Retrouvez gratuitement la notice de l'appareil GRAPH35+EII PYTHON CASIO au format PDF.
Téléchargez la notice de votre Calculatrice graphique au format PDF gratuitement ! Retrouvez votre notice GRAPH35+EII PYTHON - CASIO et reprennez votre appareil électronique en main. Sur cette page sont publiés tous les documents nécessaires à l'utilisation de votre appareil GRAPH35+EII PYTHON de la marque CASIO.
Les piles ne sont pas placées dans la calculatrice en usine. Veillez à procéder comme décrit ci-dessous pour installer les piles et ajuster le contraste de l’écran avant la première utilisation de la calculatrice. 1. En veillant à ne pas appuyer accidentellement sur la touche o, faites glisser l’étui sur la calculatrice et retournez la calculatrice. Enlevez le couvercle des piles en tirant avec le doigt au point indiqué par 1.
• Assurez-vous que les extrémités positives (+) et négatives (–) des piles sont dirigées dans le bon sens.
• La touche du pavé directionnel e rend le contraste plus sombre. • La touche du pavé directionnel d rend le contraste moins sombre. • 1(INIT) rétablit le contraste initial. 6. Pour quitter l’écran de réglage du contraste, appuyez sur m.
Une barre de progression et/ou un indicateur d’indisponibilité apparaissent sur l’écran pendant l’exécution d’un calcul, l’écriture en mémoire ou la lecture de la mémoire. Indicateur d’indisponibilité
N’appuyez jamais sur le bouton RESTART ou ne retirez pas les piles de la calculatrice lorsque la barre de progression ou l’indicateur d’indisponibilité est affiché. Le contenu de la mémoire pourrait être perdu ou la calculatrice risquerait de mal fonctionner.
Vous pouvez également transférer vos fichiers de sauvegarde vers un ordinateur via une connexion USB entre la calculatrice et un ordinateur. Voir le « Chapitre 13 Communication de données » dans le mode d’emploi du logiciel pour plus d’informations sur le transfert de fichiers d’un ordinateur vers la calculatrice.
• Lors des calculs, l’écran est vide et les touches ne fonctionnent pas. Lorsque vous vous servez du clavier, veillez à regarder l’écran pour vous assurer que les opérations sont correctement effectuées. • Remplacez les piles au moins une fois tous les ans quelle que soit l’utilisation de votre calculatrice au cours de cette période. Ne laissez jamais de piles vides dans le compartiment des piles. Elles risquent de fuir et d’endommager l’unité. • N’utilisez pas une batterie principale à base de nickel avec ce produit. Une incompatibilité entre ce genre de pile et les caractéristiques du produit entraînerait une durée de vie des piles plus courte et un malfonctionnement du produit. • Conservez les piles hors de portée des jeunes enfants. En cas d’ingestion, consultez un médecin immédiatement. • Evitez l’utilisation de liquides volatiles comme du diluant ou de l’essence pour nettoyer l’unité. Essuyez-là à l’aide d’un chiffon doux et sec ou à l’aide d’un chiffon humidifié d’une solution d’eau et d’un détergent neutre puis essoré. • Soyez toujours attentionné lorsque vous essuyez l’écran pour éviter de le rayer. • En aucun cas le fabricant et ses fournisseurs ne sera responsable envers vous ou toute autre personne concernant les dommages, frais, pertes de profits, perte de sauvegarde ou tout autre dommage occasionné par la perte de données et/ou formules en conséquence d’un malfonctionnement, d’une réparation ou d’un changement de piles. Il vous appartient de prendre des notes des données utilisées pour vous prémunir de ce genre de perte. • Ne vous débarrassez jamais vos piles, panneau à cristaux liquides ou autres composants en les brûlant. • Veillez à ce que le commutateur soit en position OFF lorsque vous changez les piles. • Si votre calculatrice est exposé à une forte charge électrostatique, le contenu de sa mémoire risque d’être endommagé ou les touches risquent de ne pas fonctionner. Dans ce cas, effectuez une réinitialisation pour effacer la mémoire et revenir à une opération de touche normale. • Si la calculatrice ne fonctionne plus correctement pour une raison donnée, servez-vous d’un objet fin et pointu afin d’appuyer sur le bouton RESTART au dos de la calculatrice. Notez que toutes les données mémorisées dans la calculatrice risquent alors d’être effacées. • Notez que des vibrations ou un choc importants lors d’une exécution de programme risque d’arrêter cette exécution ou d’endommager le contenu de la mémoire de la calculatrice. • Utiliser la calculatrice à proximité d’un téléviseur ou d’une radio peut causer des interférences avec la réception de ces derniers. • Avant de conclure à une malfonctionnement de l’unité, assurez-vous de relire ce mode d’emploi et de veiller à ce que le problème ne soit pas lié à des piles insuffisamment chargées, des erreurs de programmation ou de fonctionnement.
La grande capacité de mémoire de l’unité rend possible le stockage d’une grande quantité de données. Notez cependant que l’insuffisance du chargement des piles ou un remplacement incorrect des piles alimentant l’unité peut entraîner une corruption ou même la perte totale des données stockées dans la mémoire. Les données stockées sont aussi affectées par de fortes charges électrostatiques ou des chocs importants. Il vous appartient de conserver une copie des données pour vous prémunir de pertes. Puisque cette calculatrice utilise la mémoire non utilisée comme espace de travail lors de ses calculs internes, une erreur peut se produire en cas d’insuffisance de mémoire disponible pour effectuer les calculs. Afin d’éviter ce genre de problèmes, pensez à laisser 1 ou 2 Koctets de mémoire libre (inutilisée) en permanence. CASIO Computer Co., Ltd. ne sera en aucun cas responsable envers quiconque en ce qui concerne les dommages spéciaux, collatéraux, accidentels ou consécutifs en connexion ou provenant de l’achat ou de l’utilisation de ces dispositifs. De plus, CASIO Computer Co., Ltd. ne sera pas responsable de demande de dommages et intérêts de toute sorte en cas d’utilisation de ces dispositifs par toute autre partie.
• Aucune partie de ce mode d’emploi ne peut être reproduite sous quelque forme que ce soit sans la permission écrite du fabricant. • Conservez la documentation à portée de main pour toute référence future. FR-3
1 an (non utilisée et sans l’allumer) • La durée de vie de la pile peut être réduite dans les cas suivants. - Exécution en continu de calculs et/ou de programmes - Type/fabricant des piles utilisées, piles individuelles différentes - Conditions de fonctionnement (applications utilisées) - Fonctionnement du mode Examen Extinction automatique : La calculatrice s’éteint automatiquement environ 10 minutes ou environ 60 minutes après la dernière opération. Plage de température ambiante : 0°C à 40°C Dimensions : 18,7 mm (E) × 83,5 mm (L) × 175,5 mm (L) Poids environ : 190 g (avec les piles) Chaque fois que vous appuyez sur le bouton RESTART, la calculatrice redémarre et charge les données sauvegardées précédemment. Cela signifie que si vous appuyez sur le bouton RESTART après avoir édité un programme, tracé le graphe d’une fonction ou traité d’autres données, toute donnée non encore sauvegardée sera perdue.
Utilisez la réinitialisation quand vous voulez effacer toutes les données courantes stockées dans la mémoire de la calculatrice et reconfigurer tous les paramètres des modes à leur valeurs par défaut. Avant d’effectuer l’opération de réinitialisation, faites d’abord une copie par écrit de toutes les données importantes. Pour plus de détails, voir « Réinitialisation » du mode d’emploi du logiciel.
Les piles fournies avec cette machine se déchargent lentement durant l’expédition et le stockage. Elles devront éventuellement être remplacées plus rapidement car leur autonomie peut être inférieure à la normale.
Précautions : L’utilisation incorrecte de piles peut entraîner une fuite ou une explosion et risque d’endommager la calculatrice. Suivez les précautions suivantes : • S’assurer que la polarité (+)/(–) de chaque pile est correcte. • Ne pas mélanger les marques de piles. • Ne pas mélanger des piles neuves avec des piles usées. • Ne jamais laisser de piles mortes dans le logement des piles. • Retirer les piles lorsque la calculatrice n’est pas utilisée pendant un certain temps. • Ne pas recharger les piles fournies avec l’appareil. • Ne pas exposer les piles à une chaleur directe, les court-circuiter ou essayer de les démonter. FR-9
Gardez les piles hors de portée des enfants. Si une pile est avalée, consultez immédiatement un médecin.
• Ne mettez pas la calculatrice sous tension lorsque les piles ont été enlevées ou lorsqu’elles ne sont pas insérées correctement. Sinon, toutes les données mémorisées seront effacées et la calculatrice fonctionnera mal. En cas de problèmes provenant d’une mauvaise manipulation lors du remplacement de piles, insérez correctemment les piles neuves, puis rallumez la calculatrice pour qu’elle fonctionne normalement. • Remplacez toutes les quatre piles par des neuves. GRAPH35+ E II seulement Si vous éteignez la calculatrice pendant l’édition d’une eActivity et changez ensuite les piles, les données éditées seront perdues. Veillez à sauvegarder les données de l’eActivity avant d’éteindre la calculatrice et de changer les piles. 1. Appuyez sur !o(OFF) pour mettre la calculatrice hors tension. Avertissement ! • Mettez la calculatrice hors tension avant de remplacer les piles. Si vous remplacez les piles lorsqu’elle est sous tension, les données mémorisées seront effacées. 2. En veillant à ne pas appuyer accidentellement sur la touche o, insérez l’étui sur la calculatrice et retournez la calculatrice.
4. Enlevez les quatre piles usées. 5. Remettez quatre piles neuves, en vous assurant que les pôles positifs (+) et négatifs (–) sont dirigés dans le bon sens. 6. Remettez le couvercle en place.
Familiarisation — A lire en premier! Chapitre 1 Opérations de base En cas de problème persistant… 1-35
Calculs binaire, octal, décimal et hexadécimal avec entiers 2-35 Calculs matriciels 2-38 Tracé de deux graphes sur le même écran 5-11 Représentation graphique manuelle 5-13 Utilisation de tables 5-17 Représentation graphique dynamique 5-22 Représentation graphique d’une formule de récurrence 5-25 Tracé du graphe d’une section conique 5-29 Changement de l’aspect d’un graphe 5-30 Analyse de fonctions 5-32 ii
1. Termes des tests d’entrée et sortie, intervalle de confiance et loi de probabilité 6-53 Formule statistique 6-56
5. Guide des commandes 8-9 6. Utilisation des fonctions de la calculatrice dans un programme 8-24 7. Liste des commandes du mode PRGM 8-42 8. Tableau de conversion des commandes spéciales de la calculatrice scientifique CASIO ⇔ Texte 8-47 9. Bibliothèque de programmes 8-54
Traçage de graphes statistiques et calculs statistiques et de régression 9-17 Mémoire du mode S • SHT 9-22
1. Saisie et édition de données 10-4
1. Utilisation du gestionnaire de mémoire 11-1
1. Utilisation du menu de réglages du système 12-1 2. Réglages du système 12-1
1. Communication de données entre la calculatrice et un ordinateur personnel 13-2 2. Communication de données entre deux calculatrices 13-9 3. Connexion de la calculatrice à un projecteur 13-15
1. Utilisation du SHELL 14-12 Utilisation des fonctions de tracé (module casioplot) 14-16 Modification d’un fichier py 14-21 Gestion de dossiers (recherche et suppression de fichiers) 14-23 Compatibilité de fichier 14-24 Exemples de scripts 14-25
1. E II. Dans ce mode d’emploi, toutes les captures d’écran montrent l’écran de la GRAPH35+ E II et l’aspect des écrans de la GRAPH25+ E II peut varier légèrement.
Sous le paramétrage initial par défaut, la calculatrice GRAPH35+ E II est configuré pour utiliser le « mode d’écriture mathématique » ce qui active la saisie et l’affichage naturel des expressions mathématiques. Cela signifie que vous pouvez définir des fractions, des racines carrées, des différentiels et autres expressions comme si on les écrivait à la main. Dans le « mode d’écriture mathématique », la plupart des résultats des calculs sont visualisés avec cet affichage naturel. Pour saisir et afficher des expressions de calcul sur une seule ligne vous pouvez sélectionner aussi le « mode d’écriture linéaire ». Avec la calculatrice GRAPH35+ E II le mode d’écriture mathématique est configuré comme paramétrage initial par défaut. Les exemples montrés dans ce mode d’emploi sont présentés principalement en utilisant le mode d’écriture linéaire. Si vous utilisez la calculatrice GRAPH35+ E II notez les points suivants : • Pour obtenir de l’information concernant le basculement entre le mode d’écriture mathématique et le mode d’écriture linéaire, voir l’explication sur le paramètre « Input/ Output » (mode d’entrée/sortie) dans « Utilisation de l’écran de configuration » (page 1-31). • Pour obtenir de l’information concernant l’entrée et l’affichage de données avec le mode d’écriture mathématique, voir « Utilisation du mode d’écriture mathématique » (page 1-12).
La GRAPH25+ E II ne possède pas le mode d’écriture mathématique. Avec ce modèle, lors de la réalisation de calculs proposés dans ce manuel, utilisez le mode de saisie linéaire. Les propriétaires de la GRAPH25+ E II doivent ignorer toutes les explications de ce manuel qui concernent le mode d’écriture mathématique.
Cette suite de touches indique que vous devez appuyer sur ! puis sur x pour écrire le symbole '. Toutes les opérations qui nécessitent l’utilisation de plusieurs touches sont indiquées de cette façon. Les indications sur les touches proprement dites sont suivies du caractère ou de la commande à saisir entre parenthèses.
• Dans ce manuel, l’opération en cours affectée à une touche de fonction est indiquée entre parenthèses après le nom de la touche. 1(Comp), par exemple, indique que par une pression sur 1 vous sélectionnez {Comp}, qui apparaît aussi sur le menu de fonctions. • Quand (g) est indiqué sur le menu de fonctions pour la touche 6, ce symbole signifie qu’en appuyant sur 6 vous afficherez la page suivante ou précédente des options de ce menu.
• Les titres des menus dans le manuel indiquent l’opération de touches nécessaire pour afficher le menu expliqué. L’opération d’un menu affiché en appuyant sur K puis {LIST} apparaîtra comme suit : [OPTN]-[LIST]. • L’utilisation de la touche 6(g) pour le changement de page d’un menu n’est pas indiquée dans les titres des menus.
La liste des commandes du mode PRGM (page 8-42) fournit un organigramme des différents menus correspondant aux touches de fonction. EIle vous indique comment accéder au menu de commandes souhaité. Exemple : L’opération suivante affiche Xfct : [VARS]-[FACT]-[Xfct]
Réglez le contraste chaque fois que les objets affichés paraissent sombres ou sont difficiles à distinguer. 1. Utilisez les touches du pavé directionnel (f, c, d ou e) pour sélectionner l’icône SYSTEM et appuyez sur w, puis sur 1( ) pour afficher l’écran de réglage du contraste.
• La touche du pavé directionnel e rend le contraste plus sombre. • La touche du pavé directionnel d rend le contraste moins sombre. • 1(INIT) rétablit le contraste initial. 3. Pour quitter l’écran de réglage du contraste, appuyez sur m.
Si vous appuyez sur ! puis sur a, le clavier se verrouillera sur l’entrée alphabétique jusqu’à ce que vous appuyiez de nouveau sur a.
Ce paragraphe décrit comment sélectionner une icône sur le menu principal pour entrer dans le mode souhaité.
1. Appuyez sur m pour afficher le menu principal.
• Utilisez uniquement les procédures décrites ci-dessus pour accéder à un mode. Sinon, vous vous trouverez dans un mode différent de celui que vous pensiez avoir sélectionné. La signification de chaque icône est la suivante. Icône
Utilisez les touches de fonction (1 à 6) pour accéder aux menus et commandes dans la barre de menu au bas de l’écran. Les menus et les commandes se différencient par leur aspect.
La calculatrice emploie deux types d’écrans : un écran de texte et un écran graphique. L’écran de texte peut contenir 21 caractères sur une ligne et 8 lignes, y compris la ligne inférieure utilisée pour le menu de touches de fonction. L’écran graphique utilise une zone de 127 points (l) × 63 points (h). Écran de texte
1.2E+12 indique que le résultat est égal à 1,2 × 1012. Cela signifie que vous devez déplacer la virgule des décimales dans 1,2 de douze rangs vers la droite, puisque l’exposant est positif. Le résultat est 1.200.000.000.000.
Le résultat est 0,0012. Vous pouvez choisir une des deux plages pour l’affichage automatique normal. Norm 1 10–2 (0,01) > |x|, |x| > 1010 Norm 2 10–9 (0,000000001) > |x|, |x| > 1010 Tous les exemples de calculs dans ce manuel affichent des résultats avec Norm 1. Voir page 2-11 pour les détails sur la commutation entre Norm 1 et Norm 2.
Cette calculatrice emploie des formats d’affichage spéciaux pour indiquer les fractions, les valeurs hexadécimales et les valeurs exprimées en degrés/minutes/secondes. u Fractions Indique : 456 + • Pour la saisie de données vous pouvez sélectionner soit le mode d’insertion ou le mode surécriture.*1 Dans ce mode, le texte saisi remplace le texte dans la position du curseur. Vous pouvez basculer entre les modes d’insertion et surécriture en effectuant les opérations suivantes : !D(INS). Le curseur a l’aspect « I » pour l’insertion et l’aspect « » pour surécriture. *1 Avec la GRAPH35+ E II, le basculement entre les modes insertion et écrasement opération n’est possible qu’avec le mode d’écriture linéaire (page 1-31).
Acga ddd Le dernier calcul est toujours stocké dans la mémoire de répétition. Le contenu de la mémoire de répétition peut être rappelé par une pression sur d ou e. Lorsque vous appuyez sur e, le calcul apparaît avec le curseur au début. Une pression sur d permet de faire apparaître le curseur à la fin du calcul. Vous pouvez effectuer des changements dans le calcul, puis le réexécuter. • La mémoire de répétition est activé seulement dans le mode d’écriture linéaire. Dans le mode d’écriture mathématique, la fonction historique est utilisée à la place de la mémoire de répétition. Pour plus de détails, voir « Fonction historique » (page 1-19). Exemple 1
4,12 × 6,4 = 26,368 A, vous pouvez donc rappeler et exécuter un calcul même après avoir appuyé sur la touche A.
Abe/a*c.d w Le curseur se met automatiquement à l’emplacement de la cause de l’erreur.
Réexécutez le calcul. w
Vous pouvez copier (ou couper) une fonction, une commande ou tout autre terme saisi dans le presse-papier puis collez le contenu du presse-papier à un autre endroit. • Toutes les procédures décrites ici utilisent le mode d’écriture linéaire. Pour plus de détails concernant les opérations copier et coller lorsque le mode d’écriture mathématique est sélectionné, voir « Utilisation du presse-papier pour copier et coller avec le mode d’écriture mathématique » (page 1-20).
1. Amenez le curseur (I) au début ou à la fin du texte que vous voulez copier, puis appuyez sur la touche !i(CLIP). Le curseur prend la forme « ».
Pour annuler la surbrillance sans copier le texte, appuyez sur la touche J.
1. Amenez le curseur (I) au début ou à la fin du texte que vous voulez couper, puis appuyez sur la touche !i(CLIP). Le curseur prend la forme « ».
Amenez le curseur à l’endroit où vous voulez coller le texte et appuyez sur !j(PASTE). Le contenu du presse-papiers est collé à la position du curseur. A !j(PASTE)
Le catalogue est une liste alphabétique de toutes les commandes présentes dans la calculatrice (à l’exception du mode PYTHON). Vous pouvez saisir une commande en affichant le catalogue et en sélectionnant cette commande.
1. Pour afficher un catalogue alphabétique des commandes, appuyez sur !e(CATALOG). • L’écran qui s’affiche en premier est le dernier ayant été utilisé pour l’entrée de commandes.
3. Pour mettre en surbrillance la catégorie de commande voulue utilisez les touches du pavé directionnel (f, c) et appuyez ensuite sur 1(EXE) ou sur w. • Ceci provoque l’affichage d’une liste de commandes de la catégorie sélectionnée. 4. Saisissez la première lettre de la commande que vous voulez entrer. Ceci provoquera l’affichage de la première commande qui commence par cette lettre. 5. Pour mettre en surbrillance la commande que vous voulez entrer, utilisez les touches du pavé directionnel (f, c) et appuyez ensuite sur 1(INPUT) ou sur w.
• Vous pouvez basculer entre les écrans en appuyant sur !f ou !c. Exemple Cette méthode est pratique lorsque vous connaissez le nom de la commande que vous souhaitez saisir. 1. Appuyez sur !e(CATALOG) pour afficher l’écran du catalogue. 2. Appuyez sur 6(CTGY) pour afficher la liste des catégories. 3. Mettez « 1:Tout » en surbrillance puis appuyez sur 1(EXE) ou w. • Ceci permet d’affiche une liste de toutes les commandes.
• Vous pouvez saisir jusqu’à huit lettres. • À chaque nouvelle lettre saisie, le curseur bouge vers la première commande qui correspond. 5. Une fois que la commande souhaitée est en surbrillance, appuyez sur 1(INPUT) ou w.
• Ceci permet d’afficher l’historique des commandes.
• Un QR Code* est affiché sur l’écran de la calculatrice. Utilisez un smartphone ou une tablette pour lire le QR Code et afficher le manuel en ligne. * QR Code est une marque déposée de DENSO WAVE INCORPORATED au Japon et dans d’autres pays.
• Les opérations de cette section supposent que le smartphone ou la tablette utilisé(e) possède un lecteur QR Code installé, et qu’il / elle peut se connecter à Internet. 1. Sélectionnez une commande qui est incluse dans le manuel en ligne. • 2(QR) apparaît alors dans le menu de fonctions.
• Si vous avez des problèmes pour lire le QR Code, utilisez d et e pour régler la luminosité de l’écran. 4. Appuyez sur J pour fermer l’écran QR Code. • Pour sortir de la fonction de catalogue, appuyez sur A ou !J.
Important ! • La GRAPH25+ E II ne possède pas le mode d’écriture mathématique. La sélection de « Math » pour le paramètre du mode d’écriture « Input/Output » dans l’écran de configuration (page 1-31) active le mode d’écriture mathématique. Ce mode de entrée/ sortie permet la saisie et l’affichage naturel de certaines fonctions, telles qu’elles sont écrites dans votre manuel scolaire. • Les opérations de cette section s’effectuent toutes dans le mode d’écriture mathématique. - Le paramétrage initial par défaut est le mode d’écriture mathématique. Si vous avez basculé vers le mode d’écriture linéaire, revenez sur le mode d’écriture mathématique avant d’effectuer les opérations de cette section. Pour plus d’information sur le changement de modes, voir « Utilisation de l’écran de configuration » (page 1-31). - Avant d’effectuer les opérations de cette section, basculez vers le mode d’écriture mathématique. Pour plus d’information sur le basculement entre les modes d’écriture, consultez « Utilisation de l’écran de configuration » (page 1-31). • Dans le mode d’écriture mathématique, toute saisie se fait en mode d’insertion (et pas en mode d’écrasement). Notez que l’opération de touches !D(INS) (page 1-6) que vous utilisez en mode d’écriture linéaire afin de basculer vers le mode d’insertion, en mode d’écriture mathématique elle réalise une fonction complètement différente. Pour obtenir plus d’information, voir « Utilisation de valeurs et d’expressions comme arguments » (page 1-16). • Sauf indication en contraire, toutes les opérations de cette section s’effectuent dans le mode RUN • MAT.
« Utilisation du menu MATH » indiqué ci-dessous. *3 La tolérance ne peut pas être spécifiée dans le mode d’écriture mathématique. Si vous voulez la spécifier, utilisez le mode d’écriture linéaire. *4 Pour le calcul de Σ dans le mode d’écriture mathématique, l’incrément est toujours 1. Si vous voulez utiliser un autre incrément, utilisez le mode d’écriture linéaire. *5 C’est le nombre d’octets pour une matrice de 2 × 2.
Vous pouvez utiliser ce menu pour l’écriture naturelle de matrices, de différentielles, d’intégrales, etc. 1-13
• {2×2} ... {saisit une matrice de 2 × 2} • {3×3} ... {saisit une matrice 3 × 3} • {m×n} ... {saisit une matrice/un vecteur de m lignes et n colonnes (6 × 6 au maximum)} • {2×1} ... {saisit un vecteur 2 × 1} • {3×1} ... {saisit un vecteur 3 × 1} • {1×2} ... {saisit un vecteur 1 × 2} • {1×3} ... {saisit un vecteur 1 × 3} • {logab} ... {permet l’écriture naturelle d’un logarithme en base a} à la position du curseur lorsque vous saisissez des valeurs et des données. Exemple 1
AcM d Lorsqu’une flèche apparaît, vous pouvez utiliser les touches du pavé directionnel pour faire défile le contenu de l’écran et voir les autres termes du calcul.
Avec certains types d’expressions la hauteur d’une formule peut être supérieure à la ligne d’affichage. La hauteur d’une formule ne doit pas être supérieure à deux écrans d’affichage (120 points). Il n’est pas possible de saisir une expression qui dépasse cette limite.
Une valeur ou une expression déjà saisie peut être utilisée comme argument d’une fonction. Après avoir saisi, par exemple, « (2+3) », vous pouvez le faire devenir l’argument de ', avec le résultat (2+3). Exemple 1. Déplacez le curseur pour le placer juste à la gauche de la partie de l’expression qui doit devenir l’argument de la fonction que vous voulez insérer.
• Le curseur prend la forme du curseur d’insertion (').
• La fonction ' est insérée et l’expression entre parenthèses devient l’argument.
Cette possibilité peut s’utiliser avec les fonctions suivantes : Fonction
L’édition de calculs dans le mode d’écriture mathématique s’effectue en principe de la même façon que dans le mode d’écriture linéaire. Pour le détail, reportez-vous à « Édition de calculs » (page 1-6). Notez toutefois les différences suivantes entre le mode d’écriture mathématique et le mode d’écriture linéaire. • La saisie en mode d’écrasement, disponible dans le mode d’écriture linéaire n’est pas disponible dans le mode d’écriture mathématique. Dans ce mode, les termes écrits s’insèrent toujours à la position du curseur. • Dans le mode d’écriture mathématique, la touche D sert toujours à faire un retour en arrière. • Vous pouvez déplacer le curseur de la façon suivante lors de la saisie de calculs sous mode d’écriture mathématique. Pour faire ceci : Faire revenir le curseur au début du calcul lorsqu’il est à la fin Faire passer le curseur à la fin du calcul lorsqu’il est au début 1-17
Lors de la saisie d’expressions de calcul en mode d’écriture mathématique, vous pouvez utiliser les procédures suivantes (jusqu’à ce que vous appuyez sur la touche w) pour défaire la dernière opération de touche et pour refaire l’opération de touche que vous venez de réaliser. - Pour défaire la dernière opération de touche, appuyez sur: aD(UNDO). - Pour refaire une opération de touche que vous venez de défaire, appuyez encore sur : aD(UNDO). • Vous pouvez utiliser UNDO pour annuler une opération de touche A. Après avoir appuyé sur A pour effacer une expression que vous venez d’entrer, l’appui sur aD(UNDO) restaure ce qui se trouvait sur l’écran avant d’appuyer sur A. • Vous pouvez utiliser aussi UNDO pour annuler une opération de touche du pavé directionnel. Si vous appuyez sur e pendant la saisie et puis vous appuyez sur aD (UNDO), le curseur retourne à la position où il se trouvait avant d’appuyer sur e. • L’opération UNDO est désactivée lorsque le clavier est verrouillé en alpha-locked. L’appui sur aD(UNDO) lorsque le clavier est verrouillé en alpha-locked effectue la même opération d’effacement que la touche D seule. Exemple b+'be D aD(UNDO) c A aD(UNDO) • Les listes s’affichent sous forme naturelle jusqu’à 20 éléments. Une liste de plus de 20 éléments s’affichera sur l’écran ListAns, c’est-à-dire sur le même écran que celui qui est utilisé dans le mode d’écriture linéaire. • Des flèches apparaissent à la gauche, à la droite, au haut et au bas de l’affichage pour vous indiquer qu’il existe d’autres données sur l’écran dans le sens indiqué.
• Le résultat d’un calcul et le calcul s’effacent par une pression de 2(DEL)1(DEL • L) lorsqu’un résultat est sélectionné. • Le signe de multiplication ne peut pas être omis tout de suite devant une fraction en notation anglo-saxonne ou française. Dans ce cas, mettez toujours un signe de multiplication. Exemple : c*c'f • L’opération avec les touches M, x, ou !)(x–1) ne peut pas être suivie immédiatement d’une autre opération avec les mêmes touches M, x, ou !)(x–1). Dans ce cas, utilisez des parenthèses pour séparer ces deux opérations. Exemple : (32)–1 (dx)!)(x–1) - Si une série de calculs utilise la mémoire de dernier résultat pour inclure le résultat du dernier calcul dans le calcul suivant, le changement d’un calcul aura une influence sur les résultats de tous les calculs suivants. - Lorsque le premier calcul de l’historique comprend des éléments de la mémoire de dernier résultat, la valeur de la mémoire de dernier résultat est « 0 » parce qu’il n’y a pas de calcul avant le premier de l’historique.
Vous pouvez copier une fonction, une commande ou autre saisie vers le presse-papier et coller ensuite le contenu du presse-papier à un autre endroit. • Dans le mode d’écriture mathématique, vous ne pouvez spécifier qu’une seule ligne comme plage pour la copie. • L’opération de copie ci-dessous peut être effectuée sur une ligne de saisie (une ligne de formule de calcul saisie par vous) uniquement. Si vous voulez copier un résultat de calcul dans l’historique, voir « Copie d’un résultat de calcul dans l’historique » (page 1-21). • L’opération CUT n’est supportée que par le mode d’écriture linéaire. Elle n’est pas supportée par le mode d’écriture mathématique.
1. Utilisez les touches du pavé directionnel pour positionner le curseur sur la ligne de saisie que vous voulez copier. 2. Appuyez sur !i(CLIP). Le curseur changera à «
• Notez les points suivants concernant le contenu du presse-papier. - Effectuer l’opération ci-dessus ou l’opération dans « Pour copier une ligne de résultat de calcul dans l’historique » (page 1-21) entraînera la surécriture du contenu du pressepapier. - Effectuer l’opération de collage dans « Pour coller du texte » ci-dessous collera le contenu actuel du presse-papier.
Déplacez le curseur à la position où vous voulez coller le texte et appuyez ensuite sur !j(PASTE). Le contenu du presse-papier est collé à la position du curseur.
Dans le mode RUN • MAT et le mode e • ACT, le contenu d’une ligne de résultat de calcul (une ligne où est affiché un résultat de calcul du côté droit) peut être copié sur la position finale du curseur sur la ligne de saisie du bas.
• Dans le mode e • ACT, l’opération de copie décrite ici peut uniquement être effectuée sur la ligne de résultat de calcul d’une ligne de calcul. • Dans le mode RUN • MAT, cette opération est possible uniquement lorsque les réglages de l’écran de configuration sont configurés comme indiqué ci-dessous. - Mode : Comp - Input/Output : Math Dans le mode e • ACT, cette opération peut être effectuée quels que soient les réglages de l’écran de configuration.
1. Déplacez le curseur vers un emplacement sur la ligne de saisie du bas où vous voulez insérer le contenu copié.*1
3. Mettez en surbrillance la ligne de résultat de calcul que vous souhaitez copier avec f et c.*3
• Sur les emplacements gris des fonctions ci-dessous
- Fraction, racine, format π et décimale : f (pages 1-23, 2-21) Exemple :
(c) Si le résultat copié excède le nombre d’octets autorisés de la destination de la copie Dans les cas (b) et (c), le contenu n’est pas copié sur la position du curseur, mais le contenu que vous avez sélectionné est copié dans le presse-papier. 1-22
Cette section présente des exemples de calcul en mode d’écriture mathématique. • Pour plus de détails sur les opérations de calcul, voir « Chapitre 2 Calculs manuels ».
• {2×2} … {saisit une matrice 2 × 2} • {3×3} … {saisit une matrice 3 × 3} • {m×n} … {saisit une matrice ou un vecteur de m lignes × n colonnes (jusqu’à 6 × 6)} • {2×1} … {saisit un vecteur 2 × 1} • {3×1} … {saisit un vecteur 3 × 1} • {1×2} … {saisit un vecteur 1 × 2} • {1×3} … {saisit un vecteur 1 × 3} u Pour saisir les valeurs des cellules Exemple
1 Affecter le résultat du calcul à la matrice J !c(Mat)!-(Ans)a !c(Mat)a)(J)w Modes qui supportent le format d’affichage naturel : RUN • MAT, e • ACT, EQUA Les expressions suivantes montrent des opérations en mode d’écriture mathématique dans les modes GRAPH, DYNA, TABLE, RECUR et EQUA, ainsi que l’affichage naturel de résultats de calculs dans le mode EQUA. • Pour plus de détails sur cette opération, voir la section dédiée à chaque calcul. • Pour plus de détails sur les opérations de saisie et sur les affichages de résultats de calculs dans le mode RUN • MAT en mode d’écriture mathématique, voir « Saisie d’opérations dans le mode d’écriture mathématique » (page 1-13) et « Opérations de calcul dans le mode d’écriture mathématique » (page 1-23). Les opérations de saisie et d’affichage des résultats du mode e • ACT sont les mêmes que ceux du mode RUN • MAT. Pour plus d’information sur les opérations du mode e • ACT, consultez « Chapitre 10 L’eActivity ».
2 (2(POLY)), dans tous les cas où cela est possible la sortie des solutions se fait en format d’affichage naturel (fractions, ', π sont affichés en format naturel). • Dans le cas de la résolution d’équations avec le solveur (3(SOLV)), vous pouvez utiliser I’écriture naturelle du mode d’écriture mathématique. Exemple
• Pour plus de détails concernant les commandes comprises dans le menu des options (OPTN), voir le paragraphe « touche K » dans « Liste des commandes du mode PRGM » (page 8-42). • Les significations des éléments du menu des options sont décrites dans les sections qui traitent de chaque mode. 1-26
RUN) ou le mode PRGM. Les noms des éléments marqués ci-dessous avec un astérisque (*) ne sont pas inclus dans la GRAPH25+ E II. • {LIST} ... {menu de fonctions de listage} • {MAT}* ... {menu d’opérations matricielles/vectorielles} • {CPLX} ... {menu de calculs avec nombres complexes} • {CALC} ... {menu d’analyse de fonctions} • {STAT} ... {menu de valeurs statistiques estimées des variables appariées} (GRAPH25+ E II) {menu pour la valeur statistiquement estimée de variables appariées, la distribution, l’écart-type, la variance et les fonctions de test} (GRAPH35+ E II) • {CONV} ... {menu de conversion métrique} • {HYP} ... {menu de calculs hyperboliques} • {PROB} ... {menu des calculs de probabilité/distribution} • {NUM} ... {menu de calculs numériques} • {ANGL} ... {menu pour la conversion d’angles/coordonnées, entrée/conversion sexagésimale} • {ESYM} ... {menu de symboles d’ingénierie} • {PICT} ... {menu sauvegarde/rappel du graphe} • {FMEM} ... {menu de mémoires de fonctions} • {LOGIC} ... {menu d’opérateurs logiques} • {CAPT} ... {menu de capture d’écran} • {TVM}* ... {menu de calculs financiers} • Lorsque « Math » est sélectionné comme « Input/Output » dans l’écran de configuration, les éléments PICT, FMEM et CAPT ne sont pas affichés.
Pour rappeler des données de variables, appuyez sur J pour afficher le menu de données de variables. {V-WIN}/{FACT}/{STAT}/{GRPH}/{DYNA}/{TABL}/{RECR}/{EQUA}/{TVM}/{Str} • Notez que les éléments EQUA et TVM apparaissent pour les touches de fonction (3 et 4) uniquement lorsque vous accédez au menu de données de variables du mode RUN • MAT (ou RUN) ou PRGM. • Le menu de données de variables n’apparaît pas si vous appuyez sur J lorsque le système binaire, octal, décimal ou hexadécimal est défini par défaut. • Selon le modèle de calculatrice, certains éléments du menu peuvent ne pas être disponibles. • Pour plus de détails concernant les commandes comprises dans le menu des données de variable (VARS), voir le paragraphe « touche J » dans « Liste des commandes du mode PRGM » (page 8-42). • Les noms des éléments marqués ci-dessous avec un astérisque (*) ne sont pas inclus dans la GRAPH25+ E II.
• {X}/{Y}/{T,} ... {menu de l’axe x}/{menu de l’axe y}/{menu de T,}.
*1 La valeur de points indique la plage d’affichage (valeur Xmax – valeur Xmin) divisée par le pas des points (126). Cette valeur est normalement calculée automatiquement à partir des valeurs maximales et minimales. Le changement de la valeur des points se répercute automatiquement sur le maximum.
• {Xfct}/{Yfct} ... {facteur de l’axe x}/{facteur de l’axe y} u STAT — Rappel de données statistiques • {X} … {données x à variable unique, variable double} • {n}/{x̄}/{Σx}/{Σx2}/{x}/{sx}/{minX}/{maxX} ... {nombre de données}/{moyenne}/ {somme}/{somme des carrés}/{écart-type sur une population}/{écart-type sur un échantillon}/{valeur minimale}/{valeur maximale} • {Y} ... {données y à variable double} • {}/{Σy}/{Σy2}/{Σxy}/{y}/{sy}/{minY}/{maxY} ... {moyenne}/{somme}/{somme des carrés}/{somme des produits de données x et de données y}/{écart-type sur une population}/{écart-type sur un échantillon}/{valeur minimale}/{valeur maximale} • {GRPH} ... {menu de données de graphes} • {a}/{b}/{c}/{d}/{e} ... {coefficient de régression et coefficients polynomiaux} • {r}/{r2} ... {coefficient de corrélation}/{coefficient de détermination} • {MSe} ... {carrés des moyennes des erreurs} • {Q1}/{Q3} ... {premier quartile}/{troisième quartile} • {Med}/{Mod} ... {médiane}/{mode} des données saisies • {Strt}/{Pitch} ... {division initiale}/{pas} de l’histogramme • {PTS} ... {menu de données de points récapitulatifs} • {x1}/{y1}/{x2}/{y2}/{x3}/{y3} ... {coordonnées de points récapitulatifs} • {INPT}* ... {valeurs d’entrée pour les calculs statistiques} • {n}/{x̄}/{sx}/{n1}/{n2}/{x̄1}/{x̄2}/{sx1}/{sx2}/{sp} ... {taille de l’échantillon}/{moyenne de l’échantillon}/{écart-type de l’échantillon}/{taille de l’échantillon 1}/{taille de l’échantillon 2}/{moyenne de l’échantillon 1}/{moyenne de l’échantillon 2}/{écart-type de l’échantillon 1}/{écart-type de l’échantillon 2}/{écart-type de l’échantillon p} • {RESLT}* ... {valeurs de sortie des calculs statistiques} • {TEST} ... {résultats des calculs des tests} • {p}/{z}/{t}/{Chi}/{F}/{ p̂}/{ p̂1}/{ p̂2}/{df}/{se}/{r}/{r 2}/{pa}/{Fa}/{Adf}/{SSa}/{MSa}/{pb}/{Fb}/ {Bdf}/{SSb}/{MSb}/{pab}/{Fab}/{ABdf}/{SSab}/{MSab}/{Edf}/{SSe}/{MSe} ... {valeur-p}/{note-Z }/{note-t}/{valeur χ2}/{valeur F}/{effectif estimé de l’échantillon}/ {effectif estimé de l’échantillon 1}/{effectif estimé de l’échantillon 2}/{degrés de liberté}/{erreur standard }/{coefficient de corrélation}/{coefficient de détermination}/ {valeur-p du facteur A}/{valeur F du facteur A }/{degrés de liberté du facteur A}/ {somme des carrés du facteur A} /{carré moyen du facteur A}/{valeur-p du facteur B}/{valeur F du facteur B }/{degrés de liberté du facteur B}/{somme des carrés du facteur B} /{carré moyen du facteur B}/{valeur-p du facteur AB}/{valeur F du facteur AB }/{degrés de liberté du facteur AB}/{somme des carrés du facteur AB}/ {carré moyen du facteur AB}/{degrés de liberté de l’erreur}/{somme des carrés de l’erreur}/{carré moyen de l’erreur} 1-28
• {Left}/{Right}/{ p̂}/{ p̂1}/{ p̂2}/{df} ... {limite inférieure (bord gauche) de l’intervalle de confiance}/{limite supérieure (bord droit) de l’intervalle de confiance}/{effectif estimé de l’échantillon}/{effectif estimé de l’échantillon 1}/{effectif estimé de l’échantillon 2}/ {degrés de liberté} • {DIST} ... {résultats des calculs de distribution} • {p}/{xInv}/{x1Inv}/{x2Inv}/{zLow}/{zUp}/{tLow}/{tUp} ... {résultat de la distribution de probabilité ou de la distribution cumulative (valeur-p)}/{résultat de la distribution cumulative inverse t de Student, χ2, F, binomial, de Poisson, géométrique ou hypergéométrique}/{limite supérieure (bord droit) ou limite inférieure (bord gauche) de la distribution normale cumulative inverse}/{limite supérieure (bord droit) de la distribution normale cumulative inverse}/{limite inférieure (bord gauche) de la distribution normale cumulative}/{limite supérieure (bord droit) de la distribution normale cumulative}/{limite inférieure (bord gauche) de la distribution t de Student cumulative}/{limite supérieure (bord droit) de la distribution t de Student cumulative}
• {Y}/{r} ... {fonction à coordonnées rectangulaires ou d’inégalité}/{fonction à coordonnées polaires} • {Xt}/{Yt} ... fonction de graphe paramétrique {Xt}/{Yt} • {X} ... {fonction de graphe avec constante = X} • Appuyez sur ces touches avant d’entrer une valeur pour désigner la zone de mémoire.
• {Strt}/{End}/{Pitch} ... {valeur initiale de la plage de coefficient}/{valeur finale de la plage de coefficient}/{incrément du coefficient}
• {Strt}/{End}/{Pitch} ... {valeur initiale de la plage de la table}/{valeur finale de la plage de la table}/{incrément des valeurs de la table} • {Reslt*1} ... {matrice du contenu de la table} *1 Le paramètre Reslt n’apparaît que si le menu TABL est affiché dans les modes RUN • MAT (ou RUN) et PRGM.
• {FORM} ... {menu de données de formules de récurrence} • {an}/{an+1}/{an+2}/{bn}/{bn+1}/{bn+2}/{cn}/{cn+1}/{cn+2} ... expressions {an}/{an+1}/{an+2}/{bn}/{bn+1}/ {bn+2}/{cn}/{cn+1}/{cn+2} • {RANG} ... {menu de données de plages de tables} • {Strt}/{End} ... {valeur initiale}/{valeur finale} de la plage d’une table *2 « Reslt » n’est disponible que dans les modes RUN • MAT et PRGM. *3 Le contenu d’une table est automatiquement stocké dans la mémoire de réponse matricielle (MatAns). 1-29
• {S-Rlt}/{S-Cof} ... matrice de {solutions}/{coefficients} pour les équations linéaires de deux à six inconnues*3 • {P-Rlt}/{P-Cof} ... matrice de {solutions}/{coefficients} pour les équations quadratriques ou cubiques *1 Les coefficients et les solutions sont automatiquement stockés dans la mémoire de réponse matricielle (MatAns). *2 Dans les cas suivants, une erreur se produit: - Aucun coefficient n’a été saisi pour l’équation. - Aucune solution n’a été obtenue pour l’équation. *3 Le coefficient et la solution mémorisés d’une équation linéaire ne peuvent pas être rappelés en même temps.
• {n}/{I%}/{PV}/{PMT}/{FV} ... {périodes de paiement (versements)}/{taux d’intérêt annuel}/ {valeur presénte}/{paiement}/{valeur future} • {P/Y}/{C/Y} ... {périodes de versement par année}/{périodes de composition par année}
éléments du menu de programmation (PRGM) ne sont pas affichés. • {COM} {menu de commandes de programmation} • {CTL} {menu de commandes de contrôle de programmation} • {JUMP} {menu de commande de saut} • {?} {commande de saisie} • {^} {commande d’affichage} • {CLR} {menu de commande de suppression} • {DISP} {menu de commande d’affichage} • {REL} {menu d’opérateurs relationnels avec saut conditionnel} • {I/O} {menu de commande de contrôle/transfert d’entrée/sortie} • {:} {commande d’instructions multiples} • {STR} {commande de chaîne} Le menu de touches de fonction suivant apparaît si vous appuyez sur !J(PRGM) dans le mode RUN • MAT (ou RUN) ou le mode PRGM quand le système numérique par défaut est binaire, octal, décimal ou hexadécimal. • {Prog} {rappel de programme} • {JUMP}/{?}/{^}/{REL}/{:} 1-30
Pour les détails sur les commandes disponibles dans les différents menus auxquels vous avez accès à partir du menu de programmation, voir « Chapitre 8. Programmation ».
L’écran de configuration de mode indique l’état en cours des réglages de mode et permet d’effectuer les changements souhaités. Vous pouvez changer les réglages d’un mode de la façon suivante.
1. Sélectionnez l’icône souhaitée et appuyez sur w pour acceder au mode et en afficher l’écran initial. Ici nous choisissons le mode RUN • MAT (ou RUN). 2. Appuyez sur !m(SET UP) pour afficher l’écran de configuration de ce mode. • Cet écran de configuration est utilisé à titre d’exemple. Le contenu de l’écran peut être différent en fonction du mode dans lequel vous êtes et des réglages actuels de ce mode.
4. Appuyez sur la touche de fonction (1 to 6) qui indique le réglage que vous voulez faire. 5. Quand vous avez fait les changements nécessaires, appuyez sur J pour sortir de l’écran de configuration.
Cette partie détaille les réglages que vous pouvez effectuer à l’aide des touches de fonction de l’écran de configuration. indique le réglage par défaut. Les noms des éléments marqués ci-dessous avec un astérisque (*) ne sont pas inclus dans la GRAPH25+ E II.
• {Math}/{Line} ... mode d’ecriture {mathematique}/{lineaire} • {On}/{Off} ... {affichage activé}/{affichage désactivé} pendant l’utilisation de graphe à table, de graphe et table et de Trace.
• {Deg}/{Rad}/{Gra} ... {degrés}/{radians}/{grades}
• {On}/{Off} ... {affichage activé}/{affichage désactivé}
• {On}/{Off} ... {affichage activé}/{affichage désactivé} • {365}/{360} ... calcul des intérêts pour {365}*1/{360} jours par année *1 Il faut utiliser l’année de 365 jours pour les calculs de dates en mode TVM , sinon une erreur se produit.
• {Auto}/{Man} ... {réduction et affichage automatiques}/{affichage sans réduction}
• {Std}/{OnData} ... {Division de la population totale au point central, entre les groupes supérieurs et inférieurs, avec la médiane du groupe inférieur Q1 et la médiane du groupe supérieur Q3}/{Calcule la valeur de l’élément dont le taux d’effectif cumulatif est supérieur à 1/4 et le plus proche de 1/4 Q1, et la valeur de l’élément dont le taux d’effectif cumulatif est supérieur à 3/4 et le plus proche de 3/4 Q3}
• {On}/{Off} ... {exécute}/{n’exécute pas} les formules automatiquement
• {Form}/{Val} ... {formule}*1/{valeur} « Form » n’affecte pas les données de la cellule qui ne sont pas une formule. *2 Spécifie le sens dans lequel le curseur de cellule se déplace lorsque vous appuyez sur la touche w pour enregistrer les données introduites dans les cellules, lorsque la commande Suite crée une table numérique et lorsque vous rappelez des données de la mémoire de listes.
Vous pouvez capturer une image de l’écran affiché et l’enregistrer dans la mémoire d’écrans à n’importe quel moment lorsque vous utilisez la calculatrice.
1. Mettez la calculatrice en marche et affichez l’écran que vous voulez capturer. 2. Appuyez sur !x(CAPTURE). • Une boîte de dialogue de sélection de zone mémoire s’affiche.
• L’image de l’écran est capturée et sauvegardée dans une zone de la mémoire d’écrans nommée « Capt n » ( n = la valeur spécifiée). • Vous ne pouvez pas capturer l’image d’écran d’un message indiquant qu’une opération ou la transmission de données est en cours. • Une erreur « Erreur mémoire » se produit si la capacité de la mémoire principale n’est pas suffisante pour enregistrer l’écran capturé.
Cette opération n’est possible qu’avec le mode d’écriture linéaire sélectionné au préalable. 1. Dans le mode RUN • MAT (ou RUN), appuyez sur K6(g)6(g)5(CAPT) (4(CAPT) dans la GRAPH25+ E II) 1(RCL).
• Ceci affiche l’image stockée dans la mémoire de capture d’écran que vous avez spécifiée. 3. Appuyez sur J pour sortir de l’affichage de l’image et revenir à l’écran de départ de l’étape 1. • Vous pouvez aussi utiliser la commande RclCapt dans un programme pour rappeler une image d’écran de la mémoire d’écrans.
Si vous rencontrez un problème pendant que vous effectuez une opération, effectuez les opérations suivantes avant de supposer que la calculatrice ne fonctionne pas.
1. Depuis le menu principal, accédez au mode SYSTEM. 2. Appuyez sur 5(RSET). 3. Appuyez sur 1(STUP) et sur 1(Oui). 4. Appuyez sur Jm pour revenir au menu principal. Accédez maintenant au mode correct et effectuez à nouveau votre calcul en vérifiant les résultats sur l’écran.
Si la calculatrice commence à se comporter de manière anormale vous pouvez la redémarrer en appuyant sur le bouton RESTART. Notez néanmoins, que vous devez utiliser le bouton RESTART seulement comme dernier recours. Normalement, l’appui sur le bouton RESTART réinitialise le système d’exploitation de la calculatrice mais préserve les programmes, les fonctions graphiques et d’autres données stockées dans la mémoire. 1-35
Cela signifie que si vous appuyez sur le bouton RESTART après avoir édité un programme, tracé le graphe d’une fonction ou traité d’autres données, toute donnée non encore sauvegardée sera perdue.
Utilisez la réinitialisation quand vous voulez effacer toutes les données courantes stockées dans la mémoire de la calculatrice et reconfigurer tous les paramètres des modes à leur valeurs par défaut. Avant d’effectuer l’opération de réinitialisation, faites d’abord une copie par écrit de toutes les données importantes. Pour plus de détails, voir « Réinitialisation » (page 12-3).
Si le message suivant apparaît à l’écran, éteignez immédiatement la calculatrice et remplacez les piles de la façon indiquée.
• Vous ne pouvez effectuer aucun transfert de données après l’apparition du message de faible tension des piles.
Vous pouvez aussi spécifier le nombre de décimales pour l’arrondi des valeurs internes pour un calcul particulier. (Exemple : Spécifier un arrondi à deux décimales)
Median, Mean, Augment, Mat→List, DotP, CrossP, Angle, UnitV, Norm, P(, Q(, R(, t(, • Tout ce qui se trouve entre parenthèses a la plus grande priorité.
(GRAPH35+ E II seulement) Vous pouvez configurer la calculatrice pour afficher les résultats des calculs dans le format des nombres irrationnels (y compris ' ou π) en sélectionnant « Math » (mathématique) comme « Input/Output » (entrée/sortie). • Le résultat du calcul est affiché en format décimal même si un résultat intermédiaire atteint plus de deux termes. Exemple : (1 + ' 2+' 3) (1 – ' n est un nombre entier jusqu’à |106|.
Vous pouvez omettre le signe de multiplication (×) dans toutes les opérations suivantes. • Devant les fonctions de type A (1 à la page 2-2) et les fonctions de type C (6 à la page 2-2), sauf pour les signes négatifs Exemple 1
k Capacité de la mémoire Chaque fois que vous appuyez sur une touche, un octet ou deux octets de mémoire sont utilisés. Les fonctions qui n’utilisent qu’un octet sont les suivantes : b, c, d, sin, cos, tan, log, In, ' et π. Les fonctions nécessitant deux octets sont d/dx(, Mat, Vct, Xmin, If, For, Return, DrawGraph, SortA(, PxIOn, Sum et an+1. • Le nombre d’octets requis pour entrer des fonctions et des commandes est différent dans les modes d’écriture linéaire et dans le mode d’écriture mathématique. Pour plus de détails sur le nombre d’octets requis pour chaque fonction dans le mode d’écriture mathématique, voir page 1-13.
u Pour affecter une valeur à une variable [valeur] a [nom de la variable] w Exemple 1
• Vous ne pouvez pas utiliser « r » ou « θ » comme nom de variable. Exemple
Pour plus de détails sur les opérations avec des chaînes, voir « Chaînes » (page 8-21). Exemple
A!a( A -LOCK)5(”)v(A) l(B)I(C)5(”)a(Relâche Alpha-Lock.) aJ6(g)5(Str)*bw • {STO}/{RCL}/{fn}/{SEE} ... {sauvegarde de la fonction}/{rappel de la fonction}/{spécification de la zone de la fonction comme nom de variable dans une expression}/{liste des fonctions}
(av(A)+al(B)) La fonction de réponse stocke le dernier résultat calculé automatiquement en appuyant sur w (à moins que l’opération de touche w résulte en une erreur). Le résultat est sauvegardé dans la mémoire de dernier résultat. • La valeur la plus élevée que peut contenir la mémoire de dernier résultat est 15 chiffres pour la mantisse et 2 chiffres pour l’exposant. • Le contenu de la mémoire de dernier résultat n’est pas effacé lorsque la touche A est enfoncée ou l’appareil mis hors tension. 2-9
Exemple Utilisateurs de la GRAPH35+ E II ... • Dans le mode d’écriture mathématique, l’opération pour rappeler le contenu de la mémoire de réponse est différente de l’opération requise dans le mode d’écriture linéaire. Pour plus de détails, voir « Fonction historique » (page 1-19). • Lors de la réalisation d’une opération qui affecte une valeur à une mémoire Alpha (tel que faal(B)w), le contenu de la mémoire de réponse est mis à jour dans le mode d’écriture mathématique mais pas dans le mode d’écriture linéaire.
La mémoire de réponse permet d’utiliser le résultat d’un calcul comme argument dans le calcul suivant. Exemple
u Pour définir le nombre de chiffres significatifs (Sci) Exemple
• Le contenu de chaque menu de fonctions varie selon le mode que vous avez choisi sur le menu principal avant d’avoir appuyé sur la touche K. Les exemples suivants indiquent les menus de fonctions qui apparaissent dans le mode RUN • MAT (ou RUN) ou PRGM.
• {t(} ... {valeur de la variante réduite t(x)}
• {Intg} ... {sélectionnez ce paramètre et saisissez une valeur pour obtenir le plus grand entier qui n’est pas supérieur à cette valeur} • {RndFi} ... {arrondit la valeur utilisée pour les calculs internes aux chiffres spécifiés (0 à 9) (voir page 2-2).} • {GCD} ... {le plus grand commun diviseur de deux valeurs} • {LCM} ... {le plus petit commun multiple de deux valeurs} • {MOD} ... {reste d’une division (le reste obtenu quand n est divisé par m)} • {MOD • E} ... {reste d’une division sur une valeur de puissance (le reste obtenu quand n est élévé à la puissance p et ensuite divisé par m)}
[OPTN]-[ANGL] sexagésimale (ANGL) • {°}/{r}/{g} ... {degré}/{radian}/{grade} pour une valeur saisie particulière • {° ’ ”} ... {définit les degrés (heures), minutes, secondes lors de la saisie de valeurs exprimées en degrés, minutes ou secondes} • {° ’ ”} ... {convertit la valeur décimale en degrés/minutes/secondes} • Les opérations de menus {° ’ ”} ne sont disponibles que si un résultat de calcul est affiché. • {Pol(}/{Rec(} ... conversion de coordonnées {rectangulaires en polaires}/{polaires en rectangulaires} • {'DMS} ... {convertit une valeur décimale en valeur sexagésimale}
• Les opérations de menus {ENG} et {ENG} ne sont disponibles que si un résultat de calcul est affiché.
RanNorm# (, [,n])
Exemple • Pour permuter entre la notation anglo-saxonne et la notation française, il faut appuyer sur les touches !f*(>). * GRAPH25+ E II : F
Introduisez les symboles d’ingénierie sur le menu de notation d’ingénierie. • Veillez à spécifier Comp pour Mode sur l’écran de configuration. Exemple
Dans sa configuration initiale de paramètres par défaut, cette calculatrice simplifie automatiquement les résultats des calculs de fractions avant de les afficher. Avant d’essayer les exemples suivants, utilisez l’écran de configuration pour changer le paramètre « Simplify » de « Auto » vers « Manual » (page 1-34). • Lorsque dans l’écran de configuration le paramètre « Complex Mode » a été spécifié à « a+bi » ou « r ∠ θ », les résultats des calculs de fractions sont toujours simplifiés avant l’affichage, même si le paramètre « Simplify » a été spécifié à « Manual ». • Si vous voulez simplifier les fractions manuellement (Simplify : Manual), assurez vous que « Real » soit sélectionnée pour le paramètre « Complex Mode ».
EQUA. Cette méthode est recommandée pour la saisie de la plupart des fonctions de résolution ordinaires. Une erreur « Hors délai » se produit lorsqu’il n’y a pas de convergence dans la solution. Pour le détail sur les calculs de résolution, voir page 4-4. • Vous ne pouvez pas utiliser une valeur de différentielle quadratique, Σ, valeur maximale/ minimale ou une expression de calcul de résolution dans les fonctions ci-dessus. • Le fait d’appuyer sur A pendant le calcul de résolution (lorsque le curseur n’est pas affiché à l’écran) interrompt le calcul. 2-24
• L’expression « terme partie gauche[=terme partie droite] » correspond à l’expression à résoudre. Les variables supportées vont de A jusqu’à Z, r et θ. Quand le terme de la partie droite est omis, la résolution est efectuée avec terme partie droite = 0. • La variable spécifie sur quelle variable dans l’expression doit se porter la résolution (de A à Z, r, θ). L’omission de la spécification de la variable à résoudre provoque l’utilisation d’office de la variable X. • Les limites inférieure et supérieure spécifient la plage de la solution. Vous pouvez saisir une valeur ou une expression comme plage. • Les fonctions suivantes ne peuvent être utilisées dans aucun des arguments. Solve(, d2/dx2, FMin(, FMax(, Σ( On peut afficher simultanément dans le format de ListAns les résultats de jusqu’à 10 calculs. • Quand il n’y a pas de solution, s’affiche le message « Aucune solution ». • Le message « Plusieurs solutions peuvent exister. » s’affiche quand il est possible l’existence d’autres solutions que celles affichées par SolvN. Exemple
• L’omission de la valeur de tolérance (tol) lorsque la commande différentielle est utilisée à l’intérieur d’une fonction graphique simplifie le calcul pour le tracé du graphe. Dans ce cas, la précision est sacrifiée pour obtenir un tracé plus rapide. La valeur de tolérance est définie et le graphe est tracé avec la précision que vous obtenez lors de l’exécution d’un calcul différentiel. • Vous pouvez aussi omettre le point de dérivée en utilisant la formule de graphe différentiel suivante: Y2=d/dx(Y1). Dans ce cas, la valeur de la variable X est utilisée comme point de dérivée.
• Dans la fonction f(x), seule X peut être utilisée comme variable dans les expressions. Les autres variables (A à Z sans X, r, ) sont traitées comme constantes, et la valeur affectée à cette variable est appliquée au cours du calcul. • La valeur de tolérance (tol) et la fermeture de parenthèses peuvent être omises. Si vous omettez la valeur de tolérance (tol) la calculatrice utilisera automatiquement tol = 1E–10 comme valeur. • Indiquez la valeur 1E–14 ou une valeur supérieure comme tolérance (tol). Une erreur (Hors délai) se produira si aucune solution satisfaisant la valeur de tolérance ne peut être obtenue. • Le fait d’appuyer sur A pendant le calcul de différentielle (lorsque le curseur n’est pas affiché à l’écran) interrompt le calcul. • Les résultats inexacts et les erreurs peuvent être causés par les problèmes suivants : - Points discontinus dans les valeurs x - Changements extrêmes des valeurs de x - Inclusion d’un point maximal local et d’un point minimal local dans les valeurs x - Inclusion d’un point d’inflexion dans les valeurs x - Inclusion de points non différentiables dans les valeurs x - Résultat de calculs différentiels proche de zéro 2-26
• Vous ne pouvez pas utiliser d’expression avec calcul de différentielle, différentielle quadratique, intégration, Σ, valeur maximale/minimale, résolution, RndFix ou logab à l’intérieur d’un terme du calcul différentiel. • Dans le mode d’écriture mathématique, la tolérance est fixée à 1E–10 et ne peut pas être changée.
• Dans la fonction f(x), seule X peut être utilisée comme variable dans les expressions. Toutes les autres variables (A à Z sans X, r, ) sont traitées comme constantes et la valeur actuellement attribuée à cette variable est utilisée pendant le calcul. • La valeur de tolérance (tol) et la fermeture de parenthèses peuvent être omises. • Indiquez la valeur 1E–14 ou une valeur supérieure comme tolérance (tol). Une erreur (Hors délai) se produira si aucune solution satisfaisant la valeur de tolérance ne peut être obtenue. • Les règles valides pour le calcul de différentielle linéaire sont aussi valides lorsqu’un calcul de différentielle quadratique est utilisé pour la formule d’une courbe (voir page 2-25). 2-27
- Points discontinus dans les valeurs x - Changements extrêmes des valeurs de x - Inclusion d’un point maximal local et d’un point minimal local dans les valeurs x - Inclusion d’un point d’inflexion dans les valeurs x - Inclusion de points non différentiables dans les valeurs x - Résultat de calculs différentiels proche de zéro • Vous pouvez interrompre un calcul de différentielle quadratique en cours en appuyant sur la touche A. • Utilisez toujours les radians (mode Rad) comme unité d’angle quand vous effectuez des différentielles quadratiques trigonométriques. • Vous ne pouvez pas utiliser d’expression avec calcul de différentielle, différentielle quadratique, intégration, Σ, valeur maximale/minimale, résolution, RndFix ou logab à l’intérieur d’un terme du calcul de différentielle quadratique. • Dans les calculs de différentielles quadratiques, la précision des calculs est de cinq chiffres pour la mantisse. • Dans le mode d’écriture mathématique, la tolérance est fixée à 1E–10 et ne peut pas être changée. [OPTN]-[CALC]-[∫dx]
Notez les points suivants pour obtenir de bonnes valeurs d’intégration. (1) Lorsque les fonctions cycliques pour les valeurs d’intégration deviennent positives ou négatives pour différentes divisions, effectuez le calcul pour des cycles uniques ou divisez entre négatif et positif, puis ajoutez les résultats.
• Comme que une intégration numérique est utilisée, une erreur importante peut entraîner des valeurs d’intégration calculées en raison du contenu de f(x), des valeurs positives et négatives dans l’intervalle d’intégration ou l’intervalle en cours d’intégration. (Exemples : lorsqu’il existe des parties avec des points discontinus ou un changement abrupt ; lorsque l’intervalle d’intégration est trop grand.) Dans de tels cas, la division de l’intervalle d’intégration en plusieurs parties, puis l’exécution des calculs peut améliorer la précision des calculs. 2-29
• Il est inutile d’indiquer la valeur « tol » et de fermer la parenthèse. Si vous n’indiquez pas la valeur « tol », la calculatrice utilisera automatiquement 1E–5 comme valeur par défaut. • Les calculs d’intégration peuvent prendre un certain temps. • Vous ne pouvez pas utiliser d’expression avec calcul de différentielle, différentielle quadratique, intégration, Σ, valeur maximale/minimale, résolution, RndFix ou logab à l’intérieur d’un terme du calcul d’intégration. • Dans le mode d’écriture mathématique, la tolérance est fixée à 1E–5 et ne peut pas être changée.
• Vous pouvez utiliser seulement une variable dans cette fonction comme suite ak. • Saisissez des nombres entiers seulement pour le terme initial (α) de la suite ak et le dernier terme (β) de la suite ak. • La saisie de n et la fermeture de parenthèses peuvent être omises. Si vous omettez n, la calculatrice utilisera automatiquement n = 1. • La valeur utilisée comme terme final β doit être supérieure à la valeur utilisée comme terme initial α. Sinon, une erreur se produit. • Pour interrompre un calcul de Σ en cours (indiqué par l’absence de curseur sur l’écran), appuyez sur la touche A. • Vous ne pouvez pas utiliser d’expression avec calcul de différentielle, différentielle quadratique, intégration, Σ, valeur maximale/minimale, résolution, RndFix ou logab à l’intérieur d’un terme du calcul de Σ. • Dans le mode d’écriture mathématique, la distance entre les partitions (n) est fixée à 1 et ne peut pas être changée. 2-30
• La saisie d’une valeur plus grande pour n augmente la précision du calcul, mais aussi le temps de calcul requis. • Le point final de l’intervalle (b) doit avoir une valeur supérieure à celle du point initial (a). Sinon, une erreur se produit. • Vous pouvez interrompre un calcul de valeurs maximale/minimale en cours en appuyant sur la touche A. • Vous pouvez utiliser un entier de 1 à 9 comme valeur de n. L’utilisation d’une valeur hors de cette plage cause une erreur. • Vous ne pouvez pas utiliser d’expression avec calcul de différentielle, différentielle quadratique, intégration, Σ, valeur maximale/minimale, résolution, RndFix ou logab à l’intérieur d’un terme du calcul des valeurs maximale et minimale.
• {a+bi} ... Exécution d’un calcul de nombre complexe et affichage des résultats par des coordonnées rectangulaires • {r∠} ... Exécution d’un calcul de nombre complexe et affichage des résultats par des coordonnées polaires*2 *1 Lorsque l’argument contient un nombre imaginaire, cependant, le calcul du nombre complexe est effectué et le résultat est affiché avec des coordonnées rectangulaires. Exemples: ln 2i
• Vous ne pouvez utiliser que des entiers dans les calculs binaires, octaux, décimaux et hexadécimaux, ce qui signifie que les valeurs fractionnaires ne sont pas admises. Si vous introduisez une valeur qui comprend une partie décimale, la calculatrice élimenera automatiquement la partie décimale. • Si vous essayez d’introduire une valeur invalide pour le système de notation (binaire, octale, décimale, hexadécimale) utilisé, la calculatrice affichera un message d’erreur. Voici les chiffres qui peuvent être utilisés dans chaque système de notation. Binaire : 0, 1 Octale : 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7 Décimale : 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9 3. Appuyez sur J pour changer d’écran pour la saisie du calcul. Un menu de fonctions apparaît avec les paramètres suivants. • {d~o}/{LOG}/{DISP} ... menu de {désignation du système numérique}/ {opérations à un bit}/{conversion décimale/hexadécimale/binaire/octale}
Vous pouvez spécifier le système décimal, hexadécimal, binaire ou octal sur l’écran de configuration.
Vous pouvez définir un système numérique pour chaque valeur que vous entrez. Appuyez sur 1(d~o) pour afficher un menu de symboles représentant les systèmes numériques. Appuyez sur la touche de fonction correspondant au symbole que vous voulez sélectionner et indiquez la valeur souhaitée. • {d}/{h}/{b}/{o} ... {décimal}/{hexadécimal}/{binaire}/{octal}
Exemple *2 complément de un (complément des bits) *3 AND des bits, OR des bits, XOR des bits, XNOR des bits
Exemple Dans le cas de la base décimale, les valeurs négatives sont pourvues du signe moins.
!m(SET UP) u Pour convertir une valeur affichée d’un système numérique dans un autre Exemple Mat Z) et à la mémoire matricielle de dernier résultat (MatAns). • Addition, soustraction, multiplication • Calculs de produits des valeurs • Calculs de déterminant • Transposition d’une matrice • Inversion d’une matrice • Élévation d’une matrice au carré • Élévation d’une matrice à une puissance • Calculs de valeur absolue, extraction de la partie entière, extraction de la partie fractionnaire d’un nombre, nombre entier maximal • Saisir des nombres complexes dans les éléments d’une matrice et utilisation de fonctions relatives aux nombres complexes • Modification de matrices à l’aide des commandes de matrice Le nombre maximal de lignes pouvant être spécifiées pour une matrice est 999 et le nombre maximal de colonnes est également 999. Au sujet de la mémoire matricielle de dernier résultat (MatAns) • La calculatrice stocke automatiquement les résultats de calculs matriciels dans la mémoire matricielle. Il faut noter les points suivants concernant la mémoire matricielle de dernier résultat. • Quand vous effectuez un calcul avec matrice, le contenu de la mémoire matricielle est remplacé par le nouveau résultat. Le contenu précédent est effacé et ne peut pas être récupéré. • L’introduction de valeurs dans une matrice n’affecte pas le contenu de la mémoire matricielle de dernier résultat. • Lorsque le résultat d’un calcul matriciel est m (lignes) × 1 (colonne) ou 1 (ligne) × n (colonnes), le résultat du calcul est également stocké dans la mémoire vectorielle de dernier résultat (VctAns).
• Le changement de dimensions d’une matrice aura pour effet d’en supprimer le contenu. • Si « Erreur mémoire » reste à côté du nom de la zone de matrice après l’introduction des dimensions, c’est que la mémoire n’est pas suffisante pour créer la matrice souhaitée.
• Les valeurs affichées des éléments indiquent des nombres entiers positifs de six chiffres au maximum et des nombres entiers négatifs de cinq chiffres (un chiffre est utilisé pour le signe négatif). Les valeurs exponentielles sont indiquées avec au plus deux chiffres pour l’exposant. Les valeurs fractionnaires ne sont pas affichées.
Vous pouvez supprimer une matrice particulière ou toutes les matrices en mémoire.
1. Quand l’éditeur de matrices est à l’écran, utilisez f et c pour mettre la matrice que vous voulez supprimer en surbrillance. 2. Appuyez sur 1(DEL). 3. Appuyez sur 1(Oui) pour supprimer la matrice ou sur 6(Non) pour abandonner l’opération sans rien supprimer.
1. Quand l’éditeur de matrices est à l’écran, appuyez sur 2(DEL • A). 2. Appuyez sur 1(Oui) pour supprimer toutes les matrices de la mémoire ou sur 6(Non) pour abandonner l’opération sans rien supprimer.
Procédez de la manière suivante pour préparer une matrice avant d’effectuer une opération. 1. Quand l’éditeur de matrices est à l’écran, utilisez f et c pour mettre le nom de la matrice que vous voulez utiliser en surbrillance. Vous pouvez sauter à une matrice particulière en indiquant la lettre du nom de la matrice. Si vous indiquez ai(N), par exemple, vous sauterez à la matrice N. Pour accéder la mémoire de matrice, appuyez sur !-(Ans).
• {R • OP} ... {menu d’opérations sur les lignes} • {ROW} • {DEL}/{INS}/{ADD} ... {suppression}/{insertion}/{addition} de lignes • {COL} • {DEL}/{INS}/{ADD} ... {suppression}/{insertion}/{addition} de colonnes Le menu suivant apparaît si vous appuyez sur 1(R • OP) quand une matrice que vous avez rappelée est à l’écran. • {Swap} ... {échange de lignes} • {×Rw} ... {produit des valeurs d’une ligne donnée par un nombre} • {×Rw+} ... {addition du produit des valeurs d’une ligne donnée par un nombre et les valeurs d’une autre ligne} • {Rw+} ... {addition d’une ligne désignée et d’une autre ligne}
Exemple Spécifiez le numéro de la ligne. cww * Un nombre complexe peut être saisi aussi en tant que valeur de multiplicateur (k).
Spécifiez le numéro de la ligne dont le produit des valeurs doit être calculé. cw Spécifiez le numéro de la ligne dont le résultat doit être ajouté. dww * Un nombre complexe peut être entré aussi en tant que valeur de multiplicateur (k).
Exemple Spécifiez le numéro de la ligne à laquelle vous ajoutez la première ligne. dww
• {DEL} ... {suppression d’une ligne} • {INS} ... {insertion d’une ligne} u Pour importer le contenu d’un fichier CSV dans une mémoire matricielle 1. Préparez le fichier CSV que vous voulez importer. • Voir « Exigences pour l’importation d’un fichier CSV » (page 3-14). 2. Quand l’éditeur de matrices est à l’écran, mettez en surbrillance le nom de la matrice dans laquelle vous voulez importer le fichier CSV avec f et c. • Si la matrice sélectionnée contient déjà des données, les étapes suivantes provoqueront le replacement du contenu actuel par le données du fichier CSV nouvellement importé. 3. Appuyez sur 4(CSV)1(LOAD). 2-43
• Le contenu du fichier CSV sélectionné est alors importé dans la mémoire matricielle.
Une tentative d’importation des types de fichiers CSV suivants provoquera une erreur. • Un fichier CSV qui contient des données ne pouvant être converties. Un message d’erreur s’affiche alors, indiquant l’emplacement dans le fichier CSV (exemple : ligne 2, colonne 3) où se trouvent les données qui ne peuvent pas être converties. • Un fichier CSV contenant plus de 999 colonnes ou 999 lignes. L’erreur indiquée dans ce cas est « Taille invalide ».
1. Quand l’éditeur de matrices est à l’écran, mettez en surbrillance le nom de la matrice que vous voulez enregistrer en tant que fichier CSV avec f et c. 2. Appuyez sur 4(CSV)2(SV • AS). • Un écran de sélection de dossier s’affiche alors. 3. Sélectionnez le dossier dans lequel vous voulez enregistrer le fichier CSV. • Pour enregistrer le fichier CSV dans le répertoire racine, mettez « ROOT » en surbrillance. • Pour enregistrer le fichier CSV dans un dossier, mettez le dossier souhaité en surbrillance avec f et c et appuyez sur 1(OPEN). 4. Appuyez sur 1(SV • AS). 5. Saisissez jusqu’à huit caractères pour le nom du fichier et appuyez ensuite sur w.
• Lors de l’enregistrement des données d’une matrice dans un fichier CSV, certaines données sont converties comme indiqué ci-dessous. - Données à nombre complexe : seule la partie réelle est extraite. - Données en fraction : converties au format ligne de calcul (exemple : 2{3{4 → =2+3/4) - Données ' et π : converties en une valeur décimale (exemple : ' 3 → 1.732050808)
1. Depuis le menu principal, accédez au mode RUN • MAT. 2. Appuyez sur K pour afficher le menu d’options. 3. Appuyez sur 2(MAT) pour afficher le menu de commandes de matrice.
• {Mat} ... {commande Mat (spécification de a matrice)} • {M→L} ... {Commande Ma→List (affectation du contenu de la colonne sélectionnée à un fichier liste)} • {Aug} ... {commande Augment (liaison de deux matrices)} • {Iden} ... {commande Identity (entrée de matrice unité)} • {Dim} ... {commande Dim (contrôle de dimensions)} • {Fill} ... {commande Fill (valeurs d’éléments identiques)} • Vous pouvez aussi utiliser !c(Mat) au lieu de K2(MAT)1(Mat).
• Une erreur se produit si la mémoire est pleine quand vous introduisez des données. • Vous pouvez aussi utiliser le format précédent à l’intérieur d’un programme qui introduit des données de matrice.
Puisque le résultat de la commande Dim apparaît sous forme de liste, il est sauvegardé dans la mémoire ListAns. Vous pouvez aussi utiliser {Dim} pour définir les dimensions d’une matrice. Exemple 2
!*( )c,d!/( )a Utilisez la commande Fill pour remplir tous les éléments d’une matrice existante par une valeur identique ou la commande Augment pour combiner deux matrices existantes en une seule. Exemple 1
K2(MAT)6(g)3(Fill) d,6(g)1(Mat)av(A)w Ici, α, β, et γ sont des noms de variables A à Z et n est une valeur quelconque. L’opération précédente n’affecte pas le contenu de la mémoire matricielle de dernier résultat. • La commande « Augment » peut être utilisée pour fusionner deux vecteurs en une seule matrice.
m = numéro de la colonne n = numéro de la liste
1. Depuis le menu principal, accédez au mode RUN • MAT. 2. Appuyez sur K pour afficher le menu d’options. 3. Appuyez sur 2(MAT) pour afficher le menu de commandes de matrice. Seules les commandes de matrice qui sont utilisées pour les opérations arithmétiques sont décrites ici. • {Mat} ... {commande Mat (spécification de la matrice)} • {Det} ... {commande Det (commande de déterminant)} • {Trn} ... {commande Trn (commande de transposition de matrice)} • {Iden} ... {commande Identity (entrée de matrice unité)} • {Ref} ... {commande Ref (commande de forme échelonnée par rapport aux lignes)} • {Rref} ... {commande Rref (commande de forme échelonnée réduite par rapport aux lignes)} Tous les exemples suivants présupposent que les données matricielles sont déjà enregistrées dans la mémoire.
Exemple • La précision du calcul est affectée pour les matrices dont le déterminant est proche de zéro. 2-50
A A–1 = A–1 A = E = • Les opérations sur une matrice sont effectuées séparément pour chaque élément, si bien que les calculs peuvent prendre un temps considérable pour aboutir au résultat. • La précision de calcul des résultats affichés pour les calculs matriciels est de ±1 au chiffre le moins significatif. • Si le résultat d’un calcul matriciel est trop long pour entrer dans la mémoire matricielle de dernier résultat, une erreur se produira. • Vous pouvez utiliser l’opération suivante pour transférer le contenu de la mémoire matricielle de dernier résultat dans une autre matrice (ou quand la mémoire de réponse matricielle contient un déterminant pour une variable). MatAns → Mat α Ici, α est un nom de variable de A à Z. L’opération précédente n’affecte pas le contenu de la mémoire matricielle de dernier résultat.
RUN • MAT et appuyez sur 1('MAT)6(M↔V). Un vecteur est défini comme une matrice se présentant sous l’une des deux formes suivantes : m (lignes) × 1 (colonne) ou 1 (ligne) × n (colonnes). La valeur maximale autorisée qui peut être spécifiée pour m et n est de 999. Vous pouvez utiliser les 26 mémoires vectorielles (Vct A à Vct Z) plus une mémoire vectorielle de dernier résultat (VctAns) pour procéder aux calculs vectoriels indiqués ci-dessous. • Addition, soustraction, multiplication • Calculs scalaires multiples • Calculs de produits scalaires • Calculs de produits vectoriels La calculatrice mémorise automatiquement le résultat des calculs vectoriels dans la mémoire vectorielle de dernier résultat. Veuillez noter les précautions suivantes relatives à la mémoire vectorielle de dernier résultat. • Chaque fois que vous effectuez un calcul vectoriel, le contenu de la mémoire vectorielle de dernier résultat est remplacé par le nouveau résultat. Le contenu précédent est supprimé et ne peut pas être récupéré. • La saisie de valeurs dans un vecteur n’affecte pas le contenu de la mémoire vectorielle de dernier résultat. • Le résultat des calculs vectoriels est également stocké dans la mémoire vectorielle de dernier résultat (MatAns)
Appuyer sur 1('MAT)6(M↔V) permet d’afficher l’écran de l’éditeur de vecteurs. Utilisez l’éditeur de vecteurs pour saisir et modifier des vecteurs.
None ... pas de préréglage de vecteur • {DEL}/{DEL • A} ... supprime {un vecteur spécifique}/{tous les vecteurs} • {DIM} ... spécifie les dimensions du vecteur (m lignes × 1 colonne ou 1 ligne × n colonnes) • {M↔V} ... affiche l’écran de l’éditeur de matrices (page 2-39) La saisie et l’édition de vecteurs et les opérations sur les cellules (éléments) sont identiques aux opérations des calculs matriciels. Pour de plus amples informations, reportez-vous à « Saisie et édition de calculs matriciels » (page 2-39) et « Opérations sur les éléments d’une matrice » (page 2-40). Veuillez cependant noter que les calculs vectoriels diffèrent des calculs matriciels, comme expliqué ci-dessous. • Sur l’écran de saisie des éléments de la mémoire vectorielle, le menu de fonctions ne comporte pas 1(R • OP). • Pour l’édition vectorielle, la dimension est toujours limitée à m lignes × 1 colonne ou 1 ligne × n colonnes.
Utilisez le menu de commande des vecteurs pour procéder au calcul vectoriel.
1. Dans le menu principal, accédez au mode RUN • MAT. 2. Appuyez sur K pour afficher le menu des options. 2-53
• La précision des calculs des résultats affichés pour les calculs vectoriels est de ±1 sur le chiffre le moins significatif. • Une erreur survient si le résultat d’un calcul vectoriel est trop grand pour tenir dans la mémoire vectorielle de dernier résultat. • Vous pouvez utiliser l’opération suivante pour transférer le contenu de la mémoire vectorielle de dernier résultat dans un autre lecteur. VctAns → Vct Ci-dessus, représente le nom de n’importe quelle variable de A à Z. L’opération ci-dessus n’affecte pas le contenu de la mémoire vectorielle de dernier résultat. • La mémoire vectorielle et la mémoire matricielle sont compatibles l’une avec l’autre, de sorte que le contenu de la mémoire vectorielle peut être affecté à la mémoire matricielle si vous le souhaitez. Vct → Mat Ci-dessus, et représente n’importe quel nom de variable de A à Z.
• Vous pouvez également utiliser le format ci-dessus dans un programme qui saisit des données vectorielles. Tous les exemples suivants supposent que les données vectorielles sont déjà stockées en mémoire.
• ' correspond à une commande qui lie les deux commandes de conversion. Cette commande est toujours disponible sous 1(') dans le menu de conversion. • Des nombres réels ou une liste qui contient seulement des nombres réels comme éléments peuvent être utilisés comme valeurs à convertir. Quand les valeurs à convertir sont saisies dans une liste (ou quand une mémoire de liste est spécifiée), le calcul de conversion est effectué sur chaque élément de la liste et les résultats du calcul sont retournés en format de liste (écran ListAns). • Un nombre complexe ne peut être utilisé comme valeur à convertir. Une erreur se produit, même si un seul élément d’une liste utilisée comme valeur à convertir contient un nombre complexe. Exemple 1
u Pour introduire des valeurs une à une Utilisez les touches du pavé directionnel pour mettre la surbrillance sur le nom, le nom secondaire ou l’élément de la liste que vous voulez sélectionner. Notez que c ne déplace pas le surlignage sur un élément ne contenant pas de valeur.
Dans l’opération suivante, on part de l’élément 1 de la liste 1, qui a été mis en surbrillance. 1. Saisissez une valeur et appuyez sur w pour la stocker dans la liste. dw • La surbrillance va automatiquement sur l’élément suivant. 2. Saisissez la valeur 4 dans le second élément, puis le résultat de 2 + 3 dans l’élément suivant. ewc+dw
!/( } ) après avoir saisi la dernière valeur. !*( { )g,x,i!/( } ) 3. Appuyez sur w pour stocker toutes les valeurs dans votre liste. w
Mauvais : {34, 53, 78,} Vous pouvez aussi utiliser des noms de listes dans une expression mathématique pour introduire des valeurs dans un autre élément. L’exemple suivant indique comment ajouter les valeurs de chaque ligne des listes 1 et 2, et comment transférer le résultat dans la liste 3. 1. Utilisez les touches du pavé directionnel pour amener la surbrillance sur le nom de la liste où vous voulez introduire le résultat du calcul. 2. Appuyez sur la touche K et introduisez l’expression. K1(LIST)1(List)b+ K1(LIST)1(List)cw
1. Utilisez les touches du pavé directionnel pour amener la surbrillance sur l’élément dont vous voulez éditer le contenu. 2. Appuyez sur 6(g)2(EDIT). 3. Changez les données souhaitées.
1. Utilisez les touches du pavé directionnel pour amener la surbrillance sur l’élément que vous voulez effacer. 2. Appuyez sur 6(g)3(DEL) pour supprimer l’élément sélectionné et faire remonter toutes les valeurs qui se trouvent en dessous. • La suppression d’un élément n’affecte pas les éléments des autres listes. Si la donnée de la liste dont vous avez supprimé un élément est en relation avec des données de listes voisines, la suppression d’un élément peut causer un mauvais alignement des valeurs correspondantes.
Procédez comme suit pour supprimer toutes les données d’une liste. 1. Utilisez les touches du pavé directionnel pour amener la surbrillance sur un élément quelconque de la liste dont vous voulez supprimer les données. 2. En appuyant sur 6(g)4(DEL • A) un message de confirmation apparaît. 3. Appuyez sur 1(Oui) pour supprimer tous les éléments de la liste sélectionnée ou sur 6(Non) pour abandonner l’opération sans rien supprimer.
1. Utilisez les touches du pavé directionnel pour amener la surbrillance à l’endroit où vous voulez insérer un nouvel élément. 2. Appuyez sur 6(g)5(INS) pour insérer un nouvel élément, qui contient la valeur 0. Tout ce qui se trouve en dessous est décalé vers le bas. • L’insertion d’un élément n’affecte pas les éléments des autres listes. Si la donnée de la liste où vous avez inséré un élément est en relation avec des données de listes voisines, l’insertion d’un élément peut être à l’origine d’un mauvais alignement des valeurs correspondantes.
Vous pouvez désigner les listes 1 à 26 par des « noms secondaires » de huit octets chacun.
1. Accédez à l’écran de configuration, surlignez « Sub Name » et appuyez sur 1(On)J.
• Pour taper un nom avec les caractères alphabétiques, appuyez sur !a pour accéder au mode ALPHA-LOCK. Exemple: YEAR -(Y)c(E)v(A)g(R)w
Name » sur l’écran de configuration.
Les valeurs d’une liste peuvent être triées par ordre ascendant ou descendant. La surbrillance peut se trouver sur n’importe quel élément de la liste.
Ordre ascendant 1. Lorsque les listes sont affichées, appuyez sur 6(g)1(TOOL)1(SRT • A). 2. Le message « Combien de listes?: » apparaît pour vous demander combien de listes vous voulez trier. Nous indiquons ici 1 car une seule liste doit être triée. bw 3. Répondez au message « Sélectionner la liste List No: » en indiquant le numéro de la liste qui doit être triée. bw
3. Répondez au message « Sélectionner Liste de base List No: » en indiquant le numéro de la liste qui doit être triée dans l’ordre ascendant. Ici nous désignons la liste 1. bw 4. Répondez au message « Sélectionner Seconde liste List No: » en indiquant le numéro de la liste que vous voulez mettre en relation. Ici nous désignons la liste 2. cw Ordre descendant Procédez de la même façon que pour le tri dans l’ordre ascendant. Mais vous devez appuyer sur 2(SRT • D) à la place de 1(SRT • A). • Vous pouvez spécifier une valeur de 1 à 6 pour le nombre de listes à trier. • Si vous spécifiez plus d’une fois une liste pour un seul tri, une erreur se produira. Une erreur se produira également si les listes devant être triées n’ont pas le même nombre de valeurs (lignes).
Les données des listes peuvent être utilisées dans les calculs arithmétiques et de fonctions. Différentes fonctions permettent de traiter facilement et rapidement les données des listes. Vous pouvez utiliser les fonctions de traitement de données de listes dans les modes RUN • MAT (ou RUN), STAT, TABLE, EQUA et PRGM.
Tous les exemples suivants sont exécutés à partir du mode RUN • MAT (ou RUN). Appuyez sur K puis sur 1(LIST) pour afficher le menu de traitement des données de listes qui contient les paramètres suivants. • {List}/{L→M}/{Dim}/{Fill}/{Seq}/{Min}/{Max}/{Mean}/{Med}/{Aug}/{Sum}/{Prod}/{Cuml}/ {%}/{A} 3-5 (Ne sont pas inclus sur la GRAPH25+ E II) K1(LIST)2(L→M)1(List) <numéro de liste 1-26> ,1(List) <numéro de liste 1-26> ... ,1(List) <numéro de liste 1-26> )w • Vous pouvez omettre 1(List) dans la partie de l’opération précédente. • Toutes les listes doivent contenir le même nombre d’éléments de données. Si ce n’est pas le cas, une erreur se produira. Exemple: List → Mat (1, 2)w Exemple
<nombre de données n>aK1(LIST)3(Dim)1(List) <numéro de liste 1 - 26>w (n = 1 - 999) Exemple
• Le résultat de cette opération est sauvegardé dans la mémoire ListAns. 3-7
K1(LIST)6(g)4(Med)6(g)6(g)1(List) <numéro de liste 1 - 26 (donnée)> , 1(List) <numéro de liste 1 - 26 (effectif)>)w Exemple
• Le résultat de cette opération est sauvegardé dans la mémoire ListAns. Exemple
6, 5, 4) • Une erreur se produit si vous exécutez AList pour une liste qui ne contient aucune donnée ou une seule donnée.
Vous pouvez effectuer des calculs arithmétiques à partir d’une ou deux listes et d’une valeur numérique. Mémoire de dernier résultat (ListAns) + Liste − Liste Les résultats du calcul sont = Il existe trois méthodes pour introduire une liste dans un calcul. • Spécification du numéro d’une liste créée avec l’éditeur de liste. • Spécification du nom secondaire d’une liste créée avec l’éditeur de liste. • Saisie directe d’une liste de valeurs.
1. Dans le mode RUN • MAT (ou RUN), effectuez l’opération de touches suivante. AK1(LIST)1(List) • Saisissez la commande « List ». 2. Saisissez le numéro de la liste (un entier entre 1 et 26) que vous désirez spécifier.
1. Dans le mode RUN • MAT (ou RUN), effectuez l’opération de touches suivante. AK1(LIST)1(List) • Saisissez la commande « List ». 2. Saisissez le nom secondaire de la liste que vous désirez spécifier, en le délimitant par des doubles guillemets (" "). Exemple: "QTY"
Vous pouvez aussi introduire directement une liste de valeurs avec {, } et ,. Exemple
!*( { )fg,ic, ge!/( } ) Affecter le contenu de la liste 3 (41, 65, 22) à la liste 1 K1(LIST)1(List)da1(List)bw Vous pouvez entrer une valeur dans un élément particulier d’une liste. La valeur qui était inscrite dans cet élément est remplacée par la nouvelle valeur. Exemple
Quand vous utilisez les fonctions graphiques de la calculatrice, vous pouvez introduire une fonction du type : Y1 = List 1X. Si la liste 1 contient les valeurs 1, 2, 3, cette fonction produira trois graphes : Y = X, Y = 2X, Y = 3X. Il existe certaines restrictions quand les listes sont utilisées avec les fonctions graphiques.
Vous pouvez utiliser les fonctions de génération de table numérique dans le mode TABLE pour introduire des valeurs résultant de certains calculs scientifiques dans une liste. Créez auparavant une table, puis utilisez la fonction de copie de liste pour copier les valeurs de la table dans la liste. Exemple
(Y1 = x2 – 1), puis copiez la table dans la liste 1 du mode STAT
2. Créez la table numérique.
4. Appuyez sur K1(LMEM).
6. Accédez au mode STAT pour vous assurer que la colonne Y1 du mode TABLE a été copiée dans la liste 1.
Les listes peuvent être utilisées au même titre que les valeurs numériques pour le calcul de fonctions scientifiques. Quand le résultat d’un calcul est une liste, la liste est stockée dans la mémoire de dernier résultat (ListAns).
u Pour passer d’un fichier de listes à un autre 1. A partir du menu principal, accédez au mode STAT. Appuyez sur !m(SET UP) pour afficher l’écran de configuration du mode STAT.
3. Appuyez sur 1(FILE) et indiquez le numéro du fichier de listes que vous voulez utiliser. Exemple
1(FILE)d k Exigences pour l’importation d’un fichier CSV Vous pouvez utiliser pour l’importation un fichier CSV qui a été produit par l’éditeur de liste, l’éditeur de matrice (page 2-39) ou un tableur (page 9-3), ou encore un fichier CSV qui a été transféré d’un ordinateur vers la mémoire de stockage. L’importation des fichiers CSV suivants est prise en charge. • Un fichier CSV qui utilise la virgule ( , ) ou un point virgule ( ; ) comme séparateur et le point ( . ) ou une virgule ( , ) comme point décimal. Un fichier CSV qui utilise la tabulation comme séparateur n’est pas pris en charge. • Les codes de saut de ligne reconnus sont CR, LF et CRLF. 3-14
Voir le « Chapitre 13 Communication de données » pour plus d’informations sur le transfert de fichiers d’un ordinateur vers la calculatrice.
1. Préparez le fichier CSV que vous voulez importer. • Voir « Exigences pour l’importation d’un fichier CSV » (page 3-14). 2. Lorsque l’éditeur de liste est à l’écran, appuyez sur 6(g)6(g)1(CSV) pour afficher le menu des fonctions CSV. 3. L’opération suivante dépend du type d’importation de fichier CSV que vous voulez effectuer. Pour commencer l’importation à partir d’une ligne spécifique :
• Le contenu du fichier CSV sélectionné est alors importé dans l’éditeur de liste. • Si vous avez appuyé sur 1(LOAD)1(LIST) à l’étape 3, l’importation commence à la ligne dans laquelle se trouve la cellule en surbrillance et le nombre de lignes de l’éditeur de liste qui sont réécrites correspond au nombre de lignes dans le fichier CSV. Exemples Contenu original de l’éditeur de liste Liste 1
1. Lorsque l’éditeur de liste est à l’écran, appuyez sur 6(g)6(g)1(CSV) pour afficher le menu des fonctions CSV. 2. Appuyez sur 2(SV • AS). • Un écran de sélection de dossier s’affiche alors. 3. Sélectionnez le dossier dans lequel vous voulez enregistrer le fichier CSV. • Pour enregistrer le fichier CSV dans le répertoire racine, mettez « ROOT » en surbrillance. • Pour enregistrer le fichier CSV dans un dossier, mettez le dossier souhaité en surbrillance avec f et c et appuyez sur 1(OPEN). 4. Appuyez sur 1(SV • AS). 5. Saisissez jusqu’à huit caractères pour le nom du fichier et appuyez ensuite sur w.
• La ligne du nom secondaire de l’éditeur de liste n’est pas enregistrée dans le fichier CSV. • Lors de l’enregistrement des données d’une liste dans un fichier CSV, certaines données sont converties comme indiqué ci-dessous. - Données à nombre complexe : seule la partie réelle est extraite. - Données en fraction : converties au format ligne de calcul (exemple : 2{3{4 → =2+3/4) - Données ' et π : converties en une valeur décimale (exemple : ' 3 → 1.732050808)
2. Appuyez sur 3(SET). • L’écran de paramétrage du format CSV s’affiche. 3. Mettez « Séparateur CSV » en surbrillance à l’aide des touches f et c, puis appuyez sur 1( , ) ou sur 2( ; ). 4. Mettez « Symbole décimal CSV » en surbrillance à l’aide des touches f et c, puis appuyez sur 1( . ) ou sur 2( , ). • Si vous avez spécifié 1( , ) à l’étape 3, vous ne pourrez pas spécifier 2( , ) ici. 5. Appuyez sur J une fois le paramétrage terminé.
• L’élément actuellement sélectionné est en surbrillance. Chaque fois que vous introduisez un coefficient, l’élément suivant est sélectionné dans l’ordre de :
• Vous pouvez aussi écrire des fractions et des valeurs affectées aux variables comme coefficients. • La valeur qui vient d’être saisie comme coefficient peut être annulée par une pression sur J dans la mesure où elle n’a pas été validée par la touche w. Le coefficient antérieur à la saisie réapparaît. Vous pouvez alors saisir le coefficient souhaité. • Pour changer la valeur d’un coefficient déjà validé par la touche w, utilisez le pavé directionnel pour amener la surbrillance sur le coefficient que vous voulez changer. Saisissez ensuite la valeur que vous voulez changer. • Appuyez sur 3(CLR) pour supprimer tous les coefficients. 4. Résolvez les équations. Exemple
4x + y – 2z = – 1 x + 6y + 3z = 1 • Une erreur se produit si la calculatrice est incapable de trouver une solution. • Lorsqu’un calcul est terminé, vous pouvez appuyer sur 1(REPT), changer les valeurs de coefficient, puis recalculer.
Votre calculatrice peut être utilisée pour résoudre des équations d’ordre supérieur, allant du 2ème au 6ème degré. • Équation quadratique : ax2 + bx + c = 0 (a 0) • Équation cubique : 3. Introduisez les coefficients l’un après l’autre. • L’élément actuellement sélectionné est en surbrillance. Chaque fois que vous introduisez un coefficient, l’élément suivant est sélectionné dans l’ordre de :
• Vous pouvez aussi écrire des fractions et des valeurs affectées aux variables comme coefficients. 4-2 J dans la mesure où elle n’a pas été validée par la touche w. Le coefficient antérieur à la saisie réapparaît. Vous pouvez alors saisir le coefficient souhaité. • Pour changer la valeur d’un coefficient déjà validé par la touche w, utilisez le pavé directionnel pour amener la surbrillance sur le coefficient que vous voulez changer. Saisissez ensuite la valeur que vous voulez changer. • Appuyez sur 3(CLR) pour supprimer tous les coefficients. 4. Résolvez les équations. Exemple
• Une erreur se produit si la calculatrice est incapable de trouver une solution. • Les calculs d’équations d’ordre supérieur peuvent produire des résultats peu précis lorsque l’équation a des solutions multiples. 4-3
• Si vous n’écrivez pas de signe égal, la calculatrice présume que l’expression est à gauche du signe égal et que la valeur à sa droite est zéro. • Une erreur se produit si vous écrivez plus d’un signe égal. 3. Dans la liste des variables qui apparaît sur l’écran, indiquez les valeurs de chaque variable. • Vous pouvez aussi désigner des valeurs dans Upper et Lower pour définir les limites supérieures et inférieures de la plage de solutions. • Une erreur se produit si la solution sort du domaine de définition. 4. Sélectionnez la variable de l’équation dont vous voulez obtenir une solution. « Lft » et « Rgt » indiquent les côtés gauche et droit qui sont calculés à partir de la solution.*1 *1 Les solutions sont calculées par l’approximation de la méthode de Newton. Les valeurs Lft et Rgt sont affichées pour être vérifiées car cette méthode peut produire des résultats qui correspondent à la solution réelle. Le degré d’erreur sera d’autant plus faible que la différence entre les valeurs Lft et Rgt se rapproche de zéro. Exemple
V lorsque H = 14 (mètres), T = 2 (secondes) et l’accélération terrestre est G = 9,8 (m/s2). H = VT – 1/2 GT2
1. Depuis le menu principal, accédez au mode GRAPH. 2. Saisissez la fonction que vous voulez représenter. Vous pouvez ici utiliser la fenêtre d’affichage pour définir la plage et d’autres paramètres du graphe. Voir page 5-3. 3. Tracez le graphe. Exemple
Vous pouvez sauvegarder jusqu’à 20 fonctions dans la mémoire et en sélectionner une pour la représenter. 1. Depuis le menu principal, accédez au mode GRAPH. 2. Spécifiez le type de fonction et saisissez la fonction dont vous voulez tracer le graphe. Vous pouvez utiliser le mode GRAPH pour tracer un graphe pour les types d’expressions suivantes : expression en coordonnées rectangulaires (Y=f(x)), expression en coordonnées polaires, équations paramétriques, expression en coordonnées rectangulaires (X=f(y)), inéquation. 5-1
6(g)1(Y>) à 4(Y≤) .... inéquation Y dans le terme de la partie gauche 6(g)6(g)1(X>) à 4(X≤) .... inéquation X dans le terme de la partie gauche Répétez cette étape le nombre de fois nécessaires pour enregistrer toutes les fonctions souhaitées. Vous devez ensuite indiquer la fonction que vous voulez représenter parmi celles qui ont été stockées dans la mémoire (voir page 5-7). Si vous ne sélectionnez pas de fonctions particulières ici, les graphes de toutes les fonctions stockées dans la mémoire seront tracés. 3. Tracez le graphe. • Pour sélectionner un des styles de ligne pour chaque graphe, vous pouvez utiliser le menu de fonction qui s’affiche en appuyant sur 4(STYL) dans l’étape 2 de la procédure ci-dessus. 1(
1. Depuis le menu principal, accédez au mode GRAPH. 2. Appuyez sur !3(V-WIN) pour afficher l’écran de réglage de la fenêtre d’affichage. Paramètre des coordonnées rectangulaires Xmin/Xmax … Abscisse minimale/maximale Xscale … Echelle de l’axe x Xdot … Pas de variation de l’axe x Ymin/Ymax … Ordonnée minimale/maximale Yscale … Echelle de l’axe y Paramètre des coordonnées polaires Tθ min/Tθ max ... Valeurs minimales/maximales de T, θ Tθ ptch ... Pas de T, θ 3. Appuyez sur c pour déplacer la surbrillance et saisissez la valeur appropriée pour chaque paramètre en appuyant sur w après chacun d’eux. • {INIT}/{TRIG}/{STD} … {réglages initiaux}/{réglages initiaux avec l’unité d’angle désignée}/ {réglages standard} de la fenêtre d’affichage • {STO}/{RCL} … {sauvegarde}/{rappel} des réglages de la fenêtre d’affichage Lorsque les réglages sont comme vous voulez, appuyez sur J ou !J(QUIT) pour sortir de l’écran de réglage de la fenêtre d’affichage.
• La saisie de zéro pour Tθ ptch entraîne une erreur.
• Si le réglage de la fenêtre d’affichage produit un axe qui ne rentre pas dans l’écran, l’échelle de l’axe sera indiquée au bord de l’écran le plus près possible de l’origine. • Le changement de réglage de la fenêtre d’affichage supprime le graphe affiché et le remplace par les nouveaux axes seulement. • Le changement de la valeur de Xmin ou Xmax entraîne automatiquement un ajustement de la valeur Xdot. Le changement de la valeur Xdot entraîne automatiquement un ajustement de la valeur Xmax. • Un graphe en coordonnées polaires (r =) ou d’équations paramétriques apparaîtra grossier si les réglages effectués dans la fenêtre d’affichage donne une valeur de pas Tθ ptch grande par rapport à l’écart entre les réglages Tθ min et Tθ max. D’autre part, si les réglages effectués donnent une valeur de pas Tθ ptch petite par rapport à l’écart entre les réglages Tθ min et Tθ max, le tracé du graphe durera trop longtemps. • La plage de saisie des paramètres de la fenêtre d’affichage est la suivante. –9,999999999E 97 à 9,999999999E 97
Vous pouvez mémoriser six ensembles de réglages de fenêtre d’affichage dans la mémoire de fenêtre d’affichage pour les rappeler lorsque vous en aurez besoin.
1. Depuis le menu principal, accédez au mode GRAPH. 2. Appuyez sur !3(V-WIN) pour afficher l’écran de réglage de la fenêtre d’affichage et indiquez les valeurs souhaitées. 3. Appuyez sur 4(STO) pour afficher le menu déroulant. 4. Appuyez sur une touche numérique pour désigner la mémoire de fenêtre d’affichage où vous voulez sauvegarder les réglages, puis appuyez sur w. Une pression sur bw stocke les réglages dans la mémoire de fenêtre d’affichage 1 (V-Win1).
1. Depuis le menu principal, accédez au mode GRAPH. 2. Appuyez sur !3(V-WIN) pour afficher l’écran de réglage de fenêtre d’affichage. 3. Appuyez sur 5(RCL) pour afficher le menu déroulant. 4. Appuyez sur une touche numérique pour désigner le numéro de mémoire de fenêtre d’affichage où se trouvent les réglages que vous voulez rappeler, puis appuyez sur w. Une pression sur bw rappelle les réglages de la mémoire de fenêtre d’affichage 1 (V-Win1).
Vous pouvez définir une plage (point initial, point final) d’une fonction avant d’en tracer le graphe. 5-4
2. Effectuez les réglages de fenêtre d’affichage. 3. Spécifiez le type de fonction et saisissez la fonction. La syntaxe pour la saisie de la fonction est la suivante. Fonction ,!+( [ ) Point initial , Point final !-( ] ) 4. Tracez le graphe. Exemple
Tracez un cadre autour d’une partie de l’affichage et agrandissez cette partie de manière à ce qu’elle remplisse tout l’écran. 2(FACT) Spécifie le facteur de zoom de l’axe x et de l’axe y pour le zoom avec facteur. 3(IN)/4(OUT) ... Zoom avec facteur Le graphe est agrandi ou réduit à la position actuelle du curseur, en fonction du facteur spécifié. 5(AUTO) ... Zoom automatique Les réglages de l’axe y de la fenêtre d’affichage sont automatiquement ajustés pour que le graphe remplisse tout l’écran sur l’axe y. 6(g)1(ORIG) ... Taille originale Rétablit la taille originale du graphe après un zoom. 6(g)2(SQR) ... Correction de graphe Les valeurs de l’axe x de la fenêtre d’affichage sont corrigées de manière à être identiques aux valeurs de l’axe y. 5-5
Arrondit les valeurs des coordonnées à la position actuelle du curseur. 6(g)4(INTG) ... Entier Chaque point reçoit une largeur de 1 pour que les valeurs des coordonnées soit des entiers. 6(g)5(PRE) ... Précédent Les paramètres de la fenêtre d’affichage précédant le dernier zoom sont rétablis. Définition de la plage du zoom sur cadre 3. Utilisez les touches du pavé directionnel pour amener le pointeur ( ) au centre de l’écran à l’endroit où doit se trouver un angle du cadre, puis appuyez sur w. 4. Utilisez les touches du pavé directionnel pour déplacer le pointeur. Un cadre apparaît sur l’écran. Déplacez le curseur jusqu’à ce que la zone que vous voulez agrandir se trouve dans le cadre, puis appuyez sur w pour l’agrandir. Exemple
Utilisez les réglages de fenêtre d’affichage suivants. Avant de stocker une fonction de graphe en mémoire, vous devez spécifier le type de graphe. 1. Lorsque la liste de relation du graphe est affichée, appuyez sur 3(TYPE) pour afficher le menu de types de graphes, qui contient les paramètres suivants. • {Y=}/{r=}/{Parm}/{X=} ... graphe à {coordonnées rectangulaires (type Y=f(x))}/ {coordonnées polaires}/{paramétriques}/{coordonnées rectangulaires (type X=f(y))} • {Y>}/{Y<}/{Yt}/{Ys} ... graphe d’inéquation {Y>f (x)}/{Y<f (x)}/{Ytf (x)}/{Ysf (x)} • {X>}/{X<}/{Xt}/{Xs} ... graphe de l’inéquation {X>f(y)}/{X<f(y)}/{Xtf(y)}/{Xsf(y)} k Stockage de fonctions de graphes u Pour stocker une fonction en coordonnées rectangulaires (Y=) Exemple
3(TYPE)1(Y=) (Spécifie une expression en coordonnées rectangulaires.) cvx-f(Saisit l’expression.) w (Stocke l’expression.) Introduire des relations dans Y3 et Y4. 3(TYPE)1(Y=)J4(GRPH) 1(Y)b(1(Y)c)w k Édition et suppression de fonctions u Pour éditer une fonction en mémoire Exemple
1. Sur la liste des équations, utilisez f et c pour surligner l’équation dont vous voulez changer le style de ligne. 2. Appuyez sur 4(STYL). 3. Sélectionnez le style de ligne. Exemple
Y1, et sélectionner « Broken » 4(STYL)3(
3. Sélectionnez le type de fonction que vous voulez changer. Exemple
3(TYPE)5(CONV)3('Y<) (Remplace le type de fonction par « Y< ».)
1. Lorsque la liste de relation du graphe est affichée, appuyez sur f ou c pour amener la surbrillance sur la zone contenant la fonction que vous voulez supprimer. 2. Appuyez sur 2(DEL) ou sur D. 3. Appuyez sur 1(Oui) pour supprimer la fonction ou sur 6(Non) pour abandonner la procédure sans rien supprimer. • L’emploi de la procédure ci-dessus pour supprimer une ligne d’une fonction paramétrique (telle que Xt2) entraîne aussi la suppresion de la ligne appariée correspondante (Yt2 dans le cas de Xt2).
1. Sur la liste de relation du graphe, utilisez f et c pour surligner l’équation que vous voulez représenter graphiquement. 2. Appuyez sur 1(SEL). • A chaque pression de 1(SEL) la représentation graphique est activée ou désactivée. 3. Appuyez sur 6(DRAW). Exemple
Y1 = 2x2 – 5, r2 = 5 sin3θ Utilisez les réglages de fenêtre d’affichage suivants. Xmin = –5,
Ce réglage fait apparaître des points aux intersections de la trame.
Ce réglage supprime les axes de l’écran.
Ce réglage affiche les noms des axes x et y.
Vous pouvez stocker jusqu’à 20 ensembles de données de fonctions de graphes dans la mémoire de graphes pour les rappeler ultérieurement. Les données suivantes sont sauvegardées dans la mémoire de graphes. • Toutes les fonctions actuellement dans la liste des équations affichée (20 au maximum) • Types de graphes • Informations concernant les lignes des graphes de fonctions • Statut avec tracé ou sans tracé de graphe • Réglages de fenêtre d’affichage (1 ensemble)
1. Appuyez sur 5(GMEM)1(STO) pour afficher le menu déroulant. 2. Appuyez sur une touche numérique pour désigner la mémoire de graphes où vous voulez sauvegarder la fonction, puis appuyez sur w. Si vous appuyez sur bw, par exemple, la fonction sera stockée dans la mémoire de graphes 1 (G-Mem1). • Il y a 20 mémoires de graphes, numérotées de G-Mem1 à G-Mem20. • Le stockage d’une fonction dans une zone de la mémoire contenant déjà une fonction remplace la fonction existante par la nouvelle. • Si les données dépassent la capacité restante de la mémoire, une erreur se produira.
1. Appuyez sur 5(GMEM)2(RCL) pour afficher le menu déroulant. 2. Appuyez sur une touche numérique pour désigner la mémoire de graphes où se trouve la fonction que vous voulez rappeler, puis appuyez sur w. Si vous appuyez sur bw par exemple, la fonction se trouvant dans la mémoire de graphes 1 (G-Mem1) sera rappelée. • Le rappel de données de la mémoire de graphes supprime toutes les données actuellement dans la liste de relation du graphe. 5-10
Vous pouvez stocker 20 images dans la mémoire d’images pour les rappeler ultérieurement. Vous pourrez alors superposer un de ces graphes à celui qui est affiché à l’écran.
1. Après avoir tracé un graphe dans le mode GRAPH, appuyez sur K1(PICT)1(STO) pour afficher la fenêtre déroulante. 2. Appuyez sur une touche numérique pour désigner la mémoire d’images où vous voulez sauvegarder l’image du graphe et appuyez sur w. Pour stocker la fonction dans la mémoire d’images 1 (Pict 1), par exemple, appuyez sur bw. • Il y a 20 mémoires d’images, numérotées Pict 1 à Pict 20. • Le stockage d’une image dans une zone de la mémoire contenant déjà une image remplace l’image existante par la nouvelle. • Il n’est pas possible de stocker l’écran d’un double graphe ni aucun autre graphe utilisant un écran divisé dans la mémoire d’images.
1. Après le tracé d’un graphe dans le mode GRAPH, appuyez sur K1(PICT)2(RCL) pour afficher la fenêtre déroulante. 2. Appuyez sur une touche numérique pour désigner la mémoire de l’image que vous voulez rappeler, puis appuyez sur w. Pour rappeler l’image stockée dans la mémoire d’image 1 (Pict 1), par exemple, appuyez sur bw. • Le graphe affiché est effacé lorsqu’un graphe est rappelé de la mémoire d’images. • Utilisez la fonction de dessin Cls (page 5-31) pour dégager un graphe rappelé de la mémoire d’images.
Le double graphe permet de diviser l’écran en deux parties. Vous pouvez alors représenter deux fonctions différentes de chaque côté pour les comparer, ou bien tracer un graphe de taille normale sur un côté et un agrandissement du graphe sur l’autre côté. Le double graphe est donc un instrument d’analyse précieux. Le côté gauche de l’écran d’un double graphe est appelé « écran principal », tandis que le côté droit est appelé « écran secondaire ». u Écran principal Le graphe sur l’écran principal est directement tracé à partir de la fonction. u Écran secondaire Le graphe sur l’écran secondaire est une copie ou un agrandissement du graphe tracé sur l’écran principal. Vous pouvez faire des réglages différents de fenêtre d’affichage pour l’écran principal et l’écran secondaire. 5-11
1. Depuis le menu principal, accédez au mode GRAPH. 2. Sur l’écran de configuration, sélectionnez « G+G » pour Dual Screen. 3. Effectuez les réglages de fenêtre d’affichage pour l’écran principal. Appuyez sur 6(RIGHT) pour afficher l’écran de réglages de graphe secondaire. Pour revenir à l’écran de réglage de l’écran principal, appuyez sur 6(LEFT). 4. Stockez la fonction et tracez le graphe sur l’écran principal. 5. Effectuez l’opération de double graphe souhaitée. K1(COPY) ... Copie le graphe de l’écran principal sur l’écran secondaire K2(SWAP) ... Échange le contenu de l’écran principal et celui de l’écran secondaire • Des indicateurs apparaissent sur le côté droit des formules de la liste de relation du graphe montrant où les graphes sont tracés avec le double graphe. Indique un graphe sur l’écran secondaire (sur la droite de l’écran) Indique un graphe tracé sur les deux côtés de l’écran Effectuer un tracé avec la fonction « R » dans l’écran de l’exemple ci-dessus affiche le graphe à tracer sur le côté droit de l’affichage. La fonction indiquée par « B » est représentée des deux côtés du graphe. Appuyer sur 1(SEL) tandis que l’une des fonctions’ est surlignée effacerait l’indicateur « R » ou « B » . Une fonction sans indicateur est tracée comme graphe de l’écran principal (sur le côté gauche de l’affichage). Exemple
Utilisez les réglages de fenêtre d’affichage suivants. !4(SKTCH)5(GRPH), puis en sélectionnant l’un des types de fonctions présentés cidessous. • {Y=}/{r=}/{Param}/{X=}/{G · dx} ... Représentation graphique {coordonnées rectangulaires}/{coordonnées polaires}/{fonction paramétrique}/{X=f(y) coordonnées rectangulaires}/{intégration} • {Y>}/{Y<}/{Y≥}/{Y≤} ... Représentation graphique {Y>f(x)}/{Y<f(x)}/{Y≥f(x)}/{Y≤f(x)} d’inéquation • {X>}/{X<}/{X≥}/{X≤} ... Représentation graphique {X>f(y)}/{X<f(y)}/{X≥f(y)}/{X≤f(y)} d’inéquation 4. Validez les commandes pour le tracé de graphe à coordonnées rectangulaires. 5. Saisissez la fonction. Exemple
Utilisez les réglages de fenêtre d’affichage suivants. 1. Depuis le menu principal, accédez au mode GRAPH. 2. Sur l’écran de configuration, réglez « Dual Screen » sur « Off ». 3. Effectuez les réglages de fenêtre d’affichage. 4. Spécifiez le type de fonction et saisissez la fonction. La syntaxe pour la saisie de la fonction est la suivante. Expression contenant un paramètre ,!+( [ ) paramètre !.(=) valeur , valeur , ... , valeur !-( ] ) 5. Tracez le graphe. Exemple
Utilisez les réglages de fenêtre d’affichage suivants. • Vous ne pouvez pas affecter de variable à la variable à l’intérieur de la fonction. • Lorsque le graphe simultané est activé, les graphes sont tracés simultanément pour toutes les variables spécifiées. • La superposition de graphes peut être utilisée pour la représentation graphique d’expressions rectangulaires, d’expressions polaires, de fonctions paramétriques et d’inéquations.
Vous pouvez représenter graphiquement une fonction en la copiant dans le presse-papiers puis en la collant sur l’écran graphique. Deux types de fonctions peuvent être collées sur l’écran graphique. Type 1 (Y= expression) Une fonction avec la variable Y à la gauche du signe égal est représentée par l’expression Y=. Exemple: Coller Y=X et représenter graphiquement cette fonction • Tout espace à la gauche de Y est ignoré. Type 2 (expression) Lorsque ce type d’expression est collé, l’expression Y= est représentée. Exemple: Coller X et représenter Y=X • Tout espace à la gauche d’expression est ignoré.
1. Copiez dans le presse-papier la fonction qui doit être représentée. 2. Depuis le menu principal, accédez au mode GRAPH. 3. Sur l’écran de configuration, réglez « Dual Screen » sur « Off ». 4. Effectuez les réglages de fenêtre d’affichage. 5. Tracez le graphe. 6. Collez l’expression. Exemple
Utilisez les réglages de fenêtre d’affichage suivants. Xmin = –5,
• Lorsque vous retracez une courbe sans vider la mémoire de graphes, toutes les courbes sont retracées y compris celles obtenues depuis les fonctions collées.
Pour accéder au mode TABLE, sélectionnez l’icône TABLE sur le menu principal.
Il existe deux méthodes pour spécifier la valeur de la variable x lors de la génération d’une table numérique. • Spécification de la plage de la table Avec cette méthode, vous spécifiez les conditions de changement de la valeur de la variable.
Avec cette méthode, les données de la liste spécifiée se substituent à la variable x pour générer une table numérique.
5(SET) End Valeur finale de la variable x Step Changement (pas) de la valeur de la variable x Après avoir défini la plage de la table, appuyez sur J pour revenir à la liste de relation de table.
1. Lorsque la liste de relation de table est à l’écran, affichez l’écran de configuration. 2. Mettez Variable en surbrillance et appuyez sur 2(LIST) pour afficher le menu déroulant. 3. Sélectionnez la liste contenant les valeurs que vous voulez affecter à la variable x. • Pour sélectionner la liste 6, par exemple, appuyez sur gw. Le paramétrage de la rubrique Variable sur l’écran de configuration se règle sur List 6. 4. Après avoir spécifié la liste que vous voulez utiliser, appuyez sur J pour revenir à l’écran précédent.
Exemple Utilisez f et c pour amener la surbrillance sur la fonction que vous voulez sélectionner pour la génération de la table et appuyez sur 1(SEL) pour la sélectionner. Le signe « = » des fonctions sélectionnées est en surbrillance. Pour ne pas sélectionner une fonction, amenez le curseur dessus et appuyez une nouvelle fois sur 1(SEL).
à partir des fonctions sélectionnées. La valeur de la variable x change en fonction de la plage ou du contenu de la liste que vous avez spécifiée. L’exemple ci-contre montre les résultats obtenus pour la liste 6 (−3, −2, −1, 0, 1, 2, 3). Chaque élément peut contenir jusqu’à six chiffres, signe négatif compris.
La validation du paramètre Derivative sur l’écran de configuration permet d’afficher une table numérique avec la valeur de la fonction dérivée associée. « dy/dx » apparaît en haut de l’écran pour indiquer une différentielle lorsque le curseur est positionné sur un coefficient différentiel.
Vous pouvez spécifier un des trois types de fonctions suivants. • En coordonnées rectangulaires (Y=) • En coordonnées polaires (r=) • Paramétriques (Parm) 1. Appuyez sur 3(TYPE) lorsque la liste des relations est à l’écran. 2. Appuyez sur la touche numérique correspondant au type de fonction que vous voulez spécifier. • La table numérique n’est générée que pour le type de fonctions spécifié dans la liste de relations (Table Func). Vous ne pouvez pas générer une table numérique pour un groupe de fonctions de différents types.
Vous pouvez utiliser le menu de table pour effectuer les opérations suivantes après avoir généré une table. • Changer les valeurs de la variable x • Editer (supprimer, insérer et ajouter) des lignes • Supprimer une table • Tracer un graphe à points connectés • Tracer un graphe à points séparés • {FORM} ... {renvoie à la liste des relations de la table} • {DEL} ... {suppression d’une table} 5-19
En effectuant une opération simple, vous pourrez copier le contenu d’une colonne d’une table numérique dans une liste. Utilisez d et e pour positionner le curseur sur la colonne que vous voulez copier. Le curseur peut être sur n’importe quelle ligne.
K1(LMEM) Procédez de la façon suivante pour générer une table numérique et tracer un graphe à partir des valeurs de la table. 1. Depuis le menu principal, accédez au mode TABLE. 2. Effectuez les réglages de fenêtre d’affichage. 3. Stockez les fonctions. 4. Définissez la plage de la table. 5. Générez la table. 6. Sélectionnez le type de graphe et tracez-le. 5(G • CON) ... graphe linéaire 6(G • PLT) ... graphe à points séparés • Après avor tracé le graphe, appuyez sur !6(G ↔ T) ou A pour revenir à l’écran de la table numérique. 5-20 1. Depuis le menu principal, accédez au mode TABLE. 2. Effectuez les réglages de fenêtre d’affichage. 3. Sur l’écran de configuration, sélectionnez T+G pour Dual Screen. 4. Saisissez la fonction. 5. Définissez la plage de la table. 6. La table numérique est affichée sur l’écran secondaire sur la droite. 7. Définissez le type de graphe et tracez le graphe. 5(G • CON) ... graphe linéaire 6(G • PLT) ... graphe à points séparés Exemple
2. Effectuez les réglages de fenêtre d’affichage. 3. Sur l’écran de configuration, spécifiez Dynamic Type. 1(Cnt) ... Continu 2(Stop) ... Arrêt automatique après 10 tracés 4. Utilisez les touches du pavé directionnel pour sélectionner le type de fonction sur la liste des types de fonctions intégrées.*1 5. Saisissez les valeurs des coefficients et spécifiez le coefficient qui sera la variable dynamique.*2 6. Spécifiez la valeur initiale, la valeur finale et l’incrément. 7. Définissez la vitesse du tracé. 3(SPEED) 1( ) .... Pause après chaque tracé (Marche&Arrêt) 2( ) Moitié de la vitesse normale (Lent) 3( ) Vitesse normale (Normal) 4( ) Deux fois la vitesse normale (Rapide) 8. Tracez le graphe dynamique. *1 Les sept types de fonctions intégrées sont les suivants. • Y=AX+B
• Le message « Trop de fonctions » apparaît si plus d’une fonction est sélectionnée pour le tracé dynamique de graphe. 5-22
3. Sur l’écran de configuration, sélectionnez « On » pour « Locus ». 4. Utilisez les touches du pavé directionnel pour sélectionner le type de fonction sur la liste des types de fonctions programmés. 5. Saisissez les valeurs des coefficients et désignez le coefficient qui sera la variable dynamique. 6. Définissez la valeur initiale, la valeur finale et l’incrément. 7. Définissez Normal comme vitesse de tracé. 8. Tracez le graphe dynamique. Exemple
1. Appuyez sur !m(SET UP) pour afficher l’écran de configuration. 2. Appuyez sur ccc pour sélectionner Y=Draw Speed. 3. Sélectionnez la méthode de représentation graphique. 1(Norm) … Trace tous les points de l’axe X. (réglage par défaut) 2(High) … Trace un point sur deux de l’axe X. (tracé plus rapide que Normal) 4. Appuyez sur J.
Vous pouvez stocker les conditions de tracé d’un graphe dynamique et les données d’écran dans la mémoire de graphe dynamique pour les rappeler ultérieurement lorsque vous en aurez besoin. Vous gagnerez du temps en rappelant simplement les données pour tracer le graphe. Vous ne pouvez stocker qu’un seul ensemble de données à la fois.
1. Pendant le tracé d’un graphe dynamique, appuyez sur A pour passer au menu de réglage de la vitesse. 2. Appuyez sur 5(STO). En réponse à la boîte de dialogue de confirmation qui apparaît, appuyez sur 1(Oui) pour sauvegarder les données.
1. Affichez la liste de relation du graphe dynamique. 2. Appuyez sur 6(RCL) pour rappeler le contenu de la mémoire de graphe dynamique et tracer le graphe.
• Terme général de la suite {an}, composée de an, n • Récurrence linéaire à deux termes, composée de an+1, an, n • Récurrence linéaire à trois termes, composée de an+2, an+1, an, n 1. Depuis le menu principal, accédez au mode RECUR. 2. Définissez le type de récurrence. 3(TYPE)1(an) ... {terme général de la suite an} 2(an+1) ... {récurrence linéaire à deux termes} 3(an+2) ... {récurrence linéaire à trois termes} 3. Saisissez la formule de récurrence. 4. Définissez la plage de la table. Indiquez la valeur initiale et la valeur finale pour n. Au besoin, définissez une valeur pour le terme initial et la valeur initiale pour le point de départ du pointeur si vous avez l’intention de tracer le graphe de la formule. 5. Affichez la table numérique de la formule de récurrence. Exemple
1, a2 = 1 (suite de Fibonacci) lorsque la valeur de n change de 1 à 6.
2 3(TYPE)3(an+2) • La validation du paramètre « ΣDisplay » à « On » sur l’écran de configuration permet d’inclure la somme de chaque terme dans la table.
3. Spécifiez le type de formule de récurrence et saisissez la formule. 4. Définissez la plage de la table et les valeurs initiale et finale pour n. Au besoin, définissez la valeur initiale du terme et le point de départ du pointeur. 5. Sélectionnez le style de ligne souhaité pour le graphe. 6. Affichez la table numérique de la formule de récurrence. 7. Définissez le type de graphe et tracez le graphe. 5(G • CON) ... graphe linéaire 6(G • PLT) ... graphe à points séparés Exemple
Pour an (an+1, an+2), bn (bn+1, bn+2), cn (cn+1, cn+2), la séquence numérique de la première expression par ordre alphabétique est représentée dans l’axe horizontal tandis que la séquence numérique suivante est représentée dans l’axe vertical.
2. Configurez les paramètres de fenêtrage d’affichage. 3. Saisissez deux formules récursives et sélectionnez les deux pour la génération d’un tableau. 4. Configurez les paramètres de la génération de tableaux. Spécifiez les valeurs de début et de fin pour la variable n, ainsi que le terme initial pour chaque formule récursive. 5. Affichez le tableau numérique des formules récursive. 6. Tracez le diagramme cartésien. Exemple
Utilisez les réglages de fenêtre d’affichage suivants. Xmin = 0,
3(a • c) Tracer le graphe en utilisant an (an+1, an+2) et cn (cn+1, cn+2). 5-27
1(an) Utilisez la séquence numérique pour tracer le graphe. 6(Σ an) Utilisez les sommes de la séquence numérique pour tracer le graphe.
« On » est sélectionné pour « ΣDisplay » dans l’écran de configuration et que les trois expressions saisies en mode RECUR sont sélectionnées pour créer des tableaux, utilisez le menu de fonction qui s’affiche en appuyant sur 3(PHAS) dans l’écran de tableau. 1(a • b) Tracer le graphe en utilisant séquences numériques an (an+1, an+2) et bn (bn+1, bn+2) 2(b • c) Tracer le graphe en utilisant séquences numériques bn (bn+1, bn+2) et cn (cn+1, cn+2) 3(a • c) Tracer le graphe en utilisant séquences numériques an (an+1, an+2) et cn (cn+1, cn+2) 4(Σ a • b) Tracer le graphe en utilisant les sommes des séquences numériques an (an+1, an+2) et bn (bn+1, bn+2) 5(Σ b • c) Tracer le graphe en utilisant les sommes des séquences numériques bn (bn+1, bn+2) et cn (cn+1, cn+2) 6(Σ a • c) Tracer le graphe en utilisant les sommes des séquences numériques an (an+1, an+2) et cn (cn+1, cn+2)
1. Depuis le menu principal, accédez au mode RECUR. 2. Effectuez les réglages de fenêtre d’affichage. 3. Sélectionnez une récurrence à 2 termes comme type de formule de récurrence et saisissez la formule. 4. Définissez la plage de la table, les valeurs initiale et finale de n, la valeur du terme initial et le point de départ du pointeur. 5. Affichez la table numérique de la formule de récurrence. 6. Tracez le graphe. 7. Appuyez sur w pour faire apparaître le pointeur au point initial défini. Appuyez plusieurs fois de suite sur w. S’il existe une convergence, des lignes en toile d’araignée seront tracées. Si aucune toile d’araignée n’apparaît, c’est qu’il existe une divergence ou que le graphe est hors de l’écran. Le cas échéant, sélectionnez des valeurs de fenêtre d’affichage plus grandes et recommencez. 5-28
Exemple Type » sur l’écran de configuration.
Important ! • La GRAPH25+ E II n’est pas pourvue du mode CONICS. 1. À partir du menu principal, saisissez dans le mode CONICS. 2. Sélectionnez le type de fonction. 1(RECT).... {coordonnées rectangulaires} 2(POL).... {coordonnées polaires} 3(PARM).... {paramétrique} Vous pouvez sélectionner un des quatre styles de ligne pour la fonction de dessin. 1. Depuis le menu principal, accédez au mode GRAPH. 2. Effectuez les réglages de fenêtre d’affichage. 3. Sur l’écran de configuration, utilisez le réglage « Sketch Line » pour spécifier le style de ligne souhaité. 1(
) à l’endroit où vous
*2 Dans le cas d’un graphe de fonction inverse, le tracé commence dès que vous sélectionnez cette option. *3 Certaines fonctions de dessin exigent la définition de deux points. Après avoir appuyé sur w pour spécifier le premier point, utilisez les touches du pavé directionnel pour placer le pointeur à la position du second point et appuyez sur w. • Vous pouvez spécifier le type de ligne pour les fonctions de dessin suivantes : Tangent, Normal, Inverse, Line, F · Line, Circle, Vertical, Horizontal, Pen Exemple
La fonction Trace permet de déplacer un pointeur sur un graphe et de lire les coordonnées à la position du pointeur. 1. Depuis le menu principal, accédez au mode GRAPH. 2. Tracez le graphe. 3. Appuyez sur !1(TRCE) pour faire apparaître un pointeur au centre du graphe.*1 4. Utilisez d et e pour déplacer le pointeur le long du graphe jusqu’au point où vous voulez afficher la valeur de la fonction dérivée. Si plusieurs graphes sont affichés, appuyez sur f et c pour passer de l’un à l’autre, l’abscisse x est inchangée. 5. Vous pouvez aussi déplacer le pointeur en appuyant sur v pour afficher la fenêtre déroulante et saisir l’abscisse x. La fenêtre déroulante apparaît même si vous spécifiez directement les coordonnées. Pour arrêter l’opération Trace, appuyez !1(TRCE). *1 Le pointeur n’est pas visible sur le graphe lorsqu’il se trouve à un point hors de la zone d’affichage du graphe ou lorsqu’une erreur se produit. • Vous pouvez invalider l’affichage des coordonnées à la position du pointeur en spécifiant « Off » pour le paramètre « Coord » de l’écran de configuration. • Les coordonnées sont affichées de la façon suivante pour chaque type de fonction. Graphe en coordonnées polaires Graphe paramétrique Graphe d’inéquation
Vous pouvez utiliser la fonction Trace non seulement pour afficher les coordonnées mais aussi pour afficher le nombre dérivé à la position actuelle du pointeur. 1. Depuis le menu principal, accédez au mode GRAPH. 2. Sur l’écran de configuration, spécifiez « On » pour « Derivative » (dérivée). 3. Tracez le graphe. 4. Appuyez sur !1(TRCE) pour faire apparaître le pointeur au centre du graphe. Les coordonnées actuelles et le nombre dérivé apparaissent à ce moment à l’écran.
Vous pouvez utiliser la fonction Trace pour lire les coordonnées d’un graphe et les stocker dans une table numérique. Vous pouvez aussi utiliser le double graphe pour stocker simultanément le graphe et la table numérique. Vous aurez ainsi à votre disposition un outil d’analyse important. 1. Depuis le menu principal, accédez au mode GRAPH. 2. Sur l’écran de configuration, spécifiez « GtoT » pour « Dual Screen » (écran double). 3. Effectuez les réglages de fenêtre d’affichage. 4. Sauvegardez la fonction et tracez le graphe sur l’écran (gauche). 5. Validez la fonction Trace. S’il y a plusieurs graphes à l’écran, appuyez sur f et c pour sélectionner le graphe souhaité. 6. Utilisez d et e pour déplacer le pointeur et appuyez sur w pour stocker les coordonnées dans la table numérique. Répétez cette étape pour stocker autant de valeurs nécessaires. 7. Appuye sur K1(CHNG) pour activer la table numérique.
Cette fonction sert à arrondir les valeurs des coordonnées affichées par la fonction Trace. 1. Depuis le menu principal, accédez au mode GRAPH. 2. Tracez le graphe. 3. Appuyez sur !2(ZOOM)6(g)3(RND). Les valeurs de la fenêtre d’affichage changent automatiquement en fonction de la valeur Rnd. 4. Appuyez sur !1(TRCE) et utilisez ensuite les touches du pavé directionnel pour déplacer le pointeur le long du graphe. Les coordonnées qui apparaissent maintenant sont arrondies.
Cette fonction fournit plusieurs méthodes pour l’analyse de graphes. 1. Depuis le menu principal, accédez au mode GRAPH. 2. Tracez les graphes. 3. Sélectionnez la fonction d’analyse. !5(G-SLV)1(ROOT) ... Calcul de la racine 2(MAX) ... Valeur maximale locale 3(MIN) ... Valeur minimale locale 4(Y-ICPT) ... Intersection en y 5(ISCT) ... Intersection de deux graphes 6(g)1(Y-CAL) ... Ordonnée y pour une abscisse x donnée 6(g)2(X-CAL) ... Abscisse x pour une ordonnée y donnée 6(g)3(∫dx) ... Valeur de l’intégrale pour une plage donnée 5-33
5. Appuyez sur w pour sélectionner le graphe où se trouve le curseur et afficher la valeur produite par l’analyse. Si une analyse produit plusieurs valeurs, appuyez sur e pour calculer la valeur suivante. Appuyez sur d pour revenir à la valeur précédente.
- Lorsque la courbe de la solution obtenue est un point de tangence avec l’axe x. - Lorsque la solution est un point d’inflexion.
Procédez de la façon suivante pour calculer le point d’intersection de deux graphes. 1. Tracez les graphes. 2. Appuyez sur !5(G-SLV)5(ISCT). Si trois graphes ou plus sont affichés, le curseur de sélection (k) apparaîtra sur le graphe au numéro inférieur. 3. Appuyez sur f et c pour amener le curseur sur le graphe que vous voulez sélectionner. 4. Appuyez sur w pour sélectionner le premier graphe. Le curseur k prend la forme . 5. Appuyez sur f et c pour amener le curseur sur le second graphe. 6. Appuyez sur w pour calculer le point d’intersection des deux graphes. Si une analyse produit plusieurs valeurs, appuyez sur e pour calculer la valeur suivante. Appuyez sur d pour revenir à la valeur précédente. Exemple
Y1 = x + 1, Y2 = x2 - Lorsque la solution est un point de tangence entre deux courbes. - Lorsque la solution est un point d’inflexion. 5-34
La procédure suivante décrit comment déterminer l’ordonnée y pour un point d’abscisse x donné et l’abscisse x pour un point d’ordonnée y donné. 1. Tracez le graphe. 2. Sélectionnez la fonction que vous voulez étudier. Si plusieurs graphes sont affichés, le curseur de sélection (k) apparaîtra sur le graphe au numéro inférieur. !5(G-SLV)6(g)1(Y-CAL) ... ordonnée y pour un x 6(g)2(X-CAL) ... abscisse x pour un y 3. Utilisez fc pour amener le curseur (k) sur le graphe souhaité et appuyez sur w pour le sélectionner. 4. Indiquez la valeur de l’abscisse x ou de l’ordonnée y donnée. Appuyez sur w pour calculer la valeur de l’ordonnée y ou l’abscisse x correspondante. Exemple
Y1 = x + 1, Y2 = x(x + 2)(x – 2) k Calcul de la valeur de l’intégrale pour une plage donnée Procédez de la façon suivante pour obtenir les valeurs d’intégration pour une plage donnée. 1. Tracez le graphe. 2. Appuyez sur !5(G-SLV)6(g)3(∫dx). Si plusieurs graphes sont affichés, le curseur de sélection (k) apparaîtra sur le graphe au numéro inférieur. 3. Utilisez fc pour amener le curseur (k) sur le graphe souhaité et appuyez sur w pour le sélectionner. 4. Utilisez de pour amener le pointeur de la limite inférieure à l’endroit voulu et appuyez sur w. 5. Utilisez e pour déplacer le pointeur de la limite supérieure à l’endroit voulu. 6. Appuyez sur w pour calculer la valeur de l’intégrale. Exemple
Y1 = x(x + 2)(x – 2) • Les valeurs de l’intégrale peuvent être calculées pour les graphes à coordonnées rectangulaires seulement.
Important ! • La GRAPH25+ E II n’est pas pourvue du mode CONICS. Vous pouvez déterminer les approximations des résultats analytiques suivants à partir des graphes de sections coniques. 1. Depuis le menu principal, accédez au mode CONICS 2. Sélectionnez le type de fonction. 1(RECT).... {coordonnées rectangulaires} 2(POL).... {coordonnées polaires} 3(PARM).... {paramétrique} 3. Utilisez f et c pour sélectionner la section conique que vous voulez analyser. 4. Saisissez les constantes de la section conique. 5. Tracez le graphe. Après avoir tracé le graphe d’une section conique, appuyez sur !5(G-SLV) pour afficher les menus d’analyse de graphes suivants.
• {FOCS}/{VTX}/{LEN}/{e} ... {foyer}/{sommet}/{longueur du latus rectum}/{excentricité} • {DIR}/{SYM} ... {directrice}/{axe de symétrie} • {X-IN}/{Y-IN} ... {intersection de x}/{intersection de y}
• {CNTR}/{RADS} ... {centre}/{rayon} • {X-IN}/{Y-IN} ... {intersection de x}/{intersection de y} • Pendant le calcul des sommets d’une ellipse il faut appuyer sur e pour calculer la valeur suivante. Pour revenir aux valeurs antérieures, il faut appuyer sur d. Une ellipse a quatre sommets.
Lorsque vous accédez au mode STAT depuis le menu principal, l’écran de l’éditeur de listes s’affiche. Vous pouvez utiliser cet écran pour saisir des données statistiques et effectuer des calculs statistiques. Utilisez f, c, d et e pour déplacer la surbrillance sur les listes.
• Pour le détail sur l’emploi des listes de données statistiques, voir « Chapitre 3 Listes ».
Procédez de la façon suivante pour définir le statut avec ou sans tracé de graphe, le type de graphe ou d’autres réglages pour chaque graphe du menu de graphes (GPH1, GPH2, GPH3). Quand la liste de données statistiques est à l’écran, appuyez sur 1(GRPH) pour afficher le menu de graphes, qui contient les paramètres suivants. • {GPH1}/{GPH2}/{GPH3} ... tracé de graphe {1}/{2}/{3}*1 • {SEL} ... {sélection simultanée de graphes (GPH1, GPH2, GPH3)} Vous pouvez indiquer les divers graphes. • {SET} ... {réglages de graphe (type de graphe, affectation aux listes)} *1 Le type de graphe défini par défaut pour tous les graphes (graphe 1 à graphe 3) est un diagramme de corrélation, mais vous pouvez choisir un autre type.
Vous pouvez sélectionner divers autres types de graphes statistiques pour chacun des graphes. • Liste La liste 1 de données statistiques a été définie par défaut pour les données à variable unique et la liste 1 et la liste 2 pour les données à variable double. Vous pouvez définir la liste de données statistiques que vous souhaitez utiliser pour les données x et les données y. • L’effectif des données Ce réglage permet de spécifier une liste qui contient les données d’effectif. En matière de statistiques, « effectif » représente le nombre d’occurrences d’une donnée (ou d’un jeu de données). Les effectifs sont utilisés dans des « tables de distribution des effectifs » qui répertorient chaque donnée unique dans une colonne, avec l’effectif (nombre d’occurrences) dans la colonne de droite. Avec cette calculatrice, la colonne des données et la colonne des effectifs sont des listes séparées. Ce réglage permet de spécifier la liste (liste 1, liste 2, etc.) à utiliser pour la colonne des effectifs lors de l’établissement d’un graphique statistique. Important ! • Les valeurs contenues dans une liste des effectifs ne peuvent être que positives ou égales à 0. Même une seule valeur négative provoquera une erreur. • Les données statistiques avec un effectif de 0 ne sont pas utilisées pour le calcul des valeurs minimales et maximales • Type de point Ce réglage permet de varier la forme des points tracés sur le graphe.
• {X}/{Med}/{X^2}/{X^3}/{X^4} ... {graphe de régression linéaire}/{graphe Med-Med}/{graphe de régression quadratique}/{graphe de régression cubique}/{graphe de régression quartique} • {Log}/{Exp}/{Pwr}/{Sin}/{Lgst} ... {graphe de régression logarithmique}/{graphe de régression exponentielle}/{graphe de régression de puissance}/{graphe de régression sinusoïdale}/{graphe de régression logistique} • XList (liste de données pour l’axe x)/YList (liste de données pour l’axe y) • {List} ... {liste 1 à 26}
Quand le type de graphe « Pie » (camembert) est sélectionné : • Data (Spécifie la liste de données à utiliser comme données du graphe.) • {LIST} ... {liste 1 à 26} • Display (paramètre d’affichage de la valeur du graphe type camembert) • {%}/{Data} ... Pour chaque élément de donnée {afficher comme pourcentage}/{afficher comme valeur} • % Sto Mem (Spécifie la sauvegarde des valeurs de pourcentage dans une liste.) • {None}/{List} ... Pour les valeurs de pourcentage : {Ne pas sauvegarder dans liste}/ {Spécifie Liste 1 à 26 et sauvegarde} Quand le type de graphe « Box » (boîte médiane) est sélectionné : • Outliers (spécification des points aberrants) • {On}/{Off} ... {afficher}/{ne pas afficher} les points aberrants du cadre-médian Quand le type de graphe « Bar » (histogramme à barres) est sélectionné : • Data1 (liste de données de la première barre) • {LIST} ... {liste 1 à 26} • Data2 (liste de données de la seconde barre)/Data3 (liste de données de la troisième barre) • {None}/{LIST} ... {aucune}/{liste 1 à 26} • Stick Style (spécification du style des barres) • {Leng}/{HZtl} ... {longueur}/{horizontal}
• Notez que le réglage StatGraph1 est pour le graphe 1 (GPH1 du menu), StatGraph2 pour le graphe 2 et StatGraph3 pour le graphe 3. 2. Utilisez les touches du pavé directionnel pour amener la surbrillance sur le graphe dont vous voulez changer le statut et appuyez sur la touche de fonction correspondante pour changer le statut. • {On}/{Off} ... {On (tracé)}/{Off (sans tracé)} • {DRAW} ... {tracé de tous les graphes} 6-3
• Pour les graphes statistiques, les paramètres de la fenêtre d’affichage sont normalement définis de façon automatique. Si vous voulez définir vous-même les paramètres de la fenêtre d’affichage, vous devez régler Stat Wind sur « Manual ». Quand la liste de données statistiques est à l’écran, effectuez l’opération de touches suivante. !m(SET UP)2(Man) J(Retour au menu précédent.) Notez que les paramètres de fenêtre d’affichage sont configurés automatiquement pour les types de graphes suivants même si Stat Wind est réglé sur « Manual ». Diagramme circulaire, test Z à 1 échantillon, test Z à 2 échantillons, test Z à 1 proportion, test Z à 2 proportions, test t à 1 échantillon, test t à 2 échantillons, test χ2 (GOF), test χ2 (2-way), test F à 2 échantillons (sans tenir compte de l’axe x). • La liste de données 1 est automatiquement utilisée pour l’axe x (horizontal) et la liste de données 2 pour l’axe y (vertical). Chaque ensemble de données x/y est représenté par un point sur un diagramme de corrélation.
Les données à variable unique sont des données ne comprenant qu’une seule variable. Si vous calculez la grandeur moyenne des élèves d’une classe, par exemple, il n’y a qu’une variable, la grandeur. Les statistiques à variable unique comprennent la répartition et la somme. Les types de graphes suivants sont disponibles pour les statistiques à variable unique. Vous pouvez aussi procéder comme indiqué dans « Changement des paramètres d’un graphe » à la page 6-1 pour effectuer les réglages que vous voulez avant de tracer chaque graphe.
Ce traçage compare le coefficient d’accumulation des données avec le coefficient d’accumulation d’une loi de probabilité normale. XList spécifie la liste où les données sont saisies et Mark Type sert à sélectionner parmi les marques { / × / • } que vous voulez tracer.
Quand « % » est sélectionné pour le paramètre « Display » dans l’écran de réglages généraux des graphes (page 6-3), la valeur correspondante au pourcentage s’affiche pour chaque lettre d’étiquetage alphabétique.
XList spécifie la liste où les données sont saisies tandis que Freq spécifie la liste où I’effectif de données est saisi. 1 est spécifié pour la Freq lorsqu’aucun autre effectif de données n’est spécifié.
Puis, sur l’écran que vous utilisez pour spécifier le type de graphe, activez le paramètre Outliers et tracez le graphe.
Le graphe est étiqueté [1], [2], [3], et ainsi de suite, en correspondance avec les lignes 1, 2, 3, etc. de la liste utilisée comme données de l’histogramme.
- Une erreur « Erreur de condition » se produit quand le tracé de graphes multiples est spécifié en utilisant l’écran d’activation/désactivation des graphes (page 6-3) et le type de graphe histogramme est spécifié pour un des graphes et un type de graphe différent est spécifié pour un autre graphe. - Une erreur « Erreur dimension » se produit lors du tracé d’un graphe avec deux ou trois listes spécifiées, quand les listes ont un nombre différent d’éléments. - Une erreur « Erreur de condition » se produit quand des listes sont attribuées pour Data1 et Data3 et « None » (aucune) n’est spécifié pour Data2.
Le graphe de la densité de la loi normale est tracée à l’aide de la fonction de loi normale. XList spécifie la liste où les données sont saisies tandis que Freq spécifie la liste où l’effectif est saisi. 1 est spécifié pour Freq lorsqu’aucun autre effectif de données n’est spécifié.
Les lignes relient les points centraux d’un histogramme. XList spécifie la liste où les données sont saisies tandis que Freq spécifie la liste où l’effectif est saisi. 1 est spécifié pour Freq lorsqu’aucun autre effectif de données n’est spécifié.
Σx somme Σx2 somme des carrés Pour plus de détails à propos des méthodes de calcul utilisées lorsque l’on sélectionne « Std » ou « OnData », voir ci-dessous : « Méthodes de calcul pour les paramétrages « Std » et « OnData ».
Q1 et Q3 peuvent être calculés conformément au paramètre « Q1Q3 Type » de l’écran de configuration, comme indiqué ci-dessous.
Q1 = {médiane du groupe de Q3 = {médiane du groupe de
2 Med = {valeur moyenne du
éléments de la partie inférieure de la population} 2 n–1 Q3 = {médiane du groupe de éléments de la partie supérieure de la population} 2 n+1 e Med = { élément} 2 Lorsque le taux d’effectif cumulé de la valeur d’une donnée est exactement de 0,25, Q1 représente la moyenne de la valeur de ces données et la valeur des données suivantes. Q3 = {valeur de l’élément dont le taux d’effectif cumulé est supérieur à 0,75 et le plus proche de 0,75} Lorsque le taux d’effectif cumulé de la valeur d’une donnée est exactement de 0,75, Q3 représente la moyenne de la valeur de ces données et la valeur des données suivantes. Med = {valeur de l’élément dont le taux d’effectif cumulé est supérieur à 0,5 et le plus proche de 0,5} Lorsque le taux d’effectif cumulé de la valeur d’une donnée est exactement de 0,5, Med représente la moyenne de la valeur de ces données et la valeur des données suivantes. 6-8
Les valeurs de Q1, Q3 et Med pour cette méthode de calcul sont décrites ci-dessous : Q1 = {valeur de l’élément dont le taux de son effectif cumulé est supérieur à 0,25 et le plus proche de 0,25} Q3 = {valeur de l’élément dont le taux de son effectif cumulé est supérieur à 0,75 et le plus proche de 0,75} Les lignes suivantes expliquent la signification des éléments montrés ci-dessus : (Nombre d’éléments : 10) Valeurs des données
• 5 est la valeur dont le taux d’effectif cumulé est supérieur ou égal à 0,75 et le plus près de 0,75, de sorte que Q3 = 5. 6-9
La procédure suivante trace un diagramme de corrélation et relie les points pour produire un graphe linéaire xy. 1. Depuis le menu principal, accédez au mode STAT. 2. Saisissez les données dans la liste. 3. Spécifiez Scat (diagramme de corrélation) ou xy (graphe linéaire xy) comme type de graphe et exécutez l’opération. Appuyez sur A, J ou !J(QUIT) pour revenir à la liste de données statistiques. Exemple
0,5, 1,2, 2,4, 4,0, 5,2 (xList) 1. Depuis le menu principal, accédez au mode STAT. 2. Saisissez les données dans une liste et tracez un diagramme de corrélation. 3. Sélectionnez le type de régression, exécutez le calcul et affichez les paramètres de régression. 4. Tracez le graphe de régression. Exemple
0,5, 1,2, 2,4, 4,0, 5,2 (xList) Quand vous effectuez un calcul de régression, les résultats du calcul des paramètres de la formule de régression (comme a et b dans la régression linéaire y = ax + b) apparaissent à l’écran. Vous pouvez les utiliser pour obtenir les résultats de calculs statistiques. Les paramètres de régression sont calculés dès que vous appuyez sur une touche de fonction pour sélectionner le type de régression quand un graphe est affiché. Les paramètres suivants sont utilisés par les régressions linéaires, logarithmiques, exponentielles et de puissance.
MSe carrés des moyennes des erreurs
Lorsque le résultat d’un calcul de paramètres est affiché, vous pouvez représenter graphiquement la formule de régression affichée en appuyant sur 6(DRAW).
La régression linéaire utilise la méthode des moindres carrés pour tracer une droite qui ajuste le nuage de points et renvoie les valeurs pour la pente et l’intersection y (coordonnées y lorsque x = 0) de la ligne. La représentation graphique de la relation est un graphe de régression linéaire. 1(CALC)2(X) 1(ax+b) ou 2(a+bx) 6(DRAW) Voici la formule du modèle de régression linéaire. Voici la formule du modèle de régression de puissance.
La régression logistique convient aux phénomènes liés au temps, où il y a un accroissement continu jusqu’à un point de saturation. Voici la formule du modèle de régression logistique.
La distance verticale des points du tracé au modèle de régression est mémorisée dans la liste. Les points qui sont supérieurs à ceux du modèle de régression sont positifs tandis que les points inférieurs sont négatifs. Le calcul résiduel peut être effectué et sauvegardé pour tous les modèles de régression. Toutes les données existantes dans la liste sélectionnée sont supprimées. Les points résiduels de chaque tracé sont mémorisés dans le même ordre de priorité que les données utilisées comme modèle.
Les statistiques à variable double peuvent être exprimées sous forme de graphes et de valeurs paramétriques. Lorsque des graphes sont affichés, les résultats du calcul à variable double apparaissent de la façon suivante lorsque vous appuyez sur 1(CALC)1(2VAR).
Σy somme des données stockées dans la liste y
1. Quand le résultat d’un calcul de régression est affiché (voir « Affichage des résultats de calculs de régression » à la page 6-12), appuyez sur 5(COPY). • La liste de relation du graphe du mode GRAPH s’affiche.*1 2. Utilisez f et c pour mettre en surbrillance la zone où vous voulez copier la formule de régression du résultat affiché. 3. Appuyez sur w pour stocker la formule graphique copiée et revenir à l’affichage précédent du résultat de calculs de régression. *1 Vous ne pouvez pas modifier les formules de régression de formules graphiques dans le mode GRAPH.
Vous devez entrer les données statistiques pour le calcul que vous voulez effectuer et spécifier où elles se trouvent avant de commencer un calcul. Affichez les données statistiques puis appuyez sur 2(CALC)6(SET).
1Var XList emplacement des valeurs statistiques x à variable unique (XList) 1Var Freq emplacement des valeurs d’effectifs de données à variable unique (Frequency) 2Var XList emplacement des valeurs statistiques x à variable double (XList) 2Var YList emplacement des valeurs statistiques y à variable double (YList) 2Var Freq emplacement des valeurs d’effectifs de données à variable double (Frequency) • Les calculs effectués dans cette partie utilisent les spécifications précédentes.
Dans l’exemple précédent de « Affichage des résultats du calcul d’un graphe à variable unique », les résultats des calculs statistiques étaient affichés après le tracé du graphe. Il s’agissait d’expressions numériques des caractéristiques de variables utilisées pour la représentation graphique. Ces valeurs peuvent aussi être obtenues directement en affichant la liste de données statistiques et en appuyant sur 2(CALC)1(1VAR).
Pour les détails sur la signification des valeurs statistiques, voir « Affichage des résultats du calcul d’un graphe à variable unique » (page 6-7).
Dans l’exemple précédent de « Affichage des résultats du calcul d’un graphe à variable double », les résultats des calculs statistiques étaient affichés après le tracé du graphe. Il s’agissait d’expressions numériques des caractéristiques de variables utilisées pour la représentation graphique. 6-17
Pour les détails sur la signification des valeurs statistiques, voir « Affichage des résultats du calcul d’un graphe à variable double » (page 6-16).
Dans « Graphe de régression linéaire » à « Graphe de régression logistique », les résultats des calculs de régression étaient affichés après le tracé du graphe. Ici, chaque coefficient de la ligne de régression ou de la courbe de régression est exprimé sous forme d’un nombre. Vous pouvez déterminer directement la même expression à partir de l’écran de saisie de données. Appuyez sur 2(CALC)3(REG) pour afficher un menu de fonctions qui contient les paramètres suivants. • {ax+b}/{a+bx}/{Med}/{X^2}/{X^3}/{X^4}/{Log}/{ae^bx}/{ab^x}/{Pwr}/{Sin}/{Lgst} ... paramètres de {régression linéaire (form ax+b)}/{régression linéaire (form a+bx)}/{MedMed}/{régression quadratique}/{régression cubique}/{régression quartique}/{régression logarithmique}/{régression exponentielle (form aebx)}/{régression exponentielle (form abx)}/{régression de puissance}/{régression sinusoïdale}/{régression logistique} Exemple
« Graphe de régression linéaire » à « Graphe de régression logistique ».
Vous pouvez utiliser le mode STAT pour calculer le coefficient de détermination (r2) pour une régression quadratique, une régression cubique et une régression quartique. Les types de calculs MSe suivants sont aussi disponibles pour chaque type de régression.
1. Après avoir tracé un graphe de régression, appuyez sur !5(G-SLV)1(Y-CAL) pour accéder au mode de sélection de graphe, puis appuyez sur w. Si plusieurs graphes sont affichés, utilisez f et c pour sélectionner le graphe souhaité, puis appuyez sur w. • La boîte de dialogue de saisie de la valeur x apparaît.
• Les coordonnées x et y apparaissent au bas de l’écran, et le pointeur se positionne au point correspondant sur le graphe. 6-19
• Le pointeur n’apparaît pas si les coordonnées calculées ne sont pas dans la plage d’affichage. • Les coordonnées n’apparaissent pas si « Off » est spécifié pour l’option « Coord » de l’écran de configuration. • La fonction Y-CAL peut aussi être utilisée avec un graphe tracé à l’aide de DefG.
Outre la fonction de copie de formules de régression qui permet de copier le résultat d’un calcul de régression après le tracé d’un graphe statistique (par ex. à un nuage de points), le mode STAT dispose aussi d’une fonction qui permet de copier la formule de régression résultant de ce calcul. Pour copier cette formule, appuyez sur 6(COPY).
Après avoir tracé un graphe de régression dans le mode STAT, vous pouvez utiliser le mode RUN • MAT (ou RUN) pour calculer les valeurs estimées des paramètres x et y du graphe de régression. Exemple
K5(STAT)*2()w * GRAPH25+ E II : 4(STAT) La valeur estimée est affichée pour xi = 20. baaa(valeur de yi) 1(xˆ )w La valeur estimée xˆ est affichée pour yi = 1000. • Vous ne pouvez pas obtenir une valeur estimée pour le graphe Med-Med, de régression quadratique, régression cubique, régression quartique, régression sinusoïdale ou régression logistique. 6-20
Vous pouvez calculer les probabilités d’une loi normale pour des statistiques à variable unique avec le mode RUN • MAT (ou RUN). Appuyez sur K6(g)3(PROB) (2(PROB) dans la GRAPH25+ E II) 6(g) pour afficher un menu de fonctions contenant les paramètres suivants. • {P(}/{Q(}/{R(} ... calcul de la valeur {P(t)}/{Q(t)}/{R(t)} avec la loi normale centrée réduite • {t(} ... {calcul de la valeur t(x) de la variante réduite} • La probabilité normale P(t), Q(t) et R(t), et la variante réduite t(x) sont calculées à l’aide des formules suivantes. Loi de probabilité normale standard
2(CALC)6(SET) 1(LIST)bw c2(LIST)cw!J(QUIT) 2. Entrez les commandes pour tracer un graphe à coordonnées rectangulaires. 3. Indiquez la valeur de probabilité. Exemple
k Détermination de l’ecart-type et de la variance à partir d’une liste de données Vous pouvez utiliser des fonctions pour déterminer l’écart-type et la variance pour des données spécifiées dans une liste. Ce calcul est effectué dans le mode RUN • MAT (ou RUN). Vous pouvez effectuer des calculs en utilisant des données sauvegardées dans une liste (Liste 1 à Liste 26) avec l’éditeur de liste du mode STAT ou avec des données entrées directement à partir de l’écran du mode RUN • MAT (ou RUN). Syntaxe
4. Appuyez sur les touches suivantes : K5(STAT)4(S • Dev)*J 1(LIST)1(List)b,1(List)c)w Le test Z à 2 proportion teste la proportion de succès de deux populations pour les comparer. Le test t teste l’hypothèse lorsque l’écart-type d’une population est inconnu. L’hypothèse qui est l’opposé de l’hypothèse prouvée est appelée hypothèse nulle, tandis que l’hypothèse prouvée est appelée hypothèse alternative. Le test t est normalement utilisé pour tester l’hypothèse nulle. Ensuite on détermine si l’hypothèse nulle ou l’hypothèse alternative doit être acceptée. Le test t à 1 échantillon teste l’hypothèse pour une moyenne inconnue d’une population lorsque l’écart-type de cette population est inconnu. Le test t à 2 échantillons compare les moyennes de populations lorsque les écart-types de ces populations sont inconnus. Le test t à régression linéaire calcule le degré de corrélation linéaire d’un couple de données. Pour le test χ2 on fournit un certain nombre de groupes indépendants et on teste une hypothèse par rapport à la probabilité des échantillons qui sont inclus dans chaque groupe. Le test χ2 de précision de l’ajustement à une entrée (« one-way » ou « GOF » (goodnessof-fit)) teste si le comptage observé des données d’échantillonnage s’ajuste à une certaine distribution. Par exemple, il peut être utilisé pour déterminer la conformité avec une loi normale ou une loi binomiale. Le test χ2 de précision de l’ajustement à double entrée crée un tableau à double entrée qui structure principalement deux variables qualitatives (telles que « Oui » et « Non ») et évalue l’indépendance des deux variables. Le test F à 2 échantillons vérifie l’hypothèse pour le taux de variances d’un échantillon. Il peut être utilisé, par exemple, pour vérifier les effets cancérogènes de plusieurs facteurs, tels que la consommation de tabac, l’alcool, la déficience en vitamines, une consommation abusive de café, l’inactivité, une mauvaise hygiène de vie, etc. ANOVA teste l’hypothèse selon laquelle les moyennes de populations des échantillons sont égales en présence d’échantillons multiples. Ce test peut être utilisé, par exemple, pour vérifier si différentes combinaisons de matériaux ont un effet sur la qualité et la durée du produit fini. One-Way ANOVA est utilisé en présence d’une variable indépendante et d’une variable dépendante. Two-Way ANOVA est utilisé en présence de deux variables indépendantes et d’une variable dépendante. Les diverses méthodes de calculs statistiques mentionnées ci-dessus sont expliquées aux pages suivantes. Vous trouverez de plus amples informations sur les principes et sur la terminologie statistiques dans les manuels de statistiques. Sur l’écran du mode initial STAT, appuyez sur 3(TEST) pour afficher le menu de tests qui contient les options suivants.
Deux points sont affichés dans le cas d’un test à deux extrémités. Utilisez d et e pour déplacer le pointeur. • 2(P) ... affiche la valeur p. Une pression de 2(P) affiche la valeur p au bas de l’écran sans pointeur. • L’exécution d’une fonction d’analyse sauvegarde les valeurs z et p respectivement dans les variables Z et P.
Ce test est utilisé lorsque l’écart-type d’une population est connu pour vérifier l’hypothèse. Le test Z à 1 échantillon s’applique à la répartition normale. Utilisez les touches suivantes en partant de la liste de données statistiques. 3(TEST) 1(Z) 1(1-S) Ce test est utilisé pour vérifier l’hypothèse lorsque les écarts-types de deux populations sont connus. Le test Z à 2 échantillons s’applique à la répartition normale. Utilisez les touches suivantes en partant de la liste de données statistiques. 3(TEST) 1(Z) 2(2-S) Utilisez les touches suivantes en partant de la liste de données statistiques. 3(TEST) 1(Z) 3(1-P) Utilisez les touches suivantes à partir de la liste de données statistiques. 3(TEST) 1(Z) 4(2-P) Deux points sont affichés dans le cas d’un test à deux extrémités. Utilisez d et e pour déplacer le pointeur. • 2(P) ... affichage de la valeur p. Une pression de 2(P) affiche la valeur p au bas de l’écran sans pointeur. • L’exécution d’une fonction d’analyse sauvegarde respectivement les valeurs t et p dans les variables T et P.
Ce test vérifie l’hypothèse pour la moyenne inconnue d’une population lorsque l’écart-type de cette population est inconnu. Le test t à 1 échantillon s’applique à la répartition en t. Utilisez les touches suivantes en partant de la liste de données statistiques. 3(TEST) 2(t) 1(1-S) Le test t à régression linéaire traite les ensembles de données à variables doubles comme paires (x, y) et utilise la méthode des moindres carrés pour déterminer les coefficients a, b les mieux appropriés des données de la formule de régression y = a + bx. Il détermine aussi le coefficient de corrélation et la score t, et calcule le degré de la relation entre x et y. Utilisez les touches suivantes en partant de la liste de données statistiques. 3(TEST) 2(t) 3(REG) • Vous ne pouvez pas tracer un graphe pour le test t à régression linéaire. • [Save Res] ne sauvegarde pas les conditions β et ρ de la deuxième ligne. • Lorsque la liste spécifiée par [Save Res] est identique à la liste spécifiée par l’option [Resid List] sur l’écran de réglage, seules les données [Resid List] sont sauvegardées dans la liste.
• Fonctions ordinaires de test 2 Vous pouvez utiliser les fonctions d’analyse de graphe suivantes après le tracé d’un graphe. • 1(CHI) ... affichage de la valeur χ2. Une pression de 1(CHI) affiche la valeur χ2 au bas de l’écran et le pointeur à l’endroit correspondant sur le graphe (à moins qu’il ne sorte de l’écran). • 2(P) ... affichage de la valeur p. Une pression de 2(P) affiche la valeur p au bas de l’écran sans pointeur. • L’exécution d’une fonction d’analyse sauvegarde les valeurs χ2 et p respectivement dans les variables C et P.
Le test 2 de précision de l’ajustement (GOF = « goodness-of-fit ») ou test 2 à une entrée teste si l’effectif des données d’échantillonnage s’ajuste à une loi donnée. Par exemple, il peut être utilisé pour déterminer la conformité avec une loi normale ou une loi binomiale. 6-31
3(TEST) Expected nom de la Liste (1 à 26) qui sert à sauvegarder l’effectif espéré CNTRB Spécifie une liste (Liste 1 à Liste 26) comme lieu de stockage pour les contributions de chaque comptage observé et obtenues comme résultats du calcul. Exemple d’affichage des résultats d’un calcul
Le test χ2 configure un nombre de groupes indépendants et teste l’hypothèse en relation à la proportion de l’échantillon comprise dans chaque groupe. Le test χ2 s’applique aux variables dichotomiques (variables offrant deux possibilités, comme oui ou non). Utilisez les touches suivantes en partant de la liste de données statistiques. 3(TEST) 3(CHI) 2(2WAY) Expected nom de la matrice (A à Z) réservée à la sauvegarde des effectifs attendus
• Une pression de 2('MAT) pendant le réglage des paramètres fait passer à l’éditeur matrices où le contenu des matrices peut être changé et vérifié. • Une pression de 6('MAT) pendant l’affichage du résultat d’un calcul fait passer à l’éditeur de matrices où le contenu des matrices peut être changé et vérifié. • La commutation de l’éditeur de matrices à l’éditeur de vecteurs n’est pas prise en charge.
Le test F à 2 échantillons vérifie l’hypothèse pour le taux de variances d’un échantillon. Le test F s’applique à la probabilité F. Utilisez les touches suivantes en partant de la liste de données statistiques. 3(TEST) 4(F)
Deux points apparaissent dans le cas d’un test à deux extrémités. Utilisez d et e pour déplacer le curseur. • 2(P) ... affichage de la valeur p. Une pression de 2(P) affiche la valeur p au bas de l’écran sans pointeur. • L’exécution d’une fonction d’analyse sauvegarde les valeurs F et p respectivement dans les variables F et P. • [Save Res] ne sauvegarde pas la condition σ1 de la ligne 2.
égales en présence d’échantillons multiples. One-Way ANOVA est utilisé s’il y a une variable indépendante et une variable dépendante. Two-Way ANOVA est utilisé s’il y a deux variables indépendantes et une variable dépendante. Utilisez les touches suivantes en partant de la liste de données statistiques. 3(TEST) 5(ANOV)
How Many sélection de One-Way ANOVA ou de Two-Way ANOVA (nombre de niveaux) Factor A liste de catégories (Liste 1 à 26) Dependnt liste à utiliser pour les données d’échantillons (Liste 1 à 26) Save Res liste pour la sauvegarde des résultats des calculs (Aucune ou Liste 1 à 22)*1 Exécuter exécution d’un calcul et tracé d’un graphe (Two-Way ANOVA seulement) *1 [Save Res] sauvegarde chaque colonne verticale du tableau dans sa propre liste. La colonne extrême gauche est sauvegardée dans la liste spécifiée, et chacune des autres colonnes de droite est sauvegardée dans l’ordre dans les autres listes. En tout cinq listes peuvent être utilisées pour la sauvegarde de colonnes. Vous pouvez désigner un numéro de 1 à 22 pour la première liste. L’option suivante apparaît seulement dans le cas de Two-Way ANOVA. Factor B liste de catégories (Liste 1 à 26) Lorsque tous les paramètres ont été réglés, amenez la surbrillance sur « Exécuter » puis appuyez sur une des touches de fonction suivantes pour effectuer le calcul ou tracer le graphe. • 1(CALC) ... exécution du calcul • 6(DRAW) ... tracé du graphe (Two-Way ANOVA seulement) 6-34
Exemple de données et de résultats de calcul One-Way ANOVA Données
MS moyenne des carrés Avec Two-Way ANOVA, des graphes interactifs peuvent être tracés. Le nombre de graphes dépend du Facteur B, tandis que le nombre de données sur l’axe X dépend du Facteur A. L’axe Y est la valeur moyenne de chaque catégorie. Vous pouvez utiliser les fonctions d’analyse de graphe suivantes après le tracé d’un graphe. • 1(Trace) ou !1(TRCE) ... fonction d’affichage des coordonnées 6-35
• La représentation graphique n’est possible qu’avec Two-Way ANOVA. Les réglages de la fenêtre d’affichage sont automatiques, quels que soient les réglages de l’écran de réglage. • A l’emploi de la fonction Trace, le nombre de conditions est sauvegardé dans la variable A et la valeur moyenne dans la variable M.
Le tableau suivant montre les résultats des mesures effectuées sur un produit métallique dont le processus de fabrication par soumission à la chaleur dépend de deux facteurs : la durée (A) et la température (B). Les expériences ont été répétées deux fois, chacune dans des conditions identiques. B (Température de soumission à la chaleur) A (Durée de soumission à la chaleur)
Ho : Aucun changement de la résistance dû à l’interaction de la durée et de la température
Utilisez Two-Way ANOVA pour vérifier l’hypothèse ci-dessus. Saisissez les données précédentes, comme indiqué ci-dessous. • Niveau de différence de durée (A) de signification P = 0,2458019517 Le niveau de signification (p = 0,2458019517) est supérieur au niveau de signification (0,05) si l’hypothèse ne dément pas. • Niveau de différentielle de température (B) de signification P = 0,04222398836 Le niveau de signification (p = 0,04222398836) est inférieur au niveau de signification (0,05), si bien que l’hypothèse dément. • Niveau d’interaction (A × B) de signification P = 2,78169946e-3 Le niveau de signification (p = 2,78169946e-3) est inférieur au niveau de signification (0,05), si bien que l’hypothèse dément. 6-36
Un intervalle trop large ne permet pas de bien situer la valeur (vraie valeur) de la population. Un intervalle trop étroit, par contre, limite la valeur de la population et ne permet pas d’obtenir des résultats toujours fiables. Les niveaux de confiance les plus souvent utilisés sont de 95% et 99%. L’élévation du niveau de confiance élargit l’intervalle de confiance tandis que l’abaissement du niveau de confiance restreint le niveau de confiance, mais augmente les risques de négliger la valeur de la population. Avec un intervalle de 95% par exemple, la valeur de la population n’est pas incluse dans les intervalles résultants dans 5% des cas. Quand vous voulez effectuer une enquête et vérifier ensuite les données à l’aide des tests t et Z, vous devez aussi tenir compte de la taille de l’échantillon, de la largeur de l’intervalle de confiance et du niveau de confiance. Le niveau de confiance change selon l’application. L’intervalle Z à 1 échantillon calcule l’intervalle de confiance quand l’écart-type d’une population est connu. 6-37
L’intervalle Z à 1 proportion calcule l’intervalle de confiance quand la proportion est inconnue. L’intervalle Z à 2 proportions calcule l’intervalle de confiance quand deux proportions sont inconnues. L’intervalle t à 1 échantillon calcule l’intervalle de confiance pour une moyenne inconnue d’une population lorsque l’écart-type de cette population est inconnu. L’intervalle t à 2 échantillons calcule l’intervalle de confiance pour la différence entre les moyennes de deux populations lorsque les deux écarts-types de ces populations sont inconnus. Sur l’écran du mode initial STAT, appuyez sur 4(INTR) pour afficher le menu d’intervalle de confiance, qui contient les paramètres suivants. • 4(INTR)1(Z) ... intervalles Z (page 6-38) 2(t) ... intervalles t (page 6-40) Lorsque tous les paramètres ont été réglés, utilisez c pour surligner « Exécuter », puis appuyez sur une des touches de fonction suivantes pour effectuer le calcul. • 1(CALC) ... exécute le calcul • Les fonctions d’intervalle de confiance ne peuvent pas être représentées graphiquement.
La saisie d’une valeur comprise entre 0 < C-Level < 1 pour le réglage C-Level définit la valeur telle quelle. La saisie d’une valeur comprise entre 1 < C-Level < 100 définit une valeur équivalente au 100e du nombre saisi.
L’intervalle Z à 1 échantillon calcule l’intervalle de confiance pour une moyenne inconnue d’une population lorsque l’écart-type de cette population est inconnu. Utilisez les touches suivantes en partant de la liste de données statistiques. 4(INTR) 1(Z) 1(1-S) Utilisez les touches suivantes en partant de la liste de données statistiques. 4(INTR) 1(Z) 2(2-S) Utilisez les touches suivantes en partant de la liste de données statistiques. 4(INTR) 2(t) 2(2-S) Lorsque le type de probabilité a été déterminée, certaines tendances peuvent être observées. Vous pouvez calculer la probabilité des données extraites d’une répartition inférieure à une valeur donnée. Par exemple, la répartition peut être utilisée pour calculer le taux de rendement pour la fabrication d’un produit. Après avoir défini une valeur comme critère, vous pouvez calculer la probabilité normale en estimant le pourcentage de produits répondant à ce critère. Inversement, un taux de succès (par exemple 80%) peut être pris comme hypothèse pour estimer la proportion de produits atteignant cette valeur par la loi normale. La densité de probabilité normale calcule la densité de la probabilité d’une loi normale depuis une valeur x spécifiée. La loi normale cumulative calcule la probabilité des données d’une loi normale entre deux valeurs précises. La loi normale cumulative inverse calcule une valeur représentant le lieu à l’intérieur d’une loi normale pour une probabilité cumulée précise. La densité de probabilité t de Student calcule la densité de probabilité t à partir d’une valeur spécifique x. La loi t de Student cumulative calcule la probabilité des données de loi t comprises entre deux valeurs données. La loi t de Student cumulative inverse calcule la valeur de la borne inférieure d’une densité de probabilité t de Student cumulative pour un pourcentage spécifié. Tout comme la loi de probabilité t, la densité de probabilité (ou la probabilité), la probabilité cumulative et la probabilité cumulative inverse peut être calculée pour les lois de probabilité χ2, F, binomial, Poisson, géométrique et hypergéométrique. Sur l’écran du mode initial STAT, appuyez sur 5(DIST) pour afficher le menu de lois qui contient les options suivantes. • 5(DIST)1(NORM) ... loi normale (page 6-42) 2(t) ... loi t de Student (page 6-44) 3(CHI) ... loi de probabilité χ2 (page 6-45) 4(F) ... loi de probabilité F (page 6-46) Procédez de la façon suivante pour utiliser la fonction P-CAL. 1. Après avoir tracé un graphe de répartition, appuyez sur !5(G-SLV) 1(P-CAL) pour afficher la boîte de dialogue de saisie de la valeur x. 2. Saisissez la valeur souhaitée pour x puis appuyez sur w. • Les valeurs x et p apparaissent au bas de l’écran et le pointeur se positionne sur le point correspondant du graphe. 3. Une pression de v ou d’une touche numérique à ce moment fait réapparaître la boîte de dialogue de saisie de la valeur x pour effectuer un autre calcul de la valeur estimée. 4. Lorsque vous avez terminé, appuyez sur J pour dégager les valeurs des coordonnées et le pointeur de l’écran. • L’exécution d’une fonction d’analyse sauvegarde les valeurs x et p respectivement dans les variables X et P.
5(DIST)1(NORM)1(Npd) Quand une liste est spécifiée, les résultats des calculs pour chaque élément de la liste sont affichés sous forme de liste.
• En spécifiant = 1 et = 0 on spécifie la loi normale standard. Exemple d’affichage des résultats d’un calcul
Quand une liste est spécifiée
• La loi normale cumulée inverse ne peut pas être représentée graphiquement.
Quand une liste est spécifiée
Quand une liste est spécifiée
La Loi t de Student cumulative inverse calcule la valeur de la borne inférieure d’une probabilité t de Student cumulative pour une valeur spécifiée de df (« degrees of freedom » : nombre de degrés de liberté).
• Densité de probabilité 2
Quand une liste est spécifiée
• Densité de probabilité F
Graphe quand la variable (x) est spécifiée
Quand une liste est spécifiée
Quand une liste est spécifiée
Quand la variable (x) est spécifiée
Lors de l’exécution du calcul de la Loi binomiale cumulative inverse, pour calculer les valeurs du nombre minimum d’essais la calculatrice utilise l’aire Area spécifiée et la valeur du nombre minimum de chiffres significatives de la valeur de l’aire (valeur `Area). Les résultats sont affectés aux variables système xlnv (résultat du calcul en utilisant l’aire Area) et `xInv (résultat du calcul en utilisant `Area). La calculatrice affiche toujours la seule valeur xInv. Cependant, quand les valeurs de xlnv et de `xlnv sont différentes, le message ci-dessous apparaît avec les deux valeurs.
Quand une liste est spécifiée
Quand une liste est spécifiée
Quand une liste est spécifiée
Lors de l’exécution du calcul de la Loi de Poisson cumulative inverse, pour calculer les valeurs du nombre minimum d’essais la calculatrice utilise l’aire Area spécifiée et la valeur du nombre minimum de chiffres significatives de la valeur de l’aire (valeur `Area). Les résultats sont affectés aux variables système xlnv (résultat du calcul en utilisant l’aire Area) et `xInv (résultat du calcul en utilisant `Area). La calculatrice affiche toujours la seule valeur xInv. Cependant, quand les valeurs de xlnv et de `xlnv sont différentes, le message apparaît avec les deux valeurs. Les résultats d’un calcul de la Loi de Poisson cumulative inverse sont des entiers. La précision peut être réduite lorsque le premier argument a 10 chiffres ou plus. Notez que même une légère différence dans la précision du calcul a une incidence sur le résultat de ce calcul. Si un message d’avertissement apparaît, vérifiez les valeurs affichées.
5(DIST)6(g)2(GEO)1(Gpd)
Quand une liste est spécifiée
Lors de l’exécution du calcul de la Loi géométrique cumulative inverse, pour calculer les valeurs du nombre minimum d’essais la calculatrice utilise l’aire Area spécifiée et la valeur du nombre minimum de chiffres significatives de la valeur de l’aire (valeur `Area). Les résultats sont affectés aux variables système xlnv (résultat du calcul en utilisant l’aire Area) et `xInv (résultat du calcul en utilisant `Area). La calculatrice affiche toujours la seule valeur xInv. Cependant, quand les valeurs de xlnv et de `xlnv sont différentes, le message apparaît avec les deux valeurs. Les résultats d’un calcul de la Loi géométrique cumulative inverse sont des entiers. La précision peut être réduite lorsque le premier argument a 10 chiffres ou plus. Notez que même une légère différence dans la précision du calcul a une incidence sur le résultat de ce calcul. Si un message d’avertissement apparaît, vérifiez les valeurs affichées.
Quand une liste est spécifiée
Quand une liste est spécifiée
La Loi hypergéométrique cumulative inverse calcule le nombre minimum d’essais d’une loi hypergéométrique cumulative pour des valeurs spécifiées.
Lors de l’exécution du calcul de la Loi hypergéométrique cumulative inverse, pour calculer les valeurs du nombre minimum d’essais la calculatrice utilise l’aire Area spécifiée et la valeur du nombre minimum de chiffres significatives de la valeur de l’aire (valeur `Area). Les résultats sont affectés aux variables système xlnv (résultat du calcul en utilisant l’aire Area) et `xInv (résultat du calcul en utilisant `Area). La calculatrice affiche toujours la seule valeur xInv. Cependant, quand les valeurs de xlnv et de `xlnv sont différentes, le message apparaît avec les deux valeurs. Les résultats d’un calcul de la Loi hypergéométrique cumulative inverse sont des entiers. La précision peut être réduite lorsque le premier argument a 10 chiffres ou plus. Notez que même une légère différence dans la précision du calcul a une incidence sur le résultat de ce calcul. Si un message d’avertissement apparaît, vérifiez les valeurs affichées.
(GRAPH35+ E II seulement) Ce qui suit explique les termes d’entrée et d’affichage utilisés lors des tests, intervalles de confiance et de la loi de probabilité.
Data ... type de données
List1 liste dont le contenu doit être utilisé comme données d’échantillon 1 (liste 1 à 26) List 2 liste dont le contenu doit être utilisé comme données d’échantillon 2 (liste 1 à 26) Freq effectif (1 ou liste 1 à 26) Freq1 effectif de l’échantillon 1 (1 ou liste 1 à 26) Freq2 effectif de l’échantillon 2 (1 ou liste 1 à 26) Exécuter exécution d’un calcul ou tracé d’un graphe Upper (Lois de probabilité)borne supérieure
Numtrial (Lois de probabilité) ...nombre d’essais
M (Lois de probabilité) nombre de réussites dans la population (0 M entier) N (Lois de probabilité) taille de la population (n N, M N entier)
Loi de probabilité normale
– p(x) = 1 e k Traçage de graphes dans le mode TVM Après avoir effectué un calcul financier, vous pouvez utiliser la touche 6(GRPH) pour tracer le graph des résultats, comme indiqué ci-dessous. 7-1
• Les graphes ne doivent servir qu’à titre de référence lorsque vous consultez les résultats d’un calcul en mode TVM. • Notez que les résultats obtenus dans ce mode ne doivent servir qu’à titre de référence. • Quand vous effectuez une transaction financière, veillez à toujours vérifier les résultats obtenus sur cette calculatrice avec les sommes indiquées par votre service financier.
Cette calculatrice utilise les formules suivantes pour calculer un intérêt simple.
• {GRPH} … {tracé de graphe}
Trace et relever les résultats du calcul sur le graphe. Lorsque la fonction Trace est activée, la valeur affichée change à chaque pression de e de la façon suivante : valeur actuelle (PV) → intérêt simple (SI) → valeur capitalisée simple (SFV). La valeur change en sens inverse si vous appuyez sur d. Presser J pour revenir à l’écran de saisie de paramètre.
Cette calculatrice utilise les formules types suivantes pour calculer les intérêts composés.
I% taux d’intérêt annuel PV valeur actualisée (montant du prêt dans le cas d’un emprunt, capital dans le cas d’un plan d’épargne)
C/Y périodes de composition par année Important ! Saisie de valeurs Une période (n) est exprimée par une valeur positive. La valeur actualisée (PV) ou la valeur capitalisée (FV) est positive, tandis que l’autre (PV ou FV) est négative. Précision Cette calculatrice effectue des calculs d’intérêt au moyen de la méthode de Newton, qui produit des valeurs approximatives dont la précision peut dépendre des différentes conditions 7-4
Après avoir réglé les paramètres, utilisez un des menus de fonctions mentionnés ci-dessous pour effectuer le calcul correspondant. • {n} … {nombre de périodes de composition} • {I%} … {taux d’intérêt annuel} • {PV} … {valeur actuelle} (Prêt : montant du prêt, Epargne : solde) • {PMT} … {paiement} (Prêt : versement ; Epargne : dépôt) • {REPT} … {écran de saisie des paramètres} • {AMT} … {écran d’amortissement} • {GRPH} … {tracé de graphe}
Trace et relever les résultats du calcul sur le graphe. Presser J pour revenir à l’écran de saisie de paramètre.
Cette calculatrice utilise la méthode du « Cash-Flow en Escompte » (DCF) pour effectuer une évaluation d’investissement par la sommation de cash-flow pour une période donnée. Elle effectue les quatre types d’évaluations d’investissement suivants. • Valeur actualisée nette (NPV) • Valeur capitalisée nette (NFV) • Taux de rendement interne (IRR) • Période d’amortissement (PBP) Le graphique de cash-flow suivant facilite la visualisation du mouvement des fonds.
Après avoir réglé les paramètres, utilisez un des menus de fonctions mentionnés ci-dessous pour effectuer le calcul correspondant.
Utilisez un des menus de fonctions suivants pour passer d’un écran de résultat à l’autre. • {REPT} … {écran de saisie des paramètres} • {GRPH} … {tracé de graphe}
Trace et relever les résultats du calcul sur le graphe. Presser J pour revenir à l’écran de saisie de paramètre.
Cette calculatrice permet de calculer le montant du capital et le montant des intérêts d’un versement mensuel, le solde du capital et le montant total du capital et des intérêts remboursés à un point donné.
Après avoir réglé les paramètres, utilisez un des menus de fonctions mentionnés ci-dessous pour effectuer le calcul correspondant. • {BAL} … {solde du capital après le versement PM2} • {INT} … {partie intérêts du versement PM1} • {PRN} … {partie capital du versement PM1} • {ΣINT} … {total des intérêts payés du versement PM1 au versement PM2} • {ΣPRN} … {total des intérêts payés du versement PM1 au versement PM2} • {CMPD} … {écran de l’intérêt composé}
Utilisez un des menus de fonctions suivants pour passer d’un écran de résultat à l’autre. • {REPT} … {écran de saisie des paramètres} • {CMPD} … {écran de l’intérêt composé} • {GRPH} … {tracé de graphe}
Trace et relever les résultats du calcul sur le graphe. La première pression de !1(TRCE) affiche INT et PRN quand n = 1. Chaque pression de e affiche INT et PRN quand n = 2, n = 3, etc. Presser J pour revenir à l’écran de saisie de paramètre.
Les procédures décrites ici indiquent comment convertir le taux de pourcentage annuel en taux d’intérêt réel, et inversement. 7-9
• Une erreur (Erreur math) se produit si les paramètres ne sont pas configurés correctement. Utilisez le menu de fonction suivant pour passer d’un écran de résultat à l’autre. • {REPT} … {écran de saisie des paramètres}
Le coût, le prix de vente ou la marge bénéficiaire peuvent être calculés lorsque les deux autres valeurs sont définies.
Vous pouvez calculer le nombre de jours entre deux dates ou déterminer quelle est la date un certain nombre de jours après ou avant une autre date.
6(g)2(DAYS) d1 date 1 d2 date 2 D nombre de jours Pour saisir une date, mettez d’abord d1 ou d2 en surbrillance. Au moment où vous appuyez sur une touche numérique pour indiquer le mois, un écran de saisie similaire à l’écran suivant apparaît.
Après avoir réglé les paramètres, utilisez un des menus de fonctions mentionnés ci-dessous pour effectuer le calcul correspondant. • {PRD} … {nombre de jours de d1 à d2 (d2 – d1)} • {d1+D} … {d1 plus le nombre de jours (d1 + D)} • {d1–D} … {d1 moins le nombre de jours (d1 – D)} 7-11
Utilisez le menu de fonction suivant pour passer d’un écran de résultat à l’autre. • {REPT} … {écran de saisie des paramètres} • L’écran de configuration peut être utilisé pour spécifier une année de 365 ou 360 jours pour les calculs financiers. Les calculs de jours et de dates sont aussi effectués en fonction du nombre de jours préréglés pour une année, mais les calculs suivants ne peuvent pas être effectués quand une année de 360 jours est préréglée. Toute tentative de calcul dans ce cas provoquera une erreur. (Date) + (Nombre de jours) (Date) – (Nombre de jours) • La plage de calcul va du 1er janvier 1901 au 31 décembre 2099.
Procédez de la façon suivante pour effectuer des calculs lorsque 360 jours est spécifié pour Date Mode sur l’écran de configuration. • Si d1 est le 31e jour d’un mois, d1 est considéré comme le 30e jour de ce mois. • Si d2 est le 31e jour d’un mois, d2 est considéré comme le 1er jour du mois suivant, à moins que d1 soit le 30.
La fonction de dépréciation vous permet de calculer la quantité par laquelle le montant d’une dépense d’entreprise peut se réduire par rapport à sa valeur de revenu (s’amortir) sur une année donnée. • Cette calculatrice supporte les types de calcul de dépréciation suivants : constant (SL : straight-line) ; à taux fixe (FP : fixed-percentage) ; proportionnel à l’ordre numérique inversé des années (SYD : sum-of-the-years’-digits) et dégressif (DB : declining-balance) • Toutes les méthodes mentionnées ci-dessus peuvent être utilisées pour calculer la dépréciation sur une période donnée. Un tableau et un graphe du montant amorti et non amorti pour l’année j.
SLj (PV–FV ) {Y–1} u Y−1 nombre de mois dans la première année de dépréciation Après avoir configuré les paramètres, utilisez un des menus de fonction ci-dessous pour effectuer le calcul correspondant. • {SL} … {Calcul de la dépréciation pour l’année j en utilisant la méthode de dépréciation constant} • {FP} ... {FP} ....{Calcul de la dépréciation pour l’année j en utilisant la méthode de dépréciation à taux fixe} {I%} {Calcul du taux de dépréciation} • {SYD} … {Calcul de la dépréciation pour l’année j en utilisant la méthode de dépréciation proportionnel à l’ordre numérique inversé des années} • {DB} … {Calcul de la dépréciation pour l’année j en utilisant la méthode de la dépréciation dégressif} Exemples de sorties du résultat du calcul
• {TABL} … {affiche le tableau} • {GRPH} … {trace le graphe}
Un calcul d’obligation vous permet de calculer le prix d’achat ou le rendement annuel d’une obligation. Avant de commencer les calculs d’obligations, utilisez l’écran de configuration des paramètres « Date Mode » et « Periods/YR. » (page 7-1). 7-14
B : nombre de jours entre la date de règlement et la prochaine date d’échéance du coupon
CST : prix intérêts compris (coût) u Prix par 100 USD de valeur nominale (PRC) • Pour une (ou moins d’une) période de coupon jusqu’au rachat (BOND) à partir de l’écran Finance 2. 7-15
Exemples de sorties du résultat du calcul
• {GRPH} … {trace le graphe} • {MEMO} … {affiche le nombre de jours utilisé pour les calculs} Écran MEMO • Les lignes suivantes expliquent la signification des éléments de l’écran MEMO :
N nombre d’échéances de coupons entre la date de règlement et la date de rachat A jours accumulés B nombre de jours entre la date de règlement et la prochaine date d’échéance du
Pour calculer l’intérêt total et le capital payés pour un prêt de 300 USD sur 2 ans (730 jours) à un taux d’intérêt simple annuel de 5%. Utilisez un paramètre « Date Mode » configuré à 365.
2. Appuyez sur les touches suivantes : K6(g)6(g)6(g)1(TVM) 1(SMPL)1(SI)xda,f, daa)w 2(SFV)xda,f,daa) w • Pour plus de détails sur les usages des fonctions de calculs financiers et sur leur syntaxe, voir « Réalisation de calculs financiers dans un programme » (page 8-40).
2. Enregistrez un nom de fichier.
4. Lancez le programme. • Les valeurs à droite dans la liste de programmes indiquent le nombre d’octets utilisés par chaque programme. • Un nom de fichier peut contenir jusqu’à huit caractères. • Vous pouvez utiliser les caractères suivants pour les noms de fichier : A à Z, r, θ, espaces, [, ], {, }, ’, ”, ~, 0 à 9, ., +, –, ×, ÷ • L’enregistrement d’un nom de fichier utilise 32 octets de mémoire. Calculer l’aire (cm2) et le volume (cm3) de trois octaèdres réguliers dont les côtés mesurent 7, 10 et 15 cm
• Lorsque le résultat final d’un programme exécuté au moyen de cette méthode est affiché, une pression sur w réexécute le programme. • Une erreur se produit si le programme spécifié par Prog "<nom de fichier>" ne peut pas être trouvé.
Seuls les menus de fonction {NEW} et {LOAD}* s’affichent si la mémoire ne contient aucun fichier de programme. • {EXE}/{EDIT} ... {exécuter}/{éditer} programme • {NEW} ... {nouveau programme} • {DEL}/{DEL • A} ... suppression de {programme particulier}/{tous les programmes} • {SRC}/{REN} ... nom fichier {recherche}/{modifier} * Ne sont pas inclus sur la GRAPH25+ E II.
• {RUN}/{BASE} ... entrée de programme {calcul général}/{base numérique} • {Q} ... {enregistrement d’un mot de passe} • {SYBL} ... {menu de symboles}
• {TOP}/{BTM} ... {début}/{fin} du programme • {SRC} ... {recherche} • {MENU} ... {liste des menus} • {STAT}/{MAT}*/{LIST}/{GRPH}/{DYNA}*/{TABL}/{RECR}* • {CTL} ... {menu de commandes de contrôle de programmation} • {JUMP} ... {menu de commande de saut} • {?}/{^} ... commande {de saisie}/{d’affichage} • {CLR}/{DISP} ... menu de commande de {suppression}/{affichage} • {REL} ... {menu d’opérateurs relationnels avec saut conditionnel} • {I/O} ... {menu de commande de contrôle/transfert d’entrée/sortie} • {:} ... {commande d’instructions multiples} • {STR} ... {commande de chaîne} Voir « Guide des commandes » à la page 8-9 pour tous les détails sur ces commandes. • Lorsque vous appuyez sur !m(SET UP), le menu de commandes de mode ci-dessous apparaît. • {ANGL}/{COOR}/{GRID}/{AXES}/{LABL}/{DISP}/{S/L}/{DRAW}/{DERV}/{BACK}/{FUNC}/ {SIML}/{S-WIN}/{LIST}/{LOCS}*/{T-VAR}/{ΣDSP}*/{RESID}/{CPLX}/{FRAC}/{Y•SPD}*/ {DATE}*/{PMT}*/{PRD}*/{INEQ}/{SIMP}/{Q1Q3} * Ne sont pas inclus sur la GRAPH25+ E II. Voir « Menus de touches de fonction sur l’écran de configuration » à la page 1-31 pour les détails au sujet de chaque commande.
• {TOP}/{BTM}/{SRC} • {MENU} • Résultats qui ne correspondent pas aux prévisions
Un message d’erreur comparable au message suivant apparaît quand un problème se présente pendant l’exécution d’un programme.
« Tableau des messages d’erreur » (page α-1) pour savoir quelles dispositions prendre pour corriger le problème. • Notez que la position de l’erreur ne sera pas indiquée lorsque vous appuyez sur J si le programme est protégé par un mot de passe.
Si le programme aboutit à un résultat qui ne correspond pas à vos attentes, vérifiez le contenu du programme et effectuez les modifications nécessaires. 1(TOP) ... Positionne le curseur en début de programme 2(BTM)... Positionne le curseur en fin de programme
2. Appuyez sur 3(SRC) et saisissez les données que vous recherchz. 3(SRC) av(A)
4. Chaque pression de w ou 1(SRC) provoque le passage du curseur sur le cas suivant des données spécifiées.*2 *1 Le message « Non trouvé » apparaîtra si la donnée recherchée ne pourra pas être localisée dans le programme. *2 La recherche s’arrête lorsque les données recherchées ont toutes été localisées. • Vous ne pouvez pas spécifier le retour à la ligne (_) ni la commande d’affichage (^) pour la donnée recherchée. • Lorsque le contenu du programme est affiché, vous pouvez utiliser les touches du pavé directionnel pour placer le curseur à un autre endroit avant de chercher la prochaine occurrence de la donnée. La recherche ne s’effectuera que sur la partie du programme débutant à la position du curseur lorsque vous appuierez sur w. • Lorsque la donnée recherchée est localisée, la recherche s’arrête si vous saisissez des données ou déplacez le curseur. • Si vous faites une erreur lors de la saisie de caractères, appuyez sur A pour annuler la saisie et recommencez depuis le début.
OCTA • Le nom commençant par les caractères que vous avez saisis est mis en surbrillance. • Si aucun programme ne commence par les caractères que vous avez saisis, le message « Non trouvé » apparaitra à l’écran. Dans ce cas, appuyez sur J pour annuler le message d’erreur.
La liste de programmes est retriée selon les changements effectués dans le nom de fichier. • Si, après modification, le nouveau nom de fichier est identique à un nom de programme stocké en mémoire, le message « Existe déjà » apparaitra. Dans ce cas, vous pouvez effectuer une des deux opérations suivantes pour corriger le problème. - Presser J pour effacer l’erreur et revenir à l’écran d’édition du nom de fichier. - Presser A pour nettoyer le nom de fichier entré et en introduire un nouveau.
1. Quand la liste de programmes est à l’écran, utilisez f et c pour amener la surbrillance sur le nom du programme que vous voulez supprimer. 2. Appuyez sur 4(DEL). 3. Appuyez sur 1(Oui) pour supprimer le programme sélectionné ou sur 6(Non) pour abandonner l’opération sans rien supprimer.
1. Quand la liste de programmes est à l’écran, appuyez sur 5(DEL • A). 2. Appuyez sur 1(Oui) pour supprimer tous les programmes ou sur 6(Non) pour abandonner l’opération sans rien supprimer. • Vous pouvez aussi effacer tous les programmes en accédant au mode MEMORY. Voir « Chapitre 11 Gestionnaire de la mémoire » pour les détails.
(GRAPH35+ E II seulement) Vous pouvez convertir les programmes créés sur cette calculatrice en un fichier texte et utiliser ensuite un éditeur de texte ou une autre application sur votre ordinateur pour les modifier. Vous pouvez également convertir les fichiers texte créés et édités sur votre ordinateur en un programme qui pourra ensuite être exécuté par la calculatrice.
La conversion des programmes et des fichiers texte est soumise aux règles suivantes. • Certains caractères du nom du programme sont automatiquement remplacés et le résultat produit le nom du fichier lorsque vous convertissez un programme en un fichier texte. Lorsque vous convertissez un fichier texte en un programme, le nom du programme sera attribué en effectuant la conversion en sens inverse.
• La conversion d’un programme en un fichier texte a pour effet que toutes les commandes du programme qui sont spécifiques à la calculatrice scientifique CASIO sont remplacées par les chaînes de caractères spéciales correspondantes. À l’inverse, la conversion d’un fichier texte en un programme convertit de nouveau les chaînes de caractères spéciales en leurs commandes respectives. Voir « Tableau de conversion des commandes spéciales de la calculatrice scientifique CASIO ⇔ Texte » (page 8-47) pour plus d’informations sur les commandes des programmes et leurs chaînes de caractères spéciales correspondantes.
1. Dans la liste de programmes, utilisez f et c pour mettre en surbrillance le nom du programme que vous voulez convertir en un fichier texte. 2. Appuyez sur 6(g)3(SV • AS). • La conversion en un fichier texte commence alors. Le message « Complet! » apparaît lorsque la conversion est terminée. Appuyez sur J pour fermer la boîte de dialogue du message. • Le fichier texte produit est stocké dans le dossier PROGRAM de la mémoire de stockage, sous un nom qui est en principe le même que le fichier original, à l’exception de certains caractères spéciaux. Reportez-vous à « Règles de conversion des programmes et des fichiers texte » (page 8-6) pour les détails sur les exceptions relatives aux caractères spéciaux.
Un programme protégé par un mot de passe ne peut pas être converti en un fichier texte.
Important ! L’utilisation de la procédure ci-après pour convertir un fichier texte en un programme créera et enregistrera un programme sous un nom qui est en principe le même que le fichier original, à l’exception de certains caractères spéciaux. Reportez-vous à « Règles de conversion des programmes et des fichiers texte » (page 8-6) pour les détails sur les exceptions relatives aux caractères spéciaux. Si la mémoire contient déjà un programme qui porte le même nom que le programme créé par le processus de conversion, le programme existant sera automatiquement remplacé par le nouveau programme. Si vous ne voulez pas que le programme existant soit écrasé, utilisez la liste des programmes pour modifier son nom avant d’exécuter cette procédure. 1. Copiez le fichier texte que vous voulez convertir en un programme dans le répertoire racine de la mémoire de stockage de la calculatrice. • Voir le « Chapitre 13 Communication de données » pour plus d’informations sur la procédure de copier de fichiers d’un ordinateur ou d’une autre calculatrice vers cette calculatrice. 2. Depuis le menu principal, accédez au mode PRGM. 3. Appuyez sur 6(g)4(LOAD) dans la liste des programmes. • Une liste des fichiers dossiers et des fichiers texte actuellement stockés dans le répertoire racine de la mémoire de stockage s’affiche alors. 4. Utilisez f et c pour mettre en surbrillance le fichier texte que vous voulez convertir, puis appuyez sur 1(OPEN).
Lorsque vous écrivez un programme, vous pouvez le protéger par un mot de passe sans lequel il ne sera pas possible d’accéder au contenu de ce programme. • Il n’est pas nécessaire d’indiquer le mot de passe pour lancer un programme. • La saisie d’un mot de passe est identique à la saisie d’un nom de fichier. 1. Quand la liste de programmes est à l’écran, appuyez sur 3(NEW) pour enregistrer le nom de fichier du nouveau programme. 2. Appuyez sur 5(Q) puis saisissez le mot de passe. 3. Appuyez sur w pour enregistrer le nom de fichier et le mot de passe. Vous pouvez maintenant introduire le contenu du programme. 4. Une fois que vous avez introduit le programme, appuyez sur !J(QUIT) pour sortir du fichier et revenir à la liste de programmes. Les fichiers qui sont protégés par un mot de passe sont indiqués par un astérisque à la droite du nom de fichier. 8-8
1. Dans la liste de programmes, utilisez f et c pour amener la surbrillance sur le nom du programme que vous voulez rappeler. 2. Appuyez sur 2(EDIT). 3. Entrez le mot de passe et appuyez sur w pour rappeler le programme. • Le message d’erreur « Incompatibilité » apparaîtra si vous indiquez le mauvais mot de passe lors du rappel d’un programme protégé par un mot de passe.
[Crochets] Les crochets doivent être utilisés pour indiquer des paramètres qui sont optionnels. N’insérez pas de crochets quand vous introduisez une commande. Expressions numériques Les expressions numériques, telles que 10, 10 + 20, A, indiquent des constantes, des calculs, des constantes numériques, ou autres. Caractères alphabétiques .... Les caractères alphabétiques indiquent des chaînes, telles AB.
? (Commande de saisie) Fonction : Demande de saisir une valeur devant être affectée à une variable pendant la programmation. Syntaxe : ? → <nom de la variable>, "<message à afficher>" ? → <nom de variable> Exemple : ? → A_ Description : • Cette commande interrompt momentanément l’exécution du programme et demande de saisir une valeur ou une expression à affecter à une variable. Si vous ne spécifiez pas de message à afficher, l’exécution de cette commande fera apparaître « ? » pour indiquer que la calculatrice attend que vous saisissiez une valeur. Si vous spécifiez le message à afficher, « <message à afficher> ? » apparaîtra pour demander de saisir une valeur. Le texte du message à afficher est limité à 255 octets. • La réponse à cette commande doit être une valeur ou une expression, mais l’expression ne peut pas être un nom de la variable. • Vous pouvez spécifier un nom de liste, un nom de matrice, un nom de vecteur, une mémoire de chaîne, une mémoire de fonction (fn), un graphe (Yn), etc. comme nom de variable. ^ (Commande d’affichage) Fonction : Affiche un résultat intermédiaire pendant l’exécution d’un programme. Description : • Cette commande interrompt momentanément l’exécution d’un programme et affiche un texte en caractères alphabétiques ou le résultat du calcul précédant immédiatement cette commande. • La commande d’affichage doit être utilisée aux endroits où vous appuieriez normalement sur la touche w pendant un calcul manuel. : (Commande d’instructions multiples) Fonction : Relie deux instructions pour qu’elles soient exécutées dans l’ordre sans interruption. 8-10
Description : • Le retour fonctionne de la même façon que la commande d’instructions multiples. • Vous pouvez créer une ligne vide dans un programme en tapant un retour à la ligne. L’utilisation du retour à la place de la commande d’instructions multiples facilite la lecture du programme affiché. ’ (Délimiteur de commentaire) Fonction : Indique un commentaire inséré à l’intérieur d’un programme. Description : Lorsqu’une apostrophe (’) est saisie au début d’une ligne, tout le texte du début de la ligne jusqu’à la prochaine commande d’instructions multiples (:), jusqu’au prochain saut de ligne (_) ou jusqu’à la prochaine commande d’affichage (^) est traité comme un commentaire, et ignoré pendant l’exécution.
If~Then~(Else~)IfEnd Fonction : L’instruction Then est exécutée seulement quand la condition If est vraie (pas zéro). L’instruction Else est exécutée quand la condition If est fausse (0). L’instruction IfEnd est toujours exécutée après l’instruction Then ou l’instruction Else. Next. La valeur initiale est affectée à la variable de référence à la première exécution, puis la valeur de la variable de référence change en fonction de la valeur de l’incrément à chaque exécution. L’exécution continue jusqu’à ce que la valeur de la variable de référence dépasse la valeur finale. Syntaxe : For <valeur initiale> → <nom de la variable de référence> To <valeur finale> Step <valeur de l’incrément>
• La définition d’une valeur initiale inférieure à la valeur finale et d’un incrément positif incrémente la variable de référence à chaque exécution. La définition d’une valeur initiale supérieure à la valeur finale et d’un incrément négatif décrémente la valeur de la variable de référence à chaque exécution. Do~LpWhile Fonction : Cette commande répète des commandes particulières tant que sa condition est vraie (pas zéro). Syntaxe : Do k Commandes de contrôle de la programmation (CTL) Break Fonction : Cette commande interrompt l’exécution d’une boucle et continue à partir de la commande suivante après la boucle. Syntaxe : Break_ Description : • Cette commande interrompt l’exécution d’une boucle et continue à partir de la commande suivante, après la boucle. • Cette commande peut être utilisée pour interrompre l’exécution des instructions For, Do et While. Prog Fonction : Cette commande définit l’exécution d’un autre programme en tant que sousprogramme. Dans le mode RUN • MAT (ou RUN), cette commande exécute un nouveau programme. Syntaxe : Prog "nom de fichier"_ • Si le sous-programme correspondant au nom de fichier défini par la commande Prog n’existe pas, une erreur se produira. • Dans le mode RUN • MAT (ou RUN), la saisie de la commande Prog et sa validation par w mettent en route le programme spécifié par la commande. Return Fonction : Cette commande fait revenir d’un sous-programme au programme d’origine. Syntaxe : Return_ Description : L’exécution de la commande de retour à l’intérieur du programme principal interrompt l’exécution du programme. L’exécution de la commande de retour à l’intérieur d’un sous-programme interrompt le sous-programme et fait revenir au programme principal, à l’endroit où le sous-programme a commencé. Stop Fonction : Cette commande termine l’exécution d’un programme. • Cette commande peut être combinée aux sauts conditionnels et aux sauts avec compteurs. • S’il n’y a aucune instruction Lbl dont la valeur correspond à celle définie par l’instruction Goto, une erreur se produira. Isz Fonction : Cette commande est un saut avec compteur qui incrémente la valeur de la variable de référence d’une unité, puis passe à l’instruction suivant la commande d’instruction multiple quand la valeur de la variable est égale à zéro. Syntaxe : Valeur de la variable ≠ 0
Isz <nom de la variable> : <instruction> : ^ Valeur de la variable = 0
⇒ (Code de saut) Fonction : Ce code est utilisé pour poser les conditions d’un saut conditionnel. Le saut est exécuté quand les conditions sont fausses. Syntaxe : Vrai <côté gauche> <opérateur relationnel> <côté droit> ⇒ <instruction> Fonction : Crée un menu de branchement dans un programme. Syntaxe : Menu "<chaîne (nom du menu)>", "<chaîne (nom de la branche) 1>" ,<valeur ou variable 1>, "<chaîne (nom de la branche) 2>" ,<valeur ou variable 2>, ... , "<chaîne (nom de la branche) n>" ,<valeur ou variable n> Paramètres : valeur (0 à 9), variable (A à Z, r, θ) Description : • Chaque partie "<chaîne (nom de la branche) n>",<valeur ou variable n> correspond à un ensemble de branche et l’ensemble doit être inclus en entier. • On peut inclure de deux à neuf ensembles de branche. Une erreur se produit si le nombre d’ensembles de branche est 1 ou supérieur à 9. • Lors de la sélection d’une branche dans le menu pendant le déroulement d’un programme provoque un saut ver le même type d’étiquette (Lbl n) que celle utilisée avec la commande Goto. En spécifiant « "OK", 3 » pour la partie « "<chaîne (nom de la branche) n>",<valeur ou variable n> » spécifie un saut vers Lbl 3. Exemple : Lbl 2_ Menu "IS IT DONE?", "OK", 1, "EXIT", 2_ Lbl 1_ Description : Cette commande supprime les données de la matrice désignée par « nom de matrice ». Toutes les données de toutes les matrices sont supprimées si aucun « nom de matrice » n’est désigné. ClrText Fonction : Cette commande efface l’écran de texte. Syntaxe : ClrText_ Description : Cette commande efface le texte de l’écran pendant l’exécution du programme. (Ne sont pas inclus sur la GRAPH25+ E II)
Fonction : Ces commandes affichent des tables numériques. Description : • Ces commandes créent des tables numériques pendant l’exécution d’un programme selon les paramètres définis dans le programme. • DispF-Tbl crée une table de fonctions, tandis que DispR-Tbl crée une table de récurrence. DrawDyna
Description : Cette commande trace un graphe dynamique au cours de l’exécution du programme selon les paramètres de traçage définis dans le programme. DrawFTG-Con, DrawFTG-Plt
Description : • Cette commande trace un graphe en fonction selon les paramètres définis dans le programme. 8-17
DrawGraph Description : Cette commande trace un graphe selon les paramètres de traçage définis dans le programme. DrawR-Con, DrawR-Plt
Description : • Ces commandes tracent des expressions de récurrence selon les paramètres définis dans le programme, avec an an (bn ou cn) comme axe vertical et n comme axe horizontal. • DrawR-Con produit un graphe à points connectés, tandis que DrawR-Plt produit un graphe à points séparés. DrawRΣ-Con, DrawRΣ-Plt (Ne sont pas inclus sur la GRAPH25+ E II) Aucun paramètre Fonction : Ces commandes tracent des expressions de récurrence, avec Σan (Σbn ou Σcn) comme axe vertical et n comme axe horizontal. Description : • Ces commandes tracent des expressions de récurrence selon les paramètres définis dans le programme, avec Σan (Σbn ou Σcn) comme axe vertical et n comme axe horizontal. • DrawRΣ-Con produit un graphe à points connectés tandis que DrawRΣ-Plt produit un graphe à points séparés. DrawStat Fonction : Trace un graphe statistique. Syntaxe : Voir « Utilisation de calculs et de graphes statistiques dans un programme » à la page 8-29. Description : Cette commande trace un graphe statistique selon les paramètres de traçage définis dans le programme. (Ne sont pas inclus sur la GRAPH25+ E II)
• Seules les commandes suivantes peuvent être entrées pour chaque argument afin de spécifier le tableau récursif :
• Une erreur « Erreur mémoire » se produit lorsque vous spécifiez le nom d’une séquence numérique qui ne possède pas de valeurs stockées dans le tableau récursif. Exemple : PlotPhase Σbn+1, Σan+1 Trace le graphe d’un diagramme cartésien en utilisant Σbn+1 pour les abscisses et Σan+1 pour les ordonnées.
Getkey Fonction : Cette commande retourne le code correspondant à la dernière touche appuyée. Locate <numéro de colonne>, <numéro de ligne>, "<chaîne>" [Exemple] Locate 1, 1, "AB"_ Paramètres : • numéro de ligne : numéro de 1 à 7 • numéro de colonne : numéro de 1 à 21 • valeur et expression numérique • chaîne : chaîne de caractères Description : • Cette commande affiche des valeurs (y compris le contenu des variables) ou du texte à une position précise de l’écran de texte. Si un calcul est introduit, le résultat de ce calcul sera affiché. • La ligne est désignée par une valeur de 1 à 7 et la colonne est désignée par une valeur de 1 à 21. ← (21, 1) (1, 1) →
à un appareil externe. Syntaxe : Receive (<données>) / Send (<données>) Description : • Cette commande reçoit des données et envoie des données à un appareil externe. • Les types de données suivantes peuvent être reçues (envoyées) par cette commande. • Valeurs individuelles affectées aux variables • Données de matrices (toutes les valeurs - des valeurs individuelles ne peuvent pas être spécifiées) • Données de listes (toutes les valeurs - des valeurs individuelles ne peuvent pas être spécifiées) OpenComport38k / CloseComport38k Fonction : Ouvre et ferme le port COM à 3 broches (série). Description : Voir la commande Receive38k/Send38k ci-dessous. 8-20 • Pour inclure un double guillemet (") ou une barre oblique inverse (\) (back slash) dans une chaîne, mettez une barre oblique inverse (\) devant le double guillemet (") ou devant la barre oblique inverse (\). Exemple 1 : Pour inclure la séquence de caractères « Japan:“Tokyo” » dans une chaîne "Japan:\"Tokyo\"" Exemple 2 : Pour inclure « main\abc » dans une chaîne "main\\abc" Vous pouvez entrer une barre oblique inverse à partir du menu qui s’affiche en appuyant sur 6(CHAR) 2(SYBL) dans le mode PRGM, ou bien, à partir de la catégorie String (chaîne) du catalogue qui s’affiche quand vous appuyez sur !e(CATALOG). • Vous pouvez affecter des chaînes à la mémoire de stokage de chaîne (de Str 1 jusqu’à Str 20). Pour plus de détails sur les opérations avec des chaînes, voir « Mémoire de stockage des chaînes » (page 2-8). 8-21
• Une fonction ou une commande à l’intérieur d’une fonction de chaîne (Exp(, StrCmp(, etc.) est traitée comme un caractère unique. Par exemple, la fonction « sin » est traitée comme un caractère unique. Exp( Fonction : Effectue la conversion d’une chaîne en une expression et exécute l’expression résultante. Syntaxe : Exp("<chaîne>"[)] Exp' (Yn, r, Xt, Yt, X), une formule récursive (an, an+1, an+2, bn, bn+1, bn+2, cn, cn+1, cn+2) ou une mémoire de fonction (fn). StrCmp( Fonction : Compare les chaînes « <chaîne 1> » et « <chaîne 2> » (comparaison basée sur les codes des caractères). Syntaxe : StrCmp("<chaîne 1>", "<chaîne 2>"[)] Description : Compare deux chaînes et retourne une des valeurs suivantes : Il suffit de mettre un texte entre guillemets pour l’inclure dans un programme. Ce texte sera affiché pendant l’exécution du programme, ce qui signifie que vous pouvez ajouter des labels pour entrer des messages et résultats. Programme
• Le texte d’un commentaire est limité à 255 octets.
Vous pouvez spécifier le format d’affichage des résultats de calculs produits dans un programme comme décrit ci-dessous. • Nombre de places décimales : Fix <nombre de chiffres> ... Nombre de chiffres : de 0 à 9 • Nombre de chiffres significatifs : Sci <nombre de chiffres> ... Nombre de chiffres : de 0 à 9 • Mode d’affichage normal : Norm <numéro*> ... Numéro : 1 ou 2 • Affichage du symbole d’ingénierie activé
• Pour ce programme, accédez au mode RUN • MAT et utilisez l’éditeur de matrices pour indiquer la matrice, puis accédez au mode PRGM pour écrire le programme.
`Row 4, A, 2_ Ligne Nom de la matrice Multiplicateur
`Row+ 4, A, 2, 3_ Lignes à ajouter Ligne pour laquelle le produit doit être calculé Nom de la matrice Multiplicateur
Row+ A, 2, 3_ Numéro de ligne à ajouter à Numéro de ligne à ajouter Nom de la matrice
Vous pouvez intégrer des fonctions graphiques dans un programme pour tracer des graphes, puis superposer plusieurs graphes. Les différentes syntaxes nécessaires pour la programmation de fonctions graphiques sont les suivantes. • Fenêtre d’affichage
BrokenThickG <zone de graphe> ... zone : 1 à 20 BrokenThickG <élément de la formule de récurrence> ... élément : an+1, bn+1, etc. DotG <zone de graphe> zone : 1 à 20 DotG <élément de la formule de récurrence> ... élément : an+1, bn+1, etc.
Text <numéro de ligne>, <numéro de colonne>, "<texte>" Text <numéro de ligne>, <numéro de colonne>, <expression> SketchThick <dessin ou instruction de graphe> SketchBroken <dessin ou instruction de graphe> SketchDot <dessin ou instruction de graphe> SketchNormal <dessin ou instruction de graphe>
Vous pouvez modifier le paramètre « Background » sur l’écran de configuration depuis un programme. • Syntaxe pour l’affichage d’une image d’arrière-plan BG-Pict <zone de l’image> [,a] ... zone : 1 à 20 Le fait d’ajouter « a » à la fin charge les valeurs de la fenêtre d’affichage (qui sont enregistrées avec les données d’image) lors de l’affichage de l’image d’arrière-plan. • Syntaxe lorsqu’une image d’arrière-plan n’est pas affichée (ou masquée) BG-None
L’utilisation des fonctions de graphe dynamique dans un programme permet de répéter les tracés d’un graphe dynamique. La définition de la plage du graphe dynamique à l’intérieur d’un programme s’effectue de la façon suivante. • Plage du graphe dynamique 1 → D Start_ 5 → D End_ 1 → D pitch_ • Tracé de graphe
L’intégration de fonctions de récurrence de table et graphe dans un programme permet de créer des tables numériques et d’effectuer des opérations graphiques. Les différentes syntaxes nécessaires lors de la programmation de fonctions de récurrence avec table et graphe sont les suivantes. • Saisie de la formule de récurrence
"3an + 2" → an+1_ "4bn + 6" → bn+1_ • Définition de la plage de la table
• Pour spécifier une liste de stockage et exécuter le calcul résiduel Resid-List <numéro de liste> ... numéro : 1 à 26 • Pour passer l’exécution du calcul résiduel Resid-None 8-28 k Utilisation des fonctions de tri de listes dans un programme Cette commande vous permet de trier les données de listes dans un ordre ascendant ou descendant. • Ordre ascendant 1
Après une commande StatGraph (« S-Gph1 », « S-Gph2 » ou « S-Gph3 »), vous devez définir les conditions suivantes : • État avec tracé ou sans tracé de graphe (DrawOn/DrawOff) • Type de graphe • Emplacement des données sur l’axe x (nom de liste) • Emplacement des données sur l’axe y (nom de liste) • Emplacement des valeurs d’effectifs de données (nom de liste) • Type de point (croix, point, carré) • Paramètre d’affichage des graphes de type camembert (% ou Data) • Spécification de la liste de données pour un graphe de type camembert à pourcentages (None ou nom de la liste) • Données pour la première barre d’un histogramme (nom de liste) • Données pour la deuxième et pour la troisième barre d’un histogramme (nom de liste) • Orientation d’un histogramme à barres (Length ou Horizontal) Les conditions de tracé du graphe dépendent du type de graphe. Voir « Changement des paramètres d’un graphe » (page 6-1). 8-29
S-Gph1 DrawOn, Scatter, List 1, List 2, 1, Square _ Dans le cas d’un graphe linéaire xy, remplacez « Scatter » dans la définition précédente par « xyLine ». • La définition typique d’un traçage de probabilité normale est la suivante. S-Gph1 DrawOn, NPPlot, List 1, Square _ • La définition typique d’un graphe à variable unique est la suivante. S-Gph1 DrawOn, Hist, List 1, List 2 _ Le même format peut être utilisé pour les types de graphes suivants en remplaçant simplement « Hist » de la définition précédente par le type de graphe applicable. Histogramme Hist
1 • Pour tracer un graphe statistique, insérez la commande « DrawStat » en suivant la ligne de spécification de la condition du graphe. ClrGraph S-Wind Auto Pour tracer des graphes de distributions dans un programme on utilise des commandes spéciales.
1 DrawDistNorm <Lower>, <Upper> [,σ, ] Moyenne de la population*1 Écart-type de la population*1 Limite supérieure des données Limite inférieure des données 1
• Simultanément, les valeurs des résultats du calcul de p, ZLow et ZUp sont affectées aux variables p, ZLow et ZUp respectivement et p est affectée à Ans.
1 DrawDistT <Lower>, <Upper>, <df> Degrés de liberté Limite supérieure des données Limite inférieure des données 1
Degrés de liberté du numérateur Limite supérieure des données Limite inférieure des données 1
k Exécution de calculs statistiques dans un programme • Calcul statistique à variable unique 1
(Non disponible sur la GRAPH25+ E II) • Les valeurs suivantes sont substituées chaque fois que toute valeur délimitée par des crochets ([ ]) est omise.
• Pour obtenir de l’information sur la formule de calcul de chaque fonction de densité de probabilité, voir « Formule statistique » (page 6-56).
Seulement Inférieur est affectée à Ans (ou à ListAns lorsque p correspond à une liste).
Syntaxe : tPD(x, df [)] • L’argument x peut être spécifié par une valeur seule ou par une liste. Le résultat p du calcul est affecté aux variables p et Ans (ou à ListAns lorsque x correspond à une liste). tCD( : Retourne la distribution t de Student (valeur-p) cumulative pour les données spécifiées. Syntaxe : tCD(Lower,Upper,df [)] • Les arguments Lower et Upper peuvent être spécifiés par des valeurs seules ou par des listes. Les résultats du calcul de p, tLow et tUp sont affectés aux variables p, tLow et tUp respectivement. Le résultat p du calcul est affecté également à la variable Ans (ou à ListAns lorsque Lower et Upper sont des listes). InvTCD( : Retourne la distribution t de Student cumulative inverse (valeur Lower) pour le valeur p spécifiées. Syntaxe : InvTCD(p,df [)] • L’argument p peut être spécifié par une valeur seule ou par une liste. La valeur de Lower est affecté aux variables xInv et Ans (ou à ListAns lorsque p correspond à une liste).
ChiPD( : Retourne la densité de probabilité 2 (valeur p) pour les données spécifiées. Syntaxe : ChiPD(x,df [)] • L’argument x peut être spécifié par une valeur seule ou par une liste. Le résultat p du calcul est affecté aux variables p et Ans (ou à ListAns lorsque x correspond à une liste). 8-34
Syntaxe : ChiCD(Lower,Upper,df [)] • Les arguments Lower et Upper peuvent être spécifiés par des valeurs seules ou par des listes. Le résultat p du calcul est affecté aux variable p et Ans (ou à ListAns lorsque Lower et Upper sont des listes). InvChiCD( : Retourne la distribution 2 cumulative inverse (valeur Lower) pour la valeur p spécifiées. Syntaxe : InvChiCD(p,df [)] • L’argument p peut être spécifié par une valeur seule ou par une liste. La valeur Lower est affecté aux variables xInv et Ans (ou à ListAns lorsque p correspond à une liste).
Syntaxe : FPD(x,ndf,ddf [)] • L’argument x peut être spécifié par une valeur seule ou par une liste. Le résultat p du calcul est affecté aux variables p et Ans (ou à ListAns lorsque x correspond à une liste). FCD( : Retourne la distribution F cumulative (valeur p) pour les données spécifiées. Syntaxe : FCD(Lower,Upper,ndf,ddf [)] • Les arguments Lower et Upper peuvent être spécifiés par des valeurs seules ou par des listes. Le résultat p du calcul est affecté aux variables p et Ans (ou à ListAns lorsque Lower et Upper sont des listes). InvFCD( : Retourne la distribution F cumulative inverse (valeur Lower) pour les données spécifiées. Syntaxe : InvFCD(p,ndf,ddf [)] • L’argument p peut être spécifié par une valeur seule ou par une liste. La valeur Lower est affecté aux variables xInv et Ans (ou à ListAns lorsque p correspond à une liste).
BinomialPD( : Retourne la probabilité binomiale (valeur p) pour les données spécifiées. Syntaxe : BinomialPD([x,]n,P[)] • L’argument x peut être spécifié par une valeur seule ou par une liste. Le résultat p du calcul est affecté aux variables p et Ans (ou à ListAns lorsque x correspond à une liste). BinomialCD( : Retourne la distribution binomiale cumulative (valeur p) pour les données spécifiées. Syntaxe : BinomialCD([X,]n,P[)] • Chaque argument X peut être spécifié par une valeur seule ou par une liste. Le résultat p du calcul est affecté aux variables p et Ans (ou à ListAns lorsque X est omis ou correspond à une liste). InvBinomialCD( : Retourne la distribution binomiale cumulative inverse pour les données spécifiées. 8-35
• L’argument p peut être spécifié par une valeur seule ou par une liste. La valeur X du résultat du calcul est affectée aux variables xInv et Ans (ou à ListAns lorsque p correspond à une liste). PoissonCD( : Retourne la distribution de Poisson cumulative (valeur p) pour les données spécifiées. Syntaxe : PoissonCD(X,[)] • Chaque argument X peut être spécifié par une valeur seule ou par une liste. Le résultat p du calcul est affecté aux variables p et Ans (ou à ListAns lorsque X correspond à une liste). InvPoissonCD( : Retourne la distribution de Poisson cumulative inverse pour les données spécifiées. Syntaxe : InvPoissonCD(p,[)] • L’argument p peut être spécifié par une valeur seule ou par une liste. La valeur X du résultat du calcul est affectée aux variables xInv et Ans (ou à ListAns lorsque p correspond à une liste).
GeoPD( : Retourne la probabilité géométrique (valeur p) pour les données spécifiées. Syntaxe : GeoPD(x, P[)] • L’argument x peut être spécifié par une valeur seule ou par une liste. Le résultat p du calcul est affecté aux variables p et Ans (ou à ListAns lorsque x correspond à une liste). GeoCD( : Retourne la distribution géométrique cumulative (valeur p) pour les données spécifiées. Syntaxe : GeoCD(X,P[)] • Chaque argument X peut être spécifié par une valeur seule ou par une liste. Le résultat p du calcul est affecté aux variables p et Ans (ou à ListAns lorsque X correspond à une liste). InvGeoCD( : Retourne la distribution géométrique cumulative inverse pour les données spécifiées. Syntaxe : InvGeoCD(p,P[)] • L’argument p peut être spécifié par une valeur seule ou par une liste. La valeur X du résultat du calcul est affectée aux variables xInv et Ans (ou à ListAns lorsque p correspond à une liste).
HypergeoPD( : Retourne la probabilité hypergéométrique (valeur p) pour les données spécifiées. 8-36 InvHypergeoCD( : Retourne la distribution hypergéométrique cumulative inverse pour les données spécifiées. Syntaxe : InvHypergeoCD(p, n, M, N[)] • L’argument p peut être spécifié par une valeur seule ou par une liste. La valeur X du résultat du calcul est affectée aux variables xInv et Ans (ou à ListAns lorsque p correspond à une liste).
(Non disponible sur la GRAPH25+ E II) • Les plages de spécification de l’argument « condition » de la commande sont les suivantes : « < » ou –1 lorsque < 0 « ≠ » ou 0 lorsque ≠ 0 « > » ou 1 lorsque > 0 Ce qui précède s’applique aussi aux méthodes de spécification de « condition ρ » et « Tests » (page 6-24) et « Termes des tests d’entrée et sortie, intervalle de confiance et loi de probabilité » (page 6-53). • Pour obtenir de l’information sur la formule de calcul de chaque commande, voir « Formule statistique » (page 6-56).
10 de la liste ListAns. Note :
Pooled) spécifiez la valeur 0. Spécifiez 1 pour activer cette condition. L’omission de cette entrée est traitée comme condition Pooled désactivée.
• Test F TwoSampleFTest : Exécute le calcul de test F à 2 échantillons. Syntaxe :
DateMode365 365 jours DateMode360 360 jours • Configuration du paramètre de la période d’échéance PmtBgn Début de la période PmtEnd Fin de la période • Période d’échéance des calculs d’obligations PeriodsAnnual Annuel PeriodsSemi Semestriel
Cmpd_PV(, Cmpd_PMT(, Cmpd_FV(), les arguments saisis et les résultats du calcul seront sauvegardés dans les variables pertinentes (n, I%, PV, etc.). Si vous effectuez un calcul qu’utilise d’autres types de fonctions de calcul financier, l’argument et les résultats du calcul ne sont pas affectés à des variables. Cmpd_n :
Off On Off On Off Fix Sci Norm Reportez-vous à « Conversion des programmes et des fichiers de texte » (page 8-6) pour plus d’informations sur les opérations de conversion de programmes en fichiers texte et inversement.
• La conversion d’un programme qui contient les types de commandes décrits ci-dessous en un fichier texte aura pour effet de convertir les commandes en chaînes de caractères au début et à la fin desquelles est à chaque fois ajouté un caractère de soulignement (_), comme indiqué dans le tableau ci-dessous. - Une commande entre guillemets (" ") - Une commande dans une ligne de commentaire, c’est-à-dire une ligne qui commence par une apostrophe (') Notez que les caractères alphanumériques qui ne sont pas des commandes dans un programme et qui se trouvent entre guillemets (" ") ou dans une ligne de commentaire se retrouvent à l’identique dans le fichier texte produit. Exemple : Dans le programme : "" "Theta"*1 "Tmax"*2 "TThetamax"*1 La conversion d’un fichier texte en un programme convertit de nouveau les chaînes de caractères spéciales en leurs commandes respectives indiquées ci-dessus. •
Exemple : Dans le programme : λ
• Si une division a un reste nul, alors le résultat de l’opération sera affecté à A. • L’opération précédente se répète jusqu’à ce que B > A. Exemple
Y3 : Distance entre un point de l’ellipse et un foyer Y4 : Distance entre le même point de l’ellipse et l’autre foyer Y5 : Somme de Y3 et Y4 Puis, le programme trace les foyers et les valeurs dans Y1 et Y2. But Ce programme illustre que la somme des distances d’un point quelconque de l’ellipse à chacun des foyers est constante.
Toutes les opérations de cette section sont effectuées dans le mode S • SHT.
La sélection de S • SHT sur le menu principal provoque l’affichage d’une feuille de calcul de tableur. La saisie du mode S • SHT crée automatiquement un nouveau fichier de feuille de calcul nommé « SHEET ». L’écran de la feuille de calcul montre quelques cellules (cases carrées) et les données contenues dans chaque cellule. Nom de fichier Affiche autant de caractères que possible pour le nom de fichier. Numéros des lignes (1 à 999)
Affiche le contenu de la cellule où se trouve le curseur. Lorsque plusieurs cellules sont sélectionnées, la case d’édition affiche la plage de cellules sélectionnée.
Constantes Une constante est une donnée dont la valeur est fixée dès que la saisie est finie. Une constante peut être, soit une valeur numérique, ou bien une formule de calcul (telle que 7+3, sin30, A1×2, etc.) n’étant pas précédée par un signe égal (=). Texte
k Menu de fonctions de l’écran de la feuille de calcul • {FILE} ... Affiche le sous-menu de FILE suivant : • {NEW}/{OPEN}/{SV • AS}/{RECAL}/{CSV} 9-1
• {:} ... Introduit la commande de spécification de plage de cellules (:). • {If} ... Saisit la commande conditionnelle CellIf(. • {CEL} ... Affiche un sous-menu pour saisir les commandes suivantes : • CellMin(, CellMax(, CellMean(, CellMedian, CellSum, CellProd( • {REL} ... Affiche un sous-menu pour saisir les opérateurs relationnels suivants : • =, ≠, >, <, t, s 1. Appuyez sur 1(FILE)1(NEW). 2. Dans la boîte de dialogue affichée, spécifiez un nom de fichier de maximum huit caractères, puis appuyez sur w. • Cette action crée un nouveau fichier et affiche une feuille de calcul vide. • Si un fichier ayant le même nom que celui saisi dans l’étape 2 existe déjà, le nouveau fichier ne sera pas créé. Dans ce cas, le fichier existant sera ouvert. 9-2
1. Appuyez sur 1(FILE)2(OPEN). 2. Dans la liste affichée, utilisez f et c pour sélectionner le fichier voulu et appuyez sur w.
Dans le mode S • SHT la Sauvegarde automatique (Auto Save) sauvegarde le fichier ouvert en cours lors de chaque édition. Il est donc inutile de le sauvegarder manuellement.
1(Oui) pour remplacer un fichier existant ou 6(Non) pour annuler la sauvegarde et revenir à la boîte de spécification du nom de fichier affiché à l’étape 2.
1. Appuyez sur 1(FILE)2(OPEN). 2. Dans la liste affichée, utilisez f et c pour sélectionner le fichier à effacer et appuyez ensuite sur 1(DEL). 3. Cette action provoque l’affichage d’un message de confirmation. Appuyez sur 1(Oui) pour effacer le fichier ou 6(Non) pour annuler sans rien effacer. 4. Pour revenir à la feuille de calcul depuis la liste de fichiers, appuyez sur J. • La suppression du fichier ouvert en cours provoque la création automatique d’un nouveau fichier nommé « SHEET » suivie de l’affichage de sa feuille de calcul.
1. Préparez le fichier CSV que vous voulez importer. • Voir « Exigences pour l’importation d’un fichier CSV » (page 3-14). 2. Appuyez sur 1(FILE)5(CSV)1(LOAD). • Si vous appuyez sur w à l’étape suivante, toutes données de la feuille de calcul seront remplacées par celles du fichier CSV. 3. Dans la boîte de dialogue de sélection de fichier qui s’affiche, mettez en surbrillance le fichier que vous voulez importer avec f et c et appuyez sur w. • Le contenu du fichier CSV sélectionné est alors importé dans la feuille de calcul.
• Une erreur « Taille invalide » se produit si vous essayez d’importer un fichier CSV qui contient plus de 26 colonnes ou 999 lignes.
1. Si nécessaire, appuyez sur 1(FILE)4(RECAL) pour recalculer le contenu de la feuille de calcul. • Notez que le recalcul n’est pas effectué automatiquement lorsque vous enregistrez le contenu d’une feuille de calcul dans un fichier CSV. Assurez-vous d’effectuer un recalcul si la feuille de calcul contient une formule qui commence par le symbole d’égalité (=). Pour plus d’information, consultez « Saisie d’une formule dans une cellule », page 9-9. • Les formules ne sont pas enregistrées dans le fichier CSV. Seuls sont enregistrés les résultats des calculs. • Toutes les cellules contenant ERROR dans la feuille de calcul sont enregistrées comme des données vides. 2. Appuyez sur 1(FILE)5(CSV)2(SV • AS). • Un écran de sélection de dossier s’affiche alors. 3. Sélectionnez le dossier dans lequel vous voulez enregistrer le fichier CSV. • Pour enregistrer le fichier CSV dans le répertoire racine, mettez « ROOT » en surbrillance. • Pour enregistrer le fichier CSV dans un dossier, mettez le dossier souhaité en surbrillance avec f et c et appuyez sur 1(OPEN). 4. Appuyez sur 1(SV • AS). 5. Saisissez jusqu’à huit caractères pour le nom du fichier et appuyez ensuite sur w. • Pour plus d’informations sur la manière dont sont convertis certains types de données lors de l’enregistrement dans un fichier CSV, consultez la note « Important ! » dans la rubrique « Enregistrement du contenu d’une matrice dans un fichier CSV » (page 2-44).
Exécutez ensuite à partir de l’étape 3 de la procédure indiquée sous « Spécification du délimiteur et du symbole décimal du fichier CSV » (page 3-17).
Le mode S • SHT possède la fonctionnalité de Recalcul automatique (Auto Calc) qui permet de recalculer toutes les formules de la feuille de calcul lors de chaque ouverture ou de toute opération d’édition. Sous le paramétrage initial par défaut, la fonctionnalité de Recalcul automatique (Auto Calc) est activée. Si vous le voulez, vous pouvez forcer manuellement le Recalcul.
u Recalcul manuel de la feuille de calcul Appuyez sur 1(FILE)4(RECAL). Cette action provoque le recalcul de toutes les formules du fichier ouvert en cours et affiche les résultats correspondants.
Le curseur de cellule montre la cellule sélectionnée dans la feuille de calcul. La cellule en cours, sélectionnée par le curseur de cellule, est la cellule mise en surbrillance.
Lorsque une seule cellule est sélectionnée par le curseur de cellule, son contenu est affiché dans la case d’édition. Le contenu de la cellule peut être édité dans cette case. Lorsque plusieurs cellules sont sélectionnées par le curseur de cellule, leur plage de sélection est affiché dans la case d’édition. Dans ce cas, vous pouvez copier, effacer ou effectuer d’autres opérations de cellule sur toute la plage de cellules sélectionnées.
Pour sélectionner ceci :
Une plage de cellules
Toutes les cellules de la feuille de calcul
Pour positionner le curseur de cellule ici :
2. Saisissez, dans la boîte de dialogue proposée, le nom de la cellule vers laquelle vous désirez aller (de A1 à Z999). 3. Appuyez sur w.
1. Positionnez le curseur de cellule sur la première cellule de la plage souhaitée. • Si vous voulez, vous pouvez sélectionner une rangé ou une colonne entière comme point de départ. Pour le détail sur la sélection de cellules, consultez « Sélection des cellules » (page 9-5). 2. Appuyez sur !i(CLIP). • Ceci provoque le changement du curseur de cellule en une ligne épaisse en bordure au lieu de la forme normale de mise en surbrillance. 3. Utilisez les touches du pavé directionnel pour positionner le curseur de cellule sur la dernière cellule de la plage souhaitée. • La case d’édition montre la plage des cellules sélectionnées. 9-6
Formules) Nous allons examiner d’abord quelques procédures fondamentales qui s’appliquent à tous les types de données de la saisie.
1. Positionnez le curseur de cellule sur la cellule où vous voulez saisir des données. • Si la cellule sélectionnée contient déjà des données, l’étape suivante provoque la surécriture des données existantes par la nouvelle saisie. 2. Pour saisir des données, utilisez les touches de la calculatrice. • Au fur et à mesure que vous saisissez des valeurs ou du texte au moyen des opérations de touches (telles que b, al(B), etc.), les symboles correspondants s’affichent dans la case d’édition, alignés à gauche. • Pour annuler une opération de saisie à mi chemin, en toute position avant d’atteindre l’étape 3 ci-dessous, appuyez sur J. Le contenu de la cellule est rétabli tel qu’il était dans l’étape 1 de cette procédure. 3. Pour terminer et valider votre saisie, appuyez sur w.
1. Positionnez le curseur de cellule sur la cellule dont vous voulez éditer les données. 2. Appuyez sur 2(EDIT)3(CELL). • L’alignement à gauche du contenu de la cellule dans la case d’édition changera vers un alignement à droite. Un curseur s’affichera dans la case d’édition afin de vous permettre la modification de son contenu.
• Pour annuler une opération de saisie à mi chemin, en toute position avant d’atteindre l’étape 4 ci-dessous, appuyez sur J. Le contenu de la cellule est rétabli tel qu’il était dans l’étape 1 de cette procédure. 4. Pour terminer et valider votre saisie, appuyez sur w.
Sous le paramétrage initial par défaut, l’appui sur w lors de la saisie de données dans une cellule provoque le déplacement du curseur vers la ligne suivante. Au lieu de la ligne suivante, vous pouvez spécifier le déplacement vers la colonne suivante en utilisant le paramètre « Move », tel que décrit à la page 1-34. 9-7
Une constante est une donnée dont la valeur est fixée dès que la saisie est finie. Une constante peut être, soit une valeur numérique, ou bien une formule de calcul (telle que 7+3, sin30, A1×2, etc.) n’étant pas précédée par un signe égal (=). En saisissant sdaw, par exemple, provoque l’affichage de la valeur 0,5 (le résultat du calcul) dans la cellule (lorsque Deg est sélectionné comme unité d’angle).
1. Positionnez le curseur de cellule sur la cellule où vous voulez que la suite numérique commence. • Sous le paramétrage initial par défaut, la saisie automatique de la suite numérique se déroule de la cellule de départ vers le bas. Vous pouvez spécifier une autre direction en utilisant le paramètre « Move », tel que décrit à la page 1-34. 2. Appuyez sur 2(EDIT)5(SEQ) pour afficher l’écran de la suite (Sequence) et spécifiez ensuite l’expression de la fonction et les valeurs requis pour générer la suite numérique voulue. Vous pouvez saisir des données pour l’élément qui se trouve en surbrillance. Nom de référence de la cellule sélectionnée dans l’étape 1 Paramètre
à partir de la cellule spécifiée. Si une cellule de la plage de cellules où les valeurs de la suite numérique ont été saisies contenait déjà des données, les données existantes seront remplacées par les valeurs de la suite. 3. Après avoir saisi les données pour toutes les rubriques du paramétrage, appuyez sur 6(EXE) ou sur la touche w pour commencer la génération des nombres de la suite et la saisie elle-même.
Pour saisir du texte dans une cellule, assurez-vous que le premier caractère saisi soit a5(”). L’ouverture de guillemets (") indique à la calculatrice que ce qui suit est du texte qui doit être affiché tel quel, sans effectuer aucun calcul. L’ouverture de guillemets (") ne fait pas partie du texte affiché.
A titre d’exemple, nous allons créer un tableau contenant des données basées sur la formule <PRICE> × <QUANTITY> = <TOTAL>. Pour ce faire nous mettons les valeurs de <PRICE> dans la colonne A, les valeurs de <QUANTITY> dans la colonne B et des formules de calcul (telles que = A1 × B1, = A2 × B2, etc.) dans la colonne C. Si la fonctionnalité de Recalcul automatique (Auto Calc) est activée (On), les valeurs de la colonne C devraient être recalculées et mises à jour chaque fois que nous changeons les valeur dans les colonnes A ou B. Notez que dans cet exemple, pour indiquer qu’il s’agît d’une formule, il faut commencer les données de la colonne C avec le signe égal (=). En plus de valeurs, opérateur arithmétiques et noms de référence de cellules, une formule peut contenir aussi des commandes de fonctions incorporées (page 2-12) et des commandes spéciales du mode S • SHT (page 9-15).
A 1 3. Copiez la formule de la cellule C2 dans les cellules C3 et C4. Positionnez le curseur de cellule sur la cellule C2, puis effectuez l’opération suivante : 2(EDIT)2(COPY)c1(PASTE)c1(PASTE)J • Pour plus de détails sur les opérations de copier coller, consultez « Copier et coller le contenu d’une cellule » (page 9-11).
Chaque cellule d’une feuille de calcul possède un identificateur appelé « nom de référence », qui se détermine par la combinaison de son nom de colonne (de A à Z) et de son nom de ligne (de 1 à 999). Le nom de référence d’une cellule peut être utilisé dans une formule, ce qui se traduit par la valeur de la cellule appelée dans la formule. Pour plus d’information, consultez « Saisie d’une formule dans une cellule », page 9-9. Il y a deux méthodes pour saisir un nom de référence de cellule : la saisie directe du nom et la saisie par utilisation de la commande GRAB. Ce qui suit illustre comment vous pouvez utiliser chaque méthode pour saisir =A1+5 dans la cellule B1.
Positionnez le curseur de cellule sur la cellule B1, puis effectuez l’opération suivante. !.(=)av(A)b+fw
!.(=)1(GRAB)d1(SET)+fw • Les commandes allant de 2(GO) à 6(BOT→) dans le sous-menu affiché lorsque vous appuyez sur 1(GRAB) sont identiques au commandes 1(GO) à 5(BOT→) du sous-menu de la commande JUMP. Pour plus de détails sur ces commandes, consultez « Utilisation de la commande JUMP pour déplacer le curseur de cellule » à la page 9-6.
Il y a deux types de références de cellules : les références relatives et les références absolues. Normalement, les noms de référence de cellules sont traités comme des noms relatifs. Noms de référence relatifs Dans la formule =A1+5, le nom de référence de cellule A1 indique une référence de cellule relative. La référence est « relative » parce que la copie de la formule, suivie du collage dans une cellule différente, entraînera le changement du nom de référence selon la position de la cellule où la formule est collée. Si la formule =A1+5 était située initialement dans la cellule B1, par exemple, le copier - coller vers la cellule C3 aurait pour résultat =B3+5 dans la cellule C3. Le déplacement de la colonne A vers la colonne B (une colonne) entraîne le changement de A en B, tandis que le déplacement de la ligne 1 vers la ligne 3 (deux lignes) entraîne le changement de 1 en 3. 9-10
Noms de référence absolus Si vous souhaitez que les parties de ligne ou de colonne, ou de ligne et de colonne à la fois, d’un nom de référence ne soient pas modifiées, quelque soit l’emplacement où vous collez les données, vous devez créer un nom de référence de cellule absolu . Pour ce faire, il faut apposer le signe dollar ($) devant la partie du nom de référence que vous voulez conserver inchangé. Vous disposez de trois possibilités d’utilisation du signe dollar ($) pour créer un nom de référence absolu : colonne absolue avec ligne relative ($A1), colonne relative avec ligne absolue (A$1) et colonne et ligne absolues ($A$1).
Lors de la saisie d’une référence de cellule dans une feuille de calcul, appuyez sur 2($). Par exemple, l’opération de touches suivante saisit le nom de référence de cellule absolu =$B$1. !.(=)2($)al(B)2($)b
Vous pouvez copier le contenu d’une ou plusieurs cellules et le coller à un autre emplacement. Si vous le voulez, une fois l’opération de copie effectuée, vous pouvez copier le contenu vers des emplacements multiples.
1. Sélectionnez la ou les cellules que vous voulez copier. • Pour plus de détails, consultez « Sélection des cellules » (page 9-5). 2 Appuyez sur 2(EDIT)2(COPY). • Ceci fait passer en attente du collage des données sélectionnées (mode Coller), ce qui est signalé par le changement de la rubrique 1 du menu en (PASTE). • Vous pouvez sortir du mode Coller à tout moment avant d’effectuer l’étape 4, en appuyant sur J. 3. Utilisez les touches du pavé directionnel pour positionner le curseur de cellule sur la cellule à partir de laquelle vous voulez coller les données. • Si vous avez sélectionné une plage de cellules à l’étape 1, la cellule sélectionnée avec le curseur de cellule sera la cellule supérieure gauche de la plage de cellules collées. • Si l’emplacement sélectionné se situe à l’intérieur de la plage copiée, l’exécution de l’étape ci-dessous entraînera la surécriture des données existantes par les données collées. 4. Appuyez sur 1(PASTE). • Les données sont copiées. • Pour coller les mêmes données à d’autres emplacements, répétez les étapes 3 et 4. 5. Lorsque vous avez terminé de coller les données, appuyez sur J pour sortir du mode d’attente Coller. 9-11
Vous pouvez utiliser le couper - coller pour déplacer le contenu d’une ou plusieurs cellules vers un autre emplacement. En général, le contenu d’une cellule reste inchangé lors d’une opération de couper - coller (sans tenir compte de l’inclusion de noms de référence relatifs ou absolus pour les cellules). u Couper et coller des données de la feuille de calcul 1. Sélectionnez la ou les cellules que vous voulez couper. • Pour plus de détails, consultez « Sélection des cellules » (page 9-5). 2 Appuyez sur 2(EDIT)1(CUT). • Ceci fait passer en attente du collage des données sélectionnées (mode Coller), ce qui est signalé par le changement de la rubrique 1 du menu en (PASTE). • Vous pouvez sortir du mode Coller à tout moment avant d’effectuer l’étape 4, en appuyant sur J. 3. Utilisez les touches du pavé directionnel pour positionner le curseur de cellule sur la cellule à partir de laquelle vous voulez coller les données. • Si vous avez sélectionné une plage de cellules à l’étape 1, la cellule sélectionnée avec le curseur de cellule sera la cellule supérieure gauche de la plage de cellules collées. • Si l’emplacement sélectionné se situe à l’intérieur de la plage coupée, l’exécution de l’étape ci-dessous entraînera la surécriture des données existantes par les données collées.
• Les données sont supprimées des cellules sélectionnées à l’étape 1 et collées à l’endroit sélectionné à l’étape 3. • Le collage de données coupées entraîne le recalcul de toutes les formules de la feuille de calcul, sans tenir compte de l’état d’activation de la fonctionnalité de Recalcul automatique (Auto Calc) (page 9-4).
Si vous voulez saisir la même formule dans une plage spécifiée de cellules, utilisez la commande Fill. Les règles qui s’appliquent aux noms de référence de cellules relatifs ou absolus sont les mêmes que celles qui s’appliquent au copier - coller. Si vous avez besoin de saisir la même formule dans les cellules B1, B2 et B3, par exemple, la commande Fill vous permet de saisir la formule une seule fois, dans la cellule B1. Notez ce qui suit concernant la façon où, dans ce cas, la commande Fill traite les noms de référence de cellules. Lorsque la cellule B1 contient ceci:
1. Sélectionnez la plage de cellules où vous voulez saisir la même formule. • Dans cet exemple, nous supposons que B1:B3 est sélectionnée. Consultez « Sélection d’une plage de cellules » (page 9-6). 2 Appuyez sur 2(EDIT)6(g)1(FILL). 3. Écrivez la formule que vous voulez saisir dans l’écran Remplir affiché. Vous pouvez saisir des données pour l’élément qui se trouve en surbrillance.
• Dans la ligne « Formula », saisissez =A1×2 (!.(=)av(A)b*cw). L’appui sur w entraînera le déplacement du curseur de cellule vers la ligne « Cell Range » (plage de cellules). 9-13
(formule). 4. Appuyez sur 6(EXE) ou sur la touche w. • Ceci saisit la formule dans la plage de cellules spécifiée.
Notez que seulement les données constantes peuvent être triées. Pour le tri, vous pouvez sélectionner plusieurs colonnes avec une seule ligne ou plusieurs lignes avec une seule colonne.
1. Sélectionnez une plage de cellules de colonne d’une seule ligne ou une plage de cellules de ligne d’une seule colonne. • Consultez « Sélection d’une plage de cellules » (page 9-6). • Un message d’erreur de syntaxe « Erreur syntaxe » s’affiche si dans la plage sélectionnée il y a des cellules qui contiennent des données non constantes. 2. En fonction du type de tri que vous voulez réaliser, effectuez l’une des opérations suivantes. Tri ascendant : 2(EDIT)6(g)2(SRT • A) Tri descendant : 2(EDIT)6(g)3(SRT • D)
Sélectionnez la ou les lignes ou colonnes que vous voulez supprimer et appuyez ensuite sur 3(DEL). Ceci entraîne la suppression immédiate des lignes ou colonnes sélectionnées, sans affichage d’un message de confirmation. Pour effacer une ligne ou une colonne vous pouvez effectuer aussi les étapes suivantes : 1. Sélectionnez une ou plusieurs cellules dans la ou les lignes ou colonnes que vous voulez supprimer. • Si vous voulez supprimer les lignes 2 à 4, par exemple, vous pouvez sélectionner A2:B4, C2:C4 ou toute autre plage comprenant les lignes à supprimer. • Si vous voulez supprimer les colonnes A et B, pare exemple, vous pouvez sélectionner A1:B1, A2:B4, etc. 2. Appuyez sur 3(DEL). • Ceci fait passer en attente de suppression. Si vous décidez d’annuler l’opération de suppression dans cette étape, appuyez sur J. 3. Pour supprimer la ou les lignes complètes qui comprennent les cellules sélectionnées à l’étape 1, appuyez sur 1(ROW). Pour supprimer la colonne complète, appuyez sur 2(COL).
u Pour insérer des lignes ou des colonnes de cellules vides 1. Effectuez une des opérations suivantes pour spécifier l’emplacement de l’insertion et le nombre de lignes ou colonnes à insérer. • Insertion de lignes Sélectionnez le nombre de lignes que vous voulez insérer en commençant par la ligne immédiatement en dessous de la ligne où vous voulez effectuer l’insertion. Exemple : Pour insérer trois lignes au dessus de la ligne 2, vous pouvez sélectionner A2:A4, B2:C4, etc. • Insertion de colonnes En commençant par la colonne immédiatement à droite de la colonne où vous voulez effectuer l’insertion, sélectionnez le nombre de colonnes que vous voulez insérer. Exemple : Pour insérer trois colonnes à gauche de la colonne B, vous pouvez sélectionner B2:D4, B10:D20, etc. 2. Appuyez sur 4(INS). • Ceci fait passer en attente d’insertion. Si vous décidez d’annuler l’opération d’insertion dans cette étape, appuyez sur J. 3. Appuyez sur 1(ROW) pour insérer le nombre correspondant de lignes, ou bien 2(COL) pour insérer des colonnes. • Lorsque une opération d’insertion entraîne le déplacement de cellules existantes contenant des données en dehors de la plage A1:Z999, il se produit une erreur de plage « Erreur plage ».
Sélectionnez la cellule ou plage de cellules que vous voulez vider et puis appuyez sur 5(CLR).
S • SHT Le mode S • SHT propose un certain nombre de commandes spéciales, telles que CellSum( qui retourne la somme d’une plage de cellules et CellIf( qui spécifie de conditions de branchement. Ces commandes spéciales peuvent être utilisées à l’intérieur des formules.
Notez que, dans la syntaxe de chaque commande, tout ce qui est entre crochets ([ ]) peut être ignoré. Commande
Ceci, en supposant que les cellules de la plage A1:B5 ne sont pas vides. 1. Positionnez le curseur de cellule sur la cellule C1, puis effectuez l’opération suivante. !.(=)5(CEL)5(Sum) Jav(A)b3(:)al(B)f) • Vous pouvez effectuer l’opération suivante, qu’utilise la fonction GRAB (page 9-10) et la fonction CLIP (page 9-6) au lieu de la partie soulignée dans l’opération cidessus. J1(GRAB)4(TOP←)
2. Appuyez sur w pour terminer la saisie de la formule.
Quand vous voulez vérifier la corrélation qui existe entre deux ensembles de données (tel que la température et le prix de certains produits, par exemple), les tendances sont plus faciles à repérer si vous dessinez un graphe qu’utilise un ensemble de données comme axe x (coordonnées) et l’autre ensemble comme axe y (abscisses). En utilisant une feuille de calcul, vous pouvez saisir les valeurs pour chaque ensemble de données et tracer un diagramme de dispersion ou d’autres types de graphes. La réalisation des calculs de régression sur les données permet d’obtenir une formule de régression et un coefficient de corrélation de sorte que vous pouvez superposer un graphe de régression sur le diagramme de dispersion. 9-17
2. Sélectionnez la plage de cellules (A1:B5) dont vous voulez tracer le graphe.
1(GRPH1). • Ceci produira un diagramme de dispersion des données dans la plage de cellules sélectionnée à l’étape 2 de cette procédure. • Le graphe montré ici correspond au graphe produit sous le paramétrage initial par défaut du mode S • SHT. Vous pouvez changer la configuration des paramètres de graphe dans l’écran qui s’affiche lorsque vous appuyez sur 6(SET) dans le menu GRPH. Pour plus de détails, consultez « Opérations de l’écran de paramétrage général des graphes », ci-dessous.
Vous pouvez utiliser l’écran de paramétrage général des graphes pour spécifier la plage des données à utiliser pour le traçage de graphes et pour sélectionner le type de graphe à tracer.
1. Saisissez les données statistiques dans la feuille de calcul et sélectionnez ensuite la plage de cellules dont vous désirez tracer le graphe. • En fait, l’étape précédente n’est pas nécessaire ici. Vous pouvez aussi configurer les paramètres d’abord, avant de saisir les données et de sélectionner la plage de cellules à tracer. 2. Appuyez sur 6(g)1(GRPH)6(SET). 9-18
Vous pouvez configurer le paramètre correspondant à l’élément qui se trouve en surbrillance. Un menu de fonctions s’affiche lors de la sélection de certaines rubriques du paramétrage. • Le nombre de colonnes que vous sélectionnez à l’étape 1 détermine quelle information est saisie automatiquement dans l’écran de paramétrage général des graphes. Si vous sélectionnez ce nombre de colonnes :
• Pour plus de détails concernant le paramétrage de StatGraph1, Graph Type et Mark Type, consultez « Pour afficher l’écran de réglages généraux de graphe » (page 6-2). • Si vous voulez modifier les paramètres XCellRange, YCellRange ou Frequency, déplacez la surbrillance sur l’élément à changer et saisissez ensuite la plage directement, ou bien, sélectionnez 1(CELL) (2(CELL) pour l’effectif (Frequency)) et éditez ensuite la plage de saisie en cours. Lors de la saisie manuelle d’une plage de cellules, utilisez 1(:) pour saisir le symbole double point (:) entre les deux cellules qui définissent la plage. 9-19
2. Appuyez sur 6(g)2(CALC) pour afficher le menu CALC et appuyez ensuite sur 2(2VAR). • Ceci entraîne l’affichage d’un écran de résultats des calculs sur les variables appariées effectués sur la base des données que vous avez sélectionné à l’étape 1. Utiliseze et d pour faire défiler l’écran de résultats. Pour fermer l’écran, appuyez sur J. • Pour le détail sur la signification de chacune des valeurs sur l’écran de résultats, voir « Affichage des résultats du calcul d’un graphe à variable double » à la page 6-16. 3. Pour revenir à l’écran de la feuille de calcul, appuyez sur J.
Vous pouvez utiliser un écran spécial de paramétrage pour spécifier la plage de données à utiliser lors des calculs statistiques.
1. Saisissez les données statistiques dans la feuille de calcul et sélectionnez ensuite la plage de cellules. 2. Appuyez sur 6(g)2(CALC)6(SET). • Ceci provoque l’affichage d’un écran de paramétrage tel que montré à droite.
• Pour saisir les deux points (:), appuyez sur 1(:). • Pour éditer la plage de cellules de saisie en cours, appuyez sur 1(CELL) (dans le cas de 1Var XCell, 2Var XCell et 2Var YCell) ou 2(CELL) (dans le cas de 1Var Freq et 2Var Freq). 4. Après avoir configuré les paramètres requis, appuyez sur J ou sur w.
Pour plus d’information sur cette rubrique de menu :
k Sauvegarde des données d’une feuille de calcul vers une mémoire Le tableau suivant montre une vue sommaire des opérations de stockage pour chaque type de mémoire. Pour plus de détails concernant chaque opération, voir les exemples d’opération dans le tableau. Type de mémoire
6(g)3(STO)1(VAR), et spécifiez ensuite le nom de la variable dans l’écran affiché.
Lorsque une plage de cellules d’une seule ligne ou colonne est sélectionnée, appuyez sur 6(g)3(STO)2(LIST), et spécifiez ensuite le numéro de la liste dans l’écran affiché.
Lorsque une plage de cellules est sélectionnée, appuyez sur 6(g)3(STO)3(FILE), et spécifiez ensuite le numéro de fichier dans l’écran affiché. La première colonne de la plage sélectionnée est stockée dans le fichier spécifié comme List 1, la deuxième colonne est stockée comme List 2 et ainsi de suite.
Lorsque une plage de cellules est sélectionnée, appuyez sur 6(g)3(STO)4(MAT), et spécifiez ensuite le nom de matrice dans l’écran affiché. La première colonne de la plage sélectionnée est stockée dans la matrice spécifié comme List 1, la deuxième colonne est sauvegardée comme List 2 et ainsi de suite.
• Si vous êtes en train d’affecter des données à une variable, il se produit une erreur. • Si vous êtes en train de stocker des données dans la mémoire de listes, fichiers, matrices ou vecteurs, la valeur 0 est enregistrée pour les cellules concernées.
1. Sélectionnez, dans une seule colonne, la plage de cellules que vous voulez stocker en mémoire de listes. • Par exemple, vous pouvez sélectionner A1:A10. 2. Appuyez sur 6(g)3(STO)2(LIST). • Ceci provoque l’affichage d’un écran tel que montré à droite. Le paramètre « Cell Range » indique la plage de cellules sélectionnée à l’étape 1. 3. Appuyez sur c pour déplacer la surbrillance sur « List[1-26] ». 4. Spécifiez le numéro de la liste (1 à 26) de la mémoire de listes où vous voulez stocker les données et appuyez ensuite sur w. • L’exécution de l’étape suivante provoque la surécriture de toute donnée stockée sous le numéro de la mémoire de listes spécifiée par les données contenues dans la plage de cellules spécifiée par « CellRange ». 5. Appuyez sur 6(EXE) ou sur la touche w pour stocker les données.
Le tableau suivant montre une vue sommaire des opérations de rappel de données pour chaque type de mémoire. Pour plus de détails concernant chaque opération, voir les exemples d’opération dans le tableau. Type de mémoire Mémoire de listes (List 1 ~ List 26)
Vous pouvez rappeler les données d’une liste spécifiée de la mémoire de listes vers une plage de cellules d’une seule ligne ou d’une seule colonne. Lorsque une plage de cellules d’une seule ligne ou colonne est sélectionnée, appuyez sur 6(g)4(RCL) 1(LIST), et spécifiez ensuite le numéro de la liste dans l’écran affiché. Le rappel des données se fait dans une colonne ou dans une liste selon la valeur du paramètre « Move » de l’écran de configuration (page 1-34).
1. Sur la feuille de calcul, sélectionnez la cellule supérieure gauche de la plage où les données rappelées doivent être saisies. 2. Appuyez sur 6(g)4(RCL)3(MAT). • Ceci provoque l’affichage d’un écran tel que montré à droite. Le paramètre « 1st Cell » indique le nom de la cellule sélectionnée à l’étape 1. 3. Spécifiez le nom (A à Z) de la mémoire de matrices dont vous voulez rappeler des données et appuyez ensuite sur w. 4. Appuyez sur 6(EXE) ou sur la touche w pour rappeler les données.
Lorsque vous rappelez des données de la mémoire de listes, fichiers, matrices ou vecteurs, une erreur se produit si les données rappelées s’étendent hors de la plage de la feuille de calculs (A1:Z999).
Ce qui s’affiche en premier lors de la sélection du mode e • ACT dans le menu principal, est le menu de fichiers.
Pas de fichiers du mode e • ACT en mémoire
Zone d’affichagede la calculatrice Lignes de texte Bandeau
Ligne d’arrêt Ligne de calcul Utilisez la ligne de calcul pour saisir une formule de calcul exécutable. Le résultat s’affichera dans la ligne suivante. Les calculs sont effectués de la même façon que dans le mode RUN • MAT, lorsque la saisie naturelle est activée. Ligne d’arrêt Une ligne d’arrêt peut être utilisée pour arrêter un calcul à un point particulier. Bandeau Un bandeau peut être utilisé pour intégrer des données dans une eActivity à partir des applications incorporées, telles que Graphes, Graphes de coniques, Feuilles de calcul ou d’autres.
• {OPEN} ... Ouvre un fichier ou un dossier eActivity. • {NEW} ... Crée un nouveau fichier eActivity. • {DEL} ... Sauvegarde d’un fichier eActivity. • {SRC} ... Recherche d’un fichier eActivity. • Si il n’y a pas de fichiers eActivity en mémoire, seule la touche de fonction 2(NEW) est affichée. • Lorsque le mode e • ACT est utilisé pour la première fois il est nécessaire de disposer d’au moins 128 kilooctets de mémoire libre. Une erreur « Mémoire pleine » se produit si la mémoire disponible n’est pas suffisante.
Une partie du contenu du menu de fonctions de l’espace de travail dépend de la ligne (ou du bandeau) actuellement sélectionnée. • Rubriques communes du Menu de l’écran espace de travail • {FILE} ... Affiche le sous-menu d’opérations fichier suivant : • {SAVE} ... Sauvegarde le fichier actuellement en état d’édition. • {SV • AS} ... Sauvegarde sous un autre nom le fichier actuellement en état d’édition. • {OPT} ... Consultez « Optimisation de la mémoire de stockage » à la page 11-11. • {CAPA} ... Affiche un écran qui montre la taille des données du fichier en état d’édition et la quantité de mémoire encore disponible. • {STRP} ... Insère un bandeau. • {JUMP} ... Affiche le sous-menu suivant pour contrôler les déplacements du curseur. • {TOP}/{BTM}/{PgUp}/{PgDn} ... Voir page 10-5. • {DEL-L} ... Supprime la ligne actuellement sélectionnée ou la ligne où se trouve le curseur.
• {STOP} ... Insère une ligne d’arrêt de calcul. • {'MAT} ... Affiche l’éditeur de matrices (page 10-7)/l’éditeur de vecteurs (page 10-7). • {'LIST} ... Affiche l’éditeur de listes (page 10-7). • Menu lors de la sélection d’une ligne de texte • {TEXT} ... Change la ligne de texte actuelle en ligne de calcul. • {CHAR} ... Affiche un menu pour saisir les symboles mathématiques et les caractères de plusieurs langues. • {A↔a} ... Bascule la saisie entre lettres majuscules et lettres minuscules lorsque la saisie en caractères alpha est activée (en appuyant sur la touche a). • {MATH} ... Affiche le menu MATH (page 1-13). • Menu lors de la sélection d’une ligne de calcul ou d’arrêt de calcul • {CALC} ... Change la ligne de calcul actuelle en ligne de texte. • {MATH} ... Identique à {MATH} dans « Menu lors de la sélection d’une ligne de texte ». • Menu lors de la sélection d’un bandeau • {FILE} ... Affiche le sous-menu d’opérations fichier suivant : • {SAVE}/{SV • AS}/{OPT}/{CAPA} ... Identique aux sous-menus de {FILE} dans « Rubriques communes du Menu de l’écran espace de travail ». • {SIZE} ... Affiche la taille du bandeau à la position actuelle du curseur. • {CHAR} ... Identique à {CHAR} dans « Menu lors de la sélection d’une ligne de texte ». • {A↔a} ... Identique à {A↔a} dans « Menu lors de la sélection d’une ligne de texte ».
Cette partie explique les différentes opérations pouvant être effectuées sur l’écran contenant la liste des fichiers eActivity. Toutes les opérations de cette section peuvent être effectuées pendant l’affichage du menu de fichiers. Cette section ne traite pas les opérations sur les dossiers. Pour plus de détails concernant les dossiers, consultez « Chapitre 11 Gestionnaire de la mémoire ».
1. Lorsque la liste de fichiers est affichée, appuyez sur 2(NEW). • Ceci provoque l’affichage d’un écran de saisie pour le nom du fichier. 2. Saisissez jusqu’à huit caractères au maximum pour le nom du fichier et appuyez ensuite sur w. • Un écran espace de travail vierge apparaît. Curseur 10-3
A à Z, {, }, ’, ˜, 0 à 9
Utilisez f et c pour mettre en surbrillance le fichier à ouvrir et appuyez ensuite sur 1(OPEN), ou bien sur w*. * En cas d’erreur, effacez la mémoire de capture et les données du presse-papier, ou bien, transférez les données vers votre ordinateur.
1. Utilisez f et c pour mettre en surbrillance le fichier que vous voulez supprimer, puis appuyez sur 3(DEL). • Ceci entraîne l’affichage du message de confirmation « Supprimer eActivity? ». 2. Appuyez sur 1(Oui) pour supprimer le fichier, ou bien sur 6(Non) pour annuler sans rien supprimer.
1. Lorsque le menu de fichiers est affichée, appuyez sur 4(SRC). • Ceci provoque l’affichage d’un écran de recherche de fichier. 2. Désignez le nom partiel ou complet du fichier que vous recherchez. • Les caractères du nom du fichier sont recherchés de gauche à droite. En saisissant « IT », on trouve des fichiers tels que ITXX, ITABC, IT123, mais pas les fichiers nommés XXIT ou ABITC. 3. Appuyez sur w. • Lorsque le début ou la totalité d’un nom de fichier coïncide avec le texte saisi à l’étape 2, il sera sélectionné dans le menu de fichiers.
J pour fermer la boîte de dialogue.
Toutes les opérations de cette section sont effectuées dans l’écran espace de travail eActivity. Pour créer un nouveau fichier ou ouvrir un fichier existant, utilisez les procédures indiquées dans « Opérations sur les fichiers eActivity » (page 10-3).
Si vous voulez faire ceci :
u Saisie de caractères et d’expressions en tant que texte 1. Déplacez le curseur ver une ligne de texte. • Lorsque le curseur se trouve sur une ligne de texte, la rubrique du menu de fonction F3 affiche « TEXT ». Ceci indique que la saisie de texte est activée. Curseur de ligne de texte
• La rubrique du menu de fonction F3 affiche « CALC » si le curseur se trouve sur une ligne de calcul. En appuyant sur 3(CALC) la ligne de calcul est changée en ligne de texte. • Lorsque le curseur se trouve sur un bandeau, utilisez f et c pour déplacer le curseur vers une ligne de texte. • La sélection de {INS} suivie de {TEXT} dans le menu de fonctions entraîne l’insertion d’une nouvelle ligne de texte au dessus de la ligne où le curseur se trouve actuellement. 2. Saisissez le texte ou l’expression désirée sur le bandeau de texte. • Consultez ci-dessous, « Opérations de saisie et d’édition sur une ligne de texte ».
• Dans une seule ligne de texte, vous pouvez saisir un texte de maximum 255 octets. Le texte passe automatiquement à la ligne suivante pour tenir dans la zone d’affichage (fonction Word Wrap (retour à la ligne)). Notez toutefois qu’au milieu des expressions numériques et des commandes il n’y a pas de passage à la ligne.*1 Les flèches de défilement (]') s’affichent aux extrêmes de gauche et de droite de la ligne de calcul afin de vous avertir qu’une partie du calcul ne tient pas dans la zone d’affichage de la ligne de calcul. Dans ce cas, vous pouvez utiliser les touches de curseur gauche et droite pour faire défiler le calcul. 10-5
• Appuyez sur w pour insérer un retour à la ligne dans le texte. Aucun symbole ne s’affiche pour un retour à la ligne. • Si le texte est réparti sur plusieurs lignes et vous appuyez sur la touche A, seule la ligne sur laquelle se trouve actuellement le curseur est supprimée. Les autres lignes ne sont pas affectées. • Utilisez toujours la saisie naturelle (page 1-12) pour saisir une expression dans une ligne de texte. *1 De même, tout mot comprenant les symboles « ’ », « { » ou « », saisis à l’aide du menu qui s’affiche lorsque vous appuyez sur 4(CHAR), ne passe pas automatiquement à la ligne.
La saisie d’une expression de calcul dans une ligne de calcul d’eActivity suivie de l’appui sur w provoque l’affichage du résultat du calcul dans la ligne suivante. Une telle ligne de calcul peut être utilisée de la même façon que dans le mode RUN • MAT (page 1-3). Une ligne de calcul et son résultat constituent un ensemble. • Notez que la fonction de retour à la ligne ne s’applique pas aux lignes mathématiques. Les flèches (]') s’affichent aux extrémités de gauche et de droite de la ligne de calcul afin de vous avertir qu’une partie du calcul ne tient pas dans la zone d’affichage de la ligne de calcul. Dans ce cas, vous pouvez utiliser les touches de curseur gauche et droite pour faire défiler le calcul.
1. Déplacez le curseur ver une ligne de calcul. • Lorsque le curseur se trouve sur une ligne de calcul, la rubrique du menu de fonction F3 affiche « CALC ». Ceci indique que la saisie d’expression de calcul est activée.
« CALC ». • La rubrique du menu de fonction F3 affiche « TEXT » si le curseur se trouve sur une ligne de calcul. En appuyant sur 3(CALC) la ligne de calcul est changée en ligne de texte. • Lorsque le curseur se trouve sur un bandeau, utilisez f et c pour déplacer le curseur vers une ligne de calcul. • La sélection de {INS} suivie de {CALC} dans le menu de fonctions entraîne l’insertion d’une nouvelle ligne de calcul au dessus de la ligne où le curseur se trouve actuellement. 10-6
• Les opérations de saisie et d’édition sur une ligne de calcul sont identiques à celles de la saisie naturelle du mode RUN • MAT.
La sélection de {'MAT} dans le menu de fonctions provoque l’affichage de l’éditeur de matrices. Dans le mode e • ACT, les opérations et les calculs matriciels réalisés avec l’éditeur de matrices sont identiques, pour l’essentiel, à ceux du mode RUN • MAT. Pour plus de détails concernant l’éditeur de matrices et les opérations de calcul matriciel, consultez « Calculs matriciels » (page 2-38). Notez toutefois que, dans le mode e • ACT, les opérations et les calculs matriciels de l’éditeur de matrices diffèrent de celles du mode RUN • MAT en ce qui est décrit ci-dessous. • Les valeurs des variables de matrices du mode e • ACT sont sauvegardées séparément pour chaque fichier. Les valeurs des variables de matrices seront différentes de celles obtenues lors de leur rappel à partir d’un mode autre que e • ACT.
Sélectionner {'MAT} dans le menu de fonctions affiche l’éditeur de vecteurs. Les opérations de l’éditeur de vecteurs et les calculs vectoriels en mode e • ACT sont fondamentalement identiques à ceux du mode RUN • MAT. Pour plus de détails à propos de l’éditeur de vecteurs et des opérations de calcul vectoriel, reportez-vous à « Calculs vectoriels » (page 2-52). Veuillez noter cependant que les opérations de l’éditeur de vecteurs et les calculs vectoriels en mode e • ACT diffèrent de ceux du mode RUN • MAT comme indiqué ci-dessous. • La mémoire vectorielle du mode e • ACT est enregistrée séparément pour chaque fichier. La mémoire vectorielle est différente de celles produites à partir d’un mode non-e • ACT.
La sélection de {'LIST} dans le menu de fonctions provoque l’affichage de l’éditeur de listes. Les opérations dans le mode e • ACT sont identiques à celles du mode STAT (« Saisie et édition d’une liste », page 3-1). Ces traitements et calculs sont identiques, pour l’essentiel, à ceux du mode RUN • MAT (« Traitement des données d’une liste » à la page 3-5, « Calculs arithmétiques à partir de listes » à la page 3-10). Notez toutefois que, dans le mode e • ACT, les opérations et calculs de listes de l’éditeur de listes diffèrent de celles du mode RUN • MAT en ce qui est décrit ci-dessous. • Dans le mode e • ACT, le menu de fonctions de l’éditeur de listes propose seulement le deuxième écran du menu de fonctions de l’éditeur de listes du mode STAT. • Pour revenir à l’écran espace de travail à partir de l’éditeur de listes dans le mode e • ACT, appuyez sur J. 10-7
Dans le menu de fonctions, sélectionnez {INS} suivi de {STOP} pour insérer une ligne d’arrêt au dessus de la ligne ou bandeau actuellement sélectionné.
Les bandeaux sont des outils qui vous permettent d’intégrer des données issues des applications incorporées dans un fichier eActivity. Une seule application incorporée peut être associée à chaque bandeau et celui-ci peut stocker les données générés par l’écran (graphes, etc.) Le tableau ci-dessous montre les écrans d’applications incorporées que peuvent être insérées dans des bandeaux. La colonne « Nom du bandeau » montre les noms inclus dans la boîte de dialogue qui s’affiche en appuyant sur 2(STRP). Tableau des types de données de bandeau Type de données
RUN • MAT est appelé depuis une eActivity, il démarre en mode de saisie naturelle)
• Une boîte de dialogue s’affiche avec la liste des bandeaux pouvant être insérés. Pour plus d’information sur les noms et les types de données affichés dans cette boîte de dialogue, voir le « Tableau des types de données de bandeau » (page 10-8).
• Dans cet exemple, on sélectionne « Graphe » (données d’écran graphique du mode GRAPH). 4. Appuyez sur w. • Cette action insère le type de bandeau sélectionné (bandeau Graphe dans cet exemple) une ligne au dessus de la ligne où se trouve le curseur positionné à l’étape 1 de cette procédure. 5. Saisissez jusqu’à 16 caractères au maximum pour le titre du bandeau et appuyez ensuite sur w.
• Cette action provoque le lancement de l’application incorporée correspondante au type de données sélectionné (le mode GRAPH dans cet exemple) et affiche l’écran graphique. À ce stade apparaît un écran graphique vierge, puisque il n’y a pas encore des données 7. Appuyez sur J pour afficher l’écran de la liste de fonctions graphiques. 8. Saisissez la fonction que vous voulez tracer. 1 2 (Exemple : Y = X – 1) • Les données dont le graphe est tracé à l’étape 8 sont sauvegardées dans le bandeau Graphe. • Les données de graphe sauvegardées sont liées seulement à ce bandeau Graphe. Elles sont indépendantes des données pour les modes qui sont saisies à partir du menu principal. 11. En appuyant encore une fois sur w on obtient l’affichage de l’écran graphique et le traçage du graphe basé sur les données sauvegardées par le bandeau.
« Notes » est un éditeur de texte spécial du mode eActivity qui s’avère très commode pour écrire des longs textes explicatifs sur l’écran espace de travail. Vous pouvez afficher l’écran de Notes depuis un bandeau de notes sur l’écran espace de travail de l’eActivity. Les opérations de saisie et d’édition sur l’écran de Notes sont identiques à celles utilisées pour les lignes de texte d’eActivity .
• {MATH} ... Affiche le menu MATH (page 1-13). • {CHAR} ... Affiche un menu pour saisir les symboles mathématiques et les caractères de plusieurs langues. • {A↔a} ... Bascule la saisie entre lettres majuscules et lettres minuscules lorsque la saisie en caractères alpha est activée (en appuyant sur la touche a).
1. Utilisez c et f pour surligner le bandeau dont vous voulez changer le titre. 2. Saisissez jusqu’à 16 caractères au maximum pour le titre du bandeau et appuyez ensuite sur w. • Le reste du titre existant s’efface dès que vous saisissez le premier caractère. Saisissez le nouveau titre en entier. Si vous voulez éditer partiellement le titre existant, appuyez sur d ou e pour déplacer le curseur d’abord. • L’appui sur J au lieu de w provoque la sortie de l’édition du titre sans rien y changer.
Utilisez c et f pour sélectionner le bandeau dont vous voulez appeler l’application et appuyez ensuite sur w. • L’écran de l’application correspondant au bandeau actuellement sélectionné s’affiche. Si le bandeau contient déjà des données, l’application est appelée en utilisant les données sauvegardées en dernier. • Si vous sélectionnez un bandeau Graphe Coniques et appuyez ensuite sur w sans saisir aucune donnée graphique, l’écran Editeur Coniques apparaîtra au lieu de l’écran Conics Graph.
Appuyez sur !a('). Chaque appui sur !a(') fait basculer l’écran espace de travail de l’eActivity vers l’écran de l’application rappelée depuis le bandeau et vice-versa.
Appuyez sur !,(,). Dans la boîte de dialogue affichée, utilisez c et f pour sélectionner le nom d’une application et appuyez ensuite sur w.
1. Utilisez c et f pour sélectionner le bandeau dont vous voulez changer le titre. 2. Appuyez sur 1(FILE)5(SIZE). 10-11
1. Positionnez le curseur sur la ligne ou bandeau que vous voulez supprimer. • Notez que si vous déplacez le curseur sur une ligne de calcul, la ligne de calcul et son résultat seront supprimés ensemble. 2. Appuyez sur 6(g)2(DEL-L). • Cette action provoque l’affichage d’un message de confirmation. 3. Appuyez sur 1(Oui) pour supprimer, ou bien sur 6(Non) pour annuler sans rien supprimer.
Utilisez les procédures de cette section pour sauvegarder un fichier après avoir saisi ou édité son contenu dans l’écran espace de travail. Un fichier eActivity pour le système d’exploitation OS Version 2.0 ou ultérieure possède une extension « g2e ». Sur un modèle de calculatrice couvert par ce manuel (avec système d’exploitation OS Version 2.0 ou ultérieur), l’exécution de l’une ou l’autre des opérations de sauvegarde de fichier eActivity suivantes, entraîne toujours l’ajout de l’extension « g2e » au nom du fichier. • Sauvegarde d’un fichier nouvellement créé • Sauvegarde d’un fichier en utilisant l’opération « save as » (1(FILE)2(SV-AS)) Si vous sauvegardez un fichier eActivity au moyen d’un modèle de calculatrice couvert par ce manuel afin de sauvegarder un fichier possédant l’extension de nom « g1e » (un fichier transféré depuis une calculatrice d’une version plus ancienne), l’extension du nom de fichier sera déterminée selon les règles suivantes. • L’extension « g2e » est utilisée pour un fichier eActivity qui contient des données pour des fonctionnalités nouvelles (sauf pour les fonctions et commandes mathématiques) ajoutées par le système d’exploitation OS Version 2.0 ou ultérieur. Ici, l’expression « données pour des fonctionnalités nouvelles ajoutées par l’OS Version 2.0 ou ultérieur » signifie, par exemple, les données des résultats de calculs affichées en format ' ou π. • L’extension « g1e » est utilisée pour les fichiers eActivity, autres que ceux décrits ci-dessus.
Appuyez sur 1(FILE)1(SAVE) pour sauvegarder le fichier ouvert en cours.
1. Sur l’écran de travail de l’eActivity, appuyez sur 1(FILE)2(SV-AS). 10-12
2. Saisissez jusqu’à huit caractères au maximum pour le nom du fichier et appuyez ensuite sur w. • Si un fichier ayant le même nom spécifié à l’étape 2 existe déjà, un message vous demande si vous voulez remplacer le fichier existant par le nouveau. Appuyez sur 1(Oui) pour remplacer un fichier existant ou 6(Non) pour annuler la sauvegarde et revenir à la boîte de spécification du nom de fichier affiché à l’étape 2.
• Un fichier eActivity avec l’extension « g2e » ne peut être ouvert dans une calculatrice possédant un système d’exploitation plus ancien que l’OS Version 2.0. • L’ouverture d’un fichier eActivity avec l’extension de nom de fichier « g1e », suivie de l’intégration de fonctions ajoutées à l’OS Version 2.0 et puis de la sauvegarde du même fichier, peut entraîner la conservation de l’extension « g1e ». Même si vous pourrez ouvrir un tel fichier sur une calculatrice possédant un système d’exploitation plus ancien que l’OS Version 2.0 (étant donné qu’il a l’extension « g1e »), vous ne pourrez utiliser les fonctions mathématiques ni les commandes ajoutées à partir de la version OS Version 2.0.
La taille maximale d’un fichier eActivity est d’environ 30 000 octets.* Vous pouvez utiliser l’écran d’utilisation de la mémoire eActivity pour vérifier la capacité de mémoire disponible pour le fichier sur lequel vous êtes en train de travailler. * La taille maximale réelle peut être inférieure a 30 000 octets, car elle dépend de l’utilisation de la mémoire de capture et du presse-papier.
Sur l’écran espace de travail, appuyez sur 1(FILE)4(CAPA).
Mémoire disponible pour fichiers
Appuyez sur J. Si un message de confirmation s’affiche, en vous demandant si vous voulez sauvegarder le fichier en cours, effectuez l’une des opérations décrites ci-dessous. Pour faire ceci :
La mémoire principale est une zone de travail dans laquelle vous pouvez saisir des données, effectuer des calculs et exécuter des programmes. Les données de la mémoire principale sont relativement sécurisées, mais elles peuvent être effacées en cas d’épuisement de la batterie ou lors d’une réinitialisation complète de la calculatrice. La mémoire de stockage utilise de la « mémoire flash », de sorte que les données sont sécurisées même en cas de coupure de l’alimentation. Normalement, vous devriez utiliser la mémoire de stockage pour les données à sauvegarder pendant longtemps et charger des données dans la mémoire principale seulement quand vous en avez besoin.
A partir du menu principal, sélectionnez l’icône approprié pour saisir le mode MEMORY. • Sur la GRAPH25+ E II, apparaîtra l’écran d’information de mémoire principale montré à droite. Pour plus d’information sur l’utilisation de cet écran, consultez « Écran d’information de mémoire » (page 11-2).
• {SMEM} ... {affiche les informations de la mémoire de stockage} • {BKUP} ... {sauvegarde de la mémoire principale} • {OPT} ... {optimisation de la mémoire de stockage}
Lorsque cet écran d’information de mémoire est affiché : Appuyez sur cette touche : Mémoire principale
• Si le nom d’un fichier qui a été transféré à la mémoire de stockage depuis votre ordinateur ou une autre source comporte plus de huit caractères, ce nom sera tronqué lorsqu’il sera affiché sur l’écran d’information de la mémoire de stockage (Exemple : AAAABBBBCC.txt > AAAABB~1.txt). De même, si une extension de fichier comporte plus de trois caractères, tout ce qui se trouve après le 3ème caractère sera coupé. • Lorsque le contenu d’un dossier de mémoire de stockage s’affiche, le chemin d’accès correspondant est affiché entre crochets ([ ]) sur la ligne supérieure. Pour voir le contenu d’un groupe de données ou un dossier, amenez la surbrillance sur le groupe de données ou le dossier et appuyez sur w. Lorsque vous appuyez sur J l’écran précédant réapparaît. Lorsque le contenu d’un dossier de mémoire de stockage s’affiche, la première ligne de l’écran indique le nom du dossier.
Données de feuille de calcul
1. Lorsque des données de la mémoire de stockage sont affichées, appuyez sur 4(MK • F) pour afficher l’écran de spécification du nom. 2. Spécifiez un nom de dossier de huit caractères au maximum.
Si vous spécifiez des caractères invalides une erreur « Nom invalide » se produira. • Une erreur « Nom invalide » se produira aussi si le nom saisi est déjà utilisé par une autre fichier. • Pour annuler l’opération, appuyez sur J. 3. Appuyez sur w pour créer le dossier et revenir à l’écran d’informations de la mémoire de stockage.
• Bien que vous puissiez créer plus de trois niveaux hiérarchiques de dossiers sur votre ordinateur, cette calculatrice n’affichera que jusqu’au troisième. Dans ce cas, vous pourrez voir les dossiers qui se trouvent au troisième niveau, mais vous ne pourrez pas les ouvrir.
1. Sur l’écran d’informations de la mémoire de stockage, sélectionnez le dossier dont vous voulez changer le nom. 2. Appuyez sur 5(RN • F) pour afficher l’écran de changement de nom de dossier. 3. Spécifiez un nom de dossier de huit caractères au maximum.
Si vous spécifiez des caractères invalides une erreur « Nom invalide » se produira. • Une erreur « Nom invalide » se produira aussi si le nom saisi est déjà utilisé par une autre fichier. • Pour annuler l’opération, appuyez sur J. 4. Appuyez sur w pour renommer le dossier et revenir à l’écran d’informations de la mémoire de stockage.
• Appuyez sur 1(SEL) pour sélectionner l’élément surligné par le pointeur noir () à son côté. L’élément se désélectionne par une nouvelle pression de 1(SEL), et à ce moment le pointeur disparaît. • Vous pouvez sélectionner plusieurs fichiers, si nécessaire.
u Pour copier des données de la mémoire principale dans la mémoire de stockage Remarque • Dans la procédure suivante, les données sélectionnées sont sauvegardées dans un seul fichier. Vous devez spécifier le nom de ce fichier sauvegardé dans la mémoire de stockage. 1. Sur l’écran de liste de données de la mémoire principale, sélectionnez les données que vous voulez copier. 2. Appuyez sur 2(COPY). • L’écran de sélection de dossier s’affiche.
4. Appuyez sur 1(SV • AS). • L’écran de saisie du nom de fichier apparaît. 5. Spécifiez le nom de fichier souhaité. • Pour annuler la copie, appuyez sur J. 6. Appuyez sur w. • Cela copie les données. 7. Le message « Complet! » apparaît lorsque l’opération est terminée. • Appuyez sur J pour revenir à l’écran affiché à l’étape 1. • L’écran de saisie du nom de fichier n’apparaît pas si vous copiez des données de la mémoire de stockage dans la mémoire principale.
La calculatrice effectue un contrôle de pile avant la copie. Si la pile est au niveau 1, une erreur de pile faible se produit et la copie n’est pas effectuée. Contrôle de mémoire disponible La calculatrice vérifie s’il y a assez d’espace disponible dans la mémoire pour stocker les données copiées. Une erreur « Mémoire pleine » se produit si la mémoire disponible n’est pas suffisante. Une erreur « Trop de données » se produit lorsque le nombre de données est trop important. Une « Fragmentation ERREUR » se produit lorsque la mémoire disponible est suffisante mais un nettoyage est en cours. Si une « Fragmentation ERREUR » se produit, optimisez la mémoire (page 11-11). Contrôle de surécriture La calculatrice vérifie s’il y a des données de même nom à l’endroit où les données doivent être copiées. Un message de confirmation apparaît si des données de même nom existent déjà.
• 6(Non) ... avance à l’élément de données suivant sans copier les données de même nom • Il faut appuyer sur A pour annuler la copie et revenir à l’écran initial du mode MEMORY. Le contrôle de surécriture est effectué pour les données suivantes seulement. Toutes les autres données sont copiées sans contrôle des fichiers de même nom. • Programmes • Matrices/vecteurs • Fichiers de listes • Mémoires de graphes • Mémoire de graphes dynamiques • Données de feuilles de calculs Le contrôle de surécriture s’effectue pour les données de même type seulement. Si différents types de données ont le même nom, la copie est effectuée même si le nom est identique. Le contrôle de surécriture ne s’exerce que sur la destination de la copie. Contrôle d’erreur d’incompatibilité Les données eActivity, les applications ajoutées, les langues ajoutées, les menus ajoutés et les données de sauvegarde ne peuvent pas être copiées dans la mémoire principale. Une erreur d’incompatibilité se produit si vous essayez de les copier.
2. Sélectionnez le ou les fichiers que vous voulez supprimer. Vous pouvez sélectionner plusieurs fichiers, si nécessaire. 3. Appuyez sur 6(DEL). • Appuyez sur 1(Oui) pour supprimer le fichier. • Appuyez sur 6(Non) pour annuler la suppression.
1. Affichez l’écran d’informations de la mémoire de stockage. • Pour plus de détails, voir « Écran d’information de mémoire » à la page 11-2. 2. Sélectionnez le ou les fichiers que vous voulez supprimer. Vous pouvez sélectionner plusieurs fichiers, si nécessaire. 3. Appuyez sur 6(DEL). • Appuyez sur 1(Oui) pour supprimer le fichier. • Appuyez sur 6(Non) pour annuler la suppression.
• Pour plus de détails, voir « Écran d’information de mémoire » à la page 11-2. 2. Appuyez sur 3(SRC). • Saisissez la lettre « R » au clavier.
« R » est mis en surbrillance.
2. Appuyez sur 3(SRC). • Saisissez la lettre « S » au clavier. • Le premier nom de fichier commençant par la lettre « S » est mis en surbrillance.
Important ! • La sauvegarde de données n’est pas disponible sur la GRAPH25+ E II.
1. Sur l’écran initial du mode MEMORY, appuyez sur 4(BKUP).
L’écran de sélection de dossier s’affiche.
4. Appuyez sur 1(SAVE) pour commencer la sauvegarde. • Les données sont sauvegardées dans un fichier nommé BACKUP.g2m. Le message « Complet! » apparaît lorsque l’opération est terminée. Appuyez sur J pour revenir à l’écran affiché à l’étape 1.
Une « Mémoire pleine » se produit si l’espace disponible dans la mémoire de stockage est insuffisant pour une sauvegarde complète des données.
1. Sur l’écran initial du mode MEMORY, appuyez sur 4(BKUP). • Sur l’écran qui apparaît vous pouvez vérifier s’il y a ou non des données de sauvegarde dans la mémoire de stockage. 2. Appuyez sur 2(LOAD). L’écran de sélection de dossier s’affiche.
4. Appuyez sur 1(LOAD).*1 • Un message apparaît vous demandant de confirmer le rétablissement des données de sauvegarde. *1 Le message « Pas de données » s’affiche si aucune donnée n’est sauvegardée dans la mémoire. Pour revenir à l’écran de l’étape 1, il suffit d’appuyer sur J. Appuyez sur 1(Oui) pour rétablir les données et supprimer les données actuellement dans la zone active. Appuyez sur 6(Non) pour annuler l’opération. Le message « Complet! » apparaît lorsque l’opération est terminée. Appuyez sur J pour revenir à l’écran affiché à l’étape 1.
u Pour optimiser la mémoire de stockage Sur l’écran initial du mode MEMORY, appuyez sur 5(OPT) pour optimiser la mémoire de stockage.
Appuyez sur J to pour revenir à l’écran initial du mode MEMORY. • Dans certains cas, l’espace de mémoire libre ne change pas lorsque vous le contrôlez après l’optimisation. Cela ne signifie pas que la calculatrice est défectueuse.
Utilisez le menu de réglages du système pour voir les informations concernant le système et effectuer des réglages.
A partir du menu principal, accédez au mode SYSTEM et afficher les paramètres de menu suivants. • 1(
Lorsque l’écran initial du mode SYSTEM est affiché, appuyez sur 1( l’écran de réglage du contraste.
• La touche du pavé directionnel d éclaircit l’affichage. • 1(INIT) rétablit le contraste initial. Pour revenir à l’écran initial du mode SYSTEM, appuyez sur J ou !J(QUIT). Vous pouvez ajuster le contraste sur n’importe quel écran en appuyant sur ! puis sur e ou d. Pour sortir de l’écran de réglage du contraste, appuyez une nouvelle fois sur !.
Pour afficher l’écran de réglage Prop Alimentation, appuyez sur 2( ) lors de l’affichage de l’écran initial du mode SYSTEM.
u Pour sélectionner la langue des messages 1. Lorsque l’écran initial du mode SYSTEM est affiché, appuyez sur 3(LANG) pour afficher l’écran de sélection de la langue des messages. 2. Utilisez les touches du pavé directionnel f et c pour sélectionner la langue souhaitée, puis appuyez sur 1(SEL). 3. La fenêtre apparaît avec la langue sélectionnée. Vérifiez-en le contenu et appuyez sur J. 4. Pour revenir à l’écran initial du mode SYSTEM, appuyez sur J ou !J(QUIT).
1. Lorsque l’écran initial du mode SYSTEM est affiché, appuyez sur 3(LANG) pour afficher l’écran de sélection de la langue des messages. 2. Appuyez 6(MENU). 3. Utilisez les touches du pavé directionnel f et c pour sélectionner la langue souhaitée, puis appuyez sur 1(SEL). 4. La fenêtre apparaît avec la langue sélectionnée. Vérifiez-en le contenu et appuyez sur J. • Appuyez sur 6(MSG) pour revenir à l’écran de sélection de la langue des messages. 5. Pour revenir à l’écran initial du mode SYSTEM appuyez sur J ou !J(QUIT).
Utilisez VER (version) pour afficher la version du système d’exploitation. Vous pouvez aussi enregistrer un nom d’utilisateur voulu.
1. Sur l’écran initial du mode SYSTEM, appuyez sur 4(VER) pour afficher la liste des versions. 2. Utilisez f et c pour faire défiler l’écran. La liste contient les éléments suivants. • Les éléments marqués avec un astérisque (*) sont affichés par tous les modèles. Les autres éléments ne sont affichés que par les modèles qui supportent la fonction désignée. - Version du système d’exploitation* - Noms et versions des applications de modules d’extension (seules les modules installés sont affichés) - Langues et versions des messages* - Langues et versions des menus - Nom de l’utilisateur* 3. Pour revenir à l’écran initial du mode SYSTEM, appuyez sur J ou !J(QUIT). • La version indiquée comme système d’exploitation dépend du modèle de la calculatrice.
1. Lorsque la liste des versions est affichée, appuyez sur 1(NAME) pour afficher l’écran de spécification du nom de l’utilisateur. 2. Saisissez un nom d’utilisateur de huit caractères au maximum. 3. Après avoir saisi le nom, appuyez sur w pour l’enregistrer et revenir à la liste des versions. • Si vous voulez annuler la saisie du nom et revenir à la liste des versions sans enregistrer le nom, appuyez sur J.
1. Lorsque l’écran initial du mode SYSTEM est affiché, appuyez sur 5(RSET) pour afficher l’écran de réinitialisation 1.
• 2(MAIN) ... {suppression des données de la mémoire principale} • 3(ADD) ... {suppression des applications ajoutées}*1 • 4(SMEM) ... {suppression des données de la mémoire de stockage}*1 • 5(A&S) ... {suppression des applications ajoutées et des données de la mémoire de stockage}*1 L’écran de réinitialisation 2 suivant s’affiche par une pression de 6(g) sur l’écran précédent. • 1(M&S) ... {suppression des données de la mémoire principale et des données de la mémoire de stockage}*1 • 2(ALL) ... {suppression de toutes les mémoires}*1 • 3(RST1) ... {suppression de toutes les mémoires, sauf certaines applications ajoutées}*1*2 *1 Non compris dans la GRAPH25+ E II. *2 Pour plus d’informations sur les applications ajoutées qui ne sont pas effacées, accédez au site Web ci-dessous. https://edu.casio.com/products/graphic/gcreset/ Les fonctions des touches de fonction son indiquées dans le tableau suivant. Vous pouvez utiliser ces touches pour supprimer les données souhaitées.
3. En réponse au message de confirmation qui apparaît, appuyez sur 1(Oui) pour effectuer l’opération désignée ou sur 6(Non) pour annuler l’opération. 4. Un message vous avertissant que l’initialisation est terminée apparaît.
2(MAIN) à l’étape 2.
2(MAIN) à l’étape 2.
Notez que la suppression des données de langue supplémentaire rétablit automatiquement l’anglais comme langue par défaut. La langue supprimée ne sera plus disponible à l’affichage.
• {RECV} ... {affiche l’écran de réception de données} • {EXAM} ... {affiche le menu du mode Examen} • {CABL} ... {affiche l’écran de sélection du type de câble} (ne sont pas inclus sur la GRAPH25+ E II) • {WAKE} ... {affiche l’écran de réglage de réveil} Les paramètres de communication sont déterminés par les réglages suivants. • Port série à 3 broches • Vitesse (BPS) : 115200 bps max. (Raccordée à une autre calculatrice GRAPH75+ E, GRAPH35+ E II, GRAPH35+ E, GRAPH25+ E II ou GRAPH25+ E) • Parité (PARITY) : NONE Lorsque l’état « Réveil » est sélectionné sur le récepteur, celui-ci s’allume automatiquement lors du démarrage du transfert. GRAPH25+ E II • Le récepteur passe en mode de réception de façon automatique après le réveil. GRAPH35+ E II • Lors de la communication entre deux calculatrices (le type de câble sélectionné est 3PIN), le récepteur passe automatiquement en mode de réception après le réveil. • Lorsque la communication se fait avec un ordinateur (le type de câble sélectionné est USB), la connexion du câble USB à un ordinateur et puis à la calculatrice (lorsque la calculatrice est hors tension) entraînera l’allumage de la calculatrice et l’apparition de la boîte de dialogue « Sélectionner Mode Connexion ». 1. Sur le menu principal de communication de données de la machine réceptrice, appuyez sur 5(WAKE). L’écran de réglage de Réveil s’affiche. • {On} ... {active la fonction Réveil} • {Off} ... {désactive la fonction Réveil} 2. Appuyez sur 1(On). La fonction Réveil est activée et le menu principal de communication des données réapparaît. 13-1
k Écran de sélection du mode de connexion
• 1(clé USB) ... Mode de connexion de la calculatrice à un ordinateur pour le transfert de données. Consultez « Pour établir une connexion entre la calculatrice et un ordinateur » (page 13-3). • 2(Projecteur) ... Mode de connexion de la calculatrice à un projecteur pour la projection de l’écran de la calculatrice. Voir « Connexion de la calculatrice à un projecteur » (page 13-15). • 3(RécepEcran) ... Mode destiné à l’utilisation du logiciel Screen Receiver sur un ordinateur pour y afficher l’écran de la calculatrice. Consultez le « Mode d’emploi de Screen Receiver » pour plus d’informations. Attendez jusqu’à ce que l’écran de la calculatrice apparaisse dans la fenêtre Screen Receiver avant d’effectuer toute opération avec la calculatrice.
(GRAPH35+ E II seulement) En établissant une connexion USB entre la calculatrice et un ordinateur, ce dernier reconnaît la mémoire de stockage de la calculatrice comme une mémoire de masse. Lors de la connexion, le contenu de la mémoire principale se charge automatiquement dans la mémoire de stockage de sorte que les données de la mémoire principale soient accessibles depuis l’ordinateur. Après avoir établi la connexion, vous pouvez transférer les données de la calculatrice vers l’ordinateur en utilisant uniquement les commandes de l’ordinateur.
Ci-après la configuration minimale requise d’un ordinateur pour qu’il puisse échanger des données avec la calculatrice. • Port USB • Fonctionnement sous l’un des systèmes d’exploitation suivants. Windows 8.1 (32 bits, 64 bits) Ne touchez jamais les fiches du câble USB et l’écran lors de l’opération de communication de données. L’électricité statique de vos doigts peut causer une interruption du transfert de données.
1. Démarrez votre ordinateur. 2. Après avoir démarré votre ordinateur, connectez-le à la calculatrice avec le câble USB.
3. Appuyez sur 1(clé USB). • Le message « Préparation USB » s’affiche sur l’écran de la calculatrice. Patientez et n’effectuez aucune opération sur la calculatrice. L’établissement d’une connexion entre la calculatrice et un ordinateur fait apparaître l’écran illustré ci-contre.
• Si vous utilisez Windows, l’emplacement du lecteur correspondant à la calculatrice dépendra de votre version Windows. Utilisez l’Explorateur Windows pour ouvrir le lecteur correspondant à la calculatrice. - Windows 8.1 : dans PC - Windows 10 : dans Ce PC • Sous OS X ou macOS, l’icône du lecteur correspondant à la calculatrice apparaît sur le bureau. Double-cliquez sur l’icône pour l’ouvrir. • Le lecteur correspondant à la calculatrice représente la mémoire de stockage de cette dernière. 5. Effectuez l’opération souhaitée sur votre ordinateur pour transférer les données. • Reportez-vous à « Transfert de données entre la calculatrice et un ordinateur personnel » (page 13-4) pour plus d’informations sur le transfert de données.
1. Si la calculatrice est connectée à un ordinateur sous Windows, notez la lettre du lecteur (E, F, G, etc.) qui lui est affectée. 2. Effectuez l’une des opérations suivantes, suivant le système d’exploitation sous lequel fonctionne votre ordinateur. Important ! Selon le système d’exploitation de votre ordinateur, effectuez une des opérations cidessous avant de déconnecter le câble USB de la calculatrice. • Windows : Cliquez sur l’icône « Retirer le périphérique en toute sécurité » dans la barre des tâches au coin inférieur droit de l’écran. Dans la boîte de dialogue qui apparaît, sélectionnez « Périphérique de stockage de masse USB » dont la lettre correspond au lecteur de la calculatrice que vous avez notée à l’étape 1 ci-dessus. Assurez-vous que le message « Ce périphérique peut maintenant être retiré de l’ordinateur » est bien affiché. • Mac OS : Faites glisser l’icône du lecteur de la calculatrice sur l’icône Eject (icône représentant la corbeille). Assurez-vous que l’icône du lecteur de la calculatrice ne se trouve plus sur votre bureau. 3. Le message « Mise à jour Mém Princ » s’affiche sur l’écran de la calculatrice. Patientez et n’effectuez aucune opération sur la calculatrice. Le message « Complet! » apparaît lorsque la mise à jour de la mémoire principale est terminée. Appuyez sur J pour fermer la boîte de dialogue du message. 4. Débranchez le câble USB de la calculatrice.
Cette section décrit la procédure à suivre pour connecter la calculatrice à l’ordinateur et ensuite ouvrir le lecteur correspondant à la calculatrice sur l’ordinateur pour transférer des données.
Si la capacité de la mémoire de stockage est insuffisante pour la copie, le message « Mémoire stock Pleine » s’affiche sur la calculatrice et l’opération de copie n’aura pas lieu. Le cas échéant, supprimez de la mémoire de stockage les fichiers dont vous n’avez plus besoin afin d’augmenter l’espace disponible et réessayez d’établir une connexion USB. Chaque groupe dans la mémoire principale est affiché sous la forme d’un dossier dans le dossier @MainMem. De même, chaque élément de données dans la mémoire principale est affiché sous la forme d’un fichier dans le dossier @MainMem. Les noms des groupes et des éléments de données dans la mémoire principale apparaissent dans le dossier @MainMem comme indiqué dans le tableau ci-dessous.
<Nom des données>.g2m VMEMx.g1m ou VMEMx.g2m PICTxx.g1m CAPTxx.g1m • La suppression du dossier @MainMem provoque l’initialisation de toutes les données présentes dans la mémoire principale de la calculatrice. • La mise à jour du dossier @MainMem affecte jusqu’à trois niveaux de dossier à l’intérieur du dossier racine de la mémoire de stockage. SMEM ← Dossier racine de la mémoire de stockage @MainMem (niveau 1) Dossier (niveau 2) Dossier (niveau 3) ← La mise à jour affecte les fichier jusqu’à ce niveau Tous les dossiers et les fichiers qui se trouvent au-delà du niveau 3 sont déplacés dans un dossier de la mémoire de stockage appelé « SAVE-F ». • L’ajout d’un fichier g1m ou g2m au dossier @MainMem pendant qu’il existe une connexion USB entre la calculatrice et un ordinateur copiera le ou le éléments de données inclus dans le fichier g1m ou g2m vers la mémoire principale de la calculatrice. Reportez-vous à « Données de la mémoire principale pendant une connexion USB » (page 13-4) pour plus d’informations sur les données de la mémoire principale qui correspondant aux noms de fichier g1m ou g2m dans le dossier @MainMem. Si la mémoire principale ne contient aucun groupe qui correspond aux données incluses dans le fichier g1m ou g2m, un groupe correspondant sera alors créé automatiquement et les éléments de données seront copiés dans ce groupe. • Suivant le type de données, un message de confirmation d’écrasement apparaît s’il existe déjà dans la mémoire principale de la calculatrice des données du même nom que celles copiées depuis le dossier @MainMem. Pour plus d’informations sur les types de données qui provoquent l’affichage d’un message de confirmation, reportez-vous à « Contrôle d’écrasement » dans le tableau de la page 13-11. « Oui » indique qu’un message de confirmation s’affiche, « Non » indique que la copie est effectuée sans aucun message de confirmation. • Si vous placez dans le dossier @MainMem un fichier ou un dossier qui n’est pas pris en charge par la calculatrice, il sera transféré dans un dossier appelé « SAVE-F » de la mémoire de stockage de la calculatrice et n’apparaîtra pas dans la mémoire principale. • Si le volume de données dans le dossier @MainMem dépasse la capacité disponible de la mémoire principale, le message « Erreur mémoire » s’affichera sur la calculatrice lorsque vous mettrez fin à la connexion USB et la mémoire principale ne sera pas mise à jour. • Si le dossier @MainMem contient un fichier additionnel (.g1a/.g1l), celui-ci sera déplacé vers le répertoire racine de la mémoire de stockage. Notez cependant que s’il existe déjà un fichier additionnel portant le même nom dans le répertoire racine de la mémoire de stockage, le fichier existant sera remplacé par le nouveau sans qu’une demande de confirmation s’affiche. • Si un fichier texte (.txt) a été ajouté au dossier @MainMem\PROGRAM, il sera automatiquement converti en un programme ayant le même nom que le fichier et stocké dans le groupe PROGRAM de la mémoire principale. Reportez-vous à « Règles de conversion des programmes et des fichiers texte » (page 8-6) pour les détails sur les règles qui régissent les noms de fichier et autres problèmes de conversion. 13-6
1. Connectez la calculatrice à l’ordinateur et ouvrez le lecteur correspondant à la calculatrice sur l’ordinateur. • Consultez « Pour établir une connexion entre la calculatrice et un ordinateur » (page 133).
• Employez les mêmes procédures que celles utilisées normalement avec les fichiers sur votre ordinateur. • Reportez-vous à « Données de la mémoire principale pendant une connexion USB » (page 13-4) et « Mise à jour des données de la mémoire principale à la fin d’une connexion USB » (page 13-6) pour plus d’informations sur les dossier et les fichiers dans le dossier @MainMem. 3. Après avoir terminé toutes les opérations souhaitées, mettez fin à la connexion entre la calculatrice et l’ordinateur. • Consultez « Pour mettre fin à la connexion entre la calculatrice et un ordinateur » (page 13-4).
La copie d’un fichier de la mémoire de stockage peut couper la connexion entre la calculatrice et l’ordinateur. Dans ce cas, passez en mode MEMORY, exécutez une opération d’optimisation (page 11-11), puis établissez de nouveau la connexion entre la calculatrice et l’ordinateur. 1. Créez le programme dans le mode PRGM de la calculatrice (voir « Chapitre 8 Programmation »). 2. Connectez la calculatrice à l’ordinateur et ouvrez le lecteur correspondant à la calculatrice sur l’ordinateur. 3. Affichez le contenu du dossier @MainMem\PROGRAM puis utilisez un éditeur de texte pour ouvrir le fichier texte portant le même nom que le programme que vous voulez modifier. • Si vous travaillez sous Windows, vous pouvez utiliser le Bloc-notes, etc. Avec Mac OS, vous pouvez utiliser TextEdit, etc. 13-7
• Voir « Tableau de conversion des commandes spéciales de la calculatrice scientifique CASIO ⇔ Texte » (page 8-47) pour plus d’informations sur les commandes de la calculatrice et leurs chaînes de caractères spéciales correspondantes. 5. Lorsque vous avez terminé les modifications, enregistrez et fermez le fichier texte. • Au besoin, enregistrez les fichiers modifiés sous un nom différent. Si vous enregistrez le fichier avec la commande Enregistrer sous, assurez-vous d’enregistrer le nouveau fichier dans @MainMem\PROGRAM\. • Assurez-vous d’enregistrer le fichier au format texte ASCII ou code ANSI. 6. Mettez fin à la connexion entre la calculatrice et l’ordinateur • Consultez « Pour mettre fin à la connexion entre la calculatrice et un ordinateur » (page 13-4).
Vous pouvez installer des fichiers additionnels sur la calculatrice pour lui ajouter des fonctions supplémentaires. Les types de fichiers additionnels suivants sont disponibles. • Applications ajoutées (.g1a) : ces fichiers ajoutent de nouvelles applications au menu principal. • Langues ajoutées (.g1l) : ces fichiers ajoutent des langues à celles pouvant être sélectionnées avec la procédure « Réglage de la langue du système » (page 12-2) pour les messages à l’écran. • Menus ajoutés (.g1l) : ces fichiers ajoutent des langues à celles pouvant être sélectionnées avec la procédure « Réglage de la langue du système » (page 12-2) pour les menus de fonctions.
À l’étape 2 de la procédure « Pour transférer des données entre la calculatrice et un ordinateur » (page 13-7), copiez le fichier additionnel (.g1a/.g1l) que vous voulez installer dans le répertoire racine du lecteur correspondant à la calculatrice.
• Suivant le système d’exploitation que vous utilisez, effectuez l’une des opérations suivantes pour mettre fin à une connexion avec la calculatrice. - Windows : Cliquez sur l’icône « Retirer le périphérique en toute sécurité » dans la barre des tâches au coin inférieur droit de l’écran. Dans la boîte de dialogue qui apparaît, sélectionnez « Périphérique de stockage de masse USB ». Assurez-vous que le message « Ce périphérique peut maintenant être retiré de l’ordinateur » est bien affiché. - Mac OS : Faites glisser l’icône de la calculatrice sur la corbeille. Assurez-vous que l’icône du lecteur de la calculatrice ne se trouve plus sur votre bureau. • Ne formatez jamais le lecteur correspondant à la calculatrice avec l’ordinateur. Cela provoquerait l’affichage d’un message « ERR syst fichier » sur l’écran de la calculatrice après avoir mis fin à la connexion USB entre celle-ci et l’ordinateur. Si cela se produit, vous ne pourrez plus redémarrer votre calculatrice avant d’avoir effectué une opération Initialize All (Initialisation générale), ce qui efface toutes les données actuellement présentes dans la mémoire de la calculatrice. Voir « ERR syst fichier » (page α-5) pour plus d’informations. 13-8
Il ne s’agit pas d’un défaut. Pour plus d’information sur l’optimisation de la mémoire de stockage, consultez « Optimisation de la mémoire de stockage » (page 11-11). • Une connexion USB entre la calculatrice et l’ordinateur peut se terminer automatiquement si l’ordinateur se met en mode économie d’énergie, en mode hibernation ou tout autre mode de veille.
Les opérations suivantes expliquent comment raccorder deux calculatrices avec le câble SB-62.
1. Vérifiez que les deux calculatrices sont éteintes. 2. Raccordez les deux calculatrices en utilisant le câble SB-62. • L’étape 3 n’est pas requise sur la GRAPH25+ E II. 3. Effectuez les opérations suivantes sur les deux machines pour spécifier 3PIN comme type de câble. (1) Sur le menu principal, accédez au mode LINK. (2) Appuyez sur 4(CABL). L’écran de sélection du type de câble s’affiche. (3) Appuyez sur 2(3PIN). Câble SB-62
GRAPH35+ E II, GRAPH25+ E II Modèles de calculatrice plus anciens La calculatrice se met dans le mode d’attente, prête pour la réception des données. La réception commence dès que les données sont envoyées par l’autre machine. Machine émettrice Pour configurer la calculatrice pour la transmission de données, appuyez sur 1(TRAN) quand le menu principal destiné à la communication de données est affiché. L’écran pour spécifier le mode de sélection des données s’affiche. • {SEL} ... {sélectionne de nouvelles données} • {CRNT} ... {sélectionne automatiquement les données sélectionnées antérieurement*1}
Appuyez sur 1(SEL) ou 2(CRNT) pour afficher l’écran de sélection de types de données. • {SEL} ... {sélectionne le type de données où se trouve le curseur} • {ALL} ... {sélectionne toutes les données} • {TRAN} ... {envoie le type de données sélectionné} Utilisez les touches du pavé directionnel f et c pour amener le curseur sur le type de données que vous voulez sélectionner, puis appuyez sur 1(SEL) pour valider votre sélection. Les types de données sélectionnés sont marqués du signe « ». Appuyez maintenant sur 6(TRAN) pour les envoyer. • Pour invalider une sélection, amener le curseur dessus et appuyez une nouvelle fois sur 1(SEL). Seuls les types qui contiennent des données apparaissent à l’écran de sélection. Si tous les types de données ne rentrent pas sur un seul écran, la liste défile quand vous mettez le curseur sur la dernière ligne de la liste affichée.
• 6(Non) ... retour à l’écran de sélection
L’écran de la machine émettrice et celui de la machine réceptrice qui apparaissent après le transfert de données affichent les messages suivants. Machine émettrice
Les types de données que vous pouvez envoyer sont les suivants. Type de données
(Tous les données de feuille de calcul sont listés.)
Nom du type de données
• 6(Non) ... {passe au type de données suivant} Respectez les précautions suivantes lorsque vous effectuez une communication de données. • Une erreur se produit quand vous essayez d’envoyer des données à une machine réceptrice qui n’est pas en attente de réception. Dans ce cas, appuyez sur J pour effacer l’erreur et recommencez l’opération, après avoir réglé la machine réceptrice pour la réception de données. • Une erreur se produit si la machine réceptrice ne reçoit aucune donnée dans les six minutes environ qui suivent le réglage de réception de données. Dans ce cas, appuyez sur J pour effacer l’erreur. • Une erreur se produit durant la communication des données si le câble est débranché, si les paramètres des deux machines ne correspondent pas ou si un autre problème de communication se produit. Dans ce cas, appuyez sur J pour effacer l’erreur et corriger le problème avant d’essayer de communiquer à nouveau. Si la communication de données est interrompue par une pression sur la touche J ou une erreur, toutes les données reçues avec succès jusqu’à l’interruption de la communication se trouveront dans la mémoire de la machine réceptrice. • Une erreur se produit si la mémoire de la machine de réception devient pleine durant la communication des données. Dans ce cas, appuyez sur J pour effacer l’erreur et annuler les données inutiles dans la machine réceptrice afin de faire de la place pour les nouvelles données, puis essayez une fois de plus.
La GRAPH35+ E II/GRAPH25+ E II supporte l’échange de données avec les modèles de calculatrice suivants. • GRAPH35+ E II, GRAPH25+ E II • GRAPH75+ E, GRAPH35+ E, GRAPH25+ E
- résultats et coefficients des calculs d’équations linéaire simultanées et équations d’ordre supérieur du mode EQUA - données de l’historique (y compris l’élément de données « SYSTEM ») - données de listes - données de matrices/vecteurs
(GRAPH35+ E II seulement) Vous pouvez raccorder la calculatrice à un projecteur CASIO et projeter sur un écran les informations affichées sur la calculatrice.
Pour de plus amples informations sur les projecteurs raccordables, allez sur le site ci-après : https://edu.casio.com/support/projector/ • Vous pouvez aussi raccorder la calculatrice à un kit de présentation multifonctions YP-100 et projeter les informations d’autres projecteurs que le modèle mentionné ci-dessus.
1. Utilisez le câble USB fourni avec la calculatrice pour relier celle-ci au projecteur (ou au YP-100). • La connexion du câble USB à la calculatrice entraînera l’affichage de la boîte de dialogue « Sélectionner Mode Connexion ». 2. Appuyez sur 2(Projecteur).
• Un sablier peut rester projeté sur l’écran après le raccordement de la calculatrice au projecteur (ou au YP-100). En outre, passer à un autre écran lors du traçage d’un graphe ou lors de l’exécution d’un programme en mode PRGM peut causer l’affichage d’un écran différent de celui de la calculatrice. Le cas échéant, il suffit d’effectuer une opération quelconque pour que l’affichage normal réapparaisse. • Si la calculatrice cesse de fonctionner normalement, débranchez le cable USB puis rebranchez-le. Si le problème n’est pas résolu de cette façon, débranchez le câble USB, éteignez le projecteur (ou le YP-100) et rallumez-le, puis rebranchez le câble USB.
• Le mode PYTHON prend en charge la version 1.9.4 de MicroPython, qui a été adaptée pour fonctionner sur cette calculatrice. Notez que MicroPython est généralement différent de la version de Python s’exécutant sur un ordinateur. De plus, le mode PYTHON ne prend pas en charge tous les modules, fonctions, commandes et bibliothèques de MicroPython. • MicroPython est un projet open-source. Pour obtenir des informations sur la licence, consultez la section « MicroPython license information » (page -1). • Le mode PYTHON exécute des instructions à l’aide du système de traitement MicroPython. Pour cette raison, les résultats de calcul et les autres données produites par ce mode peuvent différer des résultats d’exécution d’autres modes de fonctionnement. • Python est une marque déposée de Python Software Foundation. Les symboles de marque de commerce (™) et de marque déposée (®) ne sont pas utilisés dans ce manuel.
La première chose qui apparaît lorsque vous sélectionnez le mode PYTHON dans le menu principal est l’écran de la liste des fichiers.
1. À partir du menu principal, entrez dans le mode PYTHON. • Cela affiche l’écran de la liste des fichiers. • Les noms des fichiers sont énumérés par ordre alphabétique. • Les valeurs sur le côté droit de la liste de fichiers indiquent le nombre d’octets utilisés par chaque fichier py. 2. Créez un nouveau fichier et enregistrez-le sous un nom de fichier*. Ici, nous allons utiliser la procédure ci-dessous pour créer un nouveau fichier py nommé « OCTA ». 3(NEW)5(A↔a)j(O)I(C)/(T)v(A)w • Cela affiche l’écran de l’éditeur de script. * Noms de fichiers • Vous pouvez saisir jusqu’à huit lettres (huit octets) pour définir un nom de fichier. • Un nom de fichier peut être composé de caractères alphanumériques d’un octet (de A à Z, de a à z, et de 0 à 9). Cette calculatrice ne fait pas de distinction entre les majuscules et les minuscules.
Notez qu’un fichier avec un nom qui commence par un chiffre ou un nom qui est un mot réservé de Python ne sera pas exécuté.
Les opérations ci-dessous sont exécutées une fois que le script est en cours d’exécution. Valeur de A saisie ba(Saisit la valeur de A) Résultat de l’exécution w (valeur de S)
1. Appuyez sur J pour revenir à l’écran de l’éditeur de script. 2. Appuyez sur 2(RUN).
• Si un script py ne fonctionne pas normalement en raison d’une erreur de saisie, l’exécution du script à l’étape 4 affiche un message d’erreur. Appuyez sur J pour revenir à l’écran de l’éditeur de script à partir de l’écran SHELL. Pour plus d’informations sur la façon de corriger un script py, voir « Modification d’un fichier py » (page 14-21).
Numéro de ligne de la position du curseur
La barre d’état de l’écran de l’éditeur affiche le nom du fichier py actuellement ouvert, le nombre total de lignes du script py, et le numéro de ligne de la position actuelle du curseur.
S’il n’existe pas de fichiers py dans la mémoire, seules les options {NEW} et {SHELL} sont disponibles dans le menu ci-dessous. • {RUN}/{OPEN} … exécute ou ouvre un fichier py enregistré afin de le modifier • {NEW} … affiche un écran d’enregistrement de nom de fichier lors de la création d’un nouveau fichier py • {SHELL} … exécute SHELL et affiche l’écran SHELL • {DEL} … supprime le fichier py spécifié • {SRC} … recherche un nom de fichier
• {A↔a} … bascule entre la saisie en majuscules et minuscules 14-4
• {FILE} • {CHAR} … affiche un menu de saisie de caractères alphanumériques, de symboles et d’opérateurs • {A↔a} … bascule entre la saisie en majuscules et minuscules • {COM} … affiche un menu de commandes de branche conditionnelle et de boucle Voir « Utilisation du menu de fonctions pour saisir des commandes (branches conditionnelles ou boucles) en tant que blocs d’instructions » (page 14-7). • {OPER} … affiche un menu de saisie d’opérateurs (= != > < % | ^ & ~) • {JUMP} … affiche un menu de fonctions de saut à la ligne • {TOP} … saute à la première ligne d’un script py • {BTM} … saute à la dernière ligne d’un script py • {LINE} … affiche une boîte de dialogue pour spécifier une ligne et saute à la ligne spécifiée du script py • {SRC} … recherche une chaîne de texte
• {RUN} … exécute l’expression ou la commande saisie dans la dernière ligne (ligne d’invite) de l’écran SHELL • {A↔a} … bascule entre la saisie en majuscules et minuscules • {CHAR} … affiche un menu de saisie de caractères alphanumériques, de symboles et d’opérateurs
Il y a trois façons de saisir du texte et des commandes dans le mode PYTHON. • Utilisation du clavier pour saisir des caractères, des symboles et des fonctions (Voir la procédure ci-dessous.) • Saisie via le menu de fonctions - Saisie de caractères alphanumériques, de symboles et d’opérateurs (page 14-7) - Saisie de commandes de branche conditionnelle et de commandes de boucle (page 14-7) • Utilisation du catalogue (liste de fonctions ou de commandes) pour sélectionner un élément et le saisir (page 14-9)
À partir de l’écran de l’éditeur de script ou de l’écran SHELL, vous pouvez utiliser le clavier de la calculatrice pour saisir des chiffres, des caractères alphanumériques et des fonctions (', log, etc.) qui sont affectés à chaque touche.
Le tableau ci-dessous montre la saisie faite (nombre, opérateur, parenthèses ou fonction) lorsque vous appuyez sur une touche ou appuyez sur ! puis sur une touche. Effectuer cette opération de touches :
« math. » avant chaque fonction que vous utilisez. Voir « Utilisation des modules (import) » (page 14-10) pour plus d’informations.
Si la première saisie est effectuée immédiatement après avoir appuyé sur a, ou si elle a été effectuée en verrouillage alpha en appuyant sur !a (page 1-2), alors une pression sur une touche permet de saisir le caractère indiqué en rouge sur la touche, un espace ou des guillemets (”). • Choisir {NEW} ou {OPEN} sur l’écran de la liste des fichiers va afficher l’écran d’éditeur de script et verrouiller automatiquement la saisie en minuscules alphanumériques.
Sur l’écran de l’éditeur de script du mode PYTHON, appuyez sur w pour saisir un retour à la ligne. • Le fait d’appuyer sur w après une ligne qui se termine par un deux-points (:) mettra automatiquement la nouvelle ligne en retrait de deux espaces de plus que la ligne précédente (mise en retrait automatique). • Le fait d’appuyer sur w lorsque le curseur est placé sur une ligne en retrait mettra en retrait la ligne après le retour à la ligne du même nombre de caractères que la ligne en retrait audessus d’elle. • Pour saisir un retour à la ligne sans mettre la nouvelle ligne en retrait, appuyez sur !w. Les codes de retour à la ligne ne sont pas affichés dans le mode PYTHON.
Utilisez les menus de fonctions donnés dans le tableau ci-dessous pour saisir des caractères alphanumériques, des symboles ou des opérateurs. Opération de touches Écran de l’éditeur de script
• Cela insère le bloc d’instructions if...else, avec le curseur placé pour la saisie de la condition « if ». • Les lignes 2 et 4 sont mises en retrait de deux espaces automatiquement.
* Uniquement lorsque le curseur est sur la ligne d’invite. Dans les opérations de cette section, les fonctions, les commandes et les autres éléments qui peuvent être saisis depuis le catalogue sont collectivement appelés des « commandes ».
1. Sur l’écran de l’éditeur de script ou sur l’écran SHELL, appuyez sur !e(CATALOG). • Cela affiche l’écran de la liste des commandes du catalogue. • Si vous voulez sélectionner une commande sur cet écran afin de la saisir, allez à l’étape 4 de cette procédure. Si vous voulez sélectionner une catégorie, allez à l’étape 2 de cette procédure. 2. Appuyez sur 6(CTGY). • Cela affiche la liste des catégories. • Pour plus d’informations sur chaque catégorie, voir « Catégories de commandes » (page 14-9).
Vous pouvez aussi utiliser f et c pour changer la catégorie en surbrillance, puis appuyer sur w. • L’écran de la liste de commande est alors à nouveau affiché, montrant uniquement les commandes à l’intérieur de la catégorie choisie. 4. Utilisez f et c pour sélectionner la commande que vous voulez saisir. 5. Après avoir sélectionné la commande que vous voulez saisir, appuyez sur 1(INPUT) ou w. • Lorsque vous entrez dans le mode PYTHON et que vous affichez le catalogue, la commande qui a été choisie la dernière fois que vous avez affiché le catalogue s’affiche en premier. Catégories de commandes Le contenu de chaque catégorie du catalogue du mode PYTHON est décrit dans le tableau ci-dessous. Nom de la catégorie
• Contrairement aux catalogues d’autres modes (page 1-9), il n’y a pas de fonction de l’historique des commandes ou de fonction de QR Code dans le mode PYTHON. • Le module matplotlib.pyplot et le module turtle de cette calculatrice sont similaires aux modules de la version pour ordinateur de Python. Ils ne sont pas identiques.
« import math » 1. Sur l’écran de l’éditeur de script, déplacez le curseur sur la ligne où vous voulez insérer la commande, puis appuyez sur !e(CATALOG). 2. Appuyez sur 6(CTGY) pour afficher l’écran de catégorie, puis appuyez sur d(math). 3. Appuyez sur ((I) pour rechercher des commandes qui commencent par « i ». 4. Après avoir vérifié que « import math » est sélectionné, appuyez sur w. • Pour plus d’informations à propos d’« import math », voir « Utilisation des modules (import) » (page 14-10).
En mode PYTHON, vous pouvez utiliser les fonctions du module math, module random, module matplotlib.pyplot, module turtle et module casioplot (page 14-16) en plus des fonctions intégrées de Python.
(import) le module. Description
être importé. • Un fichier py unique écrit par un script py est appelé un « module ». Les fichiers py sont importés en utilisant la même syntaxe que import. • Pour un exemple d’importation utilisant un fichier py, voir « Exemple 4 : Importation d’un fichier py » dans la section « Exemples de scripts » (page 14-28). Exemples de syntaxe : import math (Importe le module math.) from math import pi, sqrt (Du module math, importe pi et sqrt seulement.) • Si vous utilisez import pour importer un module, vous devez inclure le « <nom du module>. » avant le nom d’une fonction donnée pour utiliser cette fonction. Par exemple, pour utiliser pi du module math, vous devriez écrire « math.pi ». • Lorsque vous utilisez from pour importer un module, n’utilisez pas la syntaxe ci-dessous. <nom du module>.<nom de la fonction> Exécuter une opération d’importation avec cette syntaxe provoquera une erreur.
1. À partir de l’écran de la liste des fichiers, appuyez sur 4(SHELL). 2. Appuyez sur !e(CATALOG) pour afficher le catalogue. 3. Appuyez sur 6(CTGY) pour afficher l’écran de catégorie, puis appuyez sur d(math). 4. Effectuez la séquence d’opération de touches ci-dessous. x(M)w (saisit « math. ») !e(CATALOG)I(C)w (saisit « ceil() ») 5. Appuyez sur b.cw. • Le module math n’est pas importé, donc la fonction « ceil() » du module math provoque une erreur.
7. Appuyez une nouvelle fois sur w pour exécuter « import math ». • Cela importe le module math.
• Cela affiche le résultat de l’exécution de « math.ceil(1.2) ». • L’opération ci-dessus peut être effectuée en exécutant directement les commandes sur l’écran SHELL. Pour plus d’informations à propos du SHELL, voir « Utilisation du SHELL » (page 14-12). • Pour utiliser une fonction du module math, module random, module matplotlib.pyplot, module turtle et/ou module casioplot dans un script py, la commande d’importation de module applicable doit être écrite une fois dans une ligne avant la première utilisation de la fonction.
L’exécution d’un fichier py affichera son résultat sur l’écran SHELL. Ligne de sortie des résultats Lignes de l’historique Ligne d’entrée à l’exclusion de l’invite (>>> au début de la ligne)
(«|» curseur clignotant)
Le contenu de l’historique est conservé* même si vous changez d’écran dans le mode PYTHON. Ce contenu est supprimé lorsque vous entrez dans un mode de fonction autre que le mode PYTHON. * Même si le contenu de l’historique est conservé lorsque vous passez de l’écran SHELL à un autre écran du mode PYTHON, les variables utilisées par le SHELL sont initialisées à chaque fois que vous passez à un autre écran. Voir « Initialisation du SHELL » (page 14-15) pour plus d’informations.
• À partir de l’écran de la liste des fichiers, appuyez sur 4(SHELL). • Sur l’écran de la liste des fichiers, sélectionnez un fichier py et appuyez sur 1(RUN) ou sur w. Cette commande exécute le fichier py et affiche l’écran SHELL. • À partir de l’écran de l’éditeur de script, appuyez sur 2(RUN). Cela exécute le script py affiché et affiche l’écran SHELL.
(page 14-14). 1. Utilisez f et c pour mettre en surbrillance la ligne que vous souhaitez faire défiler. 2. Appuyez sur d ou e. • Une ligne de l’historique qui est trop longue pour être affichée complètement est indiquée par des flèches (] et ') qui montrent dans quelle direction il y a d’autres caractères à afficher. Les flèches (] et ') ne sont pas affichées dans la ligne d’invite même si son contenu est trop long pour être affiché complètement.
Utilisez f et c pour mettre en surbrillance la ligne que vous souhaitez copier puis appuyez sur w. Comme exemple d’opérations actuelles, voir l’étape 8 sous « Exemple d’opération : Pour utiliser les fonctions du module math » (page 14-11).
Vous pouvez saisir une expression ou une commande d’une seule ligne dans la ligne d’invite de l’écran SHELL et l’exécuter. Les opérations des exemples ci-dessous commencent toutes avec l’écran SHELL déjà affiché.
(2+3) × 102 = 500 u Exemple d’opérations 2 : Pour rappeler et exécuter un fichier py depuis l’écran SHELL L’opération ci-dessous utilise le fichier « OCTA.py » créé à l’aide de l’exemple de la section « Séquence depuis la création du fichier py jusqu’à l’exécution du fichier » (page 14-2). Il suppose que le SHELL est déjà en cours d’exécution. Si vous souhaitez appeler le fichier « OCTA.py » depuis le SHELL, le SHELL doit avoir été démarré alors que la liste de fichiers contenant le fichier « OCTA.py » était à l’écran. !e(CATALOG)6(CTGY)c(Built-in) ((I)ccccccc(import)w !a5(A↔a)j(O)I(C)/(T)v(A)w aba (Saisie de la valeur de A) w
Alors qu’un script py est en cours d’exécution, input écrit la [chaîne de texte de l’invite] de l’argument dans la ligne de sortie des résultats du SHELL et attend une saisie de l’utilisateur. Un nom de variable de chaîne ou une chaîne de caractères entre guillemets (”) ou entre guillemets simples (’) peut être spécifié comme [chaîne de texte de l’invite].
16 caractères, les 15 premiers caractères de la variable de chaîne suivie par le symbole de similitude (~) seront affichés comme invite. Exemple d’exécution de input Chaîne de texte d’invite de 16 caractères au plus (”123?” a été saisi comme chaîne de texte d’invite.) Chaîne de texte d’invite de plus de 16 caractères (”12345678901234567” a été saisi comme chaîne de texte d’invite.)
(en allant vers un autre écran du mode PYTHON), le contenu dans la zone du tas du SHELL jusqu’à ce point est effacé. L’effacement du contenu dans la zone du tas du SHELL est appelé « initialisation du SHELL ». • Lorsque vous redémarrez le SHELL dans le mode PYTHON, le message « ½ SHELL Initialized ½ » apparaîtra sur la ligne au-dessus de la ligne du bas (ligne d’invite) sur l’écran SHELL. • Ce message s’affichera uniquement si vous réaffichez l’écran SHELL, mais il n’apparaîtra pas la première fois que vous affichez l’écran SHELL après être entré dans le mode PYTHON. 14-15
• Cependant, pour utiliser les fonctions de tracé dans le module casioplot, il vous faut d’abord importer (import) le module casioplot. Pour plus de détails concernant la procédure d’importation, voir « Utilisation des modules (import) » (page 14-10). • La catégorie casioplot de la fonction de catalogue (page 14-9) est utile lors de la saisie des fonctions de tracé dans le module casioplot. La saisie de commandes qui importent le module casioplot est également simple. • Pour plus de détails concernant le format ou pour d’autres informations sur chaque fonction de tracé, voir « Détails des fonctions de tracé » ci-dessous.
Cette section fournit une description et des informations concernant les arguments et la syntaxe de script py, des exemples simples et des informations complémentaires sur les fonctions de tracé.
• Les arguments entre crochets ([ ]) dans la syntaxe d’une fonction peuvent être omis. L’omission d’autres arguments n’est pas autorisée. • Tous les exemples de fonction sont exécutés à partir de l’écran SHELL. show_screen() Description : Affiche l’écran de tracé. Syntaxe :
Description : Efface tous les contenus de tracé de l’écran de tracé. Syntaxe :
Si la valeur des coordonnées x ou y se trouve hors de la plage autorisée, l’exécution de la fonction sera ignorée (rien ne sera tracé, il n’y aura pas d’erreur). • Seuls les caractères ASCII (« Fichiers py créés et enregistrés avec cette calculatrice », page 14-24) peuvent être affichés sur l’écran de tracé.
L’argument color de chaque fonction spécifie la couleur d’un pixel ou d’une séquence de caractères.
La couleur est spécifiée en tant que valeur RGB de 256 valeurs. Étant donné que ce modèle de calculatrice possède un affichage en noir et blanc, la valeur que vous spécifierez permettra d’appliquer du noir ou du blanc comme présenté ci-dessous. (248,252,248) - (255,255,255)
L’écran de tracé est un écran spécial pour les tracés.
Pour rafraîchir l’écran de tracé pendant qu’il est affiché, exécutez la fonction show_screen. Si vous mettez show_screen en dehors d’une instruction de boucle, l’exécution du script py affichera seulement le résultat final sur l’écran de tracé. Mettre show_screen dans une instruction de boucle affichera le résultat de chaque opération de tracé jusqu’au résultat final. (a) Exemple : show_screen en dehors d’une instruction de boucle d’un script py (affichage du résultat final) from casioplot import * for i in range(60): set_pixel(i,i) show_screen() (b) Exemple : show_screen dans une instruction de boucle d’un script py (affichage de chaque opération de tracé) from casioplot import * for i in range(60): set_pixel(i,i) show_screen() Remarque : L’écran de tracé affiché est rafraîchi une fois que l’exécution du script py est terminée.
Appuyez sur J, A, ou !J(QUIT). Remarque : L’affichage passera de l’écran de tracé à l’écran SHELL si l’un des événements ci-dessous se produit pendant l’exécution du script py. - Exécution de input - Génération d’une erreur - Appuyer sur A
Le contenu de l’écran de tracé est effacé au moment ci-dessous. - Quand clear_screen est exécuté (page 14-17) - Quand SHELL est initialisé (page 14-15)
2. Sur l’écran de la liste des fichiers qui s’affiche, utilisez f et c pour mettre en surbrillance le fichier py que vous souhaitez ouvrir, puis appuyez sur 2(OPEN). • Cela ouvre le fichier py sélectionné et affiche l’écran de l’éditeur de script. • Veillez à ne pas appuyer sur w par erreur alors que l’écran de la liste des fichiers s’affiche. Cela lancerait l’exécution du fichier py et afficherait l’écran SHELL.
• Pour sauter à la première ligne de l’écran de l’éditeur de script, appuyez sur 6(g)3(JUMP)1(TOP). • Pour sauter à la dernière ligne de l’écran de l’éditeur de script, appuyez sur 6(g)3(JUMP)2(BTM).
1. Depuis l’écran de l’éditeur de script, appuyez sur 6(g)3(JUMP)3(LINE). 2. Dans la boîte de dialogue qui apparaît, saisissez le numéro de ligne à laquelle vous souhaitez sauter, puis appuyez sur w.
1. Depuis l’écran de l’éditeur de script, appuyez sur 6(g)4(SRC). 2. Sur l’écran qui apparaît, saisissez la chaîne de caractères à rechercher puis appuyez sur w. • Cela commence la recherche depuis le haut du script py, et déplace le curseur à gauche du premier caractère de la première chaîne de caractères trouvée. Si aucune chaîne de caractères n’est trouvée, le message « Non trouvé » s’affiche. Si cela se produit, appuyez sur J. • Pour reprendre la recherche en utilisant la même chaîne de caractères, appuyez sur 1(SRC). • Vous pourrez reprendre une opération de recherche seulement lorsque « SRC » est affiché comme touche de menu de fonctions 1, ce qui veut dire qu’il y a au moins une autre chaîne de caractères correspondante dans le script. Pour annuler une opération de recherche en cours, appuyez sur J. L’opération de recherche se terminera automatiquement s’il n’y a plus de texte correspondant à la chaîne de texte spécifiée.
2. Déplacez le curseur à la fin du texte que vous voulez copier ou couper. • Cela met en surbrillance le texte sélectionné. • Sélectionner le texte du début à la fin ou de la fin au début produit le même résultat. 3. Appuyez sur 1(COPY) ou 2(CUT).
1. Sur l’écran de l’éditeur de script, déplacez le curseur à l’emplacement où vous souhaitez coller la chaîne de texte. 2. Appuyez sur !j(PASTE).
Si un fichier py ne fonctionne pas comme prévu, cela peut être dû à un bogue (erreur) dans le script py. Les symptômes ci-dessous indiquent qu’un fichier py doit être débogué. • Lors de son exécution, un fichier de script py génère un message d’erreur. • Lors de son exécution, un fichier py ne produit pas les opérations ou les résultats escomptés.
Si un message d’erreur apparaît sur l’écran SHELL lorsque vous exécutez un fichier py, effectuez les étapes ci-dessous.
2. Appuyez sur J. • Cela permet de retourner à l’écran à partir duquel le fichier py a été exécuté (écran de l’éditeur de script ou écran de la liste des fichiers). Ouvrez le fichier py où l’erreur est survenue et vérifiez le contenu de la ligne qui a généré le message d’erreur. Apportez les corrections nécessaires. • Notez qu’un message d’erreur peut ne pas identifier le véritable problème. • Notez qu’un message d’erreur s’affiche également lorsqu’il y a un problème de saisie dans le SHELL, il peut donc sembler qu’il y a une erreur dans le fichier py. Un exemple serait des données saisies ne correspondant pas au type de données spécifié par input, etc. Si vous ne parvenez pas à trouver un problème avec la ligne pour laquelle un message d’erreur s’affiche, vérifiez si la saisie dans le SHELL est correcte.
Si l’exécution d’un fichier py produit un résultat inattendu, vérifiez le contenu de tout le fichier py et apportez les corrections nécessaires.
Vous pouvez utiliser l’écran de la liste des fichiers pour rechercher ou supprimer à l’aide de leur nom de fichier des fichiers py enregistrés. • Les fichiers py que vous créez dans le mode PYTHON sont stockés dans la mémoire de stockage de la calculatrice. • En plus des opérations de fichiers décrites dans cette section, vous pouvez également utiliser le gestionnaire de mémoire pour créer des dossiers et effectuer d’autres opérations de dossier. Voir « Chapitre 11 Gestionnaire de la mémoire » pour plus d’informations.
1. À partir de l’écran de la liste des fichiers, appuyez sur 6(SRC). • Cela affiche un écran de saisie de texte de recherche. 2. Saisissez une partie ou la totalité du nom du fichier que vous souhaitez trouver. • Vous ne pouvez saisir que des caractères alphabétiques en majuscules. La recherche ne tient pas compte de la casse. • Les caractères du nom de fichier sont recherchés de gauche à droite. Cela signifie que si vous saisissez « IT », les noms tels que ITXX, ITABC, et IT123 seront renvoyés alors que des noms tels que XXIT ABITC ne le seront pas. 3. Appuyez sur w. • Si un nom de fichier correspond à la chaîne de caractères que vous saisissez à l’étape 2, ce fichier sera sélectionné sur l’écran de la liste des fichiers. • Le message « Non trouvé » s’affiche si aucun nom de fichier correspondant ne peut être trouvé. Appuyez sur J pour fermer la boîte de dialogue de message.
1. Sur l’écran de la liste des fichiers, utilisez c et f pour mettre en surbrillance le fichier que vous souhaitez supprimer, puis appuyez sur 5(DEL). • Cela affiche un message de confirmation de la suppression. 2. Appuyez sur 1(Oui) pour supprimer le fichier ou 6(Non) pour annuler l’opération de suppression.
Les fichiers py peuvent être échangés entre votre calculatrice et un ordinateur. Un fichier py créé avec la calculatrice peut être transféré sur un ordinateur pour le modifier avec un éditeur de texte ou un autre logiciel. Un fichier py créé sur un ordinateur peut être transféré et exécuté sur la calculatrice. • Les fichiers py que vous créez dans le mode PYTHON sont stockés dans la mémoire de stockage de la calculatrice (avec l’extension de nom de fichier py). • Pour plus d’informations sur la procédure pour transférer des fichiers entre la calculatrice et un ordinateur, voir « Communication de données entre la calculatrice et un ordinateur personnel » (page 13-2).
Les formats des fichiers py créés et enregistrés avec cette calculatrice sont indiqués cidessous. Code de caractères :
• Seuls les fichiers py dont les noms sont composés de caractères ASCII* sont affichés sur l’écran de la liste des fichiers PYTHON. • Les fichiers ayant des noms incluant des caractères non-ASCII ne sont pas affichés. * De plus, les caractères ci-dessous ne sont pas permis dans les noms de fichiers. \ / : * ? " < > | . • Si le nom d’un fichier py transféré dans la mémoire de stockage à partir d’un ordinateur ou d’une autre source a un nom de fichier qui a plus de huit caractères de long, le nom est abrégé en huit caractères lors de son affichage sur l’écran d’information de la mémoire de stockage. (Exemple : AAAABBBBCC.py deviendra AAAABB~1.py.)
Lorsqu’un fichier py qui satisfait aux conditions (A) et (B) ci-dessous est ouvert dans le mode PYTHON, l’intégralité du contenu du fichier est affiché normalement. Un fichier py dont le contenu est visible peut être affiché normalement et modifié dans le mode PYTHON. 14-24
• Si un fichier est enregistré dans un format de codes de caractères non compatible avec la norme ASCII, aucun de son contenu ne sera affiché lorsque vous l’ouvrez dans le mode PYTHON. Tous les caractères seront remplacés par des espaces, ou apparaîtront en étant illisibles. (B) Fichier py avec jusqu’à 150 lignes, contenant chacune jusqu’à 127 caractères • Le contenu d’un fichier py qui dépasse le nombre de caractères et/ou le nombre de lignes spécifiés ci-dessus ne peut pas être affiché dans le mode PYTHON. Tenter d’ouvrir un tel fichier affichera l’erreur « Taille invalide ». • Même si le contenu d’un fichier py qui dépasse le nombre de caractères et/ou le nombre de lignes spécifiés ci-dessus ne peut pas être affiché dans le mode PYTHON, il se peut que vous puissiez l’exécuter. Voir « Exécution d’un fichier py » (page 14-25). • Tous les codes de tabulation dans un fichier py seront remplacés par deux espaces lorsque le fichier est ouvert dans le mode PYTHON. • Aucun type de codes de retour à la ligne (LF, CR, CR+LF) n’a un effet sur l’affichage du contenu dans le mode PYTHON. Tous les codes de retour à la ligne dans un fichier py seront remplacés par CR+LF (code de retour à la ligne standard de Windows) lorsque le fichier est ouvert dans le mode PYTHON. Avant de transférer un fichier py qui a été modifié et enregistré dans le mode PYTHON sur un périphérique externe pour être utilisé sur ce périphérique, remplacez ses codes de retour à la ligne avec le type de codes qui est approprié à l’environnement dans lequel le fichier sera utilisé.
Vous êtes en mesure d’exécuter un fichier py si ce fichier s’affiche sur l’écran de la liste des fichiers dans le mode PYTHON. Voir « Affichage du nom de fichier » (page 14-24). Notez les points importants ci-dessous. • L’exécution d’un fichier py incluant des commandes qui ne sont pas prises en charge par la calculatrice dans le mode PYTHON produira une erreur. • Lorsque le mode PYTHON est utilisé pour ouvrir un fichier py créé sur un périphérique externe, les caractères et les codes de retour à la ligne seront remplacés. Pour plus de détails, voir « Affichage et modification du contenu des fichiers » (page 14-24). Pour cette raison, l’ouverture d’un fichier py dans le mode PYTHON ainsi que son enregistrement et son exécution changeront le contenu du fichier original py, ce qui pourrait influer sur les résultats de son exécution.
Exemple 1 : Branchement conditionnel Objectif Dans le cas du branchement conditionnel, une condition est évaluée, puis le traitement suit un chemin parmi plusieurs possibles, selon le résultat de l’évaluation. L’exemple ci-dessous correspond à une simple instruction « if... else... ». 14-25
Résultat de l’exécution
- Si le SHELL est démarré par une opération de l’écran de l’éditeur de script,* les fichiers py qui sont importables sont les fichiers py qui se trouvent dans le même répertoire, rappelés depuis l’écran de l’éditeur de script. * Pour obtenir des opérations réelles, voir « Pour afficher l’écran SHELL » (page 14-13).
Vous pouvez utiliser les trois étapes ci-dessous pour afficher les résultats des calculs de distribution (valeurs de probabilités) ainsi que le graphe de distribution.
(Écran de sélection de distribution)
(Écran de saisie des paramètres)
• Déterminez la probabilité cumulative d’un nombre de réussites égal ou inférieur à deux pour une distribution binomiale où le nombre d’essais est de cinq avec une probabilité de 0,5. En mode DIST, sélectionnez Binomiale puis saisissez les paramètres suivants.
« Binomiale » est en surbrillance puis appuyez sur w. • L’écran de saisie des paramètres de distribution binomiale s’affiche.
• Confirmez que Type est en surbrillance, puis appuyez sur l’une des touches de fonctions de 1 à 4. Les informations suivantes expliquent ce que chaque réglage disponible signifie. 1(
(3) Mettez « p » en surbrillance, saisissez 0,5, puis appuyez sur w.
• Si vous avez saisi tous les paramètres nécessaires, appuyer sur w effectue le calcul, quel que soit le paramètre en surbrillance. • L’écran du graphe s’affiche, et montre les résultats du calcul ainsi que le graphe. 2 Valeur x saisie
• Par exemple, vous pouvez utiliser l’opération de touches ci-dessous pour modifier la valeur de x sur 4 et recalculer. (1) Appuyez sur e. La boîte de dialogue de modification s’affiche avec 4 saisi.
Cela effectue à nouveau le calcul et met à jour les résultats du calcul et le graphe.
K1(EDIT). Une boîte de dialogue de modification s’affiche avec la valeur des données de x actuellement spécifiée. Vous pouvez ensuite utiliser la boîte de dialogue pour modifier la valeur de x. 7. Appuyez sur J pour revenir à l’écran de saisie des paramètres depuis l’écran du graphe. 8. Appuyez sur J pour revenir à l’écran de sélection de distribution depuis l’écran de saisie des paramètres.
• Après avoir tracé un graphe, chaque fois que vous appuyez sur !6(G↔T), l’affichage bascule entre l’écran du graphe et l’écran de saisie des paramètres. • Lorsque l’écran du graphe est affiché, vous pouvez afficher les réglages de la plage d’affichage du graphe en appuyant sur !3(V-WIN). Vous ne pouvez pas modifier les réglages.
La liste suivante donne la signification des symboles et des abréviations qui apparaissent sur l’écran de saisie des paramètres.
Distribution Binomiale
• {EDIT} ... Une boîte de dialogue de modification s’affiche pour la valeur en surbrillance de l’écran du graphe. • {VIEW} ... Une boîte de dialogue des détails s’affiche pour la valeur en surbrillance de l’écran du graphe. •{
GRAPH. Voir « Background (arrière-plan d’affichage de graphe) » (page 1-33). • Vous pouvez modifier les axes de coordonnées et l’affichage des labels sur l’écran du graphe en utilisant « Grid », « Axes » et « Label » sur l’écran de configuration. Il s’agit du même que le mode GRAPH. Pour plus de détails, voir « Pour définir l’état avec ou sans tracé de graphe » (page 5-9).
Modifier la valeur des données (x) ou la borne inférieure (Inf) et borne supérieure (Sup) entraîne un nouveau calcul de la valeur de probabilité (p). Pour recalculer, modifiez les valeurs en surbrillance dans la formule sur l’écran du graphe. Voir les captures d’écran ci-dessous. P (X ≤ x ) = p P ( Inf ≤ X ≤ Sup ) = p P (X ≥ x ) = p Modifier les valeurs de probabilités ( p) entraine un calcul inverse de la valeur des données (x). Afin d’effectuer un calcul inverse, modifiez les valeurs en surbrillance dans la formule sur l’écran du graphe. Voir les captures d’écran ci-dessous. P (X ≤ x) = p P (Inf ≤ X ≤ Sup) = p (distribution Normale uniquement) P (X ≥ x) = p • Si vous avez sélectionné le réglage Type qui ne permet pas l’exécution d’un calcul inverse, appuyer sur K à l’étape 2 de la procédure sous « Exemple d’opération de calcul inverse » affiche « VIEW » pour l’élément du menu de la fonction 1 au lieu de « EDIT ». Appuyer sur K1(VIEW) affiche la boîte de dialogue des détails de valeur.
1. Sur l’écran de sélection de distributions, mettez « Normale » en surbrillance et appuyez sur w. • Ensuite, effectuez l’opération de touche suivante. 2. 1( Cette section montre plusieurs calculs de distribution avec des exemples de saisie de paramètres et des exemples de résultats de calcul sur l’écran du graphe. Pour un exemple de calcul de distribution binomiale, voir « Déroulement des opérations » (page 15-1). Pour des exemples de calcul de distribution normale, voir « Nouveau calcul et calcul inverse de l’écran du graphe » (page 15-6).
Type - Distribution Binomiale, lorsque vous saisissez une valeur de 100 000 ou plus pour Nb.essai - Distribution Binomiale, lorsque vous saisissez une valeur pour p dans la plage de 0 < p < 0,00001 or 0,99999 < p < 1 - Distribution Normale, lorsque vous saisissez une valeur de 1 × 1010 ou plus pour - Distribution Normale, lorsque vous saisissez une valeur de 1 × 1010 ou plus ou –1 × 1010 ou moins pour - Distribution Poisson, lorsque vous saisissez une valeur de 1 000 ou plus pour - Distribution Géométrique, lorsque vous saisissez une valeur de 0,00001 ou moins pour p, ou lorsque p est compris dans la plage de 0,99999 < p < 1 - Distribution Hypergéométrique, lorsque vous saisissez une valeur de 201 ou plus pour n - Distribution Hypergéométrique, lorsque vous saisissez une valeur de 100 000 ou plus pour M ou N - Distribution 2, lorsque vous saisissez une valeur de 1 × 1016 ou plus pour df - Distribution Fisher, lorsque vous saisissez une valeur de 2 000 001 ou plus pour n:df ou d:df
Erreur mathématique (division par zéro, etc.) Impossible d’obtenir une précision suffisante pour le calcul de Σ, de différentielles, etc. Impossible d’obtenir une solution pour le calcul d’équations, etc.
Simplifier les formules pour que la pile de valeurs numériques ne comporte que 10 niveaux au maximum et que celle de commandes ne comporte que 26 niveaux au maximum. Diviser la formule en au moins deux parties.
2 Retracer le graphe en utilisant les réglages appropriés. 3 Saisir une valeur appropriée.
à ne pas sortir de la plage de cellules de la feuille.
2 Pas de variable dans une équation à résoudre.
*2 Consultez « Transfert de données entre la calculatrice et un ordinateur personnel » (page 13-4) pour plus d’informations sur l’utilisation d’un ordinateur pour effectuer des opérations sur les fichiers et les dossiers de la mémoire de stockage.
GRAPH35+ E II : mode e • ACT, mode MEMORY, mode E-CON3, commandes vectorielles, transfert de données, applications supplémentaires, langues supplémentaires, accès à la mémoire de stockage, édition du nom d’utilisateur, mise à jour de OS, fonction de catalogue QR Code. GRAPH25+ E II : mode MEMORY, transfert de données, édition du nom d’utilisateur. • Les données utilisateur (mémoire principale) sont sauvegardées. Les données sauvegardées seront restaurées lorsque vous quittez le mode Examen. Toutes les données créées pendant la session du mode Examen seront supprimées une fois le mode Examen quitté. • GRAPH35+ E II : Les informations ci-dessous s’appliquent aux opérations du mode PYTHON. - Vous pouvez saisir jusqu’à cinq caractères pour un nom de fichier py. - Vous pouvez utiliser des caractères numériques et alphabétiques à octet simple (uniquement en minuscules) pour un nom de fichier py. - Les fichiers py sont enregistrés dans la mémoire principale de la calculatrice. - Le message « Erreur mémoire » apparaît quand la capacité restante de la mémoire principale est basse. Si cela se produit, supprimez les fichiers devenus inutiles pour libérer de l’espace de stockage. Important ! • Vous ne pouvez pas quitter le mode Examen en utilisant une opération de la calculatrice même. L’un des éléments suivants est nécessaire pour quitter le mode Examen. (1) Une autre calculatrice qui ne se trouve pas en mode Examen et un câble de communication de données (2) Un ordinateur et un câble USB* * La calculatrice GRAPH25+ E II ne possède pas de port USB, elle ne prend donc pas en charge cette méthode. • La mise en place d’un jeu de piles neuves est recommandée avant d’utiliser le mode Examen. • La LED clignote lorsque la calculatrice est en mode Examen, de sorte que davantage d’énergie est utilisée. Veillez à quitter le mode Examen dès que possible une fois la session d’examen terminée.
1. Appuyez sur !o(OFF) pour mettre la calculatrice hors tension. 2. Appuyez sur la touche o tout en maintenant enfoncée les touches c et x jusqu’à ce que s’affiche la boîte de dialogue indiquée ci-dessous. Remarque Il se peut que la boîte de dialogue ne s’affiche pas si vous relâchez les trois touches trop tôt. Si cela se produit, effectuez à nouveau la procédure ci-dessus à partir de l’étape 1.
• Ceci permet d’afficher la boîte de dialogue indiquée ci-dessous.
• Seuls les réglages ci-dessous sont enregistrés avant d’entrer en mode Examen. Input/Output*, Frac Result, Angle, Complex Mode, Display, Q1Q3 Type, Langue * Ne sont pas inclus sur la GRAPH25+ E II.
• La LED d’état du mode Examen clignote
Après environ 15 minutes, la vitesse de clignotement de l’icône ralentit.
• Le tableau ci-dessous montre de quelle manière certaines opérations affectent le mode Examen. Si vous faites ceci :
1. Sur la calculatrice qui se trouve en mode Examen (calculatrice A), accédez au mode LINK, puis appuyez sur 4(CABL)2(3PIN)*. * GRAPH35+ E II seulement 2. Utilisez le câble SB-62 disponible en option pour raccorder la calculatrice A à une autre calculatrice qui ne se trouve pas en mode Examen (calculatrice B). Câble SB-62
4. Sur la calculatrice B*1, accédez au mode LINK, puis appuyez sur 3(EXAM) 1(UNLK)*1(Oui). • Vous pouvez également transférer des données de la calculatrice B à la calculatrice A. Exemple : Pour transférer des données de configuration sur la calculatrice A 1. Sur la calculatrice B, accédez au mode LINK, puis appuyez sur 1(TRAN) 1(MAIN)*1(SEL). * GRAPH35+ E II seulement 2. Utilisez c et f pour sélectionner « SETUP ». 3. Appuyez sur 1(SEL)6(TRAN)1(Oui). *1 Calculatrice avec fonction Mode Examen (2) Quitter le mode Examen en raccordant un ordinateur (GRAPH35+ E II seulement) 1. Utilisez le câble USB pour raccorder la calculatrice qui se trouve en mode Examen à un ordinateur. 2. Lorsque la boîte de dialogue « Sélectionner Mode Connexion » s’affiche sur la calculatrice, appuyez sur la touche 1 de la calculatrice. 3. Sur l’ordinateur, ouvrez le disque dur de la calculatrice. 4. Sur l’ordinateur, copiez ou supprimez tout fichier qui se trouve sur le disque dur de la calculatrice.
• La boîte de dialogue ci-dessous s’affiche lorsque vous sortez du mode Examen.
Vous pouvez afficher l’aide du mode Examen en mode LINK. 3(EXAM)2(ENTR)... Affiche l’aide relative à l’accès au mode Examen. 3(EXAM)3(APP)... Affiche l’aide relative aux modes et fonctions désactivés dans le mode Examen. 3(EXAM)4(EXIT)... Affiche l’aide relative à la fermeture du mode Examen.