ont été attribués.
Titre ou Corps, aux paragraphes de l’article.
élément à l’aide de l’outil Sélection directe
• Vous ne pouvez pas baliser une note de bas de page. Remarque : évitez de baliser les caractères spéciaux, comme le caractère Numéro de page automatique. En cas d’exportation, InDesign supprime certains caractères spéciaux pour garantir la compatibilité avec les normes XML. Si certains caractères ne peuvent pas être encodés en XML, un message d’avertissement vous en informe.
« Utilisation des attributs » à la page 622 « Mise en correspondance des balises aux styles » à la page 604
Utilisez l’une des méthodes suivantes pour baliser des blocs :
• Sélectionnez un bloc à l’aide d’un outil de sélection, puis cliquez sur une balise dans le panneau Balises. Si le bloc appartient à un groupe ou est imbriqué dans un autre bloc, sélectionnez-le à l’aide de l’outil Sélection directe.
• A l’aide d’un outil de sélection, choisissez un bloc de texte ou graphique non balisé, faites-le glisser vers le volet Structure, puis relâchez le bouton de votre souris. Sélectionnez ensuite un nom de balise dans le menu qui apparaît.
Lorsque vous balisez du texte compris dans un cadre, le nouvel élément se présente dans le volet Structure comme un élément enfant de l’élément bloc contenant le texte. 1 Vérifiez que l’article contenant le texte est balisé. (Si vous balisez du texte à l’intérieur d’un article non balisé,
2 Activez l’outil Texte et sélectionnez le texte dans le bloc de texte. 3 Sélectionnez une balise dans le panneau Balises.
L’icône Balise automatique du panneau Balises permet de baliser automatiquement un bloc de texte, un tableau, des cellules de tableau ou une image. Pour baliser un élément, InDesign lui applique la balise par défaut que vous avez spécifiée dans la boîte de dialogue Options prédéfinies de balisage. 1 Sélectionnez le bloc de texte, le tableau, les cellules de tableau ou l’image que vous souhaitez baliser. 2 Dans le panneau Balises, cliquez sur l’icône Balise automatique
Vous pouvez utiliser les styles de paragraphe et de caractère que vous avez appliqués au texte pour baliser les paragraphes et le texte que vous souhaitez convertir au format XML. Par exemple, vous pouvez associer un style de paragraphe appelé Légende à une balise appelée TitreFigure. Il vous suffira ensuite d’utiliser la commande Faire correspondre les styles aux balises pour appliquer la balise TitreFigure à l’ensemble du texte auquel vous avez attribué le style de paragraphe Légende dans le document. Vous pouvez associer plusieurs styles à une même balise. Important : la commande Faire correspondre les styles aux balises balise automatiquement le contenu du document, y compris les paragraphes et les caractères déjà balisés. Par exemple, si vous appliquez la balise Corps à un paragraphe associé au style Contexte, puis que vous associez le style Contexte à la balise Description, le paragraphe voit son balisage modifié ; la balise Corps lui est retirée et la balise Description lui est appliquée. Si vous souhaitez conserver les balises existantes, appliquez les balises manuellement (ou bien utilisez la commande Faire correspondre les styles aux balises avec beaucoup de précautions). 1 Choisissez la commande Faire correspondre les styles aux balises dans le menu du panneau Balises.
XML 3 Pour associer les noms de styles aux noms de balises, cliquez sur l’option Faire correspondre avec le nom. Les styles
4 Pour utiliser les correspondances de styles d’un autre fichier InDesign, cliquez sur le bouton Charger et
5 Activez ou désactivez les options Inclure disponibles : Articles de gabarit Associe les styles appliqués aux blocs de texte du gabarit à des balises. Articles de table de montage Associe les styles appliqués aux blocs de texte de la table de montage à des balises (désactivez cette option pour éviter que le contenu présent sur la table de montage soit balisé). Articles vides Associe les styles appliqués à des blocs de texte vides à des balises (désactivez cette option pour éviter
Remarque : la commande Faire correspondre les styles aux balises ne permet pas de baliser les images. Si vous souhaitez inclure des images dans un fichier XML, vous devez les baliser manuellement.
Lorsque vous balisez un tableau pour le convertir au format XML, vous devez créer un élément tableau, ainsi qu’un élément cellule pour chacune des cellules du tableau. InDesign crée automatiquement les éléments cellules et les définit comme éléments enfants de l’élément tableau. 1 Cliquez dans le tableau et choisissez la commande Tableau > Sélectionner > Tableau. 2 Sélectionnez la balise que vous souhaitez appliquer au tableau dans le panneau Balises.
éléments). La balise appliquée aux éléments cellules de tableau dépend des paramètres Balise automatique par défaut que vous avez définis. 3 Si nécessaire, appliquez une autre balise aux cellules du tableau.
Vous pouvez également baliser un tableau en le sélectionnant, puis en cliquant sur l’icône Balise automatique du panneau Balises. La balise Tableau (ou toute autre balise de votre choix) est immédiatement appliquée au tableau, conformément aux paramètres Balise automatique par défaut que vous avez définis.
Annulez le balisage d’un élément si vous souhaitez supprimer la balise de cet élément, mais conserver le contenu qui lui est associé. 1 Sélectionnez l’élément dans le volet Structure, un élément de page ou un message balisé dans la maquette du
2 Cliquez sur le bouton Enlever dans le panneau Balises.
Modifiez le balisage d’un élément si vous souhaitez remplacer la balise qui lui est appliquée (il n’est pas nécessaire d’annuler le balisage au préalable). Utilisez l’une des méthodes suivantes pour modifier le balisage d’un élément :
Cliquez sur le bouton Modifier du panneau Balises, puis sélectionnez une autre balise.
Cliquez sur le bouton Modifier du panneau Balises, puis sélectionnez une autre balise. (Si vous cliquez sur le bouton Ajouter, puis que vous sélectionnez une autre balise, un nouvel élément enfant s’affiche dans le volet Structure.)
Lorsque vous sélectionnez un bloc de texte, un tableau, des cellules de tableau ou une image, puis que vous cliquez sur l’icône Balise automatique du panneau Balises, InDesign applique une balise par défaut à l’élément sélectionné. Vous pouvez définir ces balises par défaut dans la boîte de dialogue Options prédéfinies de balisage. Remarque : lorsque vous créez un élément qui requiert un élément parent alors qu’il n’en dispose pas encore, InDesign applique une balise par défaut. Par exemple, lorsque vous balisez du texte à l’intérieur d’un bloc de texte qui n’est pas balisé, InDesign applique une balise au bloc en fonction des paramètres de la boîte de dialogue Options prédéfinies de balisage. InDesign applique des balises par défaut aux éléments pour assurer la cohérence de la structure XML. 1 Choisissez la commande Options prédéfinies de balisage dans le menu du panneau Balises. 2 Choisissez la balise qui doit être appliquée par défaut au blocs de texte, aux tableaux, aux cellules de tableau et aux
Si la balise recherchée ne figure pas dans la liste, choisissez la commande Nouvelle balise dans le menu et créez une balise.
Les marques de balises sont des crochets qui délimitent le texte balisé sur la page. Vous pouvez afficher les marques de balises pour identifier les titres, les en-têtes et les autres éléments textuels qui ont été balisés sur la page. Les blocs balisés indiquent l’emplacement des éléments de type bloc de texte, tableau ou image, auxquels une balise a été appliquée. La couleur des marques de balises et des blocs balisés dépend de la couleur associée à la balise qu’ils délimitent dans le panneau Balises. Les marques de balises et les blocs balisés sont visibles uniquement en mode d’affichage Normal.
Pour minimiser les risques de suppression inopinée d’une marque de balise, modifiez le texte balisé en mode éditeur, dans lequel ces marques sont plus visibles.
« Utilisation du mode éditeur » à la page 149 « Utilisation des marques » à la page 337
• Pour supprimer une balise du panneau Balises, faites glisser la balise vers l’icône de suppression
Remarque : il est impossible de supprimer les balises chargées à partir d’un fichier DTD tant que ce fichier n’est pas retiré.
Tous les éléments d’un document auxquels une balise XML a été appliquée s’affichent sous forme hiérarchique dans le volet Structure. On appelle ces éléments des éléments XML. Vous pouvez déplacer les éléments XML dans le volet Structure pour définir l’ordre et la hiérarchie des éléments du document. Un élément XML se compose d’une icône indiquant son type et d’un nom de balise.
Extrait de texte Les 32 premiers caractères d’un texte balisé peuvent s’afficher à droite d’un élément XML. On appelle
Points et attributs Les attributs fournissent des informations de type métadonnées sur un élément. Si un élément XML
• Pour ouvrir le volet Structure, choisissez la commande Affichage > Structure > Afficher la structure. • Pour fermer le volet Structure, choisissez la commande Affichage > Structure > Masquer la structure ou bien cliquez sur le bouton de redimensionnement.
• Pour développer ou réduire un élément ainsi que tous les sous-éléments qu’il contient, maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée lorsque vous cliquez sur le triangle.
XML Représente une cellule dans le corps d’un tableau.
• Pour déplacer un élément, faites-le glisser vers un autre emplacement, à l’intérieur de la structure. Une ligne apparaît lorsque vous le faites glisser. Elle indique l’endroit où vous insérez l’élément. La largeur de la ligne marque le niveau à l’intérieur de la hiérarchie.
Edition > Couper. Sélectionnez l’élément situé directement au-dessus de l’endroit où vous voulez l’insérer, puis choisissez Edition > Coller. Remarque : lorsque vous coupez un élément, cet élément et son contenu sont mis sur la table de montage, mais le bloc reste intact.
« Utilisation de fichiers XML » à la page 744
• Vous ne pouvez pas sélectionner des attributs ou des cellules de tableau.
XML Vous pouvez insérer rapidement un nouvel élément parent en cliquant sur le bouton Ajouter du panneau Balises, puis en sélectionnant une balise dans ce même panneau. Vous pouvez également cliquer sur un élément sélectionné dans le volet Structure avec le bouton droit de la souris (Windows) ou tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS), choisir la commande Nouvel élément parent, puis sélectionner un élément.
Un attribut fournit des informations complémentaires sur un élément XML. Chaque attribut se compose d’un nom et d’une valeur. Les attributs s’affichent dans le volet Structure ; vous ne pouvez pas les insérer dans le document, ni les utiliser comme contenu dans le document. Il peut être utile d’associer des attributs aux éléments des fichiers XML créés dans InDesign pour faciliter le traitement des données lorsque ces fichiers sont utilisés dans d’autres fichiers ou dans d’autres applications. Lorsque vous balisez une image, InDesign crée automatiquement un attribut href dont la valeur indique l’emplacement du fichier d’image sur le disque. Cet attribut href permet de localiser l’image sur le disque (et donc de l’afficher correctement) lorsqu’il est utilisé dans un autre fichier ou dans une autre application.
Si vous utilisez un fichier DTD, vous pouvez consulter son contenu pour savoir quels attributs sont autorisés. Les noms d’attributs, comme les noms de balises, doivent respecter les spécifications du fichier DTD. Remarque : InDesign reconnaît les attributs d’espaces spéciaux qui définissent les styles de paragraphe, de caractère, de tableau et de cellule de tableau, et contrôlent les espaces. Pour plus de détails, reportez-vous à la référence technique XML et aux documents disponibles aux adresses www.adobe.com/go/learn_id_XMLscript_fr.
« Exportation de contenu XML » à la page 627
Pour afficher ou masquer les attributs dans le volet Structure ❖ Choisissez Afficher les attributs ou Masquer les attributs dans le menu du volet Structure.
1 Sélectionnez un attribut dans le volet Structure. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
InDesign crée automatiquement des attributs href pour le traitement des fichiers d’image. L’attribut href définit l’emplacement du fichier d’image sur le disque, de sorte que l’image s’affiche correctement. Lorsque vous balisez une image insérée, InDesign crée une valeur d’attribut href indiquant le chemin d’accès et le nom du fichier de l’image. Le chemin d’accès peut être un lien absolu, ou bien un lien relatif vers le dossier contenant le fichier XML ou le sousdossier Images de ce dossier. Les chemins relatifs sont définis par rapport au répertoire dans lequel le document est enregistré.
2 Dans la zone Valeur, entrez le nouveau chemin d’accès à l’image, puis cliquez sur le bouton OK.
InDesign vous permet d’insérer des commentaires et des instructions de traitement dans un fichier XML. Insérez un commentaire pour ajouter un descriptif de l’élément. Les commentaires peuvent être consultés au moyen d’un navigateur Web ou d’un éditeur de texte. Ils permettent aux autres utilisateurs de comprendre la structure et les balises XML. Une instruction de traitement est une commande spéciale propre à l’application. Vous pouvez par exemple entrer des instructions de traitement de type saut de page pour faire en sorte que l’application vers laquelle le fichier XML sera exporté insère les sauts de page aux emplacements adéquats. Les instructions de traitement définies par l’utilisateur dans InDesign sont destinées à des applications tierces ; InDesign n’interprète pas les instructions de traitement. Les commentaires et les instructions de traitement s’affichent dans le volet Structure. Il est possible de les déplacer, de les modifier ou de les supprimer comme tout autre élément répertorié dans le volet Structure. Ils ne peuvent cependant pas contenir de sous-éléments ou d’attributs.
1 Sélectionnez l’élément auquel vous souhaitez associer un commentaire.
2 Choisissez Nouveau commentaire dans le menu du volet Structure. 3 Entrez le commentaire dans la boîte de dialogue Nouveau commentaire.
1 Sélectionnez l’élément auquel vous souhaitez associer une instruction de traitement.
2 Choisissez Nouvelle instruction de traitement dans le menu du volet Structure. 3 Dans la zone Cible, entrez un nom qui identifie l’instruction de traitement pour l’application chargée de lire les
4 Dans la zone Données, entrez une valeur qui indique à l’application comment procéder avec l’instruction.
❖ Choisissez Afficher les commentaires ou Afficher les instructions de traitement dans le menu du volet Structure.
1 Sélectionnez le commentaire ou l’instruction de traitement. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Choisissez la commande Modifier dans le menu du volet Structure. 3 Modifiez le commentaire ou l’instruction de traitement, puis cliquez sur le bouton OK.
Remarque : lorsque vous chargez un fichier DTD, des noms de balises sont importés dans le panneau Balises. Ces noms de balises importés sont verrouillés ; vous ne pouvez ni les supprimer ni les renommer tant que vous n’avez pas retiré le fichier DTD du document. Lorsque vous chargez un fichier DTD dans votre document, l’élément DOCTYPE apparaît au premier niveau du volet Structure. (L’importation d’un fichier XML peut entraîner le chargement automatique de fichiers DTD dans votre document.) Pour remplacer le fichier DTD chargé dans votre document, supprimez le fichier DTD existant et chargez un autre fichier DTD.
• Choisissez la commande Charger le fichier DTD dans le menu du panneau Balises. 2 Sélectionnez un fichier DTD, puis cliquez sur Ouvrir.
Pour imprimer un fichier DTD, copiez son code depuis la fenêtre Afficher le fichier DTD, puis collez-le dans un éditeur de texte.
❖ Dans le menu du volet Structure, choisissez Supprimer le fichier DTD.
Les balises importées avec le fichier DTD sont déverrouillées dans le panneau Balises.
2 Dans le volet Structure, cliquez sur le bouton de validation .
3 Pour corriger les erreurs affichées dans le panneau Suggestion, cliquez sur une solution pour l’essayer ou modifiez
4 Pour afficher les autres erreurs, effectuez les opérations suivantes :
• Cliquez sur le bouton de la fenêtre d’erreur
Remarque : InDesign cesse toute validation au-delà de 250 erreurs. Un signe plus (+) apparaît dans la case du nombre d’erreurs lorsque la limite est atteinte.
• Application de balises aux éléments des pages du document. • Ajustement de la hiérarchie des éléments balisés dans le volet Structure, le cas échéant. Vous pouvez exporter tout ou partie du contenu XML dans votre document. Seul le contenu balisé peut être exporté. Important : si vous exportez un document contenant des tableaux, vous devez baliser les tableaux. Autrement, InDesign ne les exporte pas. 1 Si vous ne souhaitez exporter qu’une partie du document, sélectionnez l’élément dans le volet Structure à partir
Afficher XML avec Ouvre le fichier exporté dans un navigateur, un éditeur XML ou un éditeur de texte. Choisissez un navigateur ou une application dans la liste. Exporter depuis l’élément sélectionné Lance l’exportation depuis l’élément sélectionné dans le volet Structure. Cette
Exporter des tableaux non balisés en tant que CALS XML Exporte les tableaux non balisés au format CALS XML. Un tableau ne doit comporter aucune balise et être placé dans un bloc balisé pour pouvoir être exporté. Réassocier saut, espace et caractères spéciaux Exporte les sauts, les espaces et les caractères spéciaux comme entités
Appliquer XSLT Applique une feuille de style afin de définir la transformation du contenu XML exporté, par exemple
6 Choisissez un type de codage dans le menu Codage. 7 Pour définir les options d’exportation pour les images, cliquez sur l’onglet Images, puis sélectionnez une ou
Images originales Place une copie des fichiers d’images originales dans un sous-dossier Images. Images optimisées originales Optimise et compresse les fichiers d’images originales et place leurs copies dans un sous-
Images optimisées mises en forme Optimise les fichiers d’images originaux contenant une transformation appliquée
Images. 8 Si vous avez sélectionné Images originales optimisées ou Images optimisées mises en forme à l’étape précédente,
9 Cliquez sur Exporter.
« Création et chargement des balises XML » à la page 612 « Balisage de contenu pour la conversion au format XML » à la page 612 « Réorganisation des éléments structurés » à la page 620
Options GIF Indiquez la mise en forme pour les images converties au format GIF lorsque vous les exportez au
Options JPEG Indiquez la mise en forme pour les images converties au format JPEG lorsque vous les exportez au format XML. Vous pouvez définir les options suivantes :
• Méthode de mise en forme Indique la manière dont l’image JPEG est mise en forme pour le téléchargement. L’option Ligne de base télécharge l’image de qualité finale en un seul passage pour que le fichier s’affiche directement à sa qualité finale. Cette mise en forme peut prendre plus longtemps à télécharger qu’une image mise en forme progressivement. L’option Progressive télécharge l’image au cours d’une série de passage. Le premier passage se fait à basse résolution et la résolution augmente à chaque passage, jusqu’à de que la qualité finale soit obtenue.
1 Choisissez la commande Enregistrer les balises dans le menu du panneau Balises. 2 Indiquez un nom et un emplacement, puis cliquez sur le bouton Enregistrer.
Utilisez l’une des méthodes suivantes pour modifier un fichier XML créé et exporté au moyen de InDesign.
• Pour effectuer les modifications dans le document source, ouvrez le fichier InDesign à partir duquel le contenu XML a été exporté. Après avoir modifié le contenu dans InDesign, vous pouvez le réexporter au format XML. Spécifiez le nom du fichier d’origine si vous souhaitez remplacer ce fichier.
Types d’impression Lors de l’impression d’un fichier, Adobe InDesign CS4 l’envoie vers un périphérique d’impression soit pour l’imprimer directement sur papier ou sur une presse d’impression numérique, soit pour le convertir sur film en image positive ou négative. Le film permet alors de créer une planche maîtresse pour l’impression du document sur presse commerciale. Types d’images Les types d’images les plus simples, comme le texte, n’utilisent qu’une seule couleur dans un seul niveau de gris. Les images plus complexes présentent des variations de teintes. On parle alors d’images à tons continus. Une photographie est un exemple d’image à tons continus. Simili Pour simuler des tons continus, les images sont décomposées en une série de points. Ce processus s’appelle le simili. Les variations de taille et de densité des points d’une trame de simili donnent l’illusion optique de différents niveaux de gris ou de différents tons continus au sein de l’image imprimée. Séparation des couleurs Les illustrations destinées à la diffusion commerciale et contenant plusieurs couleurs doivent être imprimées sur des plaques distinctes, une pour chaque couleur. Ce processus s’appelle la séparation des couleurs. Précision du détail Le détail d’une image imprimée est le fruit d’un équilibre entre la résolution et la linéature. Plus la résolution du périphérique de sortie est élevée, et plus la linéature est fine (élevée). Impression recto-verso Pour accéder aux fonctionnalités spécifiques à une imprimante (comme l’impression recto-verso), cliquez sur le bouton Imprimante de la boîte de dialogue d’impression. L’impression recto-verso est disponible uniquement si l’imprimante prend en charge cette fonctionnalité. Pour plus de détails sur l’impression recto-verso, reportez-vous à la documentation de l’imprimante.
Pour plus de détails sur l’impression, rendez-vous sur le site Adobe Print Resource Center à l’adresse suivante : www.adobe.com/go/print_resource_fr. Pour obtenir des solutions à vos problèmes d’impression, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/learn_id_printtrouble_fr.
« A propos des paramètres d’aplatissement des transparences prédéfinis » à la page 458 « Spécification de la résolution et de la linéature des trames de demi-teintes » à la page 683 Adobe Print Resource Center
1 Vérifiez que le pilote d’impression et le fichier PPD appropriés sont installés sur votre ordinateur. 2 Ouvrez la boîte de dialogue Imprimer :
Imprimer Livre dans le menu de ce panneau pour imprimer tous les documents d’un livre.
3 Spécifiez l’imprimante que vous utilisez dans le menu Imprimante. Si les paramètres prédéfinis d’impression vous
4 Dans la zone Général, saisissez le nombre de copies à imprimer, choisissez l’impression de copies assemblées ou
Remarque : l’option Etendue n’est pas disponible si vous imprimez un livre. 5 Indiquez si vous voulez imprimer les objets non imprimables, les pages vides, les grilles de ligne de base et les
6 Modifiez les paramètres de chaque zone de la boîte de dialogue Imprimer selon vos besoins. 7 Cliquez sur Imprimer.
« Utilisation d’impressions prédéfinies » à la page 640 « Spécification de la taille de papier et de l’orientation de la page » à la page 633 Adobe Print Resource Center
Impression de pages à l’aide d’un trait d’union et plusieurs pages ou étendues de pages à l’aide de virgules ou d’espaces (voir la section « Spécification des pages à imprimer » à la page 633). Séquence Choisissez Toutes les pages pour imprimer l’ensemble des pages d’un document. Choisissez Pages paires ou Pages impaires pour imprimer uniquement les pages d’un groupe spécifique. Ces options ne sont pas disponibles lorsque vous utilisez les options Planches ou Imprimer les gabarits. Planches Imprime les pages de manière solidaire comme si elles étaient liées ou imprimées sur la même feuille. Vous
Imprimer. Vous pouvez également spécifier une orientation paysage. Remarque : si des styles de recouvrement différents sont appliqués aux pages de la planche, InDesign résout les problèmes de différences. Imprimer les gabarits Imprime tous les gabarits et non les pages du document. Sélectionnez cette option pour rendre l’option Pages non disponible.
Impression Imprimer le livret pour l’impression d’une épreuve composite, utilisez l’option Imprimer les planches vides pour imprimer les planches vides ajoutées de façon à remplir les signatures de l’épreuve composite. Imprimer les grilles de ligne de base et repères visibles Imprime les grilles de ligne et les repères visibles dans la même
Cette option n’est pas disponible lorsque vous imprimez des séparations.
Vous pouvez spécifier une étendue de pages à l’aide d’une numérotation absolue (la position de la page dans le document) ou d’une numérotation de page ou de section (les numéros de section et de page attribués à la page). Par défaut, les boîtes de dialogue d’InDesign respectent le format spécifié pour la numérotation des pages dans la boîte de dialogue Préférences.
Etendue de la boîte de dialogue Imprimer.
Par exemple, si la page intitulée SecA:5 correspond à la quinzième page du document, vous pouvez l’imprimer en entrant « SecA:5 » dans la boîte de dialogue Imprimer ou en entrant « +15 ». Le signe « + » indique que vous voulez utiliser la numérotation de section et de page plutôt que la numérotation absolue. Si vous ne savez pas quel format utiliser pour indiquer les numéros de pages, copiez le format qui s’affiche au bas de la fenêtre du document.
Il est important de bien distinguer le format de page (défini dans la boîte de dialogue Format de document) et le format du papier (qui est la feuille de papier, la partie du film ou la zone de la plaque d’impression utilisée). Il se peut que le format de page soit Lettre US (216 par 279 millimètres), mais que vous ayez besoin d’imprimer sur une surface de papier ou de film plus grande pour accueillir les repères de l’imprimante ou les zones de fond perdu ou de ligne-bloc. La liste des formats de papier disponibles dans InDesign est fournie dans le fichier PPD (imprimantes PostScript) ou dans le pilote d’impression (imprimantes non PostScript). Si l’imprimante et le PPD choisis pour l’impression PostScript prennent en charge les formats de papier personnalisés, l’option Personnalisé dans le menu Format du papier s’affiche. La plupart des photocomposeuses peuvent accueillir des formats de papier normaux, comme les formats lettre ou tabloïd, ainsi que les orientations transversales, pour lesquelles le format de page normal est pivoté de 90° lors de l’impression. Avec une photocomposeuse, l’orientation transversale est souvent plus efficace.
Impression Si vous changez le format de page (de A4 à B5, par exemple), le document est automatiquement remis à l’échelle dans la fenêtre d’aperçu. Cette fenêtre affiche l’intégralité de la surface imprimable de la page sélectionnée ; toute modification de format d’aperçu entraîne une remise à l’échelle de la surface afin d’inclure la zone imprimable. Remarque : pour un même format de papier (A4, par exemple), la zone imprimable varie selon le fichier PPD, car chaque imprimante ou photocomposeuse gère différemment le format de la zone imprimable.
« Spécification des repères de l’imprimante » à la page 641 « Sélection d’un fichier PPD » à la page 639
1 Choisissez Fichier > Imprimer. 2 Dans la boîte de dialogue Imprimer, choisissez une option dans le menu Format du papier de la zone Format.
3 Cliquez sur le bouton Orientation pour faire pivoter le document sur le support.
Impression L’option de personnalisation est uniquement disponible dans InDesign si le PPD choisi prend en charge les formats de papier personnalisés. Le plus grand format de papier personnalisé que vous puissiez spécifier dépend de la zone imprimable maximale de votre photocomposeuse. Pour plus de détails, consultez la documentation de votre imprimante. Remarque : les options de formats de papier personnalisés pour les imprimantes non PostScript ne sont pas accessibles dans la boîte de dialogue d’impression d’InDesign. Pour définir les fonctionnalités spécifiques à une imprimante, cliquez sur Configurer (Windows), Imprimante ou Format d’impression (Mac OS), dans la boîte de dialogue Imprimer d’InDesign. Pour plus de détails, consultez la documentation du pilote de votre imprimante non PostScript. 1 Choisissez Fichier > Imprimer. 2 Si vous imprimez un fichier PostScript, choisissez PostScript comme option d’imprimante dans la zone Général de
3 Dans le menu Format du papier de la zone Format de la boîte de dialogue Imprimer, choisissez Personnalisé.
4 Pour spécifier la hauteur et la largeur, utilisez l’une des méthodes suivantes :
L’option par défaut, Automatique, est également utile si le livre contient des pages de différents formats et si vous imprimez sur un support continu, comme une bobine de film ou du papier photosensible.
Impression Cette valeur correspond à l’espace supplémentaire situé à gauche de la zone imprimable. Par exemple, un décalage de 30 points déplace la surface imprimable de 30 points vers la droite. 6 Pour faire pivoter le contenu de la page et du support, sélectionnez Transversal, puis cliquez sur Imprimer.
Décalage. Comparez les exemples suivants d’une image imprimée dans InDesign avec l’option Transversal sélectionnée et désélectionnée.
2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Choisissez Fichier > Exporter, activez l’option Adobe PDF et cliquez sur Enregistrer. Dans la partie gauche de la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF, cliquez sur Général. 3 Dans le menu Imprimer les calques ou Exporter les calques, choisissez les calques à imprimer ou à inclure dans
Tous les calques Imprime tous les calques du document, même s’ils sont masqués ou définis comme non imprimables. Calques visibles Imprime tous les calques visibles, même s’ils sont définis comme non imprimables dans Options de
Calques visibles et imprimables Imprime uniquement les calques définis comme visibles et imprimables. Certains distributeurs de logiciels ajoutent des fonctionnalités de langage PostScript à des imprimantes non PostScript. Vérifiez auprès de votre distributeur la disponibilité et la compatibilité de ces fonctionnalités.
Lorsque vous imprimez sur une imprimante non PostScript, vous pouvez choisir de pixelliser toutes les illustrations pendant l’impression. Cette option est utile lors de l’impression de documents contenant des objets complexes (tels que des objets avec des ombres lissées ou des dégradés) car elle diminue le risque d’erreur. 1 Choisissez Fichier > Imprimer. 2 Sélectionnez l’option Avancé dans la partie gauche de la boîte de dialogue Imprimer. 3 Sélectionnez l’option Bitmap.
Windows, les fonctionnalités graphiques et couleurs haut de gamme peuvent ne pas être converties correctement si cette option n’est pas activée. 4 Indiquez la résolution de l’impression au format bitmap.
Il est possible de visualiser les proportions des pages d’un document sur un format de papier défini avant l’impression sur une imprimante PostScript. La zone inférieure gauche de la boîte de dialogue d’impression offre un aperçu et permet de confirmer les paramètres d’orientation et de format de papier. Lorsque vous sélectionnez différentes options dans la boîte de dialogue Imprimer, l’aperçu se met instantanément à jour ainsi que les effets associés aux paramètres d’impression. 1 Choisissez Fichier > Imprimer. 2 Cliquez sur la zone d’aperçu dans la zone inférieure gauche de la boîte de dialogue d’impression.
Standard Affiche le rapport entre une page de document et le support. L’aperçu montre également les effets de
fonction du format de la page. En ce qui concerne les formats de page, l’aperçu affiche les proportions du support en fonction du périphérique de sortie personnalisé, les dimensions maximales du support prises en charge par le périphérique de sortie et les paramètres de décalage, d’espacement et de transversale. En ce qui concerne les feuilles séparées, comme les lettres et les tabloïds, l’aperçu présente le rapport entre la zone imprimable et le format du support. Dans les aperçus de pages personnalisées et de feuilles séparées, le mode de sortie est également précisé à l’aide d’une des icônes suivantes : Séparations , Gris composite , CMJN composite ou RVB composite .
Pour plus de détails sur les pilotes d’impression PostScript recommandés et pris en charge, y compris les instructions d’installation, consultez la section relative aux pilotes d’impression Adobe sur le site Web d’Adobe.
Les pilotes d’impression peuvent prendre en charge des fonctions non incluses dans InDesign, telles que l’impression double-ton. Ces fonctions ne sont pas prises en charge par tous les pilotes d’impression. Contactez le fabricant de votre imprimante pour de plus amples informations. Pour spécifier les paramètres d’une imprimante particulière, utilisez les boutons suivants de la boîte de dialogue Imprimer d’InDesign (si vous choisissez d’imprimer vers un fichier PostScript, ces options ne sont pas disponibles). Configurer Sous Windows, ce bouton ouvre la boîte de dialogue Imprimer de Windows. Mise en page Sous Mac OS, ce bouton affiche la boîte de dialogue Format d’impression standard de Mac OS. Imprimer Sous Mac OS, ce bouton permet d’afficher la boîte de dialogue d’impression standard du système.
Imprimer. Vous pouvez en choisir un différent selon vos besoins. Les applications utilisent les informations du fichier PPD pour déterminer les informations PostScript à envoyer à l’imprimante lors de l’impression d’un document.
Impression ❖ Sous Windows et Mac OS, la sélection d’un fichier PPD est similaire à l’ajout d’une imprimante. Les étapes
Si vous utilisez régulièrement différents types de travaux ou imprimantes, vous pouvez automatiser les travaux d’impression en enregistrant tous les paramètres de sortie comme impressions prédéfinies. L’utilisation d’impressions prédéfinies est une manière fiable et rapide d’imprimer des travaux nécessitant des paramètres précis et constants pour de nombreuses options de la boîte de dialogue Imprimer. Vous pouvez enregistrer et charger des impressions prédéfinies, ce qui facilite leur sauvegarde ou leur mise à disposition à vos prestataires de services, vos clients ou d’autres personnes de votre groupe de travail. Vous pouvez créer et réviser les impressions prédéfinies dans la boîte de dialogue Impressions prédéfinies.
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
3 Cliquez sur Imprimer.
à déterminer où rogner le papier, à aligner les films de séparation lors de la production d’épreuves, mesurer le film pour un étalonnage et une densité de points corrects. En sélectionnant une option de repère de page, vous agrandissez les limites de la page de façon à prendre en compte les repères de l’imprimante, le fond perdu (les parties du texte ou les objets qui s’étendent au-delà des limites de la page après le rognage) ou les lignes-bloc (zone hors page et fonds perdus contenant les instructions de l’imprimante ou les informations du projet). Si vous définissez les traits de coupe et que vous voulez inclure un fond perdu ou une ligne-bloc à l’illustration, veillez à étendre cette dernière au-delà des traits de coupe pour accueillir le fond perdu ou la ligne-bloc. Veillez également à ce que le support soit suffisamment grand pour contenir la page et les repères de l’imprimante, les fonds perdus et les lignes-bloc. Si ce n’est pas le cas, utilisez l’option Position de la page de la zone Format de la boîte de dialogue d’impression pour contrôler l’emplacement d’écrêtage des éléments.
Fond perdu et ligne-bloc de la zone Repères et fond perdu. Les fichiers enregistrés au format PostScript permettent aux programmes de traitement d’images de mettre en place leur propre variable de fond perdu. 1 Choisissez Fichier > Imprimer. 2 Cliquez sur l’option Repères et fonds perdus dans la partie gauche de la boîte de dialogue Imprimer. 3 Sélectionnez l’option Tous les repères d’impression ou sélectionnez des repères individuels. 4 Pour remplacer les paramètres de fond perdu dans la boîte de dialogue Format de document, désactivez la case
équivalent) dans les champs De tête, De pied, Gauche et Droite (pour les documents recto) ou De tête, De pied, Petit fond et Grand fond (pour les documents recto-verso avec des pages en vis-à-vis). Pour étendre le décalage de façon égale sur tous les côtés de la page, cliquez sur l’icône Uniformiser tous les paramètres . 5 Cliquez sur Inclure la zone de ligne-bloc pour imprimer les objets à l’aide de la zone de ligne-bloc définie dans la
Pour prévisualiser les zones de fond perdu et de ligne-bloc avant l’impression, cliquez sur l’icône Mode Fond perdu ou Mode Ligne-bloc au bas du panneau Outils. Ces icônes peuvent être masquées par l’icône de mode d’aperçu
Traits de coupe Ajoute des repères fins horizontaux et verticaux (filets) qui définissent l’emplacement où la page doit être rognée. Les traits de coupe peuvent aussi être utiles pour effectuer le repérage (alignement) des différentes séparations. Si vous les utilisez avec les repères de fond perdu, vous pouvez sélectionner des repères qui se chevauchent. Repères de fond perdu Ajoute des repères fins (filets) qui définissent la quantité de zone supplémentaire pour l’image en dehors de la taille de page définie. Repères de montage Ajoute des petites « cibles » en dehors de la page pour aligner les différentes séparations d’un
Gammes de couleurs Ajoute des petits carrés de couleur représentant les encres CMJN et les niveaux de gris (par
Informations sur la page Imprime le nom du fichier, le numéro de la page, la date et l’heure actuelles, ainsi que le nom
Epaisseur Affiche les épaisseurs possibles des lignes de traits de coupe et de repères de fond perdu. Décalage Spécifie la distance qui sépare les repères d’impression du bord de la page (et non du fond perdu). Par défaut,
Si vous imprimez un document avec un format de support de feuille supérieur au format de document, utilisez l’option Position de la page de la zone Format de la boîte de dialogue Imprimer pour contrôler l’emplacement des fonds perdus, des lignes-bloc, des repères de l’imprimante et de l’étendue de la page sur le support. Si le document n’est pas adapté au support et doit subir un rognage, définissez la partie du document à rogner. Le résultat s’affiche dans l’aperçu de la boîte de dialogue d’impression. Remarque : pour afficher les fonds perdus, les lignes-bloc et les repères de l’imprimante, il est préférable d’utiliser l’option Ajuster au lieu de l’option Position de la page. En outre, les pages mises à l’échelle sont toujours centrées. L’option Position de la page n’est pas disponible si l’option Ajuster, Vignettes ou Mosaïque est sélectionnée. ❖ Choisissez une option dans le menu Position de la page de la zone Format de la boîte de dialogue Imprimer.
Impression de vignettes Pour faire tenir plusieurs pages sur une seule page, créez des vignettes (petites versions de prévisualisation de votre document) que vous pouvez utiliser pour vérifier le contenu et la présentation. Si nécessaire, InDesign modifie automatiquement l’orientation du papier afin d’ajuster au mieux la page au papier. Cependant, vous devrez réinitialiser l’orientation d’origine si vous désélectionnez l’option Vignettes. Remarque : lorsque vous imprimez des vignettes, les repères d’impression et autres éléments des zones de fond perdu ou de ligne-bloc sont exclus. 1 Dans la zone Format de la boîte de dialogue Imprimer, sélectionnez Vignettes. 2 Dans le menu, choisissez le nombre de vignettes par page.
Les documents créés dans InDesign peuvent atteindre des dimensions de 5 mètres de côté ; or, la plupart des imprimantes de bureau ne peuvent pas imprimer des pages d’une telle dimension. Pour imprimer un document de grande taille sur une imprimante de bureau, vous devez imprimer les éléments (ou mosaïques) de chacune des pages du document un par un, puis les rogner et les réassembler. Vous pouvez également mettre à l’échelle le document pour l’adapter au format du papier utilisé.
Impression Etant donné que les dimensions d’un document ne correspondent pas toujours au format de papier utilisé pour l’impression, InDesign divise le document de grande taille en un ou plusieurs rectangles (ou mosaïques) adaptés au format de page de l’imprimante. Vous pouvez ensuite réassembler les sections juxtaposées. La juxtaposition d’un document dans InDesign peut être manuelle ou automatique. La juxtaposition vous permet de contrôler manuellement le point d’origine du coin supérieur gauche de la mosaïque et de déterminer l’étendue de la page sur le papier.
1 Choisissez Fichier > Imprimer. 2 Dans la zone Format de la boîte de dialogue Imprimer, sélectionnez Mosaïque. 3 Dans le menu Mosaïque, choisissez l’une des options suivantes : Automatique Calcule automatique le nombre de mosaïques nécessaires, chevauchement inclus. Justification automatique Augmente le chevauchement (le cas échéant) de sorte que le côté droit des mosaïques les
4 Dans Chevauchement, entrez les informations minimales en double que vous souhaitez imprimer sur chaque
La valeur doit être supérieure à celle des marges minimales non imprimables. Vous pouvez spécifier jusqu’à la moitié de la hauteur du plus petit côté de la page de document à chevaucher. Par exemple, le chevauchement de mosaïques d’une page mesurant environ 2,5 par 4,5 cm peut atteindre 14 cm.
Contrairement à la juxtaposition automatique d’un document, qui imprime toutes les mosaïques à la fois, la juxtaposition manuelle requiert que vous imprimiez chaque mosaïque séparément. 1 Si nécessaire, choisissez Affichage > Afficher les règles. 2 Faites glisser l’intersection des règles pour restaurer l’origine dans le coin supérieur gauche de la mosaïque à
Mise à l’échelle de documents Pour ajuster un document de grande taille sur une feuille de papier plus petite, vous pouvez mettre à l’échelle la largeur et la hauteur du document, de manière symétrique ou asymétrique. La mise à l’échelle asymétrique est utile lorsque, par exemple, vous imprimez un film destiné à être utilisé sur une presse flexographique : si vous savez quel côté de la plaque sera monté sur la table, la mise à l’échelle peut compenser l’allongement de la plaque de 2 à 3 %. La mise à l’échelle n’a aucun effet sur le format des pages du document. Remarque : lorsque vous imprimez des planches, chacune d’entre elles est mise à l’échelle séparément.
1 Choisissez Fichier > Imprimer. 2 Pour activer les cases Largeur et Hauteur, dans la zone Format de la boîte de dialogue Imprimer, sélectionnez
3 Pour conserver les dimensions actuelles du document, sélectionnez Conserver les proportions. Dans le cas
4 Dans les zones Largeur et Hauteur, entrez des pourcentages compris entre 1 et 1 000. Si vous sélectionnez l’option
1 Dans la zone Format de la boîte de dialogue Imprimer, vérifiez que les options Mosaïque et Vignettes sont
2 Sélectionnez l’option Ajuster. Le pourcentage de mise à l’échelle s’affiche en regard de l’option Ajuster. Il est
Options d’impression des graphiques Dans la zone Graphiques de la boîte de dialogue Imprimer, choisissez l’une des options suivantes pour spécifier la méthode de gestion des graphiques lors de l’impression. Envoi des données Contrôle la quantité de données des images bitmap importées à envoyer vers l’imprimante ou le
Toutes Envoie les données de résolution maximale. Utilisez cette option pour une impression haute résolution ou un impression d’images en niveaux de gris ou en couleurs présentant un niveau de contraste élevé, comme c’est le cas du texte noir et blanc avec un ton direct. Cette option exige un espace disque important. Echantillonnage optimisé Envoie la quantité optimale de données d’image pour imprimer l’image à une résolution
réduisant ainsi le temps d’impression. Les dimensions des blocs d’image étant les mêmes que celles des images ou des masques importés, vous pouvez toujours vérifier le positionnement et le format. Le fait de ne pas imprimer les images importées se révèle utile lorsque vous devez distribuer des épreuves de texte aux préparateurs de texte ou aux correcteurs d’épreuves. L’impression sans images est également utile lorsque vous tentez d’isoler la cause d’un problème d’impression.
Les polices résidant sur l’imprimante sont stockées dans la mémoire de l’imprimante ou sur le disque dur connecté à celle-ci. Contrairement aux polices bitmap qui sont uniquement stockées dans l’ordinateur, les polices Type 1 et TrueType peuvent l’être soit sur l’imprimante, soit sur l’ordinateur. InDesign télécharge les polices si nécessaire, à condition qu’elles soient installées sur le disque dur de votre ordinateur. Pour déterminer la façon dont les polices sont téléchargées sur l’imprimante, choisissez l’une des options suivantes dans la zone Graphiques de la boîte de dialogue Imprimer. Aucune Inclut une référence à la police dans le fichier PostScript indiquant au processeur RIP ou au processeur de post-traitement l’emplacement d’intégration de la police. Utilisez cette option si les polices résident sur l’imprimante. Les polices TrueType sont nommées en fonction du nom PostScript de la police et les applications ne sont pas toutes en mesure d’interpréter ces noms. Pour une interprétation correcte de ces polices TrueType, utilisez une autre option de téléchargement des polices. Complet Télécharge toutes les polices nécessaires au document au début du travail d’impression. Tous les glyphes et caractères de la police sont inclus, même s’ils ne sont pas utilisés dans le document. InDesign organise automatiquement en jeux partiels les polices contenant plus de glyphes (caractères) que le nombre maximum spécifié dans la boîte de dialogue Préférences. Jeu partiel Télécharge uniquement les caractères (glyphes) utilisés dans le document. Les glyphes sont téléchargés une fois par page. Cette option permet généralement d’obtenir des fichiers plus petits et plus rapides si elle est utilisée avec des documents page simple ou avec des documents contenant peu de texte. Télécharger les polices PPD Télécharge toutes les polices du document, même si celles-ci résident sur l’imprimante. Utilisez cette option pour garantir qu’InDesign utilise les contours de polices de votre ordinateur pour imprimer des polices usuelles, telles que Helvetica et Times. Cette option permet également de résoudre des problèmes de versions de polices, comme les discordances de jeux de caractères entre l’ordinateur et l’imprimante ou les variations de contours dans le recouvrement. Cependant, à moins d’utiliser des jeux de caractères étendus, il n’est pas nécessaire de sélectionner cette option pour imprimer des brouillons sur une imprimante de bureau.
« A propos des préférences et des paramètres par défaut » à la page 38
Impression Remarque : InDesign est parfois incapable de modifier le format de données utilisé par les fichiers graphiques EPS ou DCS. Si l’envoi de données en mode binaire pose problème, essayez de modifier le format des données des graphiques EPS ou DCS dans l’application source.
Les options OPI de la zone Avancé permettent d’ignorer de manière sélective plusieurs types d’images importées lors de l’envoi de données d’image vers une imprimante ou un fichier, laissant ensuite un serveur OPI se charger des liens (commentaires) OPI. Substitution d’images OPI Active le remplacement par InDesign de doublures EPS basse résolution par des images
Ignorer pour OPI Permet d’ignorer de manière sélective différents types d’images importées (EPS, PDF et bitmap) lors de l’envoi des données d’image vers un fichier ou une imprimante, laissant un serveur OPI se charger ultérieurement des liens OPI (commentaires) uniquement. Les commentaires contiennent les informations requises pour localiser une image haute-résolution sur un serveur OPI. InDesign inclut uniquement les commentaires. Le prestataire de services doit avoir accès aux images haute résolution d’origine placées sur un serveur au moment du remplacement. L’option Ignorer pour OPI ne s’applique pas aux images incorporées.
« Options d’importation de graphiques » à la page 383
Utilisation de la gestion des couleurs lors de l’impression Lorsque vous imprimez un document avec gestion des couleurs, vous pouvez spécifier des options supplémentaires pour faire en sorte que les couleurs soient correctes à l’impression. Supposons, par exemple, que votre document contienne un profil adapté à un travail de prépresse et que vous vouliez contrôler les couleurs du document sur une imprimante de bureau. Dans la boîte de dialogue Imprimer, convertissez les couleurs du document selon l’espace colorimétrique de l’imprimante de bureau. Le profil de l’imprimante sera utilisé au lieu du profil du document actuel. Si vous sélectionnez l’espace colorimétrique Epreuve et ciblez une imprimante RVB, InDesign convertit les données chromatiques en valeurs RVB à l’aide des profils colorimétriques sélectionnés.
Impression Remarque : dans le cas de documents avec gestion des couleurs, vous pouvez faire appel au panneau Contrôle en amont pour vous assurer que les couleurs sont conformes à vos spécifications. 1 Vérifiez que le pilote d’impression et le fichier PPD appropriés sont installés sur votre ordinateur. 2 Choisissez Fichier > Imprimer. 3 Si les paramètres d’impression prédéfinie vous conviennent, choisissez-les dans le menu Impression prédéfinie
4 Modifiez les paramètres en fonction du document. 5 Cliquez sur Gestion des couleurs dans la partie gauche de la boîte de dialogue Imprimer. 6 Sous Imprimer, choisissez Document. 7 Dans la zone Traitement des couleurs, choisissez Laisser InDesign déterminer les couleurs. 8 Dans la zone Profil de l’imprimante, choisissez le profil correspondant à votre périphérique de sortie.
9 Choisissez Conserver les numéros RVB ou Conserver les numéros CMJN.
Il est conseillé de conserver les numéros si vous suivez un flux de production CMJN sûr. La conservation des numéros n’est pas conseillée pour l’impression de documents RVB. 10 Cliquez sur Configurer (Windows) ou sur Imprimante (Mac OS) pour accéder à la boîte de dialogue du pilote
11 Désactivez la gestion des couleurs pour l’imprimante et cliquez sur Impression pour revenir à la boîte de dialogue
Impression Options de sortie en couleurs pour les documents composites Utilisez la zone Sortie de la boîte de dialogue Imprimer pour déterminer la façon dont les couleurs composites du document sont envoyées à l’imprimante. Lorsque la gestion des couleurs est activée (par défaut), les valeurs de couleur par défaut permettent d’obtenir une sortie couleur étalonnée. Les informations de tons directs sont préservées lors de la conversion des couleurs ; seuls les équivalents quadri sont convertis vers l’espace colorimétrique désigné. Si vous n’êtes pas sûr des couleurs à utiliser, consultez votre prestataires de services prépresse. Les modes composites agissent uniquement sur les images et les objets pixellisés créés dans InDesign. Les images importées (comme les fichiers EPS et PDF) ne sont pas concernées sauf si elles chevauchent des objets transparents. Pour plus de détails sur l’impression composite, rendez-vous sur le site Adobe Print Resource Center à l’adresse suivante : www.adobe.com/go/print_resource_fr. Remarque : les options disponibles pour l’impression non PostScript dépendent du modèle colorimétrique utilisé par l’imprimante, généralement défini sur RVB. Lorsque vous imprimez en composite, le recouvrement automatique est désactivé. Vous pouvez sélectionner l’option Simuler la surimpression pour vérifier la surimpression de texte, des contours ou des fonds. La zone Sortie de la boîte de dialogue Imprimer inclut les options Couleur suivantes. En fonction de votre imprimante, des options supplémentaires peuvent être disponibles. Composite (ne pas modifier) Envoie les versions en couleurs des pages spécifiées vers l’imprimante, préservant ainsi toutes les valeurs chromatiques du document d’origine. Lorsque cette option est sélectionnée, l’option Simuler la surimpression est désactivée. Gris composite Envoie les versions en niveaux de gris des pages spécifiées vers l’imprimante. Vous pouvez utiliser cette
RVB composite Envoie les versions en couleurs des pages spécifiées vers l’imprimante. Vous pouvez utiliser cette option lorsque vous imprimez vers un périphérique de sortie RVB sans effectuer de séparations des couleurs. CMJN composite Envoie les versions en couleurs des pages spécifiées vers l’imprimante. Vous pouvez utiliser cette
Séparations Crée des informations PostScript pour chacune des séparations du document et les envoie au
Séparations In-RIP Envoie des informations sur les séparations au processeur RIP du périphérique de sortie (cette
Texte en noir Sélectionnez cette option pour imprimer tout le texte créé dans InDesign en noir à moins que vous n’ayez sélectionné l’option de couleur Aucun ou Papier ou une valeur chromatique équivalente au blanc. Cette option est utile lorsque vous créez un contenu destiné à l’impression et à la distribution au format PDF. Par exemple, des hyperliens qui apparaissent en bleu dans un document PDF s’impriment en noir et non en demi-teintes sur une imprimante à niveaux de gris, rendant la lecture plus difficile.
Impression Depuis quelques années, certaines imprimantes de bureau offrent une résolution suffisante pour imprimer des épreuves à moindre coût. 1 Choisissez Affichage > Format d’épreuve > Personnalisé. 2 Dans la boîte de dialogue Personnaliser les conditions d’épreuvage, choisissez le périphérique de simulation, puis
3 Choisissez Conserver les numéros RVB ou Conserver les numéros CMJN, puis cliquez sur OK.
Il est conseillé de conserver les numéros si vous suivez un flux de production CMJN sûr La conservation des numéros n’est pas conseillée pour l’impression de documents RVB. 4 Choisissez Fichier > Imprimer. 5 Si les paramètres d’impression prédéfinie vous conviennent, choisissez-les dans le menu Impression prédéfinie
6 Modifiez les paramètres en fonction du document. 7 Cliquez sur Gestion des couleurs dans la partie gauche de la boîte de dialogue Imprimer. 8 Sous Imprimer, choisissez Epreuve. Le profil doit correspondre au paramètre d’épreuve spécifié. 9 Dans la zone Traitement des couleurs, choisissez Laisser InDesign déterminer les couleurs. 10 Choisissez Simuler la teinte du papier pour simuler le niveau de blanc du support d’impression tel qu’il est défini
11 Cliquez sur Configurer (Windows) ou sur Imprimante (Mac OS) pour accéder à la boîte de dialogue du pilote
12 Désactivez la gestion des couleurs pour l’imprimante et cliquez sur Impression pour revenir à la boîte de dialogue
« Utilisation d’un flux de travail CMJN sécurisé » à la page 504 • Choisissez un dégradé avec une amplitude de couleur d’au moins 50 % entre deux ou plusieurs composantes de couleurs quadri.
• Réduisez la linéature du document dans le cas de périphériques de sortie PostScript uniquement. • Si des effets de bandes se produisent avec une image importée, comme une image Adobe Illustrator®, essayez d’ajuster l’image d’origine.
• Utilisez des dégradés plus courts. Leur longueur optimale dépend du nombre de couleurs utilisées. Essayez toutefois de ne pas dépasser 20 cm de longueur.
« Dégradés » à la page 487 « Spécification de la résolution et de la linéature des trames de demi-teintes » à la page 683
La plupart des imprimantes simulent les gris en utilisant des points de demi-teintes imprimés sur une grille formée de cellules (appelées cellules de demi-teintes) et de rangées (appelées lignes ou trames lignées). Chaque point de demiteintes est constitué de points d’impression. Si les cellules de demi-teintes se remplissent de points d’impression, le point de demi-teinte s’agrandit et l’ombre grisée devient plus foncée. La résolution de l’imprimante détermine le nombre de points disponibles pour créer le point de demi-teintes. Une imprimante capable d’imprimer des petits points peut produire une plus grande variété de tailles de points de demiteintes et donc un plus grand nombre de nuances de gris. La linéature entre aussi en jeu : lorsqu’elle augmente, la cellule de demi-teintes se réduit et contient moins de points. Les nuances de gris possibles sont alors moins nombreuses. Il en résulte une relation entre le nombre de niveaux de gris possibles et la grossièreté de l’image.
Impression Présentation du panneau Contrôle en amont Avant d’imprimer ou de remettre un document à un prestataire de services, vérifiez-en la qualité. On appelle ce processus contrôle en amont. Lors de la modification d’un document, le panneau Contrôle en amont indique les problèmes susceptibles d’empêcher l’impression ou la sortie d’un document ou d’un livre selon les résultats escomptés. Parmi ces problèmes, citons les polices ou fichiers manquants, les images basse résolution, le texte en excès et un certain nombre d’autres conditions. Vous pouvez configurer des paramètres de contrôle en amont pour définir les conditions détectées. Ces paramètres sont stockés dans des profils de contrôle en amont, facilitant ainsi leur réutilisation. Libre à vous de créer vos propres profils de contrôle en amont ou d’importer ceux émanant de votre imprimeur ou d’une autre source. Pour bénéficier des avantages du contrôle en amont dynamique, il est recommandé de créer ou de définir un profil de contrôle en amont dès les premières étapes du processus de création d’un document. Si la fonction de contrôle en amont est activée, une icône de cercle rouge s’affiche dans la barre d’état dès qu’InDesign détecte un problème quelconque. Vous pouvez alors ouvrir le panneau Contrôle en amont et consulter la section Informations afin d’obtenir des conseils de base qui vous permettront de résoudre les problèmes.
Impression Ouverture du panneau Contrôle en amont • Choisissez la commande Fenêtre > Sortie > Contrôle en amont. • Cliquez deux fois sur l’icône de contrôle en amont au bas de la fenêtre du document. Si aucun problème n’est détecté, l’icône de contrôle en amont est verte ; dans le cas contraire, elle devient rouge.
Par défaut, le profil [Standard] est appliqué aux nouveaux documents et à ceux qui ont été convertis. Ce profil signale les liens manquants ou modifiés, le texte en excès et les polices manquantes. Il est impossible de modifier ou de supprimer le profil [Standard] ; vous avez néanmoins toute latitude pour créer et utiliser divers profils. Vous pouvez par exemple basculer d’un profil à un autre lorsque vous travaillez sur des documents différents, lorsque vous faites appel à divers prestataires de services d’impression ou encore, lorsque le processus de production d’un document comprend différentes phases. Adressez-vous à votre prestataire de services prépresse pour obtenir un profil ou pour déterminer les paramètres du profil de contrôle en amont. Pour consulter un guide d’impression à l’intention des prestataires de services prépresse (PDF), rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/learn_id_prepress_wp_fr.
1 Choisissez la commande Définir les profils dans le menu du panneau Contrôle en amont ou dans le menu Contrôle
2 Cliquez sur l’icône Nouveau profil de contrôle en amont
Liens Indiquez si les liens manquants et modifiés doivent faire partie des erreurs signalées. Couleur Indiquez quel espace de fusion des transparences utiliser et si les éléments tels que les plaques CMJ, les espaces colorimétriques et la surimpression sont autorisés. Texte La catégorie Texte permet de signaler les erreurs relatives aux polices manquantes et au texte en excès.
Impression 4 Choisissez l’option Enregistrer pour conserver les modifications apportées à un profil avant de passer à un autre
Lorsque vous incorporez un profil, il devient un élément à part entière du document. Il est utile d’incorporer un profil, en particulier lorsque le fichier en question est envoyé à une autre personne. Cela ne signifie pas pour autant que l’utilisation du profil incorporé est impérative. Par exemple, si vous envoyez un document avec profil incorporé à un service d’impression, l’imprimeur peut décider d’utiliser un profil différent de celui fourni avec le document. Vous pouvez incorporer un seul profil dans un document, à l’exception du profil [Standard]. 1 Pour incorporer un profil, sélectionnez-le dans la liste Profil, puis cliquez sur l’icône Incorporer
Vous pouvez également incorporer un profil depuis la boîte de dialogue Définir les profils. 2 Pour annuler l’incorporation d’un profil, choisissez la commande Définir les profils dans le menu du panneau
Vous pouvez exporter un profil afin de le mettre à la disposition d’autres utilisateurs. Les profils exportés sont enregistrés avec l’extension .idpp. L’exportation d’un profil est un bon moyen de sauvegarder les paramètres de profil. Lorsque vous restaurez les préférences, les informations de profil sont réinitialisées. Si une restauration des préférences s’impose, il vous suffit de charger le profil que vous avez exporté. Vous pouvez également charger un profil qui vous a été fourni par une autre personne. Le profil chargé peut correspondre à un fichier *.idpp ou au profil incorporé dans le document que vous définissez.
Choisissez la commande Charger le profil dans le menu du profil de contrôle en amont, sélectionnez le fichier *.idpp ou le document contenant le profil incorporé à utiliser, puis cliquez sur le bouton Ouvrir.
1 Choisissez la commande Définir les profils dans le menu Contrôle en amont. 2 Sélectionnez le profil à supprimer, puis cliquez sur l’icône Supprimer le profil de contrôle en amont 3 Cliquez sur le bouton OK pour supprimer le profil.
Or, ce n’est pas l’élément de composition lui-même qui est signalé en tant qu’erreur mais plutôt le ou les éléments de page auxquels est appliqué cet élément de composition. Dans ce cas, veillez à résoudre le problème au niveau de l’élément de composition.
étendue de pages définie. Il vous suffit de définir l’étendue voulue au bas du panneau Contrôle en amont.
Par défaut, le contrôle en amont est activé pour tous les documents. 1 Pour activer ou désactiver le contrôle en amont du document actif, sélectionnez l’option Activé dans le coin
2 Pour activer ou désactiver le contrôle en amont de tous les documents, sélectionnez la commande Activer le
1 Dans la liste d’erreurs, cliquez deux fois sur une ligne ou cliquez sur le numéro de page dans la colonne Page pour
2 Cliquez sur la flèche à gauche de l’intitulé Informations pour afficher les informations concernant la ligne
Le panneau Informations fournit une description du problème et suggère des actions correctives. 3 Corrigez l’erreur. Dans nombre de flux de production, l’utilisation de profils différents peut se révéler judicieuse. Vous pouvez par exemple sélectionner des profils différents pour les documents que vous modifiez simultanément ou choisir un nouveau profil dans le cadre d’une nouvelle phase de production. Le document est soumis à un nouveau contrôle lorsque vous sélectionnez un autre profil. 1 Ouvrez le document. 2 Dans le menu Profil du panneau Contrôle en amont, sélectionnez un profil.
Impression Pour spécifier une série de pages pour le contrôle en amont ❖ Indiquez une étendue de pages (1-8, par exemple) au bas du panneau Contrôle en amont.
1 Choisissez la commande Options de contrôle en amont dans le menu du panneau Contrôle en amont. 2 Définissez les options suivantes, puis cliquez sur le bouton OK. Profil de travail Sélectionnez le profil à utiliser par défaut pour les nouveaux documents. Si vous souhaitez que le profil de travail soit incorporé dans les nouveaux documents, sélectionnez l’option Incorporer le profil de travail dans les nouveaux documents (voir la section « Définition de profils de contrôle en amont » à la page 653). Utiliser le profil incorporé / Utiliser le profil de travail Lorsque vous ouvrez un document, indiquez si le contrôle en
Calques Indiquez si les éléments figurant sur tous les calques, les calques visibles ou les calques visibles et
Objets non imprimables Sélectionnez cette option pour afficher les erreurs relatives aux objets identifiés comme
Objets sur la table de montage Sélectionnez cette option pour afficher les erreurs relatives aux objets placés sur la
Vous pouvez faire en sorte que les listes d’erreurs demeurent faciles à gérer en limitant le nombre de lignes par erreur. Par exemple, l’utilisation répétée d’une seule police TrueType dans un document qui n’est pas censé faire appel à des polices de ce type peut être à l’origine de centaines d’erreurs. Dans ce cas, un nombre de lignes par erreur limité à 25 permettrait de recenser uniquement les 25 premières erreurs, accompagnées du chiffre (25+).
Vous pouvez générer un fichier texte ou PDF répertoriant les erreurs affichées dans le panneau Contrôle en amont. Ce rapport indique également d’autres informations, telles que l’heure, le nom du document et le nom du profil. Pour obtenir un inventaire complet des éléments utilisés dans le document, notamment les polices, encres et liens, générez un rapport à l’aide de la fonction Assemblage. 1 Choisissez la commande Enregistrer le rapport dans le menu du panneau Contrôle en amont. 2 Indiquez si le fichier doit être enregistré au format texte ou PDF dans le menu Type (Windows) ou Format
3 Précisez le nom et l’emplacement du rapport, puis cliquez sur le bouton Enregistrer.
1 Choisissez la commande Contrôler le livre en amont dans le menu du panneau Livre. 2 Dans la boîte de dialogue Options de contrôle en amont du livre, précisez si les options de contrôle en amont
3 Dans la section Profil de contrôle en amont, indiquez si vous souhaitez utiliser le profil indiqué dans le menu
Le profil que vous définissez est utilisé temporairement pour chacun des documents. Lorsque vous fermez un document individuel, le profil utilisé à la prochaine ouverture de ce document est fonction de l’option sélectionnée dans la boîte de dialogue Options de contrôle en amont (profil incorporé ou profil de travail). 4 Dans la section Inclure, déterminez les éléments à inclure dans la liste d’erreurs. Calques Indiquez si les éléments figurant sur tous les calques, les calques visibles ou les calques visibles et
Objets sur la table de montage Sélectionnez cette option pour afficher les erreurs relatives aux objets placés sur la
Objets non imprimables Sélectionnez cette option pour afficher les erreurs relatives aux objets identifiés comme
5 Sélectionnez l’option Générer le rapport pour obtenir un fichier texte ou PDF contenant une liste d’erreurs. Le
6 Cliquez sur l’option Contrôle en amont.
Un point rouge s’affiche à droite du nom du document dans le panneau Livre lorsque ce document contient des erreurs de contrôle en amont. 1 Dans le du panneau Livre, cliquez deux fois sur le document contenant des erreurs. 2 Utilisez le panneau Contrôle en amont pour vérifier les erreurs détectées dans chacun des documents, puis effectuez
Les éléments de composition tels que les styles ou les nuances peuvent être à l’origine d’erreurs. Dans ce cas, veillez à résoudre les erreurs au niveau des styles ou des nuances dans le document de source des styles, puis synchronisez le livre. Si vous avez défini un profil autre que celui incorporé dans le document pour le contrôle en amont du livre, pensez que le profil sélectionné à la prochaine ouverture du document peut être différent et entraîner la détection d’erreurs de contrôle en amont différentes.
Impression InDesign effectue un contrôle en amont à jour. La boîte de dialogue Inventaire d’assemblage indique les éléments au niveau desquels un problème a été détecté. Vous pouvez également envoyer à votre prestataire de services un fichier PDF composite créé à partir de votre document ou d’un fichier PostScript. 1 Pour ouvrir la boîte de dialogue Assemblage, utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Dans le menu du panneau Livre, choisissez Assemblage > Livre ou Assemblage > Documents sélectionnés en fonction du nombre de documents sélectionnés dans le panneau Livre. Une icône d’alerte
3 Complétez les instructions d’impression. Le nom du rapport qui accompagne tous les autres fichiers assemblés
4 Cliquez sur Continuer, puis spécifiez un emplacement d’enregistrement pour l’ensemble des fichiers d’assemblage. 5 Si nécessaire, sélectionnez les options suivantes : Copier les polices (Sauf CJK) Copie tous les fichiers de polices nécessaires et non l’ensemble des caractères. Cette
Copier les graphiques liés Copie les fichiers graphiques liés à l’emplacement du dossier de l’assemblage. Actualiser les liens graphiques dans l’assemblage Modifie les liens graphiques à l’emplacement du dossier de
Utiliser seulement les exceptions de césure du document Si cette option est sélectionnée, InDesign marque ce document afin que son contenu ne soit pas redistribué lorsqu’un autre utilisateur l’ouvre ou le modifie sur un ordinateur configuré avec des paramètres de césure et de dictionnaire différents. Vous pouvez activer cette option lorsque vous envoyez le fichier à un prestataire de services. Inclure les polices et les liens du contenu masqué et non imprimable Assemble les objets situés sur les calques masqués, sur les conditions masquées et sur les calques pour lesquels l’option Imprimer le calque est désactivée. Lorsque cette option n’est pas activée, l’assemblage inclut uniquement le contenu visible et imprimable du document lors de la création de l’assemblage. Afficher le rapport Ouvre le rapport d’instructions d’impression dans un éditeur de texte immédiatement après
Instructions. 6 Cliquez sur Assemblage pour continuer l’assemblage.
La zone Polices de la boîte de dialogue Inventaire de l’assemblage recense toutes les polices utilisées dans le document, y compris les polices appliquées au texte en excès ou au texte de la table de montage, ainsi que les polices incorporées dans les fichiers EPS, les fichiers Adobe Illustrator natifs et les pages PDF importées. Elle indique les polices installées et disponibles sur l’ordinateur. Choisissez Afficher les problèmes seulement pour afficher uniquement les polices entrant dans les catégories suivantes : Polices manquantes Recense les polices qui sont utilisées dans le document mais qui ne sont pas installées sur
Polices incomplètes Recense les polices affichables à l’écran par l’ordinateur, mais non prises en charge par
Vérifiez que les polices utilisées dans le document sont accompagnées d’une licence, installées et activées, sur l’ordinateur ou sur le périphérique de sortie.
La zone Liens et images de la boîte de dialogue Inventaire de l’assemblage affiche tous les liens, les images incorporées et les fichiers InDesign du document, y compris les liens DCS et OPI des images EPS liées. La synthèse de contrôle en amont ne considère pas les images incorporées dans les fichiers graphiques EPS et InDesign importés comme des liens. L’utilitaire de contrôle en amont indique les liens manquants ou obsolètes ainsi que les images RVB dont les couleurs ne sont pas bien séparées à moins que la gestion des couleurs soit activée et configurée correctement. Remarque : la boîte de dialogue Inventaire de l’assemblage ne permet pas la détection des images RVB incorporées dans les fichiers EPS, Adobe Illustrator, Adobe PDF, FreeHand et .INDD importés. Pour éviter les surprises, vérifiez les données couleur des graphiques importés au moyen du panneau Contrôle en amont ou dans leur application d’origine. 1 Pour afficher uniquement les images présentant un problème, sélectionnez Afficher les problèmes seulement dans
2 Pour réparer un lien, utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Cliquez sur Tout réparer. 3 Sélectionnez les fichiers d’image et cliquez sur Ouvrir.
Impression Vous pouvez également exporter une page ou une planche d’un document vers un fichier EPS (Encapsulated PostScript) et l’importer dans d’autres applications.
Enregistrez le livre ou le document InDesign dans l’un des trois formats de fichiers PostScript suivants : indépendant du périphérique, dépendant du périphérique ou dépendant du périphérique et du pilote. Les tableaux suivants recensent les pilotes d’impression et les méthodes de sortie recommandés pour optimiser les résultats avec des applications de post-traitement et avec InDesign. Si, avant une impression RIP, votre document doit être traité par un serveur OPI, par imposition, par recouvrement ou par une autre application de prépresse, choisissez Fichier PostScript® dans le menu Imprimante de la boîte de dialogue Imprimer d’InDesign. InDesign garde le contrôle total de la sortie DSC. Pour une impression de bureau, utilisez un pilote d’imprimante PostScript pris en charge. Dans les tableaux, les astérisques indiquent le degré de pertinence de chaque méthode pour les travaux de prépresse : *** Le fichier PostScript est entièrement conforme aux normes DCS et tout à fait adapté à une utilisation avec un
** Le fichier PostScript est généralement conforme aux normes DCS et adapté à une utilisation avec un grand nombre
Choix de l’imprimante : fichier PostScript® Système d’exploitation • Il est dépendant du pilote. Le fichier PostScript contient un code généré par InDesign et le pilote. Le code InDesign est à l’origine du contenu de la page, notamment du téléchargement des polices, et il définit certaines informations relatives au périphérique, telles que le format du support, la résolution et le tramage. Le pilote définit ses propres fonctionnalités spécifiques, telles que les filigranes, et il active ou contrôle les fonctionnalités spécifiques du périphérique. Etant donné qu’InDesign ne contrôle pas totalement la création de fichiers PostScript, le niveau de conformité avec les normes DSC n’est pas aussi élevé qu’avec des fichiers PostScript indépendants du pilote. Le niveau de conformité avec les normes DSC et par conséquent l’adéquation du fichier PostScript aux tâches de prépresse dépendent du pilote d’impression utilisé.
• Il peut s’imprimer directement sur le périphérique ou le fichier. Un fichier PostScript dépendant du périphérique et du pilote est adapté à l’épreuvage (par le concepteur) sur des imprimantes PostScript de bureau. Les prestataires de services peuvent également l’utiliser s’ils n’envisagent pas d’effectuer un travail de prépresse sans InDesign ou un système RIP. En d’autres termes, le recouvrement doit s’effectuer dans InDesign ou au niveau du RIP.
« Choix de la méthode de création d’un fichier PostScript » à la page 660 « Configuration d’une imprimante » à la page 638
Sélectionnez Fichier PostScript dans le menu Imprimante, puis sélectionnez Indépendant du périphérique dans le menu PPD. Un fichier PostScript indépendant du périphérique présente les caractéristiques suivantes :
4 Affichez ou modifiez les paramètres d’impression. InDesign utilise le groupe de pages actif lors de la création du
5 Cliquez sur Enregistrer. 6 Spécifiez un nom et un emplacement, puis cliquez sur Enregistrer.
Sélectionnez Fichier PostScript dans le menu Imprimante, puis sélectionnez un fichier PPD. Un fichier PostScript dépendant du périphérique présente les caractéristiques suivantes :
• Il peut être composite ou séparé. Toutes les méthodes de sortie en couleurs prises en charge par InDesign sont disponibles (y compris les séparations In-RIP dans la mesure où le PPD et le périphérique de sortie les prennent en charge).
• L’impression peut uniquement s’effectuer vers un fichier (et non directement vers un périphérique ou une application) depuis InDesign. Un fichier PostScript dépendant du périphérique est adapté aux processus de préséparation et de recouvrement durant lesquels les fichiers subissent un recouvrement à l’aide des fonctions automatiques ou de recouvrement Adobe In-RIP d’InDesign. 1 Choisissez Fichier > Imprimer. 2 Dans la boîte de dialogue d’impression, dans Imprimante, choisissez Fichier PostScript. 3 Choisissez le PPD du périphérique de sortie final. 4 Affichez ou modifiez les paramètres d’impression. InDesign utilise le groupe de pages actif lors de la création du
5 Cliquez sur Enregistrer. 6 Spécifiez un nom et un emplacement, puis cliquez sur Enregistrer.
(Windows) 4 Cliquez sur l’onglet de mise en page, puis sur le bouton Avancé. 5 Choisissez la commande Options du document > Options PostScript > Optimiser la portabilité dans le menu des
6 Cliquez sur OK ou Imprimer pour revenir à la boîte de dialogue Imprimer d’InDesign. 7 Dans la boîte de dialogue Imprimer d’InDesign, cliquez sur Imprimer. 8 Spécifiez un nom et un emplacement, puis cliquez sur Enregistrer.
(Mac OS) Exportation des pages au format EPS Utilisez la commande d’exportation pour exporter des pages InDesign au format EPS, que vous pouvez ensuite importer vers un autre programme. Si vous exportez plusieurs pages, chacune d’elle est exportée en tant que fichier séparé avec un numéro ajouté à la fin du nom du fichier. Par exemple, si vous exportez les pages 3, 6 et 12, puis spécifiez que le nom du fichier est News.eps, InDesign va créer trois fichiers nommés News_3.eps, News_6.eps et News_12.eps. Pour ouvrir des pages InDesign dans Illustrator ou Adobe Photoshop, exportez les pages au format PDF ou EPS. 1 Choisissez Fichier > Exporter. 2 Spécifiez un emplacement et un nom de fichier. Vérifiez que vous avez bien inclus l’extension .eps. 3 Dans la zone Type (Windows) ou Format (Mac OS) de la boîte de dialogue Enregistrer sous, choisissez
4 Dans la zone Pages de la boîte de dialogue Exportation EPS, utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Sélectionnez Pages et saisissez un groupe de pages. Entrez un groupe de pages en utilisant un tiret, et séparez les pages ou les groupes de pages par des virgules.
5 Définissez d’autres options. 6 Dans la zone Fond perdu, entrez une valeur comprise entre 0 p0 et 36 p0 pour spécifier l’espacement
7 Cliquez sur Exporter.
Impression « Présentation du gestionnaire d’encres » à la page 679
PostScript® Spécifie le niveau de compatibilité avec les interprètes de périphériques de sortie PostScript. Niveau 2
Couleur Spécifie la représentation des couleurs dans les fichiers exportés. Les options ci-dessous sont similaires aux paramètres Couleur de la boîte de dialogue Imprimer.
• CMJN Crée un fichier séparable en représentant toutes les couleurs à l’aide de la gamme d’encres de couleurs quadri cyan, magenta, jaune et noire.
(tons) des objets convertis représentent la luminosité des objets d’origine. • RVB Représente toutes les couleurs en utilisant le rouge, le vert et le bleu. Un fichier EPS avec une définition de couleurs RVB convient mieux à un affichage écran. • Gestion des couleurs PostScript® Utilise les données chromatiques du document dans une version étalonnée de leur espace colorimétrique d’origine. Aperçu Détermine les caractéristiques de l’image d’aperçu enregistrée dans le fichier. Cette image apparaît dans les
Incorporer les polices Spécifie la manière dont les polices utilisées dans les pages exportées doivent être incorporées.
• Complet Télécharge toutes les polices nécessaires au document au début du travail d’impression. Tous les glyphes et caractères d’une police sont téléchargés même s’ils n’apparaissent pas dans le document. InDesign organise automatiquement en jeux partiels les polices contenant plus de glyphes (caractères) que le nombre maximum spécifié dans la boîte de dialogue Préférences. • Jeu partiel Télécharge uniquement les caractères (glyphes) utilisés dans le document. Format des données Spécifie le mode d’envoi des données d’image de votre ordinateur à une imprimante : sous forme de données ASCII ou binaires. Images Spécifie la quantité de données d’image des images bitmap importées à incorporer dans le fichier exporté.
haute résolution au moment de la sortie. Ignorer pour OPI Ignore, de manière sélective, des images importées lors de l’envoi de données d’image vers une imprimante ou un fichier, laissant ensuite un serveur OPI se charger des liens (commentaires) OPI. Aplatissement des transparences Sélectionnez un aplatissement prédéfini dans le menu Impression prédéfinie pour
Aplatissement des transparences qui s’affiche dans la zone Avancé de la boîte de dialogue Imprimer. Gestionnaire d’encres Corrige les options d’encre sans modifier la conception du document.
Imposition d’un document pour l’impression de livrets La fonction Imprimer le cahier vous permet de créer des planches d’imprimante destinées à une impression professionnelle. Ainsi, si vous éditez une brochure de 8 pages, les pages apparaissent en ordre séquentiel dans la fenêtre de mise en page. Toutefois, sur des planches d’imprimante, la page 2 peut se trouver à côté de la page 7 pour que, une fois le document imprimé, plié et assemblé, les pages se trouvent dans le bon ordre.
1 Choisissez Fichier > Imprimer le cahier. 2 Si les paramètres prédéfinis d’impression vous conviennent, choisissez-les dans le menu Impression prédéfinie.
Séparez les pages consécutives par un tiret et les pages non consécutives par des virgules. Par exemple, si vous saisissez 3-7, 16, les pages 3 à 7 et 16 sont imposées. Remarque : si vous avez divisé le document en sections, entrez les numéros des pages de la section (par exemple Sec2:11) dans la zone Groupe. 4 Pour modifier des paramètres tels que les repères de l’imprimante et la sortie couleur, cliquez sur Paramètres
5 Dans la boîte de dialogue Imprimer le cahier, définissez si besoin d’autres options de paramétrage de livret, puis
Vous pouvez choisir parmi trois types d’imposition : 2-haut piqûre à cheval, 2-haut reliure sans couture et Consécutif. 2-haut piqûre à cheval Crée des planches d’imprimante (deux pages côte-à-côte). Ce type de planche peut être utilisé
Espace entre les pages Spécifie l’espace entre les pages (entre le côté droit de la page de gauche et le côté gauche de la
Pour les documents à reliure sans couture, si vous définissez une compensation (avec une valeur négative), l’espace minimal entre les pages correspond à la valeur de la compensation. Si vous créez des signatures manuellement (par exemple s’il y a différents stocks dans le même document), vous pouvez entrer une valeur d’espace entre les pages pour spécifier une compensation de départ pour les planches avec différentes signatures. Fond perdu entre les pages Spécifie l’espace utilisé pour permettre aux éléments de la page d’empiéter sur l’espace dans les planches à reliure sans couture Cette option est parfois appelée croisement. Ce champ accepte des valeurs comprises entre 0 et la moitié de la valeur d’espace entre les pages. Vous pouvez définir cette option uniquement lorsque le type 2-haut reliure sans couture est sélectionné. Compensation Spécifie l’espace nécessaire pour prendre en charge l’épaisseur du papier et le pliage sur chaque signature. La plupart du temps, vous devrez spécifier une valeur négative pour créer un effet de décalage vers l’avant. Vous pouvez définir une valeur de compensation pour les types de cahier 2-haut piqûre à cheval et 2-haut reliure sans couture (voir la section « Utilisation de la compensation » à la page 669). Format de signature Spécifie le nombre de pages de chaque signature des documents 2-haut reliure sans couture. Si le nombre de pages à imposer n’est pas divisible par la valeur du format de la signature, des pages blanches sont ajoutées à la fin du document. Ajuster automatiquement aux repères et fonds perdus InDesign calcule la valeur des marges de manière à prendre en
Marges Spécifie l’espace laissé autour de la planche d’imprimante après rognage. Pour définir des valeurs individuelles pour les marges du haut, du bas, de gauche ou de droite, désactivez l’option Ajuster automatiquement aux repères et fonds perdus, puis augmentez les valeurs pour inclure de l’espace supplémentaire au-delà des repères et fonds perdus par défaut (le fait de réduire ces valeurs peut rogner les repères et fonds perdus). Vous pouvez définir des valeurs de marges pour tous les types d’impression de cahier. Imprimer les planches blanches Si le nombre de pages à imposer n’est pas divisible par la valeur du format de la signature, des pages ou planches blanches sont ajoutées à la fin du document. Cette option vous permet de choisir
Impression L’option Compensation spécifie la distance dont les pages s’écartent de la reliure afin de prendre en compte l’épaisseur du papier et le pliage pour les documents à piqûre à cheval et à reliure sans couture. InDesign considère la couverture du document final comme la planche extérieure, alors que les pages centrales sont considérées comme planche du milieu. Le terme feuille représente deux planches : le recto et le verso de la feuille. L’incrément de compensation est calculé en divisant la valeur de la compensation spécifiée par le nombre total de feuilles, moins une. Par exemple, un document InDesign de 16 pages peut compter huit planches, ou quatre feuilles. Le recto de la première feuille constituera la première planche (pages 16 et 1), tandis que le verso contiendra la seconde planche (pages 2 et 15). Si dans cet exemple la valeur de compensation est de 24 points (valeur exagérée par souci de clarté), l’incrément de compensation sera de 8 points par feuille (24 divisé par 3). La compensation appliquée à la feuille interne sera de 24 points, la compensation appliquée à la troisième feuille sera de 16 points et la compensation appliquée à la deuxième feuille sera de 8 points. Aucune compensation ne sera appliquée à la première feuille externe. Pour chaque feuille successive, la compensation sera diminuée de l’incrément de compensation. Pour résumer, chaque page de la feuille intérieure est déplacée de 12 points (la moitié de la valeur de compensation de 24 points pour cette feuille) par rapport à la reliure, chaque page de la troisième feuille est déplacée de 8 points (la moitié de la valeur de compensation de 16 points de cette feuille) par rapport à la reliure, et chaque page de la deuxième feuille est déplacée de 4 points (la moitié de la valeur de compensation de 8 points pour cette feuille) par rapport à la reliure.
La zone Aperçu de la boîte de dialogue Imprimer le cahier permet d’afficher des vignettes en couleurs des planches créées par le style d’imposition choisi. Vous pouvez consulter également les repères d’impression que vous avez définis dans la boîte de dialogue d’impression. 1 Choisissez Fichier > Imprimer le cahier. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Vous pouvez également faire glisser la boîte de défilement pour changer les planches.
Si vous cliquez sur Paramètres d’impression et que vous modifiez les paramètres dans la boîte de dialogue d’impression, vous pouvez observer l’effet des modifications dans la zone d’aperçu.
La production de séparations de couleurs de qualité supérieure suppose la connaissance de notions élémentaires sur les techniques d’impression, telles que les trames, la résolution, la quadrichromie et les tons directs. Si vos séparations de couleurs sont effectuées par un imprimeur, consultez-le avant de débuter chaque travail d’impression.
Création des séparations Pour reproduire une image en couleurs ou à tons continus, les imprimeurs séparent les couleurs de cette image en quatre [cyan (C), magenta (M), jaune (J) et noir (N)], sur quatre plaques différentes. Après application des encres de couleur et impression en repérage, les couleurs obtenues reproduisent fidèlement l’illustration originale. Le processus de décomposition d’une image en deux ou plusieurs couleurs s’appelle séparation des couleurs et on appelle séparations les films créés à partir des plaques.
Adobe InDesign CS4 propose deux flux de production PostScript standard pour les séparations de couleurs : dans le premier, elles sont effectuées sur l’ordinateur hôte (à l’aide d’InDesign et du pilote d’imprimante) et dans le second, depuis le processeur d’images pixellisées ou processeur RIP (raster image processor) du périphérique de sortie. Il existe également un flux de production PDF. Séparations basées sur un ordinateur hôte Pour ce type de flux de production préséparé traditionnel, InDesign crée
Séparations In-RIP Dans un flux de production reposant sur un processeur RIP PostScript, des processeurs RIP de
Pour consulter une vidéo sur la préparation des fichiers pour la sortie, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0089_fr. Pour consulter un guide d’impression à l’intention des prestataires de services prépresse (PDF), rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/learn_id_prepress_wp_fr.
Séparations des couleurs
1 Corrigez les éventuels problèmes colorimétriques des illustrations. 2 Définissez les options de surimpression. 3 Créez des instructions de recouvrement pour compenser toute erreur de mise en registre sur la presse. 4 Effectuez un aperçu des séparations des couleurs à l’écran.
5 Choisissez Fichier > Imprimer pour afficher la boîte de dialogue d’impression. 6 Si vous avez créé un style d’impression prédéfini avec les paramètres de séparation appropriés, sélectionnez-le dans
7 Dans le menu Imprimante, choisissez une imprimante ou un fichier PostScript. 8 Pour une impression PostScript, choisissez le fichier PPD du périphérique de sortie des séparations. 9 Pour afficher ou modifier les options d’impression actives, cliquez sur un nom de section, dans la partie gauche de
10 Avant de livrer votre document à un prestataire de services, vérifiez les séparations. 11 Imprimez ou enregistrez les séparations.
« A propos de la surimpression » à la page 676 « Aperçu des séparations de couleurs » à la page 673 « Vérification de la séparation des couleurs » à la page 684 « Impression ou enregistrement des séparations » à la page 685
Il est possible de remplacer ou de compléter des couleurs quadri par des teintes personnalisées appelées tons directs. Par exemple, pour reproduire une illustration contenant du texte noir et des dessins au trait utilisant un vert particulier, deux tons directs suffisent : le noir et un ton correspondant au vert souhaité. En outre, les encres de tons directs sont utilisées pour obtenir des couleurs qui ne sont pas reproductibles avec les encres CMJN, notamment des vernis ou des couleurs fluorescentes et métalliques. Vous pouvez également obtenir des encres mélangées en combinant plusieurs tons directs ou des tons directs avec des couleurs quadri. Vous pouvez colorer une illustration avec des couleurs quadri, des tons directs ou une combinaison des deux. Lors de l’impression des séparations, vous pouvez convertir les tons directs en leurs équivalents quadri de sorte qu’ils s’impriment sur des plaques CMJN.
Séparations des couleurs
2 Dans le menu du panneau Couleur, choisissez CMJN.
Vous pouvez également placer le pointeur sur le ton direct dans le panneau Nuancier. La formule de la couleur apparaît dans l’info-bulle.
Pour imprimer un objet sur toutes les plaques, y compris sur des plaques de tons directs, appliquez une couleur de repérage à l’objet. La couleur de repérage s’utilise pour les repères de cadrage et de coupe. Dans le cas d’une sortie composite, les objets auxquels une couleur de repérage a été appliquée s’impriment sous la forme suivante : C 100, M 100, J 100 et N 100. Dans le cas de séparations, chaque plaque présente une valeur de 100 %. 1 Sélectionnez les objets auxquels vous souhaitez appliquer la couleur de repérage. 2 Choisissez Fenêtre > Nuancier. 3 Dans le panneau Nuancier, cliquez sur la couleur de repérage
• La séparation des couleurs d’un dégradé créé dans InDesign et contenant une association de couleurs quadri et de tons directs est effectuée à l’aide d’une plaque de couleurs quadri et d’une plaque de tons directs.
• Dans le cas d’un dégradé contenant deux teintes d’un même ton direct, la séparation se fait sur une seule plaque de tons directs.
« A propos de la linéature des trames de demi-teintes » à la page 682
Tenez compte des points suivants lorsque vous imprimez des épreuves composites :
étalonnés, le système de gestion des couleurs peut être exploité pour obtenir des couleurs fiables et homogènes.
Important : sélectionnez l’option Simuler la surimpression pour convertir les tons directs en couleurs quadri pour l’impression. Si vous envisagez d’utiliser un fichier pour des séparations RIP ou pour une sortie finale, ne sélectionnez pas cette option.
Remarque : n’oubliez pas que, tout comme pour les moniteurs, la qualité de reproduction des couleurs varie sensiblement d’une imprimante à l’autre ; les épreuves fournies par votre prestataire de services sont la meilleure façon de vérifier l’aspect final de votre travail.
« Amélioration de l’impression des dégradés de couleurs » à la page 651 « Synchronisation des documents d’un livre » à la page 312 « Utilisation de la gestion des couleurs lors de l’impression » à la page 647
Pour obtenir un aperçu des séparations de couleurs, des limites de couverture d’encre et de la surimpression, utilisez le panneau Aperçu des séparations. L’affichage de l’aperçu des séparations sur votre moniteur vous permet de procéder aux vérifications suivantes : Vernis et autres pellicules L’affichage de l’aperçu des vernis à l’écran peut se révéler difficile dans la mesure où ils sont
Séparations des couleurs
Couverture d’encre Une trop grande quantité d’encre déposée sur le papier risque de poser des problèmes de séchage.
Surimpression Vous pouvez afficher un aperçu de la reproduction de la fusion, de la transparence et de la
Remarque : vous pouvez également voir les effets de surimpression lorsque vous imprimez sur un périphérique d’impression composite. Ceci est utile pour vérifier la séparation des couleurs. Bien que l’aperçu des séparations sur votre moniteur permette d’identifier des problèmes sans subir le coût de l’impression des séparations, il ne vous permet pas de prévisualiser le recouvrement, les options d’émulsion, les repères d’impression, les trames de demi-teinte ou la résolution. Vérifiez ces paramètres auprès de votre imprimeur au moyen d’épreuves par superposition ou intégrales. Remarque : les objets répartis sur des calques masqués n’apparaissent pas dans l’aperçu à l’écran.
« Surimpression d’éléments de page » à la page 677 « Utilisation du panneau Aperçu des séparations » à la page 749 « Séparation des tons directs en tant que couleurs quadri » à la page 681
1 Sélectionnez Fenêtre > Sortie > Aperçu des séparations. 2 Choisissez Séparations dans le menu déroulant Affichage. 3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Chacune des séparations apparaît dans la couleur qui lui a été assignée.
Séparations des couleurs
1 Sélectionnez Fenêtre > Sortie > Aperçu des séparations. 2 Choisissez Limite d’encre dans le menu déroulant Affichage. Entrez une valeur de couverture d’encre maximale
à spécifier). 3 Vérifiez la couverture d’encre sur l’aperçu du document. Les zones dont la couverture d’encre est excessive sont
Vous pouvez régler la couverture d’encre en convertissant certains tons directs en couleurs quadri. Pour régler la couverture d’encre dans des images importées, modifiez ces images dans leur application source respective.
1 Sélectionnez Fenêtre > Sortie > Aperçu des séparations. 2 Choisissez Désactivé dans le menu déroulant Affichage.
Séparations des couleurs
Définissez ces options, puis prévisualisez les effets de surimpression à l’écran.
L’encre noire appliquée au texte ou à des objets InDesign natifs est traitée par défaut en surimpression pour empêcher tout défaut de repérage des petits caractères noirâtres recouvrant des zones de couleur ou des zones colorées avec des contours noirs. Vous pouvez modifier les paramètres d’encre noire à l’aide des préférences Aspect du noir. Pour votre flux de production, il se peut que vous deviez définir une certaine couleur à surimprimer. Par exemple, vous pouvez imprimer tout le texte de votre publication dans une couleur spécifique. Utilisez les méthodes suivantes :
• Créez un PDF composite et modifiez les paramètres de surimpression dans le PDF. • Définissez des paramètres de surimpression dans votre processeur RIP. • Appliquez des paramètres de surimpression à une image ou un objet avant de l’ajouter à votre bibliothèque, ou modifiez un fichier importé dans son application d’origine.
« Aperçu des séparations de couleurs » à la page 673 « Surimpression d’éléments de page » à la page 677
Le recouvrement automatique dans InDesign (recouvrement intégré ou recouvrement Adobe In-RIP) permet quasiment de se passer de surimpression manuelle. Cependant, la surimpression manuelle peut être utile dans les rares cas où le recouvrement automatique est impossible. Suivez les indications suivantes pour savoir si vous pouvez utiliser la surimpression :
Séparations des couleurs
Vous pouvez surimprimer les contours ou les fonds, les filets de paragraphe et les filets situés au-dessus des notes de bas de page. Vous pouvez également simuler la surimpression des tons directs.
« Aperçu des séparations de couleurs » à la page 673 « Définition de styles de contour personnalisés » à la page 362 « Notes de bas de page » à la page 187 « Réglage des valeurs de densité neutre des encres » à la page 534
Le panneau Options d’objet permet de surimprimer les fonds et les contours d’un tracé sélectionné. Un fond ou un contour surimprimé n’a pas besoin d’un recouvrement car la surimpression comble toute zone vide entre les couleurs adjacentes. Vous pouvez également surimprimer un contour pour simuler un recouvrement (en surimprimant une couleur déterminée manuellement comme une association correcte de deux couleurs adjacentes). Gardez les instructions suivantes à l’esprit lors d’une surimpression manuelle : • Lorsque vous utilisez un contour pour recouvrir deux tons directs ou un ton direct et une couleur quadri, vous devez en général appliquer la couleur la plus claire au contour et surimprimer celui-ci. Utilisez le panneau Aperçu des séparations pour prévisualiser les couleurs en surimpression. 1 Sélectionnez un ou plusieurs tracés à l’aide de l’outil Sélection
Séparations des couleurs
1 Assurez-vous qu’il existe une nuance pour la couleur de surimpression. 2 A l’aide de l’outil Texte, cliquez sur un point d’insertion dans un paragraphe. 3 Dans le panneau Paragraphe, choisissez Filets de paragraphe. 4 Dans le menu déroulant en haut de la boîte de dialogue, choisissez le filet de paragraphe à afficher en surimpression. 5 Sélectionnez l’une des options suivantes, puis cliquez sur OK.
• Pour surimprimer une couleur appliquée aux espaces d’une ligne en pointillé, en traits tiretés ou à dessins, sélectionnez Surimpression de l’espace. Remarque : vous pouvez enregistrer les options Surimpression du contour ou Surimpression de l’espace de la boîte de dialogue Filets de paragraphe dans un style de paragraphes.
Il est possible de configurer InDesign pour qu’un filet soit automatiquement inséré en vue de séparer les notes de bas de page du corps du document. Vous pouvez décider de surimprimer ce filet. 1 Assurez-vous qu’il existe une nuance pour la couleur de surimpression. 2 Sélectionnez Texte > Options de note de bas de page du document. 3 Activez l’onglet Mise en page de la boîte de dialogue Options de note de bas de page. 4 Sélectionnez Surimpression du contour, puis cliquez sur OK.
Séparations des couleurs
La simulation de la surimpression est utile pour contrôler les effets de surimpression des encres de tons directs avec différentes valeurs de densité neutre (par exemple, rouge et bleu). La simulation de la surimpression dans le cas d’une impression vers un périphérique de sortie composite permet de déterminer si vous souhaitez surimprimer ou masquer la couleur finale. 1 Dans la zone Sortie de la boîte de dialogue Imprimer, choisissez une option composite dans le menu Couleur.
2 Sélectionnez Simuler la surimpression.
Pour masquer les objets noirs dans InDesign, vous devez empêcher la surimpression de la nuance noire. Contrairement à la plupart des nuances de couleur, qui se masquent automatiquement, la nuance noire se surimprime naturellement, notamment tous les contours, fonds et caractères noirs. Le noir quadri 100 % apparaît avec la mention [Noir] dans le panneau Nuancier. Masquez les objets noirs soit en désélectionnant la surimpression par défaut dans les Préférences, soit en dupliquant la nuance noire par défaut et en appliquant la nuance dupliquée aux objets de couleur masqués. Si vous désactivez le paramètre de surimpression dans la boîte de dialogue Préférences, toutes les occurrences du noir sont alors masquées (les encres sous-jacentes sont supprimées). Il est parfois plus simple et plus économique de laisser l’imprimeur surimprimer le noir quadri sur la presse. 1 Choisissez la commande Edition > Préférences > Aspect du noir (Windows) ou InDesign > Préférences > Aspect
2 Sélectionnez ou désélectionnez l’option Surimprimer la nuance [Noir] à 100 %.
« Modification de l’aspect du noir CMJN (Illustrator, InDesign) » à la page 502
Présentation du gestionnaire d’encres Le Gestionnaire d’encres permet de gérer les encres pour la sortie. Les modifications effectuées à l’aide du Gestionnaire d’encres affectent la sortie, pas la définition des couleurs dans le document. Les options du Gestionnaire d’encres sont particulièrement pratiques pour les prestataires de services d’impression. Par exemple, si un travail comprend un ton direct, un prestataire de services peut ouvrir le document et convertir ce ton direct en équivalent quadrichromique (CMJN). Lorsqu’un document contient deux tons directs similaires alors qu’il n’en a besoin que d’un seul ou qu’un ton direct porte deux noms différents, un prestataire de services a la possibilité d’attribuer un seul pseudonyme aux deux noms. Dans un flux de production de recouvrement, le Gestionnaire d’encres vous permet de définir la densité d’encre pour contrôler le recouvrement, ainsi que la séquence et le nombre corrects des encres.
Séparations des couleurs
Chaque séparation porte un nom de couleur attribué par InDesign. Si l’icône d’une imprimante s’affiche en regard du nom de la couleur, InDesign crée une séparation pour cette couleur. Les encres de tons directs (notamment celles définies et utilisées dans les fichiers aux formats PDF ou EPS) s’affichent également dans la liste des encres. 1 Dans la zone Sortie de la boîte de dialogue d’impression, sélectionnez Séparations ou Séparations In-RIP si vous
2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
L’icône de l’imprimante disparaît.
Séparations des couleurs
Grâce au Gestionnaire d’encres, vous pouvez convertir les tons directs en couleurs quadrichromiques. Lorsque les tons directs sont convertis en équivalents quadrichromiques, ils sont imprimés en tant que séparations plutôt que sur une plaque unique. La conversion d’un ton direct est utile si vous avez ajouté par inadvertance un ton direct à un document de couleur quadrichromique ou si le document contient trop de tons directs pour l’impression. 1 Dans le Gestionnaire d’encres, utilisez l’une des méthodes suivantes :
Remarque : lorsque l’option Quadrichromie est sélectionnée, tous les pseudonymes d’encre définis dans le Gestionnaire d’encres sont supprimés et les paramètres de surimpression et de recouvrement du document sont modifiés. 2 (InDesign uniquement) Pour utiliser les valeurs Lab d’un ton direct plutôt que les définitions CMJN, sélectionnez
Vous pouvez mapper un ton direct à un autre ton direct ou à une autre couleur quadrichromique en créant un pseudonyme. Ce dernier est utile si un document contient deux tons directs similaires alors qu’un seul ton est requis ou si le document contient trop de tons directs. Le mode Aperçu de la surimpression vous permet d’observer les effets (à l’écran) du pseudonyme d’encre sur la sortie imprimée. 1 Dans le Gestionnaire d’encres, sélectionnez l’encre du ton direct pour laquelle vous souhaitez créer un
2 Choisissez une option dans le menu Pseudonyme de l’encre. L’icône de type d’encre et la description de l’encre sont
Certains tons directs prédéfinis, tels que les couleurs issues des bibliothèques TOYO, PANTONE, DIC et HKS sont définies au moyen de valeurs Lab. Pour garantir une comptabilité descendante avec les versions précédentes d’InDesign, les couleurs issues de ces bibliothèques comportent également des définitions CMJN. Lorsqu’elles sont utilisées avec les profils de périphérique adéquats, les valeurs Lab permettent d’obtenir le résultat le plus précis possible en sortie sur tous les périphériques. Si la gestion des couleurs est un aspect essentiel du projet, il peut être préférable d’afficher, d’exporter et d’imprimer les tons directs selon leurs valeurs Lab. L’option Utilise des valeurs Lab standard pour les tons directs du Gestionnaire d’encres permet de sélectionner le mode couleur devant être utilisé dans InDesign pour le traitement des tons directs prédéfinis : Lab ou CMJN. Si la sortie doit correspondre à celles obtenues dans les versions précédentes d’InDesign, utilisez les valeurs CMJN équivalentes. Remarque : lorsque l’option Aperçu de la surimpression est activée, les valeurs Lab sont systématiquement utilisées afin d’améliorer le niveau de précision à l’écran. Les valeurs Lab sont également utilisées en cas d’impression ou d’exportation lorsque l’option Simuler la surimpression est activée dans la boîte de dialogue Imprimer ou Exporter au format Adobe PDF. 1 Choisissez Gestionnaire d’encres dans le menu du panneau Aperçu des séparations.
Séparations des couleurs
(nommées lignes ou linéatures). Les lignes sont imprimées selon des angles différents afin d’en atténuer l’effet. Le menu Tramage du panneau Sortie de la boîte de dialogue Impression affiche les linéatures recommandées en lignes par pouce (lpp) et la résolution en points par pouce (ppp), en fonction du fichier PPD sélectionné. Lorsque vous sélectionnez des encres dans la liste, les champs de linéature de trame et d’angle reflètent les valeurs correspondant à l’encre sélectionnée. Une linéature élevée (par exemple, 150 lpp) réunit étroitement les points pour créer une image précise sur la presse ; une linéature faible (de 60 lpp à 85 lpp) espace considérablement les points pour créer une image moins fine. La taille des points est également déterminée par la linéature. Une linéature élevée utilise des points de petite taille ; une linéature faible utilise des points de grande taille. Le facteur le plus important lors du choix de la linéature est le type de presse utilisé pour votre tâche. Demandez à votre prestataire de services la linéature de sa presse et faites vos choix en conséquence.
❖ Dans le volet Sortie de la boîte de dialogue Imprimer, choisissez une des options suivantes :
Remarque : avant de créer vos propres trames de demi-teintes, vérifiez les angles et linéatures recommandées auprès de votre prestataire de services. Sachez que certains périphériques de sortie effacent les angles et linéatures par défaut.
« A propos de la linéature des trames de demi-teintes » à la page 682
Selon le type de presse utilisé et le mode de transfert des informations entre le film et les plaques d’impression, votre prestataire de services peut vous demander des films négatifs ou positifs, avec l’émulsion sur la face supérieure ou inférieure. L’émulsion correspond à la couche photosensible d’un support d’impression (film ou papier). De manière générale, les imprimeurs exigent des films négatifs aux Etats-Unis et positifs en Europe et au Japon. Vérifiez auprès de votre prestataire quel sens d’émulsion il utilise. Pour distinguer la face de l’émulsion de l’autre (ou base), examinez le film final sous un bon éclairage. L’une des faces est plus brillante que l’autre. La face mate est celle de l’émulsion tandis que la face brillante constitue la base.
2 Dans Symétrie, sélectionnez l’une des options suivantes : Aucune (par défaut) N’applique aucune modification à l’orientation de la zone imprimable. Le texte de l’image est
Horizontale Permet de refléter la zone imprimable le long d’un axe vertical pour une lecture inversée. Verticale Permet de refléter la zone imprimable le long d’un axe horizontal de sorte qu’elle soit sens dessus-dessous.
Séparations des couleurs
1 Choisissez Gris composite ou une option de séparation dans le menu déroulant Couleur du volet Sortie de la boîte
2 Sélectionnez ou désélectionnez l’option Négatif.
La zone Synthèse de la boîte de dialogue Imprimer affiche une synthèse des informations de gestion des couleurs, des dimensions des repères d’impression et des fonds perdus du document. Elle indique également si le recouvrement est activé. De même, vous pouvez effectuer un contrôle qualité avant impression ou avant de remettre le document à votre prestataire de services.
« Définition de profils de contrôle en amont » à la page 653
Créez une épreuve papier pour vérifier que les séparations sont correctes à l’impression ou une épreuve à l’écran pour prévisualiser l’aspect des couleurs du document sur un périphérique de sortie particulier. Remarque : une épreuve ne permet pas d’obtenir une représentation exacte de la sortie finale ; toutefois, il est possible d’accroître le degré de précision d’une épreuve en étalonnant tous les périphériques utilisés lors de la création du document (tels que les scanners, les moniteurs et les imprimantes). Lorsque les périphériques sont correctement étalonnés, le système de gestion des couleurs peut être exploité pour obtenir des couleurs fiables et homogènes. L’épreuve papier représente les séparations finales que vous attendez et aide votre prestataire de services à vérifier que l’impression est correcte. Assurez-vous d’utiliser une imprimante PostScript pour les épreuves, car une imprimante non PostScript ne permet pas de vérifier la séparation des couleurs de manière fiable. Pour garantir une impression correcte du fichier, enregistrez les séparations en tant que fichier PostScript et convertissez ce dernier au format Acrobat 8 PDF à l’aide d’Acrobat Distiller. Vous obtenez un fichier PDF que vous pouvez visualiser dans Acrobat. Vous pouvez ainsi contrôler en détail les impressions PostScript de haute qualité à l’écran.
« Aperçu des séparations de couleurs » à la page 673 « A propos de la vérification des épreuves-écran de couleurs » à la page 506 « Impression d’une épreuve papier » à la page 650
Séparations des couleurs
PostScript 3 est requis pour générer les séparations In-RIP. Remarque : en fonction du logiciel de prépresse utilisé, un prestataire de services peut éventuellement effectuer des tâches de prépresse telles que le recouvrement, l’imposition, la séparation et le remplacement OPI au niveau du processeur RIP du périphérique de sortie. Votre prestataire de services préférera donc dans certains cas recevoir un fichier PostScript composite correspondant au document optimisé pour des séparations In-RIP, plutôt qu’un fichier PostScript préséparé.
« Création de fichiers PostScript et EPS » à la page 660
1 Dans la partie supérieure de la boîte de dialogue Imprimer, choisissez un paramètre prédéfini dans le
2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour imprimer dans un fichier, choisissez Fichier PostScript® dans le menu Imprimante. Choisissez un fichier PPD prenant en charge le périphérique de sortie. 3 Cliquez sur Général, puis spécifiez les pages à séparer. 4 Cliquez sur Sortie et utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour imprimer vers un fichier, choisissez soit Séparations, soit Séparations In-RIP pour enregistrer les paramètres de séparation dans un fichier PostScript composite pour un traitement RIP. Remarque : pour utiliser le recouvrement Adobe In-RIP, vous devez recourir aux séparations In-RIP plutôt qu’à des séparations basées sur un ordinateur hôte, sinon la fonction de recouvrement n’aurait pas accès à toutes les couleurs en même temps et le recouvrement n’aurait pas lieu. 5 Cliquez sur Graphiques et procédez comme suit :
• Dans la zone Téléchargement, choisissez l’option Complet ou Jeu partiel, à moins que les polices ne soient insérées ultérieurement (par exemple, au niveau du RIP ou par une application de traitement d’images).
6 Cliquez sur Avancé et utilisez l’une des méthodes suivantes :
Avancé de la boîte de dialogue d’impression.
7 Choisissez d’autres options d’impression le cas échéant.
« Création de fichiers PostScript et EPS » à la page 660 « Fichiers Encapsulated PostScript (.eps) » à la page 379 « Options d’omission d’images » à la page 647
La création de scripts est une méthode qui permet d’effectuer un grand nombre de tâches. Un script peut permettre d’automatiser aussi bien une tâche courante qu’une nouvelle fonction entière. Vous pouvez créer vos propres scripts ou exécuter des scripts créés par d’autres utilisateurs. Pour plus de détails sur la création de scripts, reportez-vous au Guide de scripts situé dans le dossier Adobe InDesign Technical Info sur le DVD InDesign. Vous trouverez le Guide de scripts, les conditions requises pour la création de scripts, ainsi que d’autres ressources, à l’adresse www.adobe.com/go/scripting_id_fr. Le Guide de scripts contient une introduction aux scripts ainsi que des didacticiels. Le dossier Technical Info inclut également un certain nombre de scripts utiles que vous pouvez utiliser, notamment un script qui trace des repères autour d’un objet sélectionné. Certains de ces scripts s’affichent par défaut dans le panneau Scripts.
Création de scripts dans InDesign
InDesign comprend deux panneaux pour la création de scripts : Scripts et Intitulé de script. Le panneau Scripts vous permet d’exécuter des scripts sans quitter InDesign. Le panneau Scripts affiche les scripts situés dans les dossiers Scripts du dossier de l’application InDesign et dans vos dossiers Préférences. Lorsque vous créez ou recevez un script, vous pouvez le placer dans le dossier du panneau Scripts. Il sera ainsi visible dans le panneau Scripts. Mac OS Users/[nom d’utilisateur]/Bibliothèque/Preferences/Adobe InDesign/[version][langue]/Scripts/Panneau Scripts Windows XP Documents and Settings\[nom d’utilisateur]\Application ❖ Choisissez la commande Fenêtre > Automatisation > Intitulé de script.
Les rédacteurs de scripts ont la possibilité d’utiliser une commande spéciale qui leur permet d’associer des scripts aux commandes de menus. Par souci de sécurité, InDesign inclut une préférence qui détermine s’il est permis d’associer des scripts. Si vous pensez que la source d’un document InDesign est fiable, vous pouvez sélectionner l’option Activer les scripts associés afin que les scripts s’exécutent chaque fois que vous choisissez les commandes auxquelles ils sont associés. 1 Choisissez Edition > Préférences > Général (Windows) ou InDesign > Préférences > Général (Mac OS). 2 Sélectionnez Activer les scripts associés.
Pour plus de détails sur les modules externes d’autres sociétés, consultez le site Web d’Adobe à l’adresse http://www.adobe.com/go/learn_id_plugins_fr. 1 Si un programme d’installation est fourni, utilisez-le pour installer le module externe. Dans le cas contraire, faites
2 Suivez les instructions d’installation fournies avec le module.
Automatisation Utilisez la boîte de dialogue Configuration des modules externes pour consulter et personnaliser l’ensemble des modules externes installés. Cette boîte de dialogue permet notamment d’obtenir des informations détaillées sur les modules externes installés, de créer des ensembles de modules pour les regrouper par tâche ou par groupe de travail et de localiser un module lors d’une procédure de dépannage. Dans la boîte de dialogue Configuration des modules externes, des icônes identifient les différents types de modules :
• Les modules obligatoires
Remarque : lorsque vous activez ou désactivez des modules ou encore choisissez un autre ensemble de modules, la modification prend effet uniquement après que vous avez quitté, puis redémarré InDesign.
Affichage. La modification des options de cette section n’affecte que l’affichage de la liste et non l’état réel des modules.
à un autre. Lorsque vous avez terminé, cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Informations sur les modules externes. Pour visualiser les détails sur les modules, vous pouvez aussi cliquer deux fois sur un module dans la liste.
A propos de la fusion des données Vous pouvez fusionner un fichier de source de données avec un document cible pour créer des lettres types, des enveloppes ou des étiquettes d’adresses. Le fichier de source de données contient des informations qui varient à chaque réédition du document cible, par exemple les noms et adresses des destinataires d’une lettre type. Un fichier de source de données se compose de champs et d’enregistrements.Les champs sont des groupes d’informations spécifiques, comme des noms de sociétés ou des codes postaux, tandis que les enregistrements sont des lignes d’informations, comme le nom, l’adresse, la ville et le code postal. Un fichier de source de données peut être un fichier délimité par des virgules (.csv) ou par des tabulations (.txt) dans lequel chaque donnée est séparée respectivement par une virgule ou par une tabulation. Le document cible est un document InDesign contenant les balises d’emplacement des champs de données et tout le matériel, le texte et d’autres éléments types utilisés fréquemment qui restent les mêmes dans chaque nouvelle édition du document fusionné. Le document fusionné est le document InDesign obtenu contenant les informations types du document cible, répétées autant de fois que nécessaire pour contenir chaque entrée issue de la source de données.
<<Nom de la société>><<Adresse>><<Ville>>, <<Pays>><<Code postal>> Votre feuille de calcul ou base de données devrait avoir l’apparence suivante :
Pour plus de détails, voir la section « A propos des fichiers de source de données » à la page 691. 3. Créez un document cible contenant le texte et les autres éléments devant rester inchangés dans chaque version du document cible.
4. Sélectionnez la source de données à l’aide du panneau Fusion des données.
5. Insérez des champs dans le document cible à partir du panneau Fusion des données.
Pour plus de détails, voir les sections « Insertion de champs de données » à la page 694 et « Ajout de marques de réservation de champs de données aux gabarits » à la page 695. 6. Affichez un aperçu des enregistrements pour vérifier que l’aspect du document cible répond à vos attentes.
7. Fusionnez le document cible avec le fichier de source de données ou exportez-le au format PDF.
La source de données provient généralement d’une application de base de données ou de feuilles de calcul, mais vous pouvez aussi créer votre propre fichier de source de données à l’aide d’InDesign ou d’un éditeur de texte. Les fichiers de source de données doivent être enregistrés au format .csv ou .txt. Pour plus de détails sur l’exportation dans ces formats, reportez-vous au guide de l’utilisateur de votre application source.
Automatisation Ajout de champs d’image au fichier de source de données En ajoutant des champs d’image au fichier de source de données, vous pouvez afficher une image différente sur chaque enregistrement fusionné. Par exemple, lorsque vous fusionnez des documents incluant des informations provenant de différentes sociétés, vous avez la possibilité d’inclure dans la fusion le logo de la société correspondante. 1 Ouvrez le fichier de source de données. 2 Entrez le symbole « arobaz » (@) avant le nom du champ de données pour insérer du texte ou des chemins d’accès
Seule la première ligne requiert le symbole @. Les lignes suivantes doivent inclure les chemins d’accès aux images. Les chemins, qui sont sensibles à la casse, doivent être conformes aux conventions de nom de fichier du système d’exploitation sur lequel ils sont stockés. Si un message d’erreur s’affiche lorsque vous insérez le symbole @ au début du champ, insérez une apostrophe (’) avant le symbole @ (exemple : ’@Photos) pour valider la fonction. Certaines applications telles que Microsoft Excel réservent le symbole @ pour des fonctions précises. (Windows) Exemple de référence d’image dans un fichier de source de données Nom
Après avoir créé le fichier de source de données, vous devez créer le document cible et y insérer les champs provenant du fichier de source de données. Le document cible contient des balises d’emplacement de texte et de graphiques pour les champs de données, tels que l’illustration que vous souhaitez faire figurer sur toutes les cartes postales. Ces champs sont accessibles dès que vous sélectionnez une source de données.
<<Address>> Sélection d’une source de données Avant d’insérer les champs dans votre document cible, sélectionnez une source de données dans le panneau Fusion des données. Vous ne pouvez sélectionner qu’un seul fichier de source de données par document cible. 1 Créez ou ouvrez le document à utiliser comme document cible. 2 Choisissez Fenêtre > Automatisation > Fusion des données. 3 Choisissez Source de données dans le menu du panneau Fusion des données. 4 Pour modifier les options de délimitation du texte, sélectionnez Afficher les options d’importation.
5 Recherchez le fichier de source de données, puis cliquez sur Ouvrir. 6 Si vous avez sélectionné Afficher les options d’importation, modifiez les options de délimitation et de codage selon
Remarque : si un avertissement s’affiche pour indiquer une erreur d’ouverture du fichier ou si des champs incorrects apparaissent dans la zone de liste, il peut être nécessaire de modifier le fichier de feuille de calcul ou de base de données et de l’enregistrer au format .txt ou .csv. Une fois que la source de données est sélectionnée et que les champs sont chargés dans le panneau Fusion des données, aucun changement apporté à la source de données n’est reflété dans le document cible tant que vous ne mettez pas à jour la source de données.
Dès que vous insérez un champ de données, InDesign mémorise sa source de données. Toute erreur dans la liste des champs, telle que fautes de frappe, champs vides et types de champs incorrects, doit être corrigée dans l’application source avant de procéder à nouveau à la mise à jour à l’aide du panneau Fusion des données.
1 Créez un bloc de texte sur une page de document ou un gabarit.
2 Placez le point d’insertion dans le bloc de texte dans lequel vous voulez afficher la balise d’emplacement de champ
3 Pour insérer une marque de réservation de champ, effectuez l’une des opérations suivantes :
• Faites glisser un nom de champ hors de la liste du panneau Fusion des données et déplacez-le jusqu’au bloc de texte pour ajouter la marque de réservation. Si vous faites glisser un champ textuel vers un bloc vide, ce bloc vide devient un bloc de texte. Les marques de réservation des champs textuels s’affichent dans l’application cible entre doubles chevrons (par exemple, <<Nom>>) et utilisent les attributs de format courants (comme la police et le corps). Remarque : pour créer un champ valide, vous ne pouvez pas simplement entrer le nom du champ ou modifier un champ existant ; vous devez l’insérer à partir du panneau Fusion des données.
• Pour insérer une nouvelle balise d’emplacement d’image texte, faites glisser un champ d’image vers un bloc de texte ou placez le point d’insertion dans un bloc de texte et cliquez sur le champ d’image.
Les balises d’emplacement de champs d’image s’affichent sous forme de blocs portant le nom du champ.
Automatisation • Le document fusionné ainsi obtenu contient sur ses gabarits les balises d’emplacement d’origine et inclut les résultats fusionnés sur les pages de document en tant qu’éléments de gabarit supprimés.
Mettre à jour le contenu des champs de données. Cette option est particulièrement utile si vous modifiez la mise en page du document fusionné et que vous avez par la suite besoin d’ajouter de nouvelles données provenant de la source de données.
Remarque : si vous ajoutez des champs de données à un gabarit, vérifiez que le bloc de texte contenant les champs de données autorise le remplacement des éléments du gabarit. Sélectionnez le bloc de texte sur le gabarit et choisissez l’option Autoriser les remplacements des éléments du gabarit sur la sélection dans le menu du panneau Pages. Si cette option n’est pas sélectionnée, les données ne seront pas fusionnées (voir la section « Création de gabarits » à la page 70). Vous ne pouvez pas importer des champ de données à la fois sur des gabarits et des pages de document. Pour pouvoir effectuer une fusion correcte, vous devez appliquer à la première page du document un gabarit contenant des champs de données. Important : si un message d’erreur indique qu’InDesign ne peut pas fusionner le document du fait de l’absence de balises d’emplacement, il est probable que vous avez ajouté les balises d’emplacement sur le gabarit de gauche dans un document à une seule page. La page 1 est basée sur le gabarit de droite ; vous devez donc ajouter les balises d’emplacement sur le gabarit de droite.
• Pour mettre à jour des fichiers de source de données, modifiez le fichier de source de données et enregistrez-le au format .txt ou .csv, puis choisissez Mettre à jour la source de données dans le panneau Fusion des données. Les modifications seront répercutées dans le panneau Fusion des données. Si les modifications ne sont pas répercutées dans le document après la mise à jour, désélectionnez l’option Aperçu, puis sélectionnez-la à nouveau pour l’activer.
à réinsérer les champs de balises d’emplacement. Si vous générez un document fusionné à partir d’un document cible dans lequel les champs de données apparaissaient sur des gabarits, vous pouvez mettre à jour les champs de données dans le document fusionné.
Automatisation <<Société>>, vous pouvez avoir Adobe Systems, Inc. Vous pouvez utiliser les boutons de navigation du panneau Fusion des données pour passer d’un enregistrement à l’autre. Si les enregistrements comportent des erreurs (fautes de frappe, doubles espaces ou autres), il est conseillé de modifier le fichier source dans l’application d’origine (voir la section « A propos des fichiers de source de données » à la page 691). 1 Cliquez sur Aperçu en bas du panneau Fusion des données ou choisissez Aperçu dans le menu du panneau Fusion
2 Cliquez sur les boutons de navigation pour passer en revue les différents enregistrements.
également entrer le numéro de l’enregistrement que vous souhaitez prévisualiser dans la zone de texte de navigation en bas du panneau, puis appuyer sur la touche Entrée ou Retour.
Certains problèmes peuvent apparaître ou au contraire se corriger d’eux-mêmes lorsque vous changez de mode d’affichage. Gardez les points suivants à l’esprit :
Si vous supprimez une image en même temps que le bloc qui la contient ou si vous supprimez une chaîne de texte entière et que vous désélectionnez l’option Aperçu, les balises d’emplacement ne s’affichent pas, car elles ont également été supprimées.
Lorsque vous ajoutez un champ de données textuelles à un document, le texte de la balise d’emplacement du champ utilise les attributs de mise en forme (police et corps) actifs au point d’insertion. Vous pouvez ensuite modifier les attributs du texte de la balise d’emplacement et choisir l’aspect des données qui vous convient. ❖ Utilisez l’une ou plusieurs des méthodes suivantes :
Remarque : en mode éditeur, les balises d’emplacement de texte ont la même apparence que les hyperliens. Certaines des options du panneau Fusion des données ne sont pas disponibles en mode éditeur.
Automatisation • Pour appliquer les paramètres au document actif uniquement, ouvrez le document cible. • Pour appliquer les paramètres à tous les futurs documents, fermez tous les documents. 2 Choisissez Fenêtre > Automatisation > Fusion des données. 3 Choisissez Options d’importation du contenu dans le menu du panneau Fusion des données. 4 Modifiez les options de positionnement du contenu (voir la section « Options de positionnement du contenu » à la
Après avoir procédé à la mise en forme du document cible et inséré des champs issus du fichier de source de données, vous êtes prêt à fusionner les informations de la source de données et du document cible. Vous pouvez fusionner les enregistrements dans un autre document InDesign ou directement dans un fichier PDF. Lors de la fusion des données, InDesign crée un nouveau document ou un fichier PDF basé sur le document cible et remplace les champs du document cible par les données que vous avez spécifiées dans le fichier de source de données. Lors de la fusion d’un document incluant des balises d’emplacement de champs de données sur des gabarits, ces éléments de gabarit sont copiés dans les gabarits du nouveau document créé.
1 Ouvrez le document cible, puis procédez de l’une des manières suivantes :
enregistrements pour traiter tous les enregistrements du fichier de source de données, choisissez l’option Enregistrement unique pour fusionner un enregistrement spécifique ou spécifiez un groupe d’enregistrements à fusionner. 3 Pour l’option Enregistrements par page de document, utilisez l’une des méthodes suivantes :
Vous ne pouvez pas fusionner plusieurs enregistrements si les champs de données apparaissent sur une page de document dans un document à plusieurs pages ou s’ils apparaissent sur plusieurs gabarits. 4 Sélectionnez l’option Générer un rapport sur le texte en excès lors de la création de documents pour ouvrir
(voir la section « Rapports de texte en excès » à la page 699).
Automatisation 7 Si vous avez sélectionné Enregistrements multiples, sélectionnez Aperçu de la mise en page des enregistrements
8 Cliquez sur l’onglet Options et spécifiez les options d’importation (voir la section « Options de positionnement du
9 Lorsque vous avez terminé, cliquez sur OK. 10 Si vous préférez exporter directement au format PDF, spécifiez les options PDF et cliquez sur le bouton Exporter.
« Options Adobe PDF » à la page 543). Si le fichier de source de données renvoie à des formats de fichier non pris en charge ou des images non disponibles, vous devrez peut-être le corriger pour qu’il renvoie à un fichier pris en charge, modifier le chemin de base de tout fichier manquant ou simplement déplacer le fichier dans le dossier approprié de manière à ce qu’InDesign puisse le trouver et l’importer.
Choisissez Plusieurs pour créer plusieurs enregistrements par page. Par exemple, si vous imprimez des étiquettes d’adresses, vous en imprimerez certainement plusieurs par page. L’aspect des enregistrements dans la composition fusionnée dépend principalement des options de mise en page. Les restrictions que vous risquez de rencontrer lors de l’utilisation de l’option Enregistrements multiples sont les suivantes :
• La suppression d’un enregistrement dans la composition fusionnée ne signifie pas que les enregistrements restants sont redistribués dans la marque de réservation vide.
InDesign. Le fichier PDF final tire parti des XObjects PDF pour les portions statiques de la page, ce qui réduit sensiblement sa taille et améliore ses prestations.
Après avoir fusionné un document avec des balises d’emplacement sur des gabarits, vous pouvez modifier la mise en page du document fusionné et mettre à jour les valeurs des champs de données dans la source de données. Utilisez l’option Mettre à jour les champs de données pour mettre à jour les champs de données tout en conservant la mise en page du document. Cette option n’est disponible que pour les documents fusionnés dans lesquels des balises d’emplacement de données apparaissent sur des gabarits. 1 Procédez aux modifications souhaitées dans le fichier de source de données, puis enregistrez-le et fermez-le.
Automatisation Cette option fonctionne de façon optimale lors de la modification ou de l’ajout d’enregistrements dans le fichier de source de données. En cas d’ajout de champs de balise d’emplacement, de nouveaux champs dans la source de données ou de modification des paramètres dans la boîte de dialogue Créer un document fusionné, utilisez l’option Créer un document fusionné pour générer un nouveau document fusionné.
Un rapport de texte en excès est créé si l’option Générer le rapport de texte en excès à la création du document est sélectionnée dans la boîte de dialogue Créer un document fusionné et si un ou plusieurs champs contiennent du texte en excès après la fusion des données. Le rapport indique chaque occurrence de texte en excès sous forme de liste numérotée indiquant le numéro de la page dans laquelle le texte apparaît suivi du nombre de caractères ou de mots en excès et d’un extrait du texte. Si le rapport apparaît lors de la création d’un document fusionné, il peut vous aider à corriger le problème. Vous pouvez, par exemple, agrandir le bloc de texte, réduire le corps de la police ou modifier le texte.
Les options suivantes apparaissent dans la boîte de dialogue Options de positionnement du contenu : Positionner les images Conserve les proportions de l’image tout en l’ajustant aux dimensions du bloc (par défaut). Ajuster les images aux blocs Redimensionne l’image pour que ses proportions soient identiques à celles du bloc. Ajuster les blocs aux images Conserve la taille de l’image et ajuste la taille du bloc par rapport à celle-ci. Conserver les tailles de bloc et d’image Importe dans le bloc l’image à sa taille d’origine en l’alignant sur le coin
Remplir les blocs proportionnellement Importe l’image de telle sorte que sa hauteur ou sa largeur remplisse le bloc, le
Centrer dans le bloc Aligne le centre de l’image sur le centre du bloc. Lier les images Crée un lien ou un chemin de fichier vers le fichier graphique original. Si cette option n’est pas
Supprimer les lignes vides des champs vides Supprime les retours chariot insérés pour les champs vides. Cette option est particulièrement pratique pour les publipostages incluant un champ d’adresse facultatif. Cette option ignore les retours chariot. Maximum d’enregistrements par document Spécifie le nombre maximal d’enregistrements par document fusionné.
Maximum de pages par document Spécifie le nombre maximal de pages par document. Une fois le seuil atteint, un
Les grands et moyens imprimeurs peuvent acquérir des solutions de publication puissantes fondées sur InCopy et InDesign auprès des intégrateurs de systèmes et des développeurs tiers. Les groupes d’impression plus modestes ont la possibilité de configurer un système de flux de publication abordable et flexible à l’aide d’une version d’InCopy disponible directement auprès d’Adobe.
Partage de contenu Les modules externes Adobe InCopy LiveEdit Workflow permettent aux rédacteurs et correcteurs de composer leur document dans InCopy tandis que les concepteurs graphiques préparent la mise en page dans Adobe InDesign. Ce flux de production inclut des fichiers conteneurs, appelés affectations, permettant de regrouper des contenus connexes ainsi que des outils de notification et de verrouillage de fichiers pour partager et mettre à jour des fichiers dans InCopy ou InDesign sur un réseau partagé ou dans des assemblages compressés pouvant être distribués par courrier électronique. Dans ce flux de production du réseau partagé, les utilisateurs InDesign exportent le texte et les graphiques vers un emplacement partagé d’un système de fichiers, dans lequel les fichiers sont mis à la disposition des utilisateurs InCopy qui rédigent et modifient le contenu. Les blocs de texte et les blocs graphiques sélectionnés sont exportés vers l’affectation ou exportés en tant que fichiers InCopy distincts. Ils font ensuite partie du processus géré et sont liés au document InDesign. Ces fichiers partagés sont appelés fichiers gérés. Lorsque les utilisateurs travaillent sur le fichier d’affectation ou le fichier InDesign sur un serveur local, les modifications apportées au contenu ou à la mise en page associés sont signalées à tous les utilisateurs concernés qui appartiennent au flux de production de ce document. Plusieurs utilisateurs d’InCopy ou d’InDesign peuvent ouvrir le même fichier de contenu simultanément ; de même, plusieurs utilisateurs d’InCopy peuvent ouvrir le même fichier d’affectation simultanément. Toutefois, un seul utilisateur peut extraire le fichier InCopy pour le modifier. Les autres utilisateurs peuvent accéder à ce fichier en lecture seule. L’utilisateur qui extrait un fichier InCopy géré peut partager son travail avec d’autres utilisateurs en enregistrant le fichier sur le serveur partagé ou en le renvoyant à l’utilisateur InDesign. Cependant, les autres utilisateurs peuvent modifier ce fichier uniquement lorsque ce dernier a été de nouveau archivé. Ce système permet à plusieurs utilisateurs d’accéder au même fichier sans risque de suppression des modifications de chacun. Pour plus de détails, reportez-vous au guide relatif au flux de production InCopy LiveEdit Workflow (PDF) à l’adresse suivante : www.adobe.com/go/learn_liveedit_fr.
« Fichiers gérés » à la page 704
Ouverture de fichiers d’affectation créés dans InDesign Les utilisateurs InDesign peuvent créer un fichier d’affectation et définir le contenu à partager. Cette méthode permet à l’utilisateur InDesign d’associer des composants connexes (en-tête, corps, graphiques, légendes, etc.), puis de les affecter à différents utilisateurs InCopy pour l’écriture et la modification. Les utilisateurs InCopy ouvrent le fichier d’affectation et travaillent uniquement sur les composants qui leur ont été assignés. Le mode Mise en page affiche la manière dont la copie modifiée est reliée à la mise en page InDesign, sans ouvrir le document InDesign entièrement. Toutefois, si la mise en page est modifiée, l’utilisateur InDesign doit mettre à jour les affectations afin de notifier les utilisateurs InCopy des modifications apportées. Vous pouvez partager des fichiers d’affectation sur un serveur ou par l’intermédiaire des assemblages d’affectation.
Partage de contenu entre InCopy et InDesign
Le flux de production des assemblages d’affectation est particulièrement utile lorsque les concepteurs et les rédacteurs travaillent sur le même projet, mais qu’ils n’ont pas accès à un serveur local. Dans ces cas-là, l’utilisateur InDesign peut créer un ou plusieurs assemblages et envoyer par courrier électronique les fichiers compressés aux utilisateurs InCopy auxquels ils ont été affectés. Les utilisateurs InCopy peuvent ouvrir les assemblages d’affectation, modifier les contenus et renvoyer les assemblages à l’utilisateur d’InDesign, qui peut ensuite mettre à jour le document. Ouverture de fichiers InCopy liés exportés à partir d’InDesign Dans certains flux de production, les utilisateurs InDesign doivent exporter le texte et les graphiques sous forme de fichiers séparés plutôt que les inclure dans un fichier d’affectation. L’exportation de fichiers séparés est utile si vous travaillez sur des graphiques ou des corps de texte non associés. Toutefois, les utilisateurs InCopy ne peuvent pas voir comment le contenu s’intègre à la mise en page InDesign.
Partage de contenu entre InCopy et InDesign
InCopy en est informé lors de l’enregistrement du document InDesign. Composition de l’ensemble du contenu dans InCopy Vous pouvez créer du contenu dans InCopy qui ne soit pas associé à un fichier InDesign. Dans ces documents autonomes, vous pouvez saisir du texte, attribuer des polices et des styles et importer des graphiques depuis d’autres applications (telles qu’Adobe Illustrator et Adobe Photoshop) pour mettre le texte en valeur. Vous pouvez également attribuer des balises en vue d’une utilisation XML. Cette approche est très utile dans un flux de production éditorial, où le contenu précède la mise en page. Vous pouvez également définir et modifier la zone de texte, la taille et l’orientation de la page pour les documents InCopy autonomes. Si l’article est lié par la suite à une composition InDesign, les paramètres InDesign remplacent ceux définis dans InCopy.
« Exportation du contenu dans des fichiers InCopy distincts (InDesign) » à la page 713
• notifier tout utilisateur du caractère obsolète d’un fichier InCopy, de son utilisation par un autre collaborateur ou de sa disponibilité pour modification. Les méthodes de notification comprennent les messages d’alerte, les icônes de bloc, les icônes d’état du panneau Liens et celles du panneau Affectations. Fichiers en lecture seule Une fois qu’un fichier de contenu devient un fichier géré, il est toujours « en lecture seule » pour tous les utilisateurs du flux de production, sauf pour la personne qui l’a extrait. Le logiciel crée un fichier de verrouillage (*.idlk) lorsqu’un utilisateur extrait un fichier de contenu, donnant ainsi à cet utilisateur un contrôle exclusif sur sa modification. Un fichier en lecture seule possède les caractéristiques suivantes :
Toutefois, les utilisateurs d’InDesign et d’InCopy doivent extraire le bloc graphique pour pouvoir modifier le graphique (par exemple, pour le faire pivoter ou le redimensionner).
Utilisez l’une des méthodes suivantes pour vérifier que vous utilisez le dernier contenu et que vous n’écrasez pas le travail d’un autre utilisateur :
Partage de contenu entre InCopy et InDesign
« Rupture du lien de fichiers de contenu (InDesign) » à la page 725
Dans le cadre d’une gestion du flux de production entre InCopy et InDesign, les rédacteurs et correcteurs peuvent composer, récrire, augmenter et modifier les documents pendant que les concepteurs préparent la mise en page. Les flux de production les plus courants incluent la gestion des fichiers sur un serveur local, le partage des fichiers par courrier électronique ou une combinaison des deux méthodes. Ces flux de production supposent que vous disposiez d’un modèle InDesign de base avec une géométrie de mise en page, des styles et du texte de substitution. La géométrie de mise en page comprend les dimensions de page, les blocs de texte et les blocs graphiques. InCopy utilise ces éléments pour afficher des informations de calibrage correctes.
1. Dans InDesign, créez des affectations et ajoutez-leur du contenu.
2. Rendez les fichiers d’affectation disponibles à tous les utilisateurs InCopy.
3. Dans InCopy, ouvrez le fichier d’affectation pour extraire ou modifier un article ou une image.
4. Dans InDesign, travaillez sur la mise en page.
Partage de contenu entre InCopy et InDesign
1. Dans InDesign, créez et envoyez des assemblages d’affectation.
2. Dans InCopy, ouvrez l’assemblage d’affectation pour extraire ou modifier un article ou une image.
InCopy. Les modifications que vous apportez au fichier ne sont enregistrées que localement. Les autres utilisateurs ne sont pas informés des modifications que vous effectuez. 3. Dans InDesign, travaillez sur la mise en page.
4. Dans InCopy, renvoyez l’assemblage modifié.
5. Dans InDesign, vérifiez que le contenu a bien été archivé.
Tous les utilisateurs du flux de production doivent posséder un nom d’utilisateur. Cet identifiant indique qui a extrait un fichier particulier et rend ces informations disponibles aux autres utilisateurs. Elle est aussi requise lors de l’extraction d’un fichier pour modification. Si vous avez déjà indiqué un nom d’utilisateur et que vous souhaitez le modifier, vous devez archiver le contenu que vous avez extrait. Si vous changez d’identifiant pendant une session d’édition, vous risquez de ne plus pouvoir modifier le contenu extrait sous votre identifiant précédent. L’identifiant utilisateur est spécifique à chaque application ; un même utilisateur ne peut avoir plusieurs identifiants par application.
Partage de contenu entre InCopy et InDesign
1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Les icônes peuvent être affichées sur les blocs de texte et les blocs graphiques, dans le panneau Affectations, ainsi que dans la barre d’articles (InCopy seulement). Les icônes d’état d’édition s’affichent en regard de chaque fichier géré dans les panneaux Liens et Affectations. Elles indiquent l’état du contenu correspondant. Les icônes figurent aussi sur les blocs contenant des articles InCopy liés (en mode Mise en page dans InDesign et InCopy). Ces icônes indiquent également l’état du contenu et peuvent être utilisées pour distinguer le contenu géré du contenu non géré. L’info-bulle associée indique l’état de modification et les autorisations. Pour afficher les icônes de bloc, vérifiez que les contours des blocs s’affichent dans InDesign et InCopy (Affichage > Afficher les contours du bloc). Remarque : (InDesign) la fenêtre du document InDesign doit être en mode Normal pour que les contours des blocs s’affichent (cliquez sur le bouton du mode Normal en bas à gauche du panneau Outils). Icône
En cours d’utilisation par [nom] et Obsolète
Le contenu textuel est à jour
Exportation du contenu à partir d’InDesign Lorsque vous exportez du contenu d’InDesign vers InCopy, un lien est établi entre ces applications. Pour exporter les blocs de texte, les blocs graphiques InDesign et leur contenu vers InCopy, utilisez l’une des deux méthodes suivantes :
(les affectations compatibles avec InDesign CS3 sont enregistrées sous forme de fichiers *.inca). Le contenu des affectations est exporté sous forme de fichiers *.icml (le contenu exporté dans InCopy CS3 est enregistré sous forme de fichiers *.incx).
(le contenu exporté dans InCopy CS3 est enregistré sous forme de fichiers *.incx). Une fois le contenu exporté, des petites icônes apparaissent dans la partie supérieure gauche des blocs exportés dans InDesign et InCopy, et dans le panneau Affectations. Un lien vers le fichier exporté s’affiche dans le panneau Liens. Ces icônes indiquent l’état des blocs gérés et distinguent les blocs gérés des blocs qui n’appartiennent pas au flux de production. Tout le contenu exporté s’affiche dans le panneau Affectations. Le contenu exporté à l’aide des commandes de menu Exporter s’affiche dans la section Contenu InCopy non affecté de la liste du panneau Affectations. Même si les deux méthodes établissent une connexion contrôlée entre le contenu InCopy et un document InDesign, la première méthode doit être utilisée pour les fichiers d’affectation. Après son exportation, le contenu est accessible à tous les utilisateurs pour extraction. Il conserve toujours un lien vers le document d’origine InDesign. Ce lien est établi à partir d’InDesign ; vous ne pouvez pas le créer à partir d’InCopy. Une fois le contenu exporté, l’utilisateur InCopy peut afficher (sans les modifier) les mises en page, styles et autres éléments de la page, tels qu’ils apparaissent dans le document InDesign. Remarque : vous pouvez également créer du texte ou des images ancrées dans InCopy, puis les importer dans InDesign.
« Fichiers d’affectation » à la page 710 « Présentation du panneau Affectations » à la page 709 « Icônes de flux de production » à la page 707 « Importation de fichiers InCopy dans des documents InDesign » à la page 726
Partage de contenu entre InCopy et InDesign
Le panneau Affectations constitue l’outil de base pour l’utilisation des affectations (Fenêtre > Affectations). Le panneau Affectations affiche les fichiers exportés à partir du document InDesign actif. Une icône indique l’état de ces fichiers. Le menu du panneau Affectations contient également des commandes contrôlant les fonctions d’importation de version et de gestion des fichiers entre InCopy et InDesign. Lorsque vous ouvrez une affectation dans InCopy, le nom de l’affectation et son contenu s’affichent dans le panneau Affectations. Dans le panneau Affectations, cliquez deux fois dans les blocs de texte et les blocs graphiques pour les sélectionner dans la fenêtre de document. Remarque : le panneau Liens contient également la totalité du contenu exporté vers InCopy ou ajouté à une affectation. Même si ce panneau permet d’effectuer certaines tâches de gestion du flux de production, telles que l’extraction et l’archivage de contenu, le panneau Affectations est le plus approprié pour effectuer ces tâches. Affectations
Ce dossier d’affectation inclut les fichiers d’affectation *.icma et un sous-dossier de contenu comprenant tous les fichiers d’article InCopy exportés (au format .icml) qui font partie d’images ou de toute autre ressource. Une fois l’affectation créée, stockez le dossier du projet à un emplacement accessible à tous les utilisateurs, ou créez et distribuez un assemblage d’affectation. Si le contenu est exporté avant d’être ajouté à une affectation, les fichiers se trouvant sur le disque ne sont pas déplacés vers le dossier de contenu du fichier d’affectation. Les fichiers d’affectation comprennent les éléments suivants :
Seuls les utilisateurs d’InDesign peuvent créer des affectations et leur ajouter du contenu. Plusieurs méthodes permettent de créer des affectations. En général, la méthode choisie est différente selon que vous disposez de contenu à ajouter lors de la création de l’affectation.
Partage de contenu entre InCopy et InDesign
Par défaut, le dossier d’affectation que vous créez est enregistré dans le même dossier que le document InDesign. Vous pouvez alors placer ce dossier sur un serveur ou créer et envoyer un assemblage. Remarque : si vous ne souhaitez pas que les utilisateurs d’InCopy importent et ajustent des graphiques, n’ajoutez pas de blocs graphiques à l’affectation.
« Réédition de liens vers les fichiers d’affectation manquants (InDesign) » à la page 724 « Méthodes recommandées pour l’utilisation des fichiers gérés » à la page 704
1 Dans InDesign, enregistrez le document. 2 Dans le panneau Affectations (Fenêtre > Affectations), choisissez Nouvelle affectation dans le menu du panneau. 3 Dans la boîte de dialogue Nouvelle affectation, sélectionnez les options du fichier d’affectation et cliquez sur OK.
1 Dans InDesign, créez un document comprenant un ou plusieurs blocs de texte, blocs graphiques ou balises
2 Sélectionnez les blocs de texte et les blocs graphiques que vous souhaitez ajouter. 3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Choisissez Edition > InCopy > Ajouter [option] à l’affectation > Nouveau. 4 Dans la boîte de dialogue Nouvelle affectation, sélectionnez les options du fichier d’affectation et cliquez sur OK.
1 Enregistrez le document InDesign. 2 Sélectionnez les blocs de texte et les blocs graphiques que vous souhaitez ajouter. 3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Faites glisser le contenu depuis la section Contenu InCopy non affecté du panneau Affectations vers une affectation existante.
4 Dans le menu du panneau Affectations, choisissez Mettre à jour toutes les affectations pour que les utilisateurs
Partage de contenu entre InCopy et InDesign
Lorsque vous créez ou modifiez un fichier d’affectation, vous pouvez définir les options suivantes : Nom d’affectation Identifiant unique de l’affectation dans le panneau Affectations, par exemple « Article océan ». Ce
Compatibilité Choisissez la commande Optimisé pour CS4 si les utilisateurs d’InCopy de votre groupe de travail utilisent InCopy CS4. Les affectations sont enregistrées sous forme de fichiers *.icma. Choisissez la commande Compatible avec CS3 pour permettre aux utilisateurs d’InCopy CS3 d’ouvrir l’affectation. Affecté à Identifiant unique de l’utilisateur affecté aux fichiers. Le nom de l’utilisateur s’affiche entre parenthèses après
Couleur Affiche la liste des couleurs pour l’ajout d’une mise en surbrillance distincte aux blocs de l’affectation actuelle dans la fenêtre de document et aux noms d’affectation dans le panneau Affectations. Ce code couleur permet de différencier les blocs appartenant à une affectation des blocs appartenant à une autre, ainsi que des blocs non affectés. Pour afficher/masquer le code couleur, choisissez Affichage > Afficher/Masquer les blocs affectés. Dans InCopy, le code couleur est visible uniquement en mode Mise en page.
Modifier Cliquez sur le bouton Modifier pour spécifier l’emplacement du dossier d’affectations. Par défaut, le dossier
Blocs de substitution Permet aux utilisateurs d’InCopy d’afficher le texte et les blocs graphiques dans l’affectation
Dans InCopy, les blocs de substitution sont visibles uniquement en mode Mise en page. Les utilisateurs InCopy ne peuvent pas extraire ou modifier les blocs de substitution. Planches affectées Permet aux utilisateurs d’InCopy d’afficher tous les blocs affectés, ainsi que la totalité du contenu
Toutes Exporte tout le contenu du document InDesign vers le fichier d’affectation. Cette option offre la meilleure fidélité ; elle donne aussi les plus faibles performances car le fichier d’affectation affiche la conception et la mise en page de chaque page, y compris les pages sans rapport avec la section que l’utilisateur modifie. Fichiers image liés lors de l’assemblage Inclut une copie des images liées dans l’assemblage d’affectation. Lorsqu’elle
Partage de contenu entre InCopy et InDesign
Si votre groupe de travail préfère travailler sur des fichiers séparés plutôt que d’utiliser des affectations, vous pouvez exporter le contenu InCopy sans utiliser de fichier d’affectations. Contrairement à la méthode de création d’un fichier d’affectation unique comportant des références à plusieurs fichiers de contenu et à des informations de mise en page, cette méthode crée un fichier distinct (.icml) pour chaque bloc de texte ou bloc graphique spécifié dans le document. Pour afficher le contexte du contenu que vous modifiez, vous devez également ouvrir le document InDesign associé (.indd). Préparez le document InDesign selon les besoins de votre flux de production. Par exemple, si vous voulez que tous les commentaires de l’éditeur soient exportés dans un seul et même fichier, créez un calque permettant à l’éditeur d’insérer des commentaires. Vous pouvez alors exporter tout le contenu du calque sélectionné. Remarque : pour exporter rapidement du contenu en tant que fichier InCopy indépendant, à l’aide de l’outil Sélection, faites glisser et déposez les blocs sélectionnés dans la section Contenu InCopy non affecté du panneau Affectations. 1 Dans InDesign, créez un document comprenant un ou plusieurs blocs de texte, blocs graphiques ou balises
2 Utilisez l’une des méthodes suivantes : Sélection Exporte tous les blocs de texte et blocs graphiques sélectionnés. Calque Exporte tout le contenu du calque sélectionné. Tous les articles Exporte tous les articles qui n’ont pas encore été exportés. Tous les graphiques Exporte tous les graphiques qui n’ont pas encore été exportés. Tous les graphiques et articles Exporte tous les articles et graphiques qui n’ont pas encore été exportés.
Tous les articles (ou Tous les graphiques ou Tous les graphiques et articles). InDesign exporte uniquement le nouveau contenu. 4 (Facultatif) Dans la boîte de dialogue Exporter le contenu InCopy, choisissez la commande InCopy CS3
5 Entrez un nom et un emplacement pour le fichier, puis cliquez sur Enregistrer.
6 Dès l’affichage du message, enregistrez votre fichier InDesign.
Création et envoi d’assemblages (InDesign) Dans l’idéal, tous les utilisateurs InDesign et InCopy de l’équipe ont accès à un serveur où sont stockés les fichiers d’affectation. Toutefois, si des utilisateurs n’ont pas accès à un serveur commun, vous pouvez créer et distribuer des assemblages d’affectation compressés. Après avoir travaillé sur l’affectation, l’utilisateur InCopy reconstitue l’assemblage de cette affectation et le renvoie afin qu’il soit intégré au document InDesign. Les fichiers d’assemblage créés dans InDesign portent l’extension .icap (ou .incp s’il s’agit d’un assemblage compatible avec la version CS3). Les fichiers de renvoi d’assemblage créés dans InCopy portent l’extension .idap (ou .indp s’il s’agit d’un assemblage compatible avec la version CS3). Deux commandes permettent d’assembler des fichiers : Assembler et Assembler et envoyer par courrier électronique. La commande Assembler permet de créer un assemblage compressé que vous pouvez envoyer manuellement ; la commande Assembler et envoyer par courrier électronique crée un assemblage compressé qui est joint automatiquement à un message électronique.
1 Créez une affectation et ajoutez le contenu que vous souhaitez inclure dans l’assemblage.
2 Dans le panneau Affectations, sélectionnez l’affectation souhaitée et choisissez la commande Assembler pour
3 Indiquez le nom et l’emplacement du fichier d’affectation, puis cliquez sur Enregistrer.
Remarque : lorsque vous choisissez la commande Edition > Annuler après avoir créé un assemblage, ce dernier est annulé et les éléments de l’affectation sont déverrouillés. Le fichier d’assemblage reste toutefois sur le disque et l’envoi du courrier électronique n’est pas annulé.
1 Créez une affectation et ajoutez le contenu que vous souhaitez inclure dans l’assemblage.
2 Dans le panneau Affectations, sélectionnez l’affectation souhaitée et choisissez la commande Assembler pour
Un assemblage d’affectation compressé est créé et joint à un message électronique dans votre programme de messagerie électronique par défaut.
Partage de contenu entre InCopy et InDesign
3 Modifiez le message électronique en ajoutant un destinataire et des instructions si nécessaire. Envoyez le message.
Dans certains cas, l’assemblage que vous envoyez n’est pas renvoyé. Par exemple, le message a pu se perdre, ou le destinataire ne travaille plus sur le projet. Dans ce cas, vous pouvez annuler un assemblage. 1 Dans le panneau Affectations, sélectionnez l’affectation assemblée et choisissez la commande Annuler l’assemblage
2 Cliquez sur le bouton OK pour annuler l’assemblage.
Lorsqu’un assemblage est annulé, son contenu est modifiable. Notez que des conflits peuvent survenir si un assemblage annulé est renvoyé.
Après avoir créé un assemblage, vous pouvez ajouter, supprimer ou redimensionner des éléments. 1 Ajoutez, supprimez ou redimensionnez un ou plusieurs articles de l’affectation assemblée. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Lorsque les utilisateurs InCopy ouvrent l’assemblage mis à jour, seul le nouveau contenu est ajouté automatiquement à l’affectation. Les utilisateurs InCopy peuvent choisir de remplacer le contenu existant. Ils peuvent ainsi conserver des modifications précédentes.
Vous pouvez recevoir un assemblage d’un utilisateur InDesign qui en est l’auteur, ou d’un utilisateur InCopy qui vous le transfère. Lorsque vous ouvrez un assemblage d’affectation, ce dernier est décompressé et le contenu est copié dans un nouveau sous-dossier d’un dossier d’affectations InCopy.
Partage de contenu entre InCopy et InDesign
❖ Pour ouvrir un assemblage InCopy (*.icap ou *.incp), utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Dans InCopy, choisissez la commande Ouvrir l’assemblage dans le menu du panneau Affectations, puis cliquez deux fois sur le fichier d’assemblage. Vous pouvez à présent modifier les articles de l’assemblage. Lorsque vous commencez à modifier un article, vous êtes invité à extraire le contenu du bloc. Une fois les modifications terminées, enregistrez l’ensemble du contenu et renvoyez l’assemblage ou transférez-le.
Après avoir ouvert et modifié un assemblage, vous pouvez l’envoyer à un autre utilisateur InCopy ou le renvoyer à l’utilisateur InDesign ayant créé l’assemblage. Les fichiers d’assemblage créés pour d’autres utilisateurs d’InCopy portent l’extension .icap. Les fichiers d’assemblage renvoyés aux utilisateurs d’InDesign portent l’extension .idap. 1 Modifiez et archivez le contenu à inclure dans l’assemblage. 2 Dans le menu du panneau Affectations, choisissez l’une des commandes suivantes : Transférer pour InCopy Créé un assemblage pour un autre utilisateur InCopy. Spécifiez le nom et l’emplacement du
Transférer pour InCopy et envoyer par courrier électronique Crée un assemblage et l’envoie par courrier électronique à un autre utilisateur InCopy. L’assemblage apparaît comme pièce jointe à un nouveau message électronique dans votre programme de messagerie électronique par défaut. indiquez le destinataire, ajoutez des instructions et envoyez le message. Renvoyer pour InDesign Crée un assemblage à renvoyer à l’utilisateur InDesign. Renvoyer pour InDesign et envoyer par courrier électronique Crée et renvoie par courrier électronique un assemblage à l’utilisateur InDesign. L’assemblage apparaît comme pièce jointe à un nouveau message électronique dans votre programme de messagerie électronique par défaut. indiquez le destinataire, ajoutez des instructions et envoyez le message.
❖ Pour ouvrir un assemblage InDesign (*.idap ou *.indp), utilisez l’une des méthodes suivantes :
Ouverture de contenu partagé Seuls les utilisateurs d’InCopy peuvent ouvrir les fichiers d’affectation (.inca). Lorsqu’un utilisateur d’InCopy ouvre un fichier InDesign contenant des affectations, il a accès à tout le contenu géré, quelles que soient les affectations. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Lors de l’extraction d’un élément, un fichier de verrouillage masqué (.idlk) est placé sur le système de fichiers. Une fois le contenu extrait, vous disposez du contrôle exclusif de son contenu. Les autres utilisateurs ne sont pas autorisés à effectuer des modifications. Vous pouvez extraire le contenu InCopy uniquement ; vous ne pouvez pas extraire les documents InDesign comportant des informations de mise en page. Si vous tentez de fermer un document InDesign contenant un ou plusieurs fichiers de contenu InCopy que vous avez extraits, l’application affiche un message d’avertissement vous demandant d’archiver tout le contenu. Si vous fermez le document sans en archiver les fichiers de contenu, ils resteront extraits pour vous à sa prochaine ouverture. Lors de l’enregistrement du document InDesign, tous les fichiers de contenu InCopy modifiables sont automatiquement enregistrés.
« Fichiers gérés » à la page 704
Dans InCopy, l’icône En cours d’utilisation s’affiche dans le bloc InCopy et dans le panneau Affectations si les fichiers d’affectation sont stockés sur un serveur local.
1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour extraire tout le contenu d’une affectation, sélectionnez l’affectation dans le panneau Affectations et choisissez Extraire dans le menu du panneau.
Affectations, sélectionnez un ou plusieurs éléments et choisissez Extraire dans le menu du panneau. L’icône Modification s’affiche en regard des éléments dans le panneau Affectations, indiquant que le contenu est extrait et qu’il est réservé à votre usage. 3 Si vous êtes invité à mettre à jour le contenu avec les modifications, cliquez sur OK.
Pour rédiger un texte et effectuer des modifications rapidement, il est conseillé d’ouvrir un fichier de contenu géré (.icml ou .incx) directement dans InCopy et de l’utiliser en mode Article. Il est inutile d’extraire un fichier géré indépendant pour le modifier ; InCopy s’en charge automatiquement. Après l’enregistrement et la fermeture du fichier, InCopy l’archive automatiquement. Les commandes Enregistrer sont différentes lorsque vous ouvrez des fichiers indépendants.
« Fichiers gérés » à la page 704 « Enregistrement des modifications (InDesign) » à la page 722
Partage de contenu entre InCopy et InDesign
Vous pouvez enregistrer les modifications manuellement dans les affectations lorsque vous fermez le document en cours. La seule méthode pour rendre les modifications de mise en page disponibles aux utilisateurs d’InCopy consiste à mettre à jour un fichier d’affectation. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Mettre à jour les affectations sélectionnées dans le menu du panneau.
Remarque : si un utilisateur InCopy a ouvert une affectation que vous mettez à jour, l’icône Obsolète regard de l’affectation dans le panneau Affectations d’InCopy.
« Mise à jour de contenu » à la page 719 « Création et envoi d’assemblages (InDesign) » à la page 714
Pour vous assurer que vous utilisez le dernier contenu, vérifiez si le panneau Affectations contient des icônes Obsolète et mettez à jour le contenu en conséquence. La mise à jour d’un fichier d’affectation InCopy et de son contenu ou de fichiers de contenu indépendants entraîne la copie des données de la copie du système de fichiers la plus récente afin que la version affichée sur votre ordinateur corresponde à celle du système de fichiers. La mise à jour ne nécessite ni archivage ni extraction et ne donne aucune autorisation d’édition. Elle peut toutefois poser certains problèmes si un autre utilisateur a supprimé votre verrouillage. Remarque : la mise à jour du contenu ne suffit pas à mettre à jour le contenu des assemblages d’affectation qui n’ont pas été renvoyés. Exemple de mise à jour du flux de production : 1 L’utilisateur d’InCopy ouvre un fichier d’affectation ou extrait un fichier de contenu indépendant et modifie son
2 L’utilisateur d’InCopy enregistre le fichier de contenu (ce qui revient à mettre à jour sa version sur le système de
3 Dans InDesign, l’icône Obsolète
Partage de contenu entre InCopy et InDesign
« Mise à jour accidentelle » à la page 721 « Présentation du panneau Liens » à la page 393
1 Choisissez Fichier > Ouvrir, sélectionnez le fichier texte de votre choix, puis cliquez sur Ouvrir. 2 Cliquez sur Oui après l’affichage du message pour mettre à jour le document avec le contenu modifié sur le système
3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour réparer les liens manuellement, cliquez sur Ne pas réparer, puis sélectionnez le fichier à mettre à jour et choisissez Mettre à jour le lien dans le menu du panneau Liens.
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Vous pouvez également mettre à jour le contenu à l’aide du panneau Liens.
Partage de contenu entre InCopy et InDesign
Dans la plupart des cas, les commandes de mise à jour sont désactivées pour un contenu extrait, le contenu étant constamment à jour. Toutefois, une situation indésirable peut se produire si un autre utilisateur supprime le verrou du contenu extrait en déposant le fichier de verrouillage (.idlk) dans la corbeille et modifie le contenu. Dans ce cas, les commandes de mise à jour peuvent être activées même si vous avez extrait le contenu, ce qui permet à deux personnes de modifier le contenu en même temps. Les mises à jour du contenu seraient alors perdues. Pour des résultats optimaux, ne supprimez pas les fichiers de verrouillage.
Les utilisateurs d’InDesign peuvent modifier la mise en page (par exemple, modifier la taille et l’emplacement des blocs de texte d’un article) et enregistrer les modifications pendant que les utilisateurs d’InCopy modifient le texte de ces blocs. Dans un flux de production de serveur partagé, la manière dont les utilisateurs InCopy sont avertis des modifications de mise en page varie selon qu’ils ont ouvert un fichier d’affectation ou extrait des fichiers de contenu indépendants et ouvert le fichier InDesign lié. Gardez les points suivants à l’esprit :
InDesign actif avec les dernières modifications de mise en page et de style. La mise à jour de la mise en page dans InCopy est utile pour les tâches de calibrage, l’aspect le plus récent de la mise en page (avec sauts de lignes) étant visible dans les modes Mise en page et Epreuve en placard. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
à jour la maquette. Il est impossible d’annuler cette commande.
Lors de l’archivage d’un fichier de contenu géré, ce fichier est enregistré dans un emplacement partagé d’un système de fichiers. Il peut ensuite être extrait par d’autres utilisateurs pour modification. Les blocs de texte et les blocs graphiques exportés depuis InDesign sont également archivés automatiquement. Bien qu’un fichier archivé soit accessible en modification, il n’est pas véritablement modifiable avant son extraction (sauf si vous éditez le contenu en mode autonome dans InCopy). L’archivage du contenu entraîne l’arrêt du contrôle de l’édition, mais pas la fermeture du fichier. Le contenu reste ouvert à l’écran, mais en mode lecture seule.
Partage de contenu entre InCopy et InDesign
Version Cue. Si vous travaillez sur un assemblage d’affectation, renvoyez-le ou transférez-le après l’avoir archivé.
« Exportation du contenu à partir d’InDesign » à la page 708 « Fichiers gérés » à la page 704
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Dans le panneau Affectations, sélectionnez le contenu et choisissez Archiver dans le menu du panneau.
❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Dans le panneau Affectations, sélectionnez le contenu et choisissez Archiver dans le menu du panneau. Remarque : vous pouvez annuler les modifications les plus récentes avant d’archiver le contenu. Lorsque vous archivez un fichier, l’icône Disponible s’affiche sur les blocs de texte et les blocs graphiques dans la mise en page InDesign, le mode Mise en page d’InCopy, le panneau Affectations et la barre d’articles (InCopy).
Lorsque vous travaillez sur un contenu extrait, vous pouvez enregistrer et mettre à jour sa version sur le système de fichiers. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
Remarque : si vous travaillez avec un fichier géré par un espace de travail Version Cue, une commande indépendante Archiver est disponible. La fonction d’espace de travail Version Cue est accessible uniquement dans Adobe Creative Suite.
Partage de contenu entre InCopy et InDesign Fichier > Enregistrer le contenu. Le fichier reste extrait pour vous pendant le processus.
Remarque : la commande Enregistrer une version est disponible uniquement si vous travaillez avec un fichier géré par un espace de travail Version Cue. La fonction d’espace de travail Version Cue est accessible uniquement dans Adobe Creative Suite.
Déplacement de contenu entre les affectations (InDesign) Les utilisateurs d’InDesign peuvent déplacer du contenu entre les affectations existantes, ainsi qu’à partir de la section Contenu InCopy non affecté du panneau Affectations. Vous pouvez également créer une affectation et y placer du contenu. 1 Enregistrez le document InDesign. 2 Dans le panneau Affectations, cliquez sur la flèche à gauche du nom de l’affectation pour afficher son contenu. 3 Sélectionnez un élément dans une affectation. 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour déplacer le contenu vers une affectation existante, choisissez la commande Ajouter à l’affectation dans le menu du panneau Affectations, puis sélectionnez l’affectation souhaitée.
Nouveau, puis définissez les options dans la boîte de dialogue Nouvelle affectation. 5 Dans le menu du panneau Affectations, choisissez Mettre à jour toutes les affectations.
Partage de contenu entre InCopy et InDesign
La suppression des affectations entraîne :
• la suppression du fichier d’affectation du système de fichiers ; • le retrait du nom de l’affectation de la liste ; • le déplacement du contenu InCopy vers la section Contenu InCopy non affecté du panneau Affectations. Remarque : si un utilisateur InCopy a ouvert une affectation supprimée dans InDesign, une alerte avertit l’utilisateur d’InCopy que l’affectation a été supprimée. Toutefois, les fichiers de contenu ne sont pas supprimés et peuvent être mis à jour sans entraîner la perte des modifications.
« Rupture du lien de fichiers de contenu (InDesign) » à la page 725
Si vous déplacez ou supprimez un fichier d’affectation sur le disque, puis ouvrez le document InDesign à partir duquel il a été créé, InDesign ne connaît pas l’emplacement du fichier d’affectation. Vous devez recréer le fichier d’affectation afin qu’InDesign puisse le localiser.
« Mise à jour, restauration et remplacement de liens » à la page 397
❖ Dans le panneau Affectations, utilisez l’une des méthodes suivantes :
❖ Pour recréer le fichier d’affectation à un nouvel emplacement, dans le panneau Affectations, utilisez l’une des
Modifier pour définir l’emplacement et le nom du nouveau fichier.
Partage de contenu entre InCopy et InDesign
Si vous avez commis une erreur, vous pouvez annuler les modifications effectuées depuis la dernière activation de la commande Enregistrer et restaurer le contenu à partir du système de fichiers. Etant donné qu’InDesign enregistre automatiquement tout fichier de contenu InCopy modifiable lors de l’enregistrement d’un document, la commande Annuler Extraire restaure l’état des articles lors du dernier enregistrement du document. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour annuler toutes les modifications effectuées depuis le dernier enregistrement du document, choisissez Fichier > Version précédente. Les utilisateurs peuvent ne pas immédiatement réaliser l’effet de leurs actions sur les autres membres du flux de production, ce qui peut créer des conflits entre l’état du contenu et les autorisations. Si nécessaire, l’utilisateur d’InDesign peut résoudre les conflits en rompant le lien d’un fichier verrouillé extrait pour un utilisateur différent et en reprenant le contrôle exclusif du fichier. Lorsque vous rompez le lien d’un fichier, le contenu est stocké dans le document InDesign, mais il n’est plus partagé avec InCopy.
« Rupture du lien de fichiers de contenu (InDesign) » à la page 725 « Mise à jour accidentelle » à la page 721
Si nécessaire (en raison d’un délai de production, par exemple), les utilisateurs d’InDesign peuvent retirer un fichier de contenu du flux de production géré et du panneau Liens en rompant son lien. Si vous souhaitez que le contenu puisse être à nouveau modifié, vous devez le réexporter en tant que contenu InCopy en utilisant un nom de fichier différent. Cela permet d’éviter que le fichier de verrouillage empêche les utilisateurs de modifier le fichier. Remarque : lorsque vous rompez le lien de vos propres fichiers extraits, ces fichiers et les fichiers de verrouillage sont supprimés du flux de production et du disque. Vous pouvez réexporter le contenu et remplacer le nom de fichier sans provoquer de conflit. ❖ Pour rompre le lien d’un fichier de contenu InCopy, dans le panneau Liens, sélectionnez le fichier (extension .icml
Pour rétablir le lien du fichier, choisissez Edition > Annuler Rompre le lien. Vous pouvez également rompre le lien en supprimant un bloc ou en utilisant le panneau Liens d’InDesign pour rétablir le lien d’un fichier de contenu à un autre fichier. Vous pouvez aussi sélectionner l’article dans le panneau Affectations et le faire glisser vers l’icône de la corbeille.
Partage de contenu entre InCopy et InDesign
Même si un flux de production commence en général dans InDesign, où la mise en page de base et les balises d’emplacement du texte et des graphiques sont définis et exportés vers InCopy, un autre flux de production peut démarrer avec un fichier de contenu InCopy autonome (.icml ou .incx) que vous importez dans InDesign à l’aide de la commande Fichier > Importer. Tenez compte des règles suivantes lors de l’importation de fichiers de contenu dans un document InDesign : Styles Si des styles ont été appliqués au fichier de contenu InCopy, ils sont ajoutés à la liste de styles InDesign pour le document. En cas de conflit des noms de styles, InDesign écrase le style importé et le remplace par le style existant. Mise en page Vous pouvez créer une géométrie élémentaire de mise en page pour le contenu dans InDesign, puis créer le texte et les styles, ou les importer à partir d’une application de traitement de texte. Les fichiers texte importés dans InCopy sont incorporés au document InCopy et ne sont pas liés à un fichier externe. Importation/duplication Si vous importez un fichier de contenu InCopy plusieurs fois, chaque occurrence du contenu
La règle est la même pour toute copie exacte d’un fichier de contenu (par duplication). Remarque : si vous copiez et collez une partie du texte d’un fichier de contenu InCopy géré, cela entraîne la création d’un nouveau fichier de contenu sans aucun lien avec l’original ou avec un fichier externe (InCopy ou autre). Il est possible d’éditer l’original et les parties collées indépendamment. Mises à jour/gestion Lorsque plusieurs occurrences d’un fichier de contenu géré se trouvent dans un document InDesign, elles se comportent comme si elles étaient ouvertes dans deux applications. Par exemple, l’extraction d’une occurrence du fichier de contenu a pour effet de verrouiller toutes les autres occurrences, ce qui permet de modifier uniquement l’occurrence extraite. Dans ce cas, vous devez utiliser la commande Mise à jour appropriée pour mettre à jour les autres occurrences (ouvertes) du contenu.
Les fonctions Notes et Suivi des modifications d’InDesign utilisent les noms d’utilisateur du flux de production pour identifier l’auteur d’une note ou d’une modification suivie. Les notes et modifications suivies comportent des codes couleur qui varient selon l’utilisateur. Vous pouvez définir ces codes dans les préférences de notes d’InDesign ou dans la boîte de dialogue Utilisateur d’InCopy (Fichier > Utilisateur). Lorsque le suivi des modifications est activé dans InCopy et qu’un utilisateur d’InDesign modifie un contenu géré, ces modifications sont suivies et enregistrées dans InDesign, mais visibles uniquement dans InCopy. Les notes apparaissent uniquement dans le texte. Dans InDesign, il est possible de les imprimer seulement à partir du Mode éditeur. De plus, elles ne peuvent pas être exportées au format PDF.
« Saisie de l’identifiant utilisateur » à la page 706
Lorsque vous effectuez des modifications en mode éditeur, le serre-livres apparaît. En mode Mise en page, le panneau Notes apparaît. 2 Saisissez la note entre les serre-livres de la note ou saisissez-la dans le panneau Notes.
Le mode Notes permet d’ajouter, scinder ou supprimer facilement des notes, en fonction de l’emplacement du point d’insertion ou du texte sélectionné. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Pour convertir le texte en note, sélectionnez le texte. • Pour scinder une note, placez le point d’insertion dans une note. • Pour convertir la note en texte, sélectionnez le serre-livres de la note (en Mode éditeur). • Pour placer le point d’insertion à l’extérieur d’une note, insérez-le au début ou à la fin de la note. 2 Choisissez la commande Texte > Notes >Mode Notes.
Le point d’ancrage de la note indique l’emplacement d’une note. Le panneau Notes affiche le contenu de la note, ainsi que des informations spécifiques sur cette note.
Partage de contenu entre InCopy et InDesign
Les préférences permettent de définir la couleur des notes ancrées, des serre-livres et des arrière-plans lorsqu’ils sont incorporés en mode éditeur. Vous pouvez choisir d’afficher les informations sur la note dans une info-bulle, d’inclure le contenu de la note lors d’opérations de recherche et de remplacement et de vérifier l’orthographe en mode éditeur. 1 Choisissez la commande Edition > Préférences > Notes (Windows) ou InDesign > Préférences > Notes (Mac OS). 2 Sélectionnez une couleur pour les ancres et les serre-livres des notes dans le menu déroulant Couleur des notes.
3 Sélectionnez Afficher les infos-bulles des notes pour afficher des informations relatives aux notes et une partie ou
4 Indiquez si vous souhaitez inclure le contenu de la note texte lors de l’utilisation des commandes
Remarque : en mode Mise en page, vous ne pouvez pas utiliser les commandes Rechercher/Remplacer et Orthographe pour le contenu des notes, quels que soient les paramètres de la boîte de dialogue Préférences. Néanmoins, l’option Tout remplacer modifie le contenu des notes. 5 Sélectionnez [Aucune] ou [Couleur de note ] (la couleur choisie à l’étape 2) pour définir la couleur de fond d’une
6 Cliquez sur OK. Pas d’équivalence
Comparaison des menus PageMaker et InDesign
Comparaison des menus PageMaker et InDesign
Typographie > Définir les styles
Styles de caractère
(Texte > Paragraphe). Pour les blocs de texte et les graphiques, utilisez les commandes du sous-menu Objet > Ajustement pour ajuster le contenu au bloc (ou inversement).
Commandes du menu Options de PageMaker Commande PageMaker
La liste des raccourcis clavier présentée dans ce tableau n’est pas exhaustive. Elle répertorie uniquement les raccourcis qui ne s’affichent pas dans des commandes de menu ou des info-bulles. Outil
La liste des raccourcis clavier présentée dans ce tableau n’est pas exhaustive. Elle répertorie uniquement les raccourcis qui ne s’affichent pas dans des commandes de menu ou des info-bulles. Résultat
La liste des raccourcis clavier présentée dans ce tableau n’est pas exhaustive. Elle répertorie uniquement les raccourcis qui ne s’affichent pas dans des commandes de menu ou des info-bulles. Résultat
La liste des raccourcis clavier présentée dans ce tableau n’est pas exhaustive. Elle répertorie uniquement les raccourcis qui ne s’affichent pas dans des commandes de menu ou des info-bulles.
Raccourcis clavier Maj+faire glisser la bordure intérieure de la ligne ou de la colonne
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Double-clic sur un mot
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Utilise le facteur de zoom actif pour le seuil d’affichage du nouveau repère
Ctrl+Aide > A propos d’InDesign externes et les composants InDesign installés
Alt+Ctrl-clic dans la liste, puis utilisation du clavier pour sélectionner un élément par son nom
élément par son nom
Inférieur/Indice ou Petites capitales
Supérieur/Exposant, Inférieur/Indice ou Petites capitales
Option-clic sur le bouton Souligné
Option-clic sur le bouton Aligner sur la grille ligne de base ou Ne pas aligner sur la grille de de ligne de base ou Ne pas aligner sur la grille ligne de base de ligne de base
« Utilisation des ensembles de raccourcis clavier » à la page 25
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touches Maj+Alt+Ctrl+C Sélectionnez le texte et appuyez sur les
Option-clic sur le calque
Option-clic sur le gabarit
Résultat Alt-clic sur la gamme de couleurs
« Utilisation des ensembles de raccourcis clavier » à la page 25
La liste des raccourcis clavier présentée dans ce tableau n’est pas exhaustive. Elle répertorie uniquement les raccourcis qui ne s’affichent pas dans des commandes de menu ou des info-bulles. Résultat
Option+Commande-clic sur le bouton Nouvelle nuance
« Utilisation des ensembles de raccourcis clavier » à la page 25
dans les tableaux 300
enregistrement pour l’échange de fichiers 480
à propos 506 dans Photoshop, Illustrator et InDesign 507 épreuve à l’écran des couleurs dans Acrobat 509
à propos 178 espace sans alinéa 284 espaces insécables 283
pour les PDF 506, 511
affichage et masquage 55 magnétisme sur les objets 60 grille de document magnétisme sur les objets 55, 60 grille de ligne de base
variantes de glyphes dans le texte 176
ligature, application à des paires de lettres 248
réglage de l’angle et de la longueur 352
réparation des liens et des images 659
dans les index 326 dans les mentions de tourne 93
pour les conflits de versions de Mac OS 750
Programme d’amélioration des produits Adobe 1
Simuler le papier blanc, option 509
synchronisation dans les livres 312
rupture du lien avec l’objet 209
redimensionnement de colonnes et de rangées 295
modification de la casse 251
sélection dans les blocs couverts 145
conversion de caractères de texte en 369
suppression des trous 367