PRIME GRAPHING CALCULATOR - Calculatrice graphique HP - Notice d'utilisation et mode d'emploi gratuit

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FOIRE AUX QUESTIONS - PRIME GRAPHING CALCULATOR HP

Comment allumer ma calculatrice HP Prime ?
Appuyez sur le bouton 'On' situé en haut à droite de la calculatrice.
Que faire si ma calculatrice ne s'allume pas ?
Vérifiez que la batterie est correctement installée et chargée. Essayez de recharger la calculatrice pendant au moins 30 minutes avant de réessayer.
Comment réinitialiser ma calculatrice HP Prime ?
Pour réinitialiser la calculatrice, maintenez enfoncé le bouton 'On' et le bouton 'C' en même temps pendant quelques secondes.
Comment mettre à jour le logiciel de ma calculatrice HP Prime ?
Téléchargez le dernier logiciel depuis le site officiel de HP et utilisez le logiciel HP Connectivity Kit pour transférer la mise à jour sur votre calculatrice.
Pourquoi ma calculatrice ne répond-elle pas ?
Cela peut être dû à un gel du système. Essayez de réinitialiser la calculatrice comme indiqué précédemment. Si le problème persiste, vérifiez la batterie.
Comment accéder aux applications sur ma HP Prime ?
Appuyez sur le bouton 'Apps' pour accéder à la liste des applications disponibles sur votre calculatrice.
Comment modifier les paramètres d'affichage ?
Accédez au menu 'Settings' puis sélectionnez 'Display' pour ajuster les paramètres d'affichage selon vos préférences.
Comment sauvegarder mes données sur la calculatrice ?
Utilisez le HP Connectivity Kit pour sauvegarder vos fichiers sur votre ordinateur. Vous pouvez également exporter vos données au format .hpg.
Comment résoudre les problèmes de connexion avec le HP Connectivity Kit ?
Assurez-vous que votre calculatrice est correctement connectée à l'ordinateur via le câble USB et que le logiciel est à jour. Vérifiez également les paramètres de connexion sur la calculatrice.
Que faire si j'ai oublié mon mot de passe de la calculatrice ?
Si vous avez oublié votre mot de passe, la seule solution est de réinitialiser la calculatrice, ce qui effacera toutes vos données.

MODE D'EMPLOI PRIME GRAPHING CALCULATOR HP

Ajuster le contraste de l’écran, 1-2 Description de l’écran de la calculatrice, 1-2 Menus, 1-3 Le menu TOOL, 1-4 Régler la date et l’heure, 1-4 Le clavier de la calculatrice, 1-5 Choisir les modes d’opération de la calculatrice, 1-6 Mode d’opération, 1-7 Format numérique et point décimal ou virgule, 1-11 Format standard, 1-12 Format fixe avec décimales, 1-12 Choix du mode d’affichage,1-19 Choisir la police d’affichage, 1-20 Choisir les propriétés de l’éditeur de ligne, 1-21 Choisir les propriétés de la pile, 1-21 Choisir les propriétés de l’éditeur d’équations (EQW), 1-23 Références, 1-23

Chapitre 2 – Présentation de la calculatrice, 2-1

Objets, 2-1 Ecrire des expressions dans la pile, 2-1 Créer des expressions arithmétiques, 2-1

Organiser les données dans la calculatrice, 2-9

Le répertoire HOME, 2-9 Sous-répertoires, 2-10 Les variables, 2-10 Taper un nom de variable, 2-11 Créer des variables, 2-12 Mode algébrique, 2-12 Mode RPN, 2-13 Vérifier le contenu des variables, 2-15 Mode algébrique. 2-15 Afficher le contenu de toutes les variables à l’écran, 2-16 Effacer des variables, 2-16 Utiliser la fonction PURGE dans la pile en mode algébrique, 2-16 Utiliser la fonction PURGE dans la pile, mode RPN, 2-17 Les fonctions UNDO et CMD , 2-18 CHOOSE-boxes ou Soft MENU, 2-18 Références, 2-21

Chapitre 3 – Calculs avec des nombres réels, 3-1

Exemples de calculs avec des nombres réels, 3-1 Entrer des données avec des puissances de 10, 3-4 Les fonctions réelles dans le menu MTH, 3-6 Utiliser les menus de la calculatrice, 3-7 Fonctions hyperboliques et leurs inverses, 3-7 Opérations sur les unités, 3-9 Le menu des unités (UNITS), 3-9 Unités disponibles, 3-11 Associer des unités à des nombres, 3-11 Les préfixes d’unités, 3-12 Opérations sur les unités, 3-13

Les conversions d’unités, 3-14

Constantes physiques de la calculatrice, 3-15 Définir et utiliser des fonctions, 3-17 Référence, 3-19

Chapitre 4 – Calculs avec des nombres complexes, 4-1

Définitions, 4-1 Paramétrer la calculatrice en mode COMPLEX, 4-1 Saisie de nombres complexes, 4-2 Représentation d’un nombre complexe, 4-2 Opérations simples avec des nombres complexes, 4-4 Les menus CMPLX, 4-4 Menu CMPLX en passant par le menu MTH, 4-4 Menu CMPLX accessible sur le clavier, 4-5 Fonctions appliquées aux nombres complexes, 4-6 Fonction DROITE: équation d’une ligne droite, 4-7 Référence, 4-7 Opérations avec les fonctions transcendantales, 5-6 Développement et mise en facteur en utilisant les fonctions log-exp, 5-6 Développement et mise en facteur en utilisant les fonctions trigonométriques, 5-7 Fonctions du menu ARITHMETIC, 5-7 Polynômes, 5-8 La fonction HORNER, 5-9 La variable VX, 5-9 La fonction PCOEF, 5-10 La fonction PROOT, 5-10 Les fonctions QUOT et REMAINDER, 5-10 La fonction PEVAL, 5-10 Fractions, 5-11 La fonction SIMP2, 5-11

Opérations étape par étape avec des polynômes et des fractions, 5-13 Référence, 5-14

Chapitre 6 – Résolution d’équations, 6-1

Résolution symbolique des équations algébriques, 6-1 Générer une expression algébrique pour le polynôme, 6-8 Calculs financiers, 6-9 Résoudre des équations à une inconnue avec NUM.SLV, 6-10 Fonction STEQ, 6-10 Résoudre des équations simultanées avec MSLV, 6-11 Référence, 6-12

Chapitre 7 – Opérations avec des listes, 7-1

Créer et enregistrer des listes , 7-1 Opérations avec des listes de nombres, 7-1 Changement de signe, 7-1 Addition, soustraction, multiplication, division, 7-2 Fonctions appliquées à des listes, 7-4 Listes de nombres complexes, 7-4 Listes d’objets algébriques, 7-4 Le menu MTH/LIST, 7-5 La fonction SEQ, 7-6 La fonction MAP, 7-7

Enregistrer des vecteurs dans les variables de la pile, 8-2

Utiliser l’Editeur de matrice (MTRW) pour saisir les vecteurs, 8-2 Opérations simples avec des vecteurs, 8-5 Changement de signe, 8-5 Addition, soustraction, 8-6 Multiplication et division par un scalaire, 8-6 Fonction valeur absolue, 8-7 Le menu MTH/VECTOR, 8-7 Magnitude, 8-7 Produit scalaire, 8-8 Saisir la matrice directement dans la pile, 9-2 Opérations avec des matrices, 9-3 Addition et soustraction, 9-4 Multiplication, 9-4 Multiplication par un scalaire, 9-4 Multiplication Matrice-vecteur, 9-4 Multiplication de matrices, 9-5 Multiplication terme par terme, 9-5 La matrice identité, 9-6 La matrice inversée, 9-6 Caractérisation d’une matrice (Menu NORM de matrice), 9-7 Fonction DET, 9-7 Fonction TRACE, 9-7 Résolutions des systèmes linéaires, 9-8 Résolution par “division” de matrices, 9-10 Références, 9-11

Chapitre 10 – Graphiques, 10-1

Options graphiques de la calculatrice, 10-1 Séries de Fourier, 14-6 Fonction de FOURIER, 14-7 Séries de Fourier pour une équation quadratique, 14-7 Référence, 14-8

Chapitre 15 – Distributions de probabilités, 15-1

Sous-menu MTH/PROBABILITY.. – 1ère partie, 15-1 La distribution de la fonction F, 15-4 Référence, 15-4

Chapitre 16 – Applications statistiques, 16-1

Saisie de données, 16-1 Calcul de statistiques à une seule variable, 16-2 Obtenir des distributions de fréquence, 16-3 Adapter les données à une fonction y = f(x), 16-5 Obtenir des statistiques de résumé additionnelles, 16-6 Intervalles de confiance, 16-8

Le but des exercices suivants est de vous familiariser avec le boîtier de votre calculatrice.

La calculatrice utilise 3 piles AAA(LR03) comme source d’alimentation et une pile CR2032 au lithium comme pile de secours pour la mémoire. Avant d’utiliser la calculatrice, veuillez installer les piles de la manière suivante : Pour installer les piles principales a. Vérifiez que le calculateur est éteint. comme illustré ci-dessous.

Ouvrez le compartiment des piles

b. Insérez 3 piles neuves AAA(LR03) dans le compartiment. Faites attention à ce qu’elles soient installées dans la bonne direction.

Pour installer l’alimentation de secours a. Vérifiez que le calculateur est éteint. Appuyez sur le support, poussez ensuite sur la platine dans la direction indiquee sur l'illustration, puis soulevez-la.

b. Insérez une nouvelle pile CR2032 au lithium. Faites attention à ce que le signe positif (+) soit en haut. c. Remettez le compartiment et appuyez jusqu’à ce qu’il soit retourné en position originale.

Après avoir installé les piles, appuyez sur [ON] pour allumer la calculatrice. Attention : Si un message apparaît à l’écran vous signalant de changer cette pile, remplacez-la au plus tôt. Par contre, évitez d’enlever la pile de secours en même temps que les piles principales, afin de ne pas perdre de données.

Allumer et éteindre la calculatrice

La touche $ est situee en bas a gauche du clavier. Appuyez une seule fois pour allumer votre calculatrice. Pour éteindre la calculatrice, appuyez sur le bouton rouge @ (première touche de la deuxième ligne à partir du bas sur le clavier) puis sur la touche $. Notez que le mot OFF est indiqué en rouge dans le coin supérieur droit de la touche $, pour rappeler l’utilisation de la commande OFF.

Ajuster le contraste de l’écran

Vous pouvez ajuster le contraste de l’écran en maintenant la touche $ enfoncée tout en appuyant sur les touches + ou - . La combinaison $ (maintenue enfoncée) et + rend l’écran plus sombre. La combinaison $ (maintenue enfoncée) et - rend l’écran plus clair.

Description de l’écran de la calculatrice

Rallumez une nouvelle fois votre calculatrice. Deux lignes decrivant les parametres de configuration de la calculatrice sont affichees en haut de l'ecran. La première ligne contient les caractères :

Chapitre 2 du guide de l’utilisateur de la calculatrice. La seconde ligne contient les caractères { HOME } ce qui indique que le répertoire HOME est le répertoire actuel dans la mémoire de la calculatrice. En bas de l’écran se trouvent une série d’indicateurs, avec les noms suivants, @EDIT @VIEW @@ RCL @@ @@STO@ ! PURGE !CLEAR qui sont associés aux six touches de menu système, F1 à F6: ABCDEF Les six indicateurs affichés en bas de l’écran changeront suivant le menu affiché. Cependant, A sera toujours associé avec le premier indicateur, B avec le deuxième indicateur, et ainsi de suite.

Les six indicateurs associés avec les touches A à F constituent le menu des fonctions. Comme la calculatrice ne comporte que 6 touches de menu, seulement 6 indicateurs peuvent être affichés au même moment. Cependant, un menu peut comporter plus de six choix. Chaque groupe de 6 choix est appelé une Page menu. Pour afficher la Page menu suivante (si elle existe), appuyez sur la touche L (NeXT menu). Cette touche est la troisième touche en partant de la gauche dans la troisième ligne des touches du clavier.

@VIEW B VIEW – Pour voir le contenu d’une variable

@@ RCL @@ C ReCaLl – Pour rappeler le contenu d’une variable @@STO@ D STOre – Pour mémoriser le contenu d’une variable ! PURGE E PURGE – Pour effacer une variable de la mémoire CLEAR F CLEAR – Pour effacer l’écran ou la pile Ces six fonctions constituent la première page du menu TOOL. Ce menu comporte en fait huit choix disposés en deux pages. La deuxième page devient visible en appuyant sur la touche L . Cette touche est la troisième touche en partant de la gauche dans la troisième ligne des touches du clavier. Dans ce cas, seules les deux premières touches de menu sont associées à des commandes. Ces commandes sont : @CASCM

@HELP A CASCMD: CAS CoMmanD, à utiliser pour lancer une commande depuis le CAS en choisissant dans une liste

B HELP – Commande d’aide qui décrit les commandes disponibles de la calculatrice

En appuyant sur la touche L , on fait réapparaître le menu TOOL de départ. En appuyant sur la touche I (troisième touche en partant de la gauche dans la deuxième ligne des touches du clavier), on dispose d’une autre façon de faire réapparaître le menu TOOL.

Régler la date et l’heure

Reportez-vous au Chapitre 1 du guide de l’utilisateur de la calculatrice pour apprendre à régler l’heure et la date.

Le clavier de la calculatrice

La figure ci-dessous représente un schéma du clavier de la calculatrice et indique les numéros des lignes et des colonnes. Chaque touche dispose de trois, quatre ou cinq fonctions. La fonction principale de la touche correspond au caractère le plus important sur la touche. De plus, il est possible de combiner la touche verte, touche (8,1), la touche rouge, touche (9,1), et la touche bleue ALPHA, touche (7,1), avec les autres touches pour activer les autres fonctionnalités indiquées sur le clavier.

Par exemple, la touche P, touche(4,4), est associée aux six fonctions suivantes :

ALPHA, pour entrer la lettre P majuscule ALPHA-Left-Shift, pour entrer la lettre P minuscule ALPHA-Right-Shift, pour entrer la lettre minuscule π

Des six fonctions associées à une touche, seules les quatre premières sont indiquées sur le clavier. La figure de la page suivante vous montre ces quatre indicateurs pour la touche P. Vous remarquerez que la couleur et la position des indicateurs sur la touche, c’est-à-dire, SYMB, MTH, CAT et P, indiquent quelle est la fonction principale (SYMB), et quelles sont les trois autres fonctions respectivement associées à la touche <left-shift> „(MTH),

<right-shift> … (CAT ), et ~ (P).

Pour plus d’informations sur l’utilisation du clavier de la calculatrice, reportezvous à l’Appendice B du guide de l’utilisateur de la calculatrice.

Choisir les modes d’opération de la calculatrice

Dans ce paragraphe, nous supposons que vous êtes maintenant familiarisé, au moins en partie, avec l’utilisation des boîtes de choix et de dialogue (si vous ne l’êtes pas, veuillez vous reporter à l’appendice A du guide de l’utilisateur).

Appuyez sur la touche H (deuxième touche en partant de la gauche sur la deuxième ligne de touches en partant du haut) pour afficher la fenêtre

Des exemples de sélection des différent modes de la calculatrice sont expliqués ci-dessous.

La calculatrice comporte deux modes d’opération : le mode Algebraic, et le mode Reverse Polish Notation (RPN). Le mode par défaut est le mode Algébrique (comme indiqué sur la figure ci-dessus), mais, les utilisateurs des calculatrices HP précédentes sont certainement davantage habitués au mode RPN. Pour sélectionner un mode d’opération, ouvrez d’abord la fenêtre CALCULATOR MODES, en appuyant sur la touche H. Le champ Operating Mode apparaît surligné. Sélectionnez le mode Algebraic ou RPN soit en utilisant la touche \ (deuxième touche en partant de la gauche de la cinquième ligne depuis le bas du clavier), soit en appuyant sur la touche menu @CHOOS ( B). Si vous utilisez cette dernière méthode, activez les touches flèches vers le bas et vers le haut, — ˜, pour sélectionner le mode avant d’appuyer sur la touche menu !!@@OK#@ pour valider l’opération. Pour illustrer la différence entre ces deux modes d’opération, nous allons calculer l’expression suivante dans les deux modes :

Vous remarquerez qu’il apparaît plusieurs niveaux de sortie numérotés 1, 2, 3, etc.…, de bas en haut. On appelle cela la pile de la calculatrice. Les différents niveaux sont appelés les niveaux de la pile, et ainsi on a le niveau de pile 1, le niveau de pile 2, etc.

En fait, RPN signifie que, plutôt que d’écrire une opération telle que 3 + 2, dans la calculatrice en tapant 3+2` on écrit d’abord les opérandes,, dans l’ordre exact avant d’ajouter l’opérateur, c’est-à-dire, 3`2`+ Au fur et à mesure que vous entrez les opérandes, ils occupent des niveaux de pile différents. En entrant 3` on place le chiffre 3 dans le niveau de pile 1. Ensuite, en entrant 2` on pousse le nombre 3 vers le haut pour occuper le niveau de pile 2. Enfin, en appuyant sur +, on indique à la calculatrice d’appliquer l’opérateur ou programme + aux objets qui occupent les niveaux 1 et 2. Le résultat, 5, est alors placé dans le niveau 1.

Tapez 3 et multipliez, 9 apparaît dans le niveau 1 1/(3×3), dernière valeur dans le niv. 1; 5 dans le niveau 2; 3 dans le niveau 3

(3× (5-1/(3×3)))/233 dans le niveau 1

Entrez 2.5 dans le niveau 1 e2.5, arrive au niveau 1, le niveau 2 contient la valeur précédente. (3× (5 - 1/(3×3)))/233 + e2.5 = 12.18369, dans 1. √((3× (5 - 1/(3×3)))/233 + e2.5) = 3.4905156, dans 1

Pour basculer entre les modes d’opération ALG et RPN, vous pouvez aussi activer/désactiver l’indicateur système 95 par la séquence de touches suivante :

H @)FLAGS —„—„—„—@CHK@@ CALCULATOR MODES en appuyant sur la touche H. Ensuite, utilisez la flèche vers le bas, ˜, pour sélectionner l’option Number format. La valeur par défaut est Std, ou format Standard. Dans le format standard, la calculatrice affiche les nombres à virgule sans décimale fixe et avec la précision maximale supportée par la calculatrice (12 chiffres significatifs). Pour en savoir plus sur les réels, reportez vous au chapitre 2 du guide de l’utilisateur. Pour illustrer ceci ainsi que les autres formats numériques, essayez les exercices suivants :

Vous noterez que le nombre est arrondi et non tronqué. Ainsi, le nombre

123.4567890123456, pour cet exemple, devient 123.457 à l’affichage et non pas 123.456 car le chiffre après 6 est supérieur à 5. •

Format scientifique:

Pour activer ce format, commencez par appuyer sur la touche H. Ensuite, utilisez la flèche vers le bas ˜, pour sélectionner l’option Number format. Appuyez sur le menu @CHOOS et la touche ( B), puis sélectionnez l’option Scientific avec la touche de flèche vers le bas ˜. Gardez le nombre 3 en face de Sci. (On peut changer ce nombre de la même manière qu’on a pu changer le nombre de décimales de l’option Fixed dans l'exemple ci-dessus).

Appuyez sur la touche de menu !!@@OK#@ pour revenir à l’affichage normal de la calculatrice. Le nombre apparaît maintenant ainsi :

Appuyez sur la touche de menu !!@@OK#@ pour revenir à l’affichage normal de la calculatrice. Le nombre apparaît maintenant ainsi :

La mesure d’angle affecte les fonctions trigonométriques telles que SIN, COS, TAN et les fonctions qui leurs sont associées. Pour changer le mode de mesure d’angle, suivez la procédure suivante : •

Appuyez sur la touche H. Ensuite, appuyez à deux reprises sur la touche de flèche vers le bas, ˜. Sélectionnez le mode de Mesure d’Angle soit en utilisant la touche \ (deuxième à partir de la gauche dans la cinquième ligne depuis le bas du clavier), soit en appuyant sur la touche de menu @CHOOS ( B). Si vous utilisez cette dernière méthode, utilisez les touches de flèches vers le haut et vers le bas, —˜, pour sélectionner le mode choisi, et appuyez sur la touche de menu

!!@@OK#@ (F) pour terminer l’opération. Par exemple, sur l’écran suivant, le mode Radians a été sélectionné :

Système de coordonnées

Le système de coordonnées affecte la manière dont les vecteurs et les nombres complexes sont affichés et saisis. Pour en savoir plus sur les nombres complexes et les vecteurs, reportez vous respectivement aux Chapitres 4 et 8 du présent guide. La calculatrice propose trois systèmes de coordonnées : Rectangulaire (RECT), Cylindrique (CYLIN), et Sphérique (SPHERE). Pour changer de système de coordonnées :

Sélectionner les paramètres CAS CAS est l’acronyme de Computer Algebraic System. Il s’agit du noyau mathématique de la calculatrice, dans lequel sont programmées les opérations et fonctions mathématiques symboliques. Le CAS comprend un certain nombre de paramètres qui peuvent être ajustés suivant le type d’opération choisi. Pour afficher les paramètres optionnels du CAS suivez les indications ci-dessous :

Appuyez sur la touche H pour activer la fenêtre CALCULATOR MODES.

Chapitre 5 du guide de l’utilisateur de la calculatrice).

Numeric: Lorsque ce paramètre est activé, la calculatrice produit un résultat de calcul numérique, ou décimal. Approx: Lorsque ce paramètre est activé, le mode d’approximation est utilisé dans les résultats de calcul. Sinon, le CAS est dans le mode Exact, qui produit des résultats symboliques pour les calculs algébriques.

Step/Step: Lorsque ce paramètre est activé, il fournit les résultats en mode pas-à-pas pour certaines opérations du CAS. Il est utile pour voir les

étapes de calcul intermédiaires pour les sommes, les dérivées, les intégrales, les opérations de polynômes (par exemple pour la division synthétique) et les opérations matricielles. Incr Pow: Puissance croissante, ce qui signifie que, si ce paramètre est activé, les termes polynomiaux sont affichés dans l’ordre croissant de puissance de la variable indépendante. Rigorous: Lorsque ce paramètre est activé, la calculatrice ne simplifie pas la fonction de valeur absolue |X| par X. Simp Non-Rational: Lorsque ce paramètre est activé, la calculatrice essaiera de simplifier au maximum les expressions irrationnelles.

Choix du mode d’affichage

Vous pouvez personnaliser l’affichage de la calculatrice en sélectionnant différents modes d’affichage. Pour voir les différents paramètres de cette option, procédez comme suit : •

D'abord, appuyez sur la touche H pour activer la fenêtre

CALCULATOR MODES. Dans la fenêtre CALCULATOR MODES, appuyez sur la touche de menu @@DISP@ (D) pour afficher la fenêtre DISPLAY MODES.

(c’est le cas des options Textbook dans la ligne Stack: ). Les options non sélectionnées n’auront pas de signe de validation associé à leur symbole

‘souligné’ (comme c’est le cas pour les options _Small, _Full page, et _Indent de l'exemple ci-dessus Edit:).

Pour sélectionner la police d’affichage, surlignez le champ en face de l’option Font: dans la fenêtre DISPLAY MODES et utilisez la touche @CHOOS

D'abord, appuyez sur la touche H pour activer la fenêtre CALCULATOR MODES. Dans la fenêtre CALCULATOR MODES, appuyez sur la touche de menu @@DISP@ (D) pour afficher la fenêtre DISPLAY MODES. Le champ Font: est surligné, et l’option Ft8_0:system 8 est sélectionnée. C’est la valeur par défaut de la police d’affichage. En appuyant sur la touche de menu @CHOOS (B), vous obtiendrez la liste des polices disponibles dans le système, comme indiqué ci-dessous :

Les options disponibles sont trois System Fonts standards (taille 8, 7, et 6) et l’option Browse. Cette dernière vous permettra de parcourir la mémoire de la calculatrice pour y chercher des polices supplémentaires que vous avez pu créer ou télécharger dans la calculatrice.

Essayez de modifier la taille de la police en tailles 7 et 6. Appuyez sur la touche de menu OK pour valider la sélection. Lorsque vous en avez terminé avec le choix de la police, appuyez sur la touche de menu @@@OK@@@ pour revenir à la fenêtre CALCULATOR MODES. Pour repasser en mode d’affichage normal à ce moment-là, appuyez encore une fois sur la touche de menu @@@OK@@@ et vous pourrez constater que le mode d’affichage de la pile a changé pour s’accorder avec cette nouvelle police.

Choisir les propriétés de l’éditeur de ligne

D'abord, appuyez sur la touche H pour activer la fenêtre CALCULATOR MODES. Dans la fenêtre CALCULATOR MODES, appuyez sur la touche de menu @@DISP@ (D) pour afficher la fenêtre DISPLAY MODES. Appuyez une seule fois sur la touche de flèche vers le bas, ˜, pour accéder à la ligne Edit. Cette ligne comporte trois propriétés qui peuvent être modifiées. Lorsque ces propriétés sont sélectionnées (validées), cela active les effets suivants : _Small _Full page _Indent Autoindexation du curseur après un retour à la ligne

Les instructions d’utilisation de l’éditeur de ligne sont présentées dans le

Chapitre 2 de ce guide de l’utilisateur.

Choisir les propriétés de la pile

D'abord, appuyez sur la touche H pour activer la fenêtre CALCULATOR MODES. Dans la fenêtre CALCULATOR MODES, appuyez sur la touche de menu @@DISP@ (D) pour afficher la fenêtre DISPLAY MODES. Appuyez une seule fois sur la touche de flèche vers le bas, ˜, pour accéder à la ligne

Edit. Cette ligne comporte trois propriétés qui peuvent être modifiées. Lorsque ces propriétés sont sélectionnées (validées), cela active les effets suivants : _Small

Réduit la taille de la police. Ceci permet de maximiser la quantité d’informations affichée à l’écran. Notez que ce choix annule le choix de la police d’affichage de la pile.

Pour illustrer ces paramètres, en mode algébrique ou en mode RPN, utilisez l’éditeur d’équation pour entrer l’intégrale infinie suivante :

Les instructions détaillées sur l’utilisation de l’éditeur d’équation (Equation Writer – EQW) sont présentées dans une autre partie de ce manuel. Pour l’exemple de l’intégrale

(3,-2)), les listes, etc. Les objets de la calculatrice sont décrits dans les Chapitres 2 et 24 du guide de l’utilisateur de la calculatrice.

Ecrire des expressions dans la pile

Dans cette section nous présentons des exemples d’écriture directe d’expressions dans l’afficheur de la calculatrice aussi appelé pile.

Créer des expressions arithmétiques

Dans cet exemple, nous sélectionnons le mode Algébrique et choisissons le format Fix avec 3 décimales pour l’affichage. Nous allons entrer l’expression arithmétique suivante :

7.5 Approximate. Acceptez ce changement pour obtenir le résultat suivant (donné ici en mode décimal Fix avec trois décimales – voir Chapitre 1) :

Dans le cas présent, lorsque vous entrez l’expression directement dans la pile, dès que vous appuyez sur `, la calculatrice va essayer de calculer le résultat de l’expression. Cependant, si l’expression est saisie entre deux apostrophes, la calculatrice va reproduire l’expression telle quelle. Par exemple :

³5*„Ü1+1/7.5™/ „ÜR3-2Q3` CAS en mode Approx . Une fois que ce changement est réalisé, vous obtiendrez le même résultat que précédemment. Une autre méthode pour calculer l’expression entrée plus haut entre apostrophes consiste à utiliser l’option …ï. Nous allons maintenant entrer l’expression utilisée ci-dessus lorsque la calculatrice est en mode d’opérations RPN. Nous avons également placé le CAS en mode Exact et l'affichage en mode Textbook. La séquence de touches pour entrer l’expression entre apostrophes est la même que précédemment, c’est-à-dire : ³5*„Ü1+1/7.5™/ „ÜR3-2Q3` Ce qui donne le résultat

Appuyez encore une fois sur ` pour garder deux copies disponibles de l’expression dans la pile, afin d’en effectuer le calcul. Nous calculerons l’expression en utilisant d’abord la fonction EVALpuis la fonction NUM:

-µ. Le résultat est zéro (0.). Pour obtenir un complément d’information sur l’écriture d’expressions arithmétiques sur l’écran ou dans la pile, reportez-vous au Chapitre 2 du guide de l’utilisateur de la calculatrice.

Créer des expressions algébriques

Les expressions algébriques comportent non seulement des nombres mais aussi des noms de variables. Comme exemple, nous allons entrer l’expression algébrique suivante :

Pour obtenir des informations complémentaires sur l’écriture d’expressions algébriques sur l’écran ou dans la pile de la calculatrice, reportez-vous au

Chapitre 2 du guide de l’utilisateur de la calculatrice.

Utiliser l’Editeur d’équation (EQW) pour écrire des expressions

L’éditeur d’équation est un outil extrêmement puissant, qui non seulement vous permet d’entrer et de visualiser une équation mais vous permet aussi de modifier et d’appliquer des fonctions à l’équation ou à une partie de l’équation. Le démarrage de l’éditeur d’équation se fait par la combinaison de touches ‚O (troisième touche de la quatrième ligne du clavier). L’écran suivant apparaît. Appuyez sur L pour afficher la deuxième page du menu :

Pour l’éditeur d’équation, les six touches de menu activent les fonctions EDIT,

CURS, BIG, EVAL, FACTOR, SIMPLIFY, CMDS et HELP. Vous pourrez trouver des informations détaillées à propos de ces fonctions dans le Chapitre 3 du guide de l’utilisateur de la calculatrice.

Créer des expressions arithmétiques

La méthode pour saisir des expressions arithmétiques avec l’éditeur d’équation est très similaire à la façon dont on entre des expressions arithmétiques entre apostrophes dans la pile. Seule grande différence : les expressions produites avec l’éditeur d’équation apparaissent en style “textbook” au lieu d’apparaître comme une ligne d’écriture. Par exemple, essayez la séquence de touches suivante dans l’éditeur d’équations : 5/5+2 Il en résulte l’expression

Le curseur, prenant la forme d’un triangle qui pointe vers la gauche, indique la position d’écriture actuelle. Par exemple, avec le curseur en position indiquée ci-dessus, tapez maintenant :

*„Ü5+1/3 L’expression inscrite apparaît comme suit : Créer des expressions algébriques Une expression algébrique est très similaire à une expression arithmétique, mise à part le fait qu’elle peut inclure des lettres des alphabets latins et grecs. La procédure pour créer une expression algébrique suit donc la même idée que l’écriture d’une expression arithmétique, sauf qu’on utilise en plus le clavier alphabétique. Pour illustrer l’utilisation de l’éditeur d’équation pour entrer une expression algébrique, nous allons utiliser l’exemple suivant. Supposons que nous voulions entrer l’expression :

 x + 2 µ ⋅ ∆y 

λ + e − µ ⋅ LN  Souvenez-vous que pour entrer une lettre minuscule, il faut utiliser la combinaison : ~„ suivie de la lettre que vous voulez saisir. De plus, vous pouvez toujours écrire des caractères spéciaux en utilisant le menu CHARS (…±) si vous ne voulez pas avoir à mémoriser la combinaison de touches qui permet de les obtenir. Une liste des combinaisons de touches ~‚ les plus fréquemment utilisées se trouve dans l’Appendice D du guide de l’utilisateur. Pour obtenir des informations supplémentaires sur l’édition, le calcul, la factorisation et la simplification d’expressions algébriques, reportez-vous au Chapitre 2 du guide de l’utilisateur de la calculatrice.

Organiser les données dans la calculatrice

Vous avez la possibilité d’organiser les données dans votre calculatrice en mémorisant les variables dans un arbre de répertoires. La base de l’arbre des répertoires de la calculatrice est le répertoire HOME, qui est décrit ci-dessous.

Le répertoire HOME Pour atteindre le répertoire HOME, appuyez sur la fonction UPDIR („§)

-- autant de fois que nécessaire, jusqu’à ce que le symbole {HOME} apparaisse sur la deuxième ligne de l’en-tête de l’afficheur. Vous pouvez aussi utiliser „ (maintenu) §. Dans cet exemple, le répertoire HOME contient

uniquement le CASDIR. En appuyant sur J, les variables apparaissent sur les touches de menu :

Les variables fonctionnent comme les fichiers sur le disque dur d’un ordinateur. Une variable peut contenir un objet (des valeurs numériques, des expressions algébriques, des listes, des vecteurs, des matrices, des programmes, etc.). On se réfère aux variables par leurs noms, qui peuvent être une combinaison de caractères alphanumériques, commençant toujours par une lettre (latine ou grecque). On peut utiliser certains symboles, comme la flèche (→), dans un nom de variable, à condition de les combiner avec un caractère alphabétique. Ainsi, ‘→A’ est un nom de variable valide, mais ‘→’ ne l’est pas. Comme exemples de noms de variables valides, on a : ‘A’, ‘B’, ‘a’, ‘b’, ‘α’, ‘β’, ‘A1’, ‘AB12’, ‘A12’,’Vel’,’Z0’,’z1’, etc. Une variable ne peut pas avoir le même nom qu’une fonction dans la calculatrice. Les noms de variables réservés par la calculatrice sont les suivants : ALRMDAT, CST, EQ, EXPR, IERR, IOPAR, MAXR, MINR, PICT, PPAR, PRTPAR, VPAR, ZPAR, der_, e, i, n1,n2, …, s1, s2, …, ΣDAT, ΣPAR, π, ∞

Pour nommer les variables, vous devrez taper les chaînes de caractères en une fois, qu’elles soient ou non combinées avec des nombres. Pour taper les chaînes de caractères, vous pouvez forcer le clavier en mode alphabétique de la façon suivante :

~~ bloque le clavier alphabétique en mode majuscule. Dans ce mode, appuyer sur „ avant une touche de caractère donne une lettre minuscule et appuyer sur la touche ‚ avant une touche de caractère crée un caractère spécial. Si le clavier alphabétique est déjà bloqué en position majuscule, pour le bloquer en position minuscule, tapez, „~ ~~„~ bloque le clavier alphabétique en mode minuscule. Dans ce mode, appuyer sur „ avant une touche de caractère donne une lettre majuscule. Pour désactiver le mode minuscule, appuyez sur „~ Pour désactiver le clavier bloqué en mode majuscule, appuyez sur ~ Essayez les exercices suivants : ³~~math` ³~~m„a„t„h` ³~~m„~at„h` Sur l’écran de la calculatrice, on verra l’affichage suivant (à gauche pour le mode algébrique, à droite pour le mode RPN) : (Appuyez sur J si nécessaire pour afficher le menu des variables) : Nom α A12 Appuyez sur ` pour créer la variable. La variable apparaît maintenant sur les indicateurs des touches de menu :

Pour entrer les variables restantes, utilisez les séquences de touches suivantes :

Cette expression signifie que la valeur –0.25 est prête à être enregistrée dans α. Appuyez sur K pour créer la variable. La variable apparaît maintenant sur les indicateurs des touches de menu :

L’affichage est alors le suivant :

Mode RPN En mode RPN, il suffit d’appuyer sur la touche de menu correspondante pour obtenir le contenu d’une variable numérique ou algébrique. Dans le cas présent, on peut essayer d’afficher les variables z1, R, Q, A12, α, créées plus haut, de la façon suivante : J@@z1@@ @@@R@@ @@@Q@@ @@A12@@ @@ª@@

L’affichage est alors le suivant :

Utiliser la touche right-shift suivie des touches de menu

Cette méthode de visualisation des variables fonctionne de la même façon pour les modes algébrique et RPN. Essayez les exemples suivants dans l’un de ces modes : J‚@@p1@@ ‚ @@z1@@ ‚ @@@R@@ ‚@@@Q@@ ‚ @@A12@@

Afficher le contenu de toutes les variables à l’écran Utilisez la combinaison de touches ‚˜ pour afficher le contenu de toutes les variables à l’écran. Par exemple :

Appuyez sur $ pour retourner en mode d’affichage normal.

Effacer des variables

La façon la plus simple d’effacer des variables est d’utiliser la fonction PURGE. On peut accéder à cette fonction directement en utilisant le menu TOOLS (I), ou en utilisant le menu FILES „¡@@OK@@ .

Utiliser la fonction PURGE dans la pile en mode algébrique

Notre liste de variables contient les variables p1, z1, Q, R, et α. Nous allons utiliser la commande PURGE pour effacer la variable p1. Appuyez sur I @PURGE@ J@@p1@@ `. L’affichage indique maintenant que la variable p1 a été effacée :

Pour terminer la destruction des variables, appuyez sur `. L’affichage indique maintenant les variables restantes :

Utiliser la fonction PURGE dans la pile en mode RPN Notre liste de variables contient les variables p1, z1, Q, R, et α. Nous allons utiliser la commande PURGE pour effacer la variable p1. Appuyez sur

³@@p1@@ ` I @PURGE@. L’affichage indique maintenant que la variable p1 a été effacée :

Vous trouverez des informations supplémentaires sur la manipulation des variables au Chapitre 2 du guide de l’utilisateur de la calculatrice.

Les fonctions UNDO et CMD Les fonctions UNDO et CMD sont utiles pour récupérer des commandes récentes ou pour annuler une opération si une erreur a été commise. Ces fonctions sont associées à la touche HIST : la séquence de touches ‚¯, donne accès à la fonction UNDO, tandis que la commande CMD est accessible par la combinaison „®.

CHOOSE-boxes ou Soft MENU Dans un certain nombre d’exercices présentés dans ce chapitre nous avons pu voir des menus de commandes affichés à l’écran. Ces menus sont appelées

CHOOSE-boxes. Nous indiquons ci-dessous comment passer des CHOOSEboxes aux Soft MENUs et inversement, par le biais d’un exercice. Bien qu’il ne s’applique pas à un exemple particulier, l’exercice proposé présente les deux options de menus de la calculatrice (CHOOSE-boxes et Soft MENU). Pour cet exercice, nous utilisons la commande ORDER pour réordonner les variables d’un répertoire en mode ALG: „°˜

Affiche le menu PROG et sélectionne MEMORY Page 2-18

Appuyez sur E pour sélectionner le menu DIRECTORY ()@@DIR@@)

La commande ORDER apparaît maintenant à l’écran. Utilisons la touche L pour y accéder :

CAS (Computer Algebraic System), consultez l’Appendice C du guide de l’utilisateur de la calculatrice. Pour obtenir des informations sur les indicateurs système, consultez le Chapitre 24 du guide de l’utilisateur de la calculatrice.

(par exemple, SIN, COS, TAN, etc.). De plus, on suppose que le lecteur sait gérer les modes de fonctionnement de la calculatrice, c’est-à-dire sélectionner le mode opératoire (voir Chapitre 1), utiliser les menus et les CHOOSE-boxes

(voir Chapitre 1) et travailler avec les variables (voir Chapitre 2).

Exemples de calculs avec des nombres réels

Pour effectuer des calculs sur les nombres réels, il vaut mieux mettre le CAS en mode Real (et non Complex). Le mode Exact est le mode par défaut pour la plupart des opérations. Et donc, vous pouvez commencer vos calculs dans ce mode. Quelques calculs avec des nombres réels sont illustrés ci-dessous : •

Utilisez la touche \ pour changer le signe.

Par exemple, en mode ALG, essayer \2.5`. En mode RPN, essayer 2.5\.

En mode RPN, les parenthèses sont inutiles, le calcul est effectué directement sur la pile : 5`3.2`+7`2.2`-/ En mode RPN, vous pouvez entrer une expression comme dans le mode algébrique, en tapant l’expression entre apostrophes : ³„Ü5+3.2™/ „Ü7-2.2`µ Pour les deux modes ALG et RPN et en utilisant l’éditeur d’équation : ‚O5+3.2™/7-2.2 L’expression peut être calculée dans l’éditeur d’équation, en utilisant :

Les fonctions réelles dans le menu MTH Le menu MTH („´) contient un certain nombre de fonctions mathématiques, dont la plupart sont applicables à des nombres réels. Avec le paramètre par défaut en position de CHOOSE-boxes pour l’indicateur système 117 (voir Chapitre 2), le menu MTH est affiché sous la forme du menu suivant :

Les fonctions sont groupées selon le type d'argument (1. vecteurs, 2. matrices,

3. listes, 7. probabilité, 9. complexes) ou selon la fonction (4. hyperbolique, 5. réel, 6. base, 8. fft). Il existe aussi une donnée pour les constantes mathématiques, donnée 10. De façon générale, pour appliquer ces fonctions, vous devez connaître le nombre et l’ordre des arguments nécessaires et vous souvenir que, en mode ALG, vous devez d’abord sélectionner la fonction et ensuite entrer l’argument, alors qu’en mode RPN, vous devez d’abord entrer l’argument dans la pile avant de sélectionner la fonction.

Utiliser les menus de la calculatrice:

1. Nous allons décrire en détail l'utilisation du menu 4. HYPERBOLIC.. dans le but de décrire le fonctionnement général des menus de la calculatrice. Faites bien attention à la méthode de sélection des différentes options. 2. Pour sélectionner rapidement l’une des nombreuses options dans un menu (ou dans une de CHOOSE-boxes), cliquez simplement sur le numéro de l’option au clavier. Par exemple, pour sélectionner l’option 4. HYPERBOLIC.. dans le menu MTH, appuyez simplement sur 4.

Fonctions hyperboliques et leurs inverses

En choisissant l’option 4. HYPERBOLIC.. , dans le menu MTH et en appuyant sur @@OK@@, on obtient le menu de fonctions hyperboliques suivant :

Par exemple, en mode ALG, la séquence de touches qui permet de calculer tanh(2.5), est la suivante :

„´4 @@OK@@ 5 @@OK@@ 2.5` En mode RPN, la séquence de touches qui permet ce calcul est la suivante : 2.5`„´4 @@OK@@ 5 @@OK@@ Les opérations décrites ci-dessus supposent que vous utilisez le paramètre par défaut pour l’indicateur système 117 (CHOOSE-boxes). Si vous avez changé l’état de cet indicateur (voir Chapitre 2) en état SOFT menu, le menu MTH apparaîtra comme indiqué ci-dessous (en mode ALG à gauche, et en mode RPN à droite) :

En appuyant sur L, on affiche le reste des options :

Enfin, pour sélectionner, par exemple, la fonction tangente hyperbolique (tanh), appuyez simplement sur @@TANH@. Note: Pour afficher des options supplémentaires sur ces touches de menu, appuyez sur la touche L ou sur la séquence de touches „«. Par exemple, pour calculer tanh(2.5), en mode ALG, en utilisant les SOFT menus plutôt que les CHOOSE-boxes, procédez ainsi : „´@@HYP@ @@TANH@ 2.5` En mode RPN, on calcule la même valeur en utilisant : 2.5`„´)@@HYP@ @@TANH@ A titre d’exercice d’application des fonctions hyperboliques, vérifiez les valeurs suivantes : SINH (2.5) = 6.05020..

Le menu des unités (UNITS)

On lance le menu des unités par la combinaison de touches ‚Û (associée à la touche 6). Avec l’indicateur système 117 configuré sur les CHOOSE-boxes, vous obtenez le menu suivant :

Option 1. Tools.. contient des fonctions d’opérations sur les unités (sera présenté plus loin). Options 2. Length.. jusqu’à 17.Viscosity.. contiennent des menus avec un certain nombre d’unités pour chacune des quantités décrites.

Par exemple, choisir l'option 8. Force.. affiche le menu des unités suivant :

Pour effectuer des opérations plus complètes sur les unités, les touches menu

SOFT permettent d’associer des unités de façon plus pratique. Changez l’indicateur système 117 en menu SOFT (voir Chapitre 2), et utilisez la combinaison de touches ‚Û pour obtenir les menus suivants. Appuyer sur L pour afficher la page de menu suivante.

En appuyant sur les touches de menu, on pourra ouvrir des sous-menus d’unités de la section en question. Par exemple, pour le sous-menu @)SPEED, les unités suivantes sont disponibles :

En appuyant sur les touches de menu @)UNITS, on revient au menu des UNITES.

Souvenez-vous que vous pouvez à tout moment afficher tous les composants du menu à l’écran en tapant ‚˜, et ainsi, pour l’ensemble des unités

@)ENRG les indicateurs suivants apparaîtront :

Note: Utilisez la touche L ou la séquence de touches „« pour naviguer dans les menus.

Pour plus de détails sur les unités, reportez vous au Chapitre 3 du guide de l’utilisateur de la calculatrice.

Associer des unités à des nombres

Pour affecter une unité à un nombre, le nombre doit être suivi d’un symbole ‘souligné (‚Ý, key(8,5)). Ainsi, une force de 5 N sera entrée en tant que 5_N. Voici la séquence à suivre pour entrer ce nombre en mode ALG, avec l’indicateur système 117 en position CHOOSE-boxes. 5‚Ý ‚Û 8@@OK@@ @@OK@@ ` Note: Si vous oubliez le symbole souligné, le résultat est l’expression 5*N, et N représente ici un nom de variable et non des Newtons. Pour entrer la même quantité, en mode RPN, utilisez la séquence de touches suivante : 5‚Û8@@OK@@ @@OK@@

Pour la même quantité, en mode RPN, utilisez la séquence suivante : 5‚ÛL @)@FORCE @ @@N@@ Note: Vous pouvez entrer une quantité avec ses unités en entrant le symbole souligné et les unités avec le ~ du clavier. Par exemple, 5‚Ý~n donnera le résultat : 5_N Les préfixes d’unités Vous pouvez utiliser les préfixes d’unités selon la table des préfixes du SI Système International qui suit. L’abréviation du préfixe est indiquée et est suivie du nom et de l’exposant x de la puissance de 10x correspondant à chaque préfixe : ____________________________________________________ Préfixe Nom x Préfixe Nom x En utilisant UBASE (tapez le nom) pour convertir ce nombre en unités par défaut (1 m), on obtient::

Opérations sur les unités

Voici quelques exemples de calculs en mode ALG. Faites attention lorsque vous multipliez ou divisez des quantités avec unités, vous devez entrer chaque quantité et ses unités entre parenthèses. Ainsi, pour entrer le produit 12.5m × 5.2_yd, par exemple, tapez (12.5_m)*(5.2_yd) `:

ce qui donne 65_(m⋅yd). Pour convertir en unités du SI, utilisez la fonction

UBASE (elle se trouve dans le catalogue de commande, ‚N):

Note: Souvenez-vous que la variable ANS(1) est accessible par la combinaison de touches „î(associée à la touche `).

Pour effectuer une division, par exemple, 3250 mi / 50 h, entrez (3250_mi)/(50_h) ` ce qui, une fois transformé en unités SI avec la fonction UBASE, donne :

Les additions et les soustractions peuvent être effectuées en mode ALG sans utiliser les parenthèses ; par exemple, on peut entrer 5 m + 3200 mm, simplement sous la forme

5_m + 3200_mm `. Une expression plus compliquée nécessiterait des parenthèses, comme dans le cas de (12_mm)*(1_cm^2)/(2_s) `: Les calculs de pile en mode RPN ne nécessitent pas de parenthèses et on a, par exemple, 12 @@@m@@@ 1.5 @@yd@@ * 3250 @@mi@@ 50 @@@h@@@ / Ces opérations donnent les résultats suivants :

Les conversions d’unités

Le menu UNITS a un sous-menu TOOLS (outils), qui contient les fonctions suivantes :

‚N~c. Utilisez ensuite les flèches vers le haut et vers le bas —˜ pour sélectionner CONLIB. Enfin, appuyez sur la touche de menu F(@@OK@@) .

Appuyez sur `, si nécessaire. Utilisez ensuite les flèches vers le haut et vers le bas —˜ pour voir les constantes. Les touches de menu correspondant à cette bibliothèque de constantes (CONSTANTS LIBRARY) contiennent les fonctions suivantes : SI ENGL UNIT

lorsqu’elle est active, les constantes sont affichées en unités du SI (*) lorsqu’elle est active, les constantes sont affichées en unités impériales (*) lorsqu’elle est active, les constantes sont affichées avec leurs unités (*)

QUIT sort de la bibliothèque des constantes (*) uniquement si l’option VALUE est sélectionnée. Lorsque l’option VALUE est active (unités du SI), le haut de la bibliothèque des constantes s’affiche ainsi :

Pour afficher les valeurs des constantes en unités (ou impériales), appuyez sur l’option @ENGL :

Si nous désactivons l’option UNITS (en appuyant sur @UNITS ), seules les valeurs seront affichées (les unités impériales étant sélectionnées dans ce cas) :

Pour copier la valeur de Vm dans la pile, sélectionner le nom de la variable avant d’appuyer sur !²STK; cliquez ensuite sur @QUIT@. Si le mode de calcul est

ALG, l’affichage est le suivant :

L’affichage montre ce que l’on appelle une valeur étiquetée, Vm:359.0394.

Dans ce cas, Vm, est l’étiquette de ce résultat. Toute opération arithmétique utilisant ce nombre ignorera l’étiquette. Essayer, par exemple, ‚¹2*„î ` ce qui donne :

La même opération en mode RPN s’effectue par la combinaison de touches suivante (une fois que la valeur de Vm a été extraite de la bibliothèque de constantes) :

Définir et utiliser des fonctions

Les utilisateurs peuvent définir leurs propres fonctions en utilisant la commande DEFINE accessible par la séquence de touches „à (associée à la touche 2). La fonction doit être entrée dans le format suivant : Nom_de_la_fonction(arguments) = expression_qui_contient_les_argumenteurs. Par exemple, on peut définir une fonction simple H(x) = ln(x+1) + exp(-x) Supposons que vous ayez besoin de calculer cette fonction pour un certain nombre de valeurs discrètes et que, par conséquent, vous souhaitiez n’appuyer que sur une seule touche pour obtenir le résultat sans devoir retaper l’expression pour chacune des valeurs. Dans l’exemple suivant, nous

Ainsi, la variable H contient un programme défini par : <<  x ‘LN(x+1) + EXP(x)’ >> Ceci est un programme simple qui est écrit dans le langage de programmation par défaut de la série HP 48 G et est également inclus dans la série HP 49 G. Ce langage de programmation s'appelle UserRPL (voir Chapitres 20 et 21 du guide de l’utilisateur de la calculatrice). Le programme ci-dessus est relativement simple et est constitué de deux parties, incluses entre les délimiteurs du programme << >>: • •

Par exemple, si la calculatrice est en mode ALG mode, le nombre complexe

(3.5,-1.2) est saisi de la façon suivante : „Ü3.5‚í\1.2` Un nombre complexe peut aussi être saisi sous la forme x+iy. Par exemple, en mode ALG mode, 3.5-1.2i est saisi de la façon suivante (acceptez les changements de mode): 3.5 -1.2*„ „¥` En mode RPN, ces nombres peuvent être saisis en composant la séquence de touches suivantes: „Ü3.5‚í1.2\` (Remarquez que l’on appuie sur la touche de changement de signe après avoir saisi le nombre 1.2, dans l’ordre opposé à celui employé pour l’exercice en mode ALG), et ³3.5 -1.2*„ „¥` (Remarquez la nécessité de saisir une apostrophe avant de taper le nombre 3.5-1.2i en mode RPN). Pour saisir le nombre imaginaire de l’unité, appuyer sur : „¥(la touche I).

Représentation d’un nombre complexe

La représentation polaire du nombre complexe 3.5-1.2i, saisi ci-dessus, est obtenue en changeant le système coordonné de cylindrique à polaire (en utilisant la fonction CYLIN). Vous pouvez trouver cette fonction dans le catalogue (‚N). Vous pouvez aussi basculer les coordonnées sur

Retourner aux coordonnées cartésiennes ou rectangulaires en utilisant la fonction RECT (présente dans le catalogue ‚N). Un nombre complexe en représentation polaire s’écrit z = r⋅eiθ. Vous pouvez saisir ce nombre dans la calculatrice en utilisant une paire ordonnée de forme (r, ∠θ). Le symbole angulaire (∠) est saisi de la façon suivante ~‚6. Par exemple, le nombre complexe z = 5.2e1.5i peut être saisi comme suit (les illustrations montrent la pile RPN avant et après avoir saisi le nombre) :

Parce que le système coordonné est configuré sur rectangulaire (ou cartésien), la calculatrice convertit automatiquement le nombre saisi en coordonnées cartésiennes, c'est-à-dire x = r cos θ, y = r sin θ, égal, dans ce cas, à

(0.3678…, 5.18…). D’un autre côté, si le système coordonné est paramétré sur coordonnées cylindriques (utiliser CYLIN), la saisie d’un nombre complexe (x,y), où x et y sont des nombres réels, produira une représentation polaire. Par exemple, en coordonnées polaires, saisir le nombre (3.,2.). Les illustrations montrent la pile RPN avant et après avoir saisi le nombre :

Opérations simples avec des nombres complexes

Les nombres complexes peuvent être combinés en utilisant les quatre opérations de base (+-*/). Les résultats suivent les règles de l’algèbre avec l’avertissement suivant i2= -1. Les opérations avec des nombres complexes sont similaires à celles avec des nombres réels. Par exemple, lorsque la calculatrice est en mode ALG et la CAS est paramétrée sur Complex, essayez les opérations suivantes : (3+5i) + (6-3i) = (9,2); (5-2i) - (3+4i) = (2,-6) (3-i)(2-4i) = (2,-14); Le premier menu (options 1 à 6) indique les fonctions suivantes :

: Calcule un nombre complexe de magnitude d’unité z/|z|. : Change le signe de z : Produit le complexe conjugué de z

Des exemples d’applications de ces fonctions sont illustrés ci-dessous en coordonnées RECT. Se souvenir que, pour le mode ALG, la fonction doit précéder l’argument, alors qu’en mode RPN, vous devez d’abord saisir l’argument avant de sélectionner la fonction. N’oubliez pas non plus que vous pouvez afficher ces fonctions sous forme d’onglets de menu logiciels en changeant les paramètres de l’indicateur système 117 (Voir Chapitre 2).

[Remarque : Certaines des lignes ne seront pas visible dans les exercices affichés dans les dessins ci-dessous.]

Menu CMPLX accessible sur le clavier

Il comprend aussi la fonction i qui sert à la même fonction que la combinaison de touches „¥.

Fonctions appliquées aux nombres complexes

Une grand nombre des fonctions clavier et des fonctions du menu MTH définies au Chapitre 3 pour les nombres réels (c’est-à-dire : SQ, ,LN, ex, etc.) peuvent être appliquées aux nombres complexes. Le résultat est un autre nombre complexe, comme l’illustrent les exemples suivants : [Remmarque : Certaines des lignes ne seront pas visible sur l’écran de la calculatrice avec les exercices affichés dans les dessins ci-dessous.]

Note: Lorsque l’on utilise des fonctions trigonométriques et leurs opposées avec des nombres complexes, les arguments ne sont plus des angles. Par conséquent, la mesure angulaire sélectionnée pour la calculatrice n’a pas d’incidence dans la calcul de ces fonctions avec des arguments complexes.

Un objet algébrique peut aussi être construit dans l’éditeur d’équation puis envoyé dans la pile où l’on peut effectuer des opérations sur cet objet directement dans l’éditeur d’équation. Le fonctionnement de l’éditeur d’équation est décrit au Chapitre 2. En guise d’exercice, construire l’objet algébrique suivant dans l’éditeur d’équation :

Les objets algébriques peuvent être additionnés, soustraits, multipliés ou divisés (à part le zéro), élevés à une puissance, utilisés comme arguments dans de nombreuses fonctions courantes (fonctions exponentielle, logarithmique, trigonométrique, hyperbolique etc.), comme on peut le faire avec n’importe quel nombre réel ou complexe. Afin de faire une démonstration des opérations de base avec des objets algébriques, nous allons créer deux objets(par ex. : ‘π*R^2’ et ‘g*t^2/4’) et les enregistrer dans les variables A1 et A2 (Voir le Chapitre 2 pour apprendre comment créer des variables et y enregistrer des valeurs). Voici la combinaison de touches permettant de stocker les variables A1 en mode ALG : ³„ì*~rQ2™ K ~a1 ` Ce qui nous donne :

La combinaison de touches correspondante en mode RPN est la suivante :

„ì~r`2Qx ~a1 K Après avoir stocké la variable A2 et appuyé sur la touche, l’écran affiche les variables comme suit :

En mode ALG, la combinaison de touches suivante affichera une série d’opérations avec les éléments d’algèbre contenus dans les variables @@A1@@ et

@@A2@@ (appuyer sur J pour retourner au menu variable) : @@A1@@ + @@A2@@ `

Plutôt que de faire une liste de descriptions de chaque fonction dans ce manuel, nous invitons l’utilisateur à consulter la description en utilisant la fonction d’aide de la calculatrice: I L @)HELP@ ` . Afin de localiser une fonction particulière, saisir d’abord la première lettre de la fonction. Par exemple, pour la fonction COLLECT, nous saisissons ~c, puis utilisons les flèches haut et bas, —˜, pour localiser COLLECT dans la fenêtre d’aide. Pour terminer l’opération, appuyer sur @@OK@@. Voici le menu d’aide pour la fonction COLLECT:

Remarquez que, en bas de l’écran, la ligne See: EXPAND FACTOR suggère des liens vers d’autres entrées de la fonction d’aide, ici les fonctions

EXPAND et FACTOR. Pour aller directement à ces entrées, appuyez sur l’onglet du menu logiciel @SEE1! pour EXPAND, et @SEE2! pour FACTOR. En

appuyant sur @SEE1!, par exemple, l’information suivante sur EXPAND s’affiche, tandis qu’en choisissant @SEE2@, l’information suivante sur FACTOR apparaît :

Par la suite, nous laissons le lecteur explorer les applications des fonctions dans le menu ALG. Voici une liste des commandes :

Par exemple, pour la fonction SUBST, nous trouvons les entrées d’aide du

La calculatrice propose toute une série de fonctions qui peuvent être utilisées pour remplacer des expressions contenant des fonctions logarithmiques ou exponentielles („Ð) ainsi que des fonctions trigonométriques (‚Ñ).

Développement et mise en facteur en utilisant les fonctions logexp

La commande „Ð affiche le menu suivant :

Des informations et des exemples sur ces commandes sont disponibles dans la fonction d’aide de la calculatrice. Par exemple, la description de EXPLN est illustrée ici dans la colonne de gauche et l’exemple extrait de la fonction d’aide s’inscrit à droite :

Ces fonctions permettent de simplifier des expressions en remplaçant certaines catégories de fonctions trigonométriques par d’autres. Par exemple, la fonction ACOS2S permet de remplacer la fonction (acos(x)) par son expression en termes de arcsine (asin(x)). La description de ces commandes ainsi que des exemples de leurs applications sont disponibles dans la fonction d’aide de la calculatrice (IL@HELP). Nous invitons l’utilisateur à explorer cette fonction pour trouver des informations sur les commandes du menu TRIG.

Fonctions du menu ARITHMETIC Le menu ARITHMETIC est accessible en utilisant la séquence de touches

„Þ (associée à la touche 1). Une fois l’indicateur système 117 paramétré sur CHOOSE-boxes, en appuyant sur la commande „Þ, le menu suivant s’affiche :

Dans cette liste du menu, les options 5 à 9 (DIVIS, FACTORS, LGCD,

PROPFRAC, SIMP2) correspondent aux fonctions habituelles qui s’appliquent aux nombres entiers ou aux polynômes. Les options restantes (1. INTEGER, 2. POLYNOMIAL, 3. MODULO, et 4. PERMUTATION) sont en fait des sous-menus de fonctions qui s’appliquent à des objets mathématiques spécifiques. Lorsque l’indicateur système 117 est paramétré sur SOFT menus, le menu ARITHMETIC („Þ) se présente comme suit :

Nous présentons ci-dessous les entrées de la fonction d’aide pour les fonctions

FACTORS et SIMP2 du menu ARITHMETIC : FACTORS:

Evitez d’utiliser la variable VX dans vos programmes ou équations afin de ne pas confondre avec le VX du CAS’. Pour des informations complémentaires sur la variable CAS, voir l’Annexe C du guide de l’utilisateur de la calculatrice.

La fonction PCOEF Dans une série contenant les racines d’un polynôme, la fonction PCOEF génère une série contenant les coefficients du polynôme correspondant. Les coefficients correspondent à la valeur, dans l’ordre décroissant, de la variable indépendante. Par exemple :

à partir de X2+5X+6 =0, PROOT([1,–5,6]) = [2. 3.].

Les fonctions QUOT et REMAINDER Les fonctions QUOT et REMAINDER fournissent, respectivement, le quotient

Q(X) et le reste R(X) résultant de la division de deux polynômes, P1(X) et P2(X). En d’autres termes, elles fournissent les valeurs de Q(X) et R(X) à partir de P1(X)/P2(X) = Q(X) + R(X)/P2(X). Par exemple : QUOT(‘X^3-2*X+2’, ‘X-1’) = ‘X^2+X-1’ REMAINDER(‘X^3-2*X+2’, ‘X-1’) = 1. Par conséquent, nous pouvons écrire : (X3-2X+2)/(X-1) = X2+X-1 + 1/(X-1). Note : Vous pourriez obtenir le même résultat en utilisant PARTFRAC: Des applications supplémentaires des fonctions polynomiales sont présentées au Chapitre 5 du guide de l’utilisateur de la calculatrice.

La fonction PROPFRAC La fonction PROPFRAC convertit une fraction rationnelle en fraction ”correcte“, c'est-à-dire en un entier additionné à une fraction, si une telle décomposition est possible. Par exemple :

PROPFRAC(‘5/4’) = ‘1+1/4’ La base de la fonction est un vecteur faisant la liste des racines suivies de leur multiplicité (c’est-à-dire combien de fois une racine donnée est répétée), et les pôles suivis de leur multiplicité représentée comme un nombre négatif. Par exemple, si vous voulez créer une fraction de racines 2 avec multiplicité 1, 0 de multiplicité 3, et -5 de multiplicité 2, et des pôles 1 de multiplicité 2 et –3 de multiplicité 5, utilisez : FCOEF([2,1,0,3,–5,2,1,-2,-3,-5]) = ‘(X--5)^2*X^3*(X-2)/(X--3)^5*(X-1)^2’ Si vous appuyez sur µ„î(or, simplement µ, en mode RPN) vous obtenez: ‘(X^6+8*X^5+5*X^4-50*X^3)/(X^7+13*X^6+61*X^5+105*X^4-45*X^3297*X62-81*X+243)’

En paramétrant les modes du CAS sur étape par étape, la calculatrice affiche les simplifications des fractions ou les opérations avec des polynômes étape par étape. Cela est très utile pour visualiser les étapes d’une division synthétique. L’exemple de la division

X 3 − 5X 2 + 3X − 2

X −2 est illustré en détail en Annexe C du guide de l’utilisateur de la calculatrice. L’exemple suivant illustre une division synthétique plus longue (DIV2 est aussi disponible dans le menuARITH/POLYNOMIAL).

X 2 −1 Nous décrivons ici certaines des fonctions du menu de résolution symbolique Symbolic Solver. Activer le menu en utilisant la combinaison de touches „Î. Si l’indicateur système 117 est paramétré sur CHOOSE-boxes, les listes de menu suivantes s’affichent :

Les fonctions ISOL et SOLVE peuvent être utilisées pour toute inconnue dans une équation polynomiale. La fonction SOLVZVX résout une équation polynomiale où l’inconnue est la variable par défaut du CAS VX (paramétré généralement comme ‘X’). Finalement, la fonction ZEROS calcule les zéros, ou racines, des polynômes.

Fonction ISOL La fonction ISOL (Equation, variable) donnera la ou les solution(s) à une

Equation en isolant une variable. Par exemple, avec la calculatrice paramétrée en mode ALG, pour trouver t dans l’équation at3-bt = 0 nous pouvons procéder comme suit :

En utilisant le mode RPN, on trouvera la solution en saisissant l’équation dans la pile, suivie de la variable, avant d’entrer dans la fonction ISOL. Juste avant d’exécuter la fonction ISOL, la pile RPN doit ressembler à l’illustration de gauche. Après avoir appliqué la fonction ISOL, le résultat s’affiche comme dans l’illustration de droite :

Le même problème peut être résolu en mode RPN de la façon présentée cidessous (les illustrations montrent la pile RPN avant et après l’application de la fonction ISOL) :

Fonction SOLVE La fonction SOLVE utilise la même syntaxe que la fonction ISOL, sauf que

SOLVE peut aussi être utilisée pour résoudre des équations polynomiales. L’entrée de la fonction d’aide de la calculatrice pour la fonction SOLVE, présentant la solution de l’équation X^4 – 1 = 3, est illustrée ci-dessous :

Les exemples suivants montrent comment utiliser la fonction SOLVE en mode

ALG et RPN (Utilisez le mode Complex du CAS). [Remarque : Certaines des lignes ne seront pas visible dans les exercices affichés dans les dessins cidessous.]

La saisie d’écran ci-dessus affiche deux solutions. Pour la première, β4-5β

=125, SOLVE n’a pas trouvé de solution { }. Pour la seconde, β4 - 5β = 6, SOLVE a trouvé quatre solutions, affichées à la dernière ligne. La toute dernière solution n’est pas visible car l’affichage du résultat nécessite plus de caractères que la largeur d’écran ne le permet. Cependant, vous pouvez toujours voir toutes les solutions en utilisant la flèche bas (˜), qui enclenche l’éditeur de ligne (cette opération peut être utilisée pour accéder à n’importe quelle ligne de résultat dépassant la largeur de la calculatrice) :

Les écrans RPN correspondants à ces deux exemples, avant et après application de la fonction SOLVE, sont illustrés ci-dessous :

Les écrans suivants montrent la pile RPN pour la résolution des deux exemples ci-dessus (avant et après application de la SOLVEVX):

Fonction ZEROS La fonction ZEROS trouve les solutions d’équations polynomiales sans indiquer leur multiplicité. Cette fonction nécessite de saisir l’expression de l’équation et le nom de la variable qui doit être trouvée. Des exemples en mode ALG sont présentés ci-dessous:

Menu de Résolution numérique La calculatrice offre un environnement très puissant pour résoudre des équations algébriques simples ou des équations transcendantales. Pour accéder à cet environnement, vous devez lancer la résolution numérique numerical solver (NUM.SLV) en utilisant ‚Ï. Cela fait s’afficher un menu déroulant qui présente les options suivantes :

Nous vous présentons ci-dessous les applications des options 3. Solve poly..,

5. Solve finance, et 1. Solve equation.., dans cet ordre. L’Annexe 1-A, du présent guide de l’utilisateur contient des instructions sur la façon d’utiliser les formulaires de saisie avec des exemples pour les applications de la résolution numérique. L’option 6. MSLV (Multiple equation SoLVer) sera présentée sur la page 6-11. Notes: 1. Chaque fois que vous résolvez une équation pour une valeur donnée dans les applications NUM.SLV, la valeur trouvée est placée dans la pile. Cela est pratique si vous avez besoin de conserver cette valeur pour d’autres opérations. 2. Une ou plusieurs variables seront créées chaque fois que vous activez certaines des applications du menu NUM.SLV.

(3) Obtenir une expression algébrique pour le polynôme sous forme de fonction de X.

Trouver les solutions d’une équation polynomiale Une équation polynomiale est une équation de forme : anxn + an-1xn-1 + …+ a1x + a0 = 0. Par exemple, résoudre l’équation : 3s4 + 2s3 - s + 1 = 0. Nous voulons placer les coefficients de l’équation dans un vecteur : [3,2,0,1,1]. Pour résoudre cette équation polynomiale en utilisant la calculatrice, essayez la démarche suivante : ‚Ϙ˜@@OK@@ „Ô3‚í2‚í 0 ‚í 1\‚í1@@OK@@ Appuyer sur ` pour retourner à la pile. Les coefficients seront indiqués dans la pile.

Appuyez sur ˜ pour enclencher l’éditeur de lignes afin de voir tous les coefficients.

Générer une expression algébrique pour le polynôme Vous pouvez utiliser la calculatrice pour générer une expression algébrique pour un polynôme à partir des coefficients ou des racines de ce polynôme. L’expression résultant de ce calcul sera affichée en termes de la variable par défaut du CAS X.

Pour générer l’expression algébrique en utilisant des coefficients, essayer l’exemple suivant. Supposons que les coefficients polynomiaux sont [1,5,-2,4].

Utiliser la combinaison de touches suivante : Sélectionner Solve poly… Saisir le vecteur de coefficients

L’expression ainsi générée est indiquée dans la pile sous la forme suivante : 'X^3+5*X^2+ -2*X+4'. Pour générer l’expression algébrique en utilisant les racines, essayer de suivre l’exemple suivant. Supposons que les racines polynomiales sont [1,3,-2,1]. Utiliser la combinaison de touches suivante : ‚Ϙ˜@@OK@@ ˜„Ô1‚í3 ‚í2\‚í1@@OK@@ L’expression ainsi générée est indiquée dans la pile sous la forme suivante : '(X-1)*(X-3)*(X+2)*(X-1)'. Pour développer les produits, vous pouvez utiliser la commande EXPAND. L’expression en résultant est : 'X^4+-3*X^3+ -3*X^2+11*X-6'.

Les calculs de l’option 5. Solve finance.. en résolution numérique (NUM.SLV) sont utilisés pour calculer la valeur temporelle de l’argent par référence à l’ingénierie économique et à d’autres applications financières. Cette

Saisir simplement l’expression comme un objet algébrique et l’enregistrer dans la variable EQ. La combinaison de touches en mode ALG est la suivante :

³„¸~„x™-S„ì *~„x/3™‚Å 0™ K~e~q` Fonction STEQ La fonction STEQ enregistre son argument dans la variable EQ, à savoir, en mode ALG : Appuyer sur J pour voir les variables EQ nouvellement créées :

Cependant, il ne s’agit pas de la seule solution possible pour cette équation.

Pour obtenir une solution négative, par exemple, saisir un nombre négatif dans le champ X: avant de résoudre l’équation. Essayez 3\@@@OK@@˜@SOLVE@. La solution est maintenant X: -3.045.

Résoudre des équations simultanées avec MSLV La fonction MSLV est disponible dans le menu ‚Ï . L’entrée de la fonction d’aide de la calculatrice pour la fonction MSLV est présentée cidessous :

3. Un vecteur contenant les valeurs initiales de la solution, c’est-à-dire : les valeurs initiales à la fois de X et de Y sont zéro dans cet exemple. En mode ALG, appuyer sur @ECHO pour copier l’exemple dans la pile, appuyer sur ` pour effectuer. Pour voir tous les éléments de la solution, vous devez activer l’éditeur de ligne en appuyant la touche flèche vers le bas. (˜):

En mode RPN mode, la solution pour cet exemple est obtenue en utilisant :

L’activation de la fonction MSLV donne l’écran suivant :

Vous aurez peut-être remarqué que, tout en donnant une solution, l’écran affiche des informations intermédiaires dans le coin supérieur gauche.

Créer et enregistrer des listes Pour créer une liste en mode ALG, commencer par saisir une accolade „ä , puis taper ou saisir les éléments de la liste en les séparant avec des virgules (‚í). La combinaison de touches suivantes vous permettra de saisir la liste {1.,2.,3.,4.} et de l’enregistrer dans la variable L1. „ä 1. ‚í 2. ‚í 3. ‚í 4. ™K~l1` Pour entrer la même liste en m ode RPN, vous devez utiliser la combinaison de touches suivante : „ä 1. # 2. # 3. # 4. ` Pour démontrer les opérations avec des listes de nombres, saisir et enregistrer les listes suivantes dans les variables correspondantes. L2 = {-3.,2.,1.,5.}

L3 = {-6.,5.,3.,1.,0.,3.,-4.} L4 = {3.,-2.,1.,5.,3.,2.,1.}

La soustraction d’un nombre unique d’une liste produira la soustraction du même nombre de chacun des éléments de la liste, par exemple :

L’addition d’un nombre unique à une liste augmentera la liste de ce nombre, sans addition de ce même nombre à chacun des éléments de la liste.Par exemple :

La soustraction, la multiplication et la division de listes de nombres de la même longueur produisent une liste de même longueur incluant le détail des opérations terme par terme. Exemples :

Le signe plus (+), lorsqu’il est appliqué à des listes, joue le rôle d’opérateur de concaténation et rassemble les deux listes plutôt que de procéder à l’addition terme par terme. Par exemple :

Afin de produire une addition terme par terme de deux listes de même longueur, nous devons utiliser l’opérateur ADD. Cet opérateur peut être chargé en utilisant le catalogue de fonctions (‚N). L’écran ci-dessous montre une application de l’opérateur ADD pour ajouter les listes L1 et L2 terme par terme :

Des exemples d’applications de ces fonctions en mode ALG sont présentés cidessous :

SORT et REVLIST peuvent être combinés pour trier la liste par ordre décroissant :

(‚N), prend comme arguments une expression en termes d’index, de nom de l’index et commence, termine et augmente les valeurs pour cet index, puis donne une liste consistant en l’évaluation de l’expression de toutes les valeurs possibles de cet index. La forme générale de la fonction est la suivante : SEQ(expression, index, début, fin, augmentation) Par exemple :

La liste produite correspond aux valeurs {12, 22, 32, 42}.

Pour de plus amples références, exemples et autres applications des listes, consultez le Chapitre 8 du présent guide de l’utilisateur.

Dans la calculatrice, les vecteurs sont représentés comme une séquence de nombres entre crochets généralement saisis comme vecteurs lignes. Les crochets sont générés dans la calculatrice par la combinaison de touches „Ô, associée à la touche *. Les exemples suivants montrent des vecteurs saisis dans la calculatrice : [3.5, 2.2, -1.3, 5.6, 2.3] [1.5,-2.2] [3,-1,2] Un Un Un

vecteur vecteur vecteur vecteur

(‚í). Les saisies d’écran ci-dessous montrent la saisie d’un vecteur numérique suivi par un vecteur algébrique. L’illustration de gauche montre le vecteur algébrique avant d’appuyer sur `. L’illustration de droite montre l’écran de la calculatrice après la saisie du vecteur algébrique :

En mode RPN, vous pouvez saisir un vecteur dans la pile en ouvrant un couple de crochets et en saisissant les composantes ou les éléments du vecteur qui doivent être séparés soit par des virgules (‚í), soit par des espaces

Les vecteurs peuvent être stockés dans les variables. Les saisies d’écran cidessous montrent les vecteurs u2 = [1, 2], u3 = [-3, 2, -2], v2 = [3,-1], v3 = [1, -5, 2] stockés respectivement dans les variables @@@u2@@, @@@u3@@, @@@v2@@, et @@@v3@@. D’abord en mode ALG :

Puis en mode RPN (avant d’appuyer sur K, de manière répétée) :

Note: Les apostrophes (‘) ne sont pas nécessaires d’habitude dans la saisie des noms u2, v2, etc. dans le mode RPN. Dans ce cas précis, elles sont utilisées pour écrire par-dessus les variables créées précédemment en mode

ALG. Par conséquent, les apostrophes doivent être utilisées si les variables existantes non pas été purgées au préalable.

Utiliser l’Editeur de matrice (MTRW) pour saisir les vecteurs

Les vecteurs peuvent aussi être saisis en utilisant l’Editeur de matrice „²(troisième touche de la quatrième rangée à partir du haut du clavier). Cette commande génère une catégorie de feuilles de calcul correspondant aux lignes et colonnes d’une matrice (Les détails sur l’utilisation de l’Editeur de matrices pour saisir des matrices seront présentés au Chapitre 9). Pour un vecteur, nous n’avons besoin de saisir des éléments que dans la première

ligne. La cellule de la première ligne, première colonne, est sélectionnée par défaut. En bas de la feuille de calcul, vous trouverez les onglets de menu logiciel suivants :

L'onglet @VEC@@ lorsqu’il est sélectionné, produira un vecteur, tel qu’opposé à une matrice d’une seule ligne et plusieurs colonnes. L'onglet ←WID est utilisé pour réduire la largeur des colonnes de la feuille de calcul. Appuyez sur cet onglet plusieurs fois pour voir la largeur de la colonne diminuer dans votre l’Editeur de matrices . L'onglet @WID→ est utilisé pour augmenter la largeur des colonnes de la feuille de calcul. Appuyez sur cet onglet plusieurs fois pour voir la largeur de la colonne augmenter dans votre l’Editeur de matrices . L'onglet @GO→ , lorsqu’il est sélectionné, sélectionne automatiquement la cellule suivante à la droite de la cellule en cours d’utilisation quand vous appuyez sur `. Cette option est sélectionnée par défaut. Cette option,si vous souhaitez vous en servir, doit être sélectionnée avant de saisir des éléments. L'onglet @GO↓ , lorsqu’il est sélectionné, sélectionne automatiquement la cellule suivante à la droite de la cellule en cours d’utilisation quand vous appuyez sur `. Cette option,si vous souhaitez vous en servir, doit être sélectionnée avant de saisir des éléments.

Se déplacer vers la droite ou vers le bas dans l’Editeur de matrice

Activer l’Editeur de matrice et saisir 3`5`2`` avec l’onglet @GO→ sélectionné (par défaut). Ensuite, saisir la même séquence de nombres avec l’onglet @GO↓ sélectionné pour voir la différence. Dans le premier cas, vous avez saisi un vecteur de trois éléments. Dans le second cas, vous avez saisi une matrice de trois lignes et une colonne.

Activez à nouveau l’Editeur de matrice en utilisant „², et appuyez sur

L pour tester l’utilisation du second onglet du menu logiciel en bas de l’écran. Les onglets suivants s’afficheront : @+ROW@ @-ROW @+COL@ @-COL@ @→STK@@ @GOTO@ La touche @+ROW@ ajoutera une ligne remplie de zéros à la place de la cellule sélectionnée dans la feuille de calcul. L'onglet @-ROW effacera la ligne contenant la cellule sélectionnée dans la feuille de calcul. L'onglet @+COL@ ajoutera une colonne remplie de zéros à la place de la cellule sélectionnée dans la feuille de calcul. L'onglet @-COL@ effacera la colonne contenant la cellule sélectionnée dans la feuille de calcul. L'onglet pile.

En appuyant sur L une fois de plus, vous accédez au dernier menu qui contient seulement une fonction @@DEL@ (effacer). L'onglet @@DEL@ effacera le contenu de la cellule sélectionnée et le remplacera par un zéro. Pour voir comment ces onglets fonctionnent, essayez les exercices suivants : (1) Activez l’Editeur de matrice en utilisant „². Assurez-vous que les onglets @VEC et @GO→ sont sélectionnés.

(5) Appuyez sur @-COL@. La première colonne disparaît.

(6) Appuyez @+COL@. Une ligne de deux zéros apparaît dans la première ligne. (7) Appuyez sur @GOTO@ 3@@OK@@ 3@@OK@@ @@OK@@ pour changer de cellule (3,3). (8) Appuyez sur @→STK@@. Cela placera le contenu de la cellule (3,3) dans la pile, même si vous ne pouvez pas le voir tout de suite. Appuyez sur ` pour retourner à l’affichage normal. Le chiffre 9, l’élément (3,3) ainsi que la totalité de la matrice saisie seront disponibles dans la pile.

Opérations simples avec des vecteurs

Pour illustrer les opérations avec des vecteurs, nous utiliserons les vecteurs u2, u3, v2 et v3 stockés lors de l’exercice précédent. Enregistrez également le vecteur A=[-1,-2,-3,-4,-5] qui sera utilisé dans les exercices suivants. [Remarque : Certaines des lignes ne seront pas visible dans les exercices affichés dans les dessins ci-dessous.]

Pour changer le signe d’un vecteur, utilisez la touche \, ce qui donne :

Multiplication et division par un scalaire

La multiplication ou la division par un scalaire est une opération très simple :

Saisie de matrices dans la pile

Dans cette section, nous présentons deux manières différentes de saisir des matrices dans la pile de la calculatrice : (1) en utilisant l’Editeur de matrice et (2) en saisissant la matrice directement dans la pile. Utilisation de l’Editeur de matrice Comme nous l’avons vu pour les vecteurs, au Chapitre 8, des matrices peuvent être saisies dans la pile en utilisant l’Editeur de matrice. Par exemple, pour saisir la matrice :

 − 2 .5 4 .2 2 .0 

 0 .3 Si vous avez choisi l’option d’affichage textbook (en utilisant H@)DISP! et en cochant Textbook), la matrice ressemblera à celle qui est présentée cidessus. Sinon l’affichage sera le suivant :

L’affichage en mode RPN sera très similaire à celui-ci.

Saisir la matrice directement dans la pile

Le même résultat que celui présenté ci-dessus peut être obtenu en saisissant les données suivantes directement dans la pile : „Ô „Ô 2.5\ ‚í 4.2 ‚í 2 ™ ‚í Opérations avec des matrices Les matrices, comme les autres objets mathématiques, peuvent être additionnées et soustraites. Elles peuvent être multipliées par des scalaires ou entre elles. Une opération importante pour les applications d’algèbre linéaire est l’inverse de la matrice. Les détails de ces opérations sont présentés par la suite. Pour illustrer les opérations, nous allons créer plusieurs matrices que nous allons enregistrer dans les variables suivantes. Voici les matrices A22, B22, A23, B23, A33 et B33 (Les matrices aléatoires de votre calculatrice peuvent être différentes):

En mode RPN, les étapes à suivre sont les suivantes :

{2,2}` RANM 'A22'`K Multiplication par un scalaire Certains exemples de multiplication d’une matrice par un scalaire sont montrés ci-dessous.

Multiplication matrice-vecteur

La multiplication matrice-vecteur est possible uniquement si le nombre de colonnes de la matrice est égal à la longueur du vecteur. Suivent quelques exemples de multiplications matrice-vecteur :

L’inverse d’une matrice carrée A est la matrice A-1 telle que A⋅A-1 = A-1⋅A = I, où I est la matrice identique de même longueur que A. L’inverse d’une matrice est obtenue par la calculatrice en utilisant la fonction inverse, INV

(correspondant à la touche Y ). Des exemples de l’inverse de certaines des matrices enregistrées précédemment sont présentés ci-dessous :

Pour vérifier les propriétés de la matrice inversée, nous présentons les multiplications suivantes :

Fonction DET La fonction DET calcule le déterminant d’une matrice carrée. Par exemple :

Fonction TRACE La fonction TRACE calcule la trace d’une matrice carrée, définie comme la somme des éléments de sa diagonale principale, soit n

‚Ï. A partir de l’écran de la résolution numérique, illustré ci-dessous (à gauche) sélectionnez l’option 4. Solve lin sys.., et appuyez sur @@@OK@@@. Le formulaire de saisie suivant s’affiche (à droite):

Pour résoudre le système linéaire A⋅x = b, saisir la matrice A, au format

[[ a11, a12, … ], … [….]] dans le champ A: Saisir la matrice b dans le champ

B: Quand le champ X: est surligné, appuyez sur @SOLVE. Si la solution est disponible, le vecteur solution x sera affiché dans le champ X: La solution est

également copiée dans le niveau 1 de la pile. Suivent quelques exemples : Le système d’équations linéaires 2x1 + 3x2 –5x3 = 13, x1 – 3x2 + 8x3 = -13, 2x1 – 2x2 + 4x3 = -6, peut s’écrire sous forme d’une équation matricielle A⋅x = b, si

Pour saisir la matrice A vous pouvez activer l’éditeur de matrice alors que le champ A: est sélectionné. L’écran suivant montre l’utilisation de l’éditeur de matrice pour la saisie de la matrice A ainsi que le formulaire de saisie pour la résolution numérique après avoir saisi la matrice A (appuyez sur ` dans l’éditeur de Matrice):

Appuyez sur ˜ pour sélectionner le champ B: . Le vecteur b peut être saisi en tant que vecteur ligne avec une seule paire de crochets, c’est-à-dire :

Résolution par “division” de matrices Bien que l’opération de division ne soit pas définie dans les matrices, nous pouvons utiliser la touche / de la calculatrice pour “diviser” le vecteur b

par la matrice A pour trouver x dans l’équation matricielle A⋅x = b. La procédure dans ce cas de “division” de b par A est illustrée ci-dessous pour les exemples précédents.

La procédure est illustrée dans les saisies d’écran ci-dessous (saisir de nouveau la matrice A et le vecteur b):

Des informations supplémentaires sur la création de matrices, les opérations et les applications matricielles en algèbre linéaire sont présentées aux Chapitre 10 et 11 du présent guide de l’utilisateur.

Pour accéder à la liste des formats graphiques disponibles sur la calculatrice, utilisez la séquence de touches „ô(D) . Noter que si vous utilisez le mode RPN, vous devez appuyer simultanément sur ces deux touches pour activer n’importe laquelle des fonctions graphiques. Une fois que vous avez activé la fonction 2D/3D, la calculatrice affichera la fenêtre de configuration

PLOT SETUP qui contient le champ TYPE tel qu’illustré ci-dessous.

Juste en face du champ TYPE, vous verrez, très probablement, l’option Function en surbrillance. Il s’agit du type de graphique par défaut de la calculatrice.

Pour voir la liste des types de graphiques disponibles, appuyez sur l’indicateur de menu @CHOOS. Un menu déroulant s’affiche avec les options suivantes (utilisez les flèches de direction haut et bas pour consulter toutes les options) :

Appuyez sur @ADD pour entrer dans l’Editeur d’équation. On vous demandera de compléter la partie de droite d’une équation Y1(x) =

.Saisir la fonction que vous voulez tracer de telle sorte que l’Editeur d’équation se présente comme suit :

Utilisez une échelle allant de –4 à 4 pour H-VIEW, puis appuyez sur @AUTO pour générer automatiquement V-VIEW. L’écran PLOT WINDOW se présente comme suit :

En appuyant sur la combinaison de touches „õ(E) et „ö(F),

(appuyer simultanément sur les deux touches en mode RPN), l’utilisateur obtient une table de valeurs des fonctions. Par exemple, nous allons créer une table pour la fonction Y(X) = X/(X+10), sur l’échelle -5 < X < 5 en suivant les instructions ci-dessous : •

Nous allons générer des valeurs de la fonction f(x), définie ci-dessus, pour des valeurs de x comprises entre –5 et 5, par incréments de 0.5. Tout d’abord, nous devons nous assurer que le type de graphe est paramétré sur FUNCTION dans la fenêtre PLOT SETUP („ô, appuyez sur les deux touches en même temps en mode RPN). Le champ en face de l’option Type est en surbrillance. Si ce champ n’est pas déjà paramétré sur FUNCTION, appuyez sur la touche Menu @CHOOS et sélectionnez l’option FUNCTION, puis appuyez sur @@@OK@@@.

0.5 @@@OK@@@ 0.5 @@@OK@@@ (c’est-dire : facteur de zoom = 0.5).

Appuyez sur la touche menu @@CHK jusqu’à ce qu’une coche apparaisse en face de l’option Small Font (petite police de caractère) si vous souhaitez activer cette option. Appuyez ensuite sur @@@OK@@@. Vous retournez ainsi à l’affichage normal de la calculatrice.

@@@OK@@@. L’incrément de x est maintenant de 0.0125.

Pour restaurer l’incrément précédent, appuyez sur @ZOOM —@@@OK@@@ pour sélectionner l’option Un-zoom. L’incrément de x est augmenté à

Des informations supplémentaires sur les graphiques sont disponibles aux Chapitres 12 et 22 du guide de l’utilisateur de la calculatrice.

Plusieurs des fonctions présentées dans ce Chapitre sont contenues dans le menu CALC de la calculatrice, accessible grâce à la combinaison de touches

„Ö (associée à la touche 4 ) :

Les quatre premières options de ce menu sont en fait des sous-options qui s’appliquent (1) aux dérivées et intégrales (2), aux limites et séries de puissance, (3) aux équations différentielles et (4) aux graphiques. Les fonctions des entrées (1) et (2) seront présentées dans le présent chapitre. Les

Les Fonctions DERVX et INTVX sont présentées en détail page 11-2 et 11-3, respectivement.

Limites et dérivées

Les calculs différentiels traitent des dérivées, ou taux de changement, des fonctions et de leurs applications en analyse mathématique. La dérivée d’une fonction est définie comme la limite de la différence d’une fonction lorsque l’incrément de la variable indépendante tend vers zéro. Les limites sont aussi utilisées pour vérifier la continuité d’une fonction.

(‚N~„l) ou grâce à l’option 2. LIMITS & SERIES… du menu

CALC (voir plus haut). La fonction lim est saisie en mode ALG comme lim(f(x),x=a) pour calculer la limite. lim f ( x) . En mode RPN, saisir d’abord la fonction puis x→ a

l’expression ‘x=a’ et appuyer finalement sur function lim. Des exemples en mode ALG sont présentés ci-dessous, y compris quelques limites tendant vers l’infini [Remarque : Certaines des lignes ne seront pas visibles avec certaines des figures des exercices de ce Chapitre. L'entête peut recouvrir les lignes du haut de l'écran de la calculatrice.]

Fonctions DERIV et DERVX La fonction DERIV est utilisée pour prendre des dérivées comme terme de n’importe quelle variable indépendante, alors que la fonction DERVX prend les dérivées par rapport à la variable par défaut du CAS VX (généralement

‘X’). Alors que seule la fonction DERVX est disponible directement dans le menu CALC, les deux fonctions sont disponibles dans le sous menu DERIV.& INTEG du menu CALCL ( „Ö).

Fonctions TAYLR, TAYLR0 et SERIES Les fonctions TAYLR, TAYLR0 et SERIES sont utilisées pour générer des polynômes de Taylor, ainsi que des séries de Taylor avec reste. Ces fonctions sont disponibles dans le menu CALC/LIMITS&SERIES décrit précédemment dans ce Chapitre.

La fonction TAYLOR0 effectue un développement de séries de MacLaurin, c’est-à-dire de X = 0, d’une variable indépendante par défaut VX (généralement ‘X’). Le développement utilise une puissance relative de 4ème degré, ce qui signifie que la différence entre la puissance la plus forte et la plus faible du développement est 4. Par exemple,

La fonction TAYLR produit un développement de séries de Taylor d’une fonction de n’importe quelle variable x de point x = a pour l’ordre k spécifié par l’utilisateur. Par conséquent, la fonction a le format TAYLR(f(x-a),x,k). Par exemple :

2 – Une valeur équivalente de la fonction proche de x = a 3 – L’expression pour le polynôme de Taylor 4 – L’ordre du résidu ou du reste Du fait de la relative multiplicité de données produites, cette fonction est plus facile à manipuler en mode RPN. Par exemple, les saisies d’écran suivantes montrent la pile RPN avant et après avoir utilisé la fonction SERIES :

Déplacez le contenu du niveau de pile 1 vers le bas en appuyant sur ƒ, puis saisissez µ, pour décomposer la liste. Les résultats sont les suivants :

Certaines des lignes ne seront pas visible dans les exercices affichés dans les dessins ci-dessous.]

Pour définir les functions f(x,y) et g(x,y,z) en mode ALG, tapez:

DEF(g(x,y,z)=√(x^2+y^2)*SIN(z) `

Le gradient d’une fonction scalaire φ(x,y,z) est une fonction vectorielle définie par gradφ = ∇φ

‘x2’,…,’xn’]. Cette fonction est plus facile à visualiser en mode RPN.

Considérons à titre d’exemple la fonction φ(X,Y,Z) = X2 + XY + XZ. Nous allons appliquer la fonction HESS à ce champ scalaire dans l’exemple suivant :

Par conséquent, le gradient est [2X+Y+Z, X, X].

Ces fonctions sont brièvement décrites ci-dessous. Elles seront décrites avec de plus amples détails dans des paragraphes ultérieurs de ce Chapitre. DESOLVE: Calculateur d’équation différentielle SOLVEr résout les équations différentielles lorsque cela est possible ILAP: Transformation inverse de Laplace, L-1[F(s)] = f(t) LAP: Transformation de Laplace, L[f(t)]=F(s) LDEC: Commande d’équation linéaire différentielle 'd1y(x)+x^2*y(x)=5' ` 'y(x)' ` DESOLVE La solution trouvée est : {‘y(x) = (5*INT(EXP(xt^3/3),xt,x)+cC0)*1/EXP(x^3/3))’ }, c’est-à-dire :

Saisissez µµ pour simplifier le résultat. Utilisez ˜ @EDIT pour visualiser le résultat:

La transformation de Laplace d’une fonction (t) produit une fonction F(s) dans le domaine image qui peut être utilisée pour résoudre une équation différentielle linéaire impliquant f(t) grâce à des méthodes algébriques. Les

étapes à suivre dans cette application sont au nombre de trois : 1. 2. 3. Une transformation de Laplace inversée est utilisée pour convertir la fonction image trouvée à la deuxième étape 2 en la solution de l’équation différentielle f(t).

Transformation de Laplace et transformation inverse sur la calculatrice

La calculatrice propose les fonctions LAP et ILAP pour calculer, respectivement, la transformation de Laplace et la transformation de Laplace inverse d’une fonction f(VX), où VX est la variable indépendante par défaut du CAS (généralement X). La calculatrice retourne la transformation ou la transformation inverse sous forme de fonction de X. Les fonctions LAP et ILAP sont disponibles dans le menu CALC/DIFF. Si les exemples sont présentés en mode RPN, il est très facile de les traduire en mode ALG. Exemple 1 – Pour obtenir la définition de la transformation de Laplace, utilisez les touches suivantes : ‘f(X)’ ` LAP en mode RPN ou LAP(F(X)) en mode ALG. La calculatrice retourne le résultat suivant : (à gauche en RPN et à droite en ALG) :

Comparez ces expressions avec celle donnée précédemment dans la définition de la transformation de Laplace, c'est-à-dire :

Séries de Fourier pour une équation quadratique

Déterminez les coefficients c0, c1 et c2 pour la fonction g(t) = (t-1)2+(t-1) avec une période T = 2.

En utilisant la calculatrice en mode ALG, commencez par définir les f(t) et g(t) :

Ensuite, nous passons au sous-répertoire CASDIR dans la rubrique HOME pour changer la valeur de la variable PERIOD, c'est-à-dire : [Remarque :

Certaines des lignes ne seront pas visible dans les exercices affichés dans les dessins ci-dessous.] „ (maintenir) §`J @)CASDI `2 K @PERIOD `

Retournez au sous-répertoire où vous avez défini les fonctions f et g et calculez les coefficients. Paramétrez le CAS en mode complexe (voir Chapitre

Le sous-menu MTH/PROBABILITY.. est accessible par l’intermédiaire de la combinaison de touches „´. Une fois l’indicateur système 117 paramétré sur fenêtre de sélection CHOOSE-boxes, les options suivantes s’affichent dans le menu PROBABILITY.. :

Dans cette section, nous discutons des fonctions COMB, PERM, ! (Factorielle), et RAND.

Factorielles, combinaisons et permutations

La factorielle d’un entier n est définie comme : n! = n⋅ (n-1) ⋅ (n-2)…3⋅2⋅1. Par définition : 0! = 1.

Les factorielles sont utilisées dans le calcul de plusieurs permutations et combinaisons d’objets. Par exemple, le nombre de permutations de r objets d’un ensemble de n objets distincts est : n

[Remarque : Certaines des lignes ne seront pas visible dans les exercices affichés dans les dessins ci-dessous.]

La calculatrice fournit un générateur de nombres aléatoires qui retourne un nombre réel aléatoire uniformément distribué compris entre 0 et 1. Pour générer un nombre aléatoire avec votre calculatrice, utilisez la fonction RAND du sous-menu MTH/PROBABILITY.. L’écran suivant montre plusieurs nombres aléatoires produits en utilisant la fonction RAND.

(χ2) chi-carré et la distribution F. Les fonctions proposées par la calculatrice pour évaluer les probabilités pour ces distributions sont NDIST, UTPN, UTPT,

UTPC et UTPF. Ces fonctions sont décrites dans le menu MTH/PROBABILITY au début de ce chapitre. Pour voir ces fonctions, activez le menu „´ et sélectionnez l’option PROBABILITY :

La Distribution Normale

Les fonctions NDIST et UTPN s'appliquent à une distribution Normale avec une moyenne µ et une variance σ2. Pour calculer la valeur de la fonction de probabilité, ou pdf, de f(x) pour la distribution normale, utilisez la fonction NDIST(µ,σ2,x). Par exemple, vérifiez que pour une distribution normale NDIST(1.0,0.5,2.0) = 0.20755374. Cette fonction est utile pour tracer la distribution Normale pdf.

La calculatrice dispose d’une fonction UTPN qui calcule la distribution normale de partie supérieure, c'est-à-dire : UTPN(µ,σ2, x) = P(X>x) = 1 P(X<x), où P() représente la probabilité. Par exemple, vérifiez que pour une distribution normale avec µ = 1.0, σ2 = 0.5, UTPN(1.0,0.5,0.75) =

La distribution chi-carré

La distribution chi-carré (χ2) a un paramètre ν, connu comme le degré de liberté. La calculatrice recherche les valeurs de la partie supérieure

(cumulative) de la fonction de distribution pour la distribution χ2-en utilisant la fonction [UTPC], à partir de la valeur de x et du paramètre ν. La définition de cette fonction est donc UTPC(ν,x) = P(X>x) = 1 - P(X<x). Par exemple, UTPC(5, 2.5) = 0.776495…

La distribution de la fonction F La distribution F dispose de deux paramètres νN = numérateur degré de liberté et νD = dénominateur degré de liberté. La calculatrice recherche les valeurs de la partie supérieure de la fonction de distribution (cumulative) pour la distribution F, la fonction UTPF, à partir des paramètres νN et νD, et de la valeur de F. D’où la définition de cette fonction s’énonce comme suit :

UTPF(νN,νD,F) = P(ℑ >F) = 1 - P(ℑ <F). Par exemple, calculez UTPF(10,5, 2.5) Les applications numéro 1, 2 et 4 de la liste ci-dessus nécessitent que les données soient disponibles sous forme de colonnes de la matrice ΣDAT. Ceci peut être réalisé en saisissant les données en colonnes avec l’éditeur d’équation „², puis la fonction STOΣ pour enregistrer la matrice dans ΣDAT. Par exemple, saisissez les données suivantes en utilisant l’éditeur d’équation (voir les Chapitres 8 et 9 du présent guide) et enregistrez les données dans ΣDAT: 2.1 1.2 3.1 4.5 2.3 1.1 2.3 1.5 1.6 2.2 1.2 2.5. L’écran doit ressembler à ceci :

Notez la variable @£DAT figurant dans les touches menu.

Le formulaire présente une liste des données ΣDAT en indiquant que la colonne 1 est sélectionnée (il n’y a qu’une colonne dans le ΣDAT en cours d’utilisation). Vous pouvez vous déplacer dans le formulaire avec les flèches directionnelles ; appuyez sur la touche menu @CHK@ pour sélectionner les mesures (Mean, [moyenne] Standard Deviation [déviation standard] Variance [variance] Total number of data points [nombre total de points de données], Maximum and Minimum values [valeurs maximum et minimum] ) que vous souhaitez obtenir comme résultat de ce programme. Quand vous avez terminé, appuyez sur @@@OK@@. Les valeurs sélectionnées seront retenues dans une liste et étiquetées de façon appropriée sur l’écran de votre calculatrice. Par exemple :

Echantillon contre population

Les fonctions préprogrammées pour les statistiques à une variable utilisée cidessus peuvent être appliquées à une population finie en sélectionnant le Type: Population dans l’écran SINGLE-VARIABLE STATISTICS. La différence principale est constituée par le fait que les valeurs de variance et de déviation standard sont calculées en utilisant n dans le dénominateur de la variance plutôt que (n-1). Pour l’exemple ci-dessus, utilisez maintenant la

touche menu @CHOOS pour sélectionner population comme type et recalculez les mesures :

Ces informations indiquent que nos données vont de -9 à 9. Pour produire une distribution de fréquence, nous allons utiliser l’intervalle (-8, 8) en le divisant en 8 classes d’une largeur de 2 chacune. •

Sélectionnez le programme 2. Frequencies.. en utilisant ‚Ù˜

@@@OK@@@. Les données sont déjà chargées dans ΣDAT et l’option Col devrait conserver la valeur 1 puisque nous n’avons qu’une colonne dans ΣDAT.

Width) en 2, puis appuyez sur @@@OK@@@.

En utilisant le mode RPN, les résultats sont indiqués dans la pile sous forme de vecteur de colonne du niveau de pile 2 et d’un vecteur de ligne de deux composantes au niveau de pile 1. Le vecteur au niveau de pile 1 est le nombre de valeurs éloignées en dehors de l’intervalle pour lequel le calcul de fréquence a été effectué. Dans ce cas, nous obtenons les valeurs [14. 8.] indiquant qu’il y a, dans le vecteur ΣDAT, 14 valeurs inférieures à -8 et 8 supérieures à 8.

Appuyez sur ƒ pour supprimer le vecteur de valeurs éloignées de la pile. Le résultat restant est la calcul de fréquence des données.

Cela signifie qu’il y a 23 valeurs dans la classe [-8,-6], 22 dans [-6,-4], 22 dans [-4,-2], 17 dans [-2,0], 26 dans [0,2], 15 dans [2,4], 20 dans [4,6] et

33 dans [6,8]. Vous pouvez également vérifier qu’en additionnant toutes ces valeurs avec les valeurs éloignées, 14 et 8, indiquées ci-dessus, on obtient le nombre total d’éléments de l’échantillon, à savoir 200.

Adapter les données à une fonction y = f(x)

Le programme 3. Fit data.., disponible en tant qu’option numéro 3 du menu STAT, peut être utilisé pour adapter des fonctions linéaires, logarithmiques, exponentielles et des fonctions de puissance à des ensembles de données (x,y), stockés en colonnes de la matrice ΣDAT. Pour cette application, vous avez besoin de deux colonnes au moins dans votre variable ΣDAT. Par exemple, pour adapter une relation linéaire aux données présentées dans le tableau ci-dessous : x

2 Pour plus d’informations sur la fonction d’adaptation des données de la calculatrice, se référer au Chapitre 18 du guide de l’utilisateur.

Obtenir des statistiques de résumé additionnelles

L’application 4. Summary stats.. dans le menu STAT peut être utile dans certains calculs de statistique d’échantillon. Pour commencer, appuyez sur ‚Ù une fois de plus, avant de vous porter à la quatrième option en utilisant la flèche de direction vers le bas ˜ et cliquez sur @@@OK@@@. Le formulaire de saisie qui s’affiche contient les champs suivants : ΣDAT: X-Col, Y-Col:

la matrice contenant les données qui nous intéressent.

Ces options s’appliquent uniquement si vous avez plus de deux colonnes dans la matrice ΣDAT. Par défaut, la colonne x est la colonne 1 et la colonne y est la colonne 2. Si vous

Pour accéder à l’option ‚Ù˜˜˜@@@OK@@@

1. Z-INT: 1 µ.: Intervalle de confiance de l’échantillon simple pour la moyenne de la population µ, avec variance de population connue, ou pour de plus vastes échantillons à variance de population inconnue.

2. Z-INT: µ1−µ2.: Intervalle de confiance pour la différence des moyennes de population µ1- µ2, avec soit variances de population connues, soit variances de populations inconnues pour les grands échantillons. 3. Z-INT: 1 p.: Intervalle de confiance simple pour la proportion p pour de grands échantillons à variance de population inconnue. 4. Z-INT: p1− p2.: Intervalle de confiance pour la différence de deux proportions, p1-p2, pour de grands échantillons à variance de population inconnue. . 5. T-INT: 1 µ.: Intervalle de confiance de l’échantillon simple pour la moyenne de la population µ, pour de petits échantillons à variance de population inconnue. 6. T-INT: µ1−µ2.: Intervalle de confiance pour la différence des moyennes de population µ1- µ2, pour les petits échantillons à variance de population inconnue. Exemple 1 – Déterminez l’intervalle de confiance pour la moyenne d’une population si un échantillon de 60 éléments indique que la valeur de la moyenne de l’échantillon estx = 23.2 et sa déviation standard est s = 5.2. Utilisez α = 0.05. Le niveau de confiance est C = 1-α = 0.95.

Sélectionnez le cas 1 dans le menu présenté ci-dessus en appuyant sur @@@OK@@@.

Saisissez les valeurs requises dans le formulaire de saisie comme suit :

Appuyez sur @HELP pour faire s’afficher un écran expliquant la signification de l’intervalle de confiance en nombres aléatoires générés par une calculatrice.

Pour faire défiler l’écran qui s’affiche vers le bas, utilisez la flèche de direction vers le bas ˜. Appuyez sur @@@OK@@@ quand vous avez terminé la lecture de l’écran d’aide. Vous retournez à l’écran illustré ci-dessus. Pour calculer l’intervalle de confiance, appuyez sur @@@OK@@@. Le résultat qui s’affiche sur la calculatrice est le suivant :

Appuyez sur @GRAPH pour voir une représentation graphique des informations relatives à l’intervalle de confiance :

Le graphe montre la distribution standard normale pdf (probability density function), l’emplacement des points critiques, ±zα/2, la valeur moyenne (23.2) et les limites d’intervalle correspondantes (21.88424 et 24.51576).

Appuyez sur @TEXT pour retourner à l’écran de résultats précédent et/ou

cliquez sur @@@OK@@@ pour quitter l’environnement d’intervalle de confiance. Les résultats s’afficheront sous forme de liste sur l’écran de la calculatrice.

D’autres exemples de calculs d’intervalles de confiance sont présentés au Chapitre 18 du guide de l’utilisateur.

Test d’hypothèses

Une hypothèse est une déclaration faite au sujet d’une population (relative par exemple à sa moyenne). L’acceptation de cette hypothèse est basée sur un test statistique effectué sur un échantillon pris dans cette population. Les actions et prises de décision résultantes sont appelées tests d’hypothèse. La calculatrice propose des procédures de test d’hypothèse à l’application 5. Hypoth. tests.., à laquelle on peut accéder en utilisant ‚Ù—— @@@OK@@@. Comme pour le calcul des intervalles de confiance, présenté ci-dessus, ce programme propose 6 options :

Ces options sont interprétées de la même manière que pour les applications d’intervalle de confiance :

1. Z-Test: 1 µ.: Intervalle de confiance de l’échantillon simple pour la moyenne de la population µ, avec variance de population connue ou pour de grands échantillons à variance de population inconnue. 2. Z-Test: µ1−µ2.: Intervalle de confiance pour la différence des moyennes de population µ1- µ2, avec soit variances de population connues, soit variances de populations inconnues pour les grands échantillons. 3. Z-Test: 1 p.: Intervalle de confiance simple pour la proportion p pour de grands échantillons à variance de population inconnue.

6. T-Test: µ1−µ2.: Intervalle de confiance pour la différence des moyennes de population µ1- µ2, pour les petits échantillons à variance de population inconnue. Essayez de faire l’exercice suivant : Exemple 1 – Pour µ0 = 150, σ = 10, x = 158, n = 50, pour α = 0.05, testez l’hypothèse H0: µ = µ0 par rapport à l’hypothèse alternative H1: µ ≠ µ0. Appuyez sur ‚Ù—— @@@OK@@@ pour accéder à la fonction intervalle de confiance de la calculatrice. Cliquez sur @@@OK@@@ pour sélectionner l’option 1. ZTest: 1 µ. Saisissez les données suivantes et cliquez sur @@@OK@@@:

On vous demande ensuite de sélectionner l’hypothèse alternative :

Sélectionnez µ ≠ 150. Puis cliquez sur @@@OK@@@. Le résultat est :

Si l’indicateur système 117 est paramétré sur menus SOFT, le menu BASE affiche les entrées suivantes :

Avec ce format, il est évident que les entrées LOGIC, BIT et BYTE dans le menu BASE sont elles-mêmes des sous-menus. Vous pourrez trouver des informations détaillées à propos de ces fonctions dans le Chapitre 19 du guide de l’utilisateur de la calculatrice.

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Europe Cette section contient des informations qui expliquent comment la calculatrice graphique hp 48gII se conforme aux réglementations de certaines régions. Toute modification apportée à la calculatrice qui ne serait pas expressément approuvée par Hewlett-Packard pourrait annuler l’autorité à utiliser la 48gII dans ces régions. USA This calculator generates, uses, and can radiate radio frequency energy and may interfere with radio and television reception. The calculator complies with the limits for a Class B digital device, pursuant to Part 15 of the FCC Rules. These limits are designed to provide reasonable protection against harmful interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. In the unlikely event that there is interference to radio or television reception(which can be determined by turning the calculator off and on), the user is encouraged to try to correct the interference by one or more of the following measures: électriques et électroniques. La collecte et le recyclage de vos appareils mis au rebut indépendamment du reste des déchets contribue à la préservation des ressources naturelles et garantit que ces appareils seront recyclés dans le respect de la santé humaine et de l'environnement. Pour obtenir plus d'informations sur les centres de collecte et de recyclage des appareils mis au rebut, veuillez contacter les autorités locales de votre région, les services de collecte des ordures ménagères ou le magasin dans lequel vous avez acheté ce produit.