35S - Calculatrice scientifique HP - Notice d'utilisation et mode d'emploi gratuit

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FOIRE AUX QUESTIONS - 35S HP

Comment allumer la calculatrice HP 35S ?
Pour allumer la calculatrice HP 35S, appuyez sur le bouton 'ON' situé en bas à gauche de l'appareil.
Que faire si la calculatrice ne s'allume pas ?
Vérifiez si les piles sont installées correctement et si elles ne sont pas déchargées. Remplacez-les si nécessaire.
Comment changer les piles de la HP 35S ?
Retournez la calculatrice et retirez le couvercle du compartiment des piles. Remplacez les deux piles AAA par des neuves en respectant la polarité.
Comment réinitialiser la calculatrice HP 35S ?
Pour réinitialiser la calculatrice, maintenez enfoncé le bouton 'ON' et appuyez ensuite sur le bouton 'RCL'. Relâchez les deux boutons.
Comment effectuer des calculs en mode scientifique ?
Assurez-vous que la calculatrice est en mode 'RPN' ou 'ALG' selon votre préférence. Utilisez les touches appropriées pour entrer vos calculs.
Comment accéder aux fonctions avancées ?
Les fonctions avancées peuvent être accédées en utilisant la touche 'SHIFT' suivie de la touche correspondante à la fonction désirée.
Que faire si l'affichage est illisible ?
Vérifiez la luminosité de l'écran. Vous pouvez ajuster la luminosité en utilisant la touche 'SHIFT' suivie de la touche 'SETUP'.
Comment sauvegarder mes calculs ?
Utilisez la mémoire intégrée en appuyant sur 'STO' suivi d'un chiffre de 0 à 9 pour sauvegarder votre résultat.
Comment effacer une mémoire ou un résultat enregistré ?
Pour effacer un résultat enregistré, appuyez sur 'CLX' pour effacer la mémoire ou 'CL' suivi du numéro de la mémoire que vous souhaitez vider.
Où trouver le manuel d'utilisation de la HP 35S ?
Le manuel d'utilisation est disponible en ligne sur le site officiel de HP ou dans la boîte de votre calculatrice.

MODE D'EMPLOI 35S HP

Configuration de l’écran et du clavier 1-2 Touches shiftées 1-2 Touches alpha 1-3 Touches curseur 1-3 Retour arrière et effacement 1-4 Les modes RPN et ALG 1-9 Touche Annuler 1-11 Ecran et indicateurs 1-12 Saisie de nombres 1-15 Modification du signe d’un nombre 1-15 Exposants de dix 1-15 Comprendre les saisies au curseur 1-17 Etendue des nombres et dépassement 1-17 Executer des calculs arithmétiques 1-18 Opérations avec un seul argument ou unitaires 1-18 Opérations avec deux arguments ou binaires 1-19 Contrôle du format d’affichage 1-21 Points et virgules dans les nombres (*) (8) 1-23 Table des matières

Mémoire de la calculatrice 1-28

Vérification de la mémoire disponible1-28 Effacement de toute la mémoire 1-29

2. RPN : Pile de mémoire automatique 2-1

Introduction au concept de pile2-1 Les registres X et Y sont dans l’Affichage 2-3 Effacement du registre X2-3 Visualisation de la pile2-3 Echange des registres X et Y dans la pile 2-4 Arithmétique - Fonctionnement de la pile 2-5 Fonctionnement de la touche ENTER 2-6 Comment effacer la pile 2-7 Registre LAST X2-8 Correction d’erreurs avec LAST X 2-9 Réutilisation de nombres avec LAST X 2-10 Calculs à la chaîne en mode RPN 2-12 Mise en oeuvre des parenthèses 2-12 Exercices2-14 Ordre de calcul 2-14 Exercices supplémentaires 2-16

3. Enregistrement de données dans les variables 3-1

Enregistrement et rappel de nombres 3-2 Visualisation d’une variable 3-4

Arithmétique avec les variables enregistrées 3-6 Arithmétique sur enregistrement 3-6 Arithmétique de rappel 3-7 Echange de x avec toute autre variable 3-8 Variable « I » et « J » 3-9

4. Fonctions avec les nombres réels4-1

Fonctions exponentielle et logarithme 4-1 Quotient et reste de Division 4-2 Fonctions de puissance 4-2 Trigonométrie 4-3 Entrer π 4-3 Choix du mode angulaire 4-4 Fractions dans les équations 5-9 Fractions dans les programmes 5-10

6. Saisie et évaluation d’équations6-1

Utilisation des équations 6-1 Résumé des opérations avec les équations 6-3 Saisie d’ équations dans la liste d’équations6-4 Variables dans les équations 6-4 Nombres dans les équations6-5 Fonctions dans les équations 6-5 Les parenthèses dans les équations6-6 L’affichage et la sélection d’équations6-6 Edition et effacement d’équations6-8 Types d’équations 6-9 Evaluation d’équations6-10 Utilisation de ENTER pour l’évaluation 6-11 Utilisation de XEQ pour l’évaluation 6-12 Réponse aux invites d’équation 6-13 La syntaxe des équations 6-14

Pour plus d’informations 7-12

8. Intégration des équations 8-1

Intégration des équations ( ∫ FN) 8-2 Précision de l’intégration 8-6 Spécification de la précision 8-6 Interprétation de l’exactitude 8-6 Pour plus d’informations 8-8

9. Opérations avec des nombres complexes 9-1

La pile complexe 9-2 Opérations complexes 9-2 Utilisation des nombres complexes en notation polaire 9-5 Les nombres complexes dans les équations 9-7 Nombres complexes dans les programmes 9-8

10.Arithmétique des vecteurs10-1

Opérations sur les vecteurs 10-1 La valeur absolue d’un vecteur 10-3 Table des matières

Vecteurs dans les programmes10-7

Création de vecteurs à l’aide de variables ou de registres10-8

11.Conversions de base et arithmétique et logique 11-1

Arithmétique en bases 2, 8 et 16 11-4 La représentation des nombres11-6 Nombres négatifs11-6 Plage de nombres 11-7 Fenêtre pour les nombres binaires longs11-8 Utilisation des bases dans les programmes et les équations ....11-8

12.Opérations statistiques 12-1

Saisie de données statistiques12-1 Entrée de données à une variable 12-2 Entrée de données à deux variables 12-2 Correction d’erreurs de saisie de 12-2 Calculs statistiques 12-4 Moyenne 12-4 Ecart–type 12-6 Ecart–type de la population12-7 Régression linéaire 12-7 Limitations sur la précision des données 12-10 Valeurs de somme et registres statistiques12-11 Statistiques de somme12-11 Accès aux registres statistiques 12-12

Utilisation des modes RPN/ALG et des équations dans les programmes 13-4 Entrée et sortie de données 13-5 Saisie d’un programme 13-6 Fonctions d’effacement et touches suppression 13-7 Noms des fonctions dans les programmes 13-8 Lancement d’un programme 13-10 Exécution d’un programme (XEQ) 13-10 Test d’un programme 13-11 Entrée et affichage de données 13-12 Utilisation de l’instruction INPUT pour la saisie de données .. 13-13 Utilisation de VIEW pour l’affichage de données 13-15 Utilisation d’équations pour l’affichage de messages 13-16 Affichage d’informations sans arrêt 13-18 Arrêt ou interruption d’un programme 13-19 Programmation d’un arrêt ou d’un pause (STOP, PSE) 13-19 Interruption d’un programme en cours 13-19 Arrêt pour erreur 13-19 Edition de programme 13-20 Mémoire de programme 13-21 Visualisation la mémoire de programme 13-21 Utilisation de la mémoire 13-22 Le catalogue des programmes (MEM) 13-22 Table des matières

Sélection d’un mode de base dans un programme 13-25

Nombres saisis dans des lignes de programme13-25 Expressions polynomiales et méthode de Horner 13-26

14.Techniques de programmation14-1

Routines dans les programmes14-1 Appel des sous-routines (XEQ, RTN) 14-1 Sous-routines emboîtées 14-2 Déplacement (GTO) 14-4 Programmation de l’instruction GTO 14-5 Utilisation de GTO depuis le clavier 14-5 Équations avec (I)/(J) 14-23 Variables indirectes sans nom14-23

15.Programmes de résolution et d’intégration 15-1

Résolution par un programme15-1

Intégration dans un programme 15-7 Utilisation de l’intégration dans un programme 15-10 Restrictions à la résolution et à l’intégration 15-11

16.Programmes statistiques 16-1

Ajustement de courbe 16-1 Distributions normales et normales inversées 16-11 Ecart-type de groupe 16-18

17.Programmes divers et équations 17-1

Valeur temporelle de l’argent 17-1 Générateur de nombres 17-7 Produit vectoriel de vecteurs 17-11

Partie 3. Annexes et références

A. Assistance, piles, et service après-vente A-1 Assistance technique pour votre calculatrice A-1 Réponses aux questions fréquemment posées A-1 Limites d'environnement A-2 Changement des piles A-3 Test du fonctionnement de la calculatrice A-4 Autotest A-5 GARANTIE A-7 Support à la clientèle A-8 Informations réglementaires A-12 Déclaration de la Federal Communications Commission A-12

B. Utilisation de la mémoire et des piles B-1

Gestion de la mémoire de la calculatrice B-1 Table des matières

Réinitialisation de la calculatrice B-2

Effacement de la mémoire B-3 Etat Levage de la Pile B-4 Opérations de désactivation B-5 Opérations neutres B-5 Etat du registre LAST X B-6 Accéder au contenu du registre de pile B-7

C. Mode ALG : RésuméC-1

A propos du mode ALG C-1 Arithmétique à deux chiffres en mode ALG C-2 Quotient et reste de Division C-4 Calculs avec parenthèses C-4 Fonctions exponentielle et logarithme C-5 Fonctions trigonométriques C-6 Fonctions hyperboliques C-6 Parties de nombres C-7 Visualisation de la pile C-7 Intégration d’une équation C-8 Opérations avec des nombres complexes C-8 Arithmétique en bases 2, 8 et 16 C-10 Saisie de données statistiques à deux variables C-11

D. Informations complémentaires sur la résolution D-1

Comment l’opération SOLVE détermine une racineD-1 Interprétation des résultats D-3

Pour allumer la calculatrice, appuyez sur †. La mention ON est imprimée sous la touche

Pour éteindre la calculatrice, appuyez sur z†. En d’autres termes, appuyez sur la touche majuscule z et relâchez-la. Appuyez ensuite sur † (Touche OFF).

Etant donné que la calculatrice dispose d’une mémoire continue, le fait de l’éteindre n’affecte pas les informations que vous avez enregistrées. Afin d’économiser l’énergie, la calculatrice s’éteint automatiquement après 10 minutes d’inactivité. Si l’indicateur de faible charge ( ¤ ) s’affiche sur l’écran, remplacez immédiatement les piles. Pour plus de détails sur le remplacement des piles, reportez-vous à l’annexe A.

Réglage du contraste de l’écran

Le contraste de l’écran dépend de la lumière ambiante, de l’angle de vision et des paramètres de contraste définis. Pour augmenter ou diminuer le contraste, maintenez la touche

† appuyée, puis appuyez sur les touches ™ ou „.

Les variables sont traitées dans le chapitre 3 et les libellés sont abordés dans le chapitre 13.

Chacune des 4 touches de direction du curseur sont marquées d’une flèche. Dans ce texte nous allons utiliser les dessins Õ,

Ö, × et Ø pour faire référence

caractères de la gauche de l’entrée du curseur ( _ ). Autrement, avec une expression complète ou avec le résultat d’un calcul en ligne 2,

a remplace ce résultat par un zéro. a effacera

également les messages d’erreurs et permet de quitter les menus.

a se comporte comme lorsque la calculatrice est en mode de programmation et de saisie d’équations, comme expliqué cidessous :

Mode de saisie d’équation : Si une équation est en cours d’insertion ou d’édition, a effacera le caractère immédiatement à gauche du curseur d’insertion ; autrement, si l’équation a été insérée (pas de curseur d’insertion présent), a effacera l’équation entière. Mode de programmation : Si une ligne de programme est en cours d’insertion ou d’édition, a effacera les caractères à gauche du curseur d’insertion ; autrement, si la ligne de programme a été insérée, a effacera la ligne entière.

(), un nouveau menu s’affiche 

@ &  vous pouvez donc vérifier vos décision avant d’effacer tout ce qui se trouve en mémoire.

Pendant la saisie de programmation,  est remplacé par . Si vous choisissez

(), un nouveau menu 

 @ &  s’affiche. Il vous permet de confirmer votre choix avant d’effacer tous vos programmes.

Pendant la saisie des équations,  est remplacé par . Si vous appuyez sur

(), le menu  @ & 

s’affichera, vous pouvez donc vérifier vos décision avant d’effacer toutes vos équations.

Lorsque vous sélectionnez

(#º), la commande est

passée dans la ligne de commande avec trois emplacements.

Vous devez entrer un nombre à 3 digits dans les emplacements vides. Alors toutes les variables indirectes dont les adresses sont supérieures à l’adresse entrée seront effacées. Par exemple : CLVAR056 efface toutes les variables indirectes dont les adresses sont supérieures à 56.

En effet, 16 de ses touches correspondent à des touches de menu. Au total, il existe

16 menus permettant d’accéder à de multiples options et fonctions.

3. Appuyez sur la touche š une fois votre sélection effectuée. La numérotation des options de menu vous permet de simplement saisir le chiffre associé à l’option voulue pour la sélectionner. Vous pouvez également appuyer sur la touche š lorsque l’option est mise en évidence.

Chaque fois que vous exécutez une fonction de menu, le menu concerné disparaît automatiquement, comme dans l’exemple ci-dessus. Si vous voulez quitter un menu sans exécuter une fonction vous avez trois possibilités :

dans le tableau, page 1–5.

Ainsi, vous n’avez pas à utiliser de parenthèses. En mode algèbre (ALG), vous effectuez des opérations arithmétiques en utilisant l’ordre standard des opérations. Sélection du mode RPN : Appuyez sur

9{() pour passer en mode RPN. Quand la

calculatrice est en mode RPN, l’indicateur RPN s’affiche à l’écran.

Supposons que vous voulez effectuer le calcul suivant : 1 + 2 = 3. En mode RPN, saisissez le premier chiffre, puis appuyez sur la touche

Saisissez le deuxième chiffre, puis appuyez sur la touche de l’opérateur arithmétique :

Une ligne de programme supprimée pendant que vous étiez en mode programmation De plus, vous pouvez utiliser la touche Annuler pour retrouver la valeur d’un registre qui vient d’être supprimé suite à l’utilisation du menu EFFACER. L’opération d’annulation doit immédiatement suivre l’opération de suppression ; toute autre opération qui serait survenu entre temps empêcherait l’annulation de retrouver l’objet supprimé. En plus de retrouver une insertion complète après sa suppression, l’annulation peut également être utilisée pendant l’édition d’une insertion. Appuyez sur

z: lors de l’édition pour retrouver :

Un chiffre dans une expression que vous venez juste de supprimer en utilisant

Une expression que vous éditiez mais qui a été supprimé en utilisant

« c » ou « d » de l’indicateur « cd » s’affichera pour indiquer si le numérateur affiché est légèrement inférieur ou légèrement supérieur à sa vraie valeur. Si aucune portion de «cd » s’affiche, la valeur exacte de la fraction est affichée.

Le shift gauche est actif.

à gauche et à droite dans l’affichage d’une entrée. Les entrées en ligne 1 dont certains chiffres manquent montreront une ellipse(…) pour indiquer les chiffres manquants. Dans le mode RPN, utilisez les touches Õ et Ö pour défiler le long d’une entrée et voir les chiffres en tête et en queue. Dans le mode ALG, utilisez {Õ et {Ö pour voir les autres chiffres.

message de dépassement est alors remplacé avec la valeur la plus proche des limites du dépassement que la calculatrice puisse affichée. Le plus petit nombre que la calculatrice peut distingué de zéro est ±10-499. Si vous entrez un nombre entre ces valeurs, la calculatrice affichera 0 en entrée. De même, si le résultat d’un calcul est compris entre ces deux valeurs, le résultat affiché sera zéro. L’entré de valeurs dépassant l’interval maximal résultera en un message d’erreur « #

! » ; effacer le message d’erreur vous ramènera à la saisie précédente pour modification.

Modification du signe d’un nombre

_ permet de changer le signe d’un nombre.

Pour entrer un nombre négatif, saisissez-le, puis appuyez

En mode ALG, vous devez appuyer sur la touche l’insertion d’un nombre.

Affichage des exposants

Les nombres à puissances de dix (comme 4,2x10 -5) sont affichés avec un E précédent l’exposant de 10. Ainsi 4,2x10 -5 est entré et affiché comme 4,2E-5. Un nombre dont la magnitude est trop grande ou trop petite pour le format d’affichage sera automatiquement affiché dans sa forme exponentielle. Par exemple, dans le format FIX 4, pour quatre décimales, observez l’effet des frappes suivantes :

Saisissez des exposants de dix

` est utilisée pour entrer des puissance de dix rapidement. Par

exemple, au lieu d’entrer un million comme 1000000, vous pouvez entrer

`. L’exemple suivant illustre le processus suivit par la

Quand vous saisissez un chiffre, le curseur (_) apparaît et clignote à l’écran. Le curseur vous indique l’emplacement du prochain chiffre ; par conséquent il indique que le nombre n’est pas complet.

Le fait d’appuyer sur

puis saisissez le deuxième nombre.

Etendue des nombres et dépassement Le plus petit nombre disponible sur la calculatrice est -9,99999999999 × 10499. Le plus grand nombre est 9,99999999999 × 10499 . Si un calcul produit un résultat qui excède le plus grand nombre possible, -9,99999999999 × 10499 et 9,99999999999 × 10499 est affiché et le message d’avertissement #$ apparaît.

Certaines opérations numériques de la HP 35s nécessite en entré un seul nombre, comme

3, :, &et k. Ces opérations à un seul argument sont saisie

indiférement, selon que la calulatrice est en mode RPN ou ALG. En mode RPN, le nombre est entré en premier puis l’opération est appliquée. Si vous appuyez sur la touche

š après que le nombre ait été saisie, alors le nombre apparaîtra en

ligne 1 et le résultat sera montré en ligne 2. Autrement, seul le résultat sera affiché en ligne 2 et la ligne 1 restera inchangée. En mode ALG, l’opérateur est préssé en premier et l’affichage montre la fonction, suivit par deux parenthèses. Le nombre est saisie entre les parenthèses puis la touche š est appuyée. L’expression est affichée ne ligne 1 et le résultat en ligne 2. L’exemple suivant illustre les différences.

énumérées dans le tableau ci-dessous.

Entrez 6, puis placez 4 dans le registre x.

Appuyez sur les touches de combinaisons pour voir le résultat. Permutez en mode ALG L’expression et le résultat sont affichés  tous les deux. Entrez la fonction de combinaison.

Dans le mode ALG, les opérateurs infixes sont ™, „ ,y, p, et 0. Les deux autres arguments de l’opération utilisent une notation des fonctions de la forme f(x,y), où x et y sont les premier et second opérandes dans l’ordre. Dans le mode

RPN, les opérandes pour les deux arguments des opérations sont entrées dans l’ordre Y, puis X sur la pile. Ainsi, y est la valeur dans le registre y et x est la valeur dans le registre x. La racine xth de y (') est l’exception à cette règle. Par exemple, pour calculer

dans le mode RPN, appuyez sur 

échanger le contenu des registre x et y. Ceci est expliqué en détaille dans le chapitre 2 (voir la section ayant pour titre Echanger les registres x et y dans la pile).

Contrôle du format d’affichage

Tous les nombres sont stockés avec une précision de 12 chiffres ; cependant, vous pouvez contrôler le nombre de chiffre utilisés dans l’affichage des nombres grâce aux options du menu Affichage. Appuyez sur

z8 pour accéder à ce

menu. Les 4 premières options (FIX, SCI, ENG, ALL) contrôlent le nombre de chiffres dans l’affichage des nombres. Lors de calculs internes compliqués, la calculatrice utilise une précision sur 15 chiffre pour les résultats intermédiaires. Le nombre affiché est arrondit selon le format d’affichage.

Format décimal fixe (%) Le format FIXE permet d’afficher un nombre contenant jusqu’à 11 décimales (11 chiffres à la droite de « )» ou de « 8») s’il peut s’ajuster. Après l’invite %_, saisissez au clavier le nombre de positions décimales à afficher. Pour 10 ou 11 ou sur Œ . positions, appuyez sur Œ Par exemple, dans le nombre 8 ) , les chiffres « 7 », « 0 », « 8 », et « 9 » sont les chiffres décimaux que vous voyez quand la calculatrice est configurée en mode d’affichage FIX 4. Tous nombre trop grand (1011) ou trop petit (10 -11) pour s’afficher dans les paramètres actuels en décimal seront automatiquement affichés au format scientifique.

Si vous saisissez ou calculer un nombre qui possède plus de 12 chiffres, la précision supplémentaire ne sera pas maintenu.

Format ingénierie () Le format ENG permet d’afficher un nombre d’une façon similaire à la notation scientifique, à l’exception que l’exposant est un multiple de trois (il peut y avoir jusqu’à trois chiffres avant le « )» ou la marque radix « 8»). Ce format est utile pour les calculs scientifiques ou d’ingénierie utilisant des unités spécifiées en multiples de 103 (telles que les unités micro, milli, et kilo). Après l’invite, _, saisissez le nombre de chiffres que vous désirez après le premier chiffre significatif. Pour 10 ou 11 positions, appuyez Œ

z@ ou z2 pour afficher l’exposant du nombre

affiché et le changer en multiples de 3, cela ajustera alors la mantisse.

z2. Cet exemple utilise le mode RPN.

Le format All est le format par défaut, affichant les nombres avec une précision de

12 chiffres. Si tous les chiffres ne rentrent pas dans l’affichage, le nombre est automatiquement affiché dans le format scientifique.

Points et virgules dans les nombres (*) (8)

La HP 35s utilise aussi bien les points que les virgules pour rendre les nombre facile à lire. Vous pouvez sélectionnez aussi bien le point que la virgule comme point de décimal (base). De plus, vous pouvez choisir de séparer ou non les chiffres en groupes de trois en utilisant le séparateur des milliers. L’exemple suivant illustre cette option.

est le seul disponible dans le mode ALG. Dans

l’exemple ci-dessous, le nombre complexe 3+4i est affiché dans les 3 formats.

La modification du nombre de positions décimales affichées affecte ce que vous voyez mais n’affecte pas la représentation interne des nombres. Les nombres stockés intérieurement ont toujours 12 chiffres. Par exemple, dans le nombre 14,8745632019, vous ne voyez que « 14,8746 » quand le mode d’affichage est paramétré à FIX 4, mais les six derniers chiffres (« 632019 ») sont présents dans la calculatrice. Pour afficher temporairement un nombre avec la précision maximale, appuyez sur

z Î. Cela permet d’afficher la mantisse (mais pas l’exposant) du nombre pendant le temps où vous laissez la touche Î enfoncée.

Saisissez la partie entière du nombre et appuyez sur

Œ sépare le numérateur du dénominateur.

3. Saisissez le dénominateur, puis appuyez sur la touche

touche de fonction pour terminer la saisie de chiffres. Le nombre ou le résultat est formaté selon le format actuel d’affichage.

Le symbole a b/c sous la touche

Œ est un rappel que la touche Œ est utilisée

deux fois pour la saisie de fractions.

L’exemple suivant illustre la saisie et l’affichage des fractions.

Si aucun message, autre que le l’indicateur

Tous les messages affichés sont abordés dans l’annexe F, « Messages ».

Mémoire de la calculatrice

La calculatrice HP 35s a 30 KB de mémoire dans laquelle vous pouvez stocker des combinaisons de données (variables, équations ou lignes de programme).

Vérification de la mémoire disponible

Appuyer sur # QQQ

z X affiche le menu suivant :

QQQ représente la quantité de variables indirectes utilisées. PP8PPP représente le nombre d’octets de mémoire disponible. Appuyer sur la touche

(#) affichera le catalogue de variables directes (voir

« Visualisation des variables dans le catalogue VAR » au chapitre 3). Appuyer sur la touche

() affichera le catalogue de programmes.

Pour entrer dans le catalogue de variables, appuyez sur entrer dans le catalogue de programmes, appuyez sur

2. Pour visualiser les catalogues, appuyez sur Ø ou sur

Dans la partie 2, « Programmation », vous apprendrez comment la pile peut vous aider à manipuler et à organiser les données pour les programmes.

Introduction au concept de pile

Le stockage automatique des résultats intermédiaires permet à la calculatrice HP 35s de traite facilement des calculs complexes (sans utilisation de parenthèses). Le stockage automatique se fait principalement par la pile de mémoire RPN automatique. La logique d’opération de HP est basée sur une logique mathématique sans parenthèses et non ambiguë connue sous le nom de « Notation polonaise » et développée par le Polonais Jan Łukasiewicz (1878–1956). Tandis que la notation algébrique conventionnelle place les opérateurs entre les nombres pertinents ou les variables, la notation Łukasiewicz’s les place avant les nombres ou les variables. Pour une efficacité optimale de la pile nous avons modifié cette notation afin de spécifier les opérateurs après les nombres. D’où l’expression Reverse Polish Notation, ou RPN. La pile consiste en quatre emplacements de stockage appelés registres qui sont « empilés » les uns sur les autres. Ces registres — appelés X, Y, Z et T — stockent et manipulent quatre nombres. Le nombre « le plus ancien » est stocké dans le registre T (le plus haut dans la pile). La pile correspond à une zone de travail pour les calculs.

RPN : Pile de mémoire automatique

Un nombre réel ou un vecteur 1-D occupera la partie 1 ; les parties 2 et 3 seront nulles dans ce cas. Un nombre complexe ou un vecteur 2-D occupera les parties 1 et 2 ; la partie 3 sera nulle dans ce cas. Un vecteur 3-D occupera les parties 1,2 et 3. En programmation, la pile est utilisée pour accomplir des calculs, pour stocker temporairement les résultats intermédiaires, pour passer les données stockées (variables) parmi les programmes et les sous-routines, pour accepter les entrées et libérer les sorties.

RPN : Pile de mémoire automatique

Ce n’est pas une coïncidence : ces lettres se rapportent aux registres X et Y. Par exemple,

z ( monter à la puissance dix le nombre contenu dans le registre

†, par contraste, est sensible au contexte. Elle permet d’effacer ou d’annuler l’affichage en cours, selon les situations. Elle agit comme { 1(º) uniquement quand le registre X est affiché. a agit également comme { (º) quand le registre X est affiché et que la saisie de chiffres est terminée (pas de curseur).

Visualisation de la pile

R¶ (Défilement vertical) La touche

9 (Défilement vertical) vous permet de visualiser le contenu de la pile

en faisant « défiler » son contenu vers le bas, un registre à la fois. Vous pouvez voir chaque nombre quand il entre dans le registre x et y.

Supposons que la pile est remplie avec 1, 2, 3, 4 (appuyez sir

Le contenu du registre X permute dans le registre Y, ce qui était dans le registre T permute dans le registre X et ainsi de suite.

Cette touche échange les contenus des registres X et Y sans affecter le reste de la pile. En appuyant deux fois sur Z, l’ordre d’origine des contenus des registres X et Y sera restauré. La Z fonction est utilisée principalement pour permuter l’ordre des nombres dans un calcul. Par exemple, une façon de calculer 9 ÷ (13 × 8): Appuyer sur šyZ p. Les frappes pour calculer cette expression de gauche à droite sont les suivantes: š šyp. Supposons que la pile est remplie avec les nombres 1, 2, 3 et 4. Voyons comment la pile abaisse et élève son contenu pendant les calculs.

La pile « abaisse » son contenu. Le registre T (supérieur) réplique son contenu.

Remarquez que, quand la pile s’élève, elle remplace le contenu du registre T (supérieur) par le contenu du registre Z. Le contenu précédent du registre T est perdu. Vous pouvez voir, par conséquent, que la mémoire de la pile est limitée à quatre nombres. En raison des mouvements automatiques de la pile, vous n’avez pas besoin d’effacer le registre X avant de faire un nouveau calcul. La plupart des fonctions préparent la pile pour élever son contenu quand le nombre suivant est saisi dans le registre X. Voir l’annexe B pour les listes de fonctions qui mettent le levage de pile hors d’état.

RPN : Pile de mémoire automatique

Ne lève pas la pile. Abaisse la pile et réplique le registre T.

šréplique le contenu du registre X dans le registre Y. Le nombre suivant que vous saisissez (ou rappelez) écrase la copie du premier nombre laissé dans le registre X. L’effet est simplement de séparer deux nombres saisis séquentiellement.

Vous pouvez utiliser l’effet de réplique de š pour effacer la pile rapidement : Appuyez sur 0 ššš. Tous les registres de pile m aintenant contiennent zéro. Remarquez cependant que vous n’avez pas besoin d’effacer le tech avant de faire les calculs. Utilisation d’un nombre deux fois de suite Vous pouvez utiliser la caractéristique de reproduction de nombre à lui-même, appuyez sur š™.

RPN : Pile de mémoire automatique

Remplissant la pile avec une constante L’effet de reproduction de š (de T vers Z) vous permet de remplir la pile avec une constante numérique pour les calculs. Exemple : Etant donnée une culture de bactéries avec un taux constant de croissance de 50 % par jour, quelle sera leur population (aujourd’hui de 100) dans 3 jours ? Duplique le registre T T

Calcule la population après 2 jours.

Calcule la population après 3 jours.

Comment effacer la pile

L’effacement du registre X remet à zéro le registre X. Le nombre suivant que vous saisissez (or rappelez) écrase ce zéro. Il existe quatre façons d’effacer le contenu du registre X, c’est à dire, d’effacer x : 1. Appuyez sur †

3. Appuyez sur { 2. Appuyez sur

(º) (Principalement utilisé pendant la saisie du

4. Appuyez sur { positionner à zéro.

( !) pour effacer les registres X, Y, Z et T et les

Par exemple, si vous aviez l’intention de saisir 1 et 3, mais si vous avez saisi 1 et 2 par erreur, procédez comme suit pour corriger votre erreur :

RPN : Pile de mémoire automatique

4. Efface x en l’écrasant par zéro. 5. Ecrase x (remplace le zéro).

Registre LAST X Le registre LAST X est un auxiliaire de la pile : il détient le nombre qui était dans le registre X avant la dernière fonction numérique qui a été effectuée. (Une fonction numérique est une opération qui produit un résultat à partir d’un autre nombre ou d’autres nombres, telle que <). Appuyez sur

{ Ž pour ramener cette

valeur dans le registre X.

La possibilité de retrouver le « dernier x » a deux fonctions principales : 1.

Correction des erreurs.

2. Nouvelle utilisation d’un nombre dans un calcul.

Voir l’annexe B pour une liste exhaustive des fonctions qui sauvegardent x dans le registre LAST X .

RPN : Pile de mémoire automatique

Si vous exécutez ces fonctions, utilisez

vous voulez effacer de la pile le résultat incorrect ).

{P et zS ne vident pas la pile, vous pouvez retrouver ces

fonctions de la même manière que pour les fonctions à un nombre.

Exemple : Supposons que vous avez simplement saisi 4,7839 × (3,879 × 105) et que voulez trouver sa racine carrée, mais que vous avez appuyé sur

n’avez pas besoin de recommencer depuis le début ! Pour trouver le bon résultat, appuyez sur

{Ž pour restaurer le contenu original de la pile. Maintenant calcule la fonction correcte. Si vous avez utilisé un deuxième nombre erroné, saisissez celui qui est correct et calculez la fonction. Si vous avez utilisé un premier nombre qui est erroné, saisissez celui qui est correct, appuyez sur {Ž pour retrouver le deuxième nombre et calculez la fonction à nouveau. (Appuyez d’abord sur

† si vous voulez effacer de la pile le résultat

RPN : Pile de mémoire automatique

Mise en oeuvre des parenthèses Par exemple, résolvez (12+3) × 7. Si vous résolvez ce problème sur papier, vous calculeriez tout d’abord le résultat intermédiaire de (12 + 3) … (12 + 3) = 1 5 … puis vous multiplieriez le résultat intermédiaire par 7 : (15) × 7 = 105 Résolvez l’expression de la même façon avec la HP 35s, en commençant par l’intérieur des parenthèses.

Par exemple, vous avez déjà calculé :

Cependant, la première méthode (commençant par les parenthèses les plus intérieures) est souvent celle qui est préférée parce qu’elle : nécessite moins de frappes. ne requiert que quelques registres dans la pile.

qu’il n’y a pas plus de quatre nombres intermédiaires (ou résultats) qui seront nécessaires en même temps (la pile ne peut pas contenir plus de quatre nombres).

Dans l’exemple ci-dessus, quand on utilise la méthode de gauche à droite, on a besoin de tous les registres dans la pile à un moment déterminé :

La HP 35s possède 30 KB de mémoire, avec laquelle vous pouvez enregistrer des nombres, des équations et des lignes de programme. Les nombres sont enregistrés dans un emplacement appelé variables, chacune étant dénommée par une lettre de A à Z. (Vous pouvez choisir la lettre pour vous souvenir de ce qui est enregistré, par exemple, B pour Solde de Banque ou C pour Vitesse).

Cet exemple vous montre comment enregistrer la valeur 3 dans la variable A, d’abord en mode RPN puis en mode ALG.

Vous noterez que les variables X, Y, Z et T possèdent des emplacements d’enregistrement différents des registres X, Y, Z et T dans la pile.

Enregistrement et rappel de nombres

Les nombres et vecteurs sont enregistrés et rappelés dans des variables lettrées par signification des commandes d’enregistrement ({H) et de rappel (K). Les nombres peuvent être réel ou complexes, décimal ou fractionnaire, en base 10 ou autres si supportée par la HP 35s. Pour enregistrer une copie du nombre affiché (registre X) dans une variable directe, procédez comme suit: Appuyez sur

{H touche-lettre š.

Pour rappeler une copie d’un nombre depuis une variable directe vers l’écran:

Exemple: Enregistrement de nombres.

également de terminer la saisie de chiffres. Efface le nombre affiché. A..Z L’indicateur A..Z s’active Copie le nombre d’Avogadro depuis )   A vers l’écran. Dans cet exemple, nous rappelons la valeur 1,75 que nous avions enregistrée dans la variable G lors du dernier exemple. Cet exemple suppose que la HP 35s est toujours dans le mode ALG au démarrage.

Utilisation du catalog MEM Le catalogue MEMORY (zu) fournit des informations concernant la quantité de mémoire disponible. L’affichage du catalogue possède le format suivant: )# QQQ Le catalog VAR Par défaut, toutes les variables directes de A à Z contiennent la valeur zéro. Si vous enregistrez une valeur non-nulle dans une variable directe, la valeur de cette variable pour être visualisée dans le catalogue VAR (zu (#)). Supposons maintenant que vous vouliez maintenant copier la valeur de C dans la pile.

Arithmétique avec les variables enregistrées L’arithmétique sur enregistrement et l’arithmétique de rappel vous permettent de réaliser des calculs avec un nombre enregistré dans une variable sans rappeler la variable dans la pile. Un calcul utilise un nombre du registre X et un nombre de la variable spécifiée.

Arithmétique sur enregistrement

L’arithmétique sur enregistrement utilise

{Hy, ou {H p pour réaliser de l’arithmétique sur la variable ellemême et pour enregistrer le résultat à cet emplacement. La valeur du registre X est utilisée et n’affecte pas la pile.

Nouvelle valeur de la variable = Ancienne valeur de la variable {+, –, ×, ÷} x. Par exemple, supposez que vous vouliez réduire la valeur dans A(15) par le nombre du registre X (3, affiché). Appuyez sur

{H„A. Maintenant A =

12, tandis que 3 est toujours affiché à l’écran.

Par exemple, supposez que vous voulez diviser le nombre dans le registre X (3, affiché) par la valeur de A(12). Appuyez sur

K p A. Maintenant x = 0,25,

mémoire dans les programmes: servez-vous de

z Y vous permet d’échanger le contenu de x (le registre X affiché)

avec le contenu de toute autre variable. Exécuter cette fonction n’affecte pas les registres Y, Z et T.

, alors que (J) est sur la touche Œ. C’est une technique de

programmation appelée adressage indirect et qui est énoncée dans « Adressage indirect des variables et libellés » au chapitre 14.

Enregistrement de données dans les variables

Ce chapitre couvre la plupart des fonctions de la calculatrice qui réalisent des opérations sur les nombres réels, incluant quelques fonctions numériques utilisées dans des programmes (tels que ABS, la fonction valeur-absolue). Ces fonctions sont organisées en groupes, comme énoncé ci-dessous: Les fonctions exponentielles et algorithmiques. Le quotient et le reste de la division. Les fonctions de puissance. (0 et

Les fonctions trigonométriques.

Les constantes physiques Les fonctions de conversion pour les coordonnées, les angles et les unités. Les fonctions de probabilité. Les parties de nombre (fonctions d’altération de nombre). Les fonctions arithmétiques et de calculs ont été décrites dans les chapitres 1 et 2. Les opérations numériques avancées (détermination de racine, intégration, nombres complexes, changement de base et statistiques) sont décrites dans les derniers chapitres. Les exemples dans ce chapitre supposent tous que la HP 35s est en mode RPN.

Fonctions exponentielle et logarithme

Affichez le nombre sur l’écran, puis exécutez la fonction - il n’est pas nécéssaire d’appuyer sur

Fonctions avec les nombres réels

4. Appuyez sur la touche fonction.

Exemple: Pour afficher le quotient et le dividende produits par 58 ÷ 9

En mode RPN, pour calculer un nombre y élevé à la puissance x, entrezr

(Le nombre affiché dépend du format d’affichage). Du fait que

retourne une approximation de π dans la pile, il n’fest pas nécessaie d’appuyer sur

Remarque: la calculatrice ne peut pas exactement représenter car π est un nombre irrationnel.

Fonctions avec les nombres réels

Pour définir le mode angulaire, appuyez sur

9. Un menu, à partir duquel

vous pourrez choisir une option, s’affiche à l’écran.

Sinus de x. Cosinus de x. Tangente de x. Arc sinus de x. Arc cosinus de x. Arc tangente de x.

Calcule cosinus de 128,57°, qui est le même que cosinus de

Remarque de programmation:

Les équations utilisant les fonctions trigonométriques inverses pour déterminer un angle θ, ressemblent souvent à ceci:

Si x = 0, alors y/x est indéfini, engendrant une erreur: # &

Les fonctions de pourcentage sont particulières (comparées avec

elles préservent la valeur du nombre de départ (dans un registre Y) quand elles renvoient le résultat d’un calcul de pourcentage (dans un registre X). Vous pouvez alors continuer d’autres calculs en utilisant à la fois le nombre de départ et le nombre résultat sans avoir à retaper le nombre de départ.

Pour Calculer: x% de y

Variation de pourcentage de y à x. (y≠ 0)

Supposons que cet objet, qui coûte $15,76 Euros, coûtait $16,12 Euros l’année dernière. Quel est le pourcentage de variation entre le prix de cette année et celui de l’année dernière?

pour accéder à la page suivante, une page à la fois) pour faire

défiler le menu jusqu’à ce que la constante désirée soit mise en évidence, puis appuyez sur š pour insérer la constante.

Remarquez que les constantes doivent être référencées par leur nom plutôt que par leur valeur, lorsqu’elles sont utilisées dans des expressions, des équations, et des programmes.

Fonctions avec les nombres réels

Degrés, radians, et gradients pour les angles de mesures Formats décimal et hexagesimal pour les durées (et les angles en degrés) Différentes unités supportées (cm/in, kg/lb, etc) Excepté les conversions rectangulaire et polaire, chaque conversion est associée à une touche particulière. Combiné avec la touche shiftée gauche (jaune) une touche convertira d’une façon alors que la même touche mais utilisée avec la touche shiftée droite (bleue) convertira de l’autre façon. Pour chaque conversion de ce type, le nombre saisi sera mesuré en utilisant l’autre unité de mesure. Par exemple, lorsque vous utilisez

¾ pour convertir un nombre en degrés Fahrenheit, le

nombre que vous saisissez sera pris pour une température mesurée en degrés celsius. Les exemples dans ce chapitre utilisent le mode RPN. Dans le mode ALG, saisissez d’abord la fonction, puis le nombre à convertir.

Conversion polaire vers rectangulaire

Les coordonnées polaires (r,θ) et les coordonnées rectangles (x,y) sont mesurées comme indiquées sur l’illustration. L’angle θ utilise les unités du mode angulaire en cours. Un résultat calculé pour un θ sera entre –180° et 180°, entre –π et π radians ou entre –200 et 200 grades.

Le format pour représenter les nombres complexes est un paramétrage de mode.

Vous devez saisir un nombre complexe dans un format; au-dessus de l’entré, le nombre complexe est converti dans le format déterminé par paramétrage du mode. Voici les étapes requises pour paramétrer le format d’un nombre complexe: 1.

z8 puis choisissez  ( º ¸) ou Œ

Quelles sont les valeurs de la résistance R et de la réactance de capacité XC dans ce circuit? Utilisez un diagramme de vecteurs comme présenté, avec l’impédance étant égale à la magnitude polaire, r, et le déphasage de phase étant égal à l’angle, θ, en degrés. Quand les valeurs sont converties en coordonnées polaires, la valeur x représente R, en ohms, la valeur y représente XC, en ohms.

Calcule x, en ohms, la résistance, XC

Conversion de durées

La HP 35s peut convertir les nombre s dans les formats décimal et minute-seconde. Ceci est spécialement utile pour les durées et les angles mesurés en degrés. Par exemple, dans le format décimal un angle mesuré en degrés est exprimé en D.ddd…, alors qu’en minute-seconde le même angle est représenté avec D.MMSSss, où D est la partie entière des mesures en degrés, dd… est la partie fractionnelle de la mesure en degrés, MM est un nombre entier de minutes, SS est la partie entière du nombre de secondes, et ss est la partie fractionnelle du nombre de secondes.

Pour convertir entre le format décimal et les heures, minutes et secondes:

Saisissez le nombre à convertir

zt pour le convertir en heures/degrés, minutes et secondes ou appuyez sur {5 pour le re-convertir au format décimal.

Exemple: Conversion de format de temps.

Combien de minutes et secondes y a-t-il dans 1/7 d’une heure? Utilisez le format d’affichage FIX 6.

Fonctions avec les nombres réels

Pour enregistrer un nombre x comme une nouvelle racine pour la génération aléatoire de nombres, appuyez sur

Une entreprise employant 14 femmes et 10 hommes forme des équipes de six personnes pour un comité de sécurité. Combien existe-t-il de différentes combinaisons de personnes?

Ramene le nombre total de combinaisons dans le registre X.

Divise les combinaisons des femmes par les combinaisons au total pour trouver que chaque combinaison ne possède que des femmes.

Ces fonctions sont principalement utilisées en programmation. Partie entière Pour retirer la partie fraction d’un x et la remplacer par des zéros, appuyez sur

zJ ( ). (Par exemple, la partie entière de 14,2300 est 14,0000.)

Partie fractionnaire Pour retirer la partie entière d’un x et la remplacer par des zéros, appuyez sur

zJ (). (Par exemple, la partie fractionnaire de 14,2300 et

0,2300.) Valeur absolue Pour remplacer un nombre dans le registre X avec sa valeur absolue, appuyez sur { A. Pour des nombres complexes et des vecteurs, la valeur absolue de: 1.

un nombre complexe au format rθa est r

( ). Si la valeur de x est négative, –1,0000 s’affiche; si elle est égale à zéro, 0,0000 s’affiche; si elles est positive, 1,0000 s’affiche.

Fonctions avec les nombres réels

_{ A La valeur du signe de 9 zJ ( ) Le plus grand entier plus petit Œ _zJ La partie entière de 2,47

que ou égal à –5,3

Pour saisir une fraction, appuyez deux fois sur Œ — après la partie entière d’un nombre mixte et entre le numérateur et le dénominateur de la partie fractionnaire du nombre. Pour saisir 2 3/8, appuyez Œ Œ. Pour saisir 5/8, appuyez ŒŒ ou ŒŒ. Pour basculer en mode d’affichage des fractions entre marche et arrêt, appuyez sur {Š. Lorsque le mode d’affichage des fractions est en marche, l’affichage revient au format d’affichage précédent à travers le menu d’affichage. Choisir un autre format à travers ce menu désactive alors le mode d’affichage des fractions, s’il est actif. Les fonctions fonctionnent comme les fractions et les nombres décimaux — à l’exception de RND, qui sera abordé plus loin dans ce chapitre. Les exemples dans ce chapitre utilisent tous le mode RPN sauf indication contraire.

Vous pouvez saisir n’importe quel nombre en tant que fraction sur le clavier — y compris les fractions impropres (où le numérateur est plus grand que le dénominateur). Exemple :

Affichage de fractions Dans le mode d’affichage Fraction, les nombres sont évalués de façon interne comme des nombres décimaux. Ils sont ensuite affichés en utilisant les fractions autorisées les plus précises. De plus, les indicateurs d’exactitude montrent la direction de l’inexactitude de la fraction comparée aux valeurs décimales à 12 chiffres (la plupart des registres de statistiques sont des exceptions — elles sont toujours affichées comme des nombres décimaux ).

Règles d’affichage

La fraction que vous voyez peut différer de celle que vous saisissez. Par défaut, la calculatrice affiche un nombre fractionnaire selon les règles suivantes. (Pour modifier les règles, voir « Modification d’affichage d’une Fraction » plus loin dans ce chapitre). Le nombre a une partie entière et si nécessaire, une fraction propre (le numérateur est moindre par rapport au dénominateur). Les dénominateurs ne sont pas plus grands que 4095. La fraction doit être réduite autant que possible. Exemples : Voici des exemples de valeurs saisies et les affichages qui en résultent. Par comparaison, les valeurs internes à 12 chiffres sont aussi indiquées. Les indicateurs c et d dans la dernière colonne sont expliqués ci-dessous.

12 chiffres correspond exactement avec la valeur de la fraction affichée. Si d est affichée, la partie fractionnaire de la valeur interne à 12 chiffres est légèrement inférieure à la fraction affichée — le numérateur exact ne se situe pas à plus de 0,5 en dessous du numérateur affiché. Si c est allumé, la partie fractionnaire de la valeur interne à 12 chiffres est légèrement plus grande que la fraction affichée — le numérateur exact n’est pas à plus de 0,5 au-dessus du numérateur affiché. Ce diagramme montre comment la fraction affichée se compare avec les valeurs avoisinantes — c signifie que le numérateur exact est « un peu au-dessus » du numérateur affiché, et d signifie que le numérateur exact est « un peu au-dessous ».

Si la valeur interne a une partie entière, sa partie fractionnaire contient moins de

12 chiffres — et elle ne peut pas correspondre exactement à une fraction qui utilise tous les 12 chiffres.

Modification d’affichage d’une fraction

Par défaut, la calculatrice affiche un nombre fractionnaire selon certaines règles. Cependant, vous pouvez modifier les règles selon ce que vous souhaitez en matière d’affichage des fractions : Vous pouvez mettre le dénominateur maximum qui est utilisé. Vous pouvez choisir l’un des trois formats de fractions. Les thèmes suivants indiquent comment modifier l’affichage d’une fraction.

Détermination du dénominateur maximal

Pour n’importe quelle fraction, la sélection du dénominateur est basée sur une valeur stockée dans la calculatrice. Si vous pensez aux fractions comme a b/c, alors /c correspond à la valeur qui contrôle le dénominateur. La valeur /c définit simplement le dénominateur maximal utilisé en mode d’affichage des fractions — le dénominateur spécifique qui est utilisé est déterminé par le format de la fraction (abordé dans la prochaine section).

Si la fraction affichée est trop longue pour entrer dans l’affichage, l’indicateur

apparaîtra ; vous pouvez alors utiliser {Ö et {Õ pour changer page par page et voir le reste de la fraction. Pour voir la représentation du nombre décimal, appuyez sur

Déplacer vers la droite pour voir le reste du dénominateur.

1. déterminer le dénominateur maximal.

Fractions plus précises. Fractions qui ont un dénominateur jusqu’à la valeur /c et qui sont réduites autant que possible. Par exemple, si vous étudiez des concepts de mathématiques avec des fractions, vous pourriez vouloir n’importe quel dénominateur possible (la valeur /c est 4095). Il s’agit du format de fraction par défaut. Facteurs du dénominateur. Fractions qui ont seulement des dénominateurs qui sont des facteurs de la valeur /c et qui sont réduites autant que possible. Par exemple, si vous calculez des prix d’inventaire, vous pourriez vouloir voir  + et  + (la valeur de /c est 8). Ou, si la valeur de /c est 12, les dénominateurs possibles sont 2, 3, 4, 6, et 12. Dénominateur fixe. Fractions qui toujours utilisent la valeur /c comme dénominateur ne sont pas réduites. Par exemple, si vous travaillez avec des mesures de temps, vous pourriez vouloir voir  + (la valeur de /c est 60). Il y a trois indicateurs qui contrôlent le format des fractions. Ces indicateurs sont numérotés 7, 8 et 9. chaque indicateur est soit effacé soit paramétré. Leur utilisation est comme suit : L’indicateur 7 active ou désactive le mode d’affichage des fractions ; effacé = désactivé et paramétré = activé. L’indicateur 8 bascule entre utiliser une valeur inférieure ou égale à la valeur /c et utiliser seulement des facteurs de la valeur /c ; effacé = utiliser une valeur et paramétré = utiliser seulement des facteurs de la valeur /c. L’indicateur 9 fonctionne seulement si l’indicateur 8 est paramétré et bascule entre réduire ou non les fractions ; effacé = réduire et paramétré = ne réduit pas. Avec les indicateurs 8 et 9 effacés ou paramétrés correctement, vous pouvez obtenir les trois formats de fractions comme indiqué dans le tableau ci-dessous :

Facteurs du dénominateur

Modifiez ces indicateurs :

8 2. Pour établir un indicateur, appuyez sur

( ) et saisissez le numéro de

l’indicateur tel que 8.

Pour effacer un drapeau, appuyez

() et saisissez le numéro du

Pour voir si un drapeau a été paramétré, appuyez

( @) et saisissez le

† ou a pour effacer le & ou 

numéro du drapeau. Appuyez réponse.

Format le plus précis Indicateur 8 = effacé. Indicateur 8 = paramétré ; Format des facteurs du dénominateur ; 819*5=4095 Indicateur 9 = paramétré ; Format du dénominateur fixé Retourne au format par défaut (le

Comment 2,77 est affiché

Facteurs du dénominateur

Format de la Fraction Plus précis Facteurs du dénominateur Dénominateur fixé

Nombre Saisi et Fraction affichée

2 Si le mode d’affichage des fractions est actif, la fonction RND convertit le nombre dans le registre X à la représentation décimale la plus proche de la fraction. L’arrondissement est calculé selon la valeur actuelle de /c et les états des indicateurs 8 et 9. L’indicateur d’exactitude s’éteint si la fraction correspond exactement à la représentation décimale. Autrement, elle reste allumée (Voir « Les indicateurs d’exactitude » au début de ce chapitre). Dans une équation ou un programme, la fonction RND donne un arrondi fractionnel si le mode d’affichage des fractions est actif.

+ S Les sections sont un peu plus

Vous pouvez utiliser une fraction dans une équation. Lorsqu’une équation est affichée, toutes les valeurs numériques de l’équation sont affichées dans le format de saisie. Egalement, le mode d’affichage des fractions est disponible pour des opérations impliquant des équations.

Quand vous calculez une équation et que vous êtes invité à saisir des valeurs de variables vous pouvez saisir des fractions — les valeurs sont affichées selon le format d’affichage en cours. Voir le chapitre 6 pour trouver des informations concernant les calculs avec les équations.

Lorsque vous exécutez un programme, les valeurs affichées sont indiquées en utilisant le mode d’affichage des fractions s’il est actif. Si vous êtes invité à saisir des valeurs par les instructions INPUT, vous pouvez saisir des fractions. Le résultat du programme est affiché en utilisant le format d’affichage actuel. Un programme peut contrôler l’affichage des fractions en utilisant la fonction /c et en paramétrant et effaçant les drapeaux 7, 8, et 9. Voir « Indicateurs » au chapitre 14. Voir le chapitre 13 et 14 pour trouver des informations concernant les calculs avec les programmes.

Spécification de l’évaluation d’une équation (ce chapitre). Spécification de la résolution d’une équation à valeurs inconnues (chapitre 7). Spécification de l’intégration d’une fonction (chapitre 8). Exemple : Calcul d’une équation. Supposez que vous avez fréquemment besoin de déterminer le volume d’une section droite d’un tuyau. L’équation est V = .25 π d2 l où d représente le diamètre intérieur du tuyau, et l sa longueur. Vous pourriez saisir l’opération de calcul chaque fois, par exemple,

). Cependant, en stockant l’équation, la HP 35s va « se rappeler » de la relation entre le diamètre, la longueur et le volume — de sorte que vous pouvez l’utiliser plusieurs fois.

Passez en mode Equation et saisissez l’équation en utilisant les frappes suivantes :

Saisie et évaluation d’équations

La comparaison du checksum et de la longueur de votre équation avec ceux de l’exemple vous permet de vérifier que vous avez saisi correctement l’équation. (Voir « Vérification des équations » à la fin de ce chapitre pour plus d’informations). Calcul de l’équation (calcul de V) :

Stocke L ; calcule V in pouces cube et stocke le résultat dans V.

Résumé des opérations avec les équations

Toutes les équations que vous créez sont sauvées dans la liste des équations. Cette liste est visible chaque fois que vous activez le mode Equation. Vous utilisez des touches particulières pour exécuter les opérations impliquant les équations. Elles sont décrites avec plus de détails plus loin. Lors de l’affichage d’équation dans la liste des équations, deux équations sont affichées à la fois. L’équation active actuelle est affichée sur la ligne 2.

(Voir « Types d’équations » plus loin dans ce chapitre).

Calcul de l’équation affichée. Calcule sa valeur, remplaçant « = » par « – » si un « = » est présent. Résoudre l’équation affichée pour la variable inconnue que vous spécifiez. (Voir chapitre 7). Intègre l’équation affichée par rapport à la variable que vous spécifiez. (Voir chapitre 8). Supprime l’équation courante ou supprime les éléments à gauche du curseur.

Commence l’édition de l’équation affichée, déplace seulement le curseur et ne supprime rien.

Restaure l’élément ou l’équation la plus récemment supprimée. Sort du mode Equation.

Vous pouvez aussi utiliser des équations dans les programmes — sujet abordé au chapitre 13.

Saisie et évaluation d’équations

Pour saisir une équation, procédez comme suit : Vous pouvez créer une équation aussi longue que vous voulez - la seule limite étant la quantité de mémoire disponible. 1.

Assurez-vous que la calculatrice fonctionne en mode normal (d’habitude, il y a un nombre à l’écran). Par exemple, vous ne pouvez pas visualiser le catalogue de variables ou de programmes.

G. L’indicateur EQN indique que le mode Equation est actif

et qu’une saisie de la liste d’équations est affichée.

3. L’affichage précédent est remplacé par l’équation qui est en cours de saisie. L’équation précédente n’est pas affectée. Si vous faites une erreur, appuyez sur

a ou z: comme requis.

4. Appuyez š pour arrêter l’équation et la voir à l’écran. L’équation est automatiquement enregistrée dans la liste d’équations — juste après que l’entrée ait été affichée quand vous avez commencé la saisie (Si vous appuyez sur

† au lieu de cela l’équation est sauvée, mais le mode Equation est

Les équations peuvent contenir des variables, vecteurs, fonctions et parenthèses — elles sont décrites dans les sujets suivants. L’exemple qui suit illustre ces éléments.

Variables dans les équations

Vous pouvez utiliser dans une équation l’une des 28 variables de la calculatrice : A à Z, et (I) ou (J). Vous pouvez utiliser chaque variable autant de fois que vous le désirez. (Pour les renseignements concernant (I) et (J), voir « Adressage indirect des variables et des libellés » au chapitre 14). Pour entrer une variable dans une équation, appuyez

K variable. Quand vous

appuyez K, l’indicateur A..Z indique que vous pouvez appuyer sur une touche variable pour saisir son nom dans l’équation.

Pour saisir un nombre dans une équation, vous pouvez utiliser les touches normales des nombres, y compris

Œ, _, et `. N’utilisez pas _ pour la soustraction.

Fonctions dans les équations

Vous pouvez saisir beaucoup de functions HP 35s dans une équation. Une liste complète est donnée sous « Fonctions dans les équations » plus loin dans ce chapitre. L’annexe G, « Index des opérations » fournit également des informations. Quand vous saisissez une équation, vous saisissez des fonctions presque de la même façon que vous le feriez dans des équations algébriques ordinaires : Dans une équation, certaines fonctions sont normalement affichées entre leurs arguments, tels que « + » et « ÷ ». Saisissez de tels opérateurs infixes dans le même ordre. D’autres fonctions ont normalement un ou plusieurs arguments après le nom de la fonction, tels que « COS » et « LN ». Pour de telles fonctions préfixes , saisissez-les dans une équation où la fonction se produit — la touche que vous actionnez met une parenthèse à gauche (après le nom de la fonction de sorte que vous pouvez saisir ses arguments). Si la fonction a 2 arguments ou plus, appuyez sur

Saisie et évaluation d’équations

L’affichage et la sélection d’équations

La liste des équations contient deux équations intégrées, 2*2 lin. résolue et 3*3 lin. résolue, ainsi que les équation que vous avez saisis. Vous pouvez afficher les équations et en choisir une avec laquelle travailler.

Saisie et évaluation d’équations

l’indicateur EQN. L’affichage montre une saisie de la liste d’équations.   ! ! si le pointeur d’équation est en haut de la liste. L’équation en cours (la dernière équation que vous avez vue). 2. Appuyez sur

× ou Ø pour vous déplacer dans la liste des équations et

voir chaque équation. La liste « s’arrête » en haut et en bas.   ! ! indique le « haut » de la liste.

Visualisation d’une longue équation : 1. 2. Appuyez sur Õ pour commencer l’édition de l’équation à son début, ou appuyez sur Ö pour commencer l’édition de l’équation à sa fin. Puis appuyez sur Ö ou Õ plusieurs fois pour déplacer le curseur dans l’équation un caractère à la fois. § et caractères à gauche ou à droite.

¨ s’affichent lorsque qu’il y a d’autres

Active le curseur à droite de l’équation Sort du mode Equation.

Saisie et évaluation d’équations

Pour éditer une équation que vous saisissez, procédez comme suit : Appuyez sur Öou Õ pour déplacer le curseur vous permettant d’insérer des caractères avant le curseur. 2. Déplacer le curseur et appuyez sur a plusieurs fois pour effacer le nombre ou la fonction non-désiré. Appuyer sur a lorsque la ligne d’édition de l’équation est vide n’a pas d’effet, mais appuyer sur š sur une ligne d’équation vide provoque l’effacement de celle-ci. L’affichage montre alors les entrés précédentes dans la liste des équations. 3. Appuyez sur š (ou sur †) pour enregistrer l’équation dans la liste d’équations. 1.

Pour éditer une équation enregistrée, procédez comme suit :

Affichez l’équation voulue, appuyez sur Õ pour activer le curseur au début de l’équation ou appuyez sur Ö pour activer le curseur à la fin de l’équation. (voir « L’affichage et la sélection d’équations » plus haut) 2. Lorsque le curseur est actif dans l’équation, vous pouvez éditer l’équation de la même manière que lorsque vous saisissez une nouvelle équation. 3. Appuyez sur š (ou sur †) pour enregistrer l’équation dans la liste d’équations, en remplaçant la version précédente.

Les menu l, x,{n sont désactivés dans le mode équation.

Saisie et évaluation d’équations

Pour effacer une équation enregistrée, procédez comme suit :

Déplacez la liste des équations vers le haut ou le bas jusqu’à ce que l’équation voulue soit en ligne 2 de l’affichage, puis appuyez sur

Pour effacer toutes les équations enregistrées :

Dans le mode EQN, appuyez sur

 @ &  s’affiche. Sélectionnez

Effacer le nombre 25. Affiche la fin de l’équation éditée dans la liste d’équations Sort du mode Equation

Types d’équations

La HP 35s fonctionne avec trois types d’équations : Egalités. L’ équation contient un « = » et le côté gauche contient plus qu’une seule variable. Par exemple, x 2 + y 2 = r 2 est une égalité. Affectations. L’équation contient un « = » et le côté gauche ne contient qu’une seule variable. Par exemple, A = 0,5 × b × h est une affectation.

Saisie et évaluation d’équations

L’une des caractéristiques les plus utiles des équations est leur capacité à être évaluée — pour générer des valeurs numériques. C’est ce qui vous permet de calculer le résultat d’une équation. (Cela vous permet également de résoudre et d’intégrer des équations, ainsi que décrit dans les chapitres 7 et 8). Parce que beaucoup d’équations ont deux parties séparées par « = », la valeur de base d’une équation est la différence entre les valeurs des deux côtés. Pour ce calcul, « = » dans une équation est essentiellement traité comme « – ». La valeur est une mesure d’équilibrage de l’équation. La calculatrice HP 35s a deux touches pour l’évaluation des équations:

W. Leurs actions diffèrent seulement quand on évalue les équations d’affectation:

W retourne la valeur d’une équation, peu importe le type d’équation.

š retourne la valeur d’une équation — à moins que ce ne soit une équation de type affectation. Pour une équation d’affectation, š retourne la valeur du côté droit seulement et aussi « saisit » cette valeur dans la variable sur le côté gauche — elle stocke la valeur dans la variable. Le tableau suivant présente les deux manières d’évaluer des équations.

Saisie et évaluation d’équations

Si la valeur affichée est bonne, appuyez sur

Si vous voulez une valeur différente, saisissez la valeur et appuyez f.

(Voir également « Répondre aux invites d’équations » plus loin dans ce chapitre). Pour arrêter un calcul, appuyez sur

† ou f. Le message !"!

s’affiche en ligne 2.

L’évaluation d’une équation ne prend pas de valeur de la pile — elle utilise seulement les nombres dans l’équation et les valeurs des variables. La valeur de l’équation est retournée dans le registre X. Le registre LAST X n’est pas affecté.

Utilisation de ENTER pour l’évaluation

Si une équation est affichée dans la liste d’équations, vous pouvez appuyer sur

š pour évaluer l’équation (Si vous êtes en train de saisir l’équation, le fait d’appuyer sur š termine seulement l’équation — elle n’est pas évaluée).

Saisie et évaluation d’équations

Si l’équation est une affectation, seul le côté droit est évalué. Le résultat est renvoyé dans le registre X et stocké dans la variable côté gauche, puis la variable est visualisée à l’écran. š trouve la valeur de la variable côté gauche.

Si l’équation est une égalité ou expression, l’équation entière est évaluée — comme pour W. Le résultat est renvoyé dans le registre X. Exemple : Evaluation d’une équation avec ENTER. Utilisez l’équation du début de ce chapitre pour trouver le volume d’un tuyau de diamètre 35 mm qui fait 20 mètres de longueur.

Utilisation de XEQ pour l’évaluation Si une équation est affichée dans la liste d’équations, vous pouvez appuyer sur

W L’équation entière est évaluée, quel que soit le type d’équation. Le résultat est renvoyé dans le registre X.

à l’aide de la nouvelle valeur D) — ainsi le vieux volume est plus petit que le montant affiché.

Réponse aux invites d’équation

Lorsque vous évaluez une équation, vous êtes invité à saisir une valeur pour chaque variable qui le nécessite. L’invite vous donne le nom de la variable et sa valeur actuelle, comme %@) . Si la variable indirecte sans nom (I) ou (J) est dans l’équation, il ne vous sera pas demandé de valeur, puisque la valeur actuelle stockée dans la variable indirecte sans nom sera automatiquement utilisée. (voir le chapitre 14)

Pour laisser un nombre inchangé, appuyez simplement sur

0f dans le mode RPN, où appuyer 20 5 šf dans le mode ALG. Avant d’appuyer sur š, l’expression sera affichée en ligne 2, et après avoir appuyé sur š, le résultat de l’expression sera affiché en ligne 2. Pour annuler l’invite, appuyez sur †. La valeur actuelle pour la variable reste dans le registre X et s’affiche sur le coté droit de la ligne deux. Si vous appuyez sur † pendant la saisie des chiffres, le nombre est remis à zéro. Appuyez de nouveau sur † pour annuler l’invite. Pour afficher les chiffres cachés par l’invite, appuyez sur

Dans le mode RPN, chaque invite place la valeur de la variable dans le registre X et désactive la pile. Si vous saisissez un nombre à l’invite, il remplace la valeur dans le registre X. Lorsque vous appuyez sur

f, la pile est activée, la valeur est alors

enregistrée sur la pile.

La syntaxe des équations

Les équations suivent certaines conventions qui déterminent comment elles sont évaluées : Comment les opérateurs interagissent. Quelles fonctions sont valides dans les équations. Comment les équations sont vérifiées pour les erreurs de syntaxe.

Priorité de l’opérateur

Les opérateurs dans une équation sont traités dans un certain ordre qui rend l’évaluation logique et prévisible :

Saisie et évaluation d’équations

RMDR, nCr et nPr. Séparez les deux arguments avec un espace. Dans une équation, la fonction XROOT prend ses arguments dans l’ordre opposé de l’usage RPN. Par exemple, –8š3

. à est équivalent à

Toutes les autres fonctions à deux arguments prennent leurs arguments dans l’ordre Y, X utilisé pour RPN. Par exemple, 28š 4

z x est équivalent à

Pour des fonctions à deux arguments, faites attention si le deuxième argument est négatif. Ce sont des équations valides :

Remarquez que la fonction SIN est « emboîtée » dans la fonction INV. (INV est saisi par

équations » plus loin dans ce chapitre).

En ne vérifiant pas la syntaxe de l’équation jusqu’à son évaluation, la HP 35s vous laisse créer des « équations » qui pourraient être en fait des messages. Cela est particulièrement utile dans les programmes, comme décrit au chapitre 13.

Vérification des équations

Quand vous visualisez une équation — pas pendant que vous la saisissez — vous pouvez appuyer sur z pour vérifier deux points de l’équation : la somme de contrôle de l’équation et sa longueur. Maintenez la touche  enfoncée pour garder les valeurs à l’affichage. La somme de contrôle est une valeur hexadécimale à quatre chiffres qui identifie de manière unique cette équation. Si vous saisissez incorrectement l’équation, elle n’aura pas sa somme de contrôle. La longueur est le nombre d’octets de mémoire de la calculatrice utilisés par l’équation. La somme de contrôle et la longueur vous permettent de vérifier que les équations que vous saisissez sont correctes. La somme de contrôle et la longueur de l’équation que vous saisissez dans un exemple devraient correspondre aux valeurs montrées dans ce manuel. Exemple : La somme de contrôle et la longueur d’une équation. Trouvez la somme de contrôle et la longueur pour l’équation du volume du tuyau au début de ce chapitre.

Saisie et évaluation d’équations

variable de gauche dans une équation de type affectation. Vous pouvez utiliser SOLVE pour trouver la valeur de n’importe quelle variable dans n’importe quel type d’équation. Par exemple, considérez l’équation suivante x2 – 3y = 10 Si vous connaissez la valeur de y dans cette équation, SOLVE peut la résoudre pour l’inconnue x. Si vous connaissez la valeur de x, SOLVE peut résoudre l’équation pour l’inconnue y. Cela fonctionne également pour « les problèmes sous forme de mots »: Unité x Coût = Prix Si vous connaissez deux de ces variables, SOLVE peut calculer la valeur de la troisième. Lorsque l’équation n’a qu’une variable ou si des valeurs connues sont fournies pour toutes les variables à l’exception d’une seule, la résolution de l’équation. Une racine d’équation intervient lorsqu’une équation d’égalité ou d’affectation s’équilibre parfaitement, ou lorsque l’expression d’une équation égale zéro.

Résolution d’une équation

Pour résoudre une équation (excepté les équations intégrées) pour une variable inconnue, procédez comme suit : 1. équation. L’équation vous invite à entrer une valeur pour toutes les autres variables de l’équation. 3. A chaque invite, entrez la valeur souhaitée : Si l’indice affiché correspond à ce que vous voulez, appuyez sur f. Si vous souhaitez un indice différent, tapez ou calculez la valeur et appuye f. (Pour plus de détails, reportez–vous à la section « Réponse aux invites de l’équation » au chapitre 6). Vous pouvez scinder le calcul en deux en appuyant sur

Lorsque la racine est trouvée, elle est enregistrée dans la variable inconnue, et la valeur de la variable est affichée sur l’écran. De plus, le registre X contient la racine, le registre Y contient la valeur de l’estimation précédente ou zéro, et le registre Z contient la valeur de la racine de D (qui devrait être zéro).

Dans certaines opérations mathématiques complexe, il est impossible de trouver une solution définitive. La calculatrice affiche  ! ". Reportez–vous à la section « Affichage du résultat » plus loin dans ce chapitre ainsi qu’aux sections « Interprétation des résultats » et « Quand SOLVE ne peut pas trouver de racine » à l’annexe D. Pour certaines équation, cela peut être utile de fournir un ou deux indices pour la variable inconnue avant de résoudre l’équation. Cela permet d’accélérer le calcul, de diriger la réponse vers une solution réaliste et de trouver plus d’une solution, si c’est possible. Consultez la section relative au « Choix d’indices » plus loin dans ce chapitre. Exemple : Résolution d’une équation linéaire. L’équation d’un objet qui tombe est la suivante : d = v0 t + 1/2 g t 2 où d représente la distance, v0 la vélocité initiale, t le temps et g l’accélération due à la gravité. Entrez l’équation comme suit :

Calculer de combien de mètres un objet tombe en 5 secondes en partant de la position repos. Le mode Equation et l’équation voulue étant activés, vous pouvez lancer la résolution de D :

N au nombre de moles de gaz, R à la constante de gaz universelle (0,0821 litre– atm mole–K ou 8,314 J/mole–K), et T à la température (Kelvins : K=°C + 273,1).

Entrez l’équation :

28/V, où 28 est le poids moléculaire du nitrogène).

Retient le R précédent ; demande pour T.

Calcule T (Kelvins).

Résolution d’équations

à L) pour les 3*3 cases, et les utilisera pour trouver x, y pour un système d’équation linéaire 2*2 ou x, y et z pour un système d’équation linéaire 3*3. Le résultat sera enregistré dans les variables x, y et z. La calculatrice peut détecter les cas ayant une infinité de solutions ou les cas sans solution. Exemple : résoudre x, y avec deux équations

Demande une valeur pour A. Stocke 1 dans A; demande B. Enregistre 2 comme B; demande C. L’opération itérative est d’exécuter répétitivement l’équation spécifiée. La valeur retournée par l’équation est une fonction f(x) d’inconnue x. (f(x) est un raccourci mathématique pour une fonction définie avec une variable inconnue x). SOLVE commence par estimer la variable inconnue x, puis affine cette estimation avec des exécutions successives de la fonction f(x). Lorsque SOLVE évalue une équation, il le fait comme

W le ferait — tous les

« = » de l’équation sont traités comme un « — ». Par exemple, l’équation de la loi du gaz parfait est évaluée comme P x V – (N x R x T). Cela permet de garantir que l’équation d’égalité ou d’affectation s’équilibre à la racine et que l’expression

équivaut à zéro à la racine. Certaines équations sont plus difficiles à résoudre que d’autres. Dans certains cas, vous devrez entrer des indices pour trouver une solution. (Reportez–vous à la section relative aux « Choix d’indices », ci–dessous). Si SOLVE n’est pas en mesure de trouver une solution, la calculatrice affiche  ! . Voir l’annexe D pour plus d’informations sur le fonctionnement de SOLVE.

Vérification du résultat

Une fois le calcul de SOLVE terminé, vous pouvez vérifier que le résultat est vraiment la solution de l’équation en visualisation les valeurs à gauche dans la pile : Le registre X (appuyez sur † pour effacer la variable) contient la solution (racine) de l’inconnue. Il s’agit de la valeur permettant de rendre l’évaluation de l’équation égale à zéro.

Résolution d’équations

à la racine. Pour une racine exacte, ce chiffre doit être zéro. Si tel n’est pas le cas, la racine fournie n’est qu’une approximation ; ce nombre doit être proche de zéro.

Si un calcul se termine par  ! , la calculatrice ne peut pas converger sur une racine. (Vous pouvez voir la valeur dans le registre X – estimation finale de la racine – en appuyant sur † ou sur

a pour effacer le message). Les valeurs

des registres X et Y sont proches de l’intervalle précédemment utilisé pour la recherche de la racine. Le registre Z contient la valeur de l’équation à l’estimation finale de la racine.

Si les valeurs des registres X et Y ne sont pas proches, ou si la valeur du registre Z n’est pas proche de zéro, l’estimation du registre X n’est probablement pas une racine. Si les valeurs des registres X et Y sont proches et si la valeur du registre Z est proche de zéro, l’estimation du registre X est probablement une approximation de la racine.

Interruption d’un calcul SOLVE Pour interrompre un calcul, appuyez sur † ou

« !"! » sera affiché. La meilleure estimation courante de la racine est la variable inconnue ; utilisez

z ‰ pour la voir sans perturber la pile, mais

alors le calcul ne pourra être poursuivit.

Choix d’indices pour SOLVE Les deux indices proviennent : du nombre actuellement stocké dans la variable inconnue. du nombre présent dans le registre X (à l’écran).

En réduisant le champ de la recherche, les indices peuvent réduire le temps de recherche de la solution. S’il existe plus d’une solution mathématique, les indices peuvent diriger la procédure SOLVE vers la réponse voulue ou vers un intervalle de réponses. Par exemple, l’équation linéaire d = v0 t + 1/2 gt 2 peut avoir deux solutions pour t. Vous pouvez diriger la réponse vers la solution requise en entrant des prévisions adéquates. L’exemple utilisant cette équation plus haut dans ce chapitre ne nécessitait pas d’entrer des indices avant de résoudre T parce que, dans la première partie de cet exemple, vous avez stocké une valeur pour T et vous avez résolu D. La valeur laissée dans T était bonne (réaliste). Elle a donc été utilisée en tant qu’indice lors de la résolution de T. Si une équation n’admet pas certaines valeurs pour l’inconnue, les indices peuvent empêcher d’utiliser ces valeurs. Par exemple, y = t + log x aboutit à une erreur si x ≤ 0 (message  ! ). Dans l’exemple ci–dessous, l’équation a plus d’une racine, mais les indices permettent de trouver la racine voulue.

Résolution d’équations

V = ( 80 – 2H ) × (40 – 2H ) × H que vous pouvez simplifier et entrer comme suit

V= ( 40 – H ) × ( 20 – H ) × 4 × H Entrez l’équation comme suit :

Résout pour H ; demande pour V. #@ valeur Stocke 7500 dans V ; demande / ) pour H.

Vérifiez maintenant la qualité de la solution (c’est–à–dire, si elle renvoie une racine exacte) en regardant la valeur de l’estimation de la racine (dans le registre Y) et la valeur de l’équation à la racine (dans le registre Z).

Si vous ne savez pas quels indices utiliser, vous pouvez utiliser un graphique pour vous aider à voir le comportement de l’équation. Evaluez votre équation pour plusieurs valeurs d’inconnue. Pour chaque point du graphique, affichez l’équation et appuyez sur

W — à l’invite pour x, entrez la coordonnée x, et obtenez la

valeur correspondante y. Pour le problème ci–dessus, vous devez toujours définir V

= 7500 et faire varier les valeurs de H pour produire des valeurs d’équation différentes. Souvenez–vous que la valeur de cette équation est la différence entre les côtés gauche et droit de l’équation. La valeur de l’équation doit ressembler à ceci. 7500 _ (40 _ H ) (20 _ H ) 4 H 20,000

Ce chapitre vous a donné des informations sur la résolution d’inconnues ou de racines pour une large gamme d’applications. L’annexe D présente des informations encore plus détaillées sur le fonctionnement de l’algorithme SOLVE, sur l’interprétation des résultats, sur ce qui arrive lorsque aucune solution n’est trouvée et sur les conditions pouvant aboutir à des résultats incorrects.

) utilise plus de mémoire que n’importe quel autre opérateur dans la calculatrice.

Si l’exécution ) cause un message & ", reportez–vous à l’annexe B. Vous pouvez stopper un calcul d’intégration en cours en appuyant sur † ou sur f et le message « !"! » apparaîtra en ligne 2, mais alors l’intégration ne pourra pas être poursuivit. Cependant, aucune information au sujet de l’intégration est disponible jusqu’à ce que le calcul finisse normalement. Le paramétrage du format d’affichage affecte le niveau de précision supposé pour votre fonction et utilisé pour le résultat. L’intégration est plus précise mais prend beaucoup plus de temps dans le  et est plus grande que %, , et exige une configuration . L’incertitude du résultat se termine dans le registre Y, poussant les limites de l’ intégration dans les registres T et Z. Pour plus d’informations, voir « Précision de l’intégration » plus loin dans ce chapitre. Intégration de la même équation avec des informations différentes : Si vous utilisez les mêmes limites d’intégration, appuyez sur 9 9 et placez–les dans les registres X et Y. Puis passez à l’étape 3 de la liste ci–dessus. Si vous voulez utiliser des limites différentes, commencez part l’étape 2. Pour résoudre un autre problème utilisant une équation différente, commencez à l’étape 1 avec une équation qui défini l’intégré.

Intégration des équations

Maintenant, intégrez cette fonction par rapport à t de zéro à π ; x = 2.

Intégration des équations

Invite pour la valeur de X.

également des erreurs d’arrondissement de la calculatrice et de la précision des constantes empiriques. Les intégrales de fonctions, avec certaines caractéristiques telles que les pointes ou les oscillations très rapides, pourraient être calculées de manière inexacte, mais la probabilité est très faible. Les caractéristiques générales des fonctions qui peuvent causer des problèmes ainsi que les techniques pour les solutionner sont abordées dans l’annexe E.

Spécification de la précision

Tous les paramètres du format d’affichage (FIX, SCI, ENG, ou ALL) déterminent la précision du calcul de l’intégration. Plus le nombre de chiffres affichés est grand, plus la précision de l’intégrale calculée est grande (et plus le temps requis pour le calcul est important). Plus le nombre de chiffres affichés est petit, plus le calcul sera rapide mais la calculatrice présumera que la fonction aura une précision en fonction du nombre de chiffres spécifiés. Pour spécifier l’exactitude de l’intégration, définissez le format d’affichage de sorte qu’il ne montre pas plus que le nombre de chiffres que vous considérez comme précis dans les valeurs de l’intégrand. Ce même niveau d’exactitude et de précision sera reflété dans le résultat de l’intégration. Si on se trouve dans le mode d’affichage des fractions (indicateur 7 active), l’exactitude est spécifiée par le format d’affichage précédent.

Interprétation de l’exactitude

Après le calcul de l’intégrale, la calculatrice place une estimation de l’incertitude du résultat de cette intégrale dans le registre Y. Appuyez sur

Z pour visualiser la

valeur de l’incertitude.

Par exemple, si l’intégrale Si(2) est 1,6054 ± 0,0002, 0,0002 est l’incertitude.

Intégration des équations

Si l’incertitude d’une approximation est plus grande que ce que vous choisissez de tolérer vous pouvez augmenter le nombre de chiffres dans le format d’affichage et répéter l’intégration (pourvu que f(x) soit encore exactement calculée en fonction le nombre de chiffres montrés à l’affichage), En général, l’incertitude du calcul d’une intégration décroît par un facteur de dix pour chaque chiffre additionnel spécifié dans le format d’affichage. Exemple : Changement de l’exactitude. Pour l’intégrale de Si(2) que l’on vient de calculer, spécifiez que le résultat soit exact à quatre positions décimales au lieu de deux .

Intégration des équations

1/100 plus large que l’incertitude du résultat SCI 2 calculé précédemment.

Pour plus d’informations

Ce chapitre vous donne les instructions pour l’utilisation de l’intégration avec la calculatrice HP 35s pour une gamme assez large d’applications. L’annexe E contient plus d’informations sur le fonctionnement de l’algorithme, sur les conditions qui pourraient causer des résultats incorrects et qui prolongent le temps de calcul et sur l’obtention de l’approximation d’une intégrale.

Intégration des équations

La calculatrice HP 35s peut utiliser les nombres complexes de la forme º ¸ º-¸

Opérations avec des nombres complexes

RPN, le nombre complexe utilisant les parties 1 et 2 du registre X est affiché en ligne 2, alors que le nombre complexe utilisant les parties 1 et 2 du registre Y est affiché en ligne 1.

Saisissez le nombre complexe z comme décrit auparavant.

Modifier le signe, –z

Inverse, 1/z Log Naturel, ln z Lorsque vous évaluez une équation et êtes invité à saisir une valeur pour une variable, vous pouvez entrer un nombre complexe. Les valeurs et le format du résultat sont contrôlés par les paramètres d’affichage. C’est la même chose que les calcules en mode ALG. Les équations qui contiennent des nombres complexes peuvent être résolue et intégrées.

Opérations avec des nombres complexes

θ 30 dans un programme correspond à :

Lignes de programme : (Mode ALG)

       - ” - ” Le programme qui contient le nombre complexe peut également être résolu et intégré.

Opérations avec des nombres complexes

D’un point de vue mathématique, un vecteur est un tableau de 2 éléments ou plus placés dans une ligne ou une colonne. Les vecteurs physiques qui possèdent deux ou trois composants et qui peuvent être utilisés pour représenter des quantités physiques comme les positions, la vitesse, l’accélération, les forces, les moments, les moments linéaire et angulaire, la vitesse angulaire et l’accélération angulaire, etc. Pour saisir un vecteur :

Opérations sur les vecteurs

Addition et soustraction : L’addition et la soustraction des vecteurs nécessitent que les deux opérandes des vecteurs aient la même longueur. Tenter d’additionner ou de soustraire des vecteurs de longueurs différentes produira le message d’erreur « # ! ». 1.

Saisissez le premier vecteur

Arithmétique des vecteurs

Calculez le produit scalaire de deux vecteurs, [1,2] et [3,4]

produit scalaire, et saisis du second vecteur

Le produit scalaire des deux vecteurs est 11

Calculez le produit scalaire de deux vecteurs, [9,5] et [2,2]

produit scalaire, et le produit scalaire des deux vecteurs est

Angle entre les vecteurs

L’angle entre deux vecteurs, A et B, peut être trouvé avec Divise les deux valeurs

Les vecteurs peuvent être utilisés dans les équations et dans les variables d’équations exactement comme les nombres réels. Un vecteur peut être saisi lorsque l’on vous demande une variable.

Les équations contenant des vecteurs peuvent être résolues, cependant la résolution a des capacités limitées si l’inconnue est un vecteur. Les équations contenant des vecteurs peuvent être intégrées, cependant le résultat de l’équation doit être un réel ou un vecteur à 1–D ou un vecteur ayant 0 pour 2ème et 3ème élément.

Arithmétique des vecteurs

Les vecteurs peuvent être utilisés dans des programmes de la même façon que les nombres réels et complexes Par exemple, [5, 6] +2 x [7, 8] x [9, 10] dans un programme correspond à :

Lignes de programme :

 Les programmes qui contiennent des vecteurs peuvent être utilisés pour les résolutions et les intégrations.

Arithmétique des vecteurs

Dans le mode ALG, commencer à saisir un vecteur en appuyant sur

mode RPN fonctionne de la même façon que le mode ALG, excepté qu’il faut appuyer sur la touche

d en premier, puis appuyer sur {3 .

Pour saisir un élément contenant la valeur enregistrée dans une variable lettré, appuyez sur

h puis sur la lettre de la variable.

Pour saisir un élément présent dans un registre de pile, appuyez sur la touche puis utilisez les touches

Le menu LOGIC ({>) permet d’accéder à des fonctions logiques.

Menu BASE Menu Indicateur

Convertissez 125,9910 en nombre hexadécimal, octal et binaire.

Le nombre binaire entier ne

Dans le mode ALG : 1. Le mode de base résultant est déterminé par les paramètres de mode de base actuel. 2. S’il n’y a pas de commande en ligne active (il n’y a pas de curseur clignotant sur la ligne 1), changer de base mettra à jour la ligne 2 pour qu’elle soit dans la nouvelle base. 3.

Après avoir appuyé sur š ou modifié le mode de base, la calculatrice ajoutera automatiquement le signe de la base actuelle b/o/h qui suit le résultat afin de représenter le nombre en base 2/8/16 sur la ligne 2.

Pour voir le contenu de l’écran suivant dans la ligne 2, appuyez sur {Ö ou

{Õ pour modifier l’écran

Conversions de base et arithmétique et logique

Le menu LOGIQUE Menu Indicateur

Par exemple : XOR (1101b,1011b)=110b « OU » logique bit à bit de deux arguments. Par exemple : Ou (1100b,1010b)=1110b Renvoie le complément à un de l’argument. Chaque bit du résultat est le complément du bit correspondant dans l’argument. Par exemple : NOT (1011b)= 111111111111111111111111111111110100b « NON–ET » logique bit à bit de deux arguments. Par exemple : NAND(1100b,1010b)=11111111111111111111111 1111111110111b « NON–OU » logique bit à bit de deux arguments. Par exemple : NON–OU (1100b,1010b)= Cependant, vous devez réaliser que la plupart des opérations autres qu’arithmétiques ne produiront pas de résultats significatifs puisque la partie fractionnelle des nombres est tronquée. L’arithmétique en base 2, 8 et 16 est sous forme de compléments de 2 et n’utilise que des entiers : Si un nombre possède une partie fractionnaire, seule la partie entière est utilisée pendant un calcul arithmétique.

Conversions de base et arithmétique et logique

Alors que les conversions ne changent que l’affichage des nombre mais pas le nombre présent dans le registre X, l’arithmétique peut modifier le nombre dans le registre X. Si le résultat d’une opération ne peut pas être représenté en bits valides, l’écran affiche #$, puis affiche le plus grand nombre positif ou négatif possible. Exemple : Voici quelques exemples d’arithmétique en mode Hexadécimal, Octal et Binaire : 12F16 + E9A16 = ? Résultat en la base hexadécimale. Retourne à la base décimale.

La représentation des nombres

Bien que l’affichage d’un nombre est convertie quand la base est changée. Sa forme enregistrée n’est pas modifiée, et donc les chiffres décimaux ne sont pas tronqués — à moins qu’ils soient utilisés dans les calculs arithmétiques. Quand un nombre apparaît en base hexadécimale, octale ou binaire, il est représenté comme un entier justifié à droite jusqu’à 36 bits (12 chiffres octaux ou 9 chiffres hexadécimaux). Les zéros précédents ne sont pas affichés mais ils sont importants car ils indiquent un nombre positif. Par exemple, la représentation binaire de 12510 est affichée comme : 1111101b qui est identique à ces 36 chiffres : 000000000000000000000000000001111101b

Le bit le plus à gauche (le plus significatif ou « le plus haut ») d’une représentation binaire d’un nombre est le bit de signe ; il vaut (1) pour les nombres négatifs. S’il y a des zéros précédents (non affichés), le bit de signe est 0 (positif). Un nombre négatif est le complément de 2 de son nombre binaire positif. Affiche le reste du nombre en § ¨ deplaçant un écran Affiche la fenêtre la plus à §  E droite ; . ) Nombre décimal négatif.

Plage des nombres pour les conversions de base

Entier positif le plus grand

Entier négatif le plus grand

Entrée de données à deux variables

Si les données sont une paire de variables, saisir en premier la variable dépendante (la 2ème variable de la paire) puis appuyez sur š, ensuite saisissez la variable indépendante (la 1ère variable de la paire) et appuyez sur 1.

Appuyez sur existantes.

3. Tapez la valeur de x et appuyez sur

Pour rappeler une valeur à l’affichage immédiatement après sa saisie, appuyez sur

Correction d’erreurs de saisie de

Si vous faites une erreur pendant la saisie de données statistiques, effacez la donnée incorrecte et ajoutez la donnée corrigée. Même si seule une des valeurs de la paire x,y est incorrecte, vous devez supprimer et ré–entrer les deux valeurs.

Rappelle la dernière valeur de x. Le dernier y est toujours dans le registre Y.

Efface la dernière paire de données. Entre de nouveau la dernière paire de données. Efface la première paire de données.

Opérations statistiques

z/ ( º ) pour la moyenne des valeurs de x.

z/Õ( ¸ ) pour la moyenne des valeurs de y.

Appuyez sur z/ÕÕ( º · ) pour la moyenne pondérée des valeurs x en utilisant les valeurs y comme poids ou fréquences. Les poids ou fréquenced peuvent être des entiers ou non.

Calcule la durée moyenne pour compléter le procédé.

{2 (Uº) pour un écart–type des valeurs x.

{2Õ (U¸) pour un écart–type des valeurs de y.

Les élements (σº) et (σ¸) dans ce menu sont décrits dans la prochaine section,

« Ecart–type de la population. » Exemple : Ecart–type. En utilisant les mêmes données procédé–durée que dans l’exemple sur la « moyenne » ci–dessus, May Kitt, désire maintenant déterminer l’écart–type de la durée (sx) du procédé : 15,5

Appuyez sur valeurs x.

{ 2ÕÕ (σº) pour l’écart–type de population des

Appuyez sur { des valeurs y.

2ÕÕÕ (σ¸) pour l’écart–type de population

Exemple : Ecart–type de population.

Grand–mère Hinkle a quatre enfants d’une taille de 170, 173, 174 et 180 cm. Trouvez l’écart–type de la population de leurs tailles.

Estime (prédit) y pour une valeur hypothétique de x, basée sur la droite calculée pour correspondre aux données. Coefficient de corrélation pour les données (x, y). Le coefficient de corrélation est un nombre dans la plage de –1 à +1 qui mesure la précision de correspondance entre la droite calculée et les données. Pente de la droite calculée. Ordonnée y de l’intersection de la droite calculée.

ˆ (kg par hectare) Y, Rendement (tonnes par hectare)

Coefficient de correction ; les données sont très proches de la ligne droite. Pente de la droite.

Limitations sur la précision des données Du fait que la calculatrice possède une précision limitée, cela engendre des limitations de calculs dues aux arrondis . En voici deux exemples : Nombres importants, proches et normés La calculatrice peut être incapable de calculer un écart–type et une régression linéaire pour une variable dont les données diffèrent de très peu. Afin d’éviter cela, normaliser les données en entrant chaque valeur comme la différence par rapport à une valeur centrale (telle que la moyenne). Pour chaque valeur normalisée x, la différence doit alors être ajoutée pour le calcul de

x̂ . Pour b, ajoutez 7777000 x m. Pour calculer ŷ ,

vérifiez de fournir une

valeur de x inférieure à 7777000.

Des inexactitudes similaires peuvent survenir si vos valeurs de x et y sont très différentes. De même, un échelonnage des données peut éviter ce problème. Effet des données effacées Exécuter z 4 n’efface pas les erreurs d’arrondis qui ont pu être générées dans les registres statistiques par les valeurs originales des données. Cette différence n’est pas importante à moins que la donnée incorrecte possède une différence qui est énorme comparée à la donnée corrigée ; dans un tel cas, il serait prudent d’effacer et de ré–entrer toutes les données.

12-10 Opérations statistiques

Valeurs de somme et registres statistiques

Les registres statistiques correspondent à six emplacements uniques en mémoire qui conservent six valeurs de somme.

Statistiques de somme

{ 5 pour accéder au contenu des registres statistiques :

(Q) pour rappeler le nombre de données paramétrées accumulé.

Õ (;º) pour rappeler la somme des valeurs x.

ÕÕ (;¸) pour rappeler la somme des valeurs y.

ÕÕÕ (;º), ÕÕÕÕ (;¸), et

ÕÕÕÕÕ (;º¸) pour rappeler les sommes des carrés et la

somme des produits de x par y – valeurs qui sont intéressantes pour réaliser d’autres calculs statistiques en plus de ceux proposés par la machine.

Si vous avez entré des données statistiques, vous pouvez voir le contenu des registres statistiques. Appuyez sur zX et

(#)š, puis utilisez ×

Ø pour voir les registres statistiques.

Opérations statistiques 12-11

Les assignations des registres statistiques de la HP 35s sont affichés dans le tableau suivant. Les registres d’addition doivent se référer dans les expressions, les

équations et des programmes par des noms et non par les nombres.

Registres statistiques

Dans ce chapitre, vous allez apprendre comment programmer une série d’opérations. Dans le chapitre suivant « Techniques de programmation », vous apprendrez les sous-programmes et les instructions conditionnelles.

Exemple : Programmation simple. Pour déterminer la surface d’un cercle d’un rayon de 5 en utilisant la formule A = π r2, appuyez sur les touches suivantes : En mode RPN : 5

Plutôt que de répéter la frappe à chaque fois (en faisant varier uniquement le « 5 » pour le changement de rayon), vous pouvez stocker la répétition de frappe dans un programme :

Programmation simple

Dans le mode ALG, pour entrer ce programme dans la mémoire des programmes, faites comme suit :

Conception de programmes Les sujets suivants vous présentent les instructions que vous pouvez utiliser dans un programme. Les instructions saisies dans un programme affectent la manière dont celui-ci apparaît ainsi que son fonctionnement.

Les programmes créés et sauvegardés en mode RPN devraient être édités et exécutés en mode RPN, et les programmes créés et sauvegardés en mode ALG peuvent seulement être édités et exécutés en mode ALG. Autrement, le résultat peut être incorrect.

Programmation simple

Remarque : les numéros de ligne acquièrent un  pour correspondre à leur libellé. Libellés de programme Les programmes et segments de programmes (appelés routines) doivent commencer par un libellé. Pour enregistrer un libellé, appuyez sur : la touche-lettre

Le libellé correspond à une lettre unique comprise entre A et Z. Les touches lettres sont utilisées car elles sont destinées au suivi des variables (sujet abordé au chapitre

3). Vous ne pouvez pas affecter le même libellé plus d’une fois (le message "!) s’affichera), mais un libellé peut utiliser la même lettre utilisée par une variable. Il est possible d’avoir un programme (le premier de la mémoire) en mémoire sans libellé. Toutefois, les programmes suivants nécessitent un libellé pour pouvoir les reconnaître. Les programmes ne peuvent pas avoir plus de 999 lignes. Retour de programme Les programmes et sous-programmes doivent se terminer avec une instruction de retour. Les frappes sont les suivantes :

Lorsqu’un programme se termine, la dernière instruction RTN renvoie le pointeur du programme vers  ! (haut de la mémoire de programme).

Utilisation des modes RPN/ALG et des équations dans les programmes

Les programmes exécutent les opérations de la même façon que vous les entreriez dans la calculatrice :

Programmation simple

L’exemple précédent utilisait une série d’opérations RPN pour calculer la surface d’un cercle. Au lieu de cela, vous pouvez utiliser une équation dans un programme. (Voir infra). La plupart des programmes correspondent à une combinaison de mode RPN et d’équations et s’appuient sur la puissance des deux.

Puissance des opérations RPN Utilisent moins de mémoire.

S’exectue plus vite.

Puissance des équations et opérations ALG Plus faciles à écrire et à lire.

Peuvent s’afficher automatiquement.

Quand un programme s’exécute, l’équation est évaluée de la même manière que

W évalue une équation dans la liste des équations. Pour l’évaluation du programme, « = » dans une équation est essentiellement considéré comme « – ». (Il n’y a pas d’équivalent programmable à š pour une équation de calcul mis à part celui d’écrire l’équation comme une expression, puis d’utiliser STO pour stocker la valeur dans une variable).

Pour les deux types de calculs, vous pouvez inclure des instructions RPN pour contrôler les entrées, sorties et suivre le programme.

Entrée et sortie de données

Pour des programmes qui nécessitent plus d’une entrée ou renvoient plus d’une sortie, vous pouvez décider comment vous désirez que le programme intègre et renvoie les informations. Pour les entrées, vous pouvez demander une variable avec l’instruction INPUT, vous pouvez demander à une équation de résoudre les variables ou vous pouvez prendre les valeurs entrées par avance dans la pile.

Programmation simple

Le fait d’appuyer sur { d permet d’activer/de désactiver le mode de saisie de programmes (l’indicateur PRGM est activé ou désactivé). Les frappes effectuées dans ce mode sont stockées comme des lignes de programme en mémoire. Chaque instruction ou nombre occupe une ligne de programme et il n’y a pas de limite

(autre que la mémoire disponible) au nombre de lignes dans un programme. Pour entrer un programme en mémoire :

{ d pour activer le mode de saisie de programmes.

2. Appuyez sur U ŒŒ pour afficher  !. Cela permet d’initialiser

le pointeur du programme à un emplacement connu, devant tout autre programme. Pendant votre saisie, les lignes du programmes seront insérées avant toutes les autres lignes de programme.

Si vous n’avez besoin d’aucun des programmes en mémoire, effacez la mémoire de programme en appuyant sur { (). Pour confirmer que vous voulez supprimer tous les programmes, appuyez sur Ö (&) š après le message   @ & . 3. Donnez une libellé au programme — une lettre unique, de A à Z. Appuyez sur {“ lettre. Choisissez une lettre significative, qui vous rappellera le programme, telle que « A » pour « area ». Si le message "!) s’affiche, utilisez une autre lettre. Vous pouvez effacer le programme existant en appuyant sur zX (), et †. utiliser × ou Ø pour trouver le libellé et appuyer sur { 4. Pour enregistrer les opérations de calcul comme des instructions de programme, procédez de la même façon que vous le feriez manuellement. Souvenez-vous que beaucoup de fonctions n’apparaissent pas au clavier mais doivent être obtenues par les menus. Pour entrer une équation dans une ligne de programme, reportez-vous aux instructions ci-dessous.

† (ou {d) pour annuler la saisie du programme.

Les numéros dans les lignes du programme sont stockés aussi précisément que vous les avez entrés et peuvent être affichés en utilisant ALL ou le format SCI. (Si un nombre long ne peut pas être affiché, appuyez sur z pour voir tous les chiffres).

Pour entrer une équation dans une ligne de programme, procédez comme suit : Appuyez sur G pour activer le mode de saisie d’équation. L’indicateur EQN s’affiche. 2. Entrez l’équation comme vous le feriez manuellement. Voir le chapitre 6 pour plus de détails. Utilisez a pour corriger les erreurs de frappe. 1.

3. Appuyez sur š pour terminer l’équation et afficher sa partie gauche.

(L’équation ne fait pas partie de la liste d’équations). Une fois que vous avez saisi une équation, vous pouvez appuyer sur z  pour voir sa somme de contrôle et sa longueur. Maintenez la touche  appuyée pour conserver les valeurs d’affichage. Pour une équation longue, les indicateurs ¨ et § montrent que le défilement est activé pour cette ligne de programme. Vous pouvez utiliser {Ö et {Õ pour faire défiler l’affichage.

Fonctions d’effacement et touches suppression

Notez ces conditions particulières pendant l’entrée d’un programme :

† annule toujours la saisie de programme. Cela n’efface jamais un nombre.

Dans le mode d’affichage des lignes de programme, a efface la ligne de programme actuelle et Ö/Õ commence le mode d’édition. Dans le mode d’édition des lignes d’un programme, a efface le caractère placé avant le curseur. Pour programmer une fonction permettant d’effacer les registres X, utilisez { (º). Lorsque vous insérez ou effacez une ligne dans un programme, les paramètres GTO et XEQ sont automatiquement mis à jour si nécessaire.

Le nom de une fonction qui est utilisé dans une ligne de programme n’est pas nécessairement le même que le nom de la fonction sur sa touche, dans son menu ou dans une équation. Le nom qui est utilisé dans un programme est généralement une abréviation plus courte que celle de la touche ou du menu.

Exemple : Saisie d’un libellé de programme. Les frappes suivantes vous permettront d’effacer le programme précédent (surface d’un cercle) et d’en entrer un nouveau qui inclut un libellé et renvoie une instruction. Si vous faites une erreur de saisie, appuyez sur a pour effacer la ligne de programme en cours, puis resaisissez la ligne correctement.

(En mode RPN) Annule l’entrée de programme (PRGM n’est plus affiché).

/ équation, plutôt qu’en utilisant une opération RPN (comme dans le programme précédent).

(En mode RPN) Stocke le rayon dans le variable R Sélectionne le mode Entrée-Equation; saisit l’équation, revient en mode de saisie de programme.

Termine le programme.

Affiche le libellé E et la longueur du programme en octets. Somme de contrôle et longueur du programme. Annule l’entrée de programme.

Programmation simple

Pour exécuter un programme depuis le début appuyez sur

En mode RPN, Lancez les programmes libellés A et E pour déterminer les aires des trois différents cercles avec des rayons de 5, 2,5 et 2π. N’oubliez pas d’entrer le rayon avant d’exécuter A ou E.

Si vous savez qu’il y a une erreur dans un programme mais que vous ne savez pas où elle se situe, vous pouvez tester le programme consiste en l’exécutant pas à pas. Nous vous recommandons d’ailleurs de tester tous les programmes longs et complexes avant des les exécuter. Grâce à cette méthode, vous pourrez voir un résultat après chaque instruction de programme et vérifier la progression des données connues dont le résultat est également connu. 1.

Comme pour une exécution normale, vérifiez que le mode de saisie de programme n’est pas actif (Indicateur PRGM éteinte).

s’exécute. Le résultat de cette exécution s’affiche (ilest dans le registre X).

Pour aller à la ligne précédente, vous pouvez appuyer sur

exécution ne se déroule.

4. Le pointeur du programme se déplace vers la ligne suivante. Répétez l’étape 3 jusqu’à ce qu’une erreur soit trouvée ou allez à la fin du programme. Si le mode de saisie de programme est actif,

Ø ou × permettent simplement

de changer le pointeur du programme sans exécuter les lignes. En maintenant la touche du curseur enfoncée pendant l’entrée d’un programme, le programme défile automatiquement.

Exemple : Test de programme. Réalisez une exécution du programme libellé A pas à pas. Utilisez un rayon de 5 comme donnée de test. Vérifiez que le mode de saisie de programme n’est pas activé avant de débuter :

(En mode RPN) Fin du programme. Le résultat est correct.

Entrée et affichage de données

Les variables de la calculatrice sont utilisées pour stocker les données saisies, les résultats intermédiaires et les résultats finaux. (Les variables, comme expliqué au chapitre 3, sont identifiées par une lettre de A à Z, mais les noms des variables n’ont rien à voir avec les libellés de programme.) Dans un programme, vous pouvez obtenir des données en procédant comme suit : A partir d’une instruction INPUT qui demande la valeur de la variable. (méthode la plus commode). Depuis la pile. (Vous pouvez utiliser STO pour stocker la valeur dans une variable pour une utilisation ultérieure). Depuis les variables dont les valeurs sont déjà stockées. A partir d’une demande automatique par une équation (si autorisé par l’activation de l’indicateur 11). (Egalement pratique si vous utilisez des équations). Dans un programme, vous pouvez afficher les informations en procédant comme suit : Avec l’instruction VIEW, qui permet d’afficher le nom et la valeur d’une variable. (Méthode la plus commode). Depuis la pile - seule la valeur des registres X et Y sont visibles. (Vous pouvez utiliser PSE pour une visualisation du registre X et Y pendant une seconde). Dans l’affichage d’une équation (si autorisé par l’indicateur 10 activé). (« L’équation » est généralement un message, pas une vraie équation).

13-12 Programmation simple

Certaines de ces techniques d’entrée et sortie sont décrites dans les sections qui suivent.

« R » représente le nom de la variable, « ? » correspond au caractère affiché pour l’information, et 0,0000 est la valeur actuelle stockée dans la variable. Appuyez sur f (marche/arrêt) pour reprendre le programme. La valeur que vous avez entrée s’inscrit à la place du contenu actuel du registre X et est stockée dans la variable indiquée. Si vous n’avez pas modifié la valeur affichée, la valeur est retenue dans le registre X. Le programme de calcul d’aire avec une instruction INPUT ressemble à ceci :

 (Dans le cas de l’aire du cercle, la seule entrée nécessaire est le rayon, qui peut être assigné à R).

Programmation simple 13-13

2. Au début du programme, insérez une instruction INPUT pour chaque variable dont la valeur est nécessaire. Plus tard dans le programme, quand vous écrirez la partie de calcul qui nécessite une certaine valeur, insérez une instruction de variable

Du fait que l’instruction INPUT laisse également la bonne valeur entrée dans le registre X, vous n’avez pas à rappeler la variable plus tard dans le programme. Vous pouvez utiliser l’instruction INPUT et l’utiliser quand vous en avez besoin. Vous pouvez être en mesure d’économiser un peu d’espace mémoire de cette manière. Toutefois, dans un programme long, il est plus simple de stocker toutes les valeurs d’entrée en début de programme, puis de les rappeler quand c’est nécessaire. Souvenez-vous également que l’utilisateur du programme peut réaliser des calculs quand le programme est arrêté, en attente d’entrée. Ceci peut altérer le contenu de la pile, ce qui affecte le calcul suivant réalisé par le programme. Donc, le programme ne doit pas supposer que les contenus des registres X, Y et Z seront les mêmes avant et après l’instruction INPUT. Si vous collectez toutes les données au début et les rappelez ensuite quand c’est nécessaire pour un calcul, vous éviterez que le contenu de la pile soit altéré juste avant de débuter le calcul. Pour répondre à une demande de valeur, procédez comme suit : Quand vous exécutez un programme, celui-ci va s’arrêter à chaque instruction INPUT et vous demander la variable, tel que @ ) . La valeur affichée (et les contenus du registre X) seront les contenus actuels de R. Pour laisser un nombre inchangé, appuyez simplement sur

Pour modifier le nombre, saisissez le nouveau numéro et appuyez sur f.

Ce nouveau nombre écrasera l’ancienne valeur dans le registre X. Vous pouvez saisir un nombre comme une fraction si vous le voulez. Si vous avez besoin de calculer un nombre, utilisez les calcules à l’aide du clavier normal, puis appuyez sur f. Par exemple, vous pouvez appuyez sur š  0 f dans le mode RPN, ou appuyez sur 0 š f dans le mode ALG (Avant que vous n’ayez appuyé sur š, l’expression sera affichée en ligne 2. après avoir appuyé sur š, le résultat de l’expression remplacera l’expression à afficher en ligne 2 et sera enregistré dans le registre X).

13-14 Programmation simple

Pour annuler une demande INPUT, appuyez sur †. La valeur en cours pour la variable demeure dans le registre X. Si vous appuyez sur f pour reprendre le programme, la demande INPUT annulée est répétée. Si vous appuyez sur † pendant la saisie de chiffres, le nombre s’efface. Appuyez de nouveau sur † pour annuler la demande INPUT.

š pour copier ce nombre dans le registre X.

Si le nombre possède plus de 14 caractères, comme un nombre binaire, complexe, vecteur, appuyez sur {Ö et {Õ affichera le reste.

Appuyez sur registre X.

† (ou a) pour effacer l’affichage de VIEW et présenter le

pour effacer les contenus de la variable affichée.

f pour continuer le programme.

Si vous ne voulez pas que le programme s’arrête, reportez-vous à la section

« Affichage des informations sans arrêt » plus loin. Par exemple, voir le programme « Distributions normales et normales inversées » au chapitre 16. Les lignes T015 et T016 à la fin de la routine T affichent les résultats de X. Remarquez que cette instruction VIEW est précédée dans ce programme par une instruction RCL. L’instruction RCL n’est pas nécessaire, mais elle est commode car elle amène la variable désirée dans le registre X, la rendant disponible pour les calculs manuels. (Le fait d’appuyer sur

š tout en visionnant l’affichage de

VIEW aurait le même effet). Les autres programmes d’application qui sont aux chapitres 16 à 17 s’assurent également que la variable visionnée est dans le registre X — à l’exception du programme « Détecteur de racine polynomiale ».

Programmation simple 13-15

G pour débuter l’équation. Appuyez sur des nombres et des expressions mathématiques pour obtenir les nombres et symboles. Appuyez sur K avant chaque lettre. Appuyez sur š pour terminer l’équation. Si l’indicateur 10 est activé, les équations sont affichées au lieu d’être évaluées. Cela signifie que vous pouvez afficher n’importe quel message que vous entrez sous forme d’équation. (Les indicateurs sont détaillés dans le chapitre 14). Quand le message s’affiche, le programme s’arrête - appuyez sur f pour reprendre l’exécution. Si le message affiché dépasse les 14 caractères, l’indicateur ¨ s’affiche quand le message est affiché. Vous pouvez utiliser { Õ et { Ö pour faire défiler l’affichage. Si vous ne voulez pas que le programme s’arrête, reportez-vous à la section « Affichage d’Informations sans Arrêt » ci-dessous. Exemple : INPUT, VIEW et Messages dans un programme. Entrez une équation pour déterminer la surface et le volume d’un cylindre en fonction de son rayon et de sa hauteur. Affectez le libellé C au programme (pour cylindre) et utiliser les variables S (surface), V (Volume), R (Rayon) et H (Hauteur). Utiliser les formules suivantes : V = πR2H S = 2π R2 + 2π RH = 2π R ( R + H )

Instructions pour demander le rayon et la hauteur.

Somme de contrôle et longueur de l’équation.

Stocke la surface dans S. Active le drapeau 10 pour afficher les équations. Affiche le message en équations.

Affiche le libellé C et la longueur du programme en octets.

Somme de contrôle et longueur du programme. Annule l’entrée de programme.

Programmation simple 13-17

Déterminer maintenant le volume et la surface d’un cylindre avec un rayon de

2 1/2 cm et une hauteur de 8 cm.

(En mode RPN) Habituellement, un programme s’arrête quand il affiche une variable avec VIEW ou quand il affiche un message d’équation. Vous devez normalement appuyer sur

f pour continuer l’exécution.

Si vous le désirez, vous pouvez faire en sorte que le programme continue tandis que les informations sont affichées. Si la ligne de programme suivante - après l’instruction VIEW ou la visualisation d’une équation - contient une instruction PSE (pause), l’information est affichée et l’exécution continue après une seconde de pause. Dans ce cas, aucun défilement ni aucune saisie au clavier ne sont autorisées. L’affichage est effacé par les autres opérations d’affichage et par l’opération RND si le drapeau 7 est activé (arrondi d’une fraction). Appuyez sur

{ e pour entrer PSE dans un programme.

Les lignes VIEW ou PSE — ou l’équation et les lignes PSE — sont traitées comme une seule opération quand vous exécutez un programme ligne par ligne.

13-18 Programmation simple

équation qui est affichée (indicateur 10 activé), la variable ou l’équation est affichée à la place — et l’affichage demeure après la pause de 1 seconde.

Interruption d’un programme en cours

Vous pouvez interrompre un programme en cours d’exécution à tout moment en appuyant sur

† ou f. Le programme termine l’instruction en cours avant de f (marche/arrêt) pour reprendre l’exécution du

s’arrêter. Appuyez sur programme.

Si vous interrompez un programme puis appuyez sur W, U, ou vous ne pouvez plus reprendre l’exécution du programme avec

z ”, f. A la place,

relancer le programme (W libellé numéro de ligne ).

Pour visualiser la ligne du programme contenant l’erreur, appuyez sur { d. Le programme s’est arrêté à ce point (par exemple, cela peut être instruction ÷, qui provoquera une de division illégale par zéro).

Programmation simple 13-19

Edition de programme

Vous pouvez modifier un programme dans la mémoire des programmes en insérant, supprimant, et éditant des lignes de programmes. Si une ligne de programme contient une équation, vous pouvez éditer l’équation. Pour effacer une ligne de programme, procédez comme suit : 1.

Sélectionnez le programme ou la routine voulu et appuyez sur Ø ou

4. Quittez le mode de saisie de programme. († ou

Pour insérer des lignes de programme, procédez comme suit :

Par exemple, si vous voulez insérer une nouvelle ligne entre les lignes A004 et A005 d’un programme, vous devez d’abord afficher la ligne A004, puis taper l’instruction ou les instructions. Les lignes originales du programme, commençant par A005, sont déplacées vers le bas et re-numérotées. Pour éditer un opérande, une expression ou une équation dans une ligne de programme : 1.

Localisez ou éditez la ligne de programme que vous souhaitez éditer.

Õ ou Ö pour commencer l’édition de la ligne de

programme. Ceci allume le curseur d’édition « _ », mais n’efface rien dans la ligne de programme.

Õ active le curseur à gauche de la ligne de programme

La touche Ö active le curseur à l fin de la ligne de programme

13-20 Programmation simple

3. Déplacez le curseur « _ » et appuyez sur a répétitivement pour effacer le nombre ou la fonction non voulu, puis ressaisissez le reste de la ligne du programme. (Après avoir appuyé sur a, la fonction de suppression est inactive)

4. Dans le mode ALG, š peut être utilisé comme une fonction, ceci est utilisé pour valider une ligne de programme. 5. Une équation peut être éditée dans tous les modes quel que soit le mode dans lequel elle avait été saisie.

Mémoire de programme

Visualisation la mémoire de programme Appuyez sur { d pour activer et désactiver le mode de saisie de programme de la calculatrice (l’indicateur PRGM s’affiche et les lignes de programme sont affichées). Quand le mode de saisie de programme est activé, le contenu de la mémoire de programme est affiché. La mémoire de programme commence à  !. La liste des lignes de programme est circulaire, vous pouvez donc déplacer le pointeur du programme depuis le bas jusqu’en haut et inversement. Quand le mode de saisie de programme est activé, il existe trois méthodes pour modifier le pointeur du programme (la ligne affichée) :

{× et {Ø vous permettent de vous déplacer d’un libellé vers une autre. Si aucun libellé n’est défini, vous serez déplacé en haut ou en bas du programme.

Pour se déplacer de plus d’une ligne à la fois, (« défilement »), maintenez la touche Ø ou × appuyée.

Programmation simple 13-21

U Œ - libellé nnn pour vous déplacer à une ligne

Si le mode de saisie de programme n’est pas actif (si aucune ligne de programme n’est affichée), vous pouvez également déplacer le pointeur du programme en appuyant sur numéro de ligne du libellé U.

Le fait d’annuler le mode de saisie de programme ne modifie pas la position du pointeur du programme.

Utilisation de la mémoire

Si, pendant la saisie d’un programme, vous rencontrez le message & ", cela signifie qu’il n’y a pas suffisamment d’espace disponible dans la mémoire de programmation pour la ligne que vous venez de taper. Vous pouvez créer de l’espace en effaçant des programmes ou d’autres données. Voir la section relative à l’« effacement d’un ou de plusieurs programmes » ci-dessous, ou « Gestion de la mémoire de la calculatrice » à l’annexe B.

Le catalogue des programmes (MEM)

Le catalogue des programmes est une liste de tous les libellés des programmes avec le nombre d’octets de mémoire utilisés par chaque libellé et les lignes associées à celui-ci. Appuyez sur z X (2) pour afficher la catalogue et appuyez sur Ø ou × pour vous déplacer à l’intérieur de la liste. Vous pouvez utiliser le catalogue pour : Etudier les libellés dans la mémoire de programme et l’espace mémoire occupé par chaque programme ou routine. Exécuter un programme avec un libellé. (Appuyez sur le libellé est affiché).

Afficher un programme avec un libellé. (Appuyez sur libellé est affiché).

Effacer des programmes spécifiques. (Appuyez sur libellé est affiché).

Vérifier la somme de contrôle associée avec un segment de programme.

(Appuyez sur z ). Le catalogue vous montre combien d’octets de mémoire chaque segment de programme utilise. Les programmes sont identifiés par une étiquette de programme :

13-22 Programmation simple

Pour effacer tous les programmes de la mémoire, procédez comme suit :

{ d pour afficher les lignes de programme (indicateur

() š pour le catalogue des libellés

Appuyez sur z X de programme. 2. Affichez le libellé approprié en utilisant les touches du curseur, si nécessaire. 3. Appuyez sur z  pour afficher / somme de vérification et / longueur. 1.

Programmation simple 13-23

De plus, chaque équation dans un programme possède une somme de vérification. Voir « Saisie d’une équation dans une ligne de programme » au début de ce chapitre.

Fonctions non-programmables

Les fonctions suivantes de la HP 35s ne sont pas programmables :

Pendant l’écriture des programmes qui utilisent des nombres dans d’autres bases que 10, réglez le mode de base comme réglage actuel de la calculatrice et dans le programme (comme une instruction).

Sélection d’un mode de base dans un programme

Insérez l’instruction BIN, OCT ou HEX au début du programme. Vous devriez normalement inclure une instruction DEC à la fin du programme pour ramener le réglage de la machine vers le mode Décimal quand le programme est fini. Une instruction dans un programme pour changer le mode de base déterminera comment l’entrée à venir est interprétée et comment les sorties sont représentées pendant et après l’exécution du programme, mais cela n’affecte pas les lignes du programme quand vous les entrez.

Nombres saisis dans des lignes de programme

Avant de commencer la saisie du programme, définissez le mode de base. Le réglage actuel pour le mode de base détermine le résultat du programme. Un indicateur vous dira quelle base est actuellement paramétrée. Comparez les lignes du programme ci-dessous dans le mode décimal et non-décimal. Tous les nombres décimaux et non-décimaux sont justifiés à gauche dans l’affichage de la calculatrice.

Réglage mode décimal :

Ecrivez un programme utilisant les opérations RPN pour 5x4 + 2x3, puis l’évaluez pour x = 7.

Maintenant, évaluer le polynôme pour x = 7.

En utilisant des sous-routines pour simplifier les programmes en séparant et libellant les portions d’un programme qui sont consacrées à des tâches particulières. L’utilisation de sous-routines raccourcit également un programme quand il doit réaliser une série d’étapes plus d’une fois. Utilisation d’instructions conditionnelles (comparaisons et indicateurs) pour déterminer quelles instructions ou sous-routines doivent être utilisées. Utilisation de boucles avec des compteurs pour exécuter un ensemble d’instruction un certain nombre de fois. Utilisation d’adressage indirect pour accéder à différentes variables en utilisant la même instruction du programme.

Routines dans les programmes

Un programme est composé d’une ou plusieurs routines. Une routine est une unité fonctionnelle qui accomplit une tâche spécifique. Les programmes compliqués nécessitent des routines pour regrouper et séparer les tâches. Cela rend le programme plus facile à écrire et lire, à comprendre et modifier. Une routine démarre typiquement à un libellé et se termine avec une instruction qui arrête l’exécution du programme/routine comme RTN ou STOP.

Appel des sous-routines (XEQ, RTN)

Une sous-routine est une routine qui est appelée depuis (exécutée par) une autre routine et retourne à cette même routine quand la sous-routine est terminée.

Techniques de programmation

D par la ligne   %   modifie le signe du nombre. La sous-routine E se termine avec une instruction RTN qui renvoie l’exécution du programme à la routine D (pour enregistrer et afficher le résultat) à la ligne D004. Voir le l’organigramme ci-dessous. 

La sous-routine suivante, libellée S, calcule la valeur de l’expression

a2 + b2 + c 2 + d 2 comme partie d’un calcul plus important. La sous-routine appelle une autre sousroutine (une sous-routine emboîtée), libellée Q, pour réaliser la répétition du carré et de l’addition. Cela permet d’économiser de la mémoire en conservant un programme plus court que sil les sous-routines n’avaient pas été utilisées.

Techniques de programmation

 déplace l’exécution depuis chacune des trois routines indépendantes d’initialisation vers LBL Z, la routine qui est le point d’entrée commun au coeur du programme :   . Techniques de programmation

Faire suivant si Vrai.

Les tests d’indicateurs. Ceux-ci vérifient l’état des indicateurs, qui peuvent être actifs ou inactifs. Compteurs. Ceux-ci sont habituellement utilisés pour fonctionner en boucle un certain nombre de fois.

Tests de comparaison (x?y, x?0)

Il y a 12 comparaisons disponibles pour la programmation. Appuyez sur

l ou { n pour afficher le menu de l’une des deux catégories de tests : x?y pour les tests comparant x et y. x?0 pour les tests comparant x et 0.

Se souvenir que x se rapporte au nombre dans le registre X, et y se rapporte au nombre dans le registre Y. Ceux-ci ne comparent pas les variables X et Y. Vous pouvez utiliser x?y et x?0 pour comparer deux nombres, si l’un d’eux n’est pas un nombre réel, il sera retourné un message d’erreur # !. Sélectionnez une catégorie de comparaison, puis appuyez sur la touche de menu pour l’instruction conditionnelle désirée.

≠ ≤ < > Par exemple, si x =2 et y =7, faites un test x<y.

Techniques de programmation

Teste si la correction est significative. Retourne au début de la boucle si la correction est significative. Continue si la correction n’est pas significative. Affiche la valeur calculée de X.

La ligne T009 calcule la correction pour Xestimé. Le ligne T013 compare la valeur absolue de la correction calculée pour 0,0001. Si la valeur est inférieure à 0,0001

(« Faire si Vrai »), le programme exécute la ligne T014, si la valeur est égale ou supérieure à 0,0001, le programme saute à la ligne T015.

Techniques de programmation

Signification des indicateurs La HP 35s possède 12 indicateurs, numérotés de 0 à 11. Tous les indicateurs peuvent être activés, inactivés et testés depuis le clavier ou par une instruction de programme. L’état par défaut des 12 indicateurs est inactif. L’opération d’effacement de mémoire à trois touches décrite dans l’appendice B efface tous les () Ö (&) indicateurs. Les indicateurs ne sont pas affectés par{ š. Les indicateurs 0, 1, 2, 3, et 4 ne possèdent pas de signification prédéfinie. Ce qui veut dire que leurs états signifieront ce que vous définirez comme significatif dans un programme particulier. (Voir les exemples plus bas). L’indicateur 5, quand activé, interrompra un programme quand un débordement survient à l’intérieur du programme, affichant #$ et £. Un débordement survient quand un résultat dépasse le plus grand nombre manipulable par la calculatrice. Le nombre possible le plus important est alors substitué au résultat ayant débordé. Si l’indicateur 5 est inactif, un programme avec un débordement ne s’arrêtera pas, bien que #$ est affiché brièvement quand le programme s’arrête finalement. L’indicateur 6 est automatiquement basculé par la calculatrice à chaque fois qu’un débordement !  apparaît (bien que vous puissiez également gérer l’indicateur 6 par vous-même). Il n’a pas d’effet mais peut être testé. De plus, lorsque vous utilisez des bases non décimales dans les programmes, l’indicateur 6 bascule également vers !  dans les programmes. Les indicateurs 5 et 6 vous permettent de contrôler les états de débordement qui surviennent dans un programme. L’activation de l’indicateur 5 arrête un programme à la ligne juste après la ligne qui a provoqué le débordement. En testant l’indicateur 6 dans un programme, vous pouvez modifier le déroulement du programme ou changer un résultat à chaque fois qu’un débordement apparaît. Les indicateurs 7, 8 et 9 contrôlent l’affichage des fractions. L’indicateur 7 peut également être contrôlé depuis le clavier. Quand le mode AffichageFraction est activé ou désactivé en appuyant sur {Š, l’indicateur 7 est également activé ou inactivé.

Techniques de programmation

Réduit les fractions à leurs plus petites formes.

Dénominateurs des fractions sont des facteurs de la valeur /c.

Pas de réduction des fractions.

(Utilisé uniquement si l’indicateur 8 est activé).

14-10 Techniques de programmation

Quand l’indicateur 10 est activé, les équations dans les programmes en fonctionnement sont affichées en tant que messages, provoquant leurs comportements comme la déclaration de VIEW : 1. L’exécution du programme s’arrête. 2. Le pointeur du programme se déplace vers le ligne de programme suivante. 3. L’équation est affichée sans affecter la pile. Vous pouvez effacer l’affichage en appuyant sur a ou sur †. Appuyez sur toute autre touche pour exécuter ladite touche. 4. Si la ligne de programme suivante est une instruction PSE, l’exécution continue après une seconde de pause. L’état d’indicateur 10 est contrôlé uniquement par l’exécution des opérations SF et CF depuis le clavier ou par des déclarations SF et CF dans un programme. L’indicateur 11 contrôle les demandes pendant l’exécution des équations d’un programme — Il n’affecte pas les demandes automatiques durant une exécution clavier : Quand l’indicateur 11 est inactif (par défaut), les opérations d’évaluation, SOLVE et ∫ FN se déroulent sans interruption. La valeur actuelle de chaque variable dans l’équation est automatiquement rappelée à chaque fois que la variable est rencontrée. Une demande INPUT n’est pas affectée. Quand l’indicateur 11 est activé, chaque variable vous est demandée comme si rencontrée pour la première fois dans l’équation. Une demande pour une variable apparaît uniquement une fois, quel que soit le nombre de fois où la variable apparaît dans l’équation. Durant la résolution, aucune demande ne survient pour les inconnues, durant l’intégration, aucune demande pour les variables d’intégration. Les demandes stoppent le programme. Appuyez sur f pour reprendre le calcul en utilisant la valeur entrée pour la variable, ou la valeur affichée (actuellement) de la variable si f est votre unique réponse à la demande. L’indicateur 11 est automatiquement inactivé après une évaluation, SOLVE, ou ∫ FN d’une équation dans un programme. L’état de l’indicateur 11 est également contrôlé par l’exécution des opérations SF et CF depuis le clavier ou par les déclarations SF et CF dans les programmes.

Techniques de programmation 14-11

Indicateurs d’activation

Les indicateurs 0, 1, 2, 3 et 4 possèdent un indicateur dans l’écran qui s’affiche quand l’indicateur correspondant est activé. La présence ou l’absence de 0, 1, 2, 3 ou 4 vous permet de savoir à tout moment l’état d’un indicateur. Toutefois, il n’y a pas d’indication pour l’état des indicateurs 5 à 11. L’état de ces indicateurs peut être déterminé en exécutant l’instruction FS? depuis le clavier. (Voir « Utilisation des indicateurs » plus bas).

Utilisation des indicateurs

z x pour afficher le menu FLAGS :

( ) Œ pour activer l’indicateur 10; appuyez sur z x

l’indicateur (0–11). Par exemple, appuyez sur

Si vous testez un indicateur depuis le clavier, la calculatrice affichera « & «  ».

14-12 Techniques de programmation

Si vous remplacez les lignes S002 et S003 par SF0 et CF1, alors l’indicateur 0 est activé et la ligne S006 prend le logarithme naturel de l’entrée X.

Si vous remplacez les lignes S002 et S003 par CF0 et SF1, alors l’indicateur 1 est active et la ligne S010 prend le logarithme naturel de l’entrée Y.

Techniques de programmation 14-13

Si vous remplacez les lignes S002 et S003 par SF0 et SF1, alors les indicateurs 0 et 1 seront activés et les lignes S006 et S010 prendront le logarithme naturel des entrées X et Y.

Utilisez le programme du dessus pour voir comment utilisez les indicateurs

(En mode RPN) Le programme suivant vous exerce aux possibilités d’affichage des fractions de votre calculatrice. Le programme demande et utilise les entrées pour un nombre fractionnel et un dénominateur (la valeur /c). Le programme contient également des exemples d’utilisation des trois indicateurs d’affichage de fraction (7, 8 et 9) et de l’indicateur (10) « affichage message ». Les messages dans ce programme sont listés dans un MESSAGE et sont entrés comme des équations : 1.

Activez le mode de saisie d’équation en appuyant sur G (indicateur EQN activée).

K pour chaque caractère alpha dans le message et appuyez sur {o pour chaque caractère espace.

3. Appuyez sur š pour insérer le message dans la ligne de programme 2. Appuyez sur la lettre

courante et pour quitter le mode de saisie d’équation.

14-14 Techniques de programmation

Lignes du programme :

Sélectionne la base décimale. Demande un nombre. Demande un dénominateur (2 – 4095). Affiche le message, puis présente le nombre décimal.

Somme de contrôle et longueur: BE54 123

Techniques de programmation 14-15

Utilisez le programme ci-dessus pour visualiser les différentes formes d’affichage de fraction :

Le message indique le format de la fraction (dénominateur pas plus grand que 16), puis affiche la fraction. d indique que le numérateur est « un peu plus bas » que 8. Le message indique le format de fraction (le dénominateur est un multiple de 16), puis affiche la fraction.

 ) Par exemple, la routine suivante utilise une boucle pour diminuer la valeur de A d’une quantité constante B jusqu’à ce que la valeur de A résultante soit inférieure ou égale à B.

Lignes du programme :

(En mode RPN)  Rappelle la constante pour la comparaison. Est-ce que B < au nouveau A ? Oui : la boucle répète la soustraction. Non : affiche le nouveau A.

Pour une boucle descendante, utilisez Pour une boucle ascendante, utilisez

{ m), on vous demandera d’entrer la valeur d’une variable qui contiendra le

nombre de contrôle de boucle (décrit plus bas).

Nombre de contrôle de boucle

La variable spécifiée devrait contenir un nombre de contrôle de boucle ±ccccccc.fffii, avec : ±ccccccc représentant la valeur actuelle du compteur (1 à 12 chiffres). Cette valeur change avec l’exécution de la boucle. fff représentant la valeur finale du compteur (doit être à 3 chiffres). Cette valeur ne change pas avec l’exécution de la boucle. Une valeur non-spécifiée pour fff suppose une valeur de 000.

14-18 Techniques de programmation

ii représentant l’intervalle d’incrémentation ou de décrémentation (doit être de deux chiffres ou non-spécifié). Cette valeur ne change pas. Une valeur non-spécifiée pour ii suppose une valeur de 01 (incrément/décrément par 1).

Etant donné le nombre de contrôle de boucle ccccccc.fffii, DSE décrémente ccccccc à ccccccc — ii, compare le nouveau ccccccc avec fff, et force le programme à sauter l’exécution de la ligne suivante si ccccccc ≤ fff. Etant donné le nombre de contrôle de boucle ccccccc.fffii, ISG incrémente ccccccc à ccccccc + ii, compare le nouveau ccccccc avec fff, et force le programme à sauter la ligne de programmation suivante si ccccccc > fff.

Si la valeur actuelle > la valeur finale, continuer la boucle.

Si numéro de contrôle de boucle est un nombre complexe, il utilisera la partie réelle ou première partie pour contrôler la boucle.

Le programme suivant utilise ISG pour boucler 10 fois. Le compteur de boucle (1,010) est enregistré dans la variable Z. Les zéros du début et de la fin peuvent être omis.

Techniques de programmation 14-19

Adressage indirect des variables et libellés

L’adressage indirect est une technique utilisée en programmation avancée pour spécifier une variable ou un libellé sans spécifier exactement laquelle. Cela est déterminé pendant l’exécution du programme, et dépend donc des résultats intermédiaires (ou saisies) du programme. L’adressage indirect utilise deux différentes touches : 0, 7, 1 , et A. Ces touches sont actives pour plusieurs fonctions qui prennent A jusqu’à Z comme variables ou libellés. I et J est une variable dont le contenu peut se référer à une autre variable ou à un autre libellé. Elle contient un nombre comme toute autre variable (A à Z). (I) et (J) sont des fonctions programmables directes, « utiliser le nombre dans I ou J pour déterminer quelle variable ou libellé est à adresser. » Il s’agit d’un adressage indirect. (A à Z sont des adressages directs). 0 et 7 sont utilisés ensemble pour créer un adressage indirect et cela s’applique aussi bien à 1 qu’à A. De lui-même, (I) ou (J) est soit indéfini (pas de nombre dans (I) ou (J)) ou incontrôlé (utiliser un nombre qui est laissé dans I ou J).

Variable « I » et « J »

Vous pouvez enregistrer, rappeler, et manipuler le contenu de I ou J de la même façon qu’avec le contenu des autres variables. Vous pouvez même résoudre pour I, J et intégrer en utilisant I ou J. Les fonctions énumérées ci-dessous peuvent utiliser la variable « i » (la variable J est la même).

14-20 Techniques de programmation

Les fonctions répertoriées ci-dessous peuvent utiliser (I) ou (J) comme adressage.

Pour FN=, (I) ou (J) réfère au libellé ; pour les autres fonctions (I) ou (J) réfère à une variable ou un registre.

14-22 Techniques de programmation

— ou même dans différentes partie du même programme — une instruction de programme comme STO (I) ou (J) peut enregistrer une valeur dans une variable différente à différents moment. Par exemple, STO (-1) indique l’enregistrement de la valeur dans la variable A. Ceci maintient la flexibilité en laissant ouvert (jusqu’à l’exécution du programme) le libellé de la variable ou du programme qui va être nécessaire. L’adressage indirect est très utile pour compter et contrôler les boucles. La variable I ou J servant d’index maintient l’adresse de la variable qui contient le nombre de contrôle de boucle pour les fonctions DES et ISG.

Équations avec (I)/(J)

Vous pouvez utiliser (I) ou (J) dans une équation pour spécifier une variable indirecte. Remarquer que 12 ou 12 signifie la variable spécifiée par le nombre dans la variable I ou J (une référence indirecte), mais que I ou J et 12ou 12 (dans lequel les parenthèses de l’utilisateur sont utilisées au lieu des touches (I) ou (J)) signifie la variable I ou J.

Variables indirectes sans nom

Placer un nombre positif dans les variables I ou J vous permet d’accéder jusqu’à 801 variables indirectes. L’exemple suivant indique comment les utiliser.

Techniques de programmation 14-23

Lignes du programme :

Résolution par un programme Dans le chapitre 7, vous avez vu comment saisir une équation — elle est ajoutée à la liste des équations — puis comment la résoudre pour n’importe quelle variable. Vous pouvez également entrer un programme qui calcule une fonction, puis la résoudre pour n’importe quelle variable. C’est particulièrement utile si les équations que vous résolvez changent sous certaines conditions ou si elles nécessitent des calculs répétitifs. Pour résoudre une fonction programmée, procédez comme suit: 1.

Entrez un programme qui définit la fonction. (Voir « Ecrire un programme pour

2. Sélectionnez le programme à résoudre: appuyez sur le libellés

z ‰ pour la voir sans perturber la pile. Pour reprendre les calcules, appuyez sur f. variable inconnue; utilisez

Pour écrire un programme pour SOLVE, procédez comme suit:

Le programme peut utiliser des équations, des opérations ALG, RPN — dans toute combinaison la plus pratique.

Programmes de résolution et d’intégration

Si vous n’incluez pas d’instructions INPUT, le programme utilise les valeurs stockées dans les variables ou entrées à la demande de l’équation. 3. Entrez les instructions pour évaluer la fonction. Une fonction est programmée comme une multiligne RPN ou une séquence ALG doit être de la forme qui aboutit à zéro pour la solution. Si votre équation est f(x) = g(x), votre programme doit calculer f(x) – g(x). « =0 ». Une fonction programmée comme une équation peut être de tout type d’équation — égalité, affectation ou expression. L’équation est évaluée par le programme et sa valeur converge vers zéro pour la solution. Si vous voulez une équation qui demande des valeurs pour les variables au lieu d’inclure des instructions INPUT, assurez-vous que l’indicateur est 11 activé. 4. Terminez la programmation par un RTN. L’exécution du programme devrait se terminer avec la valeur de la fonction dans le registre X. Exemple: Programme utilisant ALG. Ecrivez un programme utilisant des opérations ALG qui résolvent pour toute inconnue l’équation de la « Loi des Gaz parfaits ». L’équation est: P x V= N x R x T où P = Pression (atmosphère ou N/m2). Appuyez sur

† pour quitter le mode de saisie de programme.

Utiliser le programme « G » pour résoudre un problème de pression de 0,005 moles de dioxyde de carbone dans une bouteille de 2 litres à 24°C.

Permet une demande par équation. Evalue l’équation, efface l’indicateur 11. (Somme de contrôle et longueur: EDC8 9).

Termine le programme.

Quitte le mode de saisie de programme.

Somme de contrôle et longueur: DF52 21

Calculez maintenant la variation de pression en dioxyde de carbone si la température descend de 10°C par rapport à l’exemple précédent.

Retient 2 dans V; demande pour N. Retient ,005 dans N; demande pour R. Retient ,0821 dans R; demande pour T. Calcule la nouvelle T. Enregistre 287,1 dans T; résoud pour la nouvelle P. Calcule la variation de pression de gaz quand la température baisse de 297,1 K à 287,1 K (un résultat négatif indique une baisse de la pression).

Programmes de résolution et d’intégration

Exemple: SOLVE dans un programme. L’extrait suivant provient d’un programme qui vous permet de résoudre pour x ou y en appuyant sur

Résoud pour la variable appropriée.

  #$12 Affiche la solution.  ! Termine le programme. Somme de contrôle et longueur: D45B 18 Calcule f (x, y). Inclure INPUT ou une     ) Pour intégrer une fonction programmée, procédez comme suit: 1.

Entrez un programme qui définit la fonction intégrale. (Voir « Pour écrire un programme pour ∫ FN» plus loin.)

Programmes de résolution et d’intégration

4. Sélectionnez la variable d’intégration et débuter le calcul: appuyez sur variable

Remarquez que FN= est nécessaire si vous intégrez une fonction programmée, mais pas si vous intégrez une équation depuis la liste d’équations.

Vous pouvez arrêter un calcul d’intégration qui s’exécute en appuyant sur † ou f et le message !"! apparaîtra en ligne 2. Cependant, le calcul ne pourra pas être poursuivit. Aucune information concernant l’intégration ne sera disponible avant que le calcul ne se termine normalement.

Wpendant qu’un calcul d’intégration s’exécute annulera l’opération )V. Dans ce cas, vous devrez redémarrer )V depuis le

Pour écrire un programme pour ∫ FN, procédez comme suit:

Le programme peut utiliser des équations, des opérations ALG ou RPN — dans n’importe quelle combinaison la plus pratique. 1.

Commencez le programme par un libellé. Ce libellé identifie la fonction que vous voulez intégrer (/libellé).

2. Incluez une instruction INPUT pour chaque variable, y compris la variable d’intégration. Les instructions INPUT vous permettent d’intégrer en respectant toutes les variables dans une fonction multi-variables. Un INPUT pour la variable d’intégration est ignoré par la calculatrice. Vous devez donc écrire un seul programme contenant une instruction INPUT distincte pour chaque variable (y compris la variable d’intégration).

Si vous n’incluez pas d’instruction INPUT, le programme utilise les valeurs stockées dans les variables ou entrées aux demandes de l’équation. 3. Entrez les instructions pour évaluer la fonction.

Programmes de résolution et d’intégration

Une fonction programmée comme une équation est habituellement incluse comme une expression spécifiant l’intégrale — bien que cela puisse être n’importe quelle type d’équation. Si vous voulez que l’équation vous demande les valeurs de variables au lieu d’inclure des instructions INPUT, assurez-vous que l’indicateur 11 est activé. 4. Terminez la programmation par un RTN. L’exécution du programme devrait se terminer avec la valeur de la fonction dans le registre X. Exemple: Programme utilisant une équation. La fonction intégrale sinus dans l’exemple du chapitre 8 est t

Entrez ce programme et intégrez la fonction intégrale sinus par rapport à x entre 0 et 2 (t = 2).

(En mode RPN) Restaure le mode Degré.

Programmes de résolution et d’intégration

Les instructions programmés ∫ FN ne donnent pas d’affichage libellé (∫ = valeur) puisque ce ne doit pas être le résultat significatif pour votre programme (c’est à dire, vous pouvez vouloir effectuer d’autres instructions avec ce nombre avant de l’afficher). Si vous voulez vraiment afficher ce résultat, ajouter une instruction PSE ({e) ou STOP (f) pour afficher le résultat dans le registre X après l’instruction ∫ FN. Si l’instruction PSE suit immédiatement une équation qui est affichée (indicateur 10 activé) lors de chaque itération de l’intégration ou de la résolution, l’équation sera affichée pendant 1 seconde et l’exécution continuera jusqu’à la fin de chaque itération. Pendant l’affichage de l’équation, aucun déplacement ni saisie au clavier n’est autorisé. Exemple: ∫ FN dans un programme. Le programme « Distributions normales et normales inversées » du chapitre 16 inclut une intégration d’équation de la fonction de densité normale 1 S 2π

e ((D − M) ÷S )2 ÷2

Les instructions variables SOLVE et ∫ FN ne peuvent pas appeler une routine contenant une autre instruction SOLVE ou ∫ FN. Ce qui veut dire qu’aucune de ces instructions ne peut être utilisée récursivement. Par exemple, une tentative pour calculer une intégrale multiple engendrera une erreur ∫ 1∫ 2. De même, SOLVE et ∫ FN ne peuvent pas appeler une routine qui contient une instruction / libellé; si tenté, une erreur # !# ou ∫  !# sera renvoyée. SOLVE ne peut pas appeler une routine qui contient une instruction ∫ FN (cela produit une erreur 1∫ 2), tout comme ∫ FN FN ne peut pas appeler une routine contenant une instruction SOLVE (cela produit une erreur ∫ 1 #2). Les instructions SOLVE variable et ∫ FN d variable dans un programme utilisent les retours d’un des 20 sous-programmes en attente dans la calculatrice. (Se reporter à « Sous-programmes emboîtés » dans le chapitre 14).

Programmes de résolution et d’intégration 15-11

15-12 Programmes de résolution et d’intégration

Les fonctions de régression interne de la calculatrice HP 35s sont utilisées pour calculer les coefficients de régression.

Programmes statistiques

Les valeurs des données de large amplitude mais de relativement faible différence peuvent donner lieu à des imprécisions, de même que des valeurs de données d’amplitude très différentes. Reportez-vous à la section « Limites de la précision des données » au chapitre 12.

Cette routine initialise l’état pour le modèle logarithmique.

   Active l’indicateur 0, l’indicateur pour ln X.     Désactive l’indicateur 1, l’indicateur pour ln Y Cette routine initialise l’état pour le modèle exponentiel.    Désactive l’indicateur 0, l’indicateur pour ln X.    Active l’indicateur 1, l’indicateur pour ln Y. Cette routine initialise l’état pour le modèle de puissance.    Active l’indicateur 0, l’indicateur pour ln X.    Active l’indicateur 1, l’indicateur pour ln Y. Somme de contrôle et longueur: 3800 9 '   ' Définit le point d’entrée commun pour tous les modèles. '  ´ Efface les registres statistiques. Appuyez sur

Demande et enregistre Y. Si l’indicateur 1 est active . . . . . . prendre le logarithme de l’entree Y.

Ajoute B et R comme paire de données x, y dans les registres

Rappelle la paire de données la plus récente. "    "  ´. Efface cette paire de données statistiques. "  ! $  Boucle pour une autre paire X, Y. Somme de contrôle et longueur: A79F 15     Définit le début de la routine de sortie.  T Calcule le coefficient de corrélation.   !  L’enregistre dans R.   #$  Affiche le coefficient de corrélation.  E Calcule le coefficient b.   @ Si l’indicateur 1 est activé, prendre l’anti-log de b.  Enregistre la valeur ŷ dans Y.

Boucle pour une autre estimation.

Somme de contrôle et longueur: C3B7 36 

Cette sous-routine calcule x̂ pour le modèle en ligne droite.    &   .  Cette sous-routine calcule x̂ pour le modèle de puissance.

Si l’indicateur 1 est paramétré dans la routine N, alors I001 est exécuté. Si l’indicateur 1 est effacé, G001 est exécuté. Instructions du programme: 1.

Entrez les routines du programme, appuyez sur

† quand vous avez terminé.

2. Appuyez sur W et sélectionnez le type de courbe que vous désirez ajuster en appuyant sur:

Sš pour une ligne droite;

Lš pour une courbe logarithmique; Eš pour une courbe exponentielle; ou Pš pour une courbe de puissance. 3. Entrez la valeur de x et appuyez sur f. 4. Entrez la valeur de y et appuyez sur f. 5. Répétez les étapes 3 et 4 pour chaque paire de données. Si vous découvrez que vous avez fait une erreur après que vous avez appuyé sur f à l’étape 3 (avec la demande &@valeur toujours visible), appuyez sur f de nouveau (affichant la demande %@valeur) et appuyez sur WUš pour annuler (retirer) la dernière paire de données. Si vous découvrez que vous avez fait une erreur après l’étape 4, appuyez sur WUš. Dans tous les cas, passez à l’étape 3. 6. Une fois toutes les variables entrées, appuyez sur visualiser le coefficient de corrélation R.

f pour visualiser le coefficient de régression B.

8. Appuyez sur f pour visualiser le coefficient de régression M. 9. Appuyez sur f pour visualiser la demande %@valeur pour la routine d’estimation x̂ , ŷ . 10. Si vous voulez estimer ŷ basée sur x, entrez x à la demande %@valeur, puis appuyez sur f pour visualiser ŷ (&@). 11. Si vous voulez estimer x̂ basée sur y, appuyez sur f jusqu’à ce que vous voyez la demande &@valeur, entrez alors y, puis appuyez sur f pour 7.

visualiser x̂ (%@).

12. Pour plus d’estimations, passez à l’étape 10 ou 11.

La valeur x d’une paire de données durant l’entrée des

données; le x hypothétique pour la projection ŷ ; ou x̂

Entre la valeur y de la paire.

Maintenant, entrez intentionnellement 379 au lieu de 37,9, pour vous familiariser avec la correction d’entrées incorrectes.

Maintenant, continuez avec l’entrée des données correctes. Entre la valeur correcte de x pour la paire de données. Entre la valeur y de la paire. Entre la valeur x de la paire. Entre la valeur y de la paire. Entre la valeur x de la paire. Entre la valeur y de la paire. Entre la valeur x de la paire. Entre la valeur y de la paire. Calcule le coefficient de corrélation.

f f Enregistre la valeur défaut pour l’écart-type. Demande et enregistre l’écart-type, S. Stoppe l’affichage de la valeur de l’écart-type. et longueur: 70BF 26 Cette routine calcule Q(X) pour X donné. Demande et enregistre X. Calcule la surface de la limite supérieure de la cloche. Enregistre la valeur dans Q afin que la fonction VIEW

puisse l’afficher.

  #$  Enregistre la moyenne comme estimation pour X, appelé Xguess.

Somme de contrôle et longueur: A970 12

! Calcule la correction pour Xguess.

Programmes statistiques 16-13

Lignes du programme:

Retourne au début de la boucle si la correction est significative. Continue si la correction n’est pas significative.

!  #$ % Affiche la valeur calculée de X. Sélectionne la fonction définie par LBL F pour l‘intégration. Intègre la fonction normale en utilisant la variable tampon D.

Somme de contrôle et longueur: 8387 52 

Dans la routine Q, la constante 0,5 peut être remplacée par 2 et

Vous n’avez pas besoin de taper la routine inverse (dans les routines I et T) si vous n’êtes pas intéressé par la capacité d’inversion.

Instructions du programme: 1.

Entrez les routines du programme, appuyez sur

† quand vous avez terminé.

6. Pour calculer Q(X) pour une valeur de X donnée, appuyez sur

7. f et revenez à l’étape 7.

10. Après la demande, tapez la valeur de Q(X) et appuyez sur f. Le résultat, X, 9. Pour calculer X pour Q(X) donné, appuyez sur est affiché. 11. Pour calculer X pour une nouveau Q(X) avec les mêmes moyenne et écart-type, appuyez sur

f et revenez à l’étape 10.

Variables utilisées:

Ecart-type de la population, 1 par défaut. Variable utilisée pour passer la valeur S × 2π au programme inverse. Valeur d’entrée qui définie la partie gauche de la surface supérieure de la cloche.

Un ami vous informe que la personne de votre rendez-vous possède une intelligence de « 3σ ». Vous interprétez que cette personne est plus intelligente que la population normale à l’exception de personnes ayant une intelligence de plus de trois fois l’écart-type au dessus de la moyenne. Supposons que la population locale soit de 10.000 personnes pour un rendezvous. Combien de personnes sont présentes dans la plage des « 3σ »? Du fait que ce problème est décrit en terme d’écart-type, utilisez la valeur zéro pour M et 1 pour S.

16-16 Programmes statistiques

Accepte la valeur par défaut 1 pour S.

Démarre le programme de distribution et demande pour X. Entre 3 pour X et débute le calcul de Q(X). Affichage du taux de la population plus intelligente qu’une personne avec 3 fois l’écart-type audessus de la moyenne. Multiplie par la population. Affiche le nombre approximatif de rendez-vous galants dans la population locale qui correspond au critère.

Du fait que votre ami est connu pour exagérer de temps en temps, vous décidez de déterminer quelle est la rareté de rendez-vous « 2σ ». Remarquez que le programme peut être relancé uniquement en appuyant sur f.

Multiplie par la population pour la revue de l’estimation.

La moyenne d’un ensemble de résultats d’étudiants est de 55. L’écart-type est de 15,3. En supposant qu’une courbe de distribution normale représente de manière appropriée la distribution, quelle est la probabilité qu’un étudiant choisi au hasard possède un résultat au moins 90? Quel est le résultat que seulement 10 pour cent des étudiants est supposé avoir dépassé? Quel serait le résultat qu’uniquement 20 pour cent des étudiants aurait échoué à obtenir?

Programmes statistiques 16-17

Démarre le programme de distribution et demande pour X.

Et ainsi, on espère que seulement 1 pour cent des étudiants auront un résultat supérieur à 90.

Continue la routine inverse. Enregistre 0,8 (100 pour cent moins 20 pour cent) dans Q(X) et calcule X.

Ecart-type de groupe

L’écart-type des données groupées, Sxy, est l’écart-type des points de données x1, x2, ... , xn, apparaissant à des fréquences d’entiers positifs f1, f2, ... , fn.

Lignes du programme:

Enregistre le point de données dans X.

  "!  Enregistre la fréquence du point de donnée dans F.   Entre un incrément pour N.   !   Somme de contrôle et longueur: F6CB 84     Calcule les statistiques pour les données groupées.   Uº Ecart-type de groupe.   !   #$ Affiche l’écart-type de groupe. Moyenne pondérée. Entrer un décrément pour N. "  !  "    Rappelle la dernière entrée de fréquence. "  -+. Change le signe de fi. " !  WSš pour débuter l’entrée de nouvelles données. 3. Tapez la valeur xi (point) et appuyez sur f. 2. Appuyez sur

4. Tapez la valeur fi (fréquence) et appuyez sur

f après avoir affiché le nombre de points entrés.

SI vous découvrez que vous avez fait une erreur de saisie (xi ou fi) après que

f à l’étape 4, appuyez sur WUš, puis appuyer de nouveau sur f. Revenez ensuite à l’étape 3 pour entrer les

vous avez appuyé sur

f pour afficher la moyenne pondérée du groupe de données. 9. Pour ajouter des points supplémentaires, appuyez sur f et passez à l’étape

3. Pour débuter une nouvelle étude, démarrez à l’étape 2. Variables utilisées:

Compteur de paires de données. Moyenne pondérée. Weighted mean. Variable index utilisée pour adresser indirectement le registre statistique adéquat. Summation Σfi. Demande le troisième fi. Affiche le compteur.

Réalisez une erreur intentionnelle en entrant 14 au lieu de 13 pour x3. Annulez votre erreur en exécutant la routine U:

Demande pour le quatrième xi.

 Demande pour le cinquième xi. Demande pour le cinquième fi. Affiche le compteur. Demande pour le sixième xi. Demande pour le sixième fi. Affiche le compteur. Calcule et affiche l’écart-type de groupe (sx) des six points de données. Calcule et affiche la moyenne pondérée ( x ). Efface VIEW.

Programmes statistiques 16-23

L’équation TVM est :

⎡1− (1+ I 100) −N ⎤

−N P⎢ & . Si vous résolvez pour I et n’êtes pas sûr de sa valeur actuelle, appuyez sur

{HI avant de débuter le calcul de SOLVE ({œI).

Pour un paiement mensuel, le résultat renvoyé pour I est un intérêt

y pour visualiser le taux d’intérêt annuel. c. Appuyez sur {œB pour calculer le solde initial d’un prêt ou mensuel, i, appuyez sur 12

d’un crédit. d. Appuyez sur

5. Quand vous entrez le dernier f, la valeur de la variable inconnue est l’écran, appuyez sur

calculée et affichée.

6. Pour calculer une nouvelle variable ou recalculer la même variable en utilisant des données différentes, revenez à l’étape 2. SOLVE fonctionne efficacement dans cette application sans intuition initiale.

Programmes divers et équations

Le paiement périodique. La valeur future du prêt ou du crédit.

Partie 1. Vous financez l’achat d’une voiture avec un prêt sur 3 ans (36 mois) avec un intérêt annuel de 10,5 % calculé en mensualités. Le prix d’achat de la voiture est de $7.250. Votre paiement initial est de $1.500.

Le résultat est négatif car le prêt étant estimé du point de vue de l’emprunteur. L’argent reçu par l’emprunteur (solde initial) est positif et les sommes à payer négatives.

Programmes divers et équations

Ce programme identifie les nombres non-premiers en essayant exhaustivement tous les facteurs possibles. Si le nombre n’est pas premier, le programme ajoute 2 (assurant ainsi que la valeur est toujours impaire) et teste si ce nouveau nombre est premier. Ce procédé continue jusqu’à ce qu’un nombre premier soit trouvé.

Programmes divers et équations

Incrémente P si l’entrée est un nombre pair. Enregistre 3 dans le diviseur de test, D. longueur : EA89 47 Cette routine teste P pour déterminer si il est premier. Trouve la partie fractionnaire de P ÷ D. Teste si le reste est nul (non premier). Si le nombre n’est pas premier, essaie la possibilité suivante.

Teste si tous les facteurs possibles ont été essayés.

Si tous les facteurs ont été essayés, se déplace vers la routine d’affichage. Se déplace pour tester un nombre premier potentiel avec le nouveau facteur.

Somme de contrôle et longueur : C6B5 53

Programmes divers et équations

2. Tapez un entier positif supérieur à 3. 3. Appuyez sur

WPš pour exécuter le programme. Le nombre

premier, P sera affiché.

4. Pour visualiser le nombre premier suivant, appuyez sur

Calcul le produit vectoriel de deux vecteurs, v1=2i+5j+4k et v2=i-2j+3k

17-12 Programmes divers et équations

Saisir la composante x de v2 ¶DOWH

Calcule la composant z du produit . vectoriel

Programmes divers et équations 17-13

Si vous avez des questions à propos de votre calculatrice HP35s, vous pouvez obtenir les réponses à vos questions auprès de notre service d’assistance technique.

Par expérience nous savons que beaucoup de clients ont les mêmes questions sur nos produits : c’est pourquoi vous pouvez consulter la section « Réponses aux questions courantes ». Si vous ne trouvez pas de réponse à votre question, contacter le Département d’assistance technique de la machine listé en page A–8.

Réponses aux questions fréquemment posées

Q : Ma calculatrice ne semble pas fonctionner correctement ? R : Reportez-vous à la page A–5, qui décrit le diagnostic automatique. Q : Mes nombres comportent des virgules au lieu de points comme séparateurs décimaux. Comment rétablir les points ? R : Utilisez les fonctions

z85 (5)) (pages 1–23).

Q : Comment modifier le nombre de positions décimales à l’affichage ?

R : Utilisez le menu

Q : Comment puis-je effacer tout ou partie de la mémoire ?

Q : Pourquoi quand on calcule le sinus (ou la tangente) de π radians à l’affichage on a un très petit nombre au lieu de 0? R : π ne peut pas être représenté exactement avec la précision de 12 chiffres de la calculatrice. Q : Pourquoi obtient-on des réponses incorrectes quand on utilise les fonctions trigonométriques? R : Vous devez vous assurer que la calculatrice utilise le mode angulaire correct (9 , , ou ). Q : Qu’est-ce qu’un indicateur dans l’affichage signifie ? R : Il indique quelque chose à propos de l’état de la machine. Se reporter au chapitre 1 « Indicateurs ». Q : Les nombres s’affichent comme des fractions. Comment obtient-on des nombres décimaux ? R : Appuyez sur

Taux d’humidité (stockage et fonctionnement) : 90% d’humidité relative à

Lorsque l'indicateur de faible charge (¤) apparaît, vous devez remplacer les piles dès que possible. Si l'indicateur est affiché et que l’affichage faiblit, vous risquez de perdre des données. Le message &  s’affiche si des données sont perdues à cause d’une faible charge.

Dès que vous avez les piles, remplacez-les dans les 2 minutes pour éviter de perdre les informations stockées. (Ayez des nouvelles piles à portée de main avant d’ouvrir le compartiment des piles). Installation de piles neuves : 1.

Ayez deux piles neuves à portée de la main. Eviter de toucher les connecteurs des piles — manipuler les piles uniquement par leurs extrémités.

2. Assurez-vous que la calculatrice est bien OFF. N’appuyez sur ON (†) que lorsque la procédure entière de remplacement est terminée.

Si la calculatrice est ON quand les piles sont enlevées vous perdrez le contenu de la mémoire continue au moment où vous les retirerez. 3. Retournez la calculatrice et retirez le couvercle du compartiment des piles.

4. Pour prévenir la perte de mémoire, n’enlevez jamais deux anciennes piles en même temps. Soyez sûre d’enlever et de replacer une pile à la fois.

Assistance, piles, et service après-vente

La calculatrice ne s’allume pas (étapes 1–4) ou ne répond pas quand vous appuyez sur les touches (étapes 1–3) : 1. Réínitialisez la calculatrice. Maintenez la touche † enfoncée, et appuyez U. Il se peut qu’il soit nécessaire de répéter ces frappes de réinitialisation plusieurs fois. 2. Effacez la mémoire. Appuyez et maintenez la touche † enfoncée, puis appuyez et maintenez enfoncé les deux f et 6. La mémoire est effacée et le message &  s’affiché quand vous relâchez les trois touches.

Assistance, piles, et service après-vente

4. Si le calculateur ne répond pas aux séquences de touches, procédez comme suit,utilisez un objet mince et pointu pour appuyer sur l'orifice de réinitialisation. Les données enregistrées demeurent généralement intactes. Orifice de réinitialisation

Si ces mesures ne permettent pas de restaurer le fonctionnement de la calculatrice, celle-ci doit être renvoyée au service après-vente.

Si la calculatrice répond aux touches mais si vous avez l’impression qu’elle ne fonctionne pas bien : 1. Faites l’autotest décrit dans la section suivante. Si la calculatrice échoue à l’autotest, elle doit être envoyée au service après-vente. 2. Si la calculatrice passe l’autotest, vous devez avoir commis une erreur en faisant fonctionner la calculatrice. Relisez certaines parties de ce manuel et reportez-vous à la section « Réponses aux questions courantes » (page A–1). 3. Contacter le Département d’assistancede la Machine listé en page A–8.

Si l’écran s’allume, mais que la calculatrice ne semble pas fonctionner correctement, effectuez l’autotest de diagnostic suivant. 1. 3. Appuyez sur les touches dans la séquence suivante :

Assistance, piles, et service après-vente

Si vous appuyez une touche sans que vous respectiez l’ordre ou si une touche ne fonctionne pas correctement, la frappe suivante affiche un message de défaillance (voir étape 4). 4. L’autotest produit un des deux résultats suivants : La calculatrice affiche  . si elle a réussi l’autotest. Passez à l’étape 5. La calculatrice affiche  . suivi d’un nombre à un chiffre, si elle a échoué à l’autotest. Si vous avez reçu le message parce que vous avez appuyé une touche sans avoir respecté l’ordre, réinitialisez la calculatrice (maintenez la touche † enfoncée et appuyez sur U), puis recommencez l’autotest. Si vous appuyez sur les touches dans l’ordre défini, mais que vous obtenez ce message, répéter l’autotest pour vérifier les résultats. Si la calculatrice échoue de nouveau, vous devez la faire répare (Voir page A–8). Joignez une copie du message de défaillance avec la calculatrice quand vous l’expédiez au service de réparation. 5. Pour quitter l’autotest, réinitialisez la calculatrice (maintenez la touche enfoncée et appuyez sur En appuyant sur

3. HP ne garantit pas un fonctionnement ininterrompu, ni l’absence d’éventuelles défaillances. Si HP est dans l’impossibilté de réparer ou de remplacer un produit dans des délais raisonnables, conformément aux dispositions énoncées dans la garantie, le prix d’achat vous sera remboursé une fois que vous aurez promptement retourné le produit avec la preuve d’achat. 4. Les produits HP comprennent parfois des composants remis à neuf, effectuant les mêmes performances que le neufs, ou qui peuvent avoir été utilisés accessoirement. 5. La garantie ne couvre pas les situations suivantes : (a) entretien ou réglage inadapté; (b) utilisation de logiciels, d’interfaces, de pièces détachées ou d’accessoires non fournis par HP; (c) modifications non autorisées ou mauvaise utilisation; (d) non respect des conditions d’utilisation ou (e) installation ou entretien défectueux.

Assistance, piles, et service après-vente

ACCESSOIRES OU CONSECUTIFS (NOTAMMENT LES PERTES DE BENEFICE OU DE DONNEES) OU AUTRES, DECOULANT D’UNE RESPONSABILITE CONTRACTUELLE, PENALE OU AUTRE. Dans certains pays ou provinces, la legislation n’autorise pas les exclusions ni les restrictions en matière de dommanges accessories ou consécutifs. Si tel est le cas, les dispositions cidessus ne vous concernent pas.

8. Les seules garanties des produits et services HP sont énoncées dans les clauses des notices accompagnant les produits et services. HP ne sera pas tenu responsable des erreurs ou omissions techniques ou éditoriales qu’elles contiennent. VENTES DU PRODUIT EN AUSTRALIE ET EN NOUVELLE-ZELANDE : LES CONDITIONS ENONCEES DANS CETTE GARANTIE, DANS LES LIMITES IMPOSEES PAR LA LEGISLATION EN VIGUEUR, N’EXCLUENT PAS, NI NE RESTREIGNENT OU MODIFIENT LES DISPOSITIONS LEGALES OBLIGATOIRES EN VIGUEUR POUR LA VENTE DE CE PRODUIT AUXQUELLES ELLES S’AJOUTENT.

Support à la clientèle

éventuellement réduire ces interférences en appliquant une ou plusieurs des mesures suivantes:

• Réorienter ou déplacer l’antenne réceptrice. • Augmenter la distance entre l’appareil et le récepteur. • Brancher l’appareil sur une prise appartenant à un circuit autre que celui sur lequel est branché le récepteur. • Consulter le distributeur ou un technicien radio/TV qualifié. Modifications La FCC exige que l'utilisateur soit averti que tout changement ou modification apporté à cet appareil qui n’est pas approuvé expressément par Hewlett-Packard Company pourrait priver l’utilisateur du droit de se servir de cet appareil. Déclaration de conformité pour les produits portant le logo de la FCC Etats-Unis uniquement Cet équipement est conforme à la section 15 du Règlement de la FCC. Le fonctionnement est sujet aux deux conditions suivantes : (1) Cet équipement ne créera pas d’interférences nuisibles et (2) cet équipement doit accepter toutes les interférences reçues, y compris les interférences pouvant entraîner un fonctionnement imprévu. Si vous avez des questions sur ce produit qui ne sont pas couvertes dans cette déclaration, veuillez écrire à l'adresse suivante : Hewlett-Packard Company P. O. Box 692000, Mail Stop 530113

Déclaration de conformité UE émise par Hewlett-Packard pour ce produit ou cette famille de produits. Cette conformité est indiquée par la marque suivante de conformité placée sur le produit:

This marking is valid for non-Telecom products and EU harmonized Telecom products (e.g. Bluetooth). électroniques. La collecte et le recyclage de vos appareils mis au rebut indépendamment du reste des déchets contribue à la préservation des ressources naturelles et garantit que ces appareils seront recyclés dans le respect de la santé humaine et de l'environnement. Pour obtenir plus d'informations sur les centres de collecte et de recyclage des appareils mis au rebut, veuillez contacter les autorités locales de votre région, les services de collecte des ordures ménagères ou le magasin dans lequel vous avez acheté ce produit.

Matériel au perchlorate - Une manipulation spécifique peut s’appliquer

La pile de sauvegarde mémoire de cette calculatrice peut contenir du perchlorate et peut nécessité une manipulation spéciale lors de son recyclage ou de son élimination en Californie.

Assistance, piles, et service après-vente

Allocation et contraintes d’utilisation de la mémoire, Réinitialisation de la calculatrice sans affecter la mémoire, Effacement de toute la mémoire utilisée et réinitialisation des paramètres par défaut du système Opérations affectant les piles.

Gestion de la mémoire de la calculatrice

La calculatrice HP 35s dispose 30KB de mémoire utilisateur disponible pour toute combinaison de données enregistrées (variables, équations ou lignes de programme). SOLVE, ∫ FN, et les calculs statistiques nécessitent également de la mémoire utilisateur. (L’opération ∫ FN est particulièrement « consommatrice » en termes de mémoire.) Toutes vos données enregistrées sont conservées jusqu’à ce que vous les effaciez explicitement. Le message & " signifie qu’il n’y a actuellement plus suffisamment de mémoire pour réaliser l’opération désirée. Vous devez effacer certaines données (ou toutes les données) de la mémoire utilisateur. Par exemple, vous pouvez : Effacer tout ou partie des équations (voir la section « Edition et effacement des équations » au chapitre 6). Effacer tout ou partie des programmes (voir la section « Effacement d’un ou plusieurs programmes » au chapitre 13). Effacer toute la mémoire utilisateur (appuyez sur

partie gauche de l’équation en cours s’affiché). 2. Si nécessaire, faites défiler la liste d’équations (appuyez sur

jusqu’à ce que vous trouviez l’équation désirée.

z  pour visualiser la somme de contrôle

(hexadécimale) et la longueur (en octets) de l’équation. Par exemple,

/  /. Pour visualiser la quantité de mémoire nécessaire pour un programme spécifique : 1.

() pour afficher le premier libellé dans la

liste des programmes.

2. Faites défiler la liste des programmes (appuyer sur × ou Ø jusqu’à ce que vous trouviez le libellé de programme désiré et la taille de mémoire). Par exemple,   / . 3. Facultatif : appuyez sur

z  pour visualiser la somme de contrôle

(hexadécimale) et la longueur (en octets) du programme. Par exemple,

/  / . Pour visualiser la quantité de mémoire nécessaire pour une équation dans un programme : 1.

Affichez la ligne de programme contenant l’équation.

2. Appuyez sur z  pour visualiser la somme de contrôle et la longueur.

Par exemple, /  /.

Réinitialisation de la calculatrice

Si la calculatrice ne répond pas aux frappes de touches ou si elle se comporte de manière inhabituelle, essayez de la réinitialiser. Cette opération permet de stopper le calcul en cours et d’effacer les entrées du programme, les entrées de chiffres, un programme en cours, un calcul SOLVE, un calcul ∫ FN , un affichage VIEW ou un affichage INPUT. Les données enregistrées demeurent généralement intactes.

Utilisation de la mémoire et des piles

Pour réinitialiser la calculatrice, maintenez la touche

† appuyée et appuyez sur

U. Si vous n’arrivez pas à réinitialiser la calculatrice, essayez d’installer de nouvelles piles. Si la calculatrice ne peut pas être réinitialisée, ou si cela échoue toujours, vous devriez essayer d’effacer la mémoire en utilisant la procédure spéciale décrite dans la section suivante.

Si le calculateur ne répond pas aux séquences de touches, procédez comme suit,utilisez un objet mince et pointu pour appuyer sur l'orifice de Réinitialisation. La calculatrice peut se réinitialiser d’elle-même si elle tombe ou si l’alimentation est interrompue.

Effacement de la mémoire

Pour effacer la mémoire utilisateur, il vous suffit traditionnellement d’appuyer sur

(). Toutefois, il y a une méthode plus efficace qui permet

Si la calculatrice ne répond plus aux frappes des touches et que vous êtes incapable de restaurer son fonctionnement en la réinitialisant ou en changeant de piles, essayez la procédure D’effacement Mémoire suivante. Les frappes de touches indiquées ci-dessous permettent d’effacer l’ensemble de la mémoire, de réinitialiser la calculatrice et de restaurer tous les formats et modes à leurs valeurs d’origine (paramètres par défaut présentés ci-dessous) :

† et maintenez-la enfoncée.

2. Appuyez sur la touche ¥ et maintenez-la enfoncée. 3. Appuyez sur la touche 6. Vous devez appuyer sur les trois touches

Appuyez sur la touche

simultanément. Quand vous relâchez ces trois touches, l’écran affiche

&  si l’opération a abouti.

Utilisation de la mémoire et des piles

Registres de la pile Variables Variables Indirectes

EQN LIST TOP Effacé

Les quatre registres de pile sont toujours présents et la pile possède toujours un état de levage de pile. Cela signifie que le levage de la pile est toujours activé ou désactivé vis-à-vis de son comportement quand le nombre suivant est placé dans le registre X. (Se référer au chapitre 2, « Pile de mémoire automatique »). Toutes les fonctions, à l’exception de celles répertoriées dans les deux listes suivantes, permettront un levage de la pile.

Utilisation de la mémoire et des piles

Opérations de désactivation

Les cinq opérations

† et a agissent comme CLx, ils désactivent également le

La fonction INPUT désactive le levage de la pile car elle arrête des requêtes d’un programme (et donc tout nombre entré écrasera le registre X), mais elle autorise le levage de la pile quand le programme reprend.

Entrée de xiy rθ a

: fenêtres binaires chiffres Exception quand utilisé comme CLx. Y compris toutes les opérations réalisées pendant que le catalogue est affiché, à l’exception de {#} š et {} W qui permettent le levage de la pile.

Utilisation de la mémoire et des piles

Etat du registre LAST X Les opérations suivantes permettent d’enregistrer x dans le registre LAST X en mode

Les valeurs contenues dans les quatre registres de pile, X, Y, Z et T, sont accessibles en mode RPN dans une équation ou un programme utilisant les commandes REGX, REGY, REGZ et REGT. Pour utiliser ces instructions, appuyez d’abord sur d. Puis, appuyer sur < fera apparaître un menu dans l’affichage montrant les registres X, Y, Z et T. Appuyez sur

Õ ou Ö pour enlever les symboles soulignés, qui indiquent quel registre est actuellement sélectionné. Appuyer sur š placera une instruction dans un programme ou une équation qui rappellera la valeur du registre de pile sélectionnée pour d’autres utilisations. Ils sont affichés comme REGX, REGY, REGZ, et REGT.

Par exemple, une ligne de programme saisie en appuyant d’abord sur

suivit des instructions REGX x REGY x REGZ x REGT calculera le produit de ces valeurs dans les 4 registres de pile et placera le résultat dans le registre X. Les valeurs de X, Y et Z resteront dans les registres de pile Y, Z et T.

De nombreuses utilisations de valeurs dans la pile sont possibles avec cette méthode et ne serait autrement pas réalisable sur la HP35s.

Utilisation de la mémoire et des piles

Arithmétique à deux arguments Fonctions exponentielle et logarithme ( z(,z+, {*, {-) Fonctions trigonométriques Parties de nombres Visualiser la pile Opérations avec des nombres complexes Intégration d’une équation Arithmétique en bases 2, 8 et 16 Saisie de données statistiques à deux variables Appuyez sur

() pour configurer la calculatrice en mode ALG.

En mode ALG, les opérations sont réalisées suivant les priorités suivantes : 1.

Opérations entre parenthèses.

P divise le nombre par 100.

y, la calculatrice calculera le Pour retarder la division jusqu’à ce que vous ayez soustrait 12 de 85, utilisez des parenthèses :

Arc sinus hyperbolique de x (ASINH).

Arc cosinus hyperbolique de x (ACOSH). Arc tangente hyperbolique de x (ATANH). La partie entière de 2,47

- X-, Y-, Z-, T-, pour vous laisser réviser le contenu complet de la pile. La différence entre les touches

9 et { 8 est l’emplacement du soulignement dans

l’affichage. Appuyer sur { 8 affiche un soulignement sur le registre T; appuyer sur

9 affiche un soulignement sur le registre Y.

9 affiche le menu suivant :

{ 8 affiche le menu suivant :

Vous pouvez appuyer sur 9 et

{ 8 (en utilisant Õ ou Ö) pour revoir les

éléments contenu dans la pile et les rappeler. Ils apparaîtront comme %, &,

' ou ! selon la partie de la pile qui était rappelée et peuvent être utilisé dans d’autres calculs.

Opérations avec des nombres complexes

Pour entrer un nombre complexe : Format : º ¸ 1. Saisissez la partie réelle. 2. Appuyer sur

3. Saisissez la partie imaginaire.

4. Le résultat du calcul sera affiché en ligne 2 et le format d’affichage sera celui que vous avez défini dans

5. Le résultat du calcul sera affiché en ligne 2 et le format d’affichage sera celui que vous avez défini dans

Voici quelques exemples d’arithmétique en mode Hexadécimal, Octal et Binaire : Saisie de données statistiques à deux variables En mode AGL, vous devez saisir une paire (x, y) dans l’ordre inverse (y Z x ou y

šx) afin que y se trouve dans le registre Y et X dans le registre X.

z 4. Après effacement des données statistiques incorrectes, la

calculatrice va afficher les dernières données statistiques saisies en ligne 1 (la plus haute ligne de l’affichage) et la valeur de n en ligne 2. S’il n’y avait pas de donnée statistique, la calculatrice affichera n=0 en ligne 2.

Après la saisie des valeurs x, y de gauche, effectuez les modifications comme cela est montré à droite :

La régression linéaire, ou L.R. (également appelée estimation linéaire) est une méthode statistique pour trouver une ligne droite qui résume au mieux un ensemble de données x,y.

„ SOLVE premières tentatives à résoudre directement l’équation pour la variable inconnue. Si la tentative échoue, SOLVE passe à une procédure itérative (répétitive). L’opération itérative est d’exécuter répétitivement l’équation spécifiée. La valeur retournée par l’équation est une fonction f(x) d’inconnue x. (f(x) est un raccourci mathématique pour une fonction définie avec une variable inconnue x). SOLVE commence par estimer la variable inconnue x, puis affine cette estimation avec des exécutions successives de la fonction f(x). Si deux estimations successives de la fonction f(x) possèdent des signes opposés, alors SOLVE suppose que la fonction f(x) coupe l’axe des x au moins une fois entre les deux estimations. Cet intervalle est systématiquement réduit jusqu’à ce que la racine soit déterminée. Pour trouver une racine à l’aide de l’opération SOLVE, la racine doit exister dans l’ intervalle des nombres de la calculatrice et la fonction doit être mathématiquement définie sur la zone de recherche. L’opération SOLVE trouve toujours une racine, à condition qu’elle existe (dans les limites fournies) si une ou plusieurs des conditions suivantes sont remplies : Deux estimations de f(x) avec des signes opposés. La représentation graphique de la fonction coupe l’axe des x au moins une fois entre ces deux estimations. (figure a, ci-dessous). f(x) est toujours croissante ou décroissante quand x augmente (figure b, cidessous). La représentation graphique de f(x) est partout concave ou partout convexe (figure c, ci-dessous).

Informations complémentaires sur la résolution

Si elle trouve une estimation pour laquelle f(x) est égale à zéro. (Voir figure a, ci-dessous).

Si elle trouve une estimation pour laquelle f(x) n’est pas égale à zéro. La racine calculée correspond toutefois à un nombre à 12 chiffres adjacent à l’emplacement du croisement de l’axe des x par la représentation graphique de la fonction (voir figure b, ci-dessous). Cela se produit quand les deux estimations finales sont voisines (elles diffèrent de 1 sur le douzième chiffre) et quand la valeur de la fonction est positive pour l’une et négative pour l’autre. Ou alors, elles sont de (0, 10–499) ou (0, –10–499). Dans la plupart des cas, f(x) sera relativement proche de zéro.

Pour obtenir des informations supplémentaires à propos du résultat, appuyez sur

9 pour visualiser les précédentes estimations de la racine (x), qui a été laissée dans le registre Y. Appuyez de nouveau sur 9 pour visualiser la valeur de f(x), qui a été laissée dans le registre Z. Si f(x) égale zéro ou est relativement petite, il est très probable que la solution a été trouvée. Toutefois, si f(x) est relativement grande, vous devez utiliser les résultats avec précaution.

Exemple : Une équation avec une racine. Trouver la racine de l’équation : –2x3 + 4x2 – 6x + 8 = 0

Informations complémentaires sur la résolution

Exemple : Une équation avec deux racines.

Trouvez les deux racines de l’équation parabolique : x2 + x – 6 = 0. Entrez l’équation comme une expression :

Informations complémentaires sur la résolution

Maintenant, résolvez pour trouve la racine :

Vous noterez la différence entre les deux dernières estimations, ainsi que la valeur relativement grande de f(x). Le problème est qu’il n’y a pas de valeur de x pour laquelle f(x) est égale à zéro. Toutefois, pour x = 1,99999999999, il y a une valeur voisine de x qui provoque un changement de signe de f(x). Exemple : Trouvez les racines de l’équation

Pas de racine trouvée pour f(x).

Quand SOLVE ne peut pas trouver de racine

Il arrive parfois que l’opération SOLVE ne parvienne pas trouver une racine. Les conditions suivantes engendrent le message  ! : La recherche se termine près d’un maximum ou d’un minimum local (voir figure a, ci-dessous). La recherche s’arrête car SOLVE travaille sur une asymptote horizontale- une zone ou f(x) est principalement constante sur une large plage de valeurs de x (voir figure b, ci-dessous). La recherche est concentrée sur une région localement « plate » de la fonction (voir figure c, ci-dessous). Dans ces cas, les valeurs de la pile seront les mêmes que celles d’avant l’exécution de SOLVE.

Entrez l’équation comme une expression :

Estimation positive pour la racine.

 .#1%2 Informations complémentaires sur la résolution

Regardez ce qui apparaît quand vous utilisez des valeurs négatives pour les estimations :

Equation; affiche la partie gauche de l’équation. Calcule la racine en utilisant les estimations 0 et 10.

Informations complémentaires sur la résolution

[( x + 1) + 1015 ]2 - 1030 = 0 ne possède pas de racine car f(x) est toujours plus grand que zéro. Toutefois, avec des estimations initiales de 1 et 2, SOLVE renvoie la réponse 1,0000 en raison d’une erreur d’arrondi.

Une erreur d’arrondi peut également forcer SOLVE à échouer pendant la détermination de racine. L’équation

x2 - 7 = 0 a une racine égale à

7 . Or, aucun nombre de 12 chiffres n’égale exactement

L’algorithme utilisé par l’opération d’intégration, ∫  Gº, calcule l’intégrale de la fonction f(x) en calculant une moyenne pondérée de la fonction avec de nombreuses valeurs de x (connues sous le nom de points échantillons) dans l’intervalle d’intégration. La précision du résultat de tout procédé par échantillonnage dépend du nombre de points considéré: généralement, plus il y a de points, plus la précision est grande, si f(x) peut être évaluée sur un nombre infini de points, l’algorithme pourrait — en négligeant la limitation imposée par l’inexactitude des calculs de f(x) — toujours fournir la réponse exacte. Evaluer la fonction sur un nombre infini de points prendrait une éternité. Toutefois, cela n’est pas nécessaire car la précision maximale de l’intégrale calculée est limitée par la précision des valeurs calculées de la fonction. En utilisant uniquement un nombre fini de points, l’algorithme peut calculer une intégrale qui est aussi précise que le permet l’incertitude du calcul de f(x). L’algorithme d’intégration considère d’abord uniquement quelques points, rendant des approximations relativement imprécises. Si ces approximations ne sont pas aussi précises que la précision autorisée de f(x), l’algorithme est répété avec un nombre plus important de points. Ces itérations continuent, utilisant environ deux fois plus de points échantillons à chaque fois, jusqu’à ce que l’approximation résultante soit aussi précise que l’incertitude inhérente au calcul de f(x).

Informations complémentaires sur l’intégration

Il est extrêmement rare que les erreurs de chacune des trois approximations successives - ce qui correspond aux différences entre l’intégrale actuelle et les approximations - soient toutes plus importantes que la disparité parmi les approximations elles-mêmes. En conséquence, l’erreur dans l’approximation finale sera inférieure à l’incertitude (à condition que f(x) ne varie pas rapidement). Bien que nous ne puissions connaître l’erreur dans l’approximation finale, il est extrêmement rare que cette erreur dépasse l’incertitude affichée de l’approximation. En d’autres termes, l’incertitude estimée dans le registre Y est presque certainement « une limite supérieure » de la différence entre l’approximation et l’intégrale calculée.

Conditions pouvant aboutir à des résultats incorrects

Bien que l’algorithme d’intégration de la calculatrice HP 35s soit l’un des meilleurs disponibles, dans certains cas, il — comme tous autres algorithmes d’intégration numérique — peut vous fournir une réponse incorrecte. La probabilité d’un tel événement est extrêmement faible. L’algorithme a été conçu pour fournir des résultats précis avec presque toutes les fonctions lisses. Il existe des situations où l’on peut obtenir un résultat imprécis, mais uniquement avec des fonctions présentant un comportement extrêmement erratique. De telles fonctions apparaissent rarement dans les problèmes liés aux situations physiques actuelles. Quand elles surviennent, elles peuvent généralement être reconnues et traitées d’une manière plus simple. Malheureusement, comme l’algorithme ne connaît de f(x) que les valeurs des points échantillons, il ne peut distinguer entre f(x) et toute autre fonction qui possède les mêmes valeurs aux points échantillons. Cette situation est décrite ci-dessous, où sont représentées (sur une portion de l’intervalle d’intégration) trois fonctions dont les représentations graphiques incluent de nombreux points échantillons communs.

Informations complémentaires sur l’intégration

Par exemple, considérez l’approximation suivante

Approximation de l’intégrale.

La réponse fournie par la calculatrice est clairement incorrecte, car l’intégrale réelle de f(x) = xe–x depuis zéro à ∞ est exactement 1. Mais le problème n’est pas que ∞ est représenté par 10499, car l’intégrale réelle de cette fonction depuis zéro à

10499 est très proche de1. Les raisons de cette réponse incorrecte deviennent apparentes en voyant la représentation graphique de f(x) sur l’intervalle d’intégration.

Informations complémentaires sur l’intégration

Informations complémentaires sur l’intégration

Conditions augmentant la durée de calcul Dans l’exemple précédent, l’algorithme a donné une réponse incorrecte car il n’a jamais détecté le sommet de la fonction. Cela se produit quand la variation de la fonction est trop rapide par rapport à la taille de l’intervalle d’intégration. Si la taille de l’intervalle avait été plus petite, vous auriez obtenu une bonne réponse; mais cela aurait nécessité un temps très long dans le cas ou l’intervalle aurait été raisonnablement large. Envisagez une intégrale où l’intervalle d’intégration est suffisamment grand pour nécessiter une durée de calcul importante, mais pas assez grand pour obtenir une réponse incorrecte. Remarquez que, lorsque f(x) = xe–x approche zéro très rapidement quand x tend vers

∞, la contribution de la fonction à l’intégrale pour

les valeurs importantes de x négligeable. Vous pouvez ainsi évaluer l’intégrale en remplaçant

∞ (limite supérieure d’intégration) par un nombre moins important que

10499 (par exemple, 103).

Revenez au problème d’intégration avec cette nouvelle valeur limite:

Informations complémentaires sur l’intégration

C’est la bonne réponse, mais cela a pris énormément de temps. Pour comprendre la raison de ce délai, comparez la représentation graphique de la fonction entre x = 0 et x = 103, qui semble la même que précédemment, avec la représentation graphique de la fonction entre x = 0 et x = 10:

Du fait que la durée de calcul dépend de la rapidité qu’une certaine densité de points échantillons soit réalisée dans une zone où la fonction est intéressante, le calcul de l’intégrale de n’importe quelle fonction sera plus long si l’intervalle comprend principalement des zones où la fonction n’est pas intéressante. Si vous aviez à calculer une telle intégrale, vous pourriez modifier le problème afin que la durée du calcul soit considérablement réduite. Deux techniques permettent de subdiviser l’intervalle d’intégration et de transformer les variables d’intégration. Ces méthodes vous permettent de modifier la fonction ou les limites d’intégration afin que l’intégrale ait un meilleur comportement sur les intervalles de l’intégration.

Informations complémentaires sur l’intégration

Pour des conditions importantes, le message restera affiché jusqu’à ce que vous l’effaciez. Appuyer sur † ou a effacera le message et le contenu précédent de l’écran sera affiché. Appuyer sur d’autres touches effacera le message mais la fonctions associée à la touche ne sera pas exécutée.

Un programme en cours a tenté de sélectionner un libellé de programme (/libellé) pendant une opération SOLVE en cours.

Tentative d’enregistrement d’un nombre complexe ou d’un vecteur dans les données statistiques. Tentative d’enregistrement d’un nombre en base n qui contient des chiffres supérieurs au plus grand chiffre autorisé dans les nombres en base n. Tentative d’enregistrement d’une donnée invalide dans le registres statistique en utilisant l’opération Z. Tentative de comparaison d’un nombre complexe et d’un vecteur. Tentative d’utilisation d’une fonction trigonométrique ou hyperbolique avec un argument non autorisé:

T avec x un multiple impair de 90°.

{O ou {L avec x < –1 ou x > 1. z7{ R avec x ≤ –1; ou x ≥ 1. z7{O avec x < 1. # # Tentative d’élévation d’un nombre complexe (0 + i 0) à une puissance d’un nombre avec une partie réelle négative.

Le résultat de l’intégration n’existe pas.  

Le catalogue des programmes ( z X

()) indique qu’aucun libellé n’est enregistré.  s’affiche. Ce message peut également apparaître si le libellé courant n’existe plus.

Un programme en cours a tenté de sélectionner un libellé de programme (/libellé) pendant une opération SOLVE en cours.

à zéro). Tentative de calcul de x̂ , ŷ , r, m, ou b avec toutes les valeurs de x égales.

Une erreur de syntaxe a été détecté lors de l’évaluation d’une expression, équation, œ, ou ". Appuyez sur aou † effacera le message d’erreur et cela vous permettra de corriger l’erreur.

Les caractères non-alphabétiques et grecs apparaissent avant toutes les autres lettres; les noms des fonctions précédés par une flèche (par exemple, €DEG) sont classés comme si la flèche n’était pas présente. Le dernière colonne, marquée

, renvoie à des notes à la fin du tableau.

Touches et description

(durant l’entrée des programmes); exécute la ligne actuelle de programme (pas pendant la saisie de programmes).

6–3 ≤fff (valeur finale), saute la ligne suivante de programme.

Débute l’entrée des exposants et ajoute

« E » au nombre entré. Indique qu’une puissance de 10 suit.

(incrémente la valeur) à ccccccc (valeur du compteur) et, si le résultat est > fff

(valeur finale), saute la ligne suivante de programme.

{ } Convertis les pounds en

14-11 mise en pause des programmes 13-19, 15-10 période (en nombre) 1-23, A-1 pôles des fonctions D-5

Q questions A-1 quotient et reste de Division 4-2

R f arrêt de l’intégration 8-2, 15-8 arrêt de SOLVE 7-8, 15-1 exécution des programmes 13-22