INDESIGN CS5 - Logiciel de publication assistée par ordinateur ADOBE - Notice d'utilisation et mode d'emploi gratuit

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Téléchargez la notice de votre Logiciel de publication assistée par ordinateur au format PDF gratuitement ! Retrouvez votre notice INDESIGN CS5 - ADOBE et reprennez votre appareil électronique en main. Sur cette page sont publiés tous les documents nécessaires à l'utilisation de votre appareil INDESIGN CS5 de la marque ADOBE.



FOIRE AUX QUESTIONS - INDESIGN CS5 ADOBE

Comment installer Adobe InDesign CS5 sur mon ordinateur ?
Pour installer Adobe InDesign CS5, insérez le disque d'installation ou téléchargez le fichier d'installation depuis votre compte Adobe. Suivez les instructions à l'écran et entrez votre numéro de série lorsque cela est demandé.
Mon InDesign CS5 ne s'ouvre pas, que faire ?
Assurez-vous que votre système d'exploitation est compatible avec InDesign CS5. Essayez de redémarrer votre ordinateur, de réinstaller le logiciel ou de vérifier les mises à jour disponibles.
Comment résoudre des problèmes de performance avec InDesign CS5 ?
Pour améliorer les performances, fermez les autres applications en cours d'exécution, augmentez la mémoire allouée à InDesign dans les préférences, et vérifiez si des mises à jour sont disponibles.
Comment récupérer un document InDesign non enregistré ?
Vérifiez le dossier 'Documents récents' sous le menu 'Fichier'. Si vous avez activé la sauvegarde automatique, recherchez un fichier .idlk dans le dossier de votre projet.
Pourquoi mes polices ne s'affichent-elles pas correctement dans InDesign CS5 ?
Assurez-vous que les polices sont installées correctement sur votre ordinateur. Vous pouvez également essayer de réinitialiser le cache des polices ou de redémarrer InDesign.
Comment exporter un document InDesign au format PDF ?
Allez dans le menu 'Fichier', sélectionnez 'Exporter', choisissez le format PDF, puis configurez les options d'exportation avant de cliquer sur 'Enregistrer'.
Comment résoudre des erreurs de compatibilité avec des fichiers d'autres versions d'InDesign ?
Utilisez 'Enregistrer sous' pour enregistrer le fichier dans une version compatible ou essayez d'ouvrir le fichier dans une version plus récente d'InDesign, puis sauvegardez-le au format InDesign CS5.
Que faire si InDesign CS5 plante fréquemment ?
Vérifiez si votre système dispose de suffisamment de ressources (RAM, espace disque). Désactivez les plugins tiers et réinitialisez les préférences d'InDesign.
Comment créer un nouveau document dans InDesign CS5 ?
Ouvrez InDesign, allez dans 'Fichier' puis 'Nouveau' et choisissez 'Document' pour configurer les dimensions, les marges et autres options.
Comment imprimer un document depuis InDesign CS5 ?
Allez dans 'Fichier', sélectionnez 'Imprimer', configurez vos options d'impression et cliquez sur 'Imprimer' pour lancer l'impression.

MODE D'EMPLOI INDESIGN CS5 ADOBE

Recouvrement dans des documents et des livres Recouvrements prédéfinis

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Gestion des couleurs

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Options d’exportation générales Elles permettent de définir les marges d’un livre et de spécifier un ordre de lecture en se basant sur l’ordre des articles (voir la section « Options d’exportation générales EPUB » à la page 132).

Options d’exportation d’image Elles permettent de définir la taille et la résolution en ppp des images et de consolider

la prise en charge des images PNG. Elles permettent également de paramétrer l’alignement des images, de définir un espace avant et après les images et d’insérer des sauts de page (voir la section « Options d’image EPUB » à la page 133).

Options d’exportation de contenu Elles permettent de scinder un document en fonction des styles de paragraphe, de

renforcer les notes de bas de page, de supprimer les retours à la ligne automatiques, etc. (voir la section « Options de contenu EPUB » à la page 134).

Balises audio et vidéo en HTML Les fichiers audio et vidéo h.264 importés sont placés à l’intérieur de balises HTML5

<audio> et <video>. De plus en plus d’éditeurs de logiciels et de constructeurs de matériel prennent en charge ces balises audio et vidéo HTML5.

Fonctionnalités pour le japonais Le texte vertical et les caractères Ruby sont pris en charge. Meilleure prise en charge des sous-listes Les sous-listes mises en forme à l’aide des fonctionnalités de numérotation automatique et de puces automatiques d’InDesign sont représentées sous forme de listes triées ou non. En-têtes et pieds de tableau Les en-têtes et pieds de tableau sont exportés aux formats EPUB et HTML. Table des matières La table des matières InDesign est désormais intégrée à l’exportation EPUB, en remplacement du

fichier manifeste NCX.

Date de publication La valeur de la métadonnée de date de publication est insérée automatiquement. D’autres données, telles que l’auteur et les mots-clés, que vous fournissez par le biais de la commande Fichier > Informations sont également exportées dans le fichier EPUB.

Mise en correspondance des styles et des balises d’exportation

Les styles de paragraphes et de caractères s’enrichissent d’une sous-fonctionnalité intitulée Exporter le balisage. Cette nouvelle fonctionnalité permet de définir les procédés de marquage, dans les fichiers HTML/EPUB ou dans la sortie PDF balisée, du texte mis en forme avec des styles InDesign (voir la section « Mise en correspondance des styles et des balises d’exportation (CS 5.5) » à la page 217). Intégration avec Adobe Digital Publishing Suite Pour créer des publications riches et interactives pour tablettes, InDesign propose les modules d’extension Folio Builder et Overlay Creator. Vous pouvez utiliser ces modules d’extension afin de créer des compositions numériques appelées folios. Reportez-vous à la section « Présentation de Digital Publishing Suite » à la page 621. Pour obtenir des informations sur la création de compositions numériques pour appareils mobiles, voir www.adobe.com/go/learn_dps_help_fr.

Simplicité d’emploi et productivité

Améliorations des dictionnaires InDesign prend en charge les dictionnaires Open Source Hunspell pour la vérification orthographique et la césure dans la plupart des langues, en complément des dictionnaires Proximity et WinSoft déjà disponibles. Le dictionnaire portugais par concordances orthogonales Proximity a été ajouté. Pour plus d’informations sur l’utilisation des dictionnaires, voir la section « Césure et dictionnaires » à la page 199. Glisser-déposer d’objets ancrés Vous pouvez dorénavant faire glisser un objet existant vers un bloc de texte pour l’y ancrer. Faites glisser le cadre bleu à proximité de l’angle supérieur droit jusqu’à l’emplacement où vous souhaitez l’ancrer (voir la section « Manipulation des objets ancrés par glisser-déposer (CS 5.5) » à la page 245). Meilleure prise en charge des balises PDF Créez des fichiers PDF accessibles compatibles avec Adobe Acrobat, Adobe Reader ou d’autres logiciels, notamment les lecteurs d’écran. InDesign ajoute automatiquement des balises aux éléments suivants :

• Tableaux et tableaux imbriqués

• Listes et listes imbriquées • Notes de bas de page • Hyperliens Remarque : les balises THead, TBody et TFoot sont respectées uniquement si vous exportez au format PDF version 1.5 ou supérieure. Pour plus d’informations sur l’exportation au format PDF, voir les sections « Exportation au format PDF pour l’impression » à la page 548 et « Création de documents interactifs pour PDF » à la page 582.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Si vous utilisiez précédemment PDF/X-4:2008 pour certifier les fichiers destinés à vos imprimeurs, vous ne devriez en principe observer aucun changement dans votre flux de travail. Remarque : le paramètre prédéfini Adobe PDF par défaut, [PDF/X-4:2008], a été mis à jour pour son utilisation avec la spécification PDF/X-4:2010, de manière à garantir la continuité de vos flux de travail existants.

Conception et mise en forme Formats de page multiples Vous pouvez définir plusieurs formats de page dans un même document. Cette fonctionnalité est particulièrement utile pour gérer des modèles apparentés au sein d’un seul fichier, notamment de cartes de visite, de cartes postales, d’en-têtes de lettre et d’enveloppes. Pour créer plusieurs formats de page, sélectionnez une page au moyen de l’outil Page, puis modifiez les paramètres dans le panneau Contrôle (voir la section « Utilisation de plusieurs formats de page » à la page 70). Nouveau panneau Calques Le nouveau panneau Calques d’InDesign ressemble désormais davantage à celui d’Illustrator. Chaque calque présente un triangle d’affichage qui permet de révéler les objets figurant sur le calque, ainsi que leur ordre de superposition, pour la planche active. Par défaut, les nouveaux éléments de page sont dotés de noms génériques, tels que <rectangle> et <tracé>. Pour personnaliser le nom d’un élément de page quelconque, cliquez deux fois dessus dans le panneau Calques en marquant une pause entre les deux clics. Vous pouvez également modifier l’ordre de superposition des objets en faisant glisser des éléments dans la liste ou encore afficher, masquer, verrouiller ou déverrouiller des éléments de page. Voir la section « Calques » à la page 80. Formats de page personnalisés Plutôt que de modifier un fichier texte pour créer des formats de page personnalisés, vous pouvez utiliser la boîte de dialogue Format de page personnalisé pour disposer de formats de page personnalisés lors de la création de documents (voir la section « Création de formats de page personnalisés » à la page 45). Transformations simplifiées InDesign comporte de nouvelles fonctions de sélection et de transformation qui facilitent la manipulation d’objets. Saisie du contenu La saisie du contenu s’affiche sous la forme d’un anneau lorsque vous survolez une image à l’aide de l’outil Sélection. Elle permet de sélectionner et de déplacer le contenu d’un bloc sans avoir à désactiver l’outil Sélection. Ce comportement vient remplacer celui de l’outil Position, qui a été supprimé de l’application. Si vous faites pivoter le

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Pour empêcher que la saisie du contenu ne s’affiche lorsque vous survolez une image, choisissez la commande Affichage > Extras > Masquer la saisie du contenu. Voir la section « Sélection d’objets » à la page 439. Comportement du double-clic Un double-clic sur un graphique à l’aide de l’outil Sélection n’entraîne plus l’activation de l’outil Sélection directe. Désormais, lorsque vous cliquez deux fois sur un bloc graphique, vous sélectionnez le contenu du bloc. Si le contenu est déjà sélectionné et que vous cliquez deux fois dessus, vous sélectionnez le bloc. (Lorsque le contenu est sélectionné, vous pouvez également cliquer sur le contour du bloc pour sélectionner ce dernier.)

Dans un groupe, un double-clic sur un élément entraîne la sélection de ce dernier. Pour sélectionner à nouveau le groupe, cliquez deux fois sur le contour de l’élément sélectionné ou du groupe. Dans tous les cas de figure, l’outil Sélection demeure actif. La procédure de sélection des blocs graphiques et des groupes est donc plus simple et cohérente.

Mise en surbrillance des contours d’un bloc InDesign trace désormais temporairement les contours d’un bloc lorsque vous survolez des éléments de page avec l’outil Sélection. Ce comportement facilite le repérage de l’élément voulu avant sa sélection. La couleur des contours du bloc correspond à celle du calque sur lequel figure l’objet. Le tracé des groupes se présente sous la forme d’une ligne en pointillé. Ces caractéristiques sont particulièrement utiles lorsque vous travaillez en mode Aperçu ou lorsque la commande Masquer les contours du bloc est sélectionnée. Mise en surbrillance du tracé et des points Lorsque vous survolez un élément de page avec l’outil Sélection directe,

InDesign affiche le tracé ainsi que les points du tracé. Ceci permet de repérer plus aisément le point de tracé à manipuler. Vous n’avez plus besoin de sélectionner l’objet à l’aide de l’outil Sélection directe pour ensuite sélectionner le point de tracé. Il vous suffit de faire glisser le point.

Rotation Tout comme dans Illustrator, vous n’avez pas besoin d’activer l’outil Rotation pour faire pivoter l’élément de

page sélectionné. Il vous suffit de placer le pointeur de l’outil Sélection juste en dehors d’une poignée d’angle et de faire glisser la souris. L’outil Sélection demeure actif lorsque vous cessez de faire glisser la souris (voir la section « Pour appliquer une rotation à un objet à l’aide de l’outil Sélection » à la page 452).

Transformation de plusieurs éléments sélectionnés Vous n’avez plus besoin de grouper plusieurs éléments pour

pouvoir les redimensionner, les mettre à l’échelle ou les faire pivoter avec l’outil Sélection. Il vous suffit de sélectionner les éléments pour les afficher dans un cadre de sélection qui vous permettra de les transformer. Faites glisser une poignée pour redimensionner les éléments sélectionnés. Si vous maintenez la touche Maj enfoncée au cours de cette opération, les éléments conservent leurs proportions. Maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée pour les mettre à l’échelle. Si vous maintenez les touches Ctrl+Maj (Windows) ou Commande+Maj

(Mac OS) enfoncées, la mise à l’échelle est proportionnelle. Appuyez en plus sur la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) pour effectuer les transformations à partir du centre des objets sélectionnés (voir la section « Transformation d’objets » à la page 449). Régénération dynamique de l’écran Dans InDesign CS5, le contenu est régénéré au fur et à mesure que vous le faites

glisser. Dans les versions antérieures d’InDesign, il convient de marquer une pause avant de faire glisser le contenu pour le régénérer. Vous pouvez rétablir ce comportement au moyen du paramètre Régénération dynamique de l’écran disponible dans les préférences d’interface (voir la section « Modification des préférences de l’interface » à la page 23).

Priorité à l’objet sélectionné Si vous sélectionnez un élément de page parmi plusieurs éléments superposés et que vous

commencez à faire glisser la souris, l’élément demeure sélectionné. Pour sélectionner un autre élément, cliquez tout simplement sur une partie de l’élément voulu qui ne chevauche ni ne coupe l’élément actuellement sélectionné.

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Réagencement des outils de transformation Les outils Rotation, Mise à l’échelle et Déformation figurent sous l’outil Transformation manuelle du panneau Outils. Vous pouvez faire pivoter, redimensionner et mettre à l’échelle des objets sans désactiver l’outil Sélection.

L’outil Espace permet d’ajuster rapidement l’espacement de plusieurs éléments. En agissant directement sur ces espaces, vous avez la possibilité de modifier votre mise en page en une seule opération (voir la section « Alignement des objets à l’aide de l’outil Espace » à la page 465). Paragraphes s’étendant sur plusieurs colonnes ou les scindant Dans InDesign CS5, vous pouvez faire en sorte qu’un paragraphe s’étende sur plusieurs colonnes sans avoir à créer des blocs de texte distincts. Vous pouvez également diviser un paragraphe en plusieurs colonnes à l’intérieur d’un même bloc de texte (voir la section « Création de paragraphes s’étendant sur plusieurs colonnes ou les scindant » à la page 288). Conserver avec précédent La boîte de dialogue Options d’enchaînement inclut désormais une option Conserver avec précédent qui enchaîne la première ligne du paragraphe actuel avec la dernière ligne du paragraphe précédent. Voir « Gestion des sauts de paragraphe à l’aide des options d’enchaînement » à la page 284. Equilibre des colonnes Disponible dans la boîte de dialogue Options de bloc de texte, le paramètre Equilibre des colonnes vous permet de redistribuer automatiquement le texte réparti sur plusieurs colonnes d’un même bloc de texte (voir la section « Ajout de colonnes à un bloc de texte » à la page 139). Justification verticale dans des blocs non rectangulaires Dans les versions antérieures d’InDesign, les paramètres de justification verticale sont ignorés lors de l’utilisation d’un bloc de texte non rectangulaire. Dans InDesign CS5, vous pouvez appliquer à la fois une justification verticale et des effets d’arrondi et autres blocs de forme irrégulière (voir la section « Alignement ou justification de texte verticalement au sein d’un bloc de texte » à la page 289). Effets d’angle dynamique Pour appliquer des effets d’arrondi à un bloc rectangulaire, cliquez sur le carré jaune visible à proximité de l’angle supérieur droit du bloc sélectionné. Vous pouvez aussi appliquer un effet d’arrondi et un rayon différents à chaque angle (voir la section « Utilisation des angles dynamiques » à la page 394). Nuances du panneau Contrôle Vous pouvez appliquer des nuances à des objets directement à partir du panneau Contrôle. Sélectionnez un objet, puis choisissez la nuance voulue dans le menu Fond ou Contour du panneau Contrôle. Vous pouvez également faire glisser la nuance actuellement affichée dans le panneau Contrôle et l’appliquer à d’autres objets (voir la section « Application de couleurs » à la page 507).

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(Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée et appuyez sur les touches fléchées pour modifier la gouttière. (voir les sections « Importation de plusieurs graphiques » à la page 416 et « Création de planches contact » à la page 423). Ajustement automatique Sélectionnez l’option Ajustement automatique pour que l’image soit ajustée automatiquement chaque fois que vous redimensionnez le bloc (voir la section « Utilisation de l’option Ajustement automatique » à la page 471). Tracé de plusieurs blocs disposés en grille Lors de l’utilisation d’outils de création de bloc, comme les outils Rectangle ou Texte, vous pouvez appuyer sur les touches fléchées pour créer des blocs espacés de manière égale (voir la section « Tracé de plusieurs objets sous la forme d’une grille » à la page 373). Duplication d’objets disposés en grille Vous pouvez créer une grille d’objets en faisant glisser une copie d’un objet sélectionné (voir la section « Duplication d’objets dans une grille » à la page 468). Légendes dynamiques créées à partir de métadonnées InDesign CS5 permet la création de légendes à partir de métadonnées d’image selon diverses méthodes.

• Vous pouvez créer des légendes lors de l’importation d’images, en activant la case à cocher Créer des légendes statiques dans la boîte de dialogue Importer.

• Vous pouvez créer des légendes à partir d’images importées. Identifiez tout d’abord les métadonnées incluses dans l’image en consultant la boîte de dialogue Format des légendes. Choisissez ensuite une option dans le menu Objet >

Légendes afin de créer une légende dynamique ou statique.

• Vous pouvez ajouter à un bloc de texte une variable de texte qui affichera les métadonnées de l’image adjacente ou associée à ce bloc.

Voir la section « Légendes » à la page 257. Mini Bridge Mini Bridge est un sous-ensemble d’Adobe Bridge disponible sous la forme d’un panneau dans InDesign. Mini Bridge permet de parcourir le système de fichiers et d’afficher un aperçu des fichiers sous forme de vignettes visuelles sans quitter InDesign. Vous pouvez faire glisser et déposer les fichiers de Mini Bridge dans InDesign plutôt que de les importer dans un document. Les images déplacées sont chargées dans le curseur d’importation, comme c’est le cas lorsque vous les faites glisser depuis Bridge. Vous pouvez également faire glisser des éléments sélectionnés dans Mini Bridge afin de créer des extraits Pour consulter une vidéo sur l’utilisation de Mini Bridge avec InDesign, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid5051_br_en. Meilleure intégration d’Adobe Bridge L’intégration d’InDesign CS5 et d’Adobe Bridge CS5 a été améliorée à deux niveaux. Vignettes de page Disponible parmi les préférences, la nouvelle option Gestion des fichiers permet de créer des vignettes pour plusieurs pages d’un fichier InDesign, pas seulement la première. Par défaut, des vignettes sont créées pour 2 pages, mais rien ne vous empêche de modifier ce réglage et de créer des vignettes pour 1, 2, 5, 10 ou toutes les pages. Un aperçu des pages est désormais disponible au sein d’un fichier INDD, dans le panneau Aperçu de Bridge. Le

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Voir la section « Utilisation d’Adobe Bridge avec InDesign » à la page 108.

Conception multimédia

Présentations et documents interactifs Importation aux formats FLV et MP3 Vous pouvez importer des fichiers vidéo au format Vidéo Flash (.FLV et .F4V), des fichiers codés en H.264 (MP4, par exemple) et des fichiers SWF. Vous pouvez également importer des fichiers audio au format MP3. Les types de fichiers multimédias hérités, tels QuickTime (.MOV), AVI et .WMV, sont toujours pris en charge. Néanmoins, privilégiez les formats FLV, F4V, MP4 et MP3 pour tirer pleinement parti des capacités de prise en charge du contenu multimédia offertes par les versions les plus récentes d’Acrobat, d’Adobe Reader et d’Adobe Flash Player. Utilisez Adobe Media Encoder pour convertir les types de fichiers multimédias plus anciens au format .FLV (voir la section « Réédition des liens de fichiers multimédias hérités » à la page 605). Panneau Multimédia Le panneau Multimédia vous permet d’afficher un aperçu des fichiers SWF, FLV, F4V, MP4

et MP3 directement dans InDesign. Dans le cas des fichiers FLV, F4V et MP4, vous pouvez utiliser n’importe quelle image de la vidéo comme image d’affiche de substitution. Vous pouvez également choisir les commandes de lecture vidéo que vous souhaitez mettre à la disposition des utilisateurs qui consulteront votre document interactif. Le panneau Multimédia permet aussi de créer des points de navigation, qui correspondent à des repères de codes temporels que vous pouvez associer à des actions de bouton (voir la section « Ajout de fichiers vidéo et audio à des documents » à la page 601).

Mouvements prédéfinis Le panneau Animation vous permet d’attribuer un mouvement prédéfini à un élément de page quelconque afin de créer rapidement une animation. Ces mouvements prédéfinis sont identiques à ceux disponibles dans Adobe Flash CS5 Professional. InDesign autorise également l’importation de mouvements prédéfinis personnalisés créés dans Flash, permettant ainsi aux utilisateurs InDesign et Flash de travailler ensemble à la création d’effets d’animation (voir la section « Animation d’un document à l’aide de mouvements prédéfinis » à la page 606). Panneau Animation Le panneau Animation permet de créer ou de modifier des effets d’animation. Vous pouvez

modifier les attributs d’animation pris en charge, comme la position, l’échelle, la rotation et l’opacité, et enregistrer en tant que mouvements prédéfinis les animations personnalisées créées dans InDesign afin de les partager avec d’autres utilisateurs.

Le panneau Animation permet également de définir à quel moment exécuter l’objet animé, par exemple lors du chargement de la page ou après un clic sur la page (voir la section « Animation » à la page 605). Panneau Minutage Le panneau Minutage permet de modifier l’ordre de lecture des objets animés (voir la section

« Utilisation du panneau Minutage pour modifier l’ordre d’une animation » à la page 609).

Panneau Etats d’objet Le panneau Etats d’objet permet de créer plusieurs versions d’un objet. Par exemple, vous

pouvez créer un seul objet de page avec 20 états différents, chacun d’eux étant associé à une photo distincte. Un utilisateur qui ouvre le fichier PDF ou SWF peut alors parcourir la galerie de photos à l’aide des boutons Suivant et

Précédent (voir la section « Création d’un diaporama d’objets à états multiples » à la page 618).

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Sélection des pixels comme unité de mesure Vous pouvez désormais choisir les pixels comme unité de mesure dans la boîte de dialogue Préférence > Unités et incréments. L’ajout de « px » aux valeurs indiquées dans les champs d’édition du panneau Contrôle, des boîtes de dialogue et d’autres panneaux vous permet de remplacer l’unité de mesure actuelle. Lors de l’utilisation des pixels, les coordonnées X et Y et les objets sont accolés à des valeurs entières, et les épaisseurs de trait recensées dans le panneau Contour sont également exprimées en pixels (voir la section « Modification des règles et des unités de mesure » à la page 48). Conversion d’adresses URL en hyperliens Utilisez la commande Convertir les URL en hyperliens pour rechercher des

chaînes d’adresses URL dans la sélection, l’article ou le document actuel et les convertir en hyperliens. Vous pouvez

également associer un style de caractère aux adresses URL détectées (voir la section « Conversion d’adresses URL en hyperliens » à la page 592). Amélioration de l’exportation vers Flash Player Vous pouvez désormais inclure des animations, des séquences vidéo et audio, ainsi que des boutons animés distants lors de l’exportation au format SWF. Vous disposez en outre de plusieurs nouvelles options pour contrôler la sortie SWF finale (voir la section « Création de fichiers SWF (Flash) interactifs pour le Web » à la page 574). Amélioration de l’exportation vers Flash Professional Pour permettre la modification du fichier dans Flash Professional, InDesign CS5 l’exporte au format FLA plutôt qu’au format XFL. Les options d’exportation au format FLA permettent la prise en charge de contenu multimédia et une plus grande souplesse de traitement du texte (voir la section « Création de fichiers FLA pour le Web » à la page 577). Amélioration de l’exportation au format PDF interactif InDesign CS5 propose des commandes distinctes pour l’exportation de fichiers d’impression et interactifs au format PDF. InDesign CS5 exporte tout le contenu multimédia vers le calque d’annotation de contenu multimédia lors de l’exportation au format PDF interactif, permettant ainsi une lecture plus fiable du contenu dans Adobe Reader. Pour obtenir de meilleurs résultats, les fichiers vidéo doivent se présenter au format FLV ou F4V et les fichiers audio, au format MP3. De nouvelles options sont disponibles pour l’exportation au format PDF interactif, notamment des options d’affichage initial, des paramètres de présentation et des transitions de page (voir la section « Création de documents interactifs pour PDF » à la page 582). Amélioration de l’exportation au format XHTML L’exportation au format XHTML permet d’extraire du contenu d’un document InDesign et de le transmettre à un développeur Web afin qu’il puisse le réutiliser avec une application Web telle que Dreamweaver. Suite aux améliorations apportées à InDesign CS5, il est possible d’assurer la concordance avec les attributs de mise en forme du texte InDesign, de préserver la mise en forme locale et de contrôler l’ordre du contenu. Un identifiant unique est désormais attribué aux tableaux InDesign, de sorte qu’ils puissent être référencés sous forme de jeux de données Spry dans Dreamweaver (voir la section « Exportation de contenu au format Dreamweaver (CS5) » à la page 122).

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Les modifications apportées au texte par chaque utilisateur font l’objet d’un suivi lorsque la fonction Suivi des modifications est activée. Vous pouvez visualiser les modifications en mode éditeur (mais pas en mode de mise en page). Elles peuvent correspondre à des opérations de suppression, de déplacement et d’insertion de texte. Utilisez le panneau Suivi des modifications pour accepter ou ignorer les modifications apportées au document (voir la section « Suivi et révision des corrections » à la page 208). Polices de document installées Les polices contenues dans un dossier Document Fonts situé au même emplacement qu’un document InDesign sont disponibles à l’ouverture de ce document. Les polices installées à l’ouverture d’un document ne sont pas disponibles pour d’autres documents. Lorsque vous devez partager un document ou le déplacer sur un autre ordinateur, utilisez la commande Assemblage pour créer un dossier Document Fonts (voir la section « Polices de document installées » à la page 268). Intégration de Buzzword Buzzword est un éditeur de texte en ligne qui permet aux utilisateurs de créer et de stocker des fichiers texte sur un serveur Web. InDesign CS5, permet d’importer et d’exporter du texte à partir de documents Buzzword (voir les sections « Importation de documents Buzzword » à la page 150 et « Exportation de contenu vers Buzzword » à la page 135). Mode de présentation Le mode de présentation est un nouveau mode écran disponible dans InDesign CS5. Dans ce mode, la barre de menus de l’application et tous les panneaux sont masqués. Vous affichez les planches du document une à une au moyen des touches du clavier et de la souris (voir la section « Utilisation du mode de présentation » à la page 584). Libellés colorés pour les vignettes de page Vous pouvez désormais associer des libellés colorés aux vignettes de page dans le panneau Pages. (voir la section « Création de libellés colorés pour les vignettes de page » à la page 65).

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Utilitaires > Tâches en arrière-plan) pour vérifier la progression des processus d’exportation (voir la section « Panneau Tâches en arrière-plan » à la page 554). Sélection temporaire d’outils par raccourci Vous pouvez basculer temporairement d’un outil à un autre en maintenant enfoncée la touche de raccourci correspondante. Lorsque vous appuyez sur la touche de raccourci, l’outil actif est remplacé par le nouvel outil, puis il est rétabli dès que vous relâchez la touche. Par exemple, pour utiliser temporairement l’outil Espace, appuyez sur la touche U, puis relâchez-la pour revenir à l’outil Sélection (voir la section « Pour sélectionner temporairement des outils » à la page 30). Panneau Info-bulles des outils Le panneau Info-bulles des outils (Fenêtre > Utilitaires > Info-bulles des outils) répertorie tous les comportements de touches de modification masqués disponibles pour l’outil actuellement sélectionné (voir la section « Pour afficher des info-bulles d’outils » à la page 30). Aide communautaire L’Aide de la communauté Adobe permet d’accéder à la totalité de la documentation des produits Adobe, ainsi qu’au contenu d’apprentissage de la communauté et à d’autres contenus didactiques disponibles sur Adobe.com. Elle comporte un visualiseur AIR affichant la dernière aide en ligne ou les dernières valeurs par défaut dans une version locale de l’Aide lorsqu’une connexion Web n’est pas disponible. L’Aide de la communauté propose également des commentaires modérés par des experts, ainsi que des notations utilisateur de la documentation Adobe, des articles de la base de connaissances, des didacticiels et d’autres contenus. Définition du numéro de la première page Lorsque vous créez un document dans InDesign CS5, vous pouvez définir le numéro de page de la première page. Si vous indiquez un numéro pair et que l’option Pages en vis-à-vis est activée, le document débute par une planche de deux pages. Vous pouvez également modifier le numéro de la première page dans la boîte de dialogue Format de document, après la création du document (voir la section « Création de nouveaux documents » à la page 43). Modification de plusieurs éléments sélectionnés à l’aide de la commande Modifier l’original La commande Modifier l’original vous permet d’ouvrir plusieurs images dans leurs éditeurs respectifs (voir la section « Modification d’une illustration d’origine » à la page 431). Nouvelles options de verrouillage des objets Pour verrouiller ou déverrouiller des objets, vous disposez désormais des commandes Objet > Verrouiller ou Objet > Tout déverrouiller sur la planche. Cliquer sur l’icône de verrouillage permet également de déverrouiller un objet verrouillé. Disponible dans les préférences générales, la nouvelle option Empêcher la sélection d’objets verrouillés vous permet de définir si la sélection des objets verrouillés est possible ou non.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

JPEG par des fichiers TIFF (voir la section « Réédition de fichiers avec des extensions de fichier différentes » à la page 430). Masquage des objets Vous pouvez désormais choisir la commande Objet > Masquer pour masquer les objets d’une page. Les objets masqués ne sont ni imprimés ni exportés, et il est impossible de les sélectionner. Pour afficher tous les objets masqués, choisissez la commande Objet > Tout afficher sur la planche. Cases à cocher Aperçu rémanentes L’état (coché ou non) de la case Aperçu d’une boîte de dialogue est désormais mémorisé à la fermeture et au redémarrage d’InDesign. Curseur d’importation lors du déplacement d’une image depuis Adobe Bridge Dans les versions antérieures, lorsque vous faisiez glisser une image à partir d’Adobe Bridge ou du bureau, elle était insérée sur la page, et un bloc à sa taille était créé. Dans InDesign CS5, cette action a pour effet de charger le curseur d’importation, vous permettant de faire glisser un bloc aux dimensions adaptées à l’image. Ouverture de livres dans l’Explorateur ou dans le Finder Le menu du panneau Livre comporte une commande permettant de visualiser un document dans l’Explorateur ou le Finder. Améliorations diverses Valeurs CMJN arrondies aux nombres entiers les plus proches Dans le panneau Couleur, les valeurs des

curseurs CMJN sont arrondies aux valeurs entières les plus proches.

Suppression de tous les repères Le menu Affichage > Grilles et repères inclut une nouvelle commande, Supprimer

tous les repères sur la planche.

Zoom depuis les boîtes de dialogue Vous pouvez désormais effectuer un zoom avant ou arrière sur un document au moyen des raccourcis clavier lorsque vous utilisez une boîte de dialogue modale. Appuyez sur Ctrl+- ou Ctrl+= (Windows) ou sur Commande+- ou Commande+= (Mac OS). Nouvelle police par défaut La police par défaut, auparavant définie sur Times (Mac) et Times New Roman

(Windows), est désormais la version OpenType multiplate-forme de Minion Pro Regular.

Réduction de plusieurs liens vers la même source Dans InDesign, les liens vers des images importées à plusieurs reprises dans un document sont réduits à une seule ligne dans le panneau Liens. Vous pouvez désormais désactiver ce comportement au moyen d’une nouvelle option disponible dans la boîte de dialogue Options de panneau. Mémorisation de l’emplacement de la fenêtre Mode éditeur Lorsque vous fermez une fenêtre Mode éditeur puis que vous la rouvrez, elle s’affiche au même emplacement et dans les mêmes dimensions que précédemment. Repères de pliage Si vous activez les traits de coupe lors de l’impression de planches, les repères de pliage s’impriment

sous forme de lignes pleines.

Commandes de menu modifiées ou déplacées Les commandes de menu suivantes ont été renommées ou déplacées.

Choisissez la commande Fenêtre > Espace de travail > [Nouveautés CS5] pour mettre en évidence les commandes de menu correspondant à des fonctions nouvelles ou améliorées.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Afficher/Masquer le chaînage du texte, Afficher/Masquer les contours du bloc, Afficher/Masquer les blocs affectés et Afficher/Masquer les notes

Fenêtre > Affectations

Vous pouvez créer et manipuler vos documents et fichiers à l’aide de divers éléments tels que des panneaux, barres et fenêtres. Un espace de travail désigne l’organisation de ces éléments. Les espaces de travail des différentes applications de la suite Adobe® Creative Suite® 5 ont une apparence similaire, facilitant ainsi le passage d’une application à une autre. Vous pouvez également adapter chaque application aux exigences de votre travail, en créant votre propre espace de travail ou en effectuant une sélection parmi ceux prédéfinis.

Bien que la disposition de l’espace de travail par défaut varie selon les applications, la manipulation des éléments est pratiquement identique dans chacune d’elles.

Flash®, Adobe Dreamweaver® et Adobe Fireworks®, il est appelé Inspecteur de propriétés et inclut les propriétés relatives à l’élément actuellement sélectionné.)

• La fenêtre de document affiche le fichier sur lequel vous travaillez. Les fenêtres de document peuvent présenter un onglet et, dans certains cas, être regroupées et ancrées.

• Les panneaux vous permettent de contrôler et de modifier votre travail. Citons notamment le panneau Montage dans Adobe Flash, le panneau Pinceau dans Adobe Illustrator, le panneau Calques dans Adobe Photoshop® et le panneau Styles CSS dans Adobe Dreamweaver. Ils peuvent être regroupés, empilés ou ancrés.

• Le Cadre de l’application regroupe tous les éléments des espaces de travail dans une seule et même fenêtre uniforme, ce qui permet de manipuler toutes les applications comme s’il s’agissait d’une seule entité. Lorsque vous déplacez ou que vous redimensionnez le Cadre de l’application ou l’un de ses éléments, tous les éléments qu’il contient sont réagencés pour éviter tout chevauchement. Les panneaux ne disparaissent pas lorsque vous changez d’application ou lorsque vous cliquez par erreur à côté de l’application. Si vous utilisez plusieurs applications, vous pouvez les placer côte à côte à l’écran ou sur plusieurs moniteurs.

Si vous préférez l’interface utilisateur Mac classique que vous pouvez personnaliser à votre convenance, il vous suffit de désactiver le Cadre de l’application. Dans Adobe Illustrator® par exemple, sélectionnez la commande Fenêtre > Cadre de l’application pour l’activer ou le désactiver. (Dans Flash, le Cadre de l'application est activé en permanence pour Mac et Dreamweaver pour Mac n'en utilise pas.)

Affichage et masquage de tous les panneaux

• (Illustrator, Adobe InCopy®, Adobe InDesign®, Photoshop, Fireworks) Pour afficher ou masquer tous les panneaux, y compris les panneaux Outils et Contrôle, appuyez sur la touche de tabulation.

• (Illustrator, InCopy, InDesign, Photoshop) Pour afficher ou masquer tous les panneaux, à l’exception des panneaux

Outils et Contrôle, appuyez sur les touches Maj+tabulation. Vous pouvez afficher temporairement les panneaux masqués si l’option Afficher automatiquement les panneaux masqués est sélectionnée dans les préférences Interface. Cette option est toujours activée dans Illustrator. Déplacez le pointeur vers le bord de la fenêtre de l’application (Windows®) ou vers le bord de l’écran (Mac OS®) et laissez le pointeur au-dessus de la bande qui s’affiche.

• (Flash, Dreamweaver, Fireworks) Pour afficher ou masquer tous les panneaux, appuyez sur la touche F4.

Affichage des options de panneau

❖ Cliquez sur l’icône de menu de panneau

dans le coin supérieur droit du panneau.

L’ouverture d’un menu est possible même lorsque le panneau est réduit.

Dans Photoshop, vous pouvez modifier le corps de la police du texte des panneaux et des info-bulles. Dans les préférences d’interface, choisissez une option dans le menu Corps de la police de l’interface utilisateur.

Réglage de la luminosité du panneau (Illustrator)

❖ Faites glisser le curseur Luminosité dans les préférences de l’interface utilisateur. Cette commande affecte tous les

panneaux, y compris le panneau Contrôle.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Dans InDesign et InCopy, une option des préférences d’interface vous permet également de basculer d’un affichage en une colonne vers un affichage en deux colonnes. ❖ Cliquez sur la double flèche dans la partie supérieure du panneau Outils.

Gestion des fenêtres et des panneaux

Pour créer un espace de travail personnalisé, vous déplacez et manipulez les fenêtres de document et les panneaux. Vous pouvez également enregistrer des espaces de travail, puis passer de l’un à l’autre. Dans Fireworks, renommer les espaces de travail personnalisés peut provoquer un comportement inattendu. Remarque : les exemples suivants sont basés sur Photoshop. L’espace de travail est le même dans tous les produits.

Réorganisation, ancrage ou déplacement des fenêtres de document

Les fenêtres de document comportent des onglets lorsque plusieurs fichiers sont ouverts.

• Pour modifier l’ordre des onglets de la fenêtre de document, faites glisser un onglet de la fenêtre à l’emplacement voulu dans le groupe.

• Pour annuler l’ancrage d’une fenêtre de document à un groupe de fenêtres, faites glisser l’onglet de cette fenêtre hors du groupe.

Remarque : dans Photoshop, vous pouvez également sélectionner Fenêtre > Réorganiser > Afficher dans une fenêtre flottante pour afficher une seule fenêtre flottante de document ou Fenêtre > Réorganiser > Tout afficher dans des fenêtres flottantes pour afficher simultanément toutes les fenêtres flottantes de document. Pour plus d’informations, voir la note technique kb405298. Remarque : Dreamweaver ne prend pas en charge l’ancrage des fenêtres de document ni son annulation. Utilisez le bouton Réduire de la fenêtre de document pour créer des fenêtres flottantes (sous Windows), ou Fenêtre > Mosaïque verticale pour créer des fenêtres de document côte à côte. Pour plus d’informations sur cette rubrique, recherchez « Mosaïque verticale » dans l’aide de Dreamweaver. Le flux de travaux diffère légèrement pour les utilisateurs Macintosh.

• Pour ancrer une fenêtre de document à un groupe de fenêtres de document distinct, faites glisser cette fenêtre dans le groupe.

• Pour créer des groupes de documents empilés ou juxtaposés, faites glisser la fenêtre vers l’une des zones de largage situées en haut, en bas ou sur les côtés d’une autre fenêtre. Vous pouvez également sélectionner une disposition pour le groupe en utilisant le bouton Disposition de la barre d’application.

Remarque : certains produits ne prennent pas en charge cette fonctionnalité. Cependant, votre produit peut présenter des commandes Cascade et Mosaïque (ou Juxtaposer), sous le menu Fenêtre, pour vous permettre d’organiser vos documents.

• Dans un groupe à onglets, pour passer à un autre document lors du glissement d’une sélection, faites glisser cette sélection sur l’onglet du document souhaité pendant un moment.

Remarque : certains produits ne prennent pas en charge cette fonctionnalité.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Pour ancrer un panneau, cliquez sur l’onglet correspondant et faites-le glisser dans le dock, au-dessus, sous ou entre d’autres panneaux.

• Pour ancrer un groupe de panneaux, cliquez sur sa barre de titre (barre vide de couleur unie située au-dessus des onglets) et faites-le glisser dans le dock.

• Pour supprimer un panneau ou un groupe de panneaux, faites-le glisser en dehors du dock en cliquant sur l’onglet ou la barre de titre. Vous pouvez faire glisser l’élément vers un autre dock ou le rendre flottant.

Déplacement du panneau Navigation vers un nouveau dock ; cette opération est indiquée par une surbrillance verticale bleue.

Panneau Navigation dans son propre dock

Vous pouvez faire en sorte que les panneaux n’occupent pas la totalité de l’espace disponible dans un dock. Faites glisser le bord inférieur du dock vers le haut de sorte qu’il ne coïncide plus avec le bord de l’espace de travail.

Déplacement de panneaux

Lorsque vous déplacez des panneaux, des zones de largage en surbrillance bleue apparaissent : il s’agit des zones dans lesquelles vous pouvez déplacer le panneau. Vous pouvez, par exemple, déplacer un panneau vers le haut ou vers le bas en le faisant glisser sur la fine zone de largage bleue située au-dessus ou sous un autre panneau. Si vous faites glisser le panneau vers un emplacement autre qu’une zone de largage, ce dernier flotte dans l’espace de travail. Remarque : la position de la souris active la zone de largage (au lieu de la position du panneau). Si la zone de largage ne s'affiche pas, faites glisser la souris à l'emplacement où devrait se situer la zone de largage.

• Pour déplacer un panneau, faites-le glisser en cliquant sur son onglet.

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UTILISATION D’INDESIGN Espace de travail

Lorsque vous supprimez tous les panneaux d’un dock, ce dernier disparaît. Vous pouvez créer un dock en déplaçant les panneaux vers le bord droit de l’espace de travail jusqu’à ce qu’une zone de largage soit visible.

• Pour supprimer un panneau, cliquez sur son onglet avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en appuyant sur la touche Contrôle (Mac), puis sélectionnez l’option Fermer ; vous pouvez également le désélectionner dans le menu Fenêtre.

• Pour ajouter un panneau, sélectionnez-le dans le menu Fenêtre et ancrez-le à l’emplacement de votre choix.

Manipulation de groupes de panneaux

• Pour déplacer un panneau dans un groupe, faites glisser son onglet vers la zone de largage en surbrillance située dans le groupe.

Ajout d’un panneau à un groupe

• Pour réorganiser les panneaux d’un groupe, faites glisser l’onglet du panneau de votre choix vers son nouvel emplacement.

• Pour rendre un panneau flottant, faites-le glisser en dehors du groupe au moyen de son onglet.

• Pour déplacer un groupe, faites glisser la barre de titre (zone située au-dessus des onglets).

Empilage de panneaux flottants

Lorsque vous faites sortir un panneau de son dock et que vous le placez en dehors de toute zone de largage, ce panneau flotte dans l’espace de travail. Un panneau flottant peut être placé à n’importe quel endroit dans l’espace de travail. Vous pouvez empiler des panneaux ou groupes de panneaux flottants de sorte qu’ils se comportent comme une seule entité lorsque vous faites glisser la barre de titre supérieure.

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• Pour rendre un panneau ou groupe de panneaux de la pile flottant, déplacez-le hors de la pile au moyen de son onglet ou de sa barre de titre.

Redimensionnement des panneaux

• Pour réduire ou agrandir un panneau, un groupe de panneaux ou une pile de panneaux, cliquez deux fois sur un onglet. Vous pouvez également double-cliquer sur la zone d’onglets (l’espace vide situé à côté des onglets).

• Pour redimensionner un panneau, faites glisser l’un de ses côtés. Cette méthode de redimensionnement ne fonctionne pas toujours, notamment avec le panneau Couleur de Photoshop.

Réduction et développement des icônes de panneaux

Vous pouvez réduire des panneaux à la taille d’icônes afin de limiter l’encombrement de l’espace de travail. Dans certains cas, les panneaux sont réduits de la sorte dans l’espace de travail par défaut.

Panneaux réduits à la taille d’icônes

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Pour redimensionner les icônes de panneau afin de voir les icônes uniquement (et non les libellés), réglez la largeur du dock jusqu’à ce que le texte ne soit plus visible. Pour afficher à nouveau le texte, augmentez la largeur du dock.

• Pour réduire à la taille d’une icône un panneau qui a été développé, cliquez sur son onglet, sur son icône ou sur la double flèche affichée dans sa barre de titre.

Dans certaines applications, si vous sélectionnez l’option Réduction automatique des panneaux d’icônes dans les préférences d’interface ou les options d’interface utilisateur, une icône de panneau développée est réduite automatiquement lorsque vous cliquez en dehors de cette dernière.

• Pour ajouter un panneau flottant ou un groupe de panneaux à un dock d’icônes, faites-le glisser au moyen de son onglet ou de sa barre de titre (les panneaux sont réduits automatiquement à la taille d’icônes lorsque vous les ajoutez

à un dock d’icônes).

• Pour déplacer une icône de panneau (ou un groupe d’icônes de panneau), faites-la glisser. Vous pouvez déplacer des icônes de panneau vers le haut et vers le bas dans le dock, dans d’autres docks (elles apparaissent dans le style du panneau de ce dock) ou en dehors du dock (elles apparaissent sous la forme d'icônes flottantes).

Enregistrement et basculement d’un espace de travail à l’autre

En enregistrant la taille et la position actuelles des panneaux comme espace de travail nommé, vous gardez la possibilité de restaurer cet espace par la suite, et ce, même si vous avez déplacé ou fermé un panneau. Les noms des espaces de travail enregistrés sont visibles dans le sélecteur d’espace de travail de la barre d’application.

Enregistrement d’un espace de travail personnalisé

1 Lorsque l’espace de travail se trouve dans la configuration que vous souhaitez enregistrer, utilisez l’une des

méthodes suivantes :

• (Illustrator) Choisissez la commande Fenêtre > Espace de travail > Enregistrer l’espace de travail.

2 Attribuez un nom à l’espace de travail.

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❖ Sélectionnez un espace de travail dans le sélecteur d’espace de travail de la barre d’application.

Dans Photoshop, vous pouvez attribuer un raccourci clavier à chacun des espaces de travail pour pouvoir passer de l’un à l’autre plus rapidement.

Suppression d’un espace de travail personnalisé

• Choisissez l’option Gérer les espaces de travail dans le sélecteur d’espace de travail de la barre d’application, sélectionnez l’espace de travail, puis cliquez sur la commande Supprimer. (Cette option n’est pas disponible dans Fireworks.)

• (Photoshop, InDesign, InCopy) Sélectionnez la commande Supprimer l’espace de travail dans le sélecteur d’espace de travail.

• (Illustrator) Choisissez la commande Fenêtre > Espace de travail > Gérer les espaces de travail, sélectionnez l’espace de travail, puis cliquez sur l’icône Supprimer.

• (Photoshop, InDesign) Choisissez la commande Fenêtre > Espace de travail > Supprimer l’espace de travail, sélectionnez l’espace de travail, puis cliquez sur le bouton Supprimer.

1 Sélectionnez l’espace de travail de base ou par défaut à l’aide du sélecteur situé dans la barre d’application. Pour

Fireworks, consultez l’article http://www.adobe.com/devnet/fireworks/articles/workspace_manager_panel.html.

Remarque : dans Dreamweaver, Designer correspond à l’espace de travail par défaut. 2 Pour Fireworks (Windows), supprimez les dossiers suivants : Windows Vista \\utilisateur\<nom utilisateur>\AppData\Roaming\Adobe\Fireworks CS4\ Windows XP \\Documents and Settings\<nom utilisateur>\Application Data\Adobe\Fireworks CS4

• Pour restaurer tous les espaces de travail installés avec Photoshop, cliquez sur Restaurer les espaces de travail par défaut dans les préférences d’interface.

Pour réorganiser l'ordre des espaces de travail de la barre d’application, faites-les glisser.

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Affiche les illustrations dans une fenêtre standard faisant apparaître l’ensemble des repères et des grilles visibles, les objets non imprimables et une table de montage blanche.

Affiche les illustrations dans leur version finale : les éléments non imprimables (repères, grilles et objets non imprimables) sont masqués et la couleur de l’arrière-plan pour l’aperçu de la table de montage est celle définie dans la boîte de dialogue Préférences.

Affiche les illustrations dans leur version finale : les éléments non imprimables (repères, grilles et objets non imprimables) sont masqués, la couleur de l’arrière-plan pour l’aperçu de la table de montage est celle définie dans la boîte de dialogue Préférences et tous les éléments imprimables dans la zone de ligne-bloc du document (définie dans la boîte de dialogue Format de document) s’affichent.

Utilisation de la barre d’état La barre d’état (en bas à gauche de la fenêtre de document) affiche des informations sur l’état d’un fichier et vous permet de changer de page. Cliquez sur le menu de la barre d’état pour effectuer les opérations suivantes :

• Afficher le fichier actif dans le système de fichiers en choisissant l’option Faire apparaître dans l’Explorateur

(Windows®) ou Faire apparaître dans le Finder (Mac OS®)

• Afficher le fichier actuel dans Adobe® Bridge® en choisissant Révéler dans Bridge

• Afficher le fichier actuel dans Adobe Mini Bridge en choisissant l’option Faire apparaître dans Mini Bridge Sous Mac OS, vous pouvez afficher le facteur de zoom dans la barre d’état en masquant la barre de l’application (commande Fenêtre > Barre de l’application). Sous Windows, il est impossible de masquer la barre de l’application.

« Utilisation d’Adobe Bridge avec InDesign » à la page 108 « Adobe Version Cue » à la page 108 à l’élément ou à l’objet de page sélectionné. Par défaut, ce panneau est ancré en haut de la fenêtre de document. Vous pouvez toutefois l’ancrer au bas de la fenêtre, le convertir en un panneau flottant ou encore le masquer. Les options s’affichant dans le panneau Contrôle varient selon le type d’objet sélectionné :

• Lorsque vous sélectionnez un bloc, le panneau Contrôle affiche les options relatives au redimensionnement, au repositionnement, à l’inclinaison et à la rotation du bloc ou les options d’application d’un style d’objet.

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• Lorsque vous sélectionnez une cellule de tableau, le panneau Contrôle affiche les options de redimensionnement des lignes et des colonnes, de fusion des cellules, d’alignement de texte et d’ajout de contours. A mesure que les options apparaissent dans le panneau Contrôle, vous obtenez des informations complémentaires sur chaque option grâce aux info-bulles (descriptions succinctes qui s’affichent lorsque vous vous attardez avec le pointeur sur une icône ou sur un nom d’option).

Panneau Contrôle et info-bulle

Menu du panneau Contrôle

Pour ouvrir les boîtes de dialogues associées au panneau Contrôle, maintenez enfoncée la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) tout en cliquant sur une icône du panneau Contrôle. Par exemple, lorsque vous avez sélectionné un bloc, maintenez enfoncée la touche Alt ou Option et cliquez sur l’icône Angle de rotation pour ouvrir la boîte de dialogue Rotation.

Pour consulter un didacticiel vidéo sur l’utilisation du panneau Contrôle, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0064_fr.

« Panneau Contrôle » à la page 768 Vidéo Panneau Contrôle située à droite du panneau Contrôle.

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Pour personnaliser le panneau Contrôle 1 Choisissez la commande Personnaliser dans le menu situé sur le côté droit du panneau Contrôle. 2 Définissez les options à afficher ou à masquer, puis cliquez sur le bouton OK.

A propos du panneau Navigation

Si les versions précédentes d’InDesign vous sont familières, vous serez peut-être étonné de ne pas trouver le panneau Navigation. Sachez que le panneau Navigation ne figure pas dans InDesign CS5. Il est désormais remplacé par une fonction de zoom très efficace (voir la section « Pour utiliser le zoom » à la page 34).

Utilisation des menus contextuels

A la différence des menus qui s’affichent dans la partie supérieure de l’écran, les menus contextuels se composent de commandes liées à l’outil actif ou à la sélection. Vous pouvez les utiliser pour accéder rapidement aux commandes les plus courantes. 1 Placez le pointeur sur le document, l’objet ou le panneau. 2 Cliquez avec le bouton droit de la souris.

Remarque : (Mas OS) si vous ne disposez pas d’une souris à deux boutons, vous pouvez afficher les menus contextuels en appuyant sur la touche Contrôle et en cliquant avec la souris.

Modification des préférences de l’interface

1 Choisissez la commande Edition > Préférences > Interface (Windows) ou InDesign > Préférences > Interface

que les outils de la barre d’outils ou les options du panneau Contrôle. Choisissez l’option Sans pour désactiver les infobulles.

Afficher les vignettes à l’importation Lorsque vous importez un graphique, une vignette représentant l’image apparaît dans le curseur de graphique chargé. De la même façon, le curseur de texte chargé contient une vignette représentant les premières lignes de texte. Si vous ne voulez pas afficher ces vignettes lors de l’importation de graphiques ou de texte, désélectionnez cette option. Afficher les valeurs de transformation Lorsque vous créez, redimensionnez ou faites pivoter un objet, le curseur

affiche les coordonnées [x,y] et d’autres détails tels que la largeur, la hauteur ou la rotation.

Activer le mouvement tactile multipoint Sélectionnez cette option pour faire en sorte que les entrées tactiles

multipoints à l’aide de la souris mises en œuvre sous Windows et Mac OS fonctionnent dans InDesign. Par exemple, avec la souris Magic Mouse (Mac OS), un mouvement de balayage permet de faire défiler l’affichage vers le haut ou vers le bas, d’afficher la page ou planche suivante ou précédente, tandis qu’un mouvement de rotation fait pivoter la planche.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Réduire automatiquement les panneaux d’icônes Lorsque cette option est sélectionnée, il suffit de cliquer dans la fenêtre du document pour fermer automatiquement le panneau ouvert. Afficher automatiquement les panneaux masqués Lorsque vous masquez des panneaux en appuyant sur la touche de

tabulation, vous pouvez les réafficher de façon temporaire en maintenant le pointeur de la souris sur le côté de la fenêtre du document. En revanche, si cette option n’est pas sélectionnée, vous devez appuyer à nouveau sur la touche de tabulation pour afficher les panneaux.

Ouvrir les documents en tant qu’onglets Lorsque cette option est désélectionnée, les documents que vous créez ou

ouvrez apparaissent comme des fenêtres flottantes et non comme des fenêtres à onglets.

Activer l’ancrage des fenêtres de document flottantes Si vous sélectionnez cette option, vous pouvez ancrer ensemble

des documents flottants sous forme de fenêtres à onglets. Lorsque cette option est désélectionnée, les fenêtres de document flottantes ne sont pas ancrées les unes aux autres, à moins que vous ne mainteniez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée lorsque vous les faites glisser.

Outil Main Pour savoir s’il faut créer du faux texte et de fausses images lorsque vous faites défiler un document, faites glisser le curseur de l’outil Main vers le niveau de performance souhaité par opposition à la qualité. Régénération dynamique de l’écran Sélectionnez une option pour déterminer si l’image est régénérée ou non lorsque

vous faites glisser un objet. Si vous choisissez l’option Immédiatement, l’image est régénérée lors du glissement. En revanche, si vous choisissez l’option Jamais, seul le bloc est déplacé lorsque vous faites glisser une image. L’image ne l’est qu’au moment où vous relâchez le bouton de la souris. L’option En différé permet, quant à elle, de régénérer l’image uniquement lors d’une pause avant le glissement. Cette option fonctionne de la même manière que dans

Personnalisation des menus et des raccourcis clavier

Personnalisation des menus Il peut être utile de masquer certaines commandes et d’appliquer une couleur aux commandes que vous utilisez fréquemment pour éviter les menus surchargés et faciliter l’accès aux commandes. Lorsque vous masquez une commande, celle-ci ne s’affiche plus dans le menu, mais la fonction correspondante est toujours disponible. Vous pouvez à tout moment faire réapparaître les commandes masquées. Pour ce faire, il vous suffit de choisir la commande Afficher tous les éléments de menu qui figure en bas de chaque menu ou bien la commande Fenêtre > Espace de travail > Afficher les menus entiers pour obtenir l’ensemble des menus de l’espace de travail sélectionné. Il est possible d’inclure des menus personnalisés dans les espaces de travail enregistrés. Vous pouvez personnaliser le menu principal, les menus contextuels et les menus des panneaux. Pour afficher le menu contextuel, cliquez sur une zone avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en appuyant simultanément sur la touche Contrôle (Mac OS). Pour afficher le menu d’un panneau, cliquez sur l’icône située dans l’angle supérieur droit du panneau. Remarque : si vous sélectionnez un espace de travail différent (Prise en main, par exemple), certaines commandes de menu sont masquées. Pour les afficher, choisissez la commande Afficher tous les éléments de menu qui figure en bas du menu ou sélectionnez un autre espace de travail (Avancé, par exemple).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Cliquez sur Enregistrer sous, saisissez le nom de l’ensemble de menus, puis cliquez sur OK. 3 Dans le menu Catégorie, choisissez la commande Menus de l’application ou Menus contextuels et de panneau pour

indiquer les menus personnalisés.

4 Cliquez sur les flèches situées à gauche des catégories de menu pour afficher des sous-catégories ou des commandes

de menu. Pour chaque commande à personnaliser, cliquez sur l’icône en forme d’œil située sous la zone Visibilité pour afficher ou masquer la commande et sur Sans sous la zone Couleur pour choisir une couleur dans le menu.

5 Cliquez sur le bouton Enregistrer, puis sur le bouton OK.

Pour sélectionner un ensemble de menus personnalisé

1 Choisissez Edition > Menus. 2 Choisissez l’ensemble de menus dans le menu Ensemble, puis cliquez sur OK.

Pour modifier ou supprimer un ensemble de menus personnalisé

1 Choisissez Edition > Menus. 2 Choisissez l’ensemble de menus dans le menu Ensemble, puis utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour modifier un ensemble de menus, la visibilité ou la couleur de commandes de menu, cliquez sur Enregistrer, puis sur OK.

• Pour supprimer un ensemble de menus, cliquez sur le bouton Supprimer, puis sur le bouton OK. Si vous avez modifié le menu sans l’avoir enregistré, vous êtes invité à enregistrer l’ensemble de menus actif. Cliquez sur le bouton Oui pour enregistrer l’ensemble de menus ou sur le bouton Non pour annuler les modifications.

Pour afficher les éléments de menu masqués

• Choisissez la commande Fenêtre > Espace de travail > Afficher les menus entiers. Cette commande a pour effet d’activer la totalité des menus pour l’espace de travail sélectionné. Si vous désirez les masquer à nouveau, il vous suffit de réinitialiser l’espace de travail.

• Choisissez la commande Afficher tous les éléments de menu au bas d’un menu comportant des commandes masquées.

Cliquez sur le nom d’un menu tout en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée pour afficher de manière temporaire les commandes de menu que vous avez choisi de masquer.

Commandes de menu manquantes

Si vous ne parvenez pas à trouver une commande de menu, il se peut qu’elle soit masquée. Si vous sélectionnez un espace de travail autre que l’espace Avancé, certaines commandes de menu sont masquées. Il est également possible que vous ou une autre personne ayez utilisé la commande Menus pour masquer les éléments de menu. Lorsque la commande que vous cherchez n’est pas visible, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez la commande Afficher tous les éléments de menu, dans la partie inférieure du menu.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

éléments de menu).

• Choisissez Edition > Menus, repérez la commande qui vous intéresse et vérifiez si elle est masquée.

S’il manque encore des commandes de menu, essayez de restaurer les préférences.

« Rétablissement de l’ensemble des préférences et des paramètres par défaut » à la page 40

Utilisation des ensembles de raccourcis clavier

Les infos-bulles vous renseignent immédiatement sur les raccourcis clavier. InDesign comporte également un éditeur de raccourcis qui permet de générer et d’afficher une liste de tous les raccourcis et de créer et de modifier vos propres raccourcis. L’éditeur de raccourcis inclut toutes les commandes pouvant accepter des raccourcis ; cependant, certaines de ces commandes ne sont pas définies dans l’ensemble de raccourcis par défaut. Vous pouvez également associer des raccourcis clavier à des styles de paragraphe ou de caractère (voir la section « Ajout de styles de paragraphe et de caractère » à la page 215) ou à des scripts. Pour consulter un didacticiel vidéo sur l’utilisation des raccourcis clavier, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0066_fr. Mike Witherell propose un guide de référence de raccourcis clavier sous le titre Free keyboard shortcuts 4 (en anglais uniquement).

« Raccourcis clavier par défaut » à la page 759 « Script » à la page 713

Pour modifier l’ensemble de raccourcis actif

1 Si vous voulez que l’ensemble de raccourcis soit actif pour la totalité des documents, assurez-vous qu’aucun

document n’est ouvert.

2 Choisissez Edition > Raccourcis clavier. 3 Sélectionnez un ensemble de raccourcis dans le menu Ensemble. Par exemple, sélectionnez l’ensemble de 2 Dans le menu déroulant Ensemble, sélectionnez un ensemble de raccourcis. 3 Dans le menu déroulant Zone du produit, sélectionnez la zone contenant les commandes que vous souhaitez

4 Dans la liste Commandes, sélectionnez une commande. Le raccourci s’affiche dans la zone Raccourcis actuels.

Pour créer une liste de raccourcis pour l’impression

1 Choisissez Edition > Raccourcis clavier.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

3 Attribuez un nom au nouvel ensemble, sélectionnez un ensemble de raccourcis dans le menu

déroulant D’après l’ensemble, puis cliquez sur OK.

Pour créer ou redéfinir un raccourci

créer un ensemble de raccourcis. Remarque : vous ne pouvez pas modifier les ensembles de raccourcis par défaut, ni ceux de QuarkXPress. Créez plutôt un nouvel ensemble d’après l’un de ces deux ensembles puis modifiez-le. 3 Dans le menu déroulant Zone du produit, sélectionnez la zone contenant la commande que vous souhaitez définir

4 Dans la liste Commandes, sélectionnez la commande que vous souhaitez définir ou redéfinir. 5 Accédez à la zone Nouveau raccourci et appuyez sur les touches du nouveau raccourci clavier. Si la combinaison de

touches est déjà utilisée pour une autre commande, celle-ci s’affiche dans la zone Raccourcis actuels. Vous pouvez soit modifier le raccourci initial, soit en sélectionner un nouveau.

Remarque : n’attribuez pas de raccourcis constitués d’une seule touche aux commandes de menu, car les touches sont utilisées pour la saisie de texte. Si vous utilisez un raccourci de ce type alors qu’un point d’insertion est actif, InDesign active le raccourci clavier au lieu d’insérer le caractère correspondant dans le texte. 6 Dans la liste Contexte, sélectionnez le contexte dans lequel vous souhaitez que le raccourci soit activé. Cette option

permet de s’assurer que le raccourci exécute bien la commande souhaitée en fonction du contexte. Par exemple, il est possible d’attribuer le raccourci Ctrl+G au regroupement de deux cellules (pour un tableau) et à l’insertion de caractères spéciaux (pour un texte).

Remarque : attribuez des raccourcis dans le contexte par défaut pour qu’ils fonctionnent quel que soit l’état du document. Les raccourcis attribués dans les autres contextes, tels que dans un tableau ou un texte, remplacent ceux attribués dans le contexte par défaut. 7 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez sur Attribuer pour créer un nouveau raccourci de commande.

• Cliquez sur Attribuer pour ajouter un autre raccourci à une commande. Plusieurs raccourcis clavier peuvent correspondre à une même commande de menu. 8 Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue ou sur Enregistrer pour laisser la boîte de dialogue ouverte et

définir d’autres raccourcis.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Les ensembles de raccourcis clavier (*.indk) sont enregistrés à deux emplacements. Les raccourcis prédéfinis de l’application figurent dans le dossier Presets du dossier principal de l’application. Les ensembles de raccourcis que vous créez figurent dans le dossier Shortcut Sets aux emplacements suivants : Windows XP Documents and Settings\[nom d’utilisateur]\Application

Data\Adobe\InDesign\[version]\[langue]InDesign Shortcut Sets

Windows Vista et Windows 7 Users\[nom Présentation du panneau Outils Certains outils du panneau Outils permettent de sélectionner, modifier et créer des éléments de page. D’autres permettent de choisir un type, une forme, une ligne ou un dégradé. Vous pouvez modifier la disposition du panneau Outils pour mieux l’adapter à la configuration de la fenêtre principale et des autres panneaux. Par défaut, le panneau Outils s’affiche sur une seule colonne. Vous pouvez aussi le présenter sur deux colonnes ou sur une rangée. Il est toutefois impossible de réorganiser les outils à l’intérieur du panneau Outils. Pour déplacer le panneau, faites-le glisser en plaçant le pointeur sur sa partie supérieure. Pour sélectionner un outil dans le panneau Outils par défaut, il suffit de cliquer dessus. Le panneau Outils contient également plusieurs outils masqués liés aux outils visibles. Ces outils masqués sont signalés par une flèche à droite de l’icône de l’outil. Pour sélectionner un outil masqué, cliquez sur l’outil actif dans le panneau Outils sans relâcher le bouton de la souris, puis choisissez l’outil souhaité. Le nom de l’outil ainsi que son raccourci clavier apparaissent lorsque vous placez le pointeur sur l’outil : ce texte est appelé info-bulle. Vous pouvez désactiver les info-bulles en sélectionnant l’option Sans dans le menu Description d’outils des préférences relatives à l’interface.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

❖ Cliquez deux fois sur un outil du panneau Outils.

Cette procédure fonctionne uniquement pour certains outils, comme les outils Pipette, Crayon et Polygone.

Pour afficher et sélectionner un outil masqué

1 Dans le panneau Outils, cliquez sur un outil associé à des outils masqués sans relâcher le bouton de la souris. 2 Lorsque les outils masqués s’affichent, sélectionnez-en un.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Tout en maintenant la touche de raccourci enfoncée, effectuez une action.

3 Relâchez la touche de raccourci pour revenir à l’outil précédent.

Par exemple, si l’outil Espace est sélectionné, maintenez la touche de raccourci V enfoncée pour utiliser temporairement l’outil Sélection. Lorsque vous relâchez la touche V, l’outil Espace est de nouveau actif.

Pour afficher des info-bulles d’outils

Le panneau Info-bulles des outils décrit le fonctionnement des touches de modification avec l’outil sélectionné. 1 Choisissez la commande Fenêtre > Utilitaires > Info-bulles des outils pour afficher le panneau du même nom. 2 Dans le panneau Outils, sélectionnez un outil afin d’afficher sa description, ainsi que les touches de modification et

les raccourcis qui lui sont associés.

Pour modifier la disposition du panneau Outils

1 Choisissez la commande Edition > Préférences > Interface (Windows) ou InDesign > Préférences > Interface

Présentation des outils

Outils Texte Créez et mettez en forme des blocs ou des tracés standard ou personnalisés (voir la section « Création de blocs de texte » à la page 136.) Outils de dessin Dessinez et concevez des objets simples et complexes, comme des rectangles, des ellipses, des polygones ou des formes libres (voir la section « Dessin » à la page 369). Outils de sélection Sélectionnez (activez) des objets, des points ou des lignes (voir la section « Sélection d’objets » à la

Outils de transformation Modifiez la forme, réorientez et redimensionnez des objets (voir la section « Transformation

d’objets » à la page 445).

Outils de navigation Déplacez-vous dans les documents, contrôlez leur affichage et mesurez des distances (voir les sections « Zoom avant ou arrière » à la page 33 et « Règles et unités de mesure » à la page 48). Outil Ciseaux Scinde les tracés et les blocs (voir la section « Fractionnement d’un tracé » à la page 387.)

Dernière mise à jour le 18/5/2011

L’outil Sélection directe vous permet de sélectionner des points sur un tracé ou du contenu dans un bloc.

L’outil Page vous permet de définir plusieurs formats de page au sein d’un document.

L’outil Espace vous permet de régler l’espacement des objets.

« Sélection d’objets » à la page 438

Galerie d’outils de dessin et de texte

L’outil Plume vous permet de dessiner des tracés droits et incurvés.

L’outil Ajout de point d’ancrage vous permet d’ajouter des points d’ancrage à un tracé.

L’outil Suppression de point d’ancrage vous permet de supprimer des points d’ancrage d’un tracé.

L’outil Conversion de point directeur vous permet de convertir des sommets et des arrondis.

L’outil Texte vous permet de créer des blocs de texte et de sélectionner du texte.

L’outil Texte curviligne vous permet de créer et de modifier du texte sur des tracés.

L’outil Crayon vous permet de dessiner une forme libre.

L’outil Arrondi vous permet de supprimer les angles superflus sur un tracé.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

L’outil Trait vous permet de dessiner un segment de ligne.

L’outil Bloc rectangulaire vous permet de créer un bloc de réservation carré ou rectangle.

L’outil Bloc elliptique vous permet de créer un bloc de réservation circulaire ou ovale.

L’outil Bloc polygonal vous permet de créer un bloc de réservation à plusieurs côtés.

L’outil Rectangle vous permet de créer un carré ou un rectangle.

L’outil Ellipse vous permet de créer un cercle ou un ovale.

L’outil Polygone vous permet de créer une forme

à plusieurs côtés.

« Présentation des tracés et des formes » à la page 369

Galerie d’outils de transformation

L’outil Transformation manuelle vous permet de faire pivoter, mettre à l’échelle ou déformer un objet.

L’outil Rotation vous permet de faire pivoter des objets autour d’un point fixe.

L’outil Pipette vous permet de prélever un échantillon de couleur ou d’attribut de texte à partir d’un objet et de l’appliquer à un autre objet.

L’outil Mesure vous permet de mesurer la distance entre deux points.

L’outil Nuance de dégradé vous permet d’ajuster les points de départ et d’arrivée ainsi que l’angle des dégradés dans les objets.

L’outil Contour progressif dégradé vous permet de faire disparaître un objet dans l’arrière-plan.

L’outil Ciseaux coupe les tracés à différents points spécifiés.

L’outil Main déplace la page dans la fenêtre de document.

L’outil Zoom agrandit et réduit la fenêtre de document.

L’outil Note vous permet d’ajouter des commentaires.

Affichage de l’espace de travail

Zoom avant ou arrière L’outil Zoom ou les commandes Zoom vous permettent de modifier la taille des documents.

« Outils » à la page 759

Pour effectuer un zoom avant ou arrière

• Pour effectuer un zoom avant, sélectionnez l’outil Zoom

et cliquez sur la section que vous souhaitez agrandir.

Chaque clic permet d’accéder au niveau de zoom supérieur (les différents niveaux étant prédéfinis). Les éléments affichés sont recentrés par rapport à l’endroit de la page où vous avez cliqué. Lorsque vous atteignez le niveau de zoom maximal, la partie centrale de l’outil Zoom devient blanche. Pour effectuer un zoom arrière, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée et cliquez sur la section que vous souhaitez réduire. A chaque clic, la vue est réduite.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Sous Mac OS, vous pouvez afficher le facteur de zoom dans la barre d’état en masquant la barre de l’application (commande Fenêtre > Barre de l’application). Sous Windows, il est impossible de masquer la barre de l’application.

• Pour effectuer un zoom avant ou arrière, appuyez sur la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) tandis que vous utilisez la roulette de défilement ou le capteur de la souris.

• Pour effectuer un zoom avant par glisser-déplacer, activez l’outil Zoom et créez un cadre de sélection par glisserdéplacer autour de la zone à agrandir.

Pour utiliser le zoom

Le zoom vous offre un moyen rapide pour parcourir les pages de votre document. A l’aide de l’outil de sélection en forme de main, vous pouvez effectuer un zoom avant ou arrière et avancer dans l’ensemble du document. Cette fonction est particulièrement utile pour les documents comportant un grand nombre de pages. 1 Sélectionnez l’outil Sélection

Un zoom arrière est effectué sur le document pour afficher une plus grande partie de la planche. Un cadre rouge indique la zone de visualisation. 3 Tout en continuant à maintenir le bouton de la souris enfoncé, faites glisser le cadre rouge pour faire défiler les

pages du document. Appuyez sur les touches fléchées ou utilisez la molette de défilement de la souris pour modifier la taille du cadre rouge.

4 Relâchez le bouton de la souris pour zoomer sur la nouvelle zone du document.

La fenêtre du document revient au pourcentage de zoom d’origine ou à la taille du cadre rouge.

Pour afficher le document à sa taille réelle

• Cliquez deux fois sur l’outil Zoom. • Choisissez Affichage > Taille réelle. • Saisissez ou choisissez un niveau d’agrandissement de 100 % dans la zone Niveau de zoom de la barre de l’application.

Réglage de l’affichage

Vous pouvez axer l’affichage sur une certaine zone du document en ajustant les pages et les planches au sein de la fenêtre active et en faisant défiler l’affichage.

« Affichage des documents et de leurs espaces de travail » à la page 766

Ajustement de la page, de la planche ou de la table de montage à la fenêtre active

• Choisissez la commande Affichage > Ajuster la page à la fenêtre.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Plusieurs méthodes permettent de faire facilement défiler les objets ou les pages dans la fenêtre de document. Ces méthodes peuvent également être utiles pour se déplacer d’une page à l’autre. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Sélectionnez l’outil Main

• Utilisez les touches Pg suiv et Pg préc. • Utilisez la roulette de défilement ou le capteur de la souris pour faire défiler vers le haut ou le bas. Pour faire glisser le contenu vers la gauche ou la droite, appuyez sur la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) tout en utilisant la roulette de défilement ou le capteur de la souris.

Dans InDesign, vous pouvez facilement accéder aux différentes pages d’un document. Par exemple, comme la plupart des navigateurs Web disposant des boutons Précédent et Suivant pour accéder aux pages déjà consultées, InDesign garde en mémoire l’ordre des pages du document successivement affichées. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour parcourir les pages selon leur ordre d’affichage lors de la session en cours, choisissez Page > Précédent ou

• Pour accéder à la première ou à la dernière page, cliquez sur le bouton Première planche

ou Dernière planche , au bas de la fenêtre de document, ou choisissez la commande Page > Première page ou Dernière page.

• Pour accéder à une page spécifique, choisissez la commande Page > Atteindre la page, indiquez le numéro de page souhaité et cliquez sur le bouton OK. Vous pouvez également cliquer sur le bouton flèche bas situé à droite de la zone de page, puis sélectionner une page.

Pour accéder à une page spécifique, sélectionnez cette page dans la zone de page.

• Pour atteindre un gabarit, cliquez dans la zone de page située dans le coin inférieur gauche de la fenêtre de document. Entrez les premières lettres du nom du gabarit et appuyez sur Entrée (Windows) ou Retour (Mac OS).

Vous pouvez aussi cliquer deux fois sur l’icône du gabarit dans le panneau Pages.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Lorsque vous rouvrez le document, seule la dernière fenêtre utilisée s’affiche.

• Pour créer une nouvelle fenêtre pour le même document, choisissez Fenêtre > Disposition > Nouvelle fenêtre.

• Pour afficher les fenêtres en cascade ou en mosaïque, choisissez Fenêtre > Disposition > Cascade pour superposer les fenêtres avec un léger décalage. Choisissez Fenêtre > Disposition > Mosaïque pour disposer les fenêtres les unes à côté des autres, de sorte qu’elles ne se chevauchent pas.

• Pour activer une fenêtre, cliquez sur l’onglet ou la barre de titre de la fenêtre. Vous pouvez également choisir le nom de la fenêtre dans le menu Fenêtre. Si un document est ouvert dans plusieurs fenêtres, celles-ci sont numérotées dans l’ordre de leur création.

• Pour fermer toutes les fenêtres du document actif, appuyez sur les touches Maj+Ctrl+W (Windows) ou

Maj+Commande+W (Mac OS).

• Pour fermer toutes les fenêtres de l’ensemble des documents ouverts, appuyez sur les touches

Maj+Ctrl+Alt+W (Windows) ou Maj+Commande+Option+W (Mac OS). Le lissage est une technique de suppression du crénelage du contour des caractères et des images bitmap, reposant sur l’atténuation de la transition des couleurs entre les pixels du contour et les pixels du fond. Les modifications s’appliquent uniquement aux pixels du contour. 1 Choisissez Edition > Préférences > Performances d’affichage (Windows) ou InDesign > Préférences >

Performances d’affichage (Mac OS).

2 Dans le menu Réglage de l’affichage, choisissez le paramètre d’affichage pour lequel vous souhaitez activer le Vous pouvez spécifier des valeurs de faux texte différentes pour chaque paramètre d’affichage. 3 Définissez l’option Seuil de faux texte sur la valeur voulue, puis cliquez sur le bouton OK.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Calcul de valeurs dans les panneaux et les boîtes de dialogue Il est possible d’effectuer des opérations mathématiques simples dans une zone d’édition numérique. Par exemple, pour déplacer un objet sélectionné de trois unités sur la droite en utilisant les unités de mesure actives, il n’est pas nécessaire de définir la nouvelle position horizontale. Il suffit de taper +3 après la valeur courante dans le panneau Transformation. Les panneaux utilisent le système de mesure sélectionné dans la boîte de dialogue Préférences, mais vous pouvez spécifier des valeurs dans d’autres unités de mesure. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes dans une zone de texte acceptant les valeurs numériques :

• Pour remplacer la valeur active par une expression mathématique, sélectionnez cette valeur.

• Pour utiliser la valeur active dans une expression mathématique, cliquez avant ou après cette valeur. 2 Entrez une expression mathématique simple avec un opérateur simple, tel que + (plus), - (moins),

* (multiplication), / (division) ou % (pourcentage).

Par exemple, 0p0 + 3 ou 5 mm + 4. 3 Appuyez sur la touche Entrée ou Retour pour effectuer l’opération. Saisie de valeurs dans les panneaux et les boîtes de dialogue Les unités de mesure et les incréments utilisés dans les panneaux et les boîtes de dialogue sont ceux définis dans la boîte de dialogue Edition > Préférences > Unités et incréments (Windows) ou InDesign > Préférences > Unités et incréments (Mac OS). Toutefois, il est possible de spécifier les valeurs dans toute autre unité de mesure prise en charge, en remplaçant provisoirement les préférences actives. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Entrez une valeur dans la zone et appuyez sur Entrée ou Retour.

• Faites glisser le curseur. • Placez le cadran. • Cliquez sur les boutons fléchés du panneau pour modifier la valeur. • Cliquez dans la zone concernée, puis utilisez les touches flèche haut et flèche bas du clavier pour modifier la valeur. • Choisissez une valeur dans le menu associé à la zone de texte. Remarque : InDesign applique instantanément les modifications effectuées à l’aide des boutons de sélection numérique, des touches de direction ou des menus contextuels.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

« Calcul de valeurs dans les panneaux et les boîtes de dialogue » à la page 37

Utilisation de ConnectNow

Adobe® ConnectNow met à votre disposition une salle de réunion en ligne sécurisée et personnelle, où vous pouvez rencontrer d’autres personnes et collaborer avec elles sur le Web en temps réel. Grâce à ConnectNow, vous pouvez partager et annoter votre écran d’ordinateur, envoyer des messages instantanés et communiquer à l’aide de la fonction audio intégrée. Vous pouvez également diffuser des vidéos en temps réel, partager des fichiers, capturer des comptes rendus et contrôler l’ordinateur d’un participant. Vous pouvez accéder à ConnectNow directement à partir de l’interface de l’application. 1 Choisissez la commande Fichier > Partager mon écran. 2 Dans la boîte de dialogue Se connecter à Adobe CS Live, entrez votre adresse de messagerie électronique et votre

mot de passe, puis cliquez sur le bouton Se connecter. Si vous ne disposez pas d’ID Adobe, cliquez sur le bouton

Créer un ID Adobe. 3 Pour partager votre écran, cliquez sur le bouton Partager l’écran de mon ordinateur, au centre de la fenêtre de

l’application ConnectNow.

Pour obtenir des instructions complètes sur l’utilisation de ConnectNow, rendez-vous sur http://help.adobe.com/fr_FR/Acrobat.com/ConnectNow/index.html. Pour accéder au didacticiel vidéo sur l'utilisation de ConnectNow, consultez la page Web Using ConnectNow to share your screen (7:12) (cette présentation est effectuée dans Dreamweaver).

Définition des préférences

A propos des préférences et des paramètres par défaut Les préférences se composent de paramètres tels que l’emplacement des panneaux, les options de mesure et les options d’affichage des graphiques et des caractères typographiques. Vous pouvez définir les paramètres des documents et des objets InDesign en modifiant les préférences. Un grand nombre de préférences et de paramètres par défaut de programme sont stockés dans les fichiers de préférences Adobe InDesign. Ces fichiers, y compris le fichier InDesign Defaults, sont sauvegardés à chaque fois que vous quittez InDesign. Emplacement des fichiers de paramètres : Windows XP Documents and Settings\[nom d’utilisateur]\Application Data\Adobe\InDesign\[Version]\[Langue] Windows Vista et Windows 7 Users\[nom d’utilisateur]\AppData\Roaming\Adobe\InDesign\[version]\[langue] Mac OS [nom d’utilisateur]/Bibliothèque/Preferences/Adobe InDesign/[version]/[langue]

(Mac OS), puis sélectionnez le type de préférences que vous souhaitez définir.

2 Choisissez une méthode de numérotation de pages dans le menu Affichage de la section Numérotation des pages

(voir la section « Pour afficher une numérotation absolue ou par section dans le panneau Pages » à la page 95).

3 Dans la section Téléchargement et incorporation de polices, spécifiez un seuil pour créer un jeu de polices partiel

d’après le nombre de glyphes dans la police. Ce paramètre agit sur les options de téléchargement des polices dans les boîtes de dialogue d’impression et d’exportation.

4 Dans la section Lors de la mise à l’échelle, vous pouvez spécifier le mode de présentation des objets mis à l’échelle

dans les panneaux et le comportement du contenu des blocs ainsi redimensionnés.

• Sélectionnez l’option Appliquer au contenu si vous souhaitez que le corps soit modifié lors de la mise à l’échelle du bloc de texte (voir la section « Mise à l’échelle du texte » à la page 279). Si cette option est activée lorsqu’un bloc graphique est mis à l’échelle, le pourcentage de taille de l’image change, mais celui du bloc revient à 100 % (voir la section « Mise à l’échelle d’objets » à la page 457).

• Sélectionnez Ajuster le pourcentage de mise à l’échelle pour faire apparaître le corps d’origine avec le nouveau corps entre parenthèses lorsque vous mettez le texte à l’échelle. Si cette option est sélectionnée lorsque vous mettez à l’échelle les blocs graphiques, le pourcentage de taille du bloc et de l’image sont tous les deux modifiés.

5 Cliquez sur Réinitialiser tous les messages d’avertissement pour afficher tous les avertissements, y compris ceux que

vous avez déjà choisis de ne pas afficher (un message d’avertissement s’affiche. Activez la case à cocher pour éviter que ce message ne réapparaisse).

Définition de paramètres par défaut

Si vous modifiez des paramètres alors qu’aucun document n’est ouvert, les nouveaux paramètres deviennent les paramètres par défaut des nouveaux documents. Si vous modifiez des paramètres alors qu’un document est ouvert, les modifications s’appliquent uniquement à ce document. De la même façon, si vous modifiez des paramètres alors qu’aucun objet n’est sélectionné, les nouveaux paramètres deviennent les paramètres par défaut des nouveaux objets.

Pour modifier les paramètres par défaut des nouveaux documents

1 Fermez tous les documents. 2 Modifiez les paramètres souhaités au niveau des options de menu, des panneaux et des boîtes de dialogue.

Si vous utilisez le même format de page ou la même langue pour la plupart de vos documents, vous pouvez modifier les paramètres par défaut correspondants en vous assurant qu’aucun document n’est ouvert. Par exemple, pour modifier le format de page par défaut, fermez tous les documents, choisissez Fichier > Format de document et sélectionnez le format souhaité. Pour définir un dictionnaire par défaut, fermez tous les documents, choisissez Edition > Préférences >

Dictionnaire (Windows) ou InDesign > Préférences > Dictionnaire (Mac OS) et sélectionnez une option dans le menu Langue.

Pour définir les paramètres par défaut des nouveaux objets dans un document

1 Vérifiez qu’un document est ouvert et choisissez Edition > Tout désélectionner. 2 Modifiez les paramètres souhaités au niveau des options de menu, des panneaux et des boîtes de dialogue.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Dans les cas où InDesign se comporte de façon imprévisible, la suppression des préférences est souvent un bon moyen de résoudre le problème. Il est judicieux d’effectuer une copie de sauvegarde des fichiers de préférences nommés InDesign Defaults et InDesign SavedData. Ainsi, plutôt que de supprimer vos préférences, vous pouvez copier ces fichiers de sauvegarde sur les fichiers de préférences erronés sans perdre vos paramètres personnalisés. Mike Witherell propose une liste détaillée des fichiers affectés par la restauration des préférences ; cette liste figure dans le document au format PDF intitulé Adobe InDesign Presets (en anglais uniquement). ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• (Windows) Lancez InDesign et appuyez sur les touches Maj+Ctrl+Alt. Cliquez sur le bouton Oui lorsque vous êtes invité à supprimer vos fichiers de préférences.

• (Mac OS) Lancez InDesign tout en appuyant sur les touches Maj+Option+Commande+Contrôle. Cliquez sur le bouton Oui lorsque vous êtes invité à supprimer vos fichiers de préférences.

A propos des styles et des paramètres prédéfinis InDesign

Il est possible d’enregistrer des paramètres pour les réutiliser ultérieurement. Vous pouvez notamment enregistrer les paramètres définis lors des procédures suivantes :

• Création de styles de paragraphe et de caractère (voir la section « Ajout de styles de paragraphe et de caractère » à la page 215).

• Création de styles d’objets (voir la section « Styles d’objet » à la page 230).

• Création de styles de tableau et de cellule (voir la section « Styles de tableau et de cellule » à la page 334). • Création de paramètres d’exportation PDF prédéfinis (voir la section « Personnalisation des paramètres prédéfinis Adobe PDF » à la page 553).

• Création de paramètres d’impression prédéfinis. Tous les attributs de la boîte de dialogue d’impression figurent dans un style d’impression (voir la section « Impression d’un document ou d’un livre » à la page 656).

• Création de paramètres de recouvrement prédéfinis (voir la section « Recouvrement des couleurs » à la page 534).

• Création de paramètres d’aplatissement des transparences prédéfinis (voir la section « Aplatissement d’une illustration avec transparence » à la page 495).

• Création de styles de tables des matières (voir la section « Création de styles de tables des matières pour plusieurs listes » à la page 349).

• Enregistrement de la configuration de l’espace de travail.

• Création de paramètres prédéfinis de document (voir la section « Définition de paramètres prédéfinis de document » à la page 45).

• Création de styles de contour (voir la section « Définition de styles de contour personnalisés » à la page 391).

En général, il suffit de modifier les paramètres de la fonction dans la boîte de dialogue correspondante et de les enregistrer. Les styles et les paramètres prédéfinis sont enregistrés dans le document dans lequel ils ont été créés. Vous pouvez utiliser les paramètres d’un autre document en important ou en chargeant les styles et les paramètres prédéfinis de ce document. En outre, vous pouvez exporter ou enregistrer la plupart des paramètres prédéfinis dans un fichier séparé et les distribuer sur d’autres ordinateurs. Mike Witherell propose une liste détaillée de paramètres prédéfinis dans le document au format PDF intitulé Adobe InDesign Presets (en anglais uniquement).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Récupération de documents

InDesign protège vos données des coupures de courant ou des pannes système impromptues grâce à une fonction de récupération automatique. Les données récupérées sont enregistrées sur le disque dans un fichier temporaire distinct du fichier original. En règle générale, vous n’avez pas à intervenir dans le cadre de la récupération : les données les plus récentes enregistrées dans le fichier de récupération sont en effet ajoutées automatiquement au fichier original lorsque vous choisissez la commande Enregistrer ou Enregistrer sous ou lorsque vous fermez InDesign selon la méthode habituelle. La fonction de récupération automatique ne doit être utilisée qu’en cas de blocage système ou de panne de courant, lorsque vous ne parvenez pas à enregistrer vos données. Elle ne doit pas vous dispenser d’enregistrer régulièrement vos fichiers et de créer des fichiers de sauvegarde pour vous prémunir contre ces pannes ou ces blocages intempestifs.

Pour rechercher des documents récupérés

1 Redémarrez l’ordinateur. 2 Lancez InDesign. • Pour enregistrer les données récupérées, choisissez la commande Fichier > Enregistrer sous, indiquez un emplacement et un nouveau nom de fichier, et cliquez sur le bouton Enregistrer. Si vous utilisez la commande Enregistrer sous, la version contenant les données récupérées reste active. La mention [Récupéré] disparaît de la barre de titre.

• Pour utiliser la dernière version du document enregistrée sur le disque avant le blocage et ignorer les données récupérées automatiquement, fermez le fichier récupéré sans l’enregistrer et ouvrez le fichier enregistré sur le disque, ou bien choisissez la commande Fichier > Version précédente.

Pour modifier l’emplacement des documents récupérés

1 Choisissez Edition > Préférences > Gestion des fichiers (Windows) ou InDesign Préférences> Gestion des fichiers

La conception d’une page débute par des opérations de base : création d’un nouveau document, configuration des pages et positionnement des marges et des colonnes ou modification des paramètres de grille.

« Flux de production recommandé pour les documents InDesign » à la page 104 « Utilisation de modèles de document » à la page 108 « Ajout de documents à un livre » à la page 340

Création d’un nouveau document

1 Choisissez Fichier > Nouveau > Document. Pour spécifier les dimensions des zones de fond perdu et de ligne-bloc, cliquez sur Plus d’options. Ces zones s’étendent au-delà des bords du format de page défini. Pour que ce débord soit régulier sur tous les côtés, cliquez sur l’icône Uniformiser tous les paramètres 3 Cliquez sur OK pour ouvrir un nouveau document comportant les paramètres spécifiés.

Pour définir des paramètres de mise en page par défaut pour tous les nouveaux documents, choisissez la commande

Fichier > Format de document ou Page > Marges et colonnes, puis définissez les options lorsqu’aucun document n’est ouvert.

Options de nouveau document

Paramètre prédéfini de document Choisissez un paramètre prédéfini précédemment enregistré. Mode Si vous créez un document à exporter au format PDF ou SWF en vue de son utilisation sur le Web, la sélection

de l’option Web entraîne la modification de plusieurs options de la boîte de dialogue, notamment la désactivation de l’option Pages en vis-à-vis, le passage de l’orientation de portrait à paysage, ainsi que l’utilisation d’un format de page basé sur la résolution du moniteur. Vous pouvez modifier tous ces paramètres mais ne pouvez pas modifier le paramètre Mode une fois le document créé.

Nombre de pages Indiquez le nombre de pages à créer dans le nouveau document. N° de la 1re page Indiquez le numéro de page de la première page du document. Si vous indiquez un numéro pair (2,

par exemple) et que vous sélectionnez l’option Pages en vis-à-vis, la première planche du document comporte deux pages (voir la section « Pour créer un document avec une planche de deux pages » à la page 68).

Pages en vis-à-vis Sélectionnez cette option pour présenter en regard les pages de gauche et de droite d’une planche de deux pages, comme pour les livres et les magazines. Désélectionnez-la pour disposer toutes les pages indépendamment

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Après avoir créé un document, vous pouvez utiliser le panneau Pages pour créer des planches contenant plus de deux pages ou pour forcer les deux premières pages à s’ouvrir comme une planche (voir la section « Contrôle de la pagination des planches » à la page 67). Bloc de texte type Sélectionnez cette option pour créer un bloc de texte de la taille de la zone délimitée par les repères de marge, selon les paramètres de colonnes spécifiés. Le bloc de texte type s’ajoute à la page A-Gabarit (voir la section « Utilisation des blocs de texte sur les gabarits » à la page 138).

L’option Bloc de texte type n’est disponible qu’avec la commande Fichier > Nouveau > Document.

Format de page Choisissez un format de page dans le menu ou entrez une largeur et une hauteur. Le format de page représente les dimensions définitives que vous obtiendrez après rognage des fonds perdus et autres repères situés en dehors de la page. Orientation Cliquez sur Portrait ou Paysage . Ces icônes interagissent directement avec les dimensions définies pour le format de page. Si la hauteur représente la valeur la plus élevée, l’icône Portrait est activée. Si la largeur représente la valeur la plus élevée, l’icône Paysage est activée. Il suffit de cliquer sur l’icône désactivée pour permuter la hauteur et la largeur.

Pour spécifier les dimensions des zones de fond perdu et de ligne-bloc, cliquez sur Plus d’options dans la boîte de dialogue Nouveau document. Pour que ce débord soit régulier sur tous les côtés, cliquez sur l’icône Uniformiser tous les paramètres

. Fond perdu La zone de fond perdu permet d’imprimer des objets disposés au bord externe du format de page défini.

Si un objet est placé contre le bord d’une page aux dimensions requises, il est possible que du blanc apparaisse au bord de la zone d’impression en raison d’un léger décalage d’alignement au cours de l’impression ou du rognage. Pour cette raison, il est recommandé d’éloigner légèrement l’objet du bord de la page aux dimensions requises et de rogner une fois l’impression effectuée. La zone de fond perdu est indiquée par une ligne rouge sur le document. Vous pouvez définir les paramètres de la zone de fond perdu en cliquant sur le menu Fond perdu dans la boîte de dialogue Imprimer.

Ligne-bloc Cette zone est éliminée lorsque le document est rogné à sa taille finale. La zone de ligne-bloc contient les

informations sur l’impression et la gamme de couleurs personnalisées et affiche d’autres instructions et descriptions relatives à d’autres informations dans le document. Les objets (y compris les blocs de texte) situés dans la zone de lignebloc sont imprimés mais disparaissent une fois le document rogné à sa taille finale.

Les objets situés en dehors de la zone de fond perdu ou de ligne-bloc (selon celle qui étend le plus loin) ne seront pas imprimés. Remarque : vous pouvez également cliquer sur Enreg. prédéfini pour enregistrer les paramètres en vue d’une utilisation ultérieure.

Présentation de la fenêtre de document

Chaque page ou planche du document se caractérise par ses propres table de montage et repères, visibles en mode Affichage standard. Pour basculer vers l’affichage normal, choisissez Affichage > Mode écran > Normal. La table de montage est remplacée par un arrière-plan grisé lorsque le document est affiché au moyen d’un des modes d’aperçu (voir la section « Aperçu des documents » à la page 663). Il est possible de modifier la couleur du fond et des repères du mode Aperçu dans les préférences Repères et table de montage.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Les repères de colonne s’affichent devant les repères de marge. Par conséquent, lorsqu’un repère de colonne se superpose à un repère de marge, il masque ce dernier.

Création de formats de page personnalisés

Vous pouvez définir des formats de page personnalisés qui seront inclus dans le menu Format de page de la boîte de dialogue Nouveau document. 1 Choisissez la commande Fichier > Nouveau > Document. 2 Choisissez la commande Format de page personnalisé dans le menu Format de page. 3 Saisissez le nom à attribuer au format de page, définissez les paramètres de format voulus, puis cliquez sur le

Le fichier New Doc Sizes.txt, utilisé pour définir des formats de page personnalisés dans les versions antérieures d’InDesign, n’est pas disponible dans InDesign CS5.

Vous pouvez enregistrer des paramètres de document pour le format de page, les colonnes, les marges et les zones de fond perdu et de ligne-bloc dans un fichier de paramètres prédéfinis pour gagner du temps et assurer une cohérence dans la création de documents similaires.

1 Sélectionnez Fichier > Paramètres prédéfinis de document > Définir. 2 Cliquez sur Nouveau dans la boîte de dialogue qui s’affiche. 3 Attribuez un nom aux paramètres prédéfinis et sélectionnez des options élémentaires de mise en page dans la boîte

de dialogue Nouveau paramètre prédéfini de document (voir la section « Options de nouveau document » à la page 43 pour obtenir une description de chaque option).

4 Cliquez deux fois sur OK.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Enregistrer et Charger dans la boîte de dialogue Paramètres prédéfinis du document.

Création d’un document à partir d’un paramètre prédéfini

1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

La boîte de dialogue Nouveau document affiche les options de mise en page du paramètre prédéfini.

2 Modifiez les options si besoin est, puis cliquez sur OK.

Pour éviter d’ouvrir la boîte de dialogue Nouveau document, appuyez sur la touche Maj lorsque vous sélectionnez un paramètre prédéfini dans le menu correspondant.

Personnalisation de la table de montage et des repères

Vous pouvez modifier les couleurs utilisées pour afficher les repères de marge et de colonne ainsi que les repères des zones de fond perdu et de ligne-bloc sur la table de montage. Pour faciliter la distinction entre les modes Affichage standard et Aperçu, il est possible de modifier la couleur d’arrière-plan du mode Aperçu. InDesign vous permet aussi de contrôler la proximité nécessaire aux objets pour s’accoler aux repères, l’affichage des repères par rapport aux objets (devant ou derrière) et la taille de la table de montage. 1 Choisissez Edition > Préférences > Repères et table de montage (Windows) ou InDesign > Préférences > Repères

et table de montage (Mac OS).

2 Dans la zone Couleur, choisissez les couleurs souhaitées dans chacun des menus suivants, ou choisissez

Personnalisée pour spécifier une couleur personnalisée au moyen du sélecteur de couleurs.

Marges Définit la couleur des marges de page. Colonnes Définit la couleur des repères de colonne de la page. Fond perdu Définit la couleur de la zone de fond perdu (définie dans la boîte de dialogue Format de document). Ligne-bloc Définit la couleur de la zone de ligne-bloc (définie dans la boîte de dialogue Format de document). Arrière-plan du mode Aperçu Définit la couleur de la table de montage en mode Aperçu.

3 Pour définir la proximité nécessaire à un objet pour s’accoler à un repère ou une grille, spécifiez une valeur en pixels

pour la zone de magnétisme.

4 Pour afficher les repères derrière les objets, sélectionnez l’option Repères en arrière-plan. 5 Pour spécifier la longueur d’extension de la table de montage par rapport à la page ou à la planche (ou à la zone de

fond perdu ou de ligne-bloc le cas échéant), saisissez des valeurs dans les champs Marges horizontales et Marges verticales.

6 Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Préférences.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Après avoir créé un document, vous pouvez changer d’avis concernant sa mise en forme. Par exemple, vous pouvez souhaiter des pages simples au lieu de pages en vis-à-vis, ou vous pouvez vouloir modifier le format de page ou les paramètres de marge.

Modification du format de document

Les modifications effectuées dans la boîte de dialogue Format de document se répercutent sur toutes les pages du document. Si vous modifiez le format de la page ou son orientation après l’insertion d’objets, utilisez la fonction Modifier la mise en page pour accélérer la réorganisation des objets existants (voir la section « Rectification automatique de la mise en page » à la page 89). 1 Choisissez Fichier > Format de document. 2 Spécifiez les options de document puis cliquez sur OK (voir la section « Options de nouveau document » à la

Remarque : la boîte de dialogue Marges et colonnes ne modifie pas les blocs de texte. Les colonnes de bloc de texte sont spécifiques aux blocs de texte individuels ; il ne s’agit pas d’éléments de la page proprement dite. Vous pouvez configurer les colonnes d’un bloc de texte au moyen de la boîte de dialogue Options de bloc de texte (voir la section « Ajout de colonnes à un bloc de texte » à la page 139). Les colonnes de bloc de texte peuvent également être affectées par la fonctionnalité Modifier la mise en page. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour modifier les paramètres de marge et de colonne d’une planche ou d’une page, affichez la planche à modifier ou sélectionnez une planche ou une page dans le panneau Pages.

• Pour modifier les paramètres de marge et de colonne de plusieurs pages, sélectionnez ces pages dans le panneau

Pages ou sélectionnez un gabarit qui contrôle les pages à retoucher. 2 Choisissez Page > Marges et colonnes, puis définissez les options suivantes avant de cliquer sur OK. Marges Spécifiez la distance qui doit séparer les repères de marge des bords de la page. Si vous avez sélectionné l’option Pages en vis-à-vis dans la boîte de dialogue Nouveau document ou Format de document, les options de marges gauche et droite sont renommées Petit fond et Grand fond afin que vous puissiez définir une marge intérieure plus importante réservée à la reliure. Colonnes Spécifiez le nombre de colonnes.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Remarque : vous ne pouvez pas donner des largeurs différentes aux colonnes d’un bloc de texte. Créez plutôt des blocs de texte liés côte à côte, avec des largeurs de colonnes différentes. 1 Affichez le gabarit ou la planche à modifier. 2 Si les repères de colonnes sont verrouillés, choisissez Affichage > Grilles et repères > Verrouiller les repères de

colonne pour les désélectionner.

3 A l’aide de l’outil Sélection

, faites glisser un repère de colonne. Il est impossible de lui faire dépasser un repère de colonne adjacent ou de le faire sortir des limites de la page.

Glissement d’un repère de colonne pour former des colonnes à largeur variable

Pour créer des colonnes avec des gouttières inégales, créez des repères de règle à espacement régulier, puis faites glisser chacun de ces repères vers un emplacement spécifique (voir la section « Création de repères de règle » à la page 56).

Règles et unités de mesure

Modification des règles et des unités de mesure Vous pouvez modifier des unités de mesure personnalisées pour les règles affichées à l’écran et pour les panneaux et les boîtes de dialogue. Vous pouvez modifier ces paramètres à tout moment ou remplacer temporairement l’unité de mesure courante par une valeur que vous saisissez. Par défaut, les règles commencent dans le coin supérieur gauche de la page ou de la planche. Vous pouvez modifier cela en déplaçant l’origine (voir la section « Modification de l’origine » à la page 51). Les repères, les grilles et les objets sont insensibles au changement d’unité de mesure. Par conséquent, dès lors que les marques de graduation des règles s’ajustent à la nouvelle unité adoptée, elles risquent de ne plus s’aligner sur les objets comme auparavant.

A B C Règles dans une fenêtre de document

A. Graduation avec libellé B. Graduation principale C. Graduation secondaire 2 Pour modifier l’origine, dans le menu Origine de la liste déroulante Unités de la règle, utilisez l’une des méthodes

• Pour situer l’origine de la règle au milieu du dos, choisissez l’option Dos. Sur la règle horizontale, les mesures sont alors exprimées en valeurs négatives à gauche du dos et en valeurs positives à droite.

3 Pour modifier le système de mesure employé pour les règles, boîtes de dialogue et panneaux, sélectionnez le système

souhaité pour Horizontale et Verticale ou choisissez Personnalisées, puis saisissez le nombre de points auxquels vous voulez voir la règle afficher des graduations principales.

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4 Pour modifier la valeur à utiliser pour le corps du texte, choisissez l’option Points ou Pixels dans le menu Corps du

texte. Cette option est particulièrement utile lors de la création d’un document pour le Web.

5 Pour modifier la valeur à utiliser pour les paramètres d’épaisseur de contour, choisissez l’option Points, Millimètres ou

Pixels dans le menu Contour. Cette option est particulièrement utile lors de la création d’un document pour le Web.

6 Pour modifier la valeur à utiliser pour le calcul des points, spécifiez le corps par pouce voulu pour Points/pouce. 7 Définissez l’un des incréments clavier suivants : Touche curseur Contrôle l’incrément des touches de direction lors du déplacement d’objets à l’aide du clavier. Taille/Interligne Contrôle l’incrément pour l’augmentation ou la réduction du corps ou de l’interligne à l’aide des

Décalage vertical Contrôle l’incrément pour le décalage de la ligne de base à l’aide des raccourcis clavier. Crénage/Approche Contrôle l’incrément pour le crénage et l’approche à l’aide des raccourcis clavier.

Pour changer rapidement les unités de la règle, cliquez sur une règle avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS), puis choisissez une unité dans le menu contextuel. Cliquez sur l’intersection des règles horizontale et verticale avec le bouton droit de la souris ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) pour modifier les unités des deux règles simultanément.

Remplacement des unités de mesure par défaut

Vous pouvez spécifier une unité de mesure différente de l’unité de mesure par défaut. ❖ Mettez en surbrillance la valeur dans un panneau ou une boîte de dialogue, puis saisissez une nouvelle valeur

d’après le tableau ci-dessous.

Entrez les lettres suivantes à la suite de la valeur :

Les coordonnées X et Y des panneaux Contrôle, Informations et Transformation varient en fonction de l’origine que vous pouvez déplacer pour mesurer des distances, définir un nouveau point de référence pour les mesures ou agencer en mosaïque les pages hors gabarit. Par défaut, l’origine unique d’une planche est située à l’angle supérieur gauche de la première page. Rien ne vous empêche de la positionner sur le dos de reliure ou de définir une origine différente sur chacune des pages d’une planche.

Réglage de l’origine

Lorsque vous déplacez l’origine, elle adopte la même position relative sur toutes les planches. Si, par exemple, vous déplacez l’origine dans l’angle supérieur gauche de la seconde page d’une double page, elle s’affiche à cet emplacement sur la seconde page de toutes les autres doubles pages du document. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour déplacer l’origine, en partant de l’intersection des règles horizontale et verticale, faites glisser l’origine vers son nouvel emplacement.

Le paramètre Origine de la boîte de dialogue Préférences permet de définir l’origine des règles ainsi que l’étendue de la règle horizontale. L’étendue de la règle peut correspondre à la largeur de la page ou de la planche entière ou encore, dans le cas de planches à plusieurs pages, partir du centre du dos.

Si vous définissez l’origine de la règle sur le dos de reliure de chaque planche, le point d’origine est verrouillé sur le dos. Vous ne pourrez plus repositionner l’origine de la règle en la faisant glisser depuis l’intersection des règles sauf si vous choisissez une autre option pour l’origine. 1 Choisissez Edition > Préférences > Unités et incréments (Windows) ou InDesign > Préférences > Unités et

incréments (Mac OS).

2 Dans la section Unités de la règle du menu Origine, utilisez l’une des méthodes suivantes : Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Pour situer l’origine de la règle au milieu du dos, choisissez l’option Dos. Sur la règle horizontale, les mesures sont alors exprimées en valeurs négatives à gauche du dos et en valeurs positives à droite. Vous pouvez aussi modifier le point d’origine de la règle horizontale à l’aide du menu contextuel qui s’affiche lorsque vous cliquez avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) sur la règle horizontale.

L’outil Mesure calcule la distance entre deux points quelconques de la fenêtre de document. La distance entre les points s’affiche dans le panneau Informations. Toutes les mesures, sauf la valeur de l’angle, sont calculées dans l’unité définie pour le document en cours. Après avoir utilisé l’outil Mesure pour mesurer un élément, les lignes restent visibles jusqu’à ce que vous preniez une autre mesure ou que vous sélectionniez un autre outil.

Pour mesurer la distance entre deux points

1 Vérifiez que le panneau Informations est visible (Fenêtre > Informations). 2 Sélectionnez l’outil Mesure

(cliquez sur l’outil Pipette et maintenez le bouton de la souris enfoncé pour afficher

Les mesures de largeur et de hauteur apparaissent dans le panneau Informations.

Pour mesurer les angles

1 Vérifiez que le panneau Informations est visible (Fenêtre > Informations). 2 Sélectionnez l’outil Mesure

(cliquez sur l’outil Pipette et maintenez le bouton de la souris enfoncé pour afficher

Lorsque vous mesurez un angle personnalisé, le panneau Informations affiche la longueur du premier segment comme D1 et celle du second segment comme D2.

Présentation du panneau Informations

Ce panneau affiche les informations sur les objets sélectionnés, le document actif ou sur la zone située directement sous l’outil utilisé, y compris les valeurs de position, taille et rotation. Lorsque vous déplacez un objet, le panneau affiche également sa position par rapport au point de départ. Le panneau Informations est également utile pour déterminer les nombres de mots et de caractères figurant dans des articles.

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1 Placez le point d’insertion à l’intérieur d’un bloc de texte ou sélectionnez le texte. 2 Choisissez Fenêtre > Informations.

Le panneau Informations affiche le nombre de mots et de caractères contenus dans l’article ou le texte sélectionné. S’il existe du texte en excès, un signe « + » s’affiche, suivi d’une valeur indiquant les caractères, mots ou lignes en excès.

Pour afficher des options supplémentaires du panneau Informations

❖ Sélectionnez Afficher les options dans le menu du panneau Informations.

Vous pouvez visualiser différentes options selon l’objet ou l’outil sélectionné :

• Valeurs des couleurs de fond et de contour de l’objet sélectionné, et informations sur les dégradés

• Nombre de caractères, mots, lignes et paragraphes lorsque vous créez un point d’insertion de texte ou que vous sélectionnez un texte avec l’un des outils Texte. S’il existe du texte en excès, un signe « + » s’affiche, suivi d’une valeur indiquant les caractères, mots ou lignes en excès.

• Type de fichier, résolution et espace colorimétrique lorsque vous sélectionnez un fichier graphique. La résolution s’affiche sous forme de pixels réels par pouce (la résolution du fichier graphique natif) et de pixels effectifs par pouce

(la résolution du graphique redimensionné dans InDesign). Si la gestion des couleurs est activée, le profil colorimétrique ICC s’affiche également.

• Angle de déformation ou la valeur d’échelle horizontale ou d’échelle verticale si l’outil Déformation, Mise à l’échelle ou Transformation manuelle est sélectionné.

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Grille de ligne de base (à gauche) et grille du document (à droite)

Lorsque les grilles sont visibles, vous pouvez observer les caractéristiques suivantes :

• La grille de ligne de base occupe la surface des planches, tandis que la grille du document recouvre la table de montage.

• Les grilles de ligne de base et de documents apparaissent sur toutes les planches, mais ne peuvent apparaître sur les gabarits.

• La grille du document peut apparaître devant ou derrière tous les repères, calques et objets, mais il est impossible de l’appliquer à un calque.

Configuration d’une grille de ligne de base

Utilisez les préférences de grille pour configurer une grille de ligne de base pour le document entier. Vous pouvez configurer une grille de ligne de base pour un calque au moyen des options de bloc de texte (voir la section « Modification des propriétés d’un bloc de texte » à la page 139). 1 Sélectionnez Edition > Préférences > Grilles (Windows) ou InDesign > Préférences > Grilles (Mac OS). 2 Choisissez une couleur dans le menu Couleur à appliquer à la grille de ligne de base ou choisissez Personnalisée

dans le menu Couleur.

3 Dans la zone Relative à, indiquez si la grille doit commencer en haut de la page ou au niveau de la marge supérieure. 4 Dans la zone Début, entrez une valeur pour décaler la grille par rapport au haut de la page ou à la marge supérieure

de la page, en fonction de l’option sélectionnée dans le menu Relative à. Si vous ne parvenez pas à aligner la règle verticale sur cette grille, commencez par la valeur zéro.

5 Dans la zone Pas, entrez une valeur d’espacement entre les lignes de la grille. Dans la plupart des cas, il convient de

spécifier une valeur égale à l’interlignage du corps de texte pour aligner parfaitement les lignes du texte sur cette grille.

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6 Dans la zone Seuil, entrez une valeur représentant le facteur d’affichage au-dessous duquel la grille devient invisible.

Choisissez un seuil d’affichage élevé pour obtenir une grille aérée lors d’un zoom avant.

Remarque : la commande Magnétisme des repères régit à la fois le magnétisme aux repères et à la grille de ligne de base.

Configuration d’une grille de document

1 Sélectionnez Edition > Préférences > Grilles (Windows) ou InDesign > Préférences > Grilles (Mac OS). 2 Choisissez une couleur dans le menu Couleur à appliquer à la grille de document ou choisissez Personnalisée dans

3 Pour définir l’espacement horizontal de la grille, entrez une valeur dans la zone Pas de la section Horizontalement

du panneau Grille du document, puis définissez le nombre de subdivisions entre chaque ligne.

4 Pour définir l’espacement vertical de la grille, entrez une valeur dans la zone Pas de la section Verticalement du

panneau Grille du document, puis définissez le nombre de subdivisions entre chaque ligne.

5 Utilisez l’une des méthodes suivantes, puis cliquez sur OK :

• Pour disposer les grilles de document et de ligne de base derrière tous les autres objets, vérifiez que la case Grilles en arrière-plan est bien cochée.

• Pour disposer les grilles de document et de ligne de base devant tous les autres objets, désélectionnez l’option

Grilles en arrière-plan. Pour placer des repères derrière tous les autres objets, vous pouvez également choisir l’option Repères en arrière-plan dans le menu contextuel qui s’affiche lorsque vous cliquez avec le bouton droit de la souris (Windows) ou cliquez en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) sur une zone vide de la fenêtre du document.

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Lorsque le magnétisme est activé, il suffit de placer un objet à proximité de la grille pour qu’il s’y accole automatiquement.

« Repères de règle » à la page 56

Magnétisme de la grille de document

1 Choisissez la commande Affichage > Grilles et repères et vérifiez que l’option Magnétisme de la grille est

sélectionnée (cochée). Si elle n’est pas sélectionnée, cliquez dessus.

Remarque : la commande Magnétisme des repères régit à la fois le magnétisme aux repères et à la grille de ligne de base. 2 Pour définir la zone de magnétisme, sélectionnez Edition > Préférences > Repères et table de montage (Windows)

ou InDesign > Préférences > Repères et table de montage (Mac OS), saisissez une valeur pour la zone de magnétisme, puis cliquez sur OK. La valeur de la zone de magnétisme est toujours exprimée en pixels.

Pour accoler un objet à une grille, faites glisser cet objet vers une grille jusqu’à ce qu’au moins un bord de l’objet se situe dans la zone de magnétisme de la grille.

Création de repères de règle Les repères de règle diffèrent des grilles par le fait qu’il est possible de les positionner librement sur une page ou sur une table de montage. Il existe deux sortes de repères de règle : les repères de page, qui apparaissent uniquement sur la page sur laquelle vous les créez et les repères de planche, qui s’étendent à toutes les pages et à la table de montage des planches composées de plusieurs pages. Il est possible d’amener tous les repères de règle sur la table de montage. Les repères de règle sont affichés ou masqués avec le calque sur lequel ils sont créés. Les nouveaux repères de règle apparaissent toujours sur la planche cible. Si, par exemple, plusieurs planches sont visibles dans la fenêtre de document et que vous faites glisser un nouveau repère à l’intérieur de la fenêtre, celui-ci devient visible sur la planche cible seulement.

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« Personnalisation de la table de montage et des repères » à la page 46

Pour créer un repère de règle

1 Vérifiez que les règles et les repères sont visibles, que la planche est ciblée correctement et que le document est

affiché en mode Affichage standard, et non en mode Aperçu.

2 Si le document comporte plusieurs calques, ciblez un calque en cliquant sur son nom dans le panneau Calques. 3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour créer un repère de page, placez le pointeur à l’intérieur d’une règle horizontale ou verticale, puis faites-le glisser jusqu’à l’emplacement souhaité de la planche cible. Si vous déposez le repère sur la table de montage, il recouvre la table de montage et la planche. Si toutefois vous le déposez ultérieurement sur une page, il agit comme un repère de page.

• Pour créer un repère de planche, faites glisser le pointeur depuis la règle horizontale ou verticale en veillant à le maintenir sur la table de montage, mais en positionnant le repère à son nouvel emplacement sur la planche cible.

• Pour basculer entre un repère horizontal et un repère vertical, sélectionnez le repère et maintenez la touche Alt

(Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée.

• Pour créer un repère de planche lorsque la table de montage est masquée (par exemple, lors d’un zoom avant), appuyez sur la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) tout en faisant glisser la souris depuis la règle horizontale ou verticale vers la planche cible.

• Pour créer un repère de planche sans le faire glisser, cliquez deux fois à un endroit spécifique de la règle horizontale ou verticale. Pour accoler le repère à la graduation la plus proche, maintenez la touche Maj enfoncée et cliquez deux fois sur la règle.

• Pour créer un repère vertical et horizontal simultanément, appuyez sur la touche Ctrl (Windows) ou Commande

(Mac OS) tandis que vous faites glisser l’intersection des règles de la double page cible vers le nouvel emplacement.

Création simultanée d’un repère vertical et d’un repère horizontal

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour créer une série de repères de page à espacement régulier 1 Si le document comporte plusieurs calques, ciblez un calque en cliquant sur son nom dans le panneau Calques. 2 Choisissez Page > Créer des repères. 3 Dans la zone Nombre, spécifiez le nombre de lignes ou de colonnes à créer. 4 Dans la zone Gouttière, spécifiez une valeur d’espacement entre les lignes ou les colonnes. Commencez par une

valeur faible (1 pica, par exemple) ; les gouttières larges laissent peu de place pour les colonnes.

Les colonnes créées avec la commande Créer des repères sont différentes de celles créées avec la commande Page > Marges et colonnes. Par exemple, les colonnes créées à l’aide de la première ne se prêtent pas à la répartition du texte lors de l’insertion d’un fichier texte. Préférez la commande Marges et colonnes pour créer les divisions de colonnes principales adaptées au placement automatique du texte et la commande Créer des repères pour créer des grilles de colonnes et d’autres repères d’aide à la mise en page. 5 Pour l’option Ajuster les repères, activez la case Marges pour insérer les repères dans la zone délimitée par les

marges de la page ou la case Page pour les insérer sur la page.

Repères de règle à espacement régulier dans les marges de la page (à gauche) et dans les bords de la page (à droite)

6 Pour supprimer des repères existants (y compris les repères sur les calques verrouillés ou masqués), sélectionnez

Supprimer les repères de règle existants.

7 Si besoin est, cochez la case Aperçu pour visualiser l’effet de vos réglages sur la page, puis cliquez sur OK.

Remarque : la commande Créer des repères ne permet pas de créer des repères de planche.

Pour espacer uniformément les repères existants, sélectionnez-les (en faisant glisser ou en cliquant avec la souris tout en maintenant la touche Maj enfoncée). Sélectionnez ensuite Utiliser l’espacement dans le panneau Contrôle, saisissez la valeur dans la zone de texte et appuyez sur Entrée ou Retour pour confirmer. Cliquez sur les boutons Répartir les centres dans le sens horizontal ou Répartir les centres dans le sens vertical situés à gauche de l’option Utiliser l’espacement.

Pour afficher ou masquer les repères

• Pour afficher ou masquer tous les repères de marge, de colonne et de règle, choisissez Affichage > Grilles et repères > Afficher/Masquer les repères.

• Pour afficher ou masquer les repères de règle sur un seul calque sans modifier la visibilité des objets du calque, cliquez deux fois sur le nom du calque dans le panneau Calques, sélectionnez ou désélectionnez Afficher les repères, puis cliquez sur OK.

• Pour afficher ou masquer les repères et tous les autres éléments non imprimables, cliquez sur l’icône du mode

au bas du panneau Outils.

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Pour modifier les attributs de repères spécifiques, il convient de sélectionner les repères en question. Si aucun repère n’est sélectionné, la commande Repères de règle définit les valeurs par défaut des nouveaux repères seulement.

Pour sélectionner les repères de règle

Par défaut, les repères de règle sont de couleur bleu clair lorsqu’ils ne sont pas sélectionnés. Les repères de règles sélectionnés s’affichent en surbrillance dans la couleur de leur calque. Lorsqu’un repère est sélectionné, l’icône Point de référence du panneau Contrôle se transforme en ou , pour représenter le repère sélectionné.

• Pour sélectionner un seul repère de règle, utilisez l’outil Sélection

ou Sélection directe

pour le mettre en surbrillance dans sa couleur de calque. Si vous ne parvenez pas à sélectionner un repère de règle alors que la commande Affichage > Grilles et repères > Verrouiller les repères est désactivée, cherchez le repère sur le gabarit de cette page ou sur un calque dont les repères sont verrouillés.

• Pour sélectionner plusieurs repères de règle, cliquez sur les repères souhaités à l’aide des outils Sélection ou

Sélection directe tout en maintenant la touche Maj enfoncée. Vous pouvez aussi déplacer plusieurs repères, tant que le rectangle de sélection ne traverse pas ou ne contient pas d’autre objet.

• Pour sélectionner tous les repères de règle de la planche cible, appuyez sur Ctrl+Alt+G (Windows) ou sur

Commande+Option+G (Mac OS).

Pour déplacer des repères de règle

❖ Utilisez l’outil Sélection

ou Sélection directe

Déplacez les repères sélectionnés comme tout autre objet actif, par exemple en les déplaçant à l’aide des touches de direction ou à partir des panneaux Contrôle et Transformation.

• Pour que les repères s’accolent aux graduations de la règle, faites-les glisser en maintenant la touche Maj enfoncée.

Vous pouvez aussi sélectionner le repère, maintenir la touche Maj enfoncée, puis cliquer sur le bouton de la souris.

• Pour déplacer un repère de planche, faites glisser la portion du repère située sur la table de montage ou appuyez sur la touche Ctrl et faites glisser le repère depuis la page.

• Pour déplacer des repères sur une autre page ou un autre document, sélectionnez les repères souhaités, choisissez

Edition > Copier ou Edition > Couper, allez à la page ou au document cible, puis choisissez Edition > Coller. Si vous collez les repères sur une page aux mêmes format et orientation que la page d’origine des repères, ceux-ci occupent la même position. Remarque : l’option Coller selon les calques agit sur le calque sur lequel apparaissent les repères collés.

Pour supprimer les repères de règle

• Pour supprimer des repères individuels, sélectionnez les repères souhaités et appuyez sur la touche Suppr. Vous pouvez également les effacer en les faisant glisser et en les déposant sur une règle.

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Si vous ne parvenez pas à supprimer un repère, il se peut qu’il soit verrouillé ou qu’il figure sur un gabarit ou sur un calque verrouillé.

Pour personnaliser les repères de règle

1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour modifier les options d’un ou plusieurs repères de règle existants, sélectionnez ces repères.

• Pour définir les options par défaut des nouveaux repères de règle, cliquez sur une zone vide pour désélectionner tous les repères. 2 Sélectionnez Page > Repères de règle. 3 Dans la zone Seuil, spécifiez le coefficient d’affichage au-dessous duquel les repères de règle deviennent invisibles.

Ainsi, les repères de règle ne risquent pas d’être trop rapprochés les uns des autres avec un facteur d’affichage inférieur.

4 Dans la zone Couleur, choisissez une couleur ou sélectionnez Personnalisée et définissez votre couleur dans le

sélecteur système. Cliquez ensuite sur OK.

Vous pouvez définir l’agrandissement actif comme seuil d’affichage des nouveaux repères de règle. Pour cela, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée tandis que vous faites glisser les repères de règle sélectionnés.

Pour verrouiller ou déverrouiller les repères de règle

• Pour verrouiller ou déverrouiller tous les repères de règle, choisissez la commande Affichage > Grilles et repères > Verrouiller les repères pour sélectionner ou désélectionner la commande de menu.

• Pour verrouiller ou déverrouiller les repères de règle sur un seul calque sans modifier la visibilité des objets du calque, cliquez deux fois sur le nom du calque dans le panneau Calques, sélectionnez ou désélectionnez Verrouiller les repères, puis cliquez sur OK.

Pour modifier l’ordre de superposition des repères de règle

Par défaut, les repères de règle s’affichent devant tous les autres repères et objets. Notez que certains repères de règle peuvent masquer des objets tels que les traits fins. En modifiant la préférence Repères en arrière-plan, vous pouvez afficher les repères de règle devant ou derrière les autres objets. Cependant, quel que soit le paramètre choisi, les objets et les repères de règle se trouvent toujours devant les repères de marge et de colonne. Par ailleurs, lorsque vous structurez les repères en les répartissant sur plusieurs calques, leur ordre de superposition visuel n’est pas altéré. En effet, la préférence Repères en arrière-plan superpose tous les repères de règle en tant qu’entité unique par rapport à tous les objets de page.

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Pour utiliser le magnétisme des repères et des grilles Pour aligner les objets aux repères avec précision, utilisez les commandes Magnétisme des repères et Magnétisme de la grille. Les bords d’un objet sont attirés (comme dans un phénomène de magnétisme) par l’intersection de grilles la plus proche ou par le repère le plus proche lorsque vous dessinez, déplacez ou redimensionnez un objet. La zone de magnétisme, qui délimite le périmètre exact dans lequel un objet est attiré par les repères, est réglable. Lorsque vous sélectionnez à la fois les commandes Magnétisme des repères et Magnétisme de la grille, la grille prévaut sur les repères. Gardez les indications suivantes à l’esprit lorsque vous alignez des objets sur les repères et les grilles :

• Pour accoler un objet à un repère, faites glisser cet objet vers un repère jusqu’à ce qu’au moins un bord de l’objet se situe dans la zone de magnétisme du repère.

• Le magnétisme des objets fonctionne par rapport aux seuls repères visibles. En revanche, ils peuvent être attirés par les grilles du document et de la ligne de base, qu’elles soient visibles ou non.

• Les objets d’un calque sont attirés par les repères de règle visibles sur tout autre calque. Pour empêcher les objets de s’accrocher aux repères d’un calque précis, masquez-en les repères.

• Pour forcer le magnétisme des lignes de base du texte sur la grille de ligne de base, cliquez sur le bouton Aligner sur la grille de ligne de base

pour les paragraphes ou les styles de paragraphe individuels.

1 Choisissez la commande Affichage > Grilles et repères et vérifiez que l’option Magnétisme des repères est

sélectionnée (cochée).

Remarque : la commande Magnétisme des repères régit à la fois le magnétisme aux repères et à la grille de ligne de base. 2 Pour définir la zone de magnétisme, choisissez la commande Edition > Préférences > Repères et table de montage

(Windows) ou InDesign > Préférences > Repères et table de montage (Mac OS), saisissez une valeur pour la zone de magnétisme, puis cliquez sur le bouton OK. La valeur de la zone de magnétisme est toujours exprimée en pixels.

Utilisation de repères commentés

La fonction Repères commentés est très pratique pour accoler des objets à des éléments de la mise en page. En effet, pendant que vous créez ou faites glisser un objet, des repères temporaires indiquent que cet objet est centré sur la page ou aligné par rapport à l’un de ses bords ou à un autre élément de page.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

objets par rapport au centre ou aux bords d’un élément de page. En plus du magnétisme qu’ils exercent sur les objets, les repères commentés indiquent de manière dynamique l’objet en cours de positionnement. Dimensions intelligentes Des indications de dimensions intelligentes s’affichent lorsque vous redimensionnez, créez ou faites pivoter des éléments de page. Par exemple, si vous appliquez une rotation de 24 degrés à un objet de la page, puis que vous faites pivoter un autre objet, une icône de rotation s’affiche lorsque vous atteignez un degré de rotation semblable. Cette indication vous permet ainsi de placer l’objet selon le même angle de rotation que l’objet adjacent. De même, lorsque vous redimensionnez un objet situé à côté d’un autre objet, un segment de ligne doté d’extrémités fléchées s’affiche, vous permettant de placer l’objet à la même largeur ou hauteur que l’objet adjacent. Espacement intelligent Cette fonction vous permet de disposer plus facilement des éléments de page, grâce à l’affichage de repères temporaires indiquant la position dans laquelle l’espacement entre les objets est régulier. Curseurs intelligents Le curseur affiche, dans un cadre gris, les coordonnées X et Y lorsque vous déplacez ou

redimensionnez des objets ou bien une mesure lorsque vous appliquez une rotation. Vous pouvez activer ou désactiver les curseurs intelligents, grâce à l’option Afficher les valeurs de transformation proposée dans les préférences de l’interface.

Pour consulter un didacticiel vidéo sur l’utilisation des repères commentés, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid4029_id_fr.

Pour activer ou désactiver les repères commentés

❖ Choisissez la commande Affichage > Grilles et repères > Repères commentés.

Pour activer ou désactiver les catégories de repères commentés

1 Affichez la section Repères et table de montage de la boîte de dialogue Préférences. 2 Indiquez si vous souhaitez activer ou désactiver les catégories Aligner sur le centre de l’objet, Aligner sur les bords

de l’objet, Dimensions intelligentes et Espacement intelligent, puis cliquez sur le bouton OK.

Pour désactiver les curseurs intelligents, qui affichent les coordonnées X et Y des objets lorsque vous pointez dessus avec la souris, désélectionnez l’option Afficher les valeurs de transformation proposée dans les préférences de l’interface.

Pour modifier l’aspect des repères commentés

1 Affichez la section Repères et table de montage de la boîte de dialogue Préférences. 2 Dans le menu Repères commentés, choisissez une autre couleur, puis cliquez sur le bouton OK.

Conseils d’utilisation des repères commentés

❖ Les repères commentés s’appliquent uniquement aux éléments de page et aux intersections figurant dans la vue de

page actuelle. Si une page comporte de nombreux objets et que vous tentez d’aligner l’un d’eux sur un ou plusieurs objets particuliers, effectuez un zoom avant sur la zone concernée. Si vous ne voulez pas que les repères commentés soient accolés aux repères de colonne, désactivez temporairement l’option Magnétisme des repères, accessible sur sélection de la commande Affichage > Grilles et repères. La fonction Repères commentés reste précise, quel que soit le facteur de zoom. Il n’est donc pas nécessaire d’effectuer un zoom avant pour vérifier si les bords gauches de deux objets sont réellement alignés, par exemple.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Les pages d’un document sont agencées en planches lorsque vous sélectionnez l’option Pages en vis-à-vis de la boîte de dialogue Fichier > Format de document. Une planche est une série de pages affichées ensemble, comme les deux pages visibles lorsque vous ouvrez un livre ou un magazine. La table de montage, zone extérieure à la page dans laquelle sont stockés les objets qui ne sont pas encore positionnés sur une page, est propre à une planche InDesign. Elle prévoit un espace réservé aux objets à fonds perdus, c’est-à-dire qui dépassent les limites d’une page.

Pages affiche le contenu de chaque page sous forme de vignettes.

1 Si le panneau Pages n’est pas visible, choisissez Fenêtre > Pages. 2 Choisissez Options du panneau dans le menu du panneau Pages. 3 Dans la section Icônes, spécifiez les icônes qui doivent apparaître en regard des vignettes de la page dans le

panneau Pages. Ces icônes indiquent si la transparence ou les transitions de page ont été ajoutées à une planche et si cette dernière est affichée avec rotation.

4 Dans les sections de page et de gabarit :

• Sélectionnez une taille d’icône pour les pages et les gabarits.

• Sélectionnez Afficher verticalement pour afficher les planches dans une seule colonne verticale. Désélectionnez cette option pour permettre l’affichage des planches côte à côte.

• Sélectionnez Afficher les vignettes pour afficher le contenu de chaque page ou gabarit sous forme de vignettes

(cette option n’est pas disponible si vous avez sélectionné certaines options relatives à la taille de l’icône). 5 Dans la section Mise en page du panneau, sélectionnez Pages toujours visibles pour afficher la section d’icône de

page au-dessus de la section icône de gabarit, ou sélectionnez Gabarits toujours visibles pour afficher la section d’icône de gabarit au-dessus de la section d’icône de page.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Pour redimensionner à la fois les sections de page et de page types du panneau, choisissez Proportionnel. • Pour conserver la taille de la section des pages et redimensionner uniquement la section des gabarits, choisissez Pages fixes.

• Pour conserver la taille de la section des gabarits et redimensionner uniquement la section des pages, choisissez

Gabarits fixes. • Pour cibler et sélectionner simultanément une page ou une planche, cliquez deux fois sur son icône ou sur les numéros de page sous l’icône. Si la page ou planche n’est pas visible dans la fenêtre du document, elle apparaît. Vous pouvez également cibler et sélectionner une page ou une planche en cliquant sur une page, sur un objet de la page, ou sur sa table de montage dans la fenêtre de document. La règle verticale est grisée, sauf au niveau de la page ou planche ciblée.

• Pour sélectionner une page, cliquez sur son icône. Cliquez deux fois seulement si vous voulez cibler cette page et l’afficher.

• Pour sélectionner une planche, cliquez sur les numéros de page sous l’icône de la planche.

Remarque : certaines options de planche, telles que celles du menu du panneau Pages, ne sont disponibles que lorsqu’une planche entière est sélectionnée.

• Pour ajouter des pages et spécifier le gabarit du document, choisissez la commande Insérer des pages dans le menu du panneau Pages ou sélectionnez la commande Page > Pages > Insérer des pages. Choisissez l’emplacement auquel les pages seront ajoutées et sélectionnez un gabarit à appliquer.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Il est possible d’associer des libellés colorés aux vignettes de page dans le panneau Pages. Vous pouvez, par exemple, utiliser des libellés colorés pour indiquer l’état des pages (vert pour les planches terminées, jaune pour celles en cours et rouge pour celles qui n’ont pas encore été travaillées). 1 Dans le panneau Pages, sélectionnez les pages auxquelles vous voulez appliquer les libellés colorés. 2 Dans le menu du panneau Pages, choisissez la commande Libellé de la couleur, puis la couleur voulue.

Le libellé coloré s’affiche au-dessous de la vignette dans le panneau Pages.

L’application d’un libellé coloré à un gabarit est répercutée sur l’ensemble des pages faisant appel à ce gabarit. Cependant, lorsque vous appliquez un libellé coloré à des pages individuelles, le libellé coloré des pages du document est utilisé. Pour utiliser un libellé coloré pour le gabarit, sélectionnez les pages du document que vous souhaitez modifier, puis choisissez la commande Libellé de la couleur > Utiliser la couleur du gabarit dans le menu du panneau Pages.

Déplacement, duplication et suppression de pages et de planches

Vous pouvez utiliser le panneau Pages pour organiser, dupliquer et combiner à loisir des pages et planches. Gardez les indications suivantes à l’esprit lorsque vous ajoutez, organisez, dupliquez ou supprimez des pages dans un document :

• InDesign conserve les liens entre les blocs de texte.

• InDesign redistribue les pages en fonction de la définition de la commande Autoriser la réorganisation des pages du document.

• Un objet qui s’étale sur plusieurs pages reste associé à la page sur laquelle son cadre de sélection occupe la plus grande place.

« Contrôle de la pagination des planches » à la page 67 « Déplacement ou copie de pages d’un document à l’autre » à la page 66 « Copie des gabarits » à la page 76

Pour déplacer des pages à l’aide de la commande Déplacer les pages

1 Choisissez Page > Pages > Déplacer des pages dans le menu du panneau Pages. 2 Spécifiez la ou les pages que vous souhaitez déplacer. 3 Dans la liste déroulante Destination, choisissez l’emplacement vers lequel vous voulez déplacer les pages et spécifiez

une page si nécessaire. Cliquez sur OK.

Pour déplacer des pages par glissement

❖ A mesure que vous déplacez l’icône, la barre verticale indique l’endroit où la page apparaîtra lorsque vous

relâcherez le bouton de la souris. Si le rectangle noir ou la barre noire touche une planche lorsque l’option Autoriser la réorganisation des pages du document est sélectionnée, la page déplacée s’affichera à la suite de cette planche.

Sinon, les pages du document seront redistribuées en fonction du paramètre Pages en vis-à-vis de la boîte de dialogue Fichier > Format de document. Dans le panneau Pages, faites glisser une icône de page vers son nouvel emplacement dans le document.

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• Faites glisser les numéros de la séquence de pages situés sous une planche vers le bouton Créer une page. La nouvelle planche apparaît à la fin du document.

• Sélectionnez une page ou une planche, puis choisissez Dupliquer la page ou Dupliquer une planche dans le menu du panneau Pages. La nouvelle page ou planche apparaît à la fin du document.

• Appuyez sur la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) tandis que vous faites glisser l’icône de page ou les numéros de pages situés sous une planche vers un nouvel emplacement.

Remarque : la duplication d’une page ou planche duplique également tous ses objets. Le chaînage du texte de la planche dupliquée vers d’autres planches est rompu, mais le chaînage du texte interne à la planche dupliquée reste intact, de même que le chaînage du texte de la planche d’origine.

Pour supprimer une page d’une planche en la conservant dans le document

1 Sélectionnez la planche ou désélectionnez Autoriser la réorganisation de la planche sélectionnée dans le menu du

2 Dans le panneau Pages, faites glisser la page en dehors de la planche jusqu’à ce que la barre verticale ne soit plus en

contact avec les autres pages.

Pour supprimer une page ou une planche d’un document

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Faites glisser une ou plusieurs icônes de page ou numéros de pages vers l’icône de suppression du panneau Pages.

• Sélectionnez une ou plusieurs icônes de page dans le panneau Pages puis cliquez sur l’icône de suppression. • Sélectionnez une ou plusieurs icônes de page dans le panneau Pages, puis choisissez Supprimer une page ou Supprimer une planche dans le menu du panneau Pages.

Déplacement ou copie de pages d’un document à l’autre

Lorsque vous copiez une page ou une planche d’un document à l’autre, tous les éléments de la page ou de la planche, y compris les graphiques, les liens et le texte, sont copiés vers le nouveau document. Les marques de section sont conservées. Les blocs de texte liés sont également inclus, mais le texte lié aux pages situées en dehors de la planche n’est pas transféré. si les pages ou planches copiées contiennent des styles, des calques ou des gabarits portant le même nom que leur duplicata dans le document cible, les paramètres du document cible s’appliquent aux pages ou planches. Si vous copiez une page depuis un document dont le format diffère de celui du document cible, il se peut que la position de la page et des éléments de page ne correspondent pas exactement. Si vous déplacez ou copiez une planche comportant une rotation, cette dernière n’est pas conservée dans le document cible.

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2 Choisissez Page > Pages > Déplacer des pages dans le menu du panneau Pages. 3 Spécifiez la ou les pages que vous souhaitez déplacer. 4 Choisissez le nom du document cible dans le menu Déplacer vers. 5 Dans la liste déroulante Destination, choisissez l’emplacement vers lequel vous voulez déplacer les pages et spécifiez

une page si nécessaire.

6 Si vous voulez supprimer les pages du document original, sélectionnez l’option Supprimer les pages après le

Remarque : lorsque vous copiez des pages entre documents, vous copiez automatiquement les gabarits associés. Toutefois, si le nouveau document contient un gabarit portant le même nom que le gabarit appliqué à la page copiée, le gabarit du nouveau document est appliqué à la page copiée.

Pour déplacer ou copier des pages d’un document à l’autre par glissement

1 Pour déplacer des pages d’un document vers un autre, assurez-vous que les deux documents sont ouverts et visibles.

Pour afficher des documents côte à côte, choisissez la commande Fenêtre > Disposition > Mosaïque.

2 Faites glisser l’icône de page du document d’origine vers le nouveau document. 3 Dans la boîte de dialogue Insérer des pages, spécifiez l’emplacement auquel les pages seront ajoutées. 4 Si vous voulez supprimer les pages du document original, sélectionnez Supprimer des pages après le déplacement.

Contrôle de la pagination des planches

La plupart des documents comportent uniquement des planches à deux pages. Lorsque vous ajoutez ou supprimez des pages avant une planche, les pages sont réorganisées par défaut. Toutefois, il se peut que vous vouliez conserver certaines pages ensemble dans une planche. Par exemple, vous pouvez créer un pli fenêtre ou accordéon en créant une planche à plusieurs pages (aussi appelée planche îlot) et en y ajoutant des pages. En n’autorisant pas la réorganisation des pages, vous faites en sorte que les pages restent dans la même planche.

îlot se reconnaît dans le panneau Pages à ses numéros de page entre crochets.

• Pour permettre la création de planches de plus de deux pages dans le document entier et les conserver lorsque vous ajoutez, supprimez ou agencez les pages précédentes, désélectionnez l’option Autoriser la réorganisation des pages dans le menu du panneau Pages. InDesign conserve les planches de plus de deux pages tout en permettant une repagination normale des planches à deux pages.

2 Ajoutez des pages à la planche sélectionnée soit en utilisant Insérer des pages pour insérer une nouvelle page au

milieu d’une planche ou en faisant glisser une page existante dans la planche dans le panneau Pages. Pour déplacer une planche entière, faites glisser ses numéros de page.

Pour redistribuer les pages

Vous pouvez redistribuer les pages d’une planche en fonction du paramètre Pages en vis-à-vis de la boîte dialogue Fichier > Format de document. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Si la réorganisation d’une planche individuelle a été autorisée, sélectionnez la planche puis cliquez sur l’option

Autoriser la réorganisation de la planche sélectionnée dans le menu du panneau Pages pour l’activer.

• Si la réorganisation de pages de document a été autorisée et si vous avez ajouté des pages à une planche, cliquez sur l’option Autoriser la réorganisation des pages du document dans le menu du panneau Pages pour l’activer. Cliquez sur Non pour redistribuer les pages. Si vous cliquez sur Oui pour conserver les planches îlots, les numéros de pages de ces planches apparaissent entre crochets dans le panneau Pages, indiquant que pour ces planches, la réorganisation des pages n’est pas autorisée.

Pour créer un document avec une planche de deux pages

Au lieu de commencer votre document par une page simple, vous pouvez le commencer par une planche de deux pages. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour créer un document, choisissez la commande Fichier > Nouveau document.

• Pour modifier un documente existant, choisissez la commande Fichier > Format de document 2 Définissez l’option N° de la 1re page sur un numéro pair (2, par exemple), puis cliquez sur le bouton OK.

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Dans certains cas, vous pouvez être amené à modifier du contenu ayant subi une rotation. Plutôt que de pencher la tête pour regarder ce contenu, vous pouvez faire pivoter la planche. Cette option est particulière utile pour travailler sur des calendriers et des tableaux qui ont été réorientés. L’application d’une rotation à la planche n’altère en rien les résultats obtenus à l’impression ou en sortie.

A B C Rotation de la planche

1 Dans le panneau Pages, sélectionnez la page ou la planche à laquelle appliquer une rotation. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans le menu du panneau Pages, choisissez la commande Affichage avec rotation de la planche > 90° horaire,

90° antihoraire ou 180°.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Les objets que vous placez ou créez dans la planche subissent la même rotation. Par exemple, si vous créez un bloc de texte alors que la planche est affichée avec une rotation de 90 degrés, le bloc de texte est orienté de la même façon. En revanche, les objets que vous collez ne subissent aucune rotation.

Lors de la transformation d’objets, tenez compte de l’orientation de la planche. Par exemple, toute modification apportée au niveau du côté « gauche » d’un tableau sur une planche à laquelle une rotation a été appliquée sera visible sur ce qui semble être le haut du tableau dans la vue avec rotation. Avant d’imprimer le fichier ou de l’envoyer à un autre utilisateur, il est conseillé d’annuler la rotation de la planche pour éviter toute confusion. Choisissez la commande Affichage > Faire pivoter la planche > Annuler la rotation.

Utilisation de plusieurs formats de page

Vous pouvez définir plusieurs formats de page dans un même document. Cette fonctionnalité est particulièrement utile pour gérer des modèles apparentés au sein d’un seul fichier, notamment de cartes de visite, de cartes postales, d’en-têtes de lettre et d’enveloppes. Il est également utile de définir plusieurs formats de page pour créer des mises en page de type encarts à volets dans des magazines. Pour consulter des didacticiels vidéo sur la création de plusieurs formats de page dans un document, rendez-vous aux adresses www.adobe.com/go/lrvid5153_id_en et http://tv.adobe.com/go/4950/.

Utilisez l’outil Page pour sélectionner le gabarit ou la page de mise en page à redimensionner, puis modifiez les paramètres voulus au moyen du panneau Contrôle. Une page hérite son format de page de son gabarit ; vous pouvez néanmoins modifier le format d’une page de mise en page pour qu’il soit différent du gabarit qui lui est appliqué. Il est possible de créer un gabarit à partir d’un autre gabarit de format différent afin que des pages de différents formats puissent partager le même contenu de gabarit.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

, sélectionnez le gabarit ou la page de mise en page à redimensionner. Vous pouvez en

Veillez à ce que la page entière soit sélectionnée dans la mise en page et pas uniquement dans le panneau Pages. 2 Dans le panneau Contrôle, définissez les paramètres de manière à modifier le format des pages sélectionnées. Valeurs X et Y Modifiez la valeur Y afin de déterminer la position verticale de la page par rapport aux autres pages

Valeurs de format de page l et H Modifiez la largeur et la hauteur des pages sélectionnées. Vous pouvez également choisir un format de page prédéfini dans le menu. Pour créer un format de page personnalisé et l’inclure dans cette liste, choisissez la commande Format de page personnalisé dans le menu, définissez les paramètres de format voulus, puis cliquez sur le bouton OK. Orientation Sélectionnez l’orientation paysage ou portrait. Activer l’ajustement de la mise en page Sélectionnez cette option si vous voulez que les objets de la page soient ajustés automatiquement lorsque le format de page change (voir la section « Rectification automatique de la mise en page » à la page 89). Afficher l’incrustation du gabarit Sélectionnez cette option pour afficher une incrustation de gabarit au-dessus de

toute page sélectionnée à l’aide de l’outil Page.

Déplacer les objets avec la page Sélectionnez cette option pour déplacer les objets en même temps que la page lorsque vous ajustez les valeurs X et Y.

Utilisation d’incrustations de gabarit

Lorsque vous sélectionnez une page à l’aide de l’outil Page et que vous activez l’option Afficher l’incrustation du gabarit, un cadre ombré apparaît sur la page sélectionnée. Vous pouvez déplacer l’incrustation de gabarit de sorte que les éléments du gabarit s’affichent à l’emplacement adéquat. L’option Afficher l’incrustation du gabarit est particulièrement utile lorsque les formats des gabarits et des pages du document sont différents.

Alignement de l’incrustation de gabarit sur une page de format inférieur

1 Sélectionnez une page à l’aide de l’outil Page.

2 Dans le panneau Contrôle, sélectionnez l’option Afficher l’incrustation du gabarit. 3 Faites glisser le bord de l’incrustation de gabarit afin de positionner les éléments de la page.

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Un gabarit s’apparente à un arrière-plan, rapidement applicable à plusieurs pages. Les objets d’un gabarit apparaissent sur toutes les pages auxquelles vous appliquez le gabarit. Les éléments types qui apparaissent sur les pages de document sont entourés d’une bordure en pointillé. Les modifications apportées au gabarit sont automatiquement appliquées aux pages associées. Les gabarits contiennent en général des logos, des numéros de page, des en-têtes et des pieds de page qui se répètent. Elles contiennent également des blocs de texte ou graphiques vides servant de balises d’emplacement dans les pages de document. Un élément de gabarit ne peut pas être sélectionné sur une page de document à moins que l’élément de gabarit ne soit remplacé. Les gabarits peuvent contenir plusieurs calques, comme les pages de votre document. Les objets à calque unique ont leur propre ordre de superposition sur leur calque. Les objets d’un calque de gabarit apparaissent derrière les objets de page du même calque. Pour afficher un élément type devant les objets d’une page de document, il convient de le placer sur un calque supérieur du gabarit. Un élément type sur un calque supérieur apparaît devant tous les objets des calques inférieurs. La fusion de tous les calques déplace les éléments de gabarit derrière les objets de page du document.

• Pour une mise en page rapide des documents, vous pouvez enregistrer un ensemble de gabarits dans un modèle de document, avec les styles de paragraphes et de caractères, les bibliothèques de couleurs et autres styles et paramètres prédéfinis.

• Si vous modifiez les paramètres de marge ou de colonne sur un gabarit, ou que vous appliquez un nouveau gabarit avec des paramètres de marge ou de colonne différents, vous pouvez forcer les objets sur la page à adopter la nouvelle mise en page automatiquement (voir la section « Rectification automatique de la mise en page » à la page 89).

• Les numéros de pages automatiquement insérés sur un gabarit affichent le numéro de page correct pour chaque section du document à laquelle le gabarit est appliqué (voir la section « Numérotation de base des pages » à la page 91).

« Remplacement ou dissociation d’éléments types » à la page 77

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour consulter un didacticiel vidéo sur l’utilisation des gabarits, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0069_fr.

Vidéo Gabarits « Application de gabarits » à la page 75 • Dans la zone D’après le gabarit, choisissez une planche existante sur laquelle vous voulez baser la planche ou choisissez l’option Aucun.

• Dans la zone Nombre de pages, entrez le nombre de pages souhaité dans la planche type (jusqu’à 10).

Création d’un gabarit à partir d’une page ou d’une planche existante

• Faites glisser une planche entière de la section Pages du panneau Pages vers la section Gabarits. • Sélectionnez une planche dans le panneau Pages et choisissez Enregistrer comme gabarit dans le menu du panneau Pages. Le nouveau gabarit récupère tous les objets de la page ou planche d’origine. Si la page d’origine utilisait un gabarit, le nouveau gabarit repose sur ce gabarit.

Changez la mise en forme des gabarits enfants. Vous pouvez remplacer des éléments de gabarit parent sur un gabarit enfant pour créer des variantes de gabarit, tout comme vous pouvez substituer des éléments types à partir des pages du document Il s’agit d’un moyen efficace de mettre à jour une maquette de façon homogène et diversifiée à la fois.

Gabarits parent et enfant d’origine (à gauche) ; lorsque le gabarit parent est modifié, les gabarits enfants sont mis à jour automatiquement (à droite)

❖ Pour baser un gabarit sur un autre, dans la section Gabarits du panneau Pages, utilisez l’une des méthodes

Vous pouvez modifier la mise en page des gabarits à tout moment ; les modifications apportées apparaissent automatiquement sur toutes les pages créées d’après ce gabarit. Par exemple, tout texte ou graphique que vous ajoutez à un gabarit apparaîtra sur les pages de document auxquelles le gabarit sera appliqué. Remarque : lorsque vous remplacez ou dissociez un objet de son gabarit, l’objet risque de ne pas être mis à jour avec les modifications apportées au gabarit. 1 Cliquez deux fois sur l’icône du gabarit à modifier dans le panneau Pages ou sélectionnez le gabarit dans la zone de

liste, au bas de la fenêtre de document. La planche type apparaît dans la fenêtre de document.

2 Effectuez les modifications appropriées.

InDesign met à jour automatiquement les pages utilisant ce gabarit.

Pour modifier le format d’un gabarit, sélectionnez ce dernier à l’aide de l’outil Page, puis modifiez les dimensions à l’aide des options du panneau Contrôle (voir la section « Utilisation de plusieurs formats de page » à la page 70).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez modifier les options du gabarit pour attribuer un nouveau nom ou préfixe, baser le gabarit sur un autre gabarit ou changer le nombre de pages dans la planche type. 1 Dans le panneau Pages, cliquez sur le nom de la planche type pour la sélectionner. 2 Dans le menu du panneau Pages, sélectionnez Options de gabarit pour [nom du gabarit]. 3 Modifiez des options, si nécessaire, puis cliquez sur le bouton OK.

Application de gabarits

Si votre document contient des planches personnalisées (par exemple, un dépliant de 3 ou 4 pages dans un magazine), tout gabarit appliqué doit contenir le même nombre de pages. Si le format de page du gabarit est différent, son application entraîne la modification de la page de mise en page. Si la page de mise en page se présente dans un format personnalisé, vous pouvez préciser si vous voulez conserver son format ou appliquer celui du gabarit. Remarque : les éléments types d’une page de document présentent une bordure en pointillé. Si vous ne pouvez pas voir les éléments types sur une page de document, il se peut que l’élément type soit masqué sur un calque inférieur ou que les éléments types soient masqués. Choisissez Afficher les éléments types dans le menu du panneau Pages

Pour appliquer un gabarit à la page ou planche d’un document

• Pour appliquer un gabarit à une page, faites glisser l’icône du gabarit sur l’icône de la page dans le panneau Pages. Lorsqu’un rectangle noir délimite la page cible, relâchez le bouton de la souris.

• Pour appliquer un gabarit à une planche, faites glisser l’icône du gabarit sur un coin de la planche dans le panneau

Pages. Lorsqu’un rectangle noir délimite toutes les pages de la planche, relâchez le bouton de la souris.

Aucun A-Gabarit B-Gabarit

Aucun A-Gabarit B-Gabarit

❖ Appliquez le gabarit Aucun de la section Gabarits du panneau Pages.

Lorsque vous dissociez un gabarit d’une page, sa mise en page et ses éléments ne s’appliquent plus à cette page. Si un gabarit contient la plupart des éléments dont vous avez besoin, mais que vous voulez modifier l’aspect de certaines pages, vous pouvez remplacer les éléments du gabarit et les modifier dans ces pages de document, au lieu de dissocier le gabarit.

Vous pouvez copier les gabarits dans un même document ou d’un document à un autre pour les utiliser comme point de départ d’un nouveau gabarit. Vous pouvez également copier les gabarits dans d’autres documents lorsque vous synchronisez des documents d’un livre ou importez des gabarits à partir d’un autre document.

« Synchronisation des documents d’un livre » à la page 342 « Importation d’un gabarit à partir d’un autre document » à la page 79 Pour copier un gabarit dans un document ❖ Dans la section Pages, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Faites glisser le nom de page de la planche type vers le bouton Créer une page au bas du panneau.

• Sélectionnez le nom de la planche type, puis choisissez Dupliquer la planche type [nom de la planche] dans le menu du panneau. Lorsque vous copiez un gabarit, le préfixe de page du gabarit copié est la lettre suivante de l’alphabet.

Pour copier ou déplacer un gabarit vers un autre document

1 Ouvrez le document auquel vous voulez ajouter le gabarit. Ouvrez ensuite le document contenant le gabarit à

2 Dans le panneau Pages du document source, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez sur la planche type et faites-la glisser vers la fenêtre du document cible pour la copier.

• Sélectionnez le gabarit à déplacer ou copier. Choisissez Page > Pages > Déplacer le gabarit, puis choisissez le nom du document cible dans le menu Déplacer vers. Si vous voulez supprimer la page ou des pages du document source, sélectionnez Supprimer des pages après le déplacement, puis cliquez sur OK.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Cliquez sur l’icône de suppression au bas du panneau. • Choisissez Supprimer la planche type [nom de la planche] dans le menu du panneau Pages. Lorsque vous supprimez un gabarit, le gabarit [Aucun] est appliqué à toutes les pages de document auxquelles le gabarit supprimé était appliqué.

Remplacement ou dissociation d’éléments types

Lors de l’application d’un gabarit à une page de document, tous les objets situés sur le gabarit, appelés éléments de gabarit, apparaissent sur la page de document. Si une page spécifique ne vous convient pas entièrement, il est inutile de repenser la composition de sa page type ou de créer une nouvelle page type. Vous pouvez remplacer ou dissocier l’élément de gabarit ; les autres éléments de gabarits sur la page du document continueront d’être mis à jour avec le gabarit. Notez la différence entre le remplacement et la dissociation des éléments de gabarit sur une page de document : Remplacement d’attributs d’élément de gabarit Le remplacement d’un élément de gabarit place une copie de celui-ci

sur la page du document sans pour autant supprimer son association au gabarit. Une fois que l’élément est remplacé, vous pouvez remplacer de façon sélective un ou plusieurs attributs de l’élément pour le personnaliser. Par exemple, vous pouvez modifier la couleur de fond de la copie locale. Les modifications apportées alors à la couleur de fond sur la page de gabarit ne sont plus mises à jour sur la copie locale. Toutefois, les autres attributs, tels que la taille, continuent de se mettre à jour car ils n’ont pas été remplacés sur la copie locale. Vous pourrez supprimer les remplacements plus tard pour faire correspondre l’objet au gabarit.

Les attributs que vous pouvez remplacer pour un objet de page gabarit incluent les contours, les fonds, le contenu d’un bloc et toutes les transformations (telles que la rotation, la mise à l’échelle, la déformation ou le redimensionnement), les options d’arrondis, les options de bloc de texte, le verrouillage, les effets de transparence et d’objet. Dissociation d’éléments de leur gabarit Il est possible de dissocier un élément type de son gabarit sur une page de

document. L’élément doit être remplacé sur la page du document, en créant une copie locale, avant que vous ne puissiez le dissocier. Un élément dissocié ne se met pas à jour avec le gabarit car son association avec la page de gabarit est supprimée.

« Application de l’habillage du texte sur des éléments de gabarit » à la page 250

Pour remplacer un élément de gabarit

1 Assurez-vous que l’élément de gabarit peut être remplacé.

Vous pouvez remplacer un élément de gabarit uniquement si l’option Autoriser les remplacements des éléments du gabarit sur la sélection est sélectionnée pour cet élément dans le menu du panneau Pages.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Pour remplacer tous les éléments de gabarits sur une planche de document, ciblez la planche, puis choisissez Libérer tous les éléments de gabarit dans le menu du panneau Pages. Vous pouvez désormais sélectionner et modifier les éléments de gabarits à votre convenance. Lorsqu’un élément de gabarit est remplacé, son cadre de sélection en pointillé se transforme en ligne pleine, pour montrer qu’une copie locale a été créée. Remarque : lors du remplacement d’un bloc de texte lié, tous les blocs visibles dans ce lien sont substitués, même s’ils sont situés sur une page différente d’une planche.

Pour dissocier un élément de gabarit

• Pour dissocier un seul élément de gabarit de son gabarit, remplacez-le d’abord en appuyant sur les touches Ctrl+Maj (Windows) ou Commande+Maj (Mac OS) et en cliquant sur l’élément sur une page de document. Choisissez ensuite Dissocier la sélection du gabarit dans le menu du panneau Pages.

• Pour dissocier tous les éléments de gabarit remplacés sur une planche, remplacez les éléments de page de gabarit que vous voulez dissocier, puis ciblez cette planche du document (ne sélectionnez pas la page de gabarit d’origine).

Choisissez l’option Dissocier tous les objets du gabarit dans le menu du panneau Pages. Si la commande n’est pas accessible, la planche ne contient aucun objet substitué.

Pour empêcher un élément de gabarit d’être remplacé

Dans certains cas, il est possible que vous ne vouliez remplacer que quelques-uns des éléments de gabarit. Par exemple, vous pouvez remplacer des éléments de gabarit tels que les images d’arrière-plan d’une page de document, tout en évitant de remplacer un en-tête de numérotation de page. En empêcher l’en-tête d’être remplacé, vous pouvez choisir l’option Libérer tous les éléments de gabarit pour remplacer tous les éléments de gabarit, sauf l’en-tête. 1 Sélectionnez l’élément sur la page de gabarit. 2 Désélectionnez l’option Autoriser les remplacements des éléments du gabarit sur la sélection dans le menu du

Les éléments de gabarit dont le remplacement n’est pas autorisé ne présentent pas de cadres de bloc lorsqu’ils sont affichés sur la page de document. Si vous voulez éviter de remplacer un bloc de texte lié, tous les blocs de texte liés auront le même paramètre.

Pour réappliquer des éléments types

Si vous avez remplacé les éléments types, vous pouvez les restaurer pour reproduire le gabarit. Les attributs de l’objet sont alors rétablis tels qu’ils apparaissent sur le gabarit correspondant et seront de nouveau mis à jour avec le gabarit. La copie locale de l’objet est supprimée et l’élément de gabarit ne peut pas être sélectionné, comme l’indique sa bordure en pointillé. L’annulation des substitutions s’applique aux objets sélectionnés ou à tous les objets d’une planche, mais pas à l’ensemble d’un document. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour supprimer les remplacements de gabarit d’un ou de plusieurs objets, sélectionnez les objets qui étaient précédemment des éléments de gabarit. Dans le panneau Pages, ciblez une planche, puis choisissez Ne pas appliquer les remplacements locaux sélectionnés dans le menu du panneau Pages.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Si vous réappliquez un gabarit à une page contenant des objets de gabarit substitués, les objets contenant des remplacements sont dissociés et tous les objets de gabarit sont réappliqués. Ceci peut produire deux copies de certains objets sur la page. Vous devez supprimer les objets associés pour reproduire avec exactitude l’aspect du gabarit.

Pour masquer les éléments du gabarit

La commande Masquer les éléments du gabarit permet de masquer des éléments de gabarit sur une ou plusieurs pages d’un document. Les éléments de gabarit masqués ne sont pas imprimés. 1 Dans le panneau Pages, sélectionnez les pages et les planches sur lesquelles vous souhaitez masquer les éléments de

2 Dans le menu du panneau Pages, choisissez la commande Masquer les éléments du gabarit.

Pour afficher de nouveau les éléments du gabarit, sélectionnez les planches voulues dans le panneau Pages, puis choisissez la commande Afficher les éléments du gabarit dans le menu de ce panneau.

Importation d’un gabarit à partir d’un autre document

Vous pouvez importer des gabarits d’un autre document InDesign (quelle que soit la version) dans un document actif. Si votre document cible contient des gabarits ayant des noms différents des gabarits du document cible, les remplacements de ces pages et de leur page de document resteront inchangés. 1 Dans le menu du panneau Pages, choisissez Charger des gabarits. 2 Cliquez deux fois sur le document InDesign contenant les gabarits que vous voulez importer. 3 Déterminez ce qui doit se passer si un gabarit chargé a le même nom qu’un gabarit du document actif.

• Choisissez Remplacer des gabarits si vous voulez que les gabarits du document source remplacent les gabarits du document cible ayant les mêmes noms. Si votre document cible n’a pas d’éléments remplacés, il est recommandé de Remplacer des gabarits lors de l’importation.

• Choisissez Renommer des gabarits pour modifier les préfixes de page par la lettre suivante disponible dans l’alphabet.

Une fois que vous avez importé des gabarits depuis un document cible, un lien est créé entre le document source et le document cible. Lorsque vous chargez ultérieurement les gabarits depuis le même document source, l’association entre les éléments remplacés et leurs éléments parents sur les gabarits rechargés est conservée. Les gabarits restent ainsi cohérents dans différents documents sans que vous ayez à placer ces documents dans un livre. Pour utiliser cette méthode, chargez les gabarits à partir du document source avant de remplacer les objets sur le gabarit. Si votre document contient des éléments remplacés et que vous n’avez jamais importé de gabarits d’un document source, ces éléments remplacés deviennent dissociés la première fois que vous chargez à partir d’un document source et remplacent les gabarits portant le même nom que le gabarit parent des éléments remplacés. Toutefois, si vous importez ultérieurement des gabarits depuis un autre document source, et si vous utilisez la commande Remplacer des gabarits, les éléments remplacés risquent d’être dissociés. Tout gabarit portant le même nom dans le document source est appliqué à la page du document contenant les éléments remplacés, ce qui crée deux ensembles d’objets.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Remarques supplémentaires sur les calques :

• Chaque calque de document présente un triangle d’affichage qui permet de révéler les objets figurant sur le calque, ainsi que leur ordre de superposition, pour la planche active. Les groupes, boutons et objets à états multiples sont

également pourvus d’un triangle d’affichage permettant d’afficher les objets qu’ils contiennent. Vous pouvez modifier l’ordre de ces objets et les verrouiller ou les déverrouiller. Vous pouvez également les ajouter à des groupes ou les en retirer.

• Les objets des gabarits sont affichés au bas de chaque calque. Les éléments type peuvent apparaître devant des objets de page du document si les objets des gabarits sont sur un calque supérieur (voir la section « A propos des gabarits, de l’ordre de superposition et des calques » à la page 72).

• Les calques interagissent avec toutes les pages d’un document, y compris les gabarits. Si, par exemple, vous masquez le calque 1 pendant la modification de la page 1 de votre document, ce calque est masqué sur toutes les pages tant que vous ne décidez pas de le réafficher.

• Pour plus de détails sur la conversion de calques à partir d’Adobe PageMaker® ou de QuarkXPress, reportez-vous

à la section « Conversion de documents QuarkXPress et PageMaker » à la page 115.

Le panneau Calques regroupe les calques en affichant le calque supérieur en tête.

Pour consulter un didacticiel vidéo sur l’utilisation des calques, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid5151_id_en.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Calques ou le bouton Nouveau calque situé au bas du panneau. Le nombre de calques d’un document n’est limité que par la mémoire RAM dont dispose InDesign.

« Affichage ou masquage des contours de bloc » à la page 88

Création de calques

1 Choisissez Fenêtre > Calques. 2 Pour créer un calque, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour créer un calque au-dessus du calque sélectionné, cliquez sur le bouton Nouveau calque.

• Pour créer un calque en dessous du calque sélectionné, cliquez sur le bouton Nouveau calque tout en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée.

• Pour créer un calque en haut de la liste, cliquez sur le bouton Nouveau calque tout en maintenant les touches Ctrl+Maj (Windows) ou Commande+Maj (Mac OS) enfoncées.

• Pour créer un calque et ouvrir la boîte de dialogue Nouveau calque, cliquez sur le bouton Nouveau calque tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée.

Spécification des options de calque

1 Choisissez l’option Nouveau calque dans le menu du panneau Calques ou cliquez deux fois sur un calque existant. 2 Spécifiez les options de calque, puis cliquez sur OK. Couleur Assignez une couleur pour identifier les objets de ce calque. Afficher le calque Activez cette case pour rendre un calque visible et afficher l’icône d’œil dans le panneau Calques. Afficher les repères Activez cette case pour rendre les repères du calque visibles. Lorsque cette option n’est pas sélectionnée pour un calque, les repères ne peuvent pas être affichés, même en choisissant Affichage > Afficher les repères. Verrouiller le calque Activez cette option pour empêcher toute modification des objets du calque et afficher l’icône de

crayon barré dans le panneau Calques.

Verrouiller les repères Activez cette option pour empêcher toute modification des repères de règle du calque. Imprimer le calque Sélectionnez cette option pour empêcher le calque d’être imprimé. Lors de l’impression ou de

l’exportation au format PDF, vous pouvez décider d’imprimer ou non les calques masqués ou non imprimables.

Supprimer l’habillage lorsque le calque est masqué Activez cette option si vous voulez que le texte se place

normalement sur d’autres calques, lorsque le calque est masqué et qu’il contient des objets auxquels un habillage est appliqué.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

En revanche, un bloc désélectionné n’adopte pas la couleur de son calque si son contour est masqué. 1 Dans le panneau Calques, cliquez deux fois sur un calque ou sélectionnez-le et choisissez Options de calque pour

2 Dans la zone Couleur, choisissez une couleur ou sélectionnez l’option Personnalisée et définissez votre couleur

dans le sélecteur système.

Ajout d’objets aux calques

Tout nouvel objet est placé sur le calque cible, c’est-à-dire le calque indiqué par une icône de plume dans le panneau Calques. Le fait de cibler un calque a pour effet de le sélectionner. Si plusieurs calques sont sélectionnés, le ciblage d’un calque ne modifie pas la sélection, mais le ciblage d’un calque en dehors de la sélection désélectionne les autres calques. Pour ajouter des objets dans le calque cible, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Création de nouveaux objets avec les outils de texte ou de dessin.

• Importation, insertion ou collage du texte et des graphiques. • Sélection d’objets sur d’autres calques puis glissement vers le nouveau calque. Il est impossible de dessiner ou de placer un nouvel objet sur un calque masqué ou verrouillé. Lorsque vous sélectionnez un outil de dessin ou l’outil Texte ou que vous importez un fichier alors que le calque cible est masqué ou verrouillé, le pointeur prend la forme d’un crayon barré dès lors qu’il est placé sur la fenêtre de document. Le cas échéant, affichez ou déverrouillez le calque cible ou bien ciblez un calque visible non verrouillé. Si vous choisissez Edition > Coller alors que le calque cible est masqué ou verrouillé, un message d’alerte vous propose de l’afficher ou de le déverrouiller. Lorsque vous cliquez sur un calque dans le panneau Calques pour le cibler, l’icône de plume apparaît sur le calque sur lequel vous avez cliqué, et le calque est mis en surbrillance pour indiquer qu’il est ciblé.

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❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour sélectionner des objets individuels sur un calque, cliquez sur l’icône en forme de triangle en regard du calque pour afficher tous les objets, puis sélectionnez l’objet souhaité. Vous pouvez également faire glisser l’objet cible vers un emplacement différent sans le sélectionner.

à droite du libellé de calque pour déplacer les objets sélectionnés vers l’autre calque.

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Si la commande Coller selon les calques est sélectionnée, les objets coupés ou copiés depuis d’autres calques sont affectés de la même façon sur les calques, une fois collés dans la nouvelle page ou à leur nouvel emplacement. Si vous collez des objets dans un document n’ayant pas les mêmes calques que le document d’origine, InDesign ajoute les noms de calque des objets dans le panneau Calques du second document et colle chaque objet sur son calque. Si la commande Coller selon les calques est désélectionnée, les objets coupés ou copiés depuis d’autres calques sont collés ensemble sur le calque cible. 1 Vérifiez que l’option Coller selon les calques est désactivée dans le menu du panneau Calques. 2 Sélectionnez des objets et choisissez Edition > Copier ou Edition > Couper. 3 Cliquez sur un calque pour modifier le calque cible dans le panneau Calques. 4 Sélectionnez Edition > Coller.

Duplication d’un calque

La duplication d’un calque consiste à copier son contenu et ses paramètres. La réplique du calque apparaît alors au dessus du calque d’origine dans le panneau Calques. Les blocs dupliqués liés à d’autres blocs du calque conservent leur lien, tandis que les blocs dupliqués dont les originaux étaient liés aux blocs d’autres calques le perdent. ❖ Dans le panneau Calques, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Sélectionnez le nom du calque, puis choisissez Dupliquer le calque [nom du calque] dans le menu du panneau

• Faites glisser le nom d’un calque sur le bouton Nouveau calque.

Modification de l’ordre des calques

Il suffit de réorganiser les calques du panneau pour changer leur ordre de superposition. L’ordre des calques est modifié sur chaque page, pas seulement sur la planche cible. Vous pouvez également modifier l’ordre de superposition des objets d’un calque en les repositionnant au sein du calque (voir la section « Disposition d’objets en pile » à la page 444). ❖ Dans le panneau Calques, faites glisser un calque vers le haut ou vers le bas dans la liste. Vous pouvez également

faire glisser plusieurs calques sélectionnés.

Il peut toutefois être utile de masquer les calques lorsque vous souhaitez :

• masquer certaines parties d’un document ne devant pas apparaître dans le document final ;

• masquer différentes versions d’un document ; • simplifier l’affichage d’un document pour faciliter la modification d’autres parties du document ; • Pour afficher ou masquer les calques un par un, dans le panneau Calques, cliquez sur le carré situé à l’extrême gauche du nom du calque pour afficher ou masquer l’icône d’œil de ce calque.

• Pour afficher ou masquer des objets individuels sur un calque, cliquez sur le triangle d’affichage du calque pour afficher tous les objets qu’il contient, puis cliquez sur l’icône en forme d’œil pour afficher ou masquer l’objet voulu.

• Pour masquer tous les calques à l’exception de celui actuellement sélectionné, ou pour masquer tous les objets d’un calque à l’exception de l’objet sélectionné, choisissez la commande Masquer les autres dans le menu du panneau Calques. Vous pouvez également cliquer sur le carré situé à l’extrémité gauche du calque ou de l’objet qui doit rester visible en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée.

• Pour afficher tous les calques, choisissez la commande Tout afficher dans le menu du panneau Calques. Vous pouvez également cliquer sur le carré situé à l’extrémité gauche d’un calque ou d’un objet visible en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée pour afficher tous les calques ou tous les objets du calque.

Définition d’un calque comme non imprimable

1 Sélectionnez un calque dans le panneau Calques. 2 Choisissez Options de calque dans le menu du panneau Calques. 3 Pour empêcher le calque d’être imprimé, désélectionnez Imprimer le calque, puis cliquez sur OK.

Remarque : lorsque vous imprimez ou exportez au format PDF, vous avez toujours le choix d’imprimer ou non les calques masqués ou non imprimables.

Verrouillage ou déverrouillage de calques

Le verrouillage permet d’empêcher toute modification accidentelle d’un calque. Une icône de crayon barré s’affiche en regard d’un calque verrouillé dans le panneau Calques. Les objets de calques verrouillés ne peuvent être ni sélectionnés ni modifiés directement. En revanche, si ces objets possèdent des attributs modifiables, ceux-ci sont modifiés. Si, par exemple, vous modifiez une teinte, les objets situés sur des calques verrouillés utilisant cette nuance sont modifiés en conséquence. L’insertion de blocs de texte liés sur des calques verrouillés et déverrouillés n’empêche pas la recomposition du texte placé sur des calques verrouillés.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Verrouiller les autres. Vous pouvez également cliquer sur le carré situé à l’extrémité gauche du calque qui ne doit pas être verrouillé tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée.

• Pour déverrouiller tous les calques, sélectionnez Tout déverrouiller dans le menu du panneau Calques.

Suppression de calques

Gardez à l’esprit qu’un calque s’applique à l’ensemble du document et apparaît donc sur chacune des ses pages. Avant de supprimer un calque, pensez à masquer tous les autres calques puis faites défiler les pages pour vérifier que les objets restants peuvent être supprimés. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour supprimer un calque, faites glisser un calque du panneau Calques vers l’icône de suppression ou choisissez l’option Supprimer le calque [nom du calque] dans le menu du panneau Calques.

• Pour supprimer plusieurs calques, maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée tout en cliquant sur les calques pour les sélectionner. Ensuite, faites glisser les calques du panneau Calques jusqu’à l’icône de suppression ou choisissez la commande Supprimer les calques dans le menu du panneau Calques.

• Pour supprimer tous les calques vides, dans le menu du panneau Calques, choisissez Supprimer les calques inutilisés.

• Pour supprimer un objet d’un calque, sélectionnez l’objet dans le panneau Calques, puis cliquez sur l’icône de suppression.

Fusion de calques dans un document

Il est possible de réduire le nombre de calques d’un document sans supprimer d’objets, en fusionnant les calques. Cette fusion consiste à déplacer les objets de tous les calques sélectionnés vers le calque cible. Parmi tous les calques fusionnés, seul le calque cible est conservé dans le document ; les autres sont supprimés. Vous pouvez également aplatir un document en fusionnant tous ses calques. Remarque : si vous fusionnez des calques contenant à la fois des objets de page et des éléments de gabarit, ces derniers sont déplacés derrière le calque fusionné. 1 Sélectionnez un ensemble de calques dans le panneau Calques. Veillez à inclure le calque à cibler en tant que calque

fusionné. Si vous aplatissez le document, sélectionnez tous les calques du panneau.

2 Cliquez sur un calque sélectionné pour en faire le calque cible, comme l’indique la plume. 3 Choisissez Fusionner les calques dans le menu du panneau Calques.

Vous pouvez également fusionner des calques de nom identique en vue de l’exportation d’un livre au format PDF.

« Pour préparer les calques avant d’exporter un livre au format PDF » à la page 549

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Les objets que vous dessinez dans un document peuvent servir de tracés et de blocs. Les tracés sont des graphiques vectoriels semblables à ceux créés dans des programmes de dessin comme Adobe Illustrator®. Les blocs sont identiques aux tracés, à la différence près qu’ils peuvent contenir du texte ou d’autres objets. Un bloc peut également faire office d’emplacement réservé (contenant sans contenu). Qu’il s’agisse de contenants ou d’emplacements réservés, les blocs constituent les pièces maîtresses de la maquette d’un document.

Remarque : dans QuarkXPress, les tracés sont désignés par des lignes et les blocs par des cadres.

Un bloc constituant la version conteneur d’un tracé, vous pouvez effectuer les mêmes opérations sur un bloc que sur un tracé. Vous pouvez notamment appliquer une couleur ou un dégradé à son fond ou contour et utiliser l’outil Plume pour retoucher la forme du bloc. Vous pouvez même utiliser à votre guise un bloc comme un tracé et vice-versa. Grâce à cette souplesse de manipulation, vous pouvez repenser votre création en utilisant une riche panoplie d’options. Les blocs peuvent recevoir du texte ou des éléments graphiques. Un bloc de texte délimite la zone occupée par le texte, ainsi que sa disposition dans la maquette. Il se reconnaît aux ports situés dans ses coins supérieur gauche et inférieur droit. Un bloc graphique fait office de contour et d’arrière-plan et permet de recadrer ou masquer un graphique. Lorsqu’il représente une balise d’emplacement vide, le bloc graphique contient une croix.

Bloc de texte (à gauche) et bloc graphique vide (à droite)

Si la croix est invisible à l’intérieur d’un bloc graphique vide, l’affichage du cadre du bloc est peut-être désactivé.

« Présentation des tracés et des formes » à la page 369

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Remarque : le cadre du bloc est perçu comme un contour et non comme le bord externe de l’épaisseur du tracé. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour afficher ou masquer les contours de bloc, choisissez la commande Affichage > Extras > Afficher les contours du bloc ou Masquer les contours du bloc.

• Pour masquer les contours de blocs, cliquez sur Mode Aperçu

en bas du panneau Outils.

Utilisation de balises d’emplacement dans la conception des pages

Lorsque votre texte et vos graphiques définitifs sont prêts, insérez-les dans un document. InDesign crée automatiquement des blocs pour chacun d’eux (à moins qu’ils ne proviennent directement de blocs existants). Si toutefois vous ne disposez pas encore du contenu ou si vous préférez silhouetter la maquette avant d’ajouter texte et graphiques, utilisez les blocs comme balises d’emplacement.

• Dessinez des blocs de texte avec l’outil Texte et des blocs graphiques avec les outils de dessin. Liez ensuite les blocs de texte vides pour importer le texte définitif en une seule étape.

• Tracez des formes vides d’emplacements réservés avec les outils de dessin. Dès que vous êtes prêt à délimiter les zones de texte et d’image, redéfinissez les emplacements réservés correspondants.

• Définissez les options d’ajustement de bloc de façon à ce que lorsque vous importez une image dans le bloc, l’image soit recadrée et s’adapte parfaitement.

« Utilisation de modèles de document » à la page 108 « Dessin d’un bloc d’emplacement réservé » à la page 373 « Définition des options d’ajustement de bloc » à la page 472

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Pour utiliser un tracé ou un bloc de texte comme bloc d’emplacement réservé aux graphiques, sélectionnez un tracé ou un bloc de texte vide et choisissez Objet > Contenu > Graphique.

• Pour utiliser un tracé ou un bloc graphique comme bloc d’emplacement réservé au texte, sélectionnez un tracé ou un bloc graphique vide, puis choisissez Objet > Contenu > Texte.

• Pour utiliser un tracé ou un bloc graphique comme simple tracé, sélectionnez un bloc vide, puis choisissez Objet >

Contenu. Toutefois, si vous remplacez un graphique par du texte, le type de contenu est automatiquement redéfini.

Rectification automatique de la mise en page

Si vous modifiez une mise en page à partir des commandes Format de document ou Marges et colonnes (réglage de la largeur des colonnes ou de l’orientation des pages), la réorganisation des objets selon la nouvelle mise en page peut se révéler fastidieuse. La fonction Modifier la mise en page se charge automatiquement de la plupart des tâches. Elle vous permet, par exemple, de convertir rapidement un document paysage de quatre colonnes prévu pour une page au format A4 en un document portrait de deux colonnes dans un format de page Grand format. Avec la modification de la mise en page, les blocs de texte et graphiques sont déplacés et redimensionnés selon le nouvel emplacement relatif des repères de colonne, des marges et des bords de la page. Remarque : le glissement des repères de colonne n’opère pas de modification de la mise en page. Les résultats de la fonction Modifier la mise en page sont très prévisibles dans le cas d’une mise en page reposant principalement sur une structure de marges, de colonnes de page et de repères de règle dont les objets sont attirés vers les repères. Ils le sont moins lorsque les objets n’adhèrent pas aux marges, colonnes et repères ou que des repères de règle et de colonne superflus encombrent une page. Mise en page s’effectue indépendamment des grilles du document ou de ligne de base.

Page conçue verticalement pour l’impression (à gauche) et orientation de page modifiée pour son affichage à l’écran, avec la mise en page automatiquement réajustée par la fonction de modification de la mise en page (à droite)

Vous pouvez modifier ces règles dans la boîte de dialogue Modifier la mise en page. La fonction Modifier la mise en page tente d’évaluer les proportions de l’ancienne mise en page dans la nouvelle en procédant comme suit :

• Ajout ou suppression de repères de colonne si la nouvelle mise en page spécifie un nombre de colonnes différent.

• Déplacement des repères de règle pour maintenir les distances proportionnelles par rapport aux bords des pages, aux marges ou aux repères de colonne si le format de page est différent.

• Déplacement d’objets déjà alignés sur un repère de marge, de colonne, de fond perdu/ligne-bloc ou de règle ou selon deux repères perpendiculaires, de sorte que les objets suivent ces repères s’ils sont repositionnés lors de la modification de la mise en page. Les objets déjà alignés sur un bord de page ou sur des bords de page perpendiculaires sont également déplacés.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Déplacement des objets pour qu’ils gardent la même position relative sur la page si le format de page change. Remarque : l’option Modifier la mise en page agit différemment sur les colonnes d’un bloc de texte et sur les colonnes de page. Si le bloc lui-même est redimensionné par cette option tandis que l’option Largeur de colonne fixe est désactivée dans la boîte de dialogue Objet > Options de bloc de texte, les colonnes du bloc de texte sont redimensionnées proportionnellement. Si l’option Largeur de colonne fixe est sélectionnée, des colonnes sont ajoutées ou supprimées selon les besoins.

« Utilisation de plusieurs formats de page » à la page 70

Définition des options de modification de la mise en page

Notez que les options de la boîte de dialogue Modifier la mise en page n’ont aucune action immédiate, puisque la rectification d’une mise en page fait suite uniquement au réglage des paramètres de format et d’orientation de page, de marge ou de colonne ou lorsque vous appliquez un nouveau gabarit. Pour rétablir la version précédente d’une maquette, vous devez annuler l’opération à l’origine de sa modification. 1 Choisissez Page > Modifier la mise en page. 2 Choisissez Activer la modification de mise en page. 3 Spécifiez les options de modification de mise en page et cliquez sur le bouton OK.

Options de modification de mise en page

Activer la modification de mise en page Sélectionnez cette option pour activer la modification de la mise en page

chaque fois que vous changez le format de la page, son orientation, ses marges ou ses colonnes.

Zone de magnétisme Spécifiez le périmètre dans lequel un objet est attiré par le repère de marge, repère de colonne ou bord de page le plus proche lorsque vous utilisez la fonction Modifier la mise en page. Autoriser le redimensionnement des graphiques et des groupes Sélectionnez cette option pour que la fonction

Modifier la mise en page mette à l’échelle les graphiques, les blocs et les groupes. Lorsque cette option est désélectionnée, les graphiques et les groupes peuvent être déplacés par la fonction Modifier la mise en page, mais pas redimensionnés.

Autoriser le déplacement des repères de règle Sélectionnez cette option pour que les repères de règle soient

repositionnés par la commande Modifier la mise en page.

Ignorer l’alignement des repères de la règle Sélectionnez cette option quand les repères de règle sont mal positionnés pour la modification de la mise en page Les objets restent alignés sur les repères de colonne et de marge et les bords de page. Ignorer le verrouillage des objets et des calques Sélectionnez cette option pour que la fonction Modifier la mise en page puisse repositionner des objets verrouillés ou situés dans un calque verrouillé.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez insérer un repère de pagination de type Numéro de page active sur vos pages, pour indiquer l’emplacement et l’aspect du numéro de page. La mise à jour de ce repère étant automatique, le numéro de page qu’il désigne est toujours exact, même après l’ajout, la suppression ou l’agencement des pages du document. Vous pouvez mettre en forme et ajouter un style aux repères de pagination comme s’il s’agissait de texte. Pour consulter un didacticiel vidéo sur la numérotation des pages, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0217_fr. Bob Bringhurst propose un catalogue d’effets de numérotation des pages, sous le titre Page Numbering Gallery (en anglais uniquement).

Ajout d’un repère de pagination à un gabarit

Les repères de pagination sont souvent ajoutés aux gabarits. Lors de l’application de gabarits aux pages d’un document, la numérotation des pages est mise à jour automatiquement, de la même façon que les en-têtes et les pieds de page.

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Numéro de page sur le gabarit A (à gauche) et numéro de la page 5 d’après ce même gabarit (à droite)

1 Dans le panneau Pages, cliquez deux fois sur le gabarit auquel ajouter un numéro de page. 2 Créez un bloc de texte assez grand pour contenir le numéro de page le plus long et tout texte qui doit l’accompagner.

Placez le bloc de texte à l’emplacement où vous voulez que le numéro de page apparaisse.

Si le document comporte des pages en vis-à-vis, créez des blocs de texte distincts pour les gabarits droit et gauche. 3 Dans le bloc de texte du numéro de page, ajoutez le texte qui précèdera ou suivra le numéro de page (« Page », par

4 Placez le point d’insertion à l’emplacement où vous voulez que le numéro de page apparaisse, puis choisissez la

commande Texte > Insérer un caractère spécial > Marques > Numéro de page active.

5 Appliquez le gabarit aux pages du document à numéroter.

Modification du style de numérotation des pages

Par défaut, les pages sont numérotées avec des chiffres arabes (1, 2, 3, etc.) ; toutefois, vous pouvez utiliser des caractères romains en majuscules ou minuscules (i, ii, iii, etc.) ou alphanumériques (a, b, c, etc.). Vous pouvez également faire apparaître un zéro précédant le numéro des pages. Chaque partie du document qui utilise un style de numérotation différent est appelée section. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section « Définition de la numérotation de section » à la page 94.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Cette boîte de dialogue vous permet également de redémarrer la numérotation des pages depuis le début ou de commencer la numérotation à partir d’un numéro donné. 1 Dans le panneau Pages, sélectionnez la page à partir de laquelle vous voulez changer le style de numérotation afin

de commencer une nouvelle section.

2 Choisissez la commande Page > Options de numérotation et de section. 3 Définissez les options voulues, puis cliquez sur le bouton OK (voir la section « Options de numérotation de

document » à la page 95).

L’icône de marque de section d’une nouvelle section.

est affichée au-dessus de l’icône de page dans le panneau Pages et marque le début

Remarque : si le numéro de page que vous venez d’insérer est précédé d’un numéro ou d’une lettre, cela signifie qu’il comporte un préfixe de section. Si vous voulez éliminer ce préfixe, désélectionnez l’option Inclure le préfixe lors de la numérotation des pages dans la boîte de dialogue Options de numérotation et de section.

Opérations courantes de numérotation des pages

InDesign propose diverses fonctions facilitant la création d’effets de numérotation des pages. Action :

Ajout de numéros de section et de chapitre

Voir la section « Numérotation des sections et des chapitres » à la page 92.

Création d’en-têtes et de pieds de page continus utilisant des

Voir les sections « Création d’en-têtes et de pieds de page » à la page 96 et variables de texte telles que la date de création, le nom de fichier « Variables de texte » à la page 99. ou l’intitulé ou titre actuel Création d’un effet de numérotation de page de type « Page x sur Insérez un repère de pagination de type Numéro de page active pour x, y » où x correspond à la page actuelle et y, au nombre total de puis la variable de texte Dernier numéro de page pour y (via la commande pages Texte > Variables de texte > Insérer une variable > Dernier numéro de page). Création d’un saut d’article du type « Suite à la page x »

Voir la section « Numérotation automatique des pages pour les sauts d’article » à la page 98.

Numérotation des sections et des chapitres

Déterminez le type de numérotation que vous voulez utiliser pour votre document ou livre. Pour les longs documents, vous pouvez assigner des numéros de chapitre. Un seul numéro de chapitre peut être assigné par document. Si vous voulez utiliser une numérotation différente dans un document, vous pouvez définir des séquences de pages en sections ; ces sections peuvent être numérotées différemment. Par exemple, les dix premières pages d’un document (la préface) peuvent utiliser des chiffres romains, et le reste du document des chiffres arabes. Un document InDesign peut contenir jusqu’à 9 999 pages, mais les numéros de page peuvent aller jusqu’à 99 999 (par exemple, vous pouvez numéroter correctement un document de 100 pages commençant à la page 9 949). Par défaut, la première page est un recto de page portant le numéro 1. Les pages impaires apparaissent toujours à droite ; toutefois, vous pouvez utiliser la commande Options de section pour donner à la première page numérotée un folio pair et convertir ainsi la première page en verso. Pour plus d’informations sur la numérotation de base d’un document, reportez-vous à la section « Numérotation de base des pages » à la page 91.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez ajouter une variable de numéro de chapitre à votre document. A l’instar des numéros de page, les numéros de chapitre peuvent être mis à jour automatiquement et recevoir une mise en forme et un style de la même façon que du texte. Une variable de numéro de chapitre est généralement utilisée dans les documents qui composent un livre. Un document ne peut avoir qu’un seul numéro de chapitre ; si vous voulez diviser un document en plusieurs chapitres, créez plutôt des sections. Remarque : les numéros de chapitre ne peuvent pas être insérés en tant que préfixes lorsque l’on génère un index ou une table des matières (par exemple, 1-3, 1-4, etc.). Si vous voulez que les numéros des chapitres soient inclus en tant que préfixes, utilisez des préfixes de section à la place des numéros de chapitre. 1 Si nécessaire, créez un bloc de texte à l’emplacement où vous voulez que le numéro de chapitre apparaisse. Pour que

le numéro de chapitre apparaisse sur plusieurs pages, créez le bloc de texte sur un gabarit, puis appliquez ce gabarit aux pages du document.

2 Dans le bloc de texte du numéro de chapitre, ajoutez le texte qui doit précéder ou suivre le numéro de chapitre. 3 Placez le point d’insertion à l’emplacement où vous voulez que le numéro de chapitre apparaisse, puis choisissez

Texte > Variables de texte > Insérer une variable de texte > Numéro de chapitre.

Vous pouvez actualiser le premier numéro et le format de la numérotation du chapitre en sélectionnant la commande Page > Options de numérotation et de section.

Pour définir un numéro de section mis à jour automatiquement

1 Définissez les sections de votre document (voir la section « Définition de la numérotation de section » à la page 94). 2 Sur une page ou un gabarit, faites glisser l’outil Texte pour créer un bloc de texte pouvant contenir le texte de la

marque de section ou cliquez dans un bloc existant.

3 Choisissez Texte > Insérer un caractère spécial > Marques > Marque de section.

Sur le gabarit A, marque de section (gauche) et marque de section avec le numéro de section inséré (droite)

Pour modifier le format des numéros de page et de chapitre

1 Choisissez Page > Options de numérotation et de section. 2 Dans la section Numérotation des pages ou Numérotation des chapitres du document, sélectionnez un nouveau

format de numéro pour l’option Style (voir la section « Options de numérotation de document » à la page 95).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Par défaut, la numérotation des pages et des chapitres d’un livre est continue. Grâce à la boîte de dialogue Options de numérotation et de section, vous pouvez redémarrer la numérotation à une page donnée, ajouter des préfixes aux numéros de page et changer le style de numérotation des pages et des chapitres. Il est possible de définir un préfixe de section afin de libeller les pages correspondantes automatiquement. Par exemple, si vous spécifiez A– comme préfixe de section à la page 16 d’un document et que le préfixe de section est inclus, la page s’affiche dans la table des matières ou l’index sous la forme A–16. Le libellé d’une marque de section apparaît lorsque vous choisissez la commande Texte > Insérer un caractère spécial > Marques > Marque de section.

1 Dans le panneau Pages, sélectionnez la première page de la section à définir.

2 Choisissez Page > Options de numérotation et de section, ou choisissez Options de numérotation et de section dans

3 Si vous modifiez les options de numérotation d’une page qui n’est pas la première page d’un document, assurez-

vous que la case Début de section est cochée. Cette option considère la page sélectionnée comme le début d’une nouvelle section.

4 Si nécessaire, définissez les options de numérotation et de section (voir la section « Options de numérotation de

document » à la page 95), puis cliquez sur le bouton OK.

L’icône de marque de section d’une nouvelle section.

est affichée au dessus de l’icône de page dans le panneau Pages et marque le début

5 Pour terminer la section, répétez les étapes de numérotation de section à partir de la première page qui suit la

dernière page de cette section.

Pour modifier ou supprimer une numérotation de section

1 Dans le panneau Pages, cliquez deux fois sur l’icône de marque de section

affichée au-dessus de l’icône de page dans le panneau Pages. Vous pouvez également sélectionner une page dotée d’une marque de section et choisir

Options de numérotation et de section dans le menu.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour repérer rapidement une section dans le panneau Pages, placez le pointeur précisément sur une icône d’indicateur de section . Une info-bulle affiche le premier numéro de page ou le préfixe de section.

Pour afficher une numérotation absolue ou par section dans le panneau Pages

Le panneau Pages accepte la numérotation absolue (attribution à toutes les pages d’un numéro consécutif, en commençant par la première page du document) et la numérotation par section (attribution aux pages d’un préfixe par section, comme spécifié dans la boîte de dialogue Options de section). Toute modification de l’affichage de la numérotation se répercute sur le signalement des pages dans un document InDesign, de même que dans le panneau Pages et dans la zone de numéro de page au bas d’une fenêtre de document. L’affichage de la numérotation détermine également le mode de définition des séries de pages lors de l’impression ou de l’exportation du document. En revanche, il n’a aucune incidence sur l’aspect des numéros de page sur les pages du document. 1 Choisissez Edition > Préférences > Général (Windows) ou InDesign > Préférences > Général (Mac OS). 2 Choisissez un mode de numérotation dans le menu Affichage de la section Numérotation des pages.

Vous avez la possibilité de modifier les options de numérotation de document lorsque vous sélectionnez une page du document (pas un gabarit), puis la commande Page > Options de numérotation et de section. Vous pouvez également modifier ces options au moyen de la commande Options de numérotation du document du menu du panneau Livre.

Numérotation automatique des pages Choisissez si vous voulez que les numéros de page de la section active suivent la numérotation de la section précédente. Grâce à cette option, les numéros de page du document ou de la cette section sont automatiquement mis à jour lorsque vous ajoutez des pages avant. Début de numérotation des pages Entrez le premier numéro de votre document ou de la première page de la section active. Par exemple, si vous voulez redémarrer la numérotation d’une section, entrez 1. Les autres pages de la section sont renumérotées en conséquence.

Remarque : si vous avez choisi un autre style que la numérotation arabe (par exemple, les chiffres romains), vous devez tout de même saisir un chiffre arabe dans cette zone.

Préfixe de section Entrez le libellé de la section. Incluez les espaces ou la ponctuation que vous voulez faire apparaître entre le préfixe et le numéro de page (A–16 ou A 16, par exemple). Le préfixe est limité à huit caractères.

Vous ne pouvez pas entrer d’espace en appuyant sur la barre d’espacement. Au lieu de cela, copiez et collez un caractère d’espace de chasse fixe à partir de la fenêtre du document. Notez que les symboles plus (+) ou virgule (,) ne peuvent

être utilisés dans les préfixes de section (voir la section « Insertion d’espaces » à la page 196).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Marque de section Saisissez un libellé qu’InDesign insérera sur la page à l’emplacement d’un caractère de marque de

section qui apparaîtra lorsque vous choisirez Texte > Insérer un caractère spécial > Marques > Marque de section.

Inclure le préfixe lors de la numérotation des pages Choisissez si vous voulez que le préfixe de section apparaisse lors de la création d’une table des matières ou d’un index ou lors de l’impression de pages incluant des numéros de page automatiques. Désélectionnez cette option pour afficher le préfixe de section dans InDesign, mais pas dans le document imprimé, l’index ou la table des matières.

A B Préfixe de section dans la fenêtre de document

A. Préfixe de section dans la zone de page située en bas de la fenêtre de document B. Marque de section et préfixe sur la page elle-même

Style (Numérotation des chapitres du document) Choisissez un style de numérotation des chapitres dans le menu.

Celui-ci sera utilisé dans tout le document.

Numérotation automatique des chapitres Sélectionnez cette option pour numéroter les chapitres consécutivement

Commencer la numérotation des chapitres à Spécifiez le numéro de départ de la numérotation des chapitres. Cette

option est très pratique si la numérotation des chapitres ne doit pas être continue dans le livre.

Identique au document précédent du livre Utilise le même numéro de chapitre que le document précédent du livre.

Sélectionnez cette option si le document actif fait partie du même chapitre que le document précédent, dans un livre.

Création d’en-têtes et de pieds de page

Les en-têtes et pieds apparaissent en bas et en haut des pages de votre document et fournissent des informations importantes en arrière-plan. Pour créer un en-tête ou un pied de page simple incluant des numéros de page, reportezvous à la section « Numérotation de base des pages » à la page 91. Les en-têtes et pieds de page peuvent comprendre des éléments tels que les numéros de page, chapitre ou section, le titre, le nom de l’auteur, le nom de fichier du document et la date de création ou de modification. Vous pouvez ajouter la plupart de ces éléments en utilisant des variables de texte. InDesign inclut plusieurs variables prédéfinies, telles que Date de création et Nom de fichier. Vous pouvez modifier ces variables ou créer les vôtres. Par exemple, vous pouvez créer une variable qui s’affiche à la première utilisation d’un style de paragraphe titre dans un en-tête ou un pied. Après avoir créé ou modifié les variables requises, vous les assemblez sur le gabarit afin de créer l’en-tête ou le pied de page, puis vous appliquez le gabarit aux pages voulues dans le document.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour consulter un didacticiel vidéo sur la création des en-têtes et des pieds de page, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0078_fr.

« Gabarits » à la page 72 « Variables de texte » à la page 99

Création d’un en-tête ou d’un pied de page sur un gabarit

1 Si nécessaire, créez ou modifiez les variables que vous voulez utiliser dans votre en-tête ou pied (voir la section

« Création de variables pour des en-têtes et des pieds de page continus » à la page 97).

2 Placez-vous à l’emplacement où vous voulez ajouter l’en-tête ou le pied de page.

L’en-tête ou le pied de page apparaîtra sur toute page de document à laquelle le gabarit est appliqué.

3 Créez un bloc de texte assez grand pour inclure toutes les informations d’en-tête ou de pied de page. Placez le bloc

de texte au-dessus ou au-dessous de l’emplacement où le contenu des pages de document apparaîtra.

4 Ajoutez du texte, des numéros de page et des variables, le cas échéant. 5 Appliquez le gabarit aux pages du document sur lesquelles vous voulez que l’en-tête ou le pied de page apparaisse. 6 Si nécessaire, créez des en-têtes et des pieds de page pour des gabarits supplémentaires.

Création de variables pour des en-têtes et des pieds de page continus

Par défaut, les variables En-tête continu insèrent la première occurrence (sur la page) du texte auquel le style spécifié est appliqué. Les variables En-tête continu sont particulièrement utiles pour afficher l’en-tête ou le titre actuel dans l’en-tête ou le pied de page. 1 Si votre contenu n’a pas encore été mis en forme, créez et appliquez le style de paragraphe ou de caractère au texte

que vous voulez voir apparaître dans l’en-tête (tel qu’un titre ou un style de titre).

2 Choisissez Texte > Variables de texte > Définir. 3 Cliquez sur Nouveau, puis saisissez un nom pour la variable. 4 Dans le menu Texte, choisissez En-tête continu (style de paragraphe) ou En-tête continu (style de caractère).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Emploi Décidez si vous voulez la première ou la dernière occurrence du style qui est appliqué sur la page. L’option

Premier sur la page permet de choisir le premier paragraphe (ou caractère) d’une page. S’il n’y a aucune occurrence du style sur la page, l’occurrence précédente du style appliqué est utilisée. S’il n’y a pas d’occurrence précédente dans le document, la variable est vide.

Supprimer la ponctuation de fin Si cette option est sélectionnée, la variable affiche le texte sans les signes de ponctuation de fin (point, deux-points, point d’exclamation et point d’interrogation). Modifier la casse Sélectionnez cette option pour modifier la casse du texte apparaissant dans l’en-tête ou le pied de

page. Par exemple, vous pouvez choisir d’utiliser la casse de la phrase dans votre en-tête, même si le titre sur la page apparaît en casse de titre.

6 Cliquez sur OK, puis sur Terminer dans la boîte de dialogue Variables de texte.

Vous pouvez maintenant insérer la variable dans un en-tête ou un pied de page que vous créez sur le gabarit.

Numérotation automatique des pages pour les sauts d’article

Vous pouvez facilement conserver les mentions de tourne pour les articles s’étalant sur plusieurs pages, comme par exemple une mention indiquant « Suite en page 42 ». Les numéros de page de mention de tourne permettent de mettre à jour automatiquement le numéro de la page contenant le prochain ou précédent bloc de texte lié d’un article lors du déplacement ou de la redistribution des blocs de texte liés de l’article. Généralement, le numéro de page de mention de tourne se trouve dans un bloc de texte différent de celui de l’article auquel il se rapporte. Il conserve ainsi sa position, même si le texte de l’article est réorganisé. Si vous insérez un caractère de numéro de page active dans la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer, la recherche porte aussi sur les numéros de page de mention de tourne. 1 A l’aide de l’outil Texte, faites glisser la souris pour créer un nouveau bloc de texte dans lequel la mention de tourne

2 A l’aide de l’outil Sélection

Numéro de page suivant Insère le numéro de la page contenant le prochain bloc de l’article. Utilisez ce caractère lors de la création d’une mention de tourne « Suite en page ».

Dernière mise à jour le 18/5/2011

5 Pour empêcher qu’un article soit déplacé sans sa mention de tourne, sélectionnez les articles à l’aide de l’outil

Sélection tout en maintenant la touche Maj enfoncée, puis choisissez Objet > Groupe.

6 Répétez cette procédure autant de fois que nécessaire.

Remarque : si un caractère superflu précède le numéro de page (par exemple, la mention de tourne indique « Suite en page A 16 » au lieu de « Suite en page 16 »), vous avez sans doute inclus un préfixe de section dans la boîte de dialogue

Options de numérotation et de section. Désactivez ou modifiez le préfixe.

« Références croisées » à la page 594

Création et modification de variables de texte Une variable de texte est un élément que vous insérez dans votre document et qui varie selon le contexte. Par exemple, la variable Dernier numéro de page affiche le numéro de page de la dernière page du document. Si vous ajoutez ou supprimez des pages, la variable est mise à jour en conséquence. InDesign inclut plusieurs variables de texte prédéfinies que vous pouvez insérer dans votre document. Vous pouvez modifier le format de ces variables ou créer vos propres variables. Certaines variables, telles que En-tête continu et Numéro de chapitre, sont spécialement utiles dans les gabarits pour assurer une mise en forme et une numérotation uniformes. D’autres variables, telles que Date de création et Nom de fichier, peuvent être ajoutées à la zone de lignebloc pour l’impression. Remarque : n’ajoutez pas trop de texte à une variable pour ne pas risquer d’obtenir du texte en excès ou du texte compressé. Le texte de variable ne saute pas d’une ligne à l’autre.

« Création d’en-têtes et de pieds de page » à la page 96

Pour créer ou modifier des variables de texte

Les options disponibles pour créer une variable dépendent du type de variable que vous spécifiez. Par exemple, si vous choisissez le type Numéro de chapitre, vous pouvez spécifier le texte qui apparaîtra avant et après le numéro et vous pouvez spécifier le style de numérotation. Vous pouvez créer plusieurs variables différentes basées sur le même type de variable. Par exemple, vous pouvez créer une variable qui affiche « Chapitre 1 » et une autre qui affiche « Chap. 1 ». De même, si vous choisissez le type En-tête continu, vous pouvez spécifier le style utilisé comme base de l’en-tête et vous pouvez sélectionner les options pour supprimer la ponctuation de fin et modifier la casse. 1 Si vous voulez créer des variables de texte à utiliser dans tous les nouveaux documents que vous créez, fermez tous

les documents. Sinon, les variables de texte que vous créez apparaissent uniquement dans le document actif.

2 Choisissez Texte > Variables de texte > Définir. 3 Cliquez sur Nouveau ou sélectionnez une variable existante, puis cliquez sur Modifier.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Texte avant / Texte après Pour tous les types de variable (sauf Texte personnalisé), vous pouvez spécifier un texte

à ajouter avant ou après la variable. Par exemple, vous pouvez ajouter le mot « sur » avant la variable Dernier numéro de page et le groupe de mots « pages au total » après la variable pour créer un effet « sur 12 pages au total ».

Vous pouvez également coller du texte dans ces zones, mais les caractères spéciaux tels que les tabulations et les numéros de page automatiques sont supprimés. Pour insérer des caractères spéciaux, cliquez sur le triangle à droite de la zone de texte. Style Pour tous les types de variables numérotées, vous pouvez spécifier le style de numérotation. Si [Style de numérotation actuel] est sélectionné, la variable utilise le même style de numérotation sélectionné dans la boîte de dialogue Options de numérotation et de section du document.

Numéro de chapitre Une variable créée avec le type Numéro de chapitre insère le numéro de chapitre. Vous pouvez insérer du texte avant ou après le numéro de chapitre et vous pouvez spécifier un style de numérotation. Si le numéro de chapitre du document est défini pour continuer à partir du document précédent dans le livre, vous devez peut-être mettre à jour la numérotation du livre afin que le numéro de chapitre approprié apparaisse. Date de création, Date de modification et Date de sortie Date de création insère la date ou l’heure à laquelle le document a été enregistré pour la première fois ; Date de modification insère la date ou l’heure à laquelle le document a été enregistré pour la dernière fois sur le disque ; Date de sortie insère la date ou l’heure à laquelle le document a été envoyé à l’impression, exporté au format PDF ou assemblé. Vous pouvez insérer du texte avant et après la date et vous pouvez modifier le format de date pour toutes les variables de date. Format de date Vous pouvez entrer des formats de date directement dans la zone Format de date ou vous pouvez choisir les options de format en cliquant sur le triangle à droite de la zone. Par exemple, le format de date « dd/MM/yy » s’affiche de la façon suivante : 22/12/07. En modifiant le format en « dd MMM. yyyy », la date s’affiche sous la forme 22 déc. 2007.

Les variables de date utilisent la langue appliquée au texte. Par exemple, la date de création peut apparaître en espagnol

« 01 diciembre 2007 » ou en allemand « 01 Dezember 2007 ». Forme abrégée Inclure le chemin entier du dossier Permet d’inclure le chemin d’accès complet du dossier avec le nom de fichier. Les

conventions de chemin d’accès standard pour Windows ou Mac OS sont utilisées.

Inclure l’extension de fichier Permet d’inclure l’extension du nom de fichier.

La variable Nom de fichier est mise à jour dès que vous enregistrez le fichier sous un nouveau nom ou à un nouvel emplacement. Le chemin d’accès ou l’extension n’apparaît pas dans le document jusqu’à ce qu’il soit enregistré.

Nom de l’image La variable Nom de l’image est particulièrement utile pour générer automatiquement des légendes à partir de métadonnées. La variable Nom de l’image inclut un type de variable Légende des métadonnées. Si un bloc de texte contenant cette variable est adjacent à une image ou lui est associé, la variable affiche les métadonnées de cette image. Vous avez toute latitude pour modifier la variable Nom de l’image afin de déterminer le champ de métadonnées à utiliser. Voir la section « Définition de variables de légende » à la page 259. Dernier numéro de page Le type Dernier numéro de page est utile pour ajouter le nombre de pages total d’un document aux en-têtes et pieds de page, selon le format « Page 3 sur 12 ». Dans ce cas, le chiffre 12 est généré par la variable Dernier numéro de page et est mis à jour lorsque des pages sont ajoutées ou supprimées. Vous pouvez insérer du texte avant ou après le dernier numéro de page et vous pouvez spécifier un style de numérotation. Dans le menu Etendue, choisissez une option pour déterminer si le dernier numéro de page de la section ou du document est utilisé. Le dernier numéro de page ne compte pas les pages du document.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Voir la section « Création de variables pour des en-têtes et des pieds de page continus » à la page 97. Texte personnalisé Cette variable est couramment utilisée pour insérer un texte de substitution ou une chaîne de texte susceptible d’être modifiée rapidement. Par exemple, si vous travaillez sur un projet qui utilise un nom de code pour une société, vous pouvez créer une variable de texte personnalisé pour le nom de code. Une fois que vous êtes prêt à utiliser le nom réel de la société, vous n’avez plus qu’à modifier la variable pour mettre à jour toutes les occurrences. Pour insérer des caractères spéciaux dans une variable de texte, cliquez sur le triangle à droite de la zone de texte.

Insertion de variables de texte

1 Placez le point d’insertion à l’emplacement où vous souhaitez que la variable apparaisse. 2 Choisissez Texte > Variables de texte > Insérer une variable, puis choisissez la variable que vous voulez insérer.

La variable apparaît sur la page comme si vous l’aviez saisie dans le document. Par exemple, la variable Date de création peut apparaître sous la forme 22 décembre 2007. Si vous choisissez Texte > Afficher les caractères masqués, l’occurrence de variable est entourée d’un cadre utilisant la couleur du calque actif.

Remarque : les variables de texte ne contiennent pas de sauts de ligne.

Suppression, conversion et importation de variables de texte

Utilisez la boîte de dialogue Variables de texte pour supprimer, convertir et importer des variables de texte.

Pour supprimer les variables de texte

Si vous voulez supprimer une occurrence de variable de texte insérée dans un document, il vous suffit de sélectionner la variable et d’appuyer sur la touche Retour arrière ou Suppr. Vous pouvez également supprimer la variable. Dans ce cas, vous pouvez décider du mode de remplacement des variables insérées dans le document. 1 Choisissez Texte > Variables de texte > Définir. 2 Sélectionnez la variable, puis cliquez sur Supprimer. 3 Indiquez le mode de remplacement de la variable en spécifiant une autre variable, en convertissant les occurrences

de variable en texte ou en les supprimant.

Pour convertir les variables de texte en texte

• Pour convertir une seule occurrence, sélectionnez la variable de texte dans la fenêtre du document, puis choisissez Texte > Variables de texte > Convertir une variable en texte.

• Pour convertir toutes les instances de variables de texte dans le document, choisissez la commande Texte >

Variables de texte > Définir, sélectionnez la variable, puis cliquez sur l’option Convertir en texte.

Pour importer des variables de texte à partir d’un autre document

1 Choisissez Texte > Variables de texte > Définir. 2 Cliquez sur Charger, puis cliquez deux fois sur le document contenant les variables que vous voulez importer.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Utiliser la définition importée Ecrase la variable existante avec la variable chargée et applique ses nouveaux attributs à tout le texte du document actuel qui utilisait l’ancienne variable. Les définitions des variables chargées et existantes s’affichent au bas de la boîte de dialogue Charger des variables de texte pour faciliter la comparaison. Renommer automatiquement Renomme la variable chargée.

4 Choisissez l’option OK, puis cliquez sur le bouton Terminer.

Vous pouvez également copier les variables dans d’autres documents lorsque vous synchronisez un livre.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez améliorer vos performances et prévenir tout problème en mettant en œuvre un bon flux de production à utiliser avec Adobe InDesign. Pour conserver un système informatique en bon état Avec le temps, des modifications affectent les logiciels et le matériel de votre système et peuvent entraîner des pertes de performances et des défaillances. La défragmentation de disque dur, la suppression des anciennes versions de logiciels, la mise à jour des pilotes de périphériques, l’optimisation de la mémoire, l’exécution des utilitaires de protection contre les virus, ainsi que d’autres tâches de maintenance courantes sont autant d’opérations permettant d’éviter que vos applications et vos fichiers ne soient endommagés. L’exécution régulière de ces tâches garantit une ouverture, un affichage et une impression correcte des documents sous InDesign. Pour créer un dossier de projet Lorsque vous débutez un projet, déterminez de quels fichiers vous allez avoir besoin et comment vous allez les stocker. Pour éviter tout problème d’interruption des liens, il peut s’avérer judicieux de garder les fichiers liés dans le même dossier que le document. En effet, InDesign conserve les liens vers les fichiers que vous importez dans un document, mais si un lien est rompu, InDesign recherche le fichier dans le dossier du document. En stockant un document et ses fichiers liés dans un même dossier, vous facilitez leur transfert d’un ordinateur vers un autre. En stockant les fichiers dans un seul dossier, vous vous assurez également qu’InDesign trouve les éléments graphiques d’origine lors de l’impression d’un document. Si InDesign ne peut pas localiser un graphique lié, les modifications apportées au graphique d’origine seront perdues et l’impression du graphique risque d’être insuffisante voire impossible. Si votre projet comprend plusieurs documents (par exemple, les chapitres d’un livre), il pourra être utile de créer un dossier de projet contenant un dossier pour chaque document et ses fichiers liés. Pour utiliser un modèle Utilisez un modèle si vous créez fréquemment des projets similaires. Les modèles vous permettent de créer des documents homogènes plus rapidement tout en assurant la protection de votre fichier d’origine. Par exemple, si vous créez une lettre d’informations mensuelle, votre modèle pourrait inclure des repères de règle, des numéros de page, l’en-tête de votre lettre et les styles que vous voulez utiliser à chaque nouvelle parution (voir la section « Utilisation de modèles de document » à la page 108). Pour ouvrir les documents localement Avant d’ouvrir un document stocké sur un volume réseau ou sur un support amovible, copiez le document et tout graphique lié sur votre disque dur local. Le taux de transfert des données et les temps d’accès plus lents d’un volume réseau ou d’un support amovible peuvent occasionner la perte de données ou leur corruption, endommageant ainsi le document. Vous devez toutefois garder à l’esprit que vous risquez d’écraser le travail effectué par l’un de vos collègues lorsque vous copiez à nouveau les fichiers locaux sur le serveur de réseau.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

InDesign. Si une erreur ou un autre événement inopiné se produit avec un fichier converti, ouvrez le fichier d’origine dans l’application source et tentez de réparer tous les problèmes qu’il peut contenir. Si le fichier converti pose problème, exportez-le au format IDML, ouvrez le fichier IDML, puis enregistrez-le au format de document InDesign. Pour enregistrer les documents Enregistrez vos documents fréquemment et créez des copies de sauvegarde des fichiers importants. Vous pouvez effacer toutes les données inutiles d’un document à l’aide de la commande Enregistrer sous. Lorsque vous utilisez la commande Enregistrer, InDesign ajoute de nouvelles informations au document mais ne supprime pas les données obsolètes, telles que les informations sur les graphiques supprimés, par exemple. Lorsque vous utilisez la commande Enregistrer sous, en revanche, InDesign réécrit totalement le document, y compris uniquement les informations sur les objets et les pages actuellement inclus dans le document. Un document ne contenant que les données nécessaires occupe moins d’espace sur le disque dur ; il s’ouvre, s’actualise et s’imprime plus rapidement. Pour adopter de bonnes méthodes de conception • Créez des styles dans un document. La création de styles sans document ouvert peut provoquer l’apparition de doublons de styles lorsque vous créez un nouveau document. Pour partager des styles entre plusieurs documents, enregistrez les styles et chargez-les.

• Utilisez des polices adéquates. Lorsque vous choisissez des polices pour un document, pensez à la façon dont vous voulez mettre en forme et imprimer le texte. InDesign donne de bons résultats avec les polices OpenType®, Type 1

(également appelées PostScript) et TrueType. Les polices corrompues ou incomplètes peuvent endommager un document InDesign ou produire une impression incorrecte. Il est donc conseillé d’utiliser des polices fiables créées par des éditeurs de renom. Si vous travaillez avec un prestataire de services, vérifiez quelles polices il utilise.

• Essayez de ne pas utiliser trop de blocs de texte. Utilisez aussi peu de blocs de texte que possible afin de conserver une taille de fichier de document réduite et une mise en page simple à gérer.

Pour utiliser les meilleurs formats graphiques • Utilisez le format de fichier graphique le plus approprié. Lorsque vous créez des graphiques pour un projet, pensez à la façon dont vous allez imprimer le document. Si vous envisagez de faire imprimer votre document auprès d’un prestataire, demandez-lui quels formats graphiques sont compatibles avec les périphériques de sortie qu’il utilise. Le prestataire de services d’impression peut également vous conseiller sur la meilleure résolution d’images à adopter.

• Stockez vos fichiers graphiques en externe. Lorsque vous importez un fichier graphique, InDesign créé un lien vers celui-ci par défaut. La création de lien contribue à minimiser la taille de fichier du document, améliorant ainsi les performances d’InDesign. Lorsque vous imprimez le document, le fichier graphique d’origine doit être disponible et le lien non rompu. Si InDesign ne peut pas trouver le fichier d’origine, le graphique s’imprimera sous forme d’aperçu en faible résolution ou de zone grisée.

Pour vérifier les liens et les polices avant d’imprimer Pour vous assurer qu’un document s’imprimera correctement, vérifiez que tous les liens sont intacts et que toutes les polices sont disponibles. Un lien est rompu lorsque vous supprimez, déplacez ou renommez le fichier graphique d’origine. Utilisez les fonctions Contrôle en amont et Assemblage avant d’envoyer vos fichiers à votre prestataire de services d’impression. Pour consulter un didacticiel vidéo sur la création de documents, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid4273_id_fr.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez également utiliser la commande Fichier > Ouvrir pour consulter les fichiers créés à l’aide de versions antérieures d’InDesign, les fichiers InDesign Interchange (.inx), les fichiers InDesign Markup (.idml), les fichiers Adobe PageMaker 6.0 et versions ultérieures, les fichiers QuarkXPress 3.3 et 4.1, ainsi que les fichiers QuarkXPress Passport 4.1. De plus, il est probable que d’autres fournisseurs de logiciels proposent des modules externes reconnaissant divers autres formats de fichiers. Pour afficher des informations supplémentaires à propos d’un document InDesign, choisissez la commande Aide > A propos d’InDesign tout en maintenant la touche Ctrl enfoncée (Windows) ou choisissez la commande InDesign > A propos d’InDesign tout en maintenant la touche Commande enfoncée (Mac OS).

« Enregistrement au format de versions précédentes d’InDesign » à la page 112 « Ajout de documents à un livre » à la page 340 « Césure et dictionnaires » à la page 199

Utilisation de la commande Ouvrir

1 Choisissez Fichier > Ouvrir et sélectionnez un ou plusieurs documents. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes, puis cliquez sur Ouvrir :

• Sélectionnez Normal (Windows) ou Ouvrir normal (Mac OS) pour ouvrir le document original ou une copie de modèle.

• Sélectionnez Original (Windows) ou Ouvrir original (Mac OS) pour ouvrir un document ou un modèle original.

• Sélectionnez Copie (Windows) ou Ouvrir copie (Mac OS) pour ouvrir une copie de document ou de modèle. 3 Si un message vous signale que les paramètres de couleurs du document ne correspondent pas à ceux de

l’application, sélectionnez une option et cliquez sur le bouton OK.

Remarque : les messages d’avertissement relatifs aux couleurs sont désactivés par défaut, mais vous pouvez afficher les avertissements si vous modifiez les paramètres par défaut dans la boîte de dialogue Couleurs (Edition > Couleurs). 4 Si un message d’avertissement vous informe que le document présente des polices manquantes, utilisez l’une des

méthodes suivantes :

• Cliquez sur OK. InDesign met automatiquement le texte en forme à l’aide d’une police de substitution.

• Utilisez la commande Rechercher une police pour rechercher et indiquer les polices utilisées dans le document. Pour plus de détails sur la recherche des polices manquantes, reportez-vous à la section « Recherche et remplacement de polices » à la page 187. 5 Si un message vous signale que le document contient des liens manquants ou modifiés, effectuez toutes les

corrections nécessaires à l’aide du panneau Liens (voir la section « Mise à jour, restauration et remplacement de liens » à la page 428).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Choix de listes de mots à l’ouverture des documents Lorsque vous ouvrez un document, il se peut qu’un message d’avertissement vous demande si vous souhaitez utiliser la liste des exceptions de césure du dictionnaire personnel ou celle du document. Une liste des césures d’exception inclut les mots qui ont été ajoutés au dictionnaire utilisateur lors de l’utilisation du document. Si vous savez précisément quelle liste vous devez utiliser, cliquez sur le bouton correspondant. Si vous hésitez, cliquez sur l’un des deux boutons et choisissez la commande Edition > Orthographe > Dictionnaire pour consulter la liste des exceptions de césure. Si nécessaire, choisissez ensuite la commande Edition > Préférences > Dictionnaire (Windows) ou InDesign > Préférences > Dictionnaire (Mac OS) pour réinitialiser la liste des exceptions de césure utilisée pour la composition (voir la section « Césure et dictionnaires » à la page 199).

Conversion de documents InDesign créés à l’aide de versions antérieures

❖ Pour convertir des documents créés dans des versions antérieures d’InDesign au format de la version actuelle,

choisissez la commande Fichier > Ouvrir, puis ouvrez le fichier.

Tenez compte des points suivants :

• Si vous avez utilisé des modules externes tiers pour créer une version antérieure d’un document, vérifiez auprès du fabricant qu’ils sont correctement installés et compatibles avec InDesign CS5 avant de convertir le document.

• Lorsque vous convertissez un document, il se peut qu’un avertissement s’affiche, vous demandant si vous souhaitez utiliser la liste des césures d’exception du dictionnaire personnel ou celle du document. Pour plus de détails sur les avertissements, reportez-vous à la section « Choix de listes de mots à l’ouverture des documents » à la page 107.

• Les fichiers de bibliothèque créés dans des versions antérieures d’InDesign peuvent être ouverts et convertis dans

InDesign CS5, même si la bibliothèque est verrouillée. Vous devez spécifier un nom et un emplacement pour les fichiers de bibliothèque convertis ; la convention de nom de fichier par défaut est nom de fichier-X.indl.

• Vous ne pouvez pas ouvrir les documents InDesign CS5 directement dans InDesign CS4. Pour ouvrir un document

InDesign CS5 dans InDesign CS4, vous devez effectuer deux opérations. Pour commencer, choisissez la commande Fichier > Exporter dans InDesign CS5 pour enregistrer le document au format IDML. Ensuite, procédez à la mise à jour d’InDesign CS4 en installant des modules externes spéciaux permettant d’ouvrir le fichier IDML (voir la section « Enregistrement au format de versions précédentes d’InDesign » à la page 112). Si vous avez des problèmes avec un document créé dans une version précédente d’InDesign, enregistrez-le au format InDesign Markup (IDML) dans la boîte de dialogue d’exportation d’InDesign CS5. Ouvrez le fichier IDML et enregistrez-le sous forme de document InDesign.

« Enregistrement au format de versions précédentes d’InDesign » à la page 112 « Modules externes » à la page 715

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Web, vidéo et audio. Vous pouvez lancer Adobe Bridge à partir de n’importe quel composant de la suite Creative Suite (sauf Adobe Acrobat® ) et l’utiliser pour accéder aux types de fichiers Adobe et autres. Adobe Bridge permet d’effectuer les opérations suivantes :

• Gérer des images, des métrages et des fichiers audio : vous pouvez prévisualiser, rechercher, trier et traiter des fichiers dans Adobe Bridge sans ouvrir d’applications individuelles. Vous pouvez également modifier des métadonnées de fichiers et utiliser Adobe Bridge pour importer des fichiers dans vos documents, vos projets et vos compositions.

• Visualiser sous forme de vignettes les liens contenus dans un document InDesign, sans qu’il soit nécessaire d’ouvrir ce document dans InDesign.

• Faire glisser des ressources d’Adobe Bridge dans la fenêtre du document InDesign ou faire glisser des ressources de la fenêtre du document dans Adobe Bridge pour créer des extraits (voir la section « Utilisation des extraits » à la page 432).

• Effectuer des tâches automatisées telles que les commandes de traitement.

• Synchroniser les paramètres de couleur entre les composants de la suite Creative Suite, auxquels est appliquée la gestion des couleurs.

• Lancer une conférence Web en temps réel pour partager votre bureau et réviser des documents.

« Réutilisation des graphiques et du texte » à la page 431

Un modèle peut être utilisé comme point de départ pour la création de documents standard. En effet, un modèle peut contenir des paramètres de mise en page, des graphiques et du texte prédéfinis. Par exemple, si vous concevez un magazine mensuel, vous pouvez créer un modèle contenant les paramètres de mise en page d’un numéro standard, à savoir des repères de règle, des grilles, des gabarits, des nuances et des styles personnalisés, des blocs de substitution, des calques, ainsi que des graphiques ou du texte standard. Il vous suffit, lors de chaque mise à jour mensuelle, d’ouvrir le modèle et d’y importer le nouveau contenu.

La procédure de création d’un modèle est identique à celle d’un document standard. La seule différence réside au niveau de l’enregistrement du document. Lorsque vous préparez un modèle à l’usage d’autres personnes, il peut être utile d’ajouter un calque contenant des instructions sur le modèle, de masquer ou de supprimer le calque avant d’imprimer le document (voir la section « Calques » à la page 80).

« Création de calendriers et de cartes de visite à partir de modèles » à la page 109

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Choisissez l’option Modèle InDesign CS5 dans la zone Type (Windows) ou Format (Mac OS), puis cliquez sur le

Pour créer un document à partir d’un modèle

4 Enregistrez le nouveau document sous son propre nom.

Pour modifier un modèle existant

1 Choisissez Fichier > Ouvrir. 2 Recherchez et sélectionnez un modèle. 3 Sélectionnez Original (Windows) ou Ouvrir original (Mac OS), puis cliquez sur Ouvrir.

Révision des documents InDesign

Adobe propose plusieurs méthodes de révision des documents InDesign. Suivi des modifications d’édition Lorsque vous ou une autre personne modifiez du texte et que le suivi des modifications est activé, InDesign surligne le texte ajouté et barre le texte supprimé. Utilisez le mode éditeur pour afficher les modifications. Le propriétaire du document peut parcourir les modifications et les accepter ou les ignorer (voir la section « Suivi et révision des corrections » à la page 208). Utilisation d’Acrobat pour réviser un fichier PDF Vous pouvez exporter le document InDesign au format PDF et utiliser Adobe Acrobat pour configurer une révision par e-mail ou une révision partagée sur Acrobat.com ou un autre serveur. Les réviseurs peuvent ajouter des commentaires à l’aide de l’outil d’annotation et des autres méthodes de marquage. Le propriétaire peut ensuite parcourir les commentaires de révision du PDF et modifier le document InDesign d’origine. Pour plus de détails, reportez-vous à l’Aide d’Acrobat. Utilisation de CS Review CS Review est un service d’abonnement en ligne vous permettant de partager vos créations sur le Web afin que vous puissiez obtenir immédiatement des commentaires en provenance d’autres utilisateurs. Lorsque vous créez une consultation à l’aide du panneau CS Review, chargez un ou plusieurs instantanés du fichier sur l’espace de travail Acrobat.com. Les réviseurs peuvent ajouter des commentaires. Lorsque vous créez une révision, vous pouvez diviser la révision en parties proposant des zones de commentaires distinctes. Une révision peut consister en parties de divers fichiers et applications. Au fil de la révision, vous pouvez ajouter et supprimer des parties de révision dans le cadre d’un processus de révision dynamique.

Création de calendriers et de cartes de visite à partir de modèles

L’une des méthodes pour créer des calendriers, des cartes de visite, des curriculum vitae et autres documents spécialisés consiste à utiliser des modèles.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Enregistrement de documents La commande d’enregistrement permet d’enregistrer la composition active et les références aux fichiers source, mais aussi de garder en mémoire la page en cours d’affichage et le niveau de zoom. Enregistrez régulièrement vos documents pour éviter toute perte de données. Vous pouvez enregistrer un fichier sous trois formes différentes :

• Document standard.

• Copie de document. Dans ce cas, vous créez une copie du document sous un nom différent, sans désactiver le document original.

• Modèle. Un modèle contient des paramètres, du texte et des graphiques prédéfinis qui peuvent être utilisés comme point de départ pour la création de documents. Il s’ouvre généralement sous la forme d’un document sans titre.

L’enregistrement d’un document permet également de mettre à jour les métadonnées (informations sur les fichiers) d’un document InDesign. Ces métadonnées comprennent un aperçu sous forme de vignette, les polices utilisées dans le document, les nuances de couleur et toutes les métadonnées de la boîte de dialogue Infos, facilitant ainsi les recherches. Supposons que vous souhaitez rechercher tous les documents utilisant une couleur particulière. Vous pouvez afficher ces métadonnées dans Bridge et dans la zone Avancé de la boîte de dialogue Informations. Vous pouvez décider de la mise à jour de l’aperçu lorsque vous effectuez un enregistrement en le spécifiant dans vos préférences. Les autres métadonnées (polices, couleurs et liens) sont mises à jour lorsque vous enregistrez un document. Les commandes Enregistrer, Enregistrer sous et Enregistrer une copie enregistrent les fichiers au format de fichier InDesign. Pour plus de détails sur l’enregistrement de documents dans d’autres formats de fichier, reportez-vous à l’index. Si vous enregistrez le document pour le transmettre à un prestataire de services prépresse en vue de son impression finale, vous pouvez effectuer un regroupement automatique de tous les fichiers nécessaires (graphiques et polices liés, etc.) dans un même dossier (voir la section « Assemblage de fichiers » à la page 684). ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour enregistrer un document sous un nouveau nom, choisissez Fichier > Enregistrer sous, indiquez un emplacement et un nom de fichier, puis cliquez sur Enregistrer. Le nouveau fichier devient le document actif.

L’utilisation de la commande Enregistrer sous peut réduire la taille du fichier.

• Pour enregistrer un document existant sous le même nom, sélectionnez Fichier > Enregistrer.

• Pour enregistrer tous les documents ouverts sous leur nom de fichier et à leur emplacement, appuyez sur les touches Ctrl+Alt+Maj+S (Windows) ou Commande+Option+Maj+S (Mac OS).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Si vous travaillez souvent sur plusieurs documents ouverts simultanément et que vous voulez les enregistrer en une seule opération, utilisez un raccourci clavier. Choisissez la commande Edition > Raccourcis clavier, puis dans le menu Zone du produit, choisissez la commande Vues, Navigation. Cela fait, sélectionnez la commande Tout enregistrer dans la liste Commandes. Vous avez alors la possibilité de modifier ou d’ajouter un raccourci. Vous pouvez sélectionner l’option Application rapide pour définir la commande Tout enregistrer.

« Enregistrement au format de versions précédentes d’InDesign » à la page 112 « Utilisation de modèles de document » à la page 108 « Récupération de documents » à la page 41 « Impression de vignettes » à la page 669

Inclusion d’aperçus dans les documents enregistrés

Les aperçus des documents et des modèles sous forme de vignettes facilitent l’identification de ces fichiers dans Adobe Bridge et Adobe Mini Bridge. Un aperçu est créé lorsque vous enregistrez un document ou un modèle. Un aperçu de document comprend une image JPEG de la première planche uniquement ; un aperçu de modèle comprend une image JPEG de chaque page du modèle. Vous pouvez contrôler la taille de l’aperçu, ainsi que le nombre de pages, selon vos besoins. Par exemple, le format Très grand 1024x1024 vous permet de parcourir rapidement le contenu d’une page à une haute résolution avant d’ouvrir le fichier. Vous pouvez activer cette option dans les boîtes de dialogues Préférences ou Enregistrer sous. Etant donné que les aperçus augmentent à la fois la taille du fichier et le temps d’enregistrement du document, il est préférable d’activer cette option de façon ponctuelle dans la boîte de dialogue Enregistrer sous. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour inclure l’aperçu à chaque enregistrement d’un document, choisissez la commande Edition > Préférences >

Gestion des fichiers (Windows) ou InDesign > Préférences > Gestion des fichiers (Mac OS).

• Pour inclure l’aperçu d’un document spécifique, choisissez la commande Fichier > Enregistrer sous.

2 Sélectionnez Toujours enregistrer les images d’aperçu avec les documents. 3 Si vous définissez l’aperçu au moyen de la boîte de dialogue Préférences, choisissez le nombre de pages de l’aperçu

dans le menu Pages, puis une option dans le menu Taille de l’aperçu.

Remarque : en sélectionnant l’option d’aperçu dans la boîte de dialogue Enregistrer sous, vous sélectionnez également cette option dans la boîte de dialogue Préférences, selon les paramètres par défaut de pages et taille de l’aperçu.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour plus de détails sur l’utilisation du format IDML à des fins de développement, consultez le site Web d’Adobe à l’adresse www.adobe.com/go/learn_id_indesignmarkup_cs4_fr.

Enregistrement au format de versions précédentes d’InDesign

Pour ouvrir un document InDesign CS5 dans InDesign CS4, vous devez effectuer deux opérations. Pour commencer, dans InDesign CS5, exportez le document au format IDML (InDesign Markup Language). Le format IDML remplace le format Interchange INX utilisé précédemment pour l’enregistrement au format de versions précédentes. Ensuite, vérifiez que les modules externes nécessaires à l’ouverture du fichier IDML exporté sont bien installés sur l’ordinateur exécutant InDesign CS4. L’utilisateur exécutant InDesign CS4 peut obtenir les modules externes de compatibilité en choisissant la commande Aide > Mises à jour et en suivant les invites. Des modules externes peuvent également être installés depuis le site Web d’Adobe : rendez-vous sur la page Mises à niveau de produits sur le site Web d’Adobe et choisissez InDesign dans la liste de produits. L’ouverture d’un document dans une version précédente d’InDesign est également appelée « Sauvegarde dans une version précédente ». Remarque : le contenu créé à l’aide de fonctionnalités spécifiques d’InDesign CS5 peut être modifié ou ignoré lorsque vous ouvrez le document dans InDesign CS4. 1 Choisissez la commande Fichier > Exporter. 2 Dans le menu Type de fichier (Windows) ou Format (Mac OS), choisissez l’option InDesign Markup (IDML). 3 Cliquez sur Enregistrer.

Vous pouvez ouvrir le fichier .idml dans InDesign CS4 afin de le convertir en document InDesign sans titre.

Remarque : pour ouvrir le document InDesign CS5 dans InDesign CS3, commencez par ouvrir le fichier IDML exporté dans InDesign CS4, enregistrez-le, exportez-le au format InDesign CS3 Interchange (INX), puis ouvrez le fichier INX exporté dans InDesign CS3. Assurez-vous que toutes les versions d’InDesign sont à jour.

Utilisation de métadonnées

Les métadonnées désignent un ensemble d’informations standardisées relatives à un fichier, telles que le nom de l’auteur, la résolution, l’espace colorimétrique, les informations de copyright et autres mots-clés qui lui sont appliqués. Vous pouvez utiliser les métadonnées pour rationaliser votre flux de production et organiser vos fichiers.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Les métadonnées stockées dans d’autres formats, tels que Exif, IPTC (IIM), GPS ou TIFF, sont synchronisées et décrites à l’aide de la norme XMP pour faciliter leur visualisation et leur gestion. D’autres applications et fonctions utilisent également la norme XMP pour communiquer et stocker des informations telles que les commentaires de version, sur lesquelles vous pouvez effectuer une recherche avec Adobe Bridge. Dans la plupart des cas, les métadonnées sont conservées dans leur fichier, même si le format du fichier change (de PSD à JPG, par exemple). Les métadonnées sont également conservées lorsque les fichiers sont importés dans un document ou projet Adobe. Vous pouvez utiliser le kit de développement logiciel XMP (SDK XMP) pour personnaliser la création, le traitement et l’échange des métadonnées. Vous pouvez par exemple utiliser le SDK XMP pour ajouter des champs à la boîte de dialogue Informations. Pour plus de détails sur XMP et le kit SDK XMP, rendez-vous sur le site Web d’Adobe. Utilisation des métadonnées dans Adobe Bridge et dans les composants Adobe Creative Suite Parmi les puissantes fonctions d’Adobe Bridge qui vous permettent d’organiser, de rechercher et de suivre vos fichiers et versions, beaucoup dépendent des métadonnées XMP contenues dans les fichiers. Adobe Bridge permet de travailler avec les métadonnées de deux manières différentes : avec le panneau Métadonnées et avec la boîte de dialogue Informations (InDesign) ou Informations sur le fichier (InCopy). Dans certains cas, il peut y avoir plusieurs vues pour la même propriété de métadonnées. Une propriété peut, par exemple, être étiquetée Auteur dans une vue et Créateur dans une autre, mais faire référence à la même propriété sousjacente. Même si vous personnalisez ces vues pour des flux de production particuliers, elles restent normalisées via XMP.

Ajout de métadonnées via la boîte de dialogue Informations

La boîte de dialogue Informations présente les données de l’appareil photo, les propriétés du fichier, un historique des modifications, le copyright et d’autres détails concernant l’auteur du document actuel. Elle contient également des panneaux de métadonnées personnalisés. Vous pouvez ajouter des métadonnées aux fichiers directement à partir de la boîte de dialogue Informations. Les informations que vous saisissez dans un champ remplacent les métadonnées existantes et ce, dans tous les fichiers sélectionnés. 1 Choisissez la commande Fichier > Informations (InDesign) ou Fichier > Informations sur le fichier (InCopy). 2 Sélectionnez l’une des propositions suivantes dans les onglets situés en haut de la boîte de dialogue :

Faites défiler les onglets à l’aide des touches fléchées Droite et Gauche, ou cliquez sur la flèche pointant vers le bas, puis choisissez une catégorie dans la liste.

Description Vous permet de saisir les informations de document sur le fichier, telles que le titre du document, son

auteur, une description et les mots-clés qui peuvent être utilisés pour rechercher le document. Pour spécifier des informations de copyright, sélectionnez l’option Protégé par copyright dans le menu déroulant Etat du copyright.

Entrez ensuite le nom du détenteur du copyright, le texte de l’avis et l’URL de la personne ou de la société propriétaire du copyright.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Données vidéo Répertorie des informations sur le fichier vidéo, y compris la largeur et la hauteur de l’image vidéo, et

vous permet d’entrer des informations sur le fichier vidéo, notamment le nom de la bande et le nom de la scène.

Données audio Permet de saisir des informations sur le fichier audio, notamment le titre, l’artiste, le débit et les réglages de boucle. SWF mobile Présente des informations relatives aux fichiers multimédia mobiles, notamment leur titre, auteur,

description et type de contenu.

Catégories Vous permet d’entrer des informations basées sur les catégories Associated Press. Origine Vous permet de saisir les informations de fichier utiles pour les nouvelles sorties, y compris la date et le lieu

de la création du fichier, les informations de transmission, les instructions spéciales et les informations de titre.

DICOM Répertorie le patient, l’étude, les séries et les informations sur l’équipement pour les images DICOM. Historique Affiche les informations du journal d’historique pour les images enregistrées avec Photoshop. L’onglet Historique apparaît uniquement si Adobe Photoshop est installé. Illustrator Vous permet d’appliquer un profil de document pour l’impression, la publication sur le Web ou la sortie

sur un périphérique mobile.

Avancées Affiche les champs et structures de stockage des métadonnées en utilisant les espaces de nom et les propriétés, telles que le format de fichier et les propriétés XMP, Exif et PDF. Données brutes Affiche des informations de texte XMP concernant le fichier.

3 Tapez les informations à ajouter dans un champ affiché.

4 Cliquez sur OK pour appliquer les modifications.

Exportation de métadonnées dans un fichier XMP Vous pouvez enregistrer les métadonnées dans un fichier XMP afin de les partager avec d’autres utilisateurs. Ces fichiers XMP peuvent servir de modèle pour remplir des documents InDesign ou d’autres documents créés à l’aide d’applications compatibles XMP. Les modèles exportés sont stockés dans un emplacement partagé accessible à toutes les applications compatibles XMP. Ils figurent également dans le menu déroulant situé en bas de la boîte de dialogue Informations.

1 Choisissez la commande Fichier > Informations (InDesign) ou Fichier > Informations sur le fichier (InCopy). 2 Choisissez la commande Exporter dans le menu déroulant situé en bas de la boîte de dialogue. 3 Saisissez un nom de fichier, choisissez un emplacement pour le fichier, et cliquez sur le bouton Enregistrer.

Pour visualiser les modèles de métadonnées dans l’Explorateur (Windows) ou dans le Finder (Mac OS), cliquez sur le menu déroulant situé en bas de la boîte de dialogue Informations, et choisissez la commande Afficher le dossier de modèles.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Modification des métadonnées dans des fichiers image Les légendes des images importées dans InDesign sont créées à partir des métadonnées de ces images. Bien que vous puissiez modifier les métadonnées des documents InDesign, vous ne pouvez pas changer celles des fichiers importés dans InDesign. Cette opération doit être effectuée dans l’application d’origine des images importées, au moyen du Finder, de l’Explorateur, d’Adobe Bridge ou d’Adobe Mini Bridge. 1 Dans InDesign, cliquez sur l’image avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la

touche Contrôle enfoncée (Mac OS), puis choisissez la commande Modifier l’original.

Vous pouvez également choisir la commande Modifier avec, puis sélectionner une application telle qu’Adobe Illustrator ou Adobe Photoshop. 2 Dans l’application d’origine, choisissez la commande Fichier > Informations. 3 Modifiez les métadonnées à votre convenance, puis cliquez sur le bouton OK.

Vous pouvez également sélectionner une image dans Adobe Bridge, puis choisir la commande Fichier > Informations afin de modifier les métadonnées de l’image (voir la section « Ajout de métadonnées via la boîte de dialogue

Informations » à la page 113).

Conversion de documents QuarkXPress et PageMaker

Ouverture de fichiers QuarkXPress dans InDesign InDesign peut convertir des fichiers de document et de modèle à partir de QuarkXPress 3.3 ou 4.1x. InDesign peut également convertir des fichiers de document et de modèle à partir de fichiers QuarkXPress Passport 4.1x multilingues. Il n’est donc plus nécessaire d’enregistrer d’abord ces fichiers en fichiers unilingues (pour convertir des documents créés dans QuarkXPress 5.0 ou toute version ultérieure, ouvrez les documents dans QuarkXPress et enregistrez-les au format 4.0). Pour plus de détails, reportez-vous au Guide de conversion QuarkXPress (PDF), à l’adresse www.adobe.com/go/learn_quarkconv_fr.

Pour ouvrir un modèle ou un document QuarkXPress

1 Vérifiez que le fichier original est bien fermé. 2 Pour conserver impérativement tous les liens, copiez tous les fichiers liés dans le même dossier que la composition

3 Dans InDesign, choisissez Fichier > Ouvrir.

6 Si une boîte de dialogue d’avertissement s’affiche, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez sur Enregistrer pour enregistrer les avertissements sous un fichier texte et ouvrez le fichier converti dans

• Cliquez sur Fermer pour fermer la boîte de dialogue et ouvrez le fichier dans InDesign.

7 Pour convertir avec davantage de précision l’habillage appliqué dans QuarkXPress, procédez comme suit dans

• Sélectionnez l’option L’habillage n’agit que sur le texte au-dessus dans la zone Composition de la boîte de dialogue

Si vous avez des problèmes avec un document converti en QuarkXPress, enregistrez-le au format InDesign Markup (IDML) à l’aide de la boîte de dialogue d’exportation. Ouvrez le fichier IDML et enregistrez-le sous forme de document InDesign.

Pour enregistrer un modèle QuarkXPress en modèle InDesign

1 Ouvrez le modèle dans InDesign. 2 Choisissez Fichier > Enregistrer sous et indiquez un emplacement et un nom de fichier. 3 Choisissez l’option Modèle InDesign CS4 dans le menu Type (Windows) ou Format (Mac OS), puis cliquez sur le

Pour convertir à partir de QuarkXPress

Lorsque vous ouvrez un fichier QuarkXPress, InDesign convertit les données d’origine du fichier en données InDesign natives :

• Les zones de texte sont converties en blocs de texte InDesign.

Pour convertir avec précision l’habillage appliqué dans QuarkXPress, sélectionnez l’option L’habillage n’agit que sur le texte au-dessous dans la zone Composition de la boîte de dialogue Préférences.

• Les styles sont convertis en styles InDesign.

• Etant donné que QuarkXPress utilise des profils colorimétriques différents, ceux-ci sont ignorés dans InDesign. • Les liens des graphiques et du texte sont conservés et s’affichent dans le panneau Liens. Remarque : les graphiques incorporés (ceux ajoutés au document original à l’aide de la commande Coller) ne sont pas convertis. Pour plus de détails sur les graphiques incorporés, reportez-vous à la section « A propos des liens et des graphiques incorporés » à la page 424. InDesign ne prend pas en charge OLE et les Quark XTension. Par conséquent, si vous ouvrez un fichier contenant des graphiques à ces formats, les graphiques seront absents du document InDesign. Si la conversion d’un document QuarkXPress échoue, parcourez le document original, supprimez tous les objets créés par le biais d’une Quark XTension, enregistrez le document et recommencez la conversion.

• Tous les gabarits et calques sont convertis en gabarits et calques InDesign.

• Tous les objets de gabarits et les repères QuarkXPress sont disposés sur les gabarits InDesign correspondants.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Une couleur est convertie dans la couleur InDesign correspondante, sauf dans les cas suivants :

• Les couleurs QuarkXPress composées de plusieurs encres sont mises en correspondance avec les encres mélangées dans InDesign, sauf si les couleurs à plusieurs encres ne contiennent pas de ton direct. Le cas échéant, les couleurs d’encres mélangées sont converties en couleurs quadri.

• Les couleurs QuarkXPress 4.1 issues de la bibliothèque de couleurs sont converties en fonction de leurs valeurs

• Les couleurs TSL QuarkXPress 3.3 sont converties en RVB et les couleurs issues de la bibliothèque de couleurs sont converties en fonction de leurs valeurs CMJN.

• Les couleurs TSL et LAB QuarkXPress 4.1 sont converties en RVB et les couleurs issues de la bibliothèque de couleurs sont converties en fonction de leurs valeurs RVB/CMJN.

Pour plus de détails sur d’autres aspects de la conversion, consultez les documents de support technique disponibles sur le site Web Adobe à l’adresse suivante : http://www.adobe.com/fr/support.

Conversion de documents PageMaker

InDesign peut convertir des fichiers de document et de modèle à partir d’Adobe PageMaker 6.0 ou version ultérieure. Lorsque vous ouvrez un fichier PageMaker, InDesign convertit les données d’origine du fichier en données InDesign natives. Les fichiers InDesign sont enregistrés avec une extension de nom de fichier .indd. Pour plus de détails, reportez-vous au Guide de conversion PageMaker (PDF) à l’adresse www.adobe.com/go/learn_pmconv_fr. Avant d’ouvrir le document dans InDesign, procédez comme suit :

• Si le fichier PageMaker ou les graphiques liés se trouvent sur un serveur de réseau, une disquette ou un lecteur amovible, ils risquent de ne pas s’ouvrir correctement en cas d’interruption du transfert des données. Pour éviter tout problème de transfert de données, copiez vos documents et leurs liens sur le disque dur, de préférence dans le même dossier dans lequel la publication PageMaker est enregistrée, avant de les ouvrir dans InDesign.

• Il est recommandé d’utiliser la commande Enregistrer sous dans PageMaker pour effacer toutes les données masquées superflues.

• Pour conserver impérativement tous les liens, copiez tous les fichiers liés dans le même dossier que la composition

• Assurez-vous que toutes les polices nécessaires sont disponibles dans InDesign.

• Rétablissez les liens graphiques rompus dans la composition PageMaker. • Si la conversion d’un long document PageMaker vous pose problème, scindez-le en plusieurs parties, puis convertissez celles-ci afin d’identifier les problèmes éventuels. Si vous ne parvenez pas à ouvrir un document PageMaker endommagé dans PageMaker, essayez de l’ouvrir dans InDesign. InDesign peut récupérer la majorité des documents que PageMaker ne peut pas ouvrir.

Guide de conversion PageMaker

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Dans InDesign, choisissez Fichier > Ouvrir. 3 Sous Windows, choisissez PageMaker (6.0-7.0) dans le menu Type. 4 Sélectionnez un fichier et cliquez sur Ouvrir.

Remarque : si la conversion du fichier ou d’une partie spécifique du fichier échoue, un message d’avertissement vous indique les causes de l’échec et les résultats de la tentative de conversion.

5 Si une boîte de dialogue d’avertissement s’affiche, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez sur Enregistrer pour enregistrer les avertissements sous un fichier texte et ouvrez le fichier converti dans

• Cliquez sur Fermer pour ouvrir le fichier dans InDesign sans enregistrer le fichier texte.

Si vous avez des problèmes avec un document converti en PageMaker, enregistrez-le au format InDesign Markup (IDML) à l’aide de la boîte de dialogue d’exportation. Ouvrez le fichier IDML et enregistrez-le sous forme de document InDesign.

Pour enregistrer un modèle PageMaker en modèle InDesign

1 Ouvrez le modèle dans InDesign. 2 Choisissez Fichier > Enregistrer sous et indiquez un emplacement et un nom de fichier. 3 Choisissez l’option Modèle InDesign CS4 dans le menu Type (Windows) ou Format (Mac OS), puis cliquez sur le

Problèmes de conversion dans PageMaker

Tenez compte des points suivants :

• Tous les gabarits et calques sont convertis en gabarits et calques InDesign. Les gabarits PageMaker sont convertis en gabarits InDesign et conservent tous leurs objets, y compris la pagination et les repères. Pour conserver l’ordre des éléments superposés, InDesign crée deux calques pendant la conversion d’une composition PageMaker : le calque par défaut et le calque type par défaut (contenant les éléments de gabarit).

• Les repères de documents PageMaker sont disposés sur le calque par défaut dans InDesign.

• Tous les éléments de la table de montage de PageMaker apparaissent sur la table de montage de la première planche dans un document InDesign.

• Lorsque l’option Non imprimable est sélectionnée dans le panneau Options d’objet d’InDesign, tous les objets désignés dans PageMaker comme non imprimables sont convertis.

• Les objets groupés restent groupés sauf si le groupe comprend des éléments non imprimables.

Problèmes de conversion du texte et des tableaux Tenez compte des points suivants :

• Le texte est converti en blocs de texte InDesign.

• Les tableaux créés dans PageMaker sont convertis en tableaux InDesign. • Les styles sont convertis en styles InDesign. L’option [Aucun style] dans PageMaker équivaut à l’option [Aucun style de paragraphe] dans InDesign. Toutefois, l’option [Aucun style de paragraphe] reprend les attributs d’un style nommé si ce style a été sélectionné avant toute saisie de texte dans la composition PageMaker.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• La première ligne de base du texte converti peut sembler différente du texte créé dans InDesign. La première ligne de base du texte converti est réglée sur Interligne, mais la première ligne de base du texte créé dans InDesign est définie par défaut sur Ascendante.

• Comme InDesign et PageMaker utilisent une méthode de césure différente, leurs sauts de ligne peuvent varier.

• Le texte ombré est converti en texte normal. Le texte vectoriel est converti en texte doté d’un contour de 0,25 pouce et d’un fond Papier. Problème de conversion des livres, des index et des tables des matières Tenez compte des points suivants :

• InDesign ignore les cahiers au moment de l’ouverture des compositions PageMaker. Pour ouvrir simultanément toutes les compositions d’un cahier, exécutez le module externe Créer un cahier dans PageMaker en définissant l’option de mise en page sur Sans afin que les compositions en cahier soient fusionnées. Notez que les blocs de texte perdent alors leurs liens.

• Les entrées d’index provenant d’une composition PageMaker apparaissent dans le panneau Index d’InDesign. Dans un texte, les références croisées utilisant l’option Voir dans la présente ou Voir aussi dans la présente sont converties en renvois Voir ou Voir aussi.

• Le texte d’une table des matières est converti en table des matières et revêt le style de table des matières PageMaker disponible dans le menu déroulant Style de la boîte de dialogue Table des matières d’InDesign.

Problèmes de liaison et d’incorporation Tenez compte des points suivants :

• Les liens des graphiques et du texte sont conservés et s’affichent dans le panneau Liens.

• Si InDesign ne parvient pas à localiser le lien source d’un graphique, un message d’avertissement vous invite à réparer le lien dans PageMaker.

• InDesign ne prend pas en charge OLE (Object Linking and Embedding, liaison et incorporation d’objets). Par conséquent, si vous ouvrez des fichiers contenant des graphiques OLE, ceux-ci n’apparaîtront pas dans le document InDesign.

Problèmes de conversion des couleurs et des recouvrements Tenez compte des points suivants :

• Les couleurs sont converties en leur équivalent InDesign exact. Les couleurs TLS PageMaker sont converties en couleurs RVB et les couleurs provenant d’autres bibliothèques de couleurs sont converties selon leur valeur CMJN.

• Les teintes sont converties en pourcentages d’une couleur parent. Si la couleur parent ne figure pas dans le panneau

Nuancier, elle y est ajoutée lors de la conversion. Si un objet teinté est sélectionné, la couleur parent est sélectionnée dans le panneau Nuancier et la valeur de teinte correspondante apparaît dans le menu déroulant.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• InDesign ne prend en charge ni les moirages ni les angles de trame appliqués aux images TIFF dans la boîte de dialogue Retouches/Trames ; l’application les supprime des fichiers TIFF importés.

• Si l’option de surimpression du noir est sélectionnée pour les contours et/ou les fonds dans la boîte de dialogue

Préférences de recouvrement de PageMaker, InDesign reprend ce paramètre, mais l’option Surimpression du fond ou Surimpression du contour est désélectionnée dans le panneau Options d’objet. Pour plus de détails sur d’autres problèmes de conversion dans PageMaker, consultez les documents de support technique disponibles sur le site Web d’Adobe.

Exportation de texte Vous pouvez enregistrer tout ou partie d’un article InDesign dans un format de fichier que vous pouvez ouvrir dans plusieurs applications. Chaque article d’un document est exporté dans un document distinct. InDesign peut exporter du texte dans plusieurs formats de fichiers qui sont répertoriés dans la boîte de dialogue d’exportation. Les formats répertoriés sont utilisés par d’autres applications et peuvent conserver de nombreuses caractéristiques de texte, comme les retraits et les tabulations définis dans votre document. Vous pouvez enregistrer en tant qu’extraits de texte ou de code des sections de texte et des éléments de mise en page que vous utilisez souvent. 1 A l’aide de l’outil Texte

, cliquez sur l’article à exporter.

2 Choisissez Fichier > Exporter.

3 Spécifiez un nom et un emplacement pour l’article exporté et sélectionnez un format de fichier texte sous Type

Notez cependant que l’exportation au format Texte seulement supprime tous les attributs de caractère du texte.

4 Cliquez sur le bouton Enregistrer pour exporter l’article au format sélectionné.

Pour conserver toute la mise en forme, utilisez le filtre d’exportation de texte référencé Adobe InDesign. Pour plus de détails, consultez le fichier PDF relatif au texte référencé à l’adresse suivante : www.adobe.com/go/learn_id_taggedtext_cs5_fr.

« Exportation au format PDF pour l’impression » à la page 548 « Utilisation des extraits » à la page 432

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Si vous le souhaitez, sélectionnez un objet à exporter. Il n’est pas nécessaire d’effectuer une sélection pour exporter

une page ou une planche.

2 Choisissez Fichier > Exporter. 3 Spécifiez un emplacement et un nom de fichier. 4 Dans la zone Type (Windows) ou Format (Mac OS) de la boîte de dialogue Enregistrer sous, choisissez

l’option JPEG, puis cliquez sur le bouton Enregistrer.

La boîte de dialogue Exporter au format JPEG s’affiche. 5 Dans la section Exporter, optez pour l’une des méthodes suivantes : Sélection Exportez l’objet sélectionné. Etendue Indiquez le numéro de la page ou des pages à exporter. Séparez les numéros de pages d’une étendue par

un tiret, et plusieurs pages ou étendues de pages distinctes par une virgule.

Tout sélectionner Exportez toutes les pages des documents. Planches Exportez les pages en vis-à-vis d’une planche dans un seul fichier JPEG. Désactivez cette option pour

exporter chaque page d’une planche sous forme de fichier JPEG distinct.

6 Les options du menu Qualité permettent de choisir entre une compression élevée (et une taille de fichier réduite)

ou une haute qualité d’image.

• Maximum inclut toutes les données d’image haute résolution disponibles dans le fichier exporté et utilise un espace important sur le disque. Choisissez cette option si le fichier est destiné à une impression sur un périphérique de sortie haute résolution.

• Faible inclut uniquement des versions avec une résolution d’écran (72 ppp) des images bitmap importées dans le fichier exporté. Choisissez cette option si le fichier est destiné uniquement à l’affichage sur un écran.

• Avec les résolutions Moyenne et Supérieure, les données d’image seront plus nombreuses qu’avec la résolution

Réduite, mais la taille du fichier sera réduite avec différents niveaux de compression. 7 Vous avez le choix entre les options de mise en forme suivantes :

• Progressive permet d’afficher progressivement les images JPEG, avec de plus en plus de détails au fur et à mesure de leur téléchargement par l’intermédiaire d’un navigateur Web.

• Ligne de base permet d’afficher les images JPEG après leur téléchargement.

8 Sélectionnez ou saisissez la résolution de l’image JPEG exportée. 9 Définissez l’espace colorimétrique du fichier exporté. Vous avez le choix entre RVB, CMJN ou Gris. 10 Sélectionnez les éléments suivants selon les besoins, puis cliquez sur le bouton Exporter. Incorporer le profil colorimétrique Lorsque cette option est sélectionnée, le profil colorimétrique du document est incorporé au fichier JPEG exporté. Le nom du profil est affiché en petits caractères à droite de l’option. Vous pouvez sélectionner le profil voulu à l’aide de la commande Edition > Attribuer des profils, avant d’exporter le fichier au format JPEG.

L’option Incorporer le profil colorimétrique est désactivée lorsque l’espace colorimétrique Niveaux de gris est sélectionné.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

définie dans la boîte de dialogue Format de document est visible dans le fichier JPEG obtenu. Cette option est désactivée lors de l’utilisation de l’option Sélection. Lissage Le lissage est une technique de suppression du crénelage du contour du texte et des images bitmap. Simuler la surimpression Cette option est semblable à la fonction Aperçu de la surimpression, à la différence qu’elle

s’applique à n’importe quel espace colorimétrique parmi ceux sélectionnés. Lorsqu’elle est sélectionnée, le fichier JPEG exporté par InDesign simule les effets de surimpression des encres de tons directs avec différentes valeurs de densité neutre en convertissant les tons directs en couleurs quadri pour l’impression.

« Fichiers JPEG (.jpg) » à la page 408

Exportation de contenu pour le Web

Pour réutiliser du contenu InDesign pour le Web, vous disposez de plusieurs options : Dreamweaver (XHTML) Exportez une sélection ou la totalité du document vers un document HTML de base sans mise

en forme. Vous pouvez créer des liens vers des images sur un serveur ou créer un dossier séparé pour les images. Vous pouvez ensuite utiliser un éditeur HTML, tel qu’Adobe Dreamweaver®, pour mettre en forme le contenu pour le Web

(voir la section « Exportation de contenu au format Dreamweaver (CS5) » à la page 122). Copier-coller Copiez le texte et les images du document InDesign et collez-les dans votre éditeur HTML. Adobe PDF Exportez un document au format Adobe PDF, puis publiez ce fichier PDF sur le Web. Vous pouvez y

inclure des éléments interactifs, tels que des séquences vidéo et audio, des boutons et des transitions de page (voir la section « Documents PDF dynamiques » à la page 581).

Flash (SWF) Exportez le document au format SWF afin qu’il soit directement lisible dans Flash Player ou sur le Web.

Un fichier SWF peut comporter des boutons, des hyperliens et des transitions de page (balayage, fondu et coin de page, par exemple) (voir la section « Création de fichiers SWF (Flash) interactifs pour le Web » à la page 574).

Flash (FLA) Exportez le document au format FLA afin de pouvoir l’éditer dans Adobe Flash Professional (voir la

section « Création de fichiers FLA pour le Web » à la page 577).

Digital Editions (EPUB) Exportez un document ou un livre sous forme d’eBook XHTML au contenu redistribuable, compatible avec le logiciel Adobe Digital Editions (voir la section « Exportation de contenu pour EPUB (CS5) » à la page 129). XML Pour une meilleure réutilisation de vos flux de production, exportez le contenu à partir du format XML

d’InDesign, que vous pouvez ensuite importer dans un éditeur HTML tel que Dreamweaver (voir la section

« Utilisation de XML » à la page 622).

Exportation de contenu au format Dreamweaver (CS5)

L’exportation au format XHTML constitue un moyen simple de mettre en forme vos contenus InDesign pour le Web. Lorsque vous exportez des contenus au format XHTML, vous pouvez contrôler la manière dont le texte et les images sont exportés. InDesign conserve les noms des styles de paragraphe, caractère, objet, tableau et cellule appliqués aux contenus exportés en marquant les contenus XHTML avec les classes de styles CSS du même nom. Grâce à Adobe Dreamweaver ou tout autre éditeur HTML compatible avec les feuilles de style en cascade (CSS), vous pouvez sans difficulté appliquer des mises en forme et des mises en page aux contenus. Eléments exportés InDesign exporte tous les articles, les graphiques liés et incorporés, les séquences vidéo SWF, les

notes de bas de page, les variables de texte (au format texte), les listes à puces et numérotées, les références croisées

Dernière mise à jour le 18/5/2011

séquences vidéo (à l’exception des fichiers SWF), les hyperliens (à part les liens renvoyant à des pages Web et ceux appliqués à du texte renvoyant à des points d’ancrage de texte au sein du même document), les objets collés (notamment les images copiées d’Illustrator), le texte vectorisé, les balises XML, les livres, les signets, les glyphlets SING, les transitions de page, les marques d’index, les objets de la table de montage qui ne sont pas sélectionnés et qui ne touchent pas la page ni les éléments du gabarit (sauf s’ils ont été remplacés ou sélectionnés avant l’exportation). 1 Si vous n’exportez pas le document dans sa totalité, sélectionnez les blocs de texte, les plages de texte, les cellules de

tableau ou les graphiques que vous voulez exporter.

2 Choisissez la commande Fichier > Exporter pour > Dreamweaver. 3 Spécifiez le nom et l’emplacement du document HTML, puis cliquez sur le bouton Enregistrer. 4 Dans la boîte de dialogue Options d’exportation XHTML, spécifiez les options désirées dans les zones Général,

Images et Avancé, puis cliquez sur le bouton Exporter.

Un document portant le nom spécifié et une extension .html (« bulletin.html », par exemple) est créé ; le cas échéant, un sous-dossier d’images Web (« images-bulletins-Web ») est enregistré au même endroit.

Options d’exportation XHTML Dans la boîte de dialogue XHTML (Fichier > Exporter pour > Dreamweaver), spécifiez les options suivantes :

Options générales La zone Général inclut les options suivantes. Exporter Vous pouvez choisir d’exporter le document entier ou seulement certains éléments sélectionnés. Si un bloc

de texte est sélectionné, la totalité de l’article (y compris l’éventuel texte en excès) est exportée.

Si le document est sélectionné, tous les éléments de page de toutes les planches sont exportés, sauf les éléments de gabarit qui n’ont pas été substitués et les éléments de page sur des calques invisibles. Les balises XML, ainsi que les index et tables des matières générés sont également ignorés. Puces Sélectionnez Faire correspondre à une liste non triée pour convertir les paragraphes à puces en éléments de liste,

qui sont mis en forme en HTML à l’aide de la balise <ul>. Sélectionnez Convertir en texte pour mettre en forme à l’aide de la balise <p>, avec les puces au format texte.

Ordre Indiquez si l’ordre de lecture des objets de page doit s’appuyer sur l’ordre des pages ou la structure XML.

Si vous choisissez l’option D’après la mise en page, InDesign détermine l’ordre de lecture des objets de page en analysant celle-ci de gauche à droite et de haut en bas. Dans certains cas, et spécialement dans les documents complexes comprenant plusieurs colonnes, les éléments de conception sont susceptibles de ne pas apparaître dans l’ordre de lecture souhaité. Réorganisez et mettez en forme le contenu à l’aide de Dreamweaver.

Si vous choisissez l’option Identique à la structure XML, l’ordre du contenu exporté, ainsi que les éléments exportés, sont gérés au moyen du panneau Structure XML. Si le contenu est déjà balisé, il vous suffit de faire glisser les balises dans le panneau Structure XML pour définir l’ordre d’exportation XHTML. Dans le cas d’un contenu sans balises, vous pouvez choisir la commande Ajouter les éléments sans balise dans le menu du panneau Structure afin de générer des balises que vous pourrez ensuite réorganiser. Si vous voulez exclure un élément de l’exportation, il vous suffit de

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Faire correspondre à une liste triée statique Convertit les listes numérotées en éléments de liste et affecte un attribut <value> basé sur le numéro en cours du paragraphe dans InDesign. • Convertir en texte Convertit les listes numérotées en paragraphes commençant par le numéro en cours du paragraphe au format texte. Options d’image Dans le menu Copier images, déterminez comment les images sont exportées en HTML. Original Exporte l’image originale vers le sous-dossier d’images Web. Lorsque cette option est sélectionnée, toutes les autres options sont grisées. Optimisées Vous permet de modifier les paramètres pour déterminer comment l’image est exportée.

• Mis en forme Conserve la mise en forme InDesign, telle que la rotation ou la mise à l’échelle, autant que possible pour les images Web.

• Conversion d’image Choisissez GIF ou JPEG pour la conversion des images optimisées dans votre document. Choisissez Automatique pour laisser InDesign décider quel format utiliser dans chaque instance. • Options GIF (Palette) Cette option vous permet de contrôler la façon dont InDesign gère les couleurs lors de l’optimisation des fichiers GIF. Le format GIF utilise une palette de couleurs limitée, qui ne doit pas contenir plus de 256 couleurs. Choisissez l’option Adaptative (sans simulation) pour créer une palette utilisant un échantillon représentatif de couleurs dans l’illustration sans aucun tramage (mélange de petits points de couleurs pour simuler des couleurs supplémentaires). Choisissez l’option Web pour créer une palette de couleurs Web (ces couleurs sont un sousensemble des couleurs système Windows et Mac OS). Choisissez l’option Système (Win) ou Système (Mac) pour créer une palette à partir de la palette de couleurs intégrée de Windows ou de Mac OS. Ce choix peut donner des résultats inattendus.

• Options JPEG (Qualité d’image) Permet de choisir entre une compression (et une taille de fichier réduite) et une haute qualité d’image pour chaque image JPEG. L’option Faible génère le plus petit fichier et la qualité d’image la plus faible.

• Options JPEG (Méthode de mise en forme) Permet de déterminer la vitesse d’affichage des images JPEG à l’ouverture du fichier contenant l’image sur le Web. Choisissez Progressive pour que les images JPEG s’affichent graduellement avec de plus en plus de détails à mesure qu’elles sont téléchargées. Les fichiers créés avec cette option sont légèrement plus volumineux et utilisent davantage de RAM à l’affichage. Choisissez Ligne de base pour que le fichier JPEG s’affiche une fois téléchargé seulement ; une marque de réservation apparaît à la place de l’image avant son affichage. Lier au chemin du serveur Plutôt que d’exporter des images vers un sous-dossier, cette option vous permet de saisir

une URL locale (telle que « images/ ») qui apparaît devant le fichier image. Dans le code HTML, l’attribut de lien affiche le chemin et l’extension que vous avez spécifiés. Cette option est particulièrement efficace lorsque vous convertissez vous-même des images en images compatibles Web.

Remarque : InDesign ne vérifie pas le chemin spécifié pour les scripts Java™, les styles CSS externes ou les dossiers d’images. Il est par conséquent préférable d’utiliser Dreamweaver pour vérifier les chemins d’accès.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• CSS incorporées Lorsque vous exportez au format XHTML, vous pouvez créer une liste de styles CSS apparaissant dans la section de titre du fichier HTML avec des déclarations (attributs). Si l’option Inclure les définitions de style est sélectionnée, InDesign tente de faire correspondre les attributs de mise en forme de texte InDesign à leurs équivalents CSS. Si cette option est désélectionnée, le fichier HTML comporte des déclarations vides. Vous pouvez modifier ces déclarations ultérieurement dans Dreamweaver. Si l’option Conserver les remplacements locaux est sélectionnée, la mise en forme locale (italique ou gras, par exemple) est incluse.

• Sans CSS Cette option permet d’omettre la section CSS dans un fichier HTML.

• CSS externe Spécifiez l’URL de la feuille de style CSS existante, qui est généralement une URL relative, telle que « /styles/style.css ». InDesign ne vérifie ni l’existence ni la validité de la feuille de style CSS. Il est donc recommandé d’utiliser Dreamweaver pour confirmer la définition d’une feuille de style CSS externe. Options JavaScript Sélectionnez Lier au JavaScript externe pour exécuter un script JavaScript lorsque la page HTML

est ouverte. Spécifiez l’URL du script JavaScript, qui est généralement une URL parente. InDesign ne vérifie ni l’existence ni la validité du script JavaScript.

Exportation de contenu au format HTML (CS 5.5)

Exportation au format HTML (CS 5.5) L’exportation au format HTML constitue un moyen simple de mettre en forme votre contenu InDesign pour le Web. Lorsque vous exportez du contenu au format HTML, vous pouvez contrôler la manière dont le texte et les images sont exportés. InDesign conserve les noms des styles de paragraphe, caractère, objet, tableau et cellule appliqués aux contenus exportés en marquant les contenus HTML avec les classes de styles CSS du même nom. Grâce à Adobe Dreamweaver ou tout autre éditeur HTML compatible avec les feuilles de style en cascade (CSS), vous pouvez sans difficulté appliquer des mises en forme et des mises en page aux contenus. Eléments exportés InDesign exporte tous les articles, les graphiques liés et incorporés, les séquences vidéo SWF, les

notes de bas de page, les variables de texte (au format texte), les listes à puces et numérotées, les références croisées internes, ainsi que les hyperliens renvoyant à du texte ou à des pages Web. Les tableaux sont également exportés ; toutefois, certaines mises en forme, telles que les contours de tableau et de cellule, ne le sont pas. Des identifiants uniques sont attribués aux tableaux afin que ces derniers puissent être référencés comme jeux de données Spry dans Dreamweaver. Les fichiers audio et vidéo h.264 importés sont placés à l’intérieur de balises HTML5 <audio> et

<video>. Eléments non exportés InDesign n’exporte pas les objets que vous avez dessinés (rectangles, ellipses et polygones), les

hyperliens (à part les liens renvoyant à des pages Web et ceux appliqués à du texte renvoyant à des points d’ancrage de texte au sein du même document), les objets collés (notamment les images copiées d’Illustrator), le texte vectorisé, les balises XML, les livres, les signets, les glyphlets SING, les transitions de page, les marques d’index, les objets de la table

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Si vous n’exportez pas le document dans sa totalité, sélectionnez les blocs de texte, les plages de texte, les cellules de

tableau ou les graphiques que vous voulez exporter.

2 Choisissez Fichier > Exporter, puis sélectionnez HTML dans le menu Type. 3 Spécifiez le nom et l’emplacement du document HTML, puis cliquez sur le bouton Enregistrer. 4 Dans la boîte de dialogue Options d’exportation HTML, spécifiez les options désirées dans les zones Général, Image

et Avancé, puis cliquez sur le bouton OK.

Un document portant le nom spécifié et une extension .html (« bulletin.html », par exemple) est créé ; le cas échéant, un sous-dossier d’images Web (« images-bulletins-Web ») est enregistré au même endroit. Options d’exportation HTML Dans la boîte de dialogue HTML, spécifiez les options suivantes. Options générales La zone Général inclut les options suivantes. Exporter Vous pouvez choisir d’exporter le document entier ou seulement certains éléments sélectionnés. Si un bloc

de texte est sélectionné, la totalité de l’article (y compris l’éventuel texte en excès) est exportée.

Si le document est sélectionné, tous les éléments de page de toutes les planches sont exportés, sauf les éléments de gabarit qui n’ont pas été substitués et les éléments de page sur des calques invisibles. Les balises XML, ainsi que les index et tables des matières générés sont également ignorés. Ordre Vous pouvez spécifier l’ordre de lecture des objets de la page.

• D’après la mise en page La position des éléments sur la page détermine l’ordre de lecture.

Si vous choisissez l’option D’après la mise en page, InDesign détermine l’ordre de lecture des objets de page en analysant celle-ci de gauche à droite et de haut en bas. Dans certains cas, et spécialement dans les documents complexes comprenant plusieurs colonnes, les éléments de conception sont susceptibles de ne pas apparaître dans l’ordre de lecture souhaité. Réorganisez et mettez en forme le contenu à l’aide de Dreamweaver.

• Identique à la structure XML Si vous choisissez l’option Identique à la structure XML, l’ordre du contenu exporté, ainsi que les éléments exportés, sont gérés au moyen du panneau Structure XML. Si le contenu est déjà balisé, il vous suffit de faire glisser les balises dans le panneau Structure XML pour définir l’ordre d’exportation XHTML. Dans le cas d’un contenu sans balises, vous pouvez choisir la commande Ajouter les éléments sans balise dans le menu du panneau Structure afin de générer des balises que vous pourrez ensuite réorganiser. Si vous voulez exclure un élément de l’exportation, il vous suffit de supprimer la balise correspondante dans le panneau Structure XML. (La suppression d’une balise n’entraîne pas la suppression du contenu du fichier INDD.) (voir la section « Balisage d’éléments de page »

à la page 570). • Identique au panneau Articles L’ordre des éléments dans le panneau Articles détermine l’ordre de lecture. Seuls les articles cochés sont exportés (voir la section « Inclusion d’articles pour l’exportation » à la page 158). Marge Définissez une marge simple en ems ou en pixels. Les marges exprimées en ems sont particulièrement

indiquées pour la compatibilité multiécran. La même valeur est appliquée à toutes les marges : supérieure, inférieure, gauche et droite.

Puces Sélectionnez Faire correspondre à une liste non triée pour convertir les paragraphes à puces en éléments de liste,

qui sont mis en forme en HTML à l’aide de la balise <ul>. Sélectionnez Convertir en texte pour mettre en forme à l’aide

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Convertir en texte Convertit les listes numérotées en paragraphes commençant par le numéro en cours du paragraphe au format texte. Afficher le fichier HTML après l’exportation Démarre le navigateur, si celui-ci est présent.

Copier les images Spécifie la manière dont les images sont exportées au format HTML.

Conserver l’aspect de la mise en page Cochez cette case pour réutiliser les attributs des objets d’image de la mise en page.

Résolution (ppp) Spécifiez la résolution des images en pixels par pouce (ppp). Tandis que les systèmes d’exploitation

ont adopté une résolution standard de 72 ppp ou 96 ppp, la résolution des terminaux mobiles varie de 132 ppp (iPad)

à 172 ppp (Sony Reader), voire même plus de 300 ppp (iPhone 4). Vous pouvez spécifier une valeur exprimée en ppp pour chaque objet sélectionné, parmi lesquelles 72, 96, 150 (moyenne pour tous les lecteurs électroniques du moment) et 300. Taille de l’image Indiquez si l’image doit conserver une taille fixe ou être redimensionnée par rapport à la page. Si vous optez pour une taille adaptée au format de page, une valeur relative exprimée en pourcentage est définie en fonction de la taille de l’image par rapport à la largeur de page InDesign. Les images sont ainsi redimensionnées proportionnellement, par rapport à la largeur de la surface de lecture. Alignement et espacement des images Spécifiez l’alignement, à gauche, au centre ou à droite, et le remplissage, en

haut et en bas, de l’image.

Les paramètres s’appliquent aux objets ancrés Cochez cette case pour appliquer ces paramètres à tous les objets

Conversion d’image Choisissez GIF, JPEG ou PNG pour la conversion des images optimisées dans votre document. Choisissez Automatique pour laisser InDesign décider quel format utiliser dans chaque instance. L’option PNG désactive les paramètres de compression de l’image. L’option PNG convient aux images sans perte de données et aux images contenant des objets transparents. Options GIF (Palette) Cette option vous permet de contrôler la façon dont InDesign gère les couleurs lors de

l’optimisation des fichiers GIF. Le format GIF utilise une palette de couleurs limitée, qui ne doit pas contenir plus de

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Options JPEG (Qualité d’image) Permet de choisir entre une compression (et une taille de fichier réduite) et une haute qualité d’image pour chaque image JPEG. L’option Faible génère le plus petit fichier et la qualité d’image la plus faible.

Options JPEG (Méthode de mise en forme) Permet de déterminer la vitesse d’affichage des images JPEG à l’ouverture du fichier contenant l’image sur le Web. Choisissez Progressive pour que les images JPEG s’affichent graduellement avec de plus en plus de détails à mesure qu’elles sont téléchargées. Les fichiers créés avec cette option sont légèrement plus volumineux et utilisent davantage de RAM à l’affichage. Choisissez Ligne de base pour que le fichier JPEG s’affiche une fois téléchargé seulement ; une marque de réservation apparaît à la place de l’image avant son affichage. Ignorer les paramètres de conversion d’objet Cette option permet de passer outre les options d’exportation d’objet

appliquées individuellement aux images (voir la section « Application d’options d’exportation d’objet » à la page 475).

Options avancées Utilisez la zone Avancé pour définir les options CSS et JavaScript. Options CSS Les feuilles de style CSS (Cascading Style Sheets) rassemblent des règles de mises en forme qui définissent l’apparence du contenu dans une page Web. Lorsque vous utilisez CSS pour mettre en forme une page, vous séparez le contenu de sa présentation. Le contenu de votre page (c’est-à-dire le code HTML) réside dans le fichier HTML, tandis que les règles CSS définissant la présentation du code résident dans un autre fichier (fichier CSS externe) ou dans le document HTML (généralement dans la section de titre). Par exemple, vous pouvez spécifier différentes tailles de polices pour le texte sélectionné et vous pouvez utiliser CSS pour contrôler la mise en forme et le positionnement des éléments de niveau bloc dans une page Web.

• CSS incorporées Lorsque vous exportez au format XHTML, vous pouvez créer une liste de styles CSS apparaissant dans la section de titre du fichier HTML avec des déclarations (attributs).

Si l’option Inclure les définitions de style est sélectionnée, InDesign tente de faire correspondre les attributs de mise en forme de texte InDesign à leurs équivalents CSS. Si cette option est désélectionnée, le fichier HTML comporte des déclarations vides. Vous pouvez modifier ces déclarations ultérieurement dans Dreamweaver. Si l’option Conserver les remplacements locaux est sélectionnée, la mise en forme locale (italique ou gras, par exemple) est incluse.

• Sans CSS Cette option permet d’omettre la section CSS dans un fichier HTML.

• CSS externe Spécifiez l’URL de la feuille de style CSS existante, qui est généralement une URL relative, telle que « /styles/style.css ». InDesign ne vérifie ni l’existence ni la validité de la feuille de style CSS. Il est donc recommandé d’utiliser Dreamweaver pour confirmer la définition d’une feuille de style CSS externe. Options JavaScript Sélectionnez Lier au JavaScript externe pour exécuter un script JavaScript lorsque la page HTML

est ouverte. Spécifiez l’URL du script JavaScript, qui est généralement une URL parente. InDesign ne vérifie ni l’existence ni la validité du script JavaScript.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Pour exporter un document, ouvrez-le, puis choisissez la commande Fichier > Exporter pour > EPUB. 2 Précisez un nom de fichier et un emplacement, puis cliquez sur le bouton Enregistrer. 3 Dans la boîte de dialogue Options d’exportation Digital Editions, spécifiez les options désirées dans les

zones Général, Images et Contenu, puis cliquez sur le bouton Exporter.

InDesign crée un seul fichier .epub incluant le contenu XHTML. Le fichier exporté comprend une image miniature JPEG de la première page du document spécifié (ou du document de source des styles si un livre a été sélectionné). Cette miniature est utilisée pour décrire le livre dans la bibliothèque du logiciel Digital Editions Reader. Pour visualiser le fichier, vous devez disposer de l’application Digital Editions que vous pouvez télécharger gratuitement à partir du site Web d’Adobe. En fait, le fichier .epub s’apparente à un fichier .zip. Pour visualiser et modifier le contenu du fichier .epub, remplacez son extension .epub par l’extension .zip, puis extrayez-en le contenu. Ceci est particulièrement utile pour modifier le fichier CSS.

Ressources EPUB Pour obtenir une liste des articles et ressources EPUB, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/learn_id_epub_fr.

Pour plus d’informations sur le format EPUB, rendez-vous à l’adresse www.idpf.org. Téléchargez une version gratuite de Digital Editions Reader sur le site www.adobe.com/fr/products/digitaleditions Consultez le blog Digital Editions pour plus d’informations sur Digital Editions. Pour plus d’informations sur l’exportation vers Kindle, consultez l’article intitulé InDesign to Kindle white paper.

Options d’exportation générales Digital Editions

La section Général de la boîte de dialogue Options d’exportation Digital Editions comprend les options suivantes : Inclure les métadonnées du document Les métadonnées du document (ou le document de source des styles si un livre

a été sélectionné) sont incluses dans le fichier exporté.

Ajouter une entrée pour l’éditeur Spécifiez les détails concernant l’éditeur qui doivent figurer dans les métadonnées eBook. Pensez éventuellement à indiquer une adresse URL où les personnes qui recevront l’eBook peuvent consulter le site Web de l’éditeur et effectuer des achats. Identifiant unique Chaque document EPUB doit comporter un identifiant unique. Vous avez la possibilité de définir

cet attribut. Si vous ne renseignez pas le champ correspondant, un identifiant unique est créé automatiquement.

Ordre de lecture Si vous sélectionnez l’option D’après la mise en page, l’ordre de lecture des éléments de page dans le

document EPUB est fonction de leur emplacement sur la page. InDesign effectue la lecture de gauche à droite et de haut en bas. Pour un contrôle plus précis de l’ordre de lecture, utilisez le panneau Balises XML afin de baliser les

éléments de page. Si vous choisissez l’option Identique à la structure XML, l’ordre des balises dans la vue Structure détermine l’ordre de lecture (voir la section « Balisage d’éléments de page » à la page 570). Puces Sélectionnez Faire correspondre à une liste non triée pour convertir les paragraphes à puces en éléments de liste,

qui sont mis en forme en HTML à l’aide de la balise <ul>. Sélectionnez Convertir en texte pour mettre en forme à l’aide de la balise <p>, avec les puces au format texte.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Faire correspondre à une liste triée statique Convertit les listes numérotées en éléments de liste et affecte un attribut <value> basé sur le numéro en cours du paragraphe dans InDesign. • Convertir en texte Convertit les listes numérotées en paragraphes commençant par le numéro en cours du paragraphe au format texte. Afficher l’eBook après l’exportation Lance le logiciel Adobe Digital Editions Reader s’il est installé. Un message

d’avertissement s’affiche si votre système ne dispose pas d’un logiciel configuré pour visualiser des documents .epub.

Options d’exportation d’image Digital Editions

La section Images de la boîte de dialogue Options d’exportation Digital Editions comprend les options suivantes : Dans le menu Conversion d’image, déterminez comment les images sont exportées en HTML. Mis en forme Conserve la mise en forme InDesign, telle que la rotation ou la mise à l’échelle, autant que possible pour

Conversion d’image Choisissez GIF ou JPEG pour la conversion des images optimisées dans votre document. Choisissez Automatique pour laisser InDesign décider quel format utiliser dans chaque instance. Options GIF (Palette) Cette option vous permet de contrôler la façon dont InDesign gère les couleurs lors de

l’optimisation des fichiers GIF. Le format GIF utilise une palette de couleurs limitée, qui ne doit pas contenir plus de

256 couleurs. Choisissez Adaptative pour créer une palette utilisant un échantillon représentatif de couleurs dans l’illustration sans aucun tramage (mélange de quelques tons de couleurs pour simuler des couleurs supplémentaires). Choisissez l’option Web pour créer une palette de couleurs Web (ces couleurs sont un sous-ensemble des couleurs système Windows et Mac OS). Choisissez Système (Win) ou Système (Mac) pour créer une palette utilisant la palette de couleurs intégrée de Windows ou de Mac OS. Ce choix peut donner des résultats inattendus. Sélectionnez l’option Entrelacement pour afficher progressivement une image lente à charger en complétant les lignes manquantes. Lorsque cette option est désélectionnée, l’image paraît floue, puis elle devient plus nette au fur à et mesure qu’elle approche de sa résolution maximale. Options JPEG (Qualité d’image) Permet de choisir entre une compression (et une taille de fichier réduite) et une haute qualité d’image pour chaque image JPEG. L’option Faible génère le plus petit fichier et la qualité d’image la plus faible. Options JPEG (Méthode de mise en forme) Permet de déterminer la vitesse d’affichage des images JPEG à l’ouverture du fichier contenant l’image sur le Web. Choisissez Progressive pour que les images JPEG s’affichent graduellement avec de plus en plus de détails à mesure qu’elles sont téléchargées. Les fichiers créés avec cette option sont légèrement plus volumineux et utilisent davantage de RAM à l’affichage. Choisissez Ligne de base pour que le fichier JPEG s’affiche une fois téléchargé seulement ; une marque de réservation apparaît à la place de l’image avant son affichage.

Options d’exportation du contenu Digital Editions

La section Contenu de la boîte de dialogue Options d’exportation Digital Editions comprend les options suivantes : Format du contenu EPUB Précisez si vous voulez utiliser le format XHTML ou DTBook. Inclure les entrées de table des matières InDesign Sélectionnez cette option si vous désirez générer une table des matières sur le côté gauche de l’eBook. Dans le menu Style de table des matières, choisissez l’option appropriée pour l’eBook. Vous pouvez également choisir la commande Page > Styles de tables des matières pour créer un style spécial pour l’eBook.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Générer des CSS Les feuilles de style CSS (Cascading Style Sheets) rassemblent des règles de mises en forme qui définissent l’apparence du contenu d’une page Web. Lorsque vous utilisez des CSS pour mettre en forme une page, vous séparez le contenu de sa présentation.

• Inclure les définitions de style Lors de l’exportation au format EPUB, vous pouvez créer une liste de styles CSS modifiables.

• Conserver les remplacements locaux Lorsque cette option est sélectionnée, la mise en forme locale (style italique ou gras, par exemple) est incluse.

• Inclure les polices incorporables Inclut dans l’eBook toutes les polices qui peuvent être incorporées. Les polices contiennent en effet des bits d’incorporation qui déterminent s’il est possible ou non de les incorporer.

Noms de style uniquement Cette option permet d’inclure uniquement les noms de style non définis dans la feuille de

Utiliser le fichier CSS existant Spécifiez l’URL de la feuille de style CSS existante, qui est généralement une URL

parente, telle que « /styles/style.css ». InDesign ne vérifie ni l’existence ni la validité de la feuille de style CSS. Il est donc recommandé de confirmer la définition de la feuille de style CSS.

Exportation de contenu pour EPUB (CS 5.5)

Vous pouvez exporter un document ou un livre sous forme d’eBook EPUB au contenu redistribuable, compatible avec le logiciel Adobe Digital Editions et d’autres lecteurs d’eBooks. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Ouvrez le document, puis choisissez Fichier > Exporter.

• Ouvrez un livre, puis choisissez Exporter le livre au format EPUB dans le menu du panneau Livre. 2 Spécifiez le nom et le dossier du fichier. 3 Dans la liste Type, choisissez EPUB, puis cliquez sur le bouton Enregistrer. 4 Dans la boîte de dialogue Options d’exportation EPUB, spécifiez les options désirées dans les zones Général, Image

InDesign crée un seul fichier .epub incluant le contenu XHTML. Si cela est spécifié, le fichier exporté peut inclure une image de couverture. Si cela est spécifié, le fichier exporté peut inclure une image de couverture provenant d’un fichier image ou créée à partir d’une image de miniature JPEG issue de la première page du document spécifié (ou du document source des styles si un livre a été sélectionné). Cette miniature est utilisée pour décrire le livre dans les lecteurs ePUB ou dans la bibliothèque du logiciel Digital Editions Reader. L’affichage du fichier nécessite un lecteur ePUB. Mais vous pouvez également utiliser le logiciel Adobe Digital Editions, disponible gratuitement sur le site Web d’Adobe. En fait, le fichier .epub s’apparente à un fichier .zip. Pour visualiser et modifier le contenu du fichier .epub, remplacez son extension .epub par l’extension .zip, puis extrayez-en le contenu. Ceci est particulièrement utile pour modifier le fichier CSS.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Pour plus d’informations sur le format EPUB, rendez-vous à l’adresse www.idpf.org. • Téléchargez une version gratuite de Digital Editions Reader sur le site www.adobe.com/fr/products/digitaleditions. • Consultez le blog Digital Editions pour plus d’informations sur Digital Editions. • Pour plus d’informations sur l’exportation vers Kindle, consultez l’article intitulé InDesign to Kindle white paper. • Découvrez comment convertir vos fichiers InDesign au format EPUB et commencez à vendre vos eBooks pour l’iPad d’Apple Reportez-vous au livre blanc InDesign to iPad (en anglais uniquement).

Options d’exportation générales EPUB La section Général de la boîte de dialogue Options d’exportation EPUB comprend les options suivantes :

Inclure les métadonnées du document Les métadonnées du document (ou le document de source des styles si un livre a été sélectionné) sont incluses dans le fichier exporté. Ajouter une entrée pour l’éditeur Spécifiez les détails concernant l’éditeur qui doivent figurer dans les métadonnées eBook. Vous pouvez indiquer l’URL du site Web de l’éditeur afin que le destinataire de l’eBook puisse s’y référer. Identifiant unique Chaque document EPUB doit comporter un identifiant unique. Vous avez la possibilité de définir

cet attribut. Si vous ne renseignez pas le champ correspondant, un identifiant unique est créé automatiquement.

Couverture de l’eBook Il s’agit de l’image de couverture de l’eBook. Choisissez l’une des options suivantes :

• Pas d’image de couverture Si cette option est sélectionnée, aucune image de couverture n’est ajoutée à l’eBook.

• Pixelliser la première page Si cette option est sélectionnée, la première page de l’eBook sert à créer un fichier image qui fera office de couverture.

• Utiliser le fichier d’image existant Si cette option est sélectionnée, vous pouvez spécifier une image résidant sur votre ordinateur à utiliser comme couverture.

Ordre Vous pouvez définir l’ordre d’exportation des éléments de page.

• D’après la mise en page La position des éléments sur la page détermine l’ordre de lecture.

Si vous choisissez l’option D’après la mise en page, InDesign détermine l’ordre de lecture des objets de page en analysant celle-ci de gauche à droite et de haut en bas. Dans certains cas, et spécialement dans les documents complexes comprenant plusieurs colonnes, les éléments de conception sont susceptibles de ne pas apparaître dans l’ordre de lecture souhaité. Réorganisez et mettez en forme le contenu à l’aide de Dreamweaver.

• Identique à la structure XML L’ordre des balises dans l’affichage de structure détermine l’ordre de lecture (voir la section « Balisage d’éléments de page » à la page 570).

• Identique au panneau Articles L’ordre des éléments dans le panneau Articles détermine l’ordre de lecture. Seuls les articles cochés sont exportés (voir la section « Inclusion d’articles pour l’exportation » à la page 158).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Puces Sélectionnez Faire correspondre à une liste non triée pour convertir les paragraphes à puces en éléments de liste,

qui sont mis en forme en HTML à l’aide de la balise <ul>. Sélectionnez Convertir en texte pour mettre en forme à l’aide de la balise <p>, avec les puces au format texte. Si vous avez utilisé les puces automatiques InDesign natives, les puces de deuxième niveau (ou sous-puces) sont également incluses.

Nombres Détermine la façon dont les nombres sont convertis dans le fichier HTML. Si vous avez utilisé la

numérotation automatique InDesign native, les puces de deuxième niveau (ou sous-puces) sont également incluses.

• Faire correspondre à une liste triée Convertit les listes numérotées en éléments de liste, mis au format HTML à l’aide de la balise <ol>.

• Faire correspondre à une liste triée statique Convertit les listes numérotées en éléments de liste et affecte un attribut <value> basé sur le numéro en cours du paragraphe dans InDesign.

• Convertir en texte Convertit les listes numérotées en paragraphes commençant par le numéro en cours du paragraphe au format texte. Afficher le fichier EPUB après l’exportation Lance le logiciel Adobe Digital Editions Reader s’il est installé.

Options d’image EPUB La section Images de la boîte de dialogue Options d’exportation Digital Editions comprend les options suivantes :

Dans le menu Conversion d’image, déterminez comment les images sont exportées en HTML. Conserver l’aspect de la mise en page Cochez cette case pour réutiliser les attributs des objets d’image de la mise en page. Résolution (ppp) Spécifiez la résolution des images en pixels par pouce (ppp). Tandis que les systèmes d’exploitation

ont adopté une résolution standard de 72 ppp ou 96 ppp, la résolution des terminaux mobiles varie de 132 ppp (iPad)

à 172 ppp (Sony Reader), voire même plus de 300 ppp (iPhone 4). Vous pouvez spécifier une valeur exprimée en ppp pour chaque objet sélectionné, parmi lesquelles 72, 96, 150 (moyenne pour tous les lecteurs électroniques du moment) et 300. Taille de l’image Indiquez si l’image doit conserver une taille fixe ou être redimensionnée par rapport à la page. Si vous optez pour une taille adaptée au format de page, une valeur relative exprimée en pourcentage est définie en fonction de la taille de l’image par rapport à la largeur de page InDesign. Les images sont ainsi redimensionnées proportionnellement, par rapport à la largeur de la surface de lecture. Alignement et espacement des images Spécifiez l’alignement, à gauche, au centre ou à droite, et le remplissage, en

haut et en bas, de l’image.

Insérer un saut de page Cochez cette case pour insérer des sauts de page avec les images. Vous pouvez insérer des sauts

de page avant et/ou après l’image.

Les paramètres s’appliquent aux objets ancrés Cochez cette case pour appliquer ces paramètres à tous les objets

Conversion d’image Choisissez GIF, JPEG ou PNG pour la conversion des images optimisées dans votre document. Choisissez Automatique pour laisser InDesign décider quel format utiliser dans chaque instance. L’option PNG désactive les paramètres de compression de l’image.L’option PNG convient aux images sans perte de données et aux images contenant des objets transparents. Options GIF (Palette) Cette option vous permet de contrôler la façon dont InDesign gère les couleurs lors de

l’optimisation des fichiers GIF. Le format GIF utilise une palette de couleurs limitée, qui ne doit pas contenir plus de

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Options JPEG (Qualité d’image) Permet de choisir entre une compression (et une taille de fichier réduite) et une haute qualité d’image pour chaque image JPEG. L’option Faible génère le plus petit fichier et la qualité d’image la plus faible.

Options JPEG (Méthode de mise en forme) Permet de déterminer la vitesse d’affichage des images JPEG à l’ouverture du fichier contenant l’image sur le Web. Choisissez Progressive pour que les images JPEG s’affichent graduellement avec de plus en plus de détails à mesure qu’elles sont téléchargées. Les fichiers créés avec cette option sont légèrement plus volumineux et utilisent davantage de RAM à l’affichage. Choisissez Ligne de base pour que le fichier JPEG s’affiche une fois téléchargé seulement ; une marque de réservation apparaît à la place de l’image avant son affichage. Ignorer les paramètres de conversion d’objet Cette option permet de passer outre les options d’exportation d’objet

appliquées individuellement aux images (voir la section « Application d’options d’exportation d’objet » à la page 475).

Options de contenu EPUB La section Contenu de la boîte de dialogue Options d’exportation EPUB comprend les options suivantes :

Format pour le contenu EPUB Précisez si vous voulez utiliser le format XHTML ou DTBook. Le format spécialisé DTBook est destiné aux lecteurs finaux présentant une déficience visuelle. Utiliser le style de table des matières d’InDesign Sélectionnez cette option si vous souhaitez générer une table des matières en réutilisant le style sélectionné. Dans le menu Style de table des matières, choisissez le style à utiliser pour générer la table des matières de l’eBook. Vous pouvez également choisir la commande Page > Styles de tables des matières pour créer un style spécial pour l’eBook. Diviser le document en fonction du style de paragraphe Vous pouvez scinder l’eBook selon le style de paragraphe

spécifié. Ce fractionnement a pour effet d’accroître le nombre de fichiers HTML dans l’assemblage d’EPUB. Il peut toutefois s’avérer utile, notamment pour scinder des fichiers longs et améliorer les performances des lecteurs EPUB.

Importer une note de bas de page après le paragraphe Cochez cette case pour positionner les notes de bas de page à la

suite du paragraphe. Si cette case reste désélectionnée, les notes de bas de page sont converties en notes de fin de page.

Supprimer les sauts de ligne forcés Cochez cette case pour retirer tous les retours à la ligne automatiques de l’eBook

Générer des CSS Les feuilles de style CSS (Cascading Style Sheets) rassemblent des règles de mises en forme qui définissent l’apparence du contenu d’une page Web. Lorsque vous utilisez des CSS pour mettre en forme une page, vous séparez le contenu de sa présentation.

• Inclure les définitions de style Lors de l’exportation au format EPUB, vous pouvez créer une liste de styles CSS modifiables.

• Conserver les remplacements locaux Lorsque cette option est sélectionnée, la mise en forme locale (style italique ou gras, par exemple) est incluse.

• Inclure les polices incorporables Inclut dans l’eBook toutes les polices qui peuvent être incorporées. Les polices contiennent des bits d’incorporation qui déterminent s’il est possible ou non de les incorporer.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Buzzword est un éditeur de texte en ligne qui permet aux utilisateurs de créer et de stocker des fichiers texte sur un serveur Web. Lorsque vous exportez un article vers Buzzword, vous créez un fichier texte sur le serveur Buzzword. 1 Sélectionnez le texte ou placez le point d’insertion dans un bloc de texte inclus dans l’article à exporter. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans InDesign, choisissez Fichier > Exporter pour > Buzzword.

• Dans InCopy, choisissez Fichier > Exporter pour Buzzword. 3 Si vous n’êtes pas déjà connecté à CS Live, cliquez sur l’option Inscription, indiquez votre adresse électronique et

votre mot de passe, puis cliquez de nouveau sur l’option Inscription.

4 Dans la boîte de dialogue d’exportation d’article pour Buzzword, indiquez le nom du document Buzzword à créer,

puis cliquez sur OK.

Le document Buzzword s’ouvre sur Acrobat.com. Vous pouvez ensuite déplacer le document dans un autre espace de travail et le partager avec d’autres personnes.

« Importation de documents Buzzword » à la page 150

Utilisation de la bibliothèque de nuances Web

InDesign inclut une bibliothèque de nuances appelée Web, qui contient les couleurs utilisées par la plupart des navigateurs pour afficher du texte et des images dans des pages Web. Les 216 couleurs de la bibliothèque, généralement appelées couleurs Web sécurisées, sont reproduites à l’identique quel que soit l’environnement, car elles font partie de la palette de couleurs utilisée par les navigateurs sous Windows et Mac OS. Les couleurs Web sécurisées d’InDesign sont les mêmes que celles de la palette Web d’Adobe Photoshop et d’Adobe Illustrator. Toutes les couleurs de la bibliothèque sont désignées par leurs valeurs RVB. Le langage HTML utilise leur code hexadécimal pour les reproduire ; ce code est stocké dans la bibliothèque de nuances. 1 Choisissez Nouvelle couleur dans le menu du panneau Nuancier. 2 Dans la zone Mode, choisissez Web. 3 Sélectionnez une couleur, puis cliquez sur OK.

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Dans InDesign, le texte est placé dans des espaces appelés blocs de texte, semblables aux zones de texte de QuarkXPress et aux blocs d’Adobe PageMaker. Pour consulter un didacticiel vidéo sur la création d’un bloc de texte, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid4274_id_fr. Les blocs de texte, comme les blocs graphiques, peuvent être déplacés, redimensionnés et modifiés. L’outil utilisé pour sélectionner le bloc de texte dépend du type de modification à apporter :

vous permet de saisir ou modifier du texte au sein d’un bloc.

Les blocs de texte peuvent contenir plusieurs colonnes. Ils peuvent être basés sur des colonnes de pages sans pour autant en dépendre. Ainsi, un bloc de texte de deux colonnes peut figurer dans une page de quatre colonnes. L’habillage de texte peuvent également être importés dans des gabarits et recevoir du texte sur des pages du document. Si vous utilisez souvent le même type de bloc de texte, créez un style incluant la mise en forme du bloc de texte (couleurs des contours et du fond, options du bloc de texte et effets d’habillage et de transparence par exemple). Lorsque vous importez ou collez du texte, il n’est pas nécessaire de créer un bloc de texte. InDesign ajoute automatiquement des blocs en fonction des paramètres de colonne de la page. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Sélectionnez l’outil Texte

, puis faites glisser le pointeur pour définir la largeur et la hauteur du nouveau bloc de texte. Maintenez la touche Maj enfoncée et faites glisser le curseur pour créer un bloc de texte carré. Lorsque vous relâchez le bouton de la souris, un point d’insertion apparaît dans le bloc.

« Importation de texte » à la page 145 « Styles d’objet » à la page 230

Déplacement et redimensionnement de blocs de texte

L’outil Sélection vous permet de déplacer ou de redimensionner des blocs de texte. Si vous souhaitez déplacer ou redimensionner un bloc de texte tout en laissant l’outil Texte touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée, puis faites glisser le bloc.

activé, maintenez la

« Création de blocs de texte » à la page 136

Pour déplacer un bloc de texte

• A l’aide de l’outil Sélection, faites glisser le bloc. • Sélectionnez l’outil Texte, maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée et faites glisser le bloc. L’outil Texte est toujours sélectionné lorsque vous relâchez la touche.

Pour redimensionner un bloc de texte

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour redimensionner un bloc à l’aide de l’outil Texte

, maintenez la touche Ctrl (Windows) ou

Commande (Mac OS) enfoncée et faites glisser l’une des poignées du bloc. Si vous souhaitez recomposer le texte tout en redimensionnant le bloc, maintenez le bouton de la souris enfoncé pendant une seconde avant de faire glisser le pointeur.

Remarque : si vous cliquez sur le bloc de texte au lieu de le faire glisser, vous perdez la sélection de texte ou l’emplacement du point d’insertion.

• Pour redimensionner un bloc à l’aide de l’outil Sélection

, faites glisser l’une des poignées du bloc sur la bordure du bloc. Maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée pour mettre le texte à l’échelle à l’intérieur du bloc (voir la section « Mise à l’échelle du texte » à la page 279).

• Pour redimensionner le bloc et l’ajuster à son contenu, utilisez l’outil Sélection pour sélectionner le bloc de texte et cliquez deux fois sur une poignée. Par exemple, si vous cliquez deux fois sur la poignée du centre du côté inférieur, le bord inférieur du bloc est magnétisé sur le bas du texte. Si vous cliquez deux fois sur la poignée du centre sur le côté droit, la hauteur est préservée tandis que la largeur est réduite pour que le bloc de texte soit rempli.

Vous pouvez également cliquer deux fois sur une poignée d’un bloc de texte en excès pour augmenter la hauteur et la largeur de façon à accommoder l’ensemble du texte dans le bloc. Si un bloc de texte contient plus de texte en excès que la page ne peut contenir, le bloc de texte n’est pas redimensionné.

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Ajustement > Ajuster le bloc au contenu. Le bas du bloc de texte s’adapte pour contenir l’ensemble du texte. Si un bloc de texte contient plus de texte en excès que la page ne peut contenir, le bloc de texte n’est pas redimensionné.

• A l’aide de l’outil Mise à l’échelle

, faites glisser le pointeur pour redimensionner le bloc (voir la section « Mise

à l’échelle du texte » à la page 279).

Utilisation des blocs de texte sur les gabarits

Lorsque vous créez un nouveau document, vous pouvez sélectionner l’option Bloc de texte type, de façon à ce qu’un bloc de texte vide soit inséré dans le gabarit par défaut du document. Ce bloc dispose des attributs de marge et de colonne spécifiés dans la boîte de dialogue Nouveau document. Suivez les indications ci-après pour utiliser les blocs de texte dans les gabarits :

• Configurez des blocs de texte type si vous souhaitez que chaque page du document contienne un bloc de texte d’une page dans lequel vous pourrez placer ou saisir du texte. En revanche, si la mise en page de votre document doit être plus souple, avec des blocs de texte de diverses longueurs et en nombre variable sur chaque page, désélectionnez l’option Bloc de texte type et créez vos blocs de texte sur les gabarits à l’aide de l’outil Texte.

• Que vous sélectionniez ou non l’option Bloc de texte type, vous pouvez ajouter des blocs de texte dans le gabarit, pour réserver l’emplacement. Vous pouvez lier les blocs de réservation vides les uns aux autres afin d’établir un flux de placement.

• Placez du texte dans les blocs de texte type en utilisant les mêmes procédures que celles utilisées pour les blocs créés sur les pages de document.

• Si vous devez saisir du texte dans un bloc de texte type sur une page de document, maintenez les touches Ctrl+Maj (Windows) ou Commande+Maj (Mac OS) enfoncées lorsque vous cliquez sur le bloc de texte de la page de document. A l’aide de l’outil Texte, cliquez dans le bloc et saisissez le texte.

• La Redistribution intelligente du texte permet d’ajouter ou de supprimer des pages automatiquement à mesure que vous saisissez et modifiez du texte. Par défaut, lorsque vous saisissez du texte à la fin d’un bloc de texte lié d’après un gabarit, une nouvelle page est ajoutée pour vous permettre de continuer la saisie dans le nouveau bloc de texte.

Vous pouvez modifier les paramètres de la Redistribution intelligente du texte.

• Si vous modifiez les marges de la page, les blocs de texte s’adaptent aux nouvelles dimensions seulement si l’option

Activer la modification de mise en page est sélectionnée.

• La sélection de l’option Bloc de texte type n’affecte pas l’ajout de nouvelles pages lorsque vous placez le texte automatiquement.

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Modification des propriétés d’un bloc de texte La commande Options de bloc de texte vous permet de modifier les paramètres, tels que le nombre de colonnes dans le bloc, l’alignement vertical du texte ou la marge (espace entre le bloc et le texte qu’il contient).

Avant (à gauche) et après (à droite) avoir défini des encarts et créé deux colonnes dans un bloc de texte

Pour utiliser les mêmes propriétés de bloc pour plusieurs blocs de texte, créez un style d’objet, que vous pourrez appliquer aux blocs de texte.

1 A l’aide de l’outil Sélection

, sélectionnez un bloc ou, avec l’outil Texte

, cliquez dans un bloc de texte ou

sélectionnez du texte.

2 Choisissez Objet > Options de bloc de texte, ou maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée,

puis cliquez deux fois sur le bloc de texte à l’aide d’un outil de sélection.

3 Modifiez les options de bloc de texte, puis cliquez sur OK.

Ces options de bloc de texte sont disponibles lorsque vous définissez un style d’objet pour les zones de texte (voir la section « Styles d’objet » à la page 230).

« Modification du format, des marges et des colonnes de document » à la page 47 « Utilisation des blocs de texte sur les gabarits » à la page 138 « Grilles » à la page 54

Ajout de colonnes à un bloc de texte

Vous pouvez créer des colonnes dans un bloc de texte à l’aide de la boîte de dialogue Options de bloc de texte. Vous ne pouvez pas créer des colonnes à largeur variable dans un bloc de texte. Pour créer des colonnes de largeur et de hauteur inégales, ajoutez des blocs de texte côte à côte soit sur une page du document soit sur un gabarit. 1 A l’aide de l’outil Sélection, sélectionnez un bloc ou, avec l’outil Texte, cliquez dans un bloc de texte ou sélectionnez

2 Choisissez Objet > Options de bloc de texte.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

redimensionnez le bloc. Si cette option est sélectionnée, le redimensionnement du bloc peut modifier le nombre de colonnes mais pas leur largeur.

2 Choisissez Objet > Options de bloc de texte. 3 Dans la section Marges à l’intérieur du bloc de l’onglet Général, entrez les distances de décalage souhaitées en haut,

à gauche, en bas et à droite. Cliquez sur l’icône Uniformiser tous les paramètres espacement de chaque côté.

pour appliquer le même

Si le bloc que vous avez sélectionné n’est pas de forme rectangulaire, ces options sont grisées et une option Encart est disponible.

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Jambage supérieur La hauteur du caractère « d » de la police est inférieure à l’encart supérieur du bloc de texte. Hauteur des capitales Le haut des lettres majuscules touche l’encart supérieur du bloc de texte. Interligne Utilisez la valeur d’interligne du texte comme distance séparant la ligne de base de la première ligne de texte

et l’encart supérieur du bloc.

Œil La hauteur du caractère « x » de la police est inférieure à l’encart supérieur du bloc. Fixe Spécifiez la distance séparant la ligne de base de la première ligne de texte et l’encart supérieur du bloc. Min. Sélectionnez une valeur minimum de décalage de la ligne de base. Par exemple, si l’option Interligne est

sélectionnée et la valeur minimum est définie sur 1p, InDesign utilise la valeur d’interligne uniquement lorsqu’elle est supérieure à 1 pica.

Pour magnétiser le haut du bloc de texte à une grille, sélectionnez Interligne ou Fixe afin de pouvoir choisir l’emplacement de la première ligne de base du texte dans les blocs.

Définition des grilles de ligne de base d’un bloc de texte

Dans certains cas, il est préférable d’appliquer une grille de ligne de base à un bloc plutôt qu’à l’ensemble du document. Utilisez la boîte de dialogue Options de bloc de texte pour appliquer une grille de ligne de base à un bloc de texte. Lorsque vous définissez une grille de ligne de base pour un bloc de texte, tenez compte des points suivants :

• La grille de ligne de base du document n’apparaît pas derrière ou devant les blocs de texte qui utilisent leurs propres grilles de ligne de base.

• Si vous avez sélectionné l’option Grilles en arrière-plan dans les préférences relatives aux grilles, les grilles de ligne de base définies pour les blocs prennent le pas sur celles du document. En revanche, si cette option n’est pas sélectionnée, les grilles de ligne de base définies pour le document ont la priorité sur celles des blocs.

1 Choisissez Affichage > Repères et grilles > Afficher la grille de ligne de base pour afficher toutes les grilles de ligne

de base, y compris celles d’un bloc de texte.

2 Sélectionnez le bloc de texte ou placez le point d’insertion dans un bloc de texte, puis choisissez Objet > Options de

Si vous souhaitez que la grille de ligne de base s’applique à tous les blocs d’un lien (même si un ou plusieurs blocs liés ne contiennent pas de texte), placez le point d’insertion dans le texte, choisissez la commande Edition > Tout sélectionner, puis appliquez les paramètres de la grille de ligne de base de la boîte de dialogue Options de bloc de texte. 3 Cliquez sur l’onglet Options de ligne de base. 4 Dans Grille de ligne de base, sélectionnez l’option Utiliser la grille de ligne de base personnalisée et utilisez l’une des

méthodes suivantes :

Début Entrez une valeur de décalage de la grille par rapport au haut de la page, à la marge supérieure de la page, au

haut du bloc ou à l’encart supérieur du bloc, selon ce que vous avez sélectionné dans le menu Relative à.

Relative à Indiquez si la grille de ligne de base doit commencer par rapport au haut de la page, à la marge supérieure

de la page, au haut du bloc de texte ou au haut de l’encart du bloc de texte.

Pas Entrez une valeur d’espacement entre les lignes de la grille. Dans la plupart des cas, il convient de spécifier une valeur égale à l’interlignage du corps de texte pour aligner parfaitement les lignes du texte sur cette grille.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour afficher la grille, il vous faudra peut-être effectuer un zoom avant sur le bloc ou réduire le niveau du seuil.

Affichage du nombre de mots et de caractères

1 Placez le point d’insertion dans un bloc de texte pour afficher le nombre de mots ou de caractères de l’ensemble des

blocs liés (donc de l’article), ou sélectionnez une partie du texte pour afficher le nombre de mots ou de caractères du texte sélectionné.

2 Choisissez Fenêtre > Informations pour afficher le panneau Informations.

Le panneau Informations affiche le nombre de caractères, de mots, de lignes et de paragraphes que contient un bloc de texte. La position du point d’insertion dans le bloc de texte apparaît également.

« Présentation du panneau Informations » à la page 52

Si vous devez travailler avec du texte composé de caractères asiatiques, des versions spéciales d’InDesign sont disponibles pour le japonais, le chinois simplifié, le chinois traditionnel et le coréen. Ces versions permettent de créer des grilles de mise en page et de bloc pour la composition de caractères multi-octets. Elles comptent par ailleurs diverses fonctions de mise en forme du texte multi-octet, ainsi que des polices supplémentaires.

De même, une version spéciale d’InDesign est disponible pour les langues du Moyen-Orient, comme l’arabe, le farsi, l’hébreu et l’ourdou, qui présentent la particularité de composer le texte de droite à gauche. Cette version se nomme InDesign ME. Pour plus de détails sur l’achat d’InDesign ME ou d’une version en langue asiatique d’InDesign, consultez le site Web d’Adobe.

Ajout de texte dans les blocs

Ajout de texte à un document Pour ajouter du texte dans un document, saisissez le texte ou importez-le à partir d’une application de traitement de texte. Si l’application de traitement de texte source prend en charge le glisser-déposer, vous pouvez également faire glisser le texte dans les blocs InDesign. Pour de grandes quantités de texte, la commande Importer constitue le meilleur moyen d’ajouter du texte à votre document. InDesign prend en charge divers formats de fichiers de traitement de texte, de feuilles de calcul et de fichiers texte. Lorsque vous importez ou de que vous collez du texte, InDesign crée automatiquement un bloc de texte. Il est donc inutile d’en créer un au préalable.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Préférences pour savoir quelles options sont activées dans la zone Sélecteur. Par exemple, si le texte collé contient des polices de caractères non disponibles, le texte est mis en surbrillance en rose.

« Importation de texte » à la page 145 « Remplacement des polices manquantes » à la page 267

Pour saisir du texte dans un document

1 Pour placer le point d’insertion à l’intérieur du bloc de texte, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• A l’aide de l’outil Texte

, faites glisser le pointeur pour créer un nouveau bloc de texte ou cliquez à l’intérieur

Pour saisir des caractères asiatiques à l’aide de l’insertion des objets texte 1 Choisissez Edition > Préférences > Texte avancé (Windows) ou InDesign > Préférences > Texte avancé (Mac OS). 2 Sélectionnez l’option Utiliser l’insertion des objets texte pour le texte non latin, puis cliquez sur OK.

Le cas échéant, utilisez la méthode d’insertion du système pour ajouter des caractères à 2 ou 4 octets. Cette méthode est particulièrement conseillée pour saisir des caractères asiatiques.

Pour insérer un texte de substitution

InDesign peut ajouter un texte de substitution, que vous pourrez facilement remplacer par le texte définitif ultérieurement. Le texte de substitution permet de mieux visualiser la conception du document. 1 Sélectionnez un ou plusieurs blocs de texte à l’aide de l’outil Sélection, ou cliquez dans un bloc de texte avec

2 Choisissez Texte > Remplir avec le texte de substitution.

Si vous ajoutez un texte de substitution à un bloc lié, le texte de substitution est ajouté au début du premier bloc de texte (si tous les blocs sont vides) ou à la fin du texte existant (si les blocs de texte liés contiennent déjà du texte) jusqu’au dernier bloc lié.

Pour supprimer ou remplacer le texte de substitution, cliquez deux fois dans l’un des blocs liés, choisissez Edition > Tout sélectionner, puis supprimez le texte. Pour modifier le texte de substitution, créez un fichier texte contenant le texte à utiliser, nommez-le Substitution.txt, et enregistrez-le dans le dossier de l’application.

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Si du texte est sélectionné au moment où vous collez le texte, ce dernier écrase le texte sélectionné.

« Glisser-déposer de texte » à la page 144

Pour coller du texte depuis une autre application

1 Pour préserver la mise en forme et les informations telles que les styles et les marques d’index, dans la

section Gestion du presse-papiers de la boîte de dialogue Préférences, sélectionnez l’option Toutes les informations de la section Coller. Pour supprimer ces informations et d’autres attributs de mise en forme lors du collage, activez l’option Texte seul.

2 Coupez ou coller le texte dans une autre application ou dans un document InDesign. 3 Le texte sera collé dans un nouveau bloc, sauf si vous sélectionnez le texte et cliquez dans un bloc de texte. 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez Edition > Coller. Si la mise en forme n’a pas été entièrement conservée, modifiez les paramètres de la boîte de dialogue d’options d’importation des documents RTF.

• Choisissez Edition > Coller sans mise en forme. Si l’option Texte seul est sélectionnée dans les préférences Gestion du presse-papiers, l’option Coller sans mise en forme est grisée lorsque vous collez du texte à partir d’une autre application.

Vous pouvez également faire glisser le texte depuis une autre application et le déposer dans un document InDesign, ou bien insérer un fichier texte ou un fichier de traitement de texte dans un document InDesign directement à partir de l’Explorateur Windows ou du Finder Mac OS. Le texte sera inséré dans un nouveau bloc. Lorsque vous faites glisser du texte en maintenant la touche Maj enfoncée, la mise en forme est supprimée. L’option sélectionnée dans la section Gestion du presse-papiers de la boîte de dialogue Préférences détermine si les informations telles que les marques d’index et les nuances sont préservées.

Pour ajuster automatiquement l’espacement lors du collage de texte

Lorsque vous collez du texte, des espaces peuvent être ajoutées ou supprimées automatiquement selon le contexte. Par exemple, si vous coupez, puis collez un mot entre deux mots, une espace s’insère avant et après le mot. Par contre, si vous collez le mot en fin de phrase, juste avant le point, aucune espace n’est insérée. 1 Choisissez la commande Edition > Préférences > Texte (Windows) ou InDesign > Préférences > Texte (Mac OS). 2 Sélectionnez l’option Ajuster l’espacement automatiquement lors du copier/coller de mots, puis cliquez sur OK.

Glisser-déposer de texte

Vous pouvez utiliser la souris pour faire glisser et déposer le texte dans la fenêtre du mode éditeur ou Mise en page. Vous pouvez même faire glisser du texte à partir du Mode éditeur dans la fenêtre de mise en page (ou vice versa) ou dans certaines boîtes de dialogue telles que Rechercher/Remplacer. Si vous faites glisser du texte à partir d’un article verrouillé ou archivé, le texte est copié et non déplacé. Vous pouvez également copier le texte ou créer un nouveau bloc lorsque vous faites glisser et déposez le texte.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

3 Maintenez le pointeur de la souris sur le texte sélectionné jusqu’à ce que l’icône de glisser-déposer

faites glisser le texte.

Lorsque vous faites glisser le texte, celui-ci reste à sa position initiale mais une barre verticale indique l’emplacement auquel il sera inséré lorsque vous relâcherez le bouton de la souris. La barre verticale apparaît dans tous les blocs sur lesquels vous faites glisser le curseur. 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour déposer le texte à un nouvel emplacement, positionnez la barre verticale à l’endroit où vous souhaitez que le texte apparaisse et relâchez le bouton de la souris.

• Pour déposer le texte dans un nouveau bloc, commencez à faire glisser le texte, maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée, puis relâchez le bouton de la souris avant de relâcher la touche.

• Pour déposer le texte sans mise en forme, commencez à faire glisser le texte, maintenez la touche Maj enfoncée, puis relâchez le bouton de la souris avant de relâcher la touche.

• Pour copier le texte, commencez à faire glisser le texte, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée, puis relâchez le bouton de la souris avant de relâcher la touche.

Vous pouvez également combiner ces touches de modification. Par exemple, pour copier du texte non mis en forme dans un nouveau bloc, commencez à faire glisser le texte et maintenez les touches Alt+Maj+Ctrl (Windows) ou Option+Maj+Commande (Mac OS) enfoncées. Si l’espacement du texte disposé est incorrect, sélectionnez l’option Ajuster l’espacement automatiquement dans les préférences de texte.

« Collage de texte » à la page 144

Importation de texte

Lorsque vous importez un fichier texte ou une feuille de calcul, certaines options vous permettent de définir la mise en forme du texte importé. Pour consulter un didacticiel vidéo sur l’importation de contenu dans InDesign, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0067_fr. Pour consulter un didacticiel vidéo sur l’importation et le placement de texte, rendezvous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid4278_id_fr. 1 (Facultatif) Pour créer des liens vers les fichiers importés, cliquez sur la commande Gestion des fichiers dans la

boîte de dialogue Préférences, puis activez l’option Créer des liens avec les fichiers de texte et de feuilles de calcul importés.

Cette option, lorsqu’elle est sélectionnée, permet de créer un lien vers le fichier importé. Vous pouvez mettre à jour, supprimer ou rétablir des liens depuis le panneau Liens vers des fichiers texte. Toutefois, si vous mettez en forme du texte lié dans InDesign, la mise en forme est conservée lorsque vous mettez à jour le lien. Lorsque cette option est désactivée, les fichiers texte ou feuilles de calcul importés sont incorporés et non liés.

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5 Sélectionnez Afficher les options d’importation et cliquez deux fois sur le fichier à importer. 6 Définissez les options d’importation et cliquez sur OK.

Si vous n’avez pas désigné le bloc qui contiendra le texte, le pointeur se transforme en icône de texte chargée, prêt à placer le texte là où vous cliquerez ou ferez glisser le curseur.

Si un message vous avertit que le filtre requis est introuvable, vérifiez que vous n’essayez pas d’importer un fichier d’une application de traitement de texte différente ou d’une version antérieure de Microsoft®Word, comme Word 6. Ouvrez le fichier dans son application d’origine et enregistrez-le au format RTF, qui conserve la plupart de la mise en forme. Si des points rouges s’affichent dans les cellules du document Excel importé, ajustez la taille de cellule ou les attributs de texte de manière à rendre visible le contenu en excès. Vous pouvez également importer le fichier en tant que texte tabulé non mis en forme, puis le convertir en tableau.

« Placement automatique ou manuel de texte » à la page 154 « Liaison ou incorporation de fichiers texte importés » à la page 151 « Conversion des styles Word en styles InDesign » à la page 218 « Remplacement des polices manquantes » à la page 267 « Ouverture de fichiers QuarkXPress dans InDesign » à la page 115 Vidéo Importer un contenu

A propos des filtres d’importation

InDesign importe la plupart des attributs de mise en forme de paragraphe et de caractère provenant de fichiers texte, mais ignore la plupart des informations de mise en page, telles que les marges et les paramètres de colonne (que vous pouvez définir dans InDesign). Tenez compte des points suivants :

• InDesign importe en général toutes les informations de mise en forme spécifiées dans l’application de traitement de texte, à l’exception des informations spécifiques à des fonctions qui ne sont pas disponibles dans InDesign.

• InDesign peut importer des styles à sa liste de styles pour le document. L’icône d’une disquette

s’affiche en regard des styles importés (voir la section « Conversion des styles Word en styles InDesign » à la page 218).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour plus de détails sur les filtres d’importation, reportez-vous au fichier PDF LisezMoi disponible à l’adresse : www.adobe.com/go/lr_indesignfilters_cs5_en.

Options d’importation Microsoft Word et format RTF Si vous sélectionnez l’option Afficher les options d’importation lors de l’importation d’un fichier Word ou RTF, vous disposez des options suivantes :

Texte de table des matières Importe la table des matières comme partie intégrante du texte dans l’article. Ces entrées

sont importées au format Texte seulement.

Texte d’index Importe l’index comme partie intégrante du texte dans l’article. Ces entrées sont importées au format

Notes de fin de page Importe les notes de fin de page comme partie intégrante du texte à la fin de l’article.

Utiliser les guillemets typographiques Garantit que le texte importé comprend les guillemets ouvrant et fermant (“ ”)

et les apostrophes (’) anglais au lieu des guillemets (" ") et apostrophes (') droits.

Supprimer les styles et la mise en forme du texte et des tableaux Supprime la mise en forme telle que style, couleur et

style de texte, du texte importé, y compris dans les tableaux. Les styles de paragraphe et les images texte ne sont pas importés si cette option est sélectionnée.

Conserver les remplacements locaux Lorsque vous choisissez de supprimer les styles et la mise en forme du texte et

des tableaux, vous pouvez sélectionner l’option Conserver les remplacements locaux pour conserver la mise en forme des caractères (par exemple le gras ou l’italique) appliquée à une partie d’un paragraphe. Désélectionnez cette option si vous souhaitez supprimer toute la mise en forme.

Convertir les tableaux en Lorsque vous choisissez de supprimer les styles et la mise en forme du texte et des tableaux, vous pouvez convertir les tableaux soit en tableaux basiques sans mise en forme, soit en texte brut délimité par des tabulations.

Si vous souhaitez importer du texte non mis en forme et des tableaux mis en forme, importez le texte sans mise en forme, puis collez les tableaux de Word dans InDesign.

Conserver les styles et la mise en forme du texte et des tableaux Conserve la mise en forme des documents Word

dans le document InDesign ou InCopy. Vous pouvez utiliser les autres options de la section Mise en forme pour déterminer la façon dont les styles et la mise en forme sont conservés.

Sauts de page manuels Détermine la mise en forme des sauts de page du fichier Word dans InDesign ou InCopy. Sélectionnez l’option Conserver les sauts de pages pour utiliser les sauts de page de Word ou sélectionnez l’option Convertir en sauts de colonnes ou Aucune césure.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Convertir les puces et numéros en texte Importe les puces et les numéros sous forme de vrais caractères, en préservant l’apparence du paragraphe. Toutefois, dans les listes numérotées, les numéros ne sont pas mis à jour automatiquement lorsque les éléments de la liste sont modifiés. Suivi des modifications Si vous sélectionnez cette option, des balises de suivi des modifications du document Word apparaîtront dans le document InDesign. Dans InDesign, vous pouvez afficher le suivi des modifications en mode Editeur. Importer les styles automatiquement Importe les styles à partir du document Word dans le document InDesign

ou InCopy. Si un triangle jaune apparaît en regard de Conflits de noms de styles, cela signifie qu’un ou plusieurs styles de paragraphe ou de caractère ont le même nom qu’un style InDesign.

Pour déterminer la façon dont les conflits sont gérés, sélectionnez une option dans le menu Conflits de styles de paragraphe et Conflits de styles de caractère. Si vous choisissez l’option Utiliser la définition du style InDesign, le texte du style importé est mis en forme avec le style InDesign. Si vous choisissez l’option Redéfinir le style InDesign, le texte du style importé est mis en forme en utilisant le style de Word, et le texte InDesign existant formaté avec le style Word est modifié. Si vous choisissez Renommer automatiquement, les styles Word importés sont renommés. Par exemple, si InDesign et Word ont tous deux un style nommé Sous-titre, le style Word importé est renommé Sous-titre_wrd_1 si l’option Renommer automatiquement est sélectionnée. Remarque : InDesign convertit les styles de paragraphe et de caractère, pas les styles de listes à puces et numérotées. Personnaliser l’importation des styles Permet d’utiliser la boîte de dialogue Correspondance de style pour sélectionner le style InDesign à utiliser pour chaque style Word dans le document importé. Enreg. prédéfini Stocke les options d’importation de Word actives pour une utilisation ultérieure. Spécifiez les options

d’importation, cliquez sur Enreg. prédéfini, saisissez un nom et cliquez sur OK. La prochaine fois que vous importerez un style Word, vous pourrez sélectionner l’enregistrement prédéfini créé dans le menu Style prédéfini. Cliquez sur

Utiliser par défaut pour utiliser le style prédéfini sélectionné comme style par défaut pour les importations futures de documents Word.

Options d’importation de fichier texte

Si vous sélectionnez l’option Afficher les options d’importation lors de l’importation d’un fichier texte, vous disposez des options suivantes : Jeu de caractères Spécifie le jeu de caractères du langage de l’ordinateur, par exemple ANSI, Unicode UTF8 ou Windows CE, utilisé pour créer le fichier texte. La sélection par défaut est le jeu de caractère correspondant à la langue et à la plate-forme par défaut d’InDesign ou InCopy. Plate-forme Indique si le fichier a été créé sous Windows ou Mac OS. Définir le dictionnaire sur Indique le dictionnaire à utiliser pour le texte importé. Retours chariot supplémentaires Indique la méthode d’importation des retours chariot supplémentaires utilisée. Sélectionnez l’option Supprimer en fin de ligne ou Supprimer entre les paragraphes. Remplacer Remplace le nombre d’espaces spécifié par une tabulation. Utiliser les guillemets typographiques Garantit que le texte importé comprend les guillemets ouvrant et fermant (“ ”)

et les apostrophes (’) anglais au lieu des guillemets (" ") et apostrophes (') droits.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Plage de cellules Indique la plage de cellules, en utilisant le signe deux-points (:) pour désigner la plage (telle que A1:G15). S’il existe des plages nommées dans la feuille de calcul, ces noms apparaissent dans le menu Plage de cellules. Importer les cellules masquées non enregistrées dans cette vue Importe les cellules définies comme cellules masquées

dans la feuille de calcul Excel.

Tableau Définit l’affichage des informations du tableur dans le document.

• Tableau mis en forme InDesign essaie de préserver la même mise en forme utilisée dans Excel, même si la mise en forme du texte dans chaque cellule risque de ne pas être conservée. Si la feuille de calcul est liée plutôt qu’incorporée, la mise à jour du lien prendra le pas sur toute mise en forme appliquée au tableau dans InDesign.

• Tableau non mis en forme Le tableau est importé sans conserver aucune mise en forme de la feuille de calcul. Lorsque cette option est sélectionnée, vous pouvez appliquer un style de tableau au tableau importé. Si vous mettez en forme du texte en utilisant des styles de paragraphe et de caractère, la mise en forme est préservée, même si vous mettez à jour le lien à la feuille de calcul. • Texte tabulé non mis en forme Le tableau est importé sous forme de texte tabulé que vous pouvez ensuite convertir en tableau dans InDesign ou InCopy. • Mis en forme une seule fois InDesign préserve la même mise en forme utilisée dans Excel lors de l’importation initiale. Si la feuille de calcul est liée et non incorporée, les modifications de la mise en forme du tableau lié sont ignorées lorsque le lien est mis à jour. Cette option n’est pas disponible dans InCopy. Style de tableau Applique le style de tableau que vous spécifiez au document importé. Cette option n’est disponible que si l’option Tableau non mis en forme est sélectionnée. Alignement des cellules Indique l’alignement des cellules pour le document importé. Importer les images texte Conserve les images texte du document Excel dans InDesign. Nombre de décimales à inclure Indique le nombre de décimales présentes dans les chiffres de la feuille de calcul. Utiliser les guillemets typographiques Garantit que le texte importé comprend les guillemets ouvrant et fermant (“ ”)

et les apostrophes (’) anglais au lieu des guillemets (" ") et apostrophes (') droits.

Options d’importation de texte référencé

Vous pouvez importer (ou exporter) un fichier texte pouvant bénéficier des capacités de mise en forme InDesign en utilisant le format Texte référencé. Les fichiers Texte référencé sont des fichiers au format texte seulement contenant des informations qui décrivent la mise en forme que vous voulez appliquer dans InDesign. Du texte correctement référencé peut décrire presque tous les éléments pouvant apparaître dans un article InDesign, y compris tous les attributs de niveau de paragraphe ou de caractère et tous les caractères spéciaux. Pour plus de détails sur la définition de balises, consultez le fichier PDF relatif au texte référencé à l’adresse suivante : www.adobe.com/go/learn_id_taggedtext_cs5_fr (PDF). Les options suivantes sont disponibles lors de l’importation d’un fichier texte référencé si vous avez sélectionné l’option Afficher les options d’importation dans la boîte de dialogue Importer. Utiliser les guillemets typographiques Garantit que le texte importé comprend les guillemets ouvrant et fermant (“ ”)

et les apostrophes (’) anglais au lieu des guillemets (" ") et apostrophes (') droits.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Afficher la liste des références de problèmes avant l’importation Affiche une liste des références non reconnues. Si

une liste apparaît, vous pouvez choisir d’annuler ou de poursuivre l’importation. Si vous continuez, le fichier importé risque de présenter un aspect inattendu.

Pour enregistrer les options d’importation Word ou RTF en tant que paramètres prédéfinis

1 Lorsque vous importez un fichier Word ou RTF, assurez-vous d’activer l’option Afficher les options d’importation,

importation d’un fichier de ce type.

Vous pouvez ensuite sélectionner des paramètres prédéfinis depuis le menu Paramètre prédéfini de la boîte de dialogue Options d’importation chaque fois que vous ouvrez un fichier Word ou RTF.

Importation de documents Buzzword

Buzzword est un éditeur de texte en ligne qui permet aux utilisateurs de créer et de stocker des fichiers texte sur un serveur Web. InDesign CS5 permet d’importer et d’exporter du texte à partir de documents Buzzword. Lorsque vous importez un document Buzzword, un lien de type adresse URL pointant vers le document Buzzword stocké sur le serveur est créé. Lorsque le document Buzzword est mis à jour en dehors d’InDesign, vous pouvez actualiser la version importée dans InDesign au moyen du panneau Liens. Cette opération entraînera néanmoins la suppression des modifications que vous avez apportées au texte Buzzword dans InDesign. Remarque : l’application Buzzword d’Acrobat.com est actuellement disponible en allemand, anglais et français. 1 Choisissez la commande Fichier > Importer de Buzzword. 2 Si vous n’êtes pas déjà connecté à CS Live, cliquez sur l’option Inscription, indiquez votre adresse électronique et

votre mot de passe, puis cliquez de nouveau sur l’option Inscription.

Une fois la connexion établie, la boîte de dialogue Importer des documents Buzzword affiche une liste des documents Buzzword que vous pouvez importer. 3 Sélectionnez les documents Buzzword à importer. Vous pouvez également coller l’adresse URL du document voulu

dans le champ prévu à cet effet.

4 Sélectionnez les options suivantes selon les besoins, puis cliquez sur le bouton OK. Afficher les options d’importation Si vous sélectionnez cette option, la boîte de dialogue Options d’importation

Buzzword s’affiche avant l’importation du fichier.

Remplacer l’élément sélectionné Sélectionnez cette option pour remplacer l’objet actuellement sélectionné dans le

Dernière mise à jour le 18/5/2011

de dialogue Options d’importation Buzzword. Cette boîte de dialogue propose des options pour la plupart identiques à celles de la boîte de dialogue Options d’importation RTF (voir la section « Options d’importation Microsoft Word et format RTF » à la page 147). Aucune fonction de style n’est actuellement disponible dans Buzzword ; les options de style ne sont donc pas valides pour l’instant. 6 Cliquez sur l’icône de texte chargé ou faites-la glisser pour créer un bloc de texte.

« Exportation de contenu vers Buzzword » à la page 135

à jour le contenu d’un fichier ou rompre son lien (l’incorporer) en toute simplicité au moyen du panneau Liens.

1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour appliquer ce changement à un document, ouvrez le document.

• Pour appliquer ce changement à tout nouveau document que vous créez, fermez tous les documents. 2 Choisissez la commande Edition > Préférences > Gestion des fichiers (Windows) ou InDesign > Préférences >

Gestion des fichiers (Mac OS).

3 Pour créer des liens dans des fichiers importés, sélectionnez Créer des liens avec les fichiers de texte et de feuilles

de calcul importés. Si cette option est activée, le panneau Liens vous permet de mettre à jour, rétablir ou supprimer des liens. Si cette option est désactivée, les fichiers texte sont incorporés et non liés.

Pour rompre le lien (incorporer) un fichier texte lié, sélectionnez ce fichier dans le panneau Liens, puis choisissez la commande Rompre le lien dans le menu de ce panneau.

« Gestion des liens de graphiques » à la page 424 « Conversion des styles Word en styles InDesign » à la page 218

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Tous les blocs de texte contiennent un port d’entrée et un port de sortie, qui sont utilisés pour les relier les uns aux autres. Des ports d’entrée ou de sortie vides indiquent respectivement le début ou la fin d’un article. Une flèche dans un port signifie que le bloc correspondant est lié à un autre bloc. Un signe plus rouge (+) dans un port de sortie signifie que le texte de l’article n’est pas terminé mais qu’il n’y a plus de bloc de texte où le placer. Le texte restant et invisible est appelé texte en excès.

« Déplacement et redimensionnement de blocs de texte » à la page 137

Pour ajouter un nouveau bloc au lien

1 A l’aide de l’outil Sélection

, sélectionnez un bloc de texte, puis cliquez sur le port d’entrée ou de sortie pour

charger une icône de texte.

Cliquez sur le port d’entrée pour ajouter un bloc avant le bloc sélectionné. Inversement, cliquez sur le port de sortie pour ajouter un bloc après le bloc sélectionné. 2 Positionnez l’icône de texte chargée

à l’endroit où vous souhaitez insérer un nouveau bloc de texte, puis cliquez ou faites glisser le pointeur pour créer un bloc de texte.

Lorsque l’icône de texte chargée est active, vous pouvez effectuer de nombreuses actions, comme tourner des pages, créer des pages et effectuer des zoom avant et arrière. Vous pouvez annuler un processus de liaison de blocs de texte en cours en cliquant sur n’importe quel outil du panneau Outils. Aucun texte ne sera perdu.

Pour ajouter un bloc existant au lien

1 A l’aide de l’outil Sélection, sélectionnez un bloc de texte, puis cliquez sur le port d’entrée ou de sortie pour charger

une icône de texte.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

3 Cliquez à l’intérieur du second bloc pour le lier au premier.

Vous pouvez ajouter automatiquement une mention de tourne, comme « suite à la page » ou « suite de la page », pour suivre les articles liés d’un bloc à un autre (voir la section « Numérotation automatique des pages pour les sauts d’article » à la page 98).

Pour ajouter un bloc à une séquence de blocs liés

1 A l’aide de l’outil Sélection, cliquez sur le port de sortie correspondant à l’emplacement de l’article où vous

souhaitez ajouter un bloc. Lorsque vous relâchez le bouton de la souris, une icône de texte chargé apparaît.

2 Faites glisser le curseur pour créer un bloc, ou sélectionnez un autre bloc de texte. InDesign lie le bloc à la série de

blocs liés contenant l’article.

Ajout d’un bloc à l’intérieur d’un lien (en haut) et résultat (en bas)

Lorsque vous supprimez le lien à un bloc de texte, vous rompez le lien qui relie le bloc à tous les blocs suivants du lien. Le texte qui auparavant apparaissait dans les blocs devient du texte en excès (aucun texte n’est supprimé). Tous les blocs suivants sont vides. ❖ A l’aide de l’outil Sélection, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez deux fois dans un port d’entrée ou de sortie pour rompre le lien entre deux blocs.

• Cliquez sur un port d’entrée ou de sortie représentant un lien vers un autre bloc. Par exemple, dans le cas d’un lien constitué de deux blocs, cliquez soit sur le port de sortie du premier bloc, soit sur le port d’entrée du second bloc. Positionnez l’icône de texte chargée sur le bloc précédent ou suivant pour afficher l’icône de suppression de lien . Cliquez sur le bloc à supprimer du lien.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez rompre le lien d’un bloc et coller le bloc ailleurs. Le bloc est supprimé, avec une copie du texte, mais le texte n’est pas supprimé de l’article d’origine. Lorsque vous coupez et collez plusieurs blocs liés en même temps, les blocs collés conservent leurs liens les uns aux autres mais perdent leur lien aux autres blocs de l’article d’origine. 1 Sélectionnez l’outil Sélection, sélectionnez un ou plusieurs blocs (maintenez la touche Maj enfoncée tout en

cliquant pour sélectionner plusieurs objets).

2 Choisissez Edition > Couper. Le bloc disparaît et le texte qu’il contenait se poursuit dans le bloc suivant de l’article.

Lorsque vous coupez le dernier bloc d’un article, le texte est stocké en tant que texte en excès dans le bloc précédent.

3 Si vous souhaitez utiliser le bloc dont avez supprimé le lien ailleurs dans le document, accédez à la page dans laquelle

vous souhaitez insérer le texte et choisissez Edition > Coller.

Pour supprimer un bloc de texte lié

Lorsque vous supprimez un bloc de texte faisant partie d’un lien, le texte n’est pas supprimé mais il devient du texte en excès ou il se poursuit dans le bloc suivant. Si le bloc de texte n’est pas relié à un autre bloc, le bloc et le texte sont tous deux supprimés. 1 Pour sélectionner le bloc de texte, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Sélectionnez l’outil Sélection, puis cliquez sur le bloc.

• Sélectionnez l’outil Texte, maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée et cliquez sur le bloc. 2 Appuyez sur Retour arrière ou Suppr.

Placement automatique ou manuel de texte

Lorsque vous avez importé du texte ou cliqué sur un port d’entrée ou de sortie, le pointeur prend la forme d’une icône de texte chargée . Cette icône permet de placer du texte dans les pages. Vous pouvez déterminer la façon dont le texte sera placé en maintenant une touche de modification enfoncée. L’icône de texte chargée change de forme selon l’endroit où elle est placée. Lorsque vous positionnez l’icône de texte chargée sur un bloc de texte, l’icône est encadrée par des parenthèses . Lorsque vous positionnez l’icône de texte chargée en regard du point de magnétisme d’un repère ou d’une grille, le pointeur noir devient blanc . Vous pouvez placer du texte de quatre façons :

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Similaire au placement manuel, mais le pointeur se transforme en icône de texte chargée à chaque fin de bloc, jusqu’à ce que tout le texte soit placé.

Placement automatique touche Maj enfoncée

en cliquant tout en maintenant la

Placement automatique de pages fixes en cliquant tout en maintenant les touches Maj+Alt (Windows) ou Maj+Option (Mac OS) enfoncées

Ajoute des pages et des blocs jusqu’à ce que tout le texte soit placé dans le document.

Place tout le texte dans le document en ajoutant les blocs nécessaires sans ajouter de pages. Le texte restant est composé en excès.

Pour consulter un didacticiel vidéo sur l’importation et le placement de texte, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid4278_id_fr.

Pour placer du texte manuellement

1 Avec la commande Importer, sélectionnez un fichier, ou cliquez sur le port de sortie

d’un bloc de texte

• Positionnez l’icône de texte chargée dans une colonne pour créer un bloc de texte de la largeur de cette colonne. Le haut du bloc apparaît là où vous cliquez.

• Faites glisser l’icône de texte chargée pour créer un bloc de texte de la largeur et de la hauteur de la zone que vous définissez.

3 S’il y a trop de texte à importer, cliquez sur le port de sortie et répétez les étapes 1 et 2 jusqu’à ce que le texte soit

entièrement importé.

Remarque : lorsque vous importez du texte dans un bloc lié, le texte se poursuit automatiquement dans les blocs liés, quelle que soit la méthode de placement choisie.

Pour placer du texte semi-automatiquement

❖ Avec une icône de texte chargée, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée tout en

cliquant sur une page ou un bloc.

Le texte est placé dans une colonne à la fois, comme avec le placement manuel, mais l’icône de texte chargée se recharge automatiquement chaque fois qu’une colonne est remplie.

Pour placer du texte automatiquement

❖ L’icône de texte chargée étant affichée, maintenez la touche Maj enfoncée tout en effectuant l’une des opérations

• Cliquez sur l’icône de texte chargée dans une colonne pour créer un bloc de la largeur de cette colonne. InDesign crée de nouveaux blocs de texte et de nouvelles pages de document jusqu’à ce que tout le texte soit placé dans le document.

❖ Avec une icône de texte chargée, maintenez les touches Maj+Alt (Windows) ou Maj+Option (Mac OS) enfoncées.

Redistribution intelligente du texte

La fonction Redistribution intelligente du texte permet d’ajouter ou de supprimer des pages pendant la saisie ou la modification de texte. Elle vous sera précieuse si vous utilisez InDesign comme un éditeur de texte et désirez ajouter une nouvelle page dès que le texte que vous saisissez déborde de la page en cours. Cette fonction permet en outre d’éviter d’avoir du texte en excès ou des pages vides si la répartition change lorsque vous modifiez le texte, affichez ou masquez le texte conditionnel, ou effectuez d’autres modifications de répartition. Par défaut, la fonction Redistribution intelligente du texte est limitée aux blocs de texte types, c’est-à-dire, ceux situés sur un gabarit. Si le document inclut des pages en vis-à-vis, les blocs de texte types doivent apparaître à gauche et à droite des gabarits. Ils doivent par ailleurs être liés pour que la Redistribution intelligente du texte puisse fonctionner. Vous pouvez modifier les paramètres pour permettre l’ajout ou la suppression de pages lorsque vous travaillez dans des blocs de texte qui ne sont pas basés sur les gabarits. Toutefois, pour que la Redistribution intelligente du texte puisse se faire, le bloc de texte doit être lié à au moins un autre bloc de texte d’une page différente. Les paramètres de la fonction Redistribution intelligente du texte apparaissent dans les préférences de Texte. Ils s’appliquent au document actif. Pour modifier les paramètres par défaut des nouveaux documents, fermez au préalable tous les documents. 1 Choisissez Edition > Préférences > Texte (Windows) ou InDesign > Préférences > Texte (Mac OS). 2 Sélectionnez l’option Redistribution intelligente du texte. 3 Sélectionnez les options suivantes selon les besoins, puis cliquez sur OK. Ajouter les pages à Cette option permet de déterminer l’emplacement de création de la nouvelle page. Admettons par

exemple que votre document comporte trois pages contenant des blocs de texte sur les deux premières et une image pleine page sur la troisième. Si vous saisissez du texte jusqu’à la fin de la deuxième page, vous pouvez déterminer si la nouvelle page est ajoutée avant ou après l’illustration de la troisième page. Choisissez l’option Fin de l’article pour insérer une page après la deuxième. En revanche, si vous voulez insérer la page après la page de l’illustration, choisissez l’option Fin du document.

Dans les documents comportant plusieurs sections, vous pouvez choisir l’option Fin de la section pour ajouter la page à la fin de la section. Limiter aux blocs de texte types Si cette option est désactivée, vous pouvez aussi ajouter ou supprimer des pages

lorsque vous modifiez des blocs de texte qui ne sont pas basés sur des gabarits. Afin d’éviter la redistribution de texte non souhaitée, la fonction Redistribution intelligente du texte ne s’applique que si le bloc de texte que vous modifiez est lié à au moins un autre bloc de texte d’une autre page.

Remarque : lorsque vous utilisez la redistribution intelligente du texte dans des blocs de texte qui ne sont pas basés sur des gabarits, les pages sont ajoutées avec des blocs de texte pleine page d’une seule colonne, quels que soient les attributs du bloc de texte auquel le nouveau bloc est lié. Conserver les planches de pages en vis-à-vis Cette option détermine si les liens des pages en vis-à-vis sont conservés lors de la redistribution de texte au milieu d’un document. Si cette option est sélectionnée lorsque du texte est redistribué au milieu du document, une nouvelle planche de deux pages est ajoutée. Si elle n’est pas sélectionnée, une seule nouvelle page est insérée et les pages suivantes sont réorganisées.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour voir comment la fonction Redistribution intelligente du texte peut vous permettre d’utiliser InDesign comme éditeur de texte, créez un document en désactivant l’option Pages en vis-à-vis et en sélectionnant l’option Bloc de texte type. Dans les préférences de Texte, assurez-vous que les options Redistribution intelligente du texte et Supprimer les pages vides sont sélectionnées. Sur la première page, appuyez sur Ctrl+Maj (Windows) ou Commande+Maj (Mac OS) et cliquez sur le bloc de texte type pour l’ignorer. Lorsque vous saisissez assez de texte pour remplir ce bloc de texte, InDesign ajoute automatiquement une nouvelle page et un nouveau bloc de texte. Si vous supprimez suffisamment de texte, une page est supprimée.

Les articles permettent aisément de mettre en relation les divers éléments d’une page. Les liens ainsi établis sont pratiques pour définir le contenu à exporter au format EPUB, HTML ou PDF accessible et pour définir l’ordre du contenu. Vous pouvez créer des articles à partir d’une variété d’éléments de page déjà présents dans une mise en page, notamment des images, des graphiques ou du texte. Une fois l’article créé, vous pouvez ajouter des éléments de page, en supprimer ou les réorganiser. Il est possible de créer manuellement des articles en faisant glisser un ou plusieurs éléments de page vers un article du panneau Articles. Vous pouvez également ajouter du contenu volumineux à un article. L’ajout de contenu sélectionné à un article sélectionné et l’ajout d’un document entier à un article sont pris en charge. Remarque : le panneau Structure XML permet, par un autre moyen, de choisir l’ordre du contenu à exporter vers des flux de travail d’exportation ePub, HTML et PDF accessibles. Le panneau Articles se veut plus simple, plus facile d’utilisation et plus accessible, à l’attention des utilisateurs sans compétences particulières en langage XML. Le panneau Structure XML reste cependant utilisable, parallèlement au panneau Articles pendant le processus d’exportation (voir la section « Structuration des documents au format XML » à la page 644).

Création d’un article et ajout d’un contenu

1 Choisissez Fenêtre > Articles, pour ouvrir le panneau Articles. 2 Sélectionnez les éléments de page à ajouter à l’article.

Pour créer un article vide, ne sélectionnez aucun élément de page dans la mise en page.

3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans le menu du panneau Articles, choisissez Nouvel article.

• Cliquez sur Créer un nouvel article

en bas du panneau Articles.

• Faites glisser un article ou un élément de page jusqu’au panneau Articles.

4 Dans la boîte de dialogue Nouvel article, nommez l’article. 5 Sélectionnez Inclure lors de l’exportation, pour ajouter l’article à la sortie d’exportation au format EPUB/HTML.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Choisissez Fenêtre > Articles, pour ouvrir le panneau Articles. 2 Sélectionnez l’article auquel ajouter les éléments. Si vous ne sélectionnez pas d’article, un nouvel article est créé. 3 Appuyez sur la touche Commande (Mac OS) ou Ctrl (Windows) et cliquez sur le signe

dans le panneau Articles.

4 Si la boîte de dialogue Nouvel article s’affiche, nommez l’article.

5 Sélectionnez Inclure lors de l’exportation, pour ajouter l’article à l’exportation au format EPUB/HTML.

Si vous avez sélectionné un article, choisissez Ajouter le contenu du document aux articles sélectionnés dans le menu du panneau Articles.

Gestion des articles

Vous pouvez gérer les articles à l’aide du panneau Articles. Vous pouvez faire glisser des éléments de page vers le panneau Articles pour les ajouter à un article. Vous pouvez également faire glisser des éléments dans le panneau Articles pour les réordonner ou les déplacer d’un article à un autre. Le menu contextuel du panneau Articles comporte également des options de gestion de contenu.

Inclusion d’articles pour l’exportation

Vous pouvez créer des articles et sélectionner ceux que vous souhaitez inclure à l’exportation au format EPUB ou HTML. Par défaut, tous les articles sont sélectionnés en vue de leur exportation. Pour inclure un article lors de l’exportation, dans le panneau Articles, sélectionnez l’article, puis utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cochez la case située en regard de l’article.

• Choisissez Options de l’article dans le menu contextuel du panneau Articles, puis sélectionnez Inclure lors de l’exportation.

Articles liés (CS 5.5)

La réplication de contenus d’une page à l’autre n’est pas chose simple, sans compter que les manipulations de contenu par copier-coller favorisent le risque d’erreur et prennent un temps considérable. Les articles liés se révèlent des plus utiles pour gérer plusieurs versions d’un article ou contenu textuel dans un seul et même document. Les articles liés simplifient la prise en charge des nouveaux flux de travail, qui supposent notamment d’élaborer des mises en page verticale et horizontale. Les articles liés se prêtent tout aussi bien aux flux de travail de l’univers traditionnel de l’impression et de la publication, qui peuvent nécessiter de synchroniser du texte standard sur plusieurs pages. Le principe des articles liés s’apparente à celui des liens traditionnels (voir la section « Utilisation du panneau Liens » à la page 426 pour une présentation). Vous pouvez définir un article comme parent puis placer ce même article à d’autres endroits dans le document comme articles enfants. A chaque mise à jour de l’article parent, les articles enfants sont signalés dans le panneau Liens, ce qui vous permet de les mettre à jour et ainsi de les synchroniser avec l’article parent. Vous pouvez créer des articles liés en utilisant des articles ordinaires ou des articles de texte curviligne. Les objets ancrés intra-articles sont également compatibles. Les articles liés restent synchronisés même après la mise à jour d’un style InDesign appliqué.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Choisissez Edition > Importer et lier l’article. L’article est chargé dans le curseur. 3 Cliquez à l’intérieur d’un bloc de texte vide existant ou tracez un bloc pour y placer l’article lié.

L’icône apparaît dans l’angle supérieur gauche d’un article lié. L’article apparaît comme article lié dans le panneau Liens. Par défaut, le nom de l’article affiché dans le panneau Liens emprunte les premiers caractères de l’article original.

Vous pouvez également changer le nom par défaut de l’article lié à partir du panneau Calques.

Définition des options de l’article lié

1 Dans le panneau Liens, sélectionnez l’article lié. 2 Dans le menu du panneau Liens, choisissez Options d’article lié. 3 Sélectionnez les options qui vous conviennent :

• Mettre à jour le lien lors de l’enregistrement du document

• Avertir si la mise à jour des liens remplace les modifications locales • Supprimer les sauts de ligne forcés Pour définir les options d’article par défaut, fermez tous les documents ouverts, ouvrez le menu du panneau Liens, puis choisissez Options d’article lié. Pour définir les options de l’article lié pendant sa création, choisissez Edition > Importer et lier l’article tout en maintenant la touche Maj enfoncée.

Mise à jour d’un article lié

En cas de modification d’un article original, l’icône ❖ Dans le panneau Liens, cliquez deux fois sur l’icône

apparaît en regard de l’article lié dans le panneau Liens. pour mettre à jour l’article enfant.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Modification de l’article original Pendant que vous travaillez sur un article lié, si vous avez besoin d’accéder à l’article original, procédez comme suit : 1 Dans le panneau Liens, sélectionnez l’article lié. 2 Cliquez sur

ou choisissez Modifier l’original dans le menu du panneau Liens (

• Faites glisser le pointeur en I sur un caractère, un mot ou un bloc de texte pour le sélectionner. • Cliquez deux fois sur un mot pour le sélectionner. Les espaces adjacents au mot ne sont pas sélectionnés. • Cliquez trois fois n’importe où sur une ligne pour la sélectionner. Si l’option Cliquer trois fois pour sélectionner une ligne n’est pas sélectionnée, le triple clic sélectionne le paragraphe entier.

• Si l’option Cliquer trois fois pour sélectionner une ligne est sélectionnée, cliquez quatre fois n’importe où sur un paragraphe pour le sélectionner en entier.

• Cliquez cinq fois pour sélectionner un article entier ou cliquez n’importe où dans l’article et choisissez Edition >

Tout sélectionner. Si vous ne parvenez pas à sélectionner le texte dans un bloc, cela peut signifier que ce bloc de texte se trouve sur un calque verrouillé ou sur un gabarit. Essayez de déverrouiller le calque ou d’accéder au gabarit. Il se peut également que le bloc de texte soit situé sous un autre bloc de texte ou un objet transparent (voir la section « Pour sélectionner du texte dans un bloc couvert » à la page 160).

« Navigation et sélection du texte » à la page 765

Pour modifier l’action du triple clic

1 Choisissez Edition > Préférences > Texte (Windows) ou InDesign > Préférences > Texte (Mac OS). 2 Sélectionnez la commande Cliquer trois fois pour sélectionner une ligne afin d’activer la sélection de la ligne

(paramètre par défaut). Désélectionnez cette option pour sélectionner le paragraphe.

Pour sélectionner du texte dans un bloc couvert

1 A l’aide de l’outil Sélection

, maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée et cliquez pour sélectionner le bloc de texte.

2 Sélectionnez l’outil Texte, puis cliquez à l’intérieur du bloc de texte ou sélectionnez du texte.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Les caractères non imprimables, par exemple les espaces, les tabulations, les fins de paragraphes, les marqueurs d’index et les fins d’articles apparaissent. Ces caractères spéciaux ne sont visibles que dans les fenêtres de document et en mode éditeur ; ils ne s’impriment pas et ne sont pas reproduits dans les fichiers au format PDF et XML par exemple. Les caractères masqués sont affichés dans la même couleur que la couleur du calque.

Caractères non imprimables masqués (en haut) et visibles (en bas)

Anne Marie Concepcion propose une liste détaillée de caractères spéciaux sous le titre Free Guide to InDesign Special

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Saut de bloc Saut de page Saut de page impaire Saut de page paire Saut de ligne forcé Note InCopy Note InCopy (en mode éditeur) Marqueur d’emplacement (InCopy uniquement) 1 Sélectionnez l’outil Texte, puis cliquez pour créer un point d’insertion à l’endroit où vous voulez insérer le saut. 2 Choisissez Texte > Insérer un caractère de saut, puis sélectionnez une option de saut dans le sous-menu.

Vous pouvez également créer des sauts à l’aide de la touche Entrée du pavé numérique. Pour insérer un saut de colonne, appuyez sur la touche Entrée. Pour insérer un saut de bloc, appuyez sur les touches Maj+Entrée et pour insérer un saut de page, appuyez sur les touches Ctrl+Entrée (Windows) ou Commande+Retour (Mac OS).

Pour supprimer un caractère de saut, choisissez Texte > Afficher les caractères masqués, afin de voir les caractères non imprimables, puis sélectionnez et supprimez le caractère de saut. Remarque : si vous créez un saut en modifiant des paramètres de paragraphe (par exemple des options d’enchaînement), le saut est inséré avant le paragraphe concerné. Si vous créez un saut à l’aide d’un caractère spécial, il est inséré immédiatement après ce caractère spécial.

« Contrôle des sauts de paragraphe » à la page 284

Les options suivantes apparaissent dans le menu Texte > Insérer un caractère de saut : Saut de colonne Insère le texte dans la colonne suivante du bloc de texte actif. Si celui-ci comporte une seule colonne, le texte est inséré dans le bloc lié suivant.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Insère le texte dans la page impaire suivante contenant un bloc de texte lié au bloc de texte

Saut de page paire Saut de paragraphe

Insère le texte dans la page paire suivante contenant un bloc de texte lié au bloc de texte actif.

Insère un saut de paragraphe (même résultat qu’en appuyant sur la touche Entrée ou Retour).

Force le retour à la ligne à l’endroit où ce caractère est inséré, sans commencer un nouveau paragraphe (même résultat qu’en appuyant sur les touches Maj+Entrée ou Maj+Retour). On parle également de

« retour chariot » pour désigner un saut de ligne forcé.

Saut de ligne forcé

Saut de ligne conditionnel

Indique où une ligne de texte doit s’interrompre si cela est nécessaire. Un saut de ligne conditionnel est semblable à un tiret conditionnel, à la différence qu’aucun tiret n’est ajouté à l’endroit du saut de ligne.

Des options de saut associées sont disponibles dans les boîtes de dialogue Options d’enchaînement et Options de style de paragraphe.

Utilisation du mode éditeur

Vous pouvez éditer du texte dans InDesign dans la fenêtre de mise en page ou du mode éditeur. Ecrire ou apporter des modifications dans la fenêtre du mode éditeur permet d’afficher l’article avec le type de caractères, le corps et l’espacement que vous spécifiez dans la boîte de dialogue Préférences, sans la mise en page ou la mise en forme. La fenêtre du mode éditeur permet également d’afficher le suivi des modifications apportées au texte. Chaque article s’affiche dans une fenêtre différente du mode éditeur. Tout le texte de l’article s’affiche dans le mode éditeur, y compris le texte en excès. Vous pouvez ouvrir plusieurs fenêtres du mode éditeur simultanément, et plusieurs copies du même article. Une règle de profondeur verticale indique la quantité de texte par rapport au bloc, et une ligne indique là où le texte est en excès. Lorsque vous éditez un article, les modifications s’affichent dans la fenêtre de mise en page. Les articles ouverts sont répertoriés dans le menu Fenêtre. Le mode éditeur ne permet pas de créer de nouvel article.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Si le suivi des modifications est activé, vous pouvez également visualiser le texte ajouté, supprimé ou modifié en mode éditeur (voir la section « Suivi et révision des corrections » à la page 208).

« Utilisation des tableaux en mode éditeur » à la page 323 « Suivi et révision des corrections » à la page 208

Pour ouvrir le mode éditeur

1 Sélectionnez le bloc de texte, cliquez sur un point d’insertion dans le bloc ou sélectionnez plusieurs blocs dans

différents articles.

2 Choisissez la commande Edition > Modifier en mode éditeur.

Pour ouvrir une autre instance de la même fenêtre du mode éditeur, activez le mode éditeur et choisissez Fenêtre >

Disposition > Nouvelle fenêtre.

Pour revenir à la fenêtre de mise en page

❖ Dans le mode éditeur, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez la commande Edition > Mode mise en page. La fenêtre de mise en page affiche la sélection de texte ou le point d’insertion tels qu’ils figuraient auparavant dans le mode éditeur. La fenêtre du mode éditeur reste ouverte, mais en arrière-plan de la fenêtre de mise en page.

• Cliquez dans la fenêtre de mise en page. La fenêtre du mode éditeur reste ouverte, mais en arrière-plan de la fenêtre de mise en page.

• Fermez la fenêtre du mode éditeur.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez afficher ou masquer la colonne du nom de style et la règle de profondeur, développer ou réduire les notes de bas de page, et afficher ou masquer les sauts de paragraphe pour indiquer le début des nouveaux paragraphes. Ces paramètres affectent toutes les fenêtres ouvertes du mode éditeur, ainsi que toutes celles qui seront ouvertes ultérieurement.

• Activez le mode éditeur, puis choisissez Affichage > Mode édition > Afficher la colonne Nom du style ou Masquer la colonne Nom du style. Vous pouvez également ajuster la largeur de la colonne Nom du style en faisant glisser la barre verticale. Les fenêtres du mode éditeur ouvertes par la suite conservent cette largeur de colonne.

• Activez le mode éditeur, puis choisissez Affichage > Mode édition > Afficher la règle de profondeur ou Masquer la règle de profondeur.

• Activez le mode éditeur, puis choisissez la commande Affichage > Mode édition > Développer toutes les notes de bas de page ou Réduire toutes les notes de bas de page.

éditeur ne laisse que les attributs de texte les plus basiques, certains objets et attributs sont représentés, comme indiqué dans le tableau ci-dessous :

Dernière mise à jour le 18/5/2011

utilise les niveaux de gris pour lisser le texte). L’option Spécial écrans LCD lisse le texte à l’aide des couleurs et non des niveaux de gris ; elle est plus efficace sur les arrière-plans de couleur claire comportant du texte en noir. L’option Tamisé utilise les niveaux de gris, mais offre un aspect plus clair et plus flou que l’option Par défaut. Options du curseur Vous pouvez modifier l’aspect du curseur. Sélectionnez l’option Clignotement par exemple si

vous souhaitez que le curseur clignote.

L’habillage de texte d’un objet texte ne s’affiche pas dans la fenêtre parent du mode éditeur, mais peut s’afficher dans sa propre fenêtre du mode éditeur.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

« Redistribution intelligente du texte » à la page 156

Dernière mise à jour le 18/5/2011

être souhaitable de créer deux versions, une pour Windows et une pour Mac OS. Si vous souhaitez insérer des commentaires de rédaction à certains endroits du texte lors de la révision, vous aurez besoin de quatre versions, à savoir Mac OS avec commentaires, Mac OS sans commentaires, Windows avec commentaires et Windows sans commentaires.

Pour les documents comportant de nombreuses conditions, vous pouvez définir des ensembles de conditions qui peuvent être appliqués au document et ainsi permettre la création rapide de nouvelles versions.

Nombre de balises de condition requises Déterminez le nombre de balises de condition nécessaires pour produire les versions souhaitées. La version d’un document est définie par un ensemble unique de balises de condition. Par exemple, la version d’un manuel Windows terminé peut être définie avec une balise de condition Windows affichée, une balise de condition Mac OS masquée et une balise de condition Commentaires masquée. Dans cet exemple, vous devez décider si vous utilisez une balise de condition pour les commentaires Windows et une autre pour les commentaires Mac OS, ou si vous utilisez une seule balise de condition valable pour les commentaires Windows aussi bien que Mac OS. Organisation du contenu Evaluez la mesure dans laquelle le document peut être conditionnel et la manière dont vous pouvez l’organiser pour en simplifier le développement et la gestion. Par exemple, vous pouvez organiser un livre de manière à limiter le texte conditionnel à quelques documents. Vous pouvez aussi choisir de conserver les versions d’un chapitre particulier dans des fichiers séparés plutôt que dans du texte conditionnel et utiliser un fichier de livre différent pour chaque version du livre.

Il peut parfois être préférable de créer des couches séparées pouvant être affichées ou masquées plutôt que de recourir aux conditions. Dans le cas d’une production en plusieurs langues, par exemple, chaque couche inclura le texte dans une langue différente.

Stratégie de balisage Déterminez l’unité de texte conditionnel la plus petite. Par exemple, si un document va être

traduit dans une autre langue, une phrase complète sera la quantité de texte minimum que vous rendez conditionnelle.

La traduction entraînant souvent un changement de l’ordre des mots, l’utilisation de texte conditionnel pour une partie de phrase peut être problématique. Vous devez vous imposer une certaine rigueur pour l’application des conditions aux espaces et à la ponctuation, sous peine d’obtenir des espaces en trop ou des mots mal orthographiés. Décidez si les espaces et la ponctuation doivent être conditionnels. Si du texte conditionnel commence ou se termine par une ponctuation, cette dernière doit également être rendue conditionnelle. Le texte est ainsi plus facile à lire lorsque plusieurs versions sont consultées. Pour éviter les problèmes d’intermots (espace non conditionnel suivi d’un espace conditionnel, par exemple), fixez des règles de gestion pour les espaces suivant du texte conditionnel (soit toujours conditionnels, soit toujours non conditionnels). Pour éviter toute confusion, décidez de l’ordre dans lequel le texte conditionnel apparaîtra et utilisez le même ordre pour tout le document. Index et références croisées Lorsque vous indexez un document, vérifiez bien si les marques d’index sont placées à

l’intérieur ou à l’extérieur du texte conditionnel. N’oubliez pas que les marques d’index contenues dans du texte conditionnel ne sont pas comprises dans l’index généré.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Création de conditions Les conditions que vous créez sont enregistrées dans le document actif. Si aucun document n’est ouvert lorsque vous créez une condition, cette condition apparaît dans tous les nouveaux documents que vous créez. Vous pouvez faire en sorte que le texte conditionnel soit facile à repérer en définissant des indicateurs de condition tels que les soulignements sinusoïdaux en rouge. 1 Choisissez la commande Fenêtre > Texte et tableaux > Texte conditionnel pour afficher le panneau Texte

2 Choisissez la commande Nouvelle condition dans le menu du panneau Texte conditionnel et saisissez un nom de

Application de conditions au texte

Vous pouvez appliquer plusieurs conditions au même texte. Par défaut, les indicateurs de condition identifient le texte conditionnel. S’ils sont masqués, vous pouvez toutefois utiliser le panneau Texte conditionnel pour savoir quelles conditions ont été appliquées au texte actif. Une coche pleine indique que la condition est appliquée au texte actif. Une coche estompée indique que la condition est appliquée à une partie de la sélection uniquement. 1 Sélectionnez le texte auquel vous voulez appliquer la condition. 2 Dans le panneau Texte conditionnel (Fenêtre > Texte et tableaux > Texte conditionnel), utilisez l’une des méthodes

• Pour appliquer une condition, cliquez sur celle-ci ou sur la case en regard de son nom.

• Pour appliquer une condition et supprimer les autres conditions appliquées au texte, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée tout en cliquant sur une condition.

• Pour supprimer une condition, cliquez sur la case en regard de son nom afin de la désélectionner. Vous pouvez aussi cliquer sur [Non conditionnel] pour supprimer toutes les conditions du texte sélectionné.

Remarque : il n’est pas possible d’appliquer de raccourcis clavier à des conditions particulières. Vous pouvez néanmoins appliquer des conditions à l’aide de la commande Application rapide.

Affichage ou masquage des conditions

Lorsque vous masquez une condition, tout le texte auquel la condition s’applique est masqué. Le fait de masquer les conditions entraîne souvent une modification de la numérotation des pages du document ou livre. Vous pouvez utiliser la fonction Redistribution intelligente du texte pour ajouter et supprimer des pages automatiquement suivant que vous masquez ou affichez les conditions.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

. Si vous sélectionnez du texte contenant un symbole de condition masquée et essayez de le supprimer, InDesign vous invite à confirmer cette suppression. Vous ne pouvez pas appliquer d’autres conditions, styles ou mises en forme au texte conditionnel masqué. Si plusieurs conditions sont appliquées au texte et si au moins une de ces conditions est affichée et qu’une autre est masquée, le texte n’est pas masqué.

• Pour afficher ou masquer des conditions individuelles, cliquez sur la zone de visibilité en regard du nom des conditions concernées. L’icône en forme d’oeil indique que la condition est affichée.

• Pour afficher ou masquer toutes les conditions, choisissez l’option Tout afficher ou Tout masquer dans le menu du panneau Texte conditionnel.

Utilisation d’ensembles de conditions

Un ensemble de conditions capture les paramètres de visibilité de toutes les conditions et permet ainsi d’appliquer rapidement différentes versions d’un même document. Supposons par exemple que vous préparez un document complexe comportant des conditions de plate-forme pour Mac OS, Windows XP, Vista, UNIX, des conditions de langue pour l’anglais, le français, l’allemand et l’espagnol, et des conditions de rédaction telles que Révision de rédaction et Commentaires internes. Pour la révision de la version relative à Vista en français, vous pouvez créer un ensemble affichant uniquement les conditions Vista, Français et Révision de rédaction, et masquant le reste. Les ensembles de conditions ne sont pas indispensables pour parvenir à ce résultat mais ils offrent plus de rapidité et de fiabilité pour modifier différents paramètres de visibilité des conditions. 1 Appliquez les conditions au texte selon les besoins. 2 Si le menu Ensemble ne figure pas dans le panneau Texte conditionnel, choisissez la commande Afficher les options

dans le menu du panneau Texte conditionnel.

3 Dans le panneau Texte conditionnel, rendez les conditions visibles ou masquées, selon les besoins. 4 Choisissez la commande Créer un ensemble dans le menu Ensemble, spécifiez un nom pour l’ensemble et cliquez

Le nouvel ensemble devient l’ensemble actif. 5 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour appliquer un ensemble de conditions à un document, sélectionnez son nom dans le menu Ensemble.

• Pour ignorer un ensemble de conditions, sélectionnez cet ensemble afin de le rendre actif et modifiez le paramètre de visibilité d’une condition. Le signe (+) apparaît en regard de l’ensemble de conditions. Sélectionnez de nouveau l’ensemble de conditions pour annuler les omissions. Choisissez la commande Redéfinir « [Ensemble de conditions] » pour mettre à jour l’ensemble de conditions avec les nouveaux paramètres de visibilité.

• Pour supprimer un ensemble de conditions, sélectionnez-le et choisissez la commande Supprimer « [Ensemble de conditions] ». La suppression d’un ensemble de conditions ne supprime pas les conditions de l’ensemble, ni les conditions des emplacements où elles sont appliquées.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour supprimer plusieurs conditions, cliquez tout en maintenant la touche Maj enfoncée pour sélectionner des conditions contiguës ou cliquez tout en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée pour sélectionner des conditions non contiguës, puis cliquez sur l’icône de suppression. Supprimer une condition du texte La suppression d’une balise de condition du texte diffère de celle d’une balise de condition d’un document. Les balises que vous supprimez d’un texte restent dans le document afin de pouvoir être de nouveau appliquées ultérieurement.

Pour supprimer une condition du texte, sélectionnez le texte concerné et cliquez sur la case en regard de la condition pour la désélectionner, ou cliquez sur [Non conditionnel] pour supprimer toutes les conditions du texte sélectionné.

Charger (importer) des conditions Choisissez la commande Charger les conditions (pour ne charger que les

conditions) ou Charger les conditions et les ensembles dans le menu du panneau Texte conditionnel. Sélectionnez le document InDesign à partir duquel importer les conditions et cliquez sur Ouvrir. Les conditions et ensembles chargés remplacent tous ceux possédant des noms identiques.

Vous ne pouvez pas charger les conditions depuis un fichier InCopy dans InDesign, mais vous pouvez charger les conditions depuis un fichier InDesign vers InDesign et InCopy. Les ensembles chargés ignorent les paramètres de visibilité des conditions actives dans le panneau Texte conditionnel. Synchroniser les conditions dans un livre Pour vous assurer d’utiliser les mêmes conditions dans tous les documents d’un livre, créez les conditions de votre choix dans le document de source des styles, sélectionnez l’option Paramètres de texte conditionnel dans la boîte de dialogue Options de synchronisation, et synchronisez le livre. Afficher ou masquer les indicateurs de condition Choisissez l’option Afficher ou Masquer dans le menu Indicateurs du panneau Texte conditionnel pour afficher ou masquer les indicateurs de condition. Si vous affichez une version et souhaitez voir les domaines conditionnels, affichez les indicateurs de condition. Si vous trouvez les indicateurs de condition gênants pour la visualisation de la mise en page, masquez-les. Choisissez l’option Afficher et imprimer pour imprimer les indicateurs de condition. Modifier le nom d’une condition Dans le panneau Texte conditionnel, cliquez sur une condition, marquez une pause, puis cliquez sur le nom de la condition pour la sélectionner. Saisissez un autre nom. Modifier les indicateurs de condition Dans le panneau Texte conditionnel, cliquez deux fois sur une condition ou

sélectionnez une condition et choisissez la commande Options de condition dans le menu du panneau. Spécifiez les paramètres d’indicateur et cliquez sur OK.

Recherche et remplacement de texte conditionnel

A l’aide de la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer, recherchez le texte auquel une ou plusieurs conditions ont été appliquées et remplacez-le par une ou plusieurs autres conditions. 1 Affichez le texte conditionnel à inclure dans la recherche.

Le texte masqué est exclu de la recherche.

2 Choisissez Edition > Rechercher/Remplacer. 3 Si les zones Rechercher le format et Remplacer le format n’apparaissent pas en bas de la boîte de dialogue, cliquez

sur Plus d’options.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Cette fonction recherche le texte correspondant parfaitement aux conditions sélectionnées. Par exemple, si vous sélectionnez Condition 1 et Condition 2, le texte auquel une seule des conditions est appliquée n’est pas trouvé ; il en va de même pour le texte auquel une troisième condition est appliquée en plus de ces deux conditions. 5 Cliquez sur la zone Remplacer le format pour afficher la boîte de dialogue Modifier le format. Spécifiez l’option de

mise en forme différente (condition ou style de caractère, par exemple) et cliquez sur OK.

Si vous sélectionnez la section Conditions dans la boîte de dialogue Modifier le format, l’option [Condition quelconque] ne modifie pas le texte conditionnel trouvé. Cette option est utile pour appliquer une mise en forme différente, telle qu’un style de caractère particulier. Sélectionnez l’option [Non conditionnel] pour supprimer toutes les conditions du texte trouvé. Si vous sélectionnez une condition particulière, indiquez si elle doit remplacer les éventuelles conditions appliquées au texte trouvé ou être ajoutée à celles-ci. 6 Cliquez sur le bouton Rechercher et utilisez les boutons Remplacer, Remplacer/Rechercher ou Tout remplacer

pour remplacer la condition.

Recherche et remplacement

Présentation de la fonction de recherche et remplacement La boîte de dialogue Rechercher/Remplacer contient des onglets qui vous permettent de spécifier ce que vous voulez rechercher et modifier.

GREP Utilisez des techniques de recherche avancées basées sur des motifs pour rechercher et remplacer du texte et des

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour consulter un didacticiel vidéo sur la recherche et le remplacement de texte, d’objets et d’expressions, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0080_fr.

Vidéo Recherche/remplacement Rechercher une police au lieu de Rechercher/Remplacer.

« Recherche et remplacement de polices » à la page 187

Pour rechercher et remplacer du texte

1 Pour rechercher une portion de texte ou un article, sélectionnez le texte ou placez le point d’insertion dans l’article.

Pour effectuer la recherche dans plusieurs documents, ouvrez les documents.

2 Choisissez Edition > Rechercher/Remplacer, puis cliquez sur l’onglet Texte. 3 Spécifiez l’étendue de votre recherche dans le menu Rechercher, puis cliquez sur les icônes pour inclure les calques

verrouillés, les gabarits, les pieds de page et autres éléments dans la recherche

4 Dans le champ Rechercher, décrivez l’objet de votre recherche :

• Saisissez ou collez le texte que vous recherchez.

• Pour rechercher ou remplacer les tabulations, les espaces ou autres caractères spéciaux, sélectionnez un caractère représentatif (métacaractère) dans le menu déroulant à droite du champ Rechercher. Vous pouvez également choisir les options de caractères génériques, tels que Chiffre quelconque ou Caractère quelconque.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

5 Dans la zone Remplacer par, entrez ou collez le texte de remplacement. Vous pouvez également sélectionner un

caractère représentatif dans le menu déroulant à droite du champ Remplacer par.

6 Cliquez sur Rechercher. 7 Pour poursuivre la recherche, cliquez sur Suivant, Modifier (pour modifier l’occurrence courante), Tout remplacer

(un message indique le nombre total de remplacements) ou Remplacer/Rechercher (pour modifier l’occurrence courante et rechercher la suivante).

8 Cliquez sur Terminer.

Si vous n’obtenez pas les résultats escomptés pour votre recherche, vérifiez que vous avez bien effacé toute mise en forme éventuellement spécifiée dans une recherche précédente. Il est également conseillé d’étendre votre recherche.

Par exemple, il se peut que vous recherchiez uniquement dans une portion de texte ou un article plutôt que tout le document. Vous pouvez également rechercher du texte qui apparaît sur un élément, comme un calque verrouillé, une note de bas de page ou du texte conditionnel masqué, actuellement exclus de la recherche. Si vous changez d’avis à propos du remplacement de texte, sélectionnez Edition > Annuler Remplacer le texte (ou Annuler Remplacer tout le texte). Pour rechercher l’occurrence suivante d’une expression préalablement recherchée sans ouvrir la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer, sélectionnez Edition > Suivant. En outre, les chaînes de texte précédemment recherchées sont enregistrées dans la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer. Vous pouvez rechercher une chaîne de texte dans le menu à droite de l’option.

Pour rechercher et remplacer du texte mis en forme

1 Choisissez Edition > Rechercher/Remplacer. 2 Cliquez sur Plus d’options pour afficher des options supplémentaires pour rechercher et modifier le format. 3 Cliquez deux fois sur la zone Rechercher le format ou cliquez sur l’icône Spécifier les attributs à rechercher

droite de la section Rechercher le format.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

UTILISATION D’INDESIGN Texte

Certaines options de mise en forme OpenType s’affichent sous Options OpenType et sous Formats de caractères de base (menu Position). Pour plus de détails sur OpenType et les autres attributs de mise en forme, recherchez les rubriques connexes dans l’aide d’InDesign. Remarque : pour ne rechercher (ou remplacer) que des éléments de mise en forme, laissez les zones Rechercher ou Remplacer par vides. 5 Si vous souhaitez appliquer une mise en forme au texte trouvé, cliquez sur la zone Modifier le format ou cliquez sur

l’icône Spécifier les attributs à rechercher dans la section Modifier le format. Sélectionnez ensuite un type de mise en forme, spécifiez les attributs et cliquez sur OK.

6 Utilisez les boutons de recherche et de remplacement pour modifier le texte mis en forme.

Si vous spécifiez une mise en forme pour vos critères de recherche, des icônes d’informations apparaissent au-dessus des zones Rechercher et Remplacer par. Elles vous signalent que des attributs de mise en forme ont été définis et que l’opération de recherche ou de remplacement sera restreinte en conséquence.

Pour supprimer rapidement tous les attributs de mise en forme dans les zones Rechercher le format ou Modifier le format, cliquez sur le bouton Effacer dans la section appropriée.

Méthodes courantes pour rechercher ou remplacer du texte

Recherche par caractères génériques Spécifiez les caractères génériques, tels que Chiffre quelconque ou Espace

quelconque, pour élargir votre recherche. Par exemple, si vous entrez « b^?lle » dans la zone Rechercher, les mots

« bulle », « balle », « belle » et « bille » seront recherchés. Vous pouvez saisir les caractères génériques ou choisir une option dans le sous-menu Caractères génériques dans le menu déroulant en regard du champ Rechercher. Presse-papiers pour les recherches de métacaractères Pour rechercher des métacaractères (tiret cadratin ou puce, par exemple), vous pouvez sélectionner d’abord le texte, puis le coller dans la zone Rechercher ; cela vous évite de saisir les métacaractères. InDesign convertit automatiquement les caractères spéciaux collés en métacaractères équivalents. Remplacement par le contenu du Presse-papiers Vous pouvez remplacer les éléments de recherche par le contenu,

mis en forme ou non, copié dans le Presse-papiers. Vous pouvez également remplacer le texte par un graphique que vous avez copié. Copiez simplement l’élément, puis, dans la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer, choisissez une option dans le sous-menu Autre du menu déroulant à droite de la zone Remplacer par.

Recherche et suppression de texte indésirable Pour supprimer du texte indésirable, définissez le texte à supprimer dans la zone Rechercher, puis laissez la zone Remplacer par vide (assurez-vous qu’aucune mise en forme n’est définie dans cette zone). Balisage XML Vous pouvez appliquer des balises XML au texte que vous recherchez.

Options de recherche pour rechercher et remplacer du texte

Menu Chercher dans Contient les options déterminant la portée de la recherche.

• Documents Sélectionnez Document si vous souhaitez effectuer la recherche sur tout le document, ou Tous les documents si vous souhaitez étendre la recherche à tous les documents ouverts.

• Article Sélectionnez Article pour effectuer une recherche sur tout le texte du bloc sélectionné et sur le texte des blocs de texte liés et le texte en excès. Sélectionnez Articles pour effectuer la recherche sur les articles de tous les blocs sélectionnés. Cette option apparaît uniquement si un bloc de texte est sélectionné ou si un point d’insertion est placé. • Jusqu’à la fin de l’article Recherche à partir du point d’insertion. Cette option apparaît uniquement si un point d’insertion est placé.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Inclure les calques verrouillés

Inclure les articles verrouillés

Recherche du texte dans les articles qui ont été extraits d’un flux de production InCopy. Vous ne pouvez pas remplacer du texte dans des articles verrouillés.

Recherche du texte sur des calques qui ont été masqués à l’aide de la boîte de dialogue

Options de calque. Lorsque vous trouvez du texte sur un calque masqué, vous pouvez apercevoir une zone en surbrillance à l’emplacement du texte, mais vous ne pouvez pas voir le texte. Vous pouvez remplacer du texte sur des calques masqués.

Inclure les calques masqués

Le texte inclus dans les conditions masquées est toujours omis par la recherche.

Inclure les gabarits

Recherche du texte sur les gabarits.

Inclure les notes de bas de page

Recherche du texte de note de bas de page.

Recherche le ou les mots dont la casse correspond exactement à celle du texte dans la zone Rechercher. Par exemple, si vous recherchez « PréPresse », les occurrences « Prépresse », « prépresse » ou « PREPRESSE » ne seront pas localisées.

Ignore ces caractères s’ils font partie d’un autre mot. Par exemple, si vous recherchez « tout » comme mot entier, InDesign ignore le mot « toutes ».

Vous trouverez une liste de ressources GREP InDesign sur le site InDesign Secrets. 1 Choisissez Edition > Rechercher/Remplacer, puis cliquez sur l’onglet GREP. 2 Dans le bas de la boîte de dialogue, spécifiez l’étendue de la recherche, puis cliquez sur les icônes pour inclure des

calques verrouillés, des gabarits, des notes de bas de page et d’autres éléments dans la recherche

3 Dans la zone Rechercher, utilisez l’une des méthodes suivantes pour construire une expression GREP :

• Entrez l’expression de la recherche manuellement (voir la section « Métacaractères de recherche » à la page 181).

• Cliquez sur l’icône Caractères spéciaux pour la recherche à droite de l’option Rechercher et choisissez les options des sous-menus Emplacements, Répétition, Correspondance, Touches de modification et Posix pour vous aider à créer l’expression de recherche. 4 Dans la zone Remplacer par, entrez ou collez le texte de remplacement. 5 Cliquez sur Rechercher. 6 Pour poursuivre la recherche, cliquez sur Suivant, Modifier (pour modifier l’occurrence active), Tout remplacer

(un message indique le nombre total de remplacements) ou Remplacer/Rechercher (pour modifier l’occurrence active et rechercher la suivante).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

« Métacaractères de recherche » à la page 181

Conseils pour l’élaboration des recherches de GREP Voici quelques conseils pour la construction d’expressions GREP.

• De nombreuses recherches sous l’onglet GREP sont semblables à celles de l’onglet Texte, mais veillez à insérer des codes différents selon l’onglet utilisé. En général, les métacaractères de l’onglet Texte commencent par le symbole

« ^ » (par exemple, « ^t » pour une tabulation) et ceux de l’onglet GREP par le symbole « \ » (par exemple, « \t » pour une tabulation). Cependant, tous les métacaractères n’obéissent pas à cette règle. Par exemple, le retour chariot est noté « ^p » dans l’onglet Texte et « \r » dans l’onglet GREP. Pour obtenir la liste des métacaractères utilisés pour les onglets Texte et GREP, reportez-vous à la section « Métacaractères de recherche » à la page 181.

• Pour rechercher un caractère ayant un sens symbolique dans GREP, entrez une barre oblique arrière (\) avant le caractère pour indiquer que le caractère qui suit est littéral. Par exemple, entrez un point ( . ) pour rechercher un caractère dans une recherche GREP ; pour rechercher un point, entrez « \ ».

• Enregistrez la recherche GREP sous forme de requête si vous pensez l’exécuter souvent ou la partager avec quelqu’un d’autre (voir la section « Recherche et remplacement d’éléments à l’aide de requêtes » à la page 188).

• Utilisez des parenthèses pour diviser votre recherche en sous-expressions. Par exemple, si vous souhaitez rechercher « cat » ou « cot », vous pouvez utiliser la chaîne c(a|o)t. Les parenthèses sont particulièrement utiles pour identifier les associations. Par exemple, la recherche « le (chat) et le (chien) » identifie « chat » comme Texte recherché 1 et « chien » comme Texte recherché 2. Vous pouvez utiliser des expressions de texte recherché (telles que $1 pour Texte recherché 1) afin de modifier seulement une partie du texte recherché.

Exemples de recherches GREP Inspirez-vous de ces exemples pour apprendre à tirer parti des expressions GREP.

Exemple 1 : recherche de texte entre guillemets Supposons que vous souhaitez rechercher tous les mots entre guillemets (comme « Espagne ») et que vous voulez supprimer les guillemets et appliquer un style à ces mots (de façon à ce que « Espagne » devienne Espagne). L’expression (")(\W+)(") inclut trois associations, comme indiqué par les parenthèses ( ). Les première et troisième associations indiquent que vous recherchez tous les guillemets ; la deuxième association signale que vous recherchez un ou plusieurs caractères de mot. Vous pouvez utiliser les expressions de texte recherché pour renvoyer à ces associations. Par exemple, $0 renvoie à tout le texte recherché et $2 uniquement à la deuxième association. Si vous insérez $2 dans le champ Remplacer par et que vous spécifiez un style de caractère dans le champ Remplacer le format, vous pouvez rechercher un mot entre guillemets, puis le remplacer par un style de caractère. Si seul $2 est spécifié, les associations $1 et $3 sont supprimées (si vous précisez $0 ou $1$2$3 dans le champ Remplacer par, le style de caractère est également appliqué aux guillemets).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

InDesign offre un grand nombre de paramètres de recherche prédéfinis que vous pouvez choisir dans le menu Requêtes. Par exemple, vous pouvez choisir la requête Conversion des numéros de téléphone, qui se présente de la façon suivante : \(?(\d\d\d)\)?[-. ]?(\d\d\d)[-. ]?(\d\d\d\d) Aux Etats-Unis, les numéros de téléphone peuvent apparaître sous de multiples formes, telles que 206-555-3982, (206) 555-3982, 206.555.3982 ou 206 555 3982. Avec cette chaîne, vous recherchez toutes les variantes possibles. Les trois premiers chiffres (\d\d\d) du numéro de téléphone peuvent être ou non entre parenthèses, c’est pourquoi un point d’interrogation apparaît après chaque parenthèse : \(? et \)?. Notez que la barre oblique inverse \ indique que l’on recherche une véritable parenthèse et qu’il ne s’agit pas d’une sous-expression. Tout caractère situé entre crochets [ ] est recherché ; dans cet exemple, [-. ] indique donc que l’on recherche un tiret, un point ou une espace. Le point d’interrogation situé après les crochets indique que les éléments entre crochets sont facultatifs lors de la recherche. Enfin, les chiffres sont entre parenthèses, ce qui signifie que les associations peuvent être signalées dans le champ Remplacer par. Vous pouvez modifier les références des associations dans le champ Remplacer par selon vos besoins. Par exemple, vous pouvez utiliser les expressions suivantes : 206.555.3982 = $1.$2.$3 206-555-3982 = $1-$2-$3 Les métacaractères représentent un caractère ou un symbole dans InDesign. Les métacaractères de la zone Texte de la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer commencent par un caret (^) ; les métacaractères de la fenêtre GREP commencent par un tilde (~) ou une barre oblique arrière (\). Vous pouvez entrer des métacaractères dans les onglet Texte ou GREP de la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer. Pour ne pas perdre de temps à corriger les erreurs de ponctuation, enregistrez les chaînes de recherche sous forme de requêtes. Caractère :

Métacaractère de l’onglet Texte :

3 Cliquez sur la zone Rechercher le format d’objet ou cliquez sur l’icône Spécifier les attributs à rechercher

4 Dans la zone de gauche de la boîte de dialogue Options de recherche des formats d’objet, sélectionnez un type de

Assurez-vous que les catégories que vous voulez rechercher apparaissent avec l’état adéquat. Vous pouvez activer, désactiver ou ignorer chaque catégorie d’Effets. Par exemple, si vous activez l’effet Ombre portée, la mise en forme de l’ombre portée est incluse dans la recherche ; si vous désactivez l’effet Ombre portée, votre recherche porte que les objets dont la mise en forme de l’ombre portée est désactivée ; si vous ignorez l’effet Ombre portée, les ombres portées ne sont pas incluses dans la recherche. 5 Si vous souhaitez appliquer une mise en forme à l’objet trouvé, cliquez sur la zone Remplacer le format de l’objet

ou cliquez sur l’icône Spécifier les attributs à modifier dans la section Modifier le format. Sélectionnez ensuite un type de mise en forme, spécifiez les attributs et cliquez sur OK.

6 Utilisez les boutons de recherche et de remplacement pour modifier les objets mis en forme.

Recherche et remplacement de glyphes

La section Glyphe de la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer est particulièrement utile pour remplacer les glyphes qui partagent la même valeur unicode que les autres glyphes semblables, comme par exemple les variantes de glyphes. Un exemple clair de recherche et de modification des glyphes est disponible sur le site InDesign Secrets, sous le titre Finding and Changing Glyphs. 1 Choisissez Edition > Rechercher/Remplacer. 2 Dans le bas de la boîte de dialogue, spécifiez une étendue dans le menu Rechercher, puis cliquez sur les icônes pour

déterminer quels éléments (tels que les calques, les gabarits et les notes de bas de page) sont inclus dans la recherche.

3 Sous Rechercher un glyphe, sélectionnez les options Famille de polices et Style de police dans lesquelles le glyphe

Le menu Famille de polices affiche uniquement les polices qui sont appliquées au texte dans le document actif. Les polices de styles non utilisés n’apparaissent pas. 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour entrer le glyphe que vous voulez rechercher dans la zone du glyphe :

• Cliquez sur le bouton en regard de la zone Glyphe, puis cliquez deux fois sur un glyphe dans le panneau. Ce panneau fonctionne comme le panneau Glyphes.

• Choisissez Unicode ou GID/CID, puis entrez le code du glyphe.

Vous pouvez utiliser d’autres méthodes pour entrer le glyphe que vous voulez rechercher dans la zone Glyphe. Sélectionnez un glyphe dans la fenêtre du document et choisissez Charger le glyphe sélectionné dans Rechercher dans le menu contextuel, ou sélectionnez un glyphe dans le panneau Glyphes puis choisissez Charger un glyphe dans Rechercher dans le menu contextuel. 5 Sous Remplacer le glyphe, entrez le glyphe de remplacement à l’aide des mêmes techniques utilisées pour entrer le

glyphe que vous recherchez.

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8 Cliquez sur Terminer.

Recherche et remplacement de polices

Utilisez la commande Rechercher une police pour rechercher et répertorier les polices utilisées dans le document. Vous pouvez alors remplacer toutes les polices (sauf les polices des graphiques importés) par une autre police disponible sur votre ordinateur. Vous pouvez même remplacer une police faisant partie d’un style de texte. Tenez compte des points suivants :

• Un nom de police est répertorié une seule fois pour toutes ses occurrences dans la mise en page et répertorié à chaque occurrence supplémentaire dans les graphiques importés. Par exemple, si vous utilisez la même police trois fois dans la mise en page et trois fois dans des graphiques importés, elle sera répertoriée quatre fois dans la boîte de dialogue Rechercher une police (une fois pour toutes les occurrences de mise en page et trois fois pour les graphiques importés). Si la police n’est pas totalement incorporée dans les graphiques, le nom de la police risque de ne pas être répertorié dans la boîte de dialogue Rechercher une police.

• L’option Rechercher une police n’est pas disponible dans la fenêtre en mode éditeur.

• Dans la boîte de dialogue Rechercher une police, des icônes identifient le type de police ou l’état de la police : polices de Type 1

3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour rechercher la première occurrence dans la mise en page de la police sélectionnée dans la liste, cliquez sur

Rechercher. Le texte utilisant cette police apparaît. Le bouton Rechercher n’est pas disponible si la police sélectionnée est utilisée dans un graphique importé ou si plusieurs polices sont sélectionnées dans la liste.

• Pour sélectionner un graphique importé utilisant une police indiquée dans la liste par une icône graphique

, cliquez sur Rechercher graphique. Le graphique apparaît. Le bouton Rechercher graphique n’est pas disponible si la police sélectionnée est utilisée dans la mise en page ou si vous avez sélectionné plusieurs polices dans la liste Police du document.

4 Pour obtenir des informations détaillées sur une police sélectionnée, cliquez sur Plus d’infos. Pour masquer les

détails, cliquez sur Moins d’infos. La zone Infos est vierge lorsque vous sélectionnez plusieurs polices dans la liste.

Si le format de fichier du graphique sélectionné ne fournit pas d’informations sur le type de police, celui-ci risque d’être indiqué comme Indéterminé. Les polices des graphiques bitmap, tels que les images TIFF, ne s’affichent pas dans la liste, car elles ne sont pas considérées comme des caractères. 5 Pour remplacer une police, sélectionnez la nouvelle police à utiliser dans la liste Remplacer par, puis utilisez l’une

des méthodes suivantes :

• Pour ne remplacer qu’une occurrence de la police sélectionnée, cliquez sur Remplacer. Cette option n’est pas disponible si plusieurs polices sont sélectionnées.

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• Pour remplacer toutes les instances de la police sélectionnée dans la liste, cliquez sur Tout remplacer. Activez l’option Redéfinir le style avec Tout remplacer si vous souhaitez redéfinir tout style de paragraphe ou de caractère comprenant la police recherchée. Lorsqu’il n’existe plus aucune occurrence d’une police dans le fichier, son nom est supprimé de la liste Polices du document. Remarque : pour modifier des polices dans des graphiques importés, utilisez le programme d’exportation d’origine du graphique, puis remplacez le graphique ou mettez à jour le lien dans le panneau Liens. 6 Si vous avez cliqué sur Modifier, cliquez sur Suivant pour atteindre l’occurrence suivante de la police. 7 Cliquez sur Terminer.

Vous pouvez ouvrir la boîte de dialogue Rechercher une police lors du contrôle en amont d’un document. Dans la boîte de dialogue Contrôle en amont, sélectionnez l’onglet Polices et cliquez sur Rechercher une police.

Pour afficher le dossier système dans lequel une police apparaît, sélectionnez la police dans la boîte de dialogue Rechercher une police et choisissez Faire apparaître dans l’Explorateur (Windows) ou Faire apparaître dans le Finder (Mac OS).

Recherche et remplacement d’éléments à l’aide de requêtes

Vous pouvez rechercher et remplacer du texte, des objets et des glyphes en utilisant ou en créant une requête. Une requête est une opération de recherche et de remplacement prédéfinie. InDesign inclut plusieurs requêtes prédéfinies pour modifier les formats de ponctuation et d’autres actions utiles, telles que la modification des formats de numéro de téléphone. En enregistrant une requête que vous avez créée, vous pouvez l’exécuter à nouveau ultérieurement et la partager.

Pour effectuer une recherche à l’aide de requêtes

1 Choisissez Edition > Rechercher/Remplacer. 2 Choisissez une requête dans la liste Requête.

Les requêtes sont groupées par type.

3 Spécifiez une étendue de recherche dans le menu Rechercher.

L’étendue de la recherche n’est pas incluse dans la requête.

4 Cliquez sur Rechercher. 5 Pour poursuivre la recherche, cliquez sur Suivant, Remplacer (pour modifier le dernier texte ou la dernière marque

de ponctuation trouvés), Tout remplacer (un message indique le nombre total de remplacements) ou

Remplacer/Rechercher (pour modifier le texte ou des marques de ponctuation et continuer votre recherche). Après avoir sélectionné une requête de recherche, vous pouvez ajuster les paramètres pour affiner votre recherche.

Pour enregistrer des requêtes

Enregistrez une requête dans la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer si vous voulez l’exécuter à nouveau ultérieurement ou la partager. Les noms des requêtes que vous enregistrez s’affichent dans la liste Requête dans la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer. 1 Choisissez Edition > Rechercher/Remplacer. 2 Sélectionnez Texte, GREP ou un autre onglet pour effectuer la recherche que vous voulez.

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Ces éléments sont inclus dans la requête enregistrée. Toutefois, l’étendue de la recherche n’est pas enregistrée dans la requête. 4 Définissez les champs Rechercher et Remplacer par (voir les sections « Métacaractères de recherche » à la page 181

et « Recherche à l’aide d’expressions GREP » à la page 177).

5 Cliquez sur le bouton Enregistrer la requête dans la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer, puis entrez un nom

Si vous utilisez le nom d’une requête existante, vous devrez le changer. Cliquez sur Oui si vous voulez mettre à jour la requête existante.

Pour supprimer des requêtes

❖ Sélectionnez une requête dans la liste Requête, puis cliquez sur le bouton Supprimer la requête.

Pour charger des requêtes

Les requêtes personnalisées sont enregistrées sous forme de fichiers XML. Les noms des requêtes personnalisées s’affichent dans la liste Requête dans la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer. ❖ Pour charger une requête qui vous a été donnée pour qu’elle apparaisse dans la liste Requête, copiez le fichier de

requête dans l’emplacement adéquat :

Mac OS Users\[nom d’utilisateur]\Bibliothèque\Preferences\Adobe InDesign\[Version]\[Langue]\Find-Change

Queries\[type de requête]

Windows XP Documents and Settings\[nom d’utilisateur]\Application Entrez des glyphes à l’aide du panneau Glyphes. Le panneau affiche automatiquement les glyphes de la police sur laquelle le curseur est situé, mais vous pouvez afficher une autre police, afficher un style de caractère dans la police (Light, Regular ou Bold, par exemple) et faire en sorte que le panneau affiche un sous-ensemble de glyphes dans la police (des symboles mathématiques, des numéros ou des symboles de ponctuation, par exemple).

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Pour ouvrir le panneau Glyphes ❖ Choisissez la commande Texte > Glyphes ou Fenêtre > Texte et tableaux > Glyphes.

Pour changer le mode d’affichage du panneau Glyphes

• Cliquez sur l’objet d’interface de cycle (situé à gauche du mot « Glyphes » sur le panneau Glyphes) pour modifier les vues du panneau. Cliquez sur l’objet d’interface pour afficher les vues successivement : le panneau réduit, le panneau entier et le panneau sans les glyphes récemment utilisés.

• Cliquez sur les boutons Zoom avant ou Zoom arrière dans le coin inférieur droit du panneau Glyphes.

• Redimensionnez le panneau Glyphes en faisant glisser le coin inférieur droit.

Pour filtrer les glyphes affichés

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes pour déterminer quels glyphes s’affichent dans le panneau Glyphes :

• Choisissez Police entière pour afficher tous les glyphes disponibles dans la police.

• Choisissez une option sous Police entière pour réduire la liste à un sous-ensemble de glyphes. Par exemple, Ponctuation affiche uniquement les glyphes de ponctuation ; Symboles mathématiques réduit le choix aux symboles mathématiques.

Pour trier des glyphes dans le panneau Glyphes

❖ Choisissez Par CID / GID ou Par Unicode pour déterminer la manière dont les glyphes sont triés dans le panneau

Insertion de glyphes et de caractères spéciaux

Un glyphe est une forme spéciale d’un caractère. Par exemple, dans certaines polices, la lettre majuscule A est disponible sous plusieurs formes, telles qu’une lettre italique ornée et en petite majuscule. Vous pouvez utiliser le panneau Glyphes pour rechercher un glyphe dans une police.

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Vous pouvez insérer des caractères spéciaux tels qu’un tiret cadratin, un tiret demi-cadratin, un symbole de marque déposée et des points de suspension. 1 Sélectionnez l’outil Texte, puis placez le point d’insertion à l’endroit où vous voulez insérer un caractère. 2 Choisissez Texte > Insérer un caractère spécial >, puis sélectionnez une option de l’une des catégories du menu.

Si les caractères spéciaux que vous utilisez fréquemment ne s’affichent pas dans la liste des caractères spéciaux, ajoutezles à un jeu de glyphes de votre création.

« Création et modification de jeux de glyphes personnalisés » à la page 193

Pour insérer un glyphe d’une police spécifiée

1 Sélectionnez l’outil Texte, puis cliquez pour placer le point d’insertion à l’endroit où vous voulez insérer un

2 Choisissez Texte > Glyphes pour afficher le panneau Glyphes. 3 Pour afficher un autre jeu de caractères dans le panneau Glyphes, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Sélectionnez une police et un style de caractère différent le cas échéant. Dans le menu Afficher, choisissez Police entière. Si vous avez sélectionné une police OpenType, choisissez une catégorie OpenType.

• Dans le menu Afficher, sélectionnez un jeu de glyphes personnalisé (voir la section « Création et modification de jeux de glyphes personnalisés » à la page 193).

4 Faites défiler les caractères jusqu’à ce que le glyphe que vous voulez insérer apparaisse. Si vous avez sélectionné une

police OpenType, vous pouvez afficher un menu déroulant de variantes de glyphes en cliquant sur la zone de glyphe et en maintenant le bouton appuyé.

5 Cliquez deux fois sur le caractère à insérer. Le caractère apparaît au niveau du point d’insertion.

Pour insérer un glyphe récemment utilisé

InDesign répertorie les 35 derniers glyphes que vous avez insérés et les rend disponibles dans la section Récemment utilisés à la première ligne du panneau Glyphes (vous devez développer le panneau pour afficher les 35 glyphes sur la première ligne). ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez deux fois sur un glyphe sous Récemment utilisés.

• Choisissez Glyphes récents dans la liste Afficher pour afficher tous les glyphes récemment utilisés dans la partie principale du panneau Glyphes, puis cliquez deux fois sur un glyphe.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

(Windows®) ou cliquez en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) sur un glyphe dans la section Récemment utilisés, puis choisissez l’option Supprimer le glyphe des éléments récemment utilisés.

• Pour effacer tous les glyphes récemment utilisés, choisissez l’option Effacer tous les éléments récemment utilisés.

Pour remplacer un caractère par une variante de glyphe

Lorsqu’un caractère inclut des variantes de glyphes, il s’affiche dans le panneau Glyphes avec une icône en forme de triangle dans le coin inférieur droit. Cliquez sur le caractère dans le panneau Glyphes et maintenez le bouton de la souris enfoncé pour afficher un menu déroulant des variantes de glyphes ou affichez les variantes de glyphes dans le panneau Glyphes.

Sélection de variantes de glyphes dans une police OpenType

1 Choisissez Texte > Glyphes pour afficher le panneau Glyphes.

2 Sélectionnez Variantes de sélection dans la liste Afficher. 3 A l’aide de l’outil Texte, sélectionnez un caractère dans le document. 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour remplacer le caractère sélectionné dans le document :

• Cliquez deux fois sur un glyphe dans le panneau Glyphes.

• Sélectionnez un glyphe dans le menu.

Pour afficher les attributs de glyphes OpenType dans le panneau Glyphes

Pour une sélection aisée, le panneau Glyphes vous permet d’afficher des caractères pour les attributs OpenType sélectionnés uniquement. Vous pouvez sélectionner différentes options dans le menu afficher du panneau Glyphes.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Choisissez une option dans le menu Afficher.

Les options affichées varient selon la police sélectionnée. Pour plus de détails sur l’application des attributs de police

OpenType, reportez-vous à la section « Application d’attributs de police OpenType » à la page 266. Pour plus de détails sur les polices OpenType, reportez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/opentype_fr.

Pour mettre en surbrillance des variantes de glyphes dans le texte

1 Choisissez Edition > Préférences > Composition (Windows) ou InDesign > Préférences > Composition (Mac OS). 2 Sélectionnez Glyphes remplacés, puis cliquez sur OK. Les glyphes remplacés dans le texte s’affichent en surbrillance

en jaune non imprimable.

Création et modification de jeux de glyphes personnalisés

Un jeu de glyphes est un ensemble nommé de glyphes provenant d’une ou de plusieurs polices. Le fait d’enregistrer les glyphes les plus fréquemment utilisés vous évite d’avoir à les rechercher à chaque fois que vous en avez besoin. Les jeux de glyphes ne sont pas liés à un document en particulier. Ils sont enregistrés avec d’autres préférences Indesign dans un fichier séparé qui peut être partagé. Vous pouvez choisir de mémoriser la police associée à un glyphe que vous ajoutez. L’option de mémorisation des polices est utile, notamment lorsque vous travaillez avec des caractères dingbat susceptibles d’apparaître dans d’autres polices. Dans le cas où la police d’un glyphe est mémorisée, mais manquante, le carré de la police s’affiche en rose dans le panneau Glyphes et la boîte de dialogue Modifier le jeu de glyphes. Si la police n’est pas mémorisée en même temps que le glyphe que vous ajoutez, un « u » s’affiche en regard du glyphe pour indiquer que c’est la valeur unicode de la police qui détermine l’apparence du glyphe.

Pour créer un jeu de glyphes personnalisé

1 Sélectionnez Texte > Glyphes. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans le menu du panneau Glyphes, choisissez Nouveau jeu de glyphes.

• Ouvrez le menu contextuel dans le panneau Glyphes, puis choisissez Nouveau jeu de glyphes. Dernière mise à jour le 18/5/2011

Insérer devant Chaque nouveau glyphe apparaît en premier dans la liste.

Ajouter à la fin Chaque nouveau glyphe apparaît en dernier dans la liste. Valeur Unicode Tous les glyphes sont répertoriés dans l’ordre de leur valeur unicode.

5 Pour ajouter des glyphes au jeu personnalisé, sélectionnez la police contenant le glyphe au bas du panneau Glyphes,

cliquez sur le glyphe, puis choisissez le nom du jeu de glyphes personnalisés dans le menu Ajouter au jeu de glyphes du menu du panneau Glyphes.

Pour afficher un jeu de glyphes personnalisé

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes dans le panneau Glyphes :

• Choisissez le jeu de glyphes dans la liste Afficher.

• Dans le menu du panneau Glyphes, choisissez Afficher le jeu de glyphes, puis le nom du jeu de glyphes.

Pour modifier des jeux de glyphes personnalisés

1 Choisissez Modifier le jeu de glyphes dans le menu du panneau Glyphes, puis choisissez le jeu de glyphes

2 Sélectionnez le glyphe à modifier, effectuez l’une des opérations suivantes, puis cliquez sur OK :

• Pour associer le glyphe à sa police, sélectionnez Mémoriser la police avec ce glyphe. Par la suite, ce glyphe conservera sa police d’origine, quelle que soit la police du texte dans lequel il est inséré et quelle que soit la police spécifiée dans le panneau Glyphes. Si vous désélectionnez cette option, la valeur Unicode de la police est utilisée.

• Pour afficher des variantes de glyphes, choisissez une police ou un style différent. La police d’un glyphe doit avoir

été définie au préalable pour pouvoir être modifiée.

• Choisissez Supprimer du jeu pour supprimer un glyphe du jeu de glyphes personnalisé.

• Pour modifier l’ordre des glyphes ajoutés au jeu, choisissez une option Ordre d’insertion. Valeur Unicode n’est pas disponible si Insérer devant ou Ajouter à la fin était sélectionné au moment de la création du jeu de glyphes.

Pour supprimer des glyphes de jeux de glyphes personnalisés

1 Dans le menu Afficher du panneau Glyphes, sélectionnez le jeu de glyphes personnalisé. 2 Cliquez avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) sur

un glyphe, puis choisissez Supprimer le glyphe de ce jeu.

Pour supprimer des jeux de glyphes personnalisés

1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans le menu du panneau Glyphes, choisissez Supprimer le jeu de glyphes.

• Dans le menu contextuel, choisissez Supprimer le jeu de glyphes. 2 Cliquez sur le nom d’un jeu de glyphes personnalisé. 3 Cliquez sur le bouton Oui pour confirmer.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Texte de la boîte de dialogue Préférences.

« Création de ponctuation en retrait » à la page 285

Pour indiquer les guillemets à utiliser

1 Choisissez Edition > Préférences > Dictionnaire (Windows) ou InDesign > Préférences > Dictionnaire (Mac OS). 2 Choisissez une langue dans le menu Langue. 3 Utilisez l’une des méthodes suivantes, puis cliquez sur OK :

• Pour Guillemets doubles, sélectionnez ou saisissez une paire de guillemets.

• Pour Guillemets simples, sélectionnez ou saisissez une paire de guillemets.

Pour insérer des guillemets droits

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez Page > Insérer un caractère spécial > Guillemets > Guillemets anglais droits ou Guillemet allemand droit

(apostrophe). Dernière mise à jour le 18/5/2011

Equivaut en largeur au corps du caractère. En valeur de 12 points, une espace cadratin est large de

Un vingt-quatrième de la largeur d’une espace cadratin.

Lorsque vous vérifiez l’orthographe du texte, le dictionnaire correspondant aux langues que vous avez attribuées au texte de votre document est utilisé. Vous pouvez ajouter rapidement des mots au dictionnaire.

« Césure et dictionnaires » à la page 199 « Affectation d’une langue à un texte » à la page 277

Définition des préférences orthographiques

1 Choisissez Edition > Préférences > Orthographe (Windows) ou InDesign > Préférences> Orthographe (Mac OS). 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes : • Sélectionnez Mots en minuscule pour rechercher les mots (tels qu’« allemagne ») qui sont répertoriés dans le dictionnaire avec une majuscule (« Allemagne »).

• Sélectionnez l’option Phrases en minuscule pour rechercher les mots sans majuscule après un point, un point d’exclamation ou d’interrogation.

3 Sélectionnez Activer la vérification orthographique dynamique pour souligner les mots potentiellement mal

orthographiés à mesure que vous tapez.

4 Spécifiez la couleur à utiliser pour souligner les mots mal orthographiés (mots non trouvés dans les dictionnaires

personnels), les doublons (« le le », par exemple), les mots sans majuscule (« nigeria » au lieu de « Nigeria », par exemple) et les phrases qui ne commencent pas par une majuscule.

Vérification de l’orthographe

1 Si votre document contient du texte en langue étrangère, sélectionnez le texte et utilisez le menu Langue du

panneau Caractère pour spécifier la langue du texte.

2 Choisissez Edition > Orthographe > Orthographe.

La vérification orthographique commence.

3 Si vous souhaitez modifier l’étendue de la vérification orthographique, utilisez l’une des méthodes suivantes, puis

cliquez sur Commencer pour lancer la vérification orthographique :

• Sélectionnez Document pour vérifier l’ensemble du document. Sélectionnez Tous les documents pour vérifier tous les documents ouverts.

• Sélectionnez Article pour vérifier tout le texte du bloc sélectionné et le texte des blocs de texte liés et le texte en excès.

Sélectionnez Articles pour vérifier les articles de tous les blocs sélectionnés.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Pour ajouter un mot à un dictionnaire, sélectionnez le dictionnaire dans le menu Ajouter à, puis cliquez sur Ajouter. • Cliquez sur Dictionnaire pour afficher la boîte de dialogue Dictionnaire, spécifiez un dictionnaire et une langue et spécifiez les césures du mot ajouté. Si vous voulez ajouter ce mot dans toutes les langues, choisissez la commande Toutes les langues dans le menu Langue. Cliquez sur Ajouter.

Correction des fautes d’orthographe lors de la saisie

Si la fonction de correction automatique est activée, les erreurs de majuscule et les fautes d’orthographe courantes sont corrigées au fur et à mesure que vous tapez le texte. Pour pouvoir utiliser la fonction de correction automatique, vous devez au préalable créer une liste de mots couramment mal orthographiés et les associer à l’orthographe correcte. 1 Choisissez Edition > Préférences > Correction automatique (Windows) ou InDesign > Préférences >

Correction automatique (Mac OS).

2 Choisissez Activer la correction automatique Vous pouvez également activer rapidement cette fonction en Correction automatique des erreurs de casse. Il n’est pas nécessaire d’entrer les mots en capitales dans la liste de corrections automatiques. 5 Pour ajouter un mot que vous avez tendance à mal orthographier, cliquez sur Ajouter, entrez le mot mal

orthographié (par exemple « el »), entrez le mot corrigé (« le ») et cliquez sur OK.

6 Une fois tous les mots souvent mal orthographiés entrés, cliquez sur OK.

Lorsque vous saisissez un mot mal orthographié que vous avez ajouté à la liste, le mot est automatiquement remplacé par le mot entré comme correction pour ce mot.

Pour supprimer des mots que vous avez ajoutés à la liste de corrections automatiques, sélectionnez-les, puis cliquez sur le bouton Supprimer. Pour modifier des mots de la liste de corrections automatiques, sélectionnez-les, cliquez sur le bouton Modifier, effectuez les corrections nécessaires, puis cliquez sur le bouton OK.

Vérification orthographique dynamique

Lorsque la fonction de vérification orthographique dynamique est activée, vous pouvez corriger les fautes d’orthographe et de frappe en utilisant le menu contextuel. Les mots potentiellement mal orthographiés sont soulignés (selon le dictionnaire associé à la langue du texte). Si vous entrez du texte dans une langue différente, sélectionnez le texte et définissez la langue correspondante. 1 Pour activer la vérification orthographique dynamique, choisissez Edition > Orthographe > Vérification

orthographique dynamique.

• Sélectionnez Dictionnaire pour ouvrir la boîte de dialogue Dictionnaire. Sélectionnez le dictionnaire cible, changez les césures et spécifiez la langue. Si vous voulez ajouter ce mot dans toutes les langues, choisissez la commande

Toutes les langues dans le menu Langue, puis cliquez sur le bouton Ajouter. Le mot est ajouté au dictionnaire et reste inchangé dans le texte.

• Sélectionnez Tout ignorer pour ignorer les occurrences de ce mot dans tous les documents. Lorsque vous redémarrez InDesign, le mot est à nouveau indiqué comme mal orthographié.

Remarque : si vous sélectionnez l’option Tout ignorer puis changez d’avis et décidez que vous ne souhaitez pas ignorer ce mot, choisissez l’option Mots ignorés dans le menu Listes du dictionnaire de la boîte de dialogue Dictionnaire et supprimez le mot de la liste.

Césure et dictionnaires

InDesign utilise les dictionnaires Proximity pour la plupart des langues pour vérifier l’orthographe et la césure des mots. Vous pouvez ajouter des mots à chaque dictionnaire pour le personnaliser. Vous pouvez assigner différentes langues au texte, puis InDesign utilise le dictionnaire adéquat pour vérifier l’orthographe et la césure des mots. Vous pouvez créer des dictionnaires personnels supplémentaires, puis les importer ou les exporter sous forme de listes de mots enregistrées sous un fichier de texte brut. Lorsque vous personnalisez les mots d’un dictionnaire, vous créez des listes de mots ajoutés (c’est-à-dire qui ne sont pas déjà dans le dictionnaire) et de mots supprimés (mots compris dans le dictionnaire que vous souhaitez voir indiqués comme potentiellement mal orthographiés). La boîte de dialogue Dictionnaire permet d’afficher et de modifier les mots ajoutés, les mots supprimés et les mots ignorés (mots qui sont ignorés pour la session en cours parce que vous avez cliqué sur Tout ignorer). Vous pouvez ajouter des mots s’appliquant à toutes les langues. Cette possibilité est très utile dans le cas de noms de famille, noms de rues et autres éléments non spécifiques à une langue donnée. Si vous souhaitez utiliser les dictionnaires de langue d’une version précédente d’InDesign ou InCopy, utilisez la commande Rechercher pour localiser les fichiers de dictionnaire utilisateur (.idc), puis ajoutez-les à la liste de dictionnaires dans les préférences de dictionnaires. Emplacement d’enregistrement des mots de dictionnaires Par défaut, les exceptions de césure et d’orthographe sont entrées dans des fichiers de dictionnaires utilisateurs stockés hors du document, sur l’ordinateur sur lequel InDesign est installé (les noms de fichier des dictionnaires se terminent par l’extension .clam ou .not). Toutefois, vous pouvez choisir de stocker les listes d’exceptions dans les documents InDesign. Vous pouvez également stocker les listes de mots dans un dictionnaire utilisateur externe, dans le document, ou encore dans les deux. L’emplacement des dictionnaires existants apparaît dans les préférences Dictionnaire. Le stockage des exceptions de césure et d’orthographe dans un document permet de faciliter la conservation de la composition de texte lors du transfert du document vers d’autres ordinateurs. Pour cette raison, vous pouvez fusionner le dictionnaire utilisateur avec le document dans les préférences de dictionnaire. Vous pouvez également choisir l’emplacement des exceptions dans la boîte de dialogue Créer dossier Assemblage (voir la section « Assemblage de fichiers » à la page 684). En revanche, le stockage d’une liste d’exceptions indépendamment du document facilite l’utilisation de la même liste pour plusieurs documents.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Utilisez le menu Langue du panneau Contrôle ou Caractère pour appliquer une langue au texte sélectionné. Vous pouvez également spécifier une langue par défaut pour un document entier ou pour tous les documents ultérieurs (voir la section « Affectation d’une langue à un texte » à la page 277). Listes d’exceptions Vous pouvez exclure certains termes. Ainsi, si vous souhaitez utiliser une orthographe différente pour un nom commun tel que « bicyclette » (pour un document spécifique ou parce que c’est le nom de votre société par exemple), ajoutez le mot à la liste des mots exclus afin qu’il soit soumis lors d’une vérification orthographique. InDesign peut conserver un ensemble indépendant de mots ajoutés et supprimés pour chaque langue installée.

Création ou ajout de dictionnaires

Vous pouvez créer un dictionnaire utilisateur ou en ajouter de versions précédentes d’InDesign ou d’InCopy, de fichiers envoyés par d’autres personnes ou d’un serveur dans lequel le dictionnaire utilisateur du groupe de travail est stocké. Le dictionnaire que vous ajoutez est utilisé pour tous les documents InDesign. 1 Choisissez Edition > Préférences > Dictionnaire (Windows) ou InDesign > Préférences > Dictionnaire (Mac OS). 2 Dans le menu Langue, choisissez la langue à associer au dictionnaire. 3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour créer un dictionnaire, cliquez sur l’icône Nouveau dictionnaire personnel

, située sous le menu Langue.

Spécifiez le nom et l’emplacement du dictionnaire personnel (avec l’extension .udc), et cliquez sur Enregistrer.

• Pour ajouter un dictionnaire existant, cliquez sur l’icône Ajouter un dictionnaire personnel

fichier de dictionnaire personnel (.udc ou .not), puis cliquez sur Ouvrir.

Remarque : si vous ne trouvez pas le fichier de dictionnaire, utilisez la commande Rechercher du système pour rechercher les fichiers .udc (entrez *.udc), notez l’emplacement, puis réessayez. Le dictionnaire est ajouté à la liste dans le menu Langue. Vous pouvez ajouter des mots au dictionnaire pendant la vérification de l’orthographe ou en faisant appel à la boîte de dialogue Dictionnaire.

Définition du dictionnaire de langue par défaut pour le document ouvert

Vous pouvez modifier le dictionnaire de langue par défaut pour un document ou pour tous les documents que vous créez. Le changement de dictionnaire par défaut dans un document existant n’affecte pas le texte qui a déjà été créé ou le texte que vous entrez dans un bloc de texte existant. Utilisez le panneau Styles de caractère ou Styles de paragraphe pour définir un dictionnaire spécifique pour un style spécifique. Le menu Langue apparaît dans la section Formats de caractères avancés. 1 Ouvrez le document. 2 Sélectionnez l’outil Sélection dans la barre d’outils et assurez-vous qu’aucun élément n’est sélectionné dans le

3 Sélectionnez Texte > Caractère. 4 Choisissez le dictionnaire souhaité dans le menu Langue du panneau Caractère. Si l’option Langue n’apparaît pas Dernière mise à jour le 18/5/2011

Suppression, réédition de lien et réorganisation de dictionnaires 1 Choisissez Edition > Préférences > Dictionnaire (Windows) ou InDesign > Préférences > Dictionnaire (Mac OS). 2 Dans le menu Langue, choisissez la langue du dictionnaire. 3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour supprimer un dictionnaire de la liste, sélectionnez-le et cliquez sur l’icône Supprimer le dictionnaire personnel

. Vous devez disposer d’au moins un dictionnaire par langue.

• Si un point d’interrogation se trouve en regard d’un dictionnaire de langue, sélectionnez le dictionnaire, cliquez sur l’icône Rééditer le lien vers le dictionnaire personnel

, puis recherchez et ouvrez le dictionnaire personnel.

• Changez l’ordre des dictionnaires personnels en effectuant un glisser-déposer. L’ordre des dictionnaires dans la liste correspond à l’ordre dans lequel les dictionnaires sont consultés.

Ajout de mots aux dictionnaires

Si, lors de la vérification orthographique, InDesign affiche un mot inconnu dans la boîte de dialogue Orthographe, sélectionnez le dictionnaire dans le menu Ajouter à, puis cliquez sur Ajouter. Vous pouvez aussi faire appel à la boîte de dialogue Dictionnaire pour spécifier le dictionnaire et la langue cible et pour préciser la façon dont les mots sont ajoutés à la liste des exceptions. 1 Choisissez Edition > Orthographe > Dictionnaire. 2 Dans le menu Langue, choisissez une langue. Chaque langue contient au moins un dictionnaire. Si vous voulez

ajouter ce mot dans toutes les langues, choisissez la commande Toutes les langues.

3 Dans le menu Cible, choisissez le dictionnaire où stocker le mot. Le menu Cible permet de stocker les modifications

apportées à un dictionnaire personnel externe ou à un document ouvert.

4 Dans le menu Listes du dictionnaire, choisissez Mots ajoutés. 5 Dans la zone Mot, saisissez ou modifiez le mot à ajouter à la liste. 6 Cliquez sur Césure pour afficher la césure par défaut du mot. Les tildes (~) indiquent les points de césure possibles. 7 Si le choix ne vous satisfait pas, utilisez les instructions suivantes pour indiquer la césure à privilégier pour ce mot :

• Entrez un tilde (~) pour indiquer le point de césure le plus approprié pour ce mot.

• Si un autre point de césure est envisageable, entrez deux tildes (~~) pour indiquer ce second point. • Entrez trois tildes (~~~) pour indiquer un point de césure peu approprié mais acceptable. • Si vous voulez que le mot ne soit jamais coupé, entrez un tilde avant sa première lettre. Si vous avez besoin d’inclure le signe tilde dans un mot, entrez une barre oblique inverse avant le tilde (\~). 8 Cliquez sur Ajouter, puis sur Terminer. Le mot est ajouté aux listes du dictionnaire sélectionnées.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Dans le menu Langue, choisissez une langue. 3 Dans le menu Cible, choisissez le dictionnaire dans lequel vous voulez supprimer le mot. Le menu Cible vous

permet de choisir le dictionnaire personnel externe ou un document ouvert.

4 Dans le menu Listes du dictionnaire, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour modifier la liste des mots ajoutés dans la liste de mots cible sélectionnée, choisissez Mots ajoutés.

• Pour modifier la liste de mots indiqués comme mal orthographiés, choisissez Mots supprimés. • Pour modifier la liste de mots ignorés lors de la session InDesign en cours, choisissez Mots ignorés. Cette liste comprend tous les mots pour lesquels vous avez choisi Tout ignorer. 5 Dans la liste de mots, modifiez le mot, ou sélectionnez-le et cliquez sur Supprimer. 6 Cliquez sur Terminer.

Exportation d’une liste de mots

Vous pouvez exporter des listes de mots dans un fichier texte (.txt) puis importer cette liste de mots dans un dictionnaire personnel dans InDesign. Les mots contenus dans le fichier texte doivent être séparés par une espace, une tabulation ou un saut de paragraphe. Vous pouvez exporter des mots ajoutés et des mots supprimés, mais vous ne pouvez pas exporter des mots ignorés, qui sont utilisés uniquement dans la session en cours. 1 Choisissez Edition > Orthographe > Dictionnaire. 2 Choisissez la langue dans le menu Langue, puis, dans le menu Cible, choisissez le dictionnaire qui contient la liste

de mots à exporter.

3 Cliquez sur Exporter, entrez le nom du fichier et son emplacement, puis cliquez sur Enregistrer.

La liste de mots est enregistrée dans un fichier texte. Vous pouvez modifier la liste de mots dans un éditeur de texte puis importer la liste de mots. Vous pouvez également envoyer la liste de mots à d’autres personnes, qui peuvent l’importer dans leurs dictionnaires personnels.

Importation d’une liste de mots

1 Choisissez Edition > Orthographe > Dictionnaire. 2 Choisissez la langue dans le menu Langue et le dictionnaire dans le menu Cible. 3 Cliquez sur Importer, recherchez le fichier texte contenant la liste des exceptions, puis cliquez sur Ouvrir.

Modification des préférences de dictionnaire

Utilisez les préférences de dictionnaire pour définir comment InDesign doit gérer les dictionnaires et la césure. La plupart des langues d’InDesign utilisent des dictionnaires Proximity pour vérifier l’orthographe et la césure des mots. Si vous avez installé des composants orthographiques ou de césure d’une autre société, vous pouvez sélectionner un fournisseur différent pour chaque langue installée.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

dans le menu Césure. 5 Si vous disposez d’un dictionnaire orthographique provenant d’une société autre qu’Adobe, vous pouvez le

sélectionner dans le menu Orthographe.

6 Dans le menu Composer avec du menu Exceptions de césure, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour composer le texte à l’aide de la liste des exceptions de césure stockée dans le dictionnaire personnel externe, choisissez Dictionnaire personnel.

• Pour composer le texte à l’aide de la liste des exceptions de césure stockée dans le document, choisissez Document.

• Pour composer le texte à l’aide des deux listes, choisissez l’option Dictionnaire personnel et document. Il s’agit du paramètre par défaut. 7 Pour ajouter la liste des exceptions stockée dans le dictionnaire personnel externe à celle des exceptions stockée

dans le document, sélectionnez Fusionner le dictionnaire personnel avec le document.

Remarque : si vous travaillez avec de nombreux partenaires ou clients, vous pouvez désélectionner l’option Fusionner le dictionnaire personnel avec le document. Par exemple, si vous êtes un prestataire de services, vous préférez sans doute éviter de fusionner votre dictionnaire personnel avec le fichier de tous vos clients. 8 Pour recomposer tous les articles lorsque certains paramètres sont modifiés, sélectionnez Recomposer tous les

articles après modification. Cette option permet de recomposer les articles lorsque vous modifiez l’option

Composer avec (voir l’étape 6) ou lorsque vous utilisez la commande Dictionnaire pour ajouter ou supprimer des mots. Le temps requis pour effectuer cette opération dépend de la quantité de texte du document. 9 Cliquez sur OK.

Utilisation de dictionnaires dans un groupe de travail

Assurez-vous que pour chaque station de votre groupe de travail, les mêmes dictionnaires personnels sont installés et ajoutés, afin qu’un document utilise les mêmes règles orthographiques et de césure quel que soit l’utilisateur. Vous pouvez faire en sorte que tout le monde ajoute les mêmes dictionnaires à leur ordinateur, ou bien partager un dictionnaire personnel sur le serveur de réseau.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vérifiez que chaque personne du groupe de travail utilise le dictionnaire utilisateur personnalisé installé sur sa station de travail, et non le dictionnaire stocké dans un document. Toutefois, avant de livrer un document à un prestataire de services, il peut être préférable de fusionner le dictionnaire utilisateur avec le document Si vous ne partagez pas de dictionnaire utilisateur personnalisé sur une station de travail réseau partagée, localisez et copiez les fichiers de votre dictionnaire personnel d’une station de travail à une autre. L’emplacement des dictionnaires utilisateur apparaît dans les préférences de dictionnaire. Une fois que vous avez ajouté un dictionnaire personnel à une station de travail partagée, les modifications n’apparaissent pas sur les stations de travail individuelles jusqu’à ce qu’un utilisateur redémarre InDesign ou appuie sur les touches Ctrl+Alt+/ (Windows) ou Commande+Option+/ (Mac OS) pour recomposer tout le texte.

Notes de bas de page

Création de notes de bas de page Une note de bas de page est constituée de deux parties liées : le numéro de référence de la note de bas de page qui apparaît dans le texte, et le texte de la note qui apparaît au bas de la colonne. Vous pouvez créer des notes de bas de page ou les importer de Microsoft Word ou des documents RTF. Les notes de bas de page sont numérotées automatiquement au fur et à mesure que vous les ajoutez au document. La numérotation repart du début pour chaque article. Vous pouvez choisir le style, l’apparence et la mise en page des notes de bas de page. Vous ne pouvez pas ajouter de notes de bas de page à des tableaux ou au texte d’une note de bas de page. La largeur du texte de note de bas de page est fonction de la largeur de la colonne contenant le marqueur de référence de note de bas de page. Les notes de bas de page ne permettent pas d’espacer les colonnes au sein d’un bloc de texte. Il est impossible de créer des notes de fin de page dans InDesign. Néanmoins, Bob Bringhurst propose une solution pour créer des notes de fin de page dans l’article Endnotes in InDesign CS4. Les notes de fin de page figurant dans des documents Microsoft Word convertis se présentent sous forme de texte plutôt que de notes de bas de page. Pour consulter un didacticiel vidéo sur la création de notes de bas de page, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0218_fr. 1 Placez le point d’insertion là où vous souhaitez insérer le numéro de référence de la note de bas de page. 2 Choisissez Texte > Insérer une note de bas de page. 3 Saisissez le texte de la note.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

A mesure que vous tapez, la zone de la note s’agrandit, alors que le bloc de texte reste le même. La zone de la note de bas de page continue de s’étendre vers le haut jusqu’à ce qu’elle atteigne la ligne de la référence à la note. La note de bas de page se poursuit alors dans la colonne suivante du bloc de texte ou du bloc lié, si possible. Si la note de bas de page ne peut pas être séparée et si le texte de la note est trop long pour la zone de note de bas de page, la ligne contenant la référence à la note est déplacée à la colonne suivante, ou bien une icône de texte en excès apparaît. Dans ce cas, redimensionnez le bloc ou changez la mise en forme du texte. Lorsque le point d’insertion se trouve dans une note de bas de page, choisissez Texte > Atteindre la référence de note de bas de page pour revenir au point du texte où vous vous trouviez. Si vous utilisez fréquemment cette option, pensez à créer un raccourci clavier.

« Importation de texte » à la page 145 Vidéo Créer des notes de pied de page

Modification de la numérotation et de la mise en page des notes de bas de page

Les modifications apportées à la numérotation et à la mise en page des notes de bas de page s’appliquent aux notes de bas de page existantes et à celles que vous créez ultérieurement. 1 Sélectionnez Texte > Options de note de bas de page du document. 2 Sur l’onglet Numérotation et mise en forme, sélectionnez les options qui déterminent le type de numérotation et

l’apparence du numéro de référence et du texte des notes de bas de page.

3 Cliquez sur l’onglet Mise en page et sélectionnez les options concernant l’aspect de la section contenant les notes

de bas de page sur la page.

« Surimpression des filets situés au-dessus des notes de bas de page » à la page 705

Options de numérotation et de mise en forme des notes de bas de page

Les options suivantes apparaissent dans la section Numérotation et mise en forme de la boîte de dialogue Options de note de bas de page : Style de numérotation Choisissez le style de numérotation à appliquer aux numéros de référence des notes de bas de

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Recommencer la numérotation à chaque Si vous souhaitez que la numérotation recommence au début au sein d’un même document, sélectionnez cette option et choisissez la commande Page, Planche ou Section pour déterminer l’endroit où la numérotation des notes de bas de page doit repartir du début. Certains types de numérotation, comme l’astérisque (*), sont plus appropriés lorsque la numérotation reprend du début à chaque page. Afficher le préfixe/suffixe dans Sélectionnez cette option pour afficher les préfixes ou les suffixes dans la référence à la

note de bas de page, le texte de la note de bas de page, ou encore dans les deux. Les préfixes apparaissent avant le numéro (par exemple [1) et les suffixes après le numéro (par exemple 1]). Cette option est particulièrement utile si vous souhaitez insérer des notes de bas de page entre des caractères, par exemple [1]. Entrez un ou plusieurs caractères ou sélectionnez une option pour Préfixe, Suffixe, ou les deux. Pour sélectionner des caractères spéciaux, cliquez sur les icônes situées en regard des commandes Préfixe et Suffixe pour afficher un menu.

Si le numéro de référence à la note de bas de page est trop près du texte qui le précède, vous pouvez ajouter une espace comme préfixe. Vous pouvez également appliquer un style de caractère au numéro de référence. Position Cette option détermine l’apparence du numéro de référence à la note de bas de page (par défaut en exposant).

Si vous préférez appliquer un style de caractère au numéro (par exemple un style de caractère comprenant les paramètres d’exposant OpenType), choisissez Normale et spécifiez le style de caractère.

Style de caractère Vous pouvez choisir un style de caractère à appliquer au numéro de référence des notes de bas de page. Par exemple, au lieu d’utiliser l’exposant, vous pouvez utiliser un style de caractère à une position normale avec une ligne de base surélevée. Le menu affiche les styles de caractères disponibles dans le panneau Styles de caractères. Style de paragraphe Vous pouvez choisir un style de paragraphe pour le texte de toutes les notes de bas de page du

document. Le menu affiche les styles de paragraphes disponibles dans le panneau Styles de paragraphes. Par défaut, le style [Paragraphe standard] est utilisé. A noter que le style [Paragraphe standard] peut ne pas avoir le même aspect que les paramètres de police par défaut du document.

Séparateur Le séparateur détermine l’espace qui apparaît entre le numéro de la note de bas de page et le début du texte de la note. Pour changer le séparateur, sélectionnez ou supprimez le séparateur existant, puis choisissez un autre séparateur. Vous pouvez inclure plusieurs caractères. Pour insérer des espaces, utilisez le métacaractère approprié, comme ^m pour les espaces cadratin.

Options de mise en page des notes de bas de page

Les options suivantes apparaissent dans la section Mise en page de la boîte de dialogue Options de note de bas de page : Espace minimum avant la 1ère note de bas de page Cette option détermine l’espace minimum entre le bas de la

colonne et la première ligne de notes de bas de page. Vous ne pouvez pas utiliser de valeur négative. Les paramètres

Espace avant du paragraphe de note de bas de page sont ignorés. Espace entre les notes de bas de page Cette option détermine la distance entre le dernier paragraphe d’une note de

bas de page et le premier paragraphe de la note de bas de page suivante dans une colonne. Vous ne pouvez pas utiliser de valeur négative. Les valeurs spécifiées pour Espace avant/après dans un paragraphe de note de bas de page s’appliquent uniquement si la note de bas de page comprend plusieurs paragraphes.

Décalage de la 1re ligne de base Cette option détermine la distance entre le début de la zone de note de bas de page (là où le séparateur apparaît par défaut) et la première ligne du texte de la note de bas de page.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Autoriser le fractionnement des notes de bas de page Sélectionnez cette option si vous souhaitez que les notes de bas

de page continuent sur une autre colonne si la note dépasse l’espace maximal disponible pour les notes de cette colonne. Si la note ne peut pas être divisée, la ligne contenant la référence à la note de bas de page est déplacée à la colonne suivante, ou le texte est composé en excès.

Note de bas de page fractionnée sur la colonne

Si l’option Autoriser le fractionnement des notes de bas de page est activée, vous pouvez tout de même empêcher le fractionnement d’une note de bas de page en plaçant le point d’insertion dans le texte de la note de bas de page, puis en choisissant Options d’enchaînement dans le menu du panneau Paragraphe et en sélectionnant les options

Lignes solidaires et Toutes les lignes du paragraphe. Si la note de bas de page contient plusieurs paragraphes, utilisez l’option Paragraphes solidaires X lignes dans le premier paragraphe du texte de la note de bas de page. Choisissez Texte > Insérer un caractère de saut > Saut de colonne pour choisir l’emplacement du fractionnement de la note de bas de page. Filet au-dessus Spécifiez l’emplacement et l’aspect de la ligne de séparation visible au-dessus du texte de note de bas

de page. Une ligne de séparation (aussi appelée « trait de séparation ») est également visible au-dessus de tout texte de note de bas de page qui se poursuit dans un autre bloc Les options que vous sélectionnez s’appliquent soit à la première note de bas de page de la colonne, soit aux suites des notes de bas de page, selon ce que vous avez sélectionné dans le menu. Ces options sont similaires à celles qui apparaissent lorsque vous spécifiez un filet de paragraphe Si vous voulez supprimer la ligne de séparation de note de bas de page, désélectionnez l’option Filet.

Suppression de notes de bas de page

❖ Pour supprimer une note de bas de page, sélectionnez le numéro de référence à la note qui apparaît dans le texte et

appuyez sur Retour arrière ou Suppr. Si vous supprimez uniquement le texte de la note, le numéro de référence et la structure de la note seront conservés.

Utilisation de texte de note de bas de page

Tenez compte des points suivants lorsque vous modifiez un texte de note de bas de page :

• Lorsque le point d’insertion se trouve dans le texte de la note de bas de page, si vous choisissez Edition >

Tout sélectionner, tout le texte de la note de bas de page est sélectionné, mais pas les autres notes de bas de page ni aucun autre texte.

• Utilisez les touches de direction pour vous déplacer parmi les notes de bas de page.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez développer ou réduire toutes les notes de bas de page en choisissant Affichage > Mode éditeur > Développer toutes les notes de bas de page ou Réduire toutes les notes de bas de page.

• Vous pouvez sélectionner et appliquer la mise en forme des caractères et des paragraphes au texte des notes de bas de page. Vous pouvez également sélectionner et modifier l’apparence des numéros de référence aux notes de bas de page, mais il est préférable pour cela d’utiliser la boîte de dialogue Options de note de bas de page du document.

• Lorsque vous coupez et copier du texte comprenant un numéro de référence à une note de bas de page, le texte de la note est également ajouté au Presse-papier. Si vous copiez le texte dans un autre document, les notes de bas de page de ce texte utiliseront les caractéristiques de numérotation et de mise en page du nouveau document.

• Si vous supprimez par mégarde le numéro de la note de bas de page au début du texte de la note, vous pouvez le rétablir en plaçant le point d’insertion au début du texte de la note de bas de page, puis en cliquant avec le bouton droit de la souris (Windows) ou tout en appuyant sur Contrôle (Mac OS), puis en choisissant Insérer un caractère spécial > Marques > Numéro de note de bas de page.

• L’habillage de texte n’a pas d’effet sur le texte des notes de bas de page.

• Si vous effacez les remplacements et les styles de caractère d’un paragraphe contenant un marqueur de référence de note de bas de page, les numéros de référence aux notes de bas de page perdent les attributs appliqués dans la boîte de dialogue Options de note de bas de page du document.

Suivi et révision des corrections

Suivi des modifications Le suivi des modifications effectuées dans un article par chacun des acteurs du processus de rédaction et d’édition est une fonction particulièrement utile. Les marques de révision correspondant à tous les ajouts, suppressions et déplacements de texte dans un article existant sont visibles en mode éditeur dans InDesign et en modes Epreuve en placard et Article dans InCopy. Libre à vous d’accepter ou d’ignorer ces modifications. Utilisez le panneau Suivi des modifications d’InDesign ou la barre d’outils de suivi des modifications d’InCopy pour activer ou désactiver le suivi des modifications, ainsi que pour afficher, masquer, accepter ou ignorer les corrections apportées par vos collaborateurs.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Choisissez la commande Fenêtre > Editorial > Suivi des modifications pour ouvrir le panneau du même nom

(InDesign) ou la commande Fenêtre > Suivi des modifications pour afficher la barre d’outils du même nom

(InCopy). 2 Après avoir placé le point d’insertion dans le texte, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour activer le suivi des modifications dans l’article actif uniquement, cliquez sur l’icône Activer le suivi des modifications dans l’article actif

3 Insérez, effacez ou déplacez du texte dans l’article, en fonction des besoins.

Mode d’affichage du suivi des modifications

Lorsque le suivi des modifications est activé, les corrections apportées s’affichent par défaut de la façon suivante en mode éditeur (InDesign) ou en modes Epreuve en placard et Article (InCopy) : La section Suivi des modifications de la boîte de dialogue Préférences vous permet de choisir la couleur permettant d’identifier les modifications. Elle vous permet également de sélectionner les modifications à suivre (ajouts, suppressions ou déplacements de texte) et la manière de les afficher. Texte ajouté Mis en surbrillance. Texte supprimé Mis en surbrillance et barré. Texte déplacé (coupé et collé) Mis en surbrillance et barré à l’emplacement d’origine ; mis en surbrillance et encadré

au nouvel emplacement.

Remarque : lorsque vous coupez du texte dans un document pour le coller dans un autre, il est affiché comme texte supprimé à son emplacement d’origine dans le document source et comme texte ajouté à son nouvel emplacement.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

modifié. Vous pouvez afficher ou masquer les barres de modification à votre convenance et spécifier leur couleur.

Affichage ou masquage des modifications

Lorsque les corrections sont masquées, le texte se présente sous la même forme que si la fonction de suivi des corrections était désactivée. Ainsi, le texte ajouté est visible, le texte supprimé est invisible et le texte déplacé ou collé s’affiche à l’endroit où il a été inséré. (InDesign) Lorsque le suivi des modifications est activé, les modifications sont suivies, que vous travailliez en mode éditeur ou dans la mise en page du document. Vous pouvez afficher les modifications en mode éditeur, mais pas dans la mise en page. (InCopy) Lorsque le suivi des modifications est activé, les modifications sont suivies, que vous travailliez en mode Epreuve en placard, Article ou Mise en page. Vous pouvez afficher les modifications dans les modes Epreuve en placard, Article, mais pas dans le mode Mise en page. ❖ Dans le panneau Suivi des modifications (InDesign) ou la barre d’outils de suivi des modifications (InCopy),

cliquez sur le bouton Afficher/Masquer les modifications

• Pour désactiver le suivi des modifications dans l’article actif uniquement, cliquez sur l’icône Désactiver le suivi des modifications dans l’article actif

La fonction de suivi des corrections permet la révision de toutes les modifications effectuées par les différents auteurs d’un article et leur incorporation dans cet article. Vous pouvez accepter ou ignorer toutes les corrections individuellement, globalement ou partiellement. Lorsque vous validez une modification, celle-ci s’intègre au texte et n’est plus balisée. Lorsque vous l’ignorez, le texte d’origine est rétabli. 1 En mode éditeur (InDesign) ou en mode Epreuve en placard ou Article (InCopy), placez le point d’insertion au

début de l’article.

2 Dans le panneau Suivi des modifications (InDesign) ou la barre d’outils de suivi des modifications (InCopy),

cliquez sur le bouton Modification suivante

Les commandes Accepter les modifications et Ignorer les modifications s’appliquent également au texte conditionnel masqué.

Définition des préférences de suivi des modifications

Les préférences permettent de définir plusieurs options de suivi. Vous pouvez choisir une couleur pour identifier vos modifications et sélectionner les modifications à suivre : ajout, suppression ou déplacement de texte. Vous pouvez également définir l’apparence de chaque type de modification suivie et identifier les modifications à l’aide de barres de modification de couleur dans les marges. 1 Choisissez la commande Edition > Préférences > Suivi des modifications (Windows) ou InDesign > Préférences >

Suivi des modifications (Mac OS).

2 Sélectionnez les types de modifications que vous souhaitez suivre. 3 Pour chaque type de modification, indiquez la couleur du texte, celle de l’arrière-plan et la méthode de balisage. 4 Sélectionnez l’option Empêcher la duplication des couleurs utilisateur pour veiller à ce qu’une couleur différente

soit attribuée à chacun des utilisateurs.

5 Pour afficher les barres de modification, sélectionnez l’option Barres de modification. Choisissez une couleur dans

le menu déroulant Couleur des barres de modification, puis indiquez si vous souhaitez afficher les barres de modification dans la marge de droite ou de gauche.

6 Choisissez Inclure le texte supprimé pour la vérification orthographique si vous voulez vérifier l’orthographe du

texte marqué pour la suppression.

Modification du nom et de la couleur de l’utilisateur

1 Choisissez Fichier > Utilisateur. 2 Indiquez le nom de l’utilisateur et la couleur à utiliser pour le suivi de modifications et les notes, puis cliquez

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Les notes apparaissent uniquement dans le texte. Dans InDesign, il est possible de les imprimer seulement à partir du Mode éditeur. De plus, elles ne peuvent pas être exportées au format PDF.

« Saisie de l’identifiant utilisateur » à la page 732

Ajout de notes éditoriales

Lorsque vous ajoutez des notes éditoriales à un contenu géré dans InDesign, elles deviennent accessibles à vos collaborateurs dans le flux de production. Les notes sont conçues pour être principalement utilisées avec un flux de production InCopy, mais vous pouvez aussi en tirer parti dans InDesign. Par exemple, vous pouvez placer du texte dans des notes que vous souhaiterez peut-être insérer dans un article ultérieurement. Dans InCopy, lorsque vous exportez au format Adobe PDF, les notes peuvent être converties en commentaires PDF. 1 A l’aide de l’outil Texte, cliquez à l’endroit où vous souhaitez placer la note, puis choisissez la commande Texte >

Notes > Nouvelle note.

Lorsque vous effectuez des modifications en mode éditeur, le serre-livres apparaît. En mode Mise en page, le panneau Notes apparaît. 2 Saisissez la note entre les serre-livres de la note ou saisissez-la dans le panneau Notes.

Vous pouvez insérer autant de notes que vous le souhaitez n’importe où dans le texte. Cependant, vous ne pouvez pas créer de note dans une autre note.

Pour afficher ou masquer les notes, sélectionnez la commande Affichage > Extras > Afficher les notes ou Masquer les notes.

Utilisation du mode Notes

Le mode Notes permet d’ajouter, scinder ou supprimer facilement des notes, en fonction de l’emplacement du point d’insertion ou du texte sélectionné. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour créer une note, placez le point d’insertion dans le texte.

• Pour convertir le texte en note, sélectionnez le texte. • Pour scinder une note, placez le point d’insertion dans une note. • Pour convertir la note en texte, sélectionnez le serre-livres de la note (en Mode éditeur). • Pour placer le point d’insertion à l’extérieur d’une note, insérez-le au début ou à la fin de la note. 2 Choisissez la commande Texte > Notes > Mode Notes.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Pour convertir du texte en note, sélectionnez-le et choisissez la commande Texte > Notes > Convertir en note. Une nouvelle note est créée. Le texte sélectionné est supprimé de l’article et collé dans la nouvelle note. L’ancrage ou le serre-livres de la note apparaît à l’endroit où le texte sélectionné a été coupé.

• Pour convertir une note en texte, sélectionnez le texte à ajouter au texte du document dans le panneau Notes ou, en mode éditeur, sélectionnez le texte de la note texte. Choisissez ensuite la commande Texte > Notes > Convertir en texte.

• Pour scinder une note, placez le point d’insertion dans la note à l’endroit où vous souhaitez qu’elle soit scindée, puis choisissez la commande Texte > Notes > Scinder la note.

• Pour passer d’une note à une autre, cliquez sur le point d’insertion dans l’article, puis choisissez la commande Texte > Notes > Note précédente ou Texte > Notes > Note suivante.

Modifications des préférences de notes

Les préférences permettent de définir la couleur des notes ancrées, des serre-livres et des arrière-plans lorsqu’ils sont incorporés en mode éditeur. Vous pouvez choisir d’afficher les informations sur la note dans une info-bulle, d’inclure le contenu de la note lors d’opérations de recherche et de remplacement et de vérifier l’orthographe en mode éditeur. 1 Choisissez la commande Edition > Préférences > Notes (Windows) ou InDesign > Préférences > Notes (Mac OS). 2 Sélectionnez une couleur pour les ancres et les serre-livres des notes dans le menu déroulant Couleur des notes.

Sélectionnez [Couleur utilisateur] pour utiliser la couleur indiquée dans la boîte de dialogue utilisateur. Cette fonction est très utile lorsque plusieurs personnes travaillent sur le fichier.

3 Sélectionnez Afficher les infos-bulles des notes pour afficher des informations relatives aux notes et une partie ou

l’ensemble du contenu de la note dans une info-bulle lorsque le curseur passe sur l’ancrage d’une note en mode Mise en page ou sur un serre-livres de note en mode éditeur.

4 Indiquez si vous souhaitez inclure le contenu de la note texte lors de l’utilisation des commandes

Rechercher/Remplacer et Orthographe (en mode éditeur uniquement).

Remarque : en mode Mise en page, vous ne pouvez pas utiliser les commandes Rechercher/Remplacer et Orthographe pour le contenu des notes, quels que soient les paramètres de la boîte de dialogue Préférences. Néanmoins, l’option Tout remplacer modifie le contenu des notes. 5 Sélectionnez [Aucune] ou [Couleur de note ] (la couleur choisie à l’étape 2) pour définir la couleur de fond d’une

6 Cliquez sur OK. Un style de caractère rassemble tous les attributs de mise en forme applicables simultanément à un texte. Un style de paragraphe comprend les attributs de mise en forme de caractère et de paragraphe, et peut être appliqué à un ou plusieurs paragraphes. Les styles de paragraphes et les styles de caractères sont disponibles à partir de panneaux différents. Les styles de paragraphe et de caractères sont parfois appelés styles de texte. Lorsque vous modifiez la mise en forme d’un style, l’ensemble du texte auquel il a été appliqué est réactualisé avec le nouveau format. Pour consulter un didacticiel vidéo sur la création d’un style de paragraphe, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid4277_id_fr. Pour consulter un didacticiel vidéo sur l’utilisation des styles de texte, rendezvous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0076_fr. Vous trouverez des exemples de styles dans l’article Free InDesign Style Template de Thomas Silkjaer (en anglais uniquement). Styles [Paragraphe standard] Par défaut, chaque nouveau document comprend un style [Paragraphe standard] qui s’applique au texte saisi. Vous pouvez modifier ce style, mais vous ne pouvez pas le renommer, ni le supprimer. Vous pouvez renommer et supprimer uniquement les styles que vous créez. Vous pouvez également sélectionner un autre style par défaut pour l’appliquer au texte. Attributs de style de caractère Contrairement aux styles de paragraphe, les styles de caractère ne comprennent pas tous les attributs de mise en forme du texte sélectionné. Lorsque vous créez un style de caractère, InDesign enregistre uniquement dans ce style les attributs différents de la mise en forme du texte sélectionné. Ainsi, vous pouvez créer un style de caractère qui, lorsqu’il est appliqué au texte, ne modifie que certains attributs, tel que la famille et la taille de la police, tout en ignorant tous les autres attributs de caractère. Si vous voulez que d’autres attributs soient enregistrés sous ce style, ajoutez-les lorsque vous modifiez le style. Style suivant Vous pouvez appliquer des styles automatiquement à mesure que vous tapez. Si, par exemple, vous souhaitez que le style « Corps de texte » soit suivi d’un style de titre appelé « Titre 1 » dans votre document, vous pouvez indiquer « Titre 1 » pour l’option Style suivant de « Corps de texte ». Après avoir saisi un paragraphe en style « Titre 1 », appuyez sur la touche Entrée ou Retour pour commencer un nouveau paragraphe en style « Corps de texte ». Si vous utilisez le menu contextuel pour appliquer un style à plusieurs paragraphes, vous pouvez choisir d’appliquer le style parent au premier paragraphe et le style suivant aux autres paragraphes (voir la section « Application de styles » à la page 219). Pour utiliser la fonction Style suivant, choisissez un style dans le menu Style suivant lors de la création ou de la modification d’un style.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

à des paragraphes entiers. Les styles sont enregistrés avec un document et s’affichent dans le panneau à chaque ouverture de ce document. Lorsque vous sélectionnez du texte ou que vous placez le point d’insertion, tout style appliqué à ce texte est mis en surbrillance dans l’un des panneaux Styles, à moins que le style ne figure dans un groupe de style réduit. Si vous sélectionnez une plage de texte comprenant plusieurs styles, aucun style n’est mis en surbrillance dans le panneau Styles. Si vous sélectionnez une plage de texte à laquelle plusieurs styles sont appliqués, le panneau Styles affiche « (Mixte) ».

Pour ouvrir le panneau Styles de paragraphe

❖ Pour afficher le panneau Styles de paragraphe, choisissez Texte > Styles de paragraphe ou cliquez sur l’onglet Styles

de paragraphe qui apparaît par défaut sur le côté droit de la fenêtre d’application.

Pour ouvrir le panneau Styles de caractère

❖ Choisissez Texte > Styles de caractère ou cliquez sur l’onglet Styles de caractère à droite de la fenêtre d’application.

Ajout de styles de paragraphe et de caractère

« Regroupement de styles » à la page 236 « Création de styles imbriqués » à la page 224 « Application de styles » à la page 219 « Duplication des styles ou des groupes de styles » à la page 235

Définition de styles de paragraphe ou de caractère

1 Pour créer un style à partir de la mise en forme d’un texte existant, sélectionnez le texte mis en forme ou placez-y

le point d’insertion.

Si un groupe est sélectionné dans le panneau Styles, le nouveau style fera partie de ce groupe. 2 Choisissez Nouveau style de paragraphe dans le menu du panneau Styles de paragraphe ou Nouveau style de

caractère dans le menu du panneau Styles de caractère.

3 Pour l’option Nom du style, entrez le nom du nouveau style. 4 Dans la liste D’après, sélectionnez le nom du style sur lequel repose le style actuel.

Remarque : l’option D’après permet de lier les styles entre eux, de sorte que les modifications d’un style se répercutent sur les styles enfants. Par défaut, les nouveaux styles sont définis sur [Aucun style de paragraphe] pour les styles de paragraphe ou [Aucun] pour les styles de caractère, ou bien sur le style du texte actuellement sélectionné.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

6 Pour ajouter un raccourci clavier, placez le point d’insertion dans la zone Raccourci et assurez-vous que le

verrouillage numérique est activé. Maintenez une combinaison de touches Alt, Maj et Ctrl (Windows) ou Option,

Maj et Commande (Mac OS) enfoncée, puis appuyez sur un chiffre du pavé numérique. Vous ne pouvez pas utiliser de lettres ni de nombres hors du pavé numérique pour définir des raccourcis de style. Si votre clavier ne comporte pas une touche de verrouillage numérique, vous ne pouvez pas ajouter de raccourcis clavier aux styles. 7 Si vous souhaitez que le nouveau style soit appliqué au texte sélectionné, choisissez Appliquer le style à la sélection. 8 Pour spécifier les attributs de mise en forme, cliquez sur une catégorie (Formats de caractères de base, par exemple)

sur la gauche, puis spécifiez les options à ajouter au style.

Lorsque vous spécifiez une couleur de caractère dans la boîte de dialogue Options de style, vous créez une couleur en cliquant deux fois dans la case du fond ou du contour. 9 Pour les styles de caractère, les attributs non spécifiés sont ignorés ; lorsque le style est appliqué, le texte conserve

la mise en forme du style de paragraphe de cet attribut. Pour supprimer un paramètre d’attribut d’un style de caractère :

• Dans le menu d’un paramètre, choisissez (Ignorer).

• Dans une zone de texte, supprimez le texte de l’option. • Dans une case à cocher, cliquez jusqu’à ce qu’une petite case (Windows) ou un trait (-) (Mac OS) s’affiche. • Pour une couleur de caractère, maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée en cliquant sur la nuance de couleur. 10 Cliquez ensuite sur OK.

Les styles que vous créez s’affichent uniquement dans le document actif. Si aucun document n’est ouvert, les styles que vous créez apparaîtront dans tous les nouveaux documents.

Création d’un style de paragraphe ou de caractère à partir d’un style existant

De nombreux modèles de documents sont dotés de hiérarchies de styles partageant certains attributs. Les titres et les sous-titres, par exemple, utilisent souvent la même police. Vous pouvez facilement établir des liens entre des styles similaires en créant un style de base ou parent. Lorsque vous modifiez le style parent, les styles enfants sont également modifiés. Vous pouvez ensuite modifier les styles enfants pour les différencier du style parent. Pour créer un style approximativement identique à un autre style, mais sans relation parent-enfant, utilisez la commande Dupliquer un style, puis modifiez la copie. 1 Créez un style. 2 Dans le menu déroulant D’après de la boîte de dialogue Nouveau style de paragraphe ou Nouveau style de caractère,

sélectionnez le style parent. Le nouveau style devient le style enfant.

Par défaut, les nouveaux styles sont définis sur [Aucun style de paragraphe] ou [Aucun], ou sur le style du texte actuellement sélectionné. 3 Spécifiez la mise en forme du nouveau style pour le différencier du style sur lequel il repose. Par exemple, vous

pouvez décider de diminuer légèrement la taille de police du sous-titre par rapport à celle utilisée dans le style de titre (parent).

Si vous avez modifié la mise en forme d’un style enfant et que vous décidez de tout reprendre à zéro, cliquez sur le bouton Réinitialiser à la base. La mise en forme du style enfant redevient celle du style sur lequel il repose. Vous pouvez ensuite spécifier une nouvelle mise en forme. De même, si vous modifiez le style D’après du style enfant, la définition du style enfant est mise à jour afin de correspondre au nouveau style parent.

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• Dans le menu du panneau Styles, sélectionnez Charger les styles de caractère ou Charger les styles de paragraphe. • Sélectionnez Charger tous les styles de texte dans le panneau Styles pour charger les styles de caractère et de paragraphes. 2 Cliquez deux fois dans le document InDesign contenant les styles que vous voulez importer. 3 Dans la boîte de dialogue Charger des styles, assurez-vous qu’une coche apparaît en regard des styles à importer. Si

un style existant porte le même nom qu’un des styles importés, sélectionnez l’une des options suivantes sous la rubrique Conflit avec le style existant, puis cliquez sur OK :

Utiliser la définition du style importé Ecrase le style existant avec le style chargé et applique ses nouveaux attributs à

tout le texte du document actuel qui utilisait l’ancien style. Les définitions des styles chargés et existants s’affichent au bas de la boîte de dialogue Charger des styles pour faciliter la comparaison.

Renommer automatiquement Renomme le style chargé. Par exemple, si les deux documents disposent d’un style Sous-titre, le style chargé est renommé « Copie de Sous-titre » dans le document actif.

Vous pouvez également utiliser la fonction Livre pour partager des styles (voir la section « Synchronisation des documents d’un livre » à la page 342).

Mise en correspondance des styles et des balises d’exportation (CS 5.5)

L’option Exporter le balisage permet de définir la manière dont du texte auquel des styles InDesign sont appliqués est marqué dans une sortie au format HTML, EPUB ou PDF balisé. Elle permet également de préciser les noms de classe CSS à ajouter au contenu exporté. Dans les formats d’exportation EPUB et HTML, les classes CSS peuvent servir à différencier les variations de style mineures. L’indication des noms de classe est nécessaire si vous utilisez l’option Inclure les définitions de style alors que les balises sont mappées aux styles de base tels que p, h1 et h2 ; les noms de classe sont ensuite utilisés pour générer les définitions de style. Il est impossible de prévisualiser l’exportation du balisage dans une mise en page InDesign, car cela n’a d’impact que sur les fichiers EPUB, HTML ou PDF exportés. L’option Modifier toutes les balises d’exportation permet d’afficher et de modifier les mises en correspondance dans une seule boîte de dialogue.

« Options de contenu EPUB » à la page 134

Définition des mises en correspondance de balises de style

1 Pour mettre un style en correspondance, ouvrez la boîte de dialogue Options de style de paragraphe ou Options de

style de caractère.

2 Cliquez sur Exporter le balisage dans le volet de gauche, puis utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez une balise à mettre en correspondance pour une sortie EPUB et HTML.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Modification de toutes les balises d’exportation Vous pouvez afficher et modifier toutes les balises d’exportation dans une même fenêtre. 1 Sélectionnez Modifier toutes les balises d’exportation dans le menu des panneaux Style de paragraphe ou Style de

2 Cliquez sur EPUB et HTML, ou sur PDF. 3 Cliquez sur la balise correspondant au style. Celle-ci se transforme en liste ; choisissez la nouvelle valeur.

Conversion des styles Word en styles InDesign

Lorsque vous importez un document Microsoft Word dans InDesign ou InCopy, vous pouvez faire correspondre chaque style utilisé dans Word à un style correspondant dans InDesign ou InCopy. Cela permet d’indiquer les styles utilisés pour mettre en forme le texte importé. Une icône de disquette s’affiche en regard de chaque style Word importé jusqu’à ce que vous modifiiez le style dans InDesign ou InCopy. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour ajouter le document Word au texte existant dans InDesign ou InCopy, choisissez Fichier > Importer.

Sélectionnez Afficher les options d’importation, puis cliquez deux fois sur le document Word.

• Pour ouvrir le document Word dans un document InCopy autonome, lancez InCopy, choisissez Fichier > Ouvrir, puis cliquez deux fois sur le fichier Word.

2 Sélectionnez l’option Conserver les styles et la mise en forme du texte et des tableaux. 3 Sélectionnez Personnaliser l’importation des styles, puis cliquez sur Correspondance de style. 4 Dans la boîte de dialogue Correspondance de style, sélectionnez le style Word, puis une option dans le menu situé

sous le style InDesign. Choisissez parmi les options suivantes :

• S’il n’y a aucun conflit de nom, choisissez l’option Nouveau style de paragraphe ou Nouveau style de caractère ou bien optez pour un style InDesign existant.

« Importation de texte » à la page 145 « Collage de texte » à la page 144

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Les styles de caractère suppriment ou réinitialisent les attributs de caractère du texte si ces attributs sont définis par le style.

« Utilisation de la commande Application rapide » à la page 262 « Remplacement de styles de caractère et de paragraphe » à la page 221

Pour appliquer un style de caractère

1 Sélectionnez les caractères auxquels appliquer le style. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans le panneau Styles de caractères, cliquez sur le nom du style de caractère.

• Dans la liste déroulante du panneau Contrôle, sélectionnez le nom du style de caractère. • Appuyez sur le raccourci clavier que vous avez attribué au style. Vérifiez que la touche Verr num est activée.

Pour appliquer un style de paragraphe

1 Cliquez sur un paragraphe ou sélectionnez l’ensemble ou une partie des paragraphes auxquels appliquer le style. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans le panneau Styles de paragraphes, cliquez sur le nom du style de paragraphe.

• Sélectionnez le nom du style de paragraphe dans le menu du panneau Contrôle. • Appuyez sur le raccourci clavier que vous avez attribué au style. Vérifiez que la touche Verr num est activée. 3 Si une mise en forme non souhaitée reste dans le texte, choisissez Effacer les remplacements dans le panneau Styles

Pour appliquer des styles séquentiels à plusieurs paragraphes

L’option Style suivant indique le style automatiquement appliqué lorsque vous appuyez sur la touche Entrée ou Retour après avoir appliqué un style particulier. Elle vous permet également d’appliquer différents styles à plusieurs paragraphes en une seule opération. Par exemple, vous avez défini trois styles pour mettre en forme une colonne de journal : Titre, Signature et Corps. Le style Titre a recours au style Signature comme Style suivant, Signature à Corps et Corps à [Même style]. Si vous sélectionnez un article entier (comprenant le titre, la signature de l’auteur et les paragraphes de l’article) et appliquez le style Titre à l’aide de la commande spéciale « Style suivant » du menu contextuel, le premier paragraphe de l’article est mis en forme selon le style Titre, le deuxième selon le style Signature et tous les autres paragraphes selon le style Corps.

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Si le texte contient des remplacements de mise en forme ou des styles de caractère, le menu contextuel vous permet de les supprimer.

Modification des styles de caractère et de paragraphe

L’utilisation des styles offre entre autres l’avantage suivant : lorsque vous modifiez un style, l’ensemble du texte mis en forme selon ce style change également pour refléter les nouveaux critères. Remarque : si vous modifiez les styles d’un contenu InCopy lié à un document InDesign, les modifications sont remplacées lorsque le contenu lié est mis à jour.

« Remplacement de styles de caractère et de paragraphe » à la page 221

Modification d’un style à l’aide de la boîte de dialogue

1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour ne pas appliquer le style au texte sélectionné, cliquez avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) sur le nom du style dans le panneau Styles, puis choisissez

Modifier [nom de style].

• Dans le panneau Styles, cliquez deux fois sur le nom du style ou sélectionnez le style, puis choisissez Options de style dans le menu du panneau Styles. Le style est alors appliqué au texte ou au bloc de texte sélectionné ou, en l’absence de sélection, devient le style par défaut de tout texte saisi dans un nouveau bloc.

2 Modifiez les paramètres dans la boîte de dialogue, puis cliquez sur OK.

Redéfinition d’un style correspondant au texte sélectionné

Après avoir appliqué le style, vous pouvez remplacer tous les paramètres définis. Si ces modifications vous conviennent, vous pouvez redéfinir ce style afin qu’il corresponde à la mise en forme du texte modifié.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

3 Dans le menu du panneau Styles, choisissez Redéfinir le style.

Suppression de styles de caractère et de paragraphe

Lorsque vous supprimez un style, vous pouvez sélectionner un style différent pour le remplacer et vous pouvez choisir de conserver la mise en forme. Lorsque vous supprimez un groupe de styles, vous supprimez tous les styles du groupe. Vous êtes invité à remplacer chaque style du groupe, l’un après l’autre. 1 Dans le panneau Styles, sélectionnez le nom de style souhaité. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez Supprimer le style dans le menu du panneau ou cliquez sur l’icône de suppression

• Cliquez sur le style avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée

(Mac OS), puis choisissez Supprimer le style. Cette méthode est particulièrement utile pour supprimer un style sans l’appliquer au texte. 3 Dans la boîte de dialogue Supprimer le style de paragraphe, sélectionnez le style de remplacement.

Si vous sélectionnez [Aucun style de paragraphe] pour remplacer un style de paragraphe ou [Aucun] pour remplacer un style de caractère, sélectionnez Conserver la mise en forme afin de conserver la mise en forme du texte à laquelle s’applique le style. Le texte préserve sa mise en forme, mais n’est plus associé à aucun style.

Pour supprimer tous les styles inutilisés, choisissez Sélectionner tous les styles inutilisés dans le menu du panneau

Styles, puis cliquez sur l’icône de suppression. Lorsque vous supprimez un style inutilisé, vous n’êtes pas invité à le remplacer.

« Regroupement de styles » à la page 236

Remplacement de styles de caractère et de paragraphe

Lorsque vous appliquez un style de paragraphe, les styles de caractère et autres mises en forme demeurent intacts. Après avoir appliqué le style, vous pouvez remplacer tous les paramètres définis en appliquant une mise en forme ne faisant pas partie du style. Dans ce cas, on parle de remplacement ou de mise en forme locale. Lorsque vous sélectionnez du texte avec un remplacement, un signe plus (+) s’affiche en regard du nom du style. Dans les styles de caractère, un remplacement s’affiche uniquement si l’attribut appliqué appartient à ce style. Par exemple, si un style de caractère modifie uniquement la couleur du texte, la modification du corps de la police n’est pas considérée comme un remplacement. Vous pouvez effacer les styles de caractères et les remplacements de mise en forme lors de l’application d’un style. Vous pouvez également effacer les remplacements d’un paragraphe auquel un style a été appliqué. Si un signe plus (+) s’affiche en regard d’un style, passez le pointeur de la souris au-dessus du style pour afficher une description des attributs de remplacement.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Pour appliquer un style de paragraphe et préserver les styles de caractères, tout en supprimant les remplacements, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée lorsque vous cliquez sur le nom du style dans le panneau Styles de paragraphes.

• Pour appliquer un style de paragraphe et supprimer les styles de caractère ainsi que les remplacements, maintenez les touches Alt+Maj (Windows) ou Option+Maj (Mac OS) enfoncées lorsque vous cliquez sur le nom du style dans le panneau Styles de paragraphe.

Cliquez avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) sur le style du panneau Styles de paragraphe, puis choisissez une option dans le menu contextuel. Vous pouvez effacer les remplacements et/ou les styles de caractère lors de l’application du style.

Pour effacer les remplacements de style de paragraphe

1 Sélectionnez le texte comportant des remplacements. Vous pouvez même sélectionner plusieurs paragraphes avec

des styles différents.

2 Dans le panneau Styles de paragraphes, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour supprimer la mise en forme d’un paragraphe ou d’un caractère, cliquez sur l’icône Effacer les remplacements

ou choisissez Effacer les remplacements dans le panneau Styles de paragraphe.

• Pour supprimer les remplacements de mise en forme de caractère en préservant les remplacements de mise en forme de paragraphe, maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée lorsque vous cliquez sur l’icône Effacer les remplacements.

• Pour supprimer les remplacements au niveau des paragraphes mais conserver ceux des caractères, dans le panneau

Styles de paragraphes, maintenez les touches Maj+Ctrl (Windows) ou Maj+Commande (Mac OS) enfoncées lorsque vous cliquez sur l’icône Effacer les remplacements. Remarque : lorsque vous effacez les remplacements, les remplacements effectués au niveau des paragraphes sont supprimés de l’ensemble du paragraphe, même si celui-ci n’est qu’en partie sélectionné. Les remplacements effectués au niveau des caractères sont supprimés dans la sélection uniquement. L’effacement des remplacements ne fait pas disparaître la mise en forme du style de caractères. Pour supprimer la mise en forme de style de caractères, sélectionnez le texte contenant le style de caractères en question, puis cliquez sur [Aucun] dans le panneau Styles de caractère.

Pour rompre le lien entre le texte et son style

Lorsque vous rompez le lien entre le texte et son style, le texte conserve sa mise en forme. Toutefois, les modifications ultérieures de ce style n’affectent pas le texte séparé du style. 1 Sélectionnez le texte pour lequel vous souhaitez annuler le lien au style. 2 Dans le menu du panneau Styles, choisissez Annuler le lien au style.

Si aucun texte n’est sélectionné lorsque vous choisissez l’option Annuler le lien au style, le nouveau texte que vous saisissez utilise la même mise en forme que le style sélectionné, mais aucun style n’est affecté à ce texte.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Remarque : si vous convertissez les puces du style en un article InCopy lié à une mise en page InDesign, la modification peut être annulée lorsque le contenu est mis à jour dans InDesign. 1 Dans le panneau Styles de paragraphe, sélectionnez le style qui contient les puces et la numérotation. 2 Dans le menu du panneau Styles de paragraphe, choisissez Convertir les puces et la numérotation « [style] » en

Si vous convertissez les puces et la numérotation en texte dans un style servant à créer un autre style (style parent), les puces et la numérotation du style enfant sont également converties en texte. Après avoir converti une numérotation en texte, il se peut que vous deviez mettre à jour les nombres manuellement si vous modifiez le texte.

« Création d’un style de paragraphe pour les listes continues » à la page 304

Recherche et modification de styles de caractère et de paragraphe

Utilisez la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer pour rechercher les occurrences d’un style particulier et les remplacer par un autre style. 1 Choisissez Edition > Rechercher/Remplacer. 2 Dans la zone Recherche, sélectionnez Document pour modifier le style dans l’ensemble du document. 3 Laissez les zones Rechercher et Remplacer par vides. Si les zones Rechercher le format et Remplacer le format

n’apparaissent pas en bas de la boîte de dialogue, cliquez sur Plus d’options.

4 Cliquez sur la zone Rechercher le format pour afficher la boîte de dialogue Rechercher un format. Sous Options de

style, sélectionnez le style de caractère et de paragraphe à rechercher, puis cliquez sur OK.

5 Cliquez sur la zone Remplacer le format pour afficher la boîte de dialogue Modifier le format. Sous Options de style,

sélectionnez le style de caractère et de paragraphe de remplacement, puis cliquez sur OK.

6 Cliquez sur Rechercher et utilisez les boutons Remplacer, Remplacer/Rechercher ou Tout remplacer pour

« Recherche et remplacement de texte » à la page 174 « Recherche et remplacement de polices » à la page 187

Lettrines et styles imbriqués

La fonction Lettrines et styles imbriqués a trois applications principales : elle peut être utilisée pour appliquer un style de caractère à une lettrine, pour appliquer un style imbriqué au texte de début d’un paragraphe et pour appliquer un style de ligne imbriqué à une ou plusieurs lignes d’un paragraphe.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

3 Spécifiez le nombre de lignes de lettrines et de caractères, puis choisissez le style de caractère. 4 Si la lettrine est trop éloignée du bord gauche, choisissez Aligner le bord gauche.

En sélectionnant cette option, vous utilisez la portée latérale gauche d’origine de la lettrine plutôt qu’une valeur supérieure. Elle est particulièrement utile pour les lettrines mises en forme en police sans serif.

5 Si le caractère de la lettrine chevauche le texte situé en dessous, sélectionnez Echelle de jambage inférieur. 6 Cliquez sur OK.

Si vous souhaitez appliquer un style imbriqué différent à des caractères après la lettrine, utilisez l’option Nouveau style imbriqué (voir la section « Création de styles imbriqués » à la page 224).

« Utilisation de lettrines » à la page 281

Création de styles imbriqués

Vous pouvez spécifier une mise en forme de niveau de caractère pour une ou plusieurs portions de texte d’un paragraphe ou d’une ligne. Vous pouvez également définir deux ou plusieurs styles imbriqués de sorte que l’un succède à l’autre. Pour les paragraphes à la mise en forme répétitive et prévisible, vous pouvez même revenir au premier style de la séquence. Les styles imbriqués sont particulièrement adaptés aux titres continus. Par exemple, vous pouvez appliquer un style de caractère à la première lettre d’un paragraphe et un autre style au reste du titre jusqu’au signe deux-points (:). Pour chaque style imbriqué, vous pouvez définir un caractère qui termine le style, tel qu’une tabulation ou la fin d’un mot.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

à Nested Style Sheets.

Création d’un ou plusieurs styles imbriqués

1 Créez un ou plusieurs styles de caractère à appliquer au texte. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes : Lettrines et styles imbriqués.

• Pour ajouter des styles imbriqués à un seul paragraphe, sélectionnez l’option Lettrines et styles imbriqués dans le menu du panneau Paragraphe.

Remarque : pour un résultat optimal, appliquez les styles imbriqués dans le cadre des styles de paragraphe. Si vous appliquez des styles imbriqués comme remplacements locaux dans un paragraphe, toute modification ultérieure apportée au style imbriqué risque d’engendrer une mise en forme inattendue des caractères du texte. 3 Cliquez sur le bouton Nouveau style imbriqué une ou plusieurs fois.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Spécifiez l’élément qui marque la fin du style de caractère. Vous pouvez également saisir le caractère, par exemple deux-points (:) ou toute autre lettre ou chiffre. Vous ne pouvez pas entrer de mot.

• Spécifiez le nombre d’occurrences de l’élément sélectionné (caractères, mots ou phrases) requis.

• Choisissez Sur ou Jusqu’à. L’option Sur inclut le caractère marquant la fin du style. Jusqu’à s’applique uniquement aux caractères précédents.

• Sélectionnez un style, puis cliquez sur le bouton haut

ou bas pour modifier l’ordre des styles de la liste.

L’ordre des styles définit l’ordre dans lequel la mise en forme est appliquée. La mise en forme définie par le second style commence là où finit la mise en forme du premier style. Si vous appliquez un style de caractère à une lettrine, celui-ci fait office de premier style imbriqué.

Création de styles de ligne imbriqués

Vous pouvez appliquer un style de caractère à un nombre donné de lignes d’un paragraphe. Comme pour les styles imbriqués, vous pouvez définir au moins deux styles de ligne imbriqués à combiner, et créer une séquence qui se répète. Les attributs appliqués par des styles de ligne imbriqués peuvent coexister avec des attributs appliqués par des styles imbriqués. Un style de ligne imbriqué peut par exemple appliquer une couleur, alors qu’un style imbriqué peut appliquer des italiques. Si les deux styles définissent des paramètres en conflit pour le même attribut (rouge et bleu par exemple), le style imbriqué prévaut sur le style de ligne imbriqué. 1 Créez un ou plusieurs styles de caractère à appliquer au texte. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour ajouter des styles de ligne imbriqués à un style de paragraphe, cliquez deux fois sur ce dernier, puis sur l’option

Lettrines et styles imbriqués.

• Pour ajouter des styles de ligne imbriqués à un seul paragraphe, sélectionnez l’option Lettrines et styles imbriqués dans le menu du panneau Paragraphe.

3 Cliquez sur le bouton Nouveau style de ligne imbriqué une ou plusieurs fois. 4 Cliquez sur la zone de style de caractère, puis sélectionnez un style de caractère afin de déterminer l’apparence de

cette section. Si vous n’avez pas créé de style de caractère, choisissez l’option Nouveau style de caractère et spécifiez la mise en forme à utiliser.

5 Spécifiez le nombre de lignes de paragraphe auxquelles vous souhaitez appliquer le style de caractère.

Sélectionnez un style, puis cliquez sur le bouton haut ou bas définit l’ordre dans lequel la mise en forme est appliquée.

pour modifier l’ordre des styles de la liste. L’ordre

6 Cliquez sur le bouton OK.

Répétition de styles imbriqués

Vous pouvez répéter une série de styles imbriqués tout au long d’un paragraphe. Vous pourriez par exemple tout simplement alterner des mots en vert et en rouge dans un paragraphe, ou, avec les styles de ligne imbriqués, vous pourriez alterner des lignes en vert et en rouge dans un paragraphe Le motif répété reste intact même si vous ajoutez ou supprimez des mots dans le paragraphe. 1 Créez les styles de caractère que vous souhaitez utiliser.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

3 Dans la boîte de dialogue ou section Lettrines et styles imbriqués, cliquez au moins deux fois sur la

commande Nouveau style imbriqué (ou Nouveau style de ligne imbriqué) et définissez les paramètres de chaque style.

4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour les styles imbriqués, cliquez de nouveau sur la commande Nouveau style imbriqué, activez l’option [Répétition] dans la zone de style de caractère, puis indiquez le nombre de styles imbriqués à répéter.

• Pour les styles de ligne imbriqués, cliquez de nouveau sur la commande Nouveau style de ligne imbriqué, activez l’option [Répétition] dans la zone de style de caractère, puis indiquez le nombre de lignes à répéter.

Vous pouvez au besoin ignorer le ou les premiers styles. Par exemple, un paragraphe mettant en avant un calendrier d’évènements peut inclure « A la une cette semaine » suivi des jours de la semaine et des évènements associés. Dans cet exemple, vous pouvez créer cinq styles imbriqués : un pour « A la une cette semaine », un pour les jours, un pour les événements, un pour l’heure des événements et un dernier doté d’une valeur [Répétition] de 3, excluant ainsi le premier style imbriqué de la boucle. L’élément [Répétition] doit être le dernier de la liste. Tous les styles imbriqués situés sous [Répétition] sont ignorés.

Si vous ne voulez pas que le caractère soit inclus dans la mise en forme du style imbriqué, choisissez Jusqu’à au lieu de Sur lorsque vous définissez le style.

Phrases Les points, points d’interrogation et points d’exclamation indiquent la fin d’une phrase. Si un guillemet suit

le signe de ponctuation, il est inclus dans la phrase.

Mots Les espaces indiquent la fin d’un mot. Caractères Tous les caractères, sauf les marques de largeur zéro (ancres, marques d’index, balises XML, etc.).

Remarque : si vous sélectionnez Caractères, vous pouvez également saisir un caractère (par exemple, deux-points ou point) pour marquer la fin du style imbriqué. Si vous entrez plusieurs caractères, chacun de ces caractères permet de marquer la fin du style. Par exemple, si vos titres continus se terminent par un trait d’union, le signe deux-points ou un point d’interrogation, vous pouvez saisir -:? pour marquer la fin du style imbriqué à chaque fois que l’un de ces caractères apparaît.

Lettres Tout caractère ne contenant ni signe de ponctuation, ni espace, ni chiffre, ni symbole. Chiffres Les chiffres arabes de 0 à 9 sont inclus. Caractère du style imbriqué de fin Etend le style imbriqué jusqu’à l’occurrence du caractère de fin du style imbriqué

(inclus ou non) inséré. Pour insérer ce caractère, choisissez la commande Texte > Insérer un caractère spécial >

Autre > Fin du style imbriqué ici. Tabulations Etend le style imbriqué jusqu’au caractère de tabulation, inclus ou non (non le paramètre de tabulation). Saut de ligne forcé Etend le style imbriqué jusqu’au saut de ligne forcé, inclus ou non. Choisissez Texte > Insérer un caractère de saut > Saut de ligne forcé. Caractère en retrait jusqu’à ce point Etend le style imbriqué jusqu’au caractère en retrait jusqu’à ce point, inclus ou non. Choisissez la commande Texte > Insérer un caractère spécial > Autre > Retrait jusqu’à ce point. Espaces cadratins, demi-cadratins ou insécables Etend le style imbriqué jusqu’à l’espace, incluse ou non (choisissez

Texte > Insérer une espace > {}[espace]).

Marqueur d’objet ancré Etend le style imbriqué jusqu’au symbole d’image texte, inclus ou non, qui s’affiche au point d’insertion de l’image texte. Numérotation automatique des pages ou Marque de section Etend le style imbriqué jusqu’au repère de pagination ou

de section, inclus ou non.

Marquage de la fin d’un style imbriqué

Dans la plupart des cas, un style imbriqué prend fin selon les conditions définies par le style défini, par exemple après trois mots ou lorsqu’un point apparaît. Vous pouvez toutefois mettre fin à un style imbriqué avant que les conditions ne soient satisfaites en utilisant le caractère Fin de style imbriqué. 1 Placez le point d’insertion là où vous souhaitez que le style imbriqué prenne fin. 2 Choisissez la commande Texte > Insérer un caractère spécial > Autre > Fin du style imbriqué ici.

Ce caractère marque la fin du style imbriqué à ce point, quelle que soit la définition du style imbriqué.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Options de style de paragraphe, sélectionnez le style imbriqué, puis cliquez sur le bouton Supprimer.

• Appliquez un style de paragraphe différent.

Création de styles GREP GREP est une technique de recherche avancée basée sur des motifs. Vous pouvez utiliser les styles GREP pour appliquer un style de caractère au texte respectant l’expression GREP spécifiée. Par exemple, vous voulez appliquer un style de caractère à tous les numéros de téléphone du texte. Lorsque vous créez un style GREP, vous devez sélectionner le style de caractère et spécifier l’expression GREP. Le style de caractère est appliqué à l’ensemble du texte du paragraphe correspondant à l’expression GREP.

A B Utilisation d’un style GREP pour appliquer un style de caractère aux numéros de téléphone

A. Style de caractère B. Expression GREP Pour consulter un didacticiel vidéo sur la création de styles GREP, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid4028_id_fr.

David Blatner fournit des exemples réels de styles GREP sous le titre 5 Cool Things You Can Do with GREP Styles. Cari Jansen propose une série en quatre volets consacrée aux styles GREP, qui débute par une présentation intitulée Introducing GREP Styles. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour appliquer des styles GREP à des paragraphes individuels, sélectionnez les paragraphes et choisissez Styles

GREP dans le menu du panneau Paragraphe ou Contrôle.

• Pour utiliser des styles GREP dans un style de paragraphe, créez ou modifiez un style de paragraphe, puis cliquez sur l’onglet Application d’un style GREP sur le côté gauche de la boîte de dialogue Options de style de paragraphe.

2 Cliquez sur Nouveau style GREP.

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4 Cliquez à droite de Au texte, puis utilisez l’une des méthodes suivantes pour créer une expression GREP :

• Entrez l’expression de la recherche manuellement (voir la section « Métacaractères de recherche » à la page 181).

• Cliquez sur l’icône Caractères spéciaux pour la recherche à droite de l’option Au texte. Choisissez les options des sous-menus Emplacements, Répétition, Correspondance, Touches de modification et Posix pour vous aider à créer l’expression GREP. 5 Cliquez sur le bouton OK.

« Recherche à l’aide d’expressions GREP » à la page 177

Lors de la création de styles, certains styles peuvent partager des caractéristiques identiques. Au lieu d’indiquer ces caractéristiques à chaque fois que vous définissez le style suivant, vous pouvez créer un style d’objet à partir d’un autre.

Lorsque vous changez le style de base, les attributs partagés du style « parent » changent également dans le style « enfant ». Pour consulter un didacticiel vidéo sur l’utilisation des styles d’objet, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0072_fr.

❖ Choisissez la commande Fenêtre > Styles > Styles d’objet.

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• Faites glisser le style d’objet vers un autre emplacement. Relâchez le bouton de la souris lorsqu’une ligne noire s’affiche à l’emplacement souhaité.

• Pour afficher les styles d’objet par ordre alphabétique, choisissez Trier par nom dans le menu du panneau.

Définition des styles d’objet

Vous pouvez définir un style à partir de paramètres déjà appliqués à un objet ou créer un style de toutes pièces à partir d’un autre style. 1 Sélectionnez l’objet ou le bloc de texte qui utilise les paramètres à inclure au style d’objet. 2 Choisissez la commande Nouveau style d’objet dans le menu du panneau Styles d’objet ou maintenez la

touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée tout en cliquant sur le bouton Créer un nouveau style.

3 Dans la boîte de dialogue Nouveau style d’objet, indiquez le nom du style. 4 Pour créer un style à partir d’un autre style, choisissez un style dans la liste déroulante D’après.

Remarque : l’option D’après permet de lier les styles entre eux, de sorte que les modifications d’un style se répercutent sur les styles enfants. Si vous avez modifié la mise en forme d’un style enfant et que vous décidez de tout reprendre à zéro, cliquez sur le bouton Réinitialiser à la base. La mise en forme du style enfant redevient celle du style sur lequel il repose.

5 Pour ajouter un raccourci clavier, placez le point d’insertion dans la zone Raccourci et assurez-vous que le

verrouillage numérique est activé. Maintenez enfoncée la combinaison de touches Alt+Maj+Ctrl (Windows) ou Option+Maj+Commande (Mac OS), puis appuyez sur un chiffre du pavé numérique. Vous ne pouvez pas utiliser de lettres ni de nombres hors du pavé numérique pour définir des raccourcis de style.

6 Dans Attributs de base, sélectionnez les catégories dont vous souhaitez définir les options et paramétrez-les à votre

convenance. Activez la case située à gauche de chaque catégorie pour choisir de l’ignorer ou pas dans le style.

7 Pour appliquer des effets, choisissez une option dans Effets (Objet, Contour, Fond ou Texte), puis sélectionnez des

catégories d’effets et définissez leurs paramètres. Vous pouvez définir divers effets pour chaque catégorie. Indiquez les catégories d’effets à activer, à désactiver ou à ignorer dans le style.

8 Cliquez sur le bouton OK.

Catégories de style d’objet

Si vous souhaitez que le style applique uniquement certains attributs sans modifier les autres paramètres, vérifiez l’état des catégories devant être contrôlées par le style. Trois états sont possibles pour chaque catégorie : activée, désactivée ou ignorée. Par exemple, lorsque vous activez la case Ombre portée, la mise en forme correspondante est incluse dans le style d’objet. Lorsque vous désélectionnez la case Ombre portée, l’ombre portée est désactivée dans le style (toute ombre portée appliquée à un objet s’affiche en tant que remplacement). Si vous définissez la case Ombre portée sur « Ignorer » (s’affiche sous forme de petite case sous Windows ou de tiret sous Mac OS), l’effet d’ombre portée est exclus du style. De ce fait, aucune ombre portée appliquée au style ne s’affiche en tant que remplacement.

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Application de styles d’objet Si vous appliquez un style d’objet à un groupe d’objets, le style est appliqué à chacun des objets du groupe. Pour appliquer un style d’objet à un groupe d’objets, imbriquez ces derniers à l’intérieur d’un bloc. (L’une des méthodes pour coller un objet dans un bloc consiste à utiliser la commande Edition > Coller dedans.) 1 Sélectionnez un objet, un bloc ou un groupe. 2 Cliquez sur un style d’objet dans le panneau Contrôle ou le panneau Styles d’objet pour appliquer un style.

Si vous choisissez la commande Effacer les remplacements pendant l’application du style dans le panneau Styles d’objet, il suffit de cliquer sur un style d’objet pour effacer les remplacements par défaut. Si cette option n’est pas activée, vous pouvez cliquer en maintenant enfoncée la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) sur le style d’objet afin d’effacer les remplacements tout en appliquant le style.

Vous pouvez également faire glisser un style d’objet sur un objet pour appliquer celui-ci sans avoir auparavant sélectionné l’objet. Si un groupe est sélectionné lorsque vous appliquez un style d’objet, ce style est appliqué à chaque objet du groupe. Une fois le style appliqué, vous pouvez appliquer d’autres paramètres à l’objet selon votre convenance. Vous remplacerez peut-être un paramètre défini dans le style, mais vous ne perdrez pas le lien avec ce style.

« Utilisation de la commande Application rapide » à la page 262

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• Pour modifier le style d’un bloc de texte par défaut, choisissez Style de bloc de texte par défaut dans le menu du panneau Styles d’objet, puis sélectionnez le style d’objet.

• Pour modifier le style d’un bloc graphique par défaut, choisissez Style de bloc graphique par défaut dans le menu du panneau Styles d’objet, puis sélectionnez le style d’objet.

• Pour modifier le style par défaut d’un type d’objet, faites glisser l’icône qui indique le type d’objet par défaut d’un style d’objet vers un autre.

Remarque : si vous sélectionnez un style d’objet alors qu’aucun bloc n’est sélectionné, ce style d’objet devient le nouveau style d’objet par défaut pour le texte ou les graphiques, selon l’objet sélectionné dans la panneau Outils. Vous pouvez modifier les styles [standard], mais vous ne pouvez pas les supprimer.

Annulation des remplacements de styles d’objet

Lorsque la mise en forme d’un objet est en conflit avec une partie de la définition de style appliquée à cet objet, il s’agit d’un remplacement. Lorsque vous sélectionnez un objet avec un remplacement, un signe plus (+) s’affiche en regard du nom du style. Utilisez la commande Effacer les remplacements pour remplacer toute mise en forme active ou non active dans le style d’objet ; utilisez la commande Effacer les attributs non définis par le style pour effacer les attributs ignorés.

Pour annuler des remplacements de styles d’objet

1 Sélectionnez l’objet ou le groupe à modifier. 2 Dans le panneau Styles d’objet, cliquez sur le bouton Effacer les remplacements

panneau Styles d’objet.

Un remplacement s’affiche uniquement si l’attribut appliqué fait partie du style.

Pour supprimer des attributs ignorés dans un style d’objet

Vous pouvez également supprimer les attributs d’un objet même si ces derniers sont ignorés dans un style. Par exemple, si la catégorie Fond est ignorée dans un style d’objet et que vous appliquez un fond rouge à un bloc auquel le style d’objet est appliqué, choisissez la commande Effacer les attributs non définis par le style pour supprimer le fond rouge. Remarque : si une catégorie de style d’objet est désactivée (non cochée) et non pas ignorée, la commande Effacer les remplacements vous permet de remplacer le style. 1 Sélectionnez l’objet ou le groupe à modifier. 2 Dans le panneau Styles d’objet, cliquez sur le bouton Effacer les attributs non définis par le style

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1 Sélectionnez l’objet auquel le style d’objet est appliqué. 2 Dans le menu du panneau Styles d’objet, choisissez Annuler le lien au style.

Si vous ne souhaitez pas conserver la mise en forme d’un style d’objet, choisissez [Aucun] dans le panneau Styles d’objet.

Modification du nom d’un style d’objet

1 Assurez-vous qu’aucun objet n’est sélectionné afin qu’aucun style ne soit appliqué par erreur. 2 Dans le panneau Styles d’objet, cliquez deux fois sur le style à renommer. 3 Dans la boîte de dialogue Options de style d’objet, indiquez le nouveau nom du style, puis cliquez sur OK.

Vous pouvez modifier un style d’objet directement dans le panneau. Cliquez sur le style, attendez quelques secondes, puis cliquez à nouveau pour modifier le nom du style.

Modification des styles d’objet

1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour ne pas appliquer le style au bloc sélectionné ou pour le définir en tant que style par défaut, cliquez avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) sur le nom du style dans le panneau Styles d’objet, puis choisissez Modifier [nom du style].

• Dans le panneau Styles d’objet, cliquez deux fois sur le nom du style ou sélectionnez le style, puis choisissez Options de style d’objet dans le menu du panneau Styles. Le style est alors appliqué à tous les objets sélectionnés ou bien il devient le type d’objet par défaut.

2 Dans la boîte de dialogue Options de style d’objet, sélectionnez la catégorie qui contient les options que vous voulez

modifier, puis modifiez les paramètres souhaités.

3 Choisissez si vous voulez activer, désactiver ou ignorer les catégories de style d’objet. 4 Cliquez sur le bouton OK.

Suppression d’un style d’objet

1 Dans le panneau Styles d’objet, sélectionnez un style d’objet. 2 Choisissez la commande Supprimer le style dans le menu du panneau ou faites glisser le style vers l’icône de

suppression située au bas du panneau.

3 Si vous supprimez un style appliqué à des objets ou servant à créer d’autres styles, vous êtes invité à indiquer un

style de remplacement dans la boîte de dialogue Supprimer le style d’objet. Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour redéfinir le style d’objets qui utilisaient le style supprimé, choisissez le style à appliquer aux objets, puis cliquez sur le bouton OK.

• Pour que les objets ne soient pas modifiés, choisissez [Aucun], assurez-vous que la case Conserver la mise en forme est activée, puis cliquez sur OK. Tous les objets utilisant le style supprimé conservent les même attributs, mais ne sont plus associés à aucun style.

• Pour supprimer tous les paramètres d’attribut que vous avez appliqués, choisissez [Aucun], désactivez la case

Conserver la mise en forme, puis cliquez sur OK.

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1 Sélectionnez un objet qui utilise le style à modifier. 2 Modifiez les attributs d’apparence selon votre convenance. 3 Dans le menu du panneau Styles d’objet, choisissez la commande Redéfinir le style.

La définition du style d’objet est modifiée pour correspondre aux paramètres de remplacement que vous avez appliqués. Toutes les occurrences du style d’objet dans le document sont mises à jour en fonction des nouveaux paramètres.

Remarque : si l’option Redéfinir le style d’objet n’est pas disponible, les attributs que vous avez définis ne font pas partie de la définition de style d’objet. Pour modifier directement la définition de style, choisissez Options de style d’objet ou créez un style à partir de l’objet.

Importation de styles d’objet

Vous pouvez importer des styles à partir d’autres documents. En plus des styles d’objet eux-mêmes, InDesign importe tous les nuanciers, contours personnalisés, styles de caractère ou de paragraphe utilisés dans les styles. Si un nuancier, un contour ou un style de paragraphe importé porte le même nom qu’un nuancier ou un style existant mais a une valeur différente, InDesign le renomme. 1 Sélectionnez Charger les styles d’objet à partir du menu du panneau Styles d’objet. 2 Sélectionnez le fichier à partir duquel importer des styles d’objet, puis cliquez sur Ouvrir. 3 Dans la boîte de dialogue Charger des styles, assurez-vous qu’une coche apparaît en regard des styles à importer.

En cas de conflit entre noms de style, sélectionnez l’une des options suivantes sous Conflit avec le style existant, puis cliquez sur OK :

Utiliser la définition du style importé Ecrase le style existant avec le style chargé et applique ses nouveaux attributs à

tous les objets du document actuel qui utilisait l’ancien style. Les définitions des styles chargés et existants s’affichent au bas de la boîte de dialogue Charger des styles pour faciliter la comparaison.

Renommer automatiquement Renomme le style chargé.

Les styles d’objet apparaissent dans le panneau Styles d’objet.

Utilisation des styles

Duplication des styles ou des groupes de styles ❖ Cliquez avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) sur

un style ou un groupe de styles dans le panneau Styles, puis choisissez la commande Dupliquer un style.

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Regroupement de styles Vous pouvez organiser les styles en les groupant dans des dossiers séparés dans les panneaux Styles de caractère, Styles de paragraphe, Styles d’objet, Styles de tableau et Styles de cellule. Vous pouvez également imbriquer des groupes dans d’autres groupes. Il n’est pas nécessaire de placer les styles dans des groupes. Vous pouvez les ajouter à un groupe ou à la racine du panneau.

Pour créer un groupe de styles

1 Dans le panneau Styles :

• Pour créer un groupe à la racine, désélectionnez tous les styles.

• Pour créer un groupe dans un groupe, sélectionnez et ouvrez un groupe. • Pour inclure des styles existants dans un groupe, sélectionnez les styles. 2 Choisissez la commande Nouveau groupe de styles dans le menu du panneau Styles ou la commande Nouveau

groupe d’après des styles pour déplacer les styles sélectionnés dans le nouveau groupe.

3 Entrez le nom du groupe, puis cliquez sur OK. 4 Pour déplacer un style dans le groupe, faites-le glisser sur le groupe de styles. Lorsque le groupe de styles est mis en

surbrillance, relâchez le bouton de la souris.

Pour copier des styles dans un groupe

Lorsque vous copiez un style dans un groupe différent, les styles ne sont pas liés. Bien qu’ils portent le même nom, la modification d’un style ne change pas les attributs de l’autre. 1 Sélectionnez le style ou le groupe que vous souhaitez copier. 2 Choisissez la commande Copier vers le groupe dans le menu du panneau Styles. 3 Sélectionnez le groupe (ou le niveau [Racine]) dans lequel vous souhaitez copier les styles ou le groupe, puis cliquez

Si le groupe contient déjà des noms de style identiques à ceux copiés, les copies chargées sont renommées.

Pour développer ou réduire des groupes de styles

• Pour développer ou réduire un seul groupe, cliquez sur l’icône de triangle située en regard du groupe. • Pour développer ou réduire le groupe et l’ensemble de ses sous-groupes, cliquez sur l’icône de triangle tout en maintenant enfoncée la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS).

Pour supprimer des groupes de styles

Lorsque vous supprimez un groupe de styles, le groupe et l’ensemble de son contenu sont supprimés, y compris les styles et autres groupes. 1 Sélectionnez le groupe que vous souhaitez supprimer. 2 Choisissez la commande Supprimer le groupe de styles dans le menu du panneau Styles et cliquez sur le

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Si vous souhaitez utiliser le même style de remplacement pour tous les styles, choisissez l’option Appliquer à tout. Si vous annulez le remplacement d’un style, le groupe n’est pas supprimé. Vous pouvez restaurer des styles supprimés en choisissant la commande Edition > Annuler Supprimer les styles.

Déplacement et tri des styles

Par défaut, les styles que vous créez apparaissent au bas du groupe de styles ou du panneau.

• Pour trier par ordre alphabétique tous les groupes et styles dans des groupes, choisissez la commande Tri par nom dans le menu du panneau Styles.

• Pour déplacer un seul style, faites-le glisser vers le nouvel emplacement. Une ligne noire indique l’endroit vers lequel le style sera déplacé. Un dossier de groupe mis en surbrillance indique que le style sera ajouté dans ce groupe.

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Vous pouvez créer un objet ancré en collant ou en important un objet (ou un bloc) dans le texte à l’aide de l’outil Texte ou de la commande Insérer l’objet ancré. Lorsque vous importez cet objet, Adobe InDesign CS4 ajoute un marqueur d’ancrage au point d’insertion. Les objets ancrés héritent des attributs de rotation et d’inclinaison du bloc de texte auquel ils sont ancrés, même lorsque l’objet se trouve en dehors du bloc de texte. Vous pouvez sélectionner l’objet et modifier ces attributs. Vous pouvez créer des objets ancrés aux emplacements suivants : Sur la ligne Aligne l’objet ancré sur la ligne de base du point d’insertion. Vous pouvez modifier le décalage sur Y afin de placer l’objet au-dessus ou au-dessous de la ligne de base. Il s’agit du type d’objet ancré par défaut. Dans les versions précédentes d’InDesign, ces objets étaient appelés images texte. Au-dessus de la ligne Importe l’objet ancré au-dessus de la ligne et propose les alignements suivants : Gauche, Centrer, Droite, Aligné au dos, Aligné à l’opposé du dos et (Alignement du texte). L’option Alignement du texte correspond à l’alignement appliqué au paragraphe qui contient le marqueur d’ancrage. Personnalisé Importe l’objet ancré à l’endroit défini dans la boîte de dialogue Options d’objet ancré. Vous pouvez

placer l’objet là où vous le souhaitez à l’intérieur ou à l’extérieur du bloc de texte.

Remarque : vous pouvez utiliser des objets sur la ligne et au-dessus de la ligne avec un texte curviligne (voir la section « Ajout d’objets ancrés à un texte curviligne » à la page 257).

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Si le bloc de l’objet est plus haut que la ligne de texte dans laquelle il apparaît, le texte peut chevaucher l’image importée ou engendrer un espace plus grand au-dessus de la ligne. Vous pouvez toujours sélectionner une autre position pour l’objet ancré, insérer un saut de ligne forcé ou automatique, redimensionner l’objet sur la ligne ou spécifier une valeur d’interligne différente pour les lignes voisines.

• Pour ancrer un objet existant, sélectionnez-le, puis choisissez Edition > Couper. A l’aide de l’outil Texte, placez ensuite le point d’insertion là où vous souhaitez faire apparaître l’objet, puis choisissez Edition > Coller. Par défaut, l’objet ancré importé est sur la ligne.

• Pour ajouter l’emplacement graphique d’un objet qui n’est pas disponible (par exemple, un texte d’encadré que vous n’avez pas encore écrit), utilisez l’outil Texte pour placer le point d’insertion là où vous souhaitez faire apparaître le point d’ancrage de l’objet, puis choisissez Objet > Objet ancré > Insérer.

Vous pouvez ancrer des caractères de texte en vectorisant le texte. La vectorisation permet de convertir automatiquement chaque caractère de texte en objet ancré sur la ligne. 2 Pour placer un objet, sélectionnez-le à l’aide d’un outil de sélection, puis choisissez Objet > Objet ancré > Options.

Spécifiez les options voulues.

Si vous ne souhaitez pas afficher la boîte de dialogue Objet ancré, utilisez le raccourci clavier Insérer l’objet ancré/Atteindre le marqueur d’ancrage. Vous devrez définir les touches de ce raccourci dans l’éditeur de raccourcis clavier (dans la zone Texte et tableaux). Appuyez deux fois sur les touches du raccourci clavier pour désélectionner l’objet et replacer le pointeur dans le texte principal (voir la section « Utilisation des ensembles de raccourcis clavier » à la page 26).

Options des objets ancrés insérés

Lorsque vous insérez un emplacement réservé à un objet ancré, vous pouvez définir les options suivantes à propos de son contenu : Contenu Indique le type d’objet que l’emplacement réservé doit contenir.

Remarque : si vous choisissez Texte, un point d’insertion s’affiche dans le bloc de texte ; si vous choisissez Graphique ou

Non attribué, InDesign sélectionne l’emplacement de l’objet. Style d’objet Indique le style à utiliser pour mettre l’objet en forme. Si vous avez défini et enregistré des styles d’objet, ceux-ci apparaissent dans le menu. Style de paragraphe Indique le style de paragraphe à utiliser pour mettre l’objet en forme. Si vous avez défini et

enregistré des styles de paragraphe, ceux-ci apparaissent dans le menu.

Remarque : si un style de paragraphe est activé en même temps qu’un style d’objet et si vous choisissez un style différent dans le menu Style de paragraphe, ou si vous modifiez les options Position ancrée d’un style, un signe plus (+) apparaît dans le menu Style d’objet pour indiquer que des remplacements ont été effectués. Hauteur et Largeur Indique les dimensions de l’emplacement réservé.

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Lorsque vous choisissez Sur la ligne ou Au-dessus de la ligne dans le menu Position de la boîte de dialogue Options d’objet ancré, les options suivantes permettent de modifier la position de l’objet ancré. Vous pouvez également accéder à ces options dans la boîte de dialogue Insérer l’objet ancré. Sur la ligne Aligne le bas de l’objet ancré sur la ligne de base. Les objets sur la ligne sont soumis à certaines contraintes lorsqu’ils sont déplacés le long de l’axe des Y : le haut de l’objet ne peut pas se situer en dessous de la ligne-bloc de l’interligne inférieur et le bas de l’objet ne peut pas se trouver au-dessus du haut de la ligne-bloc de l’interligne. Décalage sur Y Ajuste la position de la ligne de base. Vous pouvez également utiliser la souris pour faire glisser l’objet

verticalement sur la page.

Au-dessus de la ligne Aligne l’objet au-dessus de la ligne de texte comprenant le marqueur d’ancrage et au-dessous de la ligne de texte située au-dessus du marqueur d’ancrage. Alignement Choisissez l’une des options suivantes :

• Gauche, Droite ou Centrer Alignent l’objet à l’intérieur de la colonne de texte. Ces options ne tiennent pas compte des valeurs de retrait appliquées au paragraphe et alignent l’objet au sein de la colonne entière.

• Aligné au dos ou Aligné à l’opposé du dos Alignent l’objet à gauche ou à droite selon le côté de la planche où se situe l’objet. Ces options ne tiennent pas compte des valeurs de retrait appliquées au paragraphe et alignent l’objet au sein de la colonne entière. • (Alignement du texte) Aligne l’objet selon l’alignement défini par le paragraphe. Cette option utilise les valeurs de retrait du paragraphe lors de l’alignement de l’objet. Espace avant Indique la position de l’objet par rapport au bas de la ligne-bloc de l’interligne de la ligne précédente du

texte. Les valeurs positives font baisser à la fois l’objet et le texte situé en dessous. Les valeurs négatives font remonter le texte situé en dessous de l’objet vers cet objet. La valeur négative maximale correspond à la hauteur de l’objet.

Espace après Indique la position de l’objet par rapport à la hauteur de capitale du premier caractère de la ligne située en dessous de l’objet. Une valeur de 0 permet d’aligner le bas de l’objet à la position de la hauteur de capitale. Les valeurs positives déplacent le texte situé sous l’objet vers le bas (elles l’éloignent du bas de l’objet). Les valeurs négatives font remonter le texte situé en dessous de l’objet (vers cet objet).

A B Utilisation des options Espace avant et Espace après

A. Une valeur Espace avant de 0P10 éloigne l’objet et le texte associé de la ligne de texte située au-dessus. B. Une valeur Espace après de 0P10 permet d’éloigner l’objet et la ligne de texte située au-dessus du texte associé (en dessous).

Remarque : les objets ancrés définis sur l’option Au-dessus de la ligne conservent toujours la ligne comprenant l’ancrage ; le texte ne fait pas apparaître un objet au bas d’une page et la ligne où se trouve le marqueur d’ancrage en haut de la page suivante.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Relative au dos Indique si l’objet s’aligne en fonction du dos du document. Lorsque vous sélectionnez cette option, la

doublure Point de référence de l’objet ancré s’affiche sous la forme d’une planche. Les deux pages se reflètent. Une fois sélectionnés, les objets placés d’un côté de la planche (à l’extérieur de la marge par exemple) restent à l’extérieur de la marge même si le texte est déplacé vers une page en vis-à-vis.

Remarque : si, après avoir sélectionné l’option Relative au dos, vous modifiez la valeur Décalage sur X, la direction de déplacement de l’objet peut changer. Ce changement s’opère car la direction de ce déplacement dépend notamment du côté de la planche où se situe l’objet.

Indique l’emplacement de l’objet que vous souhaitez aligner sur l’emplacement de la page (comme indiqué par le point de référence de la position ancrée). Par exemple, si vous souhaitez aligner le côté droit de l’objet avec un élément de la page, comme un bloc de texte, cliquez sur le point le plus à droite de cette doublure. Pour plus d’informations sur l’utilisation de ce point de référence, voir la section « Placement d’un objet ancré selon des options personnalisées » à la page 243.

Point de référence de l’objet ancré

Point de référence de la position ancrée

Indique l’emplacement de la page (défini à l’aide des options Axe des X relatif à et Axe des Y relatif à) vis-à-vis duquel vous souhaitez aligner l’objet. Par exemple, si vous choisissez Bloc de texte pour l’option Axe des X relatif à et Ligne (ligne de base) pour l’option Axe des Y relatif à, cette doublure

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Côté droit de l’objet aligné sur le bord gauche du bloc de texte

Remarque : selon les valeurs choisies pour les options Axe des X relatif à et Axe des Y relatif à, la doublure Point de référence de la position ancrée affiche trois ou neuf positions. Les options de ligne, comme Ligne (ligne de base), proposent seulement trois options : Au centre, à gauche, Centrer et Au centre, à droite. En effet, le positionnement vertical est défini par le marqueur d’ancrage dans le texte.

Axe des X relatif à Indique ce que vous souhaitez utiliser comme base de l’alignement horizontal. Par exemple, Bloc de texte vous permet d’aligner l’objet à gauche, au centre ou à droite du bloc de texte. L’alignement horizontal exact dépend du point de référence choisi et des valeurs spécifiées pour le Décalage sur X.

Par exemple, si vous souhaitez que l’objet apparaisse dans la marge de la page de telle sorte que le bord droit est aligné sur la marge de page, sélectionnez Marge de page pour Axe des X relatif à et spécifiez le point le plus à droite de la doublure Point de référence de l’objet ancré et le point le plus à gauche de la doublure Point de référence de la position ancrée.

A B Option Axe des X relatif à

A. Alignement du côté droit d’un objet sur le côté gauche du bloc de texte B. Alignement du côté droit d’un objet sur le côté gauche de la marge de la page

Décalage sur X Déplace l’objet vers la gauche ou vers la droite. Le déplacement vers la gauche ou vers la droite dépend

du point de référence. Si l’alignement se fait au centre de l’élément de la page, les valeurs positives permettent de déplacer l’objet vers la droite. La direction de déplacement dépend également de la sélection de l’option Relative au dos.

Axe des Y relatif à Indique par rapport à quel élément l’objet s’aligne verticalement. Par exemple, l’option Bord de

page vous permet d’utiliser le bord de la page comme base d’alignement de l’objet vers le haut, le centre ou le bas de la page. Le point de référence de la position ancrée indique si l’objet s’aligne sur le haut, le centre ou le bas de cet élément de page. Si vous choisissez une option de ligne, comme Ligne (base de ligne), le point de référence de la position ancrée affiche uniquement la ligne de points horizontale du milieu.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Conserver dans les limites supérieure/inférieure de colonne Maintient l’objet à l’intérieur de la colonne de texte même

si le déplacement de texte est censé le faire sortir des limites définies. Dans de tels cas, le bas de l’objet s’aligne sur l’encart du bas ou le haut de l’objet s’aligne sur l’encart du haut. Par exemple, un objet ancré sur le côté d’une ligne de texte et au milieu d’une colonne paraît bien situé ; cependant, si cette option n’est pas sélectionnée et que le marqueur d’ancrage est placé au bas de la colonne, l’objet peut passer en dessous du bord de la colonne ou partiellement hors de la page. Lorsque cette option est sélectionnée, vous ne pouvez pas faire glisser l’objet au-dessus ou au-dessous des limites de la colonne. Si vous redimensionnez l’objet, il s’aligne sur les limites du haut ou du bas de la colonne, le cas

échéant. Cette option est disponible uniquement lorsque vous sélectionnez une option de ligne, comme Ligne (ligne de base) pour Axe des Y relatif à. Remarque : lorsque InDesign remplace la position de l’objet pour la faire correspondre aux limites de la colonne, la valeur de décalage sur Y que vous spécifiez est indiquée par un signe plus (+) dans la boîte de dialogue. Empêcher le positionnement manuel Fait en sorte que vous ne puissiez pas déplacer l’objet ancré en le faisant glisser

ou en le déplaçant à l’aide des touches de direction sur la page.

Aperçu Affiche les paramètres de position sur la page tels que vous les avez définis.

Placement d’un objet ancré selon des options personnalisées

Suivez ces conseils lorsque vous utilisez la boîte de dialogue Options d’objet ancré pour positionner les objets ancrés selon les options personnalisées.

• Les options de position personnalisées comprennent quatre options principales : les deux doublures de Point de référence et les menus Axe des X relatif à et Axe des Y relatif à. Ces options permettent conjointement d’indiquer l’emplacement de l’objet. Par exemple, les valeurs des options Axe des X relatif à et Axe des Y relatif à déterminent ce que le point de référence de la position ancrée représente (bloc de texte, ligne de texte au sein d’une colonne ou page entière). L’image suivante indique comment modifier l’emplacement de l’objet en choisissant un point de référence différent avec les mêmes options d’Axe des X relatif à et Axe des Y relatif à.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Pour créer un objet ancré qui conserve sa position sur la page (dans le coin supérieur gauche, par exemple) lors du déplacement d’un texte et se déplace uniquement lorsque le texte est déplacé vers une autre page, ancrez l’objet sur les marges de la page ou les bords de page. Par exemple, définissez les options Axe des X relatif à et Axe des Y relatif à sur Marge de page, puis cliquez sur le point de référence supérieur gauche de l’objet et celui de l’élément de page . Lors du déplacement du texte, l’objet reste dans le coin supérieur gauche, dans les marges de la page. L’objet est déplacé uniquement lorsque la ligne de texte contenant l’ancrage passe sur une autre page, à savoir dans le coin supérieur gauche de la page suivante.

• Pour conserver un objet aligné sur une ligne de texte spécifique afin que l’objet et ce texte soient déplacés simultanément, choisissez une option Ligne dans le menu Axe des Y relatif à.

• Pour conserver l’objet dans un bloc de texte, mais pas aligné sur une ligne de texte spécifique lors du déplacement de texte, choisissez Bloc de texte dans le menu Axe des X relatif à.

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2 Dans le menu Position, choisissez Personnalisée.

Pour voir les déplacements de l’objet lorsque vous précisez les options, sélectionnez Aperçu au bas de la boîte de dialogue.

3 Pour conserver l’objet sur le même côté de la page, relatif au dos du document, sélectionnez Relative au dos. Par

exemple, choisissez cette option pour que l’objet apparaisse toujours à l’extérieur des marges, quel que soit le côté de la planche où il se trouve.

4 Cliquez sur le point de la doublure du point de référence de l’objet ancré

qui représente le point à aligner sur la page.

5 Dans le menu Axe des X relatif à, choisissez l’élément de page à utiliser comme base horizontale de l’alignement de

l’objet. Par exemple, sélectionnez Bloc de texte pour aligner l’objet sur la gauche, la droite ou au centre du bloc de texte.

6 Dans le menu Axe des Y relatif à, choisissez l’élément de page à utiliser comme base verticale de l’alignement de

l’objet. Par exemple, pour aligner un objet sur la ligne de base du texte auquel il est ancré, choisissez l’option Ligne

(ligne de base). 7 Cliquez sur le point de la doublure du point de référence de la position ancrée

représentant l’emplacement, au sein des éléments choisis à partir des menus Axe des X relatif à et Axe des Y relatif à, sur lequel aligner l’objet.

8 Indiquez une valeur de décalage sur X ou de décalage sur Y pour déplacer l’objet à l’aide des touches de direction

ou l’éloigner du point d’alignement.

9 Pour être sûr que l’objet ne dépasse pas des bords supérieur et inférieur d’une colonne lors du déplacement du texte,

sélectionnez Conserver dans les limites supérieure/inférieure de colonne. Cette option est disponible uniquement lorsque vous sélectionnez une option de ligne, comme Ligne (ligne de base) dans le menu Axe des Y relatif à.

Manipulation des objets ancrés par glisser-déposer (CS 5.5)

Vous pouvez faire glisser un objet existant dans un bloc de texte pour l’ancrer et le déplacer. Sélectionnez l’objet à l’aide de l’outil Sélection ou Sélection directe , puis faites glisser le cadre bleu à proximité de l’angle supérieur droit du bloc de texte. Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour ancrer un objet existant, faites glisser le cadre bleu à l’emplacement où vous souhaitez faire apparaître le point d’ancrage de l’objet.

• Pour créer un objet texte, appuyez sur la touche Maj et faites glisser le cadre bleu à l’emplacement où vous souhaitez faire apparaître l’objet.

• Pour spécifier les options de l’objet ancré, appuyez sur la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) et faites glisser le cadre bleu à l’emplacement où vous souhaitez faire apparaître le point d’ancrage de l’objet.

Sélection et copie d’objets ancrés

L’outil Sélection ne vous permet de sélectionner qu’un objet ancré à la fois. L’outil Texte vous permet de sélectionner une plage de texte avec plusieurs marqueurs d’objet ancrés. Lorsque vous sélectionnez plusieurs marqueurs d’ancrage avec l’outil Texte, vous pouvez changer simultanément les options de position de tous les objets ancrés. Remarque : si plusieurs objets ancrés se trouvent à la même place (par exemple, si une ligne de texte comporte les marqueurs de deux objets ancrés avec les mêmes attributs d’ancrage) les objets se chevauchent.

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Pour afficher les ancrages et leur relation vis-à-vis du texte sur la page, vous pouvez afficher les marqueurs d’objets. Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour afficher les marqueurs d’ancrage

dans le texte, choisissez Texte > Afficher les caractères masqués.

• Pour afficher une ligne en pointillé reliant un marqueur d’ancrage à son objet positionné selon des options personnalisées, sélectionnez l’objet et choisissez la commande Affichage > Extras > Afficher le chaînage du texte.

Le lien s’étend du marqueur d’ancrage au point de doublure actuel de l’objet ancré.

• Pour afficher les symboles d’ancrage

des objets ancrés, choisissez la commande Affichage > Extras > Afficher les contours du bloc. L’affichage des symboles d’ancrage vous permet de déterminer les objets ancrés.

Repositionnement manuel d’un objet ancré sur la page

Lorsque vous déplacez un bloc, vous déplacez également ses objets ancrés, sauf si l’objet est positionné par rapport aux marges ou aux pages. Remarque : avant de déplacer un objet ancré, vérifiez que l’option Empêcher le repositionnement manuel de l’objet est désélectionnée dans la boîte de dialogue Objets ancrés ou choisissez Objet > Déverrouiller la position. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour déplacer un objet ancré sur la ligne, sélectionnez l’objet à l’aide de l’outil Sélection

ou Sélection directe puis faites-le glisser verticalement. Vous pouvez déplacer des objets sur la ligne de manière verticale, mais pas horizontale.

Pour déplacer un objet sur la ligne ou au-dessus de la ligne de sorte qu’il se trouve en dehors du bloc de texte, convertissez-le en objet positionné selon des options personnalisées, puis déplacez-le à votre gré.

• Pour déplacer un objet ancré selon des options personnalisées, sélectionnez l’objet à l’aide de l’outil Sélection

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La position de l’objet sur la page ne change pas. Remarque : la commande Annuler ne fonctionne pas pour les objets ancrés sur la ligne ou au-dessus de la ligne. Si vous ne pouvez pas utiliser la commande Annuler, sélectionnez l’objet ancré, puis coupez-le et collez-le. Vous pouvez également utiliser l’outil Texte pour sélectionner et couper l’objet ancré.

Habillage d’objets avec du texte

Habillage d’objets avec du texte Vous pouvez habiller n’importe quel objet avec du texte, y compris les blocs de texte, les images importées et les objets créés dans InDesign. Lorsque vous appliquez un habillage à un objet, InDesign crée un cadre autour de l’objet qui repousse le texte. L’objet autour duquel le texte est appliqué s’appelle objet habillé. S’agissant de l’habillage, on parle également de texte d’habillage. N’oubliez pas que les options d’habillage de texte s’appliquent à l’objet habillé, non au texte. Toute modification appliquée au cadre d’habillage sera conservée si vous déplacez l’objet habillé à proximité d’un autre bloc de texte. Pour consulter un didacticiel vidéo sur l’utilisation de l’habillage de texte, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid4280_id_fr. L’article Take Control of Text Wrap publié dans InDesign Magazine contient également des informations sur l’habillage de texte.

« Tracés transparents et formes composées » à la page 394 1 Pour afficher le panneau Habillage de texte, choisissez Fenêtre > Habillage de texte. 2 A l’aide de l’outil Sélection

ou Sélection directe

Crée un habillage rectangulaire dont la largeur et la hauteur sont déterminées par le cadre de sélection de l’objet sélectionné, en tenant compte des distances de décalage que vous spécifiez. Habiller le cadre de sélection

Habiller la forme de l’objet

Correspond à l’habillage de contour, crée un cadre d’habillage de texte adapté à la forme du bloc sélectionné (plus ou moins les distances de décalage spécifiées).

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Ne pas habiller l’objet

Empêche l’apparition de texte dans tout espace disponible à droite ou à gauche du bloc.

Passer à la colonne suivante

Fait passer le paragraphe avoisinant en haut de la colonne suivante ou du bloc de texte

Si vous ne parvenez pas à habiller une image, vérifiez que l’option Ignorer l’habillage n’est pas sélectionnée pour le bloc de texte concerné. De plus, si l’option L’habillage n’agit que sur le texte au-dessous est sélectionnée dans les préférences de Composition, assurez-vous que le bloc de texte se trouve bien sous l’objet habillé. Les blocs de texte dans un groupe ne sont pas affectés par l’habillage de texte que vous appliquez au groupe. Pour définir des options d’habillage par défaut pour les nouveaux objets, désélectionnez tous les objets, puis spécifiez les paramètres de l’habillage.

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Pour habiller de texte une image importée, enregistrez le masque dans l’application dans laquelle vous avez créé l’image, si possible. Lorsque vous importez l’image dans InDesign, sélectionnez l’option Appliquer le masque Photoshop dans la boîte de dialogue Options d’importation d’image. 1 Pour afficher le panneau Habillage de texte, choisissez Fenêtre > Habillage de texte. 2 Sélectionnez une image importée, puis dans le panneau Habillage de texte, cliquez sur l’icône Habiller la forme de

4 Choisissez Afficher les options dans le menu du panneau Habillage de texte pour afficher les options

5 Dans le menu Type, choisissez une option de contour : Cadre de sélection Habille de texte le rectangle formé par la hauteur et la largeur de l’image. Détection des contours Génère le cadre par détection automatique des contours (pour ajuster la détection des

contours, sélectionnez l’objet, puis choisissez la commande Objet > Masque > Options).

Couche alpha Génère le cadre à partir d’une couche alpha enregistrée avec l’image. Si aucune couche alpha n’a été

enregistrée avec le graphique, cette option n’est pas disponible. InDesign reconnaît la transparence par défaut d’Adobe Photoshop (motif à damier) comme couche alpha. Sinon, utilisez Photoshop pour supprimer l’arrière-plan ou créez et enregistrez une ou plusieurs couches alpha avec l’image.

Tracé Photoshop Génère le cadre à partir d’un tracé enregistré avec l’image. Choisissez Tracé Photoshop, puis

sélectionnez un tracé dans le menu Tracé. Si aucun tracé nommé n’a été enregistré avec l’image, l’option

Tracé Photoshop n’est pas disponible. Bloc graphique Génère le cadre à partir du bloc conteneur. Identique au masque Génère le cadre à partir du masque de l’image importée.

6 Pour laisser le texte apparaître dans les « trous » d’une image, comme à l’intérieur d’une image, sélectionnez Inclure

les contours intérieurs.

Option Inclure les contours intérieurs activée (à gauche) et désactivée (à droite)

Pour créer un habillage inversé

1 A l’aide de l’outil Sélection

ou Sélection directe

3 Appliquez un habillage à un objet, puis sélectionnez l’option Inverser. Cette option est souvent associée à l’option

Habiller la forme de l’objet.

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Application de l’habillage du texte sur des éléments de gabarit Si l’option Appliquer au gabarit uniquement est sélectionnée, vous devez remplacer un élément de gabarit sur une page de document pour l’habiller de texte. Si cette option est désélectionnée, le texte des gabarits et des pages de document peut habiller les éléments de gabarit sans que ceux-ci ne soient remplacés. 1 Sélectionnez l’objet sur la page de gabarit. 2 Dans le menu du panneau Habillage de texte, sélectionnez ou désélectionnez Appliquer au gabarit seulement.

Cette option est disponible uniquement lorsqu’un objet sur un gabarit est sélectionné et qu’un habillage lui est appliqué.

« Gabarits » à la page 72

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Si vous appliquez un habillage à un objet ancré, l’habillage affecte les lignes de texte de l’article qui suivent le marqueur d’ancrage. Toutefois, l’habillage n’affecte pas la ligne de texte comportant le marqueur d’ancrage ou les lignes le précédant. Lorsque vous collez un objet sous forme d’objet sur la ligne, son cadre d’habillage est préservé.

Suppression de l’habillage sur les calques masqués

Lorsque vous masquez un calque contenant un habillage, les blocs de texte des autres calques habillent l’objet, sauf si l’option Supprimer l’habillage lorsque le calque est masqué est activée dans la boîte de dialogue Options de calque. Si cette option est activée, le masquage d’un calque peut entraîner la recomposition du texte sur d’autres calques. 1 Dans le panneau Calques, cliquez deux fois sur le calque contenant l’habillage. 2 Sélectionnez Supprimer l’habillage lorsque le calque est masqué.

Justification du texte d’habillage en regard d’un objet

Lorsque vous spécifiez le mode de justification du texte autour des objets habillés, la modification s’applique à tout le document. 1 Choisissez la commande Edition > Préférences > Composition (Windows) ou InDesign > Préférences >

Composition (Mac OS).

2 Sélectionnez l’une des options suivantes, puis cliquez sur OK : Justifier le texte en regard d’un objet habillé recouvrant complètement la colonne Justifie le texte en regard des objets qui séparent une colonne de texte. Ce paramètre s’applique uniquement lorsque l’habillage interrompt complètement des lignes de texte, de sorte que chaque ligne est divisée en deux parties ou plus.

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L’habillage n’agit que sur le texte au-dessous Le texte superposé au-dessus de l’objet habillé n’est pas affecté par

l’habillage. L’ordre de superposition est déterminé par la position des calques dans le panneau Calques et par l’ordre de superposition des objets sur un calque.

Ignorer dans un bloc de texte

Il peut être parfois utile de désactiver l’habillage dans un bloc. Par exemple, vous souhaitez qu’un bloc habille une image, mais vous souhaitez afficher un bloc différent dans cette image. 1 Sélectionnez le bloc de texte, puis choisissez Objet > Options de bloc de texte. 2 Sélectionnez Ignorer l’habillage, puis cliquez sur OK.

Création de texte curviligne

Création de texte curviligne Vous pouvez créer un texte qui suit le contour d’un tracé ouvert ou fermé de n’importe quelle forme. Vous pouvez appliquer des options et des effets à un texte curviligne : faites-le glisser le long d’un tracé, créez une symétrie de chaque côté du tracé ou déformez les caractères selon la forme du tracé. Un texte curviligne est doté d’un port d’entrée et de sortie comme les autres blocs de texte, vous permettant de créer des liens depuis ou vers le texte.

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(masqué), sauf si vous l’avez lié à un autre tracé ou bloc de texte. Vous pouvez ajouter des objets ancrés sur la ligne et au-dessus de la ligne à un texte curviligne. Il est impossible de créer un texte curviligne à l’aide de tracés transparents, tels que ceux obtenus avec la commande Vectoriser.

• Pour limiter le texte à une portion spécifique du tracé, cliquez à l’endroit du tracé où vous souhaitez faire commencer le texte, puis faites glisser le pointeur vers l’endroit où vous souhaitez arrêter le texte et relâchez la souris. Pour plus de détails sur la modification des positions de début et de fin du texte, reportez-vous à la section

« Ajustement de la position du texte curviligne » à la page 254.

Modification de l’emplacement du texte curviligne

Remarque : si vous n’obtenez aucun effet en cliquant ou en faisant glisser le pointeur de la souris, vérifiez que le petit signe plus s’affiche à côté du pointeur de l’outil Texte curviligne lorsque vous effectuez ces opérations.

3 Saisissez votre texte. Si vous avez cliqué pour placer le point d’insertion sur le tracé, le texte s’affiche sur toute la

longueur du tracé. Si vous avez fait glisser le pointeur, le texte s’étale sur la longueur définie par le glissement du pointeur.

Remarque : si le tracé était visible à l’origine, il le reste après l’ajout de texte. Pour masquer le tracé, sélectionnez-le à l’aide de l’outil Sélection ou Sélection directe, puis définissez les valeurs de fond et de contour sur Sans.

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Pour modifier et mettre en forme des caractères de texte curviligne 1 A l’aide de l’outil Texte curviligne, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour ajouter un point d’insertion, cliquez entre deux caractères du texte curviligne.

• Pour sélectionner des caractères, faites glisser le pointeur sur le texte curviligne. 2 Modifiez et mettez le texte en forme à votre gré.

Pour supprimer un texte curviligne

1 A l’aide de l’outil Sélection

ou Sélection directe

Supprimer texte curviligne. Cela permet d’appliquer le fond et le contour par défaut au tracé sélectionné.

Pour diminuer l’espacement des caractères disposés autour d’arrondis et d’angles aigus

1 A l’aide de l’outil Sélection ou Texte, sélectionnez le texte curviligne. 2 Choisissez la commande Texte > Texte curviligne > Options ou cliquez deux fois sur l’outil Texte curviligne. 3 Entrez une valeur en points pour l’option Espacement. Des valeurs élevées permettent de supprimer davantage

d’espace entre les caractères disposés le long de courbes et d’angles aigus.

Texte curviligne avant réglage de l’espacement (à gauche) et après réglage de l’espacement (à droite)

Remarque : la valeur Espacement compense la manière dont les caractères se déploient autour d’une courbe ou d’un angle aigu. Elle est sans effet sur les caractères placés le long de segments droits. Pour modifier l’espacement des caractères sur le tracé, sélectionnez-les et appliquez-leur un crénage ou une approche.

Ajustement de la position du texte curviligne

Vous pouvez modifier la position de début et de fin d’un texte curviligne, le faire glisser et le modifier de plusieurs façons.

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. Ne le positionnez pas sur le port d’entrée ou de sortie de l’équerre.

Effectuez un zoom avant pour sélectionner plus facilement l’équerre.

3 Faites glisser l’équerre de début ou de fin le long du tracé.

Placez le pointeur sur l’équerre de début ou de fin, puis faites glisser la souris pour repositionner le cadre du texte curviligne.

Remarque : si vous appliquez une valeur de retrait de paragraphe, celle-ci est mesurée d’après ses équerres de début et de fin.

Pour faire glisser un texte le long d’un tracé

1 A l’aide de l’outil Sélection

, sélectionnez le texte curviligne.

2 Placez le pointeur au-dessus de l’équerre centrale du texte curviligne jusqu’à ce qu’une icône d’équerre centrale

• Pour que le centre de la ligne de base de chaque caractère reste parallèle à la tangente du tracé, choisissez Arc-enciel. Il s’agit du paramètre par défaut.

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• Pour conserver le bord gauche de la ligne de base de chaque caractère sur le tracé sans faire pivoter les caractères, choisissez Marche d’escalier.

• Pour conserver le centre de la ligne de base de chaque caractère sur le tracé tout en préservant l’alignement de chaque bord vertical sur le point central du tracé, choisissez Gravité. Pour contrôler l’effet de perspective de cette option, vous pouvez régler la courbure appliquée au tracé du texte.

Ajout d’objets ancrés à un texte curviligne

1 A l’aide de l’outil Texte ou Texte curviligne, cliquez pour ajouter un point d’insertion à l’endroit du texte où vous

souhaitez faire apparaître l’ancrage de l’objet.

2 Ajoutez l’objet ancré. Vous pouvez ajouter des objets ancrés sur la ligne ou au-dessus de la ligne, mais aussi des

blocs au tracé (voir la section « Objets ancrés » à la page 238).

Remarque : les options disponibles pour les objets ancrés au-dessus de la ligne dans un tracé diffèrent légèrement des options d’objets ancrés dans un bloc de texte habituel : l’option Alignement est relative au marqueur d’objet ancré et l’option Espace avant n’est pas disponible.

Une légende est un texte descriptif visible sous une image. Dans InDesign, plusieurs méthodes permettent de créer des légendes à partir des métadonnées d’image que vous définissez. Vous disposez notamment d’une variable de légende particulière qui affiche les métadonnées définies d’une image. Si un bloc de texte contenant cette variable se trouve près d’une image ou lui est associé, la variable affiche les métadonnées de cette image. Vous pouvez créer une légende à partir d’une image existante ou lors de l’importation d’une image, ou encore créer un bloc de texte contenant une variable de légende. Pour consulter des didacticiels vidéo sur la création de légendes à partir de métadonnées, rendez-vous aux adresses www.adobe.com/go/lrvid5156_id_en et http://tv.adobe.com/go/4958/.

Légende créée à partir de métadonnées d’image

Création d’une légende à partir d’une image

Lorsque vous créez une légende à partir d’une image existante, vous pouvez faire en sorte qu’elle soit statique (elle ne peut être modifiée que manuellement) ou dynamique (elle est mise à jour lorsque l’image ou ses métadonnées changent). Par exemple, si vous déplacez une légende dynamique près d’une autre image, elle affiche les métadonnées de cette image.

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1 Pour définir le contenu et l’aspect de la légende que vous créez, choisissez la commande Objet > Légendes > Format

des légendes et définissez les paramètres (voir la section « Définition des options de format des légendes » à la page 258).

2 Choisissez la commande Objet > Légendes > Générer une légende dynamique ou Générer une légende statique.

Remarque : une légende dynamique correspondant à une variable, elle n’inclut pas de sauts de ligne lorsqu’elle affiche une longue chaîne de texte, telle une description. Si une légende se présente sur une seule ligne, envisagez de la convertir en une légende statique. Pour procéder à la conversion, sélectionnez la légende dynamique, puis choisissez la commande

Objet > Légendes > Convertir en légende statique. Vous pouvez également créer une légende statique lors de l’importation d’une image. Dans la boîte de dialogue Importer, sélectionnez l’option Créer des légendes statiques, puis importez le bloc de texte de la légende après avoir importé l’image.

Définition des options de format des légendes

Utilisez la boîte de dialogue Format des légendes pour déterminer le contenu et la mise en forme des légendes que vous créez. Seules les nouvelles légendes, non les légendes existantes, seront concernées par ces sélections. 1 Choisissez la commande Objet > Légendes > Format de légendes. 2 Choisissez les métadonnées à inclure, puis définissez le texte qui doit figurer avant et après ces métadonnées. 3 Pour ajouter plusieurs lignes de métadonnées, cliquez sur l’icône du signe plus. 4 Définissez les options suivantes, puis cliquez sur le bouton OK. Texte avant / Texte après Texte visible avant ou après les métadonnées définies. Métadonnées Choisissez une option parmi celles proposées dans la liste, par exemple Description ou Ville. Alignement Indiquez la position de la légende par rapport à l’image. Décalage Définissez la taille de l’espace entre la légende et le bord du bloc de texte à côté de l’image. Style de paragraphe Indiquez le style de paragraphe à appliquer au texte de la légende. Si vous voulez que la

légende fasse l’objet d’une numérotation automatique, par exemple « Figure 1 », « Figure 2 », etc., définissez la numérotation dans le style de paragraphe (voir la section « Création de légendes continues de figures et tableaux »

à la page 306). Calque Précisez le calque auquel appartient la légende. Associer la légende à l’image Indiquez si le bloc de l’image et celui du texte de la légende sont associés.

Création de légendes à l’aide de variables

Lorsqu’un bloc de texte contenant une variable de légende est adjacent à une image ou lui est associé, la variable affiche les métadonnées de cette image.

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3 Après avoir placé le point d’insertion dans le bloc de texte, choisissez la commande Texte > Variables de texte >

Insérer une variable, puis sélectionnez la variable de légende à inclure. Insérez autant de variables de légende que vous le souhaitez.

4 Déplacez le bloc de texte de légende près d’un bloc contenant une image ou associez-le au bloc de l’image.

Si la variable de légende est vide, modifiez les métadonnées de l’image, puis mettez l’image à jour au moyen du panneau Liens. La procédure de modification des métadonnées d’une image est décrite à la section « Modification des métadonnées dans des fichiers image » à la page 115.

Définition de variables de légende

Une variable de légende est automatiquement mise à jour lorsque le bloc de texte dans lequel elle figure est placé près d’une image. Par défaut, la variable Nom est utilisée pour le type de variable lorsque vous choisissez Texte > Variables de texte > Insérer une variable > Nom de l’image. Vous pouvez modifier la variable Nom de l’image ou créer de nouvelles variables qui spécifient les métadonnées de l’image. 1 Choisissez la commande Texte > Variables de texte > Définir. 2 Choisissez la commande Nouvelle pour créer une variable ou la commande Modifier pour modifier une variable

3 Sélectionnez l’option Légende des métadonnées dans le menu Type. 4 Choisissez une option dans le menu Métadonnées. 5 Définissez le texte à ajouter avant ou après les métadonnées, puis cliquez sur le bouton OK.

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Utilisez le panneau Contrôle pour modifier l’aspect du texte. Lors de la sélection de texte ou de l’insertion d’un point dans un texte, les commandes de mise en forme des caractères ou les commandes de mise en forme des paragraphes ou une combinaison des deux s’affichent dans le panneau Contrôle selon la résolution de votre écran. Les mêmes commandes de mise en forme de texte s’affichent dans les panneaux Caractère et Paragraphe. Vous pouvez également utiliser le panneau Caractère et le panneau Paragraphe pour modifier l’aspect du texte. Pour consulter un didacticiel vidéo sur la mise en forme des caractères, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid4275_id_fr. Pour consulter un didacticiel vidéo sur la mise en forme des paragraphes, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid4276_id_fr. Pour la mise en forme de texte, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour mettre des caractères en forme, sélectionnez-les à l’aide de l’outil Texte

ou cliquez sur le document pour créer un point d’insertion, sélectionnez une option de mise en forme et commencez à taper le texte.

• Pour mettre en forme un paragraphe, il n’est pas nécessaire que tous les caractères du paragraphe soient sélectionnés ; il suffit de sélectionner un mot ou un caractère, ou de créer un point d’insertion dans le paragraphe.

Vous pouvez également sélectionner du texte sur plusieurs paragraphes.

• Pour définir la mise en forme de tous les blocs de texte que vous créez dans le document actif, assurez-vous qu’aucun point d’insertion n’est actif et que rien n’est sélectionné, puis définissez les options de mise en forme. Pour définir la mise en forme par défaut du texte de tout nouveau document, fermez d’abord l’ensemble des documents, puis définissez les paramètres de texte (voir la section « Définition de paramètres par défaut » à la page 39).

• Sélectionnez un bloc pour appliquer la mise en forme à tout le texte qu’il contient. Le bloc ne peut pas faire partie d’un lien.

• Utilisez les styles de paragraphe et de caractère pour mettre en forme le texte plus rapidement et de façon homogène.

Pour consulter un didacticiel vidéo sur l’utilisation de texte, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0075_fr. 1 Sélectionnez l’outil Texte

mise en forme des paragraphes

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L’outil Pipette permet de copier des attributs de caractère, de paragraphe, de fond et de contour, puis de les appliquer à un autre texte. Par défaut, l’outil Pipette copie tous les attributs de texte. Pour personnaliser les attributs à copier à l’aide de l’outil Pipette, utilisez la boîte de dialogue Options de la pipette.

« Application de couleurs à l’aide de l’outil Pipette » à la page 511

Pour copier des attributs de texte vers du texte non sélectionné

1 A l’aide de l’outil Pipette

, cliquez sur le texte auquel sont appliqués les attributs de mise en forme à copier (le texte peut se trouver dans un autre document ouvert). Le pointeur de la pipette change de sens et apparaît rempli pour indiquer qu’il contient les attributs copiés. Lorsque vous placez la pipette sur le texte, une barre verticale I s’affiche à côté de la pipette chargée

2 A l’aide de l’outil Pipette, sélectionnez le texte à modifier.

Les attributs chargés dans la pipette s’appliquent au texte sélectionné. Tant que l’outil Pipette est sélectionné, vous pouvez continuer à appliquer la mise en forme.

3 Pour désélectionner l’outil Pipette, cliquez sur un autre outil.

Pour effacer les attributs de mise en forme définis dans l’outil Pipette (si celui-ci est chargé), appuyez sur la touche Alt

(Windows) ou Option (Mac OS). L’outil Pipette change de sens et apparaît vide pour indiquer qu’il est prêt à prélever de nouveaux attributs. Cliquez sur un objet contenant les attributs à copier, puis faites glisser les nouveaux attributs vers un autre objet. EDMUND : Some

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Dans la boîte de dialogue Options de la pipette, choisissez Caractères ou Paragraphes. 3 Sélectionnez les attributs à copier à l’aide de l’outil Pipette, puis cliquez sur OK.

Pour copier ou appliquer uniquement les attributs de paragraphe sans avoir à modifier les paramètres de la boîte de dialogue Options de l’outil Pipette, maintenez la touche Maj enfoncée et cliquez sur le texte avec l’outil Pipette.

Utilisation de la commande Application rapide

La commande Application rapide vous permet de rechercher et d’appliquer des commandes de menu, des scripts, des variables, ainsi que la plupart des commandes se trouvant dans la boîte de dialogue Raccourcis clavier. 1 Sélectionnez le texte ou le bloc auquel vous souhaitez appliquer le style, la commande de menu, le script ou la

2 Choisissez Edition > Application rapide ou appuyez sur les touches Ctrl+Entrée (Windows) ou

Titre 2 et Sous-titre vous seront proposés, ou les commandes du menu d’aide si vous saisissez « ai » (menu Aide > Aide

Utilisez la commande Application rapide pour rechercher des styles, des commandes de menu, des scripts et des variables.

Vous pouvez restreindre la recherche à une seule catégorie en saisissant le préfixe adéquat au début de la recherche, par exemple m: pour menu ou s: pour style de paragraphe. Pour consulter une liste des préfixes, cliquez sur le bouton flèche bas à gauche de la zone de texte d’Application rapide. Vous pouvez désélectionner les catégories de la liste que vous ne souhaitez pas voir apparaître.

4 Sélectionnez l’élément que vous souhaitez appliquer, puis :

• Pour appliquer un style, une commande de menu ou une variable, appuyez sur la touche Entrée ou la touche Retour.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Pour fermer la liste Application rapide sans appliquer d’élément, appuyez sur la touche Echap ou cliquez à un endroit quelconque de la fenêtre de document.

• Pour modifier un style, appuyez sur Ctrl+Entrée (Windows) ou sur Commande+Retour (Mac OS).

Lorsque la liste Application rapide est à l’écran, appuyez sur les touches flèche gauche et flèche droite pour parcourir le champ d’édition et sur les touches flèche haut et flèche bas pour parcourir la liste d’éléments.

Utilisation des polices

A propos des polices Une police est un ensemble complet de caractères alphabétiques, chiffres et symboles qui partagent une graisse, une chasse et un style (par exemple, Adobe Garamond, 10 points, gras). Les types de caractères (souvent appelés familles de caractères ou familles de polices) sont des ensembles de polices de caractères apparentés par le graphisme et conçus pour être utilisés ensemble (par exemple, Adobe Garamond). Un style de caractères est une variante d’une police au sein d’une même famille caractères. En général, l’élément d’une famille de polices appelé Romain ou Normal (le nom diffère d’une famille à l’autre) constitue la police de base comprenant les styles de caractères, tels que normal, gras, demi-gras, italique et gras italique.

Installation des polices

Lors de l’installation d’InDesign ou d’Adobe Creative Suite, les polices sont automatiquement installées dans le dossier des polices système : Windows\Fonts sous Windows ou Bibliothèque/Fonts sous Mac OS. Pour plus de détails sur l’installation et l’activation des polices pour toutes les applications, consultez la documentation de votre système ou de votre gestionnaire de polices. Vous pouvez rendre les polices disponibles dans InDesign en copiant les fichiers de polices dans le dossier Polices du dossier d’application InDesign de votre disque dur. Notez toutefois que les polices installées dans ce dossier ne seront disponibles que dans InDesign. Si deux polices ou plus sont actives dans InDesign et utilisent le même nom de famille, mais des noms Adobe PostScript différents, elles sont disponibles dans InDesign. Les polices dupliquées sont affichées dans les menus avec l’abréviation de leur technologie entre parenthèses. Par exemple, une police Helvetica TrueType s’affiche comme « Helvetica (TT) », une police Helvetica PostScript Type 1 s’affiche comme « Helvetica (T1) » et une police Helvetica OpenType s’affiche comme « Helvetica (OTF) ». Si deux polices portent le même nom PostScript, et que l’une d’entre elles contient .dfont dans son nom, l’autre police est utilisée.

« Installation de polices OpenType » à la page 265

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Lorsque vous appliquez le style gras ou italique à du texte, InDesign applique le style de caractères spécifié par la police. Le plus souvent, la version spécifique de style gras ou italique est appliquée. Cependant, certaines polices peuvent appliquer une variation de style gras ou italique qui n’est pas nommée comme telle. Par exemple, certains créateurs de polices définissent que lorsqu’un style gras est appliqué à une police, la variation demi-gras doit être utilisée. 1 Sélectionnez le texte à modifier. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans le panneau Caractère ou Contrôle, sélectionnez une police dans le menu Famille de polices ou un style dans le menu des styles de caractère (sous Mac OS, vous pouvez sélectionner des styles de caractère dans les sous-menus des familles de polices).

• Dans le panneau Caractère ou Contrôle, cliquez devant le nom de la famille de polices ou du style de caractère (ou cliquez deux fois sur son premier mot), puis entrez les premières lettres du nom de votre choix. A mesure que vous tapez, InDesign affiche les noms des familles de polices ou des styles de caractères qui correspondent au texte.

• Sélectionnez une police dans le menu Texte > Police. Remarquez que lorsque vous utilisez ce menu, vous sélectionnez à la fois une famille de polices et un style de caractère.

Indication du corps d’un caractère

Par défaut, le corps d’un caractère est mesuré en points (un point équivaut à 1/72 de pouce). Vous pouvez spécifier un corps de caractère compris entre 0,1 et 1296 par incréments de 0,001 point. Remarque : dans Adobe Fireworks, le corps d’un caractère est mesuré par défaut en pixels. 1 Sélectionnez les caractères ou les objets texte à modifier. Si vous ne sélectionnez pas de texte, le corps de caractère

s’applique au nouveau texte.

2 Effectuez l’une des opérations suivantes :

• Définissez l’option Corps de police dans le panneau Caractère ou dans la barre de commandes.

• Choisissez un corps dans le menu Texte > Corps. Lorsque vous choisissez Autre, vous pouvez entrer un nouveau corps dans le panneau Caractère. Vous pouvez modifier l’unité de mesure des caractères dans la boîte de dialogue Préférences. Cette option n’est pas disponible dans Fireworks.

Vous pouvez visualiser des échantillons d’une police dans les menus de familles de caractères et de styles de caractères du panneau Caractères ou dans les autres espaces de l’application permettant de choisir les polices. Les icônes suivantes sont utilisées pour désigner différents types de polices :

• Type 1 Les polices OpenType affichent l’icône

Lorsque vous travaillez avec une police OpenType, vous pouvez remplacer automatiquement dans votre texte les glyphes alternés, tels que les ligatures, les petites majuscules, les fractions et les chiffres arabes non alignés.

Installation de polices OpenType InDesign contient des polices de diverses familles OpenType, y compris Adobe Garamond Pro, Adobe Caslon Pro, Trajan Pro, Caflisch Script Pro, Myriad Pro, Lithos et Adobe Jenson Pro. Les polices OpenType sont automatiquement installées lors de la procédure d’installation d’InDesign ou d’Adobe Creative Suite 4. D’autres polices OpenType sont disponibles dans le sous-dossier Adobe OpenType Fonts du dossier Extras situé sur le DVD de l’application. Pour plus de détails sur l’installation et l’utilisation de polices OpenType, parcourez le DVD de l’application ou consultez le site Web d’Adobe.

« Installation des polices » à la page 263

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour plus de détails sur les polices OpenType, reportez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/opentype_fr.

« Insertion de glyphes et de caractères spéciaux » à la page 190 « Polices OpenType » à la page 265

Pour appliquer des attributs de police OpenType

1 Sélectionnez du texte. 2 Vérifiez qu’une police OpenType est sélectionnée dans le panneau Caractère ou Contrôle. 3 Choisissez la commande OpenType dans le menu du panneau Caractère, puis sélectionnez un attribut OpenType,

tel que Ligatures conditionnelles ou Fractions.

Les fonctionnalités incompatibles avec la police active s’affichent entre crochets (par exemple, [Lettre italique ornée]). Vous pouvez également sélectionner des attributs de police OpenType lors de la définition d’un style de paragraphe ou de caractère. Utilisez la section Fonctionnalités OpenType de la boîte de dialogue Options de style.

Attributs de police OpenType

Lorsque vous sélectionnez une police OpenType pour mettre en forme du texte ou définir un style, vous pouvez choisir des fonctionnalités OpenType dans le panneau Contrôle ou Caractère. Remarque : OpenType offre un grand nombre de styles et d’attributs différents selon la police. Les fonctionnalités non disponibles s’affichent entre crochets (par exemple, [Lettre italique ornée]) dans le menu du panneau Contrôle. Ligatures conditionnelles Toutes les ligatures conditionnelles proposées par le créateur de la police ne doivent pas être

activées. Choisissez, selon votre texte, celles que vous voulez inclure. La sélection de cette option permet d’utiliser ces ligatures si elles sont présentes dans une police. Pour plus de détails sur les ligatures, reportez-vous à la section

« Application de ligatures à des paires de lettres » à la page 275. Fractions Les chiffres séparés par une barre oblique (par exemple, 1/2) sont convertis en fractions, lorsque cette option

Ordinal Les chiffres ordinaux, tels que 1er et 2e, utilisent des caractères en exposant (1er et 2e), lorsque cette option est

disponible. Les caractères comme le a et le o en exposant dans les mots espagnols segunda (2a) et segundo (2o) sont

également correctement composés. Lettre italique ornée Si disponibles, les lettres italiques ornées normales et contextuelles, pouvant inclure des variantes de capitales et de fins de mots, sont incluses. Variantes de titrage Si disponibles, les caractères en majuscules utilisés dans les titres sont activés. Certaines polices produisent des effets inattendus, si vous appliquez cette option à un texte contenant des caractères en majuscules et en minuscules. Variantes contextuelles Si disponibles, les ligatures contextuelles et de connexion sont activées. Des caractères de

remplacement sont proposés dans certains types de caractères d’écriture pour améliorer la liaison des lettres. Il est possible par exemple de relier les lettres « b » et « l » du mot « blason » de manière à renforcer l’impression d’écriture manuscrite. Cette option est sélectionnée par défaut.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

(notamment les polices condensées), il peut être difficile de faire la distinction entre le numéro 0 et la lettre capitale O. Jeux stylistiques Certaines polices OpenType intègrent des jeux de glyphes de substitution conçus pour améliorer

l’esthétique. Un jeu stylistique est un groupe de glyphes de substitution qu’il est possible d’appliquer à un caractère spécifique ou à une plage de texte. Si vous sélectionnez un nouveau jeu stylistique, les glyphes définis dans ce jeu se substituent aux glyphes par défaut de la police. Si vous combinez un glyphe issu d’un jeu stylistique avec un glyphe défini par autre paramètre OpenType, le glyphe défini par le paramètre prend le pas sur le glyphe issu du jeu stylistique.

Les glyphes de chacun des jeux s’affichent dans le panneau Glyphes. Formes positionnelles Certaines écritures cursives et certaines langues telles que l’arabe comportent des caractères qui

présentent un aspect différent selon leur emplacement au sein d’un mot. Ces caractères peuvent changer de forme lorsqu’ils se trouvent au début (position initiale), au milieu (position médiale) ou à la fin (position finale) d’un mot, ou encore lorsqu’ils sont seuls (position isolée). Sélectionnez un caractère et choisissez une option Formes positionnelles pour le mettre en forme selon les besoins. L’option Forme générale a pour effet d’insérer le caractère générique ; l’option Forme automatique a pour effet d’insérer la forme correcte du caractère, suivant l’emplacement de celui-ci au sein du mot et selon qu’il est isolé ou non.

Exposant/Supérieur et Indice/Inférieur Certaines polices OpenType incluent des glyphes en exposant ou en indice, et de taille relative aux caractères qui les entourent. Si une police OpenType ne contient pas ces glyphes pour les fractions non standard, vous pouvez utiliser les attributs Numérateur et Dénominateur. Numérateur et Dénominateur Certaines polices OpenType convertissent uniquement les fractions de base (par

exemple, 1/2 ou 1/4) en glyphes de fraction et non en fractions non standard (telles que 4/13 ou 99/100). Dans ce cas, appliquez les attributs Numérateur et Dénominateur à ces fractions.

Chiffres alignés tabulaires Les types à hauteur fixe ont tous la même largeur. Cette option est appropriée dans le cas

de tableaux, par exemple, dans lesquels il est important d’aligner les chiffres des différentes lignes.

Chiffres elzéviriens proportionnels Des types à hauteur et à largeur variables sont inclus. Cette option est recommandée pour donner aux textes n’utilisant pas de capitales un aspect à la fois élégant et sophistiqué. Chiffres alignés proportionnels Des types à hauteur fixe, tous de la même largeur sont inclus. Cette option est appropriée dans le cas de textes en capitales. Chiffres elzéviriens tabulaires Des types à hauteur variable, de largeur fixe et égale sont inclus. Cette option est recommandée pour obtenir l’aspect classique des caractères elzévir pour le texte aligné dans des colonnes, dans un rapport annuel par exemple. Style de chiffre par défaut Les glyphes numériques utilisent le style du chiffre par défaut de la police active.

Remplacement des polices manquantes

Lorsque vous ouvrez ou importez des documents contenant des polices qui ne sont pas installées sur votre système, un message d’alerte indiquant les polices manquantes apparaît. Si vous sélectionnez du texte contenant une police manquante, celle-ci s’affiche entre crochets dans le menu déroulant des polices du panneau Caractère ou Contrôle. InDesign substitue les polices manquantes par une police disponible. Lorsque cela se produit, vous pouvez sélectionner le texte et lui appliquer n’importe quelle police disponible. Les polices manquantes remplacées par d’autres polices sont répertoriées en haut du menu Texte > Police, dans une section intitulée « Polices manquantes ». Par défaut, le texte mis en forme avec des polices manquantes apparaît surligné en rose.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

« Recherche et remplacement de polices » à la page 187 « Installation des polices » à la page 263

Pour rendre les polices manquantes disponibles

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Installez les polices manquantes sur votre système.

• Placez les polices manquantes dans le dossier Polices, situé dans le dossier d’application InDesign. Les polices de ce dossier sont disponibles uniquement dans InDesign (voir la section « Installation des polices » à la page 263).

• Activez les polices manquantes à l’aide d’une application de gestion des polices.

Si vous ne parvenez pas à localiser une police manquante, utilisez la commande Rechercher une police pour la rechercher et la remplacer.

Pour mettre en surbrillance des polices substituées dans votre document

Si vous avez sélectionné l’option Polices substituées dans la boîte de dialogue des préférences, les plages de texte associées à une police manquante apparaissent surlignées en rose, ce qui permet de les localiser plus facilement. 1 Choisissez la commande Edition > Préférences > Composition (Windows®) ou InDesign > Préférences >

Composition (Mac OS®).

2 Sélectionnez l’option Polices substituées, puis cliquez sur OK. Les polices contenues dans le dossier Document Fonts sont différentes de celles disponibles dans les dossiers de polices standard du système d’exploitation. Elles sont installées à l’ouverture du document et remplacent les polices qui présentent un nom PostScript équivalent. Néanmoins, le remplacement s’effectue au sein du document uniquement. Les polices installées à l’ouverture d’un document ne sont pas disponibles pour d’autres documents. A la fermeture du document, ces polices sont désinstallées. Les polices de document installées sont répertoriées dans un sous-menu du menu Police. Certaines polices de type 1 ne sont pas disponibles dans le document. En outre, certaines polices Mac OS ne sont pas disponibles lorsque vous exécutez InDesign sous Windows. Pour consulter une vidéo sur l’utilisation de polices de document installées, rendez-vous à l’adresse http://tv.adobe.com/go/4955/.

« Assemblage de fichiers » à la page 684

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72 points, le corps optique d’une police plus petite, tel que 10 points, est conçu avec des hampes et des empattements plus gros, des caractères plus larges, moins de contraste entre les lignes épaisses et minces, un œil plus important et un espacement plus large entre les caractères. 1 Choisissez Edition > Préférences > Texte (Windows) ou InDesign > Préférences > Texte (Mac OS). 2 Sélectionnez Utiliser automatiquement le corps optique correct, puis cliquez sur OK.

Par défaut, l’interligne est considéré comme un attribut de caractère, ce qui signifie que vous pouvez appliquer différentes valeurs d’interligne au sein du même paragraphe. Dans une ligne de texte, la valeur d’interligne la plus élevée détermine la valeur d’interligne de la ligne entière. Vous pouvez cependant sélectionner une option de préférence pour appliquer la valeur d’interligne à un paragraphe entier, plutôt qu’au texte du paragraphe. Ce paramètre n’affecte pas l’interligne des blocs existants.

Pour modifier l’interligne dans du texte sélectionné

1 Sélectionnez le texte à modifier. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans le panneau Caractère ou Contrôle, choisissez l’interligne dans le menu Interligne

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Il peut arriver qu’InDesign ignore la modification de l’interligne si les options Justification verticale ou Aligner sur la grille de ligne de base sont sélectionnées. Dans ce cas, choisissez la commande Objet > Options de bloc de texte, puis assurez-vous que l’option Justification verticale est réglée sur la valeur Haut et que l’option Ne pas aligner sur la grille de ligne de base est sélectionnée dans le panneau Paragraphe, le panneau Contrôle ou le style de paragraphe.

Vous pouvez également modifier l’espace vertical en alignant le texte sur la grille de ligne de base. Si l’on définit la grille de ligne de base, la valeur de la grille prend le pas sur la valeur d’interligne.

Pour modifier le pourcentage d’interligne automatique par défaut

1 Sélectionnez les paragraphes à modifier. 2 Choisissez la commande Justification dans le menu du panneau Paragraphe ou Contrôle. 3 Pour l’option Interligne automatique, spécifiez un nouveau pourcentage par défaut. La valeur minimum est de 0 %,

la valeur maximum de 500 %.

Pour appliquer l’interligne à l’ensemble d’un paragraphe

1 Choisissez Edition > Préférences > Texte (Windows) ou InDesign > Préférences > Texte (Mac OS). 2 Sélectionnez l’option Appliquer l’interligne à l’ensemble du paragraphe, puis cliquez sur le bouton OK.

Remarque : lorsque vous utilisez un style de caractère pour appliquer une valeur d’interligne à un texte, l’interligne est appliqué au texte uniquement, et non au paragraphe, que l’option Appliquer l’interligne à l’ensemble du paragraphe soit sélectionnée ou non.

Crénage et approche

A propos du crénage et de l’approche Le crénage consiste à augmenter ou à diminuer l’espacement de paires de lettres spécifiques. L’approche consiste à définir un espacement identique à l’intérieur d’un bloc de texte. Types de crénage Le crénage peut être métrique ou optique. Le crénage métrique utilise le crénage par paire inclus dans la plupart des polices. Le crénage par paire contient des informations concernant l’espacement de paires de caractères spécifiques. Par exemple : LA, P., To, Tr, Ta, Tu, Te, Ty, Wa, WA, We, Wo, Ya et Yo. Par défaut, InDesign utilise le crénage métrique de façon à ce que le crénage par paire soit automatiquement respecté lorsque vous importez ou saisissez du texte. Pour désactiver le crénage métrique, sélectionnez 0. Le crénage optique permet de modifier l’espacement entre deux caractères adjacents en fonction de leur forme. Certaines polices comportent d’importantes spécifications de crénage par paire. Toutefois, si une police comporte uniquement un crénage intégré réduit ou ne comporte pas de crénage, ou encore si vous utilisez deux polices ou deux corps différents dans un ou plusieurs mots d’une ligne, vous pouvez utiliser l’option de crénage optique.

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Vous pouvez appliquer le crénage, l’approche ou les deux au texte sélectionné. L’approche et le crénage sont mesurés en 1/1000 de cadratin, une unité de mesure relative au corps du caractère utilisé. Pour un corps de 6 points, 1 cadratin est égal à 6 points ; pour un corps de 10 points, 1 cadratin est égal à 10 points. Le crénage et l’approche sont strictement proportionnels au corps du caractère utilisé. Les effets des options d’approche et de crénage s’additionnent ; vous pouvez ainsi commencer par modifier des paires de lettres, puis, sans modifier leur position relative, resserrer ou élargir une plage entière de texte. Si vous introduisez un point d’insertion entre deux lettres, InDesign affiche les valeurs de crénage dans les panneaux Caractère et Contrôle. Les valeurs de crénage métrique et optique (crénage par paire) s’affichent entre parenthèses. De même, si vous sélectionnez un mot ou une plage de texte, InDesign affiche les valeurs d’approche dans les panneaux Caractère et Contrôle.

Application de crénage au texte

Vous pouvez appliquer l’un des deux types de crénage automatique (crénage métrique ou crénage optique) ou modifier manuellement l’espace entre les lettres.

« Mise en forme du texte » à la page 764

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Choisissez la commande Métrique dans le menu Crénage

du panneau Caractère ou Contrôle.

Si vous ne souhaitez pas utiliser les paramètres de crénage intégrés associés à une police, choisissez « 0 » dans le menu

Pour appliquer le crénage optique

1 Positionnez le point d’insertion de texte entre les caractères auxquels doit s’appliquer le crénage par paire, ou bien

sélectionnez le texte auquel vous souhaitez appliquer le crénage.

2 Choisissez la commande Optique dans le menu Crénage

du panneau Caractère ou Contrôle.

Pour régler manuellement le crénage

1 A l’aide de l’outil Texte

, cliquez sur le document pour créer un point d’insertion entre deux caractères.

Remarque : si vous sélectionnez une plage de texte, vous ne pouvez pas effectuer de crénage manuel (vous pouvez choisir uniquement Métrique, Optique ou 0). Utilisez plutôt l’option Approche.

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans le menu Crénage du panneau Caractère ou Contrôle, entrez ou sélectionnez une valeur numérique.

• Appuyez sur les touches Alt+Touche flèche gauche/flèche droite (Windows) ou Option+Touche flèche gauche/flèche droite (Mac OS) pour augmenter ou diminuer le crénage entre deux caractères. La valeur de réglage du crénage est identique à la valeur Crénage de la boîte de dialogue de préférences Unités et incréments. Lorsque vous appuyez sur la touche de raccourci tout en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée, la valeur de crénage correspond à celle spécifiée dans les préférences de crénage, multipliée par 5.

Pour modifier la valeur par défaut de l’incrément de crénage

❖ Dans la section Unités et incréments de la boîte de dialogue Préférences, entrez une nouvelle valeur pour

l’option Crénage, puis cliquez sur OK.

Pour désactiver le crénage du texte sélectionné

1 Sélectionnez du texte. 2 Entrez ou sélectionnez 0 dans le menu Crénage du panneau Caractère ou Contrôle.

Vous pouvez également appuyer sur les touches Alt+Ctrl+Q (Windows) ou Option+Commande+Q (Mac OS) pour réinitialiser le crénage et l’approche. Le crénage est alors défini sur Métrique, quelle que soit l’option préalablement définie.

Pour régler l’approche

1 Sélectionnez une plage de caractères. 2 Dans le panneau Caractère ou Contrôle, entrez ou sélectionnez une valeur numérique pour l’option Approche

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour consulter un didacticiel vidéo sur la mise en forme des caractères, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid4275_id_fr.

Application du décalage vertical

Vous pouvez utiliser le décalage vertical pour déplacer un caractère sélectionné vers le haut ou vers le bas par rapport à la ligne de base du texte. Cette option est particulièrement utile lorsque vous composez des fractions manuellement ou que vous modifiez la position des images texte.

Vous pouvez cliquer dans la zone Décalage vertical et appuyer sur la touche flèche haut ou flèche bas pour augmenter ou diminuer la valeur. Maintenez la touche Maj enfoncée lorsque vous appuyez sur les touches flèche haut et flèche bas pour modifier la valeur par incréments plus élevés.

Pour modifier l’incrément par défaut du décalage vertical, spécifiez une valeur pour l’option Décalage vertical dans la section Unités et incréments de la boîte de dialogue Préférences.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Les valeurs appliquées sont des pourcentages du corps de la police et de l’interligne utilisés, et reposent sur les paramètres définis dans la boîte de dialogue des préférences de texte. Lorsque vous sélectionnez le texte, ces valeurs n’apparaissent pas dans les zones Décalage vertical et Taille du panneau Caractère. Remarque : vous pouvez modifier la taille par défaut et la position des exposants et indices dans les préférences Texte avancé.

« Application d’attributs de police OpenType » à la page 266 Jeff Witchel propose un didacticiel vidéo, Custom Underlines in InDesign, consacré au soulignement.

Application de soulignement et de style barré au texte

1 Sélectionnez du texte. 2 Dans le menu du panneau Caractère ou Contrôle, sélectionnez Souligné ou Barré.

Modification des options de soulignement et de style barré

Vous pouvez ainsi créer un soulignement homogène sous des caractères de corps différents et créer des effets spéciaux tels qu’une mise en surbrillance d’arrière-plan.

Avant et après l’ajustement des soulignements

1 Dans le menu du panneau Caractère ou Contrôle, choisissez la commande Options de soulignement ou Options de

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes, puis cliquez sur OK :

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Sélectionnez Surimpression du contour pour vous assurer que le contour ne masque pas les couleurs sous-jacentes lors de l’impression.

• Choisissez une couleur et une teinte. Si vous spécifiez un type de ligne autre que plein, choisissez une couleur d’espace ou une teinte d’espace pour modifier l’apparence de la zone entre les tirets, les points ou les lignes.

• Sélectionnez Surimpression du contour ou Surimpression de l’espace si le style souligné ou barré doit être imprimé par-dessus une autre couleur et que vous voulez éviter les problèmes de montage lors de l’impression.

Pour modifier les options de soulignement ou de texte barré dans un style de caractère ou de paragraphe, utilisez la section Options de soulignement ou Options de texte barré de la boîte de dialogue qui s’affiche lorsque vous créez ou éditez ce style.

Application de ligatures à des paires de lettres

InDesign peut insérer des ligatures automatiquement si elles sont disponibles dans la police. Les ligatures sont des caractères typographiques de remplacement pour certaines paires de lettres telles que « fi » et « fl ». Avec l’option Ligatures, InDesign applique au texte des caractères qui apparaissent et s’impriment en tant que ligatures. Cependant, ces caractères sont entièrement modifiables et le vérificateur orthographique ne relève pas les mots qui en contiennent.

Caractères distincts (en haut) et combinaisons de ligatures (en bas)

Si vous utilisez une police OpenType, lorsque vous choisissez la commande Ligatures dans le menu du panneau Caractère ou Contrôle, InDesign reproduit les ligatures standard définies dans la police par son créateur.

Toutefois, certaines polices contiennent des ligatures conditionnelles ornées plus complexes que vous pouvez reproduire en choisissant la commande Ligatures conditionnelles 1 Sélectionnez du texte. 2 Choisissez la commande Ligatures dans le menu du panneau Caractère ou Contrôle.

« Polices OpenType » à la page 265

Modification de la couleur, du dégradé ou du contour du texte

Vous pouvez appliquer des couleurs, des dégradés et des contours aux caractères et continuer à modifier le texte. Faites appel aux panneaux Nuancier et Contour pour appliquer les couleurs, les dégradés et les contours de votre choix au texte. Vous pouvez aussi changer les paramètres de couleur des caractères lors de la création ou de la modification d’un style.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Nuancier pour sélectionner le texte, plutôt que le bloc de texte.

dans le panneau Outils ou

2 Dans le panneau Outils ou Nuancier, indiquez si la nouvelle couleur doit s’appliquer au fond ou au contour. Si vous

sélectionnez Contour, la nouvelle couleur n’est appliquée qu’au contour des caractères.

3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans le panneau Nuancier, cliquez sur une couleur ou une nuance de dégradé.

• Dans le panneau Contour, spécifiez une épaisseur ou d’autres options de contour (voir la section « Options du panneau Contour » à la page 389). Vous pouvez également appliquer un dégradé au texte en déplaçant le curseur sur le texte sélectionné à l’aide de l’outil Nuance de dégradé ou de l’outil Contour progressif dégradé . Pour créer du texte inversé, utilisez le blanc ou [Papier] comme couleur de fond pour le texte et sélectionnez une couleur foncée pour le fond du bloc. Vous pouvez également créer du texte inversé en utilisant un filet de paragraphe derrière le texte ; toutefois, si le filet est de couleur noire, vous devrez sélectionner le blanc comme couleur de texte.

« Application des couleurs » à la page 507 « Ajout de filets au-dessus ou au-dessous des paragraphes » à la page 282 « Application de dégradés au texte » à la page 528

Ajout de transparence au texte

Utilisez le panneau Effets pour ajouter des effets de transparence, tels que des ombres portées, au texte. Mike Rankin propose des exemples d’effets de transparence dans son article InDesign Eye Candy, Part I. 1 Utilisez l’outil Sélection

pour sélectionner le bloc de texte.

2 Choisissez Objet > Effets > [effet].

3 Choisissez Texte dans le menu Paramètres pour.

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L’affectation d’une langue à un texte détermine le dictionnaire utilisé pour la vérification orthographique et les césures. Ceci ne modifie pas le texte réel. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour appliquer une langue au texte sélectionné uniquement, sélectionnez le texte.

• Après avoir fermé tous les documents, cliquez sur une langue pour choisir le dictionnaire de langue par défaut d’InDesign.

• Pour choisir un autre dictionnaire de langue par défaut dans le cadre d’un document particulier, ouvrez le document, choisissez la commande Edition > Tout désélectionner, puis sélectionnez une langue.

2 Dans le panneau Caractère, choisissez le dictionnaire approprié dans le menu déroulant Langue.

InDesign utilise les dictionnaires Proximity (et Winsoft pour certaines langues) pour la correction orthographique et la césure. Ces dictionnaires permettent de spécifier une langue différente même pour un caractère de texte. Chaque dictionnaire contient des centaines de milliers de mots spécifiant une césure syllabique standard. La modification de la langue par défaut n’affecte pas les blocs et documents existants.

Vous pouvez personnaliser les dictionnaires de langues pour qu’un lexique particulier utilisé soit effectivement reconnu et traité correctement

A B C Incidence des dictionnaires sur les césures

De même, la commande Modifier la casse modifie le paramètre de casse du texte sélectionné. Cette distinction est importante lorsque vous effectuez une recherche ou une vérification orthographique dans le texte. Par exemple, supposons que vous entrez le mot « fichiers » dans votre document, puis appliquez l’option Tout en capitales à ce mot. Si vous utilisez alors la commande Rechercher/Remplacer (avec l’option Respecter la casse sélectionnée) pour rechercher « FICHIERS », vous ne trouverez pas l’instance « fichiers » à laquelle vous avez appliqué l’option Tout en capitales. Pour obtenir de meilleurs résultats de recherche et de vérification orthographique, utilisez la commande Modifier la casse et non la commande Tout en capitales. Vous pouvez consulter l’article d’Anne-Marie Concepcion, Small Caps vs OpenType All Small Caps, consacré aux petites capitales.

Pour appliquer la commande Tout en capitales ou Petites capitales à un texte

InDesign peut modifier automatiquement la casse du texte sélectionné. Lorsque vous mettez en forme du texte en petites capitales, InDesign utilise automatiquement les petites capitales conçues au sein de la police, à condition que ces dernières soient disponibles. Sinon, InDesign reproduit les petites capitales en utilisant une version réduite des lettres capitales normales. Vous pouvez définir la taille des petites capitales reproduites dans la boîte de dialogue des préférences de texte.

Avant (haut) et après (bas) la définition des caractères BC et AD en petites capitales pour accommoder les chiffres elzévir et le texte environnant

Si vous sélectionnez l’option Tout en capitales ou Petites capitales dans une police OpenType, InDesign est capable de créer un texte d’aspect plus élégant. Si vous utilisez une police OpenType, vous pouvez également choisir Tout en petites capitales dans le menu du panneau Caractère ou Contrôle (voir la section « Application d’attributs de police

OpenType » à la page 266). 1 Sélectionnez du texte. 2 Choisissez la commande Tout en capitales ou Petites capitales dans le menu du panneau Caractère ou Contrôle.

L’option Petites capitales ne modifie pas le texte si celui-ci a été tapé en capitales.

Pour définir le corps des petites capitales

1 Choisissez Edition > Préférences > Texte avancé (Windows) ou InDesign > Préférences > Texte avancé (Mac OS). 2 Dans la zone de texte de l’option Petites capitales, saisissez un pourcentage du corps de la police d’origine pour que

le texte soit mis en forme en petites majuscules. Cliquez ensuite sur OK.

Pour modifier la casse

1 Sélectionnez du texte. 2 Choisissez l’une des options suivantes dans le sous-menu Texte > Modifier la casse :

• Pour transformer tous les caractères en minuscules, choisissez Bas de casse.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Pour mettre en capitales la première lettre de chaque phrase, choisissez Casse de la phrase. Remarque : la commande Casse de la phrase suppose que le point (.), le point d’exclamation (!) et le point d’interrogation (?) marquent la fin de phrases. L’application de l’option Casse de la phrase peut entraîner des modifications de casse inattendues lorsque ces caractères sont utilisés différemment, comme dans des abréviations, des noms de fichiers ou des adresses Internet. De plus, les noms propres risquent de perdre leur capitale.

Mise à l’échelle du texte

Vous pouvez spécifier les proportions entre la hauteur et la largeur du texte en fonction de la hauteur et de la largeur d’origine des caractères. Les caractères dont l’échelle n’a pas été modifiée ont une valeur de 100 %. Certaines familles de polices comprennent une vraie police étendue, conçue avec un empattement (ou sérif) plus grand que celui du style de caractère normal. La mise à l’échelle déforme la police. En général, il est préférable d’utiliser une police condensée ou étendue, si disponible.

1 Sélectionnez le texte à mettre à l’échelle.

2 Dans le panneau Caractère ou Contrôle, entrez une valeur numérique pour modifier le pourcentage de

l’option Mise à l’échelle verticale

ou Mise à l’échelle horizontale

Vous pouvez modifier une option de préférence pour déterminer comment s’affiche le texte mis à l’échelle dans les panneaux :

• Par défaut, lorsque l’option Appliquer au contenu est sélectionnée, les zones Corps des panneaux Contrôle et

Caractère indiquent le nouveau corps du texte (par exemple 40 pt). Si vous sélectionnez l’option Ajuster le pourcentage de mise à l’échelle, les zones Corps indiquent à la fois le corps du texte initial et le corps du texte mis à l’échelle, par exemple « 20 pt (40) ».

• Les valeurs de mise à l’échelle présentées sur le panneau Transformation indiquent le pourcentage de mise à l’échelle du bloc dans les sens horizontal et vertical. Par défaut, lorsque l’option Appliquer au contenu est sélectionnée, les valeurs de mise à l’échelle restent à 100 % lorsqu’un texte est mis à l’échelle. Si vous sélectionnez l’option Ajuster le pourcentage de mise à l’échelle, les valeurs de mise à l’échelle indiquent le pourcentage de redimensionnement du bloc de texte ; ainsi, si vous doublez la taille d’un bloc, les valeurs de mise à l’échelle passent

à 200 %. Le suivi de la mise à l’échelle d’un bloc peut être utile si vous souhaitez faire revenir un bloc ou le texte qu’il contient à sa taille initiale. Il peut être utile également pour connaître le pourcentage selon lequel un bloc a été redimensionné. Pour activer le suivi de la mise à l’échelle des blocs et du texte qu’ils contiennent : 1 Choisissez Edition > Préférences > Général (Windows) ou InDesign > Préférences > Général (Mac OS). 2 Sélectionnez l’option Ajuster le pourcentage de mise à l’échelle et cliquez sur le bouton OK.

Tenez compte des points suivants :

• L’option Ajuster le pourcentage de mise à l’échelle s’applique uniquement aux blocs redimensionnés une fois l’option activée. Elle n’a pas d’effet sur les blocs existants.

• L’option Ajuster le pourcentage de mise à l’échelle reste appliquée au texte de façon permanente. Si vous désactivez l’option Ajuster le pourcentage de mise à l’échelle et que vous redimensionnez un bloc, le corps du texte mis à l’échelle reste affiché entre parenthèses.

• Pour faire en sorte que le panneau Transformation n’indique plus le corps du texte mis à l’échelle, sélectionnez l’option Redéfinir la mise à l’échelle à 100 % dans ce même panneau. Cette option ne modifie pas l’aspect du bloc de texte mis à l’échelle.

• Si vous modifiez une plage de texte ou mettez à l’échelle un bloc situé dans des blocs liés, alors que l’option Ajuster le pourcentage de mise à l’échelle est activée, le texte est mis à l’échelle même s’il se déplace vers un autre bloc. En revanche, si l’option Appliquer au contenu est activée, une plage de texte qui se déplace vers un autre bloc n’est pas mise à l’échelle.

Inclinaison du texte

1 Sélectionnez du texte. 2 Dans le panneau Caractère, entrez une valeur numérique pour l’option Inclinaison

. Les valeurs positives inclinent le texte vers la droite, alors que les valeurs négatives l’inclinent vers la gauche.

Notez que lorsque vous appliquez une inclinaison à du texte, vous n’obtenez pas de véritables caractères italiques.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Espacement des paragraphes Vous pouvez contrôler l’espace entre les paragraphes. Si un paragraphe est situé en haut d’une colonne ou d’un bloc, InDesign ne prend pas en compte la valeur Espace avant. Dans ce cas, vous pouvez augmenter l’interligne de la première ligne du paragraphe ou augmenter l’encart supérieur du bloc de texte dans InDesign 1 Sélectionnez du texte. 2 Dans le panneau Paragraphe ou Contrôle, ajustez les valeurs appropriées pour les options Espace avant

Pour assurer une mise en forme continue, modifiez l’espacement des paragraphes dans les styles de paragraphes que vous définissez.

Vous pouvez ajouter des lettrines à un ou plusieurs paragraphes à la fois. La ligne de base d’une lettrine est placée une ou plusieurs lignes au-dessous de la ligne de base de la première ligne d’un paragraphe. Vous pouvez également créer un style de caractère pour l’appliquer aux lettrines. Par exemple, vous pouvez créer une grande initiale en spécifiant une lettrine d’une ligne et d’un caractère et en appliquant un style de caractère qui augmente le corps de la première lettre.

Pour créer une lettrine

1 Activez l’outil Texte

et cliquez sur le paragraphe dans lequel vous souhaitez créer une lettrine.

2 Dans le panneau Paragraphe ou Contrôle, entrez un nombre pour l’option Nombre de lignes en lettrine

définir le nombre de lignes que la lettrine doit occuper.

3 Dans le champ Un ou plusieurs caractères en lettrine

, entrez le nombre de caractères en lettrine souhaité.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez également utiliser la boîte de dialogue Lettrines et styles imbriqués pour aligner la lettrine sur le bord du texte (l’espace situé à gauche de la lettrine étant ainsi réduit), puis l’ajuster sur des jambages, tels que « g » et « y ». Si vous souhaitez redimensionner, incliner ou modifier la police de la lettrine pour plus d’effet, sélectionnez une ou plusieurs lettres et apportez les modifications de mise en forme.

Pour supprimer une lettrine

1 Activez l’outil Texte

et cliquez sur le paragraphe comportant la lettrine.

2 Dans le panneau Paragraphe ou Contrôle, entrez 0 dans le champ Nombre de lignes en lettrine ou Nombre de

caractères en lettrine.

Ajout de filets au-dessus ou au-dessous des paragraphes

Les filets sont des attributs de paragraphe qui se déplacent et sont redimensionnés dans la page avec le paragraphe. Si vous utilisez un filet pour les titres de votre document, vous pouvez l’intégrer à la définition de style du paragraphe. La largeur du filet est définie par la largeur de la colonne. Le décalage d’un filet au-dessus d’un paragraphe est mesuré à partir de la ligne de base de la première ligne de texte jusqu’au bas du filet. Le décalage d’un filet au-dessous d’un paragraphe est mesuré à partir de la ligne de base de la dernière ligne de texte jusqu’au sommet du filet.

A B Placement des filets

2 Choisissez la commande Filets de paragraphe dans le menu du panneau Caractère ou Contrôle. 3 En haut de la boîte de dialogue Filets de paragraphe, sélectionnez Filet au-dessus ou Filet au-dessous. 4 Sélectionnez Filet.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

6 Pour l’option Epaisseur, sélectionnez une épaisseur ou entrez une valeur pour déterminer l’épaisseur du filet. Si

vous augmentez l’épaisseur d’un filet supérieur (option Filet au-dessus), le filet est élargi vers le haut. Si vous augmentez l’épaisseur d’un filet inférieur (option Filet au-dessous), le filet est élargi vers le bas.

7 Sélectionnez Surimpression du contour pour vous assurer que le contour ne masque pas les couleurs sous-jacentes

lors de l’impression.

8 Utilisez l’une ou plusieurs des méthodes suivantes :

• Sélectionnez une couleur. Les couleurs disponibles sont indiquées dans le panneau Nuancier. Sélectionnez l’option

Couleur du texte pour attribuer au filet supérieur la couleur du premier caractère du paragraphe, et au filet inférieur la couleur du dernier caractère du paragraphe.

• Sélectionnez une teinte ou spécifiez une valeur de teinte. La teinte est basée sur la couleur spécifiée. Notez qu’il est impossible de créer les teintes des couleurs intégrées ayant pour attribut Sans, Papier, Repérage et Couleur du texte.

• Si vous spécifiez un type de ligne autre que plein, choisissez une couleur d’espace ou une teinte d’espace pour modifier l’apparence de la zone entre les tirets, les points ou les lignes.

9 Choisissez la largeur du filet. Vous pouvez sélectionner Texte (du bord gauche du texte jusqu’à la fin de la ligne) ou

Colonne (du bord gauche au bord droit de la colonne). Si le bord gauche du bloc est doté d’un encart de colonne, le filet commence au niveau de l’encart.

10 Pour définir la position verticale du filet, entrez une valeur pour Décalage. 11 Pour vous assurer qu’un filet placé au-dessus du texte sera positionné à l’intérieur du bloc de texte, sélectionnez

l’option Conserver dans le bloc. Si cette option n’est pas sélectionnée, il se peut que le filet s’affiche en dehors du bloc de texte.

Pour vous assurer que le filet de paragraphe figurant en haut d’une colonne sera aligné avec le texte en haut de la colonne adjacente, sélectionnez l’option Conserver dans le bloc. 12 Définissez des retraits à gauche ou à droite pour le filet (et non pour le texte) en entrant des valeurs pour Retrait à

gauche et Retrait à droite.

13 Sélectionnez l’option Surimpression du contour si le filet de paragraphe doit être imprimé par-dessus une autre

couleur et que vous voulez éviter les problèmes de montage lors de l’impression. Cliquez ensuite sur OK.

Pour supprimer un filet de paragraphe

1 A l’aide de l’outil Texte

, cliquez sur le paragraphe contenant le filet.

2 Choisissez la commande Filets de paragraphe dans le menu du panneau Caractère ou Contrôle.

3 Désélectionnez Filet et cliquez sur OK.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

conditionnel) ne s’affiche que si le mot est coupé. Cette option permet d’éviter un problème courant en typographie, à savoir l’apparition de mots coupés, par exemple « consti-tution », au milieu d’une ligne lorsque le texte est réagencé. Vous pouvez également insérer un saut de ligne conditionnel. Sans retour automatique Choisissez la commande Sans retour automatique dans le menu du panneau Caractère pour faire en sorte que l’ensemble du texte sélectionné reste sur la même ligne. Espaces insécables Insérez une espace insécable (Texte > Insérer une espace > [espace insécable]) entre les mots qui ne doivent pas être séparés. Options d’enchaînement Choisissez la commande Options d’enchaînement dans le menu du panneau Paragraphe pour indiquer combien de lignes du paragraphe suivant doivent rester liées au paragraphe actif. Début du paragraphe Sélectionnez l’option Début du paragraphe dans la boîte de dialogue Options d’enchaînement pour faire en sorte qu’un paragraphe (généralement un titre ou en-tête) s’affiche en haut d’une page, d’une colonne ou d’une section. Cette option prend tout son intérêt lorsqu’elle fait partie d’un style de titre. Paramètres de la césure Choisissez la commande Césure dans le menu du panneau Paragraphe pour modifier les

paramètres de césure.

Modification du texte Il se peut que vous n’ayez pas la possibilité de modifier le texte, suivant la nature du document traité. Si vous avez l’autorisation de récrire le texte, il suffit dans bien des cas de changer quelques mots pour obtenir des sauts de lignes plus harmonieux. Utilisation d’un autre compositeur En général, la composition des paragraphes dans InDesign se fait de façon

automatique par l’intermédiaire du Compositeur de paragraphes Adobe. Si un paragraphe n’est pas composé comme vous le souhaitez, choisissez la commande Compositeur ligne simple Adobe dans le menu du panneau Paragraphe ou

Contrôle pour ajuster séparément chacune des lignes sélectionnées (voir la section « Composition de texte » à la page 308).

Gestion des sauts de paragraphe à l’aide des options d’enchaînement

Vous pouvez indiquer combien de lignes du paragraphe suivant doivent rester liées au paragraphe actif lorsque celuici se déplace d’un bloc à l’autre. Cette méthode permet d’éviter que les titres soient isolés du corps de texte qu’ils annoncent. InDesign peut mettre en surbrillance les paragraphes qui sont parfois coupés à l’encontre de vos paramètres. S’il n’est pas nécessaire que les colonnes de votre document partagent la dernière ligne de base, les options d’enchaînement peuvent ne pas vous être utiles. Pour mettre en surbrillance les paragraphes qui ne respectent pas les options d’enchaînement, choisissez la commande Edition > Préférences > Composition (Windows) ou InDesign > Préférences > Composition (Mac OS), sélectionnez l’option Infractions et cliquez sur le bouton OK. 1 Sélectionnez le ou les paragraphes appropriés.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Dans Début du paragraphe, sélectionnez une option pour forcer InDesign à déplacer le paragraphe sur la colonne, la page ou le bloc suivants. Si vous sélectionnez N’importe où, la position de début dépend des paramètres de la zone Lignes solidaires. Les autres options permettent de faire débuter le paragraphe à la position correspondante. Lorsque vous créez des styles de paragraphe pour les titres, utilisez le volet Options d’enchaînement pour que le titre reste lié au paragraphe qui le suit.

« Ajout de colonnes, blocs et sauts de page » à la page 163

Création de ponctuation en retrait

L’alignement des bordures gauche et droite des colonnes contenant des signes de ponctuation et des lettres telles que « W » peut sembler altéré. L’alignement optique des marges permet de contrôler si les signes de ponctuation (tels que les points, les virgules, les points d’interrogation et les tirets) et le bord de certaines lettres (telles que W ou A) sont en retrait à l’extérieur des marges, de façon à ce que le texte semble aligné.

Avant (à gauche) et après (à droite) application de l’option Alignement optique des marges

1 Sélectionnez un bloc de texte ou cliquez n’importe où dans l’article.

2 Choisissez Texte > Article. 3 Sélectionnez Alignement optique des marges. 4 Sélectionnez une taille de police pour définir la valeur de dépassement appropriée à la taille du texte de votre article.

Pour un résultat optimal, utilisez la même taille que le texte de votre article.

Pour désactiver l’option Alignement optique des marges pour un paragraphe donné, choisissez la commande Ignorer la marge optique dans le menu du panneau Paragraphe ou Contrôle.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

(Justifier à gauche ou Justifier à droite) ou en l’incluant (Justifier toutes les lignes). Lorsque la dernière ligne ne contient que quelques caractères, vous pouvez utiliser un caractère spécial de fin d’article et créer une espace sans alinéa.

Justifier à gauche (à gauche) et Justifier toutes les lignes (à droite)

Remarque : lorsque vous justifiez toutes les lignes de texte et que vous utilisez le Compositeur de paragraphe Adobe,

InDesign décale le texte pour que le paragraphe soit harmonieux et sa densité constante. Vous pouvez ajuster précisément l’espacement dans du texte justifié. 1 Sélectionnez du texte. 2 Cliquez sur l’un des boutons d’alignement (Aligner à gauche, Centrer, Aligner à droite, Justifié à gauche, Justifié au

centre, Justifié à droite et Justifier) du panneau Paragraphe ou Contrôle.

3 (Facultatif) Cliquez sur Aligner au dos ou Aligner à l’opposé du dos.

Lorsque vous appliquez l’option Aligner au dos à un paragraphe, le texte figurant sur une page de gauche est justifié à droite ; toutefois, si ce même texte s’étend sur (ou si vous déplacez le bloc vers) une page de droite, il est aligné à gauche.

De même, lorsque vous appliquez l’option Aligner à l’opposé du dos à un paragraphe, le texte figurant sur une page de gauche est justifié à gauche, tandis que le texte figurant sur une page de droite est aligné à droite. Si vous voulez que le côté gauche d’une ligne de texte soit aligné à gauche et le côté droit à droite, placez le point d’insertion à l’endroit où vous souhaitez aligner le texte à droite, appuyez sur la touche de tabulation, puis alignez le reste de la ligne à droite.

« Alignement ou justification de texte verticalement au sein d’un bloc de texte » à la page 289 « Modification des paramètres de justification » à la page 312

Alignement des paragraphes sur une grille de ligne de base

La grille de ligne de base représente l’interligne du corps de texte dans un document. Vous pouvez utiliser des multiples de ces valeurs d’interligne avec tous les éléments de la page pour garantir que le texte s’aligne toujours entre les colonnes d’une page sur l’autre. Par exemple, si l’interligne du texte dans votre document est de 12 points, vous pouvez définir l’interligne du texte de titre sur 18 points et ajouter une espace de 6 points avant les paragraphes qui suivent les titres.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour afficher la ligne de grille de base, choisissez Affichage > Grilles et repères > Afficher la grille de ligne de base. Remarque : la grille de ligne de base est visible uniquement si le niveau de zoom du document est supérieur au seuil d’affichage défini dans les préférences de la grille. Effectuez un zoom avant pour afficher la grille de la ligne de base.

« Grilles » à la page 54 « Définition des grilles de ligne de base d’un bloc de texte » à la page 141

Pour aligner des paragraphes sur la grille de ligne de base

1 Sélectionnez du texte. 2 Dans le panneau Paragraphe ou Contrôle, sélectionnez l’option Aligner sur la grille de ligne de base

Pour que l’interligne de votre texte ne change pas, définissez l’interligne de la grille de ligne de base sur la même valeur d’interligne que votre texte ou sur un sous-multiple de celle-ci.

1 Sélectionnez les paragraphes à aligner. 2 Choisissez la commande Aligner seulement la première ligne sur la grille dans le menu du panneau Paragraphe ou

3 Dans le panneau Paragraphe ou Contrôle, sélectionnez l’option Aligner sur la grille de ligne de base

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Dans le panneau Paragraphe ou Contrôle, sélectionnez l’option Equilibrer les lignes en drapeau.

Elle s’applique uniquement lorsque le Compositeur de paragraphe Adobe est sélectionné.

Création de paragraphes s’étendant sur plusieurs colonnes ou les scindant

Vous pouvez faire en sorte qu’un paragraphe s’étende sur plusieurs colonnes d’un bloc de texte afin de créer un effet de titre de fusion. Libre à vous d’étendre un paragraphe sur l’ensemble des colonnes ou sur un nombre défini de colonnes. Lorsqu’un paragraphe est configuré de manière à s’étendre sur plusieurs colonnes d’un bloc de texte, le texte qui le précède est redistribué. Vous pouvez également diviser un paragraphe en plusieurs colonnes à l’intérieur d’un même bloc de texte. Pour consulter un didacticiel vidéo sur la création de paragraphes s’étendant sur plusieurs colonnes ou les scindant, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid5151_id_en ou http://tv.adobe.com/go/4952/.

A B Paragraphe sur plusieurs colonnes

2 Choisissez la commande Etendue de colonnes dans le menu du panneau Contrôle ou dans un menu du

3 Dans le menu Disposition des paragraphes, choisissez la commande Etendue de colonnes. 4 Dans le paragraphe Etendue, choisissez le nombre de colonnes sur lesquelles étendre le paragraphe. Choisissez

Toutes si vous souhaitez étendre le paragraphe sur toutes les colonnes.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez également intégrer cette fonctionnalité à un style de paragraphe, notamment un style de titre. 2 Choisissez la commande Etendue de colonnes dans le menu du panneau Contrôle ou dans un menu du

3 Dans le menu Disposition des paragraphes, choisissez la commande Scinder les colonnes. 4 Spécifiez les options suivantes, puis cliquez sur OK : Sous-colonnes Choisissez le nombre de colonnes que contiendra le paragraphe scindé. Espace avant l’étendue / Espace après l’étendue Ajoutez un espace avant ou après le paragraphe scindé. Gouttière intérieure Spécifiez l’espacement des paragraphes scindés. Gouttière extérieure Spécifiez l’espace compris entre l’extérieur des paragraphes scindés et les marges.

Alignement ou justification de texte verticalement au sein d’un bloc de texte

Il est possible d’aligner ou de distribuer des lignes de texte dans un bloc le long de son axe vertical pour répartir le texte à la verticale de façon uniforme parmi les blocs et leurs colonnes. Vous pouvez aligner le texte en haut, au centre ou en bas du bloc à l’aide des paramètres d’interligne et d’espacement de chaque paragraphe. Vous avez également la possibilité de justifier le texte verticalement de sorte à espacer les lignes régulièrement, quelles que soient les valeurs d’interligne et d’espacement du paragraphe.

You don’t know about me, without you have read a book by the name of “The Adventures of

Tom Sawyer,” but that ain’t no matter. Décalage de la 1re ligne de base dans la boîte de dialogue Options de bloc de texte agit sur cette valeur.

• Le bord inférieur du bloc est défini en tant que ligne de base de la dernière ligne de texte alignée en bas. Le texte des notes de bas de page n’est pas justifié.

• Lorsque vous appliquez l’option Aligner sur la grille de ligne de base à des paragraphes alignés en haut, au centre ou en bas, toutes les lignes s’alignent sur la grille de ligne de base. Lorsque vous sélectionnez l’option de justification, seules les première et dernière lignes s’alignent sur la grille de ligne de base.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• A l’aide de l’outil Texte

, cliquez sur un bloc de texte.

2 Choisissez Objet > Options de bloc de texte.

3 Dans la section Justification verticale de la boîte de dialogue Options de bloc de texte, choisissez l’une des options

suivantes à partir du menu Alignement :

• Pour aligner le texte verticalement du haut du bloc vers le bas, choisissez De tête (paramètre par défaut).

• Pour centrer des lignes de texte dans le bloc, choisissez Centrer. • Pour aligner les lignes de texte verticalement vers le haut à partir du bas du bloc, choisissez De pied. • Pour distribuer les lignes de texte verticalement de manière régulière entre le haut et le bas du bloc, choisissez Justifier. 4 Si vous choisissez Justifier et souhaitez empêcher que la valeur d’interligne n’augmente de manière

disproportionnée par rapport à celle de l’espacement des paragraphes, spécifiez une valeur pour Limite d’espacement des paragraphes. L’espace entre les paragraphes s’étend jusqu’à la valeur spécifiée. Si le texte ne remplit toujours pas le bloc, l’espace entre les lignes est ajusté afin que le bloc soit rempli. La limite d’espacement des paragraphes s’applique en plus des valeurs Espace avant et Espace après spécifiées dans le panneau Paragraphe.

EDMUND : Some officers take th m away: good guard,Until their greater pleasures first be known That are to censure them. CORDELIA: We are not the first Who, with best meaning, have incurr’d the worst. Présentation de la boîte de dialogue Tabulations Dans un bloc, les tabulations positionnent le texte à des emplacements horizontaux spécifiques. Les paramètres de tabulation par défaut dépendent des unités de la règle horizontale définies dans le panneau Unités et règles de la boîte de dialogue Préférences.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 A l’aide de l’outil Texte, cliquez dans le bloc de texte. 2 Choisissez Texte > Tabulations.

Si le haut du bloc est visible, la boîte de dialogue Tabulations est attirée par magnétisme vers le bloc de texte sélectionné et adapte sa largeur à celle de la colonne active.

Pour aligner la règle de la boîte de dialogue Tabulations sur votre texte

1 Faites défiler le document jusqu’à ce que la partie supérieure du bloc de texte s’affiche. 2 Cliquez sur l’icône de l’aimant

dans la boîte de dialogue Tabulations. La boîte de dialogue Tabulations est attirée par magnétisme vers le haut de la colonne qui contient la sélection ou le point d’insertion.

Définition de tabulations

Vous pouvez définir des tabulations à gauche, centrées, à droite et décimales ou des tabulations de caractère spécial. Lorsque vous utilisez la tabulation de caractère spécial, vous pouvez définir une tabulation pour un alignement sur le caractère de votre choix, tel que le signe deux-points (:) ou le signe dollar ($). Bob Bringhurst propose un article portant sur les effets de tabulation et de retrait, sous le titre Tabs and Indents Gallery. 1 A l’aide de l’outil Texte

, créez un point d’insertion dans le paragraphe.

2 Appuyez sur la touche de tabulation. Ajoutez des tabulations aux paragraphes aux emplacements où vous souhaitez

insérer un espace horizontal. Vous pouvez également ajouter les tabulations après avoir défini les paramètres de tabulation.

Act 1 Scene 1: King Lear’s palace. centre ou décimale) dans la boîte de dialogue Tabulations pour spécifier la façon dont le texte doit s’aligner sur la position de la tabulation. 5 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez sur un emplacement de la règle de tabulation pour placer une nouvelle tabulation.

Ajout d’un nouveau paramètre de tabulation

• Entrez une position dans la zone X et appuyez sur Entrée ou Retour. Si la valeur X est sélectionnée, appuyez sur les touches flèche haut et flèche bas pour augmenter ou diminuer la valeur de la tabulation d’1 point, respectivement.

6 Pour les tabulations suivantes dotées d’alignements différents, répétez les étapes 3 et 4.

La première tabulation définit l’alignement à droite et la deuxième tabulation l’alignement à gauche.

Pour insérer une tabulation dans un tableau, choisissez la commande Texte > Insérer un caractère spécial > Autre >

Répétition de tabulations

La commande Répéter la tabulation crée plusieurs tabulations en fonction de la distance entre chacune d’entre elles et le retrait gauche ou le taquet précédent. 1 Créez un point d’insertion dans le paragraphe. 2 Dans le panneau Tabulations, sélectionnez un taquet sur la réglette. 3 Choisissez Répéter la tabulation dans le menu du panneau.

Pour déplacer une tabulation

1 A l’aide de l’outil Texte

, créez un point d’insertion dans le paragraphe.

2 Dans la boîte de dialogue Tabulations, sélectionnez une tabulation sur la règle de tabulation.

3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Entrez un nouvel emplacement dans la zone X, puis appuyez sur la touche Entrée ou Retour.

• Faites glisser la tabulation.

Pour supprimer une tabulation

1 Créez un point d’insertion dans le paragraphe. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Faites glisser la tabulation hors de la réglette.

• Sélectionnez la tabulation, puis choisissez Supprimer la tabulation dans le menu du panneau. • Pour revenir aux taquets de tabulation par défaut, choisissez Tout supprimer dans le menu du panneau.

Pour modifier l’alignement d’une tabulation

1 Dans la boîte de dialogue Tabulations, sélectionnez une tabulation sur la règle de tabulation. 2 Cliquez sur un bouton d’alignement de tabulation.

Vous pouvez aussi cliquer sur la marque de taquet de tabulation en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option

(Mac OS) enfoncée pour changer d’option d’alignement.

Spécification des caractères pour les tabulations décimales

Vous pouvez utiliser les tabulations décimales pour aligner le texte sur un caractère spécifique, par exemple, un point ou un symbole dollar. 1 Dans le panneau Tabulations, créez ou sélectionnez une tabulation décimale

sur la règle de tabulation.

2 Dans la zone Aligner sur, saisissez le caractère sur lequel vous souhaitez effectuer l’alignement. Vous pouvez saisir

ou coller n’importe quel caractère. Assurez-vous que les paragraphes que vous alignez contiennent bien ce caractère.

Texte aligné à l’aide d’une tabulation décimale

1 Dans le panneau Tabulations, sélectionnez un taquet sur la réglette. 2 Saisissez une série de huit caractères au maximum dans la zone Point de conduite, puis appuyez sur la

touche Entrée ou Retour. Les caractères saisis sont répétés sur toute la largeur de la tabulation.

3 Pour modifier la police ou tout autre attribut de mise en forme des points de conduite de tabulation, sélectionnez

le caractère de tabulation dans le bloc de texte et utilisez le panneau Caractère ou le menu Texte pour appliquer une mise en forme.

Insertion de tabulations de retrait à droite

En une seule opération, vous pouvez ajouter une tabulation alignée à droite pour un retrait à droite, ce qui facilite la préparation d’un texte séparé par des tabulations et disposé dans une colonne entière. Les tabulations de retrait à droite diffèrent légèrement des tabulations normales. Une tabulation de retrait à droite :

• Aligne tout le texte qui suit sur le bord droit d’un bloc de texte. Si le même paragraphe comprend une tabulation après la tabulation de retrait à droite, cette première tabulation et son texte sont renvoyés à la ligne suivante.

• Constitue un caractère spécial situé dans le texte et non dans la boîte de dialogue Tabulations. Pour ajouter une tabulation de retrait à droite, utilisez un menu contextuel et non la boîte de dialogue Tabulations. Par conséquent, une tabulation de retrait à droite ne peut pas faire partie d’un style de paragraphe.

• Diffère de la valeur Retrait à droite du panneau Paragraphe. Cette valeur permet de maintenir le bord droit du paragraphe à distance du bord du bloc de texte.

• Peut être utilisée avec un point de conduite de tabulation. Les tabulations de retrait à droite utilisent le point de conduite de tabulation du premier taquet de tabulation au-delà de la marge de droite, ou, s’il n’en existe pas un, le dernier taquet avant la marge de droite.

1 A l’aide de l’outil Texte

, cliquez sur la ligne à laquelle vous souhaitez ajouter une tabulation de retrait à droite.

2 Choisissez la commande Texte > Insérer un caractère spécial > Autre > Tabulation de retrait à droite.

Définition de retraits

Les retraits déplacent le texte des bords droit et gauche d’un bloc vers l’intérieur. Utilisez surtout les retraits de première ligne, et non les espaces ou les tabulations, pour mettre la première ligne d’un paragraphe en retrait. La position du retrait de première ligne est en fonction de celle du retrait à gauche. Par exemple, si le bord gauche d’un paragraphe est en retrait d’un pica, la définition du retrait de première ligne sur un pica décale la première ligne du paragraphe de deux picas à partir du bord gauche du bloc ou de l’encart. Vous pouvez définir des retraits dans la boîte de dialogue Tabulations, le panneau Paragraphe ou le panneau Contrôle. Il est possible également de mettre une liste à puces ou numérotée en retrait. Bob Bringhurst propose un article portant sur les effets de tabulation et de retrait, sous le titre Tabs and Indents Gallery.

« Création de listes à puces ou numérotées » à la page 297 3 Dans la boîte de dialogue Tabulations, effectuez l’une des opérations suivantes sur les marques de retrait

• Faites glisser la marque du haut pour mettre en retrait la première ligne de texte. Faites glisser la marque du bas pour déplacer les deux marques et mettre en retrait l’ensemble du paragraphe.

• Sélectionnez la marque du haut et entrez une valeur pour X afin de mettre en retrait la première ligne de texte. Sélectionnez la marque du bas et entrez une valeur pour X pour déplacer les deux marques et mettre en retrait l’ensemble du paragraphe. Pour plus de détails sur l’utilisation de la boîte de dialogue Tabulations, voir la section « Présentation de la boîte de dialogue Tabulations » à la page 290.

Définition de retraits au moyen du panneau Paragraphe ou Contrôle

1 A l’aide de l’outil Texte

, cliquez sur le paragraphe à mettre en retrait.

2 Dans le panneau Paragraphe ou Contrôle, ajustez les valeurs de retrait selon vos besoins. Vous pouvez par exemple

procéder de la manière suivante :

• Pour appliquer un retrait de 1 pica à un paragraphe entier, entrez une valeur (par exemple, 1p) dans le champ

• Pour appliquer un retrait de 1 pica à la première ligne d’un paragraphe, entrez une valeur (par exemple 1p) dans le champ Retrait de première ligne

2 Choisissez la commande Réinitialiser les retraits dans le menu de la boîte de dialogue Tabulations.

Création d’un retrait négatif

Dans un retrait négatif, toutes les lignes d’un paragraphe sont en retrait, excepté la première ligne. Les retraits négatifs sont particulièrement utiles lorsque vous voulez ajouter des images texte au début du paragraphe.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Indiquez une valeur de retrait à gauche supérieure à 0 dans la boîte de dialogue Tabulations ou le

3 Pour spécifier une valeur négative de retrait à gauche de première ligne, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans le panneau Contrôle, entrez une valeur négative pour le retrait à gauche de la première ligne

Mise en retrait à droite de la dernière ligne d’un paragraphe L’option Retrait à droite de dernière ligne permet de créer un retrait négatif à droite de la dernière ligne d’un paragraphe. Cette option est particulièrement utile pour aligner les prix à droite dans un catalogue.

Retrait à droite de dernière ligne

1 Tapez le texte des paragraphes. Placez le point d’insertion devant le texte à mettre en retrait sur la dernière ligne de

chacun des paragraphes, puis choisissez la commande Texte > Insérer un caractère spécial > Autre > Tabulation de retrait à droite.

2 Sélectionnez les paragraphes.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Le caractère Retrait jusqu’à ce point agit sur toutes les lignes qui suivent la ligne à laquelle vous l’ajoutez, ce qui permet de mettre uniquement en retrait certaines lignes d’un paragraphe.

• Lorsque vous choisissez Texte > Afficher les caractères masqués, le caractère Retrait jusqu’à ce point

Retrait jusqu’à ce point, caractère spécial

1 A l’aide de l’outil Texte

Dans une liste à puces, chaque paragraphe commence par une puce. Dans une liste numérotée, chaque paragraphe commence par une expression constituée d’un numéro ou d’une lettre et d’un séparateur tel qu’un point ou une parenthèse. La numérotation est automatiquement mise à jour dans une liste numérotée dès que vous ajoutez ou supprimez des paragraphes. Vous pouvez changer de type de puce, de style de numéro ou de séparateur, ou modifier les attributs de la police, le style de caractère et le type et la longueur du retrait. Vous ne pouvez pas utiliser l’outil Texte pour sélectionner les puces ou les numéros d’une liste. Vous pouvez en revanche modifier leur mise en forme et la longueur du retrait dans la boîte de dialogue Puces et numérotation, dans le panneau Paragraphe ou, s’ils font partie d’un style, dans la section Puces et numérotation de la boîte de dialogue Styles de paragraphe.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Remarque : les caractères de puce et de numéro automatiquement générés ne sont pas réellement insérés dans le texte. Par conséquent, ils ne peuvent pas faire l’objet d’une recherche avec la fonction de recherche de texte et ne peuvent pas non plus être sélectionnés à l’aide de l’outil Texte s’ils n’ont pas été préalablement convertis en texte. Les puces et numéros n’apparaissent pas non plus dans la fenêtre du mode éditeur (sauf dans la colonne des styles de paragraphe). Pour consulter un didacticiel vidéo sur la création de listes à puces et numérotées, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0077_fr. InDesign Docs présente une série d’articles sur l’utilisation des puces et de la numérotation pour créer des listes sommaires, des listes à plusieurs niveaux, des légendes de figures et des procédures numérotées. 1 Sélectionnez les paragraphes composant la liste ou cliquez à l’endroit où vous voulez faire commencer la liste pour

créer un point d’insertion.

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez sur le bouton Liste à puces

ou Liste numérotée du panneau Contrôle (en mode Paragraphe). Tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée, cliquez sur un bouton pour afficher la boîte de dialogue Puces et numérotation.

• Choisissez la commande Puces et numérotation dans le panneau Paragraphe ou dans le panneau Commande. Pour l’option Type de liste, choisissez Puces ou Numéros. Spécifiez les paramètres souhaités, puis cliquez sur OK.

• Appliquez un style de paragraphe qui comprend des puces ou des numéros.

3 Pour continuer la liste au paragraphe suivant, déplacez le point d’insertion à la fin de la liste et appuyez sur Entrée

4 Pour terminer la liste (ou une section de la liste, si la liste doit se poursuivre plus loin dans l’article), cliquez de

nouveau sur le bouton Liste à puces ou Liste numérotée dans le panneau Contrôle ou choisissez la commande Puces et numérotation dans le menu du panneau Paragraphe.

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Mise en forme d’une liste à puces ou d’une liste numérotée 1 A l’aide de l’outil Texte

, sélectionnez les paragraphes de la liste dont vous souhaitez modifier la mise en forme.

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour ouvrir la boîte de dialogue Puces et numérotation :

• Choisissez la commande Puces et numérotation dans le menu du panneau Contrôle (en mode Paragraphe) ou dans le menu du panneau Paragraphe.

• Maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée tout en cliquant sur le bouton Liste à puces ou Liste numérotée

• Sélectionnez le style que vous souhaitez appliquer aux numéros ou aux puces dans la liste Style de caractère. 4 Pour modifier la position de la puce ou du numéro, spécifiez l’une des options suivantes : Alignement Permet d’aligner à gauche ou à droite, ou de centrer les puces ou les numéros dans l’espace qui leur est

alloué sur l’axe horizontal. Lorsque cet espace est étroit, les trois options donnent des résultats sensiblement identiques.

Retrait à gauche Définit la longueur du retrait du paragraphe à partir de la deuxième ligne. Retrait de 1re ligne Définit l’emplacement de la puce ou du numéro.

Augmentez la valeur Retrait de 1re ligne si vous souhaitez que la ponctuation des listes longues soit alignée. Par exemple, pour aligner les chiffres « 9. » et « 10. » par rapport au point, définissez l’alignement à droite et augmentez progressivement le retrait de la première ligne jusqu’à ce que les chiffres soient alignés (veillez à activer la fonction d’aperçu).

Pour créer un retrait négatif, indiquez une valeur de retrait à gauche positive (2p0, par exemple), puis spécifiez une valeur identique négative (en l’occurrence -2p0) pour le retrait de première ligne. Cooking Instructions

Cooking Instructions

l’élément de liste. Par défaut, les puces et les numéros héritent de certains des paramètres de mise en forme appliqués au premier caractère du paragraphe auquel ils sont associés. Si le premier caractère d’un paragraphe est différent des caractères commençant les autres paragraphes, le numéro ou la puce aura un aspect probablement discordant par rapport aux autres éléments de la liste. Si ces paramètres de mise en forme ne vous conviennent pas, créez un style de caractère pour les puces et les numéros et appliquez-le à votre liste à l’aide de la boîte de dialogue Puces et numérotation.

Cooking Instructions

1. Mix the cherries, sugar, corn starch and orange in a large saucepan. Si vous ne souhaitez pas utiliser l’une des puces existantes, vous pouvez ajouter de nouvelles puces dans la grille Puce. Une puce disponible dans une police donnée n’est pas forcément disponible dans une autre police. Vous pouvez choisir de mémoriser la police associée à une puce que vous ajoutez. Si vous souhaitez utiliser une puce issue d’une police particulière (comme la main pointant vers une direction de Dingbats), pensez à mémoriser la police associée à cette puce. Si vous utilisez une puce standard, il n’est pas nécessaire de mémoriser sa police puisque la plupart des polices auront leur propre version de cette puce. Selon que vous avez sélectionné ou non l’option Mémoriser la police avec cette puce, la puce à ajouter peut faire référence à une valeur Unicode, une famille et un style de police spécifiques ou bien à une valeur Unicode uniquement. Remarque : les puces qui font uniquement référence à une valeur Unicode (sans police mémorisée) s’affichent avec l’indicateur « u ».

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1 Dans le menu du panneau Contrôle ou du panneau Paragraphe, sélectionnez Puces et numérotation. 2 Dans la boîte de dialogue Puces et numérotation, choisissez la commande Puces dans le menu Type de liste. 3 Sélectionnez une autre puce, puis cliquez sur OK.

Pour ajouter une puce

1 Dans la boîte de dialogue Puces et numérotation, choisissez la commande Puces dans le menu Type de liste, puis

cliquez sur Ajouter.

2 Sélectionnez le glyphe à utiliser comme puce. Plusieurs familles et styles de polices contiennent différents glyphes. 3 Pour que la nouvelle puce mémorise la police et le style actifs, sélectionnez l’option Mémoriser la police avec cette puce. 4 Cliquez sur Ajouter.

Remarque : la liste des puces est enregistrée dans le document, comme le sont les styles de paragraphe et de caractère.

Lorsque vous collez ou chargez des styles de paragraphe d’un autre document, les puces utilisées dans ces styles sont visibles dans la boîte de dialogue Puces et numérotation avec les autres puces du document.

Pour supprimer une puce

1 Dans la boîte de dialogue Puces et numérotation, choisissez la commande Puces dans le menu Type de liste. 2 Sélectionnez la puce à supprimer, puis cliquez sur Supprimer. La première puce prédéfinie ne peut pas être

Modification des options de liste numérotée

Dans une liste numérotée, la numérotation est automatiquement mise à jour dès que vous ajoutez ou supprimez des paragraphes. Les paragraphes qui font partie de la même liste sont numérotés de façon séquentielle. Il n’est pas nécessaire que ces paragraphes se suivent si vous avez défini une liste pour les paragraphes Vous pouvez également créer une liste multiniveau dont les éléments sont numérotés de façon hiérarchique et mis en retrait sur plusieurs niveaux. 1 Ouvrez la boîte de dialogue Puces et numérotation. 2 Sous Style de numérotation, sélectionnez le type de numérotation à utiliser dans le menu Format. 3 Dans la zone Numéro, utilisez l’expression par défaut (le point (.) et la tabulation (^t)) ou générez votre propre

expression numérique. Pour entrer une expression numérique, supprimez le point situé à la suite du métacaractère de numérotation (^#), puis utilisez l’une des méthode suivantes :

• Entrez un ou plusieurs caractères (par exemple une parenthèse fermante) à la place du point.

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4 Choisissez un style de caractère pour l’expression (le style sélectionné s’appliquera à l’ensemble de l’expression

numérique, et pas seulement au numéro ou à la puce).

5 Dans Mode, sélectionnez l’une des options suivantes : Suite du numéro précédent Numérote la liste de façon séquentielle. Début Fait commencer la numérotation à partir de la valeur (numéro ou autre) entrée dans la zone de texte. Entrez un numéro, et non pas une lettre, même si votre liste est numérotée au moyen de lettres ou de chiffres romains.

6 Définissez d’autres options, si nécessaire, puis cliquez sur OK.

Définition des listes

Une liste définie peut être interrompue par d’autres paragraphes et listes ; elle peut également s’étendre sur plusieurs articles ou plusieurs documents d’un livre. Par exemple, utilisez les listes définies pour créer une vectorisation multiniveau ou pour créer une liste continue de noms de tableaux numérotés dans le document. Vous pouvez également définir des listes pour les éléments numérotés ou à puces individuels qui sont mélangés. Par exemple, si le document contient une liste de questions et de réponses, vous pouvez définir une liste pour numéroter les questions et une autre pour numéroter les réponses. Les listes définies permettent souvent de conserver un lien entre les paragraphes de façon à les numéroter. Si vous avez créé un style de paragraphe pour la numérotation, vous pouvez appliquer ce style à une liste définie : les paragraphes seront numérotés sur la base de ce style en fonction de leur emplacement dans la liste définie. Par exemple, le premier paragraphe se verra attribuer le numéro 1 (« Tableau 1 ») et le paragraphe suivant le numéro 2 (« Tableau 2 ») même s’ils sont séparés de plusieurs pages. Comme les deux paragraphes font partie de la même liste définie, ils seront numérotés de façon séquentielle, quelle que soit la distance qui les sépare au sein du document ou du livre. Définissez une nouvelle liste pour chaque type d’élément à numéroter : étapes d’une procédure, tableaux et figures par exemple. Lorsque vous définissez plusieurs listes, vous pouvez interrompre une liste par une autre et conserver la séquence de numérotation de chaque liste. Si des éléments de liste apparaissent dans des blocs de texte sans lien sur une même page, ils sont numérotés dans l’ordre selon lequel les blocs de texte sont ajoutés à la page. Pour les réorganiser, coupez-les et collez-les un à un dans l’ordre voulu.

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Pour définir une liste 1 Choisissez la commande Texte > Listes à puces et numérotées > Définir des listes. 2 Cliquez sur Nouveau dans la boîte de dialogue Définir des listes. 3 Attribuez un nom à la liste et indiquez si la numérotation doit se poursuivre d’un article à l’autre et si elle doit

continuer à la suite des documents précédents du livre.

4 Cliquez deux fois sur OK.

Après avoir défini une liste, vous pouvez l’utiliser dans un style de paragraphe, par exemple dans un style pour tableaux, pour figures ou pour listes numérotées, et vous pouvez l’appliquer par l’intermédiaire des panneaux Contrôle et Paragraphe

Remarque : certaines listes sont automatiquement définies. Par exemple, lorsque vous importez une liste numérotée à partir d’un document Microsoft Word, une liste est automatiquement définie pour ce document.

Pour modifier une liste définie

1 Choisissez la commande Texte > Listes à puces et numérotées > Définir des listes. 2 Sélectionnez une liste et cliquez sur le bouton Modifier. 3 Modifiez le nom de la liste ou redéfinissez les options Continuer la numérotation.

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1 Choisissez la commande Texte > Listes à puces et numérotées > Définir des listes. 2 Sélectionnez une liste. 3 Cliquez sur le bouton Supprimer et indiquez par quelle liste (liste par défaut ou autre liste) la liste supprimée doit

Création d’un style de paragraphe pour les listes continues

Pour créer une liste continue (liste entrecoupée d’autres paragraphes ou qui s’étend sur plusieurs articles ou documents), générez un style de paragraphe et appliquez-le aux paragraphes que vous souhaitez intégrer à la liste. Si, par exemple, vous souhaitez créer une liste continue des tableaux de votre document, créez un style de paragraphe nommé Tableaux, ajoutez une liste définie au style, puis appliquez le style de paragraphe Tableaux à tous les paragraphes qui doivent apparaître dans votre liste Tableaux. Vous trouverez sur InDesign Docs une série d’articles sur l’utilisation des puces et de la numérotation pour créer des légendes de figures et des procédures numérotées. 1 Choisissez la commande Nouveau style de paragraphe dans le menu du panneau Styles de paragraphe. 2 Attribuez un nom au style. 3 Sur le côté gauche de la boîte de dialogue Nouveau style de paragraphe, cliquez sur Puces et numérotation. 4 Pour l’option Type de liste, sélectionnez Puces ou Numéros. 5 Si vous créez un style pour listes numérotées, sélectionnez une liste définie dans le menu Liste, ou choisissez la

commande Nouvelle liste et définissez la liste.

6 Spécifiez les caractéristiques de la puce ou des numéros. 7 Utilisez les options de la section Position de la puce ou de la numérotation de la boîte de dialogue Nouveau style de

paragraphe pour modifier le retrait. Par exemple, pour créer un retrait négatif, entrez 2p pour l’option Retrait à gauche et -2p pour l’option Retrait de 1re ligne.

8 Spécifiez d’autres attributs de style de paragraphe, puis cliquez sur OK.

« Ajout de styles de paragraphe et de caractère » à la page 215

Création de listes multiniveaux

Une liste multiniveau est une liste qui définit les liens hiérarchiques entre les paragraphes de la liste. Les listes de ce type sont également appelées listes hiérarchiques car elles s’apparentent à une structure hiérarchique. Le modèle de numérotation d’une liste, tout comme la longueur des retraits, permettent de connaître le niveau hiérarchique d’un élément et de savoir comment celui-ci se positionne par rapport aux autres. Vous pouvez facilement déterminer à quel niveau se situe un paragraphe dans la liste par rapport au paragraphe qui le suit et à celui qui le précède. Vous pouvez inclure jusqu’à neuf niveaux dans une liste multiniveau.

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Bob Bringhurst propose une série d’articles sur l’utilisation des puces et de la numérotation pour créer des listes sommaires, des listes à plusieurs niveaux, des légendes de figures et des procédures numérotées. 1 Choisissez la commande Nouveau style de paragraphe dans le menu du panneau Styles de paragraphe. 2 Attribuez un nom au style. 3 Si vous avez déjà créé un style pour votre liste multiniveau, choisissez le style que vous allez associer aux niveaux

situés au-dessus du niveau actif dans le menu D’après ; sinon, choisissez la commande Aucun style de paragraphe ou Paragraphe standard.

4 Sur le côté gauche de la boîte de dialogue Nouveau style de paragraphe, cliquez sur Puces et numérotation. 5 Choisissez la commande Numéros dans le menu Type de liste. 6 Choisissez l’une des listes définies dans le menu Liste. Si vous n’avez pas encore défini votre liste, choisissez

Nouvelle liste dans le menu et définissez-la.

7 Dans le champ Niveau, entrez le numéro correspondant au niveau de la liste multiniveau auquel se destine le style

en cours de création.

8 Dans le menu Format, choisissez le type de numérotation à utiliser.

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• Pour insérer des préfixes de numérotation de niveaux supérieurs, entrez le texte de votre choix ou cliquez au début de la zone Numéro, puis choisissez la commande Insérer une balise d’emplacement de numéro et sélectionnez une option Niveau (par exemple Niveau 1), ou bien entrez le caractère ^ suivi du niveau (par exemple ^1). Supposons que vous ayez défini une liste dont les éléments de premier niveau sont numérotés 1, 2, 3, etc., et les éléments de deuxième niveau a, b, c, etc. Si vous insérez le préfixe du premier niveau dans le modèle de numérotation du deuxième niveau, les éléments de deuxième niveau seront numérotés de la façon suivante : 1a, 1b, 1c ; 2a, 2b, 2c ; 3a, 3b, 3c.

• Pour créer une expression numérique, entrez les signes de ponctuation et les métacaractères nécessaires, ou bien sélectionnez des options dans la liste Insérer un caractère spécial.

10 Sélectionnez l’option Recommencer la numérotation à ce niveau après si vous souhaitez que la numérotation

recommence à 1 lorsqu’un paragraphe de ce niveau succède à un paragraphe de niveau supérieur ; désélectionnez cette option si vous souhaitez que les paragraphes de ce niveau soient numérotés de façon séquentielle sur l’ensemble de la liste, quelle soit leur emplacement dans la hiérarchie.

Pour recommencer la numérotation après un certain niveau ou une certaine plage de niveaux, saisissez le numéro ou la plage du niveau (2-4, par exemple) dans le champ Recommencer la numérotation à ce niveau après. 11 Dans la zone Position de la puce ou de la numérotation, définissez les options de retrait ou de tabulation de telle

sorte que les éléments de ce niveau soit plus en retrait que ceux des niveaux supérieurs. La mise en retrait permet de faire ressortir les éléments de niveau inférieur dans la liste.

Dans certains cas, comme dans celui des procédures numérotées, il peut être nécessaire de recommencer la numérotation depuis le début au sein d’un même article. Pour éviter d’avoir à effectuer cette opération manuellement, créez un style distinct identique au style du niveau 1 à une exception près. Dans la section Mode, sélectionnez l’option Début, puis indiquez la valeur 1. Nommez ce style « Niveau 1 avec renumérotation », par exemple.

Création de légendes continues de figures et tableaux

Les légendes continues permettent de numéroter les figures, les tableaux et d’autres types d’éléments de façon séquentielle dans un document. Par exemple, la légende de la première figure peut commencer par les mots « Figure 1 », celle de la deuxième par les mots « Figure 2 », etc. Pour vous assurer que les figures, les tableaux et autres éléments semblables seront numérotés de façon séquentielle, définissez une liste pour l’élément, puis créez un style de paragraphe incluant cette définition de liste. Vous pouvez également ajouter des mots descriptifs, par exemple « figure » ou « tableau », au modèle de numérotation du style de paragraphe. Bob Bringhurst propose un article sur la création de légendes de figures sous le titre Numbered Lists Part III - Figure Captions. Les éléments d’une liste sont numérotés en respectant l’ordre dans lequel ils sont ajoutés à la page. Pour les réorganiser, coupez-les et collez-les un à un dans l’ordre voulu. 1 Créez un nouveau style de paragraphe et, dans la section Puces et numérotation de la boîte de dialogue Options de

style de paragraphe, choisissez l’option Numéros dans le menu Type de liste.

2 Sélectionnez une liste définie dans le menu Liste ou choisissez la commande Nouvelle liste pour en définir une. 3 Sous Style de numérotation, sélectionnez le type de numérotation à utiliser dans le menu Format.

Par exemple, sélectionnez l’option A, B, C, D... pour créer une liste de type « Figure A », « Figure B », etc.

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Par exemple, pour créer un effet « Figure A », entrez le mot « Figure » et une espace avant les métacaractères (tel que Figure ^#.^t). Cette action ajoute le mot « Figure » suivi d’un numéro séquentiel (^#), d’un point et d’une tabulation (^t). Remarque : pour inclure les numéros de chapitre dans les légendes continues, choisissez la commande Insérer une balise d’emplacement de numéro >Numéro de chapitre dans la liste Numéro ou entrez ^H là où le numéro de chapitre doit apparaître dans le modèle de numérotation. 5 Finalisez le style et cliquez sur le bouton OK.

Une fois le style créé, appliquez-le aux légendes de figures ou aux titres de tableaux.

Vous pouvez utiliser la fonction Table des matières pour générer la liste des tableaux ou des figures.

« Création d’une table des matières » à la page 347 « Légendes » à la page 257

Recommencement ou continuation de la numérotation d’une liste

InDesign offre des commandes permettant de recommencer ou de continuer la numérotation d’une liste : Pour recommencer la numérotation d’une liste Placez le point d’insertion dans le paragraphe et choisissez la commande Recommencer la numérotation dans le menu contextuel ou choisissez la commande Texte > Listes à puces et numérotées > Recommencer la numérotation. Dans le cas d’une liste normale, cette commande attribue le numéro 1 (ou la lettre A) à un paragraphe et définit celui-ci comme premier paragraphe de la liste. Dans le cas d’une liste multiniveau, cette commande attribue le premier numéro du niveau inférieur à un paragraphe imbriqué. Pour continuer la numérotation d’une liste Choisissez la commande Continuer la numérotation dans le menu

contextuel ou choisissez la commande Texte > Listes à puces et numérotées > Continuer la numérotation. Cette commande reprend la numérotation d’une liste ayant été interrompue par un commentaire, un graphique ou un

élément de liste imbriqué. InDesign offre également des commandes permettant de numéroter les listes qui commencent dans un article ou un livre et qui se poursuivent dans l’article ou le livre suivant.

Pour numéroter une liste d’un article précédent ou en cours

Suivant les paramètres de configuration de la liste, la numérotation continue à la suite de l’article précédent ou recommence dans l’article actif. 1 Choisissez la commande Texte > Listes à puces et numérotées > Définir des listes. 2 Sélectionnez une liste et cliquez sur le bouton Modifier.

Ne sélectionnez pas la liste par défaut : cette liste ne peut pas s’étendre sur plusieurs articles.

3 Sélectionnez l’option Continuer la numérotation au fil des articles pour continuer la numérotation de la liste à la

suite de l’article précédent ou désélectionnez cette option pour recommencer la numérotation à 1 (ou A) dans l’article actif.

4 Cliquez deux fois sur OK.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Choisissez la commande Texte > Listes à puces et numérotées > Définir des listes. 2 Sélectionnez une liste et cliquez sur le bouton Modifier. 3 Sélectionnez l’option Continuer la numérotation du document précédent du livre pour continuer la numérotation

de la liste à la suite du document précédent (vous devez choisir Continuer la numérotation au fil des articles pour activer cette option) ou désélectionnez cette option pour recommencer la numérotation à 1 (ou A) dans le document actif.

4 Cliquez deux fois sur OK.

Pour vous assurer que la numérotation est correctement mise à jour dans un livre, synchronisez les documents du livre, puis choisissez la commande Mettre à jour la numérotation > Mettre à jour tous les numéros, dans le menu du panneau de livres.

Conversion des puces ou des numéros d’une liste en texte

1 Sélectionnez le paragraphe contenant la liste à puces ou numérotée. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez la commande Convertir Numérotation en texte ou Convertir puces en texte dans le menu du panneau Paragraphe.

• Cliquez sur la sélection avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la touche Commande enfoncée (Mac OS), puis choisissez Convertir Numérotation en texte ou Convertir puces en texte.

Remarque : pour supprimer les numéros ou les puces de la liste, cliquez sur le bouton Liste numérotée ou Liste à puces pour annuler l’application de la mise en forme de la liste au texte sélectionné.

« Conversion de puces et de numérotation d’un style en texte » à la page 223

Composition de texte

Composition de texte L’aspect du texte sur une page dépend d’un système complexe d’interaction entre différents processus, appelé composition. A l’aide des options d’espacement des mots et des lettres, d’échelle glyphe et de césure que vous avez sélectionnées, InDesign compose votre texte afin qu’il corresponde le mieux aux paramètres spécifiés. InDesign offre deux méthodes de composition : le Compositeur de paragraphe Adobe (par défaut) et le Compositeur ligne simple Adobe (les deux étant accessibles à partir du panneau Contrôle). Vous pouvez sélectionner le compositeur à utiliser dans le menu du panneau Paragraphe, de la boîte de dialogue Justification ou du menu du panneau Contrôle. Pour consulter un didacticiel vidéo sur l’utilisation de texte, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0075_fr. InDesign Magazine propose un article consacré à la résolution des problèmes de composition intitulé Mind the Gaps.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

« Justification du texte d’habillage en regard d’un objet » à la page 251

Méthodes de composition

InDesign propose deux méthodes de composition : le compositeur de paragraphe Adobe (la méthode par défaut) et le compositeur de ligne simple Adobe. Ces deux méthodes de composition évaluent les coupures possibles et sélectionnent celle qui correspond le mieux aux options de césure et de justification que vous avez spécifiées pour un paragraphe donné. Compositeur de paragraphe Adobe Le compositeur de paragraphe Adobe prend en considération un réseau de points de coupure pour une plage de lignes et peut ainsi optimiser les lignes du début d’un paragraphe afin d’éliminer ultérieurement les coupures désagréables à l’œil. L’utilisation du compositeur de paragraphe entraîne un espacement plus régulier et moins de césures. Le compositeur de paragraphe aborde une composition en identifiant et en évaluant les points de coupure possibles et en leur attribuant une pénalité pondérée basée sur les principes tels que la régularité de l’espacement des lettres et des mots, et de la césure. Vous pouvez utiliser la boîte de dialogue Césure pour définir la relation entre un meilleur espacement et le nombre de césures (voir la section « Césure de texte » à la page 310). Compositeur ligne simple Adobe Le compositeur de ligne simple propose une composition traditionnelle du texte, ligne par ligne. Cette option est utile si vous voulez limiter les effets des modifications de dernière minute sur la composition.

Choix d’une méthode de composition d’un paragraphe

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans le menu du panneau Paragraphe, sélectionnez Compositeur de paragraphe Adobe (méthode par défaut) ou Compositeur de ligne simple Adobe.

• Dans le menu du panneau Paragraphe ou Contrôle, choisissez la commande Justification, puis sélectionnez une option dans le menu Compositeur.

Remarque : différentes sociétés proposent des modules de composition supplémentaires, fournis avec des interfaces vous permettant de personnaliser les paramètres d’un moteur.

Définition des préférences de composition

1 Choisissez Edition > Préférences > Composition (Windows) ou InDesign > Préférences > Composition (Mac OS). 2 Pour utiliser la mise en surbrillance afin d’identifier les problèmes de composition, sélectionnez Infractions et

Infractions de césure et de justification.

3 Pour justifier le texte qui habille un objet, vous devez sélectionner Justifier le texte en regard d’un objet habillé

recouvrant complètement la colonne.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

La justification dépend de l’option d’alignement sélectionnée, de l’intermots et de l’interlettrage spécifiés et de l’utilisation ou non de la mise à l’échelle glyphe. Vous pouvez également justifier des mots isolés dans les colonnes étroites d’un texte justifié. Dans son article intitulé Mind the Gaps, Eda Warren indique comment éviter les problèmes de composition.

« Définition de l’intermots et de l’interlettrage dans un texte justifié » à la page 312 « Césure et dictionnaires » à la page 199

Pour régler manuellement la césure

Vous pouvez couper les mots manuellement ou automatiquement ou bien combiner les deux méthodes. La méthode de césure manuelle la plus sûre consiste à insérer un tiret conditionnel : ce type de tiret n’apparaît que s’il est nécessaire de couper le mot en fin de ligne. Un tiret conditionnel placé au début d’un mot l’empêche d’être coupé en deux. 1 A l’aide de l’outil Texte

, cliquez à l’endroit où vous souhaitez insérer le tiret.

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez la commande Texte > Insérer un caractère spécial > Césures et tirets > Tiret conditionnel.

• Appuyez sur les touches Ctrl+Maj+- (Windows) ou Commande+Maj+- (Mac OS) pour insérer un tiret conditionnel. Remarque : un tiret conditionnel n’implique pas forcément que le mot qui le contient sera coupé. La coupure du mot à l’endroit indiqué dépend d’autres paramètres de césure et de composition. Cependant, si le mot doit être coupé, la césure se fera à l’endroit du tiret conditionnel.

Pour régler automatiquement la césure

La césure repose sur des listes de mots stockées dans un fichier de dictionnaire utilisateur séparé, sur le disque dur de l’ordinateur, ou dans le document lui-même. Pour garantir une césure homogène, vous pouvez désigner une liste de mots à rechercher ; cette fonction est particulièrement utile pour les documents destinés à un prestataire de services ou si vous travaillez en groupe. ❖ Pour activer ou désactiver la césure automatique d’un paragraphe, activez ou désactivez l’option Césure du

panneau Paragraphe ou Contrôle. Vous pouvez également inclure cette option dans un style de paragraphe.

Lorsque vous définissez des options de césure automatique, vous pouvez indiquer le meilleur compromis entre l’espacement et le nombre de césures. Il est possible également d’éviter que les mots en capitales et le dernier mot d’un paragraphe soient coupés.

Pour définir des options de césure automatique d’un paragraphe

1 Cliquez sur un paragraphe ou sélectionnez la plage de paragraphes concernée. 2 Choisissez Césure dans le menu du panneau Paragraphe. 3 Sélectionnez l’option Césure.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Zone de césure Spécifiez à quelle distance de la fin de la ligne doit s’effectuer la coupure d’un mot dans du texte non

justifié. Cette option est disponible uniquement lorsque vous utilisez le compositeur ligne par ligne avec du texte non justifié.

Meilleur espacement / Moins de césures Pour modifier l’équilibre entre ces deux options, faites glisser le curseur situé

au bas de la boîte de dialogue.

Césure des mots en capitales Pour éviter que les mots en capitales soient coupés, désélectionnez cette option. Couper le dernier mot Désélectionnez cette option pour éviter que le dernier mot d’un paragraphe soit coupé. Césure sur la colonne Désélectionnez cette option pour éviter qu’un mot soit coupé sur une colonne, un bloc ou une

Prévention des coupures indésirables

L’utilisation de tirets conditionnels vous permet d’éviter la coupure de certains mots, tels que les noms propres ou des mots pour lesquels la césure n’est pas souhaitable. Vous pouvez également éviter la césure d’un groupe de mots, par exemple, un groupe d’initiales accompagnant un nom de famille (tel que « J.-P. Sartre »).

Pour empêcher la coupure d’un texte

1 Sélectionnez le texte devant tenir sur la même ligne. 2 Choisissez la commande Sans retour automatique dans le menu du panneau Caractère ou Contrôle.

Vous pouvez également éviter qu’un mot soit coupé en insérant un tiret conditionnel au début de celui-ci. Appuyez sur les touches Ctrl+Maj+- (Windows) ou Commande+Maj+- (Mac OS) pour insérer un tiret conditionnel.

Pour créer un trait d’union insécable

1 A l’aide de l’outil Texte

, cliquez à l’endroit où vous souhaitez insérer le tiret.

2 Choisissez Texte > Insérer un caractère spécial > Césures et tirets > Trait d’union insécable.

Pour créer une espace insécable

1 A l’aide de l’outil Texte

, cliquez à l’endroit où vous souhaitez insérer l’espace.

2 Choisissez Texte > Insérer une espace > Espace insécable (ou un autre espace).

Définition de l’intermots et de l’interlettrage dans un texte justifié 1 Insérez le pointeur dans le paragraphe à modifier ou sélectionnez un cadre ou objet texte pour modifier tous ses

2 Choisissez Justification dans le menu du panneau Paragraphe. 3 Saisissez des valeurs dans les zones Intermots, Interlettrage et Mise à l’échelle glyphe. Les valeurs Minimum et

Maximum définissent une plage d’espacement acceptable pour les paragraphes justifiés uniquement. La valeur

Optimum définit l’espacement souhaité pour les paragraphes justifiés et non justifiés : Intermots Espace entre les mots créé en appuyant sur la barre d’espace. Les valeurs d’intermots sont comprises entre 0 % et 1 000 %. Une valeur de 100 % indique qu’aucun espacement supplémentaire n’est inséré entre les mots. Interlettrage Distance entre les lettres, valeurs de crénage ou d’approche comprises. Les valeurs d’interlettrage peut

varier de -100 % à 500 % : à 0 %, aucun espace n’est ajouté entre les lettres ; à 100 %, une largeur d’espace complet est ajoutée entre les lettres.

Mise à l’échelle du glyphe Chasse des caractères (un glyphe est un caractère de n’importe quelle police). La mise à

l’échelle du glyphe peut varier de 50 % à 200 %.

Les options d’espacement s’appliquent toujours à un paragraphe entier. Pour modifier l’espacement de quelques caractères seulement, utilisez l’option Approche. 4 Définissez l’option Justification d’un seul mot pour indiquer le type de justification appliqué aux paragraphes d’un

Il arrive que les colonnes étroites contiennent un seul mot sur une ligne. Si la justification entière est définie pour le paragraphe, un seul mot sur une ligne peut apparaître trop étiré. Vous pouvez choisir de centrer ce mot ou de l’aligner à droite, ou à gauche dans la colonne.

Définition de la mise à l’échelle glyphe dans un texte justifié

1 Créez un point d’insertion dans un paragraphe ou sélectionnez les paragraphes concernés. 2 Choisissez Justification dans le menu du panneau Paragraphe. 3 Pour l’option Mise à l’échelle glyphe, entrez une valeur pour Minimum, Maximum et Optimum. Cliquez ensuite

Avant (en haut) et après (en bas) la mise à l’échelle glyphe de texte justifié

Dernière mise à jour le 18/5/2011

L’utilisation d’un caractère d’espace sans alinéa ajoute une quantité variable d’espace à la dernière ligne d’un paragraphe entièrement justifié, entre le dernier mot et un caractère de fin d’article d’une police décorative, par exemple. Utilisée avec du texte non justifié, l’espace sans alinéa apparaît comme un caractère d’espace normal. Dans un texte justifié, elle s’agrandit pour assimiler tous les espaces supplémentaires présents sur la dernière ligne. L’utilisation d’une espace sans alinéa peut avoir un effet spectaculaire sur la façon dont le paragraphe est mis en forme par le compositeur de paragraphe Adobe.

Avant et après l’ajout d’un caractère d’espace sans alinéa

1 A l’aide de l’outil Texte

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Création de tableaux Un tableau se compose de lignes et de colonnes de cellules. Une cellule est un bloc de texte dans lequel il est possible d’insérer du texte, des images texte ou d’autres tableaux. Vous pouvez créer des tableaux de toutes pièces ou en convertissant du texte en tableau. Vous pouvez également imbriquer un tableau dans un tableau. Lorsque vous créez un tableau, il occupe la largeur du bloc de texte contenant. Il est inséré sur la même ligne que le point d’insertion ou sur la ligne suivante, selon que celui-ci figure respectivement au début ou au milieu de la ligne. Les tableaux accommodent le texte avoisinant de la même manière que les images texte. Ainsi, un tableau subit le même déplacement que les blocs liés lorsque vous modifiez le corps du texte situé au-dessus ou lorsque vous insérez ou supprimez du texte. En revanche, il est impossible d’insérer un tableau dans un bloc de texte curviligne. Pour consulter un didacticiel vidéo sur la création et la mise en forme des tableaux, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0081_fr. La création et la mise en forme des tableaux sont également abordées dans l’article Mind Your Table Manners de Michael Murphy.

« Mise en forme de tableaux » à la page 324 Vidéo Créer et mettre en forme des tableaux

Pour créer un tableau

Le tableau que vous créez occupe la largeur du bloc de texte. 1 A l’aide de l’outil Texte

, placez le point d’insertion là où vous souhaitez insérer le tableau.

2 Choisissez Tableau > Insérer un tableau.

3 Spécifiez le nombre de lignes et de colonnes. 4 Si le contenu du tableau doit être réparti sur plusieurs colonnes ou blocs, spécifiez le nombre de rangées d’en-tête

ou de pied de tableau dans lesquelles les informations devront être répétées.

5 (Facultatif) Spécifiez un style de tableau. 6 Cliquez sur OK.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Avant de convertir un texte en tableau, assurez-vous que le texte est composé correctement. 1 Pour préparer la conversion d’un texte, insérez des tabulations, des virgules, des retours chariot ou d’autres

caractères pour séparer les colonnes. Insérez des tabulations, des virgules, des retours chariot ou d’autres caractères pour séparer les lignes. Souvent, le texte peut être converti en tableau sans être modifié.

2 A l’aide de l’outil Texte

, sélectionnez le texte à convertir en tableau.

3 Choisissez la commande Tableau > Convertir le texte en tableau.

4 Dans Séparateur de lignes et Séparateur de colonnes, indiquez le début des nouvelles lignes et colonnes. Choisissez

la commande Tabulation, Virgule ou Paragraphe, ou entrez le caractère (par exemple le point virgule) dans les champs Séparateur de colonnes et Séparateur de lignes (le caractère saisi apparaît ensuite dans le menu lorsque vous créez un tableau à partir de texte).

5 Si vous spécifiez le même séparateur pour les colonnes et les rangées, indiquez le nombre de colonnes à inclure dans

6 (Facultatif) Spécifiez un style de tableau pour mettre en forme le tableau. 7 Cliquez sur OK.

Si une ligne a moins d’éléments que le nombre de colonnes d’un tableau, des cellules vides remplissent la ligne.

Pour imbriquer un tableau dans un autre

1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Sélectionnez les cellules ou le tableau à imbriquer, puis choisissez Edition > Couper ou Copier. Placez le point d’insertion dans la cellule dans laquelle le tableau doit apparaître, puis choisissez Edition > Coller.

• Cliquez à l’intérieur d’une cellule, choisissez la commande Tableau > Insérer un tableau, spécifiez le nombre de lignes et de colonnes, puis cliquez sur OK.

2 S’il y a lieu, ajustez l’encart de cellule (voir la section « Mise en forme de texte dans un tableau » à la page 327).

Si vous créez un tableau à l’intérieur d’une cellule, il vous est impossible d’utiliser la souris pour sélectionner une portion du tableau qui déborde de la cellule. Vous devez étendre la ligne ou la colonne ou placer le point d’insertion dans la première moitié du tableau, puis utiliser les touches de raccourci clavier pour déplacer le point d’insertion et sélectionner le texte.

Pour importer des tableaux à partir d’autres applications

Lorsque vous importez un document Microsoft Word comprenant des tableaux ou une feuille de calcul Microsoft Excel, à l’aide de la commande Importer, les données importées se présentent sous forme de tableau modifiable. Vous pouvez en contrôler la mise en forme grâce à la boîte de dialogue Options d’importation.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour contrôler davantage la mise en forme du tableau importé ou pour conserver la mise en forme de la feuille de calcul, utilisez la commande Importer pour importer le tableau. Pour conserver un lien vers la feuille de calcul, sélectionnez l’option Créer des liens avec les fichiers de texte et de feuilles de calcul importés, dans les préférences de gestion des fichiers. Vous pouvez également copier et coller du texte tabulé dans une sélection de cellules de tableau. Cette technique permet de remplacer facilement le contenu tout en conservant la mise en forme. Supposons, par exemple, que vous deviez mettre à jour le contenu d’un tableau mis en forme dans un magazine mensuel. Vous pouvez pour cela utiliser un lien vers une feuille de calcul Excel. Toutefois, si le contenu provient d’une autre source, vous pouvez copier le texte tabulé comportant le nouveau contenu, sélectionner la plage de cellules dans le tableau InDesign mis en forme et coller le contenu.

« Importation de texte » à la page 145

Ajout de texte à un tableau

Vous pouvez ajouter du texte, des objets ancrés, des balises XML ou d ’autres tableaux à des cellules. La hauteur de ligne du tableau s’ajuste au texte supplémentaire, à moins que vous ne choisissiez une hauteur fixe. Il n’est pas possible d’ajouter des notes de bas de page aux tableaux. ❖ A l’aide de l’outil Texte

, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Placez un point d’insertion dans une cellule, puis saisissez le texte. Appuyez sur la touche Entrée ou Retour pour créer un nouveau paragraphe dans la même cellule. Appuyez sur la touche de tabulation pour passer d’une cellule

à l’autre (si vous appuyez sur cette touche alors que le curseur se trouve dans la dernière cellule, vous insérez une nouvelle ligne). Appuyez sur les touches Maj+tabulation pour passer aux cellules précédentes.

• Copiez le texte, placez un point d’insertion dans une cellule, puis choisissez la commande Edition > Coller.

• Placez le point d’insertion dans la cellule où vous voulez insérer le texte, choisissez la commande Fichier > Importer, puis cliquez deux fois sur un fichier texte.

« Redimensionnement de colonnes, rangées et tableaux » à la page 325 « Gestion des cellules en excès » à la page 329 « Balisage d’éléments » à la page 639

Dernière mise à jour le 18/5/2011

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Placez le point d’insertion à l’endroit où vous voulez insérer le graphique, choisissez Fichier > Importer, puis cliquez deux fois sur le nom d’un fichier graphique.

• Placez le point d’insertion à l’endroit où vous voulez insérer le graphique, choisissez Objet > Objet ancré > Insérer, puis spécifiez les paramètres. Vous pourrez ensuite ajouter un graphique à l’objet ancré.

• Copiez un graphique ou un bloc, placez le point d’insertion à l’endroit voulu, puis choisissez Fichier > Coller.

Si les dimensions du graphique sont supérieures à celles de la cellule, la hauteur de celle-ci s’ajuste au graphique tandis que sa largeur reste inchangée (le graphique risque de déborder à droite de la cellule). Si la hauteur du graphique est supérieure à la hauteur fixe de la rangée à laquelle il est destiné, la cellule sera composée par excès. Pour empêcher toute cellule en excès, vous pouvez importer l’image en dehors du tableau, la redimensionner, puis la coller dans la cellule de tableau.

Ajout d’en-têtes et de pieds de tableau

Lorsque vous créez un long tableau, il peut être réparti sur plusieurs colonnes, blocs ou pages. Il est possible d’utiliser des en-têtes ou des pieds de tableau pour répéter les informations du haut ou du bas de chaque portion du tableau. Vous pouvez ajouter des lignes d’en-tête ou de pied de tableau lors de la création du tableau. Vous pouvez également utiliser la boîte de dialogue Options de tableau pour ajouter des lignes d’en-tête et de pied de tableau et modifier leur aspect dans le tableau. Il est aussi possible de convertir des lignes de corps en lignes d’en-tête ou de pied de tableau.

Ligne d’en-tête répétée une fois par bloc

Pour numéroter les tableaux de manière séquentielle, par exemple Tableau 1A, Tableau 1B, etc., ajoutez une variable

à l’en-tête ou au pied de tableau (voir la section « Création de légendes continues de figures et tableaux » à la page 306). Pour consulter un didacticiel vidéo sur la création d’en-têtes et de pieds de tableau, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0082_fr.

« Répartition de tableaux sur plusieurs blocs » à la page 326 « Création de variables pour des en-têtes et des pieds de page continus » à la page 97

Pour convertir des rangées existantes en rangées d’en-tête ou de pied de tableau

1 Sélectionnez les lignes du haut du tableau pour créer des lignes d’en-tête ou celles du bas du tableau pour créer des

lignes de pied de tableau.

2 Choisissez Tableau > Convertir les lignes > En ligne d’en-tête ou En ligne de pied de tableau.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

pieds de tableau. 2 Spécifiez le nombre de lignes d’en-tête ou de pied de tableau. Des lignes vierges peuvent être ajoutées dans le haut

ou dans le bas du tableau.

3 Indiquez si les informations contenues dans l’en-tête ou le pied de tableau doivent apparaître dans toutes les

colonnes de texte (si les blocs de texte ont plusieurs colonnes), une fois par bloc ou une fois par page.

4 Sélectionnez Ignorer premier en-tête pour éviter que les informations d’en-tête apparaissent dans la première ligne

du tableau. Sélectionnez Ignorer dernier pied de tableau pour éviter que les informations de pied de tableau apparaissent dans la dernière ligne du tableau.

L’option Ignorer premier en-tête est particulièrement utile si vous souhaitez indiquer que l’en-tête ou le pied de page se poursuit. Par exemple, dans le cas d’un tableau s’étendant sur plusieurs pages, vous pouvez décider d’utiliser « Tableau 2 (Suite) » comme texte de l’en-tête. Pour éviter que le mot « (Suite) » ne figure au début du tableau, sélectionnez l’option Ignorer premier en-tête, puis saisissez simplement Tableau 2 dans la première ligne du tableau. 5 Cliquez sur OK.

Pour supprimer des rangées d’en-tête ou de pied de tableau

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Placez le point d’insertion dans la ligne d’en-tête ou de pied de tableau, puis choisissez Tableau > Convertir les lignes > En ligne de corps.

• Choisissez la commande Tableau > Options de tableau > En-têtes et pieds de tableau, puis spécifiez un nombre différent de lignes d’en-tête ou de lignes de pied de tableau.

Sélection et modification de tableaux

Sélection de cellules, de rangées et de colonnes La sélection de l’ensemble ou d’une partie du texte d’une cellule présente le même aspect que du texte sélectionné en dehors d’un tableau. Si toutefois cette sélection s’étend sur plusieurs cellules, les cellules et leur contenu sont sélectionnés. Si un tableau s’étend sur plusieurs blocs et que vous placez le pointeur de la souris au-dessus d’une ligne d’en-tête ou de pied de tableau autre que la première ligne d’en-tête ou de pied de tableau, une icône de verrou apparaît, indiquant que vous ne pouvez pas sélectionner le texte ou les cellules de cette ligne. Pour sélectionner des cellules d’une ligne d’en-tête ou de pied de tableau, placez le pointeur au début du tableau.

« Fonction des touches dans les tableaux » à la page 762

Pour sélectionner des cellules

❖ A l’aide de l’outil Texte

, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour sélectionner une seule cellule, cliquez à l’intérieur d’une cellule ou sélectionnez le texte, puis choisissez la commande Tableau > Sélectionner > Cellule.

Pour sélectionner des colonnes ou des rangées entières ❖ A l’aide de l’outil Texte

, utilisez l’une des méthodes suivantes :

Pour sélectionner toutes les rangées d’en-tête, de corps ou de pied de tableau

1 Cliquez à l’intérieur d’un tableau ou sélectionnez le texte. 2 Choisissez Tableau > Sélectionner > Lignes d’en-tête, Lignes de corps ou Lignes de pied de tableau.

Pour sélectionner un tableau entier

❖ A l’aide de l’outil Texte

, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Faites glisser l’outil Texte sur tout le tableau.

Vous pouvez sélectionner un tableau de la même manière qu’un graphique ancré. Pour cela, placez le point d’insertion juste avant ou après le tableau, puis maintenez la touche Maj enfoncée tandis que vous appuyez respectivement sur la touche flèche droite ou flèche gauche pour sélectionner le tableau.

Insertion de rangées et de colonnes

Il existe plusieurs méthodes pour insérer des rangées et des colonnes.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

cliquez sur OK. Les nouvelles cellules présentent la même mise en forme que le texte de la rangée dans laquelle figure le point d’insertion. Vous pouvez également créer une nouvelle ligne en appuyant sur la touche de tabulation lorsque le point d’insertion figure dans la dernière cellule.

Pour insérer une colonne

1 Placez le point d’insertion dans la colonne adjacente sur l’emplacement d’insertion de la nouvelle colonne. 2 Choisissez Tableau > Insérer > Colonne. 3 Spécifiez le nombre de colonnes à insérer. 4 Spécifiez l’emplacement de la ou des nouvelles colonnes (avant ou après la colonne sélectionnée), puis cliquez

Les nouvelles cellules présentent la même mise en forme que le texte de la colonne dans laquelle figure le point d’insertion.

Pour insérer plusieurs rangées ou colonnes

1 Après avoir placé le point d’insertion à l’intérieur d’une cellule, choisissez la commande Tableau > Options de

tableau > Format de tableau.

2 Spécifiez un nombre différent de lignes et de colonnes, puis cliquez sur OK.

Les nouvelles lignes sont insérées au bas du tableau et les colonnes à droite du tableau.

Vous pouvez également modifier le nombre de rangées et de colonnes dans le panneau Tableau. Pour afficher le panneau Tableau, choisissez Fenêtre > Texte et tableaux > Tableau.

Pour insérer une rangée ou une colonne par glissement

Lors de l’insertion de colonnes, si vous faites glisser une colonne sur une distance supérieure à une fois et demi sa largeur, les nouvelles colonnes ont la même largeur que la colonne d’origine. Si vous faites glisser pour insérer une seule colonne, la largeur de celle-ci peut être inférieure ou supérieure à celle de la colonne à partir de laquelle vous effectuez le glissement. Il en est de même pour les lignes, à moins que la hauteur de la ligne que vous faites glisser soit définie sur la valeur Au moins. Dans ce cas, si vous faites glisser pour créer une seule ligne, InDesign ajuste la nouvelle ligne, s’il y a lieu, afin qu’elle puisse contenir le texte. 1 Placez l’outil Texte

sur le bord d’une colonne ou d’une rangée jusqu’à ce qu’une double flèche (

Options de tableau > Format de tableau. Spécifiez un nombre différent de lignes et de colonnes, puis cliquez sur OK. Les lignes sont supprimées au bas du tableau et les colonnes à droite du tableau.

• Pour supprimer une rangée ou une colonne à l’aide de la souris, positionnez le pointeur sur le bord inférieur ou droit du tableau jusqu’à ce qu’une double flèche ( ou ) apparaisse, maintenez le bouton de la souris enfoncé, puis la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) tout en faisant glisser le pointeur vers le haut pour supprimer des rangées, ou vers la gauche pour supprimer des colonnes.

Remarque : si vous appuyez sur la touche Alt ou Option avant de maintenir le bouton de la souris enfoncé, l’outil Main apparaît. Veillez donc à appuyer sur cette touche avant de commencer à faire glisser.

• Pour supprimer le contenu d’une cellule sans supprimer les cellules, sélectionnez les cellules contenant le texte à supprimer ou utilisez l’outil Texte pour sélectionner le texte dans les cellules. Appuyez sur la touche Retour arrière ou Suppr, ou choisissez Edition > Effacer.

Modification de l’alignement d’un tableau dans un bloc

Un tableau s’adapte à la largeur du paragraphe ou de la cellule dans lequel il est créé. Vous pouvez toutefois redimensionner le bloc de texte ou le tableau de sorte que celui-ci soit plus large ou plus étroit que le bloc. Le cas échéant, vous pouvez définir l’alignement du tableau à l’intérieur du bloc. 1 Placez le point d’insertion à droite ou à gauche du tableau. Assurez-vous que le point d’insertion du texte est placé

sur le paragraphe du tableau et non à l’intérieur du tableau, pour qu’il adapte la hauteur du tableau dans le bloc.

2 Cliquez sur un bouton d’alignement (par exemple le bouton Centrer) du panneau Paragraphe ou Contrôle.

« Redimensionnement de colonnes, rangées et tableaux » à la page 325

Navigation dans un tableau

Vous pouvez vous déplacer dans un tableau à l’aide de la touche Tabulation ou des touches de direction. Vous pouvez également atteindre une rangée spécifique d’un tableau, ce qui est particulièrement utile dans les tableaux longs.

« Fonction des touches dans les tableaux » à la page 762

Pour se déplacer dans un tableau à l’aide de la touche Tabulation

• Appuyez sur la touche de tabulation pour passer à la cellule suivante. Si vous appuyez sur cette touche alors que le point d’insertion est placé dans la dernière cellule du tableau, vous créez une nouvelle ligne. Pour plus de détails sur l’insertion de tabulations et de retraits dans un tableau, reportez-vous à la section « Mise en forme de texte dans un tableau » à la page 327.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour se déplacer dans un tableau à l’aide des touches de direction ❖ Appuyez sur les touches de direction pour vous déplacer à l’intérieur des cellules du tableau ou d’une cellule à

l’autre. Si vous appuyez sur la touche flèche droite alors que le point d’insertion est placé à la fin de la dernière cellule d’une ligne, celui-ci s’affiche au début de la première cellule de cette même ligne. De la même manière, si vous appuyez sur la touche flèche bas alors que le point d’insertion est placé à la fin de la dernière cellule d’une colonne, celui-ci se déplace au début de la première cellule de cette même colonne.

Pour atteindre une rangée spécifique d’un tableau

1 Choisissez Tableau > Atteindre la ligne. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Spécifiez le numéro de la ligne vers laquelle se déplacer, puis cliquez sur OK.

• Si une ligne d’en-tête ou de pied de tableau est définie dans le tableau sélectionné, choisissez En-tête ou Pied de tableau dans le menu et cliquez sur OK.

Coupage, copie et collage du contenu d’un tableau

Lorsque le texte d’une cellule est sélectionné, les opérations couper, copier et coller fonctionnent de la même manière que pour un texte sélectionné en dehors d’un tableau. Vous pouvez également couper, copier et coller les cellules et leur contenu. Si le point d’insertion figure dans un tableau lorsque vous collez, plusieurs cellules collées forment un tableau à l’intérieur d’un tableau. Vous pouvez aussi déplacer ou copier le tableau entier. 1 Sélectionnez les cellules à couper ou copier, puis choisissez Edition > Couper ou Copier. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour imbriquer un tableau dans un autre, placez le point d’insertion dans la cellule qui recevra le tableau, puis choisissez Edition > Coller.

• Pour remplacer des cellules, sélectionnez-en une ou plusieurs dans le tableau, en veillant à ce qu’un nombre suffisant de cellules figurent au-dessous et à droite des cellules sélectionnées, puis choisissez Edition > Coller.

« Sélection de cellules, de rangées et de colonnes » à la page 318

Lorsque vous convertissez un tableau en texte, l’application supprime les rangées du tableau et insère le séparateur spécifié à la fin de chaque rangée et de chaque colonne.

Combinaison de tableaux

Utilisez la commande Coller pour fusionner deux ou plusieurs tableaux en un seul. 1 Dans le tableau cible, insérez au moins autant de lignes que vous en collerez depuis les autres tableaux (si vous

insérez moins de lignes que vous n’en copiez, vous ne pourrez pas les coller).

2 Dans le tableau source, sélectionnez les cellules que vous voulez copier (si vous copiez plus de cellules de colonnes

que le nombre de cellules disponibles dans le tableau cible, vous ne pourrez pas les copier).

3 Sélectionnez au moins une cellule à l’endroit où vous voulez insérer les nouvelles lignes, puis choisissez Edition >

Si les lignes collées utilisent une mise en forme différente du reste du tableau, définissez un ou plusieurs styles de cellules, puis appliquez les styles de cellule aux cellules collées. Tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée, cliquez sur le style de cellule pour remplacer la mise en forme existante. L’article Joining Tables d’Anne-Marie Concepcion aborde le thème de la combinaison de tableaux.

« Coupage, copie et collage du contenu d’un tableau » à la page 322 « Styles de tableau et de cellule » à la page 334

Utilisation des tableaux en mode éditeur

Lorsque vous choisissez la commande Edition > Modifier en mode éditeur, les tableaux et leur contenu s’affichent en mode éditeur. Vous avez alors la possibilité de les modifier.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Disposition par rangées ou Disposition par colonnes.

• Utilisez le mode Mise en page pour modifier le tableau et procéder à sa mise en forme. Il est impossible de sélectionner les colonnes ou les rangées en mode éditeur.

Mise en forme de tableaux

Mise en forme de tableaux Vous pouvez mettre en forme le texte d’un tableau à l’aide du panneau Contrôle ou du panneau Caractère, comme s’il s’agissait d’un texte ordinaire. Vous disposez également de deux boîtes de dialogue dédiées à la mise en forme d’un tableau : Options de tableau et Options de cellule. Vous pouvez y modifier le nombre de lignes et de colonnes et l’aspect du contour et du fond d’un tableau, y définir l’espace avant ou après le tableau, y éditer les lignes d’en-tête et de pieds de tableau, et bien d’autres attributs de mise en forme. Le panneau Tableau, le panneau Contrôle, et le menu contextuel vous permettent également de mettre en forme un tableau. Sélectionnez une ou plusieurs cellules, puis cliquez avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) pour afficher un menu contextuel comportant des options relatives aux tableaux.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vidéo Créer et mettre en forme des tableaux

Redimensionnement de colonnes, rangées et tableaux

Il existe plusieurs méthodes pour redimensionner des colonnes, des rangées et des tableaux.

« Modification de l’alignement d’un tableau dans un bloc » à la page 321

Pour redimensionner des colonnes et des rangées

1 Sélectionnez des cellules dans les colonnes et les lignes à redimensionner. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans le panneau Tableau, définissez la valeur des paramètres Largeur de la colonne et Hauteur de la rangée.

• Choisissez la commande Tableau > Options de cellules > Lignes et colonnes, définissez la valeur des options Hauteur de la ligne et Largeur de la colonne, puis cliquez sur le bouton OK. Remarque : si vous sélectionnez l’option Supérieure ou égale à pour définir une hauteur de ligne minimale, cette hauteur augmente selon le texte inséré ou la force de corps choisie. Si vous sélectionnez l’option Exactement pour définir une hauteur de ligne fixe, cette hauteur ne change pas quand vous ajoutez ou supprimez du texte. Il arrive souvent que ce type de cellule contienne du texte en excès (voir la section « Gestion des cellules en excès » à la page 329).

• Positionnez le pointeur sur le bord d’une colonne ou d’une rangée jusqu’à ce qu’une double flèche (

Par défaut, la hauteur d’une ligne est déterminée par la hauteur de la ligne-bloc de la police sélectionnée. Par conséquent, la hauteur d’une ligne change également lorsque vous modifiez la force de corps du texte de lignes entières ou le paramètre de hauteur de ligne. La hauteur de ligne maximale est déterminée par le paramètre Maximum dans la section Lignes et colonnes de la boîte de dialogue Options de cellule.

Pour redimensionner des colonnes et des rangées sans modifier la largeur du tableau

• Maintenez la touche Maj enfoncée tout en faisant glisser le bord d’une ligne ou d’une colonne intérieure (et non les limites du tableau). Une ligne ou une colonne s’agrandit alors que l’autre diminue.

• Pour redimensionner des lignes ou des colonnes proportionnellement, maintenez la touche Maj enfoncée tout en faisant glisser la limite droite ou inférieure du tableau.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Remarque : si le tableau s’étend sur plusieurs blocs d’un article, il est impossible de redimensionner le tableau entier avec le pointeur de la souris.

Pour répartir uniformément des colonnes et des rangées

1 Sélectionnez des cellules dans les colonnes ou les lignes auxquelles appliquer une largeur ou une hauteur uniforme. 2 Choisissez Tableau > Répartir les lignes uniformément ou Répartir les colonnes uniformément.

Modification de l’espacement avant ou après un tableau

1 Après avoir placé le point d’insertion à l’intérieur du tableau, choisissez Tableau > Options de tableau > Format de

2 Dans la section Espacement du tableau, spécifiez des valeurs différentes pour les options Espace avant et Espace

après, puis cliquez sur OK.

Notez que cette modification n’agit pas sur l’espacement d’une ligne qui se situe en haut d’un bloc.

Répartition de tableaux sur plusieurs blocs

Les options d’enchaînement vous permettent de définir le nombre de lignes à conserver ensemble ou de spécifier l’emplacement de la coupure d’une ligne, le haut d’une colonne ou d’un bloc, par exemple. Lorsque vous créez un tableau dont la hauteur est supérieure à celle du bloc qui le contient, le bloc présente un excédent. Si vous liez le bloc à un autre bloc, le tableau continue dans ce bloc. Les lignes se déplacent une à une dans les blocs liés ; il est donc impossible de partager une même ligne sur plusieurs blocs. Spécifiez les lignes d’en-tête ou de pied de tableau dans lesquelles les informations seront répétées dans le nouveau bloc. 1 Placez le point d’insertion dans la ligne appropriée ou sélectionnez une série de cellules sur les lignes à conserver

2 Choisissez Tableau > Options de cellules > Lignes et colonnes. 3 Pour conserver les lignes sélectionnées ensemble, sélectionnez Lignes solidaires. 4 Pour couper la ligne à un endroit précis, sélectionnez une option (par exemple, Prochain bloc) du menu Début de

la ligne, puis cliquez sur OK.

Si vous créez un seul tableau s’étendant sur une double page, ajoutez une colonne vide au milieu du tableau pour créer des marges.

« Ajout d’en-têtes et de pieds de tableau » à la page 317

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Mise en forme de texte dans un tableau

De manière générale, vous pouvez mettre en forme du texte dans un tableau comme s’il s’agissait de texte non contenu dans un tableau.

« Gestion des cellules en excès » à la page 329 « Spécification des caractères pour les tabulations décimales » à la page 293

Pour insérer des tabulations dans une cellule

Lorsque le point d’insertion est placé à l’intérieur du tableau, la touche Tabulation a pour effet de déplacer ce point vers la cellule suivante. Vous pouvez toutefois insérer un caractère de tabulation dans une cellule de tableau. Utilisez le panneau Tabulations pour définir les paramètres de tabulation d’un tableau, lesquels agissent sur le paragraphe dans lequel le point d’insertion se trouve. 1 A l’aide de l’outil Texte

, placez le point d’insertion là où vous souhaitez insérer la tabulation.

2 Choisissez la commande Texte > Insérer un caractère spécial > Autre > Tabulation.

Remarque : si vous utilisez la règle Tabulations pour appliquer une tabulation décimale à une cellule ou un groupe de cellules, il n’est généralement pas nécessaire d’appuyer sur Tabulation au début de chaque paragraphe pour aligner le texte selon une tabulation décimale. Les paragraphes sont automatiquement alignés sur le caractère décimal sauf si le paragraphe contient une mise en forme supplémentaire, par exemple s’il est centré, auquel cas la tabulation décimale n’est pas prise en compte.

Pour modifier l’alignement du texte d’une cellule

1 A l’aide de l’outil Texte

, sélectionnez la ou les cellules appropriées.

2 Choisissez Tableau > Options de cellules > Texte.

3 Dans le menu Justification verticale, sélectionnez un paramètre d’alignement : Aligner en haut, Centrer, Aligner en

4 Dans la section Première ligne de base, sélectionnez une option de décalage du texte par rapport au haut de la

Les options disponibles sont identiques à celles de la boîte de dialogue Options de bloc de texte (voir la section « Modification des propriétés d’un bloc de texte » à la page 139).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Placez le point d’insertion dans la cellule à faire pivoter ou sélectionnez les cellules concernées. 2 Choisissez Tableau > Options de cellules > Texte ou affichez le panneau Tableau. 3 Sélectionnez une valeur de rotation, puis cliquez sur OK.

Pour modifier la marge des cellules

1 A l’aide de l’outil Texte

, placez le point d’insertion sur une ou plusieurs cellules ou sélectionnez-les.

2 Choisissez Tableau > Options de cellules > Texte ou affichez le panneau Tableau.

3 Dans la section Marges de cellule, spécifiez les valeurs des options De tête, De pied, Gauche et Droite, puis cliquez

Dans la plupart des cas, l’augmentation de la marge de cellule se répercute proportionnellement sur la hauteur des lignes. Si la valeur de la hauteur de ligne est fixe, veillez à réserver suffisamment d’espace pour les valeurs d’encart afin d’éviter tout débordement de texte.

Fusion et fractionnement de cellules

Vous pouvez fusionner (combiner) ou fractionner (diviser) les cellules d’un tableau.

Pour fusionner des cellules

Vous pouvez regrouper plusieurs cellules d’une même ligne ou colonne dans une seule cellule. Vous pouvez par exemple fusionner les cellules de la première ligne d’un tableau pour créer une seule cellule dédiée au titre du tableau. 1 A l’aide de l’outil Texte

, sélectionnez les cellules que vous souhaitez fusionner.

2 Choisissez Tableau > Fusionner les cellules.

Pour annuler la fusion de cellules

❖ Placez le point d’insertion dans la cellule fusionnée et choisissez Tableau > Annuler la fusion des cellules.

Pour fractionner des cellules

Vous pouvez par ailleurs fractionner les cellules sur l’axe horizontal ou vertical, ce qui est très pratique lors de la création des tableaux de formulaire. Vous pouvez ainsi sélectionner plusieurs cellules et les fractionner verticalement ou horizontalement. 1 Placez le point d’insertion dans la cellule à fractionner, ou sélectionnez une ligne, une colonne ou un bloc de

2 Choisissez Tableau > Scinder la cellule dans le sens vertical ou Scinder la cellule dans le sens horizontal.

Si toutefois vous définissez une hauteur de ligne fixe et ajoutez du texte ou des graphiques trop larges par rapport à la cellule, un petit point rouge apparaît dans l’angle inférieur droit de la cellule pour signaler un excédent de texte.

Il est impossible de répartir du texte en excès dans une autre cellule. Il vous faut donc éditer ou redimensionner le contenu ou élargir la cellule ou le bloc de texte qui reçoit le tableau. S’il s’agit d’une image texte ou d’un texte à interligne fixe, il est impossible de faire déborder le contenu de la cellule de son contour. S’il y a lieu, sélectionnez l’option Ecrêter le contenu selon la cellule pour rogner le texte ou l’image texte en excès à la bordure de la cellule. Toutefois, si des images texte sont en excès et s’étendent au-delà des bords inférieurs des cellules (tableaux horizontaux), cette opération ne s’applique pas.

Pour afficher le contenu d’une cellule en excès

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Agrandissez la cellule.

• Modifiez la mise en forme du texte. Pour sélectionner le contenu de la cellule, cliquez sur la cellule en excès, appuyez sur la touche Echap, puis mettez le texte en forme avec les options du panneau Contrôle.

Pour écrêter une image d’une cellule

Si une image est trop grande pour une cellule, elle s’étend au-delà des bords de la cellule. Vous pouvez écrêter les parties de l’image qui s’étendent au-delà de la bordure. 1 Placez le point d’insertion dans la cellule à rogner ou sélectionnez la ou les cellules sur lesquelles l’écrêtage agira. 2 Choisissez Tableau > Options de cellules > Texte. 3 Sélectionnez l’option Ecrêter le contenu selon la cellule, puis cliquez sur le bouton OK.

Contours et fond des tableaux

A propos des contours et du fond des tableaux Il existe plusieurs façons d’ajouter des contours et un fond aux tableaux. Utilisez la boîte de dialogue Options de tableau pour modifier le contour de la bordure d’un tableau et ajouter des fonds et des contours alternés aux colonnes et aux lignes. La boîte de dialogue Options de cellule ou les panneaux Nuancier, Contour et Couleur sont à votre disposition pour modifier le contour et le fond de cellules individuelles ou de cellules d’en-têtes et de pieds de tableau. Par défaut, la mise en forme définie dans la boîte de dialogue Options de tableau prévaut sur toute mise en forme précédemment appliquée aux cellules du tableau. Si toutefois vous sélectionnez l’option Conserver la mise en forme locale dans la boîte de dialogue Options de tableau, les contours et les fonds appliqués individuellement aux cellules sont conservés. Pour appliquer la même mise en forme à plusieurs tableaux ou cellules, vous pouvez créer et appliquer des styles de tableau et de cellule.

« Styles de tableau et de cellule » à la page 334

Dernière mise à jour le 18/5/2011

(voir la section « Options de contour et de fond de tableau » à la page 332). 3 Dans l’option Ordre de dessin des contours, sélectionnez l’un des ordres de tracé suivants : Meilleurs sommets Cette option permet d’afficher les contours des lignes au premier plan là où les contours de différentes couleurs se croisent. En outre, lorsque des contours tels que des doubles lignes se croisent, ils sont joints et les points de croisement sont raccordés. Contours de ligne au premier plan Cette option permet de faire apparaître les contours de ligne au premier plan. Contours de colonne au premier plan Cette option permet de faire apparaître les contours de colonne au premier plan. Compatibilité avec InDesign 2.0 Cette option permet de faire apparaître les contours de ligne au premier plan. En

outre, lorsque des contours tels que des doubles lignes se croisent, ils sont joints et les points de croisement sont raccordés uniquement là où les contours se croisent en T.

4 Si vous souhaitez conserver la mise en forme individuelle des cellules, sélectionnez Conserver la mise en forme

Si vous supprimez le contour et le fond d’un tableau, choisissez la commande Affichage > Extras > Afficher les contours du bloc pour afficher les délimitations des cellules du tableau.

Application d’un contour et d’un fond à des cellules

La boîte de dialogue Options de cellules ainsi que les panneaux Contour ou Nuancier vous permettent d’appliquer un contour et un fond à des cellules.

Pour appliquer un contour et un fond à l’aide de la boîte de dialogue Options de cellules

Déterminez les lignes de cellules à mettre en forme avec un contour ou un fond en sélectionnant ou en désélectionnant des lignes dans la zone d’aperçu. Pour modifier l’aspect de toutes les lignes ou colonnes du tableau, utilisez une alternance de motifs de contours ou de fonds en choisissant 0 pour le second motif. 1 A l’aide de l’outil Texte

, placez le point d’insertion sur la ou les cellules concernées ou sélectionnez-les. Pour appliquer un contour ou un fond à des rangées d’en-tête ou de pied de tableau, sélectionnez les cellules correspondantes au début du tableau.

2 Choisissez la commande Tableau > Options de cellule > Contours et fonds.

3 Dans la zone d’aperçu, spécifiez les lignes sur lesquelles les modifications de contour doivent porter. Si, par

exemple, vous voulez ajouter un contour épais aux lignes extérieures (mais pas intérieures) des cellules sélectionnées, cliquez sur une ligne intérieure pour la désélectionner (les lignes sélectionnées sont bleues et les lignes désélectionnées sont grises).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

4 Dans la section Contour de cellule, spécifiez les paramètres d’épaisseur, de type, de couleur, de teinte et

d’espacement (voir la section « Options de contour et de fond de tableau » à la page 332).

5 Dans la section Fond de cellule, spécifiez la couleur et la teinte qui vous conviennent. 6 S’il y a lieu, sélectionnez Surimpression du contour et Surimpression du fond, puis cliquez sur OK.

Pour appliquer un contour à des cellules à l’aide du panneau Contour

1 Sélectionnez la ou les cellules appropriées. Pour appliquer un contour à des cellules d’en-tête ou de pied de tableau,

sélectionnez la rangée correspondante.

2 Choisissez Fenêtre > Contour pour afficher le panneau Contour. 3 Dans la zone d’aperçu, spécifiez les lignes sur lesquelles les modifications de contour doivent porter. 4 Dans le panneau Outils, assurez-vous que le bouton Objet

est sélectionné. Si le bouton Texte les modifications du contour agiront sur le texte et non sur les cellules.

5 Spécifiez une épaisseur et un type de contour.

Pour appliquer un fond à des cellules à l’aide du panneau Nuancier

1 Sélectionnez la ou les cellules appropriées. Pour appliquer un fond à des cellules d’en-tête ou de pied de tableau,

sélectionnez la rangée correspondante.

2 Choisissez la commande Fenêtre > Couleur > Nuancier pour afficher le panneau Nuancier. 3 Assurez-vous que le bouton Objet

est sélectionné. Si le bouton Texte contour agiront sur le texte et non sur les cellules.

est sélectionné, les modifications du

4 Sélectionnez une nuance.

Pour appliquer un dégradé à des cellules à l’aide du panneau Dégradé

1 Sélectionnez les cellules que vous souhaitez mettre en forme. Pour appliquer un dégradé à des cellules d’en-tête ou

de pied de tableau, sélectionnez la rangée correspondante.

2 Choisissez la commande Fenêtre > Couleur > Dégradé pour afficher le panneau Dégradé. 3 Cliquez sur Gamme des dégradés pour appliquer un dégradé aux cellules sélectionnées. Ajustez les paramètres de

dégradé si besoin.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

, placez le point d’insertion sur la ou les cellules dans lesquelles vous souhaitez ajouter des traits diagonaux, ou sélectionnez-les.

2 Choisissez Tableau > Options de cellules > Traits diagonaux.

3 Cliquez sur le bouton correspondant au type de diagonale à ajouter. 4 Dans la section Contour, spécifiez les paramètres d’épaisseur, de type, de couleur et d’espacement ; spécifiez un

pourcentage de teinte ainsi que les options de surimpression.

5 Dans le menu Tracer, choisissez l’option Diagonales au premier plan pour placer toute ligne diagonale devant le

contenu de la cellule ; choisissez la commande Contenu au premier plan pour placer toute ligne diagonale derrière le contenu de la cellule, puis cliquez sur le bouton OK.

Options de contour et de fond de tableau

Lors de la sélection de contours et de fonds pour un tableau ou des cellules, vous avez le choix parmi les options suivantes : Epaisseur Définit l’épaisseur du tracé de la bordure de la cellule ou du tableau. Type Indique le style de tracé, par exemple Epais - Fin. Couleur Définit la couleur du tracé de la bordure de la cellule ou du tableau. Les options répertoriées sont identiques à celles du panneau Nuancier. Teinte Indique le coefficient d’encre de la couleur spécifiée à appliquer au contour ou au fond. Couleur d’espace Applique une couleur aux espaces entre les tirets, les pointillés ou les lignes. Cette option n’est pas disponible si le type Continu est sélectionné. Teinte d’espace Applique une teinte aux espaces entre les tirets, les pointillés ou les lignes. Cette option n’est pas

disponible si le type Continu est sélectionné.

Surimpression L’encre spécifiée dans le menu déroulant Couleur est appliquée par-dessus toutes les couleurs sous-

jacentes ; ces encres ne sont donc pas masquées.

Contours et fonds alternés dans un tableau

Vous pouvez alterner les contours et les fonds pour rendre un tableau plus lisible ou améliorer son aspect. Les contours et les fonds alternés des lignes de tableau n’ont pas d’incidence sur les lignes d’en-tête et de pied de tableau. L’application de contours et de fonds alternés à des colonnes affecte néanmoins les lignes d’en-tête et de pied de tableau. Les paramètres de contour et de fond alternés prévalent sur la mise en forme du contour des cellules, à moins que vous ne sélectionniez l’option Conserver la mise en forme locale dans la boîte de dialogue Options de tableau. Si vous souhaitez appliquer un fond ou un contour à chaque cellule de corps du tableau et non pas seulement aux motifs alternés, vous pouvez quand même utiliser les paramètres de contour et de fond alternés pour créer des motifs non alternés. Pour créer un tel effet, spécifiez 0 pour Suivante.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Après avoir placé le point d’insertion à l’intérieur d’une cellule, choisissez la commande Tableau > Options de

tableau > Contours de ligne en alternance ou Contours de colonne en alternance.

2 Dans le menu Motif en alternance, sélectionnez le type de motif à utiliser. Sélectionnez Ligne personnalisée ou

Colonne personnalisée pour spécifier un motif, par exemple une colonne avec un trait noir épais suivie de trois colonnes avec des traits fins jaunes.

3 Dans la section En alternance, spécifiez les options de fond pour le premier motif ainsi que le suivant. Vous pouvez

ainsi ajouter un contour plein à la première colonne, puis un trait Epais - Fin à la colonne suivante de sorte qu’ils soient alternés. Spécifiez 0 pour Suivant afin que les contours affectent toutes les lignes et colonnes.

Remarque : dans les tableaux répartis sur plusieurs blocs, les contours et les fonds alternés des lignes ne reprennent pas au début des blocs supplémentaires de l’article (voir la section « Répartition de tableaux sur plusieurs blocs » à la page 326). 4 Sélectionnez Conserver la mise en forme locale si vous souhaitez conserver les contours mis en forme

précédemment appliqués au tableau.

5 Pour les options Ignorer la/les première(s) et Ignorer la/les dernière(s), spécifiez le nombre de lignes ou de colonnes

au début et à la fin du tableau auxquelles vous ne souhaitez pas appliquer les attributs de contour, puis cliquez sur OK.

Pour ajouter des fonds alternés à un tableau

1 Après avoir placé le point d’insertion à l’intérieur d’une cellule, choisissez la commande Tableau > Options de

tableau > Fonds en alternance.

2 Dans le menu Motif en alternance, sélectionnez le type de motif à utiliser. Sélectionnez Ligne personnalisée ou

Colonne personnalisée pour spécifier un motif, par exemple, une ligne estompée en gris suivie de trois lignes ombrées en jaune.

3 Dans la section En alternance, spécifiez les options de fond pour le premier motif ainsi que le suivant. Si, par

exemple, vous avez sélectionné le motif en alternance Toutes les deux colonnes, vous pouvez ombrer les deux premières colonnes en niveaux de gris et laisser les deux colonnes suivantes en noir. Spécifiez 0 pour Suivant afin que le fond affecte toutes les lignes.

4 Sélectionnez Conserver la mise en forme locale si vous souhaitez conserver les fonds mis en forme précédemment

appliqués au tableau.

5 Pour les options Ignorer la/les première(s) et Ignorer la/les dernière(s), spécifiez le nombre de lignes ou de colonnes

au début et à la fin du tableau auxquelles vous ne souhaitez pas appliquer les attributs de contour, puis cliquez sur OK.

Pour désactiver les contours et fonds alternés d’un tableau

1 Placez le point d’insertion dans le tableau.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Styles de tableau et de cellule A propos des styles de tableau et de cellule De même que vous avez recours aux styles de texte pour mettre en forme un texte, vous pouvez utiliser des styles de tableau et de cellule pour mettre en forme des tableaux en quelques instants. Un style de tableau rassemble tous les attributs de mise en forme de tableau, tels que les bordures de tableau ainsi que les contours de ligne et de colonne, applicables simultanément à un tableau. Un style de cellule comprend les attributs de mise en forme, comme les marges de cellule, les styles de paragraphe, les contours et les fonds. Lorsque vous modifiez un style, tous les tableaux ou les cellules auxquels ce style est appliqué sont mis à jour automatiquement. Remarque : il existe une différence significative entre les styles de texte et les styles de tableau. Contrairement aux attributs de style de caractère, qui peuvent faire partie d’un style de paragraphe, les attributs de style de cellule ne figurent pas dans le style de tableau. Par exemple, vous ne pouvez pas utiliser un style de tableau pour modifier la couleur de la bordure des cellules qui figurent à l’intérieur du tableau. Dans ce cas, vous devez créer un style de cellule et l’inclure dans le style de tableau. Styles [Tableau simple] et [Aucun] Par défaut, chaque nouveau document contient un style [Tableau simple] qui peut être appliqué aux tableaux que vous créez et un style [Aucun] qui peut être utilisé pour supprimer des styles de cellule appliqués aux cellules. Vous pouvez modifier le style [Tableau simple], mais vous ne pouvez ni renommer ni supprimer [Tableau simple] ou [Aucun]. Pour utiliser des styles de cellule dans les styles de tableau Lorsque vous créez un style de tableau, vous pouvez spécifier quels styles de cellule sont appliqués aux différentes régions du tableau : lignes d’en-tête et de pied, colonnes droite et gauche, et lignes de corps. Par exemple, pour la ligne d’en-tête, vous pouvez assigner un style de cellule qui applique un style de paragraphe, et pour les colonnes gauche et droite des cellules, vous pouvez assigner un style de cellule différent qui applique un fond ombré.

Attributs de style de cellule

Les styles de cellule n’incluent pas forcément tous les attributs de mise en forme d’une cellule sélectionnée. Lorsque vous créez un style de tableau, vous pouvez déterminer quels sont les attributs inclus. Ainsi, lorsqu’il est appliqué, le style de cellule modifie seulement certains attributs, tels que la couleur de fond de la cellule, et ignore tous les autres attributs de la cellule.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Priorité de style de cellule 1. En-tête/Pied 2. Colonne gauche/droite 3. Lignes de corps. Par exemple, si une cellule

apparaît à la fois dans la colonne d’en-tête et dans la colonne gauche, la mise en forme du style de la cellule d’en-tête est utilisée.

Priorité de style de tableau 1. Priorité de la cellule 2. Style de cellule 3. Styles de cellule appliqués à partir d’un style de

tableau 4. Priorité du tableau 5. Styles de tableau. Par exemple, si vous appliquez un fond à l’aide de la boîte de dialogue

Options de cellule, et un autre fond à l’aide du style de cellule, le fond de la boîte de dialogue Options de cellule est utilisé. Pour consulter un didacticiel vidéo sur l’utilisation des styles de tableau, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0084_fr.

Présentation des panneaux Styles de tableau et Styles de cellule

Utilisez le panneau Styles de tableau (Fenêtre > Styles > Styles de tableau) pour créer et nommer des styles de tableau, et les appliquer aux tableaux existants ou aux tableaux que vous créez ou importez. Utilisez le panneau Styles de cellule (Fenêtre > Styles > Styles de cellule) pour créer et nommer des styles de cellule, et les appliquer aux cellules de tableau. Les styles sont enregistrés avec un document et s’affichent dans le panneau à chaque ouverture de ce document. Vous pouvez enregistrer les styles de tableau et de cellule dans des groupes pour faciliter leur gestion. Lorsque vous placez le point d’insertion dans une cellule ou un tableau, chaque style appliqué est mis en surbrillance dans chacun des panneaux. Le nom de chaque style de cellule appliqué dans un style de tableau apparaît dans le coin inférieur gauche de la zone Styles de cellule. Si vous sélectionnez une plage de cellules contenant plusieurs styles, aucun style n’est mis en surbrillance et le panneau Styles de cellule indique « (Mixte) ».

Pour ouvrir le panneau Styles de tableau ou Styles de cellule

❖ Choisissez la commande Fenêtre > Styles, puis l’option Styles de tableau ou Styles de cellule.

Pour modifier l’affichage des styles dans le panneau

• Sélectionnez Petites rangées de panneau pour afficher une version condensée des styles. • Faites glisser le style vers un autre emplacement. Vous pouvez également faire glisser les styles vers des groupes que vous créez.

• Choisissez Tri par nom dans le menu du panneau pour répertorier les styles par ordre alphabétique.

Définition de styles de tableau et de cellule

Pour consulter un didacticiel vidéo sur l’utilisation des styles de tableau, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0084_fr. 1 Si vous voulez créer un style à partir de la mise en forme d’une cellule ou d’un tableau existant, placez le point

d’insertion dans une cellule.

2 Le cas échéant, définissez un style de paragraphe pour le style de cellule. 3 Choisissez la commande Fenêtre > Styles > Styles de tableau pour ouvrir le panneau Styles de tableau, ou la

commande Fenêtre > Styles > Styles de cellule pour ouvrir le panneau Styles de cellule.

4 Choisissez Nouveau style de tableau dans le menu du panneau Styles de paragraphe ou Nouveau style de cellule

dans le menu du panneau Styles de cellule.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

7 Pour ajouter un raccourci clavier, placez le point d’insertion dans la zone de texte Raccourci et assurez-vous que le

verrouillage numérique est activé. Maintenez une combinaison quelconque de touches Alt, Maj et Ctrl (Windows) ou Option, Maj et Commande (Mac OS) enfoncée, et appuyez sur un chiffre du pavé numérique. Vous ne pouvez pas utiliser de lettres ni de nombres hors du pavé numérique pour définir des raccourcis de style.

8 Pour définir les attributs de mise en forme, cliquez sur une catégorie à gauche, puis spécifiez les attributs souhaités.

Par exemple, pour assigner un style de paragraphe à un style de cellule, cliquez sur la catégorie Général, puis choisissez le style de paragraphe dans le menu Style de paragraphe.

Pour les styles de cellule, les options qui n’ont pas de paramètre spécifié sont ignorées dans le style. Si vous ne voulez qu’aucun paramètre ne soit défini dans le style, choisissez (Ignorer) dans le menu du paramètre, effacez le contenu du champ ou cliquez sur une case jusqu’à ce qu’une petite case (Windows) ou qu’un trait d’union (-) (Mac OS) s’affiche. 9 Si vous voulez que le nouveau style apparaisse dans un groupe de style que vous avez créé, faites-le glisser vers le

dossier du groupe de style.

« Regroupement de styles » à la page 236 Vidéo Utiliser des styles de tableaux

Chargement (importation) de styles de tableau depuis d’autres documents

Vous pouvez importer des styles de tableau et de cellule depuis un autre document InDesign vers le document actif. Pendant l’importation, vous pouvez définir les styles chargés et indiquer ce qui doit se passer lorsqu’un style chargé porte le même nom qu’un style du document actuel. Vous pouvez également importer des styles à partir d’un document InCopy. 1 Dans le menu du panneau Styles de cellule ou Styles de tableau, choisissez Charger les styles de cellule, Charger les

styles de tableau ou Charger des styles de tableau et de cellule.

2 Cliquez deux fois dans le document InDesign contenant les styles que vous voulez importer. 3 Dans la boîte de dialogue Charger des styles, assurez-vous qu’une coche apparaît en regard des styles à importer. Si

un style existant porte le même nom qu’un des styles importés, sélectionnez l’une des options suivantes sous la rubrique Conflit avec le style existant, puis cliquez sur OK :

Utiliser la définition du style importé Ecrase le style existant avec le style chargé et applique ses nouveaux attributs à toutes les cellules du document actuel qui utilisait l’ancien style. Les définitions des styles chargés et existants s’affichent au bas de la boîte de dialogue Charger des styles pour faciliter la comparaison. Renommer automatiquement Renomme le style chargé. Par exemple, si les deux documents ont un style nommé « Style tableau 1 », le style chargé est renommé « copie Style tableau 1 » dans le document actif.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Dans le panneau Styles, un signe plus (+) apparaît en regard du style de cellule ou de tableau actif si la cellule ou le tableau sélectionné dispose d’une mise en forme supplémentaire qui ne fait pas partie du style appliqué. Ce type de mise en forme complémentaire est appelé remplacement. 1 Placez le point d’insertion dans un tableau ou sélectionnez les cellules auxquelles vous voulez appliquer le style. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez sur le style de tableau ou de cellule dans le panneau Styles de tableau ou Styles de cellule (Fenêtre > Styles >

Styles de tableau ou Styles de cellule). Si le style fait partie d’un groupe de style, développez le groupe de style pour localiser le style.

• Appuyez sur la touche de raccourci que vous avez définie pour le style. Vérifiez que la touche Verr num est activée.

« Utilisation de la commande Application rapide » à la page 262

Dépendance entre styles de tableau ou de cellule

Vous pouvez établir des liens entre des styles similaires de tableau ou de cellule en créant un style de base, appelé style parent. Lorsque vous modifiez le style parent, tous les attributs modifiés apparaissant dans les styles enfant sont également modifiés. Par défaut, les styles de tableau reposent sur [Aucun style de tableau] et les styles de cellule reposent sur [Aucun]. 1 Créez un nouveau style. 2 Dans le menu déroulant D’après de la boîte de dialogue Nouveau style de tableau ou Nouveau style de cellule,

sélectionnez le style parent. Le nouveau style devient le style enfant.

3 Spécifiez la mise en forme pour le nouveau style pour le distinguer du style parent.

« Duplication des styles ou des groupes de styles » à la page 235

Modification de styles de tableau et de cellule

L’utilisation des styles offre entre autres l’avantage suivant : lorsque vous modifiez un style, l’ensemble des tableaux et des cellules mis en forme selon ce style change également afin de correspondre aux nouveaux critères définis. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour ne pas appliquer le style à la cellule ou au tableau sélectionné, cliquez avec le bouton droit de la souris

(Windows) ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) sur le nom du style dans le panneau Styles, puis choisissez la commande Modifier [nom de style].

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Suppression de styles de tableau et de cellule Lorsque vous supprimez un style, vous pouvez sélectionner un style différent pour le remplacer et vous pouvez choisir de conserver la mise en forme. 1 Dans le panneau Styles, sélectionnez le style souhaité. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez Supprimer le style dans le menu du panneau.

• Cliquez sur l’icône de suppression

située au bas du panneau ou faites glisser le style vers cette icône.

• Cliquez sur le style avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée

(Mac OS), puis choisissez Supprimer le style. Cette méthode est particulièrement utile pour supprimer un style sans l’appliquer à la cellule ou au tableau sélectionné. 3 Sélectionnez le style à remplacer.

Si vous sélectionnez [Aucun style de tableau] pour remplacer un style de tableau ou [Aucun] pour remplacer un style de cellule, choisissez Conserver la mise en forme pour garder la mise en forme du tableau (ou de la cellule) auquel le style est appliqué. Le tableau ou la cellule conserve sa mise en forme mais n’est plus associé à aucun style.

Redéfinition de styles de tableau et de cellule en fonction de la mise en forme actuelle

Après avoir appliqué le style, vous pouvez remplacer tous les paramètres définis. Si vous décidez de conserver les modifications, vous pouvez redéfinir le style pour conserver la nouvelle mise en forme. 1 Placez le point d’insertion dans le tableau (ou la cellule) mis en forme avec le style que vous voulez redéfinir. 2 Apportez vos modifications au tableau (ou à la cellule) comme vous le souhaitez. 3 Dans le menu du panneau Styles, choisissez Redéfinir le style.

Remarque : pour les styles de cellule, les modifications apportées aux seuls attributs faisant partie du style de cellule auront pour effet d’activer la commande Redéfinir le style. Par exemple, si le style de cellule inclut un fond rouge et que vous remplacez une cellule pour utiliser un fond bleu, vous pouvez redéfinir le style sur la base de cette cellule. En revanche, si vous modifiez un attribut qui est ignoré dans le style de cellule, vous ne pouvez pas redéfinir le style avec cet attribut.

Substitution de styles de tableau et de cellule

Après avoir appliqué un style de tableau ou de cellule, vous pouvez remplacer tous les paramètres définis. Pour remplacer un style de tableau, vous pouvez modifier des options dans la boîte de dialogue Options de tableau. Pour remplacer une cellule, vous pouvez modifier les options dans la boîte de dialogue Options de cellule ou utiliser d’autres panneaux pour modifier le contour ou le fond. Si vous sélectionnez un tableau ou une cellule avec un remplacement, un signe plus (+) s’affiche en regard du style dans le panneau Styles.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour conserver ou supprimer des substitutions lors de l’application d’un style de tableau • Pour appliquer un style de tableau et préserver les styles de cellule, tout en supprimant les remplacements, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée lorsque vous cliquez sur le style dans le panneau Styles de tableau.

• Pour appliquer un style de tableau et supprimer les styles de tableau ainsi que les remplacements, maintenez les touches Alt+Maj (Windows) ou Option+Maj (Mac OS) enfoncées lorsque vous cliquez sur le style dans le panneau

Styles de tableau. Cliquez avec le bouton droit de la souris (Windows) ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) sur le style dans le panneau Styles de tableau, puis choisissez Appliquer [style de tableau], puis Effacer les styles de cellule pour appliquer un style et effacer les styles de cellule.

Pour supprimer des substitutions lors de l’application d’un style de cellule

❖ Pour appliquer un style de cellule et supprimer les remplacements, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option

(Mac OS) enfoncée lorsque vous cliquez sur le nom du style dans le panneau Styles de cellule.

Remarque : seuls les attributs qui font partie du style de cellule sont considérés comme des remplacements. Par exemple, si le style de cellule inclut un fond rouge et si tous les autres attributs sont ignorés, la modification d’une option de cellule n’est pas considérée comme un remplacement.

Pour effacer les attributs non définis par un style de cellule

❖ Choisissez l’option Effacer les attributs non définis par le style dans le menu du panneau Styles de cellule.

Pour annuler des substitutions de tableau ou de cellule

1 Sélectionnez le tableau ou les cellules contenant les remplacements. 2 Dans le panneau Styles, cliquez sur l’icône Effacer les remplacements dans la sélection

ou choisissez Effacer les

remplacements dans le menu du panneau Styles.

Suppression du lien avec les styles de tableau ou de cellule

Lorsque vous rompez le lien entre les tableaux (ou les cellules) et le style qui leur est appliqué, les tableaux (ou cellules) conservent leur mise en forme actuelle. Toutefois, les modifications ultérieures de ce style ne les affecteront pas. 1 Sélectionnez les cellules auxquelles le style a été appliqué. 2 Dans le menu du panneau Styles, choisissez Annuler le lien au style.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

éléments. Vous pouvez numéroter en séquence les pages des documents d’un livre, imprimer des documents sélectionnés dans le livre ou les exporter au format PDF. Un même document peut appartenir à plusieurs livres. L’un des documents ajoutés à un livre est la source des styles. Par défaut, ce fichier est le premier fichier du livre, mais vous pouvez sélectionner une autre source des styles à tout moment. Lorsque vous synchronisez les documents d’un livre, les styles et les nuanciers spécifiés dans la source des styles remplacent les styles et les nuanciers présents dans les autres documents du livre. Michael Murphy propose sur Book Basics un didacticiel vidéo consacré à la création de livres. 1 Sélectionnez Fichier > Nouveau > Livre. 2 Attribuez un nom au livre, spécifiez un emplacement, puis cliquez sur Enregistrer.

Le panneau Livre s’affiche. Un fichier livre porte l’extension .indb.

3 Ajoutez des documents au livre.

« Synchronisation des documents d’un livre » à la page 342

Ajout de documents à un livre

Lorsque vous créez un livre, le panneau Livre s’affiche. Le panneau Livre correspond à l’espace de travail d’un livre : vous pouvez y ajouter, supprimer ou réorganiser des documents. 1 Sélectionnez Ajouter un document dans le menu du panneau Livre ou cliquez sur le bouton Plus

2 Sélectionnez les documents Adobe InDesign à ajouter, puis cliquez sur Ouvrir.

Vous pouvez faire glisser et déposer des fichiers dans le panneau Livre à partir de la fenêtre de l’explorateur (Windows) ou du Finder (Mac OS), ou bien faire glisser un document d’un livre dans un autre. Maintenez la touche Alt

(Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée pour copier le document. 3 Si vous avez inclus des documents créés à l’aide de versions antérieures d’InDesign, ceux-ci sont convertis au format

Adobe InDesign CS5 lorsqu’ils sont ajoutés au livre. Dans la boîte de dialogue Enregistrer sous, spécifiez un nouveau nom pour le livre converti (ou laissez-le inchangé), puis cliquez sur Enregistrer.

Remarque : toutefois, vous devez convertir les documents Adobe PageMaker et QuarkXPress avant de les ajouter au livre. 4 Au besoin, modifiez l’ordre des documents du panneau en les faisant glisser vers le haut ou vers le bas de la liste. 5 Pour choisir un document comme source des styles, cochez la case en regard du nom du document dans le panneau.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Les icônes du panneau Livre indiquent l’état du document actif, par exemple ouvert , manquant (le document a été déplacé, renommé ou supprimé), modifié (le document a été modifié ou ses numéros de page ou de section ont changé lors de la fermeture du livre), ou en cours d’utilisation (si une autre personne consulte le document dans le cadre d’un flux de production géré). Les documents fermés ne sont pas signalés par une icône. Pour afficher le chemin d’accès d’un document du livre, placez le pointeur de la souris sur le nom du document jusqu’à ce qu’une info-bulle s’affiche. Vous pouvez également choisir Informations sur le document dans le menu du panneau Livre.

« Création d’un livre » à la page 340 Les livres sont des fichiers indépendants des fichiers de document. Ainsi, si vous sélectionnez la commande Enregistrer le livre, InDesign enregistre les modifications apportées au livre et non les documents du livre. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour enregistrer un livre sous un autre nom, sélectionnez la commande Enregistrer le livre sous dans le menu du panneau Livre, indiquez un emplacement et un nom de fichier, puis cliquez sur Enregistrer.

• Pour enregistrer un livre sous son nom existant, sélectionnez la commande Enregistrer le livre dans le menu du panneau Livre ou cliquez sur le bouton Enregistrer

situé au bas du panneau Livre.

Remarque : si vous partagez des livres au moyen d’un serveur, assurez-vous que vous disposez d’un système de gestion des fichiers pour éviter d’écraser accidentellement les modifications effectuées par les autres utilisateurs.

Pour fermer un livre

• Pour fermer un seul livre, sélectionnez Fermer le livre dans le menu du panneau Livre. • Pour fermer tous les livres ouverts et ancrés sur le même panneau, cliquez sur le bouton de fermeture de la barre de titre du panneau Livre.

Pour supprimer des documents d’un livre

1 Sélectionnez le document dans le panneau Livre. 2 Sélectionnez la commande Supprimer le document dans le menu du panneau Livre.

Lorsque vous supprimez un document du livre, vous ne supprimez pas le fichier sur le disque ; le document est supprimé dans le livre uniquement.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Sélectionnez le document dans le panneau Livre. 2 Sélectionnez la commande Remplacer le document dans le menu du panneau, recherchez le nouveau document,

puis cliquez sur Ouvrir.

Pour ouvrir un livre dans l’Explorateur ou dans le Finder

1 Dans le panneau Livre, sélectionnez un document. 2 Dans le menu du panneau Livre, choisissez la commande Faire apparaître dans l’Explorateur (Windows) ou Faire

apparaître dans le Finder (Mac OS).

Le fichier sélectionné s’affiche dans une fenêtre de navigateur.

Synchronisation des documents d’un livre

Lorsque vous synchronisez des documents dans un livre, les éléments que vous spécifiez (styles, variables, gabarits, recouvrements prédéfinis, formats de références croisées, paramètres de texte conditionnel, listes de numérotation et nuanciers) sont copiés de la source des styles vers les documents spécifiés dans le livre, en remplaçant tous les éléments dont les noms sont identiques. Si les éléments de la source des styles ne sont pas présents dans les documents en cours de synchronisation, ils seront ajoutés. Les éléments qui ne sont pas inclus dans la source des styles sont laissés en l’état dans les documents en cours de synchronisation. Pour consulter un didacticiel vidéo sur la synchronisation des documents dans un livre, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0216_fr.

Vidéo Synchroniser les pages maîtresses

Pour sélectionner les éléments à synchroniser

1 Sélectionnez la commande Options de synchronisation dans le menu du panneau Livre. 2 Sélectionnez les éléments que vous voulez copier de la source des styles vers les autres documents du livre.

Assurez-vous de sélectionner tous les styles inclus dans la définition d’autres styles. Par exemple, un style d’objet peut contenir des styles de paragraphe et de caractère qui, à leur tour, comprennent des nuanciers.

3 Sélectionnez l’option Correspondance intelligente des groupes de styles pour éviter la duplication de styles ayant

un nom unique qui ont été déplacés à l’intérieur ou à l’extérieur d’un groupe de styles.

Supposons que la source des styles comprenne un style de caractère dans un groupe de styles et que les documents à synchroniser comprennent ce même style de caractère hors du groupe de styles. Si cette option est sélectionnée, le style de caractère est placé dans le groupe de styles dans les documents synchronisés. En revanche, si vous ne sélectionnez pas cette option, une seconde instance du style de caractère est créée dans le groupe de styles avec les options correspondant à la source. Le style de caractère situé hors du groupe de styles reste inchangé. Remarque : si un document contient plusieurs styles portant le même nom (par exemple, Style de caractère 1 dans un groupe de styles et Style de caractère 1 hors d’un groupe), InDesign ignore cette option et considère qu’elle n’est pas sélectionnée. Pour éviter les surprises, pensez toujours à donner des noms uniques aux styles que vous créez. 4 Cliquez sur OK.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Dans le panneau Livre, activez la case vide en regard du document que vous avez choisi comme source des styles :

l’icône de source des styles

indique le document utilisé comme source.

Source des styles sélectionnée

3 Dans le panneau Livre, sélectionnez les documents à synchroniser avec le document de source des styles. Si aucun

document n’est sélectionné, le livre entier sera synchronisé.

Pour vérifier qu’aucun document n’est sélectionné, cliquez dans la zone grise vide en dessous des documents de livre (faites défiler ou redimensionnez le panneau Livre si nécessaire). Vous pouvez également maintenir la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée et cliquer sur un document sélectionné pour le désélectionner. 4 Choisissez Synchroniser les documents sélectionnés ou Synchroniser le livre dans le menu du panneau Livre, ou

cliquez sur le bouton Synchroniser

situé au bas du panneau Livre.

Remarque : la commande Edition > Annuler annule les modifications uniquement dans les documents ouverts au moment de la synchronisation.

Pour synchroniser les gabarits

Les gabarits sont synchronisés à la manière d’autres éléments : les gabarits qui portent le même nom (A-Gabarit par ex.) que ceux de la source des styles sont remplacés. La synchronisation des gabarits s’avère utile pour les documents qui font appel aux mêmes éléments de composition (en-têtes et pieds de page continus, par exemple). Cependant, si vous voulez préserver des éléments de page sur un gabarit de document autre que la source des styles, ne synchronisez pas les gabarits ou créez des gabarits avec des noms différents. Les éléments de gabarit qui sont remplacés sur les pages de document après la première synchronisation des gabarits sont détachés du reste du document. Ainsi, si vous voulez synchroniser les gabarits de votre livre, il est conseillé de synchroniser l’ensemble des documents du livre au début du processus de composition. De la sorte, les éléments remplacés conservent leur lien avec le gabarit et continueront d’être mis à jour à chaque modification des éléments du gabarit dans la source des styles. Il est également conseillé de synchroniser les gabarits à l’aide d’une seule source de styles. Si vous effectuez la synchronisation à partir d’une source de styles différente, les éléments remplacés du gabarit risquent d’être dissociés du reste du document. Pour synchroniser à l’aide d’une source de styles différente, désélectionnez d’abord l’option Gabarits dans la boîte de dialogue Options de synchronisation.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Lorsque vous synchronisez, mettez à jour la numérotation, imprimez, assemblez ou exportez un livre converti, les documents qu’il contient sont également convertis au format InDesign CS5. Vous pouvez choisir de remplacer ou de conserver les documents d’origine.

Pour convertir un livre au format InDesign CS5

1 Dans InDesign CS5, choisissez Fichier > Ouvrir. 2 Sélectionnez le livre créé dans une version antérieure d’InDesign et cliquez sur OK.

Un message d’avertissement s’affiche si le livre contient des documents enregistrés dans un format InDesign antérieur.

3 Sélectionnez la commande Enregistrer le livre sous dans le menu du panneau Livre. Spécifiez un nouveau nom de

fichier pour le livre converti, puis cliquez sur Enregistrer.

Pour convertir les documents d’un livre

1 Ouvrez le livre dans InDesign CS5. 2 Dans le menu du panneau Livre :

• Pour remplacer automatiquement les documents d’origine lors de la conversion, sélectionnez Conversion automatique des documents.

• Pour conserver les documents d’origine et enregistrer les documents convertis sous un nouveau nom, désélectionnez l’option Conversion automatique des documents. La liste de livres affiche alors les fichiers convertis et non plus les originaux.

3 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour convertir les documents :

• Sélectionnez Synchroniser Livre dans le menu du panneau Livre (voir la section « Synchronisation des documents d’un livre » à la page 342).

• Dans le panneau Livre, choisissez Mettre à jour la numérotation > Mettre à jour tous les numéros.

4 Si l’option Conversion automatique des documents n’est pas sélectionnée, InDesign vous invite à enregistrer

chaque document converti avec un nom différent.

Remarque : les documents sont également convertis lorsque vous imprimez ou exportez le livre dans Adobe PDF.

Numérotation des pages, chapitres et paragraphes d’un livre

Vous pouvez définir la numérotation des pages, chapitres et paragraphes d’un livre. Dans un livre, les styles de numérotation et les numéros de début des pages et chapitres dépendent des paramètres définis pour chaque document dans la boîte de dialogue Options de numérotation et de section ou Options de numérotation du document. Pour accéder à l’une de ces boîtes de dialogue, choisissez la commande Page > Options de numérotation et de section dans le document ou la commande Options de numérotation du document dans le menu du panneau Livre. Pour plus d’informations sur la numérotation des pages d’un document, reportez-vous à la section « Numérotation de base des pages » à la page 91. Dans le cas des paragraphes numérotés (tels que les listes d’illustrations), la numérotation dépend de la définition des styles de liste numérotée incluse dans le style de paragraphe.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

à jour la numérotation des pages et des sections dans le panneau Livre lorsque vous ajoutez ou supprimez des pages de documents ou lorsque vous modifiez un livre en réorganisant des pages ou en ajoutant ou supprimant des documents. Si vous désactivez le paramètre de mise à jour automatique des numéros de pages et de sections, vous pouvez mettre à jour manuellement la numérotation d’un livre. Si la numérotation semble incorrecte suite à la mise à jour du livre, ceci peut être dû au fait que les numéros absolus, et non les numéros de section, sont affichés dans les préférences générales (voir la section « Pour afficher une numérotation absolue ou par section dans le panneau Pages » à la page 95). Si un document est manquant ou ne peut pas être ouvert, l’étendue des pages affiche un signe « ? » de l’emplacement du document manquant jusqu’à la fin du livre pour indiquer que la véritable étendue des pages n’est pas connue. Supprimez ou remplacez le document manquant avant de mettre à jour la numérotation. Si un utilisateur consulte le document sur un autre ordinateur dans le cadre d’un flux de production géré, l’icône de document en cours d’utilisation s’affiche : l’autre utilisateur doit alors fermer le document pour vous permettre de mettre à jour la numérotation. Pour consulter un didacticiel vidéo sur la numérotation des pages d’un livre, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0217_fr.

« Numérotation de base des pages » à la page 91 « Création d’un style de paragraphe pour les listes continues » à la page 304 Vidéo Définir la pagination

Pour modifier les options de numérotation des pages et des chapitres pour chaque document

1 Sélectionnez le document dans le panneau Livre. 2 Choisissez Options de numérotation du document dans le menu du panneau Livre ou cliquez deux fois sur les

numéros de page du document dans le panneau Livre.

3 Spécifiez les options de numérotation de pages, sections et chapitres (voir la section « Options de numérotation de

document » à la page 95).

Remarque : si vous spécifiez un numéro pour la page de début du document d’un livre au lieu de sélectionner

Numérotation automatique des pages, le document du livre commencera à la page spécifiée et tous les documents suivants du livre seront renumérotés en conséquence.

Pour commencer la numérotation sur une page paire ou impaire

Vous pouvez commencer la numérotation d’un document de livre sur une page paire ou impaire. 1 Sélectionnez la commande Options de numérotation des pages du livre dans le menu du panneau Livre. 2 Sélectionnez A la suite de la page paire suivante ou A la suite de la page impaire suivante. 3 Sélectionnez Insérer une page blanche pour ajouter une page vide à la fin d’un document suivi d’un autre document

dont la numérotation doit commencer sur une page paire ou impaire. Cliquez ensuite sur OK.

Pour désactiver la numérotation automatique des pages d’un livre

1 Sélectionnez la commande Options de numérotation des pages du livre dans le menu du panneau Livre.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

tous les numéros dans le menu du panneau Livre. Vous pouvez également choisir de mettre à jour uniquement les numéros de page et de section ou les numéros de chapitre et de paragraphe.

Pour utiliser la numérotation séquentielle des paragraphes d’un livre

Pour utiliser la numérotation séquentielle des paragraphes pour les listes d’illustration, les tableaux ou d’autres éléments, vous devez d’abord définir une liste numérotée à utiliser dans un style de paragraphe. La liste numérotée que vous définissez détermine si les paragraphes doivent conserver une numérotation séquentielle dans tous les documents d’un livre. 1 Ouvrez le document utilisé comme source des styles du livre. 2 Choisissez la commande Texte > Listes à puces et numérotées > Définir des listes. 3 Cliquez sur Nouveau pour définir une liste ou sélectionnez une liste existante et choisissez Modifier. 4 Sélectionnez les deux options Continuer la numérotation au fil des articles et Continuer la numérotation du

document précédent du livre.

5 Cliquez sur OK. 6 Définissez un style de paragraphe utilisant la liste numérotée et appliquez-le au texte de chaque document

contenant la liste (voir la section « Création d’un style de paragraphe pour les listes continues » à la page 304).

Pour vous assurer que le même paramètre de liste numérotée est utilisé dans tous les documents du livre, sélectionnez les options Styles de paragraphe et Listes numérotées de la boîte de dialogue Options de synchronisation, puis synchronisez le livre.

Impression d’un livre

L’un des avantages de la fonction de livre est que vous pouvez utiliser une seule commande pour la sortie des documents sélectionnés ou du livre entier (pour imprimer, réaliser un contrôle en amont, assembler ou exporter au format EPUB ou PDF). 1 Dans le panneau Livre, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour imprimer des documents spécifiques, sélectionnez les documents souhaités.

• Pour imprimer un livre entier, assurez-vous qu’aucun document n’est sélectionné. 2 Sélectionnez une commande de sortie, telle que Imprimer Livre ou Documents sélectionnés, dans le menu du

« Exportation au format PDF pour l’impression » à la page 548

« Création de documents interactifs pour PDF » à la page 582

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Une table des matières peut répertorier le contenu d’un livre, d’un magazine ou d’une autre publication, afficher la liste des illustrations, des annonceurs publicitaires ou des crédits photo, ou encore inclure des informations destinées à faciliter la recherche dans un document ou un livre. Un document peut contenir plusieurs tables des matières, par exemple, la liste des chapitres et la liste des illustrations. Chaque table des matières constitue un article séparé, comprenant un titre et une liste d’entrées, classées par numéro de page ou par ordre alphabétique. Entrées et numéros de page sont directement extraits du document et peuvent être mis à jour à tout moment, même sur plusieurs documents à la fois. La création d’une table des matières comprend trois grandes étapes. Dans un premier temps, créez et appliquez les styles de paragraphe à utiliser dans la table des matières. Ensuite, spécifiez les styles à utiliser dans la table des matières et la mise en forme de votre choix. Enfin, placez la table des matières dans le document. Les entrées de la table des matières peuvent être ajoutées automatiquement au panneau Signets pour les documents exportés au format Adobe PDF. Pour consulter un didacticiel vidéo sur la création d’une table des matières, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0219_fr. Conseils pour la planification d’une table des matières Prenez en compte les points suivants lors de la planification d’une table des matières :

• Certaines tables des matières contiennent des éléments qui n’apparaissent pas dans le document, par exemple, la liste des annonceurs publicitaires d’un magazine. Pour ce faire, entrez le contenu sur un calque masqué et incluezle quand vous générez la table des matières.

• Vous pouvez charger des styles de table des matières d’autres livres ou documents afin d’en conserver les paramètres et la mise en forme. Vous devrez peut-être éditer un style de table des matières importé si les noms des styles de paragraphe du document ne correspondent pas à ceux du document source.

• Vous pouvez créer des styles de paragraphe pour le titre et les entrées de la table des matières, y compris des taquets et des points de conduite de tabulation, et les appliquer quand vous générez la table des matières.

• Vous pouvez créer des styles de caractères pour mettre en forme les numéros de page et les caractères qui les séparent des entrées. Par exemple, si vous voulez des numéros de page en gras, vous devez créer un style de caractère avec l’attribut gras et sélectionner ce style lorsque vous créez la table des matières.

Vidéo Créer une table des matières

Création de tables des matières dans les livres

Pour un résultat optimal, veillez à respecter les points suivants avant de créer une table des matières pour un livre :

• Avant de créer la table des matières, vérifiez que la liste des documents du livre est complète, que tous les documents apparaissent dans l’ordre correct et que les titres comportent les styles de paragraphes de mise en forme appropriés.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Si les styles recherchés n’apparaissent pas dans les menus déroulants de la boîte de dialogue Table des matières, vous devrez synchroniser le livre pour copier les styles vers le document contenant la table des matières.

• Si la table des matières doit comporter des entrées numérotées (par exemple, 1-1, 1-3, etc.), utilisez de préférence la numérotation de section et non la numérotation de chapitre. En effet, les préfixes numérotés des sections peuvent figurer dans une table des matières.

« Synchronisation des documents d’un livre » à la page 342

Lorsque vous générez la table des matières, vous pouvez également utiliser les styles de paragraphe et de caractère pour définir sa mise en forme.

Table des matières sans style de paragraphe (à gauche) et avec styles de paragraphe appliqués aux entrées (à droite)

Si les paragraphes à inclure dans la table des matières apparaissent sur la même page dans des articles différents, l’ordre dans lequel ils apparaissent dans la table des matières est fonction de leur position sur la page.

1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Si vous créez une table des matières pour un seul document, vous devrez ajouter une page au début du document.

• Si vous créez une table des matières pour plusieurs documents d’un livre, créez ou ouvrez le document à utiliser pour la table des matières, insérez ce document dans le livre, puis ouvrez le livre. 2 Sélectionnez Page > Table des matières.

Si vous avez défini un style dont les paramètres sont adaptés à votre table des matières, vous pouvez le choisir dans le menu Style de table des matières.

3 Dans la zone de titre, indiquez un titre pour votre table des matières (par ex. Contenu ou Liste des illustrations). Ce

titre apparaît en haut de la table des matières. Pour mettre en forme le titre, choisissez un style dans le menu Style.

4 Sélectionnez Inclure les documents du livre pour créer une table des matières pour tous les documents dans la liste

des documents du livre et renuméroter les pages du livre. Vous devez désélectionner cette option si vous voulez générer une table des matières uniquement pour le document actuel. Cette option est grisée si le document actif ne fait pas partie d’un livre.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

liste Autres styles pour les ajouter à la liste Inclure les styles de paragraphe. 6 Sélectionnez Remplacer la table des matières existante pour remplacer tous les articles de la table des matières

existante dans le document. Vous devez désélectionner cette option si vous voulez générer une nouvelle table des matières, par exemple une liste des illustrations.

7 Définissez les options de mise en forme pour chaque style de paragraphe de la table des matières (voir la section

« Conseils pour la mise en forme d’une table des matières » à la page 350).

Il est judicieux de définir un style de table des matières comportant la mise en forme et les autres options voulues, en particulier si vous voulez inclure plusieurs tables des matières dans un document. Pour ce faire, cliquez sur Enregistrer le style. Vous pouvez également créer des styles de tables des matières en choisissant Page > Styles de tables des matières. 8 Cliquez sur OK.

Une icône de texte chargé s’affiche. Avant de cliquer ou de faire glisser cette icône, vous pouvez ouvrir une autre page ou en créer une nouvelle sans perdre le texte chargé.

9 Cliquez sur l’icône de texte chargée ou faites-la glisser sur une page pour importer l’article de la nouvelle table des

Remarque : évitez de relier le bloc de la table des matières à d’autres blocs de texte du document. En effet, si vous remplacez la table des matières existante, l’article entier sera remplacé par la nouvelle table mise à jour.

Les styles de tables des matières sont particulièrement utiles si vous devez créer plusieurs tables des matières pour un même document ou livre. Par exemple, vous pouvez utiliser un style de tables des matières pour une liste de contenu, et un autre pour une liste d’annonceurs publicitaires, d’illustrations ou de crédits photo. Il vous suffit de créer un style de table des matières pour chaque type de liste.

Il est également pratique de créer des styles de tables des matières si vous envisagez de réutiliser la même mise en forme pour la table des matières d’un autre document. Remarque : ne confondez pas les styles de tables des matières avec les styles de paragraphe dotés d’un préfixe « TOC ». Les styles de paragraphe avec préfixe TOC (« Titre de la table des matières » par exemple) sont utilisés pour la mise en forme des entrées d’une table des matières. Par opposition, un style de table des matières est un ensemble de paramètres utilisés pour créer une table des matières de manière automatique.

Pour créer un style de table des matières

1 Choisissez la commande Page > Styles de tables des matières. 2 Cliquez sur Nouveau. 3 Saisissez un nom pour le style de table des matières que vous créez. 4 Dans la zone de titre, indiquez un titre pour votre table des matières (par ex. Contenu ou Liste des illustrations). Ce

titre apparaît en haut de la table des matières. Pour spécifier un style de titre, choisissez un style dans le menu Style.

5 Dans la liste Autres styles, sélectionnez les styles de paragraphe qui représentent le contenu à inclure dans la table

des matières, puis cliquez sur Ajouter pour les ajouter à la zone Inclure les styles de paragraphe.

6 Définissez les options de mise en forme pour chaque style de paragraphe (voir la section « Conseils pour la mise en

forme d’une table des matières » à la page 350).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Cliquez sur Charger, sélectionnez le fichier InDesign contenant les styles à copier, puis cliquez sur Ouvrir. 3 Cliquez sur OK.

Remarque : si les styles de paragraphe de votre document ne correspondent pas à ceux du style de table des matières importé, modifiez ce dernier avant de générer la table des matières.

Conseils pour la mise en forme d’une table des matières

Lorsque vous générez ou modifiez une table des matières, utilisez ces options pour définir l’apparence du texte de la table des matières générée. Certaines de ces options sont disponibles uniquement lorsque vous cliquez sur Plus d’options dans la boîte de dialogue. Remarque : les paramètres de la section Style s’appliquent uniquement au style actuellement sélectionné dans l’option Inclure les styles de paragraphes. Vous pouvez définir différentes options de mise en forme pour chaque style. Style des entrées Pour chaque style répertorié sous Inclure les styles de paragraphes, choisissez le style de paragraphe

à appliquer aux entrées de la table des matières concernés.

Numéro de page Vous pouvez créer un style de caractère pour mettre en forme les numéros de page, puis sélectionner

ce style dans le menu déroulant Style, à droite de l’option Numéro de page (voir la section « Ajout de styles de paragraphe et de caractère » à la page 215).

Pour inclure les préfixes sur les numéros de page de la table des matières ou pour utiliser une convention de numérotation différente, reportez-vous à la section « Définition de la numérotation de section » à la page 94. Entre l’entrée et le numéro Spécifiez les caractères à afficher entre l’entrée de table des matières et le numéro de page.

Le caractère par défaut ^t indique à InDesign d’insérer une tabulation. Vous pouvez choisir un autre caractère spécial, comme Tabulation de retrait à droite ou Espace cadratin, dans la liste déroulante. Pour obtenir la liste complète des caractères spéciaux et savoir comment les utiliser, reportez-vous à la section « Insertion de glyphes et de caractères spéciaux » à la page 190.

Sélectionnez le texte existant dans la zone avant de choisir un autre caractère spécial afin de ne pas inclure les deux signes. Vous pouvez créer un style de caractère pour mettre en forme l’espace entre l’entrée et le numéro de la page, puis sélectionner ce style dans le menu déroulant Style, à droite de l’option Entre l’entrée et le numéro (voir la section « Ajout de styles de paragraphe et de caractère » à la page 215). Si le style de paragraphe de l’entrée inclut un paramètre de point de conduite et que le caractère de tabulation (^t) est sélectionné, des points de conduite apparaissent dans la table des matières générée. Pour plus de détails, voir la section « Création d’entrées de table des matières avec des points de conduite » à la page 352.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

alphabétique dans le style sélectionné. Cette option s’avère particulièrement utile pour la création de listes simples, telles que des listes d’annonceurs publicitaires. Les entrées imbriquées (Niveau 2 ou 3) sont classées alphabétiquement au sein de leur groupe (Niveau 1 ou 2, respectivement). Remarque : l’ordre de tri d’une table des matières est défini par le paramètre de langue par défaut du document. Pour modifier la langue par défaut, assurez-vous qu’aucun élément n’est sélectionné, puis choisissez une langue dans le menu Langue du panneau Caractère. Niveau Par défaut, chaque élément ajouté à la liste de l’option Inclure les styles de paragraphe est défini sur un niveau

inférieur à celui de l’élément placé directement au-dessus. Vous pouvez modifier cette hiérarchie en spécifiant un nouveau niveau pour le style de paragraphe sélectionné. Cette option ajuste uniquement l’affichage dans la boîte de dialogue. Elle n’a pas d’incidence sur la table des matières finale, sauf si la liste est classée par ordre alphabétique, auquel cas les entrées sont triées par niveau.

Créer des signets PDF Sélectionnez cette option pour que les entrées de la table des matières apparaissent dans le panneau Signets d’Adobe Acrobat ou d’Adobe Reader® une fois le document exporté au format PDF. Continues Sélectionnez cette option si vous voulez toutes les entrées d’une table des matières dans un seul et même

paragraphe. Les entrées seront séparées par un point-virgule (;) suivi d’une espace.

Inclure le texte des calques masqués Sélectionnez cette option uniquement si vous voulez que les paragraphes des calques masqués soient inclus dans la table des matières. Cette option est utile pour créer une liste des annonceurs publicitaires ou d’illustrations qui n’apparaissent pas dans le document. Désélectionnez-la si vous avez utilisé les calques pour stocker différentes versions ou traductions d’un texte. Paragraphes numérotés Si votre table des matières contient un style de paragraphe avec une numérotation, spécifiez si l’entrée de table des matières comprend le paragraphe entier (numéros et texte), uniquement les numéros ou uniquement le paragraphe.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Les entrées d’une table des matières sont souvent séparées de leur numéro de page par des pointillés ou des points de conduite.

Table des matières avec points de conduite

1 Créez un style de paragraphe avec un point de conduite (voir la section « Création d’un style de paragraphe avec un

point de conduite » à la page 352).

2 Pour mettre à jour les paramètres du contenu, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Sélectionnez Page > Styles de tables des matières. Sélectionnez un style, puis cliquez sur Modifier.

• Sélectionnez Page > Table des matières (si vous n’utilisez pas de style de tables des matières). 3 Sous Inclure les styles de paragraphes, sélectionnez un élément qui doit s’afficher avec un point de conduite dans

la table des matières.

4 Pour Style des entrées, sélectionnez le style de paragraphe qui contient le point de conduite. 5 Cliquez sur Plus d’options. 6 Vérifiez que l’option Entre l’entrée et le numéro est définie sur ^t (représentant une tabulation). Cliquez sur OK ou

7 Le cas échéant, sélectionnez Page > Mettre à jour la table des matières. Ensuite, importez l’article de la nouvelle table

Création d’un style de paragraphe avec un point de conduite

1 Choisissez la commande Fenêtre > Styles > Styles de paragraphe pour afficher le panneau du même nom. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes dans le panneau qui s’affiche :

• Cliquez deux fois sur le nom du style de paragraphe appliqué aux entrées de la table des matières.

• Dans le menu du panneau, choisissez Nouveau style de paragraphe. 3 Le cas échéant, entrez un nom pour le style de paragraphe. 4 Cliquez sur Tabulations. 5 Sélectionnez l’icône de tabulation justifiée à droite

, puis cliquez sur la règle pour positionner le taquet de

Si les paragraphes auxquels vous appliquez le style comportent des listes numérotées, pensez à définir deux tabulations : la première pour le numéro en retrait et la seconde pour les points de conduite. 6 Dans le champ Point de conduite, entrez un point (.). 7 Sélectionnez d’autres options de style, puis cliquez sur OK.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

« Modification des styles de caractère et de paragraphe » à la page 220

Mise à jour d’une table des matières

1 Ouvrez le document contenant la table des matières. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour modifier les entrées de la table des matières, ne modifiez pas directement la table, mais votre livre ou document.

• Pour modifier la mise en forme appliquée au titre, aux entrées ou aux numéros de page de la table des matières, modifiez le paragraphe ou les styles de caractère associés à ces éléments.

• Pour modifier la numérotation des pages (par exemple, 1, 2, 3 ou i, ii, iii), modifiez la numérotation de la section dans le livre ou document (voir la section « Numérotation des pages, chapitres et paragraphes d’un livre » à la page 344).

• Pour spécifier un nouveau titre, ajouter des styles de paragraphe à la table des matières ou poursuivre la mise en forme des entrées, modifiez le style de la table des matières.

3 Sélectionnez le bloc de texte contenant la table des matières ou placez-y le point d’insertion, puis choisissez la

commande Page > Mettre à jour la table des matières.

4 Si le document contient plusieurs tables des matières, par exemple une liste d’illustrations et une liste d’annonceurs

publicitaires, sélectionnez le bloc de texte contenant une autre liste, puis choisissez la commande Page > Mettre à jour la table des matières.

Modification d’une table des matières

Si vous devez modifier une table des matières, effectuez les modifications directement dans les paragraphes du document, plutôt que dans l’article de table des matières, puis générez une nouvelle table. Si vous modifiez l’article de table des matières, les modifications effectuées sont perdues lorsque vous régénérez la table. De même, apportez les modifications nécessaires directement aux styles utilisés pour la mise en forme de la table des matières.

Création d’un index

A propos de l’indexation Vous pouvez créer un simple index de mots-clés ou un guide complet et détaillé des informations contenues dans le livre. Vous ne pouvez créer qu’un seul index par document ou par livre. Pour créer un index, commencez par placer les entrées d’index dans le texte. Vous associez ainsi chaque marque d’index au mot, appelé rubrique, que vous souhaitez faire apparaître dans l’index. Lorsque vous générez l’index, chaque rubrique est répertoriée, ainsi que la page dont elle provient. Les rubriques sont classées par ordre alphabétique, généralement sous des titres de section (A, B, C, etc.). Une entrée d’index consiste en une rubrique (le terme recherché par l’utilisateur) associée à une référence de page (numéro(s) de page(s)) ou une référence croisée. Une référence croisée, précédée de « Voir » ou « Voir aussi », dirige l’utilisateur vers d’autres entrées d’index, plutôt que vers un numéro de page.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Un index bien pensé et complet rend les informations contenues dans votre document immédiatement accessibles aux lecteurs. Considérez les instructions suivantes lorsque vous créez un index :

• Pensez à l’aspect que vous voulez donner à votre index. Combien de niveaux de rubriques voulez-vous créer ?

Voulez-vous renvoyer le lecteur vers des rubriques apparentées ? Est-ce qu’un index simple constitué de mots-clés sera suffisant ou avez-vous besoin de créer un index plus complexe, avec des références croisées renvoyant à des rubriques apparentées et une liste exhaustive de termes équivalents ?

• Anticipez les différentes méthodes de recherche d’informations susceptibles d’être utilisées par les lecteurs. Par exemple, certains lecteurs recherchent les informations concernant les animaux sous le mot-clé animaux, tandis que d’autres recherchent mammifères ou faune.

• Ajoutez les entrées d’index une fois que le contenu du document est plus ou moins définitif. En effet, si, plus tard, vous êtes amené à supprimer d’importantes parties du texte, tout le temps que vous aurez passé à créer des entrées d’index aura été perdu.

• Un index bien pensé présente les rubriques de façon cohérente. L’un des problèmes les plus courants rencontré dans un index est l’utilisation incohérente de majuscules et de minuscules (chats et Chats) et de formes au singulier et au pluriel (chat et chats). Utilisez une liste de rubriques pour assurer la cohérence des termes.

• Révisez l’index plusieurs fois avant de le générer pour la dernière fois. Recherchez les entrées doubles, les sujets vagues, les fautes d’orthographe et les incohérences de casse ou de vocabulaire : par exemple, InDesign traite les mots Guépard, guépard et guépards comme des entrées séparées.

Procédure de création d’un index Pour créer un index, procédez comme suit : 1. Créez une liste de rubriques (facultatif). Une liste de rubriques vous aide à conserver une certaine cohérence dans

vos entrées d’index (voir la section « Création d’une liste de rubriques d’index » à la page 355).

2. Ajoutez des marques d’index. Ajoutez des marques d’index sur les pages du document auxquelles vous souhaitez

relier les entrées d’index (voir la section « Ajout d’entrées d’index » à la page 357).

3. Générez l’index. La génération d’un index crée un ensemble d’entrées pour les marques et les numéros des pages

qui leur sont associées (voir la section « Génération d’un index » à la page 362).

4. Placez l’article d’index. Utilisez l’icône de texte chargée pour placer l’index dans un bloc de texte. Dans la plupart des cas, il est préférable que l’index commence sur une nouvelle page. Après avoir placé l’index, vous pouvez mettre en forme les pages et l’index.

Vous devrez sans doute répéter ces étapes avant que l’index ne soit définitif.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour créer, modifier et prévisualiser l’index, utilisez le panneau Index (Fenêtre > Texte et tableaux > Index). Il comprend deux modes : Référence et Rubrique. En mode Référence, la zone d’aperçu affiche l’ensemble des entrées d’index dans le document ou dans le livre actuel. En mode Rubrique, la zone d’aperçu n’affiche ni les numéros de page ni les références croisées, mais uniquement les rubriques. Le mode Rubrique est principalement utilisé pour créer la structure de l’index, tandis que le mode Référence vous permet d’ajouter des entrées d’index. En mode Référence, les entrées d’index sont classées par ordre alphabétique et divisées en sections par lettre. Un triangle en regard d’une entrée permet de développer ou de réduire cette dernière pour afficher les sous-entrées, les numéros de page et les références croisées. Les codes suivants s’affichent au lieu des références de page, indiquant les entrées d’index qui ne sont peut-être pas incluses dans l’index. Pour visualiser ces codes, il est parfois nécessaire de choisir l’option Mettre à jour l’aperçu dans le panneau Index. PB Indique les entrées d’index sur la table de montage (non visibles dans l’index généré). HL Indique les entrées d’index sur un calque masqué. Lors de la génération de l’index, vous avez la possibilité d’inclure les entrées qui figurent sur un calque masqué. HT Indique les entrées d’index dans une condition masquée (non incluses dans l’index). PN Indique les entrées d’index dans un texte en excès. Lorsque vous incluez ces entrées dans l’index généré, elles

s’affichent sans numéro de page.

Gabarit Indique les entrées d’index sur un gabarit (non visibles dans l’index généré).

Cliquez sur un triangle pour développer ou réduire une entrée. Pour développer ou réduire toutes les sous-entrées d’une entrée, cliquez sur le triangle correspondant tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée. Pour développer ou réduire toutes les entrées, cliquez sur le triangle correspondant tout en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée.

Sélectionnez Mettre à jour l’aperçu dans le menu du panneau Index pour mettre à jour la zone d’aperçu. Cette commande est très utile si vous avez apporté de nombreuses modifications au document ou déplacé des marques d’index dans la fenêtre de document.

« Ajout d’entrées d’index » à la page 357 Vidéo Créer un index Vous pouvez créer ou importer une liste de rubriques comme point de départ pour la création d’un index. Ensuite, lorsque vous ajoutez des entrées, vous pouvez sélectionner des rubriques dans cette liste (au lieu d’avoir à les saisir à chaque fois) de façon à ce que toutes les informations du livre ou document soient indexées. Pour créer et modifier une liste de rubriques, utilisez le panneau Index en mode Rubrique. Le mode Rubrique affiche uniquement les rubriques. Pour afficher les numéros de page et les références croisées, utilisez le mode Référence.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous n’êtes pas obligé de créer une liste de rubriques pour ajouter les entrées d’index. Chaque fois que vous créez une entrée d’index, sa rubrique est ajoutée automatiquement à la liste des rubriques pour une utilisation ultérieure. Par défaut, les rubriques que vous ajoutez à la liste des rubriques n’apparaissent pas dans la liste Référence, laquelle contient uniquement les rubriques associées à une page. Toutefois, pour afficher les rubriques dans la liste Référence, vous pouvez choisir l’option Afficher les rubriques inutilisées dans le menu du panneau Index en mode Référence.

Pour ajouter des rubriques à la liste

1 Sélectionnez Fenêtre > Texte et tableaux > Index pour afficher le panneau Index. 2 Sélectionnez Rubrique. 3 Sélectionnez Nouvelle rubrique dans le menu du panneau Index ou cliquez sur l’icône Créer une entrée d’index au

4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans la zone Niveaux de rubrique, saisissez le nom de la rubrique, (par exemple, animaux) dans la première zone de texte. Pour créer une sous-entrée, saisissez un nom (chats) dans la deuxième zone de texte. Dans cet exemple,

« chats » est en retrait sous « animaux ». Pour créer une sous-entrée dans la sous-entrée, saisissez un nom (Calicots) dans la troisième zone de texte, etc.

• Sélectionnez une rubrique existante. Saisissez les sous-entrées dans les deuxième, troisième et quatrième zones de texte.

5 Cliquez sur Ajouter pour ajouter la rubrique. Celle-ci apparaît désormais dans la boîte de dialogue Nouvelle

rubrique et dans le panneau Index.

6 Cliquez sur Terminé lorsque vous n’avez plus de rubrique à ajouter.

Pour supprimer une rubrique que vous venez d’ajouter, cliquez sur Terminer, sélectionnez la rubrique dans le panneau Index, puis cliquez sur le bouton Supprimer l’entrée sélectionnée.

Pour importer des rubriques à partir d’un autre document InDesign

1 Sélectionnez la commande Importer des rubriques dans le menu du panneau Index.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Utilisez le panneau Index pour modifier les entrées avant ou après la génération de l’index. Les modifications apportées aux entrées du panneau Index s’afficheront dans le prochain index que vous générerez, mais les modifications apportées à l’article d’index généré seront perdues lors de la regénération de l’index. 1 Ouvrez un document contenant les rubriques de l’index. 2 Dans le panneau Index, choisissez le mode Rubrique. 3 Dans la zone d’aperçu, cliquez deux fois sur une rubrique. 4 Modifiez la rubrique à votre convenance, puis cliquez sur OK.

Ajout d’entrées d’index

Utilisez le panneau Index en mode Référence pour ajouter des entrées d’index. Les entrées d’index sont composées de deux parties : une rubrique et une référence. Les rubriques peuvent être définies à l’avance à l’aide d’une liste de rubriques. Une référence peut renvoyer à un numéro de page ou une référence d’une autre rubrique.

« Utilisation des marques » à la page 367

« Options de groupes de pages dans les index » à la page 361 « Ajout de références croisées « Voir » ou « Voir aussi » dans un index » à la page 361

Pour ajouter une entrée d’index

1 A l’aide de l’outil Texte

, placez le point d’insertion à l’endroit où vous voulez insérer la marque d’index ou sélectionnez un texte à utiliser comme référence d’index.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

5 Sélectionnez Nouvelle référence de page dans le menu du panneau Index. Si cette commande n’est pas visible,

vérifiez que l’option Référence est sélectionnée et qu’il existe un point d’insertion, ou une sélection de texte dans le document.

6 Pour ajouter du texte dans la zone Niveaux de rubrique, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour créer une entrée d’index simple (telle que chats), saisissez l’entrée d’index dans la première zone Niveaux de rubrique. Si du texte est sélectionné, il apparaît dans la zone Niveaux de rubrique.

• Pour créer des entrées et des sous-entrées, saisissez le nom parent (dans cet exemple, animaux) dans la première zone Niveaux de rubrique et saisissez les sous-entrées (chats et Calicots) dans les zones suivantes. Le cas échéant, cliquez sur les touches flèches haut/bas pour intervertir les entrées.

A animals bears 9 cats

7 Pour modifier le classement d’une entrée dans l’index, utilisez les zones Tri par. Par exemple, pour classer la

rubrique de la Vega sous V (au lieu de D), entrez Vega dans la zone Tri par, puis de la Vega dans la zone Niveaux de rubrique.

Vous pouvez également sélectionner l’ordre de tri des chiffres, des symboles et des langues, et modifier les informations de tri des caractères chinois (voir la section « Modification de l’ordre de tri des index » à la page 364). 8 Indiquez le type d’entrée d’index :

• Pour créer des entrées d’index avec un numéro de page ou un groupe de pages (par exemple, chats 82–87), choisissez une option décrivant l’étendue de l’entrée dans le menu déroulant Type (voir la section « Options de groupes de pages dans les index » à la page 361).

• Pour créer une entrée d’index sans numéro de page, sélectionnez l’option Supprimer l’étendue dans le menu déroulant Type. Le numéro de page n’apparaît pas dans l’index généré, mais il s’affiche entre parenthèses dans le panneau Index.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Référencée ou faites glisser l’entrée existante dans la liste située au bas de la zone Référencée. Vous pouvez également personnaliser les termes « Voir » et « Voir aussi » qui s’affichent dans les entrées des références croisées en sélectionnant Référence croisée personnalisée dans le menu déroulant Type (voir la section « Ajout de références croisées « Voir » ou « Voir aussi » dans un index » à la page 361). 9 Pour mettre en valeur une entrée particulière, sélectionnez l’option Remplacement du style de numéro, puis

spécifiez le style de caractère.

10 Pour ajouter une entrée dans l’index, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez sur Ajouter pour ajouter une entrée sans fermer la boîte de dialogue.

• Cliquez sur l’option Tout ajouter pour rechercher l’ensemble des occurrences du texte sélectionné dans la fenêtre du document et créer une marque d’index pour chacune d’entre elles. L’option Tout ajouter n’est disponible que si du texte est sélectionné.

• Cliquez sur OK pour ajouter l’entrée d’index et fermer la boîte de dialogue.

Remarque : les entrées d’index ne sont pas supprimées si vous cliquez sur le bouton Annuler après avoir cliqué sur le bouton Ajouter. Pour éliminer ces entrées, vous devez faire appel à la commande Annuler. 11 Pour fermer la boîte de dialogue, cliquez sur OK ou sur Terminer.

Pour indexer rapidement un mot, une expression ou une liste

En utilisant un raccourci d’indexation, vous pouvez rapidement indexer des mots simples, une expression ou une liste de mots et d’expressions. Adobe InDesign reconnaît deux types de raccourcis d’indexation : le premier pour les entrées d’index standard et le second pour les noms propres. Le raccourci du nom propre permet de créer des entrées d’index en inversant l’ordre d’un nom, de sorte que le tri s’opère par le nom de famille. De cette manière, vous pouvez répertorier un nom précédé d’un prénom en le faisant apparaître dans un index trié par nom de famille. Par exemple, le nom Alexandre Dumas apparaîtra dans l’index sous la forme Dumas, Alexandre. Pour préparer une liste d’indexation, séparez chaque élément à indexer par l’un des délimiteurs suivants : retour, retour chariot (Maj+touche Entrée), tabulation, tabulation de retrait à droite (Maj+Tab), point-virgule ou virgule. Le raccourci d’indexation ajoute une marque devant chaque entrée et place tous les éléments dans l’index. 1 Dans la fenêtre du document, sélectionnez le ou les mots à indexer. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour les mots ou les expressions standard, appuyez sur les touches Maj+Alt+Ctrl+[ (Windows) ou

Maj+Option+Commande+[ (Mac OS). Pour indexer des noms de famille composés ou comportant un titre de noblesse, utilisez des espaces insécables entre les mots. Par exemple, si vous voulez indexer « Alexandre Dumas père » sous « Dumas » et non sous « père », vous devez insérer une espace insécable entre « Dumas » et « père ». Pour insérer une espace insécable, sélectionnez Texte > Insérer une espace > Espace insécable.

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1 Dans la fenêtre de document, cliquez pour créer un point d’insertion ou sélectionnez du texte là où vous voulez

placer la marque d’index.

2 Dans le panneau Index, sélectionnez le mode Référence et recherchez l’entrée à copier en faisant défiler la zone

3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Sélectionnez une entrée dans la zone d’aperçu du panneau, puis, tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou

Option (Mac OS) enfoncée, cliquez sur le bouton Nouveau. La boîte de dialogue Nouvelle référence de page s’affiche, présentant les informations sur l’entrée sélectionnée. Apportez les modifications nécessaires, puis cliquez sur Ajouter ou sur OK. Vous pouvez également créer une liste de rubriques, puis sélectionner vos entrées pour l’index dans cette liste.

Pour indexer automatiquement chaque occurrence d’un mot

L’utilisation de l’option Tout ajouter est un moyen efficace d’indexer toutes les occurrences d’un terme spécifique dans un document ou un livre. Lorsque vous choisissez cette option, InDesign crée une marque d’index pour chaque occurrence des mots sélectionnés dans le document (et non du texte spécifié dans la boîte de dialogue). Par la suite, vous pouvez supprimer les entrées qui pointent vers une information moins pertinente. Lors de la recherche des occurrences du texte sélectionné, seuls les mots entiers sont pris en considération et la casse est respectée. Par exemple, si vous sélectionnez le mot guépard, les mots guépards et Guépard ne sont pas indexés. 1 Dans la fenêtre de document, sélectionnez le texte à rechercher. 2 Dans le panneau Index, sélectionnez le mode Référence. 3 Pour créer des entrées d’index dans un document ouvert du livre, sélectionnez Livre. 4 Sélectionnez Nouvelle référence de page dans le menu du panneau Index. 5 Sélectionnez l’option Tout ajouter. InDesign ajoute une marque d’index à tout texte qui correspond au texte

sélectionné, même si ce texte comporte déjà une marque d’index. Par conséquent, vous risquez d’obtenir plusieurs entrées pour un même mot ou une même phrase.

Pour modifier une entrée d’index

Le mode Rubrique du panneau Index permet de modifier une rubrique (tel que son nom ou son ordre de tri) et de mettre à jour toutes les entrées apparentées à cette rubrique automatiquement. Pour modifier les entrées une à une, utilisez le mode Référence. Ce mode permet d’ajouter des références croisées ou de rechercher la marque d’index associée à une référence de page. 1 Ouvrez le document contenant les entrées d’index. 2 Dans le panneau Index, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Sélectionnez Rubrique pour modifier une rubrique et mettre à jour automatiquement toutes les entrées à l’aide de cette rubrique.

• Sélectionnez Référence pour modifier une seule entrée.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

5 Apportez les modifications nécessaires à l’entrée, puis cliquez sur OK.

Options de groupes de pages dans les index

Vous pouvez créer des entrées d’index comportant un groupe de pages (tel que chats 82 – 87), au lieu d’une seule référence de page. Le menu déroulant Type, dans la boîte de dialogue Nouvelle référence de page, propose les options de groupe de pages suivantes : Page active Le groupe de pages ne s’étend pas au-delà de la page active. Jusqu’au style suivant Le groupe de pages s’étend de la marque d’index jusqu’au style de paragraphe suivant. Jusqu’au style indiqué Le groupe de pages s’étend de la marque d’index jusqu’à la page contenant le style de

paragraphe spécifié dans le menu déroulant adjacent.

Jusqu’à la fin de l’article Le groupe de pages s’étend de la marque d’index jusqu’à la fin des blocs de texte liés sélectionnés contenant du texte. Jusqu’à la fin du document Le groupe de pages s’étend de la marque d’index jusqu’à la fin du document. Jusqu’à la fin de la section Le groupe de pages s’étend de la marque d’index jusqu’à la fin de la section actuelle, comme définie dans le panneau Pages (voir la section « Options de numérotation de document » à la page 95). Nombre de paragraphes indiqué Le groupe de pages s’étend de la marque d’index jusqu’à la fin du nombre de paragraphes indiqué dans la zone adjacente ou jusqu’à la fin de tous les paragraphes. Nombre de pages indiqué Le groupe de pages s’étend de la marque d’index jusqu’à la fin du nombre de pages indiqué

dans la zone adjacente ou jusqu’à la fin de toutes les pages.

Supprimer l’étendue Désactive l’option d’étendue de pages.

Ajout de références croisées « Voir » ou « Voir aussi » dans un index

Les références croisées sont des entrées d’index qui renvoient non pas à un numéro de page, mais à des entrées apparentées. Pour créer des références croisées, utilisez le panneau Index. Les avantages d’une référence croisée sont multiples :

• Une référence croisée associe un terme à d’autres termes équivalents utilisés dans le livre ou document. Par exemple, Faune. Voir Animaux. Les entrées ainsi référencées ne renvoient pas à un numéro de page ; elles renvoient

à un terme équivalent dans l’index.

• Une référence croisée renvoie à une autre entrée apparentée (mais pas équivalente) à une rubrique. Par exemple,

Chats. Voir aussi Chats sauvages. Dans ce cas, l’entrée d’index contenant la référence croisée contient également les numéros de page et/ou les sous-entrées directement associés à la rubrique de l’entrée.

A B Deux types de références croisées

A. Référence croisée renvoyant à une information apparentée (Voir aussi) B. Référence croisée renvoyant à un terme équivalent (Voir) L’option « Voir [aussi] » vous évite de mettre à jour manuellement les références croisées lorsque le contenu des entrées est modifié. 1 Sélectionnez Fenêtre > Texte et tableaux > Index. 2 Sélectionnez Référence. 3 Sélectionnez Livre pour afficher les entrées d’index dans un document de livre ouvert (facultatif). 4 Sélectionnez Nouvelle référence de page dans le menu du panneau Index. 5 Entrez une ou plusieurs rubriques dans les zones Niveaux de rubrique. 6 Dans le menu Type, choisissez un préfixe associé à la référence croisée (tel que Voir aussi) au bas du menu. 7 Entrez une rubrique dans la zone Référencée ou faites glisser une rubrique existante dans la liste des rubriques du bas. 8 Cliquez sur Ajouter pour ajouter la référence croisée à l’index.

Les références croisées s’affichent dans le panneau Index et dans l’index généré, mais ne sont pas associées aux marques d’index dans le document.

Les références croisées avec un préfixe « Voir [aussi] » s’affichent avec le préfixe « Voir [aussi] » dans le panneau Index. Le préfixe approprié s’affichera dans l’article d’index généré.

« Références croisées » à la page 594 « Présentation du panneau Index » à la page 355

Génération d’un index

Lorsque les entrées d’index sont ajoutées et affichées dans le panneau Index, vous pouvez générer un index et le placer dans votre document. Un article d’index peut apparaître dans un document séparé ou dans un document existant. Lorsque vous générez un index, InDesign compile les entrées et met à jour les numéros de page pour tout le livre ou le document. Si vous ajoutez ou supprimez des entrées d’index ou que vous mettez à jour la numérotation du document, vous devez générer de nouveau l’index. Si des marques d’index apparaissent dans un texte en excès, vous êtes invité à inclure ces marques dans l’index lorsque vous générez ce dernier. Si vous cliquez sur Oui, l’entrée s’affiche dans l’index sans numéro de page. Si une marque d’index figure dans du texte conditionnel masqué, l’entrée correspondante est exclue de l’index. Pour consulter un didacticiel vidéo sur la création d’un index, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0220_fr. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Si vous créez un index pour un seul document, vous devrez ajouter une page à la fin du document.

• Si vous créez un index pour plusieurs documents dans un livre, créez ou ouvrez le document à utiliser pour l’index et insérez ce document dans le livre.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Désélectionnez cette option pour créer plusieurs index.

• Sélectionnez Inclure les documents du livre pour créer un index pour tous les documents dans la liste des documents du livre et renuméroter les pages du livre. Vous devez désélectionner cette option si vous voulez générer un index uniquement pour le document actif.

• Sélectionnez l’option Inclure les entrées des calques masqués si vous voulez que les marques d’index dans les calques masqués soient incluses dans l’index.

• Cliquez sur Plus d’options pour afficher des options d’index supplémentaires.

3 Cliquez sur OK. Lorsque l’option Remplacer l’index existant est désélectionnée, une icône de texte chargée s’affiche.

Vous placez l’article d’index comme tout autre texte.

Si vous modifiez les entrées directement dans l’index, les modifications effectuées sont perdues lorsque vous régénérez l’index. Pour obtenir un résultat optimal, modifiez l’index dans le panneau Index, puis générez de nouveau l’index.

Vidéo Créer un index

Options de mise en forme de l’index

Lorsque vous cliquez sur le bouton Plus d’options dans la boîte de dialogue Générer l’index, vous avez accès à des options de mise en forme pour définir le style et l’aspect de l’index généré. InDesign inclut plusieurs styles de paragraphe et de caractère intégrés que vous pouvez utiliser pour mettre en forme l’index généré. Vous pouvez également créer et appliquer vos propres styles. Une fois l’index généré, vous pouvez modifier ces styles à partir des panneaux Styles de paragraphe et Styles de caractère.

Inclure les titres de section d’index Sélectionnez cette option pour générer des titres de section composés de caractères

alphabétiques (A, B, C, etc.) représentant les sections qui suivent.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

généré, vous pouvez modifier ces styles dans le panneau Styles de paragraphes. Titre de section Sélectionnez le style de paragraphe qui définit l’aspect des titres de section (A, B, C, etc.) dans l’index

Numéro de page Sélectionnez le style de caractère qui définit l’aspect des numéros de page dans l’index généré. Ce

paramètre n’agit pas sur les entrées d’index que vous avez mises en forme en appliquant l’option Remplacement du style de numéro.

Remarque : pour inclure des préfixes dans les numéros de page des tables des matières, tels que B-1 ou II-1, reportez-vous à la section « Définition de la numérotation de section » à la page 94. Référence croisée Sélectionnez le style de caractère qui définit l’aspect du préfixe des références croisées, tel que Voir

et Voir aussi, dans l’index généré.

Rubrique en référence croisée Sélectionnez le style de caractère qui définit l’aspect de la rubrique à laquelle vous renvoyez, tel que animaux dans Voir aussi animaux, dans l’index généré. Rubrique suivante Saisissez ou sélectionnez un caractère spécial pour séparer une entrée d’index de son numéro de

page (par exemple animaux 38). Le séparateur par défaut est deux espaces. Définissez la mise en forme de ce caractère en modifiant le style du niveau correspondant ou en sélectionnant un autre style.

Entre les numéros de page Saisissez ou sélectionnez un caractère spécial pour séparer plusieurs numéros de page ou plusieurs groupes de pages. Le séparateur par défaut est une virgule suivie d’une espace demi-cadratin. Entre les entrées Si Continu est sélectionné, saisissez ou sélectionnez un caractère spécial pour définir le séparateur

entre les entrées et les sous-entrées. Si Imbriqué est sélectionné, ce paramètre définit le séparateur entre deux références croisées dans une même entrée.

Avant la référence croisée Saisissez ou sélectionnez un caractère spécial pour séparer une référence d’une référence

croisée, par exemple Animaux. Voir aussi animaux. Le séparateur par défaut est un point suivi d’une espace. Définissez la mise en forme de ce caractère en choisissant un autre niveau de style ou en modifiant le niveau de style correspondant.

Etendue Saisissez ou sélectionnez un caractère spécial pour séparer le premier et le dernier numéro de page dans un

groupe de pages (tel que animaux 38 – 43). Le séparateur par défaut est un tiret demi-cadratin. Définissez la mise en forme de ce caractère en choisissant un autre niveau de style ou en modifiant le style du numéro de page correspondant.

Fin de l’entrée Saisissez ou sélectionnez un caractère spécial devant apparaître à la fin des entrées. Si Continu est

sélectionné, le caractère spécial apparaît à la fin de la dernière référence croisée. Aucun caractère n’est défini comme séparateur par défaut.

Modification de l’ordre de tri des index

Vous pouvez modifier l’ordre de tri des langues et des symboles. Ceci est particulièrement utile pour les langues grecque, cyrilliques et asiatiques. Il en est de même si vous souhaitez modifier l’emplacement des symboles dans l’index. Si vous souhaitez que les symboles figurent à la fin, vous pouvez déplacer la catégorie Symbole au bas de la liste de priorités.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Assurez-vous que les éléments que vous voulez trier sont sélectionnés. 3 Pour déterminer le type de script de langue utilisé, cliquez sur l’élément sous Type d’en-tête et choisissez une autre

option dans le menu.

Par exemple, pour le cyrillique, vous avez le choix entre russe, biélorusse, bulgare ou ukrainien. Pour le chinois, vous avez le choix entre Pinyin, surtout utilisé pour le chinois simplifié, ou Nombre de frappes, surtout utilisé pour le chinois traditionnel. 4 Pour modifier la position d’une langue ou d’un symbole, sélectionnez-le dans la liste, puis cliquez sur les boutons

Haut ou Bas dans la partie inférieure droite de la liste.

Les éléments placés en haut dans la liste sont triés avant les éléments inférieurs. Tous les caractères des langues qui ne sont pas incluses dans la boîte de dialogue Options de tri sont triés en tant que symboles. Par exemple, si vous avez un texte en grec dans votre document, mais que la langue grecque n’est pas incluse dans les Options de tri, tout texte grec indexé apparaîtra sous Symboles.

Pour trier l’ordre des index en japonais et en coréen

Lors de la création d’entrées d’index pour les langues asiatiques, tenez compte des points suivants :

• Les langues asiatiques utilisent des conventions de tri différentes, s’appuyant sur des règles typographiques qui leur sont propres.

• Lorsque vous créez un index pour du texte en japonais, la lecture yomi des entrées d’index dans la zone Niveaux de rubrique doit être saisie dans la zone de texte Yomi en utilisant des caractères hiragana pleine chasse et katakana.

Il n’est pas nécessaire d’entrer la lecture yomi pour les caractères hiragana pleine chasse, katakana, les caractères alphanumériques, certains symboles, les caractères alphanumériques demi-chasse et les entrées d’index n’ayant que des symboles dans la zone de texte Yomi. Les entrées de la zone Niveaux de rubrique sont triées. Dans certains cas, lorsqu’une entrée contient à la fois des symboles pleine chasse et demi-chasse, le tri peut ne pas s’effectuer comme prévu. Une lecture yomi appropriée doit alors être saisie.

• Les caractères katakana demi-chasse ou kanji ne peuvent pas être saisis dans la zone de texte Yomi. Les symboles demi-chasse, tels que

, peuvent toutefois être saisis.

• Le logiciel fait la distinction entre les caractères hiragana et katakana, et les caractères hiragana apparaissent avant les katakana. Il distingue également les caractères alphabétiques minuscules des majuscules ; les caractères en majuscules apparaissent avant les minuscules.

• Pour l’ordre de tri du coréen, vous avez le choix entre Consonne coréenne et Consonne coréenne plus voyelle.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous déterminez l’ordre de tri des caractères chinois à deux emplacements : dans la boîte de dialogue Options de tri et dans le champ Tri par lors de la création ou de la modification d’une entrée d’index. Boîte de dialogue Options de tri La commande Options de tri du menu du panneau Index vous permet de modifier

l’ordre de tri et de préciser si vous préférez utiliser Pinyin ou Nombre de frappes.

Trier par Lorsque vous créez ou modifiez une entrée d’index, la saisie de caractères chinois dans les champs Niveaux de rubrique vous permet de modifier les informations de tri des caractères chinois.

Pour Pinyin, si plusieurs mots ont le même Pinyin, les entrées sont triées par (1) ton et (2) nombre de frappes en ordre croissant. Pour Nombre de frappes, chaque caractère est trié par (1) nombre de frappes, (2) première frappe et (3) seconde frappe. Vous pouvez modifier les informations de tri directement dans le champ Trier par ou cliquer sur la flèche à droite du champ Trier par pour ouvrir la boîte de dialogue Entrée Pinyin ou Entrée Nombre de frappes. Vous pouvez modifier les champs et cliquer sur OK. Répétez cette procédure pour chaque niveau de rubrique.

Gestion d’un index

Une fois que vous avez généré l’index et ajouté les marques d’index au document, plusieurs méthodes permettent de gérer l’index. Vous pouvez afficher l’ensemble des rubriques d’index dans un livre, supprimer de la liste Rubrique celles qui ne sont pas utilisées dans la liste Référence, rechercher des entrées dans la liste Référence ou Rubrique et supprimer des marques d’index du document.

1 Ouvrez le livre, ainsi que tous les documents qu’il contient.

2 Sélectionnez Livre en haut du panneau Index.

Si d’autres utilisateurs veulent accéder aux documents du livre lors de la création de l’index, créez une liste type des rubriques dans un document séparé, puis importez les rubriques de la liste type dans chaque document du livre. Si la liste type est modifiée, vous devez réimporter les rubriques dans chaque document.

Lorsque vous indexez un livre contenant plusieurs documents, vous pouvez afficher les rubriques d’index pour tous les documents répertoriés en générant l’index du livre, avec l’ensemble des documents. Vous n’avez alors pas besoin d’utiliser l’option Importer des rubriques du menu Index pour importer manuellement les rubriques dans chaque document.

Pour supprimer les rubriques inutilisées de la liste Rubrique

Après avoir créé votre index, vous pouvez supprimer des rubriques qui n’étaient pas comprises dans l’index. 1 Sélectionnez Fenêtre > Texte et tableaux > Index pour afficher le panneau Index. 2 Dans le menu du panneau Index, sélectionnez la commande Supprimer les rubriques inutilisées. Les rubriques sans

numéro de page associé sont supprimées.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour rechercher une entrée d’index dans le panneau Index 1 Sélectionnez Afficher le champ Rechercher dans le menu du panneau Index. 2 Dans la zone Rechercher, saisissez le nom de l’entrée à rechercher, puis cliquez sur le bouton flèche haut ou bas.

Pour rechercher les marques d’index d’un document

1 Sélectionnez Texte > Afficher les caractères masqués pour afficher les marques d’index dans la fenêtre du

2 Dans le panneau Index, cliquez sur Référence, puis sélectionnez l’entrée que vous souhaitez rechercher. 3 Sélectionnez la commande Atteindre la marque sélectionnée dans le menu du panneau Index. Le point d’insertion

apparaît à droite de la marque d’index. Vous pouvez alors appuyer sur les touches Maj+Flèche Gauche pour sélectionner la marque et couper, copier ou supprimer l’entrée.

Pour composer en majuscules les entrées d’index

La boîte de dialogue Composer en majuscules propose une solution globale pour modifier la casse des entrées d’index. Par exemple, si vous avez indexé une entrée en minuscules (chats) et la même entrée avec une lettre initiale en majuscule (Chats), ces entrées sont considérées comme deux rubriques distinctes. Vous pouvez corriger cette erreur en sélectionnant des entrées et en les composant en majuscules. 1 Dans la zone d’aperçu du panneau Index, sélectionnez une entrée. 2 Sélectionnez la commande Composer en majuscules dans le menu du panneau Index. 3 Choisissez une composition en majuscules pour la rubrique sélectionnée uniquement, la rubrique sélectionnée et

toutes les sous-rubriques correspondantes, toutes les rubriques de niveau 1 ou toutes les rubriques. Cliquez ensuite sur OK.

Utilisation des marques

A propos des marques InDesign insère une marque dans le texte pour les éléments tels que les entrées d’index, les balises XML, les ancrages et les hyperliens. Ces marques n’ont aucune valeur de largeur et n’affectent pas la composition du texte. Vous pouvez toutefois les sélectionner, les couper et les copier ou les supprimer. InDesign se sert de l’emplacement des marques pour créer un signet ou une référence de page précis dans la table des matières, l’index et les fichiers PDF exportés. Vous pouvez afficher toutes les marques simultanément ou afficher les marques balisées ou d’hyperlien uniquement. Vous pouvez également afficher les marques en mode éditeur, où elles sont plus grandes et plus faciles à identifier.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Pour afficher les marques balisées uniquement, choisissez Affichage > Structure > Afficher les marques de balises.

Sélection de marques

1 Sélectionnez Texte > Afficher les caractères masqués. 2 Placez le point d’insertion à côté de la marque. 3 Maintenez la touche Maj enfoncée et appuyez sur la touche flèche gauche ou droite pour sélectionner la marque.

Vous pouvez utiliser d’autres méthodes pour rechercher les marques. Par exemple, vous pouvez rechercher une marque d’index en choisissant l’option Atteindre la marque sélectionnée dans le menu du panneau Index.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez créer des tracés et les combiner de multiples façons dans InDesign. InDesign crée les types de tracés et de formes suivants : Tracés simples Les tracés simples constituent les pièces maîtresses des tracés transparents et des formes composées. Ils consistent en un tracé ouvert ou fermé, qui peut avoir une intersection avec lui-même. Tracés transparents Les tracés transparents consistent en un minimum de deux tracés simples qui interagissent ou

s’interceptent. Ils sont plus simples que les formes composées et sont reconnus par toutes les applications PostScript.

Les tracés combinés dans un tracé transparent agissent comme un objet et partagent des attributs (tels que les couleurs et styles de contour). Formes composées Les formes composées consistent en plusieurs tracés, tracés transparents, groupes, dégradés, textes vectorisés, blocs de texte ou autres formes qui interagissent et s’interceptent pour créer de nouvelles formes modifiables. Certaines formes composées apparaissent comme tracés transparents mais leurs tracés transparents peuvent être modifiés par tracé et ne partagent pas nécessairement les mêmes attributs.

Pour modifier la forme d’un tracé, vous pouvez faire glisser ses points d’ancrage, les points directeurs à l’extrémité des lignes directrices qui apparaissent aux points d’ancrage ou le segment du tracé lui-même.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

La ligne que forme un tracé s’appelle contour. Une couleur ou un dégradé appliqué à la zone interne d’un tracé ouvert ou fermé s’appelle fond. Un contour peut avoir une épaisseur, une couleur et un modèle de trait (Illustrator et InDesign) ou un modèle de ligne stylisée (InDesign). Une fois que vous avez créé un tracé ou une forme, vous pouvez modifier ses caractéristiques de contour et de fond. Dans InDesign, à chaque tracé est également associé un point central qui correspond au centre du tracé, mais qui ne fait pas partie intégrante du tracé. Utilisez le point central pour déplacer le tracé, l’aligner sur les autres éléments ou pour sélectionner tous ses points d’ancrage. Le point central est toujours visible et ne peut être ni masqué ni supprimé.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Une fois que vous avez sélectionné un point d’ancrage (à gauche), les lignes directrices apparaissent sur toutes les courbes reliées par ce point d’ancrage (à droite).

Un point d’inflexion est toujours doté de deux lignes directrices qui se déplacent ensemble comme une seule unité droite. Lorsque vous déplacez une ligne directrice sur un point d’inflexion, les segments incurvés des deux côtés du point s’ajustent simultanément, assurant une courbe continue à ce point d’ancrage.

Un sommet peut quant à lui avoir une, deux ou aucune lignes directrices, selon qu’il relie respectivement un, deux ou aucun segments courbes. Les lignes directrices d’un sommet conservent le sommet en utilisant différents angles. Lorsque vous placez une ligne directrice sur un sommet, seule la courbe située du même côté du point que la ligne directrice est ajustée.

Réglage des lignes directrices d’un point d’inflexion (à gauche) et d’un sommet (à droite)

Les lignes directrices sont toujours tangentes (perpendiculaires au rayon) à la courbe au niveau des points d’ancrage.

L’inclinaison de chaque ligne directrice détermine celle de la courbe. De même, la longueur de chaque ligne directrice détermine la hauteur ou l’incurvation de la courbe.

Le déplacement et le redimensionnement des lignes directrices modifient l’inclinaison des courbes.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Création de traits et de formes de base 1 Dans le panneau Outils, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour dessiner une ligne ou une forme, sélectionnez l’outil Trait

, l’outil Ellipse , l’outil Rectangle ou l’outil

• Pour limiter les angles d’un trait à 45 degrés ou pour limiter la largeur et la hauteur d’un tracé ou d’un bloc aux mêmes proportions, maintenez la touche Maj enfoncée tout en faisant glisser la souris.

• Pour créer plusieurs formes dans une grille, appuyez sur les touches fléchées tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé (voir la section « Tracé de plusieurs objets sous la forme d’une grille » à la page 373).

• Pour modifier le nombre de côtés d’un polygone, faites glisser le polygone, appuyez sur la barre d’espace, puis appuyez sur les touches flèche haut ou flèche bas. Appuyez sur les touches flèche gauche et flèche droite pour modifier la marge en étoile. Appuyez de nouveau sur la barre d’espace pour revenir en mode grille.

Création d’un cercle par glissement

Remarque : le résultat ci-dessus affiche un cadre de sélection autour du tracé. Si l’outil Sélection est activé, le cadre de sélection est visible. Si l’outil Sélection directe a été utilisé en dernier, le tracé apparaît avec des points d’ancrage.

« Sélection d’objets » à la page 438 « Galerie d’outils de dessin et de texte » à la page 31

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour consulter une vidéo sur la création d’objets dans une grille, rendez-vous à l’adresse http://tv.adobe.com/go/4949/. 1 Sélectionnez un outil de création de bloc. 2 Commencez à faire glisser la souris. Tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé, utilisez l’une des méthodes

• Appuyez sur les touches flèche gauche et flèche droite pour modifier le nombre de colonnes. Appuyez sur les touches flèche haut et flèche bas pour modifier le nombre de lignes.

3 Relâchez le bouton de la souris.

Si vous souhaitez utiliser les touches flèche pour modifier le nombre de côtés ou la marge en étoile lorsque vous utilisez l’outil Polygone, appuyez sur la barre d’espace tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé.

Dessin d’un bloc d’emplacement réservé

Un bloc d’emplacement réservé est une ellipse, un rectangle ou un polygone qui s’affiche dans la fenêtre du document avec un X, indiquant qu’il sera remplacé ultérieurement par du texte ou une image. 1 Dans le panneau d’outils, sélectionnez l’outil Bloc elliptique

, Bloc rectangulaire

Vous pouvez modifier la valeur de coupe, le point de référence ainsi que d’autres options d’ajustement d’un bloc d’emplacement réservé en choisissant Objet > Ajustement > Options d’ajustement de bloc.

Définition des paramètres de polygone

1 Si vous voulez que les paramètres de polygone soient appliqués à des formes existantes, sélectionnez les polygones. 2 Cliquez deux fois sur l’outil Polygone

, spécifiez les paramètres suivants et cliquez sur OK :

• Dans la zone Nombre de côtés, entrez une valeur correspondant au nombre de côtés que vous voulez attribuer au polygone.

• Dans la zone Encart en étoile, entrez une valeur de pourcentage pour spécifier la longueur des branches de l’étoile.

Les pointes des branches touchent le bord extérieur du cadre de sélection du polygone et le pourcentage détermine la profondeur de la dépression entre chaque branche. Plus le pourcentage est élevé, plus les branches sont longues et fines.

Modification automatique de la forme d’un tracé

Il est possible de convertir tout tracé en une forme prédéfinie. Par exemple, il est possible de convertir un rectangle en triangle. Les paramètres de contour du tracé initial restent appliqués au nouveau tracé. Si le nouveau tracé est un polygone, sa forme dépend des options définies dans la boîte de dialogue Polygone. Si le nouveau tracé comporte un effet d’arrondi, la taille du rayon de l’arrondi dépend du paramètre de taille défini dans la boîte de dialogue Options d’arrondis. 1 Sélectionnez le tracé.

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L’outil Crayon fonctionne de la même manière dans Adobe Illustrator et dans InDesign. Il permet de dessiner des tracés ouverts et fermés, comme lorsque vous dessinez sur papier. Il se prête tout particulièrement à la réalisation d’esquisses ou de dessins à la main. Une fois le tracé terminé, vous pouvez le modifier immédiatement, si nécessaire. Des points d’ancrage sont insérés automatiquement au fur et à mesure que vous dessinez avec l’outil Crayon ; ce n’est pas vous qui déterminez leur emplacement mais vous pouvez les retoucher par la suite. Le nombre de points d’ancrage dépend de la longueur et de la complexité du tracé, ainsi que des paramètres de tolérance définis dans la boîte de dialogue Préférences de l’outil Crayon. Ces paramètres déterminent la sensibilité de l’outil Crayon aux déplacements de la souris ou du stylet de la table graphique. Pour visualiser une vidéo relative au dessin avec l’outil Crayon dans Illustrator, rendez-vous à l’adresse suivante : www.adobe.com/go/vid0039_fr.

Vidéo Utiliser l’outil Crayon 4 Lorsque le tracé atteint la taille et la forme souhaitées, relâchez le bouton de la souris (mais pas la touche Alt

ou Option). Une fois le tracé fermé, relâchez la touche Alt ou Option.

Pour créer un tracé fermé, vous n’avez pas besoin de positionner le curseur sur le point de départ du tracé ; si vous relâchez le bouton de la souris à un autre endroit, l’outil Crayon ferme la forme en créant la ligne la plus courte possible vers le point d’origine.

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Ajout d’un tracé à l’aide de l’outil Crayon 1 Sélectionnez un tracé. 2 Sélectionnez l’outil Crayon. 3 Placez la pointe du crayon sur une extrémité du tracé.

Vous savez lorsque vous êtes suffisamment près de l’extrémité du tracé lorsque le petit x en regard de la pointe du crayon disparaît.

4 Faites glisser le pointeur pour terminer le tracé.

Liaison de deux tracés à l’aide de l’outil Crayon

1 Sélectionnez les deux tracés (cliquez en maintenant la touche Maj enfoncée ou faites glisser sur les deux tracés à

l’aide de l’outil Sélection).

2 Sélectionnez l’outil Crayon. 3 Placez le pointeur à l’endroit auquel vous voulez débuter l’un des tracés et faites glisser vers l’autre tracé. 4 Tout en faisant glisser le pointeur, maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée. L’outil

Crayon affiche un petit symbole de fusion pour indiquer que vous êtes en train d’ajouter au tracé existant.

5 Faites glisser sur l’extrémité de l’autre tracé, relâchez le bouton de la souris, puis relâchez les touches Ctrl ou

Remarque : pour des résultats optimaux, faites glisser le pointeur d’un tracé vers l’autre comme si vous poursuiviez les tracés vers leur point d’origine.

Remodelage de tracés à l’aide de l’outil Crayon

1 Sélectionnez le tracé à modifier. 2 Placez l’outil Crayon sur le tracé à modifier ou à proximité de celui-ci.

Vous savez lorsque vous êtes suffisamment près du tracé lorsque le petit x disparaît de l’outil.

3 Faites glisser l’outil jusqu’à ce que le tracé ait la forme souhaitée.

Modification d’une forme fermée avec l’outil Crayon

Remarque : des résultats inattendus peuvent se produire du fait de l’origine du tracé ou de la direction du déplacement.

Par exemple, vous pouvez transformer sans le vouloir un tracé fermé en tracé ouvert, et inversement, ou perdre une partie d’une forme.

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Plus la valeur est élevée, plus le tracé est lisse et moins il est complexe. Plus les valeurs sont basses, moins la correspondance du tracé est précise par rapport à la ligne que vous avez dessinée. La fidélité va de 0,5 à 20 pixels. Lissage Contrôle le pourcentage de lissage appliqué lors de l’utilisation de l’outil. Le lissage va de 0 à 100 %. Plus la

valeur est élevée, plus le tracé sera lisse. Plus les valeurs sont basses, plus le nombre de points d’ancrage est élevé et plus les irrégularités de la ligne sont conservées.

Remplir les nouveaux contours au crayon (Illustrator uniquement) Applique un fond aux contours au crayon après

avoir sélectionné cette option, mais non aux contours au crayon existants. Assurez-vous de sélectionner un fond avant de tracer de nouveaux contours.

Conserver la sélection Détermine s’il faut conserver le tracé sélectionné après que vous l’ayez dessiné. Cette option est

sélectionnée par défaut.

Modifier les tracés sélectionnés Détermine si vous pouvez modifier ou fusionner un tracé sélectionné lorsque vous êtes à une certaine distance (spécifiée par l’option suivante). Dans les limites de : _ pixels Permet de déterminer la distance entre la souris ou le stylet et le tracé pour pouvoir

modifier celui-ci à l’aide de l’outil Crayon. Cette option est disponible uniquement si l’option Modifier les tracés sélectionnés est activée.

Dessin avec l’outil Plume

Dessin de segments droits avec l’outil Plume La ligne droite est le tracé le plus simple à réaliser avec l’outil Plume. Il suffit de cliquer avec l’outil Plume pour créer deux points d’ancrage. Si vous continuez à cliquer, vous créez un tracé composé de segments rectilignes reliés par des sommets.

Pour obtenir des segments droits, cliquez sur le document à l’aide de l’outil Plume.

1 Sélectionnez l’outil Plume.

2 Placez l’outil Plume à l’endroit où commencer le segment de droite et cliquez pour définir le premier point

d’ancrage (ne le faites pas glisser).

Remarque : le premier segment dessiné ne sera visible que lorsque vous aurez cliqué pour définir un second point d’ancrage (sélectionnez l’option Etirement dans Photoshop pour afficher un aperçu des segments de tracé). Si vous faites glisser l’outil Plume accidentellement, des lignes directrices apparaissent ; sélectionnez Edition > Annuler et cliquez de nouveau.

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4 Continuez de cliquer pour définir les points d’ancrage des autres segments droits.

Le dernier point d’ancrage que vous ajoutez apparaît toujours sous la forme d’un carré plein, ce qui indique qu’il est sélectionné. Les points d’ancrage définis au préalable sont évidés et désélectionnés au fur et à mesure que vous ajoutez d’autres points d’ancrage.

5 Terminez le tracé en procédant de l’une des façons suivantes :

• Pour fermer un tracé, faites revenir l’outil Plume sur le premier point d’ancrage (vide). Un petit cercle apparaît en regard de l’outil Plume

lorsqu’il est placé correctement. Cliquez ou faites glisser pour fermer le tracé.

Remarque : pour fermer un tracé dans InDesign, vous pouvez également sélectionner l’objet et choisir Objet > Tracés >

• Pour laisser le tracé ouvert, cliquez sur Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) à un endroit quelconque où il n’y a aucun objet.

Pour laisser le tracé ouvert, vous pouvez également sélectionner un autre outil ou choisir Sélectionner > Désélectionner dans Illustrator ou Edition > Tout désélectionner dans InDesign. Dans InDesign ou Illustrator, il suffit d’appuyer sur Entrée ou Retour pour laisser le tracé ouvert.

Tracé de courbes avec l’outil Plume

Pour créer une courbe, ajoutez un point d’ancrage à l’endroit où la courbe change de sens et faites glisser les lignes directrices contrôlant la forme de la courbe. La longueur et la pente des lignes directrices déterminent la forme de la courbe. Les courbes se modifient plus facilement, et s’affichent et s’impriment plus rapidement si vous les dessinez avec le moins de points d’ancrage possible. De plus, si vous utilisez trop de points, la courbe risque de présenter des irrégularités non désirées. Vous avez donc plutôt intérêt à espacer autant que possible les points d’ancrage et à modeler la courbe en agissant sur la longueur et l’inclinaison des lignes directrices. 1 Sélectionnez l’outil Plume. 2 Placez l’outil Plume à l’endroit où commencer la courbe et maintenez le bouton de la souris enfoncé.

Le premier point d’ancrage apparaît et l’outil Plume prend la forme d’une flèche (dans Photoshop, le pointeur ne change qu’après que vous ayez commencé à faire glisser).

3 Faites glisser pour définir l’inclinaison de la courbe que vous tracez, puis relâchez le bouton de la souris.

D’une façon générale, prolongez la ligne directrice d’environ un tiers de la distance à laquelle vous allez placer le point d’ancrage suivant (vous pouvez ajuster ultérieurement un ou les deux côtés de la ligne directrice).

Maintenez la touche Maj enfoncée pour contraindre l’outil à des multiples de 45°.

• Pour créer une courbe en forme de « S », faites glisser dans la même direction que la ligne directrice précédente, puis relâchez le bouton de la souris.

5 Continuez à faire glisser l’outil Plume vers d’autres endroits pour créer une série de courbes lisses. Notez que vous

placez des points d’ancrage au début et à la fin de chaque courbe, non au milieu de la courbe.

Maintenez la touche Alt enfoncée (Windows) ou Option (Mac OS) et faites glisser les lignes directrices pour arrêter les lignes directrices à un point d’ancrage. 6 Terminez le tracé en procédant de l’une des façons suivantes :

• Pour fermer un tracé, faites revenir l’outil Plume sur le premier point d’ancrage (vide). Un petit cercle apparaît en regard de l’outil Plume

lorsqu’il est placé correctement. Cliquez ou faites glisser pour fermer le tracé.

Remarque : pour fermer un tracé dans InDesign, vous pouvez également sélectionner l’objet et choisir Objet > Tracés >

• Pour laisser le tracé ouvert, cliquez sur Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) à un endroit quelconque où il n’y a aucun objet.

Pour laisser le tracé ouvert, vous pouvez également sélectionner un autre outil ou choisir Sélection > Désélectionner dans Illustrator ou Edition > Tout désélectionner dans InDesign.

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❖ Après avoir cliqué pour créer un point d’ancrage, gardez le bouton de la souris enfoncé, maintenez la barre

d’espacement enfoncée, et faites glisser pour repositionner le point d’ancrage.

Fin du dessin d’un tracé

❖ Vous pouvez terminer un tracé de l’une des manières suivantes :

• Pour fermer un tracé, placez l’outil Plume sur son premier point d’ancrage (vide). Un petit cercle apparaît en regard de l’outil Plume

lorsqu’il est placé correctement. Cliquez ou faites glisser pour fermer le tracé.

Remarque : pour fermer un tracé dans InDesign, vous pouvez également sélectionner l’objet et choisir Objet > Tracés >

• Pour laisser un tracé ouvert, cliquez sur Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) à un endroit quelconque où il n’y a aucun objet.

Pour laisser le tracé ouvert, vous pouvez également sélectionner un autre outil ou choisir Sélectionner > Désélectionner dans Illustrator ou Edition > Tout désélectionner dans InDesign. Dans InDesign, il suffit d'appuyer sur Entrée ou Retour pour laisser le tracé ouvert.

Dessin de droites suivies de courbes

1 A l’aide de l’outil Plume, cliquez pour créer des sommets à deux emplacements et dessiner un segment droit. 2 Placez l’outil Plume sur l’extrémité sélectionnée. Dans Illustrator et InDesign, une icône de conversion de point

apparaît en regard de l’outil Plume lorsque celui-ci est placé correctement (dans Photoshop, un petit trait diagonal ou une barre oblique apparaît en regard de l’outil Plume). Pour définir l’inclinaison du segment incurvé que vous allez ensuite créer, cliquez sur le point d’ancrage et faites glisser la ligne directrice qui apparaît.

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de la souris. 2 Placez ensuite l’outil Plume à l’endroit où vous souhaitez terminer la courbe, faites glisser afin de la terminer, puis

relâchez le bouton de la souris.

A B Tracé d’une courbe suivie d’une droite (première partie)

4 Repositionnez l’outil Plume à l’endroit où vous souhaitez que le segment droit se termine, et cliquez pour le

2 Replacez l’outil Plume et faites glisser le pointeur pour créer une courbe avec un deuxième point d’inflexion ; puis,

maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée, et faites glisser la ligne directrice vers son côté opposé pour définir l’inclinaison de la prochaine courbe. Relâchez la touche et le bouton de la souris.

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Sélection de tracés, segments et points d’ancrage Avant de pouvoir remodeler ou modifier un tracé, vous devez en sélectionner les points d’ancrage, les segments, ou une combinaison des deux.

Sélection de points d’ancrage

• Si vous pouvez voir les points, vous pouvez cliquer dessus à l’aide de l’outil Sélection directe

sélectionner. Maintenez la touche Maj enfoncée et cliquez pour sélectionner plusieurs points.

• Sélectionnez l’outil Sélection directe et faites glisser une zone autour des points d’ancrage. Faites glisser en maintenant la touche Maj enfoncée sur les autres points d’ancrage que vous voulez sélectionner.

• Assurez-vous que le tracé contenant les points d’ancrage n’est pas sélectionné. Déplacez l’outil Sélection directe sur le point d’ancrage jusqu’à ce que le pointeur affiche un carré vide, puis cliquez sur le point d’ancrage. Cliquez en maintenant la touche Maj enfoncée sur les autres points d’ancrage que vous voulez sélectionner.

• (Illustrator uniquement) Sélectionnez l’outil Lasso, et faites glisser autour des points d’ancrage. Faites glisser en maintenant la touche Maj enfoncée sur les autres points d’ancrage que vous voulez sélectionner.

Sélection de segments de tracé

Effectuez l’une des opérations suivantes :

• Sélectionnez l’outil Sélection directe

, et cliquez dans les 2 pixels du segment ou faites glisser un rectangle de sélection sur le segment. Cliquez ou faites glisser en maintenant la touche Maj enfoncée autour des segments de tracé supplémentaires pour les sélectionner.

Modification des segments de tracé Vous pouvez modifier un segment de tracé à tout moment, mais la modification des segments existants est légèrement différente de l’action de tracé. Tenez compte des conseils suivants lors de la modification de segments :

• Si un point d’ancrage relie deux segments, le déplacement de ce point d’ancrage modifie toujours les deux segments.

• Lorsque vous utilisez l’outil Plume, vous pouvez activer l’outil Sélection directe de manière temporaire (InDesign et Photoshop) afin de pouvoir ajuster les segments que vous avez déjà dessinés ; appuyez sur la touche Ctrl

(Windows) ou Commande (Mac OS) pendant le dessin. Dans Illustrator, le fait d’appuyer sur la touche Ctrl ou Command tout en dessinant active le dernier outil de sélection utilisé.

• Lorsque vous dessinez un point d’inflexion à l’aide de l’outil Plume, et que vous faites glisser le point directeur, vous modifiez la longueur de la ligne directrice des deux côtés du point. Cependant, lorsque vous modifiez un point d’inflexion existant à l’aide de l’outil Sélection directe, vous modifiez la longueur de la ligne directrice uniquement du côté où vous faites glisser la souris.

Déplacement de segments droits

1 Avec l’outil Sélection directe

, sélectionnez le tracé que vous voulez régler.

2 Faites glisser le segment vers sa nouvelle position.

Réglage de la longueur ou de l’angle des segments droits

1 Avec l’outil Sélection directe

, sélectionnez un point d’ancrage sur le segment que vous voulez régler.

2 Faites glisser le point d’ancrage à la position désirée. Faites glisser tout en maintenant la touche Maj enfoncée pour

limiter la modification à des multiples de 45 degrés.

Dans Illustrator ou InDesign, si vous voulez uniquement élargir ou rétrécir un rectangle, il est plus facile de le sélectionner à l’aide de l’outil Sélection et de le redimensionner avec l’une des poignées situées sur les côtés de son cadre de sélection.

Réglage de la position ou de la forme des segments courbes

1 Avec l’outil Sélection directe, sélectionnez un segment courbe ou un point d’ancrage à chaque extrémité du segment

courbe. Des lignes directrices apparaissent, le cas échéant (certains segments incurvés sont dotés d’une seule ligne directrice).

2 Effectuez l’une des opérations suivantes :

• Pour ajuster la position du segment, faites-le glisser. Faites glisser tout en maintenant la touche Maj enfoncée pour limiter la modification à des multiples de 45 degrés.

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• Choisissez l’outil Conversion de point directeur et cliquez sur le point d’ancrage de la poignée. • Faites glisser le point directeur et déposez-le sur le point d’ancrage.

Prolongement d’un tracé ouvert

1 Après avoir sélectionné l’outil Plume, placez le pointeur sur l’extrémité du tracé ouvert que vous souhaitez

prolonger. Le pointeur change lorsqu’il est très précisément placé sur l’extrémité.

2 Cliquez sur l’extrémité de tracé. 3 Effectuez l’une des opérations suivantes :

• Pour créer un sommet, positionnez l’outil Plume sur le point d’arrivée du nouveau segment, puis cliquez. Si vous

étendez un tracé qui se termine à un point d’inflexion, le nouveau segment sera incurvé par la ligne directrice existante. Remarque : dans Illustrator, si vous prolongez un tracé qui se termine par un point d’inflexion, le nouveau segment sera droit.

• Pour créer un point d’inflexion, positionnez l’outil Plume sur le point d’arrivée du nouveau segment incurvé, puis faites glisser.

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2 Cliquez sur l’extrémité de tracé. 3 Effectuez l’une des opérations suivantes :

• Pour relier le tracé à un autre tracé ouvert, cliquez sur une extrémité de l’autre tracé. Lorsque vous placez précisément l’outil Plume sur l’extrémité de l’autre tracé, un petit symbole de connexion pointeur.

apparaît en regard du

• Pour relier un nouveau tracé à un tracé existant, dessinez le nouveau tracé près du tracé existant, puis déplacez l’outil Plume sur l’extrémité (non sélectionnée) du tracé existant. Cliquez sur l’extrémité lorsque le petit symbole de fusion apparaît en regard du pointeur.

Dans InDesign, vous pouvez également utiliser le panneau Pathfinder pour joindre des tracés. Pour fermer un tracé ouvert, utilisez l’outil de sélection pour sélectionner le tracé et cliquez sur l’option Fermer le tracé du panneau Pathfinder. Pour joindre les extrémités de deux tracés, sélectionnez ces derniers et cliquez sur l’option Joindre les tracés. Au besoin, cliquez de nouveau sur l’option Joindre les tracés pour joindre la deuxième extrémité.

Déplacement ou agrandissement des points d’ancrage ou des segments à l’aide du clavier

1 Sélectionnez le point d’ancrage ou le segment de tracé.

Remarque : dans Photoshop, vous ne pouvez déplacer les points d’ancrage que de la manière suivante.

2 Cliquez ou maintenez enfoncée une touche de direction sur le clavier pour déplacer 1 pixel à la fois dans le sens de

Pour déplacer 10 pixels à la fois, maintenez la touche Maj enfoncée avec la touche de direction. Remarque : dans Illustrator et InDesign, vous pouvez modifier la distance d’un positionnement en modifiant les préférences d’incrément du clavier. Lorsque vous modifiez l’incrément par défaut, maintenir la touche Alt enfoncée positionne à 10 fois la distance spécifiée.

Ajout ou suppression de points d’ancrage

L’ajout de points d’ancrage permet dans certains cas d’obtenir un tracé plus précis ou de prolonger un tracé ouvert. Il est recommandé toutefois de limiter autant que possible le nombre de points d’ancrage. Moins un tracé comporte de points et plus il s’imprime et s’affiche rapidement, et plus il est facile de le modifier. Il est possible de simplifier un tracé en supprimant les points d’ancrage inutiles. La boîte à outils contient trois outils permettant d’ajouter ou de supprimer des points : l’outil Plume de point d’ancrage et l’outil Suppression de point d’ancrage .

Par défaut, l’outil Plume se transforme en outil Ajout de point d’ancrage lorsque vous le placez au-dessus d’un tracé sélectionné ou en outil Suppression de point d’ancrage lorsque vous le placez au-dessus d’un point d’ancrage (dans

Photoshop, vous devez sélectionner Ajout/Suppression auto dans la barre d’options pour activer l’outil Plume afin qu’il se modifie automatiquement en outil Ajout de point d’ancrage ou Suppression de point d’ancrage). Dans Photoshop et InDesign, vous pouvez sélectionner et modifier plusieurs tracés simultanément ; dans Illustrator, vous ne pouvez ajouter ou supprimer des points que pour un tracé en même temps. Dans Photoshop et InDesign, vous pouvez remodeler un tracé en ajoutant des points d’ancrage ; pour ce faire, il vous suffit de cliquer et de faire glisser pendant l’ajout.

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1 Sélectionnez le tracé à modifier. 2 Sélectionnez l’outil Plume, Ajout de point d’ancrage ou Suppression de point d’ancrage. 3 Pour ajouter un point d’ancrage, placez le pointeur sur un segment de tracé et cliquez. Pour supprimer un point

d’ancrage, placez le pointeur sur ce dernier et cliquez.

Dans Illustrator, vous pouvez ajouter des points d’ancrage à un tracé en sélectionnant l’objet et en choisissant Objet > Tracé > Ajouter des points d’ancrage.

Désactivation ou remplacement temporaire du basculement automatique de l’outil Plume

Vous pouvez désactiver le basculement automatique de l’outil Plume en outil Ajout de point d’ancrage ou Suppression de point d’ancrage. Cette manipulation est particulièrement utile lorsque vous souhaitez commencer un nouveau tracé par-dessus un tracé existant.

• Dans Photoshop, désélectionnez Ajout/Suppression auto dans la barre d’options.

• Dans Illustrator, maintenez la touche Maj enfoncée et placez l’outil Plume sur le tracé ou sur un point d’ancrage sélectionné. (pour éviter que la touche Maj ne contraigne le tracé, relâchez-la avant de relâcher le bouton de la souris).

• Dans Illustrator, choisissez la commande Edition > Préférences > Général (Windows) ou Illustrator > Préférences

> Général (Mac OS) et sélectionnez l’option Désactiver Ajout/Suppression auto.

• Dans InDesign, en maintenant l’une des touches de raccourci enfoncée, effectuez les modifications, puis relâchez.

Par exemple, lorsque l’outil Plume est sélectionné, maintenez la touche A enfoncée pour afficher l’outil Sélection directe et modifier les points ; l’outil est toujours sélectionné lorsque vous relâchez la touche A.

Conversion des points lisses en sommets et inversement

Les tracés peuvent être dotés de deux types de points d’ancrage, les sommets et les points lisses. Au niveau d’un sommet, un tracé change brusquement de sens. Au niveau d’un point lisse, les segments de tracé sont reliés en une courbe continue. L’outil Conversion de point directeur permet de convertir un sommet en point lisse et inversement. 1 Utilisez l’outil Sélection directe

pour sélectionner le tracé que vous voulez modifier.

2 Basculez vers l’outil Conversion de point directeur

. Si nécessaire, cliquez sur l’outil Plume et faites glisser la souris pour sélectionner l’outil Conversion de point directeur.

Pour basculer temporairement de l’outil Conversion de point directeur à l’outil Sélection directe, appuyez sur la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS).

3 Positionnez l’outil Conversion de point directeur sur le point d’ancrage que vous voulez convertir et utilisez l’une

des méthodes suivantes :

• Pour convertir un sommet en point lisse, faites glisser les lignes directrices à partir du sommet.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Clic sur un point lisse pour créer un sommet

• Pour convertir un sommet sans lignes directrices en sommet doté de lignes directrices indépendantes, faites d’abord glisser les lignes directrices à partir d’un sommet (en le rendant ainsi lisse). Relâchez le bouton de la souris, puis faites glisser l’une des lignes directrices.

• Pour convertir un point, ouvrez le panneau Pathfinder (choisissez la commande Fenêtre > Objet et mise en page >

Pathfinder), puis dans la section Convertir le point, cliquez sur le bouton Normal, Sommet, Inflexion ou Symétrique.

• Pour convertir un point lisse en sommet doté de lignes directrices indépendantes, faites glisser l’une des lignes directrices.

Vous pouvez scinder un tracé, un bloc d’image ou un bloc de texte vide au niveau de n’importe quel point d’ancrage ou le long de n’importe quel segment. Lorsque vous scindez un tracé, tenez compte des indications suivantes :

• Si vous voulez scinder un tracé fermé en deux tracés ouverts, vous devez effectuer la scission en deux endroits du tracé. Si vous scindez un tracé fermé à un seul point, vous obtenez un seul tracé interrompu par un blanc.

• Tout tracé résultant d’une scission hérite des paramètres du tracé d’origine, tels que l’épaisseur du contour et la couleur du fond. Il peut être nécessaire dans certains cas de redéfinir l’alignement du contour pour passer d’un alignement sur l’intérieur à un alignement sur l’extérieur.

Fractionnement d’un tracé à l’aide de l’outil Ciseaux

1 Sélectionnez le tracé pour afficher ses points d’ancrage (facultatif). 2 Sélectionnez l’outil Ciseaux et cliquez sur le tracé à l’endroit où vous voulez le scinder. Lorsque vous scindez le tracé

au milieu d’un segment, les deux nouvelles extrémités du tracé sont superposées et l’une des extremités est sélectionnée.

3 Utilisez l’outil Sélection directe pour ajuster le nouveau point d’ancrage ou segment de tracé.

Ouverture d’un tracé à l’aide du panneau Pathfinder

1 Sélectionnez un tracé fermé. 2 Pour ouvrir le panneau Pathfinder, choisissez la commande Fenêtre > Objet et mise en page > Pathfinder. 3 Cliquez sur le bouton Ouvrir le tracé du panneau Pathfinder.

Utilisez l’outil Arrondi pour supprimer les irrégularités indésirables d’un tracé ou d’une partie d’un tracé. L’outil Arrondi conserve autant que possible la forme d’origine du tracé. Les tracés lissés sont généralement dotés de moins de points, ce qui les rend plus faciles à modifier, afficher et imprimer.

Tracé avant et après utilisation de l’outil Arrondi

1 Sélectionnez le tracé.

2 Sélectionnez l’outil Arrondi.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

5 Pour modifier la quantité lissage, cliquez deux fois sur l’outil Arrondi, puis définissez les options suivantes :

Fidélité Vérifie la droiture de vos courbes avant la modification du tracé. Avec des valeurs de fidélité basses, le tracé correspond moins précisément à la ligne que vous avez dessinée, alors que les valeurs élevées permettent d’obtenir un tracé qui lui correspond plus fidèlement. La plage des valeurs de pixel varie entre 0,5 et 20 pixels. Lissage Contrôle le pourcentage de lissage appliqué lors de l’utilisation de l’outil. Les valeurs possibles pour cette

option sont comprises entre 0 % et 100 %. Plus la valeur est élevée, plus le tracé est lisse.

Conserver la sélection Détermine s’il faut conserver le tracé sélectionné après que vous l’ayez lissé.

Modification de la forme d’un tracé fermé ou d’un objet

1 A l’aide de l’outil Sélection directe

2 Positionnez le pointeur sur le point d’ancrage ou sur le segment de tracé que vous voulez désigner comme foyer (le

point qui attire les segments de tracé sélectionnés), puis cliquez sur le point d’ancrage ou sur le segment de tracé.

3 Faites glisser les points d’ancrage en surbrillance pour modifier le tracé. Le mouvement d’un segment de tracé

donné est relatif à la distance entre le segment et un point en surbrillance.

• Les points sélectionnés désignés comme foyers suivent le mouvement de l’outil Sélection pendant le glissement.

• Les points sélectionnés non désignés comme foyers se déplacent en tandem avec le point foyer pendant le glissement.

• Les points d’ancrage non sélectionnés ne sont pas affectés par la modification.

A propos de l’outil Position

L’outil Position n’est pas disponible dans InDesign CS5 mais vous pouvez utiliser l’outil Sélection pour sélectionner et manipuler un bloc ou son contenu (voir la section « Sélection d’objets » à la page 439).

Application des paramètres de contour

Définition de contours Il est possible d’appliquer des contours, ou paramètres de trait, aux tracés, aux formes, aux blocs de texte et au texte vectorisé. Le panneau Contour permet de définir l’épaisseur et l’aspect du contour, et notamment le mode de jonction des segments, les angles et les formes de départ et d’arrivée. Vous pouvez également définir les paramètres de contour à partir du panneau Contrôle lorsqu’un tracé ou un bloc est sélectionné.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Sélectionnez le tracé dont vous voulez modifier le contour.

Remarque : lorsque vous sélectionnez un tracé à l’aide de l’outil Sélection , vous activez un cadre de sélection qui englobe l’objet dans son ensemble. Si vous souhaitez sélectionner le tracé proprement dit, utilisez plutôt l’outil Sélection directe .

2 Choisissez Fenêtre > Contour pour afficher le panneau Contour. 3 Dans le champ Epaisseur, choisissez l’épaisseur du contour dans le menu ou entrez une valeur et appuyez sur la

touche Entrée ou Retour.

Remarque : les contours inférieurs à 0,25 point sont parfois trop fins pour être facilement repérables lorsqu’ils sont imprimés sur les périphériques de sortie haute résolution tels qu’une photocomposeuse. Pour supprimer le contour, entrez la valeur 0 (zéro). 4 Choisissez Afficher les options dans le menu du panneau pour afficher les autres attributs de contour si ceux-ci sont

5 Modifiez les autres attributs de contour selon vos besoins.

Remarque : pour modifier la couleur du contour, utilisez le panneau d’outils et le panneau Nuancier (voir la section

« Application de couleurs » à la page 507).

« Modification de la couleur, du dégradé ou du contour du texte » à la page 275

Options du panneau Contour

Pointe Permet de spécifier le rapport longueur du sommet/largeur du contour à partir duquel un sommet en pointe doit être converti en sommet en biseau. Par exemple, si l’on règle ce paramètre sur 9, la longueur du sommet doit être 9 fois égale à la largeur du contour pour que le sommet soit converti en sommet en biseau. Entrez une valeur (entre 1 et 500), puis appuyez sur Entrée ou Retour. L’option Pointe ne s’applique pas aux sommets en arrondi.

Vous pouvez inclure des paramètres de pointe et d’alignement des contours dans un style de paragraphe ou de caractère. Cliquez sur la section Couleur des caractères, puis sur l’icône de contour pour rendre les options disponibles.

Extrémité Sélectionnez un style pour spécifier l’aspect des deux extrémités d’un tracé ouvert :

• Extrémité carrée

Permet de créer des terminaisons carrées qui s’étendent jusqu’aux extrémités de tracé.

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Sommet Spécifiez l’aspect du contour aux sommets :

• Sommet en pointe Permet de créer des sommets en pointe qui s’étendent au-delà de l’extrémité du tracé lorsque la longueur de la pointe est inférieure à la limite de pointe.

• Sommet en arrondi Permet de créer des sommets arrondis qui s’étendent de la moitié de la largeur du contour au-delà des extrémités de tracé. • Sommet en biseau

Permet de créer des sommets carrés qui s’étendent jusqu’aux extrémités de tracé.

Remarque : vous pouvez spécifier des options de pointe pour un tracé n’utilisant pas de sommets, mais les options de pointe ne s’appliquent pas tant que vous ne créez pas de sommets en les ajoutant ou en convertissant des points lisses. Les pointes sont également plus visibles si vous appliquez des épaisseurs de tracé plus importantes.

Alignement de contour Cliquez sur une icône pour spécifier l’emplacement du contour par rapport à son tracé. Type Choisissez un type de contour dans le menu. Si vous choisissez Tirets, un nouveau groupe d’options s’affiche. Début Faites une sélection pour le début du tracé. Fin Faites une sélection pour la fin du tracé. Couleur d’espace Spécifiez une couleur pour l’espace entre les tirets, les points ou les différentes lignes dans un

Teinte d’espace Spécifiez une teinte (lorsqu’une couleur d’espace est indiquée).

Vous pouvez définir des contours en tirets dans le panneau Contour mais il est plus facile de créer un contour en tirets

à l’aide d’un style de contour personnalisé.

Ajout de formes de début et de fin

Gardez à l’esprit les instructions suivantes lorsque vous travaillez avec des formes de début et de fin :

• Vous ne pouvez pas modifier les formes de début et de fin disponibles. Toutefois, les menus Début et Fin du panneau Contour peuvent comprendre des formes supplémentaires si vous disposez d’un module externe ajoutant des options à ces deux menus.

• Les formes de début et de fin sont ajustées selon l’épaisseur du contour. Cependant, l’ajout d’une forme de début ou de fin ne modifie pas la longueur du tracé.

• Les formes de début et de fin pivotent automatiquement pour suivre l’orientation de la ligne directrice d’une extrémité de tracé.

• Les formes de début et de fin apparaissent au niveau des extrémités des tracés ouverts uniquement ; elles n’apparaissent pas sur les tirets d’un contour en tirets.

• Si vous appliquez des formes de début et de fin à un tracé transparent comprenant des sous-tracés ouverts, ces derniers utilisent tous les mêmes formes de début et de fin.

• Vous pouvez appliquer des formes de début et de fin à un tracé fermé, mais elles ne sont visibles que si vous ouvrez le tracé.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Utilisez les menus Début et Fin du panneau Contour pour ajouter une pointe de flèche ou une autre forme à la fin d’un tracé ouvert. 1 Dessinez une ligne ou créez un tracé ouvert à l’aide de l’outil Ligne. 2 Après avoir sélectionné la ligne ou le tracé, ouvrez le panneau Contour, puis choisissez un style dans les

menus Début et Fin. Début applique une forme à la première extrémité d’un tracé (suivant l’ordre dans lequel les points du tracé ont été dessinés), et le menu Fin applique une forme à la dernière extrémité de tracé.

Pour basculer entre les formes de début et de fin d’un tracé

1 Sélectionnez un tracé à l’aide de l’outil Sélection directe

2 Choisissez la commande Objet > Tracés > Inverser le tracé ou cliquez sur le bouton Inverser le tracé du panneau

3 Cliquez sur Nouveau. 4 Attribuez un nom au style du contour. 5 Dans le champ Type, sélectionnez l’une des options suivantes :

• Tiret pour définir un style avec des tirets à intervalles réguliers ou irréguliers ;

• Bande pour définir un style avec une ou plusieurs lignes parallèles ; • Pointillés pour définir un style avec des points à intervalles réguliers ou irréguliers. Dernière mise à jour le 18/5/2011

s’ajuste pour s’adapter à la longueur spécifiée.

7 Pour définir le motif du contour, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez sur la règle pour ajouter un tiret, un point ou une bande.

• Faites glisser un tiret, un point ou une bande pour le déplacer. • Pour régler la largeur d’un tiret, déplacez les marques de la règle

. Vous pouvez aussi sélectionner le tiret puis entrer les valeurs pour Début (où commence le tiret sur la règle) et Longueur.

• Pour régler l’emplacement d’un point, déplacez les marques de la règle

. Vous pouvez aussi sélectionner le point puis entrer une valeur pour Centrer (où est positionné le centre du point).

• Pour régler l’épaisseur d’une bande, déplacez les marques de la règle

. Vous pouvez aussi sélectionner la bande puis entrer les valeurs pour Début et Largeur, exprimées en pourcentage de l’épaisseur du contour.

• Pour supprimer un tiret, un point ou une bande, faites-le glisser hors de la fenêtre de la règle (un style de contour personnalisé doit toutefois contenir au moins un tiret, un point ou une bande).

8 Pour visualiser le contour avec différentes épaisseurs de traits, spécifiez une épaisseur de trait à l’aide de l’option

Aperçu de l’épaisseur.

9 Pour les motifs en tirets ou en pointillé, utilisez l’option Angles afin de déterminer l’emplacement des tirets et des

points et de garder un motif régulier autour de l’angle.

10 Pour les motifs en tirets, sélectionnez un style pour Extrémité afin de déterminer la forme des tirets. Ce paramètre

annule le paramètre Extrémité du panneau Contour.

11 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez sur Ajouter pour enregistrer le style de contour et en définir un nouveau. Cliquez sur Terminer pour quitter la boîte de dialogue.

• Cliquez sur OK pour enregistrer le style de contour et quitter la boîte de dialogue.

Enregistrement de styles de contour personnalisés

Vous pouvez enregistrer des styles de contour personnalisés de façon à les utiliser dans d’autres documents InDesign.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Sélectionnez un style de contour personnalisé et cliquez sur Enregistrer.

Remarque : vous ne pouvez pas enregistrer ni modifier les styles de contour par défaut (indiqués par des crochets).

3 Spécifiez un nom et un emplacement pour le fichier de style de contour (.inst) et cliquez sur OK.

Pour charger un style de contour personnalisé

1 Choisissez Styles de contour dans le panneau Contour. 2 Cliquez sur Charger. 3 Sélectionnez le fichier de style de contour (.inst) qui contient le style de contour personnalisé à importer, puis

cliquez sur le bouton OK.

Pour appliquer un style de contour personnalisé

❖ Sélectionnez un tracé ou un bloc, puis choisissez un style de contour personnalisé dans le menu Type du panneau

Modification de l’aspect des arrondis

La commande Options d’arrondis vous permet d’appliquer rapidement des effets d’arrondi à tout tracé. Les effets disponibles incluent l’arrondi simple et les ornements fantaisie.

Application de formes d’arrondi à l’aide de la boîte de dialogue Options d’arrondi

1 Sélectionnez un tracé à l’aide d’un outil de sélection. 2 Sélectionnez Objet > Options d’arrondis. 3 Pour appliquer l’effet d’arrondi aux quatre angles d’un rectangle, sélectionnez l’icône Uniformiser tous les

5 Sélectionnez Aperçu pour voir les résultats de l’effet avant de l’appliquer. Cliquez ensuite sur OK.

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Quatre losanges jaunes apparaissent sur le bloc sélectionné, indiquant que les angles dynamiques sont activés. Si le carré jaune n’est pas visible sur le bloc sélectionné, choisissez la commande Affichage > Extras > Afficher les angles dynamiques. 2 Pour ajouter des effets d’arrondi, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour régler le rayon d’arrondi des quatre sommets en même temps, faites glisser un des losanges vers le centre du bloc.

• Pour régler un seul angle, faites glisser un losange tout en maintenant la touche Maj enfoncée.

• Pour faire défiler les divers effets, cliquez sur un losange jaune tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée. 3 Pour mettre fin à la modification des angles, cliquez en dehors du bloc sélectionné.

Pour supprimer des effets d’arrondi, choisissez la commande Objet > Options d’arrondis, puis choisissez l’option Sans.

Pour éviter que le carré jaune n’apparaisse lorsque vous sélectionnez un bloc, choisissez la commande Affichage > Extras > Masquer les angles dynamiques.

Instructions relatives à l’application des formes d’arrondi

Tenez compte des points suivants :

• La commande Options d’arrondis du panneau Contour peut comprendre des formes supplémentaires si vous avez acquis un module externe qui ajoute de tels effets.

• Les effets d’arrondis apparaissent sur tous les sommets d’un tracé mais jamais sur les points lisses. Les effets modifient les angles automatiquement lorsque vous déplacez les sommets d’un tracé.

• Si un effet modifie de façon significative le tracé, par exemple en créant un renflement vers l’intérieur ou vers l’extérieur, cela peut affecter l’interaction d’un bloc avec son contenu ou avec d’autres parties de la page. Par exemple, l’augmentation de la taille d’un effet d’arrondi peut éloigner du bloc un habillage ou un encart de bloc.

• Vous ne pouvez pas modifier les effets d’arrondis, mais vous pouvez modifier leur aspect en modifiant le rayon d’arrondi du sommet ou le contour.

• Si vous avez appliqué des effets d’arrondis, mais que vous ne les voyez pas, assurez-vous que le tracé comporte des sommets et qu’une couleur ou un dégradé de contour lui sont appliqués. Augmentez ensuite la valeur de l’option

Taille dans la boîte de dialogue Options d’arrondis ou augmentez l’épaisseur de contour dans le panneau Contour.

Tracés transparents et formes composées

A propos des tracés transparents Vous pouvez combiner plusieurs tracés en un objet unique appelé tracé transparent. Créez un tracé transparent, puis utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Ajoutez des trous transparents à un tracé.

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• Appliquez un dégradé ou ajoutez un contenu qui s’étend sur plusieurs tracés. Bien que vous puissiez également appliquer un dégradé à plusieurs objets à l’aide de l’outil Dégradé, l’application d’un dégradé à un tracé transparent donne souvent de meilleurs résultats, car vous pouvez ensuite modifier la totalité du dégradé en sélectionnant l’un des sous-tracés. Avec l’outil Dégradé, toute modification ultérieure requiert la sélection de tous les tracés que vous aviez initialement sélectionnés.

Méthodes recommandées pour la modification des tracés transparents

Gardez à l’esprit les instructions suivantes lorsque vous modifiez des tracés transparents :

• Les modifications apportées aux attributs de tracé (tels que le contour et le fond) altèrent toujours tous les sous-tracés d’un tracé transparent, et cela indépendamment de l’outil de sélection utilisé ou du nombre de sous-tracés sélectionnés.

Pour conserver les attributs de contour et de fond de chaque tracé que vous voulez combiner, associez-les.

• Dans un tracé transparent, tout effet placé relativement au cadre de sélection du tracé (tel qu’un dégradé ou une image collée à l’intérieur du tracé) est placé par rapport au cadre de sélection du tracé transparent (c’est-à-dire, le tracé qui contient tous les sous-tracés).

• Si vous créez un tracé transparent, que vous modifiez ses propriétés, puis que vous l’annulez avec la commande

Annuler, les tracés annulés héritent des propriétés du tracé transparent et ne récupèrent pas leurs propriétés d’origine.

• Si votre document contient des tracés transparents comportant de nombreux points lisses, certains périphériques de sortie peuvent avoir du mal à les imprimer. Dans ce cas, simplifiez ou éliminez les tracés transparents, ou convertissez-les en images bitmap à l’aide d’un programme tel qu’Adobe Photoshop.

• Si vous appliquez un fond à un tracé transparent, des trous peuvent apparaître à des emplacements inattendus. Pour un tracé simple tel qu’un rectangle, l’intérieur, ou la zone à laquelle vous pouvez appliquer un fond, correspond tout simplement à la zone que renferme le tracé. Toutefois, pour un tracé transparent, InDesign doit décider si les intersections créées par les sous-tracés du tracé transparent sont situées à l’intérieur (zones remplies) ou à l’extérieur (trous). Le sens de chaque sous-tracé (ordre dans lequel ses points ont été créés) détermine si la zone qu’il renferme se trouve à l’intérieur ou à l’extérieur. Si un sous-tracé est rempli alors que vous vouliez en faire un trou, ou vice versa, cliquez sur le bouton Inverser le tracé du panneau Pathfinder pour en inverser le sens.

Tracé transparent contenant deux sous-tracés ayant le même sens de tracé, (à gauche) et des sens de tracé différents (à droite)

Création d’un tracé transparent

Vous pouvez créer un tracé transparent à partir d’au moins deux tracés ouverts ou fermés. Une fois un tracé transparent créé, tous les tracés sélectionnés à l’origine deviennent des sous-tracés du nouveau tracé transparent. Les tracés sélectionnés héritent des paramètres de contour et de fond des objets les plus bas dans l’ordre de superposition.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

pour sélectionner tous les tracés que vous voulez inclure dans le tracé transparent.

2 Choisissez Object > Tracés > Créer un tracé transparent. Un trou apparaît à l’intersection des tracés sélectionnés.

Il est possible d’appliquer un fond à un trou résultant d’un sous-tracé ou de convertir un sous-tracé en trou. A l’aide de l’outil Sélection directe, sélectionnez un point sur le sous-tracé dont vous souhaitez inverser le sens. Choisissez alors la commande Objet > Tracés > Inverser le tracé ou cliquez sur le bouton Inverser le tracé du panneau Pathfinder.

Modification de trous en fonds dans un tracé transparent

Le sens de chaque sous-tracé (l’ordre dans lequel ses points ont été créés) détermine si la zone qu’il renferme se trouve à l’intérieur (zones remplies) ou à l’extérieur (trous). Si certains trous du tracé transparent apparaissent à des endroits inattendus, vous pouvez inverser le sens du sous-tracé.

Deux tracés fermés séparés (à gauche) et deux sous-tracés du même tracé transparent (à droite) ; le tracé transparent utilise la partie du cercle

1 A l’aide de l’outil Sélection directe

, sélectionnez la partie du tracé transparent à inverser (ou un point dans cette partie). Ne sélectionnez pas l’intégralité du tracé transparent.

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez la commande Objet > Tracés > Inverser le tracé.

• Cliquez sur le bouton Inverser le tracé du panneau Pathfinder.

Décomposition d’un tracé transparent

Vous pouvez décomposer un tracé transparent en l’annulant, ce qui transforme tous ses sous-tracés en tracés indépendants. 1 Sélectionnez un tracé transparent à l’aide de l’outil Sélection

, sélectionnez un point sur le sous-tracé dont vous souhaitez inverser le sens.

Ne sélectionnez pas l’intégralité du tracé transparent.

2 Choisissez la commande Objet > Tracés > Inverser le tracé ou cliquez sur le bouton Inverser le tracé du panneau

Intersection Crée une forme à partir de zones se chevauchant. Exclusion du chevauchement Crée une forme à partir de zones qui ne se chevauchent pas. Soustraction (avant-arrière) Les objets à l’arrière-plan « perforent » l’objet au premier-plan.

Dans la plupart des cas, la forme qui en résulte adopte les attributs de l’objet le plus en avant (fond, contour, transparence, calque, etc.). Toutefois, lorsque vous soustrayez des formes, les objets à l’avant sont supprimés. La forme qui en résulte prend les attributs de l’objet le plus en arrière.

Lorsque vous incluez un bloc de texte dans une forme composée, la forme du bloc de texte se transforme mais le texte lui-même ne change pas. Pour modifier le texte, créez un tracé transparent à l’aide de textes vectorisés

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Vous pouvez utiliser une forme composée comme unité simple ou libérer ses tracés de composants pour travailler individuellement avec chacun d’eux. Vous pouvez par exemple appliquer un fond en dégradé à une partie seulement de la forme composée.

Dégradé appliqué à une forme composée (à gauche) comparé à un dégradé appliqué à une partie de la forme composée seulement (à droite)

1 Choisissez Fenêtre > Objet et mise en page > Pathfinder pour ouvrir le panneau.

2 Sélectionnez les objets à combiner dans une forme composée 3 Cliquez sur un bouton (Ajouter, par exemple) dans la section Pathfinder du panneau Pathfinder.

Vous pouvez également choisir une commande dans le sous-menu Objet > Pathfinder.

Pour annuler des tracés dans une forme composée

❖ Sélectionnez la forme composée. Choisissez la commande Object > Tracés > Annuler le tracé transparent. La forme

composée est séparée en tracés de composants.

Pour regrouper des tracés de composants sans perdre les modifications appliquées aux différents tracés, choisissez Associer dans le menu Objet plutôt que Tracés transparents > Créer.

Création de tracés à partir de texte vectorisé

Utilisez la commande Vectoriser pour convertir des caractères sélectionnés en un ensemble de tracés transparents que vous pouvez modifier et manipuler comme tout autre tracé. La commande Vectoriser est particulièrement utile pour créer des effets destinés à un affichage grand format, mais elle est rarement utilisée pour le corps du texte et autres petits caractères.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

La commande Vectoriser utilise les données de vectorisation de police des fichiers de polices Type 1, TrueType ou OpenType. Lorsque vous créez un texte vectorisé, les caractères sont convertis à leur emplacement courant et conservent tous leurs attributs de mise en forme graphique, tels que le contour et le fond. Remarque : certains éditeurs de polices de caractères bloquent des données de police indispensables à la vectorisation. Si vous choisissez une police ainsi protégée et que vous sélectionnez Texte > Vectoriser, un message vous informe que la police ne peut pas être convertie. Lorsque vous convertissez du texte en texte vectorisé, le texte perd les renseignements qu’il contient, c’est-à-dire les instructions intégrées aux polices vectorisées pour modifier leur forme et permettre à votre système de les afficher ou de les imprimer de façon optimale, quelle que soit leur taille. Par conséquent, l’affichage d’un texte converti en texte vectorisé risque d’être médiocre en petite taille ou à une résolution faible. Une fois le texte vectorisé, vous pouvez utiliser l’une des méthodes suivantes :

• Modifier les dessins de lettres en faisant glisser les points d’ancrage individuellement à l’aide de l’outil Sélection directe

• Changer les attributs de contour des dessins de lettres. • Utiliser la vectorisation de texte pour créer des formes composées. &&&&&&&& &&&&&&&& &&&&&&&& Par défaut, la vectorisation de texte supprime le texte d’origine. Vous pouvez toutefois, si vous le préférez, afficher la vectorisation par-dessus une copie du texte pour éviter de perdre le texte d’origine.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Le tableau suivant indique les formats graphiques à utiliser pour le type de document que vous concevez. Impression finale

Vous pouvez librement déplacer et modifier des graphiques vectoriels sans en perdre les détails ni la clarté, les graphiques vectoriels étant indépendants de la résolution ; leurs bords restent nets lorsque redimensionnés, imprimés sur une imprimante PostScript, enregistrés dans un fichier PDF ou importés dans une application de graphiques basés sur les vecteurs. Les graphiques vectoriels représentent donc le meilleur choix pour les illustrations, comme les logos, qui seront utilisées dans différentes tailles et sur différents supports de sortie. Les objets vectoriels que vous créez à l’aide des outils de dessin et de formes dans Adobe Creative Suite sont des exemples de graphiques vectoriels. Vous pouvez utiliser les commandes Copier/Coller pour dupliquer les graphiques vectoriels entre les différents composants Creative Suite.

« A propos des images bitmap » à la page 402

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Leur affichage est donc irrégulier et moins net si elles sont mises à l’échelle à l’écran ou si elles sont imprimées avec une résolution inférieure à leur résolution d’origine.

Les images bitmap contiennent un nombre fixe de pixels, généralement mesuré en pixels par pouce (ppp). Une image bitmap à haute résolution contient davantage de pixels (donc plus petits) qu’une image de même dimension à faible résolution. Par exemple, une image de 1 pouce sur 1 pouce avec une résolution de 72 ppp contient un total de 5 184 pixels (72 pixels de large x 72 pixels de haut = 5 184). La même image de 1 pouce sur 1 pouce avec une résolution de

300 ppp contient un total de 90 000 pixels. Pour les images bitmap importées, la résolution est déterminée par le fichier d’origine. Pour les effets bitmap, vous pouvez spécifier une résolution personnalisée. Pour déterminer la résolution de l’image, prenez en compte son support de distribution. Les indications suivantes permettent de déterminer vos exigences en termes de résolution d’image : Impression commerciale L’impression commerciale requiert des images de 150 à 300 ppp (voire plus) selon la presse

d’impression (ppp) et la linéature (lpp) utilisées. Consultez toujours votre prestataire de services de prépresse avant de décider de la stratégie de production. L’impression commerciale utilisant des images haute résolution volumineuses qui prennent plus de temps à afficher, utilisez des versions basse résolution pour la mise en page, puis remplacez-les par des versions haute résolution avant l’impression.

Dans Illustrator et InDesign, vous pouvez travailler sur des versions basse résolution à l’aide du panneau Liens. Dans InDesign, vous pouvez choisir l’affichage Typique ou Rapide dans le menu Affichage > Performances d’affichage ; dans

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Publication sur le Web La publication en ligne requiert souvent des images aux dimensions adaptées aux exigences du

moniteur de sortie. Ainsi, la longueur et la largeur des images ne dépassent généralement pas 500 par 400 pixels afin de contenir les commandes de la fenêtre du navigateur ou les éléments de mise en page tels que les légendes. La création d’une image avec une résolution d’écran (96 ppp sous Windows et 72 ppp sur Mac OS) vous permet de la visualiser telle qu’elle apparaîtra affichée dans un navigateur Web standard. Dans le cadre de la publication en ligne, des résolutions supérieures sont nécessaires uniquement si vous souhaitez que les utilisateurs puissent utiliser le zoom pour voir les détails d’un document PDF ou si ce dernier est destiné à une éventuelle impression.

Importation de fichiers à partir d’autres applications

Importation de graphiques Adobe Illustrator Le mode d’importation de graphiques Illustrator dépend de la quantité de modifications à apporter au graphique après l’importation. Vous pouvez importer des graphiques Illustrator dans InDesign dans leur format natif (.ai). Pour régler la visibilité des calques dans InDesign Importez le graphique à l’aide de la commande Importer, puis choisissez Edition > Modifier l’original pour ouvrir le graphique dans Illustrator et le modifier à votre convenance. Pour une publication multilingue par exemple, vous pouvez créer une illustration comprenant un calque de texte pour chaque langue. Vous pouvez transformer l’illustration en un objet dans InDesign, mais vous ne pouvez alors plus modifier les tracés, les objets ou le texte dans l’illustration.

Fichier multicalque avec calques en espagnol et en anglais

Pour modifier des objets et des tracés dans InDesign

Copiez l’image à partir d’Illustrator et collez-la dans un document InDesign. Par exemple, dans le cas d’un magazine, vous pouvez utiliser le même élément de composition pour chaque numéro mais modifier sa couleur tous les mois. Lorsque vous collez un graphique dans InDesign, vous pouvez modifier la couleur, le tracé ou les paramètres de transparence des objets à l’aide des outils InDesign conçus à cet effet. Pour importer des graphiques Illustrator comportant plusieurs plans de travail Les graphiques Illustrator CS4 peuvent inclure plusieurs plans de travail. Lorsque vous importez un graphique Illustrator de ce type, vous pouvez indiquer quel plan de travail ou « page » importer à l’aide des options d’importation.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

« Collage ou glisser-déposer de graphiques » à la page 420

Création d’un fichier PDF multicalque dans Adobe Illustrator

Vous pouvez enregistrer un graphique Illustrator sous forme de fichier PDF multicalque et contrôler la visibilité des calques dans InDesign. En réglant la visibilité des calques dans InDesign, vous pouvez adapter une illustration au contexte. Plutôt que de créer plusieurs versions de la même illustration, par exemple pour une publication multilingue, placez la même illustration là où vous en avez besoin et réglez la visibilité des calques. Vous pouvez transformer un fichier PDF en objet (vous pouvez ainsi le redimensionner ou le faire pivoter), mais dans ce cas, vous ne pouvez plus modifier les tracés, les objets ou le texte dans l’illustration. Si vous importez un fichier Illustrator contenant plusieurs plans de travail, vous pouvez spécifier celui que vous voulez utiliser, comme lors de l’importation de fichiers PDF multipages. Remarque : évitez de placer des calques dans des ensembles de calques imbriqués si vous souhaitez pouvoir modifier les calques dans InDesign. 1 Dans Illustrator, choisissez Fichier > Enregistrer sous. 2 Dans la boîte de dialogue Enregistrer sous, entrez un nom de fichier et choisissez l’emplacement du fichier. 3 Choisissez le format Adobe PDF (.pdf) et cliquez sur Enregistrer. 4 Dans la boîte de dialogue Options Adobe PDF, choisissez Acrobat 6 (1.5) ou une version ultérieure dans le

champ Compatibilité.

5 Sélectionnez Créer des calques Acrobat d’après des calques de niveau supérieur et cliquez sur Enregistrer en PDF.

Collage de graphiques Illustrator dans InDesign

Lorsque vous importez un graphique depuis Illustrator 8.0 ou version ultérieure dans un document InDesign, l’image s’affiche dans InDesign comme un ensemble d’objets modifiables. Par exemple, si vous copiez à partir d’Illustrator le dessin d’un ballon formé de pièces créées individuellement, InDesign les colle en les groupant ; elles peuvent ensuite être dissociées et modifiées à l’aide des outils d’InDesign. La visibilité des calques ne peut pas être modifiée dans l’illustration.

Illustration d’un ballon de football dans Illustrator (à gauche) et même illustration collée dans InDesign (à droite)

Important : avant de coller un graphique, assurez-vous qu’Illustrator est configuré pour copier au format AICB (voir l’aide d’Illustrator). Dans InDesign, assurez-vous que l’option Préférer le PDF au collage n’est pas sélectionnée dans les préférences Gestion du presse-papiers. Si ces options ne sont pas correctement définies, le graphique Illustrator ne pourra pas être modifié dans InDesign.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Dégradés Les dégradés linéaires et radiaux créés dans Illustrator peuvent être modifiés à l’aide de l’outil Dégradé ou

le panneau Dégradé dans InDesign. Les dégradés composés de nombreux tons directs ou de motifs compliqués peuvent apparaître comme non modifiables dans InDesign. Si votre illustration contient des dégradés compliqués, importez-la à l’aide de la commande Importer.

Transparence La transparence est aplatie lorsqu’un graphique Illustrator est collé ou glissé dans InDesign. Styles graphiques Les styles graphiques Illustrator ne deviennent pas des styles d’objet InDesign lorsqu’une image est importée dans InDesign par collage ou glisser-déposer. Motifs Les objets Illustrator avec un motif pour le fond ou le contour deviennent des images EPS incorporées lorsqu’ils

sont importés dans InDesign par collage ou glisser-déposer.

Texte Si vous faites glisser du texte depuis Illustrator dans InDesign, celui-ci est vectorisé et ne peut pas être modifié avec l’outil Texte. Si vous sélectionnez le texte avec l’outil Texte dans Illustrator, puis que vous le copiez dans un bloc de texte dans InDesign, le texte perd sa mise en forme mais reste modifiable. Si vous faites glisser le texte dans InDesign sans sélectionner de bloc, le texte perd sa mise en forme et ne peut plus être modifié.

Lorsque vous collez du texte à partir d’Illustrator, celui-ci est importé sous la forme d’un ou plusieurs objets pouvant

être transformés et colorisés dans InDesign, mais pas modifiés. Par exemple, si vous créez du texte sur un tracé dans Illustrator, puis que vous le collez dans InDesign, le texte peut être colorisé, subir une rotation et une mise à l’échelle, mais il ne peut pas être modifié à l’aide de l’outil Texte. Pour pouvoir modifier le texte, utilisez l’outil Texte pour le coller dans un bloc de texte. Illustration Les illustrations copiées depuis Illustrator et collées dans InDesign sont incorporées dans le document

InDesign. Aucun lien vers le fichier Illustrator original n’est créé.

Importation des fichiers Adobe Photoshop (.PSD)

Vous pouvez importer des graphiques créés dans Adobe Photoshop 4.0 et versions ultérieures directement dans une mise en page InDesign. Calques et compositions de calques Vous pouvez régler la visibilité des calques de niveau supérieur dans InDesign et afficher différentes compositions de calques. La modification de la visibilité des calques ou des compositions de calques dans InDesign ne modifie pas le fichier Photoshop initial. Tracés, masques ou couches alpha Si vous enregistrez des tracés, des masques ou des couches alpha dans un fichier

Photoshop, InDesign peut les utiliser pour supprimer des arrière-plans ou pour habiller le contour d’un graphique. Les graphiques contenant des tracés, des masques ou des couches alpha se comportent comme des objets transparents lorsqu’ils sont importés.

Profil de gestion des couleurs ICC Si vous importez une image Photoshop avec un profil de gestion des couleurs ICC

incorporé, InDesign lit automatiquement ce profil, à condition que la gestion des couleurs soit active. Vous pouvez remplacer le profil incorporé de l’image à l’aide de la boîte de dialogue Options d’importation, ou attribuer un profil de couleurs différent à l’image dans InDesign. Le remplacement du profil de couleurs dans InDesign ne supprime pas et ne modifie pas le profil incorporé dans l’image Photoshop.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

« Importation de graphiques » à la page 411 « Création d’un pseudonyme d’encre pour un ton direct » à la page 707

Importation de pages PDF La commande Importer vous permet de spécifier les pages à importer à partir d’un fichier PDF multipages ou d’un fichier Illustrator comportant plusieurs plans de travail. Vous pouvez, au choix, importer une seule page, une série de pages ou toutes les pages du document. Les fichiers PDF multipages permettent aux concepteurs de combiner des illustrations en vue d’une publication en un fichier unique.

Les options de sélection de groupes de pages apparaissent si vous sélectionnez Afficher les options d’importation dans la boîte de dialogue Importer (voir la section « Options d’importation Acrobat (.pdf) et Illustrator (.ai) » à la page 415). Cette boîte de dialogue contient un aperçu présentant une vignette des pages avant que vous ne les importiez. Si vous importez plusieurs pages, InDesign recharge l’icône de graphique avec la page suivante, afin que vous puissiez importer les pages les unes après les autres. InDesign n’importe pas les films, sons, liens ni boutons d’un fichier PDF. Comparer la résolution du périphérique et la résolution d’écran des pages PDF importées Une page PDF importée s’affiche avec des résolutions d’écran et de mise à l’échelle optimisées. Lorsqu’elle est imprimée sur un périphérique de sortie PostScript, une page PDF importée s’imprime toujours avec la résolution du périphérique. Si l’impression s’effectue sur une imprimante non-PostScript, une page PDF importée s’imprime avec la même résolution que les autres objets InDesign du document. Par exemple, les objets vectoriels (dessins) s’imprimeront avec une résolution semblable à celle des autres objets vectoriels du document. La résolution d’impression des images bitmap sera la résolution la plus haute du fichier PDF importé. Pour créer des liens à des fichiers PDF importés Une page PDF importée s’affiche dans un document InDesign sous la forme d’un aperçu à l’écran comportant un lien vers une page spécifique du fichier PDF d’origine. Après avoir importé une page PDF, vous pouvez rompre les liens en utilisant l’une des méthodes suivantes :

• Si vous ajoutez un mot de passe au fichier PDF d’origine qui a été importé dans un document InDesign et que vous actualisez le lien, le système vous invite à entrer le mot de passe.

• Si vous supprimez des pages du document PDF d’origine et mettez le lien à jour, le numéro de la page PDF importée est modifié afin de correspondre au nouveau numéro de la page d’origine.

• Si vous changez l’ordre des pages du fichier PDF d’origine et mettez le lien à jour, la page PDF importée peut être différente du résultat escompté. Si c’est le cas, importez de nouveau la page.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Lorsque la gestion des couleurs est active, InDesign affiche le fichier PDF importé à l’aide du profil ICC incorporé ou du profil de rendu de la sortie (PDF/X uniquement). Si la gestion des couleurs est désactivée ou si vous importez un fichier PDF qui ne contient pas de profil ICC ou de profil de rendu de la sortie, les couleurs du fichier PDF importé sont étalonnées à l’aide du profil de couleurs du document InDesign. Lorsque vous exportez ou imprimez le document, vous pouvez préserver le profil ICC incorporé dans le fichier PDF importé ou le remplacer par le profil du document. Les profils de rendu de la sortie sont utilisés pour l’affichage et sont inclus lorsque vous exportez sous PDF/X ; ils ne sont pas utilisés pour l’impression du document et ne sont pas inclus lors de l’exportation dans un autre format. Paramètres de sécurité dans les pages PDF importées Etant donné qu’une page PDF importée est liée au fichier PDF d’origine, elle comporte également les paramètres de sécurité de ce fichier. Si une personne modifie ces paramètres, ils sont mis à jour dans la page PDF importée lors de la mise à jour des liens. Si vous entrez un mot de passe principal lors de l’importation d’une page PDF, vous annulez toute restriction dans la page PDF, permettant ainsi à la page PDF importée de s’exporter correctement.

« Options d’importation Acrobat (.pdf) et Illustrator (.ai) » à la page 415 « Contrôle de la visibilité des calques des images importées » à la page 418 « Options d’importation de graphiques » à la page 412

Importation de pages InDesign (.indd)

A l’aide de la commande Importer, vous pouvez importer des pages d’un document InDesign dans un autre. Vous pouvez importer une page, une plage de pages ou toutes les pages du document. Les pages sont importées en tant qu’objets (de la même façon que les fichiers PDF sont importés). Ajoutez des pages dans votre document pour accueillir les pages à importer. Choisissez Fichier > Importer et sélectionnez un fichier .indd. Vous pouvez ensuite activer l’option Afficher les options d’importation, puis spécifier les pages à importer, les calques à rendre visibles et le recadrage des pages importées. Vous pouvez faire défiler les vignettes des pages dans la fenêtre Aperçu pour les examiner de plus près. Les pages que vous sélectionnez sont chargées dans l’icône de graphique. Si vous importez plusieurs pages, InDesign charge l’icône de graphique avec la page suivante. Vous pouvez ainsi importer les pages les unes après les autres. Remarque : le nom de chaque page importée s’affiche dans le panneau Liens. Si une page que vous avez importée contient un graphique ou un autre élément importé dans celle-ci, le nom de cet élément figure également dans le panneau Liens. Les noms des éléments importés secondaires sont recensés sous un triangle d’affichage dans le panneau Liens, afin que vous puissiez les différencier des pages importées.

« Importation de graphiques » à la page 411 « Contrôle de la visibilité des calques des images importées » à la page 418

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« Importation de nuances » à la page 518 « Films et sons » à la page 601

Fichiers TIFF (.tif)

TIFF est un format d’image bitmap souple pris en charge par la plupart des applications de dessin, de retouche d’images et de mise en page. En outre, presque tous les scanners de bureau sont en mesure de produire des images TIFF. Le format TIFF prend en charge les modes colorimétriques CMJN, RVB, niveaux de gris, LAB, couleurs indexées et les fichiers bitmap contenant des couches alpha et tons directs. Vous pouvez sélectionner une couche alpha lorsque vous importez un fichier TIFF. Les couches de tons directs apparaissent dans InDesign comme des tons directs dans le panneau Nuancier. Utilisez un programme de retouche d’images comme Photoshop pour créer un masque si vous souhaitez un arrièreplan transparent dans une image TIFF. InDesign prend en charge les masques dans les images TIFF et reconnaît les commentaires OPI codés.

Fichiers Graphics Interchange Format (.gif)

Le format GIF (Graphics Interchange Format) est un format standard d’affichage des images sur le Web et d’autres services en ligne. Sa méthode de compression est dite sans perte, car il compresse les données des images sans perdre de détails. Ce type de compression est idéal pour les graphiques avec un nombre limité de couleurs unies, comme les logos ou les diagrammes. Cependant, le format GIF est limité à 256 couleurs. Il est donc moins efficace pour l’affichage des photographies en ligne (utilisez plutôt le format JPEG) et déconseillé pour les imprimés commerciaux. Si un fichier GIF importé contient des transparences, l’image interagit uniquement aux emplacements où l’arrière-plan est transparent.

Fichiers JPEG (.jpg)

Le format JPEG (Joint Photographic Experts Group) s’utilise beaucoup pour l’affichage de photographies et autres images à tons continus au format HTML sur le Web et autres supports en ligne. Le format JPEG prend en charge les modes colorimétriques CMJN, RVB et niveaux de gris. Contrairement au format GIF, le format JPEG conserve toutes les informations colorimétriques d’une image RVB. Le format JPEG utilise un schéma de compression ajustable et avec perte qui réduit de manière efficace la taille du fichier en identifiant et en supprimant les données inutiles à l’affichage de l’image. Un niveau de compression élevé induit une qualité d’image basse tandis qu’un niveau de compression bas implique une image de meilleure qualité mais une taille de fichier supérieure. Dans la plupart des cas, la compression d’une image à l’aide de l’option de qualité Maximale permet d’obtenir un résultat parfaitement identique à l’original. L’ouverture d’une image JPEG entraîne automatiquement sa décompression.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Travaillez en collaboration avec votre prestataire de services prépresse pour préserver la qualité JPEG lors de l’impression.

Fichiers bitmap (.bmp)

BMP est le format standard des images bitmap Windows sur des ordinateurs compatibles DOS et Windows. Il ne prend pas en charge le modèle CMJN et sa gestion des couleurs se limite à 1, 4, 8 ou 24 bits. Il est donc mal adapté à l’impression commerciale ou à la diffusion en ligne et n’est pas pris en charge par certains navigateurs Web. Les images BMP offrent une qualité d’impression acceptable à basse résolution ou sur des imprimantes non-PostScript.

Etant donné qu’ils sont basés sur le langage PostScript, les fichiers EPS peuvent contenir du texte, des graphiques vectoriels et des images bitmap. Les images PostScript ne pouvant pas s’afficher à l’écran, InDesign crée des aperçus bitmap d’images EPS pour une visualisation à l’écran. InDesign reconnaît les masques dans les fichiers EPS créés dans

Photoshop. Lorsque vous importez un fichier EPS, les tons directs qu’il contient s’ajoutent au panneau Nuancier d’InDesign. Le format EPS permet d’obtenir une résolution, une précision et des couleurs de qualité prépresse. Ce format inclut toutes les données d’image et de couleur nécessaires à la séparation des couleurs d’une image DCS incorporée dans des images EPS. Si EPS n’est pas le format le plus adapté à la publication en ligne au format HTML, il l’est en revanche pour la publication en ligne au format PDF. Les fichiers EPS peuvent contenir des commentaires OPI (Open Prepress Interface) permettant d’utiliser des versions d’images rapides et basse résolution (doublures) pour les positionner sur une page. Au moment de la sortie finale, InDesign ou votre prestataire de services prépresse peuvent automatiquement remplacer les doublures par leurs versions haute résolution.

Fichiers Desktop Color Separations (.dcs)

Le format de séparation des couleurs DCS (Desktop Color Separations), développé par Quark, est une variante du format EPS standard. Le format DCS 2.0 prend en charge les fichiers CMJN multicouches avec plusieurs couches de tons directs (ces couches apparaissent comme des tons directs dans le panneau Nuancier d’InDesign). Le format DCS 1.0 prend en charge les fichiers CMJN sans tons directs. InDesign reconnaît les masques de fichiers DCS 1.0 et DCS 2.0 créés dans Photoshop. Les fichiers DCS sont destinés à une utilisation dans un flux de production préséparé et basé sur l’ordinateur hôte. Les fichiers de séparations de couleurs associés à une image DCS sont généralement exclus lors de l’exportation ou de l’impression d’un composite vers un fichier PDF, EPS ou PostScript, à l’exception des fichiers DCS 8 bits créés dans Photoshop, qui ne contiennent pas de graphiques vectoriels.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Les images PICT ne prennent pas en charge la séparation des couleurs et sont dépendantes du périphérique ; elles sont déconseillées pour l’impression commerciale haute résolution. Le format PICT fournit une qualité d’impression acceptable uniquement si l’impression s’effectue sur des imprimantes basse résolution ou non-PostScript.

Fichiers Windows Metafile Format (.wmf) et Enhanced Metafile Format (.emf)

Les formats WMF (Windows Metafile Format) et EMF (Windows Enhanced Metafile Format) sont des formats Windows natifs utilisés principalement pour des graphiques vectoriels, tels que des images électroniques partagées par plusieurs applications Windows. Les métafichiers peuvent contenir des informations d’images pixellisées ; InDesign reconnaît les informations vectorielles et assure une prise en charge limitée des opérations pixellisées. La prise en charge des couleurs est limitée à la résolution RVB 16 bits et aucun de ces deux formats ne prend en charge la séparation des couleurs. Il est recommandé d’éviter les formats Metafile pour les impressions commerciales.

Le format PCX est généralement utilisé sous Windows. La plupart des logiciels Windows prennent en charge la version 5 du format PCX. Le format PCX prend en charge les modes colorimétriques RVB, couleurs indexées, niveaux de gris, bitmap, de même que la méthode de compression sans perte RLE, mais pas les couches alpha. Les images peuvent posséder un nombre de bits de 1, 4, 8 ou 24. Cependant, le format PCX n’est pas adapté à l’impression commerciale ou à la diffusion en ligne. Les images PCX offrent une qualité acceptable uniquement si elles sont imprimées à l’aide d’une imprimante basse résolution ou non-PostScript.

Fichiers Portable Network Graphics (.png)

Le format PNG (Portable Network Graphics) fait appel à une compression réglable et sans perte pour l’affichage de photographies 24 bits ou d’images aux couleurs unies sur le Web ou sur d’autres supports en ligne. Le format PNG a été développé pour offrir une alternative sans brevet au format GIF. Il prend en charge la transparence des couches alpha ou d’une couleur désignée. Le format PNG convient particulièrement aux documents en ligne. Les graphiques PNG en couleurs importés dans un document InDesign sont des images bitmap RVB.

Fichiers Scitex CT (.sct)

Le format CT (Scitex Continuous Tone) est utilisé pour le traitement d’images haut de gamme sur des ordinateurs Scitex. Les fichiers CT Scitex proviennent souvent de scanners Scitex, qui produisent des images numérisées de haute qualité pour l’impression commerciale. Le format CT Scitex prend en charge les fichiers CMJN, RVB et niveaux de gris mais pas les couches alpha. Contactez Scitex pour obtenir des utilitaires de transfert de fichiers enregistrés au format CT Scitex vers un système Scitex.

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La commande Importer constitue la première méthode d’insertion des graphiques dans InDesign, car elle offre la meilleure prise en charge de la résolution, des formats de fichier, des fichiers INDD et PDF multipages et de la couleur. On parle aussi d’importation d’images ou d’insertion d’images pour désigner le processus d’importation de graphiques. Si vous créez un document pour lequel les caractéristiques citées ci-dessus ne sont pas essentielles, effectuez un copiercoller pour importer les graphiques souhaités dans InDesign. Cependant, lorsque vous collez un graphique, celui-ci est intégré au document. Le lien vers le fichier graphique d’origine est rompu et ne s’affiche pas dans le panneau Liens. Vous ne pouvez donc pas mettre à jour le graphique à partir du fichier d’origine. Cependant, le collage de graphiques Illustrator vous permet de modifier les tracés dans InDesign (voir la section « Importation de graphiques Adobe Illustrator » à la page 403). Les options qui vous sont proposées lorsque vous importez un fichier graphique dépendent du type de graphique. Ces options apparaissent si vous sélectionnez Afficher les options d’importation dans la boîte de dialogue Importer. Si vous n’activez pas l’option Afficher les options d’importation, InDesign applique les paramètres par défaut ou les derniers paramètres utilisés pour l’importation d’un fichier graphique du même type. Les noms des graphiques importés s’affichent dans le panneau Liens. Remarque : si vous importez ou faites glisser un graphique depuis un support amovible tel qu’un CD-ROM, le lien vers celui-ci sera rompu dès l’éjection de ce support. Pour consulter un didacticiel vidéo sur l’importation d’une image, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid4279_id_fr. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour importer un graphique sans créer de bloc, assurez-vous que rien n’est sélectionné dans le document.

• Pour importer un graphique dans un bloc existant, sélectionnez ce bloc. Si la nouvelle image est plus grande que le bloc, vous pouvez redimensionner le bloc ultérieurement (choisissez Objet > Ajustement > [commande d’ajustement].

• Pour remplacer une image existante, sélectionnez le bloc de l’image.

2 Choisissez Fichier > Importer et sélectionnez un ou plusieurs fichiers graphique, de n’importe quel format

Si vous sélectionnez plusieurs fichiers, vous pouvez les importer un par un dans le document d’un simple clic ou par glisser-déposer (voir la section « Importation de plusieurs graphiques » à la page 416). 3 Pour remplacer un objet sélectionné, choisissez Remplacer l’élément sélectionné. 4 Pour ajouter une légende basée sur les métadonnées de l’image, sélectionnez l’option Créer des légendes statiques

(voir la section « Création d’une légende à partir d’une image » à la page 257).

5 Pour définir des options d’importation selon le format, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Sélectionnez Afficher les options d’importation, puis cliquez sur Ouvrir.

• Tout en maintenant la touche Maj enfoncée, cliquez sur Ouvrir ou cliquez deux fois sur le nom du fichier. Remarque : lorsque vous importez un graphique créé dans Illustrator 9.0 (ou une version ultérieure) au moyen de la boîte de dialogue Afficher les options d’importation, les options sont identiques à celles des fichiers PDF. Dans le cas d’un graphique Illustrator 5.5-8.x, les options sont identiques à celles des fichiers EPS.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

7 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour importer l’élément dans un nouveau bloc, cliquez et faites glisser le pointeur de votre souris pour créer un bloc. Vous pouvez également cliquer sur l’icône de graphique chargé souhaitez positionner le coin supérieur gauche du graphique.

à l’emplacement de la page où vous

Remarque : lorsque vous cliquez et faites glisser le pointeur pour créer un bloc, ce dernier a les mêmes dimensions que le graphique, sauf si vous faites glisser tout en maintenant la touche Maj enfoncée.

• Pour importer vers un bloc existant non sélectionné, cliquez sur l’icône de graphique chargé n’importe où dans ce bloc.

• Pour importer vers un bloc existant sélectionné, aucune action n’est nécessaire si l’option Remplacer l’élément sélectionné est sélectionnée. L’image s’affiche automatiquement dans ce bloc.

• Pour remplacer un graphique existant, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée, puis cliquez sur l’icône de graphique chargé sur le graphique à remplacer.

• Pour importer en même temps toutes les pages spécifiées d’un fichier multipages (PDF ou INDD, par exemple) en les faisant se chevaucher, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée tout en cliquant sur l’icône de graphique chargé où vous souhaitez que les pages s’affichent.

Si, par mégarde, vous remplacez une image existante par une image importée, annulez cette action en appuyant sur les touches Ctrl+Z (Windows) ou Commande+Z (Mac OS) afin de restaurer l’image d’origine dans le bloc et d’afficher l’icône du graphique chargé. 8 Pour importer le graphique suivant ou la page suivante d’un fichier PDF multipage, cliquez sur l’icône de graphique

chargé à l’emplacement souhaité de la mise en page. Si nécessaire, vous pouvez choisir un emplacement différent, ou changer les pages, sans perdre l’icône de graphique chargé.

Remarque : selon les paramètres que vous avez définis, l’image que vous importez semble être en basse résolution. Les paramètres d’affichage d’une image n’affectent pas la sortie finale du fichier. Pour modifier les paramètres d’affichage de votre image, reportez-vous à la section « Contrôle des performances d’affichage des graphiques » à la page 421.

« Options d’importation de graphiques » à la page 412 « A propos des liens et des graphiques incorporés » à la page 424 « Choix d’un format de graphique approprié » à la page 401 Vidéo Importer un contenu

Options d’importation de graphiques

Les options d’importation de graphiques varient en fonction du type d’image importée. Pour les visualiser, veillez à bien sélectionner l’option Afficher les options d’importation dans la boîte de dialogue Importer.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

images imbriquées dans le graphique. Désélectionnez cette option si votre flux de production est basé sur des doublures et si vous envisagez de charger votre prestataire de services du remplacement des images à l’aide d’un logiciel OPI. Si cette option est désélectionnée, InDesign préserve les liens OPI mais ne les lit pas. Lors de l’impression ou de l’exportation, la doublure et les liens sont transmis au fichier de sortie. Sélectionnez cette option si votre flux de production est basé sur des doublures et si vous souhaitez qu’InDesign, et non votre prestataire de services, se charge du remplacement des images lors de l’impression ou de l’affichage du fichier final. Si cette option est sélectionnée, les liens OPI s’affichent dans le panneau Liens. Sélectionnez également cette option si vous importez des fichiers EPS avec des commentaires OPI ne faisant pas partie d’un flux de production basé sur des doublures. Par exemple, si vous importez un fichier EPS contenant les commentaires OPI d’une image bitmap ou TIFF ignorée, sélectionnez cette option afin qu’InDesign accède aux informations TIFF lors de l’impression ou de l’affichage du fichier. Appliquer le masque Photoshop Que l’option soit sélectionnée ou non, un fichier EPS importé inclut un masque dans

InDesign. Cependant, si vous désélectionnez cette option, vous risquez d’obtenir une taille de cadre de sélection différente.

Création d’une doublure Cette option crée une représentation bitmap basse résolution d’une image pour un affichage

à l’écran. La doublure est définie selon les paramètres suivants :

• Utiliser l’aperçu TIFF ou PICT Certaines images EPS contiennent un aperçu intégré. Sélectionnez cette option pour générer la doublure d’image de l’aperçu existant. S’il n’existe aucun aperçu, la doublure est générée en pixellisant l’image EPS pour obtenir une image bitmap hors écran.

• Pixelliser le PostScript Sélectionnez cette option si vous souhaitez ignorer l’aperçu intégré. Cette option est généralement plus lente mais permet d’obtenir des résultats de qualité optimale.

Remarque : lorsque vous importez plusieurs fichiers dans le même document, toutes les occurrences du fichier importé partagent le même paramètre de doublure que la première occurrence.

Options d’importation des bitmap

Vous pouvez appliquer des options de gestion des couleurs à chaque image importée si vous utilisez les outils de gestion des couleurs dans un document. Vous pouvez également importer un masque ou une couche alpha enregistré avec une image créée dans Photoshop. Cela vous permet de sélectionner directement une image et de modifier son tracé sans toucher au bloc graphique. Lorsque vous importez un fichier PSD, TIFF, GIF, JPEG ou BMP, puis que vous sélectionnez Afficher les options d’importation dans la boîte de dialogue Importer, une boîte de dialogue contenant les options suivantes s’affiche : Appliquer le masque Photoshop Cette option n’est pas disponible si l’image n’a pas été enregistrée avec un masque ou

si le format de fichier ne prend pas en charge les masques. Si l’image bitmap ne possède pas de masque, créez-en un dans InDesign.

Couche alpha Sélectionnez une couche alpha pour importer la zone de l’image enregistrée en tant que couche alpha

dans Photoshop. InDesign utilise la couche alpha pour créer un masque transparent sur l’image. Cette option est disponible uniquement pour les images qui contiennent au moins une couche alpha.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

profil de couleur source correspondant à la gamme de couleurs du périphérique ou du logiciel utilisé pour créer le graphique. Ce profil permet à InDesign de convertir les couleurs en fonction de la gamme de couleurs du périphérique de sortie. Mode de rendu Choisissez une méthode de mise à l’échelle de la gamme des couleurs du graphique en fonction de celle du périphérique de sortie. Choisissez de préférence l’option Perception (Images), car elle reproduit les couleurs des photographies de manière très précise. Les options Saturation (Graphiques), Colorimétrie relative et Colorimétrie absolue sont idéales pour des zones de couleur unie, mais pas pour des photographies. Les options de mode de rendu ne sont pas disponibles pour les images bitmap, en niveaux de gris et en mode couleurs indexées.

Options d’importation Portable Network Graphics (.png)

Lorsque vous importez une image PNG et que vous sélectionnez Afficher les options d’importation dans la boîte de dialogue Importer, une boîte de dialogue présentant trois sections de paramètres d’importation s’affiche. Deux sections contiennent les mêmes options que les autres formats d’images bitmap. La troisième section PNG contient les paramètres suivants : Utiliser les informations de transparence Cette option est activée par défaut lorsqu’une image PNG inclut des

transparences. Si un fichier PNG importé contient des transparences, le graphique interagit uniquement aux emplacements où l’arrière-plan est transparent.

Fond blanc Si une image PNG ne contient pas de couleur d’arrière-plan définie par le fichier, cette option est

sélectionnée par défaut. Cependant, elle est uniquement activée si l’option Utiliser les informations de transparence est elle-même activée. Si cette option est sélectionnée, l’arrière-plan est de couleur blanche lorsque les informations de transparence sont appliquées.

Couleur d’arrière-plan définie par fichier Si l’arrière-plan d’une image PNG enregistrée n’est pas blanc et que l’option Utiliser les informations de transparence est sélectionnée, cette option est activée par défaut. Si vous ne souhaitez pas utiliser la couleur d’arrière-plan par défaut, cliquez sur Fond blanc pour importer l’image avec un arrière-plan blanc, ou désélectionnez Utiliser les informations de transparence pour importer l’image sans transparence (en affichant les zones de l’image transparentes). Certains programmes de retouche d’images ne sont pas en mesure de spécifier une couleur d’arrière-plan autre que le blanc pour les images PNG. Appliquer la correction du gamma Sélectionnez cette option pour ajuster les valeurs du gamma (tons moyens) de

l’image PNG lors de son importation. Cette option vous permet de faire correspondre les valeurs du gamma de l’image aux valeurs du gamma du périphérique d’impression ou d’affichage utilisé (imprimante basse résolution ou nonPostScript ou moniteur). Désélectionnez cette option pour importer l’image sans appliquer de correction gamma. Par défaut, cette option est sélectionnée si l’image PNG a été enregistrée avec une valeur de gamma.

Valeur du gamma Cette option, disponible uniquement si l’option Appliquer la correction du gamma est sélectionnée, affiche la valeur du gamma enregistrée avec l’image. Pour modifier cette valeur, entrez un nombre positif compris entre 0,01 et 3.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Lorsque vous importez un fichier PDF (ou un fichier enregistré dans Illustrator 9.0 ou version ultérieure) et que vous sélectionnez Afficher les options d’importation dans la boîte de dialogue Importer, une boîte de dialogue contenant les options suivantes s’affiche : Afficher l’aperçu Affichez un aperçu de la page d’un fichier PDF avant de l’importer. Si vous importez une page à partir d’un fichier PDF contenant plusieurs pages, cliquez sur les flèches ou entrez un numéro de page sous l’aperçu pour prévisualiser la page à importer. Pages Spécifiez les pages à importer : les pages affichées dans l’aperçu, toutes les pages ou un groupe de pages. Dans le cas des fichiers Illustrator, vous pouvez spécifier le plan de travail à importer.

Si vous spécifiez plusieurs pages, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée pendant l’importation du fichier pour importer en même temps toutes les pages en les faisant se chevaucher.

Recadrer selon Spécifiez la partie de la page PDF à importer :

• Cadre de sélection Importe le cadre de sélection de la page PDF ou la zone minimale qui comprend les objets de la page, notamment les repères de page. L’option Cadre de sélection (Calques visibles seulement) utilise uniquement le cadre de sélection des calques visibles du fichier PDF. L’option Cadre de sélection (Tous les calques) importe le cadre de sélection de toute la zone de calque du fichier PDF, même si les calques sont masqués.

• Graphiques Importe uniquement la page PDF dans un rectangle créé par l’auteur et délimité en tant qu’illustration pouvant être importée (images électroniques par exemple). • Recadrage Importe la page PDF uniquement dans la zone qui s’affiche ou s’imprime dans Adobe Acrobat. • Rognage Identifie l’emplacement où la page finale sera rognée lors de la phase finale de production, s’il existe des traits de coupe. • Fond perdu Importe uniquement la zone où tous les contenus de la page doivent être écrêtés, s’il existe une zone de fond perdu. Ces informations sont utiles si la page est imprimée dans un contexte de production. Notez que la page imprimée peut inclure des repères de page en dehors de la zone de fond perdu. • Support Importe la zone correspondant à la taille réelle de la page du document PDF d’origine (par exemple, les dimensions d’une feuille de papier A4), repères de page inclus.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Lorsque vous importez un fichier InDesign et que vous activez l’option Afficher les options d’importation dans la boîte de dialogue Importer, une boîte de dialogue contenant les options suivantes s’affiche : Afficher l’aperçu Affichez l’aperçu d’une page avant de l’importer. Vous pouvez saisir un numéro de page ou cliquer sur les flèches pour afficher l’aperçu d’une page dans un document multipage. Pages Spécifiez les pages à importer : les pages affichées dans l’aperçu, toutes les pages ou un groupe de pages. Recadrer selon Indiquez les parties de la page ou des pages à importer, la page elle-même ou les zones de fond perdu

ou de ligne-bloc sur la table de montage.

Importation de plusieurs graphiques

La commande Importer vous permet d’importer plusieurs éléments en même temps. 1 Créez des blocs pour les graphiques si vous souhaitez en importer certains, ou tous, dans des blocs.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Une vignette du premier graphique que vous avez sélectionné s’affiche en regard de l’icône de graphique chargé. Un nombre apparaît également en regard de l’icône de graphique chargé pour vous indiquer le nombre de graphiques prêts à être importés. Les noms des graphiques s’affichent dans le panneau Liens. Les lettres LP (pour « loaded in place cursor » en anglais (chargé dans le curseur d’importation)) apparaissent en regard du nom du graphique situé au premier plan.

Importation de quatre fichiers dans des blocs de substitution

Appuyez sur une touche de direction pour faire défiler les graphiques. Appuyez sur la touche Echap pour annuler le chargement, dans l’icône de graphique chargé, du graphique situé au premier plan, sans l’importer dans InDesign.

Remarque : vous pouvez empêcher les vignettes de s’afficher dans l’icône de graphique chargé si leur affichage ralentit votre ordinateur. Dans la zone Interface de la boîte de dialogue Préférences, désactivez l’option Afficher les vignettes à l’importation. 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour importer l’élément dans un nouveau bloc, cliquez sur l’icône de graphique chargé à l’emplacement où vous souhaitez positionner le coin supérieur gauche du graphique.

• Pour créer un bloc d’une taille spécifique et importer le graphique dans ce bloc, cliquez et faites glisser le pointeur pour définir le bloc. Le bloc s’adapte aux dimensions du graphique en cours d’importation.

• Pour importer le graphique dans un bloc existant, cliquez sur l’icône du graphique chargé dans le bloc. Maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée tout en cliquant pour remplacer le contenu d’un bloc existant.

• Pour importer tous les graphiques chargés dans une grille, commencez par les faire glisser, puis appuyez sur les touches fléchées pour définir le nombre de lignes et de colonnes. Utilisez les touches flèche haut et flèche bas pour modifier le nombre de lignes et les touches flèche droite et flèche gauche pour modifier le nombre de colonnes.

Relâchez le bouton de la souris pour importer la grille d’images. Pour modifier l’espacement entre les blocs, appuyez sur les touches Pg préc et Pg suiv ou appuyez sur les touches fléchées tout en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée. Remarque : vous pouvez charger davantage de graphiques en choisissant Fichier > Importer lorsque l’icône de graphique est affichée.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez régler la visibilité des calques soit au moment d’importer le fichier, soit au moyen de la boîte de dialogue Options de calque d’objet. En outre, si le fichier Photoshop contient des compositions de calques, vous pouvez afficher la composition de votre choix.

« Importation de graphiques Adobe Illustrator » à la page 403 « Création d’un fichier PDF multicalque dans Adobe Illustrator » à la page 404 « Importation des fichiers Adobe Photoshop (.PSD) » à la page 405

Pour définir la visibilité des calques

1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour importer un graphique sans créer de bloc, assurez-vous que rien n’est sélectionné dans le document.

• Pour importer un graphique dans un bloc existant, sélectionnez ce bloc. • Pour remplacer une image existante, sélectionnez le bloc de l’image. 2 Choisissez Fichier > Importer, puis sélectionnez un fichier graphique. 3 Pour remplacer un objet sélectionné, choisissez Remplacer l’élément sélectionné. 4 Sélectionnez Afficher les options d’importation, puis cliquez sur Ouvrir. 5 Dans la boîte de dialogue Options d’importation d’image ou Importation, cliquez sur l’onglet Calques. 6 Pour afficher un aperçu de l’image, cliquez sur Afficher l’aperçu. 7 (Fichiers PDF uniquement) Si vous importez une page à partir d’un fichier PDF multipage, cliquez sur les flèches

ou entrez un numéro de page sous l’aperçu pour prévisualiser la page à importer.

8 (Fichiers PSD Photoshop uniquement) Si l’image contient des compositions de claques, choisissez la composition

à afficher dans le menu déroulant Composition de calques.

9 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour ouvrir ou fermer un ensemble de calques, cliquez sur le triangle situé à gauche de l’icône de dossier.

• Pour masquer un calque ou un ensemble de calques, cliquez sur l’icône en forme d’œil situé en regard du calque ou de l’ensemble de calques.

• Pour masquer le calque ou l’ensemble de calques, cliquez sur la colonne marquée d’une icône en forme d’œil vide en regard du calque ou de l’ensemble de calques.

• Pour afficher uniquement le contenu d’un calque ou d’un ensemble de calques spécifique, cliquez sur l’icône en forme d’œil tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée. Répétez cette opération pour restaurer les paramètres de visibilité d’origine des autres calques.

• Pour changer la visibilité de plusieurs éléments, faites-les glisser dans la colonne marquée d’une icône en forme d’œil.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

fichier lié lorsque vous mettez le lien à jour. Conserver les remplacements de visibilité des calques Conserve les paramètres de visibilité des calques comme

spécifié dans le document InDesign.

11 Cliquez sur OK, puis utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour importer l’élément vers un nouveau bloc, cliquez sur l’icône de graphique chargé

à l’emplacement de la

page où vous souhaitez positionner le coin supérieur gauche du graphique.

• Pour importer l’élément vers un bloc existant non sélectionné, cliquez sur l’icône de graphique chargé n’importe où dans ce bloc.

• Pour importer l’élément vers un bloc existant sélectionné, aucune action n’est requise. L’image s’affiche automatiquement dans ce bloc.

Si, par mégarde, vous remplacez une image existante par une image importée, annulez cette action en appuyant sur les touches Ctrl+Z (Windows) ou Commande+Z (Mac OS) afin de restaurer l’image d’origine dans le bloc et d’afficher l’icône du graphique chargé.

Pour définir la visibilité des calques des fichiers AI, PSD, PDF et INDD importés

Une fois que vous avez importé un fichier PSD Photoshop, un fichier PDF multicalque, un fichier AI Illustrator ou un fichier INDD InDesign, vous pouvez contrôler la visibilité de ses calques à l’aide de la boîte de dialogue Options de calque d’objet. Si le fichier Photoshop contient des compositions de calques, vous pouvez choisir la composition à afficher. Vous pouvez en outre choisir de conserver ou non les paramètres de visibilité ou de faire correspondre les paramètres du fichier d’origine chaque fois que vous mettez le lien à jour. 1 Sélectionnez le fichier dans le document InDesign. 2 Choisissez Objet > Options de calque d’objet. 3 Pour afficher un aperçu de l’image, sélectionnez Aperçu. 4 (Fichiers PSD Photoshop uniquement) Si l’image contient des compositions de claques, choisissez la composition

à afficher dans le menu déroulant Composition de calques.

5 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour ouvrir ou fermer un ensemble de calques, cliquez sur le triangle situé à gauche de l’icône de dossier.

• Pour masquer un calque ou un ensemble de calques, cliquez sur l’icône en forme d’œil situé en regard du calque ou de l’ensemble de calques.

• Pour masquer le calque ou l’ensemble de calques, cliquez sur la colonne marquée d’une icône en forme d’œil vide en regard du calque ou de l’ensemble de calques.

• Pour afficher uniquement le contenu d’un calque ou d’un ensemble de calques spécifique, cliquez sur l’icône en forme d’œil tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée. Répétez cette opération pour restaurer les paramètres de visibilité d’origine des autres calques.

• Pour changer la visibilité de plusieurs éléments, faites-les glisser dans la colonne marquée d’une icône en forme d’œil.

6 Définissez les options Lors de la mise à jour du lien : Utiliser la visibilité des calques Fait correspondre les paramètres de visibilité des calques à ceux du fichier lié lorsque

vous mettez le lien à jour.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Collage ou glisser-déposer de graphiques

Lorsque vous effectuez un copier-coller ou que vous faites glisser un graphique dans un document InDesign, certains attributs de l’objet d’origine risquent d’être perdus, en fonction des limitations du système d’exploitation et des types de données que l’autre application met à disposition pour le transfert, ainsi que des préférences du presse-papier InDesign. Le déplacement de graphiques Illustrator par collage ou glisser-déposer permet de sélectionner et de modifier les tracés dans l’image. Les opérations de copier-coller ou de glissement entre deux documents InDesign ou au sein d’un même document préservent tous les attributs des graphiques importés ou appliqués. Par exemple, si vous copiez, puis que vous collez un graphique d’un document InDesign vers un autre, la nouvelle copie est la réplique exacte de l’original, incluant les informations de lien du document d’origine, ce qui vous permet de mettre à jour le graphique même si le fichier du disque est modifié.

« A propos des liens et des graphiques incorporés » à la page 424 « Collage de graphiques Illustrator dans InDesign » à la page 404

Pour copier et coller des graphiques

Lorsque vous copiez, puis collez un graphique d’un document InDesign vers un autre, InDesign ne crée pas de lien vers le graphique dans le panneau Liens. Le graphique peut être converti par le biais du presse-papiers lors du transfert. Par conséquent, la qualité d’image et d’impression dans InDesign peut être inférieure à celle du graphique dans son application d’origine. 1 Dans InDesign ou un autre programme, sélectionnez le graphique d’origine, puis choisissez Edition > Copier. 2 Sélectionnez une fenêtre de document InDesign, puis choisissez Edition > Coller.

Pour glisser-déposer des graphiques

La méthode de glisser-déposer fonctionne de la même façon que la commande Importer, et les images apparaissent dans le panneau Liens après qu’elles ont été importées. Vous ne pouvez pas définir d’options d’importation pour les fichiers que vous déplacez par glisser-déposer. Cependant, vous pouvez faire glisser et déposer plusieurs fichiers à la fois (les fichiers sont chargés dans l’icône de graphique dès que vous faites glisser et déposez plusieurs fichiers). Sélectionnez un graphique dans Adobe Illustrator, Adobe Bridge, l’Explorateur (Windows), le Finder (Mac OS) ou sur votre bureau et faites-le glisser dans InDesign. L’image doit présenter un format qu’InDesign peut importer. Si le fichier est déposé à partir d’une source autre qu’Adobe Illustrator, il s’affiche dans le panneau Liens d’InDesign. Utilisez ce panneau pour contrôler les versions et mettre à jour les liens si nécessaire. 1 Sélectionnez le graphique d’origine. 2 Faites glisser le graphique vers une fenêtre de document ouverte dans InDesign.

Remarque : dans Windows, si vous tentez de faire glisser un élément à partir d’une application ne prenant pas en charge le glisser-déposer, le pointeur affiche l’icône d’interdiction.

Pour annuler le déplacement d’un graphique, déposez le graphique sur la barre de titre de n’importe quel panneau ou sur la barre de titre du document.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour afficher les graphiques en haute résolution, choisissez la commande Affichage > Performances d’affichage > Affichage de qualité supérieure. Pour plus d’informations sur la modification des paramètres de performances d’affichage, reportez-vous à la section « Contrôle des performances d’affichage des graphiques » à la page 421. Utiliser la commande Importer plutôt que la commande Coller Il arrive parfois que même après la modification des performances d’affichage, l’image présente toujours une faible résolution. Veillez alors à utiliser la commande Importer pour insérer l’image dans InDesign. Dans certains cas, lorsque vous collez une image depuis une autre application, c’est l’image d’aperçu, et non le fichier d’origine, qui est insérée. Vérifier les paramètres d’impression Si la résolution de l’image paraît faible à l’impression, vérifiez les paramètres d’impression pour vous assurer que les graphiques sont imprimés comme il convient. Dans la section Graphiques de la boîte de dialogue d’impression, choisissez la commande Envoi des données > Toutes. Eviter toute transformation des images présentant une qualité limite La mise à l’échelle ou la rotation d’une image peut nuire à sa qualité. Au besoin, sélectionnez la commande Effacer les transformations dans le menu du panneau Contrôle. Améliorer la résolution graphique Parfois, vous devrez envisager de remplacer une image basse résolution par une image haute résolution, comme c’est le cas avec une image copiée depuis une page Web.

Contrôle des performances d’affichage des graphiques

Vous pouvez contrôler la résolution des graphiques importés dans votre document. Vous pouvez modifier les paramètres d’affichage du document entier ou de graphiques particuliers. Vous pouvez également modifier un paramètre afin d’autoriser ou de remplacer les paramètres d’affichage de documents individuels.

Pour modifier les performances d’affichage d’un document

Un document s’ouvre toujours en utilisant les préférences de performance d’affichage par défaut. Vous pouvez changer les performances d’affichage d’un document lorsqu’il est ouvert, mais les paramètres ne sont pas enregistrés avec le document. Si vous avez configuré les performances d’affichage de certaines images séparément, vous pouvez remplacer les paramètres de façon à ce que tous les objets utilisent les mêmes paramètres. 1 Choisissez Affichage > Performances d’affichage, puis sélectionnez une option dans le sous-menu. 2 Pour forcer les objets que vous avez configurés individuellement à utiliser les paramètres du document,

désélectionnez Affichage > Performances d’affichage > Autoriser les paramètres d’affichage de niveau objet. Une coche indique que l’option est sélectionnée.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

que l’option Conserver les paramètres d’affichage de niveau objet est sélectionnée dans les options de performances d’affichage. 2 Choisissez Affichage > Performances d’affichage et assurez-vous que l’option Autoriser les paramètres d’affichage

de niveau objet est activée.

3 Sélectionnez une image importée à l’aide de l’outil Sélection

ou Sélection directe

Rapide Les images pixellisées et les images vectorielles s’affichent sous la forme de zones grisées (par défaut). Utilisez

cette option pour passer rapidement en revue des planches présentant de nombreux effets de transparence ou un nombre élevé d’images.

Standard Affiche une doublure d’image basse résolution (par défaut), idéale pour identifier et positionner une image

ou un graphique vectoriel. Standard est l’option par défaut et représente le moyen le plus rapide d’afficher une image identifiable.

Qualité supérieure Affiche les images pixellisées ou les graphiques vectoriels avec une haute résolution (par défaut). Cette option permet d’obtenir une qualité élevée mais ralentit les performances. Utilisez cette option pour modifier une image de manière précise.

Remarque : les options d’affichage n’ont pas d’effet sur la résolution de sortie lorsque vous exportez ou imprimez une image dans un document. Lors de l’impression sur un périphérique PostScript ou de l’exportation aux formats XHTML,

EPS ou PDF, la résolution finale d’une image dépend des options de sortie sélectionnées au moment de l’impression ou de l’exportation du fichier.

Pour définir les performances d’affichage par défaut

Les préférences de performances d’affichage permettent de configurer l’option d’affichage par défaut utilisée par InDesign pour tous les documents. Vous pouvez modifier les performances d’affichage d’un document à l’aide du menu Affichage, ou changer la configuration des différents objets à l’aide du menu Objet. Par exemple, si vous travaillez sur des projets contenant de nombreuses photos haute résolution (un catalogue par exemple), il est préférable de pouvoir ouvrir tous les documents rapidement. Vous pouvez configurer l’option d’affichage par défaut sur Rapide. Si vous souhaitez voir les images plus en détail, vous pouvez choisir l’affichage Standard ou Qualité supérieure (en laissant les préférences sur Rapide).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

5 Cliquez sur le bouton OK.

Chaque option d’affichage dispose de paramètres distincts pour afficher les images pixellisées, les graphiques vectoriels et les transparences.

Création de planches contact

Une planche contact est une grille d’images miniatures ou vignettes, souvent utilisée dans le cadre d’analyse prépresse. Diverses applications Adobe permettent la création d’une planche contact. Dans Photoshop, vous pouvez utiliser la commande Planche contact ou la commande Collection d’images. Dans les versions antérieures d’Adobe Bridge (CS2 et CS3), la fonction Créer une planche contact InDesign sert à créer une planche contact pour des pages InDesign. Cette fonction ne figure pas dans les versions ultérieures d’Adobe Bridge. Dans ces versions, vous avez recours à Adobe Output Module pour créer une planche contact au format PDF. Vous pouvez également créer une planche contact simple dans InDesign, en important plusieurs images dans une grille. 1 Choisissez la commande Fichier > Importer, sélectionnez plusieurs images, puis choisissez l’option Ouvrir.

Si vous voulez que les images soient accompagnées de légendes, sélectionnez l’option Créer des légendes statiques

(voir la section « Création d’une légende à partir d’une image » à la page 257). 2 Commencez par les faire glisser, puis appuyez sur les touches fléchées pour définir le nombre de rangées et de

colonnes. Utilisez les touches flèche haut et flèche bas pour modifier le nombre de rangées, et les touches flèche gauche et flèche droite pour modifier le nombre de colonnes.

Pour modifier l’espacement entre les blocs, appuyez sur les touches Pg préc et Pg suiv ou appuyez sur les touches fléchées tout en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée. 3 Relâchez le bouton de la souris pour importer la grille d’images.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Lorsque vous importez un graphique, une version du fichier avec une résolution d’écran s’affiche dans la mise en page afin que vous puissiez visualiser et positionner le graphique. Néanmoins, le fichier graphique lui-même peut être soit lié, soit incorporé.

• Les illustrations liées sont associées au document, mais restent indépendantes, de sorte qu’elles sont de taille plus petite. Vous pouvez modifier une illustration liée à l’aide des outils de transformation et des effets, mais vous ne pouvez ni sélectionner, ni modifier les composants de l’illustration individuellement. Vous pouvez utiliser le graphique lié plusieurs fois sans trop augmenter la taille du document, et vous pouvez également mettre à jour l’ensemble des liens simultanément. Lorsque vous exportez ou imprimez un document, le graphique original est extrait afin de pouvoir créer la sortie finale à partir de la résolution maximale des originaux.

• Les illustrations incorporées sont copiées dans le document avec une résolution maximale, ce qui crée un document plus volumineux. Vous pouvez contrôler les versions de votre fichier et le mettre à jour à votre convenance ; tant que l’illustration est incorporée, votre document est autonome.

Pour déterminer si l’illustration est liée ou incorporée ou pour modifier son état de l’un à l’autre, utilisez le panneau Liens. Si l’image bitmap que vous importez est d’une taille inférieure ou égale à 48 Ko, InDesign incorpore automatiquement dans votre mise en page l’image présentant une résolution maximale plutôt que la version présentant une résolution d’écran. InDesign affiche ces images dans le panneau Liens, ce qui vous permet de contrôler les versions et de mettre à jour le fichier à tout moment. Le lien n’est toutefois pas nécessaire pour une sortie optimale. Remarque : si vous déplacez un document vers un autre dossier ou disque (par exemple, pour le transmettre à un prestataire de services), veillez à déplacer également les fichiers graphiques liés stockés hors du document. Vous pouvez copier automatiquement tous les fichiers associés, à l’aide des outils de contrôle en amont et d’assemblage.

« Définition de profils de contrôle en amont » à la page 679 « Assemblage de fichiers » à la page 684

Présentation du panneau Liens

Tous les fichiers importés dans un document sont répertoriés dans le panneau Liens. Ceci comprend les fichiers locaux (sur disque) et les ressources gérées sur un serveur. Les fichiers collés à partir d’un site Web n’apparaissent toutefois pas dans ce panneau.

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A jour La colonne Etat est vide lorsqu’un fichier est à jour. Modifié Cette icône signifie que la version du fichier sur le disque est plus récente que la version de votre document.

Elle s’affiche si, par exemple, vous importez une image Photoshop dans InDesign, puis que vous (ou une autre personne) modifiez et enregistrez l’image d’origine dans Photoshop.

Une version légèrement différente de l’icône de modification s’affiche lorsqu’une image est modifiée mais que seules certaines de ses occurrences sont mises à jour. Manquant L’image existe toujours mais elle n’est plus située à l’emplacement à partir duquel elle a été importée. Un

lien est manquant dès lors que le fichier d’origine est supprimé ou déplacé dans un autre dossier ou sur un autre serveur après importation. Il est impossible de savoir si un fichier manquant est à jour avant d’avoir trouvé son fichier d’origine. Si vous imprimez ou exportez un document alors que cette icône est affichée, il se peut que le fichier ne s’imprime pas ou ne s’exporte pas avec une résolution maximale.

Incorporé L’incorporation du contenu d’un fichier lié met fin aux opérations de gestion de ce lien. Si le lien sélectionné

est en cours de modification, cette option n’est pas activée. L’annulation de l’incorporation du fichier rétablit les opérations de gestion effectuées sur le lien.

Si un objet lié ne s’affiche pas sur une page particulière d’un document, les codes suivants indiquent où se trouve l’objet : NP (table de montage), GA (gabarit), EX (texte en excès) et TM (texte masqué). Pour consulter un didacticiel vidéo sur l’utilisation du panneau Liens, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid4027_id_fr. Vous trouverez sur le site InDesign Secrets un vidéocast intitulé Saving time with the Links panel, qui fournit des astuces et techniques permettant une utilisation plus efficace du panneau Liens.

Vidéo Panneau Liens , cliquez sur le numéro de page du lien dans la colonne Page ou choisissez la commande Atteindre le lien dans le menu du panneau Liens. InDesign centre l’affichage autour du graphique sélectionné. Pour afficher un objet masqué, affichez le calque (ou la condition s’il s’agit d’un objet ancré).

• Pour développer ou réduire des liens imbriqués, cliquez sur l’icône de triangle à gauche du lien. Des liens sont imbriqués lorsque le document contient plusieurs occurrences d’un même graphique ou lorsque le graphique EPS lié ou le document InDesign contient des liens.

• Pour trier les liens selon une catégorie particulière dans le panneau Liens, cliquez sur le titre de la catégorie voulue en haut du panneau. Cliquez de nouveau sur cette catégorie pour inverser l’ordre de tri. Par exemple, si vous cliquez sur la catégorie Page, les liens s’affichent dans l’ordre des pages, de la première à la dernière. Si vous cliquez de nouveau sur la catégorie Page, les liens s’affichent dans l’ordre inverse, c’est-à-dire de la dernière à la première page.

Les options de panneau permettent d’ajouter des colonnes au panneau Liens.

Utilisation des colonnes du panneau Liens

Il est possible d’afficher des catégories supplémentaires (Date de création et Calque, par exemple) dans le panneau Liens afin de visualiser d’autres informations sur les graphiques. Pour chacune des catégories, vous pouvez indiquer si les informations doivent s’afficher dans une colonne et dans la section Informations sur les liens au bas du panneau Liens. 1 Choisissez la commande Options de panneau dans le menu du panneau Liens. 2 Cochez les cases voulues dans la section Afficher la colonne pour ajouter les colonnes correspondantes au

Le Dossier 0 contient le fichier lié, le Dossier 1 contient le dossier 0, etc. 3 Cochez les cases voulues dans la section Afficher dans les informations sur les liens. Les informations seront ainsi

affichées dans la section Informations sur les liens, visible au bas du panneau Liens.

Pour modifier l’ordre des colonnes, sélectionnez une colonne et faites-la glisser à l’emplacement de votre choix. Pour modifier la largeur d’une colonne, faites glisser ses bordures. Pour trier les liens par ordre croissant selon une catégorie particulière, cliquez sur le titre de cette catégorie. Cliquez une nouvelle fois pour effectuer le tri dans l’ordre décroissant.

Modification des rangées et des vignettes du panneau Liens

1 Choisissez la commande Options de panneau dans le menu du panneau Liens. 2 Définissez la taille de rangée en sélectionnant l’option Petites rangées, Rangées normales ou Grandes rangées. 3 S’agissant des vignettes de graphique, indiquez si elles doivent s’afficher dans la colonne Nom et dans la section

Informations sur les liens, visible au bas du panneau Liens.

Affichage des informations sur le lien

La section Informations sur les liens du panneau Liens recense des informations sur le fichier lié sélectionné.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

liens, laquelle correspond à un triangle visible à gauche dans le panneau.

Affichage de métadonnées via le panneau Liens

Si un fichier lié ou incorporé contient des métadonnées, vous pouvez visualiser ces dernières à l’aide du panneau Liens. Vous ne pouvez ni modifier ni remplacer de métadonnées associées à un fichier lié. ❖ Sélectionnez un fichier dans le panneau Liens et choisissez la commande Utilitaires > Informations sur le fichier

XMP dans le menu du panneau.

Incorporation d’une image dans un document

Plutôt que de créer un lien vers un fichier que vous avez importé dans un document, vous pouvez incorporer (ou stocker) le fichier dans le document. Lorsque vous incorporez un fichier, vous rompez le lien avec le document d’origine. Sans le lien, le panneau Liens ne vous prévient pas lorsque le document d’origine est modifié, et vous ne pouvez pas mettre le fichier à jour automatiquement. L’incorporation d’un fichier augmente la taille du document.

Incorporation d’un fichier lié

1 Sélectionnez un fichier dans le panneau Liens. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez la commande Incorporer un lien dans le menu du panneau Liens.

• Si plusieurs occurrences du fichier sont disponibles, choisissez la commande Incorporer toutes les occurrences de (nom du fichier) dans le menu du panneau Liens. Pour incorporer une seule occurrence, sélectionnez-la et choisissez la commande Incorporer un lien. Le fichier subsiste dans le panneau Liens marqué d’une icône de lien incorporé

Remarque : dans le cas d’un fichier texte s’affichant dans le panneau Liens, sélectionnez Rompre le lien dans le menu du panneau Liens. Lorsque vous incorporez un fichier texte, son nom est supprimé du panneau Liens.

ou choisissez l’option Rééditer le lien dans le menu du panneau Liens.

3 Choisissez de lier le fichier au fichier d’origine ou à un dossier créé dans InDesign à partir des données incorporées

stockées dans le document.

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Lorsque vous mettez à jour ou rétablissez (rééditez) un lien vers un fichier, les transformations effectuées dans InDesign sont préservées (si vous activez l’option permettant de conserver les dimensions de l’image lors de la réédition du lien dans les préférences de gestion de fichiers). Par exemple, si vous importez un graphique carré, que vous le faites pivoter de 30° et que vous le reliez à un graphique n’ayant subi aucune rotation, InDesign lui applique une rotation de 30° afin de l’adapter à la mise en page du graphique qu’il remplace. Remarque : les fichiers EPS importés peuvent contenir des liens OPI s’affichant dans le panneau Liens. Ne rééditez pas les liens OPI vers des fichiers autres que les fichiers d’origine du créateur du fichier EPS. Cela risquerait de créer des problèmes de téléchargement des polices et de séparation des couleurs.

Pour choisir la mise à l’échelle des graphiques dont les liens ont été réédités

Lorsque vous rééditez le lien d’un graphique pour le remplacer par un autre fichier source, vous pouvez conserver les dimensions d’image du fichier remplacé ou afficher le nouveau fichier dans ses propres dimensions. 1 Choisissez la commande Edition > Préférences > Gestion des fichiers (Windows) ou InDesign Préférences >

Gestion des fichiers (Mac OS).

2 Choisissez l’option Conserver les dimensions de l’image lors de la réédition du lien si vous voulez que les images

s’affichent dans la même taille que les images remplacées. Désactivez cette option pour que les images s’affichent dans leurs propres dimensions.

Pour mettre à jour des liens modifiés

InDesign recherche d’abord tout lien manquant dans le dossier comportant un autre fichier dont les liens ont été réédités au cours de la session actuelle. Ensuite, il recherche un lien dans le dossier contenant le document. Si la recherche n’aboutit pas à ce niveau, elle se poursuit dans le dossier parent du document. Les liens modifiés sont également qualifiés de « liens obsolètes ». ❖ Dans le panneau Liens, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour mettre à jour des liens spécifiques, sélectionnez un ou plusieurs liens indiqués par l’icône de lien modifié

Cliquez ensuite sur le bouton Mettre à jour le lien menu du panneau Liens.

ou choisissez la commande Mettre à jour le lien dans le

• Pour mettre à jour un seul lien vers un graphique figurant à plusieurs reprises dans le document, sélectionnez le sous-lien uniquement, puis choisissez la commande Mettre à jour le lien. La sélection du lien « parent » entraîne la mise à jour de l’ensemble des liens vers le graphique modifié.

Pour remplacer un lien par un fichier source différent

1 Sélectionnez un lien dans le panneau Liens, puis cliquez sur le bouton Rééditer le lien

ou choisissez Rééditer le lien dans le menu du panneau Liens. Si vous sélectionnez le lien « parent » de plusieurs occurrences, choisissez la commande Rééditer le lien de toutes les occurrences de (nom du fichier) dans le menu du panneau Liens.

2 Dans la boîte de dialogue qui s’affiche, sélectionnez l’option Rechercher les liens manquants dans ce dossier.

InDesign recherchera alors des fichiers de même nom que les fichiers liés manquants dans le dossier. Si vous ne sélectionnez pas cette option, seul le lien de l’image sélectionnée est réédité.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Pour restaurer un lien manquant, sélectionnez un lien indiqué par l’icône de lien manquant

panneau Liens, puis cliquez sur le bouton Rééditer le lien

2 Dans la boîte de dialogue qui s’affiche, sélectionnez l’option Rechercher les liens manquants dans ce dossier pour

Pour rechercher des liens manquants Par défaut, InDesign recherche les liens manquants et tente de les résoudre à l’ouverture du document. Les préférences incluent deux options qui permettent à InDesign de rechercher automatiquement des liens manquants à l’ouverture d’un document. Vérifier les liens avant l’ouverture du document Lorsque vous désactivez cette option, InDesign ouvre immédiatement le document. L’état des liens n’est défini que lorsqu’il a été établi que ces derniers sont à jour, manquants ou modifiés. Si vous activez cette option, InDesign vérifie si des liens sont manquants ou modifiés. Rechercher les liens manquants avant l’ouverture du document Si vous désactivez cette option, InDesign ne tente pas

de résoudre les liens manquants. Vous pouvez décider de désactiver cette option si vous observez une baisse des performances du serveur due aux liens ou si vous obtenez des liens inattendus. Cette option est estompée lorsque l’option Vérifier les liens avant l’ouverture du document est désactivée.

Rechercher les liens manquants La commande Rechercher les liens manquants permet de rechercher les liens manquants dans un document et d’y remédier. Cette commande est utile si, après avoir désactivé l’option permettant de rechercher des liens manquants à l’ouverture d’un document dans les préférences, vous constatez qu’il manque des liens. Elle peut également se révéler utile si vous montez un serveur utilisé pour le stockage des images après avoir ouvert un document.

• Pour modifier les paramètres de lien, affichez la section Gestion des fichiers de la boîte de dialogue Préférences, puis déterminez si les options Vérifier les liens avant l’ouverture du document et Rechercher les liens manquants avant l’ouverture du document sont sélectionnées.

• Pour permettre à InDesign de résoudre les liens manquants, choisissez la commande Utilitaires > Rechercher les liens manquants dans le menu du panneau Liens.

Cette commande est estompée si le document ne contient aucun lien manquant.

Pour spécifier un dossier de réédition de lien par défaut

1 Dans la boîte de dialogue Préférences, sélectionnez l’option Gestion des fichiers. 2 Dans le menu Dossier de réédition de lien par défaut, choisissez l’une des options suivantes, puis cliquez sur le

Dernier dossier de réédition de lien Cette option permet d’afficher le dernier dossier sélectionné pour la réédition de

liens, conformément au comportement d’InDesign CS3.

Dossier de lien d’origine Cette option permet d’afficher l’emplacement d’origine du fichier lié, conformément au comportement d’InDesign CS2 et versions antérieures.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

dans le menu du panneau Liens. 2 Indiquez le dossier dans lequel copier les fichiers liés, puis choisissez l’option Sélectionner (Windows ou Mac OS).

Pour rééditer un lien vers un autre dossier

Lorsque vous utilisez la commande Rééditer le lien du dossier, vous pouvez désigner un dossier contenant des fichiers possédant le même nom que les liens obsolètes. Par exemple, si les liens actuels pointent vers des images basse résolution, vous pouvez définir un autre dossier contenant des images haute résolution. L’extension des fichiers pouvant être modifiée, vous pouvez remplacer l’extension .jpg par .tiff dans les liens. 1 Sélectionnez un ou plusieurs liens dans le panneau Liens. 2 Choisissez la commande Rééditer le lien du dossier dans le menu du panneau Liens. 3 Indiquez l’emplacement du nouveau dossier. 4 Pour utiliser une autre extension, sélectionnez l’option Correspondance de nom de fichier mais pas d’extension,

puis indiquez l’extension voulue (AI, TIFF ou PSD, par exemple).

5 Cliquez sur l’option Sélectionner (Windows ou Mac OS).

Réédition de fichiers avec des extensions de fichier différentes

La commande Rééditer l’extension de fichier vous permet de remplacer des images en fonction des extensions de fichier. Par exemple, si votre document contient plusieurs images JPEG, vous pouvez les remplacer par des fichiers PSD. Les fichiers portant la nouvelle extension doivent se trouver dans le même dossier que les fichiers liés à remplacer. 1 Assurez-vous que les fichiers portant la nouvelle extension figurent dans le même dossier que les fichiers d’origine. 2 Sélectionnez un ou plusieurs liens dans le panneau Liens. 3 Choisissez la commande Rééditer l’extension de fichier dans le menu du panneau Liens. 4 Indiquez l’extension de fichier à utiliser pour remplacer les fichiers sélectionnés, puis cliquez sur Rééditer le lien.

Pour remplacer un fichier importé à l’aide de la commande Importer

1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour remplacer le contenu d’un bloc graphique (un graphique importé par exemple), sélectionnez le bloc à l’aide de l’outil Sélection

4 Assurez-vous que l’option Remplacer l’élément sélectionné est activée, puis cliquez sur Ouvrir.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Sélectionnez un lien dans le panneau Liens. 2 Choisissez la commande Copier les informations > Copier le chemin complet ou Copier le chemin de style de plate-

forme dans le menu du panneau Liens.

Modification d’une illustration d’origine

La commande Modifier l’original vous permet d’ouvrir la plupart des graphiques dans l’application dans laquelle vous les avez créés afin de les modifier, le cas échéant. Une fois le fichier d’origine enregistré, le document dans lequel vous le reliez est mis à jour avec la nouvelle version. Remarque : dans InDesign, si vous vérifiez et sélectionnez un bloc de graphiques géré (bloc exporté vers InCopy), plutôt que le graphique lui-même, le graphique s’ouvre dans InCopy.

Pour modifier une illustration d’origine à l’aide de l’application par défaut

Par défaut, InDesign laisse le système d’exploitation déterminer l’application à utiliser à l’ouverture du fichier d’origine. 1 Sélectionnez une ou plusieurs images sur la page ou dans le panneau Liens. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans le panneau Liens, cliquez sur le bouton Modifier l’original

Méthodes pour réutiliser les graphiques et le texte InDesign permet de réutiliser les graphiques et le texte de diverses manières. Extraits de code Un extrait est un fichier qui contient des objets et décrit leur emplacement les uns par rapport aux

autres sur une page ou une planche (voir la section « Utilisation des extraits » à la page 432).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

« Utilisation de modèles de document » à la page 108).

« XML » à la page 622 « Exportation » à la page 120

Utilisation des extraits

Un extrait est un fichier qui contient des objets et décrit leur emplacement les uns par rapport aux autres sur une page ou sur une planche. Grâce aux extraits, vous pouvez réutiliser et positionner des objets très facilement. Pour créer un extrait, enregistrez des objets dans un fichier d’extrait portant l’extension .IDMS (les versions précédentes d’InDesign utilisent l’extension .INDS). Lorsque vous importez le fichier d’extrait dans InDesign, vous pouvez choisir de placer les objets à leur position d’origine ou à l’endroit où vous cliquez. Vous pouvez stocker des extraits dans la bibliothèque d’objets et Adobe Bridge, ainsi que sur votre disque dur. Le contenu des extraits conserve ses associations de calque lors de l’importation. Lorsqu’un extrait contient des définitions de ressource et que celles-ci se trouvent également dans le document dans lequel l’extrait est copié, l’extrait utilise les définitions de ressource du document. Les extraits que vous créez dans InDesign CS5 sont compatibles avec InDesign CS4 mais pas les versions plus anciennes.

« Utilisation de XML » à la page 622 « Utilisation des bibliothèques d’objets » à la page 433

Création d’extraits

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes : Ajout d’extraits à un document 1 Choisissez Fichier > Importer. 2 Sélectionnez un ou plusieurs fichiers d’extrait (*.IDMS ou *.INDS). 3 Cliquez sur le curseur d’extrait chargé à l’endroit où vous souhaitez positionner le coin supérieur gauche du fichier

4 Si vous avez chargé plusieurs extraits, faites défiler la page et cliquez sur le curseur d’extrait chargé pour importer

les autres extraits.

Vous pouvez faire glisser un fichier d’extrait de votre bureau vers le document InDesign, puis cliquer à l’endroit où vous souhaitez positionner le coin supérieur gauche de l’extrait.

Sélection du mode d’importation des extraits

Plutôt que d’importer des objets d’extraits selon l’endroit où vous cliquez sur la page, vous pouvez les importer à leur emplacement d’origine. Par exemple, vous pouvez enregistrer en tant qu’extrait un bloc de texte qui se trouve au milieu de la page, puis le placer au même endroit de la page lorsque vous l’importez en tant qu’extrait. ❖ Dans les préférences de gestion des fichiers, choisissez l’option Emplacement original dans le menu Position à pour

conserver l’emplacement original des objets dans les extraits. Choisissez l’option Emplacement du curseur dans le menu Position à pour placer les extraits selon l’endroit où vous cliquez sur une page.

Vous pouvez appuyer sur la touche Alt (Windows) ou Option (Mac) pour ignorer le paramètre de position choisi pour la gestion des extraits. Par exemple, si vous avez choisi l’option Position à l’emplacement du curseur, mais que vous souhaitez importer des objets d’extraits à leur emplacement d’origine, maintenez la touche Alt/Option enfoncée tout en cliquant sur le curseur d’extrait chargé sur la page.

Utilisation des bibliothèques d’objets

Les bibliothèques d’objets permettent d’organiser les images, les pages et le texte les plus fréquemment utilisés. Elles peuvent également contenir des repères de règle, des grilles, des formes de dessin et des images groupées. Vous pouvez créer autant de bibliothèques que vous le souhaitez : plusieurs bibliothèques d’objets pour différents clients ou projets, par exemple. Au cours d’une session de travail, vous pouvez ouvrir autant de bibliothèques que la mémoire de votre système le permet. Les bibliothèques d’objets peuvent être partagées entre différents serveurs et différentes plates-formes mais elles ne peuvent être ouvertes que par une personne à la fois. Si une bibliothèque d’objets inclut des fichiers texte, assurez-vous que les polices du fichier sont disponibles et actives sur tous les systèmes ayant accès à la bibliothèque. Lorsque vous ajoutez un élément de page, comme un graphique, à une bibliothèque d’objets, InDesign préserve tous les attributs importés ou appliqués. Par exemple, si vous ajoutez à une bibliothèque le graphique d’un document InDesign, la copie de ce graphique dans la bibliothèque est la réplique de l’original. Elle contient donc les mêmes informations de lien que le graphique d’origine afin de permettre une mise à jour du graphique copié en cas de modification du fichier situé sur le disque. Si vous supprimez l’objet du document InDesign, la vignette de l’objet reste affichée dans le panneau Bibliothèque et toutes les informations de lien restent inchangées. Si vous déplacez ou supprimez l’objet d’origine, une icône de lien manquant s’affiche dans le panneau Liens lorsque vous réimportez cet objet du panneau Bibliothèque vers votre document. Chaque bibliothèque d’objets permet d’identifier et de rechercher les éléments par titre, par date d’ajout à la bibliothèque ou par mot-clé. Vous pouvez aussi simplifier l’affichage d’une bibliothèque d’objets en triant ses éléments et en affichant leurs sous-ensembles (tous les éléments sauf les fichiers EPS, par exemple).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Le texte conserve sa mise en forme. • Les styles de paragraphe, les styles de caractère et les styles d’objets dont les noms sont identiques à ceux présents dans le document de destination sont convertis en styles du document de destination, tandis que ceux nominalement différents sont ajoutés au document.

• Les calques d’origine d’un objet sont préservés si l’option Coller selon les calques est sélectionnée dans le menu du panneau Calques.

Création d’une bibliothèque d’objets

Une bibliothèque d’objets se présente sous la forme d’un fichier nommé sur le disque. Lorsque vous la créez, vous devez spécifier son emplacement. Lorsque vous l’ouvrez, elle s’affiche sous la forme d’un panneau que vous pouvez regrouper avec d’autres panneaux. Le nom de fichier de la bibliothèque d’objets apparaît sur l’onglet du panneau. La fermeture d’une bibliothèque d’objets la supprime de la session en cours mais n’efface pas son fichier. Vous pouvez ajouter ou supprimer des objets, des éléments de page sélectionnés ou une page entière d’éléments dans une bibliothèque d’objets. Il est également possible d’ajouter ou de déplacer des objets d’une bibliothèque à une autre. 1 Choisissez Fichier > Nouveau > Bibliothèque. 2 Spécifiez un emplacement et un nom pour cette bibliothèque, puis cliquez sur Enregistrer. N’oubliez pas que le nom

que vous spécifiez apparaîtra sur l’onglet du panneau Bibliothèque.

Ouverture d’une bibliothèque existante

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Si une bibliothèque est déjà ouverte dans la session en cours, choisissez le fichier de bibliothèque dans le menu

• Si vous n’avez pas ouvert de bibliothèque, choisissez Fichier > Ouvrir et sélectionnez une ou plusieurs bibliothèques. Dans Windows, les fichiers de bibliothèque portent l’extension .indl. InDesign convertit les bibliothèques récemment ouvertes depuis les versions précédentes du programme dans le nouveau format de bibliothèque. Vous êtes invité à enregistrer ces bibliothèques sous un nouveau nom.

❖ Dans l’Explorateur (Windows) ou le Finder (Mac OS), faites glisser un fichier de bibliothèque vers la corbeille. Sous

Windows, les fichiers de bibliothèque présentent l’extension .indl.

Ajout d’un objet ou d’une page à une bibliothèque

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Faites glisser un ou plusieurs objets de la fenêtre de document vers un panneau Bibliothèques d’objets actif.

• Sélectionnez un ou plusieurs objets dans une fenêtre de document, puis cliquez sur le bouton Nouvel élément de bibliothèque dans le panneau Bibliothèques d’objets.

• Sélectionnez un ou plusieurs objets dans une fenêtre de document, puis choisissez Ajouter un élément dans le menu du panneau Bibliothèques d’objets.

• Choisissez Ajouter les éléments sur la page [numéro] en tant qu’objets indépendants dans le menu du panneau

Bibliothèque d’objets pour ajouter tous les objets en tant qu’objets de bibliothèques distincts.

• Dans le panneau Bibliothèque d’objets, choisissez Ajouter les éléments sur la page [numéro] pour ajouter tous les objets en tant qu’un seul et même objet de bibliothèque.

• Faites glisser un élément depuis le volet Structure vers un panneau Bibliothèque d’objets actif.

Lorsque vous utilisez les commandes ci-dessus tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée, la boîte de dialogue Informations sur l’élément s’affiche lors de l’ajout de l’élément à la bibliothèque.

Ajout d’un objet de bibliothèque à un document

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Faites glisser un objet du panneau Bibliothèques d’objets vers une fenêtre de document.

• Dans ce panneau, sélectionnez un objet, puis choisissez Importer un/des élément(s) dans le menu du panneau. Cette méthode importe l’objet sur ses coordonnées X et Y d’origine.

• Faites glisser un élément XML vers un élément parent dans le volet Structure ou sur la page.

Gestion d’objets de bibliothèque

Utilisez le panneau Bibliothèque d’objets pour gérer les objets. Pour remplacer un objet de bibliothèque par un nouvel élément 1 Dans la fenêtre du document, sélectionnez l’élément à ajouter au panneau Bibliothèque. 2 Dans le panneau Bibliothèque, sélectionnez l’objet à remplacer, puis choisissez Mettre à jour l’élément de

bibliothèque dans le menu du panneau Bibliothèque d’objets.

Pour copier ou déplacer un objet d’une bibliothèque à une autre 1 Séparez les deux bibliothèques pour les afficher simultanément en faisant glisser l’onglet du panneau d’une bibliothèque hors du groupe de panneaux de bibliothèques d’objets.

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❖ Dans le panneau Bibliothèques d’objets, sélectionnez un objet et utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez sur le bouton Supprimer l’élément de bibliothèque.

• Faites glisser l’élément sur le bouton Supprimer l’élément de bibliothèque. • Choisissez Supprimer un/des élément(s) dans le menu du panneau Bibliothèques d’objets. Pour modifier l’affichage de la bibliothèque d’objet La bibliothèque affiche les objets sous forme de vignettes ou de liste. Vous pouvez trier les vignettes ou la liste par nom, date de création ou type d’objet. Optimisez l’utilisation des options d’affichage et de tri de la liste en cataloguant les objets. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour afficher les objets sous forme de vignette, choisissez Affichage sous forme de vignette ou Affichage par grandes vignettes dans le menu du panneau Bibliothèque d’objets.

• Pour un affichage sous forme de liste, choisissez Affichage sous forme de liste dans le menu du panneau

Bibliothèques d’objets.

• Pour trier les objets, choisissez Trier les éléments dans le menu du panneau Bibliothèques d’objets, puis sélectionnez une méthode de tri.

Pour afficher tous les objets ❖ Choisissez Tout afficher dans le menu du panneau Bibliothèques d’objets. Pour afficher, ajouter ou modifier des informations de bibliothèque Si la bibliothèque contient de nombreux objets ou des objets volumineux, répertoriez les informations de bibliothèque selon le nom des objets affichés par type d’objet ou par mots descriptifs. 1 Dans le panneau Bibliothèques d’objets, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez deux fois sur n’importe quel objet.

• Sélectionnez un objet, puis cliquez sur le bouton Informations sur les éléments de bibliothèque. • Sélectionnez un objet, puis choisissez Informations sur l’élément dans le menu du panneau Bibliothèques d’objets. 2 Vérifiez et modifiez si nécessaire les options Nom de l’élément, Type d’objet ou Description, puis cliquez sur OK.

Pour rechercher des objets dans une bibliothèque

Lorsque vous recherchez des objets, seuls les résultats de votre recherche sont affichés. Vous pouvez également utiliser la fonction de recherche pour afficher et masquer certaines catégories d’objets. Par exemple, vous pouvez afficher uniquement les noms d’éléments d’objets comportant le mot « étoile ». 1 Choisissez Afficher le sous-ensemble dans le menu du panneau Bibliothèques d’objets ou cliquez sur le bouton

Afficher le sous-ensemble d’éléments de bibliothèque.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Rechercher dans les éléments affichés. 3 Dans le premier menu de la section Paramètres, choisissez une catégorie. 4 Dans le second menu, précisez si cette catégorie doit être exclue de la recherche ou non. 5 A droite du second menu, entrez un ou plusieurs mots à rechercher dans la catégorie donnée. 6 Pour ajouter un critère de recherche, cliquez jusqu’à cinq fois sur Plus de choix. Chaque clic ajoute un terme de

recherche. Pour supprimer des critères de recherche, cliquez sur Moins de choix autant de fois que nécessaire sachant que chaque clic efface un terme de recherche.

7 Pour afficher uniquement les objets répondant à tous les critères de recherche, sélectionnez l’option Correspondre

à tous les paramètres. Pour afficher les objets répondant à certains critères de recherche, sélectionnez Correspondre

à au moins un paramètre. 8 Cliquez sur OK pour lancer la recherche.

Pour afficher tous les objets de nouveau, choisissez Tout afficher dans le menu du panneau Bibliothèques d’objets.

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Permet de sélectionner des blocs de texte et des blocs graphiques, et de manipuler un objet à l’aide de son cadre de sélection. Si vous cliquez sur la saisie du contenu (anneau) qui s’affiche lorsque vous placez le pointeur de la souris sur une image, vous pouvez manipuler l’image à l’intérieur du bloc sans activer l’outil Sélection directe.

Sélection permet également de sélectionner des objets en fonction de leur position par rapport aux autres objets. Pour afficher le sous-menu Sélection, choisissez Objet > Sélection. Vous pouvez également cliquer sur un objet avec le bouton droit de la souris (Windows) ou tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS) pour afficher son menu contextuel, puis choisir Sélectionner. Boutons de sélection du panneau Contrôle Vous pouvez sélectionner le contenu à l’aide du bouton Sélectionner le

contenu ou le conteneur à l’aide du bouton Sélectionner le conteneur . Vous pouvez également utiliser les commandes de sélection de l’objet suivant ou précédent pour sélectionner les objets suivants ou précédents dans un groupe ou sur une planche.

Commandes Tout sélectionner et Tout désélectionner Permettent de sélectionner ou de désélectionner tous les objets

de la planche et de la table de montage, selon l’outil actif et la sélection en cours. Choisissez Edition > Tout sélectionner ou Edition > Tout désélectionner.

Cliquez deux fois sur un objet pour basculer entre la sélection du bloc ou de l’objet. Cliquez deux fois sur un bloc de texte pour placer le point d’insertion et passer à l’outil Texte.

« Sélection et déplacement d’objets » à la page 760

Dernière mise à jour le 18/5/2011

pour sélectionner le contenu d’un conteneur (tel qu’un graphique importé) ou des points individuels sur un tracé pour des opérations de redimensionnement sur des graphiques importés, de dessin et de modification de tracés, et de modification de texte.

Remarque : un graphique importé est toujours contenu dans un bloc. Il est possible de sélectionner le graphique et son bloc, le graphique uniquement, ou son bloc uniquement. Le bloc et le cadre de sélection d’un graphique importé peuvent

être de tailles différentes. Pour reconnaître les éléments sélectionnés dans InDesign, reportez-vous à la section « Modification d’objets à l’aide de blocs graphiques » à la page 469.

Cadre de sélection sélectionné (à gauche) comparé au tracé rectangulaire sélectionné (à droite)

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« Repères de règle » à la page 56 « Sélection et déplacement d’objets » à la page 760 Vidéo Faire des sélections

Pour sélectionner un cadre de sélection

Pour tout objet, vous pouvez sélectionner son cadre de sélection, c’est-à-dire le rectangle indiquant ses dimensions horizontales et verticales (pour les objets associés, le cadre de sélection est un rectangle en pointillé). Le cadre de sélection est également appelé conteneur. Le cadre de sélection permet de déplacer, dupliquer et mettre à l’échelle un objet sans recourir à d’autres outils. Dans le cas d’un tracé, le cadre de sélection permet de traiter l’ensemble de l’objet sans risque de modification accidentelle des points d’ancrage qui définissent sa forme. Remarque : pour effectuer des opérations de déplacement ou de mise à l’échelle plus avancées, ou bien d’autres types de modification (rotation, etc.), utilisez le panneau Contrôle ou Transformation. ❖ A l’aide de l’outil Sélection

, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez sur l’objet. Si l’objet est un tracé sans remplissage, cliquez sur son bord. Si l’objet est une image, cliquez sur la saisie du contenu pour sélectionner le cadre de sélection de l’image ou cliquez en dehors de la saisie du contenu pour sélectionner le bloc.

• Créez un rectangle de sélection autour de l’objet ou d’une partie de l’objet, par glisser-déplacer.

• Une fois l’objet graphique ou le contenu imbriqué sélectionné, cliquez sur le bouton Sélectionner le conteneur dans le panneau Contrôle. Lorsque vous sélectionnez un ou plusieurs objets à l’aide de l’outil Sélection, un cadre de sélection indiquant la taille de chaque objet s’affiche. Si l’objet est sélectionné mais que le cadre de sélection ne s’affiche pas, il se peut que vous ayez utilisé l’outil Sélection directe pour sélectionner l’objet. Si le bloc n’est pas sélectionné lorsque vous cliquez dessus, il existe plusieurs causes possibles : le bloc correspond à un élément de gabarit ou à un élément verrouillé, ou il figure sur un calque verrouillé (voir la section « Sélection d’objets impossible » à la page 442).

Pour sélectionner un tracé ou des points sur un tracé

Dans InDesign, les tracés sont définis par des points d’ancrage, des points d’extrémité et des lignes directrices. Vous sélectionnez les points d’ancrage et les points d’extrémité à l’aide de l’outil Sélection directe.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Observez la transformation de l’outil lorsque vous le placez sur un tracé

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour sélectionner plusieurs points sur un tracé, appuyez sur la touche Maj et cliquez sur chaque point. • Pour sélectionner simultanément tous les points d’un tracé, cliquez sur le point situé au centre de l’objet, ou maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée et cliquez sur le tracé. Si vous sélectionnez une partie de l’objet à l’aide de l’outil Sélection directe, la commande Tout sélectionner vous permet également de sélectionner tous les points.

Pour sélectionner du texte à l’intérieur d’un bloc

• Pour sélectionner du texte par glisser-déplacer, cliquez sur un bloc de texte à l’aide de l’outil Texte. Un point d’insertion s’affiche.

• Pour créer un point d’insertion dans le texte, cliquez deux fois sur un bloc de texte à l’aide de n’importe quel outil de sélection. InDesign bascule automatiquement vers l’outil Texte.

Pour sélectionner un objet à l’intérieur d’un bloc

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez sur l’objet à l’aide de l’outil Sélection directe

. L’outil Sélection directe se transforme automatiquement en outil Main lorsqu’il est placé sur un objet graphique dans un bloc (il ne change pas lorsqu’il est placé sur un objet non graphique, comme un tracé).

• Si l’objet contenu dans le bloc est une image, cliquez sur la saisie du contenu pour sélectionner l’image.

Remarque : pour empêcher que la saisie du contenu ne s’affiche lorsque vous survolez une image, choisissez la commande Affichage > Extras > Masquer la saisie du contenu.

• Lorsque le bloc est sélectionné, choisissez Sélection > Contenu dans le menu Objet ou dans le menu contextuel du bloc.

• Après avoir sélectionné un bloc, cliquez sur le bouton Sélectionner le contenu

du panneau Contrôle.

Pour sélectionner plusieurs objets

• Pour sélectionner tous les objets compris dans une zone rectangulaire, utilisez l’outil Sélection

rectangle de sélection autour des objets à sélectionner.

• Pour sélectionner des objets non adjacents, utilisez l’outil Sélection pour sélectionner un objet puis cliquez sur d’autres objets en maintenant la touche Maj enfoncée. Si vous cliquez de nouveau sur un objet sélectionné, celui-ci sera désélectionné.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez procéder de même avec l’outil Sélection directe pour sélectionner les objets imbriqués dans un groupe ou dans un bloc.

Pour sélectionner ou désélectionner tous les objets

Pour désélectionner tous les objets d’une planche et de sa table de montage, choisissez Edition > Tout désélectionner. Ou, si l’outil Sélection ou Sélection directe est actif, cliquez au moins à trois pixels de distance d’un objet. L’action de la commande Tout sélectionner diffère selon le contexte :

• Lorsque l’outil Sélection

est actif, la commande Tout sélectionner permet de sélectionner les tracés et les blocs de la planche ou de la table de montage en activant leur cadre de sélection.

• Lorsque l’outil Sélection directe

est actif et que vous sélectionnez un objet à l’aide de cet outil, la commande Tout sélectionner sélectionne tous les points d’ancrage de l’objet mais ne sélectionne aucun autre objet.

Si aucun objet n’est sélectionné, la commande Tout sélectionner sélectionne tous les objets de tracé de la planche ou de la table de montage.

• Lorsque l’outil Texte est actif et qu’un bloc de texte comporte un point d’insertion (signalé par une barre verticale clignotante), la commande Tout sélectionner sélectionne tout le texte de ce bloc ainsi que tous les blocs de texte qui lui sont liés (aucun autre objet n’est sélectionné).

• Lorsqu’un objet est sélectionné dans un groupe, la commande Tout sélectionner sélectionne les autres objets du groupe (aucun autre objet n’est sélectionné sur la planche).

1 Sélectionnez l’outil à utiliser. Si vous le souhaitez, sélectionnez un objet ou placez le point d’insertion dans un bloc

2 Choisissez Edition > Tout sélectionner.

Remarque : la commande Tout sélectionner ne sélectionne pas les objets imbriqués, les objets se trouvant sur des calques verrouillés ou masqués, des éléments de gabarit qui ne sont pas ignorés sur des pages de document ou des objets d’autres planches ou tables de montage (à l’exception du texte lié).

Sélection d’objets impossible

Les conditions suivantes peuvent parfois empêcher la sélection d’un objet :

• L’objet figure sur un calque verrouillé. Déverrouillez le calque en cliquant sur l’icône de verrou figurant en regard de ce calque dans le panneau Calques (voir la section « Verrouillage ou déverrouillage de calques » à la page 85).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour contrôler les sélections dans les groupes imbriqués, utilisez les outils Sélection directe et Sélection ainsi que les boutons Sélectionner le contenu et Sélectionner le conteneur. Vous pouvez sélectionner des caractères de texte à tout moment à l’aide de l’outil Texte, quel que soit le niveau d’imbrication du bloc de texte.

Pour sélectionner des objets imbriqués, associés ou superposés

Lorsque vous imbriquez des objets ou que vous superposez des objets sur un même calque, il peut être difficile de sélectionner un seul objet ou bloc. Le menu Objet et le menu contextuel contiennent des options de sélection facilitant la sélection de l’objet voulu.

(Windows) ou cliquez en maintenant la touche Ctrl enfoncée (Mac OS) pour afficher le menu contextuel.

Choisissez ensuite Sélection, puis l’option de sélection désirée. Remarque : la sélection d’objets par les commandes du menu contextuel ne produit pas les mêmes effets que les commandes du menu Objet > Sélectionner. Dans le menu contextuel, les sélections sont basées sur le point où vous cliquez pour l’affichage du menu. Dans cette optique, seul l’objet au-dessus ou au-dessous du point où vous cliquez est sélectionné, et non pas l’objet suivant dans l’ordre de superposition.

• Maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée, puis cliquez plusieurs fois au même endroit jusqu’à ce que le bloc ou le groupe souhaité soit sélectionné (ne cliquez pas sur un point d’ancrage).

• Pour sélectionner de manière individuelle tous les objets d’un groupe, sélectionnez le groupe à l’aide de l’outil

Sélection, cliquez sur le bouton Sélectionner le contenu sélectionner.

du panneau Contrôle, puis choisissez Edition > Tout

3 Pour vous déplacer progressivement dans une pile d’objets, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez avec le bouton droit de la souris (Windows) ou cliquez en maintenant la touche Ctrl enfoncée (Mac OS), puis choisissez une option dans le menu contextuel Sélection.

• Choisissez plusieurs fois de suite Objet > Sélection > Objet inférieur suivant ou Objet supérieur suivant jusqu’à ce que l’objet souhaité soit sélectionné. Lorsque vous atteignez le haut ou le bas de la pile, la sélection ne change pas.

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Remarque : les options du menu contextuel dépendent de la position du pointeur de votre souris.

Pour sélectionner plusieurs objets imbriqués

1 A l’aide de l’outil Sélection directe

, cliquez sur l’objet imbriqué.

2 Maintenez la touche Maj enfoncée tout en cliquant sur les autres objets imbriqués à sélectionner.

Options de sélection

Les options du sous-menu Sélection (choisissez Objet > Sélection ou Sélection dans le menu contextuel) vous permettent de sélectionner des objets superposés, imbriqués ou associés. Certaines options peuvent ne pas être disponibles en fonction du type d’objet sur lequel vous travaillez. Lorsque vous utilisez le menu contextuel, l’objet sélectionné dépend de la position du pointeur de la souris. Premier objet supérieur Sélectionne l’objet le plus haut dans la pile. Objet précédent Sélectionne l’objet juste au-dessus de l’objet actif. Objet suivant Sélectionne l’objet juste au-dessous de l’objet actif. Dernier objet inférieur Sélectionne l’objet le plus bas dans la pile. Contenu Sélectionne le contenu du bloc graphique sélectionné ou un objet à l’intérieur du groupe sélectionné. Vous

pouvez également cliquer sur le bouton Sélectionner le contenu du panneau Contrôle.

Conteneur Sélectionne le bloc contenant l’objet sélectionné ou le groupe contenant l’objet sélectionné. Vous pouvez

également cliquer sur le bouton Sélectionner le conteneur du panneau Contrôle.

Objet précédent/Objet suivant Sélectionne l’objet précédent ou suivant du groupe si l’objet sélectionné fait partie d’un groupe, ou, s’il ne fait pas partie d’un groupe, sélectionne l’objet précédent ou suivant sur la planche. Cliquez tout en maintenant la touche Maj enfoncée pour ignorer cinq objets à la fois Cliquez tout en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée pour sélectionner le premier ou le dernier objet de la pile.

Disposition d’objets en pile

Les objets superposés sont empilés dans l’ordre de leur création ou importation. Vous pouvez modifier l’ordre de superposition des objets à l’aide du sous-menu Disposition. Le panneau Calques permet également de déterminer l’ordre de superposition des objets. L’ordre des calques dans le panneau Calques détermine si les objets d’un calque s’affichent au-dessus ou au-dessous des objets d’autres calques. L’ordre de superposition des objets sur un calque repose sur l’ordre des objets de ce calque. Vous pouvez faire glisser les objets sur un calque ou utiliser la commande Objet > Disposition pour contrôler l’ordre de superposition des objets dans un calque. Si vous n’avez créé aucun calque, votre document contient simplement une superposition d’objets sur le calque par défaut. Les objets des gabarits se trouvent derrière tous les calques nommés. Remarque : le fait d’associer certains objets peut modifier l’ordre de superposition des objets par rapport aux objets non associés. 1 Sélectionnez l’objet à déplacer au début ou à la fin d’une pile.

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Pour afficher les données géométriques des objets Lorsque vous sélectionnez un objet, ses informations géométriques apparaissent dans les panneaux Transformation et Contrôle. Si vous en avez sélectionné plusieurs, la somme des données géométriques de tous les objets apparaît, comme s’il s’agissait d’un tout. ❖ Sélectionnez un ou plusieurs objets et affichez le panneau Transformation (Fenêtre > Objet et mise en page >

Les informations sur la position dépendent de l’origine de la règle et du point de référence de l’objet. Les données relatives à l’angle dépendent de la table de montage, dans laquelle une ligne horizontale présente un angle de 0°.

Modification des paramètres de transformation

Le panneau Transformation comprend plusieurs options qui définissent la manière dont les objets sont transformés ainsi que l’affichage des transformations dans les panneaux Transformation et Contrôle.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour modifier le point de référence des objets sélectionnés Toutes les transformations ont pour origine un point fixe sur l’objet ou près de celui-ci, appelé point de référence. Le point de référence est signalé par une icône lorsqu’un outil de transformation, tel que l’outil Mise à l’échelle, est actif.

Déplacement du point de référence vers le centre de l’objet (à gauche) et mise à l’échelle de l’objet (à droite)

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

Remarque : lorsqu’un outil de transformation est sélectionné, le fait de cliquer en dehors de l’objet ne le désélectionne pas, mais déplace simplement le point de référence. Choisissez Edition > Tout désélectionner pour désélectionner un objet. Le dernier point de référence choisi sur le localisateur de point de référence devient le point de référence par défaut pour tous les outils et objets. Lorsque vous faites glisser l’icône d’un point de référence vers un emplacement personnalisé (en dehors d’un point d’ancrage), le point de référence du panneau reprend sa position par défaut une fois que l’objet n’est plus sélectionné. InDesign préserve la position par défaut du point de référence pour tout nouveau document, ce qui vous évite de la réinitialiser.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour mesurer la position des objets sélectionnés La commande Afficher le décalage du contenu détermine l’aspect des valeurs X et Y dans le panneau Transformation pour les objets imbriqués sélectionnés avec l’outil Sélection directe . Le point de référence sélectionné dans le localisateur de point de référence du panneau Transformation ou Contrôle détermine lequel des neuf points de référence de l’objet sélectionné doit être comparé à l’origine du document ou du bloc conteneur. L’origine d’un bloc conteneur correspond toujours à son coin supérieur gauche. La position des objets sélectionnés est mesurée à partir de trois positions :

• La position du bloc conteneur par rapport à l’origine du document. Quel que soit l’état de l’option Afficher le décalage du contenu, sélectionnez le bloc conteneur avec l’outil Sélection.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Affichage de la position du bloc conteneur par rapport à l’origine du document

Affichage de la position de l’objet imbriqué par rapport à l’origine du document

Affichage de la position de l’objet imbriqué par rapport au bloc conteneur

Si l’option Afficher le décalage du contenu est activée, les valeurs X et Y de l’objet imbriqué sont relatives à l’objet conteneur, et les icônes X/Y du panneau Transformation se changent en X+/Y+. Si l’option est désactivée, les valeurs de l’objet imbriqué sont relatives aux règles.

❖ Dans le menu du panneau Transformation ou Contrôle, sélectionnez ou désélectionnez Afficher le décalage du

Pour inclure ou exclure l’épaisseur du contour lors des mesures

L’épaisseur du contour peut affecter la taille et la position de l’objet. Vous pouvez modifier l’alignement du contour, puis choisir de mesurer, dans le panneau Transformation, la taille et la position de cet objet à partir du centre ou du bord de son contour. Pour plus de détails sur la modification de l’alignement du contour, reportez-vous à la section « Options du panneau Contour » à la page 389.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Activez l’option Les dimensions incluent l’épaisseur du contour si vous souhaitez que les mesures du panneau soient faites à partir du bord extérieur du contour de l’objet. Par exemple, si un bloc est plus court qu’un autre bloc de 2 points, mais que son contour est plus épais de 2 points, les panneaux Transformation et Contrôle indiqueront la même hauteur pour les deux blocs si cette option est activée.

• Désactivez l’option Les dimensions incluent l’épaisseur du contour si vous souhaitez que les mesures du panneau Transformation reflètent la taille du tracé ou du bloc d’un objet indépendamment de l’épaisseur de son contour. Par exemple, deux blocs de même hauteur présenteront une hauteur identique dans les panneaux Transformation et Contrôle même si leurs contours respectifs sont d’épaisseurs différentes.

Transformation d’objets

Vous pouvez modifier la taille ou la forme d’un objet et changer son orientation sur la table de montage en utilisant des outils et des commandes. Le panneau Outils contient quatre outils de transformation : Rotation, Mise à l’échelle, Déformation et Transformation manuelle. Vous pouvez également utiliser l’outil Sélection pour transformer des objets. Toutes les transformations (y compris Réflexion) sont accessibles dans les panneaux Transformation et Contrôle, dans lesquels vous pouvez spécifier des mesures de transformation très précises.

Si vous voulez redimensionner à la fois le bloc et son contenu, spécifiez des valeurs dans les champs % de mise à l’échelle sur X et % de mise à l’échelle sur Y et non dans les champs L et H. En effet, les champs L et H s’appliquent uniquement au bloc sélectionné ou à son contenu, mais pas aux deux. N’oubliez pas que les champs de mise à l’échelle acceptent les valeurs exprimées en pourcentage, mais aussi les dimensions accompagnées de l’unité de mesure, par exemple « 6p ».

• Une transformation s’applique à tous les objets sélectionnés, comme s’il s’agissait d’un tout. Par exemple, si vous sélectionnez plusieurs objets et que vous leur appliquez une rotation de 30°, tous les objets pivotent autour du même point de référence. Si vous voulez que tous les objets sélectionnés pivotent de 30° autour de leur propre point de référence, vous devez les sélectionner et les faire pivoter individuellement.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

« Galerie d’outils de transformation » à la page 32 « Transformation des objets » à la page 761 « Répétition de transformations » à la page 462 « Effacement de transformations » à la page 462

Pour transformer des objets à l’aide du panneau Transformation

Utilisez les outils de sélection pour choisir de transformer le bloc et son contenu ensemble ou séparément. 1 Sélectionnez l’objet à transformer.

• Pour transformer le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de l’outil Sélection.

• Pour transformer le contenu sans transformer le bloc, sélectionnez l’objet à l’aide de l’outil Sélection directe

cliquez sur la saisie du contenu d’une image à l’aide de l’outil Sélection.

2 Dans le panneau Transformation ou Contrôle, définissez le point de référence de la transformation.

Toutes les valeurs du panneau font référence aux cadres de sélection des objets. Les valeurs X et Y font référence aux points de référence du cadre de sélection par rapport à l’origine de la règle.

3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Entrez de nouvelles valeurs dans les champs de texte.

• Choisissez des valeurs dans les menus contextuels disponibles. • Choisissez des commandes dans le menu du panneau. Remarque : pour conserver les proportions de l’objet avec les options % de mise à l’échelle sur X et % de mise à l’échelle sur Y, cliquez sur l’icône Conserver les proportions du panneau. Lorsque cette option est désactivée, l’icône prend la forme d’un chaînon brisé. Au lieu des pourcentages, vous pouvez également spécifier des dimensions accompagnées de l’unité de mesure, par exemple « 6p ». 4 Appuyez sur la touche Tabulation, Entrée (Windows) ou Retour (Mac OS) pour appliquer les modifications.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Sélectionnez un objet à l’aide de l’outil Sélection

. Pour transformer une image dans un bloc, cliquez sur la saisie du contenu qui s’affiche lorsque vous placez le pointeur sur l’image.

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour déplacer des objets, cliquez n’importe où dans le cadre de sélection et faites glisser la souris.

• Pour mettre des objets à l’échelle, maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée et faites glisser une poignée du cadre de sélection jusqu’à ce que l’objet atteigne la taille désirée. Appuyez en plus sur la touche Maj pour conserver les proportions de la sélection ou sur la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) pour mettre les objets à l’échelle à partir du centre.

• Pour faire pivoter les objets, placez le pointeur en dehors d’une poignée du cadre de sélection. Lorsque le pointeur prend la forme

, faites glisser la sélection jusqu’à ce qu’elle atteigne l’angle de rotation souhaité.

• Pour appliquer un effet de symétrie, faites glisser l’une des poignées du cadre de sélection au-delà de la poignée ou du côté opposé jusqu’à ce que l’objet soit reflété.

Pour transformer des objets à l’aide de l’outil Transformation manuelle

L’outil Transformation manuelle fonctionne de la même façon que dans Adobe Photoshop et Adobe Illustrator. Il permet d’effectuer toutes les transformations à l’aide d’un seul outil. Lorsqu’il est actif, vous pouvez combiner plusieurs transformations, telles que la rotation et la mise à l’échelle. Vous pouvez utiliser les raccourcis clavier pour permuter les outils Transformation manuelle (E), Sélection (V) et Sélection directe (A). 1 Sélectionnez les objets à transformer à l’aide de l’outil de sélection approprié. 2 Sélectionnez l’outil Transformation manuelle

• Pour mettre des objets à l’échelle à partir du centre du cadre de sélection, cliquez tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée.

• Pour faire pivoter les objets, placez le pointeur de votre souris en dehors du cadre de sélection. Lorsque le pointeur prend la forme

, faites glisser la sélection jusqu’à ce qu’elle atteigne l’angle de rotation souhaité.

• Pour appliquer un effet de symétrie, faites glisser l’une des poignées du cadre de sélection au-delà de la poignée ou du côté opposé jusqu’à ce que l’objet soit reflété.

• Pour déformer un objet, tirez sur une poignée, puis maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée. Maintenez les touches Alt+Ctrl (Windows) ou Commande+Option (Mac OS) enfoncées pour déformer un objet à partir de ses deux côtés.

Diverses méthodes vous permettent de faire pivoter des objets.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour appliquer une rotation à un objet à l’aide de l’outil Rotation 1 Sélectionnez l’objet à faire pivoter. Pour faire pivoter le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de

l’outil Sélection. Pour faire pivoter le contenu sans faire pivoter le bloc, cliquez sur la saisie de contenu ou utilisez l’outil Sélection directe pour sélectionner l’objet. Pour faire pivoter le bloc sans faire pivoter le contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de l’outil Sélection directe, puis sélectionnez tous les points d’ancrage.

2 Sélectionnez l’outil Rotation

éloignez-vous davantage du point de référence de l’objet.

Vous pouvez également faire pivoter les objets à l’aide de l’outil Transformation manuelle. Si les repères commentés (et les dimensions commentées) sont activés, des indices visuels vous informent lorsque vous faites pivoter un objet selon le même angle qu’un objet pivoté situé à proximité. Par exemple, si vous appliquez une rotation de 24 degrés à un objet de la page, puis que vous faites pivoter un autre objet, une icône de rotation s’affiche lorsque vous atteignez un degré de rotation semblable.

Pour appliquer une rotation à un objet à l’aide de l’outil Sélection

❖ A l’aide de l’outil Sélection, placez le pointeur n’importe où en dehors d’une poignée de sélection. Lorsque le

pointeur prend la forme

, faites glisser la sélection jusqu’à ce qu’elle atteigne l’angle de rotation souhaité.

1 Sélectionnez l’objet à faire pivoter. Pour faire pivoter le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de

l’outil Sélection . Pour faire pivoter le contenu sans faire pivoter le bloc, cliquez sur la saisie de contenu ou utilisez l’outil Sélection directe pour sélectionner l’objet. Pour faire pivoter le bloc sans faire pivoter le contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de l’outil Sélection directe, puis sélectionnez tous les points d’ancrage.

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour effectuer une rotation horaire ou antihoraire par incréments de 90°, cliquez sur l’un des boutons Rotation du panneau Contrôle.

• Pour faire pivoter un objet selon un angle prédéfini, choisissez un angle dans le menu déroulant Angle de rotation

dans le panneau Transformation ou Contrôle.

• Dans le champ Angle de rotation

du panneau Transformation ou Contrôle, entrez un angle positif pour faire pivoter les objets sélectionnés vers la gauche ou un angle négatif pour les faire pivoter vers la droite, puis appuyez sur la touche Entrée (Windows) ou Retour (Mac OS).

• Pour créer une copie de l’objet prenant en compte la nouvelle rotation, saisissez une valeur dans la zone Angle de rotation du panneau Transformation, puis appuyez sur la touche Entrée tout en maintenant la touche Alt

(Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée. Lorsque vous faites pivoter un seul objet, la valeur que vous avez spécifiée reste affichée dans le panneau Transformation ou Contrôle. Lorsque vous faites pivoter plusieurs objets, l’angle de rotation est redéfini sur 0 degrés, bien que les objets soient soumis à une rotation.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez utiliser la commande Rotation pour faire pivoter un objet d’une valeur précise. Cette commande vous permet également de faire pivoter une copie de l’objet sélectionné, en laissant l’original intact. 1 Sélectionnez l’objet à faire pivoter. Pour faire pivoter le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de

l’outil Sélection. Pour faire pivoter le contenu sans faire pivoter le bloc, sélectionnez l’objet à l’aide de l’outil Sélection directe. Pour faire pivoter le bloc sans faire pivoter le contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de l’outil Sélection directe, puis sélectionnez tous les points d’ancrage.

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour ouvrir la boîte de dialogue Rotation :

• Choisissez Objet > Transformation > Rotation.

• Cliquez deux fois sur l’outil Rotation 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour prévisualiser l’effet avant de l’appliquer, sélectionnez Aperçu.

• Pour faire pivoter l’objet, cliquez sur OK. • Pour faire pivoter une copie de l’objet, cliquez sur Copier.

Déplacement d’objets

Vous pouvez déplacer des objets dans l’illustration en les coupant et en les collant ailleurs, en indiquant de nouvelles coordonnées horizontales et verticales ou en les faisant glisser. Le glissement vous permet également de déplacer la copie d’un objet ou de copier des objets entre différentes applications. La fonction Repères commentés est très utile pour déplacer des objets à des endroits bien précis de la mise en page. En effet, pendant que vous faites glisser un objet, des repères temporaires indiquent que cet objet est centré sur la page ou aligné par rapport à l’un de ses bords ou à un autre élément de page.

« Transformation d’objets » à la page 449 « Création de gabarits » à la page 73 « Modification des paramètres de transformation » à la page 445 « Utilisation de repères commentés » à la page 61

Pour déplacer des objets

Pour obtenir des résultats optimaux, utilisez l’outil Sélection pour déplacer plusieurs objets. Si vous utilisez l’outil Sélection directe pour sélectionner plusieurs objets ou tracés, seuls le graphique, le tracé ou les points d’ancrage sélectionnés sont déplacés par glissement. 1 Sélectionnez l’objet à déplacer. Pour déplacer le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de

l’outil Sélection . Pour déplacer le contenu sans déplacer le bloc, sélectionnez l’objet à l’aide de l’outil Sélection directe ou cliquez sur la saisie du contenu lorsque vous placez le curseur sur une image. Pour déplacer un bloc sans déplacer le contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de l’outil Sélection directe, puis sélectionnez tous les points d’ancrage.

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Pour qu’un objet apparaisse au même endroit sur plusieurs pages, créez un gabarit contenant l’objet.

• Pour déplacer un objet vers un emplacement numérique particulier, entrez une valeur pour les options de position X (horizontale) ou Y (verticale) dans le panneau Transformation ou Contrôle. Appuyez ensuite sur Entrée

(Windows) ou Retour (Mac OS).

• Pour déplacer légèrement un objet, appuyez sur une touche de direction ou maintenez-la enfoncée ; pour déplacer un objet dix fois plus loin, maintenez la touche Maj enfoncée et appuyez sur une touche de direction.

• Pour déplacer un objet par glissement, faites glisser l’objet vers un nouvel emplacement. Faites-le glisser en maintenant la touche Maj enfoncée pour conserver le mouvement horizontal, vertical ou en diagonale de l’objet (en multiples de 45°).

Faites glisser la saisie du contenu pour déplacer une image à l’intérieur de son bloc.

Pour déplacer des objets à une distance précise

Vous pouvez utiliser la commande Déplacement pour déplacer un objet d’une distance précise. Cette commande vous permet également de déplacer une copie de l’objet sélectionné, en laissant l’original à sa place. 1 Sélectionnez l’objet à déplacer. Pour déplacer le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de l’outil Sélection.

Pour déplacer le contenu sans déplacer le bloc, sélectionnez l’objet à l’aide de l’outil Sélection directe. Pour déplacer un bloc sans déplacer le contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de l’outil Sélection directe, puis sélectionnez tous les points d’ancrage.

2 Choisissez Objet > Transformation > Déplacement ou cliquez deux fois sur l’icône de l’outil Sélection ou

Sélection directe dans le panneau Outils.

3 Dans la boîte de dialogue Déplacement, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Entrez les distances horizontales et verticales selon lesquelles déplacer l’objet. Les valeurs positives déplacent l’objet vers le bas et la droite de l’axe des x, les valeurs négatives le déplacent vers le haut et la gauche.

• Pour déplacer un objet à une distance et un angle précis, entrez la distance et l’angle. L’angle que vous entrez est calculé en degrés à partir de l’axe des x. Les angles positifs définissent un mouvement vers la gauche, les angles négatifs définissent un mouvement vers la droite. Vous pouvez également saisir des valeurs comprises entre 180° et 360°. Elles seront automatiquement remplacées par la valeur négative correspondante (par exemple, 270°

équivalent à -90°). 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour prévisualiser l’effet avant de l’appliquer, sélectionnez Aperçu.

• Pour déplacer l’objet, cliquez sur OK. • Pour déplacer une copie de l’objet, cliquez sur Copier.

Pour déplacer des objets vers un emplacement précis

1 Sélectionnez l’objet à déplacer.

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3 Dans les champs X et Y du panneau Transformation, saisissez les coordonnées de l’emplacement où la sélection

doit être déplacée.

Pour définir la distance de déplacement des objets

1 Choisissez Edition > Préférences > Unités et incréments (Windows) ou InDesign > Préférences > Unités et

incréments (Mac OS).

2 Dans Touche curseur, indiquez la distance selon laquelle la sélection doit se déplacer chaque fois que vous appuyez Si vous maintenez la touche Maj enfoncée tout en déplaçant la sélection, cette distance est multipliée par dix.

Mise à l’échelle et redimensionnement d’objets

Le redimensionnement et la mise à l’échelle sont deux opérations bien distinctes dans InDesign. Dans le premier cas, il s’agit simplement de modifier la largeur et la hauteur d’un objet. En revanche, la mise à l’échelle applique une valeur en pourcentage en se basant sur l’échelle d’origine (100 %) du bloc. La différence entre les deux opérations n’est pas toujours évidente. Pour comprendre cette différence, essayez de redimensionner et de mettre à l’échelle un bloc de texte doté d’un contour. Lorsque vous doublez la taille du bloc de texte, la taille du texte et l’épaisseur du contour demeurent inchangées. Lorsque vous doublez l’échelle du bloc de texte, la taille du texte et l’épaisseur du contour sont également doublées. Redimensionnement d’un bloc Par défaut, lorsque le bloc (et non son contenu) est sélectionné, les nouvelles valeurs des champs Largeur et Hauteur affectent uniquement le bloc, et ce quel que soit l’outil de sélection utilisé. Mise à l’échelle d’un bloc et de son contenu Si vous cliquez sur le bloc à l’aide de l’outil Sélection, les nouvelles valeurs des champs % de mise à l’échelle sur X et % de mise à l’échelle sur Y s’appliquent à la fois au bloc et à son contenu. Si l’option Ajustement automatique est sélectionnée, le bloc et son contenu sont redimensionnés ensemble. Redimensionnement ou mise à l’échelle du contenu du bloc Si vous souhaitez modifier uniquement le contenu d’un bloc (redimensionnement ou mise à l’échelle), cliquez sur la saisie de contenu ou utilisez l’outil Sélection directe pour sélectionner le contenu. Vous pouvez ensuite modifier les valeurs des champs Largeur et Hauteur ou des champs d’échelle, selon le cas. Contournement des valeurs par défaut Si vous voulez modifier l’échelle du bloc ou de son contenu en pourcentage, alors que les valeurs des champs sont exprimées dans le système de mesure actif, vous pouvez spécifier une valeur accompagnée du signe pourcent pour ignorer le système de mesure par défaut. Si, par exemple, la largeur est de 12p et vous voulez la réduire à 75 % de sa valeur actuelle, il suffit d’indiquer 75 % dans le champ Largeur. Dès que vous appuyez sur la touche Entrée, la valeur du champ devient 9p.

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La fonction Repères commentés est très utile pour redimensionner des objets en se basant sur d’autres objets de la mise en page. En effet, pendant que vous redimensionnez un objet, des repères temporaires indiquent que cet objet est centré sur la page ou aligné par rapport à l’un de ses bords, ou encore que sa hauteur ou sa largeur est égale à celle d’un autre élément de page.

Remarque : si l’option Ajustement automatique est sélectionnée, l’image est redimensionnée en même temps que le bloc.

• Pour redimensionner le contenu d’un bloc graphique, cliquez sur la saisie du contenu à l’aide de l’outil Sélection ou sélectionnez le graphique à l’aide de l’outil Sélection directe, puis faites glisser l’une des poignée du bloc graphique.

• Pour redimensionner un bloc ou son contenu selon une taille précise, sélectionnez l’objet et saisissez la taille dans le champ Largeur (l) ou Hauteur (H) du panneau Contrôle.

Pour conserver les proportions d’origine de l’objet lorsque vous utilisez le panneau Contrôle, assurez-vous que l’icône Conserver les proportions est sélectionnée.

• Si vous voulez redimensionner à la fois le bloc et son contenu, spécifiez des valeurs dans les champs % de mise à l’échelle sur X et % de mise à l’échelle sur Y et non dans les champs L et H. En effet, les champs L et H s’appliquent uniquement au bloc sélectionné ou à son contenu, mais pas aux deux. Au lieu des pourcentages, vous pouvez aussi spécifier des dimensions accompagnées de l’unité de mesure, par exemple « 6p ».

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Après avoir redimensionné un bloc ou un objet, vous pouvez ajuster le contenu au bloc, ou le bloc au contenu, à l’aide de l’option Ajustement (Objet > Ajustement).

« Mise à l’échelle d’objets » à la page 457 « Mise à l’échelle et redimensionnement d’objets » à la page 455 « Utilisation de repères commentés » à la page 61

Mise à l’échelle d’objets

Mettre à l’échelle un objet consiste à l’agrandir ou à le réduire horizontalement (sur l’axe des x), verticalement (sur l’axe des y) ou les deux à la fois, par rapport au point de référence que vous spécifiez. Par défaut, InDesign met les contours à l’échelle. Par exemple, si vous mettez à l’échelle à 200 % un objet sélectionné doté d’un contour de 4 points, le panneau Contour indique un contour de 8 points et l’épaisseur du contour est visiblement doublée. Pour modifier le comportement par défaut du contour, désactivez l’option Ajuster l’épaisseur du contour lors de la mise à l’échelle dans le menu du panneau Transformation ou Contrôle.

« Mise à l’échelle du texte » à la page 279 « Transformation des objets » à la page 761 « Mise à l’échelle et redimensionnement d’objets » à la page 455 « Modification des paramètres de transformation » à la page 445

Pour mettre à l’échelle un objet à l’aide de l’outil Sélection

❖ Pour mettre à l’échelle le contenu et le bloc simultanément, sélectionnez l’objet à l’aide de l’outil Sélection et

maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée. Appuyez en plus sur la touche Maj pour redimensionner l’objet proportionnellement.

Pour mettre à l’échelle un objet à l’aide de l’outil Mise à l’échelle

1 Sélectionnez l’objet à mettre à l’échelle. Pour mettre à l’échelle le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide

de l’outil Sélection. Pour mettre à l’échelle le contenu sans mettre à l’échelle le bloc, cliquez sur la saisie de contenu pour sélectionner l’objet à l’aide de l’outil Sélection directe. Pour mettre à l’échelle le bloc sans mettre à l’échelle le contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de l’outil Sélection directe, puis sélectionnez tous les points d’ancrage.

2 Sélectionnez l’outil Mise à l’échelle

3 Placez l’outil Mise à l’échelle à l’écart du point de référence et faites glisser la souris. Pour mettre l’objet à l’échelle

à l’échelle. Pour un contrôle plus précis, commencez à partir d’un point plus éloigné du point de référence de l’objet.

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Pour mettre à l’échelle un objet à l’aide du panneau Transformation Pour conserver les proportions d’origine de l’objet lorsque vous utilisez le panneau Transformation, assurez-vous que l’icône Conserver les proportions est sélectionnée. 1 Sélectionnez l’objet à mettre à l’échelle. Pour mettre à l’échelle le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide

de l’outil Sélection. Pour mettre à l’échelle le contenu sans mettre à l’échelle le bloc, sélectionnez l’objet à l’aide de l’outil Sélection directe. Pour mettre à l’échelle le bloc sans mettre à l’échelle le contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de l’outil Sélection directe, puis sélectionnez tous les points d’ancrage.

2 Dans le panneau Transformation ou Contrôle, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez un pourcentage prédéfini dans le menu déroulant % de mise à l’échelle sur X sur Y

ou % de mise à l’échelle

1 Sélectionnez l’objet à mettre à l’échelle. Pour mettre à l’échelle le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide

de l’outil Sélection. Pour mettre à l’échelle le contenu sans mettre à l’échelle le bloc, sélectionnez l’objet à l’aide de l’outil Sélection directe. Pour mettre à l’échelle le bloc sans mettre à l’échelle le contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de l’outil Sélection directe, puis sélectionnez tous les points d’ancrage.

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour ouvrir la boîte de dialogue Mise à l’échelle :

• Choisissez Objet > Transformation > Echelle.

• Cliquez deux fois sur l’outil Mise à l’échelle

Pour conserver les proportions d’origine de l’objet lorsque vous utilisez le panneau Transformation, assurez-vous que l’icône Conserver les proportions est sélectionnée.

4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour prévisualiser l’effet avant de l’appliquer, sélectionnez Aperçu.

• Pour mettre l’objet à l’échelle, cliquez sur OK. • Pour mettre à l’échelle une copie de l’objet, cliquez sur Copier.

Pour définir le mode de suivi de l’échelle

Vous avez la possibilité de déterminer le mode de suivi de la mise à l’échelle dans l’interface. Si l’option de préférence Appliquer au contenu est sélectionnée dans les préférences générales, les valeurs de mise à l’échelle sont réinitialisées à 100 % dans le panneau Transformation une fois l’objet mis à l’échelle. Si l’option Ajuster le pourcentage de mise à l’échelle est sélectionnée, les valeurs de mise à l’échelle restent telles que spécifiées (125 %, par exemple).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

mise à l’échelle et cliquez sur le bouton OK. Si l’option Ajuster le pourcentage de mise à l’échelle est sélectionnée et vous décidez de mettre à l’échelle un objet, vous pouvez choisir la commande Redéfinir la mise à l’échelle à 100 % dans le menu des panneaux Transformation ou Contrôle pour rétablir l’échelle à 100 %.

Pour régler l’épaisseur du contour lors de la mise à l’échelle d’objets

❖ Activez l’option Ajuster l’épaisseur du contour lors de la mise à l’échelle dans le panneau Transformation ou

Si, par exemple, vous mettez à l’échelle à 200 % un contour de 4 points lorsque cette option est activée, l’épaisseur du contour est alors de 8 points. Si vous désactivez cette option, la taille de l’objet est doublée, mais l’épaisseur du contour reste de 4 points. Si vous mettez à l’échelle un objet de manière non proportionnelle lorsque cette option est activée, InDesign applique l’épaisseur de contour minimum à tous les côtés. Supposons par exemple que vous mettez à l’échelle à 200 % uniquement sur l’axe X un objet sélectionné doté d’un contour de 4 points. Plutôt que d’appliquer un contour de 8 points sur l’axe X et un contour de 4 points sur l’axe Y, InDesign applique la plus petite valeur (4 points) à tous les côtés.

Pour restaurer la valeur de mise à l’échelle sur 100 %

Vous pouvez au besoin réinitialiser sur 100 % les valeurs Mise à l’échelle sur X et Mise à l’échelle sur Y d’un objet sans le redimensionner. Supposons par exemple que vous avez ouvert un document depuis une version précédente d’InDesign, pour lequel les valeurs de mise à l’échelle sont différentes de 100 %, ou que vous avez mis à l’échelle un objet avec l’option Ajuster le pourcentage de mise à l’échelle activée. Lorsque vous choisissez cette commande, les valeurs de mise à l’échelle de tous les blocs sélectionnés sont réinitialisées sur 100 %. Cette commande ne modifie pas la taille ni l’apparence des objets. 1 Sélectionnez un ou plusieurs objets pour lequel ou lesquels les valeurs de mise à l’échelle sont différentes de 100 %.

Cette commande est grisée si vous sélectionnez une image importée à l’aide de l’outil Sélection directe ou si un objet dispose de valeurs de mise à l’échelle de 100 %.

2 Choisissez la commande Redéfinir la mise à l’échelle à 100 % dans le menu du panneau Transformation

Remarque : cette commande peut entraîner un comportement inattendu avec des objets appartenant à des groupes transformés.

contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de l’outil Sélection. Pour appliquer une symétrie au contenu, mais pas au bloc, sélectionnez l’objet à l’aide de l’outil Sélection directe. Pour appliquer une symétrie au bloc, mais pas au contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de l’outil Sélection directe, puis sélectionnez tous les points d’ancrage.

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour appliquer un effet de symétrie en prenant pour axe horizontal le point de référence, cliquez sur le bouton Symétrie axe horizontal du panneau Contrôle.

• Pour appliquer un effet de symétrie en prenant pour axe vertical le point de référence, cliquez sur le bouton Symétrie axe vertical du panneau Contrôle.

Vous pouvez également appliquer un effet de symétrie aux objets en utilisant l’outil Sélection ou l’outil Transformation manuelle pour faire passer l’un des côtés du cadre de sélection d’un objet au côté opposé, ou en entrant des valeurs négatives dans les zones % de mise à l’échelle sur X ou % de mise à l’échelle sur Y du panneau Transformation ou Contrôle.

Déformation (inclinaison) d’objets

Déformer un objet consiste à l’incliner le long de l’axe horizontal ou vertical, mais aussi à faire pivoter les deux axes de l’objet. Cette option permet notamment de :

• simuler un effet de perspective, comme une projection isométrique ;

• incliner un bloc de texte ; • créer des ombres portées, lesquelles consistent à incliner une copie des objets.

« Modification des paramètres de transformation » à la page 445

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Sélectionnez l’objet à déformer. Pour déformer le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de

l’outil Sélection. Pour déformer le contenu sans déformer le bloc, cliquez sur la saisie de contenu pour sélectionner l’objet à l’aide de l’outil Sélection directe. Pour déformer le bloc sans déformer le contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de l’outil Sélection directe, puis sélectionnez tous les points d’ancrage.

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour déformer les objets sélectionnés par glissement, sélectionnez l’outil Déformation

. Placez l’outil Déformation à l’écart du point de référence et faites glisser la souris. Tout en maintenant la touche Maj enfoncée, faites glisser la souris pour limiter la déformation à un axe vertical ou horizontal perpendiculaire. Si vous commencez à faire glisser la souris selon un angle non perpendiculaire, puis maintenez enfoncée la touche Maj, la déformation se limite à cet angle.

Objet déformé par glissement de l’outil Déformation, le point de référence étant placé au centre

Si vous souhaitez utiliser un autre point de référence pour la déformation, cliquez à l’endroit où vous voulez l’insérer.

• Pour appliquer une déformation selon une valeur prédéfinie, dans le panneau Transformation ou Contrôle, choisissez un angle dans le menu déroulant Déformation

Vous pouvez également déformer les objets à l’aide de l’outil Transformation manuelle.

Pour déformer un objet à l’aide de la commande Déformation

Vous pouvez déformer un objet à l’aide d’une valeur précise grâce à la commande Déformation. Cette commande vous permet également de déformer une copie de l’objet sélectionné, en laissant l’original intact. 1 Sélectionnez l’objet à déformer. Pour déformer le bloc et son contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de

l’outil Sélection. Pour déformer le contenu sans déformer le bloc, cliquez sur la saisie de contenu pour sélectionner l’objet à l’aide de l’outil Sélection directe. Pour déformer le bloc sans déformer le contenu, sélectionnez le bloc à l’aide de l’outil Sélection directe, puis sélectionnez tous les points d’ancrage.

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour ouvrir la boîte de dialogue Déformation :

• Choisissez Objet > Transformation > Déformation.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

4 Spécifiez l’axe selon lequel déformer l’objet. Vous pouvez déformer un objet le long d’un axe horizontal ou vertical. 5 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour prévisualiser l’effet avant de l’appliquer, sélectionnez Aperçu.

• Pour déformer l’objet, cliquez sur OK. • Pour déformer une copie de l’objet, cliquez sur Copie.

Répétition de transformations

Vous pouvez répéter des transformations, comme un déplacement, une mise à l’échelle, une rotation, un redimensionnement, un effet de symétrie, une déformation et un ajustement. Vous pouvez répéter une transformation simple ou une série de transformations. Vous pouvez appliquer ces transformations à plusieurs objets en même temps. InDesign garde toutes les transformations en mémoire jusqu’à ce que vous sélectionniez un objet différent pour réaliser une tâche différente. Remarque : toutes les transformations ne sont pas mémorisées. La modification d’un tracé ou de ses points par exemple n’est pas enregistrée comme une transformation. 1 Sélectionnez un ou plusieurs objets, puis appliquez toutes les transformations que vous souhaitez répéter. 2 Sélectionnez les objets auxquels vous voulez appliquer les mêmes transformations. 3 Choisissez Objet > Répéter la transformation, puis sélectionnez l’une des options suivantes : Répéter la transformation Applique la dernière transformation unique à la sélection. Répéter la transformation individuellement Applique la dernière transformation unique à chaque objet sélectionné

individuellement, plutôt qu’au groupe.

Répéter la transformation en séquence Applique la dernière série de transformations à la sélection. Répéter la transformation en séquence individuellement Applique la dernière série de transformations à chacun des

objets sélectionnés, individuellement.

2 Choisissez la commande Effacer les transformations dans le menu du panneau Transformation ou Contrôle.

L’effacement des transformations change l’aspect des objets, excepté si toutes les valeurs sont les valeurs par défaut.

Remarque : si les valeurs de mise à l’échelle ont été réinitialisées à 100 %, l’effacement des transformations ne modifie pas l’échelle.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Le panneau Alignement (Fenêtre > Objet et mise en page > Alignement) vous permet d’aligner ou de distribuer des objets horizontalement ou verticalement le long de la sélection, des marges, de la page ou de la planche. Prenez en compte les points suivants lorsque vous utilisez le panneau Alignement :

• Le panneau Alignement n’a aucun effet sur les objets auxquels vous avez appliqué la commande Verrouiller la position et ne modifie pas l’alignement des paragraphes de texte dans leurs blocs respectifs.

• Les options d’alignement d’objets n’affectent pas l’alignement du texte (voir « Alignement ou justification du texte » à la page 286).

• Vous pouvez utiliser la boîte de dialogue Raccourcis clavier (Edition > Raccourcis clavier) pour créer des raccourcis d’alignement et de distribution personnalisés (dans Zone du produit, sélectionnez Edition d’objets).

3 Dans le menu situé au bas du panneau, indiquez si vous souhaitez aligner ou distribuer des objets par rapport à la

sélection, aux marges, à la page ou à la planche.

4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour aligner des objets, cliquez sur le bouton correspondant au type d’alignement souhaité.

• Pour distribuer des objets, cliquez sur le bouton correspondant au type de distribution souhaité. Par exemple, si vous cliquez sur le bouton Répartir les bords gauches lorsque l’option Aligner sur la sélection est activée, InDesign applique le même espacement entre tous les bords de gauche de tous les objets sélectionnés.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Lorsque vous choisissez d’espacer les objets par distribution verticale, les objets sélectionnés sont espacés de haut en bas à partir du premier objet. Lorsque vous choisissez d’espacer les objets par distribution horizontale, les objets sélectionnés sont espacés de gauche à droite à partir du premier objet. Vous pouvez également faire appel à la fonction Espacement intelligent pour aligner ou espacer les objets pendant que vous les déplacez. Supposons, par exemple, que l’espace entre deux objets disposés verticalement soit de 12 points et que vous vouliez placer un troisième objet sous le deuxième. Lorsque la distance entre ces deux objets est quasiment égale à 12 points, des repères temporaires apparaissent pour vous aider à placer le nouvel objet au bon endroit.

« Utilisation de repères commentés » à la page 61 « Alignement des objets à l’aide de l’outil Espace » à la page 465

Alignement des objets à l’aide de l’outil Espace

L’outil Espace permet de régler rapidement l’espacement de plusieurs objets. Vous pouvez également l’utiliser pour redimensionner simultanément plusieurs objets dont les contours sont alignés sans changer l’espace qui les sépare. En intervenant directement sur l’espace entre les objets, vous disposez là d’un moyen simple et rapide d’ajuster votre mise en page. L’outil Espace ignore les éléments de gabarit et les objets verrouillés. Pour consulter un didacticiel vidéo sur l’utilisation de l’outil Espace, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid5155_id_en. 1 Sélectionnez l’outil Espace

Lorsque vous transformez plusieurs objets sélectionnés, vous pouvez augmenter ou réduire proportionnellement l’espace qui les sépare au lieu de redimensionner les objets eux-mêmes. Par exemple, vous pouvez modifier l’espacement de cinq rectangles alignés sans utiliser aucune commande de répartition. Pour consulter une vidéo sur l’utilisation de Live Distribute, reportez-vous à l’adresse http://tv.adobe.com/go/4949/. 1 Sélectionnez les objets. 2 Commencez à faire glisser une poignée de sélection tout en maintenant la barre d’espace enfoncée. Continuez à

faire glisser la poignée pour modifier l’espacement des objets.

Association, verrouillage et duplication d’objets

Association ou dissociation d’objets Vous pouvez combiner plusieurs objets au sein d’un groupe pour qu’ils soient traités comme un seul objet. Vous pouvez ensuite déplacer ou transformer les objets sans modifier leur position ni leurs attributs. Par exemple, il est possible d’associer les objets d’un logo pour pouvoir déplacer ou mettre à l’échelle ce dernier comme s’il s’agissait d’un tout. et cliquez sur le menu Objet. Si

« Disposition d’objets en pile » à la page 444 « Sélection d’objets imbriqués ou superposés » à la page 443 1 Sélectionnez le ou les objets que vous souhaitez verrouiller. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour verrouiller les objets, choisissez Objet > Verrouiller.

• Pour déverrouiller un objet, cliquez sur l’icône de verrou. • Pour déverrouiller les objets de la planche active, choisissez la commande Objet > Tout déverrouiller sur la planche. Vous pouvez également utiliser le panneau Calques pour verrouiller ou déverrouiller à la fois les objets et les calques. Lorsque vous verrouillez un calque, tous ses objets sont verrouillés et il est impossible de les sélectionner (voir la section « Calques » à la page 80).

« Verrouillage ou déverrouillage de calques » à la page 85

Les objets masqués ne sont ni imprimés ni exportés, et il est impossible de les sélectionner. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour masquer un objet, sélectionnez-le et choisissez la commande Objet > Masquer.

• Pour afficher un objet masqué, choisissez la commande Objet > Tout afficher sur la planche.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Utilisez la commande Dupliquer pour créer instantanément une copie de l’objet sélectionné. La nouvelle copie apparaît dans la mise en page, à une position légèrement décalée en bas et à droite par rapport à l’original. ❖ Sélectionnez un ou plusieurs objets, puis choisissez Edition > Dupliquer.

Pour dupliquer un objet sélectionné lors de sa transformation

Vous pouvez dupliquer un objet chaque fois que vous modifiez sa position, son orientation ou ses proportions. Pour créer une fleur, par exemple : dessinez un pétale et définissez le point de référence à la base du pétale, faites-le pivoter à plusieurs reprises en augmentant l’angle et en dupliquant l’objet à chaque fois pour laisser une copie du pétale à chaque nouvelle position d’angle. ❖ Pendant la transformation, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Si vous faites glisser l’outil Sélection

, Rotation , Mise à l’échelle ou Déformation , faites glisser la souris, puis maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée. Pour forcer la transformation de la copie, appuyez simultanément sur Alt+Maj (Windows) ou sur Option+Maj (Mac OS) tout en faisant glisser la copie.

• Si vous spécifiez une valeur dans le panneau Transformation ou Contrôle, appuyez sur Alt+Entrée (Windows) ou sur Option+Retour (Mac OS) après avoir entré la valeur.

• Si vous déplacez les objets à l’aide des touches de direction, maintenez en même temps la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée.

Utilisation de la commande Exécuter et répéter pour dupliquer des objets

Utilisez la commande Exécuter et répéter pour créer instantanément des lignes ou des colonnes de copies. Vous pouvez par exemple remplir une page de cartes de visites espacées de manière régulière. 1 Sélectionnez le ou les objets que vous souhaitez dupliquer. 2 Choisissez Edition > Exécuter et répéter. 3 Dans Nombre de répétitions, indiquez le nombre de copies que vous voulez créer, sans compter l’original. 4 Dans Décalage horizontal et Décalage vertical, indiquez la distance devant séparer chaque nouvelle copie de la copie

précédente sur les axes x et y, respectivement, puis cliquez sur OK.

Pour remplir toute la page de copies, utilisez d’abord la commande Exécuter et répéter en spécifiant un décalage vertical de 0 (zéro) ; vous obtenez une ligne de copies. Sélectionnez ensuite toute la ligne et utilisez la commande Exécuter et répéter en spécifiant un décalage horizontal de 0 ; la ligne est copiée autant de fois que nécessaire pour remplir la page.

Duplication d’objets dans une grille

Vous pouvez créer une grille composée d’objets identiques à l’objet dupliqué en faisant glisser ce dernier et en utilisant les touches de modification. Pour consulter une vidéo sur l’utilisation du mode grille, rendez-vous à l’adresse http://tv.adobe.com/go/4949/. 1 Sélectionnez un objet. 2 Maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée, puis à l’aide de l’outil Sélection, commencez à

faire glisser l’objet.

4 Relâchez le bouton de la souris.

Création d’objets non imprimables

Vous pouvez créer des objets qui apparaissent à l’écran mais qui ne seront pas imprimés et qui n’apparaîtront pas dans les versions portables du document. Vous pouvez également utiliser des calques pour masquer ou afficher des éléments dans un document, et définir les calques comme non imprimables. 1 Sélectionnez l’objet ou le bloc de texte que vous ne voulez pas imprimer. 2 Ouvrez le panneau Options d’objet (Fenêtre > Sortie > Options d’objet). 3 Dans le panneau Options d’objet, sélectionnez Non imprimable.

Dans Adobe InDesign, on appelle « objet » tout élément ajouté ou créé dans la fenêtre de document, y compris les tracés ouverts, les tracés fermés, les formes et tracés transparents, le texte, les illustrations bitmap, les objets 3D et tout fichier importé (fichier graphique, par exemple). Si un graphique est placé dans un bloc (c’est le cas de tous les graphiques importés), vous pouvez le modifier en changeant le bloc qui le contient pour effectuer les opérations suivantes :

• Recadrer un graphique en réduisant son bloc.

• Créer divers effets de masque et de mise en page en collant un objet dans un bloc. • Ajouter une ligne de repère ou un contour à un graphique en changeant l’épaisseur de son contour et la couleur de son bloc.

• Centrer un graphique dans un rectangle d’arrière-plan en agrandissant son bloc et en définissant une couleur de fond.

Collage d’un objet dans un bloc

Vous pouvez imbriquer des graphiques dans des blocs conteneur à l’aide de la commande Coller dedans. Vous pouvez également imbriquer des graphiques dans des blocs imbriqués.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Pour coller un bloc de texte dans un autre bloc et conserver son apparence, sélectionnez l’ensemble du bloc de texte avec l’outil Sélection

ou Sélection directe

Remarque : une image importée se trouve obligatoirement dans un bloc. Si vous coupez une image importée de son bloc et la collez n’importe où ailleurs dans le document, un nouveau bloc est automatiquement créé à cet endroit.

Ajustement d’objets aux blocs

Si le contenu n’a pas la même taille que le bloc, vous pouvez utiliser les commandes Ajustement pour que leurs tailles soient parfaitement emboîtées. Les options d’alignement de bloc s’appliquent aux blocs contenant soit une image, soit un autre bloc de texte (dans le cas de blocs de texte imbriqués), mais elles ne s’appliquent pas aux paragraphes au sein des blocs de texte : l’alignement et le positionnement du texte lui-même se règlent avec la commande Options de bloc de texte et les panneaux Paragraphe, Styles de paragraphe et Article.

Pour ajuster un objet à son bloc

1 Sélectionnez le bloc de l’objet.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Ajuster le bloc au contenu Ajuste un bloc aux dimensions de son contenu. Si nécessaire, les proportions du bloc

sont modifiées en fonction de celles du contenu. Cette commande est particulièrement utile pour « rétablir » la taille d’un bloc graphique modifié accidentellement.

Pour ajuster rapidement un bloc à son contenu, cliquez deux fois sur une poignée d’angle du bloc. Le bloc est redimensionné en s’écartant du point cliqué. Si vous cliquez sur une poignée latérale, le bloc est redimensionné dans cette dimension uniquement.

Ajuster le contenu proportionnellement Ajuste le contenu aux dimensions d’un bloc tout en conservant les proportions du contenu. Les dimensions du bloc ne sont pas modifiées. Si le contenu et le bloc sont de proportions différentes, une zone blanche apparaît dans le bloc.

Remplir le bloc proportionnellement Ajuste le contenu pour remplir le bloc en entier tout en préservant les

proportions du contenu. Les dimensions du bloc ne sont pas modifiées. Si le contenu et le bloc ont des proportions différentes, une partie du contenu est recadrée par le cadre de sélection du bloc.

Remarque : les commandes Ajustement permettent d’ajuster les bords externes du contenu au centre du contour du bloc. Si le contour du bloc est épais, les bords extérieurs du contenu sont masqués. Vous pouvez ajuster l’alignement du contour par rapport aux bords du bloc et créer ainsi un contour centré, intérieur ou extérieur (voir la section « Définition de contours » à la page 388). Pour supprimer les paramètres d’ajustement indésirables consécutifs à l’application de l’option Ajustement automatique, choisissez la commande Objet > Ajustement > Effacer les options d’ajustement de bloc.

Utilisation de l’option Ajustement automatique

Lorsque vous redimensionnez un bloc d’image sans activer l’option Ajustement automatique, seule la taille du bloc est modifiée ; celle de l’image demeure inchangée. Si vous activez l’option Ajustement automatique, l’image est redimensionnée en même temps que le bloc. Pour recadrer ou transformer l’image, intervenez sur l’image elle-même au moyen de l’outil Sélection directe. Vous pouvez également désactiver l’option Ajustement automatique, transformer l’image, puis réactiver cette option. L’option Ajustement automatique est disponible dans la barre de contrôle, ainsi que dans la boîte de dialogue Options d’ajustement de bloc.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez associer une option d’ajustement à un bloc de substitution, de manière à ce que la commande d’ajustement soit appliquée à chaque fois que vous importez du nouveau contenu dans le bloc. 1 Sélectionnez un bloc. 2 Choisissez Objet > Ajustement > Options d’ajustement de bloc. 3 Spécifiez les options suivantes, puis cliquez sur OK : Ajustement automatique Sélectionnez cette option pour que l’image soit automatiquement redimensionnée en

même temps que le bloc.

Point de référence Indiquez un point de référence pour les actions de recadrage et d’ajustement. Ainsi, si vous

sélectionnez le coin supérieur droit comme point de référence et que vous choisissez la commande Ajuster le contenu proportionnellement, l’image peut être recadrée du côté gauche ou du bas (à l’écart du point de référence).

Valeur de recadrage Indiquez l’emplacement du cadre de sélection de l’image par rapport au bloc. Des valeurs positives permettent de recadrer l’image. Vous pouvez, par exemple, exclure une bordure entourant l’image importée. Pour espacer le cadre de sélection de l’image du bloc, utilisez des valeurs négatives. Vous pouvez, par exemple, insérer un espace blanc entre l’image et le bloc.

Si vous saisissez des valeurs de recadrage trop importantes pour que l’image reste visible, ces valeurs sont ignorées, mais l’option d’ajustement est tout de même appliquée.

Ajustement sur un bloc vide Indiquez si vous souhaitez ajuster le contenu au bloc (ce qui peut entraîner une

déformation de l’image), ajuster le contenu de manière proportionnelle (une zone blanche peut apparaître), ou remplir le bloc de manière proportionnelle (un ou plusieurs côtés peuvent être recadrés).

L’action d’ajustement est appliquée uniquement lorsque le contenu est importé dans un bloc. Si vous redimensionnez le bloc, l’ajustement n’est réappliqué automatiquement que si l’option Ajustement automatique est sélectionnée.

« Utilisation de balises d’emplacement dans la conception des pages » à la page 88 « Styles d’objet » à la page 230

Déplacement d’un bloc graphique ou de son contenu

Lorsque vous utilisez l’outil Sélection pour sélectionner un bloc graphique, vous pouvez sélectionner le bloc ou l’image qu’il contient. Si vous cliquez en dehors de la saisie du contenu et que vous faites glisser la sélection, le contenu du bloc est déplacé avec ce dernier. Si vous faites glisser la saisie du contenu, l’image est déplacée à l’intérieur du bloc. Les méthodes ci-dessous indiquent comment déplacer un bloc ou son contenu indépendamment l’un de l’autre. Ces méthodes sont particulièrement utiles pour ajuster la façon dont les images sont recadrées ou masquées par leur bloc. Si un outil Sélection n’agit pas comme vous le souhaitez, essayez d’abord de tout désélectionner. Pour ce faire, appuyez sur les touches Ctrl+Maj+A (Windows) ou Commande+Majuscule+A (Mac OS). ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour déplacer un bloc et son contenu, cliquez sur l’image en dehors de la saisie du contenu à l’aide de l’outil

Remarque : si vous maintenez le bouton de la souris enfoncé sur une image avant de la déplacer, une prévisualisation dynamique (image fantôme) de l’ensemble du graphique apparaît en dehors du bloc, mais l’aperçu de l’image à l’intérieur du bloc reste opaque. Cela facilite le positionnement de l’image par rapport au bloc.

• Pour déplacer un bloc sans déplacer son contenu, cliquez sur le bloc à l’aide de l’outil Sélection, activez l’outil Sélection directe, puis faites glisser le point central.

Déplacement du bloc sans son contenu

• Pour déplacer plusieurs blocs, sélectionnez les objets à l’aide de l’outil Sélection, puis faites-les glisser. Si vous sélectionnez plusieurs objets à l’aide de l’outil Sélection directe, seul l’élément que vous faites glisser est déplacé.

Création d’une bordure ou d’un arrière-plan

Les blocs graphiques constituent la solution idéale pour ajouter une bordure ou un fond à du contenu, car il est possible de modifier leur épaisseur et leur fond indépendamment de leur contenu.

2 Pour agrandir le bloc sans redimensionner le graphique, faites glisser n’importe quelle poignée du cadre de

sélection vers l’extérieur. Pour conserver les proportions du bloc, maintenez la touche Maj enfoncée pendant que vous faites glisser.

3 Utilisez le panneau Nuancier et le panneau Outils pour appliquer une couleur de contour et de fond. 4 Utilisez le panneau Contour pour ajuster l’épaisseur, le style ou l’alignement du contour du bloc.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

« Application de couleurs » à la page 507

Recadrage ou masquage d’objets

Les termes recadrage et masquage désignent tous deux l’action de cacher une partie d’un objet. La différence tient généralement au fait que le recadrage utilise un rectangle pour rogner les côtés d’une image, et que le masquage utilise une forme arbitraire pour rendre transparent l’arrière-plan de l’objet. Le masque en est un exemple typique : c’est un masque conçu pour une image spécifique. Utilisez des blocs graphiques pour recadrer ou masquer les objets. Les graphiques importés étant automatiquement placés dans un bloc, vous pouvez les recadrer ou les masquer immédiatement sans avoir à créer un bloc au préalable. Si vous n’avez pas créé manuellement de bloc pour un graphique importé, un bloc est automatiquement créé à la taille exacte du graphique ; il n’est donc pas forcément visible. Remarque : seules les données des parties visibles des images recadrées ou masquées sont imprimées. Vous pouvez néanmoins économiser de l’espace disque et de la mémoire si vous recadrez ou masquez les images pour leur donner la forme et la taille souhaitées avant de les importer dans le document.

• Pour recadrer une image importée ou tout autre graphique figurant déjà dans un bloc rectangulaire, cliquez sur l’objet avec l’outil Sélection et faites glisser les poignées du cadre de sélection qui s’affiche. Appuyez sur la touche Maj en faisant glisser la poignée si vous voulez conserver les proportions originales du bloc.

Recadrage d’une image à l’aide d’un bloc graphique

• Pour recadrer ou masquer un objet, utilisez l’outil Sélection ou Sélection directe

Options d’ajustement de bloc, puis spécifiez la valeur de recadrage. Dans le cas de graphiques importés, vous pouvez également créer un masque à l’aide des outils de dessin pour modifier la forme du bloc du graphique.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• d’appliquer les balises et les paramètres de texte réel pour les fichiers PDF balisés ; • de créer plusieurs paramètres de conversion pour chaque objet, pour un rendu de qualité quelles que soient la taille de l’écran et la densité des pixels. Ces options vous permettent également de contrôler la qualité de la pixellisation appliquée aux effets de texte, comme les ombres portées et les biseaux, lorsque vous exportez la mise en page au format HTML ou EPUB.

Application d’options d’exportation d’objet

1 Sélectionnez le bloc ou le groupe dans la mise en page. 2 Choisissez Objet > Options d’exportation d’objet. 3 Appliquez les paramètres.

Vous pouvez quitter la boîte de dialogue Options d’exportation d’objet pendant que vous sélectionnez d’autres objets de la mise en page pour leur appliquer les paramètres.

Options du texte Alt

Le texte de remplacement, ou alternatif (Alt), est une brève description textuelle d’une image ou d’un graphique. Ce texte est utilisé en l’absence de rendu de l’image ou pour faciliter le travail des lecteurs d’écran. Source du texte Alt Sélectionnez la source du texte de remplacement à attribuer aux blocs ou groupes sélectionnés.

• Personnalisé Saisissez manuellement le texte.

• A partir de la structure Utilisez le texte tel qu’il figure dans la structure (voir la section « Ajout d’un libellé aux graphiques pour une prise en charge par un lecteur d’écran » à la page 572). • A partir d’un fichier XMP (titre |description |titre) Utilisez les données stockées dans les champs XMP courants. En cas de mise à jour des données XMP dans une autre application, notamment Adobe Bridge, la mise à jour du lien est répercutée automatiquement sur le texte. • A partir d’un autre fichier XMP Si la chaîne de texte est stockée dans un autre champ XMP, entrez l’espace de noms et le nom de propriété complets au format <ns>:<property>. Par exemple, l’interface utilisateur Adobe Bridge prend en charge IPTC Core, qui contient un champ intitulé « Code de sujet IPTC ». Si ce champ a servi à stocker la chaîne de texte, le champ Propriété prend la valeur « Iptc4xmpCore:SubjectCode[1] ». Remarque : lorsque vous importez du contenu à partir de Microsoft Word, InDesign importe également le texte Alt appliqué aux images.

Options de fichiers PDF balisés

Appliquer une balise Sélectionnez la source de la balise PDF à attribuer aux blocs ou groupes sélectionnés.

• A partir de la structure Utilisez le texte tel qu’il figure dans la structure.

• Artefact Réservez cette option aux éléments graphiques insignifiants lorsqu’ils sont énoncés par le lecteur d’écran. • D’après l’objet Détermine automatiquement le contenu du bloc et applique la balise « Article » ou « Illustration ». Source du texte réel Le format de fichier PDF prend en charge le texte réel, en complément du texte Alt. Vous pouvez appliquer du texte réel aux éléments graphiques qui s’apparentent visuellement à du texte. C’est le cas notamment

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• A partir d’un fichier XMP (titre |description |titre) Utilisez les données stockées dans les champs XMP courants. En cas de mise à jour des données XMP dans une autre application, notamment Adobe Bridge, la mise à jour du lien est répercutée automatiquement dans le texte. • A partir d’un autre fichier XMP Si la chaîne de texte est stockée dans un autre champ XMP, entrez l’espace de noms et le nom de propriété complets au format <ns>:<property>. Par exemple, l’interface utilisateur Adobe Bridge prend en charge IPTC Core, qui contient un champ intitulé « Code de sujet IPTC ». Si la chaîne de texte est stockée dans ce champ, le champ Propriété prend la valeur « Iptc4xmpCore:SubjectCode[1] ».

Options EPUB et HTML Utilisez les options EPUB et HTML pour définir les paramètres de conversion des images de certains objets. Si ces paramètres ne sont pas spécifiés, les paramètres de conversion d’image d’exportation EPUB sont utilisés (voir la section « Options d’image EPUB » à la page 133).

Conversion personnalisée Cochez cette case pour définir des paramètres de conversion personnalisée pour les images

des blocs sélectionnés.

• Taille Indiquez si les images doivent conserver une taille fixe ou être redimensionnées par rapport à la page. Si vous optez pour une taille adaptée au format de page, une valeur relative exprimée en pourcentage est définie en fonction de la taille de l’image par rapport à la largeur de page InDesign. Les images sont ainsi redimensionnées proportionnellement, par rapport à la largeur de la surface de lecture.

• Résolution (ppp) Spécifiez la résolution des images en pixels par pouce (ppp). Tandis que les systèmes d’exploitation ont adopté une résolution standard de 72 ppp ou 96 ppp, la résolution des terminaux mobiles varie de 132 ppp (iPad) à 172 ppp (Sony Reader), voire même plus de 300 ppp (iPhone 4). Vous pouvez spécifier une valeur exprimée en ppp pour chaque objet sélectionné, parmi lesquelles 72, 96, 150 (moyenne pour tous les lecteurs électroniques du moment) et 300.

• Format Choisissez GIF, JPEG ou PNG pour la conversion des images optimisées dans votre document.

• Panneau Cette option vous permet de contrôler la façon dont InDesign gère les couleurs lors de l’optimisation des fichiers GIF. Le format GIF utilise une palette de couleurs limitée, qui ne doit pas contenir plus de 256 couleurs. Choisissez Adaptative pour créer une palette utilisant un échantillon représentatif de couleurs dans l’illustration sans aucun tramage (mélange de quelques tons de couleurs pour simuler des couleurs supplémentaires). Choisissez l’option Web pour créer une palette de couleurs Web (ces couleurs sont un sous-ensemble des couleurs système Windows et Mac OS). Choisissez Système (Win) ou Système (Mac) pour créer une palette utilisant la palette de couleurs intégrée de Windows ou de Mac OS. Ce choix peut donner des résultats inattendus. Sélectionnez l’option Entrelacement pour afficher progressivement une image lente à charger en complétant les lignes manquantes. Lorsque cette option est désélectionnée, l’image paraît floue, puis elle devient plus nette au fur à et mesure qu’elle approche de sa résolution maximale.

• Qualité Permet de choisir entre une compression (et une taille de fichier réduite) et une haute qualité d’image pour chaque image JPEG. L’option Faible génère le plus petit fichier et la qualité d’image la plus faible.

• Méthode Permet de déterminer la vitesse d’affichage des images JPEG à l’ouverture du fichier contenant l’image sur le Web. Choisissez Progressive pour que les images JPEG s’affichent graduellement avec de plus en plus de détails

à mesure qu’elles sont téléchargées. Les fichiers créés avec cette option sont légèrement plus volumineux et utilisent Dernière mise à jour le 18/5/2011

UTILISATION D’INDESIGN Blocs et objets

Alignement et espacement personnalisés des images Spécifiez l’alignement, à gauche, au centre ou à droite, et le

remplissage, en haut et en bas, de l’image.

Insérer un saut de page Sélectionnez cette option pour insérer des sauts de page avec les images. Vous pouvez insérer

des sauts de page avant et/ou après l’image.

• Importez dans la mise en page des graphiques ayant déjà été enregistrés avec des tracés ou des couches alpha (masques) qu’InDesign peut utiliser automatiquement. Pour ajouter des tracés et des couches alpha aux graphiques, vous pouvez utiliser un logiciel comme Adobe Photoshop.

• Utilisez l’option Détection des contours de la commande Masque pour créer le masque d’un graphique n’ayant pas

été enregistré avec un masque.

• Utilisez l’outil Plume pour dessiner un tracé de la forme souhaitée, puis choisissez la commande Coller dedans pour coller le graphique dans le tracé.

Si vous utilisez l’une des méthodes automatiques d’InDesign pour générer un masque, l’image est associée à un masque InDesign ; elle est donc rognée par le tracé et recadrée par le bloc. Remarque : le bloc graphique affiche la couleur du calque sur lequel il apparaît, et le masque est dessiné dans la couleur complémentaire du calque. Par exemple, si le calque est bleu, le bloc graphique apparaît en bleu et le masque en orange.

Recadrage d’un objet à l’aide d’un tracé ou d’une couche alpha

InDesign peut recadrer un graphique EPS, TIFF ou Photoshop importé à l’aide d’un masque ou d’une couche alpha enregistré dans le fichier. Si le graphique importé contient plusieurs tracés ou couches alpha, vous pouvez choisir le tracé ou la couche alpha à utiliser en créant un masque. Une couche alpha est une couche invisible définissant les zones transparentes d’un graphique. Elle est stockée à l’intérieur du graphique, avec les couches RVB ou CMJN. Les couches alpha sont généralement utilisées dans les applications de montage vidéo. InDesign reconnaît automatiquement la transparence par défaut de Photoshop (le motif à damier) comme couche alpha. Si le graphique a un arrière-plan opaque, vous devez utiliser Photoshop pour le supprimer, ou créer et enregistrer une ou plusieurs couches alpha avec le graphique. Dans Adobe Photoshop, vous pouvez créer des couches alpha à l’aide des commandes de suppression de fond telles que les masques de fusion, le panneau Couches, la gomme d’arrière-plan ou la gomme magique.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

4 Pour créer un encart avec le masque, indiquez une valeur dans Bloc. 5 Pour inverser les zones visibles et masquées, sélectionnez Inverser. 6 Si vous choisissez une couche alpha, indiquez les autres options de masque et cliquez sur OK.

Pour désactiver le masque, sélectionnez le graphique importé, puis choisissez Objet > Masque. Choisissez Aucun dans le menu Type, puis cliquez sur OK.

Création automatique d’un masque

Si vous voulez supprimer le fond d’un graphique n’ayant pas été enregistré avec un masque, vous pouvez le faire automatiquement à l’aide de l’option Détection des contours de la boîte de dialogue Masque. L’option Détection des contours masque les zones les plus claires ou les plus sombres d’un graphique ; elle est donc plus efficace lorsque le sujet est placé sur un fond blanc ou noir uni.

Bon candidat (à gauche) et mauvais candidat (à droite) pour l’option de masque automatique

1 Sélectionnez un graphique importé, puis choisissez Objet > Masque.

supprime les zones les plus claires ; pour supprimer les zones les plus foncées, sélectionnez également l’option Inverser. 3 Spécifiez les options de masque suivantes, puis cliquez sur OK.

Seuil Indique la valeur de pixel la plus sombre qui définira le masque résultant. Si vous augmentez cette valeur, davantage de pixels deviennent transparents par l’extension de la plage des valeurs de luminosité, débutant à 0 (blanc) ajoutées à la zone cachée. Par exemple, si vous souhaitez supprimer une ombre portée très claire lors de l’utilisation de la commande Détection des contours, essayez d’augmenter le seuil jusqu’à faire disparaître l’ombre. Si certains pixels que vous souhaitez voir affichés sont invisibles, le seuil est trop élevé.

Niveau de seuil défini sur 25 (à gauche) et sur 55 (à droite)

Tolérance Indique la similarité de la valeur de luminosité d’un pixel par rapport à la valeur Seuil avant que ce pixel ne

soit masqué par le masque. Augmentez la valeur Tolérance ou déplacez le curseur pour supprimer les irrégularités indésirables dues à des pixels isolés plus foncés mais proches de la valeur de luminosité du seuil. Une valeur Tolérance plus élevée crée généralement un masque plus lissé et plus approximatif, par l’augmentation de la plage des valeurs proches de la valeur Tolérance et l’inclusion des pixels isolés plus foncés dans cette plage. Réduire la valeur Tolérance revient à contraindre le masque à prendre en compte de plus petites variations de valeur. Une valeur Tolérance réduite crée un masque moins précis par l’ajout de points d’ancrage, ce qui peut compliquer l’impression de l’image.

Niveau de tolérance défini sur 0 (à gauche) et sur 5 (à droite)

Bloc Réduit le masque résultant par rapport au masque défini par les valeurs Seuil et Tolérance. Contrairement aux valeurs Seuil et Tolérance, la valeur Bloc ne prend pas la luminosité en compte. Elle réduit uniformément la forme du masque. L’ajustement de la valeur Bloc permet de cacher les pixels isolés qu’il n’a pas été possible d’éliminer à l’aide des valeurs Seuil et Tolérance. Entrez une valeur négative pour obtenir un masque plus grand que celui défini par les valeurs Seuil et Tolérance.

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Inclure les contours intérieurs Sélectionnez cette option pour rendre transparentes les zones qui se trouvent dans le masque d’origine et dont les valeurs de luminosité sont incluses dans les plages Seuil et Tolérance. Par défaut, la commande Masque ne rend transparentes que les zones extérieures. Utilisez donc la commande Inclure les contours intérieurs pour représenter les « blancs » d’un graphique. Cette option fonctionne bien lorsque les niveaux de luminosité des zones à rendre transparentes sont différents de ceux des zones devant être visibles. Par exemple, si vous choisissez l’option Inclure les contours intérieurs pour une image représentant des lunettes en argent, et que les verres deviennent transparents, les zones les plus claires de la monture peuvent aussi devenir transparentes. Si des zones deviennent transparentes sans que l’effet soit voulu, essayez d’ajuster les valeurs Seuil, Tolérance et Bloc. Limiter au bloc Crée un masque qui s’arrête au côté visible du graphique. Cela peut aboutir à un tracé plus simple lorsque vous utilisez le bloc du graphique pour recadrer le graphique. Image haute résolution Calcule les zones transparentes à l’aide du fichier réel pour un maximum de précision.

Désélectionnez cette option pour calculer la transparence en fonction de la résolution d’affichage de l’écran (solution plus rapide mais moins précise). Cette option n’est pas disponible si vous choisissez Couche alpha, car InDesign utilise toujours la résolution réelle avec les couches alpha (voir la section « A propos des transparences » à la page 481).

Conversion d’un masque en bloc graphique

• Choisissez la commande Objet > Masque > Convertir le masque en bloc.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

A propos des transparences Lorsque vous créez un objet, que vous appliquez un contour ou un fond ou que vous saisissez du texte, ces éléments sont pleins par défaut, c’est à dire qu’ils présentent une opacité de 100 %. Vous pouvez les transformer en éléments transparents de plusieurs manières. Vous pouvez par exemple nuancer la valeur d’opacité sur une échelle allant de 100 % (opacité totale) à 0 % (transparence totale). Lorsque vous réduisez l’opacité d’un élément (objet, contour, fond ou texte), l’illustration sous-jacente transparaît à la surface de celui-ci. Le panneau Effets permet de régler l’opacité d’un objet, de son contour, de son fond ou de son texte. Vous pouvez définir le mode de fusion de l’objet, de son contour, de son fond ou de son texte avec les objets situés en dessous. En ce qui concerne les objets, vous pouvez décider de limiter la portée de la fusion à des objets spécifiques, de sorte que seuls certains objets d’un groupe fusionnent avec les objets situés en dessous d’eux, ou bien faire en sorte que les objets d’un groupe masquent les objets du même groupe au lieu de fusionner avec ceux-ci. Pour plus de détails sur l’utilisation de la transparence (PDF), rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/learn_id_transparency_bp_fr.

Les zones des objets sous-jacents apparaissent à travers l’objet transparent.

« A propos de l’aplatissement » à la page 495

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Niveau Indique les paramètres d’opacité d’objet, de contour, de fond ou de texte de l’objet et si des effets de

transparence sont appliqués. Cliquez sur l’icône en forme de triangle située à gauche du mot Objet (ou Groupe ou

Graphique) pour afficher ou masquer ces paramètres de niveau. L’icône FX apparaît sur un niveau lorsque vous lui appliquez des paramètres de transparence. Vous pouvez cliquez deux fois sur cette icône pour modifier les paramètres. Fusion isolée Applique un mode de fusion à un groupe d’objets sélectionné (voir la section « Modes de fusion isolée » à la page 493). Groupe perçant Permet aux attributs d’opacité et de fusion de chaque objet d’un groupe de masquer, ou bloquer, les

objets sous-jacents d’un groupe (voir la section « Masquage des objets d’un groupe » à la page 494).

Bouton Tout effacer Supprime les effets (contour, fond ou texte) appliqués à un objet, rétablit le mode de fusion

Normal et redéfinit le paramètre Opacité à 100 % sur l’ensemble de l’objet.

Bouton FX Affiche une liste des effets de transparence (voir la section « Application d’effets de transparence » à la

Pour afficher les options du panneau Effets

❖ Choisissez la commande Fenêtre > Effets et, si nécessaire, ouvrez le menu du panneau Effets et choisissez la

commande Afficher les options.

Les options du panneau Effets sont également disponibles dans la boîte de dialogue Effets (sélectionnez un objet et choisissez la commande Objet > Effets > Transparence) et sous forme simplifiée dans le panneau Contrôle.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

3 Sélectionnez un niveau pour désigner la ou les parties de l’objet à modifier : Objet Agit sur l’objet dans son ensemble : contour, fond et texte. Graphique Agit uniquement sur le graphique sélectionné à l’aide de l’outil Sélection directe. Un graphique conserve les effets que vous lui avez appliqués lorsque vous le collez dans une autre image. Groupe Agit sur tous les objets et le texte du groupe (utilisez l’outil Sélection directe pour appliquer des effets aux

objets d’un groupe).

Contour Agit sur le contour de l’objet uniquement (y compris sur la couleur d’espace). Fond Agit sur le fond de l’objet uniquement. Texte Agit uniquement sur le texte compris dans l’objet ; n’agit pas sur le bloc de texte Les effets que vous appliquez au texte agissent sur l’intégralité du texte contenu dans l’objet. Il est impossible d’appliquer un effet à des mots ou lettres individuels.

Vous pouvez également choisir un paramètre de niveau dans le panneau Contrôle : cliquez sur le bouton Appliquer l’effet à et sélectionnez Objet, Contour, Fond ou Texte.

4 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour ouvrir la boîte de dialogue Effets :

• Dans le panneau Effets ou Contrôle, cliquez sur le bouton FX

et choisissez un effet dans le menu.

• Dans le menu du panneau Effets, choisissez la commande Effets, puis un nom d’effet.

• Dans le menu du panneau contextuel, choisissez la commande Effets, puis un nom d’effet. • Choisissez la commande Objet > Effets, puis un nom d’effet. • Dans le panneau Effets, cliquez si nécessaire sur l’icône en forme de triangle pour afficher les paramètres de niveau, puis cliquez deux fois sur un paramètre de niveau : Objet, Contour, Fond ou Texte. Lorsque vous cliquez deux fois sur un paramètre de niveau, vous ouvrez la boîte de dialogue Effets et choisissez en même temps un paramètre de niveau. 5 Choisissez des options et des paramètres pour l’effet (voir la section « Options et paramètres de transparence

courants » à la page 485).

« Définition de l’opacité d’un objet » à la page 489 Vidéo Contours progressifs • Sur le panneau Effets, cliquez deux fois sur l’icône FX située à droite de Objet (et non au bas du panneau). Si nécessaire, cliquez sur l’icône en forme de triangle en regard du mot Objet pour afficher l’icône FX.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

choisissez le nom de l’effet. 3 Modifiez l’effet.

Pour copier des effets de transparence

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes pour copier un effet de transparence :

• Pour copier un effet d’un objet à l’autre, sélectionnez l’objet auquel doit être appliqué l’effet à copier, cliquez sur l’icône FX de l’objet dans le panneau Effets et faites-la glisser vers l’autre objet. Vous pouvez faire glisser et déposer des effets d’un objet à l’autre uniquement au sein d’un même niveau.

• Pour copier un effet d’un objet à l’autre de manière sélective, utilisez l’outil Pipette

. Pour contrôler les paramètres de transparence (contour, fond, objet) que vous souhaitez copier à l’aide de l’outil Pipette, cliquez deux fois sur l’outil pour ouvrir la boîte de dialogue Options de la pipette. Activez ou désactivez les options souhaitées dans les zones Contours, Fonds et Paramètres d’objet.

• Pour copier un effet d’un niveau à l’autre au sein d’un même objet, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option

(Mac OS) enfoncée et faites glisser l’icône FX d’un niveau à l’autre (Contour, Fond, Texte) sur le panneau Effets. Vous pouvez déplacer un effet d’un niveau à l’autre au sein d’un même objet en faisant glisser l’icône FX.

Pour effacer les effets de transparence d’un objet

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour supprimer tous les effets appliqués à un objet, rétablir le mode de fusion Normal et redéfinir le paramètre

Opacité sur 100 %, cliquez sur le bouton Effacer les effets toute transparence dans le menu du panneau Effets.

du panneau Effets ou choisissez la commande Effacer

• Pour supprimer tous les effets sans modifier les paramètres de fusion et d’opacité, sélectionnez un niveau et choisissez la commande Effacer les effets dans le menu du panneau Effets ou faites glisser l’icône FX niveau Contour, Fond ou Texte du panneau Effets, vers l’icône de la corbeille.

• Pour supprimer plusieurs niveaux (Contour, Fond ou Texte) d’un effet, sélectionnez les niveaux et cliquez sur l’icône de la corbeille.

• Pour supprimer un effet spécifique appliqué à un objet, ouvrez la boîte de dialogue Effets et désélectionnez un effet

Effets de transparence

InDesign propose neuf effets de transparence. Un grand nombre de paramètres et d’options permettant de créer ces effets sont similaires.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

du fond ou du texte. Biseau et estampage Ajoute différentes combinaisons de tons clairs et foncés pour donner un aspect 3D au texte et

Satin Applique un ombrage interne créant un fini satiné. Contour progressif simple, Contour progressif directionnel et Contour progressif dégradé Vous pouvez lisser les

contours d’un objet en les rendant transparents.

Remarque : en complément des descriptions abordées dans cette section, reportez-vous à la section « Options et paramètres de transparence courants » à la page 485.

Options et paramètres de transparence courants

Un grand nombre de paramètres et d’options permettant de créer des effets de transparence sont similaires. Les options et paramètres de transparence courants comprennent les suivants : Angle et Elévation Détermine l’angle d’un effet d’éclairage. La valeur 0 correspond au niveau du sol et la valeur 90 place la source de lumière directement au-dessus de l’objet. Cliquez sur le rayon d’angle ou saisissez une valeur en degrés. Activez l’option Utiliser l’éclairage global si vous souhaitez un angle d’éclairage uniforme pour tous les objets. Ce paramètre est utilisé pour les effets Ombre portée, Ombre interne, Biseau et estampage, Satin et Contour progressif. Mode de fusion Détermine l’interaction entre les couleurs des objets transparents et les objets situés derrière. Ce

paramètre est utilisé pour les effets Ombre portée, Ombre interne, Lueur externe, Lueur interne et Satin (voir la section « Définition du mode de fusion des couleurs » à la page 492).

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lueur ou de l’ombre. Une valeur supérieure augmente l’opacité et une valeur inférieure augmente la transparence. Ce paramètre est utilisé pour les effets Ombre interne, Lueur interne et Contour progressif. Distance Détermine la distance de décalage pour les effets Ombre portée, Ombre interne ou Satin. Bruit Spécifie la quantité des éléments aléatoires dans l’opacité d’une lueur ou d’une ombre lorsque vous entrez une valeur ou que vous déplacez le curseur correspondant. Ce paramètre est utilisé pour les effets Ombre portée, Ombre interne, Lueur externe, Lueur interne et Contour progressif. Opacité Définit l’opacité d’un effet. Faites glisser le curseur ou saisissez une mesure en pourcentage (voir la section « Définition de l’opacité d’un objet » à la page 489). Ce paramètre est utilisé pour les effets Ombre portée, Ombre interne, Lueur externe, Lueur interne, Contour progressif dégradé, Biseau et estampage et Satin. Taille Indique la quantité d’ombre ou de lueur. Ce paramètre est utilisé pour les effets Ombre portée, Ombre interne,

Lueur externe, Lueur interne et Satin.

Grossi Détermine la transparence de flou des effets d’ombre ou de lueur, telle que définie par le paramètre Taille. Un pourcentage supérieur rend le flou plus opaque. Ce paramètre est utilisé pour les effets Ombre portée et Lueur externe. Technique Ces paramètres définissent le mode d’interaction entre le bord d’un effet de transparence et les couleurs

d’arrière-plan. Les options Plus tamisée et Précise sont disponibles pour les effets Lueur externe et Lueur interne :

• Plus tamisée Rend le bord de l’effet choisi plus flou. Dans des tailles supérieures, ce paramètre ne préserve pas les détails des caractéristiques.

• Précise Préserve le bord de l’effet, dont les angles et autres détails nets. Cette technique préserve mieux les détails que la technique Plus tamisée.

Utiliser l’éclairage global Applique le paramètre d’éclairage global à l’ombre. Ce paramètre est utilisé pour les effets Ombre portée, Biseau et estampage, et Ombre interne. Décalage sur X et Décalage sur Y Décale l’ombre sur l’axe des x ou l’axe des y de la valeur que vous indiquez. Ce paramètre est utilisé pour les effets Ombre portée et Ombre interne.

L’effet Ombre portée crée une ombre tridimensionnelle. Vous pouvez décaler l’ombre portée le long de l’axe des x ou de l’axe des y et modifier le mode de fusion, la couleur, l’opacité, la distance, l’angle et la taille de l’ombre portée. Ces options vous permettent de définir le mode d’interaction de l’ombre portée avec des objets et des effets de transparence : Ombre masquée par l’objet L’objet s’affiche au-dessus de l’ombre qu’il projette. Autres effets respectés par l’ombre L’ombre portée inclut d’autres effets de transparence. Par exemple, si l’objet comporte un contour progressif sur l’un de ses côtés, vous pouvez faire en sorte que l’ombre portée soit appliquée sans tenir compte de ce contour, pour éviter que son bord ne soit estompé ou, au contraire, faire en sorte que l’ombre présente un contour progressif comme l’objet.

Cliquez sur le bouton Ombre portée du panneau Contrôle pour appliquer rapidement une ombre portée à un objet, un contour, un fond ou un texte, ou pour la supprimer.

Pour sélectionner la couleur de l’ombre portée, cliquez sur le bouton Définir la couleur de l’ombre (en regard du menu Mode de fusion), puis sélectionnez une couleur. Pour consulter un didacticiel vidéo sur la création des ombres portées, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0085_fr.

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Source Indique la source de la lueur. Choisissez l’option Centre pour appliquer une lueur qui émane du centre et

l’option Bord pour appliquer une lueur qui émane des bords de l’objet.

L’effet Biseau et estampage permet de donner aux objets un aspect tridimensionnel réaliste. Les paramètres Structure déterminent la taille et la forme de l’objet : Style Définit le style de biseau : l’option Biseau externe crée le biseau sur les bords externes de l’objet ; l’option Biseau interne crée le biseau sur les bords internes ; l’option Estampage simule l’effet de l’estampage de l’objet sur des objets sous-jacents ; l’option Estampage oreiller simule l’effet de l’estampage des bords de l’objet sur des objets sous-jacents. Taille Détermine la taille de l’effet de biseau et d’estampage. Technique Détermine le mode d’interaction entre le bord de l’effet de biseau ou d’estampage et les couleurs d’arrière-

plan : l’option Arrondi applique un léger flou aux bords (sans conserver les détails des caractéristiques en taille supérieure) ; l’option Ciselage léger applique un flou aux bords, quoique modéré par rapport à l’option Arrondi (cette option conserve mieux les détails des caractéristiques que l’option Arrondi, mais moins efficacement que l’option

Ciselage marqué) ; l’option Ciselage marqué applique un bord plus épais et visible (cette option conserve mieux les détails des caractéristiques que les options Arrondi et Ciselage léger). Atténuation En complément du paramètre Technique, cette option estompe l’effet pour réduire les artefacts indésirables et lisser les contours. Sens Choisissez les options Haut ou Bas pour que l’effet semble poussé vers le haut ou vers le bas. Profondeur Détermine la profondeur de l’effet de biseau et d’estampage.

Les paramètres d’ombrage déterminent le mode d’interaction entre la lumière et l’objet :

Angle et Elévation Définit la hauteur de la source de lumière. La valeur 0 correspond au niveau du sol et la valeur 90

place la source de lumière directement au-dessus de l’objet.

Utiliser l’éclairage global Applique la source d’éclairage global telle que définie pour tous les effets de transparence. Lorsqu’elle est activée, cette option remplace les paramètres Angle et Elévation. Tons clairs et tons foncés Spécifie le mode de fusion des tons clairs ou foncés d’un biseau ou d’un estampage.

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Inverser Activez cette option pour inverser les zones colorées et transparentes de l’objet.

Contour progressif simple

L’effet Contour progressif adoucit (estompe) les bords d’un objet sur une distance que vous indiquez : Largeur de contour progressif Définit la distance sur laquelle l’objet doit passer d’opaque à transparent. Maigri Tout comme le paramètre Largeur de contour progressif, ce paramètre détermine la part d’opacité et la part de

transparence de la lueur d’atténuation. Les valeurs élevées augmentent l’opacité et les valeurs faibles augmentent la transparence.

Angles Choisissez parmi Pointus, Arrondis ou Diffus :

• Pointus Suit le bord extérieur de la forme, angles pointus compris. Cette option est idéale pour des objets en forme d’étoile ou pour des effets spéciaux sur une forme rectangulaire.

• Arrondis Arrondit les angles de la valeur du rayon du contour progressif. Concrètement, un contour incrusté, puis un contour en relief sont ajoutés pour former les deux contours. Cette option est optimale pour les rectangles. • Diffus Utilise la méthode d’Adobe Illustrator qui rend transparents les angles opaques de l’objet. Pour consulter un didacticiel vidéo sur les contours progressifs, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0086_fr. Bruit Spécifie la quantité des éléments aléatoires dans la lueur d’atténuation. Cette option vous permet d’atténuer la

deviennent transparents. Activez l’option Verrouiller pour rendre transparents tous les côtés de l’objet sur la même distance.

Bruit Spécifie la quantité des éléments aléatoires dans la lueur d’atténuation. Cette option vous permet de créer une lueur plus douce. Maigri Tout comme les paramètres de largeur, ce paramètre détermine la part d’opacité et la part de transparence de

la lueur. Les valeurs élevées augmentent l’opacité et les valeurs faibles augmentent la transparence.

Forme Choisissez une option (Premier bord uniquement, Bords d’interlignage ou Tous les bords) afin de délimiter la

forme initiale de l’objet.

Angle Fait pivoter le cadre de référence de l’effet de contour progressif, de sorte que les contours progressifs sont

inclinés plutôt que parallèles à l’objet, à condition d’éviter les multiples de 90 degrés.

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appliquer à l’objet.

• Pour créer une couleur de dégradé, cliquez en dessous du curseur de dégradé (faites glisser le curseur d’un cran pour

écarter une couleur).

• Pour ajuster la position d’une couleur de dégradé, faites-la glisser vers la gauche ou la droite, ou sélectionnez-la et faites glisser le curseur d’emplacement.

• Pour régler le point central entre deux étapes d’opacité, faites glisser le losange correspondant au-dessus du curseur de dégradé. Selon l’emplacement du losange, vous obtiendrez une transition plus ou moins marquée entre les

étapes, c’est-à-dire une transition brutale ou plus progressive. Inverser le dégradé Cliquez sur cette option pour inverser le sens du dégradé. Cette case se situe à droite du curseur

Opacité Définit la transparence entre les points de dégradé. Sélectionnez un point et faites glisser le curseur d’opacité. Emplacement Ajuste la position d’une couleur de dégradé. Sélectionnez une couleur de dégradé, puis faites glisser le

curseur ou saisissez une mesure.

Type L’option Linéaire applique un dégradé en ligne droite depuis le point de dégradé de départ au point de dégradé

d’arrivée. L’option Radial applique un dégradé circulaire du point de départ au point d’arrivée.

Angle Pour les dégradés linéaires, établit l’angle des lignes de dégradé. A 90 degrés, par exemple, les lignes sont

horizontales et à 180 degrés, verticales.

Utiliser l’éclairage global

Vous pouvez appliquer un angle d’éclairage uniforme aux effets de transparence qui ont l’ombre pour facteur : Ombre portée, Ombre interne et Biseau et estampage. Lorsque vous appliquez l’option Utiliser l’éclairage global à l’un de ces effets, l’éclairage dépend du paramètre global défini dans la boîte de dialogue Eclairage global. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour ouvrir la boîte de dialogue Eclairage global :

• Choisissez la commande Eclairage global dans le menu du panneau Effets.

• Choisissez Objet > Effets > Eclairage global. 2 Entrez une valeur ou déplacez le rayon d’angle pour définir les valeurs Angle et Elévation, puis cliquez sur OK.

Définition de l’opacité d’un objet

Il est possible d’appliquer un effet de transparence à un objet individuel ou à des objets sélectionnés (y compris les images et blocs de texte), mais pas à des caractères individuels ou calques. Toutefois, les images importées avec ces types d’effets de transparence s’affichent et s’impriment correctement. Pour consulter des vidéos sur l’ajout d’opacité, rendez-vous aux adresses www.adobe.com/go/vid0087_fr et www.adobe.com/go/vid0088_fr. 1 Sélectionnez le ou les objets.

Le mot mixte s’affiche dans le panneau Effets lorsque vous sélectionnez plusieurs objets dont les paramètres d’opacité diffèrent. Par exemple, si le paramètre d’opacité Fond diffère dans les objets sélectionnés, le panneau Transparence indique « Fond : Opacité (mixte) ».

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• Cliquez sur une option du panneau Effets (si nécessaire, cliquez sur l’icône en forme de triangle située en regard du mot Objet pour afficher les options). 3 Dans le panneau Contrôle ou Effets, saisissez une valeur pour l’opacité ou cliquez sur la flèche située en regard du

paramètre Opacité, puis faites glisser le curseur. La réduction de la valeur de l’opacité d’un objet en augmente la transparence.

Remarque : si vous sélectionnez un objet avec l’outil Sélection directe, que vous le coupez ou le copiez depuis un groupe transparent dans InDesign, puis que vous le collez dans une autre partie du document, l’objet collé ne sera pas transparent à moins de l’avoir préalablement sélectionné individuellement et d’y avoir appliqué une transparence.

« Application de la transparence aux groupes » à la page 490 Vidéo Application des effets d’opacité Vidéo Définition de l’opacité

Application de la transparence aux groupes

Outre l’application d’effets de transparence à des objets individuels, vous pouvez les appliquer à des groupes. Si vous sélectionnez simplement des objets et modifiez leur paramètre d’opacité individuel, l’opacité des objets sélectionnés change en fonction de l’opacité des autres. les intersections affichent alors une opacité cumulée. Si, en revanche, vous ciblez un groupe créé à l’aide de la commande Associer, puis que vous modifiez l’opacité, le groupe est traité comme un tout par le panneau Effets (ce dernier ne présente qu’une seule option de niveau : Groupe) et les opacités au sein du groupe restent inchangées. En d’autres termes, les transparences des objets du groupe n’interagissent pas les unes avec les autres.

Objets individuels sélectionnés et définis avec une opacité de 50% (à gauche) et groupe sélectionné et défini avec une opacité de 50% (à droite)

Modification de l’apparence des illustrations transparentes à l’écran

Utilisez la boîte de dialogue Performances d’affichage pour définir les préférences de transparence. Ces préférences déterminent la qualité d’affichage à l’écran des objets transparents dans les nouveaux documents et dans les documents enregistrés avec des préférences modifiées. Vous pouvez également définir les préférences de façon à activer ou désactiver l’affichage de la transparence dans le document. Si vous désactivez l’affichage des transparences, elles apparaîtront néanmoins lors de l’impression ou de l’exportation du fichier.

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• Rapide désactive la transparence et définit la résolution à 24 ppp. • Standard affiche des effets basse résolution et définit la résolution à 72 ppp. • Qualité supérieure améliore l’affichage des effets, principalement dans les fichiers PDF et EPS, et définit la résolution à 144 ppp. 3 Faites glisser le curseur de transparence. Le paramètre par défaut est Qualité moyenne. Il affiche des ombres portées

et des contours progressifs.

4 Cliquez sur OK. 5 Lorsque des encres se superposent à des modes de fusion, choisissez la commande Affichage > Aperçu de la

surimpression. Cette option permet de visualiser à l’écran l’interaction des encres avec les transparences.

Utilisez le menu Affichage pour régler rapidement le mode d’affichage des transparences sur Affichage rapide, Affichage standard ou Affichage de qualité supérieure.

« Contrôle des performances d’affichage des graphiques » à la page 421 Il est possible de désactiver l’affichage des transparences pour améliorer les performances d’affichage. Si vous désactivez l’affichage des transparences à l’écran, elles apparaîtront néanmoins lors de l’impression ou de l’exportation du fichier. ❖ Choisissez Affichage > Performances d’affichage > Affichage rapide.

Suppression de l’effet de bordure blanche dans les documents comportant des transparences

Il arrive parfois qu’une bordure blanche (ou cadre indésirable) soit visible à l’endroit où un effet de transparence est appliqué, généralement dans les documents contenant des ombres portées ou des dégradés. Ce problème peut survenir si l’effet de transparence interfère avec un ton direct. Pour résoudre ce problème, vous pouvez soit éviter d’utiliser des tons directs avec des transparences, soit activer la surimpression. Pour visualiser et imprimer un document PDF sans effet de bordure blanche, activez l’option Simuler la surimpression dans Acrobat. Dans Acrobat 9, sélectionnez Options avancées > Impression > Aperçu de la sortie. Dans Acrobat X, sélectionnez Outils > Travaux d’impressions > Aperçu de la sortie.

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Définition du mode de fusion des couleurs Grâce aux modes de fusion, vous pouvez fusionner les couleurs de deux objets superposés. Les modes de fusion permettent de diversifier les méthodes utilisées pour mélanger les couleurs des objets empilés. 1 Sélectionnez un ou plusieurs objets, ou bien un groupe. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans le menu du panneau Effets, sélectionnez un mode de fusion, tel que Normal ou Incrustation.

• Dans le menu de la zone Transparence de la boîte de dialogue Effets, choisissez un mode de fusion.

Options du mode de fusion

Les modes de fusion permettent de contrôler le mode d’interaction de la couleur de départ, c’est-à-dire la couleur sousjacente dans l’illustration, avec la couleur de dégradé, c’est-à-dire la couleur de l’objet ou du groupe d’objets sélectionné. La couleur d’arrivée correspond à la couleur obtenue à l’issue de la fusion. Normal Applique la couleur de dégradé à la sélection sans interaction avec la couleur de départ. Il s’agit du mode par

Produit Multiplie la couleur de départ par la couleur de dégradé. La couleur d’arrivée est toujours plus foncée. Le produit d’une couleur quelconque par le noir rend du noir. Le produit d’une couleur quelconque par le blanc n’a aucune incidence sur la couleur. Cet effet équivaut à dessiner sur une image à l’aide de plusieurs marqueurs magiques. Superposition Multiplie le contraire des couleurs de dégradé et de départ. La couleur d’arrivée est toujours plus claire.

Une superposition avec le noir n’a aucune incidence sur la couleur et une superposition avec le blanc produit du blanc.

Cet effet équivaut à projeter plusieurs diapositives les unes sur les autres. Incrustation Multiplie ou superpose les couleurs, selon la couleur de départ. Les motifs et les couleurs recouvrent

l’illustration existante, tout en conservant les tons clairs et foncés de la couleur de départ, laquelle est mélangée à la couleur de dégradé pour reproduire les tons clairs et foncés de la couleur d’origine.

Lumière tamisée Assombrit ou éclaircit les couleurs, selon la couleur de dégradé. L’effet est semblable à la projection

d’une lumière diffuse sur l’illustration.

Si la couleur de dégradé (source lumineuse) contient moins de 50% de gris, l’illustration est éclaircie comme si elle était estompée. Si elle contient plus de 50% de gris, l’illustration est assombrie comme si elle était surexposée. Lorsque vous dessinez avec un noir ou un blanc pur, vous obtenez une zone nettement plus foncée ou plus claire, mais vous n’obtenez ni un noir ni un blanc pur. Lumière crue Multiplie ou superpose les couleurs, selon la couleur de dégradé. L’effet est semblable à la projection

d’une lumière crue sur l’illustration.

Si la couleur de dégradé (source lumineuse) contient moins de 50% de gris, l’illustration est éclaircie comme si elle était filtrée. Ce mode est idéal pour ajouter des tons clairs à l’illustration. Si elle contient plus de 50 % de gris, l’illustration est assombrie comme si elle était multipliée. Ce mode est idéal pour ajouter des ombres à l’illustration. Lorsque vous dessinez avec un noir ou un blanc pur, vous obtenez un noir ou un blanc pur.

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aucun effet. Densité couleur + Assombrit la couleur de départ pour réfléchir la couleur de dégradé. La fusion avec du blanc ne

produit aucun effet.

Obscurcir Sélectionne la couleur la plus foncée comme couleur d’arrivée, qu’il s’agisse de la couleur de départ ou de

dégradé. Les zones plus claires que la couleur de dégradé sont remplacées et les zones plus foncées restent intactes.

Eclaircir Sélectionne la couleur la plus claire comme couleur d’arrivée, qu’il s’agisse de la couleur de départ ou de dégradé. Les zones plus foncées que la couleur de dégradé sont remplacées et les zones plus claires restent intactes. Différence Soustrait la couleur de dégradé de la couleur de départ, ou inversement, en fonction de la couleur la plus

lumineuse. La fusion avec du blanc inverse les valeurs chromatiques de base tandis que la fusion avec du noir ne produit aucun effet.

Exclusion Produit un effet semblable au mode Différence avec un contraste moindre. La fusion avec du blanc inverse

les composantes chromatiques de la couleur de départ. La fusion avec du noir ne produit aucun effet.

Teinte Crée une couleur avec la luminance et la saturation de la couleur de départ et la teinte de la couleur de dégradé. Saturation Crée une couleur avec la luminance et la teinte de la couleur de départ et la saturation de la couleur de

dégradé. L’utilisation de ce mode dans une zone dont la saturation est nulle (grise) ne produit aucun effet.

Couleur Crée une couleur avec la luminance de la couleur de départ et la teinte et la saturation de la couleur de dégradé. Ce mode conserve les niveaux de gris des illustrations. Il est idéal pour colorer les images monochromes et teinter les images couleur. Luminosité Crée une couleur avec la teinte et la saturation de la couleur de départ et la luminance de la couleur de

dégradé. Ce mode produit l’effet inverse du mode Couleur.

Remarque : évitez d’appliquer les modes de fusion Différence, Exclusion, Teinte, Saturation, Couleur et Luminosité aux objets dotés de tons directs ; ceci risquerait d’ajouter des couleurs non voulues au document. Pour plus de détails, voir la section « Méthodes recommandées en matière de création de transparences » à la page 502.

Modes de fusion isolée

Lorsque vous appliquez un mode de fusion à un objet, ses couleurs fusionnent avec tous les objets situés en dessous d’eux. Si vous souhaitez limiter la portée de la fusion à certains objets spécifiques, vous pouvez regrouper ces objets, puis appliquer l’option Fusion isolée au groupe. Cette option limite la portée de la fusion aux objets du groupe, les objets n’appartenant pas au groupe n’étant pas affectés (cette fonction est utile dans le cas d’objets auxquels un mode de fusion autre que Normal a été appliqué).

Groupe (étoile et cercle) avec l’option Fusion isolée désactivée (à gauche) contre activée (à droite)

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Fusion isolée s’applique au groupe. L’option a pour effet de restreindre la portée de la fusion aux seuls objets du groupe sélectionné. Elle n’a aucune incidence sur les modes de fusion appliqués directement aux objets du groupe. 1 Appliquez les modes de fusion et les paramètres d’opacité aux objets individuels que vous souhaitez fusionner de

2 A l’aide de l’outil Sélection, sélectionnez les objets que vous souhaitez isoler. 3 Sélectionnez Objet > Associer. 4 Dans le panneau Effets, sélectionnez l’option Fusion isolée (si l’option ne s’affiche pas, choisissez la

commande Afficher les options dans le menu du panneau Effets).

Il est possible de fusionner des objets de façon isolée dans un fichier PDF comportant des modes de fusion. Commencez par importer le fichier PDF en vous assurant que l’option Arrière-plan transparent est activée dans la boîte de dialogue Importer un fichier PDF. Ensuite, appliquez l’option Fusion isolée.

Masquage des objets d’un groupe

Utilisez l’option Groupe perçant du panneau Effets pour que les attributs d’opacité et de fusion de chaque objet du groupe sélectionné masquent les objets sous-jacents du groupe. Seuls les objets du groupe sélectionné sont masqués. Les objets situés en dessous du groupe sélectionné sont toujours affectés par les attributs de fusion et d’opacité appliqués aux objets du groupe. Il est important de bien comprendre que les modes de fusion et les attributs d’opacité s’appliquent aux objets individuels, mais que l’option Groupe perçant s’applique au groupe.

Groupe avec l’option Groupe perçant désactivée (à gauche) contre activée (à droite)

1 Appliquez les modes de fusion et les paramètres d’opacité aux objets individuels que vous souhaitez masquer.

2 A l’aide de l’outil Sélection, sélectionnez les objets que vous souhaitez masquer. 3 Sélectionnez Objet > Associer. 4 Dans le panneau Effets, sélectionnez l’option Groupe perçant (si l’option ne s’affiche pas, choisissez la

commande Afficher les options dans le menu du panneau Effets).

Définition d’un espace colorimétrique en vue de la fusion d’objets transparents

Pour dégrader les couleurs d’objets transparents sur une planche, InDesign utilise le profil colorimétrique CMJN ou RVB pour convertir les couleurs des objets en un espace colorimétrique unique. Cet espace de fusion crée une fusion des différents espaces colorimétriques des objets lorsque leurs transparences interagissent. Pour assurer une concordance entre les différentes zones des objets aussi bien à l’écran qu’à l’impression, l’espace de fusion est appliqué à l’affichage à l’écran et lors de l’aplatissement.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Si votre document ou votre illustration fait appel à la transparence, il est généralement nécessaire d’appliquer un processus appelé aplatissement pour sa sortie. L’aplatissement divise l’illustration transparente en zones vectorielles et en zones pixellisées. Plus l’illustration est complexe (mêlant images, vecteurs, tons directs, surimpression, etc.), plus l’aplatissement et son résultat le sont également. L’aplatissement peut être nécessaire lors de l’impression ou lors de l’enregistrement ou de l’exportation dans des formats différents ne prenant pas en charge la transparence. Pour conserver la transparence sans aplatissement lorsque vous créez des fichiers PDF, enregistrez-les en tant que documents Adobe PDF 1.4 (Acrobat 5.0) ou version ultérieure. Vous pouvez spécifier les paramètres d’aplatissement avant de les enregistrer et de les appliquer en tant qu’aplatissements prédéfinis des transparences. Les objets transparents sont aplatis en fonction des paramètres de l’aplatissement prédéfini sélectionné. Remarque : l’aplatissement de la transparence ne peut pas être annulé après enregistrement du fichier.

Une zone graphique en chevauchement est divisée lors de l’aplatissement.

Pour plus d'informations sur les problèmes de sortie de la transparence, reportez-vous à la page de ressources du prestataire de services d'impression du site Adobe Solutions Network (ASN) (en anglais uniquement), disponible sur le site Web Adobe.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Ces paramètres contrôlent également le comportement de l'aplatissement lors de l'exportation dans des formats ne prenant pas en charge les transparences. Vous pouvez sélectionner un aplatissement prédéfini dans le panneau Avancés de la boîte de dialogue Imprimer ou de la boîte de dialogue propre au format qui apparaît après la boîte de dialogue initiale Exporter ou Enregistrer sous. Vous pouvez créer vos propres aplatissements prédéfinis ou sélectionner une option par défaut fournie avec le logiciel. Les paramètres de chacune de ces options sont conçus pour correspondre à la qualité et la vitesse de l'aplatissement avec une résolution appropriée pour les zones transparentes pixellisées, suivant l'usage prévu du document : [Haute résolution] S'utilise pour les impressions finales sur presse et les épreuves haute qualité comme les épreuves

présentant une séparation des couleurs.

[Résolution moyenne] S'utilise pour les épreuves de bureau et les documents destinés à une impression sur demande

sur des imprimantes couleur PostScript.

[Basse résolution] S'utilise pour obtenir des épreuves rapides à imprimer sur des imprimantes de bureau en noir et

blanc et pour des documents destinés à être publiés sur le Web ou exportés au format SVG.

Application d’un aplatissement prédéfini pour la sortie

Vous pouvez sélectionner un aplatissement prédéfini dans la boîte de dialogue Imprimer ou dans la boîte de dialogue de format qui s’affiche à la suite de la boîte de dialogue d’exportation. Si vous avez souvent l’occasion d’exporter ou d’imprimer des documents contenant des transparences, vous pouvez automatiser l’aplatissement en enregistrant les paramètres dans un aplatissement prédéfini des transparences. Vous pouvez ensuite appliquer ces paramètres lorsque vous imprimez ou exportez vers les formats PDF 1.3 (Acrobat 4.0) ou EPS. ❖ Dans le panneau Avancé des boîtes de dialogue Imprimer, Exportation EPS ou Exporter au format Adobe PDF,

sélectionnez un aplatissement prédéfini personnalisé ou l’un des aplatissements prédéfinis par défaut répertoriés ci-dessous :

[Basse résolution] S’utilise pour obtenir des épreuves rapides à imprimer sur des imprimantes de bureau en noir et

blanc et pour des documents destinés à être publiés sur le Web.

[Résolution moyenne] S’utilise pour les épreuves de bureau et les documents destinés à une impression sur demande

sur des imprimantes couleur Adobe PostScript.

[Haute résolution] S’utilise pour les impressions finales sur presse et les épreuves haute qualité comme les épreuves

présentant une séparation des couleurs.

Remarque : les paramètres d’aplatissement sont utilisés uniquement si l’illustration contient des transparences ou si l’option Simuler la surimpression est activée dans la zone Sortie de la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Dans InDesign, les fichiers d’aplatissements prédéfinis des transparences portent l’extension .flst. 1 Choisissez Edition > Aplatissements prédéfinis des transparences. 2 Effectuez l’une des opérations suivantes :

• Pour créer un nouveau paramètre prédéfini, cliquez sur Nouveau.

• Pour créer un aplatissement prédéfini basé sur un paramètre prédéfini, sélectionnez-en un dans la liste et cliquez sur Nouveau.

• Pour modifier un paramètre prédéfini existant, sélectionnez-le et cliquez sur OK.

Remarque : il n’est pas possible de modifier les aplatissements prédéfinis par défaut. 3 Définissez les options d’aplatissement. 4 Cliquez sur OK pour retourner dans la boîte de dialogue Aplatissements prédéfinis des transparences, puis cliquez

Exportation et importation d’un paramètre prédéfini d’aplatissement des transparences personnalisé

Vous pouvez exporter ou importer les paramètres d’aplatissement des transparences prédéfinis pour les partager avec vos prestataires de services, vos clients ou vos collaborateurs. 1 Choisissez Edition > Aplatissements prédéfinis des transparences. 2 Sélectionnez un aplatissement prédéfini dans la liste 3 Effectuez l’une des opérations suivantes :

• Pour exporter un paramètre prédéfini dans un fichier spécifique, cliquez sur Enregistrer (InDesign) ou sur Exporter

(Illustrator), spécifiez un nom et un emplacement puis cliquez sur Enregistrer. Pensez à enregistrer le paramètre prédéfini en dehors du dossier des préférences de l’application. Ainsi, il ne sera pas perdu si vous supprimez vos préférences.

• Pour importer des paramètres prédéfinis à partir d’un fichier, cliquez sur Charger (InDesign) ou sur Importer

(Illustrator). Localisez et sélectionnez le fichier contenant le paramètre prédéfini à charger, puis cliquez sur Ouvrir.

Changement de nom ou suppression d’un paramètre prédéfini d’aplatissement des transparences personnalisé

1 Choisissez Edition > Aplatissements prédéfinis des transparences. 2 Sélectionnez un aplatissement prédéfini dans la liste 3 Effectuez l’une des opérations suivantes :

• Pour renommer un aplatissement prédéfini existant, cliquez sur Modifier, entrez un nouveau nom, puis cliquez sur OK.

• Pour supprimer un aplatissement prédéfini, cliquez sur Supprimer puis sur OK pour confirmer la suppression.

Remarque : vous ne pouvez pas supprimer les paramètres prédéfinis par défaut.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Au moment de l’exportation ou de l’impression, il est possible de rétablir les paramètres d’aplatissement pour le document ou le livre. 1 Affichez la planche dans la fenêtre de document. 2 Dans le menu du panneau Pages, choisissez l’option Aplatissement des planches. 3 Sélectionnez l’une des options suivantes, puis cliquez sur OK : Par défaut Permet d’appliquer l’aplatissement prédéfini du document à la planche. Aucun (ignorer la transparence) Ignore les transparences de la planche. Cette option peut se révéler utile pour les

opérations de dépannage effectuées par le fournisseur de services.

Autre Ouvre la boîte de dialogue Paramètres personnalisés d’aplatissement des planches en vue de définir les

Ignorer l’aplatissement prédéfini pour une planche

❖ Sélectionnez Ignorer le remplacement des planches à l’un des emplacements suivants dans InDesign :

• Panneau Aperçu de l’aplatissement (Fenêtre > Sortie > Aperçu de l’aplatissement).

• Zone Avancé de la boîte de dialogue Imprimer ou Exporter au format Adobe PDF.

Options d’aplatissement des transparences

Vous pouvez définir les options d’aplatissement des transparences en créant, modifiant ou affichant un aperçu des aplatissements prédéfinis dans Illustrator, InDesign ou Acrobat.

Options de mise en surbrillance (aperçu)

Aucune (aperçu en couleur) Désactive l’aperçu. Zones complexes pixellisées Met en surbrillance les zones à pixelliser pour des raisons de performances à l’aide du

curseur Equilibre Pixellisation/Vectorisation. Souvenez-vous que les limites de la zone de mise en surbrillance risquent plus fortement de produire des problèmes de raccordement (en fonction de la configuration du pilote d'imprimante et de la résolution de pixellisation). Pour limiter les problèmes de raccordement, sélectionnez Ecrêter les zones complexes.

Objets transparents Met en surbrillance les objets sources de transparence, tels que les objets présentant une opacité

partielle (y compris les images avec des couches alpha), les objets fusionnés et les objets comportant des masques d’opacité. En outre, notez que les effets et les styles peuvent être porteurs de transparence, et les objets surimprimés peuvent être traités en tant que sources de transparence s’ils sont impliqués dans la transparence ou si la surimpression requiert un aplatissement.

Tous les objets concernés Met en surbrillance tous les objets impliqués dans la transparence, y compris les objets

transparents et les objets recouverts par des objets transparents. Le processus d’aplatissement a un impact sur les objets mis en surbrillance : leurs contours ou leurs motifs sont décomposés, certaines parties sont pixellisées, etc.

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Motifs décomposés (Illustrator et Acrobat) Met en surbrillance tous les motifs dont l’implication dans la transparence

entraîne la décomposition.

Contours vectorisés Met en surbrillance tous les contours vectorisés du fait de la présence de transparences ou de

l’activation de l’option Vectoriser tous les contours.

Texte vectorisé (Illustrator et InDesign) Met en surbrillance l’ensemble du texte vectorisé du fait de la présence de transparences ou de l’activation de l’option Vectoriser tout le texte.

Remarque : dans la sortie finale, les contours et le texte vectorisés peuvent apparaître légèrement différents des originaux, notamment les contours très fins et le texte de très petite taille. Toutefois, ces différences n’apparaissent pas dans l’aperçu de l’aplatissement.

Contours et texte pixellisés (InDesign uniquement) Met en surbrillance les contours et le texte pixellisés suite à

Toutes les zones pixellisées (Illustrator et InDesign) Met en surbrillance les objets et les intersections d'objets auxquels est appliquée la pixellisation car il n'existe aucun autre moyen de les représenter en PostScript ou du fait de leur complexité par rapport au seuil spécifié par le curseur Equilibre Pixellisation/Vectorisation. Par exemple, l'intersection de deux dégradés transparents sera toujours pixellisée, même si la valeur Equilibre Pixellisation/Vectorisation est égale à 100. L’option Toutes les zones pixellisées permet également d’afficher les graphiques pixellisés (tels que les fichiers Photoshop) impliqués dans la transparence, ainsi que les effets de la pixellisation tels que les ombres portées et les contours progressifs. Notez que le traitement de cette option est plus long que les autres.

Aplatissement des transparences Options prédéfinies

Nom/Paramètre prédéfini Indique le nom d’un paramètre prédéfini. Selon la boîte de dialogue qui apparaît, vous

pouvez saisir un nom dans la zone de texte Nom ou accepter le nom par défaut. Vous pouvez saisir le nom d’un paramètre prédéfini existant afin de le modifier. Vous ne pouvez cependant pas modifier les paramètres prédéfinis par défaut.

Equilibre Pixellisation/Vectorisation Spécifie la quantité d’informations vectorielles qui seront conservées. Plus la

valeur est élevée, plus le nombre d’objets vectoriels conservés l’est aussi, alors que plus la valeur est faible, plus le nombre d’objets vectoriels pixellisés est important. Une valeur moyenne conserve les zones simples sous forme vectorielle et les zones complexes sous forme pixellisées. Sélectionnez la valeur la plus faible pour pixelliser l’ensemble de l’illustration.

Remarque : le niveau de pixellisation atteint dépend de la complexité de la page et des types d’objets se chevauchant. Résolution des dessins au trait et du texte Pixellise tous les objets, y compris les images, les illustrations vectorielles, le texte et les dégradés selon la résolution spécifiée. Acrobat et InDesign autorisent un maximum de 9 600 pixels par pouce (ppp) pour les dessins et de 1 200 ppp pour les filets. Illustrator autorise un maximum de 9600 ppp à la fois pour les dessins et les filets. La résolution affecte la précision des intersections aplaties. L'option Résolution des dessins au trait et du texte doit généralement être définie entre 600 et 1 200 pour une qualité de pixellisation optimale, notamment en serif ou avec une petite taille de points. Résolution des dégradés et des filets Indique la résolution des objets de dégradés et de filets Illustrator pixellisés en raison de l'aplatissement. Cette résolution est comprise entre 72 et 2 400 ppp. La résolution affecte la précision des intersections aplaties. La résolution des dégradés et des filets doit généralement être définie entre 150 et 300 pixels par

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Vectoriser tout le texte Convertit tous les objets de type (type de point, type de zone et type de chemin) en contours et supprime l’ensemble des informations de glyphe sur les types dans les pages contenant une transparence. Cette option préserve la largeur du texte lors de l’aplatissement. Notez que l’activation de cette option a pour effet de donner aux petites polices un aspect légèrement plus épais lors de l’affichage dans Acrobat ou lors de l’impression sur des imprimantes à faible résolution. La qualité du type imprimé sur des imprimantes à résolution élevée ou sur des photocomposeuses n’est pas affectée. Vectoriser tous les contours Convertit tous les contours en tracés simples remplis dans les pages contenant une

transparence. Cette option préserve la largeur des contours lors de l’aplatissement. Notez que l’activation de cette option a pour effet de donner aux contours fins un aspect légèrement plus épais et peut dégrader les performances de l’aplatissement.

Ecrêter les zones complexes Garantit que les limites entre l’illustration vectorielle et l’illustration pixellisée

s’inscrivent sur les tracés d’objet. Cette option réduit les artefacts de raccordement qui subviennent lorsqu’un objet est partiellement pixellisé (une partie de l’objet restant vectorielle). L’activation de cette option peut toutefois générer des chemins trop complexes pour pouvoir être gérés par l’imprimante.

Raccord à l’intersection de trames et de vecteurs.

Remarque : certains pilotes d'imprimante traitent les dessins pixellisés et vectorisés différemment, ce qui entraîne parfois un raccordement de couleurs. Vous pouvez éventuellement minimiser les problèmes de jointure en désactivant certains paramètres de gestion des couleurs spécifiques au pilote d'impression. Ces paramètres varient selon les imprimantes, consultez la documentation de votre imprimante pour obtenir plus de détails.

(Illustrator uniquement) Sélectionnez Conserver la transparence alpha (boîte de dialogue Aplatissement de la transparence uniquement) Conserve l’opacité globale des objets aplatis. Avec cette option, les modes de fusion et les

surimpressions sont perdues, mais leur aspect est conservé dans l'illustration traitée, ainsi que le niveau de transparence alpha (comme lorsque vous pixellisez des illustrations à l'aide d'un arrière-plan transparent). L’option

Conserver la transparence alpha peut être utile lors de l’exportation au format SWF ou SVG, étant donné que ces deux formats prennent en charge la transparence alpha. (Illustrator uniquement) Sélectionnez Conserver les surimpressions et les tons directs (boîte de dialogue Aplatissement de la transparence uniquement) Conserve généralement les tons directs. Cette option conserve également la

surimpression pour les objets qui ne sont pas impliqués dans la transparence. Sélectionnez cette option si vous imprimez des séparations et que le document contient des tons directs et des objets surimprimés. Désélectionnez cette option lors de l’enregistrement de fichiers à utiliser dans des applications de mise en page. Avec cette option sélectionnée, les zones surimprimées ayant une interaction avec les transparences sont aplaties, tandis que la surimpression dans les autres zones est conservée. Les résultats sont imprévisibles lorsque le fichier est généré à partir d’une application de mise en page.

Conserver la surimpression (Acrobat uniquement) Fusionne la couleur des illustrations transparentes et la couleur

d’arrière-plan afin de créer un effet de surimpression.

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Remarque : l’aperçu de l’aplatissement ne donne pas un aperçu précis des tons directs, des surimpressions et des objets fusionnés. Pour ce faire, utilisez plutôt l’aperçu de la surimpression. 1 Affichage du panneau Aperçu de l'aplatissement (ou boîte de dialogue) :

• Dans Illustrator, sélectionnez Fenêtre > Aperçu de l'aplatissement.

• Dans Acrobat, sélectionnez Outils > Impressions > Aperçu de l’aplatissement. • Dans InDesign, sélectionnez Fenêtre > Sortie > Aperçu de l'aplatissement. 2 Dans le menu Sélection, sélectionnez le type de zones à mettre en surbrillance. La disponibilité des options dépend

du contenu de l’illustration.

3 Sélectionnez les paramètres d’aplatissement à utiliser : sélectionnez un paramètre prédéfini ou, le cas échéant,

définissez des options spécifiques.

Remarque : (Illustrator) si les paramètres d'aplatissement n'apparaissent pas, sélectionnez Afficher les options dans le menu du panneau pour les afficher. 4 Si l’illustration contient des objets surimprimés ayant une interaction avec des objets transparents, dans Illustrator,

sélectionnez une option dans le menu déroulant Surimpressions. Vous pouvez conserver, simuler ou ignorer les surimpressions. Dans Acrobat, sélectionnez Conserver la surimpression pour fusionner la couleur de l’illustration transparente et la couleur d’arrière-plan afin de créer un effet de surimpression.

5 A tout moment, cliquez sur Actualiser pour afficher un aperçu actualisé en fonction des paramètres sélectionnés.

Selon la complexité de l’illustration, l’aperçu peut prendre quelques secondes à s’afficher. Dans InDesign, vous pouvez également sélectionner Rafraîchir auto. sélection.

Dans Illustrator et Acrobat, pour agrandir l’aperçu, cliquez dans la zone d’aperçu. Pour effectuer un zoom arrière, cliquez avec la touche Alt ou Option enfoncée dans la zone d’aperçu. Pour effectuer un panoramique de l’aperçu, maintenez la barre d’espacement enfoncée et faites glisser le curseur dans la zone d’aperçu.

« A propos de l’aplatissement » à la page 495

Réactualisation de l’aperçu à partir du panneau Aperçu de l’aplatissement

• Pour faire en sorte que l’affichage soit automatiquement réactualisé dès qu’il n’est plus à jour ou lorsqu’il reste inchangé, sélectionnez Rafraîchir auto. sélection.

• Pour réactualiser l’affichage manuellement, cliquez sur Réactualiser.

Dans les deux cas, l’affichage est mis à jour dans la fenêtre du document en fonction des paramètres d’aplatissement des transparences sélectionnés.

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Pour obtenir un guide complet de référence et de dépannage sur l’impression des effets de transparence, voir le document « Achieving Reliable Print Output with Transparency » (Obtenir une impression de qualité avec effets de transparence) (en anglais uniquement) sur le site Web d’Adobe. Cependant, si votre document présente des zones superposées complexes et que vous souhaitez une sortie haute résolution, vous pouvez obtenir une impression de meilleure qualité en suivant certaines règles élémentaires : Important : si vous appliquez des transparences aux documents destinés à une sortie haute résolution, parlez-en à votre fournisseur de services. N’hésitez pas à consulter ce dernier régulièrement car une bonne communication conditionne des résultats proches de vos attentes. Surimpression d’objets Les objets aplatis semblent transparents mais ils sont en fait opaques et ne laissent pas transparaître les objets situés au-dessous. Toutefois, si vous n’appliquez pas de simulation de la surimpression, l’aplatissement des transparences pourra préserver une surimpression de base des objets lors de l’impression ou de l’exportation vers un fichier PDF. Dans ce cas, les destinataires du fichier PDF devront sélectionner Aperçu de la surimpression dans Acrobat 5.0 ou ultérieur pour visualiser correctement les résultats de la surimpression. Inversement, si vous appliquez la simulation de la surimpression, l’aplatissement des transparences produit une simulation de la surimpression qui correspond à tous les objets opaques. En sortie PDF, cette simulation convertit les tons directs en leurs équivalents quadri. Par conséquent, l’option Simuler la surimpression ne doit pas être sélectionnée pour toute sortie dont les couleurs seront par la suite séparées. Tons directs et modes de fusion L’utilisation des tons directs avec certains modes de fusion peut parfois produire des résultats inattendus. Ceci s’explique parce qu’InDesign utilise des équivalents quadri à l’écran et des tons directs à l’impression. En outre, les fusions isolées dans une image importée risquent de créer des groupes perçants dans le document actif. Si vous utilisez des fusions, vérifiez régulièrement votre dessin à l’aide de l’option Aperçu de la surimpression du menu Affichage. Cette option donne un aperçu approximatif des tons directs en surimpression ou en interaction avec les objets transparents. Si l’effet visuel obtenu n’est pas celui escompté, procédez de l’une des façons suivantes :

• Utilisez un autre mode de fusion ou aucun mode de fusion. Lorsque vous travaillez avec des tons directs, évitez d’utiliser les modes de fusion suivants : Différence, Exclusion, Teinte, Saturation, Couleur et Luminosité.

• Utilisez une couleur quadri chaque fois que cela est possible.

Espace de fusion Si vous appliquez des transparences aux objets d’une planche, toutes les couleurs de la planche sont converties selon l’espace de fusion des transparences que vous avez défini (dans Edition > Espace de fusion des transparences), c’est-àdire Document RVB ou Document CMJN, même si la transparence ne les affecte pas. La conversion de toutes les couleurs assure l’homogénéité de deux objets de même couleur d’une planche et réduit les problèmes de rendu des couleurs sur les contours des transparences. Les couleurs sont converties au fur et à mesure de la conception des objets. Les couleurs des images importées qui interagissent avec les transparences sont également converties en fonction de l’espace de fusion. Ceci a pour effet d’altérer l’aspect des couleurs à l’écran et à l’impression, mais pas la façon dont elles sont définies dans le document. Selon votre flux de production, optez pour l’une des méthodes suivantes :

• Si vous créez des documents pour l’impression uniquement, choisissez Document CMJN pour l’espace de fusion.

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• Si vous créez un document d’impression haute résolution que vous prévoyez également de diffuser sur un site Web sous la forme d’un document PDF haute qualité, il peut être nécessaire d’alterner entre les espaces de fusion avant de produire la sortie finale. Dans ce cas, vérifiez bien les couleurs de chaque planche présentant des transparences et évitez d’utiliser les modes de fusion Différence et Exclusion qui risquent de considérablement changer l’apparence. Type Si le texte est proche d’objets transparents, il risque d’interagir avec ces objets transparents de façon inattendue. Par exemple, un texte qui habille un objet transparent peut ne pas être superposé par rapport à l’objet et il se peut que les glyphes ne soient pas assez proches pour interagir avec les transparences. Dans ce cas, l’aplatissement peut vectoriser les glyphes afin d’obtenir des contours épais uniquement pour les glyphes. Si cela se produit, effectuez l’une des opérations suivantes :

• Déplacez le texte en haut de l’ordre de superposition. Utilisez l’outil Sélection pour sélectionner le bloc de texte, puis choisissez Objet > Disposition > Premier plan.

• Vectorisez tout le texte pour un effet homogène dans le document. Pour vectoriser tout le texte, sélectionnez l’option Vectoriser tout le texte dans la boîte de dialogue Options d’aplatissements prédéfinis des transparences.

Cette option risque de réduire les performances de traitement. Remplacement des images L’aplatissement requiert des données haute résolution permettant d’assurer un traitement précis des documents présentant des transparences. Cependant, dans le cadre d’un flux de production OPI, le serveur OPI remplacera les marques de réservation ou doublures d’images par des versions haute résolution. Si l’aplatissement n’a pas accès aux données haute résolution, aucun commentaire OPI n’est produit et seules les doublures d’images à basse résolution sont sorties ; les images finales présentent alors une basse résolution. Si vous travaillez avec un flux de production OPI, envisagez d’utiliser InDesign pour la substitution d’images avant d’enregistrer le document au format PostScript. Pour cela, vous devez spécifier les paramètres lorsque vous importez et imprimez l’image EPS. Lorsque vous importez l’image EPS, dans la boîte de dialogue Options d’importation EPS, sélectionnez Lire les liens d’images incorporés OPI. Au moment de la sortie, dans la zone Avancé de la boîte de dialogue Imprimer ou Exportation EPS, sélectionnez l’option Substitution d’image OPI. Conversion des couleurs Si un objet transparent chevauche un objet doté de tons directs, cela peut produire des résultats inattendus lors de l’exportation au format EPS et une conversion des tons directs en couleurs quadri au moment de l’impression ou de la création des séparations de couleurs dans une application autre qu’InDesign. Pour éviter ce type de problème, utilisez le Gestionnaire d’encres et convertissez les tons directs en équivalents quadri avant d’exporter à partir d’InDesign. Une autre solution consiste à s’assurer que les tons directs de l’application initiale (Adobe Illustrator par exemple) sont en adéquation avec ceux d’InDesign. Il sera peut-être nécessaire d’ouvrir un document Illustrator, de convertir des tons directs en couleurs quadri, d’exporter ce document au format EPS, puis d’importer ce dernier dans la mise en page InDesign.

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(Adobe PDF 1.6) dans la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF pour que les transparences soient conservées et demeurent modifiables. Vérifiez que votre fournisseur de services peut travailler avec des fichiers Acrobat 5.0, Acrobat 6.0 ou Acrobat 7.0. Il se peut que l’aplatissement convertisse les vecteurs en zones pixellisées. Les recouvrements appliqués aux illustrations dans Adobe Illustrator à l’aide de contours et importées dans InDesign sont préservés. Il se peut que les recouvrements appliqués aux illustrations vectorielles conçues dans InDesign, puis vectorisées ne soient pas préservés. Pour conserver un maximum de vecteurs d’objets, sélectionnez l’aplatissement prédéfini des transparences [Haute résolution] dans la zone Avancé de la boîte de dialogue Imprimer ou Exporter au format Adobe PDF.

« A propos des paramètres d’aplatissement prédéfinis des transparences » à la page 496 « Options d’omission d’images » à la page 673 « Présentation du gestionnaire d’encres » à la page 706

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Les couleurs quadrichromiques et les tons directs constituent les deux principaux types d’encres utilisés en impression commerciale. Dans le panneau Nuancier, vous avez la possibilité d’identifier le type d’une couleur à l’aide de l’icône située en regard de son nom. Tenez compte du support final lorsque vous appliquez de la couleur aux tracés et aux images, de manière à choisir le mode colorimétrique le mieux adapté. Si votre flux de production de couleurs comprend le transfert de documents d’un périphérique à un autre, il est conseillé d’utiliser un système de gestion des couleurs (SGC) afin d’assurer l’uniformité des couleurs tout au long du processus.

A propos des tons directs

Un ton direct est une encre spéciale prémélangée, utilisée à la place ou en complément d’encres quadrichromiques et qui nécessite sa propre plaque d’impression sur une presse. Il est conseillé d’utiliser des tons directs lorsqu’un nombre limité de couleurs est spécifié et que la précision des couleurs est primordiale. Les tons directs permettent de reproduire fidèlement des couleurs situées hors de la gamme de couleurs quadrichromiques. Toutefois, à l’impression, l’apparence exacte des tons directs dépend du mélange d’encre effectué par l’imprimeur et du papier utilisé, et non des valeurs chromatiques attribuées, ni de la gestion des couleurs. Lorsque vous spécifiez des valeurs de tons directs, vous ne faites que décrire une simulation de l’aspect de la couleur sur votre moniteur ou votre imprimante composite (qui varie selon les limitations de gamme spécifiques à chaque périphérique). Gardez les points suivants à l’esprit lorsque vous spécifiez un ton direct :

• Pour une impression optimale de vos documents, spécifiez un ton direct issu d’un système de concordance des couleurs pris en charge par votre imprimeur. Le logiciel comprend plusieurs bibliothèques de concordance des couleurs.

• Réduisez le nombre de tons directs utilisés, car chaque ton direct créé nécessite une plaque d’impression supplémentaire sur la presse d’imprimerie, augmentant ainsi considérablement vos coûts d’impression. Si vous pensez avoir besoin de plus de quatre couleurs différentes, envisagez l’utilisation de couleurs quadrichromiques pour l’impression de votre document.

• Si un objet comportant des tons directs chevauche un autre objet auquel sont appliqués des effets de transparence, des résultats indésirables risquent de se produire lors de l’exportation au format EPS, de la conversion des tons directs en couleurs quadrichromiques à partir de la boîte de dialogue d’impression ou de la préparation des séparations de couleurs dans une application autre qu’Illustrator ou InDesign. Pour un résultat optimal, utilisez l’aperçu de l’aplatissement ou l’aperçu des séparations pour vérifier à l’écran les effets de l’aplatissement des transparences avant d’imprimer. Vous pouvez, en outre, convertir les tons directs en couleurs quadrichromiques à l’aide du Gestionnaire d’encres d’Adobe InDesign avant de procéder à une impression ou une exportation.

• Vous pouvez utiliser une plaque d’impression de ton direct pour appliquer un vernis sur des zones imprimées en couleurs quadrichromiques. Dans ce cas, votre travail d’impression utilisera cinq encres au total : quatre encres quadri et un ton direct ou un vernis.

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• Pour obtenir un résultat optimal lors de l’impression haute qualité de vos documents, utilisez les valeurs CMJN imprimées sur les chartes de couleurs quadri (ou nuanciers), que vous pourrez vous procurer auprès de votre imprimeur.

• Les valeurs chromatiques définitives d’une couleur quadri correspondent à ses valeurs CMJN. Par conséquent, si vous spécifiez une couleur quadri avec des valeurs RVB (ou LAB, dans InDesign), celles-ci seront converties en CMJN à l’impression des séparations de couleurs. Ces conversions varient suivant vos paramètres de gestion des couleurs et le profil du document.

• Ne vous fiez pas à l’aspect d’une couleur quadri sur votre moniteur, à moins que vous n’ayez correctement configuré un système de gestion des couleurs et que vous soyez conscient de ses limites.

• Evitez d’utiliser des couleurs quadri dans les documents destinés exclusivement à une diffusion en ligne, car la gamme de couleurs CMJN est plus réduite que celle d’un moniteur standard.

• Dans Illustrator et InDesign, vous avez la possibilité de définir des couleurs quadri comme couleurs globales ou non globales. Dans Illustrator, les couleurs quadri globales demeurent associées à une nuance du panneau Nuancier ; ainsi, lorsque vous modifiez la nuance d’une couleur quadri globale, tous les objets utilisant cette couleur sont mis à jour en conséquence. Les couleurs quadri non globales ne sont pas mises à jour automatiquement sur l’ensemble du document lorsque la couleur est modifiée. Les couleurs quadri sont non globales par défaut. Dans InDesign, lorsque vous appliquez une nuance aux objets, la nuance est appliquée automatiquement en tant que couleur quadri globale. Les nuances non globales sont des couleurs sans nom que vous pouvez modifier dans le panneau Couleur.

Remarque : le fait qu’une couleur soit globale ou non influe uniquement sur le mode d’application d’une couleur aux objets, et en aucun cas sur le procédé de séparation des couleurs, ni sur leur comportement en cas de transfert d’une application à une autre.

Utilisation combinée de tons directs et de couleurs quadrichromiques

Pour certains travaux d’impression, il peut se révéler utile de combiner couleurs quadri et tons directs. Par exemple, vous pouvez utiliser un ton direct pour reproduire la couleur exacte du logo d’une société sur un rapport annuel et imprimer, sur les mêmes pages, des photographies en couleurs quadri. Vous pouvez également utiliser une plaque d’impression de tons directs pour appliquer un vernis sur des parties d’un travail en couleurs quadri. Dans ces deux cas, votre travail d’impression nécessitera cinq encres au total : quatre encres quadri et un ton direct ou un vernis. Dans InDesign, vous pouvez mélanger des couleurs quadri et des tons directs pour créer des encres mélangées.

« Mélange des encres » à la page 529

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Adobe Illustrator. Dans Illustrator, vous avez la possibilité de définir des couleurs nommées comme étant des couleurs globales ou non globales. Dans InDesign, toutes les couleurs sans nom sont traitées comme des couleurs quadri non globales. Dans InDesign, les nuances sont les équivalents des couleurs globales. Les nuanciers facilitent les modifications générales des couleurs, car ils évitent d’avoir à rechercher et à retoucher chaque objet séparément. Ils conviennent particulièrement aux documents standardisés et à grand tirage, tels que les magazines. Les couleurs InDesign étant liées aux nuances du panneau Nuancier, tout changement apporté à une nuance se répercute sur tous les objets auxquels la couleur est appliquée. Dans InDesign, les couleurs non globales correspondent aux couleurs sans nom. Les couleurs sans nom n’apparaissent pas dans le panneau Nuancier, et elles ne sont pas mises à jour automatiquement à l’échelle du document lorsqu’elles sont modifiées dans le panneau Couleur. Vous pouvez toutefois ajouter ultérieurement une couleur sans nom au panneau Nuancier. Le fait qu’une couleur soit nommée ou sans nom influe uniquement sur la façon dont une couleur est mise à jour dans le document, et en aucun cas sur le procédé de séparation des couleurs, ni sur leur comportement en cas de transfert d’une application à une autre.

Application des couleurs

Application de couleurs Adobe InDesign dispose d’un grand nombre d’outils d’application des couleurs, notamment le panneau Outils, le panneau Nuancier, le panneau Couleur, le sélecteur de couleurs et le panneau Contrôle. Lorsque vous appliquez une couleur, vous pouvez préciser si celle-ci s’applique au contour ou au fond d’un objet. Le contour renvoie à la bordure ou à l’encadrement d’un objet, tandis que le fond correspond à son arrière-plan. Lorsque vous appliquez une couleur à un bloc de texte, vous pouvez préciser si celle-ci affecte l’encadrement du texte ou le texte situé à l’intérieur du bloc. 1 Sélectionnez l’objet à colorer en utilisant l’une des méthodes suivantes :

• S’il s’agit d’un tracé ou d’un bloc, utilisez l’outil Sélection

du texte contenu dans le bloc.

Pour modifier la couleur des espaces dans un contour en tirets, en pointillé ou en bandes, utilisez le panneau Contour. 2 Dans le panneau Outils, Couleur ou Nuancier, sélectionnez la commande La mise en forme agit sur le texte ou La

mise en forme agit sur le conteneur pour déterminer si la couleur est appliquée au texte ou au bloc de texte.

3 Dans le panneau Outils, Couleur ou Nuancier, sélectionnez la case Fond ou Contour pour définir le fond ou le

contour de l’objet (si une image est sélectionnée, la case Contour n’a aucun effet).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Cliquez deux fois sur la case Fond ou Contour du panneau Outils ou sur le panneau Couleur pour ouvrir le sélecteur de couleurs. Sélectionnez la couleur souhaitée, puis cliquez sur OK. Vous pouvez appliquer de la couleur à n’importe quelle image en niveaux de gris, à condition qu’elle ne contienne ni couche alpha ni couche de tons directs. Si vous avez importé une image avec un masque, sélectionnez le masque au moyen de l’outil Sélection directe pour appliquer la couleur uniquement à la zone rognée.

Sélection d’une couleur au moyen du sélecteur de couleurs

Le sélecteur de couleurs vous permet de choisir les couleurs à partir d’un champ de couleur ou de spécifier les couleurs numériquement. Vous pouvez définir les couleurs au moyen des modèles colorimétriques RVB, LAB ou CMJN. 1 Cliquez deux fois sur la case Fond ou Contour du panneau Outils ou sur le panneau Couleur pour ouvrir le sélecteur

2 Pour modifier le spectre des couleurs affiché dans le sélecteur de couleurs, cliquez sur une lettre : R (rouge), V (vert)

ou B (bleu) ; ou (luminance), a (axe rouge-vert) ou b (axe jaune-bleu).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

4 Pour enregistrer la couleur en tant que nuance, cliquez sur Ajouter une nuance CMJN, Ajouter la nuance RVB ou

Ajouter la nuance LAB. InDesign ajoute la couleur au panneau Nuancier et la nomme d’après ses valeurs.

Application de la dernière couleur utilisée

Le panneau Outils affiche la dernière couleur ou le dernier dégradé appliqué. Vous pouvez appliquer cette couleur ou ce dégradé directement à partir du panneau Outils. 1 Sélectionnez l’objet ou le texte à colorer. 2 Dans le panneau Outils, cliquez sur le bouton Fond ou Contour selon la partie du texte ou de l’objet à colorer. 3 Dans le panneau Outils, effectuez l’une des opérations suivantes :

• Cliquez sur le bouton Couleur

pour appliquer la dernière couleur unie sélectionnée dans le panneau Nuancier

Suppression de la couleur du fond ou du contour 1 Sélectionnez le texte ou l’objet dont vous voulez supprimer la couleur. 2 Dans le panneau Outils, cliquez sur le bouton Fond ou sur le bouton Contour en fonction de la partie du texte ou

de l’objet à modifier.

3 Cliquez sur le bouton Aucun

pour supprimer le fond ou le contour de l’objet.

Application de couleurs par glisser-déposer

Vous pouvez appliquer facilement des couleurs ou des dégradés en les faisant glisser d’une source de couleur vers un objet ou un panneau. Le glisser-déposer permet d’appliquer des couleurs et des dégradés aux objets sans les sélectionner au préalable. Vous pouvez faire glisser les éléments suivants :

• La case Fond ou Contour du panneau Outils ou d’un autre panneau.

• La case de dégradé du panneau Dégradé. • Les nuances du panneau Nuancier. • La dernière nuance utilisée, située en regard de l’icône hors gamme

Vous pouvez déposer des couleurs ou des dégradés sur les panneaux et les objets suivants :

• Le fond ou le contour d’un tracé. Pour déposer une couleur sur un fond ou un contour, positionnez précisément le centre de l’icône de la couleur que vous faites glisser sur le fond ou le contour du tracé, puis relâchez le bouton de la souris.

• Le panneau Nuancier.

Si vous faites glisser une ou plusieurs nuances du panneau Nuancier ou une nuance située en regard d’une icône non imprimable, vous pouvez les déposer dans une autre fenêtre de document InDesign pour les ajouter à son panneau Nuancier.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

3 Dans le panneau Nuancier, sélectionnez la case Fond ou Contour.

4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour appliquer une couleur au texte sélectionné, cliquez sur le bouton Texte

Les couleurs de fond ou de contour par défaut se définissent comme les autres paramètres par défaut InDesign. Choisissez Edition > Tout désélectionner pour vous assurer qu’aucun objet n’est sélectionné, puis choisissez une couleur.

Application d’une couleur à l’aide du panneau Couleur

Bien que le panneau Nuancier soit l’outil recommandé pour manipuler les couleurs, vous pouvez également les mélanger à l’aide du panneau Couleur, dont le fonctionnement vous est sûrement familier si vous utilisez d’autres logiciels Adobe comme Adobe Illustrator. Vous pouvez ajouter à tout moment la couleur active du panneau Couleur au panneau Nuancier. Le panneau Couleur est l’outil idéal pour mélanger les couleurs sans nom. Remarque : si vous sélectionnez un objet qui utilise une nuance nommée et que vous modifiez sa couleur à l’aide du panneau Couleur, la couleur est uniquement modifiée dans l’objet. Pour modifier la couleur dans l’ensemble du document, cliquez deux fois sur sa nuance dans le panneau Nuancier.

Pour modifier la couleur du fond ou du contour

1 Sélectionnez l’objet ou le texte à modifier. 2 Si le panneau Couleur n’est pas affiché, sélectionnez Fenêtre > Couleur. 3 Sélectionnez la case Fond ou Contour dans le panneau Couleur.

la couleur du fond ou du texte à l’intérieur de ce bloc.

5 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Réglez le curseur Teinte, qui apparaît par défaut si l’objet utilise une nuance du panneau Nuancier.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

UTILISATION D’INDESIGN Couleur

• Cliquez deux fois sur la case Fond ou Contour, puis sélectionnez une couleur dans le sélecteur de couleurs. Cliquez sur OK. 6 Si une icône d’avertissement hors gamme

apparaît et que vous souhaitez utiliser les valeurs chromatiques

CMJN les plus proches de la couleur initialement spécifiée, cliquez sur la petite case de couleur en regard de l’icône d’avertissement.

Création d’une nuance à partir d’une couleur du panneau Couleur

1 Dans le panneau Couleur, assurez-vous que la case Fond ou Contour affiche la couleur à ajouter. 2 Dans le menu du panneau, choisissez Ajouter au nuancier.

Passage d’un mode de couleur à un autre

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez sur la gamme de couleurs située au bas du panneau Couleur en maintenant la touche Maj enfoncée.

• Dans la boîte de dialogue Nouvelle couleur ou Options de nuance, cliquez sur la case de couleur en maintenant la touche Maj enfoncée.

• Dans la boîte de dialogue Nouveau dégradé ou Options de dégradé, sélectionnez une couleur, assurez-vous que l’option RVB, CMJN ou LAB est sélectionnée dans le menu Couleur, puis cliquez sur la case de couleur en maintenant la touche Maj enfoncée.

Application de couleurs à l’aide de l’outil Pipette

Utilisez l’outil Pipette pour copier les attributs de fond et de contour, tels que la couleur, d’un objet contenu dans un fichier InDesign, y compris les images importées. Par défaut, l’outil Pipette charge tous les attributs de fond et de contour disponibles d’un objet et les définit comme paramètres par défaut pour tout nouvel objet dessiné. Vous pouvez utiliser la boîte de dialogue Options de la pipette pour modifier les attributs que cet outil copie. Vous pouvez aussi utiliser l’outil Pipette pour copier les attributs de texte et de transparence. Remarque : si un attribut n’est pas répertorié dans la boîte de dialogue Options de la pipette, il ne peut pas être copié avec cet outil.

Pour appliquer des couleurs à l’aide de l’outil Pipette

1 Sélectionnez un ou plusieurs objets dotés d’attributs de fond et de contour à modifier. 2 Sélectionnez l’outil Pipette

4 Pour appliquer les même attributs à d’autres objets, cliquez sur ces derniers avec la pipette pleine. Si un objet est

doté d’un contour et dépourvu de fond, cliquez sur son contour.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

touche Alt ou Option pour appliquer les attributs à un objet.

Pour modifier des paramètres de l’outil Pipette

1 Dans le panneau Outils, cliquez deux fois sur l’outil Pipette

2 Sélectionnez les attributs que vous voulez copier avec l’outil Pipette dans les sections Fonds et Contours, puis

Pour prélever la couleur du fond ou du contour d’un objet sans prélever d’autres attributs, cliquez sur l’objet avec l’outil Pipette en maintenant la touche Maj enfoncée. Lorsque vous appliquez la couleur à un autre objet, seule la couleur du fond ou du contour est appliquée, selon que le fond ou le contour figure au premier plan dans la barre d’outils.

Application de couleurs à des images en niveaux de gris

Vous avez la possibilité d’appliquer des couleurs à une image en niveaux de gris importée dans InDesign. 1 Assurez-vous que l’image est enregistrée en tant qu’image en niveaux de gris ou image bitmap et qu’elle se présente

au format PSD, TIFF, BMP ou JPG.

Dans Photoshop, vous pouvez choisir la commande Image > Mode > Bitmap ou Image > Mode > Niveaux de gris. 2 Cliquez sur la saisie de contenu ou utilisez l’outil Sélection directe

pour sélectionner l’image.

3 Sélectionnez une couleur depuis le panneau Nuancier ou Couleur.

Si l’image est au format PSD, elle peut comporter plusieurs calques ; néanmoins, il est impératif que celui du bas soit opaque. En effet, dans InDesign, il est impossible d’appliquer des couleurs à une image PSD dotée d’un arrière-plan transparent. En outre, l’image en niveaux de gris ne peut comporter ni couches alpha ni couches de tons directs.

Utilisation des nuances

Présentation du panneau Nuancier Le panneau Nuancier (Fenêtre > Couleur > Nuancier) vous permet de créer et de nommer des couleurs, dégradés ou teintes et de les appliquer rapidement à votre document. Les nuances sont comparables aux styles de caractère et de paragraphe : toute modification apportée à une nuance affecte l’ensemble des objets auxquels la nuance est appliquée. Les nuanciers facilitent les modifications générales des couleurs, car ils évitent d’avoir à rechercher et à retoucher chaque objet séparément. Lorsque le contour ou le fond du texte sélectionné ou d’un objet contient une couleur appliquée à partir du panneau Nuancier, la nuance appliquée est mise en surbrillance dans le panneau Nuancier. Les nuances que vous créez ne sont associées qu’au document actif. Chaque document peut être doté de différents ensembles de nuances stockés dans le panneau Nuancier. Les nuances vous permettent d’identifier clairement les tons directs lorsque vous travaillez avec un prestataire de services prépresse. Vous pouvez également spécifier les paramètres de couleur dans un profil de contrôle en amont, afin de déterminer les valeurs correctes pour votre imprimeur. Six couleurs CMJN apparaissent dans le panneau Nuancier par défaut : cyan, magenta, jaune, rouge, vert et bleu.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

« Présentation des tons directs et des couleurs quadri » à la page 505 « Importation de nuances » à la page 518 « Mélange des encres » à la page 529 « Teintes » à la page 522

Le panneau Nuancier contient les types de nuances suivants : Couleurs Les icônes du panneau Nuancier identifient les types de tons directs

les modes colorimétriques LAB

Papier La nuance Papier est une nuance intégrée qui simule la couleur du papier sur lequel vous imprimez. Les objets situés derrière un objet de couleur papier ne s’imprimeront pas à l’endroit où cet objet les chevauche. C’est la couleur du papier sur lequel vous imprimez qui apparaîtra. Vous pouvez personnaliser la couleur Papier en cliquant deux fois dessus dans le panneau Nuancier. Utilisez la couleur Papier à des fins de prévisualisation uniquement : elle n’apparaîtra pas sur une imprimante composite ni en séparations de couleurs. Il est impossible de supprimer cette nuance. N’appliquez pas la nuance Papier pour supprimer la couleur d’un objet. Utilisez plutôt la nuance Aucune.

Remarque : si la couleur Papier ne fonctionne pas comme indiqué et que vous imprimez sur une imprimante non

PostScript, réessayez en faisant passer le pilote d’impression en mode Graphiques bitmap. Noir Le Noir est une couleur quadri à 100 % de noir intégrée définie à partir du modèle colorimétrique CMJN. Il est

impossible de modifier ou de supprimer cette nuance. Par défaut, le noir surimprime (s’imprime au-dessus de) toutes les encres sous-jacentes, y compris les caractères de texte de toute taille. Vous pouvez désactiver ce comportement.

est une nuance intégrée qui force les objets à s’imprimer sur chaque séparation à partir d’une imprimante PostScript. Les repères de montage, par exemple, adoptent la couleur de repérage, de sorte que les plaques d’impression sont alignées précisément sur la presse. Il est impossible de modifier ou de supprimer cette nuance.

Vous pouvez également ajouter des couleurs au panneau Nuancier à partir de n’importe quelle bibliothèque de couleurs, de sorte qu’elles soient enregistrées avec votre document

Personnalisation de l’affichage des nuances

Vous pouvez modifier la taille des nuances et activer ou non l’affichage de leur nom. 1 Dans le menu du panneau Nuancier, choisissez l’une des options suivantes :

• L’option Nom permet d’afficher une petite nuance en regard du nom. Les icônes situées à droite du nom indiquent le modèle colorimétrique (CMJN, RVB, etc.), qu’il s’agisse d’un ton direct, d’une couleur quadri, d’une couleur de repérage ou qu’il n’y ait aucune couleur.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Pour définir quel type de nuances doit être affiché, cliquez sur l’un des boutons suivants situés au bas du panneau

Lorsque vous importez une image contenant des tons directs, les couleurs sont automatiquement ajoutées en tant que nuances au panneau Nuancier. Dans ce cas, vous pouvez les appliquer à des objets du document, mais vous ne pouvez ni les redéfinir, ni les supprimer.

Avant de créer des nuances, demandez à votre prestataire de services d’impression de vous fournir les paramètres corrects. Vous pouvez spécifier les paramètres de couleur dans un profil de contrôle en amont, afin de mettre en évidence les valeurs incorrectes pour votre imprimeur.

« Utilisation de couleurs provenant de graphiques importés » à la page 532 « Contrôle en amont de fichiers avant envoi » à la page 678

Pour créer une nouvelle nuance de couleur

1 Choisissez Nouvelle couleur dans le menu du panneau Nuancier. 2 Dans Type, choisissez la méthode à utiliser pour imprimer les couleurs des documents sur la presse d’imprimerie. 3 Dans Nom de la nuance, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Si vous avez choisi Quadrichromie et que vous souhaitez que le nom de la couleur décrive toujours sa valeur chromatique, assurez-vous que l’option Nommer selon la valeur chromatique est sélectionnée.

• Si vous avez choisi Quadrichromie et que vous souhaitez attribuer vous-même le nom de la couleur, assurez-vous que l’option Nommer selon la valeur chromatique est désélectionnée et saisissez un nom de nuance.

• Si vous avez choisi Ton direct, entrez un nom de nuance.

4 Dans Mode, choisissez le mode de définition des couleurs à utiliser. Evitez de modifier ce mode après avoir défini

5 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Faites glisser les curseurs pour modifier les valeurs chromatiques. Vous pouvez également saisir des valeurs numériques dans les zones situées en regard des curseurs de couleurs.

• Pour les tons directs, choisissez la couleur dans les bibliothèques de couleurs du menu Mode.

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• Cliquez sur Ajouter pour ajouter la nuance et en définir une autre. Cliquez sur Terminer. • Cliquez sur OK pour ajouter la nuance et fermer la boîte de dialogue. Pour définir directement un ton direct à l’aide du bouton Nouvelle nuance du panneau Nuancier, assurez-vous qu’aucune nuance n’est sélectionnée et maintenez les touches Alt+Ctrl (Windows) ou Option+Commande (Mac OS) enfoncées tout en cliquant sur le bouton Nouvelle nuance .

Pour créer une nuance à partir de la couleur d’un objet

1 Sélectionnez l’objet. 2 Dans le panneau Outils ou le panneau Nuancier, sélectionnez la case Fond ou Contour. 3 Dans le panneau Nuancier, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez sur le bouton Nouvelle nuance

, puis cliquez deux fois sur la nouvelle nuance ainsi obtenue.

Pour ajouter des couleurs sans nom au panneau Nuancier Bien qu’il soit possible de créer des couleurs au moyen du panneau Couleur ou du sélecteur de couleurs, il est difficile par la suite de modifier et d’utiliser avec cohérence les couleurs sans nom. Utilisez l’option Ajouter les couleurs sans nom pour rechercher les couleurs sans nom appliquées aux objets dans le document, puis ajoutez-les au panneau Nuancier. Un nom est automatiquement attribué aux couleurs en fonction de leurs composants CMJN, RVB ou LAB. ❖ Dans le panneau Nuancier, choisissez la commande Ajouter les couleurs sans nom.

Le panneau Nuancier vous permet de modifier, de dupliquer et de supprimer des nuances.

« Importation de nuances » à la page 518 « Encres, séparations et linéature » à la page 706 « Mélange des encres » à la page 529

Modification des couleurs par défaut dans le panneau Nuancier

Vous pouvez modifier les nuances apparaissant par défaut dans les nouveaux documents. 1 Fermez tous les documents actifs. 2 Modifiez les nuances selon vos besoins dans le panneau Nuancier.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Sélectionnez une nuance et cliquez sur le bouton Nouvelle nuance

situé au bas du panneau.

• Faites glisser une nuance vers le bouton Nouvelle nuance situé au bas du panneau.

Modification d’une nuance

Vous pouvez modifier tous les attributs d’une nuance à l’aide de la boîte de dialogue Options de nuance. Des options supplémentaires sont disponibles lors de la modification de nuances et de groupes d’encres mélangées. 1 Dans le panneau Nuancier, sélectionnez une nuance et utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez deux fois sur la nuance.

• Choisissez Options de nuance dans le menu du panneau Nuancier. 2 Modifiez les différents paramètres, puis cliquez sur OK.

Contrôle du nom des nuances

Par défaut, le nom d’une couleur quadri provient des valeurs la composant. Ainsi, si vous créez une couleur quadri rouge en utilisant 10 % de cyan, 75 % de magenta, 100 % de jaune et 0 % de noir, cette nuance est nommée par défaut C=10 M=75 J=100 N=0. Cela facilite l’identification des composants des couleurs quadri. Par défaut, le nom d’une couleur quadri est automatiquement mis à jour lorsque vous modifiez ses valeurs CMJN. Vous pouvez activer ou désactiver cette option pour chacune des nuances à votre convenance. Comme pour toute nuance que vous définissez, vous pouvez modifier le nom d’une couleur quadri à tout moment. 1 Cliquez deux fois sur une couleur quadri dans le panneau Nuancier. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes, puis cliquez sur OK :

• Pour permettre à InDesign de renommer la nuance lorsque vous en réglez les pourcentages CMJN, vérifiez que l’option Nommer selon la valeur chromatique est sélectionnée.

• Pour renommer une nuance lorsque vous en réglez les valeurs CMJN, vérifiez que l’option Nommer selon la valeur chromatique est désélectionnée.

Remarque : lorsque cette option est désélectionnée, la nouvelle couleur est automatiquement renommée Nouvelle couleur (suivi d’un numéro s’il existe plusieurs nouvelles couleurs). Vous pouvez modifier ce nom manuellement

Suppression de nuances individuelles

Lorsque vous supprimez une nuance qui a été appliquée à un objet dans le document, InDesign vous invite à choisir une nuance de remplacement. Vous pouvez sélectionner une nuance existante ou une nuance sans nom. Si vous supprimez une nuance basée sur une teinte ou sur une encre mélangée, vous êtes invité à choisir une nuance de remplacement. 1 Sélectionnez une ou plusieurs couleurs. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez Supprimer la nuance dans le menu du panneau Nuancier.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

3 Un message s’affiche pour vous demander comment remplacer les nuances supprimées. Utilisez l’une des méthodes

suivantes, puis cliquez sur OK :

• Pour remplacer toutes les occurrences de la nuance par une autre nuance, cliquez sur Nuance définie et choisissez une nuance dans le menu.

• Pour remplacer toutes les occurrences de la nuance par une couleur sans nom équivalente, cliquez sur Nuance sans nom.

Suppression des nuances inutilisées

1 Choisissez l’option Sélectionner toutes les nuances inutilisées dans le menu du panneau Nuancier. Seules les

nuances qui ne sont pas utilisées dans le fichier actif sont sélectionnées.

2 Cliquez sur l’icône de suppression.

Lorsque vous importez des nuances ou copiez des éléments d’autres documents, vous risquez d’obtenir des nuances en double appliquées à différents objets. La commande Fusionner les nuances permet d’éliminer ces doublons. 1 Dans le panneau Nuancier, sélectionnez plusieurs nuances en double.

C’est la première nuance sélectionnée qui est conservée (les autres y sont fusionnées).

2 Choisissez la commande Fusionner les nuances dans le menu du panneau Nuancier.

Enregistrement des nuances afin de les utiliser dans d’autres documents

Pour utiliser des nuances dans d’autres fichiers ou pour les partager avec d’autres graphistes, vous pouvez enregistrer les nuances au format d’échange de nuances Adobe (.ase). Tout comme Illustrator et Adobe Photoshop, InDesign peut importer des nuances à partir d’un fichier Colorbook. 1 Dans le panneau Nuancier, sélectionnez les nuances à enregistrer. 2 Choisissez la commande Enregistrer le nuancier dans le menu du panneau Nuancier. 3 Spécifiez un nom et un emplacement pour le fichier puis cliquez sur Enregistrer.

Partage des nuances entre plusieurs applications

Vous pouvez partager les nuances unies que vous créez dans Photoshop, Illustrator et InDesign en enregistrant une bibliothèque de nuances pour l’échange. Les couleurs sont identiques d’une application à une autre si vos paramètres de couleur sont synchronisés. 1 Dans le panneau Nuancier, créez les nuances de couleurs quadrichromiques et de tons directs que vous souhaitez

partager et supprimez les autres.

Remarque : il est impossible de partager les types de nuances suivants entre différentes applications : motifs, dégradés, encres et teintes mélangées, et repérage provenant d’Illustrator ou d’InDesign, références de catalogue de couleurs et TSL, XYZ, bichrome, RVB moniteur, opacité, encrage total et RVB Web de Photoshop. Ces types de nuanciers sont automatiquement exclus lorsque vous enregistrez des nuanciers. 2 Sélectionnez l’option Enregistrer le nuancier dans le menu du panneau Nuancier et enregistrez les bibliothèques de

nuances dans un emplacement facilement accessible.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez importer des couleurs et dégradés issus d’autres documents et ajouter autant de nuances que vous le souhaitez au panneau Nuancier. Vous pouvez charger des nuances à partir de fichiers InDesign (.indd), de modèles InDesign (.indt), de fichiers Illustrator (.ai ou .eps) et de fichiers d’échange de nuances Adobe (.ase) créés dans InDesign, Illustrator ou Photoshop. Les fichiers d’échange de nuances Adobe contiennent des nuances enregistrées au format d’échange de nuances Adobe. InDesign inclut également des bibliothèques de couleurs provenant d’autres systèmes de couleurs tels que PANTONE Process Color System®. Remarque : les tons directs utilisés par les fichiers EPS, PDF, TIFF et Adobe Photoshop (PSD) sont également ajoutés au panneau Nuancier.

importer des nuances. 3 Cliquez sur le bouton Ouvrir. 4 Sélectionnez les nuances à importer. 5 Cliquez sur OK.

Importation de toutes les nuances d’un fichier

1 Dans le menu du panneau Nuancier, choisissez l’option Charger un nuancier. 2 Cliquez deux fois sur un document InDesign.

Copie des nuances d’un document InDesign vers un autre document InDesign

Vous pouvez copier ou faire glisser une nuance (ou des objets auxquels une nuance est appliquée) d’un document vers un autre. Lors de ce processus, la nuance est ajoutée au panneau Nuancier du document de destination. Si vous voulez également copier les teintes et dégradés de la nuance, il est nécessaire de copier l’objet d’origine et pas seulement la nuance. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Copiez un objet dans le document actif par glisser-déposer ou par copier-coller.

• Sélectionnez les nuances à copier et faites-les glisser du panneau Nuancier vers la fenêtre d’un autre document InDesign. Remarque : si vous faites glisser une nuance ayant un nom identique à celui d’une nuance existante (casse comprise), mais dont les valeurs de couleur sont différentes, InDesign renomme la nuance : « [nom de la nuance d’origine] 2 ».

Dernière mise à jour le 18/5/2011

DIC Process Color Note) sont à votre disposition, sans oublier les bibliothèques conçues spécialement pour le Web. Avant d’utiliser des nuances provenant d’un système de concordances des couleurs, demandez à vos prestataires de services prépresse quel système ils utilisent. 1 Dans le menu du panneau Nuancier, choisissez l’option Nouvelle couleur. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans la liste Mode, choisissez le fichier de la bibliothèque.

• Choisissez la commande Autre bibliothèque dans la liste Mode, localisez le fichier de bibliothèque, puis cliquez sur le bouton Ouvrir. 3 Sélectionnez une ou plusieurs nuances dans la bibliothèque, puis cliquez sur Ajouter (pour fermer la boîte de

dialogue sans ajouter de nuances, cliquez sur OK).

4 Une fois l’ajout des nuances terminé, cliquez sur Terminer.

Bibliothèques de couleurs installées avec InDesign

InDesign installe des bibliothèques de couleurs pour les couleurs correspondant aux systèmes décrits ci-dessous. Vous pouvez installer des bibliothèques de couleurs supplémentaires et charger des nuances à partir de ces bibliothèques dans InDesign. Couleur ANPA Cette bibliothèque comporte 300 couleurs sélectionnées par l’ANPA (American Newspaper Publishers

Association). Ces couleurs sont avant tout utilisées comme tons directs dans les journaux.

Couleur DIC Comporte 1 280 tons directs CMJN provenant de la bibliothèque DIC Process Color Note. A chaque

couleur correspond un numéro dans le DIC Color Guide, publié par Dainippon Ink & Chemicals, Inc. Pour plus de détails, contactez Dainippon Ink & Chemicals, Inc. à Tokyo (Japon).

Focoltone Le système de couleurs FOCOLTONE comporte 763 couleurs CMJN. Vous pouvez utiliser les couleurs

Focoltone pour éviter les problèmes de recouvrement et de repérage en prépresse en visualisant les tables de surimpression qui composent les couleurs.

Vous pouvez obtenir auprès de Focoltone un catalogue d’échantillons regroupant les spécifications de couleurs pour la quadrichromie et les tons directs, des tables de surimpression et un système de marquage des maquettes. Pour plus d’informations, contactez Focoltone International, Ltd., à Stafford (Royaume-Uni). HKS A utiliser lorsque le travail d’impression spécifie des couleurs relevant du système HKS utilisé en Europe. PANTONE® Les couleurs PANTONE® constituent la norme mondiale pour la reproduction des tons directs. En l’an 2000, les nuanciers PANTONE MATCHING SYSTEM® ont fait l’objet d’une révision majeure. 147 nouvelles couleurs en aplat et sept couleurs métalliques supplémentaires sont venues enrichir la gamme existante, portant le total à 1 114 couleurs. Les guides de couleurs et les classeurs d’échantillons PANTONE sont à présent imprimés sur papier couché et mat, pour une plus grande fidélité des couleurs à l’impression et une meilleure maîtrise du processus de reproduction.

Vous pouvez imprimer une couleur PANTONE en aplat en CMJN. Pour comparer une couleur PANTONE en aplat

à la couleur quadri la plus proche, utilisez le guide de correspondance des couleurs quadri en tons directs PANTONE. Les pourcentages de teintes écran CMJN sont indiqués sous chaque couleur. Le guide est imprimé sur papier couché plus lumineux et indique les correspondances entre les 147 nouvelles couleurs en aplat et leurs équivalents CMJN.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Système (Windows) Ce système inclut les 256 couleurs du panneau 8 bits par défaut de Windows reposant sur un

échantillonnage uniforme des couleurs RVB.

Système (Mac OS) Ce système inclut les 256 couleurs du panneau 8 bits par défaut de Mac OS reposant sur un échantillonnage uniforme des couleurs RVB. Toyo Color Finder Cette bibliothèque comporte 1050 couleurs correspondant aux encres d’impression les plus courantes au Japon. Vous pouvez utiliser la bibliothèque Toyo 94 Color Finder ou sa version plus récente. Consultez le catalogue des couleurs Toyo contenant des échantillons des diverses encres. Vous pouvez vous le procurer auprès des imprimeurs et des magasins spécialisés dans les arts graphiques. Pour plus d’informations, contactez Toyo Ink Manufacturing Co., Ltd., à Tokyo (Japon). Trumatch Ce système propose des équivalences CMJN pour plus de 2 000 couleurs générées électroniquement. Les

couleurs Trumatch couvrent par paliers réguliers le spectre visible de la gamme des couleurs CMJN. Le système

Trumatch Color Finder affiche jusqu’à 40 teintes et nuances par tonalité, créées en quadrichromie et reproductibles en ce mode sur photocomposeuse électronique. En outre, ce système comprend des gris quadrichromiques de différents niveaux. Pour plus d’informations, contactez Trumatch Inc., à New York, New York (Etats-Unis). Web Ce système inclut les 216 couleurs RVB Web sécurisées les plus souvent utilisées pour afficher des images 8 bits.

Cette bibliothèque vous permet de créer des illustrations pour le Web avec des couleurs d’apparence identique sur les systèmes Windows et Macintosh.

A propos du panneau Kuler Le panneau Kuler™ permet d'accéder à des groupes de couleurs et à des thèmes créés par la communauté de concepteurs en ligne. Vous pouvez l'utiliser pour parcourir des milliers de thèmes sur Kuler™ et pour télécharger ceux de votre choix afin de les modifier ou de les inclure dans vos projets. Vous pouvez également utiliser le panneau Kuler pour créer et enregistrer des thèmes. Il vous suffit ensuite de les télécharger pour les partager avec la communauté Kuler. Le panneau Kuler est disponible dans Adobe Photoshop® CS5, Adobe Flash® Professional CS5, Adobe InDesign® CS5, Adobe Illustrator® CS5 et Adobe Fireworks® CS5. Le panneau n’est pas disponible dans les versions françaises de ces produits. Une vidéo consacrée au panneau Kuler est disponible à l’adresse suivante : www.adobe.com/go/lrvid4088_xp_fr. Pour consulter un article sur Kuler et des conseils sur les couleurs, consultez le blog de Veerle Pieters à l'adresse http://veerle.duoh.com/blog/comments/adobe_kuler_update_and_color_tips/ (en anglais).

Consultation des thèmes

Il convient de disposer d’une connexion Internet pour parcourir les thèmes en ligne. Recherche de thèmes 1 Choisissez la commande Fenêtre > Extensions > Kuler, puis sélectionnez le panneau Parcourir.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Affichage d’un thème en ligne sur Kuler

1 Accédez au panneau Parcourir, puis sélectionnez un thème dans la liste des résultats de la recherche. 2 Cliquez sur le triangle situé à droite du thème et sélectionnez l’option Afficher la version en ligne dans Kuler.

Enregistrement de termes fréquemment recherchés

1 Sélectionnez l'option Personnalisé dans le premier menu déroulant du panneau Parcourir. 2 Dans la boîte de dialogue qui s’affiche, entrez les termes à rechercher et enregistrez-les.

Pour effectuer une recherche sur ces termes, sélectionnez-les dans le premier menu déroulant.

Pour supprimer une recherche enregistrée, sélectionnez l'option Personnalisé dans le menu contextuel. Effacez ensuite les recherches de votre choix, puis cliquez sur Enregistrer.

Utilisation de thèmes

Le panneau Kuler permet de créer ou de modifier des thèmes et de les utiliser dans le cadre d'un projet. Remarque : si vous souhaitez créer ou modifier des thèmes dans Illustrator, vous devez utiliser la boîte de dialogue Modifier les couleurs/Redéfinir les couleurs de l'illustration plutôt que le panneau Créer. Pour plus de détails, reportezvous à l'aide d'Illustrator. Ajout d'un thème au panneau Nuancier de votre application 1 Dans le panneau Parcourir, sélectionnez le thème que vous souhaitez utiliser. 2 Cliquez sur le triangle situé à droite du thème et sélectionnez l'option Ajouter au nuancier.

Vous pouvez également ajouter un thème à partir du panneau Créer à l'aide du bouton Ajouter le thème sélectionné au nuancier.

Modification d'un thème 1 Accédez au panneau Parcourir, recherchez le thème que vous souhaitez modifier dans la liste des résultats, puis cliquez deux fois dessus. Le thème s'ouvre dans le panneau Créer. 2 Dans le panneau Créer, modifiez le thème à l'aide des outils mis à votre disposition. Pour plus d'informations,

reportez-vous à la rubrique Outils du panneau Créer ci-dessous.

3 Effectuez l'une des opérations suivantes :

• Enregistrez votre thème à l'aide du bouton Enregistrer le thème.

• Ajoutez le thème au panneau Nuancier de votre application à l'aide du bouton Ajouter au nuancier situé au bas du panneau.

• Téléchargez le thème vers le service Kuler à l'aide du bouton de téléchargement situé en bas du panneau.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Choisissez une règle d'harmonie dans le menu déroulant de sélection d'une règle. La règle d’harmonie utilise la couleur de base pour la génération des couleurs du groupe de couleurs. Par exemple, si vous choisissez une couleur de base bleue et la règle d’harmonie complémentaire, un groupe de couleurs est créé avec la couleur de base, le bleu, et sa couleur complémentaire, le rouge.

• Sélectionnez la règle Personnalisée pour créer un thème sur la base de réglages personnalisés.

• Utilisez la roue chromatique pour gérer les couleurs. A mesure que vous effectuez des modifications, les couleurs du groupe de couleurs sont générées en fonction de la règle d'harmonie sélectionnée.

Déplacez le curseur de réglage Luminosité situé en regard de la roue pour ajuster la luminosité des couleurs.

• Définissez l'une des quatre autres couleurs du groupe comme couleur de base. Sélectionnez la nuance de la couleur et cliquez sur le bouton en forme de cible situé en dessous du groupe de couleurs.

• Définissez la couleur de premier plan/d'arrière-plan ou de contour/de fond comme couleur de base. Cliquez sur l'un des deux premiers boutons situés en dessous du groupe de couleurs.

• Pour supprimer une couleur du groupe de couleurs, sélectionnez la nuance de la couleur, puis cliquez sur le bouton

Supprimer la couleur situé en dessous du groupe de couleurs. Pour ajouter une couleur, sélectionnez une case de couleur vide, puis cliquez sur le bouton Ajouter une couleur.

• Pour essayer différents effets de couleur, sélectionnez une nouvelle règle d'harmonie et déplacez les marqueurs de la roue chromatique.

• Cliquez deux fois sur l'une des nuances du groupe de couleurs pour définir la couleur active (premier plan/arrièreplan ou contour/fond) dans votre application. S'il n'est pas possible d'activer ou de sélectionner une couleur dans l'application utilisée, le panneau Kuler définit la couleur de premier plan ou la couleur de fond selon le cas.

A propos des teintes Une teinte est une variante filtrée (plus claire) d’une couleur. La création de teintes constitue une façon économique de créer de nouvelles variantes de tons directs sans avoir à acheter d’autres encres de ton direct. Elle permet également de créer rapidement des variantes plus claires des couleurs quadri, bien que cela ne réduise pas le coût d’impression des couleurs quadri. Comme pour les autres couleurs, il est préférable de nommer et de stocker les teintes dans le panneau Nuancier de manière à pouvoir modifier facilement toutes les occurrences de la teinte dans le document.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

La gamme de teintes dans Adobe Creative Suite 3 est comprise entre 0 et 100 % ; plus la valeur est faible, plus la teinte est claire.

Création et modification de teintes

Vous pouvez modifier la teinte d’un objet spécifique ou créer des teintes à l’aide du curseur Teinte du panneau Nuancier ou du panneau Couleur. La gamme de teintes est comprise entre 0 et 100 % ; plus la valeur est faible, plus la teinte est claire. Etant donné que les couleurs et les teintes sont mises à jour en même temps, lorsque vous modifiez une nuance, tous les objets qui utilisent une teinte de cette nuance sont modifiés en conséquence. Vous pouvez également modifier la nuance de base d’une teinte nommée à l’aide de la commande Options de nuance du menu du panneau Nuancier ; toutes les autres teintes reposant sur la même nuance sont alors mises à jour.

Pour créer une nuance de teinte à l’aide du panneau Nuancier

1 Dans le panneau Nuancier, sélectionnez une couleur. 2 Sélectionnez la flèche en regard de la case Teinte. 3 Déplacez le curseur Teinte, puis cliquez sur le bouton Nouvelle nuance

ou sélectionnez Nouvelle teinte dans le

menu du panneau Nuancier.

La teinte apparaît dans le panneau Nuancier avec le nom de sa couleur de base et le pourcentage de la teinte.

Pour créer une nuance de teinte à l’aide du panneau Couleur

1 Dans le panneau Nuancier, sélectionnez une nuance. 2 Dans le panneau Couleur, déplacez le curseur Teinte ou entrez une valeur de teinte dans la case Pourcentage. 3 Dans le menu du panneau Couleur, choisissez l’option Ajouter au nuancier.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Dans le panneau Nuancier, sélectionnez la case Fond ou Contour. 2 Déplacez le curseur Teinte ou entrez une valeur de teinte dans la case Pourcentage.

Pour modifier une teinte ou une nuance de couleur de base

1 Dans le panneau Nuancier, cliquez deux fois sur la teinte. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes, puis cliquez sur OK :

• Pour modifier la teinte, modifiez la valeur Teinte. Tous les objets utilisant cette teinte sont alors mis à jour.

• Pour modifier la couleur de base de la teinte, changez le mode colorimétrique ou les valeurs du mode colorimétrique. Toutes les autres teintes reposant sur la même couleur sont également mises à jour.

A propos des dégradés Un dégradé résulte d’une fusion progressive entre au moins deux couleurs ou teintes de même valeur chromatique. La séparation des couleurs du dégradé dépend du périphérique de sortie utilisé. Les dégradés peuvent inclure des couleurs quadri, des tons directs, la nuance Papier ou des nuances d’encres mélangées utilisant n’importe quel mode colorimétrique. Les dégradés sont définis par un ensemble de paliers de couleur (appelés étapes de dégradé) sur la gamme des dégradés. Une étape de dégradé, représentée par un taquet de couleur situé audessous de la barre de dégradé, correspond au point auquel un dégradé passe d’une couleur à une autre. Par défaut, les dégradés commencent avec deux couleurs et un point médian à 50 %. Remarque : si vous créez un dégradé à partir de couleurs reposant sur des modes colorimétriques différents, puis que vous imprimez le dégradé ou en séparez les couleurs, toutes les couleurs sont converties en couleurs quadri CMJN. Le changement de mode colorimétrique peut entraîner un glissement des couleurs. Pour obtenir de meilleurs résultats, définissez les dégradés en utilisant des couleurs CMJN.

« A propos de l’impression » à la page 655

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Dans Nom de la nuance, attribuez un nom au dégradé. 3 Dans Type, choisissez Linéaire ou Radial. 4 Sélectionnez la première étape du dégradé.

Première étape du dégradé

5 Dans Couleur, utilisez l’une des méthodes suivantes :

Par défaut, le premier palier de couleur du dégradé correspond au blanc. Pour rendre ce palier transparent, appliquez la nuance Papier. 6 Pour modifier la dernière couleur du dégradé, sélectionnez la dernière étape de dégradé et répétez l’étape 5. 7 Pour régler la position des couleurs de dégradé, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Déplacez les étapes de dégradé situées sous la barre.

• Sélectionnez une étape de dégradé sous la barre et entrez une valeur dans la zone Emplacement pour définir la position de la couleur. La position représente la distance qui sépare une couleur, en pourcentage, de la couleur précédente et de la couleur suivante. 8 Pour régler le point médian entre deux couleurs du dégradé (le point au niveau duquel les couleurs sont chacune à

50 % de leur teinte), utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Déplacez le losange situé au-dessus de la barre.

• Sélectionnez le losange situé au-dessus de la barre et entrez une valeur dans la zone Emplacement pour définir la position de cette couleur. La position représente la distance qui sépare une couleur, en pourcentage, de la couleur précédente et de la couleur suivante.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Bien que le panneau Nuancier soit l’outil recommandé pour créer et stocker des dégradés, vous pouvez également utiliser les dégradés à l’aide du panneau Dégradé (Fenêtre > Couleur > Dégradé), dont le fonctionnement vous est sûrement familier si vous utilisez Adobe Illustrator. Vous pouvez ajouter à tout moment le dégradé actif au panneau Nuancier. Le panneau Dégradé permet, par exemple, de créer un dégradé sans nom qui ne sera pas utilisé très souvent.

2 Cliquez sur la case Fond ou Contour dans le panneau Nuancier ou le panneau Outils (si la case Fond en dégradé

n’est pas visible, choisissez Afficher les options dans le menu du panneau Dégradé).

3 Pour ouvrir le panneau Dégradé, choisissez la commande Fenêtre > Couleur > Dégradé ou cliquez deux fois sur

dans le panneau Outils.

4 Pour définir la couleur de départ d’un dégradé, cliquez sur l’étape de dégradé située le plus à gauche, sous la barre

des dégradés, et utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Faites glisser une nuance à partir du panneau Nuancier et déposez-la dans le palier de couleur.

• Cliquez sur une nuance du panneau Nuancier tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée.

• Dans le panneau Couleur, créez une couleur à l’aide des curseurs ou de la gamme de couleurs.

5 Pour définir la couleur d’arrivée du dégradé, cliquez sur l’étape de dégradé située le plus à droite sous la barre des

dégradés. Choisissez ensuite la couleur appropriée, comme indiqué à l’étape précédente.

6 Sélectionnez Linéaire ou Radial dans le menu Type et réglez la couleur et le point médian comme indiqué dans la

section « Création d’une nuance de dégradé » à la page 525.

7 Pour régler l’angle du dégradé, entrez une valeur dans la zone Angle.

Modification des dégradés

Pour modifier les dégradés, ajoutez des couleurs (pour obtenir des dégradés multicolores) ou redéfinissez leurs points médians et leurs étapes. Il est conseillé d’appliquer le dégradé au fond d’un objet afin d’en prévisualiser l’effet sur l’objet et de le régler.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour ajouter des couleurs intermédiaires à un dégradé 1 Cliquez deux fois sur un dégradé dans le panneau Nuancier ou affichez le panneau Dégradé. 2 Cliquez sous la barre des dégradés pour ajouter une nouvelle étape de dégradé. La nouvelle étape prend

automatiquement les valeurs chromatiques correspondant à cet emplacement dans le dégradé existant.

3 Réglez la nouvelle étape de dégradé.

Vous pouvez également définir un nouveau palier de dégradé en faisant glisser une nuance du panneau Nuancier vers la barre de dégradés, dans le panneau Dégradé.

Pour supprimer l’une des couleurs intermédiaires d’un dégradé

❖ Sélectionnez l’étape de dégradé intermédiaire et faites-la glisser hors du panneau.

Pour inverser la progression d’un dégradé

1 Activez un dégradé. 2 Dans le panneau Dégradé, cliquez sur le bouton Inverser

Réglage d’un dégradé à l’aide des outils Dégradé

Une fois qu’un fond en dégradé est appliqué à un objet, vous pouvez modifier le dégradé à l’aide de l’outil Dégradé ou de l’outil Contour progressif dégradé afin de « repeindre » le fond en déplaçant le pointeur le long d’une trajectoire imaginaire. Les outils Dégradé vous permettent de modifier le sens du dégradé, ses points de départ et d’arrivée et de l’appliquer à plusieurs objets. L’outil Contour progressif dégradé vous permet de lisser le dégradé dans la direction dans laquelle vous faites glisser l’outil. 1 Dans le panneau Nuancier ou Outils, sélectionnez la case Fond ou Contour selon l’emplacement du dégradé

2 Sélectionnez l’outil Dégradé et placez-le à l’endroit où vous souhaitez définir le point de départ du dégradé. Faites

glisser le pointeur sur l’objet en suivant le sens du dégradé recherché. Maintenez la touche Maj enfoncée afin de contraindre l’outil à appliquer un multiple de 45°.

En faisant glisser l’outil Contour progressif dégradé sur le dégradé, vous pouvez adoucir progressivement les couleurs du dégradé dans la zone dans laquelle vous le faites glisser. 3 Relâchez le bouton de la souris à l’endroit choisi pour la couleur d’arrivée.

Application d’un dégradé de couleurs sur plusieurs objets

1 Assurez-vous que tous les objets sélectionnés utilisent déjà un dégradé. 2 Dans le panneau Outils, sélectionnez la case Fond ou Contour. 3 Sélectionnez l’outil Dégradé

et placez-le à l’endroit où vous souhaitez définir le point de départ du dégradé.

Faites glisser le pointeur sur l’objet en suivant le sens du dégradé recherché. Maintenez la touche Maj enfoncée afin de contraindre l’outil à appliquer un multiple de 45°.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Si un tracé transparent avec dégradé est sélectionné, vous pouvez modifier le dégradé sur tous ses sous-tracés à l’aide du seul panneau Dégradé, sans avoir à recourir à l’outil Dégradé.

Application de dégradés au texte

Il est possible de créer plusieurs groupes de texte dégradé coexistant avec du texte noir par défaut et du texte en couleurs dans un même bloc de texte. Les extrémités des dégradés sont toujours ancrées au cadre de sélection du tracé ou du bloc de texte. Chaque caractère affiche la portion du dégradé sur lequel il se trouve. Si vous redimensionnez le bloc de texte ou que vous effectuez d’autres modifications affectant la répartition du texte, les caractères n’occupent plus la même place sur le dégradé et leur couleur change en conséquence.

Pour régler un dégradé afin que toute sa gamme de couleurs s’étende sur un groupe spécifique de caractères, vous pouvez utiliser l’une des méthodes suivantes :

• Utilisez l’outil Dégradé pour redéfinir les extrémités du dégradé et les limiter aux caractères que vous aviez sélectionnés au moment d’appliquer le dégradé.

• Sélectionnez le texte et vectorisez-le (convertissez-le en tracés modifiables), puis appliquez un dégradé aux contours ainsi obtenus. C’est la méthode la plus appropriée s’il s’agit d’une petite portion de texte dans un bloc de texte. Le dégradé est alors ancré définitivement à la portion de texte vectorisé et non au bloc de texte, et la portion de texte vectorisé continue de suivre le reste du texte en cas de modification. Le texte vectorisé se comporte toutefois comme une image texte unique dans le bloc de texte ; vous ne pourrez donc plus le modifier. Les options typographiques, telles que l’option de césure, ne s’appliquent pas non plus au texte vectorisé.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Il est possible de sélectionner plusieurs groupes de texte et de leur appliquer différents dégradés dans un même bloc de texte. Chaque dégradé est ajouté au bloc de texte et associé aux caractères sélectionnés lors de l’application du dégradé. Les extrémités des dégradés restent toutefois ancrées au cadre de sélection du bloc de texte et non à chaque groupe de texte.

Création et modification de nuances d’encres mélangées Lorsque vous disposez d’un nombre d’encres limité pour obtenir le maximum de couleurs imprimées, vous pouvez créer de nouvelles nuances en mélangeant deux tons directs ou un ton direct avec une ou plusieurs couleurs quadri. Vous pouvez ainsi augmenter le nombre de couleurs disponibles sans augmenter le nombre de séparations utilisées pour imprimer le document. Vous pouvez créer une seule nuance d’encres mélangées ou plusieurs à la fois en créant un groupe d’encres mélangées. Un groupe d’encres mélangées contient une série de couleurs créées à partir de pourcentages incrémentés de différentes couleurs quadri et tons directs. Par exemple, le mélange de quatre teintes de cyan quadri (20 %, 40 %, 60 % et 80 %) avec cinq teintes d’un ton direct (10 %, 20 %, 30 %, 40 % et 50 %) produit un groupe d’encres mélangées contenant 20 nuances distinctes.

A B C Panneau Nuancier contenant des nuances d’encres mélangées

2 Attribuez un nom à la nuance. 3 Pour inclure une encre dans la nuance, cliquez sur la case vide en regard de son nom. Une icône d’encre

apparaît. Une nuance d’encres mélangées doit contenir au moins un ton direct.

4 Ajustez le pourcentage de chaque encre à inclure dans la nuance en déplaçant le curseur ou en entrant une valeur

dans la case Pourcentage.

5 Pour ajouter la nuance au panneau Nuancier, cliquez sur Ajouter ou sur OK.

Les couleurs affichées à l’écran et les couleurs imprimées présentent souvent des différences. Pour obtenir les meilleurs résultats possibles, il est conseillé de demander à votre imprimeur d’imprimer un échantillon des encres mélangées que vous souhaitez utiliser.

Création d’un groupe d’encres mélangées

1 Dans le menu du panneau Nuancier, cliquez sur l’option Nouveau groupe d’encres mélangées (cette option est

grisée jusqu’à ce que vous ajoutiez un ton direct au panneau Nuancier).

2 Attribuez un nom au groupe. Les couleurs du groupe adopteront ce nom, suivi du suffixe Nuance incrémenté pour

chaque nouveau groupe (Nuance 1, Nuance 2, etc.).

3 Pour inclure une encre dans le groupe, cliquez sur la case vide en regard de son nom. 4 Pour chaque encre sélectionnée, procédez comme suit :

• Dans la zone Initial, indiquez le pourcentage d’encre initial à mélanger pour créer le groupe.

• Dans la zone Répétition, indiquez le nombre d’incrémentations du pourcentage souhaitées. • Dans la zone Incrément, indiquez le pourcentage d’encre à ajouter pour chaque répétition. 5 Cliquez sur Prévisualiser le nuancier afin de générer les nuances sans fermer la boîte de dialogue ; vous pouvez ainsi

vérifier si les sélections et valeurs d’encre choisies produisent les résultats voulus, et, dans le cas contraire, les modifier.

Remarque : si le total des valeurs saisies dans les zones Initial, Répétition et Incrément dépasse 100 % d’une encre donnée, un avertissement s’affiche. Si vous décidez de poursuivre malgré tout, InDesign plafonne les pourcentages à 100 %. 6 Cliquez sur OK pour ajouter toutes les encres du groupe au panneau Nuancier.

Modification de nuances d’encres mélangées

La modification d’une nuance d’encres mélangées est identique à la modification des autres nuances. Lorsque vous modifiez une nuance ou un groupe d’encres mélangées, tenez compte des points suivants :

• Si vous utilisez le panneau Nuancier pour supprimer une encre utilisée dans une nuance d’encres mélangées,

InDesign vous invite à choisir une encre de remplacement. Une nuance d’encres mélangées doit contenir au moins un ton direct, faute de quoi elle sera convertie en couleur quadri.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Si vous convertissez une encre mélangée en couleur quadri, elle est retirée du groupe d’encres mélangées auquel elle est associée.

• La suppression de la nuance parent d’un groupe d’encres mélangées supprime toutes les nuances du groupe.

1 Dans le panneau Nuancier, cliquez deux fois sur la nuance parent

du groupe à modifier.

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Sélectionnez une nouvelle encre pour remplacer un composant d’encre existant.

• Cliquez sur la case figurant en regard d’une encre pour exclure ou inclure celle-ci dans le groupe d’encres mélangées. Remarque : vous ne pouvez pas modifier les pourcentages, répétitions ou incréments définis lors de la création du groupe. 3 Cliquez sur OK.

Gestion des groupes d’encres mélangées

Utilisez le panneau Nuancier pour supprimer les groupes d’encres mélangées, ajouter des nuances et convertir des nuances d’encres mélangées en couleurs quadri.

Pour supprimer des groupes d’encres mélangées

❖ Dans le panneau Nuancier, sélectionnez la nuance parent du groupe d’encres mélangées à supprimer, puis cliquez

sur le bouton Supprimer.

Pour ajouter une nuance à un groupe d’encres mélangées

1 Dans le panneau Nuancier, sélectionnez la nuance parent du groupe d’encres mélangées. 2 Dans le menu du panneau, choisissez Nouvelle couleur. 3 Attribuez un nom à la nuance, si vous le souhaitez. 4 Pour chaque encre répertoriée, spécifiez le pourcentage à ajouter à la nuance d’encres mélangées (vous ne pouvez

ni ajouter, ni supprimer des encres).

Pour convertir une nuance unique d’encres mélangées en couleur quadri

Il est possible de réduire les coûts d’impression en convertissant des nuances d’encres mélangées en couleurs quadri. Lorsque vous convertissez la nuance parent d’un groupe d’encres mélangées en couleur quadri, elle disparaît et les autres nuances du groupe sont converties en couleurs quadri. 1 Cliquez deux fois sur la nuance d’encres mélangées à convertir. 2 Dans la zone Type, sélectionnez Quadrichromie et cliquez sur OK.

Pour convertir toutes les encres d’un groupe d’encres mélangées en couleurs quadri

❖ Cliquez deux fois sur la nuance parent

du groupe d’encres mélangées et sélectionnez Convertir les nuances d’encres mélangées en quadrichromie dans la boîte de dialogue qui s’affiche.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Utilisation de l’outil Pipette pour échantillonner les couleurs Vous pouvez utiliser l’outil Pipette pour ajouter à votre document des couleurs provenant d’images importées ou pour les appliquer aux objets qu’il contient. Cela permet de coordonner la disposition des couleurs avec les images. Pour obtenir de meilleurs résultats avec les séparations de couleurs, vérifiez que le nom, le type (ton direct ou quadri) et le modèle (tel que RVB ou CMJN) des couleurs échantillonnées dans InDesign correspondent à la définition des couleurs des graphiques importés. En cas de doute sur les meilleurs paramètres à utiliser, consultez votre prestataire de services prépresse.

« Application de couleurs à l’aide de l’outil Pipette » à la page 511

Utilisation des couches de tons directs dans un fichier Adobe Photoshop (PSD)

Si vous importez un fichier Photoshop (PSD) ou TIFF dans un document InDesign, les couches de tons directs présentes dans le fichier apparaissent dans le panneau Nuancier du document sous forme de tons directs. Vous pouvez sélectionner et appliquer ces nuances à des objets du document, mais pour les supprimer, vous devez d’abord supprimer l’image importée. Si vous importez un fichier qui contient une couche de tons directs portant le même nom qu’un ton direct déjà présent dans le document, mais dont les valeurs chromatiques diffèrent, un message s’affiche pour vous demander si vous voulez utiliser les valeurs chromatiques du fichier importé ou celles du document.

Utilisation des couleurs avec les fichiers EPS ou PDF Si vous importez un fichier PDF, une image EPS ou un fichier Adobe Illustrator (.AI), les noms des tons directs utilisés dans l’élément graphique sont ajoutés au panneau Nuancier du document ; vous pouvez utiliser ces tons dans le document mais sachez qu’ils peuvent entraîner des frais d’impression supplémentaires.

Si l’élément graphique que vous importez contient un ton direct portant le même nom qu’un ton direct déjà présent dans le document, mais dont les valeurs chromatiques diffèrent, ce sont les valeurs chromatiques du document qui sont utilisées.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Dans le panneau Nuancier, cliquez deux fois sur la nuance à convertir. 2 Dans la boîte de dialogue Options de nuance, choisissez Quadri dans le menu Type.

Remarque : afin de modifier le type de la couleur uniquement dans le document InDesign. Pour une modification définitive, ouvrez le graphique et modifiez ses couleurs dans le programme ayant servi à sa création.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

A propos du recouvrement de l’encre Lorsqu’un document destiné à l’impression offset utilise plusieurs encres sur une même page, chaque encre doit être imprimée par impression superposée (alignement parfait) de toutes les encres aboutées afin qu’il n’existe aucun blanc à la jointure entre les différentes encres. Toutefois, il est impossible de garantir une impression superposée parfaite pour chaque objet de chaque page imprimée. Des problèmes de repérage des encres risquent donc de se produire. Ces problèmes créent des blancs indésirables entre les encres. Pour masquer ces blancs, vous pouvez agrandir légèrement l’un des objets afin qu’il chevauche un autre objet de couleur différente : cette procédure est appelée recouvrement. Par défaut, lorsqu’une encre est placée sur une autre, l’encre sous-jacente est défoncée ou supprimée afin d’éviter les mélanges imprévus de couleurs. Cependant, la procédure de recouvrement requiert une impression superposée, ou l’impression d’une encre sur une autre, afin d’obtenir un chevauchement ou un chevauchement partiel.

Problèmes de repérage des encres sans recouvrement (à gauche) et avec recouvrement (à droite)

La plupart des recouvrements utilisent la technique de l’étalement : un objet clair est étalé sur un objet foncé. Comme la couleur foncée définit la limite visible d’un objet ou d’un texte, l’étalement de la couleur claire sur la couleur foncée fait apparaître cette limite.

Méthodes de recouvrement

Pour appliquer un recouvrement à un document, plusieurs méthodes existent, que vous pouvez combiner :

• Utilisation de couleurs quadri ne nécessitant pas de recouvrement

• Surimpression du noir • Surimpression manuelle des contours ou des fonds • Utilisation du recouvrement intégré d’Adobe InDesign CS4 ou du recouvrement Adobe In-RIP • Recouvrement des images importées, à l’aide des fonctions de recouvrement des logiciels d’illustration dans lesquels elles ont été créées Reportez-vous à la documentation fournie avec ces logiciels. Choisissez une solution de recouvrement adaptée au flux de production de sortie en couleurs que vous utilisez, par exemple Adobe PostScript ou PDF.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Les deux moteurs de recouvrement calculent les réglages jusqu’aux bords du texte et des graphiques. Ils appliquent des techniques de recouvrement sur différentes parties d’un seul objet, même si du texte ou des objets InDesign chevauchent plusieurs couleurs d’arrière-plan. Les réglages de recouvrement s’effectuent automatiquement et vous pouvez définir des recouvrements prédéfinis répondant aux exigences d’un groupe de pages spécifiques. Les effets du recouvrement sont uniquement visibles sur les séparations de couleur générées par un moteur de recouvrement ; ils ne sont pas visibles à l’écran dans InDesign. Le moteur de recouvrement détecte les bords de couleurs différentes. Il crée ensuite des recouvrements d’après les densités neutres (aspect clair ou foncé) des couleurs contiguës, en étalant les couleurs les plus claires sur les couleurs plus foncées adjacentes. Les paramètres de recouvrement spécifiés dans le panneau Recouvrements prédéfinis modifient les résultats obtenus par l’utilisation du moteur de recouvrement.

Conditions requises pour le recouvrement automatique

Pour effectuer des recouvrements dans des documents à l’aide du moteur intégré InDesign, il vous faut un fichier PPD qui prenne en charge les séparations. Pour effectuer des recouvrements dans des documents à l’aide du moteur Adobe In-RIP, vous devez disposer des logiciels et du matériel suivants :

• Un périphérique d’impression Adobe PostScript Niveau 2 ou ultérieur dont le processeur RIP prend en charge le recouvrement Adobe In-RIP. Pour vérifier que votre périphérique de sortie PostScript répond à ces critères, contactez le fabricant ou votre prestataire de services prépresse.

• Un fichier de description d’imprimante PostScript (PPD - PostScript Printer Description) pour une imprimante prenant en charge le recouvrement Adobe In-RIP. Vous devez sélectionner le PPD lorsque vous installez l’imprimante.

Images vectorielles au format EPS Le moteur de recouvrement intégré ne permet pas de recouvrir les images vectorielles EPS importées ; le recouvrement Adobe In-RIP permet de recouvrir toutes les images importées.

Recouvrement des images bitmap importées

Le recouvrement intégré permet de recouvrir du texte et des images par des images bitmap telles que des photographies. Les images bitmap doivent être enregistrées à l’aide d’un format de fichier pixels prenant en charge les exigences de couleurs de l’impression professionnelle. Les formats PSD (Photoshop) et TIFF sont les plus appropriés pour les travaux d’impression professionnels ; avant d’utiliser d’autres formats, consultez votre service de prépresse. Si vous utilisez un serveur OPI (Open Prepress Interface), vérifiez qu’il crée des images FPO (For-Position-Only) à l’aide des formats TIFF ou PSD. Si les images sont au format TIFF ou PSD, il est éventuellement possible d’utiliser le recouvrement intégré si vous ne sélectionnez aucune option Ignorer pour OPI pour la sortie. (Les options Ignorer pour OPI se trouvent dans le panneau Avancés de la boîte de dialogue Imprimer lorsqu’une imprimante PostScript est ciblée.) Remarque : le comportement et la précision du recouvrement dans le cadre d’un flux de travail OPI dépendent de plusieurs facteurs, tels que la méthode de sous-échantillonnage utilisée par le serveur OPI pour générer des images FPO. Pour des résultats optimaux, consultez votre revendeur OPI afin d’obtenir des informations sur l’intégration de solutions de recouvrement Adobe dans le serveur OPI du revendeur.

Recouvrement des images vectorielles

Le recouvrement Adobe In-RIP et le recouvrement intégré peuvent tous deux recouvrir du texte et des images créés à l’aide des outils InDesign, ainsi que des fichiers vectoriels PDF importés. Cependant, le recouvrement intégré ne permet pas de recouvrir les images vectorielles EPS importées. Le texte, les tracés et les blocs créés dans InDesign ne sont pas recouverts correctement s’ils chevauchent un bloc contenant une image importée ne pouvant pas bénéficier du recouvrement intégré, comme les images vectorielle EPS. Ces objets sont toutefois correctement recouverts lorsque vous utilisez le recouvrement Adobe In-RIP. Il se peut que vous puissiez utiliser le recouvrement intégré sur des documents contenant une image vectorielle EPS si vous réglez le bloc de l’image. Si l’image EPS importée n’est pas rectangulaire, modifiez la forme du bloc pour qu’elle se rapproche le plus possible de l’élément graphique et qu’elle s’éloigne des autres objets. Par exemple, utilisez la commande Objet > Masque pour ajuster le bloc à la taille de l’élément graphique.

Le texte et les images InDesign chevauchant les images EPS importées (à gauche) ne sont pas recouverts correctement ; pour obtenir un bon recouvrement, ajustez le bloc pour qu’il ne touche pas les autres objets (à droite).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Le recouvrement Adobe In-RIP permet de recouvrir tous les types de polices. En revanche, le recouvrement intégré fonctionne mieux avec les polices Type 1, Open Type et Multiple Master ; l’utilisation des polices TrueType risque d’entraîner des recouvrements irréguliers. Si vous devez utiliser des polices TrueType avec le recouvrement intégré, vectorisez l’ensemble des caractères TrueType. Pour cela, sélectionnez le texte, puis choisissez Texte > Vectoriser. Le texte se transforme en objets InDesign pouvant être recouverts de façon fiable. Vous ne pouvez plus modifier le texte après vectorisation.

Optimisation des performances de recouvrement

Que vous utilisiez le recouvrement Adobe In-RIP ou le recouvrement intégré, vous gagnerez du temps en excluant les pages ne nécessitant pas de recouvrement, telles que celles contenant uniquement du texte en noir. Vous pouvez utiliser des recouvrements prédéfinis afin d’activer le recouvrement uniquement pour les intervalles de pages qui en ont besoin. La vitesse du recouvrement intégré dépend de celle de votre ordinateur. Si vous procédez au recouvrement de chaque page d’un long document, utilisez le plus rapide des ordinateurs disponibles. Le disque dur de votre ordinateur étant sollicité de façon intensive, le moteur de recouvrement intégré est plus performant avec un disque dur et un bus de données rapides. Pour optimiser le temps pendant lequel vos ordinateurs sont disponibles pour d’autres tâches, pensez à utiliser le recouvrement Adobe In-RIP qui traite tous les recouvrements au niveau du module de pixellisation (RIP, Raster Image Processor), et non au niveau de votre ordinateur.

Allocation d’espace disque pour le recouvrement intégré

Afin d’effectuer le recouvrement des contours de chaque couleur pour laquelle cette opération est nécessaire, le logiciel de recouvrement crée de nombreux chemins utilisés uniquement par le périphérique de sortie (les chemins ne sont pas stockés dans votre document). Par opposition à la méthode In-RIP qui traite et stocke ces tracés supplémentaires au niveau du RIP, le recouvrement intégré les stocke temporairement sur le disque dur de l’ordinateur. Avant d’utiliser le recouvrement intégré, libérez autant d’espace que possible sur votre disque dur. La quantité d’espace disque nécessaire dépend de nombreux facteurs et il est impossible de prévoir avec exactitude les besoins d’une tâche de recouvrement spécifique. Toutefois, plus les caractéristiques suivantes de votre document seront importantes, plus les besoins en espace disque seront susceptibles d’augmenter :

• nombre de pages inclus dans le recouvrement des intervalles de pages ;

• nombre d’objets en couleurs se chevauchant ; • nombre d’images nécessitant un recouvrement ; • texte nécessitant un recouvrement ; • résolution de la sortie finale. Si le traitement d’un travail d’impression utilisant le recouvrement intégré est interrompu ou manque d’espace disque, les données de recouvrement risquent de rester stockées sur votre disque dur. Si nécessaire, vous pouvez quitter l’application, puis rechercher et supprimer les données temporaires du dossier C:\Temp (Windows). Sous Mac OS, redémarrez votre ordinateur.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Si vous effectuez un recouvrement sur plusieurs documents d’un livre, assurez-vous d’avoir attribué, si nécessaire, des recouvrements prédéfinis aux groupes de pages dans les différents documents du livre. Vous ne pouvez pas appliquer des paramètres de recouvrement à tous les documents d’un livre à la fois. Vous pouvez cependant résoudre les recouvrements prédéfinis conflictuels d’un document.

1 Créez si nécessaire un recouvrement prédéfini pour définir des paramètres spécifiques au document et aux

conditions de presse.

2 Attribuez le recouvrement prédéfini à un groupe de pages. 3 Choisissez Fichier > Imprimer pour ouvrir la boîte de dialogue Impression. 4 Sélectionnez Sortie dans la liste située à gauche. 5 Dans Couleur, choisissez Séparations ou Séparations In-RIP, selon que vous créez des séparations sur un

ordinateur hôte ou des séparations In-RIP.

6 Dans Recouvrement, sélectionnez l’une des options suivantes :

• Intégré à l’application, pour utiliser le moteur de recouvrement inclus dans InDesign.

• Adobe In-RIP. Cette option fonctionne uniquement si le périphérique de sortie prend en charge le recouvrement In-RIP. 7 Si votre prestataire de services prépresse recommande de changer les paramètres d’encre, cliquez sur l’option

Gestionnaire d’encres. Sélectionnez une encre, définissez les options spécifiées par votre prestataire de services prépresse, puis cliquez sur OK :

8 Spécifiez les autres options d’impression, puis cliquez sur Imprimer pour lancer l’impression du document.

« Création ou modification d’un recouvrement prédéfini » à la page 539 « A propos de l’impression » à la page 655 « Attribution d’un recouvrement prédéfini aux pages » à la page 540

Recouvrements prédéfinis

Présentation du panneau Recouvrements prédéfinis Un recouvrement prédéfini est un ensemble de paramètres de recouvrement que vous pouvez appliquer à une page ou à un groupe de pages dans un document. Le panneau Recouvrements prédéfinis fournit une interface permettant de définir des paramètres de recouvrement et d’enregistrer des paramètres de recouvrement prédéfinis. Vous pouvez appliquer des recouvrements prédéfinis à n’importe quelle page d’un document (ou à toutes les pages) ou importer les recouvrements prédéfinis à partir d’un autre document InDesign. Si vous n’appliquez pas un recouvrement prédéfini à un groupe de pages de recouvrement, celui-ci utilisera le recouvrement prédéfini par défaut.

« A propos des styles et des paramètres prédéfinis InDesign » à la page 40

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour réduire la liste des recouvrements prédéfinis ❖ Dans le menu du panneau Recouvrements prédéfinis, choisissez Petites rangées de panneau.

Pour identifier des recouvrements prédéfinis inutilisés

❖ Dans le menu du panneau Recouvrements prédéfinis, choisissez Sélectionner tous les styles inutilisés. Le moteur de

recouvrement met en surbrillance tous les recouvrements prédéfinis (sauf [Par défaut] et [Aucun recouvrement prédéfini]) qui n’ont pas été appliqués au document en cours. Vous pouvez facilement les supprimer.

Création ou modification d’un recouvrement prédéfini

1 Si le panneau Recouvrements prédéfinis n’est pas affiché, sélectionnez Fenêtre > Sortie > Recouvrements

3 Spécifiez les options suivantes, puis cliquez sur OK :

Nom Attribuez un nom au recouvrement prédéfini. Vous ne pouvez pas renommer le recouvrement prédéfini [Par

Largeur de recouvrement Entrez des valeurs pour spécifier la largeur de chevauchement des encres. Aspect de recouvrement Spécifiez les options qui déterminent la forme des recouvrements. Image Spécifiez les paramètres déterminant le recouvrement des images bitmap importées. Seuils de recouvrement Entrez des valeurs pour définir les conditions d’application du recouvrement. De nombreuses

variables affectent ces valeurs. Pour plus de détails, renseignez-vous auprès de votre prestataire de services prépresse.

« Options de recouvrements prédéfinis » à la page 541 « Recouvrement des images bitmap importées » à la page 536

Gestion des recouvrements prédéfinis

Vous pouvez dupliquer, supprimer, importer et personnaliser des recouvrements prédéfinis.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Si un message vous invite à remplacer un recouvrement prédéfini, choisissez-en un dans la boîte de dialogue

Supprimer le recouvrement prédéfini. Cette boîte de dialogue s’affiche si au moins l’un des recouvrements prédéfinis sélectionnés a été attribué à une page.

3 Cliquez sur le bouton Oui pour confirmer la suppression.

Remarque : vous ne pouvez pas supprimer les recouvrements prédéfinis intégrés [Par défaut] et [Aucun recouvrement prédéfini].

Importation de recouvrements prédéfinis d’un autre document InDesign

1 Dans le menu du panneau Recouvrements prédéfinis, choisissez Charger des recouvrements prédéfinis. 2 Sélectionnez le fichier InDesign et cliquez sur Ouvrir.

Attribution d’un recouvrement prédéfini aux pages

Vous pouvez attribuer un recouvrement prédéfini à un document ou à un groupe de pages dans un document. Si vous désactivez le recouvrement pour les pages ne contenant pas de couleurs contiguës, celles-ci s’impriment plus rapidement. Le recouvrement ne se produit réellement qu’au moment de l’impression du document.

Les attributions de recouvrement prédéfini répertorient les recouvrements prédéfinis appliqués sur plusieurs pages ; elles sont mises à jour chaque fois que vous cliquez sur Attribuer.

1 Dans le menu du panneau Recouvrements prédéfinis, choisissez Attribuer un recouvrement prédéfini.

2 Dans la zone Recouvrement prédéfini, choisissez le recouvrement prédéfini à appliquer. 3 Sélectionnez les pages auxquelles appliquer le recouvrement prédéfini. 4 Cliquez sur Attribuer, puis sur Terminer.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Définition de groupes de pages de recouvrement 1 Dans le menu du panneau Recouvrements prédéfinis, choisissez Attribuer un recouvrement prédéfini. 2 Dans la zone Recouvrement prédéfini, choisissez le recouvrement prédéfini à appliquer aux groupes de pages. 3 Sélectionnez Etendue, puis entrez un ou plusieurs groupes de pages par ordre croissant, en insérant un tiret entre

la première et la dernière page d’un groupe et en séparant les groupes de pages par des virgules ou des virgules et des espaces. Par exemple, 2-4, 6, 9-10, 12 sont des étendues valides.

4 Cliquez sur Attribuer, puis sur Terminer.

Pour désactiver un groupe de pages de recouvrement, choisissez l’option Attribuer un recouvrement prédéfini dans le menu du panneau, indiquez un groupe de pages, puis choisissez l’option [Aucun recouvrement prédéfini] dans le menu Recouvrement prédéfini. Cliquez sur Attribuer, puis sur Terminer.

Options de recouvrements prédéfinis

Vous pouvez modifier les options de recouvrements prédéfinis chaque fois que vous créez ou modifiez un recouvrement prédéfini. Les mêmes options de recouvrements prédéfinis sont disponibles dans Acrobat et InDesign. Dans Acrobat, vous pouvez afficher les recouvrements prédéfinis en sélectionnant Outils > Impression > Recouvrements prédéfinis. Dans InDesign, sélectionnez Fenêtre > Sortie > Recouvrements prédéfinis.

Largeurs de recouvrement

La largeur de recouvrement correspond à la largeur du chevauchement de chaque recouvrement. En raison des différences de caractéristiques de papier, de linéature et de conditions d’impression, les largeurs de recouvrement varient. Pour déterminer les largeurs de recouvrement convenant à chaque travail d’impression, consultez votre imprimeur. Par défaut Indique la largeur de recouvrement en points pour le recouvrement de toutes les couleurs, excepté celles contenant du noir. La valeur par défaut est 0,25 pt. Noir Indique la distance d’étalement de l’encre sur le noir ou le niveau de retenue (distance entre les bords noirs et les

encres sous-jacentes pour le recouvrement de noirs intenses). La valeur par défaut est 0,5 pt. Cette valeur est souvent

1,5 à 2 fois supérieure à la largeur de recouvrement par défaut. Dans InDesign, la valeur définie pour l’option Couleur noire détermine la valeur pour un noir ou un noir intense, noir quadrichromique (N) mélangé avec des encres de couleur pour augmenter l’opacité et l’intensité de la couleur. Remarque : (InDesign) si vous sélectionnez le recouvrement intégré de l’application et que vous spécifiez une largeur de recouvrement Par défaut ou une largeur de recouvrement Noir supérieure à 4 points, la largeur de recouvrement obtenue se limite à 4 points. Toutefois, la valeur spécifiée reste affichée, car, si vous passez au recouvrement Adobe In-RIP, les recouvrements supérieurs à 4 points s’appliquent comme indiqué.

Aspect de recouvrement

Un sommet représente la jonction de deux bords de recouvrement en une extrémité commune. Vous pouvez contrôler la forme d’un sommet extérieur formé par deux segments de recouvrement et de l’intersection entre trois recouvrements. Style de sommet Définit la forme du sommet extérieur constitué par deux segments de recouvrement. Choisissez un

sommet en pointe, en arrondi ou en biseau. La valeur par défaut est Pointe. Elle correspond aux résultats de

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Exemples de sommets de recouvrement, de gauche à droite : en pointe, en arrondi, en biseau

Style d’extrémité Définit l’intersection de trois recouvrements. La valeur par défaut Pointe rend l’extrémité du

recouvrement pointue de sorte qu’elle ne se trouve pas à l’intersection. La valeur Chevauchement affecte la forme du recouvrement généré par l’objet dont la densité neutre est la plus faible et qui coupe au moins deux objets plus foncés.

L’extrémité du recouvrement le plus clair est chevauchée au point d’intersection des trois objets.

Exemples d’extrémités de recouvrement : en pointe (à gauche) et chevauchement (à droite)

Seuils de recouvrement

Etape Spécifie le seuil de changement de couleur à partir duquel le logiciel crée un recouvrement. Pour certains travaux d’impression, seuls les changements de couleur les plus extrêmes doivent être recouverts. Dans d’autres cas, ce sont les changements de couleur subtils qui requièrent un recouvrement. La valeur Tolérance indique le niveau de variation des composants (tels que les valeurs CMJN) des couleurs aboutées avant l’exécution d’un recouvrement.

Pour modifier le degré de variation que peuvent subir les encres composant les couleurs contiguës avant qu’un recouvrement de ces couleurs n’intervienne, ajustez la valeur de l’option Tolérance dans les boîtes de dialogue

Nouveau recouvrement prédéfini ou Modifier les options de recouvrement prédéfini. La valeur par défaut de cet attribut est 10 %. Pour des résultats optimaux, choisissez une valeur entre 8 % et 20 %. Les pourcentages inférieurs augmentent la sensibilité aux différences de couleur et donc le nombre de recouvrements. Couleur noire Spécifie la quantité minimale d’encre noire requise avant que la valeur de l’option de largeur de recouvrement Noir ne soit appliquée. La valeur par défaut est 100%. Pour des résultats optimaux, choisissez une valeur supérieure ou égale à 70 %. Densité du noir Indique la valeur de densité neutre à partir de laquelle InDesign considère que l’encre est noire. Par exemple, si vous souhaitez que la valeur de la largeur de recouvrement Noir soit appliquée à une encre de ton direct foncé, entrez une valeur de densité neutre ici. Cette valeur est en général définie sur un chiffre proche de la valeur par défaut (1,6). Variation Détermine lorsque le moteur de recouvrement commence à chevaucher la ligne médiane de la zone de

couleurs. La valeur fait référence à la proportion de la valeur de densité neutre de la couleur la plus claire par rapport

Dernière mise à jour le 18/5/2011

pour la réduction de la couleur de recouvrement. Cette option permet d’éviter que certaines couleurs aboutées (les pastels, par exemple) ne créent un recouvrement disgracieux plus foncé que chacune de ces couleurs. Si vous choisissez une réduction de couleur inférieure à 100 %, la couleur du recouvrement s’éclaircit. Si vous saisissez une réduction de couleur de 0 %, la densité neutre du recouvrement créé est égale à celle de la couleur foncée.

Recouvrement d’une image importée

Vous pouvez créer un recouvrement prédéfini pour gérer les recouvrements d’images, ainsi que les recouvrements entre images bitmap (photographies et images enregistrées dans des fichiers PDF pixellisés, par exemple) et objets vectoriels (objets de programme d’illustration et fichiers PDF vectoriels, par exemple). Chaque logiciel de recouvrement traite différemment les images importées. Il est important de connaître ces différences lors de la configuration des options de recouvrement. Application Propose des options indiquant l’emplacement du recouvrement lorsque des images bitmap sont recouvertes par des objets vectoriels (notamment les objets dessinés dans InDesign). Toutes les options, excepté Densité neutre, créent un bord cohérent. L’option Bande centrale crée un recouvrement à cheval sur la limite entre les objets et les images. Quand l’option Maigri est activée, les objets chevauchent l’image aboutée. L’option Densité neutre applique les règles de recouvrement utilisées pour le reste du document. Lorsque cette option est sélectionnée et qu’un objet recouvre une photographie, les bords risquent d’être visiblement irréguliers, car le recouvrement passe d’un bord à un autre. Quand l’option Grossi est sélectionnée, l’image bitmap chevauche l’objet abouté. Recouvrement d’objets sur images Associée à une option de la liste Application, permet le recouvrement des images par des objets vectoriels (tels que les cadres utilisés comme lignes clés). Si les objets vectoriels ne chevauchent pas les images lors du recouvrement d’un intervalle de pages, désactivez cette option pour accélérer la procédure de recouvrement. Recouvrement d’images sur images Active le recouvrement le long de la limite entre les images bitmap aboutées ou se

chevauchant. Cette fonction est activée par défaut.

Intérieur des images Active le recouvrement au sein des couleurs de chaque image bitmap (et non uniquement à la jonction entre les illustrations vectorielles et le texte). Utilisez cette option uniquement pour des intervalles de pages contenant des images simples à contraste élevé, telles que des captures d’écran ou des dessins. Désactivez-la pour les images complexes en tons continus, car elle créerait des recouvrements de mauvaise qualité. La procédure de recouvrement est plus rapide lorsque cette option n’est pas sélectionnée. Images de 1 bit Permet le recouvrement d’objets aboutés par des images de 1 bit. Cette option n’utilise pas les paramètres d’application car les images de 1 bit ne contiennent qu’une seule couleur. En règle générale, sélectionnez cette option. Dans certains cas, notamment lorsque les pixels d’images de 1 bit sont très espacés, cette option risque d’obscurcir l’image et de ralentir la procédure de recouvrement.

Définition de recouvrements ajustables

1 Choisissez Nouveau recouvrement prédéfini dans le menu du panneau pour créer un recouvrement prédéfini ou

cliquez deux fois sur un recouvrement prédéfini pour le modifier.

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A propos du recouvrement du noir Lorsque vous créez ou modifiez des recouvrements prédéfinis, la valeur saisie pour l’option Couleur noire détermine ce qui est considéré comme noir et noir intense. La couleur noir intense correspond à n’importe quelle couleur noire utilisant un tramage (ajout d’une ou plusieurs encres quadrichromiques pour intensifier la couleur noire). L’option Couleur noire permet de compenser un engraissement extrême (quand vous utilisez un papier de faible qualité, par exemple). Dans ce cas, les zones dont le pourcentage de noir est inférieur à 100 % s’impriment sous forme de zones unies. Pour compenser l’engraissement et garantir que le logiciel de recouvrement utilise la largeur et l’application de recouvrement correctes pour les objets noirs, tramez le noir et le noir intense (à l’aide de teintes de noir uni) et diminuez la valeur de l’option Couleur noire (définie par défaut sur 100 %). Lorsqu’une couleur atteint la valeur de l’option Couleur noire, la valeur de la largeur de recouvrement Noir est appliquée à toutes les couleurs aboutées et des recouvrements réservés sont créés pour les zones de noir intense à l’aide de l’option de largeur de recouvrement Noir. Si le tramage s’étend jusqu’au bord d’une zone noire, tout problème de repérage des encres rend les bords du tramage visibles et crée un flou imprévu ou une distorsion des bords des objets. Le logiciel de recouvrement utilise un recouvrement réservé (retenu), pour le noir intense afin que le tramage reste éloigné des bords d’éléments inversés ou clairs du premier plan. Les éléments clairs conservent ainsi leur netteté. Vous pouvez contrôler la distance entre le tramage et les bords des zones noires en spécifiant une valeur dans le champ de largeur de recouvrement Noir. Remarque : si l’élément que vous recouvrez est un élément fin, comme un contour noir autour de graphiques, le moteur de recouvrement remplace le paramètre de largeur de recouvrement Noir et limite le recouvrement à la moitié de la largeur de l’élément fin.

Définition de la largeur de recouvrement de couleurs adjacentes au noir

1 Choisissez Nouveau recouvrement prédéfini dans le menu du panneau pour créer un recouvrement prédéfini ou

cliquez deux fois sur un recouvrement prédéfini pour le modifier.

2 Dans le champ Noir de la zone Largeur de recouvrement, entrez la distance (en points) suivant laquelle les autres

couleurs doivent s’étaler sur le noir ou la distance de refoulement des masques de support sous le noir. Cette valeur est souvent réglée pour être entre une fois et demie à deux fois plus grande que la valeur de la largeur de recouvrement par défaut.

3 Définissez les valeurs pour les paramètres Couleur noire et Densité du noir.

Remarque : pour utiliser les fonctions de recouvrement du noir, une zone de couleur doit utiliser une encre de densité neutre supérieure ou égale au paramètre Densité du noir et l’encre doit se trouver en pourcentages égaux ou supérieurs au paramètre Couleur noire.

« Présentation du panneau Recouvrements prédéfinis » à la page 538 « Options de recouvrements prédéfinis » à la page 541

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Recouvrement prédéfini dans la boîte de dialogue Options de synchronisation.

• La fonction de synchronisation permet de rendre tous les paramètres prédéfinis du document type disponibles pour les autres documents du livre, sans les attribuer. L’attribution se fait document par document. Vous pouvez

également utiliser le recouvrement prédéfini [Par défaut]. Les paramètres apparaissent dans le menu Recouvrement prédéfini de la boîte de dialogue Attribuer des recouvrements prédéfinis. Remarque : si plusieurs recouvrements prédéfinis sont appliqués aux pages de planches, InDesign les applique individuellement.

« Synchronisation des documents d’un livre » à la page 342

Réglage des options d’encre pour le recouvrement

Réglage des valeurs de densité neutre des encres Vous pouvez régler les valeurs de densité neutre des encres utilisées par le logiciel de recouvrement pour déterminer l’application exacte des recouvrements. Les valeurs de densité neutre par défaut des encres quadrichromiques se basent sur les lectures de densité neutre des échantillons des encres quadrichromiques conformes aux normes reconnues dans différents pays. La langue détermine cette norme. Par exemple, les valeurs de densité neutre des versions anglaise (Etats-Unis) et canadienne sont conformes aux valeurs de la norme SWOP (Specifications for Web Offset Publications) publiée par la fondation Graphic Arts Technical Foundation of North America. Vous pouvez adapter les densités neutres des encres quadrichromiques afin qu’elles correspondent aux normes reconnues dans d’autres pays. Le logiciel de recouvrement déduit les valeurs de densité neutre d’un ton direct de son équivalent CMJN. Pour la plupart des tons directs, les valeurs de densité neutre des équivalents CMJN sont suffisamment précises pour créer des recouvrements corrects. Vous devrez peut-être adapter les valeurs de densité neutre des tons directs qui ne sont pas aisément simulés à l’aide d’encres quadrichromiques, comme les encres métalliques ou les vernis, afin que le logiciel les recouvre correctement. Ainsi, vous garantissez que le logiciel de recouvrement reconnaît les encres foncées et claires en tant que telles. Les options d’application appropriées sont alors automatiquement utilisées. Pour obtenir la valeur de densité neutre convenant à une encre spécifique, contactez votre imprimeur. Pour déterminer la valeur de densité neutre d’une encre de façon précise, mesurez un échantillon de l’encre concernée avec un densitomètre. Lisez la valeur de densité de l’encre (n’utilisez pas de filtre). Si cette valeur diffère de la valeur par défaut, saisissez-la dans la zone de texte Densité neutre. Remarque : la modification de la densité neutre d’un ton direct affecte uniquement le recouvrement de cette couleur. Elle n’a aucune incidence sur l’aspect de la couleur dans le document. Suivez ces instructions lorsque vous ajustez des valeurs de densité neutre : Encres métalliques et opaques Les encres métalliques sont souvent plus foncées que leurs équivalents CMJN. Les encres opaques obscurcissent les encres sous-jacentes. En général, vous devez définir la densité neutre des encres

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Encres pastels Ces encres sont en général plus claires que leurs équivalents quadrichromiques. Vous pouvez donc définir la densité neutre de ces encres sur des valeurs inférieures aux valeurs par défaut afin qu’elles s’étalent sur les couleurs foncées adjacentes. Autres tons directs Certains tons directs, turquoise ou orange néon par exemple, sont beaucoup plus foncés ou clairs

que leurs équivalents CMJN. Pour savoir si c’est le cas, comparez des échantillons imprimés des tons directs et des

équivalents CMJN. Vous pouvez régler la densité neutre de ces tons directs sur des valeurs plus élevées ou plus faibles, selon les besoins.

Personnalisation du recouvrement pour les encres spécialisées

Vous devez tenir compte de certains éléments lorsque vous utilisez certaines encres pour le recouvrement. Par exemple, si vous vous servez d’un vernis sur un document, ce vernis ne doit pas affecter le recouvrement. Toutefois, quand vous surimprimez certaines zones avec une encre entièrement opaque, vous n’avez pas besoin de créer de recouvrement pour les éléments sous-jacents. Des options d’encre sont disponibles pour ces cas de figure. En règle générale, il est préférable de ne pas modifier les paramètres par défaut, à moins que votre service de prépresse ne vous l’ait recommandé. Remarque : il se peut que les encres spécialisées et les vernis utilisés dans le document aient été créés en mélangeant deux tons directs ou en mélangeant un ton direct et une ou plusieurs encres quadrichromiques. 1 Ouvrez le Gestionnaire d’encres, puis sélectionnez une encre requérant un traitement particulier. 2 Choisissez l’une des options suivantes dans le menu Type, puis cliquez sur le bouton OK : Normal A utiliser pour des encres quadrichromiques classiques et la plupart des tons directs. Transparent A utiliser pour les encres claires afin de garantir le recouvrement des éléments sous-jacents. Utilisez cette

option pour les vernis et les encres de diazocopie.

Opaque A utiliser pour les encres fortes non transparentes afin d’empêcher le recouvrement des couleurs sousjacentes et de permettre le recouvrement le long des bords des encres. Utilisez cette option pour les encres métalliques. Ignorer Opaque A utiliser pour les encres fortes non transparentes afin d’empêcher le recouvrement des couleurs

sous-jacentes et le long des bords des encres. Utilisez cette option pour des encres comme les encres métalliques et les vernis car leur interaction avec d’autre encres crée des effets indésirables.

« Présentation du gestionnaire d’encres » à la page 706 « Mélange des encres » à la page 529

Ajustement de la séquence de recouvrement

La séquence de recouvrement (également appelée ordre de recouvrement) reflète l’ordre d’impression des encres sur la presse, et non celui des séparations sur le périphérique de sortie.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Ouvrez le Gestionnaire d’encres. La séquence de recouvrement actuelle s’affiche dans la colonne Séquence de la liste

2 Sélectionnez une encre, saisissez une nouvelle valeur dans le champ Séquence de recouvrement, puis appuyez sur

la touche de tabulation. Cela modifie le numéro de séquence de l’encre sélectionnée, ainsi que les autres numéros de séquence.

3 Recommencez cette étape pour toutes les encres nécessaires, puis cliquez sur OK.

« Présentation du gestionnaire d’encres » à la page 706

Dernière mise à jour le 18/5/2011

électroniques. Compacts et complets, les fichiers Adobe PDF peuvent être partagés, affichés et imprimés par tous les utilisateurs disposant du logiciel gratuit Adobe Reader®. Adobe PDF est particulièrement adapté aux processus de publication. En enregistrant un composite de votre illustration au format Adobe PDF, vous créez un fichier compact et fiable que vous ou votre prestataire de services pouvez afficher, modifier, organiser et vérifier. Au moment approprié du processus, votre prestataire de services peut alors générer directement le fichier Adobe PDF, ou le traiter à l’aide d’outils de diverses sources pour des tâches de post-traitement telles que vérifications de contrôle en amont, recouvrement, imposition et séparation des couleurs. Lors de l’enregistrement dans Adobe PDF, vous pouvez choisir de créer un fichier conforme à la norme PDF/X. PDF/X (Portable Document Format Exchange) est un sous-ensemble d’Adobe PDF qui permet d’éliminer de nombreuses variables de couleur, police et recouvrement pouvant entraîner des problèmes d’impression. Vous pouvez avoir recours à la norme PDF/X dès lors que des fichiers PDF utilisés comme matrices numériques sont échangés en vue d’une impression professionnelle, tant à l’étape de la création que de la sortie, à condition que la norme soit prise en charge par les applications et les périphériques de sortie. Le fichier PDF d’Adobe peut résoudre les problèmes suivants associés aux documents électroniques : Problème courant

Solution avec Adobe PDF Le destinataire ne peut pas ouvrir le fichier, car il ne dispose pas de l’application dans laquelle ce fichier a été créé.

Les archives électroniques combinées aux archives papier occupent beaucoup d’espace, offrent des possibilités limitées en termes de recherche et impliquent que l’on dispose des applications dans lesquelles les documents ont été créés.

Les fichiers PDF sont compacts, permettent une recherche sur tous les

éléments du fichier et peuvent être ouverts à tout moment par le biais de Reader. Les liens facilitent la navigation dans les fichiers PDF.

Les documents ne s’affichent pas correctement sur les appareils de poche.

Les documents PDF balisés permettent de redistribuer le texte en vue de leur affichage sur les plates-formes d'ordinateurs de poche telles que Palm OS®, Symbian™ et Pocket PC®.

Les documents dont la mise en page est complexe sont inaccessibles aux malvoyants.

Les fichiers PDF balisés contiennent des informations sur le contenu et la structure, ce qui permet de les consulter à l’écran.

Exportation au format PDF pour l’impression

L’exportation d’un document ou d’un livre au format Adobe PDF peut être automatisée grâce aux paramètres d’impression Qualité supérieure par défaut ou entièrement personnalisée selon les besoins. Les paramètres d’exportation PDF que vous spécifiez sont enregistrés avec l’application et appliqués à chaque document ou livre InDesign que vous exportez au format PDF, tant que vous ne les modifiez pas de nouveau. Vous pouvez utiliser des paramètres prédéfinis pour appliquer rapidement des paramètres personnalisés aux fichiers PDF.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Lorsque vous exportez un fichier InDesign au format PDF, vous pouvez conserver les éléments de navigation tels que les tables des matières et les entrées d’index, ainsi que les fonctions interactivité tels que les hyperliens, les signets, les séquences multimédias et les boutons. Vous pouvez également exporter des calques masqués, des calques et des objets non imprimables au format PDF. Si vous exportez un livre, vous pouvez fusionner les calques de noms identiques à l’aide du panneau Livre. Pour plus d’informations sur la création de documents PDF accessibles, consultez le Centre de ressources sur l’accessibilité Adobe InDesign.

« Options Adobe PDF » à la page 554 « Niveaux de compatibilité PDF » à la page 555 « Création de documents interactifs pour PDF » à la page 582

Pour exporter un document ouvert au format PDF pour l’impression

1 Choisissez Fichier > Exporter. 2 Entrez un nom de fichier et choisissez un emplacement. 3 Dans la zone Type (Windows) ou Format (Mac OS) de la boîte de dialogue Enregistrer sous, choisissez l’option

Adobe PDF (Impression), puis cliquez sur le bouton Enregistrer.

Lorsque vous sélectionnez l’option Adobe PDF (impression), vous ne pouvez pas inclure d’éléments interactifs dans le fichier PDF. Pour exporter un document interactif au format PDF, reportez-vous à la section « Création de documents interactifs pour PDF » à la page 582. 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour utiliser un ensemble prédéfini d’options de traitement, sélectionnez un paramètre prédéfini dans le menu

Paramètres prédéfinis Adobe PDF.

• Pour créer un fichier PDF/X, sélectionnez soit un paramètre prédéfini PDF/X dans le menu Paramètres prédéfinis

Adobe PDF, soit un format PDF/X prédéfini dans le menu Standard.

• Pour personnaliser les options, sélectionnez une catégorie dans la liste de gauche, puis définissez les options.

5 Dans le champ Compatibilité, sélectionnez la plus ancienne des versions PDF pouvant être utilisée pour ouvrir les

6 Cliquez sur Exporter (Windows) ou Enregistrer (Mac OS).

PDF. Pour éviter la duplication des noms de calques dans le PDF, vous pouvez fusionner les calques lors de l’exportation.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

document de livre. Les noms de calques sont sensibles à la casse. Par exemple, les calques « Art » et « art » ne sont pas fusionnés. 2 Dans le menu du panneau Livre, sélectionnez Fusionner les calques de noms identiques à l’exportation.

Remarque : lorsque vous exportez le livre au format PDF, assurez-vous que l’option Créer des calques Acrobat est sélectionnée. Pour sélectionner cette option, vous devez utiliser Acrobat 6 (PDF 1.5) ou une version ultérieure compatible.

Pour exporter un livre au format PDF

1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour créer un PDF du livre entier, cliquez dans une zone vide du panneau Livre pour désélectionner tout document sélectionné, puis choisissez Exporter le livre au format PDF dans le menu du panneau Livre.

• Pour créer un PDF de documents provenant d’un livre, sélectionnez les documents dans le panneau Livre, puis choisissez Exporter les documents sélectionnés au format PDF dans le menu du panneau Livre.

2 Spécifiez un nom et un emplacement pour le fichier PDF, puis cliquez sur Enregistrer. 3 Sélectionnez un paramètre prédéfini dans le menu Paramètres prédéfinis Adobe PDF ou sélectionnez une catégorie

dans la liste située dans la partie gauche de la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF, puis définissez les options selon vos besoins.

4 Cliquez sur Exporter (Windows) ou Enregistrer (Mac OS).

Pour réduire la taille des PDF Lorsque vous prévoyez de distribuer les fichiers PDF à seule fin de visualisation, vous pouvez réduire leur taille lors de leur exportation à partir d’InDesign. Vous trouverez ici quelques techniques de réduction des fichiers que vous pouvez utiliser dans la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF :

• Choisissez [Taille de fichier minimale] dans le menu Paramètres prédéfinis Adobe PDF.

• Dans la zone Compression, sous-échantillonnez les images à 72 pixels par pouce, sélectionnez la compression automatique ainsi que la qualité d’image basse ou moyenne pour les images en couleurs et en niveaux de gris. Lorsque vous travaillez avec des images photographiques, utilisez la compression Automatique (JPEG 2000) ; lorsque vous travaillez avec des images aux couleurs unies, telles que les diagrammes et les graphes, utilisez la compression ZIP.

• Dans la zone Sortie, utilisez le Gestionnaire d’encres pour convertir les tons directs en couleurs quadri.

Pour réduire la taille des fichiers PDF, ouvrez le PDF dans Acrobat 8.0 ou version ultérieure, choisissez la commande Document > Réduire la taille du fichier, puis spécifiez le niveau de compatibilité. Pour un meilleur contrôle, choisissez la commande Options avancées > Optimisation PDF. Pour plus de détails sur la réduction de la taille des fichiers PDF, reportez-vous à l’aide d’Acrobat et au site Web d’Adobe.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Settings sont disponibles dans ProgramData\Adobe\AdobePDF (Windows Vista et Windows 7), Documents and Settings\All Users\Application Data\Adobe\Adobe PDF (Windows XP) ou dans Bibliothèque/Application Support/Adobe PDF (Mac OS). Certains paramètres prédéfinis ne sont pas disponibles dans certains composants Creative Suite. Les paramètres personnalisés sont enregistrés dans le dossier /Documents and Settings/[nom utilisateur]/Application Data/Adobe/Adobe PDF/Settings (Windows XP), utilisateur/[nom utilisateur]/AppData/Roaming/Adobe/Adobe PDF/Settings (Windows Vista et Windows 7) ou utilisateur/[nom utilisateur]/Bibliothèque/Application Les fichiers PDF obtenus peuvent être ouverts avec Acrobat 5.0, Adobe Reader 5.0 et versions ultérieures. Dans InDesign, ce paramètre prédéfini crée également des fichiers PDF balisés. Illustrator par défaut (Illustrator uniquement) Crée un fichier PDF dans lequel sont conservées les données Illustrator. Les fichiers PDF obtenus peuvent être de nouveau ouverts dans Illustrator sans perte de données. Pages hors format (Acrobat uniquement) Crée des fichiers PDF adaptés à l'affichage et à l'impression de dessins

d'ingénierie dont la taille est supérieure à 200 x 200 pouces. Les fichiers PDF obtenus peuvent être ouverts dans

Acrobat, Reader 7.0 et versions ultérieures. PDF/A-1b: 2005 (CMJN ou RVB) (Acrobat uniquement) Utilisé pour la préservation (l’archivage) durable des

documents électroniques. Le format PDF/A-1b utilise PDF 1.4 et convertit l’ensemble des couleurs en CMJN ou RVB en fonction de la norme sélectionnée. Les fichiers PDF créés avec ce fichier d’options peuvent être ouverts avec

Acrobat et Reader version 5.0 et ultérieures. PDF/X-1a (2001 et 2003) PDF/X-1a requiert l'incorporation de toutes les polices, la spécification des repères et fonds

perdus appropriés et l'affichage des couleurs en tant que CMJN et/ou couleurs avec tons directs. Les fichiers conformes doivent contenir des informations relatives aux conditions d’impression pour lesquelles ils ont été préparés. Les fichiers PDF créés avec la compatibilité PDF/X-1a peuvent être ouverts dans Acrobat 4.0, Acrobat Reader 4.0 et versions ultérieures.

Le format PDF/X-1a utilise PDF 1.3, et sous-échantillonne les images couleur et en niveaux de gris à 300 ppp et les images monochromes à 1 200 ppp. Il incorpore également les jeux partiels de polices, crée des fichiers PDF non balisés et aplatit la transparence à l'aide du paramètre Haute résolution. Remarque : le format PDF/X1-a:2003 et les paramètres prédéfinis PDF/X-3 (2003) sont placés sur l'ordinateur au cours de l'installation. Cependant, ils ne sont disponibles qu'une fois déplacés du dossier Extras vers le dossier Settings.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

PDF exportés avec ce paramètre prédéfini sont au format PDF 1.4. Les images sont sous-échantillonnées et compressées et les polices sont intégrées de la même manière qu'avec les paramètres PDF/X-1a et PDF/X-3. Vous avez la possibilité de créer des fichiers conformes au format PDF/X-4:2008 directement avec les composants de Creative Suite 4 et 5 (dont Illustrator, InDesign et Photoshop). Acrobat 9 Pro permet de valider et contrôler en amont la conformité des fichiers PDF avec le format PDF/X-4:2008 et de convertir si possible les fichiers non PDF/X en PDF/X4:2008. Adobe recommande PDF/X-4:2008 comme format de fichier optimal pour les processus de publication en PDF. Qualité optimale Crée des fichiers PDF pour la production d'impression de haute qualité (par exemple, pour l'impression numérique ou pour les séparations sur photocomposeuse ou imageuse de plaques), mais ne crée pas de fichiers compatibles PDF/X. Dans ce cas, la qualité du contenu est prioritaire. Le but est de conserver dans le fichier PDF toutes les informations nécessaires à un imprimeur ou un prestataire de service d'impression afin de garantir la précision de l'impression du document. Cet ensemble d'options utilise PDF 1.4, convertit les couleurs en CMJN et sous-échantillonne les images couleur et en niveaux de gris à 300 ppp et les images monochromes à 1 200 ppp. Il incorpore également les jeux partiels de polices et conserve la transparence (pour les types de fichiers ayant la capacité de transparence).

Les fichiers PDF obtenus peuvent être ouverts dans Acrobat 5.0 et Acrobat Reader 5.0 et versions ultérieures.

Remarque : avant de créer un fichier Adobe PDF destiné à un imprimeur professionnel ou un prestataire de service d'impression, demandez-lui la résolution de sortie et les autres paramètres requis ou de vous fournir le fichier .joboptions adéquat. Il vous faudra peut-être modifier les paramètres Adobe PDF en fonction des recommandations du prestataire de services, puis lui fournir votre propre fichier .joboptions. PDF avec contenu enrichi Permet de créer des fichiers PDF accessibles comprenant des balises, des hyperliens, des signets, des éléments interactifs et des calques. Lorsque cet ensemble d'options est sélectionné, le format utilisé est PDF 1.5 et des jeux partiels de toutes les polices sont incorporés. Il optimise également les fichiers pour le téléchargement page à page. Les fichiers PDF obtenus peuvent être ouverts dans Acrobat 6.0 et Acrobat Reader 6.0 et versions ultérieures. (Le paramètre prédéfini du fichier PDF avec contenu enrichi se situe dans le dossier Extras.)

Remarque : le paramètre prédéfini s’appelait eBook dans les versions précédentes de certaines applications.

Taille de fichier minimale Permet de créer des fichiers PDF adaptés à un affichage sur le Web, à un intranet ou à la distribution par courrier électronique. Cet ensemble d'options utilise la compression, le sous-échantillonnage et une résolution d'image relativement basse. Il permet la conversion de toutes les couleurs en sRVB et l'incorporation des polices. Il optimise également les fichiers pour le téléchargement page à page. Pour un meilleur résultat, n'utilisez pas ce paramètre prédéfini si vous envisagez d'imprimer le fichier PDF.

Les fichiers PDF obtenus peuvent être ouverts dans Acrobat 5.0 et Acrobat Reader 5.0 et versions ultérieures.

Standard (Acrobat uniquement) Crée des fichiers PDF destinés à l'impression sur des imprimantes de bureau ou numériques, à l'édition sur CD-ROM ou à l'envoi à un client comme épreuve d'impression. Cet ensemble d'options utilise la compression et le sous-échantillonnage afin de maintenir la taille du fichier au minimum, mais comprend également des jeux partiels de toutes les polices (autorisées) utilisées dans le fichier, convertit les couleurs en sRVB et applique une résolution moyenne. Veuillez noter que les jeux partiels de polices Windows ne sont pas incorporés par défaut. Les fichiers PDF créés avec ce fichier de paramètres peuvent être ouverts dans Acrobat 5.0, Acrobat Reader 5.0 et versions ultérieures.

Pour plus d'informations sur les paramètres PDF partagés pour les composants Creative Suite, reportez-vous au

Guide d'intégration PDF du DVD de Creative Suite.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Pour enregistrer un paramètre prédéfini à un emplacement autre que le sous-dossier de paramètres du dossier Adobe (emplacement par défaut), sélectionnez le paramètre, puis cliquez sur Enregistrer sous. Spécifiez un emplacement, puis cliquez sur Enregistrer. Sinon, vous pouvez créer un paramètre prédéfini personnalisé lorsque vous enregistrez un fichier PDF en cliquant sur Enreg. prédéfini en bas de la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF. Attribuez un nom au paramètre prédéfini et cliquez sur OK.

Chargement des paramètres prédéfinis Adobe PDF Les paramètres prédéfinis (fichiers .joboptions) que vous créez sont enregistrés dans le dossier Settings aux emplacements suivants :

Windows XP Documents and Settings\[nom d’utilisateur]\Application Data\Adobe\Adobe PDF Windows Vista et Windows 7 Users\[nom d’utilisateur]\AppData\Roaming\Adobe\Adobe PDF Mac OS User/[nom d’utilisateur]/Library/Application Support/Adobe/Adobe PDF Ces paramètres prédéfinis apparaissent automatiquement dans le menu Paramètres prédéfinis Adobe PDF.

Les paramètres prédéfinis PDF InDesign supplémentaires sont installés dans le dossier Adobe PDF\Extras. Recherchez les autres fichiers .joboptions à l’aide de l’utilitaire de recherche de votre système. Vous pouvez aussi recevoir des paramètres prédéfinis personnalisés PDF de vos prestataires de services ou de vos collègues. Pour que ces paramètres prédéfinis s’affichent dans le menu Paramètres prédéfinis Adobe PDF, ils doivent être déplacés vers le dossier des paramètres soit manuellement soit à l’aide de la commande Charger.

Pour charger les paramètres prédéfinis PDF La commande Charger est utile si vous voulez charger des paramètres prédéfinis PDF qui vous ont été envoyés ou des paramètres prédéfinis PDF depuis InDesign CS2.

1 Choisissez Fichier > Paramètres prédéfinis Adobe PDF > Définir. 2 Cliquez sur Charger et sélectionnez le fichier .joboptions que vous voulez charger.

Le fichier .joboptions est copié vers le dossier Settings dans lequel les nouveaux paramètres prédéfinis PDF sont stockés.

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4 Cliquez deux fois sur le fichier que vous voulez convertir.

Le fichier apparaît en surbrillance dans la liste des paramètres prédéfinis Adobe PDF.

Panneau Tâches en arrière-plan

L’exportation des fichiers PDF pouvant être effectuée en arrière-plan dans InDesign, vous n’avez plus besoin d’attendre la fin de cette opération pour continuer à travailler sur un document. Vous pouvez également lancer plusieurs opérations d’exportation PDF en arrière-plan. Utilisez le panneau Tâches en arrière-plan pour vérifier la progression des opérations d’exportation. 1 Exportez un ou plusieurs documents au format Adobe PDF. 2 Pour vérifier la progression de cette opération, choisissez la commande Fenêtre > Utilitaires > Tâches en arrière-plan.

Options Adobe PDF Catégories d’options Adobe PDF Vous pouvez définir les options PDF lorsque vous exportez au format PDF ou lorsque vous créez ou modifiez les paramètres prédéfinis PDF. Les options Adobe PDF sont divisées en plusieurs catégories. Les catégories sont répertoriées dans la partie gauche de la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF, à l’exception des options

Standard et Compatibilité qui se situent dans la partie supérieure. Lorsque vous exportez au format PDF et que vous modifiez l’une des options, la mention « modifié » est ajoutée à la fin du nom du paramètre prédéfini. Standard Permet d’attribuer un format PDF/X au fichier. Compatibilité Permet d’attribuer une version PDF au fichier. Général Permet de définir les options de base du fichier. Compression Permet d’indiquer si l’illustration doit être compressée et sous-échantillonnée et, dans ce cas, la méthode et les paramètres à utiliser. Repères et fonds perdus Permet de définir les repères d’impression, ainsi que les zones de fonds perdus et de lignes-

blocs. Bien que ces options soient identiques à celles de la boîte de dialogue d’impression, les calculs sont légèrement différents du fait qu’un PDF n’est pas imprimé sur un format de page connu.

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Protection Permet de protéger les fichiers PDF. Les options de sécurité ne sont pas disponibles lorsque vous créez ou

modifiez un paramètre prédéfini PDF.

Résumé Permet d’obtenir un résumé des paramètres PDF définis. Vous pouvez cliquer sur la flèche en regard d’une

catégorie (Général, par exemple) pour afficher les paramètres individuels. Pour enregistrer le résumé sous forme de fichier texte ASCII, cliquez sur Enregistrer le résumé. Une icône d’avertissement accompagnée d’un texte explicatif s’affiche si le paramètre sélectionné ne peut pas être mis en œuvre et doit être redéfini. Par exemple, si les profils source spécifiés dans un paramètre prédéfini ne correspondent pas au fichier de paramètres de couleur actif, ces profils sont remplacés par ceux spécifiés dans le fichier de paramètres de couleur.

A propos des normes PDF/X Les normes PDF/X sont définies par l’Organisation internationale de normalisation (ISO). Elles s’appliquent aux

échanges de contenus graphiques. Au cours de la conversion au format PDF, le fichier en cours de traitement est contrôlé par rapport à la norme spécifiée. Si le fichier PDF ne respecte pas la norme ISO sélectionnée, un message s’affiche vous demandant d’annuler la conversion ou de poursuivre la création du fichier non conforme. Il existe une norme couramment utilisée dans les flux de publication d’impression ; il s’agit du format PDF/X, tel que PDF/X-1a. Le format PDF/X-4 convient parfaitement à la transparence dynamique et à la gestion des couleurs. Ce format est optimal pour le traitement RIP, les imprimantes numériques qui utilisent le moteur d’impression Adobe PDF et tout fichier PDF à imprimer dans Acrobat. Remarque : pour plus de détails sur les normes PDF/X, consultez le site Web de l’Organisation internationale de normalisation (ISO) et le site Web d’Adobe.

Niveaux de compatibilité PDF Lors de la création d'un fichier PDF, vous devez décider de la version de PDF à utiliser. Vous pouvez modifier la version de PDF en sélectionnant un paramètre prédéfini différent ou en choisissant une option de compatibilité lors de l’enregistrement au format PDF ou de la modification du paramètre prédéfini PDF.

A moins que la compatibilité avec des versions antérieures s'avère nécessaire, il est en général recommandé d'utiliser la version la plus récente (1.7 dans le cas présent). Cette version comprend les toutes dernières fonctions et fonctionnalités. Cependant, si vous prévoyez de diffuser le fichier créé à un grand nombre d'utilisateurs, vous pouvez envisager de choisir Acrobat 5 (PDF 1.4) ou Acrobat 6 (PDF 1.5) pour vous assurer qu'ils pourront tous afficher et imprimer ce document. Le tableau ci-après offre un comparatif de certaines fonctionnalités des fichiers PDF créés avec différents paramètres de compatibilité.

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La plupart de ces fichiers PDF peuvent être ouverts avec Acrobat 4.0, Acrobat Reader 4.0 et versions ultérieures. Cependant, les fonctions spécifiques à des versions ultérieures peuvent être perdues ou non visibles.

La plupart de ces fichiers PDF peuvent être ouverts avec

Acrobat 4.0, Acrobat Reader 4.0 et versions ultérieures. Cependant, les fonctions spécifiques à des versions ultérieures peuvent être perdues ou non visibles.

Ne prend pas en charge les illustrations utilisant des effets de transparence dynamiques. Veillez

à aplatir toute option de transparence préalablement à la conversion au format PDF 1.3.

Format prenant en charge l’utilisation des effets de transparence dynamiques dans les illustrations. (La fonction

Acrobat Distiller aplatit la transparence.)

Format prenant en charge l’utilisation des effets de transparence dynamiques dans les illustrations. (La fonction

Acrobat Distiller aplatit la transparence.)

Format prenant en charge l’utilisation des effets de transparence dynamiques dans les illustrations. (La fonction

Acrobat Distiller aplatit la transparence.)

Calques non pris en charge.

Calques non pris en charge.

Illustrator CS ou InDesign CS et versions ultérieures.

L'espace colorimétrique DeviceN avec 8 colorants est pris en charge.

L'espace colorimétrique DeviceN avec 8 colorants est pris en charge.

Espace colorimétrique DeviceN avec 31 colorants au maximum pris en charge.

Espace colorimétrique DeviceN avec 31 colorants au maximum pris en charge.

L’incorporation des polices multioctets est prise en charge.

(Distiller convertit les polices lors de leur incorporation.)

L’incorporation des polices multioctets est prise en charge.

L’incorporation des polices multioctets est prise en charge.

L’incorporation des polices multioctets est prise en charge.

Sécurité RC4 40 bits prise en charge.

Sécurité RC4 128 bits prise en charge.

Description Fournit une description, que vous pouvez modifier, du paramètre prédéfini sélectionné. Vous pouvez y

coller une description à partir du Presse-papiers.

Toutes Exporte toutes les pages du document ou du livre actif. Etendue Indique l’étendue de pages à exporter dans le document actif. Vous pouvez spécifier une étendue avec un tiret

et séparer les pages et les étendues par une virgule. Cette option n’est pas disponible lorsque vous exportez des livres ou créez des paramètres prédéfinis.

Planches Exporte toutes les pages ensemble comme si elles étaient imprimées sur la même feuille.

Important : ne choisissez pas l’option Planches pour vos impressions commerciales car elle ne permet pas au prestataire de services d’étudier l’imposition des pages.

Incorporer les vignettes de page Crée un aperçu sous forme de vignette pour chaque page à exporter ou une vignette pour chaque planche si l’option Planches est sélectionnée. La vignette s’affiche dans les boîtes de dialogue InDesign Ouvrir ou Importation. L’ajout de vignettes augmente la taille du fichier PDF.

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Créer un PDF balisé Balise automatiquement les éléments de l’article pendant l’exportation, selon un sous-ensemble

de balises Acrobat pris en charge par InDesign. Ce balisage comprend la reconnaissance des paragraphes, des options

élémentaires de mise en forme du texte, des listes et des tableaux (vous pouvez insérer et ajuster ces balises dans le document avant de l’exporter au format PDF, voir la section « Ajout d’une structure aux PDF » à la page 568). Remarque : si le paramètre Compatibilité est défini sur Acrobat 6 (PDF 1.5) ou version ultérieure, les balises sont compressées pour réduire la taille du fichier. Si vous ouvrez le PDF ainsi obtenu dans Acrobat 4.0 ou Acrobat 5.0, les balises ne sont pas visibles : en effet, ces versions d’Acrobat ne peuvent pas décompresser les balises. Afficher le PDF après exportation Ouvre le fichier PDF nouvellement créé dans l’application de visualisation PDF par

Créer des calques Acrobat Enregistre chaque calque InDesign sous forme de calque Acrobat dans le PDF. Exporte

également tous les repères d’impression que vous avez intégrés dans un calque séparé de repères et de fonds perdus.

Les calques étant entièrement accessibles, les utilisateurs d’Adobe Acrobat 6.0 et versions ultérieures peuvent créer plusieurs versions d’un document à partir d’un seul PDF. Si un document doit être publié en plusieurs langues, par exemple, vous pouvez placer le texte de chaque langue sur un calque différent. Il suffit alors à votre prestataire de services de prépresse d’afficher et de masquer les calques pour générer différentes versions du document. Si vous sélectionnez l’option Créer des calques Acrobat lorsque vous exportez un livre au format PDF, les calques ayant le même nom sont fusionnés par défaut. Remarque : l’option Créer des calques Acrobat est disponible uniquement lorsque le paramètre Compatibilité est défini sur Acrobat 6 (PDF 1.5) ou version ultérieure. Exporter les calques Détermine si les calques visibles et les calques non imprimables sont inclus dans le PDF. Vous pouvez utiliser les paramètres Options de calque pour déterminer si chaque calque est masqué ou défini comme non imprimable. Lors de l’exportation au format PDF, choisissez si vous voulez exporter tous les calques (y compris les calques masqués et non imprimables), les calques visibles (calques non imprimables inclus) ou les calques visibles et imprimables. Signets Crée des signets pour les entrées de la table des matières et préserve les niveaux de cette dernière. Les signets

sont créés à partir des informations définies dans le panneau Signets.

Hyperliens Crée des annotations PDF sous forme d’hyperliens pour les hyperliens InDesign, les entrées de table des matières et les entrées d’index. Grilles et repères visibles Exporte les repères de marge, les repères de règle, les repères de colonne et les grilles de ligne de base visibles dans le document. Les grilles et les repères sont exportés dans la même couleur que celle utilisée dans le document. Objets non imprimables Exporte les objets auxquels l’option Non imprimable a été appliquée dans le panneau

Eléments interactifs Choisissez l’option Inclure l’aspect pour inclure des éléments tels que des boutons et des affiches

vidéo dans le fichier PDF. Pour créer un fichier PDF comportant des éléments interactifs, choisissez l’option

Adobe PDF (interactif) plutôt que l’option Adobe PDF (impression) (voir la section « Options d’exportation au format PDF interactif » à la page 582).

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« Films et sons » à la page 601 « Boutons » à la page 612

Options de compression et de sous-échantillonnage appliquées aux PDF Lorsque vous exportez un document au format Adobe PDF, vous pouvez compresser le texte et les dessins au trait et compresser et sous-échantillonner les images bitmap. Selon les paramètres choisis, la compression et le souséchantillonnage peuvent réduire de manière sensible la taille du fichier PDF et ce avec très peu, voire aucune perte de détails et de précision.

La zone Compression de la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF est divisée en trois sections. Chaque section propose les options suivantes pour la compression et le sous-échantillonnage des images couleur, en niveaux de gris ou monochromes. Sous-échantillonnage Si vous envisagez d’utiliser le fichier PDF sur le Web, le sous-échantillonnage permet un niveau de compression supérieur. Si vous envisagez d’imprimer le fichier PDF en haute résolution, consultez votre fournisseur de services prépresse avant de définir les options de compression et de sous-échantillonnage.

Vous devez également déterminer s’il sera nécessaire d’agrandir le document. Par exemple, si vous créez un document

PDF à partir d’une carte géographique, prévoyez d’utiliser une résolution d’image élevée, de sorte que les utilisateurs puissent agrandir la carte. Le sous-échantillonnage désigne la réduction du nombre de pixels dans une image. Pour sous-échantillonner des images en couleur, en niveaux de gris ou monochromes, choisissez une méthode d’interpolation (interpolation, souséchantillonnage bicubique ou échantillonnage) et saisissez la résolution souhaitée (en pixels par pouce). Saisissez ensuite une résolution dans la zone de texte « pour les images au-dessus de ». Toutes les images dont la résolution dépasse ce seuil seront sous-échantillonnées. La méthode d’interpolation choisie détermine la façon dont les pixels sont supprimés :

• Interpolation à Calcule la couleur moyenne des pixels d’une zone échantillon, puis remplace toute la zone par cette couleur à la résolution indiquée.

• Echantillonnage à Choisit un pixel au centre de la zone d’échantillonnage et remplace toute la zone par la couleur de ce pixel. L’échantillonnage est plus rapide que le sous-échantillonnage mais produit des images aux variations chromatiques plus brutales.

• Sous-échantillonnage bicubique à Utilise une moyenne pondérée pour déterminer la couleur de pixel, ce qui donne généralement de meilleurs résultats que la méthode d’interpolation par calcul de moyenne. C’est la méthode la plus lente mais aussi la plus précise, qui donne les variations chromatiques les plus douces. Compression Détermine le type de compression à utiliser :

• Automatique (JPEG) Calcule automatiquement le niveau de compression permettant d’obtenir des images en couleurs et en niveaux de gris de qualité optimale. Cette option donne des résultats satisfaisants pour la plupart des fichiers.

• JPEG Convient aux images en niveaux de gris et en couleur. La compression JPEG entraîne une perte de données, ce qui signifie qu’elle supprime des données de l’image et peut entraîner une baisse de la qualité ; toutefois, cette

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• JPEG 2000 Constitue la norme internationale pour la compression et le conditionnement de données d’image. Tout comme la compression JPEG, la compression JPEG 2000 est adaptée aux images en niveaux de gris et en couleur. Elle présente des avantages supplémentaires, tels que l’affichage progressif. L’option JPEG 2000 est uniquement disponible lorsque l’option Compatibilité est définie sur Acrobat 6 (PDF 1.5) ou version ultérieure. • Automatique (JPEG 2000) Calcule automatiquement le niveau de compression permettant d’obtenir des images en couleurs et en niveaux de gris de qualité optimale. L’option Automatique (JPEG 2000) est uniquement disponible lorsque l’option Compatibilité est définie sur Acrobat 6 (PDF 1.5) ou version ultérieure. • Compressions CCITT et RLE Disponibles uniquement pour les images bitmap monochromes. La compression CCITT (Consultative Committee on International Telegraphy and Telephony) convient aux images noir et blanc ou aux images numérisées avec une profondeur de 1 bit. Groupe 4 est une méthode générale qui produit une bonne compression pour la plupart des images monochromes. Groupe 3, utilisé par la plupart des télécopieurs, compresse les images bitmap monochromes une rangée à la fois. RLE est la meilleure compression lorsque les images contiennent des zones étendues de blancs ou noirs unis. Remarque : les images en niveaux de gris qui ont été colorisées dans InDesign se voient appliquer les paramètres de compression des images en couleur. En revanche, les images en niveaux de gris colorisées à l’aide d’un ton direct (et dont les blocs sont associés à [Aucun]) utilisent les paramètres de compression des images en niveaux de gris. Qualité d’image Détermine le niveau de compression devant être appliqué. Pour la compression JPEG ou JPEG 2000,

vous avez le choix entre la qualité Minimum, Faible, Moyen, Elevée ou Maximum. Pour la compression ZIP, seul le niveau 8 bits est disponible. Dans la mesure où InDesign utilise la compression ZIP sans perte, qui ne supprime aucune donnée pour réduire la taille du fichier, la qualité de l’image demeure inchangée.

Taille du carreau Détermine la taille des carreaux pour l’affichage progressif. Cette option est uniquement disponible lorsque la compatibilité est définie sur Acrobat 6 (1.5) ou une version ultérieure et que la compression JPEG 2000 est sélectionnée. Compression du texte et des dessins au trait Utilise la compression Flate (similaire à la compression ZIP destinée aux

images) pour l’ensemble du texte et des dessins au trait contenus dans le document, sans perte de détails ou de qualité.

Recadrer les données de l’image sur les cadres Peut réduire la taille du fichier en exportant uniquement les données

d’image correspondant à la partie visible du bloc. Ne sélectionnez pas cette option si les autres données peuvent se révéler nécessaires pour les post-traitements (pour repositionner ou définir le fond perdu d’une image, par exemple).

Options de repères et de fonds perdus appliquées aux PDF Le fond perdu désigne la zone s’étendant au-delà du cadre de l’illustration, délimitée par les traits ou repères de coupe.

Il représente en quelque sorte votre marge d’erreur, afin de garantir que l’encre s’étend bien jusqu’aux bords, une fois la page rognée, ou que le positionnement de l’illustration peut respecter un filet technique défini sur la page. Vous pouvez définir l’étendue des fonds perdus et ajouter un ensemble de repères d’impression au fichier.

« Repères d’impression et fonds perdus » à la page 667

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Conversion de la couleur Indique comment représenter les informations de couleur dans le fichier Adobe PDF.

Toutes les informations de tons directs sont préservées lors de la conversion des couleurs ; seuls les équivalents quadri sont convertis vers l’espace colorimétrique désigné.

• Aucune conversion de la couleur Les couleurs sont conservées en l’état. Cette option est celle proposée par défaut lorsque PDF/X-3 est sélectionné.

• Convertir vers la destination Convertit les couleurs vers le profil sélectionné dans le champ Destination. L’option

Règle d’inclusion de profil permet de spécifier si le profil doit être inclus ou non.

• Convertir vers la destination (conserver les numéros) Convertit les couleurs vers l’espace colorimétrique de destination uniquement si leurs profils incorporés diffèrent du profil de destination (ou bien s’il s’agit de couleurs RVB alors que le profil de destination correspond à CMJN, et inversement). Les objets de couleur non balisés (objets sans profil incorporé) et les objets natifs (tels que les dessins au trait ou le texte) ne sont pas convertis. Cette option n’est pas disponible si la gestion des couleurs est désactivée. L’option Règle d’inclusion de profil permet de spécifier si le profil doit être inclus ou non.

Destination Décrit la gamme de votre périphérique de sortie RVB ou CMJN final, tel que le moniteur ou une

norme SWOP. A l’aide de ce profil, InDesign convertit les informations de couleur du document (définies dans le profil source de la section Espaces de travail de la boîte de dialogue Couleurs) dans l’espace colorimétrique du périphérique de sortie cible.

Règle d’inclusion de profil Permet d’indiquer si un profil de couleurs doit être inclus dans le fichier. La disponibilité de cette option et les valeurs associées varient suivant le paramètre sélectionné dans le menu Conversion de la couleur, selon que l’une des normes PDF/X a été sélectionnée ou non et selon que la gestion des couleurs est activée ou désactivée.

• Ne pas inclure les profils Crée un document dont les couleurs ne sont pas gérées et sans profil de couleurs incorporé.

• Inclure tous les profils Crée un document dont les couleurs sont gérées. Si le périphérique de sortie ou l’application qui exploite le fichier Adobe PDF doit convertir les couleurs vers un autre espace colorimétrique, il ou elle utilise l’espace colorimétrique incorporé dans le profil. Avant de sélectionner cette option, activez la gestion des couleurs et définissez les informations de profil.

• Inclure les profils de source balisée Laisse les couleurs dépendantes du périphérique inchangées et conserve les couleurs dépendantes du périphérique sous leur forme équivalente la plus proche dans le PDF. Cette option est utile aux imprimeurs qui ont étalonné tous leurs périphériques, qui ont utilisé les informations correspondantes pour définir la couleur dans le fichier et qui utilisent uniquement ces périphériques pour le traitement en sortie.

• Inclure tous les profils CMJN de source balisée et RVB Intègre tous les profils associés aux objets RVB balisés et aux objets CMJN balisés, tels que les objets importés comportant des profils incorporés. Cette option a également pour effet d’intégrer le profil Document RVB associé aux objets RVB non balisés. • Inclure le profil de destination Associe le profil de destination à tous les objets. Lorsque l’option Convertir vers la destination (conserver les numéros) est sélectionnée, les objets non balisés du même espace colorimétrique se voient attribuer le profil de destination, de sorte que les numéros de couleur ne changent pas.

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Aperçu de la surimpression dans Acrobat pour visualiser les chevauchements de couleurs. Lorsque l’option Simuler la surimpression est sélectionnée, les tons directs sont convertis en leur équivalent quadri et les couleurs se chevauchant s’affichent et s’impriment correctement, même si l’option Aperçu de la surimpression est désactivée dans Acrobat. Lorsque l’option Simuler la surimpression est sélectionnée et que l’option Compatibilité (zone Général) est définie sur Acrobat 4 (PDF 1.3), il est possible d’effectuer une vérification du document directement à l’écran avant de le traiter en sortie sur un périphérique spécifique. Gestionnaire d’encres Permet d’indiquer si les tons directs doivent être convertis en leur équivalent quadri et de

définir d’autres paramètres liés à l’encre. Si vous modifiez le document à l’aide du Gestionnaire d’encres (par exemple, si vous convertissez tous les tons directs en leur équivalent quadri), vos modifications seront prises en compte dans le fichier exporté et dans le document enregistré, mais ne seront pas conservées dans le paramètre prédéfini Adobe PDF.

Nom du profil de rendu de la sortie Définit les conditions d’impression spécifiques du document. Le profil de rendu

de la sortie est indispensable pour la création de fichiers conformes à la norme PDF/X. Ce menu est disponible uniquement si une norme (ou un paramètre prédéfini) PDF/X est sélectionnée dans la zone Général de la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF. Les options disponibles sont différentes selon que la gestion des couleurs est activée ou pas. Par exemple, si la gestion des couleurs est désactivée, seuls les profils de sortie qui concordent avec l’espace colorimétrique du profil de destination sont répertoriés dans le menu. Si la gestion des couleurs est activée, le profil de rendu de la sortie est identique à celui sélectionné dans le champ Destination (à condition qu’il corresponde

à un périphérique de sortie CMJN). Nom de condition de sortie Décrit les conditions d’impression prévues. Cette description peut être utile au destinataire du document PDF. Identificateur de condition de sortie Indique une référence renvoyant à d’autres informations sur les conditions d’impression prévues. Ce champ est automatiquement renseigné si les conditions d’impression sont comprises dans le registre ICC. Lorsque l’une des normes (ou paramètres définis) PDF/X-3 est utilisée, cette option ne peut pas être activée car si elle l’était, les fichiers obtenus ne pourraient pas satisfaire aux tests de compatibilité réalisés dans le cadre de la fonction de contrôle en amont d’Acrobat 7.0 Professional ou version ultérieure, ou de l’application Enfocus PitStop (module externe d’Acrobat 6.0). Nom du registre Indique une URL permettant d’obtenir des informations complémentaires sur le registre. Ce champ

est automatiquement renseigné dans le cas d’un nom de registre ICC. Lorsque l’une des normes (ou paramètres définis) PDF/X-3 est utilisée, cette option ne peut pas être activée car si elle l’était, les fichiers obtenus ne pourraient pas satisfaire aux tests de compatibilité réalisés dans le cadre de la fonction de contrôle en amont d’Acrobat 7.0

Professional ou version ultérieure, ou de l’application Enfocus PitStop (module externe d’Acrobat 6.0).

Options de polices, d’OPI et d’aplatissement appliquées aux fichiers PDF Vous pouvez définir les options suivantes dans la zone Avancé de la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF.

Jeux partiels de polices lorsque le pourcentage de caractères utilisé est inférieur à Définit le seuil d’incorporation de polices complètes en fonction du nombre de caractères de la police utilisée dans le document. Dès que le pourcentage de caractères utilisé dans le document pour une police donnée dépasse ce seuil, la totalité de la police est incorporée. Sinon, la police est incorporée dans un jeu partiel. Pour incorporer toutes les polices, entrez 0 (zéro), mais sachez que l’incorporation de polices complètes augmente la taille des fichiers. Vous pouvez aussi définir un seuil dans la boîte de dialogue Préférences générales afin de déclencher l’incorporation d’un jeu partiel en fonction du nombre de glyphes que contient une police. OPI Permet d’ignorer de manière sélective différents types d’images importées lors de l’envoi des données d’image vers

un fichier ou une imprimante, laissant un serveur OPI se charger ultérieurement des liens OPI (commentaires) uniquement.

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Créer un fichier JDF avec Acrobat Crée un fichier JDF (Job Definition Format) et lance Acrobat Professional en vue du traitement de ce fichier. Une définition de tâche dans Acrobat comporte des références aux fichiers à imprimer, ainsi que des instructions et des informations destinées aux prestataires de services prépresse. Cette option n’est disponible que si Acrobat 7.0 Professional (ou version ultérieure) est installé sur votre ordinateur. Pour plus de détails, reportezvous à l’Aide d’Acrobat.

« Options d’omission d’images » à la page 673

Ajout de protection aux fichiers PDF Lors de l'enregistrement au format PDF, vous pouvez protéger le fichier par un mot de passe et définir des restrictions afin de limiter l'accès au fichier non seulement à l'ouverture, mais également lors de la copie, de l'extraction, de l'impression, etc., du document.

Il se peut que vous deviez saisir des mots de passe pour ouvrir un fichier PDF (mot de passe d’ouverture du document) et modifier les paramètres de protection (mot de passe d’accès aux droits). Si vous restreignez l’accès à certaines fonctions d’un fichier, vous devez également définir les mots de passe (autrement, tout utilisateur ayant accès au fichier pourrait supprimer les restrictions). Lorsque le fichier est ouvert avec ce mot de passe, les restrictions de sécurité sont désactivées temporairement. La méthode de protection par mot de passe RC4 de RSA Corporation est utilisée pour protéger les fichiers PDF. Le niveau de chiffrement dépend de la valeur de l'option Compatibilité (catégorie Général). Remarque : les paramètres prédéfinis Adobe PDF ne prennent pas en charge les mots de passe ni les paramètres de sécurité. Si vous définissez des mots de passe et des paramètres de sécurité dans la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF, puis que vous cliquez sur le bouton Enreg. prédéfini, les mots de passe et les paramètres de sécurité ne sont pas conservés.

Options de sécurité appliquées aux PDF Vous pouvez configurer les options suivantes lors de la création d’un fichier PDF ou lors de la protection d’un fichier

PDF par mot de passe. La disponibilité et les valeurs proposées pour chacune des options dépendent du paramètre Compatibilité. Les options de sécurité ne sont pas disponibles pour les normes ou paramètres prédéfinis PDF/X. Compatibilité Le niveau de chiffrement appliqué aux documents protégés par mot de passe dépend de ce paramètre.

Un niveau de chiffrement bas (RC4 à 40 bits) est utilisé si vous avez sélectionné Acrobat 4 (PDF 1.3) et un niveau de chiffrement élevé (RC4 ou AES à 128 bits) si vous avez sélectionné l’une des autres options.

N’oubliez pas que toute personne utilisant une version inférieure à celle définie au niveau du paramètre Compatibilité ne pourra pas ouvrir le document PDF. Par exemple, si vous sélectionnez Acrobat 7 (PDF 1.6), le document ne peut pas être ouvert dans Acrobat 6.0 ou antérieur.

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Mot de passe d’ouverture Indiquez le mot de passe nécessaire aux utilisateurs pour ouvrir le fichier PDF.

Remarque : si vous oubliez un mot de passe, il est impossible de le récupérer à partir du document. Par conséquent, il est conseillé de noter les mots de passe et de les conserver en lieu sûr.

Utiliser un mot de passe pour restreindre l’impression, la modification et autres opérations Restreint l’accès aux paramètres de sécurité du fichier PDF. Si le fichier est ouvert dans Adobe Acrobat, l’utilisateur peut le visualiser mais il doit indiquer le mot de passe d’accès aux droits pour pouvoir modifier les paramètres de sécurité et d’autorisation. Si le fichier est ouvert dans Illustrator, Adobe Photoshop ou Adobe InDesign, l’utilisateur doit indiquer le mot de passe d’accès aux droits ; en effet, il n’est pas possible d’ouvrir le fichier en mode Affichage seulement. Mot de passe d’accès aux droits Indiquez le mot de passe requis pour modifier les paramètres de droits. Cette option est disponible uniquement si l’option précédente est sélectionnée. Impression autorisée Définit le niveau d’impression autorisé pour le document.

• Aucune Empêche l’utilisateur d’imprimer le document.

• Basse résolution (150 ppp) Permet à l’utilisateur d’imprimer à toute résolution inférieure ou égale à 150 ppp. L’impression risque d’être plus lente, chaque page étant imprimée comme image bitmap. Cette option est uniquement disponible si l’option de compatibilité est définie sur Acrobat 5 (PDF 1.4) ou version ultérieure. • Haute résolution Permet aux utilisateurs d’imprimer en toute résolution, en transférant une sortie vectorielle de haute qualité à des imprimantes Adobe PostScript ou dotées de fonctionnalités avancées pour l’impression de haute qualité. Modifications autorisées Définit le type de modifications autorisées dans le document PDF.

• Aucune Empêche les utilisateurs d’apporter au document toutes les modifications répertoriées dans le menu

Modifications autorisées, telles que le remplissage de champs de formulaire ou l’ajout de commentaires. • Insertion, suppression et rotation des pages Autorise les utilisateurs à insérer, supprimer et faire pivoter des pages, et à créer des signets et des vignettes. Cette option est uniquement disponible pour un niveau de chiffrement élevé (RC4 ou AES à 128 bits). • Remplir des formulaires et apposer une signature Permet aux utilisateurs de remplir des formulaires et d’apposer des signatures numériques. Cette option ne les autorise pas à insérer des commentaires, ni à créer des champs de formulaire. Cette option est uniquement disponible pour un niveau de chiffrement élevé (RC4 ou AES à 128 bits).

• Insérer des commentaires, remplir des formulaires et apposer une signature Permet aux utilisateurs d’ajouter des commentaires, d’apposer des signatures numériques et de remplir des formulaires. Cette option n’autorise pas les utilisateurs à déplacer des objets de page ni à créer des champs de formulaire.

• Mettre en page, remplir des formulaires et apposer une signature Autorise les utilisateurs à insérer, supprimer et faire pivoter des pages, créer des signets et des vignettes, remplir des formulaires et apposer une signature numérique. Cette option ne les autorise pas à créer des champs de formulaire. Cette option est disponible uniquement pour le niveau de chiffrement faible (RC4 à 40 bits). • Tout sauf extraire des pages Permet aux utilisateurs de modifier le document, de créer et de remplir les champs du formulaire, ainsi que d’ajouter des commentaires et d’apposer des signatures numériques. Activer la copie de texte, d’images et d’autre contenu Permet aux utilisateurs de sélectionner et de copier le contenu

d’un document PDF.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Activer l’accès au texte pour les lecteurs d’écran destinés aux malvoyants Permet aux utilisateurs malvoyants de lire le document à l’aide de lecteurs d’écran, mais n’autorise pas les utilisateurs à copier ni à extraire le contenu du document. Cette option est disponible uniquement pour un niveau de chiffrement élevé (RC4 ou AES à 128 bits). Activer les métadonnées en texte normal Autorise les utilisateurs à copier et à extraire du contenu du fichier PDF.

Cette option est uniquement disponible lorsque le paramètre Compatibilité est défini sur Acrobat 6 (PDF 1.5) ou version ultérieure. Sélectionnez cette option pour autoriser les systèmes de stockage/recherche et les moteurs de recherche à accéder aux métadonnées stockées dans le document.

Incorporation et substitution de polices

Une police ne peut être incorporée que si son auteur a ajouté un paramètre permettant de le faire. L’incorporation permet d’empêcher la substitution des polices lors de l’affichage ou l’impression du fichier et garantit que les lecteurs visualisent les polices d’origine. L’incorporation accroît la taille des fichiers dans une faible mesure, à moins que le document ne contienne des polices CID, format généralement utilisé pour les polices asiatiques. Vous pouvez incorporer ou substituer des polices dans Acrobat ou lors de l’exportation d’un document InDesign au format PDF. Il est possible d’incorporer la police complète ou uniquement le jeu de caractères utilisés dans le fichier. Lorsqu’un utilisateur ouvre ou imprime un fichier PDF dont la police ne peut être incorporée en raison de ses paramètres d’origine et qu’il ne peut accéder à la police d’origine, une police de substitution est utilisée temporairement. Pour éviter tout problème, imprimez uniquement les fichiers PDF dans lesquels les polices peuvent être incorporées. Les caractères Multiple Master peuvent être étirés ou condensés pour occuper le même espace que le caractère d’origine et préserver les sauts de ligne et de page du document d’origine. Cependant, il peut arriver que la forme du caractère de substitution ne corresponde pas à celle du caractère d’origine, notamment lorsque les caractères ne sont pas courants (les caractères d’écriture, par exemple).

Si les caractères ne sont pas standard (à gauche), la police de substitution ne correspondra pas (à droite).

Préparation d’un document en vue de l’afficher à l’écran

Avec ses tailles de fichier réduites, sa compatibilité interplate-forme et ses possibilités de navigation en ligne, le format Adobe PDF est idéal pour la distribution électronique des documents et leur visualisation à l’écran. Vous pouvez envoyer des documents Adobe PDF à d’autres utilisateurs comme pièces jointes à un courrier électronique, ou les distribuer sur le Web ou sur un intranet. Pour plus d’informations sur la création de documents PDF accessibles, consultez le Centre de ressources sur l’accessibilité Adobe InDesign CS4. Les instructions ci-dessous s’appliquent à la distribution électronique de fichiers Adobe PDF :

• Avant de placer des documents Adobe PDF sur un site Web, vérifiez que le texte, les illustrations et la mise en page sont complets et corrects.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Attribuez au fichier un nom ne dépassant pas huit caractères et une extension ne dépassant pas trois caractères. De nombreux réseaux et logiciels de messagerie abrègent les noms de fichiers longs.

• Vérifiez que le fichier porte une extension PDF si le fichier doit être visualisé sur un ordinateur Windows ou sur

• Si le fichier PDF se destine à être visualisé sur écran, choisissez le paramètre prédéfini Taille de fichier minimale.

Remarque : pour visualiser les fichiers Adobe PDF exportés à partir de documents InDesign contenant des surimpressions ou des transparences, il est conseillé d’utiliser Acrobat version 5.0 ou ultérieur, ou bien Adobe Reader 7.0 ou ultérieur, en s’assurant que l’option Aperçu de la surimpression est activée.

« Personnalisation des paramètres prédéfinis Adobe PDF » à la page 553 « Options générales appliquées aux fichiers PDF » à la page 556

Préparation de PDF destinés à des prestataires de services

A propos des outils de publication traditionnels PDF Dans certains flux de production de publication traditionnels, les documents sont distribués dans le format de l’application ayant servi à les créer (appelé format natif). Une fois approuvés, les fichiers sont enregistrés en PostScript ou dans un format propriétaire pour les travaux de prépresse et l’impression finale. Etant donné que le mode de création des fichiers PostScript varie considérablement d’une application à l’autre, les fichiers PostScript obtenus peuvent être exagérément volumineux et complexes. De plus, des problèmes de fiabilité (polices manquantes, fichiers corrompus, éléments graphiques manquants et fonctions non prises en charge) peuvent se produire au moment de la sortie. En réponse à cela, Adobe et ses partenaires continuent de créer des solutions de flux de production de publication fiables basées sur le format PDF. InDesign vous permet d’exporter un document sous la forme d’un fichier Adobe PDF composite appelé gabarit numérique. Ces gabarits numériques sont des fichiers fiables et de taille réduite que vous (ou votre prestataire de services prépresse) pouvez visualiser, modifier, organiser et utiliser en tant qu’épreuve. Par la suite, au stade approprié du flux de production, le prestataire de services de prépresse peut soit créer le PDF directement, soit l’ouvrir dans différents outils pour réaliser des opérations de post-traitement telles que le contrôle en amont, le recouvrement, l’imposition et la séparation de couleurs. Fichiers PDF dans le flux de production La plupart des grands imprimeurs utilisent le format PDF pour rationaliser les tâches de révision et de production. De nombreux magazines et journaux, par exemple, ont adopté PDF comme format standard pour communiquer les encarts publicitaires aux imprimeurs locaux par satellite ou ligne RNIS. Grâce à ce format, les imprimeurs peuvent visualiser instantanément l’encart publicitaire tel qu’il a été conçu, effectuer des corrections de texte de dernière minute et imprimer en toute fiabilité à partir de n’importe quel ordinateur.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• La technologie d’impression Adobe PostScript 3, pour la compatibilité interplate-forme, le recouvrement Adobe In-RIP, les séparations de couleurs in-RIP et les dégradés lissés.

• Adobe InDesign CS4, intégrant des fonctionnalités de mise en page haute résolution et un traitement direct au format PDF.

• PDF/X, norme ISO d’échange de contenus graphiques qui permet d’éliminer de nombreuses variables de couleur, de police et de recouvrement pouvant entraîner des problèmes d’impression.

Un flux de production composite haute résolution PDF comprend généralement un périphérique d’impression PostScript 3 dont le processeur RIP prend en charge les séparations in-RIP. Par conséquent, si vous utilisez un périphérique d’impression PostScript Niveau 2 ou qui ne prend pas en charge les séparations in-RIP, utilisez un flux de production d’impression PostScript préséparé.

« A propos des normes PDF/X » à la page 555

• Utilisez la fonction Contrôle en amont d’InDesign pour vous assurer que la résolution d’image et les espaces colorimétriques sont corrects, que les polices sont disponibles et peuvent être incorporées, que les graphiques sont

• Affichez les paramètres d’exportation Adobe PDF avant de lancer l’exportation et modifiez-les si nécessaire. La zone Synthèse comprend une section dans laquelle un message d’avertissement s’affiche lorsqu’un paramètre prédéfini ne peut pas être mis en œuvre.

• Si vos illustrations contiennent des transparences, des surimpressions et des ombres portées et que vous voulez une sortie haute résolution, il est conseillé de prévisualiser les effets de l’aplatissement à l’aide du panneau Aperçu de l’aplatissement avant d’enregistrer le fichier.

• Si votre illustration comprend des transparences, demandez au prestataire de services prépresse s’il souhaite que celles-ci soient aplaties ou non dans les fichiers PDF. Il est recommandé que l’aplatissement soit effectué le plus tard possible dans le flux de production, de préférence par le prestataire de services. Toutefois, si votre prestataire de services souhaite que vous procédiez vous-même à l’aplatissement de la transparence, fournissez-lui un fichier compatible PDF/X-1a.

• Si votre document contient des séparations de couleurs, vous pouvez les prévisualiser, ainsi que les limites de couverture d’encre, à l’aide du panneau Aperçu des séparations.

• Utilisez exclusivement des images haute résolution dans votre document.

• Pour obtenir de meilleurs résultats, utilisez uniquement des images CMJN en quadrichromie. Vous pouvez également choisir de convertir les images RVB en CMJN dans la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF (catégorie Sortie).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

« Définition de profils de contrôle en amont » à la page 679

« Aplatissement d’une illustration avec transparence » à la page 495 « Aperçu des séparations de couleurs » à la page 700

Génération d’un fichier PDF prêt pour l’impression

Un prestataire de services peut utiliser Acrobat 7.0 Professional ou version ultérieure pour réaliser les tâches de contrôle en amont et de séparation des couleurs. Acrobat Professional contient des outils avancés supplémentaires de contrôle en amont, notamment la capacité d’effectuer certaines corrections de façon automatique. Diverses applications de prépresse et technologies in-RIP permettent également de réaliser les tâches de contrôle en amont, de recouvrement et d’imposition, ainsi que les séparations de couleurs des pages dans le gabarit. Si vous choisissez d’omettre les images au moment de créer le fichier Adobe PDF, assurez-vous que le prestataire de services prépresse peut accéder aux images haute résolution requises pour l’impression. Vérifiez également que le prestataire de services de prépresse dispose d’Acrobat Reader 7.0 ou version ultérieure pour pouvoir visualiser avec précision le texte et les images en couleur. Pour une qualité de visualisation optimale, Acrobat 8 Professional (ou une version ultérieure) est recommandé. Si vous utilisez la gestion des couleurs dans votre flux de production, vous pouvez tirer parti de la précision des profils colorimétriques pour réaliser une prévisualisation à l’écran (vérification à l’écran). Vous pouvez ainsi visualiser l’aspect qu’auront les couleurs lorsqu’elles seront reproduites sur un périphérique d’impression particulier. Remarque : à moins que vous n’utilisiez un système de gestion des couleurs (SGC) avec des profils ICC précis et un moniteur étalonné avec exactitude, les couleurs à l’écran risquent de ne pas être fiables. 1 Préparez le document à exporter au format Adobe PDF. 2 Procédez à l’exportation en vous appuyant sur le fichier .joboptions que vous a fourni le prestataires de services. Si

vous ne disposez pas de fichier .joboptions spécifique, utilisez un paramètre prédéfini PDF/X.

3 Effectuez un contrôle en amont du PDF dans Adobe Acrobat 7.0 Professional ou version ultérieure. 4 Lancez une épreuve et corrigez le fichier PDF. 5 Remettez le fichier optimisé à votre prestataire de services de prépresse.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez améliorer l’accessibilité et les possibilités de réutilisation des documents Adobe PDF en ajoutant des balises aux documents InDesign avant de les exporter. Si le document PDF ne contient pas de balises, il se peut qu’Adobe Reader ou Adobe Acrobat tente de le baliser lorsque l’utilisateur essaie de le lire ou de le redistribuer, mais les résultats risquent d’être décevants. Si le fichier Adobe PDF ne donne pas les résultats escomptés, vous pouvez utiliser les outils disponibles dans Acrobat 6.0 Professional ou version ultérieure, pour modifier la structure du document PDF balisé. Utilisez Acrobat 9 Professional pour bénéficier des outils les plus avancés. Lorsque vous appliquez des balises à un document à exporter au format PDF, ces balises ne déterminent pas quel est le contenu à exporter, comme c’est le cas avec l’exportation XML. Elles fournissent simplement à Acrobat des informations supplémentaires sur la structure du document. Avantages de l’utilisation des balises En appliquant des balises à un document avant de l’exporter au format PDF, vous pouvez :

• Mettre en correspondance les styles de paragraphe InDesign et les balises Adobe PDF afin de créer un fichier PDF dont le contenu peut être redistribué en vue de l’adapter à des appareils de poche et à d’autres supports.

• Baliser et masquer les artefacts d’impression, le texte et les images pour qu’ils n’apparaissent pas une fois le contenu redistribué au format Acrobat. Par exemple, si vous attribuez une balise de type Artefact à un élément dans un document, puis que vous créez un fichier Adobe PDF balisé à partir de ce document, l’élément en question ne s’affichera pas une fois le contenu du PDF redistribué sur un appareil de poche, sur un petit écran ou sur un moniteur standard à un niveau de zoom élevé.

• Associer à une image un texte de remplacement destiné à être lu à voix haute par un logiciel de lecture d’écran pour malvoyants.

• Remplacer les lettres graphiques, telles que les lettrines ornées, par des lettres pouvant être lues à voix haute.

• Donner un titre à un ensemble d’articles ou regrouper vos articles et illustrations sous forme de reportages. • Classer vos articles et illustrations afin de définir un ordre de lecture. • Permettre l’identification des tableaux, des listes mises en forme et des tables des matières. Associer les différents blocs de contenu aux articles dont ils dépendent.

• Intégrer d’autres informations de mise en forme de texte, notamment les valeurs Unicode des caractères, l’intermots et la distinction entre les traits d’union et les tirets conditionnels.

« Présentation du volet Structure » à la page 644 « Balisage d’éléments » à la page 639

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour vous assurer que les documents Adobe PDF pourront être correctement réutilisés, vous devez leur ajouter des balises. L’ajout de balises permet de définir la structure logique, ou structure organisationnelle sous-jacente, du document. La structure logique correspond à l’organisation du contenu du document (page de titre, chapitres, sections, sous-sections, etc.). Elle peut être utilisée pour définir un ordre de lecture précis et faciliter la navigation, notamment si le document est long et complexe, sans pour autant modifier l’aspect du PDF. Les personnes souffrant de déficiences visuelles qui éprouvent des difficultés à lire les documents peuvent avoir recours à des dispositifs d’assistance destinés à rendre le contenu accessible. La plupart des dispositifs d’assistance s’appuient sur la structure logique d’un document pour faire passer le sens du texte ou d’une image sous une forme alternative, par exemple sous forme audio. Dans un document non balisé, une telle structure n’existe pas : Acrobat doit déterminer comment le document est agencé sur la base des paramètres d’ordre de lecture définis dans les préférences. Cette méthode n’est pas fiable et, dans de nombreux cas, les différents éléments de page sont lus dans un ordre incorrect ou ne peuvent tout simplement pas être lus. Les balises s’affichent au niveau de l’onglet Balises d’Acrobat 6.0 ou version ultérieure et sont imbriquées suivant les paramètres de liaison définis pour chacun des éléments balisés. Il est impossible de modifier les balises dans Acrobat Standard. Si vous devez travailler directement avec des balises, utilisez Adobe Acrobat 9 Professional. Pour plus de détails, reportez-vous à l’Aide d’Acrobat.

Structure logique affichée sur l’onglet Balises dans Acrobat 9

Remarque : les balises utilisées dans les fichiers Adobe PDF peuvent être comparées à celles utilisées dans les fichiers HTML et XML. Pour en savoir plus sur les concepts fondamentaux du balisage de documents, consultez les nombreux ouvrages de référence disponibles en librairie, dans les bibliothèques et sur Internet.

Principes de base et méthodes d’optimisation de la redistribution

Vous pouvez redistribuer le contenu d’un document PDF de sorte que celui-ci puisse être lu sur un appareil de poche, sur un écran de petite taille ou sur un moniteur standard à un niveau de zoom élevé, sans qu’il soit nécessaire de faire défiler les lignes dans le sens horizontal.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

En tant qu’auteur, vous pouvez optimiser les documents PDF pour la redistribution en y insérant des balises. L’insertion de balises permet de s’assurer que les blocs de texte sont correctement réagencés et que le contenu se présente dans l’ordre prévu, de sorte que les lecteurs puissent suivre le fil d’un article qui s’étend sur plusieurs pages et plusieurs colonnes sans que le cours de la lecture soit interrompu pas d’autres articles. L’ordre de lecture est défini au niveau de la structure du document ; il est possible de modifier cette structure par le biais du volet Structure.

Les titres et les colonnes (en haut) sont redistribués suivant l’ordre de lecture logique (en bas).

« Réorganisation des éléments structurés » à la page 645

Balisage d’éléments de page

Vous pouvez baliser des blocs de texte et des blocs graphiques automatiquement ou manuellement. Après avoir balisé des éléments de page, vous pouvez utiliser le volet Structure pour modifier l’ordre de votre page en faisant glisser les éléments vers un nouvel emplacement dans la hiérarchie. Si vous modifiez l’ordre des éléments dans le volet Structure, ces modifications seront prises en compte dans le fichier Adobe PDF. L’ordre des éléments est utile lorsque le fichier PDF est enregistré en tant que fichier HTML ou XML à partir d’Acrobat. Il l’est également lors de l’exportation d’un document InDesign pour Dreamweaver (XHTML) ou Digital Editions (EPUB).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour baliser des éléments de page automatiquement Lorsque vous choisissez la commande Ajouter les éléments sans balise, InDesign ajoute des balises au panneau Balises et applique les balises Article et Image à certains éléments de page sans balise. La balise Article est appliquée à tout bloc de texte non balisé et la balise Image est appliquée à tout graphique non balisé. Vous pouvez ensuite appliquer manuellement d’autres balises à des sections de texte. Néanmoins, le balisage automatique des éléments de page ne garantit pas que les éléments seront structurés en conséquence dans le fichier PDF exporté. 1 Choisissez la commande Fenêtre > Utilitaires > Balises pour afficher le panneau Balises. 2 Pour afficher le volet Structure, choisissez Affichage > Structure > Afficher la structure (le volet apparaît sur le côté

gauche de la fenêtre Document).

3 Choisissez Ajouter les éléments sans balise dans le menu du volet Structure.

Balises répertoriées dans le volet Structure et le panneau Balises

Pour baliser des éléments de page manuellement

1 Choisissez la commande Fenêtre > Utilitaires > Balises pour afficher le panneau Balises. 2 Pour afficher le volet Structure, choisissez Affichage > Structure > Afficher la structure (le volet apparaît sur le côté

gauche de la fenêtre Document).

3 Choisissez Ajouter les éléments sans balise dans le menu du volet Structure. 4 Sélectionnez un élément de page dans le document. 5 Sélectionnez une balise dans le panneau Balises. Tenez compte des suggestions d’usage suivantes pour certains

types de balises importées :

Artefact Cette balise permet de masquer les éléments de page, tels que les numéros de page ou les objets de moindre importance, lorsque vous affichez le fichier PDF exporté dans une vue redistribuée ; seuls les éléments balisés sont

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Image Cette balise convient aux graphiques importés. La balise Image est appliquée à tous les blocs graphiques sans

balise figurant dans le document lorsque vous sélectionnez l’option Ajouter les éléments sans balise.

Balises Paragraphe (P, H, H1-H6) Ces balises n’ont aucun effet sur le texte PDF exporté affiché dans une vue

redistribuée. Néanmoins, elles peuvent parfois être utiles lors de l’exportation d’un fichier PDF au format HTML.

Article Cette balise convient aux articles. La balise Article est appliquée à tous les blocs de texte sans balise lorsque vous

sélectionnez l’option Ajouter les éléments sans balise. Supposons, par exemple, que votre document InDesign comporte trois styles de paragraphe : Head1, Head2 et Body. Commencez par associer les styles de paragraphe aux balises H1, H2 et P respectivement. Exportez ensuite le document au format PDF. Lorsque vous aurez exporté le document PDF au format HTML ou XML dans Acrobat, les paragraphes dotés des balises H1, H2 et P seront affichés de la façon appropriée (caractères gras de grande taille pour H1, par exemple) dans un navigateur Web. Pour plus de détails sur l’exportation du document PDF au format HTML ou XML, reportez-vous à la documentation d’Adobe

Pour faire en sorte qu’un lecteur d’écran puisse décrire les éléments graphiques illustrant les aspects importants du document, vous devez fournir les descriptions correspondantes. Les images et les séquences multimédias ne seront pas reconnues ou ne pourront pas être décrites par un lecteur d’écran si le texte de remplacement n’a pas été fourni au niveau des propriétés de la balise.

L’attribut Alt text vous permet de créer un texte destiné à se substituer à une image. L’attribut ActualText est similaire à l’attribut Alt text dans le sens où le texte défini apparaît également à la place d’une image, mais ce texte se substitue à une image faisant partie d’un mot, comme c’est le cas pour les lettrines. Dans cet exemple, l’attribut ActualText fait en sorte que la lettrine soit lue comme faisant partie du mot. Lorsque vous exportez un fichier au format Adobe PDF, les valeurs des attributs Alt text et ActualText sont enregistrées dans le fichier PDF et peuvent être consultées dans Acrobat 6.0 ou toute version ultérieure. Ces informations textuelles peuvent alors être utilisées lorsque le fichier PDF est enregistré en tant que fichier HTML ou XML à partir d’Acrobat. Pour plus de détails, reportez-vous à la documentation d’Adobe Acrobat. 1 Au besoin, choisissez la commande Affichage > Structure > Afficher la structure pour afficher le volet Structure,

puis sélectionnez la commande Fenêtre > Utilitaires > Balises pour afficher le panneau Balises.

2 Choisissez Ajouter les éléments sans balise dans le menu du volet Structure. 3 Pour vous assurer que l’image porte la balise Image, sélectionnez l’image, puis sélectionnez Image dans le panneau

4 Sélectionnez l’élément Image dans le volet Structure, puis choisissez Nouvel attribut dans le menu du volet

6 Dans le champ Valeur, saisissez le texte qui s’affichera à la place de l’image.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Pour grouper des éléments de page, sélectionnez Nouvel élément dans le menu du volet Structure, sélectionnez l’élément Article dans le panneau Balises, puis faites glisser des éléments de page pour les positionner sous cet élément dans le volet Structure.

• Pour attribuer un nom à un groupe d’éléments, cliquez avec le bouton droit sur l’élément Article dans le volet

Structure, puis sélectionnez Nouvel attribut. Dans le champ Nom, saisissez Titre. Dans le champ Valeur, saisissez le nom à attribuer à l’article.

« Présentation du volet Structure » à la page 644

Dernière mise à jour le 18/5/2011

SWF Un fichier SWF exporté est directement lisible dans Adobe Flash Player et peut se composer d’éléments

interactifs comme des transitions de page, des hyperliens, des séquences vidéo et audio, des animations et des boutons de navigation.

FLA Un fichier FLA exporté contient quelques éléments interactifs seulement. Vous pouvez ouvrir un fichier FLA dans Flash Pro pour y ajouter des effets élaborés avant son exportation au format SWF.

A B Exportation vers Flash

A. Exportation directe au format SWF B. Exportation au format FLA pour modification dans Flash Professional Lors de l’exportation au format SWF, vous créez un fichier interactif directement lisible dans Adobe Flash Player ou un navigateur Web. Le fichier SWF peut inclure des boutons, des transitions de page, des fichiers vidéo et audio, des animations et des hyperliens qui ont été ajoutés dans InDesign. L’exportation au format SWF est un bon moyen de créer un diaporama interactif, ou folioscope, à partir d’un document InDesign. Pour modifier le document dans Flash Pro avant de créer le fichier SWF, exportez-le plutôt au format FLA (voir la section « Création de fichiers FLA pour le Web » à la page 577).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

la configuration d’un document pour l’exportation, voir la section « Problèmes d’exportation vers Flash » à la page 580).

• Ajoutez des boutons de navigation qui permettront aux utilisateurs de parcourir les pages du fichier SWF exportés. Vous pouvez créer un bouton en dessinant un objet et en le convertissant en bouton au moyen du panneau Boutons (Fenêtre > Objet interactif > Boutons). Vous pouvez également faire glisser des boutons de navigation dans votre document depuis le panneau Boutons exemples (voir la section « Création de boutons »

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Pour exporter le document au format SWF, choisissez la commande Fichier > Exporter. Choisissez l’option

Flash Player (SWF) dans le menu Type (Windows) ou Format (Mac OS), puis cliquez sur le bouton Enregistrer.

3 Dans la boîte de dialogue Exporter au format SWF, définissez les options voulues, puis cliquez sur le bouton OK

(voir la section « Options d’exportation au format SWF » à la page 576).

Lorsque vous exportez un fichier SWF, des fichiers HTML et SWF distincts sont créés. Si le fichier SWF comprend des films et des sons, un dossier Resources est également créé. Lorsque vous transmettez ou téléchargez des fichiers sur le Web, veillez à ne pas oublier de fichiers.

Options d’exportation au format SWF Les options suivantes sont disponibles dans les onglets Général et Avancé de la boîte de dialogue Exporter au format SWF.

Exporter Indiquez si vous voulez exporter la sélection en cours, l’ensemble des pages du document ou une série de

pages. L’option Sélection est particulièrement utile pour enregistrer le fichier SWF exporté en vue de l’utiliser dans un fichier PDF exporté. Si vous choisissez l’option Etendue, indiquez une étendue de pages, par exemple 1-7, 9 pour inclure les pages 1 à 7 et 9 (voir la section « Spécification des pages à imprimer » à la page 658).

Générer le fichier HTML Sélectionnez cette option pour générer une page HTML de lecture du fichier SWF. Vous

disposez ainsi d’un moyen très rapide de prévisualiser le fichier SWF dans votre navigateur Web.

Afficher le fichier SWF après exportation Sélectionnez cette option pour lire le fichier SWF dans votre navigateur Web par défaut. Cette option est disponible uniquement si vous décidez de générer un fichier HTML. Taille (pixels) Précisez le mode de définition de la taille du fichier SWF : mise à l’échelle exprimée en pourcentage,

adaptation aux dimensions de moniteur spécifiées ou redimensionnement en fonction des valeurs de largeur et hauteur saisies.

Arrière-plan Indiquez si l’arrière-plan du fichier SWF doit être transparent ou s’il doit utiliser la teinte du papier

actuellement définie dans le panneau Nuancier. Les options Transitions de page et Inclure le coin interactif de la page sont désactivées lorsque l’option Transparent est sélectionnée.

Interactivité et multimédia Sélectionnez l’option Tout inclure pour préserver l’interactivité des séquences vidéo et audio, des boutons et des animations dans le fichier SWF exporté. Sélectionnez l’option Aspect seulement pour inclure les boutons et les affiches vidéo dans leur état normal, en tant qu’éléments statiques. Si vous choisissez l’option Aspect seulement, les animations sont exportées telles qu’elles se présentent dans la mise en page au moment de l’exportation. L’option Aspect seulement est sélectionnée dès lors que vous choisissez l’option Aplatir la transparence dans le panneau Avancé. Transitions de page Définissez la transition de page à appliquer à l’ensemble des pages lors de l’exportation. Si vous

effectuez cette opération au moyen du panneau Transitions de page, choisissez l’option Du document afin d’utiliser ces paramètres.

Inclure le coin de page interactif Si vous sélectionnez cette option, les utilisateurs qui visualiseront le fichier SWF

pourront tourner les pages en faisant glisser le coin, comme s’il s’agissait d’un livre réel.

Cadence La cadence agit proportionnellement sur la fluidité des animations et sur la taille du fichier. En revanche, la modification de la cadence n’a aucune incidence sur la durée de la lecture.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Il en résulte toutefois un fichier SWF plus volumineux, ainsi que des éléments de page aux bords dentelés lorsque vous effectuez un zoom avant. Aplatir la transparence Cette option permet de supprimer les effets de transparence dynamique dans le fichier SWF tout en préservant l’aspect des objets transparents. Néanmoins, son application a pour effet d’annuler toute interactivité du fichier SWF exporté. Compression Choisissez l’option Automatique pour laisser à InDesign le soin de déterminer la qualité optimale des

images en couleurs et en niveaux de gris. Cette option donne des résultats satisfaisants pour la plupart des fichiers.

L’option JPEG (avec perte) convient aux images en niveaux de gris et en couleurs. La compression JPEG est un mode de compression avec perte de données, ce qui signifie qu’elle supprime des données de l’image, entraînant parfois une baisse de la qualité image. Toutefois, cette compression tente de réduire la taille du fichier avec une perte minimale d’informations. En raison de cette suppression de données, la compression JPEG produit des fichiers nettement plus petits. L’option PNG (sans perte) permet d’exporter le fichier en utilisant un mode de compression sans perte de données. Choisissez l’option PNG (sans perte) pour améliorer la qualité d’image si vous observez une détérioration des images transparentes lors de l’exportation au format SWF. Qualité JPEG Spécifie le niveau de détail de l’image exportée. Plus la qualité est grande, plus le fichier est volumineux. Cette option est estompée si vous choisissez la compression PNG (sans perte). Résolution Indiquez la résolution des images bitmap dans le fichier SWF exporté. Une résolution élevée est

particulièrement importante pour permettre aux utilisateurs d’effectuer un zoom avant sur du contenu en pixels dans le fichier SWF exporté. Le choix d’une résolution élevée peut néanmoins entraîner une augmentation significative de la taille du fichier.

« Problèmes d’exportation vers Flash » à la page 580 Vidéo d’exportation vers Flash Si vous voulez exporter le document InDesign dans un format lisible directement dans un navigateur Web, optez pour le format SWF plutôt que le format FLA (voir la section « Création de fichiers SWF (Flash) interactifs pour le Web » à la page 574).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

3 Dans la boîte de dialogue Exporter au format Flash CS5 Professional (FLA), définissez les options voulues, puis

cliquez sur le bouton OK. Pour plus de détails sur les options d’exportation, reportez-vous à la section « Options d’exportation au format FLA » à la page 579.

4 Ouvrez le fichier FLA exporté dans Flash Professional.

Pour consulter un didacticiel vidéo sur les options d’exportation au format FLA, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid5154_id_en.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

pages. Si vous choisissez l’option Etendue, indiquez une étendue de pages, par exemple 1-7, 9 pour inclure les pages 1 à 7 et 9 (voir la section « Spécification des pages à imprimer » à la page 658). Pixelliser les planches Cette option a pour effet de convertir tous les éléments des pages InDesign en images bitmap. Il en résulte toutefois un fichier FLA plus volumineux, ainsi que des éléments de page aux bords dentelés lorsque vous effectuez un zoom avant. Aplatir la transparence Cette option a pour effet d’aplatir tous les objets dotés de transparence. Gardez toutefois à l’esprit que les objets aplatis sont parfois difficiles à animer dans Adobe Flash Pro. Taille (pixels) Précisez le mode de définition de la taille du fichier FLA : mise à l’échelle exprimée en pourcentage,

adaptation aux dimensions de moniteur spécifiées ou redimensionnement en fonction des valeurs de largeur et hauteur saisies.

Interactivité et multimédia Sélectionnez l’option Tout inclure pour inclure des séquences vidéo et audio, des boutons et des animations dans le fichier FLA exporté. Si le document comporte un objet à états multiples, ce dernier est converti en un symbole de séquence vidéo dans lequel chaque état apparaît sur sa propre image dans le montage.

Sélectionnez l’option Aspect seulement pour inclure les boutons et les affiches vidéo dans leur état normal, en tant qu’éléments statiques. Si vous choisissez l’option Aspect seulement, les animations sont exportées telles qu’elles se présentent dans la mise en page au moment de l’exportation. L’option Aspect seulement est sélectionnée dès lors que vous choisissez l’option Aplatir la transparence.

Texte Précisez le mode de sortie du texte InDesign. Choisissez l’option Texte Flash TLF si vous voulez profiter du large éventail d’attributs Text Layout Framework disponible dans Flash Professional. Dans cas, sélectionnez aussi l’option Insérer des points de tirets conditionnels pour permettre la césure. Optez pour l’option Texte Flash classique si vous voulez obtenir du texte permettant les recherches. Cette solution limite également la taille du fichier. Choisissez l’option Vectoriser pour traiter le texte comme une série de lignes droites régulières, comme lors de la vectorisation du texte. Choisissez l’option Pixelliser pour convertir le texte en image bitmap. Il est à noter que le texte pixellisé peut présenter des bords irréguliers lors du zoom avant. Compression Choisissez l’option Automatique pour laisser à InDesign le soin de déterminer la qualité optimale des

images en couleurs et en niveaux de gris. Cette option donne des résultats satisfaisants pour la plupart des fichiers.

L’option JPEG (avec perte) convient aux images en niveaux de gris et en couleurs. La compression JPEG est un mode de compression avec perte de données, ce qui signifie qu’elle supprime des données de l’image, entraînant parfois une baisse de la qualité image. Toutefois, cette compression tente de réduire la taille du fichier avec une perte minimale d’informations. En raison de cette suppression de données, la compression JPEG produit des fichiers nettement plus petits. L’option PNG (sans perte) permet d’exporter le fichier en utilisant un mode de compression sans perte de données. Qualité JPEG Spécifie le niveau de détail de l’image exportée. Plus la qualité est grande, plus le fichier est volumineux. Cette option est estompée si vous choisissez la compression PNG (sans perte). Résolution Indiquez la résolution des images bitmap dans le fichier FLA exporté. Une résolution élevée est

particulièrement importante pour permettre aux utilisateurs d’effectuer un zoom avant sur du contenu en pixels. Le choix d’une résolution élevée peut néanmoins entraîner une augmentation significative de la taille du fichier.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

InDesign deviennent des clips distincts dans le montage, comme les diapositives d’un diaporama. Chacune de ces planches correspond à une nouvelle image clé. Pour passer d’une planche à une autre dans Flash Player, vous pouvez vous servir des touches fléchées ou cliquer sur des boutons interactifs. Lors de la création d’un document destiné au Web, choisissez l’option Web dans le menu Mode de la boîte de dialogue Nouveau document. Format de page Lorsque vous créez un document, vous pouvez choisir une résolution spécifique (par exemple,

800 x 600) à partir du menu Format de page de la boîte de dialogue Nouveau document. Au moment de l’exportation, vous avez également la possibilité de modifier l’échelle ou la résolution du fichier SWF ou FLA exporté.

Fonctions d’interactivité Il est possible d’inclure des boutons, des transitions de page, des hyperliens, des animations et des fichiers multimédias dans les fichiers SWF et FLA exportés. Boutons Dans un fichier SWF ou FLA exporté, les boutons associés aux actions Page suivante et Page précédente sont particulièrement utiles pour faciliter la lecture dans Flash Player. En revanche, certaines actions qui fonctionnent parfaitement dans les fichiers PDF interactifs n’ont aucun effet dans Flash Player. Evitez de sélectionner une option de la section PDF seulement lors du choix d’une action dans le panneau Boutons.

Vous pouvez associer des boutons de navigation prédéfinis aux actions Page suivante et Page précédente. Il vous suffit de choisir la commande Boutons exemples dans le menu du panneau Boutons (voir la section « Ajout d’un bouton à partir du panneau Boutons exemples » à la page 613).

Transitions de page Toutes les transitions de page fonctionnent bien dans Flash Player. En complément des

transitions de page qui apparaissent lors du changement de page, vous pouvez inclure pendant l’exportation la fonction de coin de page interactif qui permet de faire glisser le coin de la page pour la tourner.

Hyperliens Créez des liens renvoyant à des sites Web ou à d’autres pages du document. Dans les fichiers FLA, les hyperliens ne sont pas maintenus. Séquences vidéo et audio Les séquences vidéo et audio sont incluses dans un fichier SWF exporté à condition de se

présenter dans un format pris en charge (SWF, FLV, F4V et MP4 pour les séquences vidéo ou MP3 pour les séquences audio).

Lors de l’exportation au format FLA, seule l’affiche est incluse dans le fichier. Les fichiers multimédias pris en charge figurent dans un dossier de ressources enregistré au même emplacement que le fichier FLA exporté. Problèmes de conversion Couleur Les fichiers SWF et FLA utilisent les couleurs RVB. Lorsque vous exportez un document au format SWF

ou FLA, InDesign convertit tous les espaces colorimétriques (par exemple, CMJN et LAB) en sRVB. De même, les tons directs sont convertis en leur équivalent quadri RVB.

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Compression d’image, Qualité JPEG et Résolution. Lorsque vous exportez des images au format FLA, une image importée à plusieurs reprises dans un document InDesign est enregistrée comme une seule ressource avec un emplacement partagé. Gardez toutefois à l’esprit qu’un grand nombre d’images vectorielles dans le document InDesign risque de compromettre sérieusement les performances du fichier exporté. Pour contenir la taille du fichier, pensez à importer les images répétées sur les gabarits, et évitez de copier et coller les images. Si vous importez plusieurs fois une même image dans le document sans la transformer ou la recadrer, une seule copie du fichier d’image est exportée dans le fichier FLA. Les images que vous copiez et collez sont, quant à elles, considérées comme des objets distincts. Par défaut, un fichier Illustrator importé est traité comme une seule image dans le fichier FLA. Si, en revanche, vous copiez et collez un fichier Illustrator, vous générez autant d’objets indépendants. Pour obtenir un résultat optimal, il est préférable d’importer l’image Illustrator sous forme de fichier PDF au lieu de la copier et de la coller à partir d’Illustrator. Vous évitez ainsi de créer d’innombrables tracés modifiables. Pour vous assurer que chaque objet Illustrator que vous collez reste un seul objet et non un ensemble de petits vecteurs, pensez à modifier certaines préférences. Dans les préférences Illustrator Gestion des fichiers et presse-papiers, sélectionnez l’option PDF, puis désélectionnez l’option AICB (pas de prise en charge des transparences). Dans les préférences InDesign Gestion du presse-papiers, sélectionnez les options Préférer le PDF au collage et Copier dans le presse-papiers au format PDF. Transparence Avant de procéder à l’exportation au format SWF, vous devez vous assurer que les objets transparents

ne chevauchent aucun élément interactif tel qu’un bouton ou un hyperlien. En effet, le cas échéant, l’interactivité de cet élément risque d’être perdue pendant l’exportation. Vous pouvez éventuellement aplatir les transparences avant d’exporter votre document au format FLA.

Il arrive parfois qu’une compression avec perte de données amoindrisse la qualité des images comportant des transparences. Choisissez l’option PNG (sans perte) pour améliorer la qualité des images lors de l’exportation. Attributs 3D Les attributs 3D ne sont pas pris en charge dans les fichiers SWF et FLA exportés.

Documents PDF dynamiques

La création d’un document PDF dynamique est un bon moyen de produire un diaporama interactif. Vous pouvez créer des documents interactifs comportant des boutons, des séquences vidéo et audio, des hyperliens, des signets et des transitions de page. Vous pouvez également configurer des documents dans InDesign en vue de les convertir en formulaires dans Acrobat.

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Adobe Acrobat ou Adobe Reader. Chaque signet renvoie à une page, un élément de texte ou une image du fichier PDF exporté (voir la section « Signets » à la page 585). Séquences vidéo et audio Vous pouvez ajouter des séquences vidéo et audio à un document ou encore créer des liens

vers des fichiers vidéo exécutés en continu sur Internet. Il est alors possible de lire ces séquences vidéo et audio dans le fichier PDF exporté (voir la section « Films et sons » à la page 601).

Hyperliens Les hyperliens présents dans un document PDF exporté permettent d’accéder directement à d’autres emplacements du même document, à d’autres documents PDF ou à des sites Web. (voir la section « Hyperliens » à la page 587). Références croisées Les références croisées renvoient le lecteur d’une partie à une autre du fichier PDF exporté. Elles sont particulièrement utiles dans les guides de l’utilisateur et les manuels de référence. Lors de l’exportation au format PDF d’un document contenant des références croisées, celles-ci se comportent comme des hyperliens interactifs (voir la section « Références croisées » à la page 594). Transitions de page Les transitions de page sont des effets décoratifs, tels qu’un fondu ou un balayage, qui

accompagnent le passage d’une page à une autre dans le document PDF exporté et visualisé en mode plein écran (voir la section « Transitions de page » à la page 610).

1 Choisissez Fichier > Exporter. 2 Entrez un nom de fichier et choisissez un emplacement. 3 Dans la zone Type (Windows) ou Format (Mac OS) de la boîte de dialogue Enregistrer sous, choisissez l’option

Adobe PDF (interactif), puis cliquez sur le bouton Enregistrer.

4 Définissez les options voulues dans la boîte de dialogue Exporter au format PDF interactif, puis cliquez sur le

Pages Indiquez si vous voulez exporter l’ensemble des pages du document ou une série de pages. Si vous choisissez l’option Etendue, indiquez une étendue de pages, par exemple 1-7, 9 pour inclure les pages 1 à 7 et 9 (voir la section

« Spécification des pages à imprimer » à la page 658). Afficher après l’exportation Ouvre le fichier PDF nouvellement créé dans l’application de visualisation PDF par

Incorporer les vignettes de page Crée un aperçu sous forme de vignette pour chaque page à exporter ou une vignette pour chaque planche si l’option Planches est sélectionnée. La vignette s’affiche dans les boîtes de dialogue InDesign Ouvrir ou Importation. L’ajout de vignettes augmente la taille du fichier PDF. Créer des calques Acrobat Enregistre chaque calque InDesign sous forme de calque Acrobat dans le PDF. Les calques

étant entièrement accessibles, les utilisateurs d’Adobe Acrobat 6.0 et versions ultérieures peuvent créer plusieurs versions d’un document à partir d’un seul fichier PDF.

Créer un PDF balisé Balise automatiquement les éléments de l’article pendant l’exportation, selon un sous-ensemble

de balises Acrobat pris en charge par InDesign. Ce balisage comprend la reconnaissance des paragraphes, des options

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Présentation Sélectionnez l’option Ouvrir en mode Plein écran pour afficher le document PDF sans menus ni

panneaux dans Adobe Acrobat ou Adobe Reader. Pour permettre le défilement automatique des pages, sélectionnez l’option Changer de page toutes les, puis indiquez le délai voulu, en secondes.

Transitions de page Définissez la transition de page à appliquer à l’ensemble des pages lors de l’exportation. Si vous

effectuez cette opération au moyen du panneau Transitions de page, choisissez l’option Du document afin d’utiliser ces paramètres.

Boutons et multimédia Sélectionnez l’option Tout inclure pour préserver l’interactivité des séquences vidéo et audio

et des boutons dans le fichier PDF exporté. Sélectionnez l’option Aspect seulement pour inclure les boutons et les affiches vidéo dans leur état normal, en tant qu’éléments statiques.

Compression Choisissez l’option JPEG (avec perte) pour supprimer des données de l’image, ce qui peut entraîner une

baisse de la qualité graphique. La taille du fichier est toutefois réduite avec une perte minimale d’informations.

Choisissez l’option JPEG 2000 (sans perte) pour exporter le fichier en utilisant une compression sans perte de données. Choisissez l’option Automatique pour laisser à InDesign le soin de déterminer la qualité optimale des images en couleurs et en niveaux de gris. Qualité JPEG Spécifie le niveau de détail de l’image exportée. Plus la qualité est grande, plus le fichier est volumineux. Cette option est estompée si vous choisissez la compression JPEG 2000 (sans perte). Résolution Indiquez la résolution des images bitmap dans le fichier PDF exporté. Une résolution élevée est

particulièrement importante pour permettre aux utilisateurs d’effectuer un zoom avant sur du contenu en pixels dans le fichier PDF exporté. Le choix d’une résolution élevée peut néanmoins entraîner une augmentation significative de la taille du fichier.

Création de formulaires PDF A l’inverse d’Adobe Acrobat, InDesign ne propose pas d’outils permettant l’ajout de champs de formulaire.

Néanmoins, rien ne vous empêche de créer, dans InDesign, un formulaire comportant des balises d’emplacements de champs pour des éléments tels que des cases d’option, des cases à cocher et des champs de texte. Vous pouvez ensuite exporter le fichier au format PDF, puis convertir les balises d’emplacement en champs de formulaire dans Acrobat. 1 Dans InDesign, créez le document à utiliser comme formulaire. Utilisez des tableaux et des zones de texte pour

créer des balises d’emplacement de champs.

Vous pouvez également ajouter des boutons interactifs dans InDesign. 2 Exportez le document au format Adobe PDF. 3 Lancez l’assistant de création de formulaire pour convertir les balises d’emplacement en champs de formulaire.

Utilisez les outils de formulaire pour ajouter du contenu au formulaire ou le modifier. Pour plus de détails, reportez-vous à la documentation d’Adobe Acrobat.

• Dans Acrobat X, choisissez Outils > Formulaires > Créer pour lancer l’assistant de création de formulaire.

• Dans Adobe Acrobat 9, choisissez Formulaires > Lancer l’assistant de création de formulaire. Ressources supplémentaires Gabriel Powell propose un didacticiel vidéo intitulé InDesign and Acrobat Forms Workflow, qui explique comment créer un modèle de formulaire PDF dans InDesign et terminer son traitement dans Adobe Acrobat.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez également consulter l’article de Bob Bringhurst, Creating PDF Forms in InDesign, consacré à la création de formulaires PDF dans InDesign.

Aperçu des documents interactifs

Utilisez le panneau Aperçu pour prévisualiser l’interactivité et l’animation de la sélection en cours, de la planche active ou du document complet. Vous pouvez redimensionner ou ancrer le panneau Aperçu, le transformer en panneau flottant ou encore, l’afficher sur un second moniteur. 1 Choisissez la commande Fenêtre > Objet interactif > Aperçu. 2 Pour afficher un aperçu de l’interactivité et de l’animation, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez sur le bouton Définir le mode d’aperçu de la sélection

pour afficher un aperçu de la sélection en

• Cliquez sur le bouton Définir le mode d’aperçu de la planche

• Cliquez sur le bouton Définir le mode d’aperçu du document

pour afficher un aperçu du document en cours.

3 Cliquez sur le bouton Lecture de l’aperçu

pour lire l’aperçu de la sélection, de la planche ou du document. Au besoin, cliquez sur les éléments interactifs du panneau Aperçu, comme les boutons, afin de vérifier leur fonctionnement.

Si vous affichez un aperçu du document, vous pouvez cliquez sur les flèches Atteindre la page précédente et Atteindre la page suivante au bas du panneau pour visualiser d’autres pages. Lors de la modification du document, vous pouvez actualiser l’aperçu en cliquant sur le bouton Lecture de l’aperçu du panneau Aperçu.

Aperçu d’un document dans un navigateur Web

1 Dans le menu du panneau Aperçu, choisissez la commande Test dans le navigateur. 2 Cliquez sur les éléments interactifs du document afin de vérifier leur fonctionnement.

Modification des paramètres d’aperçu

1 Choisissez la commande Modifier les paramètres d’aperçu dans le menu du panneau Aperçu.

La boîte de dialogue Paramètres d’aperçu indique les paramètres actuels de la boîte de dialogue Exporter au format SWF.

2 Modifiez les paramètres à votre convenance (voir la section « Options d’exportation au format SWF » à la

Utilisation du mode de présentation

Le mode de présentation permet de visualiser le document InDesign actif sous forme de présentation. Dans ce mode, la barre de menus de l’application, les panneaux, les repères et les contours de bloc sont masqués. Une couleur sombre est appliquée par défaut à la zone d’arrière-plan au cas où les dimensions de votre document seraient différentes de celles de votre moniteur.

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Adobe PDF. Les signets créés dans un document InDesign s’affichent sur l’onglet Signets, sur le côté gauche de la fenêtre Acrobat ou Adobe Reader. Chaque signet permet d’accéder à une ancre de texte ou à une page. Les entrées d’une table des matières générée sont automatiquement ajoutées au panneau Signets. Vous pouvez également définir des signets supplémentaires pour attirer l’attention du lecteur sur un élément particulier ou pour simplifier encore davantage la consultation d’un document. Des signets peuvent être imbriqués sous d’autres signets. Vous pouvez cependant décider de faire figurer les signets dans l’onglet Signets du document PDF, mais de ne pas faire apparaître la table des matières dans le fichier PDF. Dans ce cas, créez une table des matières sur la dernière page du document. Il vous suffit ensuite de ne pas inclure cette dernière page lors de l’exportation du document au format PDF. Si vous avez inclus cette page dans le document PDF exporté, l’autre possibilité consiste à la supprimer dans Acrobat. 1 Choisissez la commande Fenêtre > Objet interactif > Signets pour afficher le panneau Signets. 2 Cliquez sur le signet qui doit précéder le nouveau signet, faute de quoi ce dernier sera automatiquement inclus à la

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Sélectionnez du texte. Par défaut, le texte sélectionné est utilisé comme libellé du signet. • Cliquez deux fois sur une page du panneau Pages pour l’afficher dans la fenêtre du document. 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour créer le signet :

• Cliquez sur l’icône Créer un nouveau signet du panneau Signets.

• Choisissez la commande Nouveau signet dans le menu du panneau. Les signets sont visibles dans l’onglet Signets, à l’ouverture du fichier PDF exporté dans Adobe Reader ou Acrobat. Remarque : lors de la mise à jour d’une table des matières, les signets sont réorganisés ; ceux qui ont été générés à partir de la table des matières sont affichés en fin de liste.

« Options générales appliquées aux fichiers PDF » à la page 556 « Exportation au format PDF pour l’impression » à la page 548

Utilisez le panneau Signets pour renommer, supprimer et organiser les signets.

Pour renommer un signet

❖ Cliquez sur le signet souhaité dans le panneau Signets, puis choisissez Renommer le signet dans le menu du

Pour supprimer un signet

❖ Cliquez sur le signet souhaité dans le panneau Signets, puis choisissez Supprimer le signet dans le menu du

Pour organiser, regrouper et trier les signets

Vous avez la possibilité d’imbriquer une liste de signets pour indiquer le lien entre diverses sections d’un document. Cette opération permet de créer des listes hiérarchiques basées sur une relation parent/enfant. Vous pouvez développer ou réduire ces listes au gré de vos besoins. La modification de l’ordre des signets imbriqués n’a aucune incidence sur l’aspect du document. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour développer ou réduire la structure hiérarchique des signets, cliquez sur le triangle situé en regard de l’icône correspondant au signet dont vous souhaitez afficher ou masquer les signets enfants.

• Pour imbriquer un signet dans un autre signet, sélectionnez le signet ou le groupe de signets à imbriquer, puis faites glisser l’icône ou les icônes vers le signet parent. Relâchez le bouton de la souris.

Le ou les signets déplacés sont imbriqués dans le signet parent, sans toutefois entraîner le déplacement des pages cibles de leur position d’origine.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Faites glisser les icônes correspondantes au-dessous puis sur la gauche du signet parent. Une barre noire apparaît, indiquant le nouvel emplacement des signets. Relâchez le bouton de la souris.

• Pour modifier l’ordre des signets, sélectionnez un signet et faites-le glisser vers son nouvel emplacement. Une barre noire apparaît, indiquant le nouvel emplacement du signet.

• Pour trier les signets, choisissez Trier les signets dans le menu du panneau Signets. Les signets s’affichent dans l’ordre des pages auxquelles ils renvoient.

Présentation du panneau Hyperliens Vous pouvez créer des hyperliens dans un document de sorte que, une fois le document exporté au format Adobe PDF ou SWF dans InDesign, les utilisateurs puissent cliquer sur ces liens pour accéder directement à d’autres emplacements du document, à d’autres documents PDF ou à des sites Web. Les hyperliens exportés au format PDF ou SWF dans InCopy ne sont pas actifs. La source est un texte, bloc de texte ou bloc graphique lié à la cible. La cible correspond à l’adresse URL, au fichier, à l’adresse de courrier électronique, à l’ancre de texte de la page ou à la destination partagée, accessible grâce à l’hyperlien. La source ne peut avoir qu’une seule cible, mais plusieurs sources peuvent accéder à la même cible. Remarque : si vous souhaitez générer le texte source à partir du texte cible, insérez une référence croisée au lieu d’un hyperlien (voir la section « Références croisées » à la page 594).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour trier les hyperliens dans le panneau Hyperliens ❖ Choisissez la commande Tri dans le menu du panneau Hyperliens, puis sélectionnez l’une des options suivantes : Manuel Affiche les hyperliens en respectant l’ordre dans lequel ils ont été ajoutés au document. Par nom Affiche les hyperliens dans l’ordre alphabétique. Par type Affiche les hyperliens en les regroupant selon leur type.

Pour afficher les hyperliens par petites rangées

❖ Choisissez la commande Petites rangées de panneau dans le menu du panneau Hyperliens.

Création d’hyperliens

Vous pouvez créer des hyperliens renvoyant à des pages, des adresses URL, des ancres de texte, des adresses de courrier électronique et des fichiers. Si vous prévoyez des hyperliens pour accéder à des pages ou ancres de texte d’un autre document, vous devez veiller à ce que les fichiers exportés figurent dans le même dossier. Pour afficher ou masquer les hyperliens, choisissez la commande Affichage > Extras > Afficher les hyperliens ou Masquer les hyperliens. Remarque : pour inclure les hyperliens dans les fichiers Adobe PDF exportés, vous devez sélectionner l’option Hyperliens dans la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF dans InDesign. De même, pour faire figurer les hyperliens dans les fichiers SWF exportés, vous devez sélectionner l’option Inclure les hyperliens dans la boîte de dialogue Exporter au format SWF.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour créer un hyperlien vers une page Web (URL) Il existe plusieurs méthodes pour créer des hyperliens renvoyant à des adresses URL. Pour spécifier ces adresses, vous pouvez utiliser tous les protocoles de ressources Internet valides : http://, file://, ftp:// ou mailto://. Vous avez également la possibilité de faire appel à la fonction Boutons pour créer des liens vers des pages Web (voir la section « Boutons » à la page 612). Vous pouvez juger utile de créer un style de caractère pour les hyperliens. Ces derniers se présentent souvent sous la forme de texte en bleu souligné. 1 Sélectionnez le texte, le bloc ou le graphique que vous voulez désigner comme source de l’hyperlien. Vous pouvez,

par exemple, sélectionner le texte « Consultez le site Web d’Adobe ».

2 Pour créer un hyperlien renvoyant à une adresse URL à partir du panneau Hyperliens, procédez de l’une des façons

• Dans la zone de texte URL, saisissez ou collez le nom de l’adresse URL (par exemple, http://www.adobe.fr), puis choisissez la commande Nouvel hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens. Choisissez l’option URL dans le menu Lien vers, définissez l’aspect de l’hyperlien, puis cliquez sur le bouton OK.

Pour créer un hyperlien vers un fichier Lorsque vous créez un hyperlien renvoyant à un fichier, il suffit de cliquer sur ce lien dans le fichier PDF ou SWF exporté pour ouvrir le fichier cible dans son application d’origine, par exemple Microsoft Word pour les fichiers .doc. Veillez à ce que le fichier spécifié soit accessible à tous les utilisateurs qui ouvriront le fichier PDF ou SWF que vous exportez. Si, par exemple, vous envoyez le fichier PDF exporté à un collaborateur, spécifiez un fichier cible situé sur un serveur partagé et non sur votre disque dur. 1 Sélectionnez le texte, le bloc ou le graphique que vous voulez désigner comme source de l’hyperlien. 2 Choisissez la commande Nouvel hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens ou cliquez sur le bouton Créer un

situé au bas du panneau.

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5 Sélectionnez l’option Cible d’hyperlien partagée pour stocker le fichier dans le panneau Hyperliens, en vue de le

6 Définissez les options d’aspect de la source de l’hyperlien, puis cliquez sur le bouton OK.

Pour créer un hyperlien vers un message électronique

1 Sélectionnez le texte, le bloc ou le graphique que vous voulez désigner comme source de l’hyperlien. 2 Choisissez la commande Nouvel hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens ou cliquez sur le bouton Créer un

situé au bas du panneau.

4 Dans la zone de texte Adresse, saisissez l’adresse de courrier électronique, par exemple utilisateur@société.com. 5 Dans la zone Objet, saisissez le texte correspondant à l’objet du message de courrier électronique. 6 Sélectionnez l’option Cible d’hyperlien partagée pour stocker le message électronique dans le panneau Hyperliens,

en vue de le réutiliser.

7 Définissez les options d’aspect de la source de l’hyperlien, puis cliquez sur le bouton OK.

Pour créer un hyperlien vers une page

Vous pouvez créer un hyperlien vers une page sans créer préalablement la cible. Si toutefois vous créez cette cible, vous avez la possibilité de spécifier un numéro de page et un paramètre d’affichage. 1 Sélectionnez le texte, le bloc ou le graphique que vous voulez désigner comme source de l’hyperlien. 2 Choisissez la commande Nouvel hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens ou cliquez sur le bouton Créer un

situé au bas du panneau.

4 Pour l’option Document, sélectionnez le document contenant la cible à laquelle vous voulez accéder. Tous les

documents ouverts qui ont été enregistrés sont répertoriés dans le menu déroulant. Si le document que vous recherchez n’est pas ouvert, sélectionnez Parcourir dans le menu déroulant, recherchez le fichier, puis cliquez sur

Ouvrir. 5 Indiquez le numéro de la page cible dans le champ Page. 6 Pour l’option Zoom, utilisez l’une des méthodes suivantes pour sélectionner l’état d’affichage de la page cible :

• Sélectionnez l’option Fixe pour afficher la page au facteur d’affichage et à la position d’origine au moment de la création du lien.

• Sélectionnez l’option Vue entière pour afficher la partie visible de la page actuelle comme cible.

• Sélectionnez l’option Taille écran pour afficher la page actuelle dans la fenêtre cible. • Sélectionnez l’option Pleine largeur ou Page entière pour afficher la largeur ou la hauteur de la page actuelle dans la fenêtre cible.

• Sélectionnez l’option Contenu pour afficher la page de sorte que le texte et les graphiques qu’elle contient remplissent la largeur de l’écran. En général, les marges ne s’affichent pas dans cette vue.

• Sélectionnez l’option Hériter du zoom pour ouvrir la fenêtre cible au facteur d’affichage utilisé par le lecteur lorsqu’il clique sur l’hyperlien.

7 Définissez les options d’aspect, puis cliquez sur le bouton OK.

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Les cibles d’hyperlien que vous avez créées ne figurent pas dans le panneau Hyperliens. En revanche, elles sont affichées dans la boîte de dialogue qui apparaît lors de la création ou modification des hyperliens. 1 Si vous créez une ancre de texte, servez-vous de l’outil Texte pour placer le point d’insertion dans le document ou

sélectionnez la plage de texte que vous voulez définir comme point d’ancrage.

Vous ne pouvez pas définir un texte sur un gabarit comme ancre cible. 2 Choisissez la commande Nouvelle cible d’hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens. 3 Utilisez l’une des méthodes suivantes, puis cliquez sur le bouton OK :

• Choisissez la commande Ancre de texte dans le menu Type. Spécifiez le nom de l’ancre de texte.

• Choisissez la commande Page dans le menu Type. Spécifiez le numéro de la page à laquelle vous voulez accéder, ainsi que le zoom. Saisissez un nom pour la page ou sélectionnez l’option Nom avec numéro de page pour attribuer automatiquement un nom à la cible, en fonction du numéro de page et du zoom spécifiés.

• Choisissez la commande URL dans le menu Type. Saisissez ou collez l’URL, par exemple, http://www.adobe.fr.

Vous pouvez utiliser tout protocole de ressources Internet valide : http://, file://, ftp:// ou mailto://.

Pour créer un hyperlien vers une ancre de texte

1 Sélectionnez le texte, le bloc ou le graphique que vous voulez désigner comme source de l’hyperlien. 2 Choisissez la commande Nouvel hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens ou cliquez sur le bouton Créer un

nouvel hyperlien situé au bas du panneau.

3 Choisissez la commande Ancre de texte dans le menu Lien vers. 4 Pour l’option Document, sélectionnez le document contenant la cible à laquelle vous voulez accéder. Tous les

documents ouverts qui ont été enregistrés sont répertoriés dans le menu déroulant. Si le document que vous recherchez n’est pas ouvert, sélectionnez Parcourir dans le menu déroulant, recherchez le fichier, puis cliquez sur

Ouvrir. 5 Dans le menu Ancre de texte, choisissez l’ancre cible que vous avez créée. 6 Définissez les options d’aspect de l’hyperlien, puis cliquez sur le bouton OK.

Pour créer un hyperlien vers une cible partagée

Lors de la création d’un hyperlien, si vous choisissez la commande Destination partagée dans le menu Lien vers, vous pouvez spécifier une cible nommée quelconque. Pour nommer une cible, il suffit de saisir une adresse URL dans la zone de texte correspondante ou de sélectionner l’option Cible d’hyperlien partagée lors de la création d’un hyperlien renvoyant à une adresse URL, un fichier ou une adresse de courrier électronique. 1 Sélectionnez le texte, le bloc ou le graphique que vous voulez désigner comme source de l’hyperlien. 2 Choisissez la commande Nouvel hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens ou cliquez sur le bouton Créer un

nouvel hyperlien situé au bas du panneau.

3 Dans la boîte de dialogue Nouvel hyperlien, choisissez l’option Destination partagée dans le menu Lien vers.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

5 Sélectionnez une cible dans le menu Nom. 6 Définissez les options d’aspect de l’hyperlien, puis cliquez sur le bouton OK.

Options d’aspect des hyperliens

Les options décrites dans cette section permettent de définir l’aspect d’un hyperlien ou de la source d’une référence croisée dans le fichier exporté au format PDF ou SWF. Ces options sont également visibles dans le document InDesign si vous choisissez la commande Affichage > Extras > Afficher les hyperliens. Style de caractère Choisissez un style de caractère à appliquer à la source de l’hyperlien. Cette option est disponible uniquement si vous avez sélectionné du texte, et non un bloc ou un graphique, pour la source de l’hyperlien.

Si vous insérez une référence croisée, vous avez la possibilité d’appliquer un style de caractère lors de la modification d’un format de référence croisée. Vous pouvez également appliquer des styles de caractère à des blocs fonctionnels au sein d’un format (voir la section « Utilisation des formats de référence croisée » à la page 596).

Type Choisissez l’une des deux options proposées : Rectangle visible et Rectangle invisible. Sélecteur Les options disponibles sont les suivantes : Inverser, Contour, Marge et Sans. Ces options permettent de définir l’aspect de l’hyperlien lorsque l’utilisateur clique dessus dans le fichier PDF ou SWF. Couleur Sélectionnez la couleur du rectangle visible de l’hyperlien. Largeur Définissez l’épaisseur du filet du rectangle de l’hyperlien à l’aide de l’une des options suivantes : Fin, Moyen

Style Sélectionnez l’option Continu ou Tirets pour définir l’aspect du rectangle de l’hyperlien.

1 Choisissez la commande Convertir les URL en hyperliens dans le menu du panneau Hyperliens.

2 Définissez l’option Etendue pour indiquer si vous voulez convertir les adresses URL dans l’ensemble du document

ou dans l’article ou la sélection en cours.

3 Au besoin, sélectionnez le style de caractère à appliquer à l’hyperlien dans le menu Style de caractère. 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes, puis cliquez sur le bouton Terminer.

• Cliquez sur le bouton Rechercher pour trouver l’adresse URL suivante.

• Cliquez sur le bouton Convertir pour convertir l’adresse URL active en hyperlien. • Cliquez sur le bouton Tout convertir pour convertir toutes les adresses URL en hyperliens.

Gestion des hyperliens

Utilisez le panneau Hyperliens pour modifier, supprimer, réinitialiser ou rechercher les hyperliens. Dans InCopy, vous pouvez gérer les hyperliens uniquement si vous avez extrait l’article en vue de le modifier.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Dans la boîte de dialogue Modifier les hyperliens, effectuez toutes les corrections nécessaires, puis cliquez sur le

Remarque : pour modifier un hyperlien renvoyant à une adresse URL, sélectionnez-le, corrigez l’adresse URL dans la zone de texte correspondante, et appuyez sur la touche Tab ou Entrée.

Pour supprimer des hyperliens

Lorsque vous supprimez un hyperlien, le texte ou le graphique source est conservé. ❖ Sélectionnez les éléments à supprimer dans le panneau Hyperliens, puis cliquez sur le bouton Supprimer situé au

Pour renommer une source d’hyperlien

Si vous renommez la source d’un hyperlien, vous changez également la façon dont elle apparaît dans le panneau Hyperliens. 1 Dans le panneau Hyperliens, sélectionnez l’hyperlien qui vous intéresse. 2 Choisissez la commande Renommer l’hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens, puis spécifiez un nouveau nom.

Pour modifier ou supprimer des cibles d’hyperliens

1 Ouvrez le document dans lequel apparaît la cible. 2 Choisissez Options de cible d’hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens. 3 Pour l’option Destination, sélectionnez le nom de la destination à modifier. 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez sur Modifier et apportez les modifications nécessaires à la cible.

• Cliquez sur Supprimer pour supprimer la cible. 5 Une fois la modification ou suppression terminée, cliquez sur le bouton OK.

Pour réinitialiser ou mettre à jour des hyperliens

1 Sélectionnez la plage de texte, le bloc de texte ou le bloc graphique que vous voulez définir comme nouvelle source

d’hyperlien. Vous pouvez, par exemple, sélectionner du texte supplémentaire à inclure dans la source.

2 Sélectionnez l’hyperlien dans le panneau Hyperliens. 3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez Réinitialiser l’hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens.

• Pour mettre à jour un hyperlien pointant vers un document externe, choisissez Mettre à jour l’hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens.

Pour accéder à la source ou au point d’ancrage d’un hyperlien

• Pour rechercher la source d’un hyperlien ou d’une référence croisée, sélectionnez l’élément à repérer dans le panneau Hyperliens. Choisissez Accéder à la source dans le menu du panneau Hyperliens. Le texte ou le bloc est sélectionné.

• Pour rechercher la cible d’un hyperlien ou d’une référence croisée, sélectionnez l’élément à repérer dans le panneau Hyperliens. Choisissez la commande Accéder à la cible dans le menu du panneau Hyperliens.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour supprimer la bordure, cliquez deux fois sur l’hyperlien dans le panneau Hyperliens. Dans la section Aspect, choisissez la commande Rectangle invisible dans le menu Type, puis cliquez sur le bouton OK. Vous pouvez également décider de supprimer la nuance importée. Au cours de cette opération, vous avez la possibilité de la remplacer par une autre nuance (voir la section « Suppression de nuances individuelles » à la page 516). Avant d’importer le document Word dans InDesign, vous pouvez supprimer les hyperliens des adresses URL contenues dans ce document pour ne pas hériter de cette mise en forme (voir la documentation Word). Une autre possibilité consiste à créer un style de caractère nommé « Hyperlien » dans le document InDesign avant de procéder à l’importation. Lorsque vous importez le document Word, le style InDesign de même nom est utilisé par défaut.

Références croisées

Si vous rédigez un manuel ou un document de référence, vous aurez sans doute besoin d’insérer des références croisées pour inviter le lecteur à consulter d’autres parties de votre document. En voici un exemple : Pour plus de détails, voir la section « Rats des champs », page 249. Vous pouvez préciser si les références croisées sont créées à partir d’un style de paragraphe, par exemple un style de titre, ou à partir d’une ancre de texte définie par vos soins. Vous avez également la possibilité de spécifier le format des références croisées, en choisissant d’inclure uniquement le numéro de page ou le paragraphe entier accompagné du numéro de page.

Lorsque vous insérez une référence croisée dans votre document, vous avez la possibilité de choisir l’un des formats prédéfinis ou de créer un format personnalisé. Vous pouvez appliquer un style de caractère à l’ensemble de la source de la référence croisée ou au texte contenu dans la référence. Les formats de références croisées peuvent être synchronisés sur l’ensemble d’un livre.

Le texte de la source de référence croisée est modifiable et peut contenir des retours à la ligne. Remarque : pour inclure les références croisées dans les fichiers Adobe PDF exportés, vous devez sélectionner l’option Hyperliens dans la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF dans InDesign. De même, pour faire figurer les références croisées dans les fichiers SWF exportés, vous devez sélectionner l’option Inclure les hyperliens dans la boîte de dialogue Exporter au format SWF.

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2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez la commande Texte > Hyperliens et références croisées > Insérer la référence croisée.

• Choisissez la commande Fenêtre > Texte et tableaux > Références croisées, puis sélectionnez la commande Insérer la référence croisée dans le menu du panneau Hyperliens.

• Cliquez sur le bouton Créer une référence croisée

dans le panneau Hyperliens.

3 Dans la boîte de dialogue Nouvelle référence croisée, choisissez l’option Paragraphe ou Ancre de texte dans le

Si vous sélectionnez l’option Paragraphe, votre référence croisée pourra renvoyer au paragraphe de votre choix dans le document spécifié. En revanche, si vous sélectionnez l’option Ancre de texte, votre référence croisée pourra renvoyer à du texte dans lequel vous avez créé une cible d’hyperlien (voir la section « Pour créer une cible d’hyperlien » à la page 591). La création d’une ancre de texte peut se révéler utile lorsque la référence doit contenir un texte différent du paragraphe cible. 4 Pour l’option Document, sélectionnez le document contenant la cible à laquelle vous voulez faire référence. Tous

les documents ouverts qui ont été enregistrés sont répertoriés dans le menu déroulant. Si le document que vous recherchez n’est pas ouvert, sélectionnez l’option Parcourir, recherchez le fichier, puis cliquez sur le bouton Ouvrir.

5 Cliquez sur un style de paragraphe (par exemple, Titre1) dans la zone de gauche pour limiter la liste des choix, puis

sélectionnez le paragraphe auquel vous voulez faire référence (ou l’ancre de texte, si vous aviez choisi l’option correspondante).

6 Choisissez le format de référence croisée à utiliser dans le menu Format.

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8 Cliquez sur le bouton OK.

Lorsque vous insérez une référence croisée, une marque d’ancre de texte apparaît au début du paragraphe cible. Cette marque est visible si vous avez sélectionné la commande Texte > Afficher les caractères masqués. En cas de déplacement ou de suppression de cette marque, la référence croisée n’est plus résolue.

Utilisation des formats de référence croisée

Par défaut, la boîte de dialogue Nouvelle référence croisée propose plusieurs formats de référence croisée. Vous pouvez modifier ces formats, les supprimer ou créer des formats personnalisés. Remarque : si vous avez supprimé ou modifié des formats de référence croisée dans votre document et désirez rétablir les formats par défaut, il vous suffit de choisir la commande Charger les formats de référence croisée dans le menu du panneau et de sélectionner un document contenant les formats originaux. Il est également possible de synchroniser les formats de référence croisée dans un livre. Pour consulter un didacticiel vidéo sur la modification des formats de référence croisée, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid4024_id_fr.

Création ou modification d’un format de référence croisée

Les formats de référence croisée, à l’inverse des autres paramètres prédéfinis, peuvent être modifiés ou supprimés. La modification de l’un de ces formats entraîne la mise à jour automatique de toutes les références croisées sources utilisant ce format. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez la commande Définir les formats de référence croisée dans le menu du panneau Hyperliens.

• Pendant la création ou la modification d’une référence croisée, cliquez sur le bouton Créer ou modifier les formats des références croisées

2 Dans la boîte de dialogue Formats de référence croisée, effectuez l’une des opérations suivantes :

• Pour créer un format, sélectionnez celui qui servira de modèle, puis cliquez sur le bouton Créer un format

obtenez ainsi une copie du format sélectionné.

3 Spécifiez le nom du nouveau format dans la zone de texte correspondante. 4 Dans la zone de texte Définition, modifiez le texte en ajoutant ou supprimant des informations, si nécessaire.

Cliquez sur l’icône de bloc fonctionnel pour insérer ces blocs à partir d’un menu. Cliquez sur l’icône des caractères spéciaux pour sélectionner des tirets, des espaces, des guillemets ou d’autres caractères spéciaux.

5 Pour appliquer un style de caractère à l’ensemble de la référence croisée, sélectionnez l’option Style de caractère de

la référence croisée, puis choisissez ou créez le style de votre choix à l’aide du menu.

Vous pouvez également faire appel au bloc fonctionnel Style de caractère pour appliquer un style au texte de la référence croisée. 6 Cliquez sur le bouton Enregistrer pour valider les modifications. Cliquez sur le bouton OK.

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Voir la section <paraNum/> Voir 1 Dans cet exemple, la référence croisée utilise seulement le numéro du paragraphe qui commence par « 1. Animaux ».

Insère le texte du paragraphe sans le numéro dans une référence croisée renvoyant à une liste numérotée.

Voir la section « <paraText/> »

Voir la section « Animaux » Dans cet exemple, la référence croisée utilise seulement le texte du paragraphe qui commence par « 1. Animaux ».

à des paragraphes partiels » à la page 597.

Nom de l’ancre de texte

Insère le nom de l’ancre de texte. Pour créer des Voir <txtAnchrName/> ancres de texte, il suffit de choisir la commande

Voir Figure 1 Nouvelle cible d’hyperlien dans le menu du panneau Hyperliens.

Insère le numéro de chapitre.

du chapitre <chapNum/> du chapitre 3

Insère le nom de fichier du document cible.

dans <fileName/> dans bulletin.indd

Applique un style de caractère au texte d’une référence croisée.

Reportez-vous à la section <cs name=”bold”><fullPara/></cs>, page <pageNum>

Reportez-vous à la section Animaux, page 23. Spécifiez le nom du style de caractère, ainsi que le texte auquel vous voulez l’appliquer entre les balises <cs name=””> et </cs>. Voir la section « Application de styles de caractères à des références croisées » à la page 598.

Création de références croisées renvoyant à des paragraphes partiels

Vous avez la possibilité de définir des formats de référence croisée de façon à inclure uniquement la première partie d’un paragraphe. Si, par exemple, les titres de votre document se présentent sous la forme « Chapitre 7 — De Grenade à Barcelone », vous pouvez parfaitement créer une référence croisée renvoyant seulement à « Chapitre 7 ».

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De Grenade). Pour insérer un caractère spécial tel que le tiret cadratin (^_), l’espace cadratin (^m) et la puce (^8), il suffit de choisir l’une des options proposées dans le menu qui apparaît lorsque vous cliquez sur l’icône Caractères spéciaux. En second lieu, vous devez préciser si ce délimiteur sera exclu (Chapitre 7) ou inclus (Chapitre 7—). Pour exclure le délimiteur, spécifiez includeDelim=”false”. En revanche, pour le faire figurer dans la référence croisée, saisissez includeDelim=”true”. Vous pouvez remplacer les valeurs « false » et « true » respectivement par « 0 » et « 1 ».

Application de styles de caractères à des références croisées

Si vous désirez mettre en évidence une partie du texte d’une référence croisée, vous avez la possibilité de faire appel au bloc fonctionnel Style de caractère. Ce bloc est constitué de deux balises : la balise <cs name=”nomdustyle”> précise le style qui doit être appliqué, et la balise </cs> indique la fin de ce style de caractère. L’ensemble du texte et des blocs fonctionnels compris entre ces deux balises adopte le style spécifié.

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2 Dans la boîte de dialogue Formats de référence croisée, créez ou modifiez le format à appliquer. 3 Dans la zone Définition, sélectionnez le texte et les blocs fonctionnels auxquels vous voulez appliquer le style de

4 Choisissez l’option Style de caractère dans le menu situé à droite de la liste de définition. 5 Saisissez le nom du style de caractère entre les guillemets, exactement tel qu’il apparaît dans le panneau Styles

Il est important de respecter les majuscules et les minuscules dans les noms de styles. Si le style de caractère fait partie d’un groupe, saisissez le nom du groupe suivi du signe deux-points et du nom du style de caractère, par exemple Groupe de style 1: Rouge. 6 Cliquez sur le bouton Enregistrer, puis sur le bouton OK.

Chargement (importation) de formats de référence croisée

Lorsque vous chargez des formats de référence croisée à partir d’un autre document, ils remplacent les formats existants qui portent le même nom. Dans InCopy, vous pouvez importer des formats de référence croisée uniquement dans les documents autonomes. Par ailleurs, il est impossible d’importer des formats à partir d’un document InCopy dans un document InDesign. Si le format nouveau ou modifié dans InCopy est en conflit avec un format du document InDesign lors de l’extraction de l’article, le format InDesign prend le pas sur l’autre. 1 Choisissez la commande Charger les formats de référence croisée dans le menu du panneau Hyperliens. 2 Cliquez deux fois sur le document contenant les formats à importer.

Il est également possible de partager les formats de référence croisée d’un document à un autre en synchronisant un livre.

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1 Dans la boîte de dialogue Formats de référence croisée, sélectionnez le format à supprimer. 2 Cliquez sur le bouton Supprimer le format

Gestion des références croisées

Lorsque vous insérez une référence croisée, son état apparaît dans le panneau Hyperliens. Des icônes indiquent si, par exemple, le texte cible figure sur la table de montage , dans un gabarit , sur un calque masqué , dans du texte en excès ou dans du texte masqué . Les références croisées renvoyant à ces zones cibles sont non résolues. A l’aide du panneau, vous pouvez également déterminer si le paragraphe cible a été modifié (le lien est alors obsolète) ou s’il est manquant . Le texte cible est manquant si ce texte ou le fichier qui le contient sont introuvables. Maintenez le pointeur de la souris sur une icône pour afficher l’info-bulle correspondante. Dans InCopy, vous pouvez gérer les références croisées uniquement si vous avez extrait l’article en vue de le modifier.

Mise à jour des références croisées

La présence d’une icône de mise à jour indique que le texte cible ou source de la référence croisée a changé. Dans ce cas, il suffit de mettre à jour la référence croisée. En revanche, si la cible a changé de page, la mise à jour de la référence croisée est automatique. Lorsque vous mettez à jour une référence croisée, vous perdez toutes les modifications de mise en forme appliquées au texte source. Lors de l’impression ou de la sortie du document, un message vous informe des éventuelles références croisées obsolètes ou non résolues. Vous pouvez également faire appel au panneau Contrôle en amont pour obtenir ces renseignements. Pour cela, vous devez simplement sélectionner l’option Références croisées dans la section Texte, lors de la définition du profil (voir la section « Définition de profils de contrôle en amont » à la page 679). 1 Sélectionnez une ou plusieurs références croisées obsolètes. Si vous désirez mettre à jour toutes les références

croisées, veillez à ce qu’aucune d’elles ne soit sélectionnée.

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez sur le bouton Mettre à jour les références croisées

dans le panneau Hyperliens.

• Choisissez la commande Mettre à jour la référence croisée dans le menu du panneau Hyperliens.

• Choisissez la commande Texte > Hyperliens et références croisées > Mettre à jour la référence croisée. Pour mettre à jour toutes les références croisées d’un livre, choisissez la commande Mettre à jour toutes les références croisées dans le menu du panneau Livre. Un message vous informe de l’éventuelle présence de références croisées non résolues.

Réédition des liens des références croisées

Si le texte cible manquant a été déplacé dans un autre document ou si le document contenant ce texte a changé de nom, vous avez la possibilité de rééditer le lien de la référence croisée. Lorsque vous effectuez cette opération, vous perdez toutes les modifications apportées à la référence croisée source. 1 Dans la section Références croisées du panneau Hyperliens, sélectionnez la référence croisée dont vous voulez

2 Choisissez la commande Rééditer le lien de la référence croisée dans le menu du panneau Hyperliens.

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1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez la commande Texte > Hyperliens et références croisées > Options de référence croisée.

• Dans la section Références croisées du panneau Hyperliens, cliquez deux fois sur la référence croisée à modifier. • Sélectionnez la référence croisée, puis choisissez la commande Options de référence croisée dans le menu du panneau Hyperliens. 2 Apportez les modifications nécessaires à la référence croisée, puis cliquez sur le bouton OK.

Suppression de références croisées

Lorsque vous supprimez une référence croisée, la référence source est convertie en texte. 1 Dans la section Références croisées du panneau Hyperliens, sélectionnez la ou les références croisées à supprimer. 2 Cliquez sur l’icône de suppression ou choisissez la commande Supprimer l’hyperlien/la référence croisée dans le

3 Cliquez sur le bouton Oui pour confirmer l’opération.

Pour éliminer définitivement une référence croisée, vous pouvez aussi sélectionner la source de la référence et la supprimer.

Modification du texte de la source d’une référence croisée

Vous avez la possibilité de modifier le texte de la source des références croisées. Vous pouvez ainsi sans problème changer l’approche ou l’espace intermots à des fins de calibrage ou encore effectuer d’autres modifications. Malheureusement, lorsque vous mettez à jour la référence croisée ou rééditez son lien, vous perdez toutes les modifications locales apportées à la mise en forme.

Ajout de fichiers vidéo et audio à des documents Les séquences vidéo et audio que vous ajoutez à un document sont exécutables une fois ce dernier exporté au format Adobe PDF, SWF ou XML (dans ce cas, une adaptation des balises est nécessaire). Vous pouvez importer des fichiers vidéo au format vidéo Flash (.FLV et .F4V), des fichiers codés en H.264 (MP4, par exemple) et des fichiers SWF. Vous pouvez également importer des fichiers audio au format MP3. Les types de fichier multimédia tels que QuickTime (.MOV), AVI et MPEG sont pris en charge dans les fichiers PDF interactifs exportés, mais pas dans les fichiers SWF ou FLA exportés. Il est recommandé de privilégier les formats de fichier FLV, F4V, SWF, MP4 et MP3 pour profiter pleinement des capacités de prise en charge de contenu multimédia offertes par Acrobat 9, Adobe Reader 9 et Adobe Flash Player 10 ou version ultérieure.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

« Exportation au format PDF pour l’impression » à la page 548

Lorsque vous importez un fichier audio ou vidéo dans un document, un objet multimédia apparaît dans un bloc.

Cet objet constitue le lien avec le fichier multimédia. Vous pouvez le redimensionner en fonction de la taille de la zone de lecture requise Si le point central de la séquence vidéo est situé en dehors de la page, la séquence ne sera pas exportée. 2 Affichez un aperçu du fichier multimédia et modifiez les paramètres voulus au moyen du panneau Multimédia

(Fenêtre > Objet interactif > Multimédia).

3 Exportez le document au format Adobe PDF ou SWF.

Utilisez le panneau Multimédia pour modifier les paramètres vidéo.

1 Sélectionnez l’objet vidéo dans le document. 2 Dans le panneau Multimédia, les options disponibles sont les suivantes : Lire au chargement de la page La séquence vidéo est lue lors de la consultation de la page sur laquelle elle figure. Si d’autres éléments doivent être lus au chargement de la page, déterminez l’ordre de lecture au moyen du panneau Minutage. En boucle La séquence vidéo est lue de manière répétée. Si le fichier source est au format vidéo Flash, il est possible

d’effectuer une lecture en boucle de la séquence dans les fichiers SWF exportés mais pas dans les fichiers PDF.

Affiche Cette option permet de spécifier le type d’image à afficher dans la zone de lecture de la séquence (voir la section « Options d’affiche » à la page 603). Barre de contrôle Si le fichier vidéo est au format vidéo Flash (FLV ou F4V) ou codé en H.264, vous pouvez

spécifier des habillages de barre de contrôle prédéfinis qui permettront aux utilisateurs de suspendre, de démarrer ou d’arrêter la séquence par divers moyens. L’option Afficher la barre de contrôle au survol permet de faire en sorte que les commandes s’affichent lorsque le pointeur de la souris passe sur l’objet multimédia. Utilisez le panneau

Aperçu pour afficher un aperçu de l’habillage de barre de contrôle sélectionné. Si la séquence vidéo se présente dans un format hérité (.AVI ou .MPEG, par exemple), vous pouvez choisir l’option Sans ou Afficher la barre de contrôle pour afficher une barre de contrôle standard permettant aux utilisateurs de suspendre, de démarrer ou d’arrêter la séquence. Les fichiers SWF que vous importez peuvent posséder leurs propres habillages de barre de contrôle. Utilisez le panneau Aperçu pour tester les options de barre de contrôle.

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à partir d’un autre point. Lorsque vous créez un bouton de lecture vidéo, vous pouvez utiliser l’option Lire à partir du point de navigation pour faire en sorte que la lecture de la vidéo commence au point de navigation que vous ajoutez.

Modification des paramètres audio

Utilisez le panneau Multimédia pour modifier les paramètres audio. 1 Sélectionnez l’objet audio dans le document. 2 Dans le panneau Multimédia, les options disponibles sont les suivantes : Lire au chargement de la page Le fichier audio est lu lors de la consultation de la page sur laquelle figure l’objet audio. Si d’autres éléments doivent être lus au chargement de la page, déterminez l’ordre de lecture au moyen du panneau Minutage. Arrêter au changement de page La lecture du fichier audio MP3 s’interrompt lors du chargement d’une autre

page. Cette option est estompée lorsque le fichier audio n’est pas au format MP3.

En boucle Cette option permet de lire le fichier audio MP3 de manière répétée. Elle est estompée lorsque le fichier source n’est pas au format MP3. Affiche Cette option permet de spécifier le type d’image à afficher dans la zone de lecture de la séquence (voir la section « Options d’affiche » à la page 603).

Une affiche est une image représentant une séquence multimédia. Elle n’est pas obligatoire, une séquence audio ou vidéo pouvant apparaître sans affiche. Si l’affiche dans InDesign est plus grande que la séquence vidéo, elle est rognée aux dimensions de cette dernière dans le fichier PDF ou SWF exporté. Choisissez l’un des types d’affiche suivants dans le panneau Multimédia. Aucune La séquence audio ou vidéo n’est représentée par aucune affiche. Cette option est utile si vous souhaitez que la séquence ne soit pas visible sur la page. Par exemple, utilisez-la pour que la séquence soit lue lorsque vous tournez la page uniquement ou pour afficher un graphisme plus complexe au-dessous de la séquence. Standard La séquence audio ou vidéo est représentée par une affiche générique qui n’est pas basée sur son contenu.

Pour utiliser une autre affiche standard, enregistrez une image au format .jpg en lui attribuant le même nom qu’un fichier d’affiche existant, puis remplacez ce dernier (ces fichiers se trouvent dans le dossier Presets/Multimedia du dossier de l’application).

De l’image en cours Sélectionnez cette option pour utiliser l’image actuellement affichée dans la zone d’aperçu du panneau Multimédia. Pour sélectionner une autre image, déplacez le curseur d’aperçu et cliquez sur l’icône à droite du menu Affiche. Cette option n’est pas disponible pour les formats vidéo hérités comme AVI et MPEG. Sélectionner une image Cette option vous permet de choisir l’image à utiliser comme affiche. Cliquez deux fois sur

l’image à utiliser. Vous pouvez utiliser des images bitmap comme affiches, mais pas des images vectorielles.

[De la vidéo] Cette option est sélectionnée pour les documents CS4 convertis ayant des séquences multimédias

définies sur une image particulière.

Modification des paramètres multimédias des fichiers PDF interactifs

1 Choisissez la commande Options PDF dans le menu du panneau Multimédia.

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Lire la vidéo dans une fenêtre flottante Lancez la lecture de la séquence dans une fenêtre séparée. Dans ce cas, précisez la position et la taille de cette fenêtre. Notez qu’une taille importante peut altérer la qualité de l’image. L’échelle de la fenêtre flottante est basée sur la taille de la séquence d’origine, non la taille de la séquence mise à l’échelle dans la mise en page du document. Cette option n’est pas disponible pour les fichiers SWF, ni pour les fichiers audio.

Importation d’un fichier vidéo à partir d’une URL Importez un fichier vidéo à partir d’une adresse URL valide pour lire la séquence vidéo diffusée en continu dans le fichier PDF ou SWF exportée. La séquence vidéo doit correspondre à un fichier vidéo Flash valide (FLV ou F4V) ou codé en H.264 (MP4, par exemple).

1 Sélectionnez une image vide ou un objet vidéo contenant une vidéo que vous voulez remplacer. 2 Choisissez la commande Vidéo à partir d’une URL dans le menu du panneau Multimédia. 3 Définissez l’adresse URL, puis cliquez sur le bouton OK.

Redimensionnement d’objets vidéo, d’affiches ou de blocs

Lorsque vous ajoutez une séquence vidéo à un document InDesign, l’objet et l’affiche apparaissent dans un bloc. Lorsque vous exportez le document au format PDF, le cadre de l’objet vidéo détermine la taille de la séquence dans le document PDF, mais pas la taille du bloc ou de l’affiche. Pour obtenir de meilleurs résultats, faites en sorte que la taille de l’affiche soit identique à celle de la séquence vidéo. Si vous appliquez un masque à l’image ou si vous la redimensionnez, ces modifications risquent d’être ignorées dans le document PDF exporté. Les séquences vidéo sont affichées sur le calque supérieur du document PDF. Si, dans InDesign, vous superposez un autre objet à une séquence vidéo, cet objet apparaîtra en dessous de la séquence dans le fichier PDF exporté. Si le document PDF doit comporter une zone de lecture avec des contours progressifs ou autres effets difficilement exportables dès lors qu’ils sont appliqués à une affiche, utilisez une image importée dans la zone de lecture, puis placez la séquence vidéo (sans affiche) sur cette image.

A B C Redimensionnement d’un objet vidéo

(maintenez la touche Maj enfoncée pour conserver les proportions).

• Pour redimensionner le bloc uniquement, faites glisser une poignée d’angle à l’aide de l’outil Sélection

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Dans InDesign, les formats vidéo FLV et F4V et les formats audio MP3 sont particulièrement adaptés à l’exportation de documents interactifs. Les formats vidéo de type MOV, AVI et MPG peuvent être exportés au format PDF, mais pas dans des formats basés sur Flash, comme le format SWF. Utilisez Adobe Media Encoder pour convertir les fichiers vidéo au format FLV, F4V ou MP4. S’agissant des formats de fichier audio, utilisez une application comme Apple iTunes pour les convertir au format MP3, Adobe Media Encoder ne prenant pas en charge ce type de conversion. 1 Ouvrez Adobe Media Encoder, ajoutez les fichiers vidéo requis, puis convertissez-les au format FLV ou F4V.

Pour plus de détails, voir l’aide d’Adobe Media Encoder.

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Importez le fichier multimédia dans un document InDesign (voir la section « Ajout de fichiers vidéo et audio à des documents » à la page 601).

• Si les fichiers vidéo ont déjà été importés dans un document InDesign, rééditez les liens des fichiers à l’aide du panneau Liens afin qu’ils pointent vers leurs nouvelles versions (voir la section « Mise à jour, restauration et remplacement de liens » à la page 428).

Les effets d’animation vous permettent d’animer des objets dans les fichiers SWF exportés. Par exemple, vous pouvez appliquer un mouvement prédéfini à une image de sorte qu’elle semble apparaître par la gauche de l’écran en tournoyant et en rétrécissant. Servez-vous des outils et panneaux ci-dessous pour animer des documents.

Cliquez sur le bouton Lecture pour visualiser l’animation.

Panneau Animation Appliquez un mouvement prédéfini et modifiez les paramètres tels que la durée et la vitesse.

Outils Sélection directe et Plume Modifiez la trajectoire suivie par l’objet animé. Panneau Minutage Définissez l’ordre dans lequel les objets d’une page sont animés. Panneau Aperçu Affichez l’animation dans un panneau InDesign.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Les mouvements prédéfinis sont des animations préconfigurées que vous pouvez appliquer rapidement à des objets. Vous effectuez cette opération au moyen du panneau Animation, lequel permet également de modifier les paramètres d’animation, comme la durée et la vitesse, et de préciser à quel moment déclencher un objet animé. Ces mouvements prédéfinis sont identiques à ceux disponibles dans Adobe Flash CS5 Professional. Vous pouvez importer n’importe quel mouvement prédéfini personnalisé créé dans Flash Professional. Vous pouvez également enregistrer des mouvements prédéfinis que vous créez pour les utiliser dans InDesign ou Flash Professional. Les fonctions d’animation sont prises en charge uniquement dans le cadre de l’exportation vers Adobe Flash Player (format .SWF). Elles ne le sont pas lors de l’exportation au format PDF interactif. Pour ajouter des effets d’animation à un fichier PDF, exportez la sélection voulue au format SWF depuis InDesign, puis importez le fichier SWF ainsi obtenu dans le document InDesign. Pour consulter un didacticiel vidéo sur la création et la modification de mouvements prédéfinis, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/lrvid5159_id_en. 1 Importez l’objet à animer dans le document. 2 Dans le panneau Animation (Fenêtre > Objet interactif > Animation), choisissez un mouvement prédéfini dans le

menu Animation prédéfinie.

3 Définissez les options du mouvement prédéfini. 4 Modifiez la trajectoire de l’animation au moyen des outils Plume et Sélection directe. 5 Définissez l’ordre des effets d’animation à l’aide du panneau Minutage. 6 Affichez un aperçu de l’animation dans InDesign au moyen du panneau Aperçu.

Pour supprimer l’animation d’un objet, sélectionnez ce dernier, puis cliquez sur l’icône de suppression dans le panneau Animation.

Remarque : lorsque certains effets d’animation, tels que Fondu en entrée, sont combinés avec une transition de page ou un coin de page, l’animation peut ne pas se comporter comme prévu dans le panneau Aperçu ou dans le fichier SWF exporté. Par exemple, les objets auxquels sont appliqués l’effet Fondu en entrée sont visibles au moment où la page est tournée alors qu’ils devraient être invisibles. Pour éviter ce conflit, n’utilisez pas de transitions de page sur les pages comportant des animations et désactivez l’option Inclure le coin de page interactif dans la boîte de dialogue d’exportation SWF. Les mouvements prédéfinis susceptibles de ne pas fonctionner comme prévu avec les transitions de page et les coins de page incluent Apparition, Fondu en entrée, les différents paramètres Entrée rapide, Zoom avant (2D) et Coup de pinceau.

Conversion des objets sélectionnés en trajectoire

Vous pouvez créer une animation en sélectionnant un objet et un tracé et en les convertissant en trajectoire. Si vous sélectionnez deux tracés fermés, par exemple deux rectangles, c’est le tracé supérieur (du dessus) qui est converti en trajectoire. 1 Sélectionnez l’objet à animer et le tracé à utiliser comme trajectoire.

Vous ne pouvez pas convertir plus de deux objets sélectionnés.

2 Dans le panneau Animation, cliquez sur le bouton Convertir en trajectoire 3 Dans ce même panneau, modifiez les paramètres voulus.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

action qui déclenche l’animation. Animation prédéfinie Choisissez des paramètres de mouvement prédéfinis parmi ceux répertoriés. Evénement(s) L’option Au chargement de la page est sélectionnée par défaut, ce qui signifie que l’objet animé est

exécuté à l’ouverture de la page dans le fichier SWF. Choisissez l’option Au clic sur la page pour déclencher l’animation lorsqu’un utilisateur clique sur la page. Choisissez l’option Au clic (auto) ou Au survol (auto) pour déclencher l’animation lorsqu’un utilisateur clique sur l’objet lui-même ou place le pointeur dessus, respectivement. Si vous créez une action de bouton pour déclencher l’animation, choisissez l’option Evénement bouton activé (voir la section

« Ajout d’actions aux boutons » à la page 614). Vous pouvez définir plusieurs événements pour démarrer l’animation. Si vous sélectionnez l’option Au survol (auto), vous pouvez également sélectionner l’option Inversion à la fin du survol. Elle permet d’inverser l’action de l’animation lorsque le pointeur ne se trouve plus sur l’objet. Créer un déclencheur de bouton Cliquez sur ce bouton pour déclencher l’animation à partir d’un objet ou d’un

bouton existant. Après avoir cliqué sur le bouton Créer un déclencheur de bouton

, cliquez sur l’objet à utiliser pour déclencher l’animation. Cet objet est converti en bouton, le cas échéant, puis le panneau Boutons s’affiche. Durée Indiquez la durée de l’animation. Lecture Indiquez la fréquence d’exécution de l’animation ou sélectionnez l’option En boucle pour que l’animation soit exécutée en continu jusqu’à ce qu’elle soit interrompue. Vitesse Indiquez si l’animation est lue à une vitesse normale (option Sans), démarre lentement puis accélère

(option Accélération) ou se termine au ralenti (option Décélération).

Remarque : les options suivantes sont disponibles lors de la sélection de l’option Propriétés. Animation Choisissez l’option De l’aspect actuel pour utiliser les propriétés actuelles de l’objet (facteur d’échelle, angle

de rotation et position) comme point de départ de l’animation.

Choisissez l’option A l’aspect actuel pour utiliser les propriétés de l’objet comme point d’arrivée de l’animation. Cette option est particulièrement utile dans les diaporamas. Par exemple, les objets qui font leur apparition hors de la page peuvent s’afficher sur la page plutôt que sur la table de montage, améliorant ainsi l’aspect du document à l’impression. Choisissez l’option A l’emplacement actuel pour utiliser les propriétés actuelles de l’objet comme point de départ de l’animation et sa position comme point d’arrivée. Cette option est semblable à l’option De l’aspect actuel, si ce n’est que l’objet s’arrête à son emplacement actuel et que la trajectoire est décalée. Cette option est particulièrement utile pour certains mouvements prédéfinis, tels que les flous et les fondus, car elle permet d’éviter que l’objet n’apparaisse dans un état indésirable à la fin de l’animation.

Origine Définissez le point d’origine de la trajectoire sur l’objet animé en vous aidant de la doublure.

Mise à l’échelle Indiquez un facteur d’échelle afin de déterminer si la taille de l’objet augmente ou diminue au cours

Opacité Indiquez si l’animation demeure opaque (option Sans), apparaît progressivement (option Fondu en entrée) ou disparaît progressivement (option Fondu en sortie). Visibilité Sélectionnez l’option Masquer jusqu’à l’animation ou Masquer après l’animation pour que l’objet soit

invisible avant ou après la lecture.

Enregistrement de mouvements prédéfinis pour réutilisation Les paramètres personnalisés sont visibles en haut du menu Paramètres prédéfinis, dans le panneau Animation. 1 Dans le panneau Animation, modifiez les paramètres à votre convenance. 2 Choisissez la commande Enregistrer dans le menu du panneau Animation. 3 Saisissez le nom de votre choix, puis cliquez sur le bouton OK.

Suppression de mouvements prédéfinis personnalisés

La boîte de dialogue Gérer les paramètres prédéfinis permet de supprimer les mouvements prédéfinis que vous avez enregistrés, dupliqués ou importés. Il est impossible de supprimer les mouvements prédéfinis installés avec InDesign (ils figurent entre parenthèses). Lorsque vous supprimez un mouvement prédéfini, il ne figure plus ni dans le menu Paramètres prédéfinis ni sur l’ordinateur. 1 Dans le menu du panneau Animation, choisissez la commande Gérer les paramètres prédéfinis. 2 Sélectionnez le mouvement prédéfini voulu, puis cliquez sur l’option Supprimer.

Duplication de mouvements prédéfinis

1 Dans le menu du panneau Animation, choisissez la commande Gérer les paramètres prédéfinis. 2 Sélectionnez le mouvement prédéfini voulu, puis cliquez sur le bouton Dupliquer.

Enregistrement de mouvements prédéfinis dans des fichiers XML Il est utile d’enregistrer les mouvements prédéfinis dans des fichiers XML si vous souhaitez les partager avec d’autres utilisateurs InDesign ou les ouvrir dans Flash Professional.

Lorsque vous enregistrez un mouvement prédéfini dans un fichier XML, la trajectoire est enregistrée, de même que les paramètres Durée, Vitesse, Mise à l’échelle, Rotation et Opacité. 1 Dans le menu du panneau Animation, choisissez la commande Gérer les paramètres prédéfinis. 2 Sélectionnez un mouvement prédéfini, puis cliquez sur le bouton Enregistrer sous. 3 Précisez le nom et l’emplacement du mouvement prédéfini, puis cliquez sur le bouton Enregistrer.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Cliquez sur le bouton Charger. 3 Cliquez deux fois sur le fichier .xml à importer.

Modification d’une trajectoire

Lorsque vous sélectionnez un objet animé, la trajectoire s’affiche en regard de l’objet.

dans le panneau Animation.

• Pour modifier la direction de la trajectoire, cliquez sur le bouton Propriétés du panneau Animation, puis choisissez un paramètre dans le menu Animation (voir la section « Options de mouvement prédéfini » à la page 607). Vous pouvez également sélectionner la trajectoire et choisir la commande Objet > Tracés > Inverser le tracé. Pour inverser le tracé sans déplacer l’objet, supprimez l’animation, inversez le tracé, puis rétablissez l’animation.

Utilisation du panneau Minutage pour modifier l’ordre d’une animation

Le panneau Minutage permet de modifier l’ordre de lecture des objets animés Ce panneau répertorie les animations figurant sur la planche active selon l’événement de page auxquelles elles sont associées. Vous pouvez, par exemple, modifier un ensemble d’animations déclenchées lors du chargement de la page, puis modifier un autre jeu d’animations déclenchées lors d’un clic sur la page. Les objets animés sont recensés dans l’ordre dans lequel ils ont été créés. Par défaut, les animations associées à l’événement Au chargement de la page sont lues de manière séquentielle. Celles associées à l’événement Au clic sur la page sont lues dans l’ordre à chaque clic sur la page. Vous pouvez modifier l’ordre des animations, faire en sorte que des objets soient lus en même temps ou encore, retarder la lecture d’une animation. 1 Choisissez la commande Fenêtre > Objet interactif > Minutage pour afficher le panneau Minutage. 2 Pour déterminer si le minutage des événements Au chargement de la page et Au clic sur la page doit être modifié,

sélectionnez une option dans le menu Evénement.

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à au moins un élément. 3 Pour modifier le minutage, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour modifier l’ordre d’animation, faites glisser les éléments vers le haut ou vers le bas de la liste. Les éléments figurant en haut de la liste sont animés en premier.

• Pour retarder la lecture d’une animation, sélectionnez l’élément et indiquez le délai voulu, en secondes.

• Pour lire plusieurs objets animés en même temps, sélectionnez-les dans la liste, puis cliquez sur le bouton Lire ensemble afin de les lier. Pour sélectionner une plage d’éléments consécutifs, cliquez dessus en maintenant la touche Maj enfoncée ; pour sélectionner des éléments non adjacents, cliquez dessus en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée.

• Si vous préférez que certains éléments liés soient lus séparément, sélectionnez-les et cliquez sur le bouton Lire séparément

Au clic sur la page, par exemple), choisissez la commande Supprimer l’élément. Si l’élément n’est associé à aucun événement, il s’affiche dans la catégorie Non attribué, disponible dans le menu Evénement.

Les transitions de page sont des effets décoratifs, tels qu’un fondu ou un balayage, qui accompagnent le passage d’une page à une autre dans un document exporté au format SWF ou PDF. Vous pouvez appliquer plusieurs transitions à différentes pages ou utiliser la même transition pour toutes les pages du document. Les transitions de page sont particulièrement utiles lors de la création d’un diaporama au format PDF ou SWF.

« Exportation au format Adobe PDF » à la page 548 « Création de fichiers SWF (Flash) interactifs pour le Web » à la page 574

Application de transitions de page

Vous pouvez appliquer des transitions de page à toutes les planches du document ou seulement à certaines d’entre elles. Les transitions de page s’affichent lors de l’exportation d’un document InDesign au format PDF ou SWF. En revanche, il n’est pas possible d’appliquer des transitions à différentes pages d’une même planche ni aux gabarits.

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Assurez-vous que la planche est bien sélectionnée. Les numéros sous les pages doivent apparaître en surbrillance dans le panneau Pages. 2 Pour afficher le panneau Transitions de page, choisissez la commande Fenêtre > Objet interactif > Transitions de page. 3 Choisissez l’un des effets proposés dans le menu Transition.

Maintenez le pointeur de la souris sur la vignette pour obtenir un aperçu animée de la transition sélectionnée.

Vous vous demanderez peut-être s’il est vraiment indispensable de sélectionner la transition Page tournée (SWF seulement) pour créer un effet de coin de page dans le fichier SWF. Sachez qu’il n’est pas nécessaire d’appliquer cette transition pour tourner les pages manuellement dans le fichier SWF. En effet, si vous sélectionnez l’option Inclure le coin de page interactif dans la boîte de dialogue Exporter au format SWF, vous pouvez ensuite faire glisser le coin des pages pour les tourner manuellement dans le fichier SWF exporté ou utiliser les touches fléchées ou les boutons de navigation pour activer la transition sélectionnée pour cette page. 4 Personnalisez la transition à votre guise à l’aide des options des menus Sens et Vitesse. 5 (Facultatif) Pour appliquer la transition sélectionnée à l’ensemble des planches du document, cliquez sur

l’icône Appliquer à toutes les planches menu du panneau Transitions de page.

ou choisissez la commande Appliquer à toutes les planches dans le

6 (Facultatif) Sélectionnez une autre planche dans le panneau Pages, puis appliquez-lui une autre transition de page.

Lorsque vous appliquez une transition de page à une planche, une icône de transition de page apparaît en regard de cette planche dans le panneau Pages. Vous avez la possibilité de masquer ces icônes dans le panneau Pages en désélectionnant l’option Transitions de page dans la boîte de dialogue Options de panneau.

Pour afficher un aperçu des transitions de page, exportez le document au format PDF ou SWF.

Suppression des transitions de page

• Dans le panneau Pages, sélectionnez la planche dans laquelle vous voulez effacer la transition, puis choisissez l’option Sans dans le menu Transition du panneau Transitions de page.

• Pour éliminer les transitions de toutes les planches, choisissez la commande Tout effacer dans le menu du panneau Transitions de page.

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Pour quitter le mode Plein écran, appuyez sur la touche Echap.

Création de boutons Vous pouvez créer des boutons permettant d’effectuer certaines opérations une fois le document exporté au format SWF ou PDF. Il peut s’agir, par exemple, d’un bouton pour accéder à une autre page ou à un site Web.

Bouton pour lire une séquence vidéo dans le fichier PDF exporté

Après avoir créé des boutons, vous pouvez :

• les rendre interactifs au moyen du panneau Boutons. Lorsqu’un utilisateur clique sur un bouton dans le fichier SWF ou PDF exporté, l’action correspondante a lieu (voir la section « Ajout d’effets interactifs aux boutons »

• préciser, dans la section Aspect du panneau Boutons, l’aspect que doivent avoir les boutons en fonction des actions effectuées avec la souris (voir la section « Modification de l’état d’un bouton au survol et sur un clic de la souris » à la page 617).

• créer un objet à états multiples au moyen du panneau Etats d’objet (voir la section « Création d’objets à états multiples » à la page 618).

• créer une « zone sensible » ou « lien actif » permettant d’afficher une image lorsque l’utilisateur pointe ou clique sur le bouton (voir la section « Création de zones sensibles sur les boutons » à la page 619).

Lorsque vous créez ou modifiez des boutons et concevez des documents dynamiques, sélectionnez l’espace de travail Interactivité.

Création d’un bouton

1 Servez-vous de l’outil Plume ou d’un outil de dessin (par exemple, Rectangle ou Ellipse) pour tracer la forme du

bouton. Si nécessaire, ajoutez du texte sur le bouton (par exemple, « Suivant » ou « Acheter ») à l’aide de l’outil Texte.

Pour éviter d’avoir à recréer sur chaque page les boutons de navigation qui doivent être visibles sur plusieurs pages du document (tels les boutons Page suivante et Page précédente), ajoutez-les au gabarit. Ces boutons apparaîtront alors sur toutes les pages de document auxquelles vous avez appliqué ce gabarit.

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• Spécifiez une ou plusieurs actions pour le bouton, autrement dit les événements qui doivent se produire lorsque l’utilisateur clique sur le bouton dans le fichier SWF ou PDF exporté (voir la section « Ajout d’effets interactifs aux boutons » à la page 614).

• Activez d’autres états et changez leur aspect pour définir le comportement du bouton lorsque l’utilisateur passe la souris sur le bouton ou clique dessus dans le fichier PDF ou SWF exporté (voir la section « Modification de l’état d’un bouton au survol et sur un clic de la souris » à la page 617).

5 A l’aide du panneau Aperçu (Fenêtre > Objet interactif > Aperçu), testez le bouton avant d’exporter le document

au format PDF interactif ou SWF.

Ajout d’un bouton à partir du panneau Boutons exemples

Le panneau Boutons exemples propose plusieurs boutons prédéfinis que vous pouvez faire glisser vers votre document. Ces boutons comportent des effets, tels que le contour progressif dégradé et l’ombre portée, et présentent un aspect légèrement différent pour l’aspect Survol. Des actions sont également affectées à ces exemples de boutons, notamment Atteindre la page suivante et Atteindre la page précédente pour les boutons contenant des flèches. Vous pouvez modifier ces boutons à votre convenance. Le panneau Boutons exemples est une bibliothèque d’objets. Vous pouvez ainsi y ajouter d’autres boutons et supprimer ceux dont vous n’avez pas besoin (voir la section « Utilisation des bibliothèques d’objets » à la page 433). Les exemples de bouton sont stockés dans le fichier ButtonLibrary.indl, situé dans le dossier Presets/Button Library du dossier de l’application InDesign. 1 Pour afficher le panneau Boutons exemples, choisissez la commande éponyme dans le menu du panneau Boutons. 2 Faites glisser l’un des boutons du panneau Boutons exemples vers le document. Si vous voulez que les boutons de

navigation soient visibles sur chacune des pages, ajoutez-les à un gabarit.

3 Sélectionnez le bouton à l’aide de l’outil Sélection, puis modifiez-le à votre guise à l’aide du panneau Boutons.

Lorsque vous modifiez un exemple de bouton, tenez compte des points suivants :

• Si vous ajoutez du texte à un bouton, pensez à copier et coller ce texte de l’état Normal à l’état Survol. En effet, si vous omettez de le faire, le texte ajouté n’apparaîtra pas lorsque le pointeur de la souris se trouvera sur le bouton dans le fichier PDF ou SWF.

• Vous pouvez modifier les dimensions des boutons. Si vous faites glisser deux boutons fléchés (page suivante/précédente), redimensionnez le premier bouton, sélectionnez ensuite le second bouton, puis choisissez la commande Objet > Répéter la transformation > Répéter la transformation.

Utilisez le panneau Aperçu pour tester le bouton.

Conversion d’un bouton en objet

Lorsque vous convertissez un bouton en objet, son contenu reste sur la page, mais sans les propriétés du bouton. Tout contenu associé aux autres états du bouton est également supprimé. 1 Sélectionnez le bouton souhaité à l’aide de l’outil Sélection

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Supposons à titre d’exemple que vous devez créer un bouton pour lire une séquence audio dans un document PDF. Vous devez d’abord importer le fichier son dans le document InDesign, puis créer le bouton qui déclenchera la lecture de la séquence audio lorsque vous cliquerez dessus dans le document PDF. Dans cet exemple, le fait de cliquer avec le bouton de la souris correspond à l’événement, et la lecture de la séquence audio correspond à l’action.

Ce bouton est configuré pour lancer une séquence audio après relâchement du bouton de la souris.

Remarque : certaines actions sont prises en charge à la fois dans les fichiers PDF et SWF ; d’autres ne le sont que dans un format ou dans l’autre. Evitez de choisir une action compatible PDF uniquement si vous exportez au format SWF ou une action compatible SWF uniquement si vous exportez au format PDF.

Ajout d’actions aux boutons

Vous pouvez associer des actions à divers événements. Par exemple, vous pouvez faire en sorte qu’une séquence audio dans un fichier PDF exporté démarre lorsque le pointeur de la souris se trouve dans la zone du bouton ou encore qu’une séquence vidéo soit activée après un clic suivi du relâchement du bouton de la souris. Vous pouvez également associer plusieurs actions à un même événement. Ainsi, vous pouvez faire en sorte qu’un événement entraîne la lecture d’une séquence vidéo et l’affiche dans sa taille réelle. 1 A l’aide de l’outil Sélection

, sélectionnez le bouton que vous avez créé.

2 Dans le panneau Boutons, choisissez l’événement (par exemple, Relâché) qui détermine le mode d’activation des

3 Cliquez sur le bouton contenant le signe plus

situé à côté de la section Scripts d’action, puis choisissez l’action

à associer à l’événement.

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Pour tester le bouton, exportez le document au format PDF ou SWF, puis examinez le fichier exporté. Si vous optez pour le format PDF, veillez à bien sélectionner l’option Eléments interactifs. En revanche, dans le cas du format SWF, pensez à sélectionner l’option Inclure les boutons.

Types d’événements

Les événements déterminent la manière dont les actions de bouton sont activées dans un document InDesign exporté au format Adobe PDF ou SWF. Dans Acrobat, les événements sont désignés par le terme déclencheurs. Relâché Déclenche l’action lorsque l’utilisateur relâche le bouton de la souris après avoir cliqué. Cet événement est le plus utilisé pour sa flexibilité, car il laisse à l’utilisateur la possibilité de retirer le pointeur du bouton sans déclencher l’action. Clic Déclenche l’action dès que l’utilisateur clique à l’aide du bouton de la souris (sans le relâcher). A moins d’avoir

une raison particulière d’utiliser cet événement, il est préférable de choisir l’événement Relâché qui permet à l’utilisateur d’annuler l’action.

Effleuré Déclenche l’action dès que le pointeur entre dans la zone du bouton définie par le cadre de sélection. Sortie Déclenche l’action dès que le pointeur de la souris est déplacé hors de la zone du bouton. Champ activé Déclenche l’action lors de la sélection du bouton au moyen de la souris ou de la touche de tabulation dans le fichier PDF. Champ désactivé Déclenche l’action lors de la sélection d’un autre bouton ou champ de formulaire dans le

Atteindre l’URL Ouvre la page Web correspondant à l’URL définie.

Afficher/Masquer les boutons Affiche ou masque alternativement les boutons spécifiés dans le fichier PDF ou SWF

exporté. Par exemple, pour qu’un bouton s’affiche lorsque le pointeur se trouve sur un autre bouton, vous pouvez masquer le bouton cible jusqu’à ce qu’il soit activé et créer une action permettant d’afficher le bouton masqué au survol

(voir la section « Affichage d’un autre bouton au survol » à la page 620). Vidéo Lance, suspend, arrête ou redémarre la séquence vidéo sélectionnée. Seules les séquences incluses dans le document sont visibles dans le menu Vidéo. Son Lance, suspend, arrête ou redémarre la séquence audio sélectionnée. Seules les séquences incluses dans le document sont visibles dans le menu Son.

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états multiples est associé à diverses images représentant un état distinct, vous pouvez utiliser cette action pour afficher une image spécifique. Atteindre l’état suivant/précédent (SWF) Affichent l’état suivant ou précédent d’un objet à états multiples. Ces options

sont particulièrement utiles pour parcourir un diaporama (voir la section « Création d’objets à états multiples » à la page 618).

Atteindre la vue suivante (format PDF) Affiche une autre page après consultation d’une vue précédente. Tout comme

le bouton Suivant d’un navigateur Web n’est disponible qu’après sélection du bouton Précédent, cette option ne peut

être utilisée tant que l’utilisateur n’a pas consulté une vue précédente. Atteindre la vue précédente (format PDF) Permet d’atteindre la dernière page visualisée dans le document PDF ou de

rétablir le dernier niveau de zoom utilisé.

Ouvrir le fichier (format PDF) Ouvre le fichier défini. Si ce dernier n’est pas au format PDF, il convient de disposer de

l’application native pour que l’opération aboutisse. Définissez le chemin d’accès complet (c:\docs\document.pdf, par exemple).

Afficher le zoom (format PDF) Affiche la page en fonction de l’option de zoom choisie. Vous pouvez modifier le niveau

de zoom de la page (Taille réelle, par exemple), la mise en page (Continu - Pages en vis à vis, etc.) ou l’orientation de la rotation.

Modification ou suppression des actions de bouton

1 Sélectionnez le bouton souhaité à l’aide de l’outil Sélection

2 Dans le panneau Boutons, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour supprimer une action, sélectionnez-la dans la zone de liste, puis cliquez sur le bouton Supprimer le script d’action sélectionné

• Pour modifier une action, choisissez l’événement auquel elle est affectée, sélectionnez l’action dans la zone de liste, puis changez les paramètres la concernant. Pour remplacer l’action associée à un événement existant, supprimezla, puis ajoutez la nouvelle action nécessaire à l’événement.

Si vous créez un point d’ancrage de texte dans un document InDesign, vous pouvez utiliser un bouton pour atteindre ce point d’ancrage, même s’il se trouve dans un autre document InDesign. Utilisez les panneaux Signets et Hyperliens pour ajouter des points d’ancrage de texte. Il est impossible de créer des liens entre des boutons et des signets autres que des points d’ancrage de texte. Remarque : si le bouton a pour cible un hyperlien, ce dernier sera sans effet dans le document PDF ou SWF exporté. 1 Sélectionnez le bouton souhaité à l’aide de l’outil Sélection

2 Dans le panneau Boutons, choisissez l’événement (par exemple, Relâché) qui déclenchera le renvoi à la cible.

3 Cliquez sur le bouton contenant le signe plus situé à côté de la section Scripts d’action, puis choisissez la commande

Accéder à la cible.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

5 Définissez le point d’ancrage créé à l’aide du panneau Signets ou Hyperliens. 6 Sélectionnez le mode d’affichage de la page dans le menu Zoom.

Remarque : si vous définissez un point d’ancrage dans un autre document, exportez ce dernier au format PDF et utilisez le même nom de fichier que dans InDesign (remplacez uniquement l’extension .indd par .pdf). De même, stockez les documents PDF dans le même dossier pour que les liens demeurent valides dans Acrobat ou Reader.

« Création de signets pour un document PDF » à la page 585 « Présentation du panneau Hyperliens » à la page 587

Modification de l’état d’un bouton au survol et sur un clic de la souris

Un bouton est en réalité un groupe d’objets distincts, chacun représentant un état (ou aspect) du bouton. Chaque bouton peut avoir trois états : Normal, Survol et Clic. Dans le fichier exporté, l’état Normal est utilisé sauf si le pointeur de la souris passe sur le bouton (Survol) ou si l’utilisateur clique dessus à l’aide de la souris (Clic). Vous pouvez faire en sorte que chaque état soit visuellement différent. Par défaut, tout nouveau bouton adopte l’état Normal et contient son texte ou son image. Lorsque vous activez un nouvel état, il reprend les caractéristiques de l’état Normal. Pour distinguer les différents états, vous pouvez changer la couleur ou ajouter du texte ou une image.

Certaines modifications affectent uniquement l’état sélectionné, alors que d’autres s’appliquent à tous les états actifs.

Si, par exemple, vous sélectionnez un état et appliquez une autre couleur d’arrière-plan ou modifiez le texte, cette modification se limite à l’état sélectionné. En revanche, si vous déplacez ou redimensionnez le bouton à l’aide de l’outil Sélection, cette modification est répercutée sur tous les états. 1 Choisissez la commande Fenêtre > Objet interactif > Boutons pour afficher le panneau correspondant. 2 A l’aide de l’outil Sélection

, sélectionnez le bouton à modifier dans la mise en page.

3 Cliquez sur l’option [Survol] pour activer cet état.

L’état Survol adopte les caractéristiques de l’état Normal.

• Pour coller une image dans un bloc de texte, copiez-la dans le Presse-papiers, sélectionnez l’état dans le panneau Boutons, puis choisissez la commande Edition > Coller dedans.

• Pour insérer du texte, sélectionnez l’outil Texte, cliquez sur le bouton, puis commencez la saisie. Vous pouvez

également choisir la commande Edition > Coller dedans pour copier un bloc de texte collé. 5 Pour ajouter l’état Clic, activez l’option [Clic] en cliquant dessus, puis modifiez l’aspect de cet état en suivant la

6 Utilisez le panneau Aperçu pour tester les divers états du bouton.

Pour changer la taille des vignettes Aspect de l’état dans le panneau Boutons, choisissez la commande Options de panneau dans le menu du panneau Boutons, sélectionnez l’option désirée, puis cliquez sur le bouton OK.

Suppression et désactivation d’états

1 Sélectionnez l’état voulu dans le panneau Boutons. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour supprimer l’état Survol ou Clic, cliquez sur l’icône de suppression en bas du panneau. Il peut être très pratique de supprimer un état si, par exemple, vous avez apporté de nombreuses modifications à l’état Normal et décidez de définir l’état Survol ou Clic d’après le nouvel état Normal.

• Pour désactiver un état sans le supprimer, cliquez sur l’icône en forme d’œil située en regard de cet état pour le désélectionner. Les états désactivés ne sont pas exportés dans le fichier PDF ou SWF.

Remarque : il est impossible de supprimer ou de désactiver l’état Normal.

Création d’objets à états multiples

Le panneau Etats d’objet vous permet de créer plusieurs versions d’un objet. Un état correspond à une version d’un élément de page. Un objet est dit à état multiple lorsqu’il est associé à plusieurs états. Le panneau Etats d’objet autorise la création d’un nombre illimité d’états pour un objet. Chaque fois que vous créez un état, vous obtenez une autre version de l’élément de page. Vous ne pouvez visualiser qu’un seul état à la fois sur la page. Dans le cas d’une sortie pour impression ou au format PDF, seul l’état actif est visible dans la sortie finale.

Création d’un diaporama d’objets à états multiples

Les objets à états multiples sont souvent utilisés pour créer des diaporamas, permettant ainsi aux utilisateurs d’un fichier SWF de cliquer sur une série d’images. Vous pouvez, par exemple, créer un diaporama de 20 images sans avoir à placer les images sur 20 pages distinctes. 1 Importez les images à afficher dans le diaporama.

Pour de meilleurs résultats, veillez à ce que les blocs d’image soient de la même taille.

Il n’est pas indispensable qu’un état se compose d’un seul élément ; il peut correspondre à un ensemble d’éléments. 2 Pour superposer les images, sélectionnez-les, puis cliquez sur l’option Aligner les centres dans le sens horizontal

et sur l’option Aligner les centres dans le sens vertical

dans le panneau Contrôle.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

5 Testez les boutons de navigation au moyen du panneau Aperçu (Fenêtre > Objet interactif > Aperçu). 6 Exportez le document au format SWF. (voir la section « Documents interactifs » à la page 574).

Modification d’un objet à états multiples

1 Sélectionnez l’objet à états multiples voulu. 2 Dans le panneau Etats d’objet, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour modifier un état, sélectionnez-le dans le panneau Etats d’objet, puis effectuez les modifications voulues.

Vous pouvez, par exemple, y ajouter un contour ou un fond ou encore, redimensionner l’objet.

• Pour ajouter un objet à un état existant, sélectionnez à la fois l’objet voulu et l’objet à états multiples, puis cliquez sur le bouton Ajouter des objets à l’état visible

• Pour supprimer un état avec son contenu, sélectionnez-le, puis choisissez la commande Supprimer l’état dans le menu du panneau.

• Pour masquer l’objet à états multiples dans le fichier exporté jusqu’à ce qu’il soit déclenché par un bouton, choisissez la commande Masqué jusqu’au déclenchement dans le menu du panneau.

• Pour que tous les objets à états multiples du document reprennent leur état initial, choisissez la commande Réinitialiser tous les objets à états multiples sur le premier état dans le menu du panneau. Lorsque vous sélectionnez un état, l’objet demeure dans cet état, y compris après la fermeture et la réouverture du document. Il s’agit là d’un moyen simple et rapide de réinitialiser l’ensemble des objets à états multiples.

Création de zones sensibles sur les boutons

Il est parfois souhaitable que la zone du bouton (également appelée « zone sensible » ou « lien actif ») demeure invisible jusqu’à ce que le pointeur de la souris soit placé dessus. Il est possible, par exemple dans le cas d’une carte géographique, de faire en sorte qu’une image représentant une région apparaisse lorsque l’utilisateur place le pointeur de la souris sur un bouton et qu’elle disparaisse lorsqu’il retire le pointeur de la zone correspondante.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Sélectionnez l’image à afficher lors de l’activation de la zone sensible. Veillez à ce que le bloc de l’image ne présente

ni contour ni arrière-plan.

2 Dans le panneau Boutons (Fenêtre > Objet interactif > Boutons), cliquez sur l’état [Normal] pour convertir l’image

sélectionnée en bouton.

3 Cliquez sur l’état [Survol] dans le panneau Boutons pour l’activer. 4 Cliquez à nouveau sur l’état [Normal]. Sélectionnez ensuite l’image à l’aide de l’outil Sélection directe

Vous pouvez créer une zone sensible qui permet d’afficher un autre objet lorsque vous cliquez ou placez le pointeur sur un objet. Pour ce faire, créez deux boutons, masquez l’un d’eux, puis utilisez l’action Afficher/Masquer les boutons pour afficher et masquer le bouton cible.

1 Créez l’objet à utiliser comme bouton source. Dans le panneau Boutons, cliquez sur l’icône Convertir l’objet en

2 Importez l’image à utiliser comme bouton cible, puis convertissez-la en bouton. 3 Sélectionnez l’image cible, puis l’option Masqué jusqu’au déclenchement située au bas du panneau Boutons. Pour que l’image s’affiche lorsque le pointeur de la souris se trouve sur le bouton source, utilisez les événements Effleuré et Sortie. Pour que l’image s’affiche lorsque vous cliquez sur le bouton source et disparaisse lorsque vous le relâchez, utilisez les événements Clic et Relâché. Dans un cas comme dans l’autre, utilisez l’action Afficher/Masquer les boutons pour afficher et masquer le bouton cible (voir la section « Ajout d’effets interactifs aux boutons » à la page 614). 5 Utilisez le panneau Aperçu pour tester les boutons.

Modification des options PDF des boutons

1 Sélectionnez le bouton souhaité à l’aide de l’outil Sélection

Dernière mise à jour le 18/5/2011

4 Indiquez si le bouton doit être imprimé dans le fichier PDF, puis cliquez sur le bouton OK.

Définition de l’ordre de sélection des boutons à l’aide de la touche de tabulation

L’ordre des tabulations détermine l’ordre de sélection des champs dans le document PDF ou SWF lorsque l’utilisateur appuie sur la touche de tabulation (ou sur les touches Maj+Tab). L’ordre des tabulations concerne les boutons figurant sur les calques masqués, non ceux des gabarits. 1 Accédez à la page contenant les boutons. 2 Choisissez Objet > Objet interactif > Définir l’ordre des tabulations. 3 Sélectionnez chaque bouton à déplacer et faites-le glisser à l’endroit requis ou cliquez sur les boutons Déplacer vers

le haut et Déplacer vers le bas. Cliquez ensuite sur OK.

Si vous modifiez le fichier PDF et ajoutez des boutons ou des champs de formulaire supplémentaires à une page avec Acrobat, vous devez redéfinir l’ordre des tabulations dans cette application.

Présentation de Digital Publishing Suite

Adobe Digital Publishing Suite est un ensemble d’outils et de services hébergés permettant aux éditeurs de créer et de distribuer des compositions sur des tablettes électroniques telles que l’iPad d’Apple. Ces compositions numériques portent le nom de folios. Grâce à InDesign, vous pouvez créer des folios et les visualiser sous forme d’aperçus sur une tablette et sur un générateur d’aperçu de bureau. Cependant, un abonnement à Digital Publishing Suite est nécessaire pour créer un logiciel de visualisation personnalisé. Les éditeurs peuvent distribuer leurs compositions numériques en les soumettant sur l’Apple Store ou l’Android Market. Vous pouvez également mettre des folios à la disposition d’un éditeur possédant un abonnement à Digital Publishing Suite. Les modules d’extension Folio Builder et Overlay Creator vous permettent de créer des compositions numériques destinées aux tablettes électroniques. Pour accéder à ces modules d’extension : Overlay Creator Choisissez Fenêtre > Extensions > Overlay Creator. Folio Builder Choisissez Fenêtre > Extensions > Folio Builder.

Pour plus d’informations sur la création de compositions numériques pour tablettes électroniques, voir www.adobe.com/go/learn_dps_help_fr.

A propos de XML Le format XML (Extensible Markup Language) permet de réutiliser les données d’un fichier ou d’automatiser le processus de remplacement des données d’un fichier par les données d’un autre fichier. Le format XML utilise des balises pour décrire les différentes parties d’un fichier telles qu’un en-tête ou un article. Ces balises marquent les données, qui peuvent alors être stockées dans un fichier XML et exploitées correctement lorsqu’elles sont exportées dans d’autres fichiers. Le format XML peut être comparé à un mécanisme de traduction des données. Les balises XML libellent le texte et le reste du contenu d’un fichier, de sorte que les autres applications puissent identifier et présenter ces données. Gabriel Powell propose un didacticiel vidéo consacré à l’utilisation du format XML dans InDesign sous le titre Creating a Basic XML-ready Template. Langage extensible XML est considéré comme un langage extensible parce que chaque utilisateur peut créer ses propres balises XML ; chacun peut créer une balise pour chaque type d’information qu’il souhaite réutiliser. Les balises XML ne contiennent pas d’informations sur le mode d’affichage ou de mise en forme des données. Elles servent exclusivement à identifier le contenu. Dans InDesign, par exemple, vous créez une balise Titre1 que vous affectez à chaque titre de niveau 1 d’un document. Après avoir enregistré le document au format XML, le contenu de Titre1 peut être importé et réutilisé par toute application compatible XML dans une page Web, un catalogue imprimé, un répertoire, une liste de tarifs ou un tableau de base de données. InDesign est l’une des nombreuses applications capables de produire et d’utiliser le format XML. Après avoir balisé du contenu dans un fichier InDesign, vous pouvez enregistrer et exporter le fichier au format XML afin de pouvoir le réutiliser dans une application telle qu’InDesign. De même, vous pouvez importer un fichier XML dans InDesign et configurer InDesign de façon à afficher et mettre en forme les données XML à votre convenance. Dans InDesign, vous pouvez créer des balises XML et baliser certaines parties d’un document, même si vous n’avez aucune connaissance de la norme XML. InDesign gère la programmation XML en arrière-plan et crée le contenu XML automatiquement lorsque vous exportez un document au format XML. Important : ne confondez pas balises XML et texte référencé dans InDesign. Pour plus de détails sur le texte référencé, qui constitue une autre méthode pour exporter et importer du contenu InDesign, consultez le fichier PDF relatif au texte référencé à l’adresse suivante : www.adobe.com/go/learn_id_taggedtext_cs5_fr.

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Dans la structure XML, les éléments enfants sont contenus dans des éléments parents, qui peuvent eux-aussi être enfants d’autres éléments. Vu de l’angle opposé, les éléments parents contiennent des éléments enfants, ces derniers pouvant à leur tour être des éléments parents et contenir d’autres éléments enfants. Par exemple, l’illustration suivante présente un élément chapitre qui contient (est le parent de) plusieurs éléments recette. Chaque élément recette, à son tour, est le parent d’éléments appelés nom-recette, ingrédients, instructions, notes et convives. Tous les éléments sont contenus dans l’élément Racine, qui apparaît en haut du volet Structure.

Fichier XML dans un volet Structure d’InDesign (à gauche) et importé dans une page (à droite)

Pour plus de détails sur l’utilisation du format XML dans InDesign, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/learn_id_XMLscript_fr.

« Présentation du volet Structure » à la page 644 « Importation de texte » à la page 145

Outils XML InDesign met à votre disposition le volet Structure et le panneau Balises pour le traitement du contenu XML. Le volet

Structure présente tous les éléments contenus dans le document ainsi que leur structure hiérarchique. Dans InDesign, tous les éléments sont matérialisés par une balise et une icône indiquant le type de données qu’ils contiennent, ce qui vous permet de les identifier plus facilement. De plus, le volet Structure peut afficher les premiers mots de texte d’un élément, c’est-à-dire un extrait de texte, à ne pas confondre avec un fichier d’extrait contenant des objets à réutiliser.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Le panneau Balises répertorie les balises des éléments. Vous pouvez importer, exporter, ajouter, supprimer et renommer les balises. Utilisez le panneau Balises pour appliquer des balises au contenu que vous prévoyez d’exporter au format XML et aux blocs dans lesquels vous prévoyez d’importer du contenu XML.

« Présentation du volet Structure » à la page 644

A propos des fichiers DTD Pour partager des données XML avec d’autres utilisateurs, vous devez convenir d’un ensemble standard de noms de balises et d’attributs d’éléments, de telle sorte que tous les membres du groupe utilisent et appliquent les balises de la même manière. Il est possible de gérer le partage des données XML au moyen d’un fichier DTD (Document Type

Definition). Un fichier DTD fournit un ensemble d’éléments et d’attributs qui peut être utilisé par tous les membres du groupe. Il définit également les règles de positionnement des éléments dans la structure hiérarchique. Par exemple, un fichier DTD peut stipuler qu’un élément Titre doit être un élément enfant de l’élément Article dans la mesure où le titre est censé figurer au sein de l’article ; ainsi, si vous balisez un titre sans baliser l’article dans lequel il apparaît, le fichier DTD désigne l’élément Titre comme élément invalide. Vous pouvez rechercher et mettre en évidence les erreurs de structure contenues dans un fichier InDesign au moyen d’un fichier DTD. Ce processus s’appelle « validation ». Pour utiliser un fichier DTD (si votre document n’en contient encore aucun), vous devez le charger dans le document. Cette opération a pour effet d’importer les noms d’éléments issus du fichier DTD dans le panneau Balises. Les autres utilisateurs qui ont chargé ce fichier DTD disposent des mêmes noms d’éléments, ce qui permet de s’assurer que tous les membres du groupe utilisent bien des éléments communs. Les éléments importés sont verrouillés, ce qui signifie qu’ils ne peuvent être ni supprimés ni renommés tant que le fichier DTD n’est pas retiré du document. Il est probable qu’un fichier DTD créé par un groupe semblable au vôtre comprenne les balises et les structures qui vous conviennent. Pour obtenir une liste actualisée des fichiers DTD répertoriés, rendez-vous à l’adresse www.xml.com/pub/rg/DTD_Repositories (disponible uniquement en anglais).

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Sous-titre (condition) ; ou encore qu’un nouveau bloc est créé et qu’une image du produit est importée (actions) chaque fois que l’élément Produit (condition) s’affiche. Les règles XML offrent la possibilité de créer et mettre en forme de façon dynamique des mises en page en fonction des données XML. Pour plus de détails sur les ensembles de règles XML et autres ressources de création de script XML, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/learn_id_XMLscript_fr.

Préparation de fichiers XML pour flux de productions K4 ou InCopy

Pour insérer des balises XML dans des fichiers en vue de les exploiter dans des environnements de flux de productions K4 ou InDesign/InCopy, vous devrez peut-être modifier la façon dont vous structurez et importez les données XML dans les fichiers InDesign. Il existe deux méthodes pour importer les données XML dans InDesign : la fusion et l’ajout. Si vous optez pour la fusion, la structure existante peut être remplacée. En revanche, dans le cas de l’ajout, elle est simplement complétée. Quel que soit votre choix, vous devez veiller à ce que l’élément racine ne soit associé à aucun bloc de texte. Vous pouvez utiliser l’élément racine par défaut et éventuellement changer son nom en fonction de votre flux de production actuel, tout en vous assurant qu’il n’est associé à aucun bloc de texte. Pour plus de détails sur l’utilisation des données XML dans les flux de productions K4 ou InCopy, prenez contact avec votre administrateur système.

Importation de contenu XML Méthodes d’importation et de mise en page de contenu XML Lorsque vous importez des données XML, le contenu importé s’affiche sous forme d’éléments (blocs de construction de base du XML) dans le volet Structure. InDesign ne crée pas de blocs ou de pages lorsque vous importez du contenu XML.

Ajout ou fusion Il existe deux modes d’importation de contenu XML : le mode ajout et le mode fusion. Vous devez choisir une méthode selon le type de flux de production mis en place (manuel ou automatique), suivant la façon dont le contenu existant doit être géré et selon que vous souhaitez disposer ou non de fonctions avancées pour le traitement des données importées. Mode ajout Lorsque vous ajoutez du contenu importé, la structure existante et le contenu déjà présent dans le

document restent inchangés ; le nouveau contenu XML est placé au bas du volet Structure sous la forme d’éléments.

Mode fusion Lorsque vous fusionnez le contenu importé, InDesign effectue une comparaison entre le contenu XML

entrant et la structure et les noms d’éléments existants. Si les éléments correspondent, les données importées sont

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Une fois le contenu XML importé, vous devez le placer dans le document. Le contenu peut être placé de façon manuelle, de façon automatique ou par le biais de scripts. Vous devez choisir une méthode en fonction du contenu importé, de la mise en page du document et du processus mis en place dans le cadre du flux de production. Insertion manuelle de contenu Si vous optez pour la méthode manuelle, vous devez faire glisser les éléments à partir du volet Structure vers des pages de votre document ou vers des blocs. Cette méthode est simple à mettre en œuvre et demande peu de préparatifs. Utilisez cette méthode si vous importez différents types de contenus ou si vous récupérez du contenu en provenance de sources diverses.

Insertion manuelle de contenu XML importé

Insertion automatique de contenu Vous pouvez automatiser le processus d’insertion de données XML dans votre

mise en page. Cette méthode requiert toutefois quelques préparatifs. Pour automatiser le processus d’insertion de contenu XML, vous devez tout d’abord préparer le document en créant des blocs de substitution balisés destinés à recevoir le contenu XML entrant. Si la structure et les noms d’éléments XML du contenu entrant correspondent à ceux des blocs de substitution, le contenu XML importé peut être placé automatiquement dans votre document. InDesign peut également cloner des éléments pour le traitement des données qui se répètent, telles que les listes d’adresses ou le contenu de catalogues. Vous pouvez utiliser la méthode de mise en page automatique dans le cadre d’un processus structuré du flux de travail, afin d’optimiser le rythme et l’efficacité de la ligne de production.

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A propos de la fusion Vous pouvez insérer des données XML dans un document en mode fusion ou en mode ajout. Le mode fusion vous permet d’automatiser l’opération d’insertion du contenu. Vous pouvez également filtrer les données du fichier XML pour n’insérer que des parties spécifiques de ce fichier. Fusionnez le contenu XML entrant lorsque :

• le document contient des blocs de substitution dans lesquels vous souhaitez insérer le contenu XML importé.

• le document contient du contenu XML que vous souhaitez remplacer par le contenu XML importé. • le document ne contient aucune structure XML et vous voulez remplacer la racine par défaut par la racine du fichier XML entrant. En mode fusion, InDesign effectue une comparaison entre les données XML et les éléments existants contenus dans le document. InDesign parcourt le fichier élément par élément et compare les éléments entrants aux éléments existants de la façon suivante : 1. InDesign commence la comparaison au niveau de l’élément racine.

• Si l’élément racine du fichier XML importé et celui du document InDesign ne correspondent pas et si le volet Structure ne contient aucune structure, InDesign remplace la racine du document InDesign par celle du fichier XML et importe ce fichier.

• Si les éléments racine ne correspondent pas et si le volet Structure contient déjà des éléments, InDesign ajoute le fichier à la fin de la structure existante.

• Si les éléments racine correspondent, le processus de fusion (et de mise en correspondance) se poursuit.

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• Si InDesign trouve un élément correspondant dans le volet Structure, il le remplace par l’élément issu du fichier XML entrant.

• Si InDesign ne trouve pas de correspondance, il insère l’élément entrant dans le volet Structure au point de départ de la recherche. Par exemple, si la recherche a commencé juste en dessous de la racine et qu’aucune correspondance n’a été trouvée, l’élément entrant est placé immédiatement en dessous de la racine.

3. InDesign continue de comparer les éléments.

InDesign continue de comparer le fichier XML entrant avec la structure existante, élément par élément. Le point de départ de la recherche se déplace dans le volet Structure à mesure que la recherche progresse, chaque nouvelle phase de recherche commençant juste en dessous du dernier élément inséré ou remplacé. InDesign se déplace toujours vers le bas, à partir de l’emplacement actif ; il ne place jamais d’éléments au-dessus du dernier élément inséré ou remplacé.

Importation et ajout de données XML Lorsque vous importez du contenu XML, les nouveaux éléments s’affichent dans le volet Structure. Vous pouvez ensuite les insérer dans votre document par glisser-déplacer à partir de ce panneau.

1 Ouvrez un document InDesign ou créez un document destiné à recevoir le contenu XML. 2 Ouvrez le volet Structure. (Choisissez la commande Affichage > Structure > Afficher la structure.) 3 Choisissez la commande Fichier > Importation XML (ou choisissez la commande Importation XML dans le menu

du volet Structure) et sélectionnez le fichier XML à importer.

4 Sélectionnez Afficher les options d’importation XML. 5 Sélectionnez la commande Ajouter le contenu et cliquez sur le bouton Ouvrir. 6 Pour lier le contenu XML au fichier XML d’origine, sélectionnez Créer un lien.

Le fichier XML sera alors répertorié dans le panneau Liens et un triangle d’alerte jaune s’affichera dans ce panneau si le contenu du fichier fait l’objet de modifications.

« Liaison ou incorporation de fichiers texte importés » à la page 151 « Importation et fusion de contenu XML » à la page 635

Mise en page manuelle du contenu XML Vous pouvez placer manuellement du contenu XML dans votre document : il vous suffit pour cela de faire glisser des

éléments à partir du volet Structure vers une page ou un bloc existant. Lorsque vous insérez un élément, ses éléments enfants (et les éléments enfants de ces éléments, s’ils existent) sont également insérés. Dès qu’un élément est inséré dans le document, un losange bleu indiquant son niveau hiérarchique apparaît sur son icône dans le volet Structure ; les éléments qui n’ont pas été insérés dans le document se voient attribuer une icône d’élément non placé.

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1 Ouvrez le volet Structure (Affichage > Structure > Afficher la structure) et sélectionnez les éléments à mettre en page. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour chacun des éléments à placer dans le document :

• Faites glisser l’élément vers la page. InDesign crée un bloc pour l’élément.

• Faites glisser l’élément vers un bloc existant. Si le bloc contient des données, celles-ci sont remplacées par les données XML. 3 Utilisez l’une des méthodes suivantes pour mettre en forme les éléments mis en page :

• Etablissez la correspondance entre les balises XML et les styles de paragraphe, de caractère, de tableau et de cellule.

• Appliquez des styles aux éléments. • Sélectionnez du contenu et mettez-le en forme manuellement au moyen des options de mise en forme disponibles dans le panneau Commande.

Mise en correspondance des balises aux styles

Les balises XML ne sont ni plus ni moins que des descriptions de données ; elles ne comportent aucune instruction de mise en forme. C’est la raison pour laquelle vous devez mettre en forme le contenu XML importé et mis en page. Pour ce faire, vous pouvez faire correspondre les balises XML avec des styles de paragraphe, de caractère, de tableau ou de cellule. Par exemple, vous pouvez faire correspondre la balise Signature au style de caractère Auteur. Ainsi, tout le contenu XML importé et inséré auquel vous appliquerez la balise Signature se verra automatiquement attribuer le style de caractère Auteur. Lorsque vous faites correspondre les balises avec des styles, la procédure de mise en forme du contenu XML importé devient plus simple et moins fastidieuse. Il n’est pas obligatoire de faire correspondre toutes les balises avec un style de paragraphe ou de caractère. Il peut être plus simple dans certains cas de mettre en forme les éléments un par un ; il se peut également que certains éléments ne soient pas visibles dans la page. En outre, les éléments enfants héritent du style de paragraphe ou de caractère appliqué à l’élément parent, ce qui peut donner des résultats inattendus, auquel cas il est préférable de définir séparément les associations des éléments parents et des éléments enfants. Important : la commande Faire correspondre les balises aux styles a pour effet de réappliquer les styles sur l’ensemble d’un document, ce qui peut donner des résultats imprévus. Lorsque vous faites correspondre une balise avec un style, certaines plages de texte associées à un style spécifique peuvent se voir attribuer un autre style, suivant la balise XML qui leur est appliquée. Si vous avez déjà mis en forme du texte, il peut être préférable d’appliquer les styles manuellement pour éviter que les styles de paragraphe et de caractère que vous avez choisis soient remplacés. 1 Choisissez la commande Faire correspondre les balises aux styles dans le menu du panneau Balises ou Structure.

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• Pour associer automatiquement les balises aux styles portant le même nom, cliquez sur le bouton Faire correspondre avec le nom. Les styles portant le même nom que les balises sont sélectionnés dans la colonne Style. On considère que les noms d’une balise et d’un style correspondent s’ils ont la même orthographe, mais aussi la même casse ; par exemple, H1 et h1 sont considérés comme deux noms différents. Si le même nom de style est présent dans deux groupes de styles différents, l’option Faire correspondre avec le nom ne donne aucun résultat et vous êtes invité à renommer l’un des styles. 3 Cliquez sur OK.

« Ajout de styles de paragraphe et de caractère » à la page 215 « Création et chargement des balises XML » à la page 637

A propos de la mise en page automatique

Vous pouvez utiliser InDesign pour automatiser le processus d’insertion de contenu XML importé dans une page. Pour ce faire, créez tout d’abord des tableaux ou des blocs de substitution et appliquez-leur des balises portant le même nom que les éléments XML qui leur sont destinés. Ensuite, vous devez importer le contenu XML dans les blocs de substitution en mode fusion. Lorsque InDesign trouve des balises portant le même nom et situées au même niveau hiérarchique, il fusionne le contenu XML et, pour ce faire, remplace le contenu existant présent dans le document. Cette fonction peut vous être utile si vous souhaitez utiliser la même mise en page pour différentes séries de contenus. Par exemple, un bulletin hebdomadaire conserve la même mise en page d’une semaine à l’autre, mais offre du contenu différent à chaque numéro. Pour que les données XML importées puissent être directement fusionnées dans une page, le document doit remplir les conditions suivantes :

• Les balises appliquées aux blocs (ou aux tableaux) contenus dans le document doivent porter le même nom que les

éléments du fichier XML que vous prévoyez d’importer.

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« Liaison du texte » à la page 152 « Balisage d’éléments » à la page 639 « Réorganisation des éléments structurés » à la page 645

Traitement des données qui se répètent

On dit que le contenu XML se répète lorsque la même configuration d’éléments apparaît plusieurs fois de suite sur une rangée, chacune des instances contenant des données différentes. Par exemple, les éléments d’une base de données se répètent. Les adresses d’un tableau de données contiennent des informations qui se répètent (nom, adresse postale, ville, code postal) d’un individu à un autre. Lorsque vous importez un contenu XML, vous pouvez sélectionner l’option Dupliquer les éléments de texte répétés dans la boîte de dialogue Options d’importation XML. Vous indiquez ainsi à InDesign de cloner les éléments répétés dans la structure. Le clonage permet de fusionner du contenu XML qui se répète dans un document sans qu’il soit nécessaire de créer des balises d’emplacement dans le volet Structure (ou du texte de substitution dans un bloc) pour chaque enregistrement. Par exemple, pour importer une liste d’adresses XML constituée de 25 entrées, il vous suffit de créer la structure d’éléments correspondant à une entrée dans le volet Structure. Lorsque vous importez la liste complète, InDesign clone cette structure pour créer les éléments correspondant aux 25 entrées. Les données XML qui se répètent sont placées sous la forme d’un article unique lorsque InDesign les fusionne dans le document. Si vous avez lié des blocs de substitution, InDesign répartit les données de bloc en bloc. Si les données XML ne tiennent pas dans les balises d’emplacement qui leur sont réservées, vous pouvez créer des blocs supplémentaires et les relier pour permettre le placement automatique des données restantes ; il n’est pas nécessaire de faire glisser manuellement des éléments à partir du volet Structure vers des blocs individuels.

Bloc de réservation lié dans la page (à gauche) et page après importation (à droite)

Création de blocs de substitution pour la mise en page automatique

Créez des blocs (ou des tableaux) de substitution dans votre document si vous souhaitez que InDesign fusionne automatiquement le contenu XML importé dans votre page.

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« Prix : » devant les segments de texte de substitution correspondant à ces éléments. Lorsque InDesign fusionne les données XML avec le bloc, il conserve les espaces, les tabulations et les étiquettes statiques entre les éléments de contenu. Remarque : lorsque vous fusionnez des données XML qui se répètent dans votre document et que vous utilisez la fonction de clonage des éléments devant se répéter, InDesign clone également le texte statique et les espaces pour chacune des instances de données.

« Blocs de texte liés » à la page 152 « Création et chargement des balises XML » à la page 637 « Réorganisation des éléments structurés » à la page 645 « Balisage d’éléments » à la page 639

Pour créer un bloc de substitution

1 A l’aide de l’outil Texte, créez un bloc de texte pour le contenu XML.

Si vous souhaitez que InDesign répartisse le contenu de bloc en bloc, créez plusieurs blocs et reliez-les.

2 Ouvrez le volet Structure (Affichage > Structure > Afficher la structure) et le panneau Balises (Fenêtre >

Utilitaires > Balises).

3 Si les balises contenues dans le panneau Balises ne portent pas le même nom que les éléments XML que vous

prévoyez d’importer, créez les balises nécessaires ou chargez-les à partir du fichier XML.

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5 Le cas échéant, insérez de nouveaux éléments ou réorganisez les éléments existants dans le volet Structure pour

obtenir une correspondance parfaite avec les éléments et la structure du fichier XML que vous prévoyez d’importer.

Pour créer un tableau de substitution

Vous pouvez importer des éléments XML dans un bloc de substitution ou dans un tableau de substitution. Dans un tableau, chaque cellule est représentée par un élément. InDesign place le contenu XML dans le tableau cellule par cellule et élément par élément, en commençant par le coin supérieur gauche du tableau et en faisant correspondre l’élément à la cellule balisée. Lorsque vous créez un tableau de substitution, vous devez baliser le tableau et toutes les cellules du tableau (les cellules fusionnées sont considérées comme une seule et même cellule). Comme InDesign ne fait pas la distinction entre les lignes et les colonnes lors de l’importation, le nombre de colonnes dans le tableau de substitution doit correspondre au nombre de colonnes dans le contenu importé. En outre, tous les éléments cellules de tableau doivent être contenus dans un seul élément tableau. En d’autres termes, les cellules sont toutes des éléments de même niveau ayant le même élément parent.

Tableau de substitution (en haut) et placement de contenu XML dans un tableau de substitution (en bas)

1 Ouvrez le panneau Balises (Fenêtre > Utilitaires > Balises) et le volet Structure (Affichage > Structure > Afficher la

2 Si les balises contenues dans le panneau Balises ne portent pas le même nom que les éléments de tableau XML que

vous prévoyez d’importer, créez les balises nécessaires ou chargez-les à partir d’un document existant.

Remarque : vous devez avoir au minimum des balises pour l’élément parent des cellules du tableau, les cellules du tableau et l’élément dans lequel le tableau va résider. 3 Créez un tableau contenant le nombre approprié de colonnes pour le contenu XML. Vous n’avez pas besoin de

créer le nombre exact de lignes : InDesign s’en chargera si besoin est.

4 Après avoir placé le point d’insertion à l’intérieur du tableau, choisissez Tableau > Sélectionner > Tableau et

sélectionnez la balise appropriée dans le panneau Balises.

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(par exemple si vous souhaitez baliser la première ligne ou ligne de titre) et appliquer la même balise à toutes les cellules sélectionnées. 6 Le cas échéant, insérez de nouveaux éléments ou réorganisez les éléments existants dans le volet Structure, de telle

sorte que votre document et le fichier XML que vous prévoyez d’importer aient les mêmes éléments et la même structure.

Pour créer une structure de substitution destinée à recevoir des données qui se répètent

Les règles de fusion de contenu XML restent applicables en cas de fusion de contenu XML qui se répète : la structure des éléments définie dans le volet Structure doit refléter la structure du contenu XML importé et les blocs de substitution doivent se voir appliquer les mêmes balises que les éléments parents du fichier XML.

A B C Structure du texte de substitution définie dans le volet Structure

A. Elément devant recevoir tous les éléments répétés B. Elément devant être cloné lors de l’importation du contenu XML qui se répète C. Eléments enfants correspondant aux données contenues dans l’élément devant se répéter

1 Dans un premier temps, vérifiez que vous disposez d’un élément parent ou racine définissant la série

d’informations (ou « enregistrements ») que vous prévoyez d’importer.

Par exemple, un élément chapitre qui contiendra une série de recettes. 2 Créez sous cet élément parent un élément définissant l’information (ou « enregistrement ») devant se répéter.

Ainsi, sous l’élément chapitre, vous pouvez créer un élément recette. Cet élément est celui qui sera cloné pour chacun des enregistrements figurant dans le contenu XML importé.

3 Créez sous cet élément des éléments enfants définissant les unités d’information (ou « champs ») qui composent

L’importation d’un échantillon de contenu XML est la meilleure manière d’obtenir toutes les balises nécessaires et de s’assurer que la structure du document correspond bien au fichier XML.

4 Créez les blocs de substitution destinés à recevoir le contenu XML (et reliez-les). 5 Activez l’outil Texte, cliquez sur le premier bloc afin de créer un point d’insertion et tapez du texte de substitution

pour chaque élément devant être inséré dans ce bloc. Insérez les espaces nécessaires entre les éléments, ainsi que le texte statique.

Remarque : si vous prévoyez d’importer des données qui se répètent, vous ne devez créer qu’une seule instance de texte échantillon pour les éléments devant se répéter. 6 Mettez le texte en forme de la manière dont vous voulez qu’il apparaisse dans le document final. 7 Appliquez au bloc de texte la balise de l’élément parent destiné à recevoir les éléments (ou le contenu qui se répète)

que vous prévoyez d’importer dans ce bloc.

8 Placez le point d’insertion dans le texte de substitution et choisissez la commande Edition > Modifier en mode

9 Choisissez Affichage > Structure > Afficher les marques de balises. 10 Choisissez Edition > Tout sélectionner. 11 Dans le panneau Balises, cliquez sur le bouton Ajouter, puis sélectionnez la balise que vous avez appliquée au bloc.

InDesign associe le texte de substitution à la balise et ajoute l’élément au volet Structure.

12 Sélectionnez le texte représentant le premier élément enfant, puis cliquez sur sa balise dans le panneau Balises.

Répétez l’opération jusqu’à ce que vous ayez balisé tout le texte de substitution enfant.

Important : lorsque vous balisez du texte de substitution, ne sélectionnez pas le texte statique ou les espaces qui doivent figurer entre les éléments. Balisez uniquement le texte que vous voulez remplacer par du contenu XML. 13 Dans le volet Structure, passez en revue la structure hiérarchique obtenue suite au balisage pour vérifier qu’elle

correspond à la structure du contenu XML que vous prévoyez d’importer.

Importation et fusion de contenu XML Une fois vos balises d’emplacement, tableaux et texte créés (vérifiez que votre document et le fichier XML importé partagent les mêmes balises et la même structure) vous pouvez importer le contenu XML dans votre mise en page.

Vous devez utiliser l’option Fusionner le contenu pour importer du contenu XML dans les balises d’emplacement (ou pour remplacer du contenu dans le document). Lorsque vous fusionnez du contenu, InDesign remplace les éléments du document partageant des balises et une structure communes par les éléments XML importés. Vous pouvez utiliser des options d’importation supplémentaires pour exclure du contenu importé (c’est-à-dire filtré) dont la structure ne respecte pas celle du document, pour supprimer les éléments du document qui diffèrent ou pour remplacer le contenu XML importé et cloner les éléments XML récurrents.

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• Balisez les balises d’emplacement avec le même nom de balise que l’élément XML qui doit la remplacer (ou être placé dedans).

• Dans le texte de substitution, assurez-vous que les espacements, les retours, les tabulations et le texte statique sont placés en dehors des balises de l’élément de la balise d’emplacement, mais à l’intérieur de l’élément parent de l’article.

• Lorsque vous importez le contenu XML, sélectionnez l’option Ne pas importer le contenu des éléments blancs

(vous conservez ainsi l’espacement et le texte statique si les éléments XML importés contiennent uniquement des espaces).

Pour fusionner du contenu XML avec du contenu existant ou des blocs de substitution

1 Ouvrez le document InDesign contenant les blocs de réservation pour le contenu XML. 2 Ouvrez le volet Structure (Affichage > Structure > Afficher la structure). 3 Choisissez la commande Fichier > Importation XML (ou choisissez la commande Importation XML dans le menu

du volet Structure), puis sélectionnez le fichier XML à importer.

4 Sélectionnez la commande Afficher les options d’importation XML. 5 Sélectionnez la commande Fusionner le contenu et cliquez sur le bouton Ouvrir. 6 Pour lier le contenu XML au fichier XML d’origine, sélectionnez Créer un lien.

Le fichier XML s’affiche alors dans le panneau Liens et un triangle d’alerte jaune apparaît dans ce panneau si le contenu du fichier source fait l’objet de modifications.

7 Sélectionnez au besoin d’autres options d’importation : Cloner les éléments de texte répétés Si vous importez du contenu XML qui se répète, cette option clone un seul élément de balise d’emplacement afin de créer un conteneur pour chaque enregistrement dans le fichier. N’importer que les éléments qui correspondent à la structure Filtre le contenu XML entrant, de sorte que les éléments qui ne sont pas présents dans le volet Structure ne sont pas importés. Ne pas importer le contenu des éléments blancs Préserve les espacements et le texte statique insérés entre les éléments

d’un bloc de substitution.

Supprimer les éléments, les blocs et le contenu qui ne correspondent pas au fichier XML importé Après l’importation

du contenu XML, supprime les éléments et balises d’emplacement du document qui ne correspondent à aucune donnée ou n’ont pas été remplacés.

InDesign fusionne le contenu dans le document, à commencer par le premier élément correspondant dans le fichier XML.

Options d’importation XML Lors de l’importation dans votre document de fichiers XML à l’aide de l’option Fusionner le contenu, la boîte de dialogue Options d’importation XML vous propose les options suivantes :

Créer un lien Lie le contenu au fichier XML de sorte que si le fichier XML est mis à jour, vous pouvez actualiser les

données XML dans votre document InDesign.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

XSLT, si elle est présente dans le fichier XML, pour transformer les données XML. Cloner les éléments de texte répétés Reproduit la mise en forme appliquée au texte de réservation balisé pour le contenu qui se répète. Créez une instance de mise en forme (par exemple une adresse), puis réutilisez sa mise en page pour créer d’autres instances automatiquement (voir la section « Traitement des données qui se répètent » à la page 631). N’importer que les éléments qui correspondent à la structure Filtre le contenu XML importé, de sorte que seuls les éléments du fichier XML importé qui correspondent à un élément du document sont importés. Importer les éléments de texte dans des tableaux si les balises correspondent Importe les éléments dans un tableau si les balises correspondent aux balises appliquées au tableau de réservation et à ses cellules. Vous pouvez utiliser cette option pour placer des éléments de base de données dans un tableau, par exemple, lorsque vous créez des listes de tarifs ou des feuilles d’inventaire. Ne pas importer le contenu des éléments blancs Conserve tout contenu existant si le contenu XML correspondant ne contient que des blancs (retour chariot ou tabulation). Utilisez cette option si vous avez inclus du texte entre les éléments de vos blocs de substitution et que vous souhaitez le conserver. Par exemple, lorsque vous mettez en page des recettes provenant d’une base de données, vous pouvez ajouter des étiquettes, comme « Ingrédients » ou « Instructions ». Tant que l’élément parent englobant chaque recette ne contient que des blancs, InDesign garde les étiquettes telles quelles. Supprimer les éléments, les blocs et le contenu qui ne correspondent pas au fichier XML importé Supprime des

éléments du volet Structure ainsi que la mise en page du document s’ils ne correspondent à aucun élément dans le fichier XML importé. Utilisez cette option pour filtrer les données dans le document. Par exemple, lorsque vous importez des noms et des adresses, vous pouvez avoir du texte de réservation pour un élément contenant le nom de la société. Si l’un des noms n’inclut pas l’élément de société, InDesign supprime l’élément contenant le texte de réservation.

Importer des tableaux CALS en tant que tableaux InDesign Importe les tableaux CALS dans le fichier XML comme

Balisage de contenu pour la conversion au format XML Création et chargement des balises XML Avant de baliser les éléments de page, créez (ou chargez) des balises en vue d’identifier les différents types de données et les différents éléments contenus dans votre document. Vous pouvez créer des balises de toutes pièces ou chargez des balises existantes à partir d’une autre source, telle qu’un document InDesign ou InCopy, ou un fichier DTD. Utilisez l’une des méthodes suivantes pour créer ou charger des balises XML dans votre document :

• Importez un fichier DTD. • Importez des balises (ainsi qu’un contenu) en utilisant la commande Importation XML.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Choisissez la commande Fenêtre > Utilitaires > Balises pour afficher le panneau Balises. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez la commande Nouvelle balise dans le menu du panneau Balises.

• Cliquez sur le bouton Nouvelle balise

3 Attribuez un nom à la balise. Le nom doit être conforme à la norme XML. Si vous utilisez une espace ou un caractère

interdit dans un nom de balise, un message d’avertissement s’affiche.

4 Si vous avez créé la balise à partir du menu du panneau Balises, attribuez-lui une couleur. (Si vous avez créé la balise

par l’intermédiaire du bouton Nouvelle balise, vous pouvez choisir une couleur en modifiant la couleur de la balise.)

Remarque : vous pouvez appliquer une même couleur à plusieurs balises. La couleur sélectionnée apparaît lorsque vous appliquez la balise à un bloc, puis choisissez Affichage > Structure > Afficher les blocs balisés ou lorsque vous l’appliquez au texte d’un bloc, puis choisissez Affichage > Structure > Afficher les marques de balises. (Les couleurs des balises n’apparaissent pas dans le fichier XML exporté.) 5 Cliquez sur OK.

Pour charger des balises XML à partir d’une source externe

Vous pouvez charger des balises à partir d’un fichier XML, d’un document InDesign ou d’un document InCopy. Remarque : lorsque vous chargez un fichier XML, InDesign ajoute automatiquement les balises au panneau Balises. 1 Choisissez la commande Charger des balises dans le menu du panneau Balises. 2 Sélectionnez le fichier contenant les balises à charger dans le panneau Balises, puis cliquez sur le bouton Ouvrir.

Pour modifier le nom ou la couleur d’une balise

1 Cliquez deux fois sur le nom d’une balise dans le panneau Balises ou choisissez la commande Options de balise dans

le menu du panneau Balises.

2 Modifiez le nom ou la couleur de la balise, puis cliquez sur OK.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Créez (ou chargez) des balises en vue d’identifier chacun des éléments de contenu devant être exportés ou importés. Ensuite, utilisez l’une des méthodes suivantes pour baliser les éléments textuels ou de page : Balisage manuel Sélectionnez un bloc ou une plage de texte, puis cliquez sur une balise dans le panneau Balises, ou

bien faites glisser une balise à partir du panneau Balises vers une plage de texte ou un bloc graphique.

Balisage automatique Sélectionnez un bloc de texte, un tableau, des cellules de tableau ou une image, puis cliquez sur l’icône Balise automatique du panneau Balises. Les éléments sont balisés en fonction des options de balisage définies. Mise en correspondance des balises aux styles Associez des balises à des styles de paragraphe, de caractère, de tableau ou de cellule, puis appliquez automatiquement des balises aux plages de texte, aux tableaux, aux cellules de tableau et aux paragraphes auxquels ces styles ont été attribués.

Lors du balisage d’éléments de page, veuillez noter :

• Vous pouvez appliquer une balise à un article ou à une plage de texte contenue dans un article. Par exemple, vous pouvez choisir d’appliquer une balise Article à un article, puis appliquer des balises plus spécifiques, comme

Titre ou Corps, aux paragraphes de l’article.

• Vous ne pouvez appliquer qu’une seule balise à un article. Lorsque vous balisez un bloc dans un article lié, tous les autres blocs figurant dans l’article, mais aussi toutes les plages de texte en excès, se voient appliquer la même balise.

• Vous ne pouvez appliquer qu’une seule balise à un bloc graphique. Lorsque vous balisez un bloc graphique, l’emplacement du graphique (sur le disque) est référencé dans InDesign.

• Vous ne pouvez pas baliser un groupe d’objets. Pour baliser un élément faisant partie d’un groupe, sélectionnez cet

élément à l’aide de l’outil Sélection directe

• Lorsque vous balisez une plage de texte à l’intérieur d’un élément balisé (par exemple un paragraphe à l’intérieur d’un article), cette plage de texte se présente comme un élément enfant de l’élément existant dans le volet Structure.

• Vous ne pouvez pas baliser une note de bas de page. Remarque : évitez de baliser les caractères spéciaux, comme le caractère Numéro de page automatique. En cas d’exportation, InDesign supprime certains caractères spéciaux pour garantir la compatibilité avec les normes XML. Si certains caractères ne peuvent pas être encodés en XML, un message d’avertissement vous en informe.

« Utilisation des attributs » à la page 647 « Mise en correspondance des balises aux styles » à la page 629

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Sélectionnez un bloc à l’aide d’un outil de sélection, puis cliquez sur une balise dans le panneau Balises. Si le bloc appartient à un groupe ou est imbriqué dans un autre bloc, sélectionnez-le à l’aide de l’outil Sélection directe.

• Faites apparaître le menu contextuel d’un bloc, choisissez la commande Baliser le bloc, puis sélectionnez une balise.

• A l’aide d’un outil de sélection, choisissez un bloc de texte ou graphique non balisé, faites-le glisser vers le volet Structure, puis relâchez le bouton de votre souris. Sélectionnez ensuite un nom de balise dans le menu qui apparaît.

Pour baliser un texte dans un bloc de texte manuellement

Lorsque vous balisez du texte compris dans un cadre, le nouvel élément se présente dans le volet Structure comme un élément enfant de l’élément bloc contenant le texte. 1 Vérifiez que l’article contenant le texte est balisé. (Si vous balisez du texte à l’intérieur d’un article non balisé,

InDesign applique automatiquement à l’article la balise définie dans la boîte de dialogue Options prédéfinies de balisage.)

2 Activez l’outil Texte et sélectionnez le texte dans le bloc de texte. 3 Sélectionnez une balise dans le panneau Balises.

Remarque : il est impossible de baliser une note de bas de page.

Pour baliser des blocs de texte, des tableaux, des cellules de tableau et des images automatiquement

L’icône Balise automatique du panneau Balises permet de baliser automatiquement un bloc de texte, un tableau, des cellules de tableau ou une image. Pour baliser un élément, InDesign lui applique la balise par défaut que vous avez spécifiée dans la boîte de dialogue Options prédéfinies de balisage. 1 Sélectionnez le bloc de texte, le tableau, les cellules de tableau ou l’image que vous souhaitez baliser. 2 Dans le panneau Balises, cliquez sur l’icône Balise automatique

Lorsque vous cliquez sur ce bouton, InDesign ajoute le nom de la balise par défaut au panneau Balises.

Vous pouvez utiliser les styles de paragraphe et de caractère que vous avez appliqués au texte pour baliser les paragraphes et le texte que vous souhaitez convertir au format XML. Par exemple, vous pouvez associer un style de paragraphe appelé Légende à une balise appelée TitreFigure. Il vous suffira ensuite d’utiliser la commande Faire correspondre les styles aux balises pour appliquer la balise TitreFigure à l’ensemble du texte auquel vous avez attribué le style de paragraphe Légende dans le document. Vous pouvez associer plusieurs styles à une même balise. Important : la commande Faire correspondre les styles aux balises balise automatiquement le contenu du document, y compris les paragraphes et les caractères déjà balisés. Par exemple, si vous appliquez la balise Corps à un paragraphe associé au style Contexte, puis que vous associez le style Contexte à la balise Description, le paragraphe voit son balisage modifié ; la balise Corps lui est retirée et la balise Description lui est appliquée. Si vous souhaitez conserver les balises existantes, appliquez les balises manuellement (ou bien utilisez la commande Faire correspondre les styles aux balises avec beaucoup de précautions). 1 Choisissez la commande Faire correspondre les styles aux balises dans le menu du panneau Balises.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

3 Pour associer les noms de styles aux noms de balises, cliquez sur l’option Faire correspondre avec le nom. Les styles

qui portent le même nom qu’une balise sont sélectionnés dans la boîte de dialogue. L’option Faire correspondre avec le nom est sensible à la casse ; par conséquent, les balises Titre1 et titre1 sont considérées comme deux balises différentes.

4 Pour utiliser les correspondances de styles d’un autre fichier InDesign, cliquez sur le bouton Charger et

sélectionnez le fichier.

5 Activez ou désactivez les options Inclure disponibles : Articles de gabarit Associe les styles appliqués aux blocs de texte du gabarit à des balises. Articles de table de montage Associe les styles appliqués aux blocs de texte de la table de montage à des balises (désactivez cette option pour éviter que le contenu présent sur la table de montage soit balisé). Articles vides Associe les styles appliqués à des blocs de texte vides à des balises (désactivez cette option pour éviter

que les blocs vides soient balisés).

Les nouvelles balises XML sont appliquées sur l’ensemble du document aux styles de paragraphe et aux styles de caractère spécifiés dans la boîte de dialogue Faire correspondre les styles aux balises.

Remarque : la commande Faire correspondre les styles aux balises ne permet pas de baliser les images. Si vous souhaitez inclure des images dans un fichier XML, vous devez les baliser manuellement.

Pour baliser le texte d’un tableau

Lorsque vous balisez un tableau pour le convertir au format XML, vous devez créer un élément tableau, ainsi qu’un élément cellule pour chacune des cellules du tableau. InDesign crée automatiquement les éléments cellules et les définit comme éléments enfants de l’élément tableau. 1 Cliquez dans le tableau et choisissez la commande Tableau > Sélectionner > Tableau. 2 Sélectionnez la balise que vous souhaitez appliquer au tableau dans le panneau Balises.

InDesign crée un élément cellule pour chacune des cellules du tableau (affichez le volet Structure pour visualiser ces

éléments). La balise appliquée aux éléments cellules de tableau dépend des paramètres Balise automatique par défaut que vous avez définis. 3 Si nécessaire, appliquez une autre balise aux cellules du tableau.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour annuler le balisage d’un élément Annulez le balisage d’un élément si vous souhaitez supprimer la balise de cet élément, mais conserver le contenu qui lui est associé. 1 Sélectionnez l’élément dans le volet Structure, un élément de page ou un message balisé dans la maquette du

2 Cliquez sur le bouton Enlever dans le panneau Balises.

Pour rebaliser des éléments

Modifiez le balisage d’un élément si vous souhaitez remplacer la balise qui lui est appliquée (il n’est pas nécessaire d’annuler le balisage au préalable). Utilisez l’une des méthodes suivantes pour modifier le balisage d’un élément :

• A l’aide d’un outil de sélection, sélectionnez un bloc de texte, un bloc graphique ou un élément dans le volet Structure, puis sélectionnez une autre balise dans le panneau Balises.

• Pour modifier le balisage d’un article, activez l’outil Texte et placez un point d’insertion dans le texte de l’article.

Cliquez sur le bouton Modifier du panneau Balises, puis sélectionnez une autre balise.

• Pour modifier le balisage d’une plage de texte, activez l’outil Texte et sélectionnez l’intégralité de la plage de texte.

Cliquez sur le bouton Modifier du panneau Balises, puis sélectionnez une autre balise. (Si vous cliquez sur le bouton Ajouter, puis que vous sélectionnez une autre balise, un nouvel élément enfant s’affiche dans le volet Structure.)

Définition des paramètres Balise automatique par défaut

Lorsque vous sélectionnez un bloc de texte, un tableau, des cellules de tableau ou une image, puis que vous cliquez sur l’icône Balise automatique du panneau Balises, InDesign applique une balise par défaut à l’élément sélectionné. Vous pouvez définir ces balises par défaut dans la boîte de dialogue Options prédéfinies de balisage. Remarque : lorsque vous créez un élément qui requiert un élément parent alors qu’il n’en dispose pas encore, InDesign applique une balise par défaut. Par exemple, lorsque vous balisez du texte à l’intérieur d’un bloc de texte qui n’est pas balisé, InDesign applique une balise au bloc en fonction des paramètres de la boîte de dialogue Options prédéfinies de balisage. InDesign applique des balises par défaut aux éléments pour assurer la cohérence de la structure XML. 1 Choisissez la commande Options prédéfinies de balisage dans le menu du panneau Balises. 2 Choisissez la balise qui doit être appliquée par défaut au blocs de texte, aux tableaux, aux cellules de tableau et aux

Si la balise recherchée ne figure pas dans la liste, choisissez la commande Nouvelle balise dans le menu et créez une balise.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour minimiser les risques de suppression inopinée d’une marque de balise, modifiez le texte balisé en mode éditeur, dans lequel ces marques sont plus visibles.

« Utilisation du mode éditeur » à la page 164 « Utilisation des marques » à la page 367

Suppression de balises

• Pour supprimer une balise du panneau Balises, faites glisser la balise vers l’icône de suppression

située au bas du panneau. Un message d’avertissement s’affiche si la balise a été appliquée à du contenu. Sélectionnez la balise devant remplacer la balise supprimée, puis cliquez sur le bouton OK.

• Pour supprimer toutes les balises non utilisées, choisissez la commande Sélectionner toutes les balises inutilisées dans le menu du panneau Balises, puis cliquez sur l’icône de suppression située au bas du panneau.

Remarque : il est impossible de supprimer les balises chargées à partir d’un fichier DTD tant que ce fichier n’est pas retiré.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Souligné Le nom de la balise est souligné si l’élément de page auquel correspond l’élément XML est sélectionné. Par

exemple, si vous sélectionnez une plage de texte à laquelle vous avez appliqué la balise Titre, le mot Titre sera souligné au niveau de l’élément XML correspondant à la plage de texte dans le volet Structure. Le soulignement vous indique si les éléments sélectionnés sur la page et les éléments XML dans le volet Structure correspondent.

Extrait de texte Les 32 premiers caractères d’un texte balisé peuvent s’afficher à droite d’un élément XML. On appelle

ceci un « extrait de texte ». L’extrait de texte vous permet d’identifier l’élément de page correspondant à l’élément XML.

Points et attributs Les attributs fournissent des informations de type métadonnées sur un élément. Si un élément XML

comporte des attributs, les noms et les valeurs de ces attributs, ainsi qu’un point noir, s’affichent en dessous de l’élément.

Utilisation du volet Structure

• Pour ouvrir le volet Structure, choisissez la commande Affichage > Structure > Afficher la structure. • Pour fermer le volet Structure, choisissez la commande Affichage > Structure > Masquer la structure ou bien cliquez sur le bouton de redimensionnement.

• Pour développer ou réduire un élément (c’est-à-dire afficher ou masquer ses éléments enfants), cliquez sur l’icône en forme de triangle située en regard de l’élément.

• Pour ajuster la taille du volet Structure, faites glisser le séparateur.

• Pour développer ou réduire un élément ainsi que tous les sous-éléments qu’il contient, maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée lorsque vous cliquez sur le triangle.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Représente une cellule dans le corps d’un tableau.

Elément de cellule de pied de page

Représente une cellule dans la rangée de pied de page d’un tableau.

(présenté comme élément DOCTYPE), les commentaires et les instructions de traitement peuvent s’afficher audessus de l’élément racine dans le volet Structure.

• Toute modification apportée à la structure hiérarchique XML peut avoir un impact sur l’aspect des éléments balisés dans les pages InDesign. Par exemple, si vous déplacez un élément textuel dans la structure pour en faire l’élément enfant d’un autre élément, le texte correspondant dans la page se déplacera en conséquence.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Pour déplacer un élément, faites-le glisser vers un autre emplacement, à l’intérieur de la structure. Une ligne apparaît lorsque vous le faites glisser. Elle indique l’endroit où vous insérez l’élément. La largeur de la ligne marque le niveau à l’intérieur de la hiérarchie.

• Pour transformer un élément en sous-élément, positionnez-le sur l’élément parent pour le sélectionner, ou placezle au milieu des autres sous-éléments de l’élément parent, puis relâchez le bouton de la souris.

• Pour faire descendre un élément d’un niveau dans la hiérarchie, faites-le glisser juste au-dessus d’un autre élément parent et déplacez-le légèrement vers la gauche jusqu’à ce que la ligne indiquant son emplacement recouvre la largeur de l’élément parent.

• Pour copier ou couper un élément, sélectionnez-le dans le volet Structure, puis choisissez Edition > Copier ou

Edition > Couper. Sélectionnez l’élément situé directement au-dessus de l’endroit où vous voulez l’insérer, puis choisissez Edition > Coller. Remarque : lorsque vous coupez un élément, cet élément et son contenu sont mis sur la table de montage, mais le bloc reste intact.

« Utilisation de fichiers XML » à la page 767

• Les éléments doivent être contigus.

• Vous ne pouvez pas sélectionner des attributs ou des cellules de tableau.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez insérer rapidement un nouvel élément parent en cliquant sur le bouton Ajouter du panneau Balises, puis en sélectionnant une balise dans ce même panneau. Vous pouvez également cliquer sur un élément sélectionné dans le volet Structure avec le bouton droit de la souris (Windows) ou tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée (Mac OS), choisir la commande Nouvel élément parent, puis sélectionner un élément.

Utilisation des attributs

Un attribut fournit des informations complémentaires sur un élément XML. Chaque attribut se compose d’un nom et d’une valeur. Les attributs s’affichent dans le volet Structure ; vous ne pouvez pas les insérer dans le document, ni les utiliser comme contenu dans le document. Il peut être utile d’associer des attributs aux éléments des fichiers XML créés dans InDesign pour faciliter le traitement des données lorsque ces fichiers sont utilisés dans d’autres fichiers ou dans d’autres applications. Lorsque vous balisez une image, InDesign crée automatiquement un attribut href dont la valeur indique l’emplacement du fichier d’image sur le disque. Cet attribut href permet de localiser l’image sur le disque (et donc de l’afficher correctement) lorsqu’il est utilisé dans un autre fichier ou dans une autre application.

Un attribut comprend un nom (href dans cet exemple) et une valeur.

Vous pouvez ajouter des attributs à tous les éléments, à l’exception de l’élément DOCTYPE (fichier DTD), des commentaires et des instructions de traitement. Par exemple, pour inclure des mots-clés destinés à la recherche dans une application en aval, vous pouvez créer un attribut nommé mots-clés. Vous pouvez également créer des attributs pour signaler la présence de texte remplacé, faciliter l’identification des titres d’article ou consigner d’autres informations relatives au contenu.

Si vous utilisez un fichier DTD, vous pouvez consulter son contenu pour savoir quels attributs sont autorisés. Les noms d’attributs, comme les noms de balises, doivent respecter les spécifications du fichier DTD. Remarque : InDesign reconnaît les attributs d’espaces spéciaux qui définissent les styles de paragraphe, de caractère, de tableau et de cellule de tableau, et contrôlent les espaces. Pour plus de détails, reportez-vous à la référence technique XML et aux documents disponibles aux adresses www.adobe.com/go/learn_id_XMLscript_fr.

« Exportation de contenu XML » à la page 652

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Cliquez sur le bouton Ajouter un attribut

Pour afficher ou masquer les attributs dans le volet Structure ❖ Choisissez Afficher les attributs ou Masquer les attributs dans le menu du volet Structure.

Il vous faudra peut-être cliquer sur l’icône en forme de triangle située en regard d’un élément pour afficher ses attributs.

Pour modifier ou supprimer un attribut

1 Sélectionnez un attribut dans le volet Structure. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour modifier l’attribut, cliquez deux fois dessus ou choisissez la commande Modifier dans le menu du volet Structure.

• Pour supprimer l’attribut, cliquez sur l’icône de suppression ou choisissez la commande Supprimer dans le menu du volet Structure.

Pour modifier les attributs href

InDesign crée automatiquement des attributs href pour le traitement des fichiers d’image. L’attribut href définit l’emplacement du fichier d’image sur le disque, de sorte que l’image s’affiche correctement. Lorsque vous balisez une image insérée, InDesign crée une valeur d’attribut href indiquant le chemin d’accès et le nom du fichier de l’image. Le chemin d’accès peut être un lien absolu, ou bien un lien relatif vers le dossier contenant le fichier XML ou le sousdossier Images de ce dossier. Les chemins relatifs sont définis par rapport au répertoire dans lequel le document est enregistré.

• Un attribut href définissant un lien absolu se présente comme suit (sous Windows, puis sous Mac OS) : href=file:///C:/Images/Prairie.psd href=file:///Users/abhayc//Desktop/abc.jpg

• Un attribut href définissant un lien vers un fichier d’image enregistré dans le même dossier que le fichier XML se présente comme suit : href=file:Prairie.psd

2 Dans la zone Valeur, entrez le nouveau chemin d’accès à l’image, puis cliquez sur le bouton OK.

Ajout de commentaires et d’instructions de traitement

InDesign vous permet d’insérer des commentaires et des instructions de traitement dans un fichier XML. Insérez un commentaire pour ajouter un descriptif de l’élément. Les commentaires peuvent être consultés au moyen d’un navigateur Web ou d’un éditeur de texte. Ils permettent aux autres utilisateurs de comprendre la structure et les balises XML. Une instruction de traitement est une commande spéciale propre à l’application. Vous pouvez par exemple entrer des instructions de traitement de type saut de page pour faire en sorte que l’application vers laquelle le fichier XML sera exporté insère les sauts de page aux emplacements adéquats. Les instructions de traitement définies par l’utilisateur dans InDesign sont destinées à des applications tierces ; InDesign n’interprète pas les instructions de traitement. Les commentaires et les instructions de traitement s’affichent dans le volet Structure. Il est possible de les déplacer, de les modifier ou de les supprimer comme tout autre élément répertorié dans le volet Structure. Ils ne peuvent cependant pas contenir de sous-éléments ou d’attributs.

A B Volet Structure InDesign avec des extraits de texte visibles

1 Sélectionnez l’élément auquel vous souhaitez associer un commentaire.

Remarque : pour ajouter un nouveau commentaire à un tableau, sélectionnez un élément de cellule de tableau. Vous pouvez ajouter des commentaires aux cellules de tableau, mais pas aux tableaux.

2 Choisissez Nouveau commentaire dans le menu du volet Structure. 3 Entrez le commentaire dans la boîte de dialogue Nouveau commentaire.

Pour ajouter une instruction de traitement

1 Sélectionnez l’élément auquel vous souhaitez associer une instruction de traitement.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

3 Dans la zone Cible, entrez un nom qui identifie l’instruction de traitement pour l’application chargée de lire les

fichiers XML exportés.

4 Dans la zone Données, entrez une valeur qui indique à l’application comment procéder avec l’instruction.

Pour afficher des commentaires et des instructions de traitement

❖ Choisissez Afficher les commentaires ou Afficher les instructions de traitement dans le menu du volet Structure.

Pour modifier des commentaires et des instructions de traitement

1 Sélectionnez le commentaire ou l’instruction de traitement. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez deux fois sur le commentaire ou l’instruction de traitement.

• Choisissez la commande Modifier dans le menu du volet Structure. 3 Modifiez le commentaire ou l’instruction de traitement, puis cliquez sur le bouton OK.

Utilisation de fichiers DTD pour la validation du contenu XML Le processus de validation du contenu XML d’un document consiste à vérifier que la structure, les noms des balises d’éléments et les attributs sont conformes aux spécifications d’un fichier DTD. Pour valider du contenu XML au moyen d’un fichier DTD, vous devez commencer par charger le fichier DTD dans le document, dans InDesign.

Remarque : lorsque vous chargez un fichier DTD, des noms de balises sont importés dans le panneau Balises. Ces noms de balises importés sont verrouillés ; vous ne pouvez ni les supprimer ni les renommer tant que vous n’avez pas retiré le fichier DTD du document. Lorsque vous chargez un fichier DTD dans votre document, l’élément DOCTYPE apparaît au premier niveau du volet Structure. (L’importation d’un fichier XML peut entraîner le chargement automatique de fichiers DTD dans votre document.) Pour remplacer le fichier DTD chargé dans votre document, supprimez le fichier DTD existant et chargez un autre fichier DTD.

A B Utilisation des fichiers DTD dans InDesign

• Choisissez la commande Charger le fichier DTD dans le menu du panneau Balises. 2 Sélectionnez un fichier DTD, puis cliquez sur Ouvrir.

Pour afficher les balises définies dans le fichier DTD, ouvrez le panneau Balises au moyen de la commande Fenêtre >

Utilitaires > Balises.

Pour afficher un fichier DTD Les fichiers DTD sont constitués de texte au format ASCII. Dans certains cas, ils contiennent des instructions et des explications indiquant comment appliquer les balises et organiser les éléments correctement. Pour pouvoir consulter un fichier DTD dans InDesign, vous devez au préalable le charger dans un document.

Fichier DTD ouvert pour la consultation

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

Pour imprimer un fichier DTD, copiez son code depuis la fenêtre Afficher le fichier DTD, puis collez-le dans un éditeur de texte.

Pour supprimer un fichier DTD

❖ Dans le menu du volet Structure, choisissez Supprimer le fichier DTD.

InDesign supprime la copie du fichier DTD contenue dans le document InDesign, et non pas le fichier DTD d’origine.

Les balises importées avec le fichier DTD sont déverrouillées dans le panneau Balises.

Pour valider la structure XML Lorsque vous validez le document, InDesign vous avertit si le contenu XML n’est pas conforme aux règles définies dans le fichier DTD. En outre, InDesign vous indique comment procéder pour rendre le contenu XML conforme aux spécifications du fichier DTD. Vous avez le choix entre corriger les erreurs une par une ou afficher toutes les erreurs dans une fenêtre séparée.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Dans le volet Structure, cliquez sur le bouton de validation .

Pour modifier l’élément racine servant de référence à InDesign pour la validation, choisissez la commande Options DTD dans le menu du volet Structure.

3 Pour corriger les erreurs affichées dans le panneau Suggestion, cliquez sur une solution pour l’essayer ou modifiez

la structure et les balises directement à l’aide du volet Structure et du panneau Balises.

4 Pour afficher les autres erreurs, effectuez les opérations suivantes :

• Cliquez sur le bouton flèche gauche ou flèche droite .

• Cliquez sur le bouton de la fenêtre d’erreur

pour afficher toutes les erreurs dans une fenêtre distincte.

• Choisissez la commande Afficher la liste des erreurs dans le menu du volet Structure.

Remarque : InDesign cesse toute validation au-delà de 250 erreurs. Un signe plus (+) apparaît dans la case du nombre d’erreurs lorsque la limite est atteinte.

Exportation de contenu XML Exportation d’un document au format XML Avant de pouvoir exporter du contenu d’un document InDesign au format XML, vous devez effectuer les opérations suivantes :

• Création ou chargement de balises.

• Application de balises aux éléments des pages du document. • Ajustement de la hiérarchie des éléments balisés dans le volet Structure, le cas échéant. Vous pouvez exporter tout ou partie du contenu XML dans votre document. Seul le contenu balisé peut être exporté. Important : si vous exportez un document contenant des tableaux, vous devez baliser les tableaux. Autrement, InDesign ne les exporte pas. 1 Si vous ne souhaitez exporter qu’une partie du document, sélectionnez l’élément dans le volet Structure à partir

duquel commencer l’exportation.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Inclure la déclaration DTD Exporte les références au fichier DTD avec le fichier XML. Cette option est disponible

uniquement si un élément DOCTYPE est présent dans le volet Structure.

Afficher XML avec Ouvre le fichier exporté dans un navigateur, un éditeur XML ou un éditeur de texte. Choisissez un navigateur ou une application dans la liste. Exporter depuis l’élément sélectionné Lance l’exportation depuis l’élément sélectionné dans le volet Structure. Cette

option est disponible uniquement si vous avez sélectionné un élément avant de choisir Fichier > Exporter.

Exporter des tableaux non balisés en tant que CALS XML Exporte les tableaux non balisés au format CALS XML. Un tableau ne doit comporter aucune balise et être placé dans un bloc balisé pour pouvoir être exporté. Réassocier saut, espace et caractères spéciaux Exporte les sauts, les espaces et les caractères spéciaux comme entités

de caractère décimal plutôt que comme caractères droits.

Appliquer XSLT Applique une feuille de style afin de définir la transformation du contenu XML exporté, par exemple

une arborescence XML modifiée ou un fichier HTML. Sélectionnez Parcourir (Windows) ou Choisir (Mac OS) pour sélectionner un fichier XSLT dans le système de fichiers. L’option par défaut, Utiliser la feuille de style XML, utilise une instruction de transformation XSLT s’il en existe une dans le fichier XML appliqué lors de l’exportation.

6 Choisissez un type de codage dans le menu Codage. 7 Pour définir les options d’exportation pour les images, cliquez sur l’onglet Images, puis sélectionnez une ou

plusieurs des options suivantes :

Images originales Place une copie des fichiers d’images originales dans un sous-dossier Images. Images optimisées originales Optimise et compresse les fichiers d’images originales et place leurs copies dans un sous-

Images optimisées mises en forme Optimise les fichiers d’images originaux contenant une transformation appliquée

(comme une rotation ou une mise à l’échelle), et les place dans un sous-dossier Images. Par exemple, si le document contient deux images, une recadrée et une normale, seule l’image recadrée sera optimisée et copiée dans le sous-dossier

Images. 8 Si vous avez sélectionné Images originales optimisées ou Images optimisées mises en forme à l’étape précédente,

choisissez les options d’optimisation des images.

9 Cliquez sur Exporter.

Remarque : tous les caractères spéciaux ne sont pas pris en charge dans XML (par exemple le caractère Numéro de page automatique). InDesign vous avertit si un caractère ne peut pas être inclus dans le fichier XML exporté. Cet avertissement apparaît également si vous n’avez pas balisé un tableau.

« Création et chargement des balises XML » à la page 637 « Balisage de contenu pour la conversion au format XML » à la page 637 « Réorganisation des éléments structurés » à la page 645

Dernière mise à jour le 18/5/2011

InDesign choisit le type de fichier le mieux adapté à l’image. Vous pouvez choisir Options GIF et Options JPEG. Options GIF Indiquez la mise en forme pour les images converties au format GIF lorsque vous les exportez au

format XML. Vous pouvez définir les options suivantes :

• Panneau Indique le panneau Couleurs s’appliquant à l’image lors de la conversion. Choisissez le panneau pour le format d’affichage final du contenu XML. L’option Adaptative (sans simulation) fonctionne bien pour les images ayant des couleurs principalement pleines et peut être utilisée lorsque le résultat final sera exporté sous plusieurs formats.

Options JPEG Indiquez la mise en forme pour les images converties au format JPEG lorsque vous les exportez au format XML. Vous pouvez définir les options suivantes :

• Qualité d’image Indique la qualité de l’image convertie. Plus la qualité est bonne, plus le fichier est volumineux et plus le téléchargement sera long.

• Méthode de mise en forme Indique la manière dont l’image JPEG est mise en forme pour le téléchargement. L’option Ligne de base télécharge l’image de qualité finale en un seul passage pour que le fichier s’affiche directement à sa qualité finale. Cette mise en forme peut prendre plus longtemps à télécharger qu’une image mise en forme progressivement. L’option Progressive télécharge l’image au cours d’une série de passage. Le premier passage se fait à basse résolution et la résolution augmente à chaque passage, jusqu’à de que la qualité finale soit obtenue.

Enregistrement des balises uniquement au format XML Enregistre uniquement les balises pour vous permettre de les charger et de les utiliser dans un document InDesign.

1 Choisissez la commande Enregistrer les balises dans le menu du panneau Balises. 2 Indiquez un nom et un emplacement, puis cliquez sur le bouton Enregistrer.

Les balises contenues dans le document, ainsi que leur couleur respective, sont enregistrées dans un fichier au format XML.

Modification d’un fichier XML exporté

Utilisez l’une des méthodes suivantes pour modifier un fichier XML créé et exporté au moyen de InDesign.

• Pour effectuer les modifications directement dans le fichier XML, ouvrez le fichier dans un éditeur de texte ou XML.

• Pour effectuer les modifications dans le document source, ouvrez le fichier InDesign à partir duquel le contenu XML a été exporté. Après avoir modifié le contenu dans InDesign, vous pouvez le réexporter au format XML. Spécifiez le nom du fichier d’origine si vous souhaitez remplacer ce fichier.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Lors de l’impression d’un fichier, Adobe InDesign l’envoie vers un périphérique d’impression soit pour l’imprimer directement sur papier ou sur une presse d’impression numérique, soit pour le convertir sur film en image positive ou négative. Le film permet alors de créer une planche maîtresse pour l’impression du document sur presse commerciale. Types d’images Les types d’images les plus simples, comme le texte, n’utilisent qu’une seule couleur dans un seul niveau de gris. Les images plus complexes présentent des variations de teintes. On parle alors d’images à tons continus. Une photographie est un exemple d’image à tons continus. Simili Pour simuler des tons continus, les images sont décomposées en une série de points. Ce processus s’appelle le simili. Les variations de taille et de densité des points d’une trame de simili donnent l’illusion optique de différents niveaux de gris ou de différents tons continus au sein de l’image imprimée. Séparation des couleurs Les illustrations destinées à la diffusion commerciale et contenant plusieurs couleurs doivent être imprimées sur des plaques distinctes, une pour chaque couleur. Ce processus s’appelle la séparation des couleurs. Précision du détail Le détail d’une image imprimée est le fruit d’un équilibre entre la résolution et la linéature. Plus la résolution du périphérique de sortie est élevée, et plus la linéature est fine (élevée). Impression recto-verso Pour accéder aux fonctionnalités spécifiques à une imprimante (comme l’impression recto-verso), cliquez sur le bouton Imprimante de la boîte de dialogue d’impression. L’impression recto-verso est disponible uniquement si l’imprimante prend en charge cette fonctionnalité. Pour plus de détails sur l’impression recto-verso, reportez-vous à la documentation de l’imprimante. Objets transparents Si l’illustration contient des objets dotés d’effets de transparence ajoutés à l’aide du panneau Effets ou des commandes Ombre portée ou Contour progressif, elle est aplatie en fonction des valeurs du paramètre prédéfini d’aplatissement sélectionné. Il est possible de modifier le taux d’images pixellisées par rapport aux images vectorielles de l’illustration imprimée.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Imprimer Livre dans le menu de ce panneau pour imprimer tous les documents d’un livre.

• Si vous avez sélectionné des documents dans le panneau Livre, choisissez l’option Imprimer les documents sélectionnés dans le menu du panneau Livre.

3 Spécifiez l’imprimante que vous utilisez dans le menu Imprimante. Si les paramètres prédéfinis d’impression vous

conviennent, choisissez-les dans le menu Impression prédéfinie.

4 Dans la zone Général, saisissez le nombre de copies à imprimer, choisissez l’impression de copies assemblées ou

dans l’ordre inverse et indiquez quelles pages vous voulez imprimer.

L’option Etendue n’est pas disponible si vous imprimez un livre. Si vous imprimez un document comportant des pages de divers formats, utilisez les commandes visibles au-dessus du champ Etendue pour sélectionner toutes les pages de même format (voir la section « Impression de documents comportant plusieurs formats de page » à la page 658). 5 Indiquez si vous voulez imprimer les objets non imprimables, les pages vides, les grilles de ligne de base et les

6 Modifiez les paramètres de chaque zone de la boîte de dialogue Imprimer selon vos besoins. 7 Cliquez sur Imprimer.

Les paramètres spécifiés dans la boîte de dialogue Imprimer sont enregistrés avec le document.

« Utilisation d’impressions prédéfinies » à la page 666 « Spécification de la taille de papier et de l’orientation de la page » à la page 659 Adobe Print Resource Center

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de pages à l’aide d’un trait d’union et plusieurs pages ou étendues de pages à l’aide de virgules ou d’espaces (voir la section « Spécification des pages à imprimer » à la page 658).

Si le document comporte des pages de différents formats, vous pouvez utiliser les options disponibles au-dessus du champ Etendue pour sélectionner toutes les pages de même format (voir la section « Impression de documents comportant plusieurs formats de page » à la page 658). Séquence Choisissez Toutes les pages pour imprimer l’ensemble des pages d’un document. Choisissez Pages paires ou Pages impaires pour imprimer uniquement les pages d’un groupe spécifique. Ces options ne sont pas disponibles lorsque vous utilisez les options Planches ou Imprimer les gabarits. Planches Imprime les pages de manière solidaire comme si elles étaient liées ou imprimées sur la même feuille. Vous

ne pouvez pas imprimer plus d’une planche par feuille. Si les dimensions de la nouvelle page dépassent celles du format de papier sélectionné, InDesign imprime le maximum de surface, mais ne met pas automatiquement la page à l’échelle de la zone imprimable, à moins que l’option Ajuster de la zone Format ne soit sélectionnée dans la boîte de dialogue

Imprimer. Vous pouvez également spécifier une orientation paysage. Remarque : si des styles de recouvrement différents sont appliqués aux pages de la planche, InDesign résout les problèmes de différences. Imprimer les gabarits Imprime tous les gabarits et non les pages du document. Sélectionnez cette option pour rendre l’option Pages non disponible.

Exemples d’étendues de pages

Imprimer les calques Déterminez les calques à imprimer (voir la section « Choix des calques à imprimer ou à exporter au format PDF » à la page 662).

Imprimer les objets non imprimables Imprime tous les objets, quels que soient les paramètres définis

individuellement pour empêcher l’impression d’objets de manière sélective.

Imprimer les pages vides Imprime toutes les pages d’un groupe de pages spécifié même si cette page ne contient aucun

texte ou objet. Cette option n’est pas disponible lorsque vous imprimez des séparations. Si vous utilisez l’option

Imprimer le livret pour l’impression d’une épreuve composite, utilisez l’option Imprimer les planches vides pour imprimer les planches vides ajoutées de façon à remplir les signatures de l’épreuve composite. Imprimer les grilles de ligne de base et repères visibles Imprime les grilles de ligne et les repères visibles dans la même couleur que celle affichée dans le document. Utilisez le menu Affichage pour contrôler les repères et les grilles visibles. Cette option n’est pas disponible lorsque vous imprimez des séparations.

Impression de documents comportant plusieurs formats de page

Vous pouvez décider d’imprimer séparément les pages qui se présentent dans des formats différents. La boîte de dialogue Imprimer contient une option qui facilite la sélection de toutes les pages de même format dans un document. Avant d’envoyer un document comportant divers formats de page à l’impression, demandez conseil à votre imprimeur en ce qui concerne les spécifications d’impression particulières. Si l’impression d’un document faisant appel à divers formats de page se révèle difficile, envisagez de diviser ce document en sections de document distinctes. 1 Choisissez la commande Fichier > Imprimer. 2 Dans le panneau Général, sélectionnez ou désélectionnez l’option Planches pour indiquer si vous imprimez des

planches ou des pages.

Le format d’une planche comportant des pages de formats différents est fonction de la largeur et de la hauteur maximales figurant sur cette planche. 3 Pour imprimer uniquement des pages de même format, sélectionnez l’une des pages ou planches à l’aide des

options visibles au-dessus du champ Etendue, puis cliquez sur l’icône de pages

Spécification des pages à imprimer

Vous pouvez spécifier une étendue de pages à l’aide d’une numérotation absolue (la position de la page dans le document) ou d’une numérotation de page ou de section (les numéros de section et de page attribués à la page). Par défaut, les boîtes de dialogue d’InDesign respectent le format spécifié pour la numérotation des pages dans la boîte de dialogue Préférences.

• Lorsque l’option Numérotation absolue est sélectionnée, les numéros spécifiés correspondent à la position absolue des pages du document. Par exemple, pour imprimer la troisième page du document, entrez « 3 » dans la zone

Etendue de la boîte de dialogue Imprimer.

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Si vous ne savez pas quel format utiliser pour indiquer les numéros de pages, copiez le format qui s’affiche au bas de la fenêtre du document.

Spécification de la taille de papier et de l’orientation de la page

Il est important de bien distinguer le format de page (défini dans la boîte de dialogue Format de document) et le format du papier (qui est la feuille de papier, la partie du film ou la zone de la plaque d’impression utilisée). Il se peut que le format de page soit Lettre US (216 par 279 millimètres), mais que vous ayez besoin d’imprimer sur une surface de papier ou de film plus grande pour accueillir les repères de l’imprimante ou les zones de fond perdu ou de ligne-bloc. La liste des formats de papier disponibles dans InDesign est fournie dans le fichier PPD (imprimantes PostScript) ou dans le pilote d’impression (imprimantes non PostScript). Si l’imprimante et le PPD choisis pour l’impression PostScript prennent en charge les formats de papier personnalisés, l’option Personnalisé dans le menu Format du papier s’affiche. La plupart des photocomposeuses peuvent accueillir des formats de papier normaux, comme les formats lettre ou tabloïd, ainsi que les orientations transversales, pour lesquelles le format de page normal est pivoté de 90° lors de l’impression. Avec une photocomposeuse, l’orientation transversale est souvent plus efficace.

Si vous changez le format de page (de A4 à B5, par exemple), le document est automatiquement remis à l’échelle dans la fenêtre d’aperçu. Cette fenêtre affiche l’intégralité de la surface imprimable de la page sélectionnée ; toute modification de format d’aperçu entraîne une remise à l’échelle de la surface afin d’inclure la zone imprimable.

Remarque : pour un même format de papier (A4, par exemple), la zone imprimable varie selon le fichier PPD, car chaque imprimante ou photocomposeuse gère différemment le format de la zone imprimable.

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Pour spécifier la taille de papier et l’orientation de la page 1 Choisissez Fichier > Imprimer. 2 Dans la boîte de dialogue Imprimer, choisissez une option dans le menu Format du papier de la zone Format.

Vérifiez que le format de papier spécifié est suffisamment grand pour contenir le document, les fonds perdus, les lignes-bloc (le cas échéant) et les repères de l’imprimante. Pour conserver le papier ou le film de la photocomposeuse, sélectionnez le format de papier le plus petit permettant de contenir le document et les informations d’impression nécessaires.

3 Cliquez sur le bouton Orientation pour faire pivoter le document sur le support.

Dans la plupart des cas, l’orientation de la page spécifiée dans Format de document (Fichier > Format de document) et l’orientation de sortie spécifiée dans la zone Format de la boîte de dialogue Imprimer doivent être les mêmes (tous deux portrait ou paysage), qu’il s’agisse d’une impression normale ou transversale. Si vous imprimez des planches, choisissez une orientation et un format de papier différents pour ajuster toutes les pages d’une planche sur une feuille unique. Si vous avez appliqué une rotation à la planche, vous devrez sans doute changer l’orientation de façon à l’imprimer dans le bon sens.

L’option de personnalisation est uniquement disponible dans InDesign si le PPD choisi prend en charge les formats de papier personnalisés.

Le plus grand format de papier personnalisé que vous puissiez spécifier dépend de la zone imprimable maximale de votre photocomposeuse. Pour plus de détails, consultez la documentation de votre imprimante. Remarque : les options de formats de papier personnalisés pour les imprimantes non PostScript ne sont pas accessibles dans la boîte de dialogue d’impression d’InDesign. Pour définir les fonctionnalités spécifiques à une imprimante, cliquez sur Configurer (Windows), Imprimante ou Format d’impression (Mac OS), dans la boîte de dialogue Imprimer d’InDesign. Pour plus de détails, consultez la documentation du pilote de votre imprimante non PostScript. 1 Choisissez Fichier > Imprimer. 2 Si vous imprimez un fichier PostScript, choisissez PostScript comme option d’imprimante dans la zone Général de

la boîte de dialogue Imprimer. Sélectionnez ensuite le fichier PPD qui prend en charge les formats de papier personnalisées.

3 Dans le menu Format du papier de la zone Format de la boîte de dialogue Imprimer, choisissez Personnalisé.

Remarque : si cette option n’est pas disponible, cela signifie que le PPD que vous avez sélectionné lors de la configuration de l’imprimante ne prend pas en charge les formats de papier personnalisés.

4 Pour spécifier la hauteur et la largeur, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Sélectionnez Automatique pour Largeur et Hauteur afin de laisser InDesign déterminer le format de papier le plus petit adapté au contenu de votre document, pour les fonds perdus, les lignes-bloc et les repères de l’imprimante.

L’option par défaut, Automatique, est également utile si le livre contient des pages de différents formats et si vous imprimez sur un support continu, comme une bobine de film ou du papier photosensible.

• Pour spécifier un format de papier supérieur au format par défaut, entrez de nouvelles dimensions dans les zones de texte Largeur et Hauteur. Veillez à ce que les valeurs choisies soient supérieures aux valeurs par défaut, sans quoi le document risquerait d’être tronqué.

5 Pour modifier le positionnement de la page sur le film, entrez une valeur dans Décalage.

Cette valeur correspond à l’espace supplémentaire situé à gauche de la zone imprimable. Par exemple, un décalage de

30 points déplace la surface imprimable de 30 points vers la droite. 6 Pour faire pivoter le contenu de la page et du support, sélectionnez Transversal, puis cliquez sur Imprimer.

Vous pouvez économiser une quantité importante de film ou de papier en associant les options Transversal et

Décalage. Comparez les exemples suivants d’une image imprimée dans InDesign avec l’option Transversal sélectionnée et désélectionnée.

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1 Pour vérifier ou modifier les paramètres Afficher le calque et Imprimer le calque du document, sélectionnez un

calque dans le panneau Calques, puis choisissez l’option Options de calque dans le menu du panneau. Définissez les options de calque, puis cliquez sur OK.

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez Fichier > Imprimer, puis cliquez sur Général dans la partie gauche de la boîte de dialogue Imprimer.

• Choisissez Fichier > Exporter, activez l’option Adobe PDF et cliquez sur Enregistrer. Dans la partie gauche de la boîte de dialogue Exporter au format Adobe PDF, cliquez sur Général. 3 Dans le menu Imprimer les calques ou Exporter les calques, choisissez les calques à imprimer ou à inclure dans

Tous les calques Imprime tous les calques du document, même s’ils sont masqués ou définis comme non imprimables. Calques visibles Imprime tous les calques visibles, même s’ils sont définis comme non imprimables dans Options de

Calques visibles et imprimables Imprime uniquement les calques définis comme visibles et imprimables. Vous pouvez imprimer un document sur une imprimante non PostScript. Cependant, PostScript étant le langage standard de description de pages pour la publication professionnelle, de nombreuses fonctionnalités graphiques et couleurs haut de gamme, telles que les linéatures ou les séparations de couleurs, ne sont pas reproduites sur des imprimantes non PostScript. La plupart des formats de fichiers graphiques importés offrent une impression de qualité acceptable. En général, l’aspect d’un document imprimé sur un périphérique de sortie non PostScript est semblable à l’aspect du document affiché en mode Aperçu. Certains distributeurs de logiciels ajoutent des fonctionnalités de langage PostScript à des imprimantes non PostScript. Vérifiez auprès de votre distributeur la disponibilité et la compatibilité de ces fonctionnalités.

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Windows, les fonctionnalités graphiques et couleurs haut de gamme peuvent ne pas être converties correctement si cette option n’est pas activée. 4 Indiquez la résolution de l’impression au format bitmap.

La résolution du pilote d’impression peut restreindre la résolution de l’impression. Pour obtenir une qualité d’impression optimale, la résolution du pilote d’impression non PostScript doit être égale ou supérieure à la résolution d’impression spécifiée dans la boîte de dialogue Imprimer d’InDesign.

Aperçu des documents

Il est possible de visualiser les proportions des pages d’un document sur un format de papier défini avant l’impression sur une imprimante PostScript. La zone inférieure gauche de la boîte de dialogue d’impression offre un aperçu et permet de confirmer les paramètres d’orientation et de format de papier. Lorsque vous sélectionnez différentes options dans la boîte de dialogue Imprimer, l’aperçu se met instantanément à jour ainsi que les effets associés aux paramètres d’impression. 1 Choisissez Fichier > Imprimer. 2 Cliquez sur la zone d’aperçu dans la zone inférieure gauche de la boîte de dialogue d’impression.

Il existe trois types d’aperçus :

Standard Affiche le rapport entre une page de document et le support. L’aperçu montre également les effets de

différentes options telles que le format du papier sur la zone imprimable, les fonds perdus, les lignes-bloc, les repères de page, ainsi que les effets de mosaïque et de vignettes.

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fonction du format de la page. En ce qui concerne les formats de page, l’aperçu affiche les proportions du support en fonction du périphérique de sortie personnalisé, les dimensions maximales du support prises en charge par le périphérique de sortie et les paramètres de décalage, d’espacement et de transversale. En ce qui concerne les feuilles séparées, comme les lettres et les tabloïds, l’aperçu présente le rapport entre la zone imprimable et le format du support. Dans les aperçus de pages personnalisées et de feuilles séparées, le mode de sortie est également précisé à l’aide d’une des icônes suivantes : Séparations , Gris composite , CMJN composite ou RVB composite .

Adobe recommande d’installer la version la plus récente adaptée à votre système d’exploitation.

Accès aux fonctions du pilote d’impression

Les pilotes d’impression peuvent prendre en charge des fonctions non incluses dans InDesign, telles que l’impression double-ton. Ces fonctions ne sont pas prises en charge par tous les pilotes d’impression. Contactez le fabricant de votre imprimante pour de plus amples informations. Pour spécifier les paramètres d’une imprimante particulière, utilisez les boutons suivants de la boîte de dialogue Imprimer d’InDesign (si vous choisissez d’imprimer vers un fichier PostScript, ces options ne sont pas disponibles). Configurer Sous Windows, ce bouton ouvre la boîte de dialogue Imprimer de Windows. Mise en page Sous Mac OS, ce bouton affiche la boîte de dialogue Format d’impression standard de Mac OS. Imprimer Sous Mac OS, ce bouton permet d’afficher la boîte de dialogue d’impression standard du système.

Remarque : certaines fonctions d’impression d’InDesign existent aussi bien dans les boîtes de dialogue du pilote d’impression que dans la boîte de dialogue d’impression d’InDesign. Il est toutefois préférable de définir les paramètres dans la boîte de dialogue d’impression d’InDesign. En cas de conflit des paramètres, InDesign tente de les harmoniser ou d’ignorer les paramètres du pilote. Certaines fonctions du pilote d’impression (comme l’option de disposition utilisée pour imprimer la même illustration plusieurs fois sur une même page) génèrent des résultats d’impression inattendus lorsqu’elles sont utilisées avec des fonctions d’InDesign, telles que les séparations.

Sélection d’un fichier PPD Un fichier PPD (acronyme de l’anglais PostScript Printer Description) permet de personnaliser le pilote spécialement pour votre imprimante PostScript. Il contient des informations sur le périphérique de sortie, notamment les polices installées sur l’imprimante, la taille et l’orientation des supports disponibles, les possibilités optimales en matière de linéature de trame, d’angles de trame, de résolution et de sortie couleur. Il est important de configurer le fichier PPD correct avant d’imprimer. La sélection du fichier PPD correspondant à l’imprimante PostScript ou à la photocomposeuse utilisée indique les paramètres disponibles pour le périphérique de sortie dans la boîte de dialogue

Imprimer. Vous pouvez en choisir un différent selon vos besoins. Les applications utilisent les informations du fichier PPD pour déterminer les informations PostScript à envoyer à l’imprimante lors de l’impression d’un document.

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❖ Sous Windows et Mac OS, la sélection d’un fichier PPD est similaire à l’ajout d’une imprimante. Les étapes

permettant de sélectionner un fichier PPD sont différentes pour chaque plate-forme. Pour plus de détails, reportezvous à la documentation de votre système d’exploitation.

Utilisation d’impressions prédéfinies

Si vous utilisez régulièrement différents types de travaux ou imprimantes, vous pouvez automatiser les travaux d’impression en enregistrant tous les paramètres de sortie comme impressions prédéfinies. L’utilisation d’impressions prédéfinies est une manière fiable et rapide d’imprimer des travaux nécessitant des paramètres précis et constants pour de nombreuses options de la boîte de dialogue Imprimer. Vous pouvez enregistrer et charger des impressions prédéfinies, ce qui facilite leur sauvegarde ou leur mise à disposition à vos prestataires de services, vos clients ou d’autres personnes de votre groupe de travail. Vous pouvez créer et réviser les impressions prédéfinies dans la boîte de dialogue Impressions prédéfinies.

Création de paramètres d’impression prédéfinis

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Sélectionnez Fichier > Imprimer, ajustez les paramètres d’impression et cliquez sur Enregistrer le paramètre prédéfini. Saisissez un nom ou utilisez le nom par défaut, puis cliquez sur OK. Avec cette méthode, le paramètre prédéfini est enregistré dans le fichier des préférences.

• Choisissez la commande Fichier > Impressions prédéfinies > Définir, puis cliquez sur le bouton Nouveau. Dans la boîte de dialogue qui s’affiche, saisissez un nouveau nom ou utilisez le nom par défaut, ajustez les paramètres d’impression et cliquez sur OK pour revenir à la boîte de dialogue Impressions prédéfinies. Cliquez de nouveau sur OK.

Application d’impressions prédéfinies

3 Cliquez sur Imprimer.

Remarque : dans InDesign, vous pouvez également imprimer à l’aide d’une impression prédéfinie sélectionnée dans le menu Fichier > Impressions prédéfinies.

Lors de la préparation d’un document pour l’impression, l’imprimante a besoin de repères qui l’aideront entre autres

à déterminer où rogner le papier, à aligner les films de séparation lors de la production d’épreuves, mesurer le film pour un étalonnage et une densité de points corrects. En sélectionnant une option de repère de page, vous agrandissez les limites de la page de façon à prendre en compte les repères de l’imprimante, le fond perdu (les parties du texte ou les objets qui s’étendent au-delà des limites de la page après le rognage) ou les lignes-bloc (zone hors page et fonds perdus contenant les instructions de l’imprimante ou les informations du projet). Si vous définissez les traits de coupe et que vous voulez ajouter un fond perdu ou une ligne-bloc à l’illustration, veillez à étendre cette dernière au-delà des traits de coupe pour accueillir le fond perdu ou la ligne-bloc. Veillez également à ce que le support soit suffisamment grand pour contenir la page et les repères de l’imprimante, les fonds perdus et les lignes-bloc. Si ce n’est pas le cas, utilisez l’option Position de la page de la zone Format de la boîte de dialogue d’impression pour contrôler l’emplacement d’écrêtage des éléments. Si vous sélectionnez l’option Traits de coupe, les repères de pliage sont visibles sous forme de lignes pleines sur les planches imprimées.

Au moment de l’impression, vous pouvez ignorer l’emplacement par défaut des repères de fond perdu dans la zone

Fond perdu et ligne-bloc de la zone Repères et fond perdu. Les fichiers enregistrés au format PostScript permettent aux programmes de traitement d’images de mettre en place leur propre variable de fond perdu. 1 Choisissez Fichier > Imprimer. 2 Cliquez sur l’option Repères et fonds perdus dans la partie gauche de la boîte de dialogue Imprimer. 3 Sélectionnez l’option Tous les repères d’impression ou sélectionnez des repères individuels. 4 Pour remplacer les paramètres de fond perdu dans la boîte de dialogue Format de document, désactivez la case

Utiliser les paramètres de fond perdu du document et saisissez des valeurs comprises entre 0 et 6 pouces (ou

équivalent) dans les champs De tête, De pied, Gauche et Droite (pour les documents recto) ou De tête, De pied, Petit fond et Grand fond (pour les documents recto-verso avec des pages en vis-à-vis). Pour étendre le décalage de façon égale sur tous les côtés de la page, cliquez sur l’icône Uniformiser tous les paramètres . 5 Cliquez sur Inclure la zone de ligne-bloc pour imprimer les objets à l’aide de la zone de ligne-bloc définie dans la

boîte de dialogue Format de document.

Pour prévisualiser les zones de fond perdu et de ligne-bloc avant l’impression, cliquez sur l’icône Mode Fond perdu ou Mode Ligne-bloc au bas du panneau Outils. Ces icônes peuvent être masquées par l’icône de mode d’aperçu

Tous les repères d’impression Sélectionne tous les repères d’impression, y compris les traits de coupe, les repères de

fond perdu, les repères de montage, les gammes de couleurs et les informations de page.

Traits de coupe Ajoute des repères fins horizontaux et verticaux (filets) qui définissent l’emplacement où la page doit être rognée. Les traits de coupe peuvent aussi être utiles pour effectuer le repérage (alignement) des différentes séparations. Si vous les utilisez avec les repères de fond perdu, vous pouvez sélectionner des repères qui se chevauchent. Repères de fond perdu Ajoute des repères fins (filets) qui définissent la quantité de zone supplémentaire pour l’image en dehors de la taille de page définie. Repères de montage Ajoute des petites « cibles » en dehors de la page pour aligner les différentes séparations d’un

document en couleur.

Gammes de couleurs Ajoute des petits carrés de couleur représentant les encres CMJN et les niveaux de gris (par

incrément de 10 %). Votre prestataire de services utilise ces repères pour ajuster la densité d’encre sur la presse d’impression.

Informations sur la page Imprime le nom du fichier, le numéro de la page, la date et l’heure actuelles, ainsi que le nom

des séparations des couleurs en police Helvetica de taille 6 dans le coin inférieur gauche de chaque feuille de papier ou

Dernière mise à jour le 18/5/2011

par exemple). Vous pouvez créer des repères d’impression personnalisés ou utiliser ceux créés par une autre société. Epaisseur Affiche les épaisseurs possibles des lignes de traits de coupe et de repères de fond perdu. Décalage Spécifie la distance qui sépare les repères d’impression du bord de la page (et non du fond perdu). Par défaut,

cette distance est de 6 points. Pour éviter d’inscrire les repères d’impression sur le fond perdu, la valeur de décalage doit être supérieure à la valeur du fond perdu.

Modification de la position de la page sur le support

Si vous imprimez un document avec un format de support de feuille supérieur au format de document, utilisez l’option Position de la page de la zone Format de la boîte de dialogue Imprimer pour contrôler l’emplacement des fonds perdus, des lignes-bloc, des repères de l’imprimante et de l’étendue de la page sur le support. Si le document n’est pas adapté au support et doit subir un rognage, définissez la partie du document à rogner. Le résultat s’affiche dans l’aperçu de la boîte de dialogue d’impression. Remarque : pour afficher les fonds perdus, les lignes-bloc et les repères de l’imprimante, il est préférable d’utiliser l’option Ajuster au lieu de l’option Position de la page. En outre, les pages mises à l’échelle sont toujours centrées. L’option Position de la page n’est pas disponible si l’option Ajuster, Vignettes ou Mosaïque est sélectionnée. ❖ Choisissez une option dans le menu Position de la page de la zone Format de la boîte de dialogue Imprimer.

Impression de vignettes et de documents grand format

Impression de vignettes Pour faire tenir plusieurs pages sur une seule page, créez des vignettes (petites versions de prévisualisation de votre document) que vous pouvez utiliser pour vérifier le contenu et la présentation. Si nécessaire, InDesign modifie automatiquement l’orientation du papier afin d’ajuster au mieux la page au papier. Cependant, vous devrez réinitialiser l’orientation d’origine si vous désélectionnez l’option Vignettes. Remarque : lorsque vous imprimez des vignettes, les repères d’impression et autres éléments des zones de fond perdu ou de ligne-bloc sont exclus. 1 Dans la zone Format de la boîte de dialogue Imprimer, sélectionnez Vignettes. 2 Dans le menu, choisissez le nombre de vignettes par page.

Impression de documents grand format

Les documents créés dans InDesign peuvent atteindre des dimensions de 5 mètres de côté ; or, la plupart des imprimantes de bureau ne peuvent pas imprimer des pages d’une telle dimension. Pour imprimer un document de grande taille sur une imprimante de bureau, vous devez imprimer les éléments (ou mosaïques) de chacune des pages du document un par un, puis les rogner et les réassembler. Vous pouvez également mettre à l’échelle le document pour l’adapter au format du papier utilisé.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Etant donné que les dimensions d’un document ne correspondent pas toujours au format de papier utilisé pour l’impression, InDesign divise le document de grande taille en un ou plusieurs rectangles (ou mosaïques) adaptés au format de page de l’imprimante. Vous pouvez ensuite réassembler les sections juxtaposées. La juxtaposition d’un document dans InDesign peut être manuelle ou automatique. La juxtaposition vous permet de contrôler manuellement le point d’origine du coin supérieur gauche de la mosaïque et de déterminer l’étendue de la page sur le papier.

Pages grand format divisées en mosaïques imprimables (à gauche) et sections se chevauchant à l’assemblage final (à droite)

Pour juxtaposer un document automatiquement

1 Choisissez Fichier > Imprimer. 2 Dans la zone Format de la boîte de dialogue Imprimer, sélectionnez Mosaïque. 3 Dans le menu Mosaïque, choisissez l’une des options suivantes : Automatique Calcule automatique le nombre de mosaïques nécessaires, chevauchement inclus. Justification automatique Augmente le chevauchement (le cas échéant) de sorte que le côté droit des mosaïques les

plus à droite s’alignent sur le bord droit de la page du document, et que le bas des mosaïques situées le plus en bas s’aligne sur le bas de la page du document.

4 Dans Chevauchement, entrez les informations minimales en double que vous souhaitez imprimer sur chaque

mosaïque pour faciliter l’assemblage. L’option Chevauchement utilise l’unité de mesure spécifiée dans le document.

La valeur doit être supérieure à celle des marges minimales non imprimables. Vous pouvez spécifier jusqu’à la moitié de la hauteur du plus petit côté de la page de document à chevaucher. Par exemple, le chevauchement de mosaïques d’une page mesurant environ 2,5 par 4,5 cm peut atteindre 14 cm.

Pour juxtaposer un document manuellement

Contrairement à la juxtaposition automatique d’un document, qui imprime toutes les mosaïques à la fois, la juxtaposition manuelle requiert que vous imprimiez chaque mosaïque séparément. 1 Si nécessaire, choisissez Affichage > Afficher les règles. 2 Faites glisser l’intersection des règles pour restaurer l’origine dans le coin supérieur gauche de la mosaïque à

imprimer. N’oubliez pas de prévoir un espace pour les repères d’impression.

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Mise à l’échelle de documents Pour ajuster un document de grande taille sur une feuille de papier plus petite, vous pouvez mettre à l’échelle la largeur et la hauteur du document, de manière symétrique ou asymétrique. La mise à l’échelle asymétrique est utile lorsque, par exemple, vous imprimez un film destiné à être utilisé sur une presse flexographique : si vous savez quel côté de la plaque sera monté sur la table, la mise à l’échelle peut compenser l’allongement de la plaque de 2 à 3 %. La mise à l’échelle n’a aucun effet sur le format des pages du document. Remarque : lorsque vous imprimez des planches, chacune d’entre elles est mise à l’échelle séparément.

Pour mettre un document à l’échelle manuellement

1 Choisissez Fichier > Imprimer. 2 Pour activer les cases Largeur et Hauteur, dans la zone Format de la boîte de dialogue Imprimer, sélectionnez

3 Pour conserver les dimensions actuelles du document, sélectionnez Conserver les proportions. Dans le cas

contraire, vérifiez que cette option n’est pas sélectionnée.

4 Dans les zones Largeur et Hauteur, entrez des pourcentages compris entre 1 et 1 000. Si vous sélectionnez l’option

Conserver les proportions, entrez une seule valeur et l’autre est automatiquement mise à jour.

Pour mettre un document à l’échelle automatiquement

1 Dans la zone Format de la boîte de dialogue Imprimer, vérifiez que les options Mosaïque et Vignettes sont

désélectionnées. L’option Ajuster n’est pas disponible si ces options sont sélectionnées.

2 Sélectionnez l’option Ajuster. Le pourcentage de mise à l’échelle s’affiche en regard de l’option Ajuster. Il est

déterminé par la zone imprimable, elle-même définie par le PPD sélectionné.

Impression des images et des polices

Options d’impression des graphiques Dans la zone Graphiques de la boîte de dialogue Imprimer, choisissez l’une des options suivantes pour spécifier la méthode de gestion des graphiques lors de l’impression. Envoi des données Contrôle la quantité de données des images bitmap importées à envoyer vers l’imprimante ou le

Toutes Envoie les données de résolution maximale. Utilisez cette option pour une impression haute résolution ou un impression d’images en niveaux de gris ou en couleurs présentant un niveau de contraste élevé, comme c’est le cas du texte noir et blanc avec un ton direct. Cette option exige un espace disque important. Echantillonnage optimisé Envoie la quantité optimale de données d’image pour imprimer l’image à une résolution

idéale pour le périphérique de sortie. Une imprimante haute résolution utilise plus de données qu’un modèle de bureau basse résolution. Sélectionnez cette option lorsque vous travaillez sur des images haute résolution tout en imprimant des épreuves sur une imprimante de bureau.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

réduisant ainsi le temps d’impression. Les dimensions des blocs d’image étant les mêmes que celles des images ou des masques importés, vous pouvez toujours vérifier le positionnement et le format. Le fait de ne pas imprimer les images importées se révèle utile lorsque vous devez distribuer des épreuves de texte aux préparateurs de texte ou aux correcteurs d’épreuves. L’impression sans images est également utile lorsque vous tentez d’isoler la cause d’un problème d’impression.

Options de téléchargement des polices vers une imprimante

Les polices résidant sur l’imprimante sont stockées dans la mémoire de l’imprimante ou sur le disque dur connecté à celle-ci. Contrairement aux polices bitmap qui sont uniquement stockées dans l’ordinateur, les polices Type 1 et TrueType peuvent l’être soit sur l’imprimante, soit sur l’ordinateur. InDesign télécharge les polices si nécessaire, à condition qu’elles soient installées sur le disque dur de votre ordinateur. Pour déterminer la façon dont les polices sont téléchargées sur l’imprimante, choisissez l’une des options suivantes dans la zone Graphiques de la boîte de dialogue Imprimer. Aucune Inclut une référence à la police dans le fichier PostScript indiquant au processeur RIP ou au processeur de post-traitement l’emplacement d’intégration de la police. Utilisez cette option si les polices résident sur l’imprimante. Cependant, pour garantir une interprétation correcte des polices, utilisez l’une des options de téléchargement de polices alternatives, telles que Jeu partiel ou Télécharger les polices PPD. Complet Télécharge toutes les polices nécessaires au document au début du travail d’impression. Tous les glyphes et caractères de la police sont inclus, même s’ils ne sont pas utilisés dans le document. InDesign organise automatiquement en jeux partiels les polices contenant plus de glyphes (caractères) que le nombre maximum spécifié dans la boîte de dialogue Préférences. Jeu partiel Télécharge uniquement les caractères (glyphes) utilisés dans le document. Les glyphes sont téléchargés une

fois par page. Cette option permet généralement d’obtenir des fichiers plus petits et plus rapides si elle est utilisée avec des documents page simple ou avec des documents contenant peu de texte.

Télécharger les polices PPD Télécharge toutes les polices du document, même si celles-ci résident sur l’imprimante. Utilisez cette option pour garantir qu’InDesign utilise les contours de polices de votre ordinateur pour imprimer des polices usuelles, telles que Helvetica et Times. Cette option permet également de résoudre des problèmes de versions de polices, comme les discordances de jeux de caractères entre l’ordinateur et l’imprimante ou les variations de contours dans le recouvrement. Cependant, à moins d’utiliser des jeux de caractères étendus, il n’est pas nécessaire de sélectionner cette option pour imprimer des brouillons sur une imprimante de bureau.

« A propos des préférences et des paramètres par défaut » à la page 38

Postscript Spécifie le niveau de compatibilité avec les interprètes de périphériques de sortie PostScript.

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Remarque : InDesign est parfois incapable de modifier le format de données utilisé par les fichiers graphiques EPS ou DCS. Si l’envoi de données en mode binaire pose problème, essayez de modifier le format des données des graphiques EPS ou DCS dans l’application source.

Options d’omission d’images

Les options OPI de la zone Avancé permettent d’ignorer de manière sélective plusieurs types d’images importées lors de l’envoi de données d’image vers une imprimante ou un fichier, laissant ensuite un serveur OPI se charger des liens (commentaires) OPI. Substitution d’images OPI Active le remplacement par InDesign de doublures EPS basse résolution par des images

haute résolution au moment de la sortie. Pour que le remplacement d’images OPI fonctionne, les fichiers EPS doivent contenir des commentaires OPI reliant la doublure basse résolution à l’image haute résolution. InDesign doit avoir accès aux images liées aux commentaires OPI. Si les versions haute résolution ne sont pas disponibles, InDesign conserve les liens OPI et inclut des doublures basse résolution dans les fichiers exportés. Désactivez cette option pour qu’un serveur OPI remplace les images présentant des liens OPI ultérieurement dans le flux de production.

Ignorer pour OPI Permet d’ignorer de manière sélective différents types d’images importées (EPS, PDF et bitmap) lors de l’envoi des données d’image vers un fichier ou une imprimante, laissant un serveur OPI se charger ultérieurement des liens OPI (commentaires) uniquement. Les commentaires contiennent les informations requises pour localiser une image haute-résolution sur un serveur OPI. InDesign inclut uniquement les commentaires. Le prestataire de services doit avoir accès aux images haute résolution d’origine placées sur un serveur au moment du remplacement. L’option Ignorer pour OPI ne s’applique pas aux images incorporées.

« Options d’importation de graphiques » à la page 412

Gestion des couleurs

Utilisation de la gestion des couleurs lors de l’impression Lorsque vous imprimez un document avec gestion des couleurs, vous pouvez spécifier des options supplémentaires pour faire en sorte que les couleurs soient correctes à l’impression. Supposons, par exemple, que votre document contienne un profil adapté à un travail de prépresse et que vous vouliez contrôler les couleurs du document sur une imprimante de bureau. Dans la boîte de dialogue Imprimer, convertissez les couleurs du document selon l’espace colorimétrique de l’imprimante de bureau. Le profil de l’imprimante sera utilisé au lieu du profil du document actuel. Si vous sélectionnez l’espace colorimétrique Epreuve et ciblez une imprimante RVB, InDesign convertit les données chromatiques en valeurs RVB à l’aide des profils colorimétriques sélectionnés.

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Remarque : dans le cas de documents avec gestion des couleurs, vous pouvez faire appel au panneau Contrôle en amont pour vous assurer que les couleurs sont conformes à vos spécifications. 1 Vérifiez que le pilote d’impression et le fichier PPD appropriés sont installés sur votre ordinateur. 2 Choisissez Fichier > Imprimer. 3 Si les paramètres d’impression prédéfinie vous conviennent, choisissez-les dans le menu Impression prédéfinie

situé dans la partie supérieure de la boîte de dialogue Imprimer.

4 Modifiez les paramètres en fonction du document. 5 Cliquez sur Gestion des couleurs dans la partie gauche de la boîte de dialogue Imprimer. 6 Sous Imprimer, choisissez Document. 7 Dans la zone Traitement des couleurs, choisissez Laisser InDesign déterminer les couleurs. 8 Dans la zone Profil de l’imprimante, choisissez le profil correspondant à votre périphérique de sortie.

Plus le profil décrit précisément le comportement d’un périphérique de sortie et les conditions d’impression (par exemple le type de papier), plus le système de gestion des couleurs peut traduire précisément les valeurs numériques des couleurs réelles du document.

9 Choisissez Conserver les numéros RVB ou Conserver les numéros CMJN.

Cette option détermine la façon dont InDesign traite les couleurs qui n’ont pas de profil de couleur associé, comme les images importées sans profil incorporé. Si cette option est sélectionnée, InDesign envoie les numéros des couleurs directement au périphérique de sortie. Si cette option n’est pas sélectionnée, InDesign commence par convertir les numéros des couleurs selon l’espace colorimétrique du périphérique de sortie.

Il est conseillé de conserver les numéros si vous suivez un flux de production CMJN sûr. La conservation des numéros n’est pas conseillée pour l’impression de documents RVB. 10 Cliquez sur Configurer (Windows) ou sur Imprimante (Mac OS) pour accéder à la boîte de dialogue du pilote

11 Désactivez la gestion des couleurs pour l’imprimante et cliquez sur Impression pour revenir à la boîte de dialogue

12 Cliquez sur Imprimer.

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Les modes composites agissent uniquement sur les images et les objets pixellisés créés dans InDesign. Les images importées (comme les fichiers EPS et PDF) ne sont pas concernées sauf si elles chevauchent des objets transparents. Pour plus de détails sur l’impression composite, rendez-vous sur le site Adobe Print Resource Center à l’adresse suivante : www.adobe.com/go/print_resource_fr. Remarque : les options disponibles pour l’impression non PostScript dépendent du modèle colorimétrique utilisé par l’imprimante, généralement défini sur RVB. Lorsque vous imprimez en composite, le recouvrement automatique est désactivé. Vous pouvez sélectionner l’option Simuler la surimpression pour vérifier la surimpression de texte, des contours ou des fonds. La zone Sortie de la boîte de dialogue Imprimer inclut les options Couleur suivantes. En fonction de votre imprimante, des options supplémentaires peuvent être disponibles. Composite (ne pas modifier) Envoie les versions en couleurs des pages spécifiées vers l’imprimante, préservant ainsi

toutes les valeurs chromatiques du document d’origine. Lorsque cette option est sélectionnée, l’option Simuler la surimpression est désactivée.

Gris composite Envoie les versions en niveaux de gris des pages spécifiées vers l’imprimante. Vous pouvez utiliser cette

option pour une impression vers un périphérique de sortie monochrome sans effectuer de séparations des couleurs.

RVB composite Envoie les versions en couleurs des pages spécifiées vers l’imprimante. Vous pouvez utiliser cette option lorsque vous imprimez vers un périphérique de sortie RVB sans effectuer de séparations des couleurs. CMJN composite Envoie les versions en couleurs des pages spécifiées vers l’imprimante. Vous pouvez utiliser cette

option lorsque vous imprimez vers un périphérique de sortie CMJN sans effectuer de séparations des couleurs (cette option est uniquement disponible avec les imprimantes PostScript).

Séparations Crée des informations PostScript pour chacune des séparations du document et les envoie au périphérique de sortie (cette option est uniquement disponible avec les imprimantes PostScript). Séparations In-RIP Envoie des informations sur les séparations au processeur RIP du périphérique de sortie (cette

option est uniquement disponible avec les imprimantes PostScript).

Texte en noir Sélectionnez cette option pour imprimer tout le texte créé dans InDesign en noir à moins que vous n’ayez sélectionné l’option de couleur Aucun ou Papier ou une valeur chromatique équivalente au blanc. Cette option est utile lorsque vous créez un contenu destiné à l’impression et à la distribution au format PDF. Par exemple, des hyperliens qui apparaissent en bleu dans un document PDF s’impriment en noir et non en demi-teintes sur une imprimante à niveaux de gris, rendant la lecture plus difficile.

Adobe Print Resource Center « Préparation à l’impression des séparations » à la page 697 2 Dans la boîte de dialogue Personnaliser les conditions d’épreuvage, choisissez le périphérique de simulation, puis

3 Choisissez Conserver les numéros RVB ou Conserver les numéros CMJN, puis cliquez sur OK.

Cette option détermine la façon dont InDesign traite les couleurs qui n’ont pas de profil de couleur associé, comme les images importées sans profil incorporé. Si cette option est sélectionnée, InDesign envoie les numéros des couleurs directement au périphérique de sortie. Si cette option n’est pas sélectionnée, InDesign commence par convertir les numéros des couleurs selon l’espace colorimétrique du périphérique de sortie.

Il est conseillé de conserver les numéros si vous suivez un flux de production CMJN sûr. La conservation des numéros n’est pas conseillée pour l’impression de documents RVB. 4 Choisissez Fichier > Imprimer. 5 Si les paramètres d’impression prédéfinie vous conviennent, choisissez-les dans le menu Impression prédéfinie

situé dans la partie supérieure de la boîte de dialogue Imprimer.

6 Modifiez les paramètres en fonction du document. 7 Cliquez sur Gestion des couleurs dans la partie gauche de la boîte de dialogue Imprimer. 8 Sous Imprimer, choisissez Epreuve. Le profil doit correspondre au paramètre d’épreuve spécifié. 9 Dans la zone Traitement des couleurs, choisissez Laisser InDesign déterminer les couleurs. 10 Choisissez Simuler la teinte du papier pour simuler le niveau de blanc du support d’impression tel qu’il est défini

par le profil du document (mode de rendu appelé colorimétrie absolue). Cette option n’est pas disponible pour tous les profils.

11 Cliquez sur Configurer (Windows) ou sur Imprimante (Mac OS) pour accéder à la boîte de dialogue du pilote

12 Désactivez la gestion des couleurs pour l’imprimante et cliquez sur Impression pour revenir à la boîte de dialogue

13 Cliquez sur Imprimer.

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• Choisissez un dégradé avec une amplitude de couleur d’au moins 50 % entre deux ou plusieurs composantes de couleurs quadri.

• Spécifiez des couleurs plus claires ou réduisez la longueur des dégradés foncés. Les effets de bande sont davantage susceptibles de se produire entre des couleurs très foncées et du blanc.

• Augmentez l’amplitude du dégradé.

• Réduisez la linéature du document dans le cas de périphériques de sortie PostScript uniquement. • Si des effets de bandes se produisent avec une image importée, comme une image Adobe Illustrator®, essayez d’ajuster l’image d’origine.

• Imprimez vers un périphérique de sortie PostScript® 3 capable de produire des dégradés plus lisses.

• Utilisez des dégradés plus courts. Leur longueur optimale dépend du nombre de couleurs utilisées. Essayez toutefois de ne pas dépasser 20 cm de longueur.

« Dégradés » à la page 524 « Spécification de la résolution et de la linéature des trames de demi-teintes » à la page 709

A propos des points de demi-teintes et des points d’impression

La plupart des imprimantes simulent les gris en utilisant des points de demi-teintes imprimés sur une grille formée de cellules (appelées cellules de demi-teintes) et de rangées (appelées lignes ou trames lignées). Chaque point de demiteintes est constitué de points d’impression. Si les cellules de demi-teintes se remplissent de points d’impression, le point de demi-teinte s’agrandit et l’ombre grisée devient plus foncée. La résolution de l’imprimante détermine le nombre de points disponibles pour créer le point de demi-teintes. Une imprimante capable d’imprimer des petits points peut produire une plus grande variété de tailles de points de demiteintes et donc un plus grand nombre de nuances de gris. La linéature entre aussi en jeu : lorsqu’elle augmente, la cellule de demi-teintes se réduit et contient moins de points. Les nuances de gris possibles sont alors moins nombreuses. Il en résulte une relation entre le nombre de niveaux de gris possibles et la grossièreté de l’image.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Présentation du panneau Contrôle en amont Avant d’imprimer ou de remettre un document à un prestataire de services, vérifiez-en la qualité. On appelle ce processus contrôle en amont. Lors de la modification d’un document, le panneau Contrôle en amont indique les problèmes susceptibles d’empêcher l’impression ou la sortie d’un document ou d’un livre selon les résultats escomptés. Parmi ces problèmes, citons les polices ou fichiers manquants, les images basse résolution, le texte en excès et un certain nombre d’autres conditions. Vous pouvez configurer des paramètres de contrôle en amont pour définir les conditions détectées. Ces paramètres sont stockés dans des profils de contrôle en amont, facilitant ainsi leur réutilisation. Libre à vous de créer vos propres profils de contrôle en amont ou d’importer ceux émanant de votre imprimeur ou d’une autre source. Pour bénéficier des avantages du contrôle en amont dynamique, il est recommandé de créer ou de définir un profil de contrôle en amont dès les premières étapes du processus de création d’un document. Si la fonction de contrôle en amont est activée, une icône de cercle rouge s’affiche dans la barre d’état dès qu’InDesign détecte un problème quelconque. Vous pouvez alors ouvrir le panneau Contrôle en amont et consulter la section Informations afin d’obtenir des conseils de base qui vous permettront de résoudre les problèmes.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Ouverture du panneau Contrôle en amont • Choisissez la commande Fenêtre > Sortie > Contrôle en amont. • Cliquez deux fois sur l’icône de contrôle en amont au bas de la fenêtre du document. Si aucun problème n’est détecté, l’icône de contrôle en amont est verte ; dans le cas contraire, elle devient rouge.

Définition de profils de contrôle en amont

Par défaut, le profil [Standard] est appliqué aux nouveaux documents et à ceux qui ont été convertis. Ce profil signale les liens manquants ou modifiés, le texte en excès et les polices manquantes. Il est impossible de modifier ou de supprimer le profil [Standard] ; vous avez néanmoins toute latitude pour créer et utiliser divers profils. Vous pouvez par exemple basculer d’un profil à un autre lorsque vous travaillez sur des documents différents, lorsque vous faites appel à divers prestataires de services d’impression ou encore, lorsque le processus de production d’un document comprend différentes phases. Adressez-vous à votre prestataire de services prépresse pour obtenir un profil ou pour déterminer les paramètres du profil de contrôle en amont. Pour consulter un guide d’impression à l’intention des prestataires de services prépresse (PDF), rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/learn_id_prepress_wp_fr.

Pour définir un profil de contrôle en amont

1 Choisissez la commande Définir les profils dans le menu du panneau Contrôle en amont ou dans le menu Contrôle

en amont disponible au bas de la fenêtre du document.

2 Cliquez sur l’icône Nouveau profil de contrôle en amont

, puis attribuez un nom au profil.

3 Définissez les paramètres de contrôle en amont pour chaque catégorie. La présence d’une coche dans une case

indique que tous les paramètres sont inclus. Une case vide indique qu’aucun paramètre n’est inclus.

Liens Indiquez si les liens manquants et modifiés doivent faire partie des erreurs signalées. Couleur Indiquez quel espace de fusion des transparences utiliser et si les éléments tels que les plaques CMJ, les espaces colorimétriques et la surimpression sont autorisés.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Document Définissez les exigences relatives au format et à l’orientation des pages, au nombre de pages, aux pages

vierges et au format de fond perdu et de ligne-bloc.

4 Choisissez l’option Enregistrer pour conserver les modifications apportées à un profil avant de passer à un autre

profil. Vous pouvez également cliquer sur le bouton OK pour fermer la boîte de dialogue et enregistrer toutes les modifications.

Pour incorporer des profils et annuler l’incorporation de profils

Lorsque vous incorporez un profil, il devient un élément à part entière du document. Il est utile d’incorporer un profil, en particulier lorsque le fichier en question est envoyé à une autre personne. Cela ne signifie pas pour autant que l’utilisation du profil incorporé est impérative. Par exemple, si vous envoyez un document avec profil incorporé à un service d’impression, l’imprimeur peut décider d’utiliser un profil différent de celui fourni avec le document. Vous pouvez incorporer un seul profil dans un document, à l’exception du profil [Standard]. 1 Pour incorporer un profil, sélectionnez-le dans la liste Profil, puis cliquez sur l’icône Incorporer

Vous pouvez également incorporer un profil depuis la boîte de dialogue Définir les profils. 2 Pour annuler l’incorporation d’un profil, choisissez la commande Définir les profils dans le menu du panneau

Contrôle en amont, sélectionnez le profil, puis choisissez la commande Annuler l’incorporation du profil dans le menu de profil de contrôle en amont, visible à gauche dans la boîte de dialogue.

Pour exporter et charger des profils

Vous pouvez exporter un profil afin de le mettre à la disposition d’autres utilisateurs. Les profils exportés sont enregistrés avec l’extension .idpp. L’exportation d’un profil est un bon moyen de sauvegarder les paramètres de profil. Lorsque vous restaurez les préférences, les informations de profil sont réinitialisées. Si une restauration des préférences s’impose, il vous suffit de charger le profil que vous avez exporté. Vous pouvez également charger un profil qui vous a été fourni par une autre personne. Le profil chargé peut correspondre à un fichier *.idpp ou au profil incorporé dans le document que vous définissez.

• Pour exporter un profil, choisissez la commande Définir les profils dans le menu Contrôle en amont. Choisissez la commande Exporter le profil dans le Menu du profil de contrôle en amont, précisez le nom et l’emplacement, puis cliquez sur le bouton Enregistrer.

• Pour charger (importer) un profil, choisissez la commande Définir les profils dans le menu Contrôle en amont.

Choisissez la commande Charger le profil dans le menu du profil de contrôle en amont, sélectionnez le fichier *.idpp ou le document contenant le profil incorporé à utiliser, puis cliquez sur le bouton Ouvrir.

Pour supprimer un profil

1 Choisissez la commande Définir les profils dans le menu Contrôle en amont. 2 Sélectionnez le profil à supprimer, puis cliquez sur l’icône Supprimer le profil de contrôle en amont 3 Cliquez sur le bouton OK pour supprimer le profil.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Lorsque vous consultez la liste d’erreurs, tenez compte des points suivants :

• Dans certains cas, le problème est dû à un élément de composition, tel qu’une nuance ou un style de paragraphe.

Or, ce n’est pas l’élément de composition lui-même qui est signalé en tant qu’erreur mais plutôt le ou les éléments de page auxquels est appliqué cet élément de composition. Dans ce cas, veillez à résoudre le problème au niveau de l’élément de composition.

• Les erreurs au niveau du texte en excès, des conditions masquées ou des notes ne sont pas recensées. Le texte supprimé qui demeure disponible dans le suivi des modifications est également ignoré.

• Un élément de gabarit présentant un problème n’est pas répertorié si le gabarit n’est appliqué à aucune page ou si les pages auxquelles ce gabarit est appliqué ne figurent pas dans l’étendue définie. Par ailleurs, si un élément de gabarit est à l’origine d’une erreur, il est répertorié une seule fois dans le panneau Contrôle en amont, même si l’erreur figure sur toutes les pages auxquelles le gabarit est appliqué.

• Les erreurs affectant les éléments de page non imprimables, les éléments de page placés sur la table de montage ou ceux figurant dans des calques masqués ou non imprimables sont répertoriées dans la liste d’erreurs uniquement si les options correspondantes sont définies dans la boîte de dialogue Options de contrôle en amont.

• Si vous avez besoin d’imprimer certaines pages uniquement, vous pouvez limiter le contrôle en amont à une

étendue de pages définie. Il vous suffit de définir l’étendue voulue au bas du panneau Contrôle en amont.

Pour activer ou désactiver le contrôle en amont dynamique

Par défaut, le contrôle en amont est activé pour tous les documents. 1 Pour activer ou désactiver le contrôle en amont du document actif, sélectionnez l’option Activé dans le coin

supérieur gauche du panneau Contrôle en amont ou choisissez la commande Contrôler le document en amont dans le menu Contrôle en amont, au bas de la fenêtre du document.

2 Pour activer ou désactiver le contrôle en amont de tous les documents, sélectionnez la commande Activer le

contrôle en amont pour tous les documents dans le menu du panneau Contrôle en amont.

Pour résoudre des erreurs

1 Dans la liste d’erreurs, cliquez deux fois sur une ligne ou cliquez sur le numéro de page dans la colonne Page pour

afficher l’élément de page correspondant.

2 Cliquez sur la flèche à gauche de l’intitulé Informations pour afficher les informations concernant la ligne

Le panneau Informations fournit une description du problème et suggère des actions correctives. 3 Corrigez l’erreur. Dans nombre de flux de production, l’utilisation de profils différents peut se révéler judicieuse. Vous pouvez par exemple sélectionner des profils différents pour les documents que vous modifiez simultanément ou choisir un nouveau profil dans le cadre d’une nouvelle phase de production. Le document est soumis à un nouveau contrôle lorsque vous sélectionnez un autre profil. 1 Ouvrez le document. 2 Dans le menu Profil du panneau Contrôle en amont, sélectionnez un profil.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour spécifier une série de pages pour le contrôle en amont ❖ Indiquez une étendue de pages (1-8, par exemple) au bas du panneau Contrôle en amont.

La définition d’une étendue de pages obéit aux mêmes règles que celles applicables dans la boîte de dialogue d’impression. Les erreurs figurant sur les pages qui ne sont pas comprises dans cette étendue sont omises de la liste d’erreurs.

Pour définir les options de contrôle en amont

1 Choisissez la commande Options de contrôle en amont dans le menu du panneau Contrôle en amont. 2 Définissez les options suivantes, puis cliquez sur le bouton OK. Profil de travail Sélectionnez le profil à utiliser par défaut pour les nouveaux documents. Si vous souhaitez que le profil de travail soit incorporé dans les nouveaux documents, sélectionnez l’option Incorporer le profil de travail dans les nouveaux documents (voir la section « Définition de profils de contrôle en amont » à la page 679). Utiliser le profil incorporé / Utiliser le profil de travail Lorsque vous ouvrez un document, indiquez si le contrôle en

amont doit être effectué au moyen du profil de travail ou de celui incorporé dans le document.

Calques Indiquez si les éléments figurant sur tous les calques, les calques visibles ou les calques visibles et

imprimables doivent être inclus dans le contrôle en amont. Par exemple, si un élément se trouve sur un calque masqué, vous pouvez faire en sorte que les erreurs relatives à cet élément ne soient pas signalées.

Objets non imprimables Sélectionnez cette option pour afficher les erreurs relatives aux objets identifiés comme

non imprimables dans le panneau Options d’objet ou aux objets de gabarit figurant sur des pages auxquelles la commande Masquer les éléments du gabarit a été appliquée.

Objets sur la table de montage Sélectionnez cette option pour afficher les erreurs relatives aux objets placés sur la

Pour limiter le nombre de lignes par erreur

Vous pouvez faire en sorte que les listes d’erreurs demeurent faciles à gérer en limitant le nombre de lignes par erreur. Par exemple, l’utilisation répétée d’une seule police TrueType dans un document qui n’est pas censé faire appel à des polices de ce type peut être à l’origine de centaines d’erreurs. Dans ce cas, un nombre de lignes par erreur limité à 25 permettrait de recenser uniquement les 25 premières erreurs, accompagnées du chiffre (25+). ❖ Choisissez l’option Nombre limite de lignes par erreur dans le menu du panneau Contrôle en amont, puis indiquez

Pour enregistrer un rapport d’erreur

Vous pouvez générer un fichier texte ou PDF répertoriant les erreurs affichées dans le panneau Contrôle en amont. Ce rapport indique également d’autres informations, telles que l’heure, le nom du document et le nom du profil. Pour obtenir un inventaire complet des éléments utilisés dans le document, notamment les polices, encres et liens, générez un rapport à l’aide de la fonction Assemblage. 1 Choisissez la commande Enregistrer le rapport dans le menu du panneau Contrôle en amont. 2 Indiquez si le fichier doit être enregistré au format texte ou PDF dans le menu Type (Windows) ou Format

3 Précisez le nom et l’emplacement du rapport, puis cliquez sur le bouton Enregistrer.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour définir les options de contrôle en amont dans un livre 1 Choisissez la commande Contrôler le livre en amont dans le menu du panneau Livre. 2 Dans la boîte de dialogue Options de contrôle en amont du livre, précisez si les options de contrôle en amont

doivent s’appliquer à l’ensemble du livre ou uniquement aux documents sélectionnés.

3 Dans la section Profil de contrôle en amont, indiquez si vous souhaitez utiliser le profil indiqué dans le menu

Utiliser le profil ou celui incorporé dans chacun des documents.

Le profil que vous définissez est utilisé temporairement pour chacun des documents. Lorsque vous fermez un document individuel, le profil utilisé à la prochaine ouverture de ce document est fonction de l’option sélectionnée dans la boîte de dialogue Options de contrôle en amont (profil incorporé ou profil de travail). 4 Dans la section Inclure, déterminez les éléments à inclure dans la liste d’erreurs. Calques Indiquez si les éléments figurant sur tous les calques, les calques visibles ou les calques visibles et

imprimables doivent être inclus dans le contrôle en amont. Par exemple, si un élément se trouve sur un calque masqué, vous pouvez décider de ne pas afficher les erreurs le concernant.

Objets sur la table de montage Sélectionnez cette option pour afficher les erreurs relatives aux objets placés sur la

Objets non imprimables Sélectionnez cette option pour afficher les erreurs relatives aux objets identifiés comme

non imprimables sur le panneau Options d’objets.

5 Sélectionnez l’option Générer le rapport pour obtenir un fichier texte ou PDF contenant une liste d’erreurs. Le

rapport ainsi obtenu recense toutes les erreurs détectées dans le livre.

6 Cliquez sur l’option Contrôle en amont.

Pour résoudre les erreurs de contrôle en amont dans un livre

Un point rouge s’affiche à droite du nom du document dans le panneau Livre lorsque ce document contient des erreurs de contrôle en amont. 1 Dans le panneau Livre, cliquez deux fois sur le document contenant des erreurs. 2 Utilisez le panneau Contrôle en amont pour vérifier les erreurs détectées dans chacun des documents, puis effectuez

les modifications requises pour les résoudre.

Les éléments de composition tels que les styles ou les nuances peuvent être à l’origine d’erreurs. Dans ce cas, veillez à résoudre les erreurs au niveau des styles ou des nuances dans le document de source des styles, puis synchronisez le livre. Si vous avez défini un profil autre que celui incorporé dans le document pour le contrôle en amont du livre, pensez que le profil sélectionné à la prochaine ouverture du document peut être différent et entraîner la détection d’erreurs de contrôle en amont différentes.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

InDesign effectue un contrôle en amont à jour. La boîte de dialogue Inventaire d’assemblage indique les éléments au niveau desquels un problème a été détecté. Vous pouvez également envoyer à votre prestataire de services un fichier PDF composite créé à partir de votre document ou d’un fichier PostScript. 1 Pour ouvrir la boîte de dialogue Assemblage, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez Fichier > Assemblage. Si la commande Assemblage ne figure pas dans le menu Fichier, essayez de choisir un autre espace de travail, par le biais de la commande Fenêtre > Espace de travail > Avancé, par exemple.

• Dans le menu du panneau Livre, choisissez Assemblage > Livre ou Assemblage > Documents sélectionnés en fonction du nombre de documents sélectionnés dans le panneau Livre.

Une icône d’alerte

indique les zones présentant un problème.

2 Dans la boîte de dialogue Inventaire d’assemblage, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Si des erreurs sont signalées, cliquez sur l’option Annuler, puis utilisez le panneau Contrôle en amont pour les résoudre.

• Cliquez sur l’erreur (Polices, par exemple), puis corrigez-la. Une fois que vous êtes satisfait du document obtenu, relancez l’assemblage.

• Cliquez sur l’option Assemblage pour relancer l’opération.

3 Complétez les instructions d’impression. Le nom du rapport qui accompagne tous les autres fichiers assemblés

correspond au nom du fichier saisi.

4 Cliquez sur Continuer, puis spécifiez un emplacement d’enregistrement pour l’ensemble des fichiers d’assemblage. 5 Si nécessaire, sélectionnez les options suivantes : Copier les polices Copie tous les fichiers de polices nécessaires et non l’ensemble des caractères. Copier les graphiques liés Copie les fichiers graphiques liés à l’emplacement du dossier de l’assemblage. Actualiser les liens graphiques dans l’assemblage Modifie les liens graphiques à l’emplacement du dossier de

Utiliser seulement les exceptions de césure du document Si cette option est sélectionnée, InDesign marque ce document afin que son contenu ne soit pas redistribué lorsqu’un autre utilisateur l’ouvre ou le modifie sur un ordinateur configuré avec des paramètres de césure et de dictionnaire différents. Vous pouvez activer cette option lorsque vous envoyez le fichier à un prestataire de services. Inclure les polices et les liens du contenu masqué et non imprimable Assemble les objets situés sur les calques masqués, sur les conditions masquées et sur les calques pour lesquels l’option Imprimer le calque est désactivée. Lorsque cette option n’est pas activée, l’assemblage inclut uniquement le contenu visible et imprimable du document lors de la création de l’assemblage. Afficher le rapport Ouvre le rapport d’instructions d’impression dans un éditeur de texte immédiatement après

l’assemblage. Pour modifier les instructions d’impression avant de terminer l’assemblage, cliquez sur le bouton

Instructions. 6 Cliquez sur Assemblage pour continuer l’assemblage.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

La zone Polices de la boîte de dialogue Inventaire de l’assemblage recense toutes les polices utilisées dans le document, y compris les polices appliquées au texte en excès ou au texte de la table de montage, ainsi que les polices incorporées dans les fichiers EPS, les fichiers Adobe Illustrator natifs et les pages PDF importées. Elle indique les polices installées et disponibles sur l’ordinateur. Choisissez Afficher les problèmes seulement pour afficher uniquement les polices entrant dans les catégories suivantes : Polices manquantes Recense les polices utilisées dans le document mais qui ne sont ni installées sur l’ordinateur actuel ni disponibles en tant que polices de document installées. Polices incomplètes Recense les polices affichables à l’écran par l’ordinateur, mais non prises en charge par

Polices protégées Recense les polices qui ne peuvent être ni incorporées aux fichiers PDF ou EPS ni utilisées en tant que polices de document installées en raison de restrictions de licence. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes : • Cliquez sur Rechercher la police dans la zone Polices de la boîte de dialogue Contrôle en amont, puis recherchez, affichez et remplacez les polices utilisées dans votre document. Vérifiez que les polices utilisées dans le document sont accompagnées d’une licence, installées et activées, sur l’ordinateur ou sur le périphérique de sortie.

« Polices de document installées » à la page 268

Réparation de liens et d’images

La zone Liens et images de la boîte de dialogue Inventaire de l’assemblage affiche tous les liens, les images incorporées et les fichiers InDesign du document, y compris les liens DCS et OPI des images EPS liées. La synthèse de contrôle en amont ne considère pas les images incorporées dans les fichiers graphiques EPS et InDesign importés comme des liens. L’utilitaire de contrôle en amont indique les liens manquants ou obsolètes ainsi que les images RVB dont les couleurs ne sont pas bien séparées à moins que la gestion des couleurs soit activée et configurée correctement. Remarque : la boîte de dialogue Inventaire de l’assemblage ne permet pas la détection des images RVB incorporées dans les fichiers EPS, Adobe Illustrator, Adobe PDF, FreeHand et .INDD importés. Pour éviter les surprises, vérifiez les données couleur des graphiques importés au moyen du panneau Contrôle en amont ou dans leur application d’origine. 1 Pour afficher uniquement les images présentant un problème, sélectionnez Afficher les problèmes seulement dans

la zone Liens et images de la boîte de dialogue Inventaire de l’assemblage.

2 Pour réparer un lien, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Sélectionnez l’image présentant un problème et cliquez sur Mettre à jour ou Rééditer le lien.

• Cliquez sur Tout réparer. 3 Sélectionnez les fichiers d’image et cliquez sur Ouvrir.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez également exporter une page ou une planche d’un document vers un fichier EPS (Encapsulated PostScript) et l’importer dans d’autres applications.

Choix de la méthode de création d’un fichier PostScript

Enregistrez le livre ou le document InDesign dans l’un des trois formats de fichiers PostScript suivants : indépendant du périphérique, dépendant du périphérique ou dépendant du périphérique et du pilote. Les tableaux suivants recensent les pilotes d’impression et les méthodes de sortie recommandés pour optimiser les résultats avec des applications de post-traitement et avec InDesign. Si, avant une impression RIP, votre document doit être traité par un serveur OPI, par imposition, par recouvrement ou par une autre application de prépresse, choisissez Fichier PostScript® dans le menu Imprimante de la boîte de dialogue Imprimer d’InDesign. InDesign garde le contrôle total de la sortie DSC. Pour une impression de bureau, utilisez un pilote d’imprimante PostScript pris en charge. Dans les tableaux, les astérisques indiquent le degré de pertinence de chaque méthode pour les travaux de prépresse : *** Le fichier PostScript est entièrement conforme aux normes DCS et tout à fait adapté à une utilisation avec un

grand nombre d’applications post-traitement, de RIP et de flux de production. Cette méthode constitue le choix optimal pour les applications qui utilisent beaucoup les normes DCS.

** Le fichier PostScript est généralement conforme aux normes DCS et adapté à une utilisation avec un grand nombre

d’applications post-traitement, de RIP et de flux de production. Certains types d’applications qui utilisent beaucoup les normes DCS peuvent faire l’objet de problèmes de compatibilité.

Choix de l’imprimante : fichier PostScript® Système d’exploitation • Il est dépendant du pilote. Le fichier PostScript contient un code généré par InDesign et le pilote. Le code InDesign est à l’origine du contenu de la page, notamment du téléchargement des polices, et il définit certaines informations relatives au périphérique, telles que le format du support, la résolution et le tramage. Le pilote définit ses propres fonctionnalités spécifiques, telles que les filigranes, et il active ou contrôle les fonctionnalités spécifiques du périphérique. Etant donné qu’InDesign ne contrôle pas totalement la création de fichiers PostScript, le niveau de conformité avec les normes DSC n’est pas aussi élevé qu’avec des fichiers PostScript indépendants du pilote. Le niveau de conformité avec les normes DSC et par conséquent l’adéquation du fichier PostScript aux tâches de prépresse dépendent du pilote d’impression utilisé.

• Il est dépendant du périphérique. Il contient un code d’activation et de contrôle des fonctionnalités spécifiques du périphérique, ce qui réduit sa compatibilité avec des périphériques autres que le périphérique cible.

• Il peut être composite ou séparé (toutes les méthodes de sortie en couleurs prises en charge par InDesign sont disponibles).

• InDesign peut procéder au recouvrement (par le biais du recouvrement Adobe In-RIP ou Intégré à l’application).

• Il peut s’imprimer directement sur le périphérique ou le fichier. Un fichier PostScript dépendant du périphérique et du pilote est adapté à l’épreuvage (par le concepteur) sur des imprimantes PostScript de bureau. Les prestataires de services peuvent également l’utiliser s’ils n’envisagent pas d’effectuer un travail de prépresse sans InDesign ou un système RIP. En d’autres termes, le recouvrement doit s’effectuer dans InDesign ou au niveau du RIP.

« Choix de la méthode de création d’un fichier PostScript » à la page 686 « Configuration d’une imprimante » à la page 664

Création d’un fichier PostScript indépendant du périphérique

Sélectionnez Fichier PostScript dans le menu Imprimante, puis sélectionnez Indépendant du périphérique dans le menu PPD. Un fichier PostScript indépendant du périphérique présente les caractéristiques suivantes :

• Il répond totalement aux normes DSC et il est donc idéal pour la réalisation de tâches de post-traitement comme le recouvrement et l’imposition.

• Toutes les dépendances aux pilotes et aux périphériques sont supprimées de sorte que le fichier s’imprime sur quasiment tous les périphériques de sortie. Cependant, certaines fonctionnalités d’impression spécifiques de fichiers PPD, comme l’exposition de l’image, la disponibilité de certains formats de supports et les linéatures optimisées, ne sont pas disponibles dans le cas d’une sortie indépendante du périphérique.

• La sortie en couleurs est toujours une sortie CMJN composite mais présente également des tons directs. Ses couleurs doivent donc être séparées par un logiciel de post-traitement ou au niveau du RIP au moyen d’une séparation In-RIP.

• Le recouvrement par InDesign est impossible : celui-ci doit avoir lieu au niveau du RIP ou du logiciel de posttraitement.

• L’impression peut uniquement s’effectuer vers un fichier (et non directement vers un périphérique ou une application) depuis InDesign.

4 Affichez ou modifiez les paramètres d’impression. InDesign utilise le groupe de pages actif lors de la création du

5 Cliquez sur Enregistrer. 6 Spécifiez un nom et un emplacement, puis cliquez sur Enregistrer.

Création d’un fichier PostScript dépendant du périphérique dans InDesign

Sélectionnez Fichier PostScript dans le menu Imprimante, puis sélectionnez un fichier PPD. Un fichier PostScript dépendant du périphérique présente les caractéristiques suivantes :

• Il répond totalement aux normes DSC et il est donc idéal pour la réalisation de tâches de post-traitement comme le recouvrement et l’imposition.

• Il contient une description intégrale du document, y compris des informations relatives aux fichiers liés, aux linéatures optimisées, à la résolution et aux formats de supports disponibles adaptés au périphérique de sortie actuellement sélectionné.

• Toutes les dépendances au pilote sont supprimées.

• Il peut être composite ou séparé. Toutes les méthodes de sortie en couleurs prises en charge par InDesign sont disponibles (y compris les séparations In-RIP dans la mesure où le PPD et le périphérique de sortie les prennent en charge).

• InDesign peut procéder au recouvrement (par le biais du recouvrement Adobe In-RIP ou Intégré à l’application).

• L’impression peut uniquement s’effectuer vers un fichier (et non directement vers un périphérique ou une application) depuis InDesign. Un fichier PostScript dépendant du périphérique est adapté aux processus de préséparation et de recouvrement durant lesquels les fichiers subissent un recouvrement à l’aide des fonctions automatiques ou de recouvrement Adobe In-RIP d’InDesign. 1 Choisissez Fichier > Imprimer. 2 Dans la boîte de dialogue d’impression, dans Imprimante, choisissez Fichier PostScript. 3 Choisissez le PPD du périphérique de sortie final. 4 Affichez ou modifiez les paramètres d’impression. InDesign utilise le groupe de pages actif lors de la création du

5 Cliquez sur Enregistrer. 6 Spécifiez un nom et un emplacement, puis cliquez sur Enregistrer.

Création d’un fichier PostScript à l’aide d’un pilote d’impression PostScript

(Windows) 4 Cliquez sur l’onglet de mise en page, puis sur le bouton Avancé. 5 Choisissez la commande Options du document > Options PostScript > Optimiser la portabilité dans le menu des

options de sortie PostScript. Cliquez sur OK.

6 Cliquez sur OK ou Imprimer pour revenir à la boîte de dialogue Imprimer d’InDesign. 7 Dans la boîte de dialogue Imprimer d’InDesign, cliquez sur Imprimer. 8 Spécifiez un nom et un emplacement, puis cliquez sur Enregistrer.

Création d’un fichier PostScript à l’aide d’un pilote d’impression PostScript

(Mac OS) Exportation des pages au format EPS Utilisez la commande d’exportation pour exporter des pages InDesign au format EPS, que vous pouvez ensuite importer vers un autre programme. Si vous exportez plusieurs pages, chacune d’elle est exportée en tant que fichier séparé avec un numéro ajouté à la fin du nom du fichier. Par exemple, si vous exportez les pages 3, 6 et 12, puis spécifiez que le nom du fichier est News.eps, InDesign va créer trois fichiers nommés News_3.eps, News_6.eps et News_12.eps. Pour ouvrir des pages InDesign dans Illustrator ou Adobe Photoshop, exportez les pages au format PDF ou EPS. 1 Choisissez Fichier > Exporter. 2 Spécifiez un emplacement et un nom de fichier. Vérifiez que vous avez bien inclus l’extension .eps. 3 Dans la zone Type (Windows) ou Format (Mac OS) de la boîte de dialogue Enregistrer sous, choisissez

l’option EPS, puis cliquez sur le bouton Enregistrer.

4 Dans la zone Pages de la boîte de dialogue Exportation EPS, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Sélectionnez Toutes les pages pour exporter toutes les pages du document.

• Sélectionnez Pages et saisissez un groupe de pages. Entrez un groupe de pages en utilisant un tiret, et séparez les pages ou les groupes de pages par des virgules.

• Sélectionnez Planches pour exporter des pages en vis-à-vis en tant que fichier EPS unique (une planche par fichier EPS).

5 Définissez d’autres options. 6 Dans la zone Fond perdu, entrez une valeur comprise entre 0 p0 et 36 p0 pour spécifier l’espacement

supplémentaire des images positionnées au-delà du bord de la page ou de la zone de coupe.

7 Cliquez sur Exporter.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

« Présentation du gestionnaire d’encres » à la page 706

Options d’exportation EPS Lorsque vous exportez au format EPS, vous pouvez spécifier les options suivantes :

PostScript® Spécifie le niveau de compatibilité avec les interprètes de périphériques de sortie PostScript. Niveau 2

permet souvent d’optimiser la rapidité d’impression et la qualité de sortie des images imprimées uniquement sur des périphériques de sortie PostScript Niveau 2 ou ultérieur. Niveau 3 fournit une vitesse et une qualité de sortie optimales mais requiert un périphérique PostScript 3.

Couleur Spécifie la représentation des couleurs dans les fichiers exportés. Les options ci-dessous sont similaires aux paramètres Couleur de la boîte de dialogue Imprimer.

• Ne pas modifier Conserve pour chaque image l’espace colorimétrique d’origine. Par exemple, si le document contient trois images RVB et quatre images CMJN, le fichier EPS obtenu contient les mêmes images RVB et CMJN.

• CMJN Crée un fichier séparable en représentant toutes les couleurs à l’aide de la gamme d’encres de couleurs quadri cyan, magenta, jaune et noire.

• Gris Convertit toutes les valeurs colorimétriques en images noir et blanc de haute qualité. Les niveaux de gris

(tons) des objets convertis représentent la luminosité des objets d’origine. • RVB Représente toutes les couleurs en utilisant le rouge, le vert et le bleu. Un fichier EPS avec une définition de couleurs RVB convient mieux à un affichage écran. • Gestion des couleurs PostScript® Utilise les données chromatiques du document dans une version étalonnée de leur espace colorimétrique d’origine. Aperçu Détermine les caractéristiques de l’image d’aperçu enregistrée dans le fichier. Cette image apparaît dans les

applications ne pouvant pas afficher les illustrations EPS directement. Si vous ne souhaitez pas créer une image d’aperçu, choisissez Aucun dans le menu Aperçu.

Incorporer les polices Spécifie la manière dont les polices utilisées dans les pages exportées doivent être incorporées.

• Aucune Inclut une référence à la police dans le fichier PostScript indiquant au processeur RIP ou au processeur de post-traitement l’emplacement de la police.

• Complet Télécharge toutes les polices nécessaires au document au début du travail d’impression. Tous les glyphes et caractères d’une police sont téléchargés même s’ils n’apparaissent pas dans le document. InDesign organise automatiquement en jeux partiels les polices contenant plus de glyphes (caractères) que le nombre maximum spécifié dans la boîte de dialogue Préférences. • Jeu partiel Télécharge uniquement les caractères (glyphes) utilisés dans le document. Format des données Spécifie le mode d’envoi des données d’image de votre ordinateur à une imprimante : sous forme de données ASCII ou binaires. Images Spécifie la quantité de données d’image des images bitmap importées à incorporer dans le fichier exporté.

• Toutes Inclut toutes les données d’image haute résolution disponibles dans le fichier exporté et utilise un espace important sur le disque. Choisissez cette option si le fichier est destiné à une impression sur un périphérique de sortie haute résolution.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

haute résolution au moment de la sortie. Ignorer pour OPI Ignore, de manière sélective, des images importées lors de l’envoi de données d’image vers une imprimante ou un fichier, laissant ensuite un serveur OPI se charger des liens (commentaires) OPI. Aplatissement des transparences Sélectionnez un aplatissement prédéfini dans le menu Impression prédéfinie pour

spécifier l’apparence des objets transparents dans le fichier exporté. Cette option est la même que l’option

Aplatissement des transparences qui s’affiche dans la zone Avancé de la boîte de dialogue Imprimer. Gestionnaire d’encres Corrige les options d’encre sans modifier la conception du document.

Impression de cahiers

Imposition d’un document pour l’impression de livrets La fonction Imprimer le cahier vous permet de créer des planches d’imprimante destinées à une impression professionnelle. Ainsi, si vous éditez une brochure de 8 pages, les pages apparaissent en ordre séquentiel dans la fenêtre de mise en page. Toutefois, sur des planches d’imprimante, la page 2 peut se trouver à côté de la page 7 pour que, une fois le document imprimé, plié et assemblé, les pages se trouvent dans le bon ordre.

Remarque : il n’est pas possible de créer un document, ni un fichier PDF, à partir des pages imposées. De plus, si le document comporte des pages de différents formats, vous ne pouvez pas utiliser l’option Imprimer le cahier pour procéder

à son imposition. 1 Choisissez Fichier > Imprimer le cahier. 2 Si les paramètres prédéfinis d’impression vous conviennent, choisissez-les dans le menu Impression prédéfinie.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

les pages à inclure dans l’imposition. Séparez les pages consécutives par un tiret et les pages non consécutives par des virgules. Par exemple, si vous saisissez 3-7, 16, les pages 3 à 7 et 16 sont imposées. Remarque : si vous avez divisé le document en sections, entrez les numéros des pages de la section (par exemple Sec2:11) dans la zone Groupe. 4 Pour modifier des paramètres tels que les repères de l’imprimante et la sortie couleur, cliquez sur Paramètres

d’impression. A l’aide des options proposées à gauche, modifiez les paramètres, puis cliquez sur OK.

5 Dans la boîte de dialogue Imprimer le cahier, définissez si besoin d’autres options de paramétrage de livret, puis

cliquez sur Imprimer.

Vous pouvez choisir parmi trois types d’imposition : 2-haut piqûre à cheval, 2-haut reliure sans couture et Consécutif. 2-haut piqûre à cheval Crée des planches d’imprimante (deux pages côte-à-côte). Ce type de planche peut être utilisé

pour l’impression en recto-verso, l’assemblage de pages, le pliage et l’agrafage. InDesign ajoute des planches blanches si nécessaire à la fin du document fini. Les options Espace entre les pages, Fond perdu entre les pages et Format de signature sont grisées lorsque l’option 2-haut piqûre à cheval est activée.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Espace entre les pages Spécifie l’espace entre les pages (entre le côté droit de la page de gauche et le côté gauche de la

page de droite). Vous pouvez définir une valeur d’espace entre les pages pour tous les types de cahier à l’exception du type Piqûre à cheval.

Pour les documents à reliure sans couture, si vous définissez une compensation (avec une valeur négative), l’espace minimal entre les pages correspond à la valeur de la compensation. Si vous créez des signatures manuellement (par exemple s’il y a différents stocks dans le même document), vous pouvez entrer une valeur d’espace entre les pages pour spécifier une compensation de départ pour les planches avec différentes signatures. Fond perdu entre les pages Spécifie l’espace utilisé pour permettre aux éléments de la page d’empiéter sur l’espace dans les planches à reliure sans couture. Cette option est parfois appelée croisement. Ce champ accepte des valeurs comprises entre 0 et la moitié de la valeur d’espace entre les pages. Vous pouvez définir cette option uniquement lorsque le type 2-haut reliure sans couture est sélectionné. Compensation Spécifie l’espace nécessaire pour prendre en charge l’épaisseur du papier et le pliage sur chaque signature. La plupart du temps, vous devrez spécifier une valeur négative pour créer un effet de décalage vers l’avant. Vous pouvez définir une valeur de compensation pour les types de cahier 2-haut piqûre à cheval et 2-haut reliure sans couture (voir la section « Utilisation de la compensation » à la page 695). Format de signature Spécifie le nombre de pages de chaque signature des documents 2-haut reliure sans couture. Si le nombre de pages à imposer n’est pas divisible par la valeur du format de la signature, des pages blanches sont ajoutées à la fin du document. Ajuster automatiquement aux repères et fonds perdus InDesign calcule la valeur des marges de manière à prendre en

charge le fond perdu et les autres options de repères d’imprimante définies. Les champs situés sous Marges sont grisés lorsque cette option est activée, mais ils reprennent les valeurs qui seront utilisées pour prendre en charge les repères et fons perdus. Si vous désactivez cette option, vous pouvez ajuster manuellement les valeurs des marges.

Marges Spécifie l’espace laissé autour de la planche d’imprimante après rognage. Pour définir des valeurs individuelles pour les marges du haut, du bas, de gauche ou de droite, désactivez l’option Ajuster automatiquement aux repères et fonds perdus, puis augmentez les valeurs pour inclure de l’espace supplémentaire au-delà des repères et fonds perdus par défaut (le fait de réduire ces valeurs peut rogner les repères et fonds perdus). Vous pouvez définir des valeurs de marges pour tous les types d’impression de cahier. Imprimer les planches blanches Si le nombre de pages à imposer n’est pas divisible par la valeur du format de la signature, des pages ou planches blanches sont ajoutées à la fin du document. Cette option vous permet de choisir

Dernière mise à jour le 18/5/2011

L’option Compensation spécifie la distance dont les pages s’écartent de la reliure afin de prendre en compte l’épaisseur du papier et le pliage pour les documents à piqûre à cheval et à reliure sans couture. InDesign considère la couverture du document final comme la planche extérieure, alors que les pages centrales sont considérées comme planche du milieu. Le terme feuille représente deux planches : le recto et le verso de la feuille. L’incrément de compensation est calculé en divisant la valeur de la compensation spécifiée par le nombre total de feuilles, moins une. Par exemple, un document InDesign de 16 pages peut compter huit planches, ou quatre feuilles. Le recto de la première feuille constituera la première planche (pages 16 et 1), tandis que le verso contiendra la seconde planche (pages 2 et 15). Si dans cet exemple la valeur de compensation est de 24 points (valeur exagérée par souci de clarté), l’incrément de compensation sera de 8 points par feuille (24 divisé par 3). La compensation appliquée à la feuille interne sera de 24 points, la compensation appliquée à la troisième feuille sera de 16 points et la compensation appliquée à la deuxième feuille sera de 8 points. Aucune compensation ne sera appliquée à la première feuille externe. Pour chaque feuille successive, la compensation sera diminuée de l’incrément de compensation. Pour résumer, chaque page de la feuille intérieure est déplacée de 12 points (la moitié de la valeur de compensation de 24 points pour cette feuille) par rapport à la reliure, chaque page de la troisième feuille est déplacée de 8 points (la moitié de la valeur de compensation de 16 points de cette feuille) par rapport à la reliure, et chaque page de la deuxième feuille est déplacée de 4 points (la moitié de la valeur de compensation de 8 points pour cette feuille) par rapport à la reliure.

Aperçu ou affichage d’une synthèse d’impression de cahier

La zone Aperçu de la boîte de dialogue Imprimer le cahier permet d’afficher des vignettes en couleurs des planches créées par le style d’imposition choisi. Vous pouvez consulter également les repères d’impression que vous avez définis dans la boîte de dialogue d’impression. 1 Choisissez Fichier > Imprimer le cahier. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Cliquez sur Aperçu dans la partie gauche de la boîte de dialogue. Pour faire défiler les planches, cliquez sur les flèches de défilement. Cliquez sur la flèche de défilement vers la gauche pour réafficher les planches précédentes.

Vous pouvez également faire glisser la boîte de défilement pour changer les planches.

• Cliquez sur Synthèse dans la partie gauche de la boîte de dialogue Imprimer le cahier pour consulter un résumé des paramètres du livret actuel. Les informations sur des conflits éventuels entre des paramètres s’affichent au bas de la zone Synthèse.

Si vous cliquez sur Paramètres d’impression et que vous modifiez les paramètres dans la boîte de dialogue d’impression, vous pouvez observer l’effet des modifications dans la zone d’aperçu.

Résolution des problèmes d’impression de cahiers

Vous serez peut-être confronté aux problèmes suivants lors de l’impression de cahiers. Impossible de créer un document Malheureusement, il est impossible de créer un nouveau document InDesign avec

les pages imposées. Vous pouvez imprimer le document imposé ou créer un document au format PDF.

Les pages blanches ne sont pas incluses Vous pouvez ajouter des pages blanches au milieu d’un document pour vous assurer qu’il y aura assez de pages pour chaque planche. Néanmoins, si ces pages ne contiennent ni texte ni objets, il

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour reproduire une image en couleurs ou à tons continus, les imprimeurs séparent les couleurs de cette image en quatre [cyan (C), magenta (M), jaune (J) et noir (N)], sur quatre plaques différentes. Après application des encres de couleur et impression en repérage, les couleurs obtenues reproduisent fidèlement l’illustration originale. Le processus de décomposition d’une image en deux ou plusieurs couleurs s’appelle séparation des couleurs et on appelle séparations les films créés à partir des plaques.

Composite (à gauche) et séparations (à droite)

Flux de production de séparations

Adobe InDesign CS4 propose deux flux de production PostScript standard pour les séparations de couleurs : dans le premier, elles sont effectuées sur l’ordinateur hôte (à l’aide d’InDesign et du pilote d’imprimante) et dans le second, depuis le processeur d’images pixellisées ou processeur RIP (raster image processor) du périphérique de sortie. Il existe également un flux de production PDF. Séparations basées sur un ordinateur hôte Pour ce type de flux de production préséparé traditionnel, InDesign crée

des informations PostScript pour chacune des séparations du document et les envoie au périphérique de sortie.

Séparations In-RIP Dans un flux de production reposant sur un processeur RIP PostScript, des processeurs RIP de

nouvelle génération effectuent, indépendamment de l’ordinateur hôte, les séparations de couleurs, le recouvrement et même la gestion des couleurs au niveau du RIP. InDesign génère alors le fichier plus rapidement et réduit la quantité de données à transmettre dans le cadre d’une impression. Par exemple, au lieu d’envoyer des informations PostScript pour l’impression de quatre pages ou plus avec des séparations de couleurs basées sur l’ordinateur hôte, InDesign envoie les informations PostScript d’un seul fichier PostScript composite pour un traitement RIP.

Pour consulter un didacticiel vidéo sur la préparation des fichiers pour leur sortie, rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/vid0089_fr. Pour consulter un guide d’impression à l’intention des prestataires de services prépresse (PDF), rendez-vous à l’adresse www.adobe.com/go/learn_id_prepress_wp_fr.

« Impression ou enregistrement des séparations » à la page 711 « Exportation au format PDF pour l’impression » à la page 548 Vidéo Préparation des fichiers pour la sortie

Dernière mise à jour le 18/5/2011

2 Définissez les options de surimpression. 3 Créez des instructions de recouvrement pour compenser toute erreur de mise en registre sur la presse. 4 Effectuez un aperçu des séparations des couleurs à l’écran.

Remarque : pour la séparation des couleurs, les étapes 1 à 4 sont recommandées, mais pas obligatoires.

5 Choisissez Fichier > Imprimer pour afficher la boîte de dialogue d’impression. 6 Si vous avez créé un style d’impression prédéfini avec les paramètres de séparation appropriés, sélectionnez-le dans

le menu Impression prédéfinie, en haut de la boîte de dialogue Imprimer.

7 Dans le menu Imprimante, choisissez une imprimante ou un fichier PostScript. 8 Pour une impression PostScript, choisissez le fichier PPD du périphérique de sortie des séparations. 9 Pour afficher ou modifier les options d’impression actives, cliquez sur un nom de section, dans la partie gauche de

la boîte de dialogue Imprimer.

10 Avant de livrer votre document à un prestataire de services, vérifiez les séparations. 11 Imprimez ou enregistrez les séparations.

« A propos de la surimpression » à la page 702 « Aperçu des séparations de couleurs » à la page 700 « Vérification de la séparation des couleurs » à la page 711 « Impression ou enregistrement des séparations » à la page 711

Impression des tons directs

Il est possible de remplacer ou de compléter des couleurs quadri par des teintes personnalisées appelées tons directs. Par exemple, pour reproduire une illustration contenant du texte noir et des dessins au trait utilisant un vert particulier, deux tons directs suffisent : le noir et un ton correspondant au vert souhaité. En outre, les encres de tons directs sont utilisées pour obtenir des couleurs qui ne sont pas reproductibles avec les encres CMJN, notamment des vernis ou des couleurs fluorescentes et métalliques. Vous pouvez également obtenir des encres mélangées en combinant plusieurs tons directs ou des tons directs avec des couleurs quadri. Vous pouvez colorer une illustration avec des couleurs quadri, des tons directs ou une combinaison des deux. Lors de l’impression des séparations, vous pouvez convertir les tons directs en leurs équivalents quadri de sorte qu’ils s’impriment sur des plaques CMJN.

« Séparation des tons directs en tant que couleurs quadri » à la page 707 « Mélange des encres » à la page 529

Affichage des équivalents quadri d’un ton direct

1 Dans le panneau Nuancier, sélectionnez un ton direct. 2 Dans le menu du panneau Couleur, choisissez CMJN.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez également placer le pointeur sur le ton direct dans le panneau Nuancier. La formule de la couleur apparaît dans l’info-bulle.

Impression d’un objet sur toutes les plaques de couleur

Pour imprimer un objet sur toutes les plaques, y compris sur des plaques de tons directs, appliquez une couleur de repérage à l’objet. La couleur de repérage s’utilise pour les repères de cadrage et de coupe. Dans le cas d’une sortie composite, les objets auxquels une couleur de repérage a été appliquée s’impriment sous la forme suivante : C 100, M 100, J 100 et N 100. Dans le cas de séparations, chaque plaque présente une valeur de 100 %. 1 Sélectionnez les objets auxquels vous souhaitez appliquer la couleur de repérage. 2 Choisissez Fenêtre > Nuancier. 3 Dans le panneau Nuancier, cliquez sur la couleur de repérage

• La séparation des couleurs d’un dégradé créé dans InDesign et contenant une association de couleurs quadri et de tons directs est effectuée à l’aide d’une plaque de couleurs quadri et d’une plaque de tons directs.

• La séparation d’un dégradé présentant des couleurs quadri s’effectue sur différentes plaques de couleurs quadri.

• Dans le cas d’un dégradé contenant deux teintes d’un même ton direct, la séparation se fait sur une seule plaque de tons directs.

• Pour obtenir un dégradé séparé sur un seul film entre un ton direct et du blanc, créez un fond de dégradé se situant entre le ton direct et la nuance Papier du panneau Nuancier.

• Si vous créez un dégradé de deux tons directs, affectez-leur différents angles de trames. Si deux tons directs présentent le même angle de trame, ils se superposent, provoquant une surimpression. Si vous n’êtes pas sûr des angles, consultez votre prestataire de services prépresse.

« A propos de la linéature des trames de demi-teintes » à la page 708

Lorsque vous imprimez un fichier composite dans InDesign, toutes les couleurs du fichier sont imprimées sur une seule plaque, même si des couleurs individuelles sont sélectionnées.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

étalonnés, le système de gestion des couleurs peut être exploité pour obtenir des couleurs fiables et homogènes.

• Les options de surimpression sélectionnées dans le document s’impriment correctement sur une imprimante prenant en charge la surimpression. Etant donné que la plupart des imprimantes de bureau ne prennent pas en charge la surimpression, simulez les effets de surimpression en sélectionnant l’option Simuler la surimpression du volet Sortie de la boîte de dialogue Imprimer.

Important : sélectionnez l’option Simuler la surimpression pour convertir les tons directs en couleurs quadri pour l’impression. Si vous envisagez d’utiliser un fichier pour des séparations RIP ou pour une sortie finale, ne sélectionnez pas cette option.

• Lors de l’impression sur une imprimante en noir et blanc, InDesign génère une version composite des pages en niveaux de gris. S’il s’agit d’un document en couleur, InDesign imprime les gris visuellement équivalents afin de simuler une couleur. Par exemple, le gris utilisé pour simuler une teinte avec 20 % de jaune sera plus clair que le gris utilisé pour simuler une teinte avec 20 % de noir, car le jaune apparaît plus clair que le noir.

• Lorsque vous imprimez les chapitres d’un livre contenant des encres de tons directs ou des styles de recouvrement en conflit, configurez InDesign de façon à harmoniser les paramètres avec le document type.

• Si vous utilisez la gestion des couleurs avec la fonction Livre, vérifiez que les paramètres de gestion des couleurs de la boîte de dialogue Couleurs sont les mêmes pour chaque document du livre.

Remarque : n’oubliez pas que, tout comme pour les moniteurs, la qualité de reproduction des couleurs varie sensiblement d’une imprimante à l’autre ; les épreuves fournies par votre prestataire de services sont la meilleure façon de vérifier l’aspect final de votre travail.

« Amélioration de l’impression des dégradés de couleurs » à la page 677 « Synchronisation des documents d’un livre » à la page 342 « Utilisation de la gestion des couleurs lors de l’impression » à la page 673

Aperçu des séparations de couleurs

Pour obtenir un aperçu des séparations de couleurs, des limites de couverture d’encre et de la surimpression, utilisez le panneau Aperçu des séparations. L’affichage de l’aperçu des séparations sur votre moniteur vous permet de procéder aux vérifications suivantes : Vernis et autres pellicules L’affichage de l’aperçu des vernis à l’écran peut se révéler difficile dans la mesure où ils sont

transparents. Lorsque vous affichez de façon isolée un aperçu de la séparation d’un vernis, les zones vernies apparaissent en noir.

Noir riche L’aperçu des séparations vous permet d’identifier les zones qui s’imprimeront en noir riche ou en encre

noire quadri (N) mélangée à des encres de couleur pour une plus grande opacité et une meilleure intensité des couleurs.

Couverture d’encre Une trop grande quantité d’encre déposée sur le papier risque de poser des problèmes de séchage.

Vérifiez auprès de votre imprimeur la couverture d’encre maximale de la presse qui sera utilisée. Vous pourrez ainsi identifier sur l’aperçu du document les zones où la couverture d’encre dépasse les limites de la presse.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

surimpression sur une impression en séparations des couleurs. Remarque : vous pouvez également voir les effets de surimpression lorsque vous imprimez sur un périphérique d’impression composite. Ceci est utile pour vérifier la séparation des couleurs. Bien que l’aperçu des séparations sur votre moniteur permette d’identifier des problèmes sans subir le coût de l’impression des séparations, il ne vous permet pas de prévisualiser le recouvrement, les options d’émulsion, les repères d’impression, les trames de demi-teinte ou la résolution. Vérifiez ces paramètres auprès de votre imprimeur au moyen d’épreuves par superposition ou intégrales. Remarque : les objets répartis sur des calques masqués n’apparaissent pas dans l’aperçu à l’écran.

« Surimpression d’éléments de page » à la page 703 « Utilisation du panneau Aperçu des séparations » à la page 771 « Séparation des tons directs en tant que couleurs quadri » à la page 707

Aperçu des plaques de séparation

1 Sélectionnez Fenêtre > Sortie > Aperçu des séparations. 2 Choisissez Séparations dans le menu déroulant Affichage. 3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour afficher une seule séparation et masquer toutes les autres, cliquez sur le nom de la séparation à afficher. Par défaut, les zones de couverture apparaissent en noir. Si ce paramètre par défaut ne vous convient pas, désélectionnez l’option Afficher chaque plaque en noir dans le menu du panneau.

• Pour afficher une ou plusieurs séparations, cliquez sur la case vide située à gauche du nom de chaque séparation.

Chacune des séparations apparaît dans la couleur qui lui a été assignée.

• Pour masquer une ou plusieurs séparations, cliquez sur l’icône en forme d’œil

située à gauche du nom de chaque

• Pour afficher simultanément toutes les plaques quadri, cliquez sur l’icône CMJN

dans la case qui apparaît en regard du menu déroulant Affichage (demandez à votre imprimeur la valeur appropriée à spécifier). 3 Vérifiez la couverture d’encre sur l’aperçu du document. Les zones dont la couverture d’encre est excessive sont

représentées dans les tons rouge (les zones rouge foncé dépassant davantage la limite de couverture d’encre que les zones rouge clair). Toutes les autres zones apparaissent en niveaux de gris.

Les zones de couverture d’encre excessive sont représentées en rouge.

4 Pour vérifier la couverture d’encre d’une zone particulière, survolez-la avec le pointeur dans la fenêtre de

document. Les pourcentages de couverture d’encre apparaissent dans le panneau en regard du nom de l’encre.

Vous pouvez régler la couverture d’encre en convertissant certains tons directs en couleurs quadri. Pour régler la couverture d’encre dans des images importées, modifiez ces images dans leur application source respective.

Rétablissement du mode d’affichage standard

1 Sélectionnez Fenêtre > Sortie > Aperçu des séparations. 2 Choisissez Désactivé dans le menu déroulant Affichage.

A propos de la surimpression Si vous n’avez pas modifié la transparence de l’illustration à partir du panneau Transparence, les fonds et les contours de l’illustration apparaîtront opaques car la couleur de premier plan crée un effet de perçage, c’est-à-dire masque la zone située en dessous. Pour empêcher cet effet, utilisez les options de surimpression du panneau Options d’objet. Définissez ces options, puis prévisualisez les effets de surimpression à l’écran.

Trois cercles superposés sans surimpression (à gauche) comparés à trois cercles superposés en surimpression (à droite)

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Pour votre flux de production, il se peut que vous deviez définir une certaine couleur à surimprimer. Par exemple, vous pouvez imprimer tout le texte de votre publication dans une couleur spécifique. Utilisez les méthodes suivantes :

• Créez un style d’objet qui utilise l’encre de ton direct comme couleur de fond ou de contour avec une couleur de fond ou de contour surimprimée correspondante.

• Créez un calque séparé pour les objets contenant votre ton direct et attribuez-leur la couleur noire.

• Créez un PDF composite et modifiez les paramètres de surimpression dans le PDF. • Définissez des paramètres de surimpression dans votre processeur RIP. • Appliquez des paramètres de surimpression à une image ou un objet avant de l’ajouter à votre bibliothèque, ou modifiez un fichier importé dans son application d’origine.

« Aperçu des séparations de couleurs » à la page 700 « Surimpression d’éléments de page » à la page 703

Utilisation de la surimpression manuelle

Le recouvrement automatique dans InDesign (recouvrement intégré ou recouvrement Adobe In-RIP) permet quasiment de se passer de surimpression manuelle. Cependant, la surimpression manuelle peut être utile dans les rares cas où le recouvrement automatique est impossible. Suivez les indications suivantes pour savoir si vous pouvez utiliser la surimpression :

• Consultez votre prestataire de services prépresse pour savoir si ses périphériques de sortie sont compatibles avec la surimpression manuelle.

• Effectuez une surimpression si l’illustration ne présente pas deux fois la même couleur d’encre et si vous souhaitez créer un recouvrement ou une superposition d’effets d’encres. La couleur de surimpression est ajoutée à la couleur d’arrière-plan s’il s’agit d’une surimpression de mélanges de couleurs quadri ou de couleurs personnalisées ne partageant pas les mêmes couleurs d’encres. Par exemple, si vous imprimez un fond avec 100 % de magenta sur un fond avec 100 % de cyan, les fonds se chevauchant apparaissent en violet et non en magenta.

• Ne faites pas de surimpression si vous utilisez un contour pour un recouvrement de deux couleurs quadri. Spécifiez plutôt une couleur de contour CMJN avec la valeur d’encre correspondante la plus élevée pour chaque couleur d’origine.

• Accordez-vous avec votre prestataire de services sur une méthode de surimpression manuelle et ses conditions d’utilisation, car les options de recouvrement spécifiées dans la boîte de dialogue d’impression s’en trouveront affectées. La surimpression est prise en charge pas la plupart des périphériques PostScript niveau 2 et PostScript 3, mais pas par tous.

Surimpression d’éléments de page

Vous pouvez surimprimer les contours ou les fonds, les filets de paragraphe et les filets situés au-dessus des notes de bas de page. Vous pouvez également simuler la surimpression des tons directs.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

« Notes de bas de page » à la page 204 « Réglage des valeurs de densité neutre des encres » à la page 545

Surimpression d’un contour ou d’un fond

Le panneau Options d’objet permet de surimprimer les fonds et les contours d’un tracé sélectionné. Un fond ou un contour surimprimé n’a pas besoin d’un recouvrement car la surimpression comble toute zone vide entre les couleurs adjacentes. Vous pouvez également surimprimer un contour pour simuler un recouvrement (en surimprimant une couleur déterminée manuellement comme une association correcte de deux couleurs adjacentes). Gardez les instructions suivantes à l’esprit lors d’une surimpression manuelle : • Lorsque vous utilisez un contour pour recouvrir deux tons directs ou un ton direct et une couleur quadri, vous devez en général appliquer la couleur la plus claire au contour et surimprimer celui-ci. Utilisez le panneau Aperçu des séparations pour prévisualiser les couleurs en surimpression. 1 Sélectionnez un ou plusieurs tracés à l’aide de l’outil Sélection

ou Sélection directe , ou bien sélectionnez des caractères de texte à l’aide de l’outil Texte. Pour surimprimer le contour d’un tracé collé dans un bloc, commencez par sélectionner le tracé imbriqué (intérieur) à l’aide de l’outil Sélection directe.

• Pour surimprimer une couleur appliquée aux espaces d’une ligne en pointillé, en traits tiretés ou à dessins, sélectionnez Surimpression de l’espace.

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2 A l’aide de l’outil Texte, cliquez sur un point d’insertion dans un paragraphe. 3 Dans le panneau Paragraphe, choisissez Filets de paragraphe. 4 Dans le menu déroulant en haut de la boîte de dialogue, choisissez le filet de paragraphe à afficher en surimpression. 5 Sélectionnez l’une des options suivantes, puis cliquez sur OK.

• Pour surimprimer le contour du filet, sélectionnez Surimpression du contour.

• Pour surimprimer une couleur appliquée aux espaces d’une ligne en pointillé, en traits tiretés ou à dessins, sélectionnez Surimpression de l’espace. Remarque : vous pouvez enregistrer les options Surimpression du contour ou Surimpression de l’espace de la boîte de dialogue Filets de paragraphe dans un style de paragraphes.

Surimpression des filets situés au-dessus des notes de bas de page

Il est possible de configurer InDesign pour qu’un filet soit automatiquement inséré en vue de séparer les notes de bas de page du corps du document. Vous pouvez décider de surimprimer ce filet. 1 Assurez-vous qu’il existe une nuance pour la couleur de surimpression. 2 Sélectionnez Texte > Options de note de bas de page du document. 3 Activez l’onglet Mise en page de la boîte de dialogue Options de note de bas de page. 4 Sélectionnez Surimpression du contour, puis cliquez sur OK.

Simulation de la surimpression des encres de tons directs

La simulation de la surimpression est utile pour contrôler les effets de surimpression des encres de tons directs avec différentes valeurs de densité neutre (par exemple, rouge et bleu). La simulation de la surimpression dans le cas d’une impression vers un périphérique de sortie composite permet de déterminer si vous souhaitez surimprimer ou masquer la couleur finale. 1 Dans la zone Sortie de la boîte de dialogue Imprimer, choisissez une option composite dans le menu Couleur.

Remarque : il est impossible de simuler la surimpression lorsque l’option Composite (ne pas modifier) est sélectionnée.

2 Sélectionnez Simuler la surimpression.

Modification du paramètre de surimpression du noir

Pour masquer les objets noirs dans InDesign, vous devez empêcher la surimpression de la nuance noire. Contrairement à la plupart des nuances de couleur, qui se masquent automatiquement, la nuance noire se surimprime naturellement, notamment tous les contours, fonds et caractères noirs. Le noir quadri 100 % apparaît avec la mention [Noir] dans le panneau Nuancier. Masquez les objets noirs soit en désélectionnant la surimpression par défaut dans les Préférences, soit en dupliquant la nuance noire par défaut et en appliquant la nuance dupliquée aux objets de couleur masqués. Si vous désactivez le paramètre de surimpression dans la boîte de dialogue Préférences, toutes les occurrences du noir sont alors masquées (les encres sous-jacentes sont supprimées). Il est parfois plus simple et plus économique de laisser l’imprimeur surimprimer le noir quadri sur la presse. 1 Choisissez la commande Edition > Préférences > Aspect du noir (Windows) ou InDesign > Préférences > Aspect

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Le Gestionnaire d’encres permet de gérer les encres pour la sortie. Les modifications effectuées à l’aide du Gestionnaire d’encres affectent la sortie, pas la définition des couleurs dans le document. Les options du Gestionnaire d’encres sont particulièrement pratiques pour les prestataires de services d’impression. Par exemple, si un travail comprend un ton direct, un prestataire de services peut ouvrir le document et convertir ce ton direct en équivalent quadrichromique (CMJN). Lorsqu’un document contient deux tons directs similaires alors qu’il n’en a besoin que d’un seul ou qu’un ton direct porte deux noms différents, un prestataire de services a la possibilité d’attribuer un seul pseudonyme aux deux noms. Dans un flux de production de recouvrement, le Gestionnaire d’encres vous permet de définir la densité d’encre pour contrôler le recouvrement, ainsi que la séquence et le nombre corrects des encres. Remarque : InDesign et Acrobat présentent la même technologie de Gestionnaire d’encres. Cependant, seul InDesign comporte l’option Utilise des valeurs Lab standard pour les tons directs.

A B C Gestionnaire d’encres

1 Dans la zone Sortie de la boîte de dialogue d’impression, sélectionnez Séparations ou Séparations In-RIP si vous

utilisez un fichier PPD prenant en charge les séparations In-RIP.

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour créer une séparation, assurez-vous que l’icône d’imprimante s’affiche en regard du nom de la couleur dans la liste des encres.

• Si vous ne souhaitez pas créer de séparation, cliquez sur l’icône d’imprimante en regard du nom de la couleur.

L’icône de l’imprimante disparaît.

Séparation des tons directs en tant que couleurs quadri

Grâce au Gestionnaire d’encres, vous pouvez convertir les tons directs en couleurs quadrichromiques. Lorsque les tons directs sont convertis en équivalents quadrichromiques, ils sont imprimés en tant que séparations plutôt que sur une plaque unique. La conversion d’un ton direct est utile si vous avez ajouté par inadvertance un ton direct à un document de couleur quadrichromique ou si le document contient trop de tons directs pour l’impression. 1 Dans le Gestionnaire d’encres, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour séparer les tons directs individuels, cliquez sur l’icône de type d’encre en regard du ton direct ou du pseudonyme de ton direct. Une icône de couleur quadrichromique s’affiche. Pour remplacer la couleur quadrichromique par un ton direct, cliquez de nouveau sur l’icône.

• Pour séparer tous les tons directs, cochez la case Quadrichromie. Les icônes en regard des tons directs sont remplacées par les icônes de couleurs quadrichromiques. Pour restaurer les tons directs, désélectionnez l’option Quadrichromie.

Remarque : lorsque l’option Quadrichromie est sélectionnée, tous les pseudonymes d’encre définis dans le Gestionnaire d’encres sont supprimés et les paramètres de surimpression et de recouvrement du document sont modifiés. 2 (InDesign uniquement) Pour utiliser les valeurs Lab d’un ton direct plutôt que les définitions CMJN, sélectionnez

l’option Utiliser des valeurs Lab standard pour les tons directs.

Création d’un pseudonyme d’encre pour un ton direct

Vous pouvez mapper un ton direct à un autre ton direct ou à une autre couleur quadrichromique en créant un pseudonyme. Ce dernier est utile si un document contient deux tons directs similaires alors qu’un seul ton est requis ou si le document contient trop de tons directs. Le mode Aperçu de la surimpression vous permet d’observer les effets (à l’écran) du pseudonyme d’encre sur la sortie imprimée. 1 Dans le Gestionnaire d’encres, sélectionnez l’encre du ton direct pour laquelle vous souhaitez créer un

2 Choisissez une option dans le menu Pseudonyme de l’encre. L’icône de type d’encre et la description de l’encre sont

modifiées en conséquence.

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InDesign pour le traitement des tons directs prédéfinis : Lab ou CMJN. Si la sortie doit correspondre à celles obtenues dans les versions précédentes d’InDesign, utilisez les valeurs CMJN équivalentes. Remarque : lorsque l’option Aperçu de la surimpression est activée, les valeurs Lab sont systématiquement utilisées afin d’améliorer le niveau de précision à l’écran. Les valeurs Lab sont également utilisées en cas d’impression ou d’exportation lorsque l’option Simuler la surimpression est activée dans la boîte de dialogue Imprimer ou Exporter au format Adobe PDF. 1 Choisissez Gestionnaire d’encres dans le menu du panneau Aperçu des séparations. 2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour utiliser les valeurs Lab, sélectionnez Utilise des valeurs Lab standard pour les tons directs.

• Pour utiliser les valeurs CMJN, désélectionnez Utilise des valeurs Lab standard pour les tons directs.

« Présentation du gestionnaire d’encres » à la page 706

A propos de la linéature des trames de demi-teintes

Chez les imprimeurs, les tons continus sont simulés par des points (appelés points de trame) imprimés sur des rangées (nommées lignes ou linéatures). Les lignes sont imprimées selon des angles différents afin d’en atténuer l’effet. Le menu Tramage du panneau Sortie de la boîte de dialogue Impression affiche les linéatures recommandées en lignes par pouce (lpp) et la résolution en points par pouce (ppp), en fonction du fichier PPD sélectionné. Lorsque vous sélectionnez des encres dans la liste, les champs de linéature de trame et d’angle reflètent les valeurs correspondant à l’encre sélectionnée. Une linéature élevée (par exemple, 150 lpp) réunit étroitement les points pour créer une image précise sur la presse ; une linéature faible (de 60 lpp à 85 lpp) espace considérablement les points pour créer une image moins fine. La taille des points est également déterminée par la linéature. Une linéature élevée utilise des points de petite taille ; une linéature faible utilise des points de grande taille. Le facteur le plus important lors du choix de la linéature est le type de presse utilisé pour votre tâche. Demandez à votre prestataire de services la linéature de sa presse et faites vos choix en conséquence.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Spécification de la résolution et de la linéature des trames de demi-teintes ❖ Dans le volet Sortie de la boîte de dialogue Imprimer, choisissez une des options suivantes :

• Pour sélectionner une des linéatures prédéfinies et une résolution d’imprimante associée, choisissez une option du menu Tramage.

• Pour spécifier une linéature personnalisée pour des trames de demi-teintes, sélectionnez la plaque à personnaliser, puis entrez une valeur exprimée en lpp dans la zone Linéature et une valeur d’angle dans la zone Angle.

Remarque : avant de créer vos propres trames de demi-teintes, vérifiez les angles et linéatures recommandées auprès de votre prestataire de services. Sachez que certains périphériques de sortie effacent les angles et linéatures par défaut.

« A propos de la linéature des trames de demi-teintes » à la page 708

A propos de l’émulsion et de l’exposition de l’image

Selon le type de presse utilisé et le mode de transfert des informations entre le film et les plaques d’impression, votre prestataire de services peut vous demander des films négatifs ou positifs, avec l’émulsion sur la face supérieure ou inférieure. L’émulsion correspond à la couche photosensible d’un support d’impression (film ou papier). De manière générale, les imprimeurs exigent des films négatifs aux Etats-Unis et positifs en Europe et au Japon. Vérifiez auprès de votre prestataire quel sens d’émulsion il utilise. Pour distinguer la face de l’émulsion de l’autre (ou base), examinez le film final sous un bon éclairage. L’une des faces est plus brillante que l’autre. La face mate est celle de l’émulsion tandis que la face brillante constitue la base.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Choisissez Gris composite ou une option de séparation dans le menu déroulant Couleur du volet Sortie de la boîte

de dialogue Imprimer.

2 Dans Symétrie, sélectionnez l’une des options suivantes : Aucune (par défaut) N’applique aucune modification à l’orientation de la zone imprimable. Le texte de l’image est

lisible (c’est-à-dire, le sens de lecture est normal) lorsque la couche photosensible est face à vous.

Horizontale Permet de refléter la zone imprimable le long d’un axe vertical pour une lecture inversée. Verticale Permet de refléter la zone imprimable le long d’un axe horizontal de sorte qu’elle soit sens dessus-dessous. Horizontale et verticale Permet de refléter la zone imprimable le long des axes horizontal et vertical pour une lecture inversée. Le texte est lisible lorsque la couche photosensible n’est pas face à vous. Les images imprimées sur film le sont souvent avec l’option Horizontale et verticale.

Spécification de l’exposition de l’image

1 Choisissez Gris composite ou une option de séparation dans le menu déroulant Couleur du volet Sortie de la boîte

de dialogue Imprimer.

2 Sélectionnez ou désélectionnez l’option Négatif.

Vérification de la séparation et des paramètres du document

La zone Synthèse de la boîte de dialogue Imprimer affiche une synthèse des informations de gestion des couleurs, des dimensions des repères d’impression et des fonds perdus du document. Elle indique également si le recouvrement est activé. De même, vous pouvez effectuer un contrôle qualité avant impression ou avant de remettre le document à votre prestataire de services.

« Définition de profils de contrôle en amont » à la page 679

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Créez une épreuve papier pour vérifier que les séparations sont correctes à l’impression ou une épreuve à l’écran pour prévisualiser l’aspect des couleurs du document sur un périphérique de sortie particulier. Remarque : une épreuve ne permet pas d’obtenir une représentation exacte de la sortie finale ; toutefois, il est possible d’accroître le degré de précision d’une épreuve en étalonnant tous les périphériques utilisés lors de la création du document (tels que les scanners, les moniteurs et les imprimantes). Lorsque les périphériques sont correctement étalonnés, le système de gestion des couleurs peut être exploité pour obtenir des couleurs fiables et homogènes. L’épreuve papier représente les séparations finales que vous attendez et aide votre prestataire de services à vérifier que l’impression est correcte. Assurez-vous d’utiliser une imprimante PostScript pour les épreuves, car une imprimante non PostScript ne permet pas de vérifier la séparation des couleurs de manière fiable. Pour garantir une impression correcte du fichier, enregistrez les séparations en tant que fichier PostScript et convertissez ce dernier au format Acrobat 8 PDF à l’aide d’Acrobat Distiller. Vous obtenez un fichier PDF que vous pouvez visualiser dans Acrobat. Vous pouvez ainsi contrôler en détail les impressions PostScript de haute qualité à l’écran.

« Aperçu des séparations de couleurs » à la page 700 « Impression d’une épreuve papier » à la page 676

Production de séparations In-RIP Pour cette méthode, les éléments suivants sont nécessaires :

• un fichier PPD prenant en charge les séparations In-RIP ;

• un périphérique PostScript 3 ou PostScript niveau 2 avec un processeur RIP prenant en charge les séparations InRIP. Si le document contient des images bichromes de Photoshop 5.0 ou version ultérieure, un périphérique PostScript 3 est requis pour générer les séparations In-RIP. Remarque : en fonction du logiciel de prépresse utilisé, un prestataire de services peut éventuellement effectuer des tâches de prépresse telles que le recouvrement, l’imposition, la séparation et le remplacement OPI au niveau du processeur RIP du périphérique de sortie. Votre prestataire de services préférera donc dans certains cas recevoir un fichier PostScript composite correspondant au document optimisé pour des séparations In-RIP, plutôt qu’un fichier PostScript préséparé.

« Création de fichiers PostScript et EPS » à la page 686

Impression ou enregistrement des séparations

1 Dans la partie supérieure de la boîte de dialogue Imprimer, choisissez un paramètre prédéfini dans le

menu Impression prédéfinie, s’il en existe un présentant les paramètres de séparation appropriés.

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour imprimer sur un périphérique de sortie, choisissez-le dans le menu Imprimante.

• Pour imprimer dans un fichier, choisissez Fichier PostScript® dans le menu Imprimante. Choisissez un fichier PPD prenant en charge le périphérique de sortie. 3 Cliquez sur Général, puis spécifiez les pages à séparer.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Pour imprimer vers un fichier, choisissez soit Séparations, soit Séparations In-RIP pour enregistrer les paramètres de séparation dans un fichier PostScript composite pour un traitement RIP. Remarque : pour utiliser le recouvrement Adobe In-RIP, vous devez recourir aux séparations In-RIP plutôt qu’à des séparations basées sur un ordinateur hôte, sinon la fonction de recouvrement n’aurait pas accès à toutes les couleurs en même temps et le recouvrement n’aurait pas lieu. 5 Cliquez sur Graphiques et procédez comme suit :

• Dans la zone Envoi des données, choisissez l’option Toutes.

• Dans la zone Téléchargement, choisissez l’option Complet ou Jeu partiel, à moins que les polices ne soient insérées ultérieurement (par exemple, au niveau du RIP ou par une application de traitement d’images).

• Dans la zone PostScript®, sélectionnez le niveau PostScript du périphérique de sortie : Niveau 2 ou Niveau 3.

6 Cliquez sur Avancé et utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour remplacer des graphiques basse résolution incorporés dans des fichiers EPS par leurs version haute résolution au moment de l’impression, assurez-vous que l’option Lire les liens d’images incorporés OPI est sélectionnée lors de l’importation du fichier EPS vers le document InDesign, puis sélectionnez Substitution d’image OPI dans la zone

Avancé de la boîte de dialogue d’impression.

• Pour ignorer les différents types d’images importées afin qu’elles soient remplacées ultérieurement par un serveur OPI, sélectionnez une option Ignorer pour OPI.

• Dans la section Aplatissement prédéfini des transparences, choisissez [Haute résolution] ou un style personnalisé disponible avec des paramètres haute résolution.

7 Choisissez d’autres options d’impression le cas échéant. 8 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour imprimer sur un périphérique de sortie, cliquez sur Imprimer.

• Pour imprimer vers un fichier, cliquez sur Enregistrer et acceptez le nom de fichier par défaut ou entrez un autre nom de fichier, puis cliquez de nouveau sur Enregistrer. Remarque : après avoir créé la séparation des couleurs dans le document InDesign, les paramètres de la boîte de dialogue d’impression sont enregistrés avec le fichier séparé. Les paramètres de séparation, les informations du fichier PPD et les conversions de couleurs spécifiées dans la boîte de dialogue d’impression sont enregistrés dans le fichier.

« Création de fichiers PostScript et EPS » à la page 686 « Fichiers Encapsulated PostScript (.eps) » à la page 409 « Options d’omission d’images » à la page 673

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Guide de scripts situé dans le dossier Adobe InDesign Technical Info sur le DVD InDesign. Vous trouverez le Guide des scripts, les conditions requises pour la création de scripts, ainsi que d’autres ressources destinées aux développeurs, à l’adresse www.adobe.com/go/scripting_id_fr. Le Guide de scripts contient une introduction aux scripts ainsi que des didacticiels. Le dossier Technical Info inclut également un certain nombre de scripts utiles que vous pouvez utiliser, notamment un script qui trace des repères autour d’un objet sélectionné. Certains de ces scripts s’affichent par défaut dans le panneau Scripts.

Création de scripts dans InDesign

Présentation des panneaux Scripts et Intitulé de script

InDesign comprend deux panneaux pour la création de scripts : Scripts et Intitulé de script. Le panneau Scripts vous permet d’exécuter des scripts sans quitter InDesign. Le panneau Scripts affiche les scripts situés dans les dossiers Scripts du dossier de l’application InDesign et dans vos dossiers Préférences. Lorsque vous créez ou recevez un script, vous pouvez le placer dans le dossier du panneau Scripts. Il sera ainsi visible dans le panneau Scripts. Mac OS Users/[nom d’utilisateur]/Bibliothèque/Preferences/Adobe InDesign/[version][langue]/Scripts/Panneau Scripts Windows XP Documents and Settings\[nom d’utilisateur]\Application Le panneau Intitulé de script vous permet de définir l’intitulé d’un élément de page, tel qu’un bloc de texte ou une forme. La création d’intitulés d’éléments de page est particulièrement utile pour la création de scripts dans lesquels vous souhaitez identifier un objet.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

❖ Choisissez la commande Fenêtre > Utilitaires > Intitulé de script.

Exécution de scripts d’exemple

Vous pouvez exécuter les scripts suivants dans InDesign : AddGuides Ajoute des repères autour des objets sélectionnés. AddPoints Ajoute des points aux tracés des objets sélectionnés. AdjustLayout Déplace les objets sur une distance définie sur les pages droite et gauche. AlignToPage Aligne les objets sur des positions définies dans une page. AnimationEncyclopedia Crée automatiquement des boutons avec différentes propriétés d’animation. BreakFrame Supprime un bloc de texte sélectionné et son contenu d’un article. CornerEffects Redessine le tracé des éléments sélectionnés au moyen d’effets d’arrondi divers. Il est possible

d’appliquer des effets d’arrondi à des points sélectionnés sur un tracé.

CreateCharacterStyles Définit un style de caractère complet d’après le texte sélectionné. CropMarks Ajoute des traits de coupe et/ou des repères de montage autour des objets sélectionnés. ExportAllStories Exporte tous les articles d’un document dans une série de fichiers texte. FindChangeByList Exécute une série d’opérations courantes de recherche/remplacement de texte par une simple lecture d’un fichier texte dont le contenu est séparé par des tabulations. ImageCatalog Place tous les graphiques d’un dossier donné selon une disposition de type planche-contact. MakeGrid Crée une grille par subdivision ou duplication des objets sélectionnés. Neon Applique un effet de fusion aux objets sélectionnés. PathEffects Modifie la position des points de tracé sur les objets sélectionnés afin de produire un effet créatif. PlaceMultipagePDF Importe toutes les pages d’un fichier PDF. SelectObjects Sélectionne les objets de la planche active par type. SortParagraphs Trie par ordre alphabétique les paragraphes de la sélection. SplitStory Scinde les blocs de texte de l’article sélectionné en blocs de texte distincts sans lien. TabUtilities Applique des taquets de tabulation et des retraits au texte sélectionné.

Pour plus de détails sur l’installation et l’utilisation de ces scripts d’exemple, consulter le fichier www.adobe.com/go/learn_id_scripting_readme_cs5_fr (PDF).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour plus de détails sur les modules externes d’autres sociétés, consultez le site Web d’Adobe à l’adresse www.adobe.com/go/learn_id_plugins_fr. 1 Si un programme d’installation est fourni, utilisez-le pour installer le module externe. Dans le cas contraire, faites

glisser une copie du module vers le dossier Plug-Ins situé dans le dossier d’application InDesign.

2 Suivez les instructions d’installation fournies avec le module.

Remarque : vous pouvez installer différents modules externes conçus pour InDesign et disponibles dans le commerce. Le service d’assistance technique peut vous aider à identifier les problèmes liés aux modules externes. Toutefois, s’il s’avère que le problème est directement lié à un module créé par une société tierce, vous devez prendre contact avec cette société pour obtenir de l’aide.

Configuration des modules externes avec Extension Manager

Utilisez l’application Extension Manager pour consulter et personnaliser l’ensemble des modules externes installés. Cette boîte de dialogue permet notamment d’obtenir des informations détaillées sur les modules externes installés, de créer des ensembles de modules pour les regrouper par tâche ou par groupe de travail et de localiser un module lors d’une procédure de dépannage. Vous pouvez également désactiver les modules externes. ❖ Choisissez la commande Aide > Gérer les extensions (Windows) ou InDesign > Gérer les extensions (Mac OS).

Pour plus de détails sur l’utilisation d’Extension Manager, affichez l’aide de cette application.

A propos de la fusion des données Vous pouvez fusionner un fichier de source de données avec un document cible pour créer des lettres types, des enveloppes ou des étiquettes d’adresses. La fusion de données est également appelée publipostage. Le fichier de source de données contient des informations qui varient à chaque réédition du document cible, par exemple les noms et adresses des destinataires d’une lettre type. Un fichier de source de données se compose de champs et d’enregistrements. Les champs sont des groupes d’informations spécifiques, comme des noms de sociétés ou des codes postaux, tandis que les enregistrements sont des lignes d’informations, comme le nom, l’adresse, la ville et le code postal. Un fichier de source de données peut être un fichier délimité par des virgules (.csv) ou par des tabulations (.txt) dans lequel chaque donnée est séparée respectivement par une virgule ou par une tabulation.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1. Déterminez à l’avance les champs de données que vous voulez utiliser dans vos documents source et cible.

Décidez à l’avance de l’aspect du document final afin de déterminer les champs nécessaires à la fusion des données. Par exemple, si vous créez une carte postale destinée à être envoyée par courrier à des clients, vous utiliserez sans doute les champs de données suivants :

<<Nom de la société>><<Adresse>><<Ville>>, <<Pays>><<Code postal>> Votre feuille de calcul ou base de données devrait avoir l’apparence suivante :

Exemple de fichier de données

2. Enregistrez le fichier de source de données (en général, il s’agit d’une feuille de calcul ou d’un fichier de base de données) au format texte délimité par des virgules (.csv) ou par des tabulations (.txt).

Vérifiez que votre fichier de source de données est structuré de sorte que vous puissiez inclure les champs adéquats dans votre document cible. Par exemple, la ligne supérieure d’une feuille de calcul doit contenir le nom des champs utilisés dans le document cible, comme « Société » et « Adresse ».

Pour plus de détails, voir la section « A propos des fichiers de source de données » à la page 717.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

4. Sélectionnez la source de données à l’aide du panneau Fusion des données.

Pour plus de détails, voir la section « Sélection d’une source de données » à la page 719.

5. Insérez des champs dans le document cible à partir du panneau Fusion des données.

Vous pouvez ajouter des champs de données soit à une page de document, soit à un gabarit. Si vous ajoutez des champs de données à un gabarit, vous disposez alors d’options supplémentaires.

Pour plus de détails, voir les sections « Insertion de champs de données » à la page 719 et « Ajout de marques de réservation de champs de données aux gabarits » à la page 720. 6. Affichez un aperçu des enregistrements pour vérifier que l’aspect du document cible répond à vos attentes.

Pour plus de détails, voir la section « Affichage d’un aperçu des enregistrements dans le document cible » à la page 721.

7. Fusionnez le document cible avec le fichier de source de données ou exportez-le au format PDF.

Pour plus de détails, voir la section « Fusion des enregistrements » à la page 723.

A propos des fichiers de source de données

La source de données provient généralement d’une application de base de données ou de feuilles de calcul, mais vous pouvez aussi créer votre propre fichier de source de données à l’aide d’InDesign ou d’un éditeur de texte. Les fichiers de source de données doivent être enregistrés au format .csv ou .txt. Pour plus de détails sur l’exportation dans ces formats, reportez-vous au guide de l’utilisateur de votre application source. Dans un fichier .txt ou .csv, les enregistrements sont séparés par des sauts de paragraphe et les champs par des virgules ou tabulations. Le fichier de source de données peut aussi contenir du texte ou des chemins faisant référence à des images sur votre disque dur. Exemple de fichier de source de données délimité par des virgules Name,Company Name,State Bill Tucker,CoreVent Labs,Nevada Dat Nguyen,"Brady, Hunt, and Baxter, Inc",Delaware Pour éviter les lignes blanches, vous pouvez choisir l’option Supprimer les lignes vides des champs vides lors de la fusion du document. Néanmoins, si un caractère quelconque, y compris un espace, figure sur la ligne, celle-ci n’est pas supprimée.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Ouvrez le fichier de source de données. 2 Entrez le symbole « arobaz » (@) avant le nom du champ de données pour insérer du texte ou des chemins d’accès

Seule la première ligne requiert le symbole @. Les lignes suivantes doivent inclure les chemins d’accès aux images. Les chemins, qui sont sensibles à la casse, doivent être conformes aux conventions de nom de fichier du système d’exploitation sur lequel ils sont stockés. Si un message d’erreur s’affiche lorsque vous insérez le symbole @ au début du champ, insérez une apostrophe (’) avant le symbole @ (exemple : ’@Photos) pour valider la fonction. Certaines applications telles que Microsoft Excel réservent le symbole @ pour des fonctions précises. (Windows) Exemple de référence d’image dans un fichier de source de données Nom

Après avoir créé le fichier de source de données, vous devez créer le document cible et y insérer les champs provenant du fichier de source de données. Le document cible contient des balises d’emplacement de texte et de graphiques pour les champs de données, tels que l’illustration que vous souhaitez faire figurer sur toutes les cartes postales. Ces champs sont accessibles dès que vous sélectionnez une source de données.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Sélection d’une source de données Avant d’insérer les champs dans votre document cible, sélectionnez une source de données dans le panneau Fusion des données. Vous ne pouvez sélectionner qu’un seul fichier de source de données par document cible. 1 Créez ou ouvrez le document à utiliser comme document cible. 2 Choisissez la commande Fenêtre > Utilitaires > Fusion des données. 3 Choisissez Source de données dans le menu du panneau Fusion des données. 4 Pour modifier les options de délimitation du texte, sélectionnez Afficher les options d’importation.

InDesign détecte automatiquement le type de délimiteur et le codage utilisés dans le fichier de source de données ; il n’est donc généralement pas nécessaire d’afficher les options d’importation. Vous pouvez toutefois spécifier des options de codage et de délimitation différentes si les options identifiées ne vous conviennent pas.

5 Recherchez le fichier de source de données, puis cliquez sur Ouvrir. 6 Si vous avez sélectionné Afficher les options d’importation, modifiez les options de délimitation et de codage selon

vos besoins, puis cliquez sur OK. Les champs de données apparaissent dans le panneau Fusion des données.

Remarque : si un avertissement s’affiche pour indiquer une erreur d’ouverture du fichier ou si des champs incorrects apparaissent dans la zone de liste, il peut être nécessaire de modifier le fichier de feuille de calcul ou de base de données et de l’enregistrer au format .txt ou .csv. Une fois que la source de données est sélectionnée et que les champs sont chargés dans le panneau Fusion des données, aucun changement apporté à la source de données n’est reflété dans le document cible tant que vous ne mettez pas à jour la source de données.

Insertion de champs de données

Lors de la sélection de la source de données, une liste de noms de champs de données s’affiche dans le panneau Fusion des données. Ces noms correspondent à ceux des en-têtes de colonnes du fichier de source de données. Des icônes indiquent le type de champ (texte ou image). Lorsque des champs de données sont ajoutés au document, ils se transforment en balises d’emplacement de champ (par exemple, << Société >>) que vous pouvez sélectionner et mettre en forme comme vous le feriez avec du texte ou des images. Vous pouvez également attribuer un champ d’image à un bloc existant pour créer une image flottante. Si le point d’insertion se situe dans un bloc de texte ou que le texte est sélectionné lorsque vous insérez un champ d’image, une petite balise d’emplacement est insérée en tant qu’objet texte. Vous pouvez redimensionner la balise d’emplacement d’image pour déterminer la taille des images fusionnées.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Créez un bloc de texte sur une page de document ou un gabarit.

Si vous ajoutez des champs de données à un gabarit, reportez-vous à la section « Ajout de marques de réservation de champs de données aux gabarits » à la page 720.

2 Placez le point d’insertion dans le bloc de texte dans lequel vous voulez afficher la balise d’emplacement de champ

ou sélectionnez le texte à remplacer.

3 Pour insérer une marque de réservation de champ, effectuez l’une des opérations suivantes :

• Cliquez sur un champ dans la liste du panneau Fusion des données.

• Faites glisser un nom de champ hors de la liste du panneau Fusion des données et déplacez-le jusqu’au bloc de texte pour ajouter la marque de réservation. Si vous faites glisser un champ textuel vers un bloc vide, ce bloc vide devient un bloc de texte. Les marques de réservation des champs textuels s’affichent dans l’application cible entre doubles chevrons (par exemple, <<Nom>>) et utilisent les attributs de format courants (comme la police et le corps). Remarque : pour créer un champ valide, vous ne pouvez pas simplement entrer le nom du champ ou modifier un champ existant ; vous devez l’insérer à partir du panneau Fusion des données.

Pour insérer un champ de données d’image dans le document cible

• Pour insérer une nouvelle balise d’emplacement d’image texte, faites glisser un champ d’image vers un bloc de texte ou placez le point d’insertion dans un bloc de texte et cliquez sur le champ d’image.

• Pour insérer une nouvelle image flottante, faites glisser un champ d’image vers un bloc vide ou un bloc graphique existant. Si vous faites glisser un champ d’image vers un bloc vide, ce bloc vide devient un bloc graphique.

• Pour insérer un champ au milieu d’éléments regroupés, de cellules de tableau ou d’éléments imbriqués, faites glisser le champ d’image vers sa cible.

Les balises d’emplacement de champs d’image s’affichent sous forme de blocs portant le nom du champ.

Ajout de marques de réservation de champs de données aux gabarits

L’insertion de marques de réservation de champs de données dans des gabarits présente plus d’avantages que l’insertion de marques de réservation sur des pages de document :

• Le document fusionné ainsi obtenu contient sur ses gabarits les balises d’emplacement d’origine et inclut les résultats fusionnés sur les pages de document en tant qu’éléments de gabarit supprimés.

• Le document fusionné conserve une liaison avec la source de données, ce qui signifie que si les enregistrements de la source de données sont modifiés, il est possible de mettre à jour le contenu du document fusionné en choisissant

Mettre à jour le contenu des champs de données. Cette option est particulièrement utile si vous modifiez la mise en page du document fusionné et que vous avez par la suite besoin d’ajouter de nouvelles données provenant de la source de données.

• Les paramètres de la boîte de dialogue Créer le document fusionné sont identiques à ceux utilisés dans le document cible, ce qui vous permet de redonner rapidement la même apparence au document actif. Vous pouvez également utiliser ces paramètres partagés pour créer un document identique utilisant une source de données différente, ou créer un nouveau document avec une mise en page légèrement différente.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous ne pouvez pas importer des champ de données à la fois sur des gabarits et des pages de document. Pour pouvoir effectuer une fusion correcte, vous devez appliquer à la première page du document un gabarit contenant des champs de données. Important : si un message d’erreur indique qu’InDesign ne peut pas fusionner le document du fait de l’absence de balises d’emplacement, il est probable que vous avez ajouté les balises d’emplacement sur le gabarit de gauche dans un document à une seule page. La page 1 est basée sur le gabarit de droite ; vous devez donc ajouter les balises d’emplacement sur le gabarit de droite.

Mise à jour, suppression et remplacement de fichiers de source de données

• Pour mettre à jour des fichiers de source de données, modifiez le fichier de source de données et enregistrez-le au format .txt ou .csv, puis choisissez Mettre à jour la source de données dans le panneau Fusion des données. Les modifications seront répercutées dans le panneau Fusion des données. Si les modifications ne sont pas répercutées dans le document après la mise à jour, désélectionnez l’option Aperçu, puis sélectionnez-la à nouveau pour l’activer.

• Pour supprimer la liaison avec le fichier de source de données, choisissez Supprimer la source de données dans le menu du panneau Fusion des données.

• Pour sélectionner un nouveau fichier de source de données, choisissez Sélectionner la source de données dans le menu du panneau Fusion des données, puis spécifiez le nouveau fichier de source de données. Il est possible qu’InDesign ne reconnaisse pas certains des champs. Si c’est le cas, la meilleure solution consiste à supprimer puis

à réinsérer les champs de balises d’emplacement. Si vous générez un document fusionné à partir d’un document cible dans lequel les champs de données apparaissaient sur des gabarits, vous pouvez mettre à jour les champs de données dans le document fusionné.

Affichage d’un aperçu des enregistrements dans le document cible

Avant de fusionner le document cible et le fichier de source de données, il est conseillé de prévisualiser les enregistrements pour vous assurer que les données des champs s’afficheront correctement au moment de la fusion des informations. Lorsque vous prévisualisez des enregistrements, le panneau Fusion des données affiche les données réelles du fichier de source de données et non les marques de réservation des champs. Par exemple, au lieu d’avoir <<Société>>, vous pouvez avoir Adobe Systems, Inc. Vous pouvez utiliser les boutons de navigation du panneau Fusion des données pour passer d’un enregistrement à l’autre. Si les enregistrements comportent des erreurs (fautes de frappe, doubles espaces ou autres), il est conseillé de modifier le fichier source dans l’application d’origine (voir la section « A propos des fichiers de source de données » à la page 717). 1 Cliquez sur Aperçu en bas du panneau Fusion des données ou choisissez Aperçu dans le menu du panneau Fusion

2 Cliquez sur les boutons de navigation pour passer en revue les différents enregistrements.

Pour atteindre un enregistrement spécifique, cliquez sur les boutons de navigation en bas du panneau. Vous pouvez

également entrer le numéro de l’enregistrement que vous souhaitez prévisualiser dans la zone de texte de navigation en bas du panneau, puis appuyer sur la touche Entrée ou Retour.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Si vous supprimez une image en même temps que le bloc qui la contient ou si vous supprimez une chaîne de texte entière et que vous désélectionnez l’option Aperçu, les balises d’emplacement ne s’affichent pas, car elles ont également été supprimées.

• Les modifications apportées dans la boîte de dialogue Options de positionnement du contenu s’appliquent lorsque vous cliquez sur OK. Par ailleurs, si l’option Aperçu est sélectionnée, les données ne refléteront pas les paramètres d’importation mis à jour tant que vous n’aurez pas désélectionné puis sélectionné à nouveau l’option.

• Si vous tentez d’enregistrer le document en mode Aperçu, vous recevez un message vous invitant à désactiver l’aperçu avant d’enregistrer le document.

Modification des marques de réservation de champs de données

Lorsque vous ajoutez un champ de données textuelles à un document, le texte de la balise d’emplacement du champ utilise les attributs de mise en forme (police et corps) actifs au point d’insertion. Vous pouvez ensuite modifier les attributs du texte de la balise d’emplacement et choisir l’aspect des données qui vous convient. ❖ Utilisez l’une ou plusieurs des méthodes suivantes :

• Pour modifier les attributs des marques de réservation, sélectionnez le texte de la marque de réservation, puis modifiez les attributs de mise en forme, comme pour tout autre texte.

• Pour modifier une marque de réservation, sélectionnez la marque de réservation ou les données réelles, puis sélectionnez un autre nom de champ dans le panneau Fusion des données.

• Pour supprimer une balise d’emplacement, sélectionnez-la, puis appuyez sur la touche Retour arrière ou Suppr.

Remarque : en mode éditeur, les balises d’emplacement de texte ont la même apparence que les hyperliens. Certaines des options du panneau Fusion des données ne sont pas disponibles en mode éditeur.

Définition des options d’importation du contenu

Utilisez la boîte de dialogue Options de positionnement du contenu pour spécifier les paramètres par défaut du document actif ou de l’ensemble des futurs projets de fusion des données. Vous pouvez spécifier la méthode d’importation de l’image et le nombre maximal d’enregistrements par document fusionné et indiquer si les images sont liées ou incorporées et si les lignes vides des champs vides sont supprimées. 1 Utilisez l’une ou plusieurs des méthodes suivantes :

• Pour appliquer les paramètres au document actif uniquement, ouvrez le document cible.

• Pour appliquer les paramètres à tous les futurs documents, fermez tous les documents. 2 Choisissez la commande Fenêtre > Utilitaires > Fusion des données. 3 Choisissez Options d’importation du contenu dans le menu du panneau Fusion des données. 4 Modifiez les options de positionnement du contenu (voir la section « Options de positionnement du contenu » à la

Dernière mise à jour le 18/5/2011

InDesign crée un nouveau document ou un fichier PDF basé sur le document cible et remplace les champs du document cible par les données que vous avez spécifiées dans le fichier de source de données. Lors de la fusion d’un document incluant des balises d’emplacement de champs de données sur des gabarits, ces éléments de gabarit sont copiés dans les gabarits du nouveau document créé.

Pour fusionner des enregistrements uniques ou multiples

1 Ouvrez le document cible, puis procédez de l’une des manières suivantes :

• Choisissez la commande Créer un document fusionné dans le menu du panneau Fusion des données ou cliquez sur le bouton Créer un document fusionné

enregistrements pour traiter tous les enregistrements du fichier de source de données, choisissez l’option Enregistrement unique pour fusionner un enregistrement spécifique ou spécifiez un groupe d’enregistrements à fusionner. 3 Pour l’option Enregistrements par page de document, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez l’option Enregistrement unique pour faire commencer chaque enregistrement en haut de la page suivante.

• Choisissez l’option Enregistrements multiples pour créer plusieurs enregistrements par page (par exemple, pour imprimer des étiquettes d’adresses).

Vous ne pouvez pas fusionner plusieurs enregistrements si les champs de données apparaissent sur une page de document dans un document à plusieurs pages ou s’ils apparaissent sur plusieurs gabarits. 4 Sélectionnez l’option Générer un rapport sur le texte en excès lors de la création de documents pour ouvrir

automatiquement un rapport sur le texte en excès produit par la fusion des données dans le document InDesign

(voir la section « Rapports de texte en excès » à la page 724). 5 Sélectionnez l’option Avertir si des images sont manquantes pour afficher un avertissement de lien manquant si des

images sont indisponibles.

6 Si vous avez sélectionné l’option Enregistrements multiples dans l’onglet Enregistrements, cliquez sur l’onglet Mise

7 Si vous avez sélectionné Enregistrements multiples, sélectionnez Aperçu de la mise en page des enregistrements

multiples pour vérifier les corrections effectuées dans la boîte de dialogue Créer un document fusionné. Vous pouvez cliquer sur les boutons de page pour passer d’un enregistrement à un autre.

8 Cliquez sur l’onglet Options et spécifiez les options d’importation (voir la section « Options de positionnement du

contenu » à la page 725).

9 Lorsque vous avez terminé, cliquez sur OK.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Si le fichier de source de données renvoie à des formats de fichier non pris en charge ou des images non disponibles, vous devrez peut-être le corriger pour qu’il renvoie à un fichier pris en charge, modifier le chemin de base de tout fichier manquant ou simplement déplacer le fichier dans le dossier approprié de manière à ce qu’InDesign puisse le trouver et l’importer.

Restrictions concernant la fusion d’enregistrements multiples

Choisissez Plusieurs pour créer plusieurs enregistrements par page. Par exemple, si vous imprimez des étiquettes d’adresses, vous en imprimerez certainement plusieurs par page. L’aspect des enregistrements dans la composition fusionnée dépend principalement des options de mise en page. Les restrictions que vous risquez de rencontrer lors de l’utilisation de l’option Enregistrements multiples sont les suivantes :

• Vous ne pouvez pas fusionner plusieurs enregistrements si les champs de données apparaissent sur une page de document dans un document à plusieurs pages ou s’ils apparaissent sur plusieurs gabarits.

• Le panneau Fusion des données autorise une seule taille de marque de réservation.

• La suppression d’un enregistrement dans la composition fusionnée ne signifie pas que les enregistrements restants sont redistribués dans la marque de réservation vide.

Pour fusionner dans un fichier PDF Pour la fusion dans un fichier PDF, vous disposez des mêmes options que lors de la création d’un document fusionné

InDesign. Le fichier PDF final tire parti des XObjects PDF pour les portions statiques de la page, ce qui réduit sensiblement sa taille et améliore ses prestations.

Mise à jour des champs de données

Après avoir fusionné un document avec des balises d’emplacement sur des gabarits, vous pouvez modifier la mise en page du document fusionné et mettre à jour les valeurs des champs de données dans la source de données. Utilisez l’option Mettre à jour les champs de données pour mettre à jour les champs de données tout en conservant la mise en page du document. Cette option n’est disponible que pour les documents fusionnés dans lesquels des balises d’emplacement de données apparaissent sur des gabarits. 1 Procédez aux modifications souhaitées dans le fichier de source de données, puis enregistrez-le et fermez-le. 2 Dans le document fusionné, choisissez Mettre à jour les champs de données.

Les modifications effectuées lors de la mise à jour des champs de données s’affichent dans un fichier journal.

Cette option fonctionne de façon optimale lors de la modification ou de l’ajout d’enregistrements dans le fichier de source de données. En cas d’ajout de champs de balise d’emplacement, de nouveaux champs dans la source de données ou de modification des paramètres dans la boîte de dialogue Créer un document fusionné, utilisez l’option Créer un document fusionné pour générer un nouveau document fusionné.

Rapports de texte en excès

Un rapport de texte en excès est créé si l’option Générer le rapport de texte en excès à la création du document est sélectionnée dans la boîte de dialogue Créer un document fusionné et si un ou plusieurs champs contiennent du texte en excès après la fusion des données. Le rapport indique chaque occurrence de texte en excès sous forme de liste numérotée indiquant le numéro de la page dans laquelle le texte apparaît suivi du nombre de caractères ou de mots en excès et d’un extrait du texte.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Les options suivantes apparaissent dans la boîte de dialogue Options de positionnement du contenu : Positionner les images Conserve les proportions de l’image tout en l’ajustant aux dimensions du bloc (par défaut). Ajuster les images aux blocs Redimensionne l’image pour que ses proportions soient identiques à celles du bloc. Ajuster les blocs aux images Conserve la taille de l’image et ajuste la taille du bloc par rapport à celle-ci. Conserver les tailles de bloc et d’image Importe dans le bloc l’image à sa taille d’origine en l’alignant sur le coin

supérieur gauche du bloc. L’image est tronquée si elle est trop grande pour le bloc.

Remplir les blocs proportionnellement Importe l’image de telle sorte que sa hauteur ou sa largeur remplisse le bloc, le

reste de l’image étant tronqué.

Centrer dans le bloc Aligne le centre de l’image sur le centre du bloc. Lier les images Crée un lien ou un chemin de fichier vers le fichier graphique original. Si cette option n’est pas

sélectionnée, toutes les données d’image sont incorporées dans le document InDesign.

Supprimer les lignes vides des champs vides Supprime les retours chariot insérés pour les champs vides. Cette option est particulièrement pratique pour les publipostages incluant un champ d’adresse facultatif. Cette option ignore les retours chariot. Si un caractère quelconque, y compris un espace, figure sur la ligne, celle-ci n’est pas supprimée. Maximum d’enregistrements par document Spécifie le nombre maximal d’enregistrements par document fusionné.

Une fois le seuil atteint, un nouveau document est créé avec le nombre de pages nécessaire pour accueillir le reste des enregistrements en cours de fusion (jusqu’à la limite définie par enregistrement). Cette option est uniquement disponible lorsque l’option Enregistrement unique est sélectionnée.

Maximum de pages par document Spécifie le nombre maximal de pages par document. Une fois le seuil atteint, un

nouveau document est créé avec le nombre de pages nécessaire pour accueillir le reste des enregistrements en cours de fusion (jusqu’à la limite définie par page). Cette option n’est disponible que lorsque l’option Enregistrements multiples est activée dans le menu Enregistrements par page de document au moment de la fusion.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Partage de contenu Les modules externes Adobe InCopy LiveEdit Workflow permettent aux rédacteurs et correcteurs de composer leur document dans InCopy tandis que les concepteurs graphiques préparent la mise en page dans Adobe InDesign. Ce flux de production inclut des fichiers conteneurs, appelés affectations, permettant de regrouper des contenus connexes ainsi que des outils de notification et de verrouillage de fichiers pour partager et mettre à jour des fichiers dans InCopy ou InDesign sur un réseau partagé ou dans des assemblages compressés pouvant être distribués par courrier électronique. Dans ce flux de production du réseau partagé, les utilisateurs InDesign exportent le texte et les graphiques vers un emplacement partagé d’un système de fichiers, dans lequel les fichiers sont mis à la disposition des utilisateurs InCopy qui rédigent et modifient le contenu. Les blocs de texte et les blocs graphiques sélectionnés sont exportés vers l’affectation ou exportés en tant que fichiers InCopy distincts. Ils font ensuite partie du processus géré et sont liés au document InDesign. Ces fichiers partagés sont appelés fichiers gérés. Lorsque les utilisateurs travaillent sur le fichier d’affectation ou le fichier InDesign sur un serveur local, les modifications apportées au contenu ou à la mise en page associés sont signalées à tous les utilisateurs concernés qui appartiennent au flux de production de ce document. Plusieurs utilisateurs d’InCopy ou d’InDesign peuvent ouvrir le même fichier de contenu simultanément ; de même, plusieurs utilisateurs d’InCopy peuvent ouvrir le même fichier d’affectation simultanément. Toutefois, un seul utilisateur peut extraire le fichier InCopy pour le modifier. Les autres utilisateurs peuvent accéder à ce fichier en lecture seule. L’utilisateur qui extrait un fichier InCopy géré peut partager son travail avec d’autres utilisateurs en enregistrant le fichier sur le serveur partagé ou en le renvoyant à l’utilisateur InDesign. Cependant, les autres utilisateurs peuvent modifier ce fichier uniquement lorsque ce dernier a été de nouveau archivé. Ce système permet à plusieurs utilisateurs d’accéder au même fichier sans risque de suppression des modifications de chacun. Pour plus de détails, reportez-vous au guide relatif au flux de production InCopy LiveEdit Workflow (PDF) à l’adresse suivante : www.adobe.com/go/learn_liveedit_fr.

« Fichiers gérés » à la page 729

Gestion de contenu dans InCopy

Le contenu est soit un corps de texte qui est réparti dans un ou plusieurs blocs, soit un graphique importé. Il existe cinq méthodes pour travailler sur du contenu dans InCopy : en ouvrant un fichier d’affectation, un assemblage d’affectation, un fichier InCopy lié, un fichier InDesign comprenant des fichiers InCopy liés ou bien en composant du contenu entièrement dans InCopy.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

à l’utilisateur InDesign d’associer des composants connexes (en-tête, corps, graphiques, légendes, etc.), puis de les affecter à différents utilisateurs InCopy pour l’écriture et la modification. Les utilisateurs InCopy ouvrent le fichier d’affectation et travaillent uniquement sur les composants qui leur ont été assignés. Le mode Mise en page affiche la manière dont la copie modifiée est reliée à la mise en page InDesign, sans ouvrir le document InDesign entièrement. Toutefois, si la mise en page est modifiée, l’utilisateur InDesign doit mettre à jour les affectations afin de notifier les utilisateurs InCopy des modifications apportées. Vous pouvez partager des fichiers d’affectation sur un serveur ou par l’intermédiaire des assemblages d’affectation.

Document InDesign (.indd) avec fichier d’affectation (.icml) composé de trois fichiers de contenu liés (.incx). L’affectation et ses composants sont répertoriés dans le panneau Affectations et sont ouverts dans InCopy.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Ouverture de fichiers InCopy liés exportés à partir d’InDesign Dans certains flux de production, les utilisateurs InDesign doivent exporter le texte et les graphiques sous forme de fichiers séparés plutôt que les inclure dans un fichier d’affectation. L’exportation de fichiers séparés est utile si vous travaillez sur des graphiques ou des corps de texte non associés. Toutefois, les utilisateurs InCopy ne peuvent pas voir comment le contenu s’intègre à la mise en page InDesign.

Document InDesign (.indd) avec trois fichiers de contenu liés mais non attribués (.icml) ouverts dans InCopy

Ouverture de documents InDesign comprenant des fichiers InCopy liés

Les utilisateurs InCopy peuvent ouvrir et modifier le document InDesign dans InCopy pour visualiser tous les éléments de page dans le contexte de la mise en page complète. Cette approche peut se révéler utile lors de l’édition et du calibrage, où la visualisation de la mise en page globale est souvent importante, ou lors de la modification d’un grand nombre d’articles dans un document. Lorsque l’utilisateur InCopy a modifié les articles, l’utilisateur InDesign peut mettre à jour les liens vers les fichiers modifiés. Si l’utilisateur d’InDesign modifie la mise en page, l’utilisateur InCopy en est informé lors de l’enregistrement du document InDesign.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez créer du contenu dans InCopy qui ne soit pas associé à un fichier InDesign. Dans ces documents autonomes, vous pouvez saisir du texte, attribuer des polices et des styles et importer des graphiques depuis d’autres applications (telles qu’Adobe Illustrator et Adobe Photoshop) pour mettre le texte en valeur. Vous pouvez également attribuer des balises en vue d’une utilisation XML. Cette approche est très utile dans un flux de production éditorial, où le contenu précède la mise en page. Vous pouvez également définir et modifier la zone de texte, la taille et l’orientation de la page pour les documents InCopy autonomes. Si l’article est lié par la suite à une composition InDesign, les paramètres InDesign remplacent ceux définis dans InCopy.

« Exportation du contenu dans des fichiers InCopy distincts (InDesign) » à la page 738

• identifier l’utilisateur travaillant sur un fichier ;

• notifier tout utilisateur du caractère obsolète d’un fichier InCopy, de son utilisation par un autre collaborateur ou de sa disponibilité pour modification. Les méthodes de notification comprennent les messages d’alerte, les icônes de bloc, les icônes d’état du panneau Liens et celles du panneau Affectations. Fichiers en lecture seule Une fois qu’un fichier de contenu devient un fichier géré, il est toujours « en lecture seule » pour tous les utilisateurs du flux de production, sauf pour la personne qui l’a extrait. Le logiciel crée un fichier de verrouillage (*.idlk) lorsqu’un utilisateur extrait un fichier de contenu, donnant ainsi à cet utilisateur un contrôle exclusif sur sa modification. Un fichier en lecture seule possède les caractéristiques suivantes :

• Un utilisateur InCopy ne peut pas manuellement mettre en forme le texte qu’il contient. Toutefois, si des styles de caractère ou de paragraphe ont été affectés au texte, un utilisateur d’InDesign peut modifier la définition de ces styles et, par conséquent, modifier la mise en forme du texte même lorsque le fichier est extrait pour une autre personne. Ces modifications de définition de style sont répercutées dans le texte lorsque l’utilisateur d’InDesign met à jour le fichier.

• En général, ni les utilisateurs d’InCopy ni ceux d’InDesign ne peuvent modifier les objets, tels que le texte et les styles appliqués dans le contenu InCopy verrouillé. Certains objets comme les styles de caractères et de paragraphes sont utilisés exclusivement par le contenu. Il est impossible de modifier l’application d’un style de caractère dans un contenu verrouillé, par exemple, mais il est possible de modifier le style lui-même modifiant ainsi l’aspect du texte.

• Les utilisateurs d’InDesign peuvent modifier les marges et colonnes du contenu du texte, ainsi que la forme, l’emplacement et le nombre de blocs de texte contenant cet article.

• Les utilisateurs d’InDesign peuvent modifier la géométrie et la mise en forme d’un bloc graphique sans extraire le graphique. Les utilisateurs d’InCopy ne peuvent pas modifier le bloc graphique ou la mise en forme du bloc.

Toutefois, les utilisateurs d’InDesign et d’InCopy doivent extraire le bloc graphique pour pouvoir modifier le graphique (par exemple, pour le faire pivoter ou le redimensionner).

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• Enregistrez les fichiers d’affectation sur un serveur auquel tous les membres d’équipe ont accès. Si les membres d’équipe n’ont pas accès à un serveur, vous pouvez créer et distribuer des assemblages d’affectation.

• Lorsque vous créez une affectation, un dossier spécial est créé dans lequel le fichier d’affectation et le contenu sont enregistrés. Utilisez ces dossiers d’affectation pour conserver les fichiers d’affectation et de contenu. Ces dossiers ont pour but de simplifier la gestion des dossiers partagés au sein d’un groupe de travail et de faire en sorte que les utilisateurs ouvrent les fichiers appropriés.

• Dans InCopy, ouvrez le fichier d’affectation à la place d’un article InCopy. Ainsi, vous pouvez consulter les informations de calibrage et de mise en page en modes Epreuve en placard et Mise en page. Si vous exportez le contenu sans utiliser les fichiers d’affectation, il vous suffit d’ouvrir le fichier InDesign pour consulter les informations de calibrage et de mise en page.

• Dès que vous ouvrez un fichier d’affectation ou un document InDesign ou que vous extrayez un contenu dans InDesign ou InCopy, assurez-vous que les contours des blocs sont affichés (Affichage > Extras > Afficher les contours du bloc) afin de voir les icônes de bloc.

• Dans InDesign, si vous souhaitez supprimer des fichiers du flux de production (en raison d’un délai de production, par exemple), vous pouvez rompre leur lien ou annuler un assemblage d’affectation.

« Rupture du lien de fichiers de contenu (InDesign) » à la page 750

Exemples de flux de production avec gestion des fichiers

Dans le cadre d’une gestion du flux de production entre InCopy et InDesign, les rédacteurs et correcteurs peuvent composer, récrire, augmenter et modifier les documents pendant que les concepteurs préparent la mise en page. Les flux de production les plus courants incluent la gestion des fichiers sur un serveur local, le partage des fichiers par courrier électronique ou une combinaison des deux méthodes. Ces flux de production supposent que vous disposiez d’un modèle InDesign de base avec une géométrie de mise en page, des styles et du texte de substitution. La géométrie de mise en page comprend les dimensions de page, les blocs de texte et les blocs graphiques. InCopy utilise ces éléments pour afficher des informations de calibrage correctes.

Flux de production de serveur local

1. Dans InDesign, créez des affectations et ajoutez-leur du contenu.

Les blocs de texte et les blocs graphiques sont incorporés dans le processus géré, dans lequel ils sont mis à la disposition des utilisateurs d’InCopy pour la rédaction et la modification.

2. Rendez les fichiers d’affectation disponibles à tous les utilisateurs InCopy.

Enregistrez les fichiers sur un serveur auquel tous les utilisateurs du flux de production ont accès.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

4. Dans InDesign, travaillez sur la mise en page.

Quels que soient les fichiers de contenu en cours de modification dans InCopy, les utilisateurs d’InDesign peuvent travailler sur la mise en page du document sans devoir extraire ce dernier. Lorsque l’utilisateur d’InCopy enregistre le contenu extrait, l’utilisateur d’InDesign peut mettre à jour le contenu avec la mise en page pour afficher les dernières révisions.

5. Dans InCopy, continuez votre travail.

Une fois les modifications effectuées, archivez le contenu. Les autres utilisateurs peuvent alors extraire le contenu et l’exploiter. Lorsqu’un utilisateur modifie la mise en page en même temps dans InDesign, vous pouvez mettre à jour et afficher la géométrie de mise en page pendant que vous travaillez.

6. Dans InDesign, vérifiez que le contenu a bien été archivé.

Le flux de production géré permet de savoir qui a extrait les fichiers. Une fois les fichiers de contenu archivés, les utilisateurs InDesign peuvent extraire les fichiers afin d’apporter les modifications nécessaires à la mise en page.

Flux de production d’assemblage de courriers électroniques

1. Dans InDesign, créez et envoyez des assemblages d’affectation.

Créez des assemblages d’affectation et affectez le contenu aux utilisateurs d’InCopy appropriés, puis envoyez les assemblages aux utilisateurs d’InCopy. Les fichiers assemblés sont automatiquement extraits afin d’éviter les conflits de modification.

2. Dans InCopy, ouvrez l’assemblage d’affectation pour extraire ou modifier un article ou une image.

Si vous recevez un assemblage d’affectation par courrier électronique, cliquez deux fois dessus pour l’ouvrir dans

InCopy. Les modifications que vous apportez au fichier ne sont enregistrées que localement. Les autres utilisateurs ne sont pas informés des modifications que vous effectuez. 3. Dans InDesign, travaillez sur la mise en page.

Quels que soient les fichiers de contenu en cours d’assemblage, les utilisateurs d’InDesign peuvent travailler sur la mise en page du document sans devoir extraire ce dernier. Si vous devez mettre à jour la mise en page ou les affectations, vous pouvez envoyer un assemblage mis à jour aux utilisateurs d’InCopy.

4. Dans InCopy, renvoyez l’assemblage modifié.

Une fois les modifications terminées, archivez le contenu puis renvoyez l’assemblage modifié. Les autres utilisateurs ont alors la possibilité d’extraire le contenu, de visualiser les dernières révisions et de travailler sur le fichier.

5. Dans InDesign, vérifiez que le contenu a bien été archivé.

Le flux de production géré permet de savoir qui a extrait les fichiers. Une fois les assemblages d’affectation renvoyés, les articles qu’ils contiennent sont archivés. Les utilisateurs d’InDesign peuvent extraire les fichiers afin de finaliser la mise en page, si nécessaire.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Si vous avez déjà indiqué un nom d’utilisateur et que vous souhaitez le modifier, vous devez archiver le contenu que vous avez extrait. Si vous changez d’identifiant pendant une session d’édition, vous risquez de ne plus pouvoir modifier le contenu extrait sous votre identifiant précédent. L’identifiant utilisateur est spécifique à chaque application ; un même utilisateur ne peut avoir plusieurs identifiants par application. Remarque : les fonctions Notes et Suivi des modifications d’InCopy utilisent également le nom spécifié pour identifier l’auteur d’une note ou d’un suivi de modifications. 1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Choisissez Fichier > Utilisateur.

• Choisissez l’option Utilisateur dans le menu du panneau Affectations. 2 Saisissez un nom unique, puis cliquez sur OK.

Si vous n’avez pas spécifié de nom d’utilisateur à l’aide de cette méthode, vous êtes invité à en entrer un lors de votre première action de flux de production.

Remarque : le menu déroulant Couleur de la boîte de dialogue Utilisateur permet d’identifier les notes éditoriales et les modifications de suivi. Vous pouvez définir la couleur, mais cela n’affecte pas les opérations effectuées dans un flux de production géré.

« Suivi et révision des corrections » à la page 208 « Ajout de notes éditoriales dans InDesign » à la page 212

Icônes de flux de production

Les icônes peuvent être affichées sur les blocs de texte et les blocs graphiques, dans le panneau Affectations, ainsi que dans la barre d’articles (InCopy seulement). Les icônes d’état d’édition s’affichent en regard de chaque fichier géré dans les panneaux Liens et Affectations. Elles indiquent l’état du contenu correspondant. Les icônes figurent aussi sur les blocs contenant des articles InCopy liés (en mode Mise en page dans InDesign et InCopy). Ces icônes indiquent également l’état du contenu et peuvent être utilisées pour distinguer le contenu géré du contenu non géré. L’info-bulle associée indique l’état de modification et les autorisations. Pour afficher les icônes de bloc, vérifiez que les contours des blocs s’affichent dans InDesign et InCopy (Affichage > Extras > Afficher les contours du bloc). Remarque : (InDesign) la fenêtre du document InDesign doit être en mode Normal pour que les contours des blocs s’affichent (cliquez sur le bouton du mode Normal en bas à gauche du panneau Outils). Icône

En cours d’utilisation par [nom] et Obsolète

Blocs de texte et blocs graphiques

Modification et Obsolète

Blocs de texte et blocs graphiques

Le contenu textuel est à jour

Panneau Affectations et blocs de texte

Le contenu graphique est obsolète

Panneau Affectations et blocs graphiques

Le contenu graphique est à jour

Panneau Affectations et blocs graphiques

Exportation du contenu à partir d’InDesign Lorsque vous exportez du contenu d’InDesign vers InCopy, un lien est établi entre ces applications. Pour exporter les blocs de texte, les blocs graphiques InDesign et leur contenu vers InCopy, utilisez l’une des deux méthodes suivantes :

• Créez un fichier conteneur (*.icma), appelé affectation et ajoutez les regroupements d’éléments de document associés (tels que le texte et les graphiques d’un article) à l’affectation afin qu’ils puissent être utilisés simultanément. Le contenu des affectations est exporté sous forme de fichiers *.icml.

• Exportez les blocs de texte et les blocs graphiques séparément (y compris les blocs de substitution) à l’aide des commandes du menu Edition > InCopy > Exporter. Le contenu exporté est enregistré sous forme de fichiers *.icml.

Une fois le contenu exporté, des petites icônes apparaissent dans la partie supérieure gauche des blocs exportés dans InDesign et InCopy, et dans le panneau Affectations. Un lien vers le fichier exporté s’affiche dans le panneau Liens. Ces icônes indiquent l’état des blocs gérés et distinguent les blocs gérés des blocs qui n’appartiennent pas au flux de production. Tout le contenu exporté s’affiche dans le panneau Affectations. Le contenu exporté à l’aide des commandes de menu Exporter s’affiche dans la section Contenu InCopy non affecté de la liste du panneau Affectations. Même si les deux méthodes établissent une connexion contrôlée entre le contenu InCopy et un document InDesign, la première méthode doit être utilisée pour les fichiers d’affectation. Après son exportation, le contenu est accessible à tous les utilisateurs pour extraction. Il conserve toujours un lien vers le document d’origine InDesign. Ce lien est établi à partir d’InDesign ; vous ne pouvez pas le créer à partir d’InCopy. Une fois le contenu exporté, l’utilisateur InCopy peut afficher (sans les modifier) les mises en page, styles et autres éléments de la page, tels qu’ils apparaissent dans le document InDesign. Remarque : vous pouvez également créer du texte ou des images ancrées dans InCopy, puis les importer dans InDesign.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

« Importation de fichiers InCopy dans des documents InDesign » à la page 750

Présentation du panneau Affectations

Le panneau Affectations (Fenêtre > Affectations dans InCopy ou Fenêtre > Editorial > Affectations dans InDesign) constitue l’outil de base pour l’utilisation des affectations. Le panneau Affectations affiche les fichiers exportés à partir du document InDesign actif. Une icône indique l’état de ces fichiers. Le menu du panneau Affectations contient également des commandes contrôlant les fonctions d’importation de version et de gestion des fichiers entre InCopy et InDesign. Lorsque vous ouvrez une affectation dans InCopy, le nom de l’affectation et son contenu s’affichent dans le panneau Affectations. Dans le panneau Affectations, cliquez deux fois dans les blocs de texte et les blocs graphiques pour les sélectionner dans la fenêtre de document. Remarque : le panneau Liens contient également la totalité du contenu exporté vers InCopy ou ajouté à une affectation. Même si ce panneau permet d’effectuer certaines tâches de gestion du flux de production, telles que l’extraction et l’archivage de contenu, le panneau Affectations est le plus approprié pour effectuer ces tâches. Affectations

Lorsque vous créez une affectation, un dossier est créé par défaut au même emplacement que le document InDesign.

Ce dossier d’affectation inclut les fichiers d’affectation *.icma et un sous-dossier de contenu comprenant tous les fichiers d’article InCopy exportés (au format .icml) qui font partie d’images ou de toute autre ressource. Une fois l’affectation créée, stockez le dossier du projet à un emplacement accessible à tous les utilisateurs, ou créez et distribuez un assemblage d’affectation. Si le contenu est exporté avant d’être ajouté à une affectation, les fichiers se trouvant sur le disque ne sont pas déplacés vers le dossier de contenu du fichier d’affectation. Les fichiers d’affectation comprennent les éléments suivants :

• Liens ou pointeurs vers les éléments de pages associés, notamment les blocs de substitution. Ces éléments permettent aux utilisateurs d’InCopy d’ouvrir un seul fichier InCopy tout en disposant d’un accès éditorial à plusieurs éléments de pages.

• Toutes les transformations des graphiques comprises dans l’affectation, telles que le déplacement, la mise à l’échelle, la rotation ou la déformation.

• Géométrie de page qui permet aux utilisateurs d’InCopy d’afficher la mise en page du bloc dont ils modifient le contenu sans ouvrir le fichier InDesign.

• Codes couleur des blocs réservés dans le document.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Seuls les utilisateurs d’InDesign peuvent créer des affectations et leur ajouter du contenu. Plusieurs méthodes permettent de créer des affectations. En général, la méthode choisie est différente selon que vous disposez de contenu à ajouter lors de la création de l’affectation.

• Créez des fichiers d’affectation vides. Dans votre document InDesign, vous pouvez créer plusieurs affectations vides qui serviront de modèles pour le contenu futur.

• Créez des affectations et ajoutez du contenu en même temps.

• Ajoutez du contenu à un fichier d’affectation existant. Vous pouvez ajouter du contenu lié (du texte et des graphiques qui ont déjà été exportés en tant que contenu InCopy) ou des éléments de pages sélectionnés afin de les utiliser comme contenu lié dans InCopy. Si un ou plusieurs des blocs sélectionnés contiennent déjà des fichiers de contenu InCopy et qu’aucun n’appartient à une affectation, vous pouvez les ajouter à un fichier d’affectation nouveau ou existant. Par défaut, le dossier d’affectation que vous créez est enregistré dans le même dossier que le document InDesign. Vous pouvez alors placer ce dossier sur un serveur ou créer et envoyer un assemblage. Remarque : si vous ne souhaitez pas que les utilisateurs d’InCopy importent et ajustent des graphiques, n’ajoutez pas de blocs graphiques à l’affectation.

« Réédition de liens vers les fichiers d’affectation manquants (InDesign) » à la page 749 « Méthodes recommandées pour l’utilisation des fichiers gérés » à la page 730

Pour créer des fichiers d’affectation vides (InDesign)

1 Dans InDesign, enregistrez le document. 2 Dans le menu du panneau Affectations, choisissez l’option Nouvelle affectation. 3 Dans la boîte de dialogue Nouvelle affectation, sélectionnez les options du fichier d’affectation et cliquez sur OK.

Pour créer des affectations et ajouter du contenu simultanément (InDesign)

1 Dans InDesign, créez un document comprenant un ou plusieurs blocs de texte, blocs graphiques ou balises

d’emplacement, puis enregistrez le document.

2 Sélectionnez les blocs de texte et les blocs graphiques que vous souhaitez ajouter. 3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans le menu du panneau Affectations, choisissez Ajouter à l’affectation, puis sélectionnez Nouveau.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Pour ajouter du contenu à des affectations existantes (InDesign) 1 Enregistrez le document InDesign. 2 Sélectionnez les blocs de texte et les blocs graphiques que vous souhaitez ajouter. 3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans le menu du panneau Affectations, choisissez Ajouter à l’affectation, puis sélectionnez l’affectation.

• Faites glisser le contenu depuis la section Contenu InCopy non affecté du panneau Affectations vers une affectation existante.

• Sélectionnez des éléments de page à l’aide de l’outil Sélection, faites-les glisser et déposez-les sur une affectation existante dans le panneau Affectations.

• Choisissez Edition > InCopy > Ajouter [option] à l’affectation, puis sélectionnez l’affectation.

4 Dans le menu du panneau Affectations, choisissez Mettre à jour toutes les affectations pour que les utilisateurs

d’InCopy aient accès au fichier de contenu.

Remarque : vous ne pouvez ajouter du contenu qu’aux affectations figurant dans le même document. Toutefois, vous pouvez importer le même contenu dans plusieurs documents et l’ajouter à une affectation de chacun de ces documents.

Options du fichier d’affectation (InDesign)

Lorsque vous créez ou modifiez un fichier d’affectation, vous pouvez définir les options suivantes : Nom d’affectation Identifiant unique de l’affectation dans le panneau Affectations, par exemple « Article océan ». Ce

nom doit être conforme aux conventions de nom de fichier du système d’exploitation.

Affecté à Identifiant unique de l’utilisateur affecté aux fichiers. Le nom de l’utilisateur s’affiche entre parenthèses après

le nom d’affectation dans le panneau Affectations. Le nom saisi à cet endroit n’est fournit qu’à titre d’information ; il ne confère aucun droit ni aucune autorisation particuliers à l’utilisateur.

Couleur Affiche la liste des couleurs pour l’ajout d’une mise en surbrillance distincte aux blocs de l’affectation actuelle dans la fenêtre de document et aux noms d’affectation dans le panneau Affectations. Ce code couleur permet de différencier les blocs appartenant à une affectation des blocs appartenant à une autre, ainsi que des blocs non affectés. Pour afficher ou masquer le code couleur, choisissez la commande Affichage > Extras > Afficher les blocs affectés ou Masquer les blocs affectés, respectivement. Dans InCopy, le code couleur est visible uniquement en mode Mise en page.

Remarque : si afficher/masquer les blocs assignés produit des résultats inattendus, cela signifie que ces blocs sont peutêtre balisés en XML et que la fonction Affichage > Structure > Afficher les blocs balisés est peut-être activée. Vous ne pouvez pas afficher les blocs affectés et les blocs balisés simultanément.

Modifier Cliquez sur le bouton Modifier pour spécifier l’emplacement du dossier d’affectations. Par défaut, le dossier

d’affectations est créé au même emplacement que le fichier InDesign.

Blocs de substitution Permet aux utilisateurs d’InCopy d’afficher le texte et les blocs graphiques dans l’affectation

ainsi que les zones (ou les autres formes) représentant tous les autres blocs sur les pages InDesign. Tous les blocs et balises d’emplacement reproduisent fidèlement la taille, la forme et l’emplacement des originaux InDesign. Les blocs de substitution sont des formes vides qui n’affichent pas de contenu dans le document InDesign. L’option Blocs de substitution offre le résultat le moins fidèle, mais elle présente des performances optimales en termes de rapidité.

Dans InCopy, les blocs de substitution sont visibles uniquement en mode Mise en page. Les utilisateurs InCopy ne peuvent pas extraire ou modifier les blocs de substitution.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Toutes Exporte tout le contenu du document InDesign vers le fichier d’affectation. Cette option offre la meilleure fidélité ; elle donne aussi les plus faibles performances car le fichier d’affectation affiche la conception et la mise en page de chaque page, y compris les pages sans rapport avec la section que l’utilisateur modifie. Fichiers image liés lors de l’assemblage Inclut une copie des images liées dans l’assemblage d’affectation. Lorsqu’elle

est activée, cette option permet aux utilisateurs InCopy d’accéder aux images, mais elle augmente la taille de fichier de l’assemblage. Les utilisateurs InCopy peuvent inclure des images lorsqu’ils renvoient un assemblage.

Exportation du contenu dans des fichiers InCopy distincts (InDesign)

Si votre groupe de travail préfère travailler sur des fichiers séparés plutôt que d’utiliser des affectations, vous pouvez exporter le contenu InCopy sans utiliser de fichier d’affectations. Contrairement à la méthode de création d’un fichier d’affectation unique comportant des références à plusieurs fichiers de contenu et à des informations de mise en page, cette méthode crée un fichier distinct (.icml) pour chaque bloc de texte ou bloc graphique spécifié dans le document. Pour afficher le contexte du contenu que vous modifiez, vous devez également ouvrir le document InDesign associé (.indd). Préparez le document InDesign selon les besoins de votre flux de production. Par exemple, si vous voulez que tous les commentaires de l’éditeur soient exportés dans un seul et même fichier, créez un calque permettant à l’éditeur d’insérer des commentaires. Vous pouvez alors exporter tout le contenu du calque sélectionné. Remarque : pour exporter rapidement du contenu en tant que fichier InCopy indépendant, à l’aide de l’outil Sélection, faites glisser et déposez les blocs sélectionnés dans la section Contenu InCopy non affecté du panneau Affectations. 1 Dans InDesign, créez un document comprenant un ou plusieurs blocs de texte, blocs graphiques ou balises

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes : Sélection Exporte tous les blocs de texte et blocs graphiques sélectionnés. Calque Exporte tout le contenu du calque sélectionné. Tous les articles Exporte tous les articles qui n’ont pas encore été exportés. Tous les graphiques Exporte tous les graphiques qui n’ont pas encore été exportés. Tous les graphiques et articles Exporte tous les articles et graphiques qui n’ont pas encore été exportés.

Si, après avoir exporté tout le contenu d’un document, vous ajoutez d’autres blocs de texte ou blocs graphiques à ce même document, vous pouvez exporter tous les nouveaux articles en choisissant de nouveau la commande Exporter >

Tous les articles (ou Tous les graphiques ou Tous les graphiques et articles). InDesign exporte uniquement le nouveau contenu. 4 Entrez un nom et un emplacement pour le fichier, puis cliquez sur Enregistrer.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Le contenu partagé s’affiche dans le panneau Liens comme tout graphique importé. Si vous déplacez un fichier partagé manuellement, vous pouvez utiliser le panneau Liens pour mettre à jour son lien. Lorsque vous exportez du contenu, l’icône Disponible s’affiche dans le bloc de texte (InDesign et InCopy) et dans le panneau Affectations (InCopy). La mention [Modification en cours] s’affiche dans la barre d’articles (InCopy).

Assemblages d’affectation

Création et envoi d’assemblages (InDesign) Dans l’idéal, tous les utilisateurs InDesign et InCopy de l’équipe ont accès à un serveur où sont stockés les fichiers d’affectation. Toutefois, si des utilisateurs n’ont pas accès à un serveur commun, vous pouvez créer et distribuer des assemblages d’affectation compressés. Après avoir travaillé sur l’affectation, l’utilisateur InCopy reconstitue l’assemblage de cette affectation et le renvoie afin qu’il soit intégré au document InDesign. Les fichiers d’assemblage créés dans InDesign portent l’extension .icap. Les fichiers d’assemblage renvoyés créés dans InCopy portent l’extension .idap. Deux commandes permettent d’assembler des fichiers : Assembler pour InCopy et Assembler et envoyer par courrier électronique. La commande Assembler pour InCopy permet de créer un assemblage compressé que vous pouvez envoyer manuellement ; la commande Assembler et envoyer par courrier électronique crée un assemblage compressé qui est joint automatiquement à un message électronique. Remarque : ne confondez pas l’assemblage d’affectation et la commande Fichier > Assemblage d’InDesign qui permet de grouper et d’envoyer un document et ses actifs à une imprimante.

« Assemblage de fichiers » à la page 684

Pour créer un assemblage en vue d’une distribution manuelle

1 Créez une affectation et ajoutez le contenu que vous souhaitez inclure dans l’assemblage.

Seul le contenu archivé peut être inclus dans l’affectation assemblée. Si une partie du contenu est extraite, vous êtes invité à l’archiver.

2 Dans le panneau Affectations, sélectionnez l’affectation souhaitée et choisissez la commande Assembler pour

InCopy dans le menu du panneau.

3 Indiquez le nom et l’emplacement du fichier d’affectation, puis cliquez sur Enregistrer.

Vous pouvez joindre le fichier d’affectation à un courrier électronique, le télécharger sur un serveur FTP ou le copier sur un disque ou autre support externe.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Créez une affectation et ajoutez le contenu que vous souhaitez inclure dans l’assemblage.

Seul le contenu archivé est inclus dans l’affectation assemblée. Si une partie du contenu est extraite, vous êtes invité à l’archiver.

2 Dans le panneau Affectations, sélectionnez l’affectation souhaitée et choisissez la commande Assembler pour

InCopy et envoyer par courrier électronique dans le menu du panneau.

Un assemblage d’affectation compressé est créé et joint à un message électronique dans votre programme de messagerie électronique par défaut. Remarque : si vous souhaitez utiliser une autre application de messagerie, modifiez l’application de messagerie par défaut. Pour plus de détails, reportez-vous à la documentation de votre système. 3 Modifiez le message électronique en ajoutant un destinataire et des instructions si nécessaire. Envoyez le message.

Tous les éléments de l’affectation sont extraits vers l’utilisateur désigné. Cependant, le contenu de l’assemblage même n’est pas verrouillé. De ce fait, tout utilisateur peut ouvrir l’assemblage et en modifier le contenu.

Pour annuler un assemblage

Dans certains cas, l’assemblage que vous envoyez n’est pas renvoyé. Par exemple, le message a pu se perdre, ou le destinataire ne travaille plus sur le projet. Dans ce cas, vous pouvez annuler un assemblage. 1 Dans le panneau Affectations, sélectionnez l’affectation assemblée et choisissez la commande Annuler l’assemblage

d’affectation dans le menu du panneau.

2 Cliquez sur le bouton OK pour annuler l’assemblage.

L’annulation d’un assemblage ne supprime pas le fichier d’assemblage de l’ordinateur.

Lorsqu’un assemblage est annulé, son contenu est modifiable. Notez que des conflits peuvent survenir si un assemblage annulé est renvoyé.

Pour mettre à jour un assemblage

Après avoir créé un assemblage, vous pouvez ajouter, supprimer ou redimensionner des éléments. 1 Ajoutez, supprimez ou redimensionnez un ou plusieurs articles de l’affectation assemblée. 2 Sélectionnez l’affectation dans le panneau Affectations, puis utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans le menu du panneau Affectations, choisissez la commande Mettre à jour l’assemblage. Indiquez le nom et l’emplacement du fichier. Mettez l’assemblage mis à jour à disposition des utilisateurs en le plaçant sur un serveur partagé ou en l’envoyant par courrier électronique. N’oubliez pas de signaler aux utilisateurs InCopy que l’assemblage a été mis à jour.

• Choisissez la commande Mettre à jour l’assemblage et l’envoyer par courrier électronique dans le menu du panneau Affectations, puis envoyez le message.

Lorsque les utilisateurs InCopy ouvrent l’assemblage mis à jour, seul le nouveau contenu est ajouté automatiquement à l’affectation. Les utilisateurs InCopy peuvent choisir de remplacer le contenu existant. Ils peuvent ainsi conserver des modifications précédentes.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

« Enregistrement des modifications (InCopy) » à la page 748

Pour ouvrir un assemblage (InCopy)

❖ Pour ouvrir un assemblage InCopy (*.icap ou *.incp), utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Lancez l’assemblage depuis le programme de messagerie électronique. Par exemple, cliquez deux fois sur le fichier joint.

• Ouvrez le fichier à partir de l’Explorateur ou du Finder. Cliquez deux fois sur le fichier ou faites-le glisser sur l’icône de l’application InCopy.

• Dans InCopy, choisissez Fichier > Ouvrir, puis cliquez deux fois sur le fichier d’assemblage d’affectation.

• Dans InCopy, choisissez la commande Ouvrir l’assemblage dans le menu du panneau Affectations, puis cliquez deux fois sur le fichier d’assemblage. Vous pouvez à présent modifier les articles de l’assemblage. Lorsque vous commencez à modifier un article, vous êtes invité à extraire le contenu du bloc. Une fois les modifications terminées, enregistrez l’ensemble du contenu et renvoyez l’assemblage ou transférez-le.

Pour renvoyer ou transférer un assemblage (InCopy)

Après avoir ouvert et modifié un assemblage, vous pouvez l’envoyer à un autre utilisateur InCopy ou le renvoyer à l’utilisateur InDesign ayant créé l’assemblage. Les fichiers d’assemblage créés pour d’autres utilisateurs d’InCopy portent l’extension .icap. Les fichiers d’assemblage renvoyés aux utilisateurs d’InDesign portent l’extension .idap. 1 Modifiez et archivez le contenu à inclure dans l’assemblage. 2 Dans le menu du panneau Affectations, choisissez l’une des commandes suivantes : Transférer pour InCopy Crée un assemblage pour un autre utilisateur InCopy. Spécifiez le nom et l’emplacement du

fichier d’affectation et mettez-le à disposition de l’utilisateur InCopy.

Transférer pour InCopy et envoyer par courrier électronique Crée un assemblage et l’envoie par courrier électronique à un autre utilisateur InCopy. L’assemblage apparaît comme pièce jointe à un nouveau message électronique dans votre programme de messagerie électronique par défaut. indiquez le destinataire, ajoutez des instructions et envoyez le message. Renvoyer pour InDesign Crée un assemblage à renvoyer à l’utilisateur InDesign. Renvoyer pour InDesign et envoyer par courrier électronique Crée et renvoie par courrier électronique un assemblage à l’utilisateur InDesign. L’assemblage apparaît comme pièce jointe à un nouveau message électronique dans votre programme de messagerie électronique par défaut. indiquez le destinataire, ajoutez des instructions et envoyez le message.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

A l’ouverture de l’assemblage, vous êtes invité à mettre à jour tous les liens. Si un article a été modifié depuis l’assemblage de l’affectation, vous pouvez choisir de mettre à jour le contenu dans le fichier InDesign ou d’en rompre le lien. Lorsque les articles des fichiers sont renvoyés et archivés, vous pouvez en extraire le contenu pour le modifier.

« Mise à jour des fichiers d’affectation (InDesign) » à la page 744 « Rupture du lien de fichiers de contenu (InDesign) » à la page 750

Utilisation des fichiers gérés

Ouverture de contenu partagé Seuls les utilisateurs d’InCopy peuvent ouvrir les fichiers d’affectation (.inca). Lorsqu’un utilisateur d’InCopy ouvre un fichier InDesign contenant des affectations, il a accès à tout le contenu géré, quelles que soient les affectations. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Dans InCopy, choisissez la commande Fichier > Ouvrir, sélectionnez un fichier d’affectation (.icma ou .inca), puis cliquez sur la commande Ouvrir.

• Dans InDesign ou InCopy, choisissez Fichier > Ouvrir, sélectionnez un fichier InDesign (.indd) comportant du contenu affecté, puis cliquez sur Ouvrir.

Lors de l’extraction d’un élément, un fichier de verrouillage masqué (.idlk) est placé sur le système de fichiers. Une fois le contenu extrait, vous disposez du contrôle exclusif de son contenu. Les autres utilisateurs ne sont pas autorisés à effectuer des modifications. Vous pouvez extraire le contenu InCopy uniquement ; vous ne pouvez pas extraire les documents InDesign comportant des informations de mise en page.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Lors de l’extraction du contenu disponible dans InDesign, l’icône Modification est affichée sur le bloc InDesign. Dans InCopy, l’icône En cours d’utilisation s’affiche dans le bloc InCopy et dans le panneau Affectations si les fichiers d’affectation sont stockés sur un serveur local.

Pour extraire du contenu (InCopy)

1 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Si le contenu souhaité appartient à l’affectation, choisissez la commande Fichier > Ouvrir, puis sélectionnez le fichier d’affectation (.imca ou .inca).

• Si le contenu souhaité a été exporté dans des fichiers individuels, choisissez Fichier > Ouvrir, puis sélectionnez le fichier InCopy (.icml ou .incx). Pour afficher la mise en page afin d’effectuer le calibrage, sélectionnez le document InDesign.

2 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour extraire un fichier de contenu InCopy, choisissez Fichier > Extraire.

• Pour extraire tout le contenu d’une affectation, sélectionnez l’affectation dans le panneau Affectations et choisissez Extraire dans le menu du panneau.

• Pour extraire des éléments individuels d’une affectation, ouvrez la liste des affectations dans le panneau

Affectations, sélectionnez un ou plusieurs éléments et choisissez Extraire dans le menu du panneau. L’icône Modification s’affiche en regard des éléments dans le panneau Affectations, indiquant que le contenu est extrait et qu’il est réservé à votre usage. 3 Si vous êtes invité à mettre à jour le contenu avec les modifications, cliquez sur OK.

Lors de l’extraction du contenu disponible dans InCopy, l’icône Modification s’affiche sur le bloc InCopy et dans le panneau Affectations. Dans InDesign, l’icône En cours d’utilisation s’affiche dans le bloc InDesign.

Ouverture de fichiers gérés (InCopy)

Pour rédiger un texte et effectuer des modifications rapidement, il est conseillé d’ouvrir un fichier de contenu géré (.icml ou .incx) directement dans InCopy et de l’utiliser en mode Article. Il est inutile d’extraire un fichier géré indépendant pour le modifier ; InCopy s’en charge automatiquement. Après l’enregistrement et la fermeture du fichier, InCopy l’archive automatiquement. Les commandes Enregistrer sont différentes lorsque vous ouvrez des fichiers indépendants.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Vous pouvez enregistrer les modifications manuellement dans les affectations lorsque vous fermez le document en cours. La seule méthode pour rendre les modifications de mise en page disponibles aux utilisateurs d’InCopy consiste à mettre à jour un fichier d’affectation. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour mettre à jour les affectations sélectionnées, sélectionnez-les dans le panneau Affectations, puis choisissez

Mettre à jour les affectations sélectionnées dans le menu du panneau.

• Pour mettre à jour toutes les affectations obsolètes dans le document en cours, choisissez la commande Mettre à jour les affectations obsolètes dans le menu du panneau Affectations. Seules les affectations obsolètes sont mises à jour.

• Pour mettre à jour toutes les affectations dans le document en cours, choisissez la commande Mettre à jour toutes les affectations dans le menu du panneau Affectations.

Remarque : si un utilisateur InCopy a ouvert une affectation que vous mettez à jour, l’icône Obsolète regard de l’affectation dans le panneau Affectations d’InCopy.

« Mise à jour de contenu » à la page 744 « Création et envoi d’assemblages (InDesign) » à la page 739

Mise à jour de contenu

Pour vous assurer que vous utilisez le dernier contenu, vérifiez si le panneau Affectations contient des icônes Obsolète et mettez à jour le contenu en conséquence. La mise à jour d’un fichier d’affectation InCopy et de son contenu ou de fichiers de contenu indépendants entraîne la copie des données de la copie du système de fichiers la plus récente afin que la version affichée sur votre ordinateur corresponde à celle du système de fichiers. La mise à jour ne nécessite ni archivage ni extraction et ne donne aucune autorisation d’édition. Elle peut toutefois poser certains problèmes si un autre utilisateur a supprimé votre verrouillage. Remarque : la mise à jour du contenu ne suffit pas à mettre à jour le contenu des assemblages d’affectation qui n’ont pas été renvoyés. Exemple de mise à jour du flux de production : 1 L’utilisateur d’InCopy ouvre un fichier d’affectation ou extrait un fichier de contenu indépendant et modifie son

2 L’utilisateur d’InCopy enregistre le fichier de contenu (ce qui revient à mettre à jour sa version sur le système de

fichiers) et continue son travail.

3 Dans InDesign, l’icône Obsolète

s’affiche dans les panneaux Affectations et Liens en regard de la sélection, et les icônes En cours d’utilisation et Le contenu textuel est obsolète ou Le contenu graphique est obsolète s’affichent sur le bloc associé.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

1 Choisissez Fichier > Ouvrir, sélectionnez le fichier texte de votre choix, puis cliquez sur Ouvrir. 2 Cliquez sur Oui après l’affichage du message pour mettre à jour le document avec le contenu modifié sur le système

3 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour permettre à InDesign de mettre à jour les liens, cliquez sur Réparer les liens automatiquement.

• Pour réparer les liens manuellement, cliquez sur Ne pas réparer, puis sélectionnez le fichier à mettre à jour et choisissez Mettre à jour le lien dans le menu du panneau Liens.

Pour mettre à jour du contenu au cours de son utilisation (InDesign)

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Sélectionnez un bloc de texte ou un bloc graphique dans la mise en page et choisissez Edition > InCopy > Mettre à jour le contenu.

• Dans le panneau Liens, sélectionnez un bloc de texte ou un bloc graphique, puis cliquez sur le bouton Mettre à jour le lien

ou choisissez Mettre à jour le lien dans le menu du panneau Affectations.

Pour mettre à jour du contenu au cours de son utilisation (InCopy)

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Placez le point d’insertion dans un bloc de texte pour le sélectionner, puis choisissez Fichier > Mettre à jour le contenu.

• Dans le panneau Affectations, sélectionnez le contenu, puis cliquez sur le bouton Mettre à jour le contenu ou choisissez Mettre à jour le contenu dans le panneau Affectations.

Vous pouvez également mettre à jour le contenu à l’aide du panneau Liens.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Mise à jour de la mise en page InDesign Les utilisateurs d’InDesign peuvent modifier la mise en page (par exemple, modifier la taille et l’emplacement des blocs de texte d’un article) et enregistrer les modifications pendant que les utilisateurs d’InCopy modifient le texte de ces blocs. Dans un flux de production de serveur partagé, la manière dont les utilisateurs InCopy sont avertis des modifications de mise en page varie selon qu’ils ont ouvert un fichier d’affectation ou extrait des fichiers de contenu indépendants et ouvert le fichier InDesign lié. Gardez les points suivants à l’esprit :

• Si un utilisateur d’InDesign modifie la mise en page des blocs d’une affectation, l’utilisateur doit mettre à jour l’affectation afin de rendre les modifications de maquette disponibles aux utilisateurs d’InCopy. InDesign ne met pas automatiquement les fichiers d’affectation à jour lors de l’enregistrement du document.

• Une fois que l’utilisateur InDesign a mis à jour l’affectation se trouvant sur un serveur partagé, l’icône Obsolète s’affiche en regard de l’affectation dans le panneau Affectations d’InCopy. L’utilisateur d’InCopy doit mettre à jour la maquette pour afficher la mise en page actuelle.

• Si un utilisateur InDesign modifie la mise en page d’un contenu exporté qui n’appartient pas à une affectation, l’icône Obsolète s’affiche en regard du nom du document InDesign dans le panneau Affectations et la barre de titre du document signale que la mise en page est obsolète. Les utilisateurs d’InCopy peuvent mettre à jour le document

InDesign actif avec les dernières modifications de mise en page et de style. La mise à jour de la mise en page dans InCopy est utile pour les tâches de calibrage, l’aspect le plus récent de la mise en page (avec sauts de lignes) étant visible dans les modes Mise en page et Epreuve en placard. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Si vous avez ouvert un fichier d’affectation et que le panneau Affectations affiche l’icône Obsolète nom de l’affectation, cliquez sur le bouton Mettre à jour la maquette

à jour la maquette. Il est impossible d’annuler cette commande.

en regard du ou choisissez la commande Fichier > Mettre

• Si vous n’utilisez pas de fichiers d’affectation et que plusieurs documents InDesign sont ouverts, sélectionnez celui que vous souhaitez rendre actif, puis choisissez Fichier > Mettre à jour la maquette.

Archivage du contenu

Lors de l’archivage d’un fichier de contenu géré, ce fichier est enregistré dans un emplacement partagé d’un système de fichiers. Il peut ensuite être extrait par d’autres utilisateurs pour modification. Les blocs de texte et les blocs graphiques exportés depuis InDesign sont également archivés automatiquement. Bien qu’un fichier archivé soit accessible en modification, il n’est pas véritablement modifiable avant son extraction (sauf si vous éditez le contenu en mode autonome dans InCopy). L’archivage du contenu entraîne l’arrêt du contrôle de l’édition, mais pas la fermeture du fichier. Le contenu reste ouvert à l’écran, mais en mode lecture seule. Les modules externes LiveEdit Workflow créent une seule version de fichier. La version précédente de chaque fichier est automatiquement écrasée lors de sa mise à jour dans InCopy ou InDesign.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Sélectionnez le contenu dans la mise en page et choisissez Edition > InCopy > Archiver.

• Dans le panneau Affectations, sélectionnez le contenu et choisissez Archiver dans le menu du panneau.

Pour archiver du contenu géré (InCopy)

❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Sélectionnez le contenu en mode Mise en page et choisissez Fichier > Archiver.

• Dans le panneau Affectations, sélectionnez le contenu et choisissez Archiver dans le menu du panneau. Remarque : vous pouvez annuler les modifications les plus récentes avant d’archiver le contenu. Lorsque vous archivez un fichier, l’icône Disponible s’affiche sur les blocs de texte et les blocs graphiques dans la mise en page InDesign, le mode Mise en page d’InCopy, le panneau Affectations et la barre d’articles (InCopy).

Enregistrement des modifications (InDesign)

Lorsque vous travaillez sur un contenu extrait, vous pouvez enregistrer et mettre à jour sa version sur le système de fichiers. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour enregistrer le contenu ailleurs que dans le document InDesign ou ses fichiers liés, sélectionnez le contenu dans la mise en page et choisissez Edition > InCopy > Enregistrer le contenu.

• Pour enregistrer tous les fichiers de contenu extraits sous votre nom, choisissez Fichier > Enregistrer. Ce type d’enregistrement ne met pas automatiquement à jour les fichiers d’affectation ou les fichiers de contenu extraits dans InCopy. Cependant, le panneau Affectation des fichiers extraits dans InCopy affiche l’icône Obsolète .

• Pour enregistrer le document InDesign sous un nouveau nom avec des liens vers les fichiers InCopy existants, choisissez Fichier > Enregistrer sous. Les affectations du fichier InDesign sont alors présentées comme manquantes, jusqu’à leur mise à jour.

• Pour enregistrer une copie du document actif en cours, choisissez Fichier > Enregistrer une copie. Vous pouvez choisir de donner un nouveau nom et un nouvel emplacement à la copie, ainsi que des liens vers tout fichier InCopy approprié.

« Mise à jour de contenu » à la page 744

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Fichier > Enregistrer le contenu. Le fichier reste extrait pour vous pendant le processus.

• Pour enregistrer le fichier de contenu InCopy sous un nouveau nom, choisissez Fichier > Enregistrer le contenu sous. Le fichier de contenu créé n’est pas géré dans le flux de production. La commande Enregistrer le contenu sous est uniquement disponible si vous avez ouvert le fichier de contenu InCopy (.icml ou .incx) directement.

• Pour enregistrer une copie du fichier de contenu InCopy actif, choisissez Fichier > Enregistrer une copie du contenu. Vous pouvez choisir de donner un nouveau nom et un nouvel emplacement à la copie. La copie enregistrée n’est pas gérée dans le flux de production. La commande Enregistrer une copie du contenu est uniquement disponible si vous avez ouvert le fichier de contenu InCopy (.icml ou .incx) directement.

• Pour enregistrer tous les fichiers de contenu InCopy extraits et ouverts, choisissez Fichier > Enregistrer tout le contenu. Cette commande enregistre tous les fichiers à leur emplacement actuel. La commande Enregistrer tout le contenu est uniquement disponible si vous avez ouvert un fichier d’affectations ou un fichier InDesign.

Réglage de votre flux de production

Déplacement de contenu entre les affectations (InDesign) Les utilisateurs d’InDesign peuvent déplacer du contenu entre les affectations existantes, ainsi qu’à partir de la section Contenu InCopy non affecté du panneau Affectations. Vous pouvez également créer une affectation et y placer du contenu. 1 Enregistrez le document InDesign. 2 Dans le panneau Affectations, cliquez sur la flèche à gauche du nom de l’affectation pour afficher son contenu. 3 Sélectionnez un élément dans une affectation. 4 Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Faites glisser le contenu d’une affectation vers une autre.

• Pour déplacer le contenu vers une affectation existante, choisissez la commande Ajouter à l’affectation dans le menu du panneau Affectations, puis sélectionnez l’affectation souhaitée.

• Pour créer une affectation lorsque vous déplacez du contenu, choisissez la commande Ajouter à l’affectation >

Nouveau, puis définissez les options dans la boîte de dialogue Nouvelle affectation. 5 Dans le menu du panneau Affectations, choisissez Mettre à jour toutes les affectations.

Si les listes d’affectation sont courtes, vous pouvez faire glisser les éléments de contenu depuis et vers les affectations et la section Contenu InCopy non affecté.

« Rupture du lien de fichiers de contenu (InDesign) » à la page 750

Suppression des affectations (InDesign)

❖ Dans le panneau Affectations, sélectionnez une ou plusieurs affectations, puis choisissez Supprimer l’affectation

dans le menu du panneau.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

• la suppression du fichier d’affectation du système de fichiers ; • le retrait du nom de l’affectation de la liste ; • le déplacement du contenu InCopy vers la section Contenu InCopy non affecté du panneau Affectations. Remarque : si un utilisateur InCopy a ouvert une affectation supprimée dans InDesign, une alerte avertit l’utilisateur d’InCopy que l’affectation a été supprimée. Toutefois, les fichiers de contenu ne sont pas supprimés et peuvent être mis à jour sans entraîner la perte des modifications.

« Rupture du lien de fichiers de contenu (InDesign) » à la page 750

Réédition de liens vers les fichiers d’affectation manquants (InDesign)

Si vous déplacez ou supprimez un fichier d’affectation sur le disque, puis ouvrez le document InDesign à partir duquel il a été créé, InDesign ne connaît pas l’emplacement du fichier d’affectation. Vous devez recréer le fichier d’affectation afin qu’InDesign puisse le localiser.

« Mise à jour, restauration et remplacement de liens » à la page 428

Pour recréer le fichier d’affectation à son emplacement d’origine

❖ Dans le panneau Affectations, utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Sélectionnez l’affectation manquante (elle est encore répertoriée dans le panneau), puis choisissez Mettre à jour les affectations sélectionnées dans le menu du panneau.

• Dans le menu du panneau, choisissez Mettre à jour toutes les affectations.

Pour modifier l’emplacement de l’affectation

❖ Pour recréer le fichier d’affectation à un nouvel emplacement, dans le panneau Affectations, utilisez l’une des

méthodes suivantes :

• Sélectionnez l’affectation et choisissez Modifier l’emplacement de l’affectation dans le menu du panneau. Spécifiez un emplacement et un nom pour le nouveau fichier.

Modifier pour définir l’emplacement et le nom du nouveau fichier.

Correction des erreurs

Si vous avez commis une erreur, vous pouvez annuler les modifications effectuées depuis la dernière activation de la commande Enregistrer et restaurer le contenu à partir du système de fichiers. Etant donné qu’InDesign enregistre automatiquement tout fichier de contenu InCopy modifiable lors de l’enregistrement d’un document, la commande Annuler Extraire restaure l’état des articles lors du dernier enregistrement du document. ❖ Utilisez l’une des méthodes suivantes :

• Pour annuler la dernière modification effectuée, choisissez Edition > Annuler [action].

Dernière mise à jour le 18/5/2011

UTILISATION D’INDESIGN Partage de contenu entre InCopy et InDesign

Les utilisateurs peuvent ne pas immédiatement réaliser l’effet de leurs actions sur les autres membres du flux de production, ce qui peut créer des conflits entre l’état du contenu et les autorisations. Si nécessaire, l’utilisateur d’InDesign peut résoudre les conflits en rompant le lien d’un fichier verrouillé extrait pour un utilisateur différent et en reprenant le contrôle exclusif du fichier. Lorsque vous rompez le lien d’un fichier, le contenu est stocké dans le document InDesign, mais il n’est plus partagé avec InCopy.

« Rupture du lien de fichiers de contenu (InDesign) » à la page 750 « Mise à jour accidentelle » à la page 746

Rupture du lien de fichiers de contenu (InDesign)

Si nécessaire (en raison d’un délai de production, par exemple), les utilisateurs d’InDesign peuvent retirer un fichier de contenu du flux de production géré et du panneau Liens en rompant son lien. Si vous souhaitez que le contenu puisse être à nouveau modifié, vous devez le réexporter en tant que contenu InCopy en utilisant un nom de fichier différent. Cela permet d’éviter que le fichier de verrouillage empêche les utilisateurs de modifier le fichier. Remarque : lorsque vous rompez le lien de vos propres fichiers extraits, ces fichiers et les fichiers de verrouillage sont supprimés du flux de production et du disque. Vous pouvez réexporter le contenu et remplacer le nom de fichier sans provoquer de conflit. ❖ Pour rompre le lien d’un fichier de contenu InCopy, dans le panneau Liens, sélectionnez le fichier (extension .icml

ou .incx) et choisissez la commande Rompre le lien dans le menu du panneau. La rupture du lien entraîne l’intégration du contenu dans le document et supprime le lien vers le fichier InCopy sur le disque.

Pour rétablir le lien du fichier, choisissez Edition > Annuler Rompre le lien. Vous pouvez également rompre le lien en supprimant un bloc ou en utilisant le panneau Liens d’InDesign pour rétablir le lien d’un fichier de contenu à un autre fichier. Vous pouvez aussi sélectionner l’article dans le panneau Affectations et le faire glisser vers l’icône de la corbeille.

Importation de fichiers InCopy dans des documents InDesign

Même si un flux de production commence en général dans InDesign, où la mise en page de base et les balises d’emplacement du texte et des graphiques sont définis et exportés vers InCopy, un autre flux de production peut démarrer avec un fichier de contenu InCopy autonome (.icml ou .incx) que vous importez dans InDesign à l’aide de la commande Fichier > Importer. Tenez compte des règles suivantes lors de l’importation de fichiers de contenu dans un document InDesign : Styles Si des styles ont été appliqués au fichier de contenu InCopy, ils sont ajoutés à la liste de styles InDesign pour le document. En cas de conflit des noms de styles, InDesign écrase le style importé et le remplace par le style existant.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

InCopy sont incorporés au document InCopy et ne sont pas liés à un fichier externe. Importation/duplication Si vous importez un fichier de contenu InCopy plusieurs fois, chaque occurrence du contenu apparaît dans le panneau Liens d’InDesign, mais ces occurrences sont toutes gérées comme un seul fichier de contenu. La règle est la même pour toute copie exacte d’un fichier de contenu (par duplication).

Remarque : si vous copiez et collez une partie du texte d’un fichier de contenu InCopy géré, cela entraîne la création d’un nouveau fichier de contenu sans aucun lien avec l’original ou avec un fichier externe (InCopy ou autre). Il est possible d’éditer l’original et les parties collées indépendamment.

Mises à jour/gestion Lorsque plusieurs occurrences d’un fichier de contenu géré se trouvent dans un document InDesign, elles se comportent comme si elles étaient ouvertes dans deux applications. Par exemple, l’extraction d’une occurrence du fichier de contenu a pour effet de verrouiller toutes les autres occurrences, ce qui permet de modifier uniquement l’occurrence extraite. Dans ce cas, vous devez utiliser la commande Mise à jour appropriée pour mettre à jour les autres occurrences (ouvertes) du contenu.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Consultez ces tableaux pour savoir quels sont les équivalents des commandes d’Adobe PageMaker dans Adobe InDesign CS5.

Commandes du menu Fichier de PageMaker

Commande PageMaker Pas d’équivalence

Vous pouvez faire glisser des objets depuis un navigateur Web vers InDesign sans avoir besoin de configurer une doublure.

Numérisez les images à l’aide du logiciel livré avec votre scanner, puis importez-les dans InDesign.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

InDesign ne prend pas en charge l’option de publication/abonnement ; vous pouvez toutefois définir des options similaires dans le panneau Liens.

Vous pouvez également sélectionner Editer l’original dans le menu du panneau Liens.

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Cliquez et faites glisser des pages pour les trier dans le panneau Pages.

chargée s’affiche

Typographie > Définir les styles

Texte > Styles de paragraphe ou Texte >

Styles de caractère

Choisissez Nouveau style de paragraphe dans le panneau Styles de paragraphe pour créer un style de paragraphe. Choisissez Nouveau style de caractère dans le panneau Styles de paragraphe pour créer un style de caractère.

Commandes du menu Elément de PageMaker

Elément > Bloc > Intégrer le contenu

Pas d’équivalence

InDesign crée automatiquement un bloc pour les fichiers texte ou les graphiques importés. Pour coller du contenu dans un bloc existant, sélectionnez le bloc, puis importez ou collez le contenu dans ce bloc.

Elément > Bloc > Options de bloc

Objet > Options de bloc de texte (blocs de Pour les blocs de texte, spécifiez les colonnes, texte seulement) ou Objet > Ajustement l’alignement vertical et la marge dans la boîte de dialogue Options de bloc de texte. Définissez l’alignement horizontal dans le panneau Paragraphe

(Texte > Paragraphe). Pour les blocs de texte et les graphiques, utilisez les commandes du sous-menu Objet > Ajustement pour ajuster le contenu au bloc (ou inversement).

Elément > Bloc > Convertir en bloc

Commandes du menu Options de PageMaker Commande PageMaker

Pour masquer les éléments non imprimables, sélectionnez le mode d’affichage Aperçu

Vous pouvez également créer un calque pour les objets à ne pas imprimer, puis afficher ou masquer ce calque avant une impression ou une exportation.

Commande+Option+G (Mac OS) pour sélectionner tous les repères de la planche active et appuyez sur la touche Supprimer.

Affichage > Repères à l’arrière-plan

Pas d’équivalence

Informations supplémentaires

Sélectionnez l’option Repères en arrière-plan.

La liste des raccourcis clavier présentée dans ce tableau n’est pas exhaustive. Elle répertorie uniquement les raccourcis qui ne s’affichent pas dans des commandes de menu ou des info-bulles. Choisissez la commande Fenêtre > Utilitaires > Info-bulles des outils, puis sélectionnez un outil pour afficher les touches de modification et raccourcis correspondants. Outil

Dernière mise à jour le 18/5/2011

La liste des raccourcis clavier présentée dans ce tableau n’est pas exhaustive. Elle répertorie uniquement les raccourcis qui ne s’affichent pas dans des commandes de menu ou des info-bulles. Résultat

Dernière mise à jour le 18/5/2011

Maj+faire glisser la bordure intérieure de la ligne ou de la colonne

Maj+faire glisser la bordure intérieure de la ligne ou de la colonne

Redimensionne les lignes ou les colonnes proportionnellement

Maj+faire glisser la bordure droite ou inférieure du tableau

Maj+faire glisser la bordure droite ou inférieure du tableau

La liste des raccourcis clavier présentée dans ce tableau n’est pas exhaustive. Elle répertorie uniquement les raccourcis qui ne s’affichent pas dans des commandes de menu ou des info-bulles. Résultat

Double-clic sur un mot

Sélectionne un caractère à droite ou à gauche Maj+Touche flèche droite/Touche flèche gauche

Maj+Touche flèche droite/Touche flèche gauche

La liste des raccourcis clavier présentée dans ce tableau n’est pas exhaustive. Elle répertorie uniquement les raccourcis qui ne s’affichent pas dans des commandes de menu ou des info-bulles. Résultat

Utilise le facteur de zoom actif pour le seuil d’affichage du nouveau repère

Alt+faire glisser le repère

Option+faire glisser le repère

Sélectionne des boutons dans les boîtes de dialogue d’avertissement

Appuyez sur la touche de la première lettre du bouton, si soulignée

Appuyez sur la touche de la première lettre du bouton

Affiche des informations sur les modules

Ctrl+Aide > A propos d’InDesign externes et les composants InDesign installés

Commande+menu InDesign > A propos d’InDesign

Utilisation de fichiers XML La liste des raccourcis clavier présentée dans ce tableau n’est pas exhaustive. Elle répertorie uniquement les raccourcis qui ne s’affichent pas dans des commandes de menu ou des info-bulles.

Crée un élément et définit les options

Alt-clic sur le bouton Nouveau

Option-clic sur le bouton Nouveau

Applique la valeur et conserve la sélection sur Maj+Entrée l’option

Alt+Ctrl-clic dans la liste, puis utilisation du clavier pour sélectionner un élément par son nom

Option+Commande-clic dans la liste, puis utilisation du clavier pour sélectionner un

élément par son nom

Ouvre le panneau Ombre portée

Ouvre la boîte de dialogue Déplacement

Alt-clic sur l’icône de mise à l’échelle sur X ou

Y Option-clic sur l’icône de mise à l’échelle sur X

ou Y Ouvre la boîte de dialogue Déformation

Alt-clic sur l’icône Angle de déformation sur X Option-clic sur l’icône Angle de déformation

sur X Ouvre les préférences de texte

Alt-clic sur le bouton Supérieur/Exposant,

Inférieur/Indice ou Petites capitales

Option-clic sur le bouton

Supérieur/Exposant, Inférieur/Indice ou Petites capitales

Ouvre la boîte de dialogue Options de soulignement

Option-clic sur le bouton Souligné

Ouvre la boîte de dialogue Options de texte barré

Alt-clic sur le bouton Barré

Option-clic sur le bouton Barré

Ouvre les préférences de grille

Alt-clic sur le bouton Aligner sur la grille de

Option-clic sur le bouton Aligner sur la grille ligne de base ou Ne pas aligner sur la grille de de ligne de base ou Ne pas aligner sur la grille ligne de base de ligne de base

Ouvre la boîte de dialogue Lettrines et styles imbriqués

Alt-clic sur l’icône Nombre de lignes en lettrine ou Un ou plusieurs caractères en lettrine

Option-clic sur l’icône Nombre de lignes en lettrine ou Un ou plusieurs caractères en lettrine

Ouvre la boîte de dialogue Justification

Alt-clic sur l’icône Interligne

Option-clic sur l’icône Interligne

Panneaux et boîtes de dialogue de texte

La liste des raccourcis clavier présentée dans ce tableau n’est pas exhaustive. Elle répertorie uniquement les raccourcis qui ne s’affichent pas dans des commandes de menu ou des info-bulles. Résultat

Dernière mise à jour le 18/5/2011

touches Maj+Alt+Ctrl+C Sélectionnez le texte et appuyez sur les

touches Maj+Option+Commande+C Met en correspondance la définition du style de paragraphes et le texte

Sélectionnez le texte et appuyez sur les

touches Maj+Alt+Ctrl+R Sélectionnez le texte et appuyez sur les

touches Maj+Option+Commande+R Modifie les options sans appliquer le style

Maj+Alt+Ctrl+double-clic sur le style

Maj+Option+Commande+double-clic sur le style

Annule le style et la mise en forme locale

Alt-clic sur le nom du style de paragraphes

Option-clic sur le nom du style de paragraphes

Efface les remplacements du style de paragraphes

Alt+Maj-clic sur le nom du style de paragraphes

Option+Maj-clic sur le nom du style de paragraphes

Affiche/masque les panneaux Styles de paragraphe et de caractère, respectivement

Option-clic sur le calque

Copie la sélection sur un autre calque

Alt-faire glisser le petit carré vers le nouveau calque

Option-faire glisser le petit carré vers le nouveau calque

Option-clic sur le gabarit

Crée un nouveau gabarit d’après le gabarit sélectionné

Alt-clic sur le gabarit de référence

Option-clic sur le gabarit de référence

Ctrl-clic sur le bouton Créer une page

Commande-clic sur le bouton Créer une page

Affiche la boîte de dialogue Insérer des pages Alt-clic sur le bouton Créer une page

Option-clic sur le bouton Créer une page

Alt-clic sur la gamme de couleurs

Option-clic sur la gamme de couleurs

Bascule entre les modes de couleur (CMJN, RVB, LAB)

Maj-clic sur la gamme de couleurs

Maj-clic sur la gamme de couleurs

Utilisation du panneau Aperçu des séparations

La liste des raccourcis clavier présentée dans ce tableau n’est pas exhaustive. Elle répertorie uniquement les raccourcis qui ne s’affichent pas dans des commandes de menu ou des info-bulles. Résultat

Option+Commande-clic sur le bouton Nouvelle nuance

Modifie les options sans appliquer la nuance

Maj+Alt+Ctrl+double-clic sur la nuance

Maj+Option+Commande+double-clic sur la nuance

Panneau Transformation

La liste des raccourcis clavier présentée dans ce tableau n’est pas exhaustive. Elle répertorie uniquement les raccourcis qui ne s’affichent pas dans des commandes de menu ou des info-bulles. Résultat