Retrouvez gratuitement la notice de l'appareil ILLUSTRATOR 10 ADOBE au format PDF.
Téléchargez la notice de votre Logiciel de conception graphique au format PDF gratuitement ! Retrouvez votre notice ILLUSTRATOR 10 - ADOBE et reprennez votre appareil électronique en main. Sur cette page sont publiés tous les documents nécessaires à l'utilisation de votre appareil ILLUSTRATOR 10 de la marque ADOBE.
PDF. Cette aide contient des informations sur tous les outils, les commandes et les caractéristiques de l’application à la fois pour Windows et Mac OS. Le format PDF permet de naviguer facilement dans l’aide en ligne et peut être utilisé par des lecteurs d’écran tiers compatibles avec Windows. L’aide peut également être imprimée pour être utilisée comme référence.
L’aide s’ouvre dans une fenêtre Acrobat avec le volet Signets activé. Si le volet Signets n’est pas à l’écran, sélectionnez Fenêtre > Afficher les signets. Vous pouvez également naviguer dans l’aide en utilisant la barre de navigation, l’index ou la commande Rechercher dans le document. La barre de navigation se trouve au sommet de chaque page. Cliquez sur Comment utiliser l’aide pour revenir à cette introduction. Cliquez sur Sommaire ou Index pour y accéder. Cliquez sur les flèches Page suivante ou Page précédente pour faire défiler les pages de manière séquentielle. Cliquez sur Page précédente pour revenir à la dernière page affichée. Vous pouvez également utiliser les flèches de navigation dans la barre d’outils Acrobat.
Le sommaire de l’aide s’affiche sous forme de signets dans le volet du même nom. Pour afficher les sous-rubriques, cliquez sur le signe plus en regard du signet. Chaque signet est un lien hypertexte permettant d’accéder à une section d’aide associée. Pour cela, cliquez sur le signet. La rubrique s’affiche dans le volet de droite et le signet apparaît alors en surbrillance. Vous pouvez activer ou désactiver la surbrillance à l’aide de l’option Mettre en surbrillance le signet actuel à partir du menu du volet des signets. Pour trouver une rubrique à l’aide du sommaire : 1 Cliquez sur Sommaire dans la barre de navigation au sommet ou au bas d’une page quelconque. 2 Cliquez sur une rubrique de la page Sommaire pour en afficher la première page. 3 Dans le volet Signets, développez la rubrique pour afficher les sous-rubriques. Pour trouver une rubrique à l’aide de l’index : 1 Cliquez sur Index dans la barre de navigation au sommet ou au bas d’une page quelconque. 2 Cliquez sur la lettre appropriée au sommet de la page.
4 Pour afficher plusieurs entrées, cliquez sur Page précédente pour revenir au même endroit dans l’index. Pour trouver une rubrique à l’aide de la commande Rechercher : 1 Sélectionnez Edition > Rechercher. 2 Entrez un mot ou une phrase dans la zone de saisie, puis cliquez sur OK. Acrobat recherche alors dans le document actif en commençant par la page à l’écran et met en surbrillance la première occurrence du mot ou de la phrase recherchée. 3 Pour poursuivre la recherche, sélectionnez Edition > Poursuivre la recherche.
L’affichage de l’aide à l’écran a été optimisé ; vous pouvez néanmoins imprimer les pages sélectionnées ou l’ensemble du fichier. Pour imprimer, sélectionnez Fichier > Imprimer ou cliquez sur l’icône d’imprimante dans la barre d’outils Acrobat.
Couleurs homogènes 191 Transparence, dégradés de couleurs et motifs 210 Utilisation de calques 236 Attributs d’aspect, styles et effets 250 Images bitmap 259 Manipulation du texte 272 Création de modèles pour les graphiques dynamiquement adaptés aux données 310 Préparation d’images pour le Web 318 Enregistrement et exportation 350 Impression 364 Séparation des couleurs 379 Automatisation des tâches 399 Utilisation de graphes 412 Raccourcis Macintosh 433 Raccourcis Windows 438 Informations légales 443 La première fois que vous démarrez Illustrator, la palette d’outils apparaît à gauche de l’écran. Elle regroupe l’ensemble des outils proposés par Illustrator pour créer, sélectionner et manipuler des objets. Dans la plupart des cas, le pointeur de la souris se transforme en une icône illustrant la fonction de l’outil sélectionné. Si, par exemple, vous choisissez l’outil Pinceau, le pointeur prend la forme d’un pinceau. En outre, tout pointeur d’outil de dessin peut, si vous le souhaitez, prendre la forme d’une croix pour vous permettre d’être encore plus précis lors de l’alignement ou de la manipulation d’un graphique complexe. Pour déplacer la palette d’outils : Faites glisser la palette d’outils en pointant sur sa barre supérieure. Pour afficher ou masquer la palette d’outils : Choisissez Fenêtre > Outils. Quand la palette d’outils est affichée, elle est cochée dans le menu. Pour afficher les outils masqués : 1 Cliquez sur un outil comportant des outils masqués dans la palette d’outils. Ces outils sont identifiés par un triangle situé en bas à droite de l’icône correspondante. 2 Lorsque la barre des outils masqués apparaît, maintenez le bouton de la souris enfoncé et faites glisser le pointeur sur le petit triangle situé à l’extrémité de la barre. Celle-ci se sépare de la palette d’outils. Pour fermer une barre d’outils détachée : Cliquez sur la case de fermeture. Pour changer le pointeur en croix : Procédez de l’une des façons suivantes : •
Vous pouvez afficher ou masquer des palettes à votre convenance au cours de votre travail.
(Mac OS). Vous avez toujours la possibilité d’ouvrir le menu d’une palette réduite.
Pour de meilleures performances, masquez toutes les palettes exceptées celles dont vous avez besoin.
L’outil Ellipse (L) dessine des cercles et des formes ovales.
L’outil Arrondi lisse les tracés de Bézier.
La palette Infos fournit des informations sur la zone recouverte par le pointeur et sur les outils sélectionnés. Selon le type d’outil utilisé, la palette Infos sert à mesurer la taille, la distance et l’angle de rotation. En général, lorsqu’un outil est actif, la palette Infos affiche les coordonnées x et y de la position du pointeur sur l’illustration, dans les unités de mesure que vous avez indiquées. L’unité de mesure utilisée est celle définie dans la boîte de dialogue Format de document ou la boîte de dialogue des préférences Unités et annulation. La palette Infos affiche également des informations colorimétriques sur le fond et le contour des objets sélectionnés, ainsi que le nom des motifs, des dégradés de couleurs ou des teintes appliquées à ces objets. Pour afficher la palette Infos : Choisissez Fenêtre > Informations. Selon l’outil ou la commande sélectionnée, la palette Infos affiche les informations suivantes : •
Lorsque les options sont affichées, elles fournissent les informations suivantes : •
1 Placez le pointeur sur le document ou un objet dans le document. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Si vous utilisez les fonctions de gestion des couleurs d’Illustrator, vous pouvez également afficher un aperçu en ligne de l’aspect des couleurs du document sur un type de moniteur ou un périphérique de sortie particulier (voir la section « Epreuve à l’écran des couleurs », page 203).
Vous pouvez ouvrir des fenêtres supplémentaires afin d’afficher plusieurs vues à la fois, et avoir ainsi la possibilité de basculer rapidement d’un mode d’affichage ou d’un facteur d’agrandissement à un autre. Vous pouvez, par exemple, définir une vue agrandie au maximum pour effectuer un travail de précision sur certains objets, et en définir une autre, plus réduite, pour disposer ces objets sur la page.
Le bouton gauche affiche l’illustration dans une fenêtre standard dotée d’une barre de menus dans la partie supérieure et de barres de défilement sur les côtés.
Pour fermer les fenêtres : Procédez de l’une des façons suivantes : •
Le nom des vues, accompagné des raccourcis clavier permettant d’accéder à celles-ci, apparaît au bas du menu Affichage. Pour afficher une vue, sélectionnez son nom. Il est possible de créer et de stocker jusqu’à 25 vues pour chaque document. Pour renommer ou supprimer une vue : 1 Choisissez Affichage > Vues. 2 Sélectionnez la vue à modifier, puis renommez-la ou cliquez sur Supprimer. Pour faire défiler la vue à l’aide de l’outil Main : 1 Sélectionnez l’outil Main
Adobe Illustrator définit la vue de façon à vous donner un aperçu de l’ensemble de l’illustration en couleur. Vous pouvez toutefois la définir de façon à ce que l’illustration se présente sous la forme de tracés uniquement, les attributs de dessin étant masqués. En affichant l’illustration sans les attributs de dessin, vous accélérez le rafraîchissement de l’écran lorsque vous travaillez sur des illustrations complexes. Pour afficher l’illustration en couleurs ou en mode de tracé : Choisissez une option d’affichage : •
« Utilisation du mode Aperçu en pixels », page 319).
Le mode Aperçu de la surimpression fournit un « aperçu à l’encre » qui simule approximativement la façon dont la fusion, la transparence et la surimpression apparaîtront sur une sortie aux couleurs séparées. Pour plus de détails sur la surimpression, voir la section « Etape 2 : sélection des options de surimpression pour les couleurs superposées », page 380. Pour prévisualiser la façon dont les couleurs vont se surimprimer et fusionner : Choisissez Affichage > Aperçu de la surimpression.
Les commandes et outils de zoom avant et de zoom arrière permettent respectivement d’agrandir et de réduire jusqu’à 64 fois l’affichage d’une partie d’un document. Le zoom n’agit pas sur la taille réelle des objets mais sur leur facteur d’agrandissement (voir la section « Mise à l’échelle », page 126). L’échelle d’agrandissement appliquée est affichée en haut et en bas à gauche de la fenêtre.
Procédez de l’une des façons suivantes : •
1 Sélectionnez l’outil Zoom avant
Pour afficher la palette Navigation : Choisissez Fenêtre > Navigation. Remarque : la palette Navigation met parfois du temps à s’afficher lorsque le document contient de nombreuses illustrations. Pour n’afficher que les tracés figurant à l’intérieur du plan de travail : 1 Choisissez Fenêtre > Navigation. 2 Choisissez Afficher le plan de travail seul dans le menu de la palette Navigation. Tous les objets figurant en dehors du plan de travail sont supprimés de la vignette d’aperçu de la palette Navigation (voir la section « Affichage des illustrations », page 13). Pour augmenter ou réduire la vue à l’aide de la palette Navigation : Procédez de l’une des façons suivantes : •
Navigation. Faites glisser la zone d’aperçu, qui représente les limites de la fenêtre d’illustration.
2 Choisissez une couleur: •
Les images importées depuis d’autres applications peuvent ralentir la prévisualisation ou l’impression dans Illustrator. Dans ce cas, désactivez l’option Afficher les interactions de la transparence dans la boîte de dialogue d’options de la palette Liens. Lorsque vous devez travailler vite, il est conseillé de désactiver l’aperçu des images importées. Vous pouvez ensuite réactiver cette fonction à votre convenance, par exemple pour afficher l’illustration terminée. Pour savoir comment les images EPS importées vont apparaître : 1 Choisissez Edition > Préférences > Fichiers et presse-papiers. 2 Sélectionnez l’option Utiliser une vignette basse résolution pour les fichiers EPS liés pour afficher une vignette bitmap de l’image importée. Désélectionnez cette option pour afficher une image vectorielle haute résolution. Pour afficher les images EPS importées en mode Tracés : 1 Choisissez Fichier > Format de document. Choisissez Plan de travail dans le menu situé en haut à gauche de la boîte de dialogue Format de document. 2 Sélectionnez Images en tracés pour obtenir un aperçu des images importées en mode Tracés, puis cliquez sur OK (voir la section « Ouverture et importation d’illustrations », page 35). Pour afficher les interactions de la transparence avec les images liées : 1 Si nécessaire, choisissez Fenêtre > Liens. 2 Dans le menu de la palette Liens, choisissez Options de palette. 3 Sélectionnez Afficher les interactions de la transparence, puis cliquez sur OK.
Photoshop. Il est en outre possible d’utiliser tout module externe conçu pour Photoshop ou Illustrator par des développeurs tiers. Afin de ne pas cumuler la copie des filtres des modules externes entre les deux programmes, créez un raccourci (Windows) ou un alias (Mac OS) pour les filtres externes Photoshop dans le dossier des modules externes d’Illustrator. Notez qu’Illustrator 10 ne prend pas en charge les modules externes de Photoshop 6.0. Pour indiquer l’emplacement des modules externes : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Pour installer un module externe Adobe Systems : Utilisez le programme d’installation du module externe, s’il existe. Sinon, faites glisser une copie du module vers le dossier des modules externes d’Adobe Illustrator. Pour installer un module externe d’un développeur tiers : Suivez les instructions d’installation fournies avec le module en question.
L’architecture ouverte du programme Adobe Illustrator permet à des développeurs indépendants d’élaborer des fonctions accessibles à partir d’Adobe Illustrator. Si vous souhaitez développer des modules externes compatibles avec Adobe Illustrator, consultez le site Adobe Systems à l’adresse http://www.adobe.com.
Illustrator propose un ensemble de raccourcis clavier standard correspondant aux commandes et aux outils. Illustrator est également fourni avec d’autres jeux de raccourcis clavier, notamment ceux des versions précédentes et d’autres programmes.
Raccourcis clavier. 3 Choisissez un type de raccourci (Commandes de menu ou Outils) dans le menu situé au-dessus de la zone d’affichage des raccourcis. 4 Choisissez parmi les options suivantes : •
Enregistrer. Vous pouvez ensuite utiliser ce fichier texte pour imprimer un exemplaire de vos raccourcis clavier.
1 Choisissez Edition >Raccourcis clavier. 2 Choisissez un jeu de raccourcis dans le menu Ensemble en haut de la boîte de dialogue Raccourcis clavier. 3 Choisissez un type de raccourci (Commandes de menu ou Outils) dans le menu situé au-dessus de la zone d’affichage des raccourcis. 4 Dans la colonne Raccourci de la liste, sélectionnez le raccourci que vous voulez modifier (les raccourcis des palettes se trouvent à la fin de la liste). 5 Entrez un nouveau raccourci. Lorsque vous commencez à apporter des modifications, le nom dans le menu Ensemble est remplacé par [Personnalisé]. Si le raccourci choisi est déjà attribué à une autre commande ou un autre outil dans cet ensemble, un message vous en informe. Dans ce cas, cliquez hors de la sélection pour associer le raccourci à la nouvelle commande ou au nouvel outil et effacer le raccourci déjà affecté. Une fois le raccourci réaffecté, vous pouvez cliquer soit sur Annuler pour annuler la modification, soit sur Atteindre pour attribuer un nouveau raccourci à l’autre commande ou outil. 6 Dans la colonne Symbole, entrez le symbole qui apparaîtra dans le menu ou l’info-bulle de la commande ou de l’outil. Vous pouvez utiliser n’importe lequel des caractères autorisés dans la colonne Raccourci. 7 Une fois les raccourcis et symboles modifiés, procédez de l’une des façons suivantes : •
Enregistrer, puis enregistrez les raccourcis dans un fichier. Entrez le nom du nouvel ensemble dans la zone Nom et cliquez sur OK. Le nouvel ensemble apparaîtra dans le menu situé sous ce nouveau nom.
1 Dans la boîte de dialogue Raccourcis clavier, sélectionnez le nom de la commande ou de l’outil dont vous souhaitez supprimer le raccourci et le symbole. 2 Cliquez sur Effacer. Pour supprimer tout un ensemble de raccourcis : 1 Choisissez Edition > Raccourcis clavier. 2 Dans le menu Ensemble, choisissez l’ensemble de raccourcis que vous voulez supprimer. 3 Cliquez sur Supprimer puis sur OK pour quitter la boîte de dialogue.
De nombreux paramètres du programme sont enregistrés dans le fichier des préférences d’Adobe Illustrator : •
Windows\Application Data\Adobe\Adobe Illustrator 10 (Windows 98 et ME), dans le dossier WinNT\Profiles\nom de l’utilisateur\Application Data\Adobe Illustrator 10 (Windows NT) ou dans le dossier Documents et paramètres\nom de l’utilisateur\Application Data\Adobe\Adobe Illustrator 10 (Windows 2000 et XP).
Pour plus de détails sur une option de préférence spécifique ou sur un jeu d’options, reportez-vous à l’index. Pour ouvrir la boîte de dialogue Préférences : Choisissez un volet de préférences dans le sous-menu Edition > Préférences ou dans le menu Illustrator 10 (Mac OS X seulement). Pour passer à un autre volet de préférences : Choisissez une option dans le menu situé en haut à gauche de la boîte de dialogue. Vous pouvez également cliquer sur Suivant ou Précédent pour afficher respectivement le volet suivant ou précédent.
Pour identifier un outil ou une commande : Placez le pointeur sur l’outil ou la commande et attendez. Une info-bulle contenant le nom et le raccourci clavier (le cas échéant) de l’élément s’affiche. Si les info-bulles ne s’affichent pas, il est possible que cette option d’affichage soit désactivée dans les préférences. Pour afficher les info-bulles : 1 Choisissez Edition > Préférences > Générales (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Générales (Mac OS X). 2 Sélectionnez Afficher les info-bulles et cliquez sur OK. Remarque : les info-bulles n’apparaissent pas dans la plupart des boîtes de dialogue.
Si votre ordinateur est équipé d’une connexion à Internet, vous pouvez accéder à d’autres ressources d’apprentissage Illustrator sur la page d’accueil Adobe Systems sur le Web. Ces ressources sont mises à jour régulièrement. Pour accéder à la page d’accueil Adobe de votre région : 1 Ouvrez la page d’accueil Adobe américaine (www.adobe.com). 2 Dans le menu des sites Adobe, choisissez votre emplacement géographique. La page d’accueil Adobe a été adaptée pour différentes régions.
Cette section permet aux utilisateurs enregistrés d’accéder aux informations les plus récentes disponibles sur le Web. Vous y trouverez les éléments suivants : •
Pour utiliser Adobe Online : 1 Dans Illustrator, choisissez Aide > Adobe Online ou cliquez sur l’icône en haut de la palette d’outils.
5 Pour afficher une description du fichier, placez le pointeur de la souris sur un nom de fichier et lisez sa description dans la section Description des éléments. 6 Pour savoir où le fichier sera installé s’il est téléchargé, sélectionnez un fichier et lisez son emplacement dans la section Emplacement de téléchargement. Pour changer d’emplacement, cliquez sur l’icône de dossier. 7 Pour télécharger un fichier, sélectionnez-le et cliquez sur Télécharger. 8 Pour fermer la boîte de dialogue Eléments à télécharger, cliquez sur Fermer. Pour afficher les communiqués de presse et les annonces Adobe : Choisissez Aide > Nouveautés sur Adobe. La page Point presse du site Web Adobe s’ouvre. Pour enregistrer votre copie d’Illustrator : 1 Choisissez Aide > Enregistrement. 2 Sélectionnez une option d’enregistrement, puis cliquez sur Continuer ; suivez ensuite les instructions à l’écran. Pour ouvrir d’autres pages du site Web Adobe : Choisissez Aide > Liens Adobe, puis choisissez une rubrique dans le menu. La page Web associée s’ouvre.
Il existe d’autres documents didacticiels, mais ils ne sont pas fournis avec l’application.
Suite à l’enregistrement de votre produit, vous bénéficiez de 90 jours d’assistance technique à partir de la date de votre premier appel. Ces conditions peuvent varier selon votre pays de résidence. Pour plus de détails, reportez-vous à la carte d’assistance technique fournie avec la documentation Illustrator.
Adobe Online vous permet de consulter les questions souvent posées ainsi que les informations de dépannage permettant de résoudre les problèmes fréquents.
Adobe Systems propose différentes formes d’assistance technique automatisée : • Dans Illustrator, le type de l’illustration peut être déterminant pour votre productivité. Certains formats de fichier, par exemple, ne gèrent que les images bitmap alors que d’autres n’acceptent que les graphiques vectoriels. Les types de graphiques sont particulièrement importants lors de l’importation ou de l’exportation d’images vers ou depuis Illustrator (les images bitmap liées, par exemple, ne sont pas modifiables dans Illustrator). Les formats graphiques ont également une incidence sur la façon dont les commandes et les filtres sont appliqués aux images. Ainsi, dans Illustrator, certains filtres ne fonctionnent qu’avec des images bitmap.
Les programmes de dessin, tels qu’Adobe Illustrator, créent des images vectorielles constituées de droites et de courbes définies par des éléments mathématiques appelés vecteurs. Ceux-ci portent les caractéristiques géométriques des graphiques. Par exemple, un pneu de bicyclette dans un graphique vectoriel est constitué d’une définition mathématique d’un cercle tracé avec un certain rayon, défini à une position donnée et rempli d’une couleur spécifique. Vous pouvez déplacer, redimensionner ou modifier la couleur du pneu sans que la qualité du graphique en pâtisse. Les images vectorielles sont indépendantes de la résolution. Autrement dit, elles sont automatiquement mises à l’échelle pour être imprimées de façon nette et précise sur n’importe quel périphérique de sortie, quelle que soit la résolution. A ce titre, elles conviennent parfaitement au texte (en particulier de corps de petite taille) et aux caractères gras, comme ceux des logos, qui nécessitent des traits nets et clairs faciles à dimensionner. Dans la mesure où les images s’affichent sur les moniteurs au moyen d’un quadrillage de points, les images vectorielles tout comme les images bitmap s’affichent en pixels.
Dimensions en pixels Nombre de pixels sur la hauteur et la largeur d’une image bitmap. Les dimensions en pixels, la taille et le réglage du moniteur déterminent la taille d’affichage d’une image à l’écran. La taille d’une image est proportionnelle à ses dimensions en pixels. Un moniteur 21 pouces standard permet d’afficher 1 152 pixels à l’horizontale et 870 pixels à la verticale. Une image possédant le même nombre de pixels tient sur ce petit écran.
Dans le cas d’images en ligne, il suffit que la résolution corresponde à celle du moniteur (72 ou 96 ppp, en général). Toutefois, si la résolution utilisée pour l’image imprimée est trop faible, il se produit un effet de pixellisation : impression dans laquelle les pixels sont visibles à l’œil nu et produisent des contours crénelés. Une résolution trop élevée (pixels plus petits que ce que le périphérique peut produire) augmente la taille du fichier et ralentit l’impression de l’image. Remarque : le volet Impression et exportation de la boîte de dialogue Format de document vous permet de définir la résolution de sortie des images vectorielles. Dans Illustrator, la résolution de sortie fait référence au nombre de segments linéaires que l’interpréteur PostScript® utilise pour reproduire une courbe ; il ne s’agit pas ici de la résolution de l’image (voir la section « Modification de la résolution de sortie du tracé », page 370). Résolution d’affichage Nombre de pixels ou de points affichés par unité de longueur sur le moniteur. Cette résolution est, en général, mesurée en points par pouce (ppp). La résolution d’affichage est fonction de la taille du moniteur et de son réglage en pixels. Un moniteur PC ou Mac OS peut aller de 60 à 133 ppp. La maîtrise de cette notion permet de comprendre pourquoi la taille d’affichage d’une image diffère souvent de sa taille d’impression. Résolution d’impression Nombre de points d’encre par pouce (ppp) produits par une photocomposeuse ou une imprimante laser. Pour obtenir de bons résultats, utilisez une résolution d’image proportionnelle à la résolution d’impression, mais non identique. La plupart des imprimantes laser ont des résolutions de sortie comprises entre 600 et 1 200 ppp et donnent de bons résultats avec des images réglées entre 72 et 185 ppp. Les photocomposeuses haut de gamme peuvent imprimer à 1 200 ppp ou plus, et sont très efficaces avec les images réglées entre 200 et 350 ppp. Linéature Nombre de points d’impression ou de cellules de demi-teintes par pouce, utilisé pour imprimer des images à niveaux de gris ou des séparations de couleur. Egalement appelée trame, la linéature est exprimée en lignes par pouce (lpp) ou lignes de cellules par pouce dans une trame de demi-teintes.
Remarque : certaines photocomposeuses et imprimantes laser à 600 ppp utilisent des technologies de tramage autres que la similigravure. Si vous imprimez une image sur une imprimante sans demi-teintes, adressez-vous à votre prestataire de services ou consultez la documentation livrée avec l’imprimante pour connaître les résolutions d’image recommandées.
La zone de travail d’Adobe Illustrator occupe la surface totale de la fenêtre d’illustration. Elle est donc plus étendue que la page imprimable contenant votre illustration. Les surfaces imprimables et non imprimables sont représentées par une série de lignes en pointillés et continues situées entre la bordure extérieure de la fenêtre et la surface imprimable de la page. Surface imprimable Zone délimitée par les lignes en pointillés intérieures représentant la portion de page sur laquelle l’imprimante sélectionnée peut imprimer. La plupart des imprimantes ne peuvent pas imprimer jusqu’au bord du papier. Surface non imprimable Zone située entre deux rectangles en pointillés représentant toute marge non imprimable de la page. Bord de la page Zone définie par les lignes en pointillés extérieures. Plan de travail Zone délimitée par des lignes continues représentant la surface totale d’impression d’une illustration. Par défaut, le plan de travail a la même taille que la page, à cette différence qu’il peut être agrandi ou réduit. Vous pouvez afficher ou masquer le plan de travail. Surface de travail Zone située en dehors du plan de travail s’étendant jusqu’au bord de la fenêtre carrée de 576,5 cm de côté. Elle représente un espace dans lequel vous pouvez créer, éditer et stocker les éléments d’une illustration avant de les amener sur le plan de travail. Les objets placés dans cette zone sont visibles à l’écran, mais ne s’impriment pas.
Pour ouvrir un nouveau fichier : 1 Choisissez Fichier > Nouveau, puis entrez le nom du fichier dans la zone de texte Nom. 2 Sélectionnez le mode colorimétrique CMJN ou RVB (voir la section « Modes de couleur et modèles colorimétriques », page 166). 3 Entrez, si nécessaire, la hauteur et la largeur du plan de travail. Pour créer un nouveau document sans ouvrir la boîte de dialogue Nouveau document, appuyez simultanément sur les touches Ctrl+Alt+N (Windows) ou Commande+Option+N (Mac OS). Le nouveau document sans titre reprend les derniers paramètres utilisés. Pour ouvrir un fichier existant : 1 Choisissez Fichier > Ouvrir. 2 Sélectionnez le nom du fichier à ouvrir, puis cliquez sur Ouvrir. Pour fermer un fichier et quitter Illustrator : 1 Choisissez Fichier > Quitter. 2 Si le fichier n’a pas encore été enregistré ni nommé, la boîte de dialogue Enregistrer apparaît. Pour enregistrer le fichier, entrez son nom dans la zone de texte Nom, puis cliquez sur OK. Pour afficher ou masquer le plan de travail : Pour afficher le plan de travail, choisissez Affichage > Afficher le plan de travail et, pour le masquer, choisissez Affichage > Masquer le plan de travail. Pour modifier le format du plan de travail : 1 Choisissez Fichier > Format de document. Choisissez ensuite Plan de travail dans le menu déroulant en haut à gauche de la boîte de dialogue Format de document. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Choisissez Fichier > Format d’impression (Windows) ou Fichier > Format de page (Mac OS), puis sélectionnez un type de page dans la boîte de dialogue. Remarque : la zone imprimable et le format de page importent peu lorsque vous imprimez sur des photocomposeuses prenant en charge des supports grand format. En règle générale, les photocomposeuses peuvent imprimer sur la surface complète de la page. Le format de page utilisé par celles-ci pouvant être supérieur à celui spécifié dans Illustrator, vous avez ainsi la possibilité d’imprimer des fonds perdus, par exemple, qui débordent de la page. Pour modifier la couleur de la page : 1 Choisissez Fichier > Format de document. 2 Sélectionnez Transparence dans le menu déroulant. 3 Sélectionnez Simuler le papier, puis cliquez sur le nuancier de premier plan et choisissez une couleur dans le sélecteur de couleurs. 4 Cliquez sur OK.
Les dimensions du plan de travail ne correspondent pas nécessairement aux formats de papier utilisés par les imprimantes. De ce fait, lors de l’impression, le programme scinde le plan de travail en un ou plusieurs rectangles correspondant au format de page accepté par l’imprimante. Cette technique est appelée juxtaposition. La juxtaposition est également utilisée lorsque vous configurez votre fichier pour un affichage et une impression multipages. Vous pouvez, en outre, recadrer la surface imprimable de la page pour vérifier la façon dont l’illustration sera imprimée.
Lorsque vous travaillez sur une illustration juxtaposée, vous devez tenir compte de la grille de la page et des dimensions totales du plan de travail. Si, par exemple, le graphique est réparti sur six pages, une partie sera imprimée sur une feuille de papier distincte correspondant à la page 6. Si vous demandez l’impression des pages 1 à 5, la partie de l’illustration située sur la page 6 ne sera pas imprimée. Si vous avez défini un format d’affichage et d’impression multipages, le fichier est décomposé en pages numérotées de gauche à droite et de haut en bas à partir de 1. La première page est toujours la page 1, cette valeur n’étant pas modifiable dans Adobe Illustrator. Les numéros de page s’affichent à titre de référence mais ne s’impriment pas. Vous pouvez imprimer la totalité des pages ou seulement celles spécifiées.
Choisissez Affichage > Afficher les limites de page ou Affichage > Masquer les limites de page. Pour modifier les options de juxtaposition des pages : 1 Choisissez Fichier > Format de document. Choisissez ensuite Plan de travail dans le menu déroulant en haut à gauche de la boîte de dialogue Format de document. 2 Choisissez l’une des options suivantes : •
Sélectionnez l’option Zones juxtaposées pour afficher et imprimer une seule illustration dépassant le format de page. Vous pouvez, par exemple, utiliser cette option pour imprimer sur plusieurs feuilles standard les illustrations d’une affiche, à titre de contrôle final.
L’application imprime parfois des pages blanches si l’illustration est juxtaposée de façon à ce que le cadre de sélection d’édition croise les pages qui ne contiennent aucune illustration. Le cadre de sélection est une bordure définissant les limites de l’illustration, qui permet de la déplacer et de la transformer. Pour de plus amples informations sur la modification d’une image à l’aide du cadre de sélection, voir la section « Utilisation du cadre de sélection », page 109.
Le recadrage de la page est possible quel que soit le mode d’affichage sélectionné. Pour procéder plus simplement, choisissez Affichage > Taille écran. Vous pourrez ainsi voir la totalité de l’illustration pendant que vous recadrez les pages. Pour recadrer une page à l’aide de l’outil Page : 1 Sélectionnez l’outil Page . Le pointeur prend la forme d’une croix en pointillés lorsqu’il se trouve dans la fenêtre active. 2 Faites glisser la page jusqu’à son nouvel emplacement. Au fur et à mesure du déplacement du pointeur, l’outil Page réagit comme si vous déplaciez la page depuis le coin inférieur gauche. Deux rectangles gris s’affichent. Le rectangle extérieur représente la page, tandis que le rectangle intérieur délimite la zone imprimable. Remarque : vous pouvez déplacer la page en tout point du plan de travail. Toutefois, les parties qui débordent de la zone imprimable ne s’impriment pas. Pour recadrer une illustration en la déplaçant dans la zone imprimable : 1 Déverrouillez les objets, s’il y a lieu, et affichez ceux qui sont masqués (voir les sections « Verrouillage et masquage d’objets », page 123, « Verrouillage des illustrations », page 247 et « Masquage ou affichage des illustrations », page 246). 2 Cliquez sur l’outil Sélection . 3 Choisissez Sélection > Tout. Faites glisser l’illustration jusqu’à son nouvel emplacement à l’intérieur de la zone d’impression.
Adobe Photoshop, par exemple, ce profil est abandonné lorsque l’image est importée dans Illustrator.
également être importées dans des fichiers Illustrator, conformément aux instructions de la section « Importation de fichiers EPS et PDF dans Illustrator », page 38. Pour ouvrir un fichier créé dans une autre application : 1 Choisissez Fichier > Ouvrir. 2 Recherchez le fichier à ouvrir et sélectionnez-le. Si vous ne le trouvez pas, cela signifie qu’il est enregistré dans un format non reconnu par Illustrator. Pour obtenir la liste complète des formats de fichier acceptés, voir la section « Image importée », page 33. 3 Cliquez sur Ouvrir. Remarque : si vous ouvrez un fichier EPS contenant des polices non installées sur votre système, celles-ci seront automatiquement remplacées à l’ouverture et à l’impression. Pour ouvrir un fichier utilisé récemment : Choisissez Fichier > Ouvrir les fichiers récents, puis sélectionnez le nom du fichier dans la liste.
Lors de l’ouverture d’un fichier Photoshop dans Illustrator, vous pouvez conserver les masques, les modes de fusion et la transparence, et convertir les calques en objets Illustrator indépendants. Lors de l’exportation d’un fichier Illustrator au format Photoshop, vous pouvez conserver les calques, les masques d’opacité, la transparence (y compris les modes de fusion), les tranches, les images réactives, les formes composées et le texte modifiable (voir la section « Exportation d’une illustration au format Photoshop », page 356).
1 Choisissez Fichier > Ouvrir. 2 Recherchez un fichier Photoshop, sélectionnez-le et cliquez sur Ouvrir. 3 Dans la boîte de dialogue Importation Photoshop, choisissez une méthode pour importer les calques Photoshop dans Illustrator : •
Illustrator un seul calque qui contient les objets correspondant à chaque calque ou tracé d’écrêtage Photoshop (Illustrator n’importe qu’un tracé d’écrêtage par fichier Photoshop). Si le document Photoshop contient des ensembles de calques, vous pouvez créer des sous-calques correspondants. Les masques d’opacité appliqués aux calques Photoshop s’affichent dans la palette Transparence lorsque vous sélectionnez l’objet ou le sous-calque correspondant.
Fusionner les calques Photoshop en une seule image. •
Par défaut, l’option Lien est activée dans la boîte de dialogue Importer. Si vous la désactivez, l’illustration est incorporée au fichier Adobe Illustrator, ce qui augmente la taille du fichier. La palette Liens vous permet d’identifier, de sélectionner, de gérer et de mettre à jour les objets de l’illustration Illustrator qui sont liés aux fichiers externes (voir la section « Gestion des images liées et incorporées », page 40). Les images bitmap importées sont modifiables à l’aide des outils de transformation et des filtres d’images, les images vectorielles importées étant converties en tracés Illustrator (images incorporées seulement). Si vous importez un fichier Photoshop et désélectionnez l’option Lien, la boîte de dialogue Importation Photoshop s’affiche. Pour plus de détails sur les options de la boîte de dialogue Importation Photoshop, voir la section « Ouverture de fichiers Photoshop dans Illustrator », page 36. Remarque : n’importez pas de fichiers EPS contenant des objets filet ou des objets transparents s’ils ont été créés dans une application autre qu’Illustrator. Au lieu de cela, ouvrez le fichier EPS, copiez tous les objets, puis collez-les dans Illustrator. Pour importer et lier des fichiers créés dans d’autres applications : 1 Ouvrez le fichier Illustrator dans lequel vous souhaitez importer les illustrations. 2 Choisissez Fichier > Importer. 3 Recherchez le fichier à importer et sélectionnez-le. Si vous ne le trouvez pas, cela signifie qu’il est enregistré dans un format non reconnu par Illustrator. 4 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Vous pouvez importer des fichiers PDF et EPS à l’aide des commandes suivantes :
2 Sélectionnez le fichier à ouvrir et cliquez sur Ouvrir. Si vous ne le trouvez pas, choisissez Tous les formats (Windows) ou Tous les documents (Mac OS) dans le menu Type. Pour importer une illustration PDF ou EPS dans un fichier Adobe Illustrator : 1 Ouvrez le fichier Adobe Illustrator dans lequel vous souhaitez importer l’illustration. 2 Choisissez Fichier > Importer, sélectionnez le fichier, puis cliquez sur Importer. L’importation de fichiers EPS ou PDF dans Illustrator à l’aide de l’option Lien, sélectionnée dans la boîte de dialogue Importer, ne vous permet pas de modifier l’objet lié dans le fichier Illustrator. Pour convertir les éléments d’un fichier EPS ou PDF en objets Illustrator modifiables, désactivez l’option Lien dans la boîte de dialogue Importer. Le fichier étant alors incorporé, vous pouvez modifier chaque élément de l’illustration de façon indépendante (voir la section « Edition des illustrations contenues dans les fichiers liés », page 44). 3 Si vous importez une page d’un fichier PDF qui en contient plusieurs, sélectionnez la page souhaitée, puis cliquez sur OK. 4 Recadrez l’illustration importée à votre convenance. Important : si vous importez une couleur EPS portant le même nom qu’une couleur utilisée dans votre document, mais dont la définition est différente, Illustrator affiche un message d’alerte. Choisissez Utiliser la couleur du fichier lié pour remplacer la couleur dans votre document par la couleur EPS du fichier lié. Tous les objets utilisant cette couleur dans votre document sont mis à jour en conséquence. Choisissez Utiliser la couleur du document pour conserver la nuance et résoudre les conflits colorimétriques en utilisant la couleur du document. Il est impossible de modifier l’aperçu du fichier EPS. Bien que l’aperçu risque d’être erroné, l’impression sera correcte. Cochez l’option Appliquer globalement afin de résoudre tous les conflits de couleurs en utilisant la définition du document ou celle du fichier lié, selon l’option précédemment choisie.
Si un fichier importé avec l’option Lien activée n’a pas été enregistré avec un aperçu d’image dans l’application d’origine, l’aperçu ne sera pas visible dans Adobe Illustrator. Au lieu de cela, un cadre barré aux dimensions de l’illustration s’affiche à la place, au centre de la fenêtre active, devant tous les autres objets graphiques du fichier, et est sélectionné. Si, dans l’application d’origine, un aperçu de l’image est enregistré conjointement au fichier, vous pouvez l’afficher en mode Aperçu ou Tracés.
Remarque : les images importées possédant les caractéristiques appropriées s’affichent toujours en mode Aperçu, que l’option Images en tracés soit sélectionnée ou non.
La palette Liens vous permet d’identifier, de sélectionner, de gérer, de mettre à jour et de remplacer des images liées à des fichiers externes ou des images incorporées au fichier Illustrator. Par ailleurs, vous pouvez déterminer si le lien d’une image est altéré ou manquant, obtenir des informations sur les caractéristiques de l’image incorporée ou liée et ouvrir l’application et le fichier d’origine d’une image liée pour la modifier. Si votre document gère les couleurs, les images EPS couleur incorporées qui en font partie seront imprimées correctement. En revanche, la gestion des couleurs des images liées n’est pas assurée, même si cette fonction est activée pour le reste du document (voir la section « A propos de la gestion des couleurs », page 191). Important : lorsque vous imprimez un document Illustrator contenant des images EPS incorporées, un message d’avertissement peut s’afficher. Si l’application ne trouve pas l’image EPS d’origine, vous serez invité à l’extraire. Sélectionnez l’option Extraire dans la boîte de dialogue. L’image est alors placée dans le même répertoire que le document actif. Même si le fichier incorporé n’est pas prévisualisé dans le document, il s’imprimera correctement.
Vous pouvez définir une préférence qui détermine la façon dont les images liées seront mises à jour lors de la modification des fichiers originaux. Pour définir le mode de mise à jour des liens : 1 Choisissez Edition > Préférences > Fichiers et presse-papiers (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Fichiers et presse-papiers (Mac OS X). 2 Choisissez une méthode de mise à jour dans le menu déroulant Mettre à jour les liens. •
1 Choisissez Edition > Préférences > Fichiers et presse-papiers (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Fichiers et presse-papiers (Mac OS X). 2 Sélectionnez Utiliser une vignette basse résolution pour les fichiers EPS liés.
Toutes les images liées ou incorporées du fichier sont répertoriées dans la palette Liens. Les images liées dont les originaux ont été modifiés depuis l’importation (sans mise à jour) sont identifiées par une icône en forme de point d’exclamation . Les images liées dont les fichiers originaux sont manquants sont identifiées par une icône d’arrêt . Vous pouvez utiliser la palette Liens pour convertir rapidement des images liées en images incorporées, à l’aide de la commande Incorporer l’image. Pour afficher la palette Liens : Choisissez Fenêtre > Liens. Chaque image liée ou incorporée est identifiée par son nom et par une vignette. Pour sélectionner un ou plusieurs liens : Choisissez l’une des options suivantes : •
Pour afficher des informations sur le lien : Procédez de l’une des façons suivantes : •
2 Procédez à l’une des sélections suivantes : •
Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
2 Choisissez l’une des options suivantes pour actualiser le lien avec la dernière version du fichier d’origine : •
Vous pouvez configurer une mise à jour automatique des liens dans les préférences (voir la section « Mise à jour des liens », page 40).
1 Sélectionnez une image liée dans la palette Liens. 2 Choisissez Incorporer l’image dans le menu de la palette Liens.
Vous pouvez utiliser la palette Liens pour remplacer une image liée par une autre. Par défaut, la nouvelle image adopte la taille, la position et l’état de transformation de l’image liée d’origine. Dans la boîte de dialogue Options de positionnement, vous pouvez changer les options de positionnement de tout lien importé ou remplacé. Vous pouvez, par exemple, indiquer que la nouvelle image réinitialise le cadre de sélection de l’image originale, afin que la forme et l’alignement de la nouvelle image ne soient pas modifiés. Pour remplacer un lien par une nouvelle image liée : 1 Sélectionnez un lien dans la palette Liens. 2 Procédez à l’une des sélections suivantes : •
Pour changer le positionnement de l’image liée : 1 Choisissez Options de positionnement dans le menu de la palette Liens. 2 Choisissez l’une des options suivantes dans le menu déroulant Conserver : •
Vous pouvez modifier la présentation des liens dans la palette Liens à l’aide des commandes du menu associé. La palette affiche les icônes ou les vignettes des liens, en différentes tailles. Vous pouvez les trier de manière à n’afficher que les liens manquants ou altérés dans le fichier d’origine ou les liens modifiés depuis la dernière mise à jour. Pour modifier les icônes ou les vignettes de liens : 1 Choisissez Options de palette dans le menu de la palette Liens. 2 Dans la boîte de dialogue Options de palette, sélectionnez le type d’icône ou de vignette à afficher. 3 Sélectionnez l’option Afficher les interactions de transparence si vous voulez contrôler l’interaction des objets transparents avec les objets opaques. Remarque : si vous sélectionnez l’option Afficher les interactions de transparence, cela risque de ralentir les performances. Pour trier les liens par nom, type ou état : 1 Sélectionnez tout ou partie des liens à trier dans la palette Liens. 2 Dans le menu de la palette Liens, choisissez l’une des options de tri suivantes pour personnaliser l’affichage : •
Il est intéressant de noter que, si vous remplacez une image liée par une autre, ses propriétés de transformation (mise à l’échelle, rotation ou déformation, par exemple) s’appliquent à la nouvelle image. Pour modifier un objet lié à partir du fichier d’origine : Procédez de l’une des façons suivantes : •
Gestion des groupes de travail Lors d’un travail en collaboration, les utilisateurs doivent partager des fichiers. Le fait d’échanger des fichiers entre collaborateurs implique de travailler au sein d’un groupe de travail. Le procédé qui consiste à s’assurer qu’une seule personne à la fois peut modifier un fichier à un moment donné s’appelle la gestion du groupe de travail. Le serveur WebDAV assure la gestion du groupe de travail via le Web. Lorsqu’un fichier est géré par un serveur WebDAV, plusieurs utilisateurs peuvent en télécharger une copie, mais un seul utilisateur à la fois peut l’extraire. L’utilisateur qui extrait le fichier peut partager son travail avec d’autres personnes en mettant le fichier à jour sur le serveur, mais ces derniers ne peuvent pas modifier le fichier géré tant qu’il n’a pas été archivé. Ce système d’extraction/archivage permet à plusieurs utilisateurs d’accéder au même fichier, mais les empêche d’écraser mutuellement leurs travaux.
Pour utiliser les fonctions de gestion du groupe de travail d’Illustrator, vous devez disposer d’une connexion à un serveur WebDAV. Pour obtenir plus de détails ainsi que les dernières informations concernant WebDAV, visitez le site www.webdav.org. Important : les logiciels pare-feu perturbent parfois la connexion au serveur WebDAV. Consultez votre administrateur système ou référez-vous à la documentation de votre logiciel pare-feu pour savoir comment définir les options afin d’accéder aux serveurs externes. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Lorsque vous ajoutez un serveur au groupe de travail, vous devez fournir un nom de serveur abrégé unique (qui apparaît dans la liste Serveurs de groupes de travail) et une URL pour ce serveur. Pour configurer un serveur de façon à l’utiliser avec Illustrator : 1 Choisissez Fichier > Gestion du groupe de travail > Serveurs de groupes de travail. 2 Indiquez un dossier dans lequel enregistrer les copies locales de fichiers gérés. Pour changer l’emplacement par défaut, cliquez sur Sélectionner et indiquez un autre dossier. Remarque : le chemin choisi ici est utilisé pour tous les serveurs que vous voulez ajouter. Si vous modifiez ce chemin, cela ne change pas l’emplacement des fichiers sur les serveurs existants. 3 Indiquez les serveurs WebDAV à utiliser ou procédez de l’une des façons suivantes : •
Sélectionner et indiquez un dossier. Remarque : cette option n’est disponible que pour l’ajout d’un serveur, et non pour les serveurs existants. 6 Pour indiquer d’autres URL permettant d’accéder à ce serveur, tapez-les dans la zone correspondante, puis cliquez sur Ajouter. A ce stade, Illustrator enregistre les informations sur les URL, mais ne les utilise pas pour localiser des fichiers. 7 Pour supprimer une URL que vous avez indiquée, sélectionnez-la et cliquez sur Supprimer. 8 Cliquez sur OK.
Pour afficher un fichier géré, ouvrez une copie de ce fichier depuis un serveur WebDAV. La commande Fichier > Gestion du groupe de travail > Ouvrir crée une copie du fichier sur votre disque dur. Vous pouvez ensuite actualiser cette copie locale avec les modifications du fichier géré sur le serveur en appliquant les commandes Version précédente (pour les fichiers extraits) ou Mettre à jour (pour les fichiers non-extraits), ou en définissant une option de mise à jour automatique dans les préférences du groupe de travail (voir la section « Définition des préférences pour les fichiers gérés », page 48). Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
« Extraction et archivage de fichiers », page 46).
2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
WebDAV. Une fois vos modifications terminées, archivez le fichier pour qu’il soit mis à jour avec vos modifications sur le serveur et que le fichier géré soit déverrouillé. Vous pouvez enregistrer des modifications dans des fichiers gérés que vous avez extraits. Pour enregistrer des modifications dans des fichiers gérés que vous n’avez pas extraits, utilisez la commande Enregistrer sous et ajoutez ce fichier au serveur de groupe de travail. Pour extraire un fichier : Procédez de l’une des façons suivantes : •
Fichier > Gestion du groupe de travail > Archiver.
Fichier > Gestion du groupe de travail > Annuler Extraire.
Utilisez la commande Fichier > Gestion du groupe de travail > Importer pour importer un seul document géré en tant que lien dans un fichier géré extrait. Vous ne pouvez importer des documents qu’à partir du serveur de groupe de travail sélectionné. Pour gérer les liens des fichiers gérés, voir la section « Gestion des liens sur un serveur WebDAV », page 47.
Lorsque vous chargez un fichier local sur un serveur géré, vous devez aussi charger tous les fichiers liés auxquels il fait référence. Si vous n’enregistrez pas les liens sur le même serveur, les autres personnes qui ouvriront ce fichier n’auront pas accès aux liens. Important : pour travailler avec des liens gérés, vous devez d’abord vous connecter au réseau et configurer votre serveur de groupe de travail (voir la section « Prise en main de la gestion du groupe de travail », page 44). Pour enregistrer des liens sur un serveur WebDAV : 1 Sélectionnez le lien dans la palette Liens. 2 Choisissez Enregistrer le lien du groupe de travail dans le menu de la palette Liens. Les liens sont alors enregistrés sur le même serveur que le fichier dans lequel ils sont importés. Pour mettre à jour où récupérer la dernière version des liens gérés sur le serveur : 1 Sélectionnez le lien dans la palette Liens. 2 Choisissez Mettre à jour le lien dans le menu de la palette Liens. Pour déterminer si la copie locale d’un lien correspond à la version du serveur : 1 Sélectionnez le lien dans la palette Liens. 2 Choisissez Vérifier le lien du groupe de travail dans le menu de la palette Liens. Une des icônes suivantes s’affiche à côté du lien dans la palette Liens : •
Pour charger des modifications sur le serveur : 1 Ouvrez votre copie locale du fichier. 2 Choisissez Fichier > Gestion du groupe de travail > Serveurs de groupes de travail.
1 Ouvrez le fichier à ajouter. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Fichier > Gestion du groupe de travail > Enregistrer.
4 Tapez le nom du fichier dans la zone de texte Nom, puis choisissez un format dans le menu déroulant Format. Remarque : n’oubliez pas d’indiquer l’extension du fichier si ce dernier doit être téléchargé sur un ordinateur utilisant un système d’exploitation Windows. 5 Pour extraire le fichier, sélectionnez Conserver ce fichier extrait pour le modifier. 6 Cliquez sur Enregistrer.
Vous pouvez définir des préférences pour l’ouverture de fichiers gérés, notamment leur mode d’extraction, leur mode de mise à jour et le mode de mise à jour des liens. Vous pouvez également définir des préférences pour l’importation de liens gérés. Pour définir des préférences pour l’ouverture de fichiers gérés : 1 Choisissez Edition > Préférences > Groupe de travail (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Groupe de travail (Mac OS X). 2 Sélectionnez l’une des options suivantes pour Extraire à partir du serveur : •
2 Sélectionnez l’une des options suivantes pour Mettre à jour les liens du serveur : •
Les métadonnées, ou informations sur le fichier, correspondent à des informations descriptives qu’un ordinateur peut rechercher et traiter. Utilisez-les pour fournir des informations sur le contenu d’un document et pour conserver des informations sur un document qui sera ouvert dans d’autres applications Adobe. Vous pouvez ajouter des métadonnées aux formats de fichier AI, PDF ou SVG. Pour ajouter des métadonnées à un document : 1 Choisissez Fichier > Informations. 2 Sélectionnez une catégorie dans la liste à gauche dans la boîte de dialogue, tapez les informations souhaitées, puis cliquez sur OK. •
Lorsque vous dessinez un tracé, vous pouvez mélanger à votre guise les sommets et les points d’inflexion. Vous pouvez toujours transformer un sommet en point d’inflexion, et vice versa.
Procédez de l’une des façons suivantes : •
Pour dessiner et éditer des tracés à main levée, utilisez l’outil Crayon. Vous pouvez également vous servir des outils Arrondi et Gomme pour lisser ou effacer des segments de tracé. Des points d’ancrage sont insérés automatiquement au fur et à mesure que vous dessinez avec l’outil Crayon ; ce n’est pas vous qui déterminez leur emplacement. Vous pouvez cependant les retoucher par la suite. Le nombre de points d’ancrage est fonction de la longueur et de la complexité du tracé, ainsi que des valeurs de tolérance définies dans la boîte de dialogue Préférences de l’outil Crayon ou Préférences de l’outil Arrondi.
L’outil Crayon vous permet de dessiner des tracés ouverts ou fermés de la même façon qu’avec un crayon sur une feuille de papier. Il se prête tout particulièrement à la réalisation d’esquisses ou de dessins « à main levée ». Une fois le tracé terminé, vous pouvez le modifier immédiatement, si nécessaire. Remarque : vous pouvez dessiner et éditer des tracés de formes au pinceau en utilisant l’outil Pinceau. Pour dessiner un tracé à main levée avec l’outil Crayon : 1 Sélectionnez l’outil Crayon .
Pour dessiner un tracé fermé avec l’outil Crayon : 1 Sélectionnez l’outil Crayon. 2 Placez le pointeur au point de départ du tracé, et faites glisser la souris. 3 Lors du déplacement, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée. L’outil Crayon affiche des rayures pour signaler le dessin d’un tracé fermé. 4 Lorsque le tracé atteint la taille et la forme souhaitées, relâchez le bouton de la souris (mais pas la touche Alt ou Option). Une fois le tracé fermé, relâchez la touche Alt ou Option. Pour relier un nouveau tracé à un tracé existant : Sélectionnez les deux tracés, puis maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée et faites glisser la souris depuis le tracé actif jusqu’à l’extrémité de l’autre tracé. Pour modifier un tracé avec l’outil Crayon : 1 Si le tracé à modifier n’est pas sélectionné, utilisez l’outil Sélection ou cliquez sur le tracé tout en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée. 2 Placez l’outil Crayon sur le tracé à retoucher ou à proximité de celui-ci, puis faites glisser la souris jusqu’à ce que le tracé ait la forme recherchée.
L’outil Arrondi vous permet d’arrondir un contour ou un segment de tracé existant, en conservant dans la mesure du possible la forme d’origine du tracé. Pour utiliser l’outil Arrondi : 1 S’il y a lieu, sélectionnez le tracé à arrondir avec l’outil Sélection ou cliquez sur le tracé tout en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée.
L’outil Gomme vous permet d’effacer une partie d’un tracé ou d’un contour existant. Vous pouvez vous en servir sur les tracés (y compris les tracés à formes), mais pas sur du texte ou des filets de dégradé. Pour utiliser l’outil Gomme : 1 Sélectionnez l’outil Gomme
Définition des préférences des outils Crayon et Arrondi Vous pouvez définir les préférences des outils Crayon et Arrondi. Celles-ci comprennent les tolérances déterminant la sensibilité de ces outils aux déplacements de la souris ou du stylet de la tablette graphique, ainsi que la possibilité, une fois le tracé dessiné, de le laisser sélectionné. La tolérance est exprimée en nombre de pixels. Plus le nombre de pixels spécifié est élevé, plus les tracés sont simples et arrondis. Remarque : vous pouvez également définir des préférences pour les outils Pinceau (voir la section « Dessin et édition de tracés à formes », page 87), Plume (voir la section « Dessin avec l’outil Plume », page 55), Trait et Arc (voir la section « Création de traits et d’arcs », page 72), Halo (voir la section « Tracé de halos », page 70) et Grille (voir la section « Tracé de grilles », page 74). Pour définir les préférences des outils Crayon et Arrondi : 1 Cliquez deux fois sur l’outil Crayon
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La ligne droite est le tracé le plus simple à réaliser avec l’outil Plume. Il suffit de cliquer avec l’outil Plume pour créer deux points d’ancrage. Si vous continuez à cliquer, vous créez un tracé composé de segments rectilignes reliés par des sommets. Pour créer des droites indépendantes, voir la section « Création de traits et d’arcs », page 72. Pour tracer des droites à la plume : 1 Sélectionnez l’outil Plume . 2 Pointez sur l’origine de la droite et cliquez pour définir le premier point d’ancrage (sans faire glisser la souris). Celui-ci reste sélectionné (plein) jusqu’à ce que vous définissiez le point suivant. Remarque : le premier segment dessiné ne sera visible que lorsque vous aurez cliqué pour définir un second point d’ancrage. Si des lignes directrices apparaissent, cela signifie que vous avez accidentellement fait glisser l’outil Plume. Dans ce cas, choisissez Edition > Annuler et cliquez à nouveau. 3 Cliquez à nouveau à l’endroit où le segment doit se terminer. Cliquez tout en maintenant la touche Maj enfoncée pour contraindre l’angle du segment à des multiples de 45 degrés. Vous obtenez ainsi un autre point d’ancrage. 4 Continuez à cliquer avec l’outil Plume pour créer d’autres segments rectilignes. Le dernier point d’ancrage inséré s’affiche sous la forme d’un carré plein, indiquant qu’il est sélectionné. Le point d’ancrage précédent se désélectionne dès que vous en ajoutez un nouveau. 5 Terminez le tracé en procédant de l’une des façons suivantes : •
Cliquez pour fermer le tracé.
(Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée et cliquer à l’écart de tous les objets, choisir Sélection > Désélectionner ou sélectionner un autre outil dans la palette d’outils.
Un sommet peut avoir une, deux ou aucune ligne directrice, selon qu’il relie respectivement un, deux ou aucun segment courbe. Les lignes directrices d’un sommet maintiennent celui-ci en utilisant différents angles. Lorsque vous faites glisser le point directeur d’une ligne directrice d’un sommet, l’autre ligne directrice, si elle existe, ne bouge pas.
Pour dessiner des courbes, vous devez utiliser l’outil Plume, afin d’ajouter des points d’ancrage aux endroits où la courbe change de direction, et de faire glisser les points directeurs qui forment la courbe. Pour créer des courbes indépendantes, voir la section « Création de traits et d’arcs », page 72. Les courbes se modifient plus facilement, et s’affichent et s’impriment plus rapidement si vous les dessinez avec le moins de points d’ancrage possible. De plus, si vous utilisez trop de points, la courbe risque de présenter des irrégularités indésirables. Vous avez donc plutôt intérêt à espacer autant que possible les points d’ancrage, et à modeler la courbe en agissant sur la longueur et l’inclinaison des lignes directrices. Pour tracer une courbe : 1 Sélectionnez l’outil Plume . 2 Pointez sur l’origine de la courbe et cliquez. Le premier point d’ancrage apparaît, et la plume se transforme en flèche . 3 Faites glisser la souris pour définir l’inclinaison de la courbe que vous tracez. D’une façon générale, prolongez la ligne directrice d’environ un tiers de la distance à laquelle vous allez placer le point d’ancrage suivant. Maintenez la touche Maj enfoncée pour contraindre l’outil à des angles multiples de 45 degrés.
Remarque : le premier segment n’est visible qu’une fois le second point d’ancrage défini.
A mesure que vous dessinez un tracé, vous pouvez modifier à votre guise les types de point et les lignes directrices. Cette possibilité est particulièrement intéressante lorsque vous alternez des segments rectilignes et courbes sur un même tracé ou lorsque vous voulez dessiner deux courbes reliées par un sommet.
Faites glisser un point directeur à une extrémité de la ligne directrice qui apparaît, afin de définir l’inclinaison de la courbe que vous allez créer.
Vous pouvez ajouter ou supprimer des points d’ancrage sur n’importe quel tracé. Les points d’ancrage supplémentaires vous permettent de dessiner un tracé plus précis ou de prolonger un tracé ouvert. Vous pouvez également relier deux tracés ouverts. De même, vous pouvez supprimer des points d’ancrage pour modifier ou simplifier la forme d’un tracé. Il est souvent judicieux de supprimer les points superflus afin de simplifier le tracé. Vous pouvez également utiliser la commande Simplifier le tracé pour supprimer les points d’ancrage inutiles sans modifier la forme du tracé (voir la section « Simplification des tracés », page 65). L’outil Plume se change alors automatiquement en outil Ajout de point d’ancrage ou Suppression de point d’ancrage lorsque vous le placez sur un tracé sélectionné. L’outil Ajout de point d’ancrage ajoute le type de point nécessaire (sommet ou point d’inflexion), afin de préserver la forme du tracé. Remarque : pour supprimer des points d’ancrage, vous devez utiliser l’outil Suppression de point d’ancrage ou la commande Simplifier le tracé. Les touches Suppr, Retour arrière et Effacer, ainsi que les commandes Edition > Couper ou Edition > Effacer suppriment toujours la totalité du tracé, même si vous n’avez sélectionné qu’un point d’ancrage sur le tracé. Pour ajouter ou supprimer un point d’ancrage : 1 A l’aide de l’outil Sélection directe , sélectionnez les tracés auxquels vous souhaitez ajouter des points d’ancrage, ou dont vous voulez les supprimer. 2 Sélectionnez l’outil Plume , l’outil Ajout de point d’ancrage ou l’outil Suppression de point d’ancrage . Tous ces outils se trouvent au même endroit dans la palette d’outils. S’il y a lieu, placez le pointeur sur l’outil Plume, et faites glisser la souris pour choisir l’outil nécessaire. 3 Procédez de l’une des façons suivantes : •
2 Cliquez sur l’extrémité. 3 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Maintenez la touche Maj enfoncée tandis que vous placez l’outil Plume sur le tracé sélectionné ou sur un point d’ancrage. Cette possibilité est particulièrement utile lorsque vous souhaitez commencer un nouveau tracé par-dessus un tracé existant. Pour éviter que la touche Maj ne contraigne le tracé, relâchez-la avant le bouton de la souris. Pour désactiver l’ajout ou la suppression automatique de points d’ancrage : 1 Choisissez Edition > Préférences > Générales (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Générales (Mac OS X). 2 Dans la boîte de dialogue qui s’affiche, cliquez sur Désactiver Ajout/Suppression auto pour désactiver cette option. Cliquez ensuite sur OK. Pour ajouter des points d’ancrage avec la commande Ajout de point d’ancrage : A l’aide de l’outil Sélection , sélectionnez l’objet et choisissez Objet > Tracé > Ajout de point d’ancrage. Pour convertir des points d’inflexion en sommets, et vice versa, avec l’outil Conversion de point directeur : 1 A l’aide de l’outil Sélection directe, sélectionnez le tracé que vous souhaitez modifier. Pour basculer vers l’outil Conversion de point directeur alors que l’outil Plume est sélectionné, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée. 2 Sélectionnez l’outil Conversion de point directeur. 3 Placez l’outil Conversion de point directeur sur le point d’ancrage à convertir et procédez de l’une des façons suivantes :
Vous pouvez modifier la forme d’un tracé en déplaçant un de ses points d’ancrage ou les points directeurs des lignes directrices reliées à une courbe. L’édition de segments existants diffère légèrement de leur création. Lors de la modification de segment existants, gardez en mémoire les points suivants :
Pour retoucher une droite : A l’aide de l’outil Sélection directe , faites glisser le point d’ancrage sur l’une des deux extrémités du segment. Maintenez la touche Maj enfoncée tandis que vous faites glisser la souris pour contraindre l’opération à des multiples de 45 degrés. Si vous essayez simplement d’agrandir ou de réduire un rectangle, il est plus facile de le sélectionner avec l’outil de sélection et de le redimensionner en agissant sur l’une des poignées sur les côtés du cadre. Pour retoucher une courbe : 1 A l’aide de l’outil Sélection directe , sélectionnez le point d’ancrage à l’une des extrémités de la courbe. Des lignes directrices apparaissent sur le point d’ancrage et sur les points d’ancrage adjacents, le cas échéant (certaines courbes n’utilisent qu’une ligne directrice). 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Par exemple, à partir du dessin d’une feuille d’arbre au pourtour dentelé, l’outil Modelage vous permet de plier la feuille en conservant son aspect global lisse et les dentelures. Les points sélectionnés à l’aide de l’outil Modelage sont entourés de petits carrés en surbrillance. Lorsque vous faites glisser ces carrés, tout tracé pourvu de points d’ancrage uniformément sélectionnés est déformé de façon homogène comme s’il était entraîné par les points d’ancrage en surbrillance. Les points d’ancrage non sélectionnés ne bougent pas.
« Sélection d’objets », page 107). 2 Sélectionnez l’outil Modelage
5 Faites glisser les points d’ancrage en surbrillance pour remodeler le tracé. L’amplitude de mouvement allouée à un segment de tracé donné est proportionnelle à son éloignement du point en surbrillance. •
1 Sélectionnez le tracé. 2 Choisissez Objet > Tracé > Simplifier. 3 Définissez une précision des courbes comprise entre 0 et 100 % pour indiquer la différence tolérée entre le tracé simplifié et le tracé original. Plus le pourcentage est élevé, plus les points sont nombreux et plus le tracé simplifié se rapproche de l’original. Les points d’ancrage existants sont ignorés, à l’exception des extrémités d’une courbe et des sommets (à moins que vous n’ayez entré une valeur pour le paramètre Seuil d’angle).
Il est parfois nécessaire de scinder des tracés existants, qu’ils aient été créés manuellement ou à l’aide de l’outil Tracé automatique. L’outil Ciseaux vous permet de scinder un tracé ouvert en deux tracés distincts ou d’ouvrir un tracé fermé en un ou plusieurs tracés distincts. Vous ne pouvez pas scinder un tracé de texte. Pour scinder un tracé et le modifier : 1 Sélectionnez le tracé pour visualiser ses points d’ancrage (voir la section « Sélection d’objets », page 107). 2 Sélectionnez l’outil Ciseaux
Lorsque vous scindez le tracé à un point d’ancrage, un nouveau point d’ancrage vient se superposer au premier et l’un d’eux est sélectionné. 4 Utilisez l’outil Sélection directe pour modifier le nouveau point d’ancrage ou segment de tracé obtenu.
La commande Aligner vous permet de déplacer deux points d’ancrage ou plus (sur un même tracé ou des tracés différents) vers une position alignée sur leur position actuelle. Pour aligner des points d’ancrage : 1 Utilisez l’outil Sélection directe pour sélectionner au moins deux points d’ancrage (voir la section « Sélection d’objets », page 107). 2 Choisissez Objet > Tracé > Aligner. 3 Optez pour un alignement sur les deux axes, sur l’axe horizontal (x) seul ou sur l’axe vertical (y) seul, puis cliquez sur OK.
2 Choisissez Objet > Tracé > Joindre. Une ligne apparaît entre les deux extrémités. 3 Si les deux extrémités sont confondues, sélectionnez l’option par défaut Crénelé ou l’option Arrondi pour spécifier le type de jonction recherchée. 4 Cliquez sur OK.
Vous pouvez élaborer de nombreux objets dans Adobe Illustrator à partir de formes élémentaires. Les outils d’Illustrator vous permettent de dessiner très facilement rectangles, ellipses, polygones, spirales et étoiles.
Adobe Illustrator comprend deux outils Rectangle et un outil Ellipse permettant de créer rapidement ces objets graphiques courants. •
1 Sélectionnez l’outil Rectangle , Rectangle arrondi
Rectangle et des cercles avec l’outil Ellipse, appuyez sur la touche Maj, et faites glisser la souris.
2 Pointez à l’endroit où vous souhaitez faire commencer le rectangle, et faites glisser la souris en diagonale. 3 Lors du glissement, vous pouvez procéder de l’une des façons suivantes : •
1 Sélectionnez l’outil Rectangle, Rectangle arrondi ou Ellipse et appuyez sur la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS). 2 Pointez à l’endroit où placer le centre de la forme à tracer et faites glisser la souris en diagonale vers un coin ou un bord jusqu’à ce que vous obteniez la taille voulue. Maintenez la touche Maj enfoncée pour contraindre l’outil à des angles multiples de 45 degrés. Pour tracer un rectangle ou une ellipse en spécifiant ses dimensions : 1 Sélectionnez un outil Rectangle ou l’outil Ellipse. 2 Cliquez sur l’illustration pour définir l’origine de la forme. Pour tracer des rectangles ou des ellipses depuis le centre du point d’origine, cliquez tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée. Par défaut, les boîtes de dialogue Rectangle et Ellipse indiquent les dimensions de la dernière ellipse ou du dernier rectangle tracé. L’unité de mesure utilisée est celle définie dans la boîte de dialogue Format de document ou la boîte de dialogue des préférences Unités et annulation. 3 Entrez la largeur souhaitée dans la zone de texte Largeur. 4 Entrez la hauteur souhaitée dans la zone de texte Hauteur, puis cliquez sur OK. Pour obtenir un carré ou un cercle, entrez la valeur souhaitée dans la zone de texte Largeur, puis cliquez sur le mot Hauteur ; la valeur de la première zone est alors recopiée dans la seconde. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
1 Choisissez Fenêtre > Options d’objet. 2 Dans la palette Attributs, cliquez sur le bouton Afficher le centre ou sur le bouton Ne pas afficher le centre .
L’outil Polygone vous permet de tracer des objets équilatéraux et équidistants du centre, dont vous précisez le nombre de côtés. Pour tracer un polygone en faisant glisser la souris : 1 Sélectionnez l’outil Polygone . 2 Pointez au centre du polygone à dessiner et faites glisser la souris jusqu’à ce que vous obteniez la taille voulue. 3 Lors du glissement, vous pouvez procéder de l’une des façons suivantes : •
Par défaut, la boîte de dialogue Polygone indique les dimensions du dernier polygone dessiné. L’unité de mesure utilisée est celle définie dans la boîte de dialogue Format de document ou la boîte de dialogue des préférences Unités et annulation. 3 Spécifiez la distance des sommets par rapport au centre dans la zone de texte Rayon. 4 Cliquez sur les flèches ou entrez le nombre de côtés dans la zone de texte Côtés, puis cliquez sur OK.
L’outil Etoile crée une étoile dont vous précisez le nombre et la longueur des branches.
3 Lors du glissement, vous pouvez procéder de l’une des façons suivantes : •
Unités et annulation. 3 Spécifiez la distance entre le centre et la base d’une branche dans la zone de texte Rayon 1. 4 Spécifiez la distance entre le centre et le sommet d’une branche dans la zone de texte Rayon 2. 5 Cliquez sur les flèches ou entrez le nombre de branches dans la zone de texte Points, puis cliquez sur OK.
L’outil Halo permet de créer des objets avec un centre lumineux, un anneau, des rayons et des auréoles. Utilisez cet outil pour créer un effet ressemblant à la réfraction provoquée par la projection d’une lumière vive dans l’objectif d’un appareil photo.
1 Sélectionnez l’outil Halo et cliquez à l’endroit où vous voulez que le halo apparaisse. 2 Spécifiez les options dans la boîte de dialogue Options de halo et cliquez sur OK. Pour réinitialiser un halo avec les paramètres par défaut : 1 Sélectionnez le halo et cliquez deux fois sur l’icône de l’outil Halo pour ouvrir la boîte de dialogue Options de halo. 2 Maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée et cliquez sur Réinitialiser. Pour créer un halo : 1 Sélectionnez l’outil Halo. 2 Cliquez à l’endroit où placer le centre du halo. Puis, faites glisser la souris pour définir la taille du centre, la taille de l’anneau, et pour faire pivoter l’angle des rayons. 3 Avant de relâcher le bouton de la souris, procédez de l’une des façons suivantes : •
3 Spécifiez l’expansion de l’auréole en pourcentage de la taille globale, puis spécifiez la valeur de flou (0 pour net et 100 pour flou) de l’auréole. 4 Si vous voulez des rayons dans le halo, sélectionnez Rayons et spécifiez le nombre de rayons, le rayon le plus long (en pourcentage du rayon moyen) et la valeur de flou (0 pour net et 100 pour flou). 5 Si vous voulez des auréoles dans le halo, sélectionnez Auréoles et spécifiez la distance du tracé entre le point central du halo (poignée centrale), le point central de l’auréole la plus éloignée (poignée d’extrémité), le nombre d’auréoles, la plus grande auréole (en pourcentage de l’auréole moyenne) et la direction ou l’angle des auréoles. 6 Lorsque vous définissez des options pour modifier un halo existant, sélectionnez Aperçu pour prévisualiser l’effet final sur le halo actif. 7 Cliquez sur OK.
Utilisez les outils de trait et d’arc pour créer rapidement et facilement des traits individuels et des arcs par glissement. Les boîtes de dialogue de trait et d’arc affichent les valeurs du dernier segment créé. Pour réinitialiser les valeurs par défaut affichées dans la boîte de dialogue, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée et cliquez sur Réinitialiser. Pour tracer un trait : 1 Sélectionnez l’outil Trait , cliquez sur le point de départ du trait et faites glisser la souris jusqu’à l’endroit où le trait doit se terminer. 2 Lors du glissement, vous pouvez procéder de l’une des façons suivantes : •
2 Dans la boîte de dialogue Trait, entrez la longueur et l’angle souhaités. 3 Sélectionnez Remplir le trait pour appliquer la couleur de fond sélectionnée au trait (sinon, aucune couleur de fond n’est définie). 4 Cliquez sur OK. Pour tracer un arc : 1 Sélectionnez l’outil Arc , cliquez sur le point de départ de l’arc et faites glisser la souris pour le dessiner. 2 Lors du glissement, vous pouvez procéder de l’une des façons suivantes : •
2 Dans la boîte de dialogue Arc, définissez les options souhaitées. 3 Sélectionnez Remplir le trait pour appliquer la couleur de fond sélectionnée au trait (sinon, aucune couleur de fond n’est définie). 4 Cliquez sur OK. Remarque : l’icône carrée à droite de l’option Longueur axe x sert à définir le point d’origine de l’arc. Pour modifier le point d’origine, cliquez sur l’un des coins du carré.
L’outil Spirale vous permet de créer des objets hélicoïdaux en indiquant le rayon et le nombre de spires souhaité, c’est-à-dire le nombre de révolutions que l’hélice effectue d’une extrémité à l’autre. Pour tracer une spirale en faisant glisser le pointeur : 1 Sélectionnez l’outil Spirale
Faites glisser le pointeur en suivant un arc de cercle pour faire pivoter la spirale.
Par défaut, la boîte de dialogue Spirale indique les dimensions de la dernière spirale dessinée. L’unité de mesure utilisée est celle définie dans la boîte de dialogue Format de document ou la boîte de dialogue des préférences Unités et annulation. 2 Spécifiez la distance entre le point final et le centre de la spirale dans la zone de texte Rayon. 3 Dans la zone de texte Pente, entrez le pourcentage de réduction de chaque spire par rapport à la précédente. 4 Cliquez sur les flèches ou entrez le nombre de segments dans la zone de texte Segments. Chaque boucle de la spirale est composée de quatre segments. 5 Dans la zone Style, sélectionnez l’option correspondant à la direction souhaitée de la spirale, puis cliquez sur OK.
Utilisez les outils de grille pour dessiner rapidement une grille rectangulaire ou à coordonnées polaires. Spécifiez la taille de la grille et le nombre de séparateurs, puis faites glisser le curseur sur le plan de travail. L’outil Grille rectangulaire vous permet de spécifier la taille de la grille rectangulaire et le nombre de séparateurs. L’outil Grille à coordonnées polaires vous permet de spécifier la taille des cercles concentriques de la grille et le nombre de séparateurs.
Vous pouvez tracer des grilles rectangulaires par glissement ou en définissant des paramètres de grille spécifiques dans la boîte de dialogue Options de l’outil Grille rectangulaire. Pour créer une grille rectangulaire : 1 Sélectionnez l’outil Grille rectangulaire
1 Sélectionnez l’outil Grille rectangulaire et cliquez sur le plan de travail pour définir le point d’origine de la grille et afficher la boîte de dialogue Options de l’outil Grille rectangulaire. 2 Dans la boîte de dialogue Options de l’outil Grille rectangulaire, effectuez l’une des opérations suivantes, puis cliquez sur OK : •
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à coordonnées polaires. 2 Dans la boîte de dialogue Options de l’outil Grille à coordonnées polaires, effectuez l’une des opérations suivantes, puis cliquez sur OK : •
Une fois le symbole créé, vous pouvez en modifier les instances sur le plan de travail, et, si vous le voulez, redéfinir le symbole original en fonction des modifications. Les outils de symbolisme vous permettent d’ajouter et de manipuler plusieurs instances de symboles à la fois (voir la section « Utilisation des outils de symbolisme », page 80).
Utilisez la palette Symboles pour stocker, gérer et placer les symboles. Pour ouvrir la palette Symboles : Choisissez Fenêtre > Symboles. Pour afficher le menu de la palette Symboles : Cliquez sur le triangle situé dans l’angle supérieur droit de la palette. Pour modifier l’affichage des symboles dans la palette Symboles : Choisissez l’une des commandes suivantes dans le menu de la palette Symboles : Affichage par vignettes, Affichage par petites vignettes ou Affichage par grandes vignettes. Remarque : vous pouvez réorganiser les listes par ordre alphabétique en choisissant l’option Tri par nom.
Vous pouvez créer des symboles à partir de tout objet artistique d’Illustrator, y compris les tracés, les tracés transparents, le texte, les images pixellisées, les objets filet et les groupes d’objets (toutefois, vous ne pouvez pas utiliser les illustrations importées non incorporées comme symboles, ni certains groupes d’éléments, tels que les groupes de graphes). Les symboles peuvent également inclure des objets actifs, tels que les contours, dégradés, effets, ou autres instances de symboles dans un symbole. La palette Symboles peut servir de base de données pour votre illustration ; pour récupérer la définition d’origine avec tous ses éléments actifs, développez tout simplement une instance de symbole.
Les instances de symboles placées à l’aide de la palette Symboles sont des copies exactes du symbole original. Lorsqu’elles sont sélectionnées sur le plan de travail, les instances de symboles affichent un cadre de sélection, similaire à celui qui entoure les illustrations associées. Pour placer une instance de symbole à partir de la palette Symboles : 1 Sélectionnez un symbole dans la palette. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
1 Sélectionnez l’instance sur le plan de travail. 2 Maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée et faites glisser l’instance de symbole vers un nouvel emplacement sur le plan de travail.
1 Dans la palette Symboles, procédez de l’une des façons suivantes : •
Sélectionnez un symbole dans la palette Symboles, puis choisissez Sélectionner toutes les instances dans le menu de la palette. Pour sélectionner tous les symboles non utilisés dans la palette Symboles : Choisissez Sélectionner les symboles non utilisés dans le menu de la palette.
Vous pouvez déplacer, mettre à l’échelle, faire pivoter, déformer (ou appliquer une asymétrie), ou appliquer un effet de miroir à une instance de symbole en utilisant les commandes du menu Objet ou des palettes Transformation ou Alignement. Vous pouvez également effectuer n’importe quelle opération à partir des palettes Transparence, Aspect et Styles, et appliquer n’importe quel effet à partir du menu Effet. Après avoir modifié une instance, vous pouvez redéfinir le symbole original dans la palette Symboles en utilisant l’illustration modifiée. Lorsque vous redéfinissez un symbole, toutes les instances existantes de ce symbole prennent les attributs de la nouvelle définition. Si vous ne voulez pas qu’une instance de symbole existante prenne les attributs de la nouvelle définition, vous devez rompre le lien entre le symbole et l’instance de symbole concernée. Pour modifier et redéfinir un symbole : 1 Sélectionnez une instance du symbole sur le plan de travail. 2 Cliquez sur le bouton Rompre le lien au symbole
4 Procédez de l’une des façons suivantes : • Association d’un nouveau symbole à une instance : 1 Sélectionnez l’instance de symbole sur le plan de travail. 2 Sélectionnez un nouveau symbole dans la palette Symboles. 3 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Symboles (voir la section « Utilisation de symboles », page 77). Utilisez les outils de symbolisme pour créer et modifier des instances de symboles ou des jeux d’instances de symboles. Pour créer un jeu d’instances de symboles, utilisez l’outil Pulvérisation de symboles (voir la section « Utilisation de l’outil Pulvérisation de symboles », page 82). Vous pouvez créer des jeux d’instances de symboles mixtes en utilisant l’outil Pulvérisation de symboles sur un premier symbole, puis sur un second. Les outils de symbolisme n’affectent que le(s) symbole(s) sélectionné(s) dans la palette Symboles. Par exemple, si vous créez un jeu d’instances de symboles mixte représentant un champ d’herbe et de fleurs, vous pouvez modifier l’orientation de l’herbe seulement en sélectionnant le symbole approprié dans la palette Symboles, puis en utilisant l’outil Rotation de symboles. Pour modifier la taille de l’herbe et des fleurs, sélectionnez les deux symboles dans la palette Symboles, puis utilisez l’outil Redimensionnement de symboles. Remarque : lorsque vous sélectionnez un jeu d’instances de symboles mixte sur le plan de travail, la dernière instance que vous avez ajoutée au jeu est automatiquement sélectionnée dans la palette Symboles.
Les outils de symbolisme présentent de nombreuses options en commun, telles que le diamètre, l’intensité et la densité. Les options définissent les paramètres des symboles sélectionnés ou des symboles que vous créez ou modifiez. Pour définir les options des outils de symbolisme : 1 Cliquez deux fois sur un outil de symbolisme dans la palette d’outils. Vous pouvez cliquer sur les icônes des autres outils dans la boîte de dialogue Options d’outils de symbolisme et définir les options pour ces outils directement à partir de cette boîte de dialogue. 2 Pour l’option Diamètre, entrez une valeur pour la taille du pinceau de l’outil. Lorsque vous utilisez un outil de symbolisme, vous pouvez à tout moment appuyer sur la touche [ pour réduire le diamètre ou sur la touche ] pour l’augmenter. 3 Pour l’option Intensité, spécifiez la vitesse de modification (plus la valeur est élevée, plus la modification est rapide), ou sélectionnez Utiliser le stylet pour utiliser les valeurs d’une tablette ou d’un stylet au lieu de la valeur Intensité. Lorsque vous utilisez un outil de symbolisme, vous pouvez à tout moment appuyer sur les touches Maj+[ pour réduire l’intensité ou Maj+] pour l’augmenter.
5 Sélectionnez Afficher la forme et l’intensité pour observer la taille au moment où vous utilisez l’outil. 6 Sélectionnez Aperçu des cadres de sélection des instances de symboles pour afficher les cadres de sélection des instances de symboles au fur et à mesure que vous les ajoutez. Cette option peut améliorer les performances. Désélectionnez-la pour visualiser le contour des instances de symboles. 7 Pour l’option Mode, reportez-vous à la description de chaque outil.
Utilisez l’outil Pulvérisation de symboles pour créer un jeu d’instances de symboles ou pour ajouter d’autres instances dans un jeu existant. Vous pouvez spécifier les options suivantes à partir du menu associé à chaque outil dans la boîte de dialogue des options de l’outil Pulvérisation de symboles : Alignement permet d’ajouter un nouveau symbole avec, pour valeur, la moyenne des valeurs des instances de symboles existantes dans le rayon de la forme. Par exemple, une instance ajoutée à une zone où l’instance de symbole moyenne est transparente à 50 % sera transparente à 50 % ; une instance ajoutée à une zone sans instances sera opaque. Remarque : le paramètre Alignement ne tient compte que des autres instances dans le rayon de l’outil Pulvérisation de symboles que vous définissez à l’aide de l’option Diamètre. Pour visualiser le rayon pendant votre travail, sélectionnez Afficher la forme et l’intensité. Défini par l’utilisateur permet d’appliquer une valeur prédéfinie pour chaque paramètre : •
1 Sélectionnez le jeu. 2 Sélectionnez l’outil Pulvérisation de symboles et maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée pendant que vous cliquez ou faites glisser la souris sur les instances à supprimer. Pour décomposer un jeu de symboles en instances de symboles individuelles : Sélectionnez le jeu et choisissez Objet > Décomposer.
L’outil Glissement de symboles permet de déplacer des instances de symboles. Il permet également de modifier l’ordre relatif de dessin des instances de symboles dans un jeu. Vous pouvez utiliser l’une des options de mode suivantes avec l’outil Glissement de symboles : •
Pour modifier l’ordre d’empilement des instances de symboles dans le diamètre du pinceau : Sélectionnez l’outil Glissement de symboles
L’outil Espacement de symboles permet de rapprocher ou d’éloigner les instances de symboles les unes des autres. Utilisez cet outil pour donner une forme à la distribution de la densité d’un jeu de symboles. Pour espacer les symboles : Sélectionnez l’outil Espacement de symboles suivantes : •
Utilisez l’outil Redimensionnement de symboles pour augmenter ou diminuer la taille des instances de symboles dans un jeu existant. Lorsque vous définissez les options de l’outil Redimensionnement de symboles, vous pouvez sélectionner Redimensionnement proportionnel pour conserver la forme des instances uniforme pendant le redimensionnement. Vous pouvez également sélectionner Le redimensionnement agit sur la densité pour séparer les instances de symboles lorsque vous augmentez leur taille, et les rapprocher lorsque vous réduisez leur taille. Vous pouvez utiliser l’une des options de mode suivantes avec l’outil Redimensionnement de symboles : •
Utilisez l’outil Rotation de symboles pour orienter les instances de symboles dans un jeu. Les instances de symboles situées à proximité du curseur s’orientent dans la direction de déplacement du curseur. Au fur et à mesure que vous faites glisser la souris, une flèche s’affiche au-dessus du curseur, indiquant l’orientation actuelle des instances de symboles. Vous pouvez utiliser l’une des options de mode suivantes avec l’outil Rotation de symboles : •
Pour colorer les objets noirs et blancs, vous pouvez utiliser l’outil Stylisation de symboles avec un style utilisant la couleur de remplissage souhaitée. Vous pouvez utiliser l’une des options de mode suivantes avec l’outil Coloration de symboles : •
Pour appliquer une coloration aux instances de symboles : 1 Dans la palette Couleur, sélectionnez la couleur de fond à utiliser pour la coloration. 2 Sélectionnez l’outil Coloration de symboles suivantes :
Utilisez l’outil Transparence de symboles pour augmenter ou diminuer la transparence des instances de symboles d’un jeu existant. Vous pouvez utiliser l’une des options de mode suivantes avec l’outil Transparence de symboles : •
Vous pouvez passer à l’outil Stylisation de symboles depuis un autre outil de symbolisme en cliquant sur un style dans la palette Styles. Vous pouvez utiliser l’une des options de mode suivantes avec l’outil Stylisation de symboles : •
2 Sélectionnez un style dans la palette Styles et effectuez l’une des opérations suivantes : •
Autrement dit, chaque fichier Illustrator peut disposer d’un jeu de formes qui lui est propre dans sa palette. Les quatre types de formes disponibles vous permettent d’obtenir les effets suivants : •
Pour dessiner un tracé avec l’outil Pinceau : 1 Choisissez Fenêtre > Formes pour afficher la palette Formes, puis sélectionnez une forme dans cette palette. 2 Cliquez deux fois sur l’outil Pinceau
Pour dessiner un tracé fermé avec l’outil Pinceau : 1 Activez l’outil Pinceau. 2 Placez le pointeur au point de départ du tracé, et faites glisser la souris. 3 Lors du déplacement, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée. Un cercle miniature apparaît pour indiquer que vous dessinez un tracé fermé. 4 Lorsque le tracé atteint la taille et la forme souhaitées, relâchez le bouton de la souris (mais pas la touche Alt ou Option). Une fois le tracé fermé, relâchez la touche Alt ou Option. Pour éditer un tracé à formes avec l’outil Pinceau : 1 Sélectionnez le tracé à éditer avec l’outil Sélection ou cliquez sur le tracé tout en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée. 2 Placez l’outil Pinceau sur le tracé à retoucher ou à proximité de celui-ci, puis faites glisser l’outil jusqu’à ce que vous obteniez la taille souhaitée.
Vous pouvez créer un tracé à formes à partir d’un tracé créé avec un outil de dessin Illustrator tel que la plume, le crayon ou tout autre outil de forme de base. Il est ensuite possible de le modifier comme n’importe quel tracé. Pour dessiner un tracé à formes avec un outil de dessin : 1 Dessinez un tracé avec un outil de dessin (Plume, Crayon ou outil de base). 2 Choisissez une méthode d’application de la forme au tracé. •
Après avoir appliqué une forme à un tracé, vous pouvez modifier les attributs du tracé de plusieurs manières. Pour convertir les formes d’une illustration en tracés vectorisés : 1 Sélectionnez le ou les objets à convertir. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Vous pouvez utiliser la palette Formes pour organiser vos formes. Pour afficher la palette Formes : Choisissez Fenêtre > Formes. Pour afficher les formes par leur nom : Choisissez Affichage par liste dans le menu de la palette Formes. Une image de la forme s’affiche à gauche du nom. L’image située à droite du nom indique le type de la forme. Pour afficher les formes par vignettes seulement : Choisissez Affichage par vignette dans le menu de la palette Formes. Une image de la forme s’affiche. Pour modifier le type de forme affiché : Dans le menu de la palette Formes, choisissez le type de forme à afficher. Vous pouvez en choisir plusieurs. Pour sélectionner toutes les formes non utilisées dans le fichier : Choisissez Sélectionner les formes non utilisées dans le menu de la palette Formes. Seules les formes qui ne sont pas utilisées dans le fichier actif sont sélectionnées. Pour déplacer une forme dans la palette Formes : Faites glisser la forme vers son nouvel emplacement dans la palette Formes. Vous ne pouvez déplacer les formes qu’au sein d’un même type. Par exemple, vous ne pouvez pas déplacer une forme calligraphique dans la zone des formes diffuses. Pour dupliquer une forme de la palette Formes : 1 Sélectionnez une forme à dupliquer. Pour en sélectionner plusieurs, cliquez sur chaque forme à dupliquer en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée. Pour sélectionner une séquence de formes, cliquez en maintenant la touche Maj enfoncée. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
1 Cliquez sur le bouton Nouvelle forme de la palette Formes ou choisissez Nouvelle forme dans le menu de la palette. Sélectionnez Nouvelle forme calligraphique et cliquez sur OK. 2 Dans la zone de texte Nom, entrez le nom que vous désirez donner à la forme (30 caractères maximum). 3 Indiquez les valeurs d’angle, d’arrondi et de diamètre de la forme (l’aperçu de la boîte de dialogue reflète les paramètres définis). •
3 Dans la zone de texte Nom, entrez le nom que vous désirez donner à la forme (30 caractères maximum). 4 Faites glisser le curseur Minimum ou entrez les valeurs de votre choix dans les zones de texte situées à gauche afin de définir la taille, le pas, la diffusion et l’angle de rotation. •
6 Dans le menu Rotation relative à, choisissez l’orientation désirée. •
2 Cliquez sur le bouton Nouvelle forme de la palette Formes ou choisissez Nouvelle forme dans le menu de la palette. Sélectionnez Nouvelle forme artistique et cliquez sur OK. 3 Dans la zone de texte Nom, entrez le nom que vous désirez donner à la forme (30 caractères maximum). 4 Pour définir la direction, cliquez sur le bouton correspondant à la direction dans laquelle vous souhaitez que l’illustration soit dessinée lorsque vous déplacez le pinceau. La flèche figurant sur les boutons représente la fin du contour. Lorsque vous faites glisser le pinceau dans la fenêtre de l’illustration, le dessin s’effectue de la manière suivante : •
Verticale. 7 Choisissez le mode de coloration à partir du menu Mode (voir la section « Choix d’un mode de coloration », page 95). 8 Cliquez sur OK.
Pour créer un motif, servez-vous des nuanciers de motifs de la palette Nuancier ou du graphique d’une illustration pour définir les éléments de la forme. Vous pouvez utiliser les nuanciers de motifs préétablis ou créer les vôtres. Vous pouvez modifier la taille, le pas, ainsi que la symétrie des formes de motif. Vous pouvez également appliquer une nouvelle illustration à un élément d’une forme de motif pour la redéfinir. Pour appliquer un nouveau motif à des formes de motif existantes, sélectionnez les nuanciers de motifs dans la boîte de dialogue Options de forme de motif. La liste déroulante affiche tous les motifs disponibles de la palette Nuancier. Pour créer un motif à l’aide des nuanciers de motifs de la palette Nuancier : 1 Cliquez sur le bouton Nouvelle forme de la palette Formes ou choisissez Nouvelle forme dans le menu de la palette. Sélectionnez Nouvelle forme de motif et cliquez sur OK. 2 Dans la zone de texte Nom, entrez le nom que vous désirez donner à la forme (30 caractères maximum). 3 Cliquez sur l’élément de motif que vous désirez définir. Si, par exemple, vous voulez définir un élément latéral, cliquez sur le bouton Côtés .
5 Répétez, s’il y a lieu, les étapes 3 et 4 pour appliquer de nouveaux motifs aux autres éléments. 6 Pour définir la taille du motif, entrez une valeur correspondant à l’échelle désirée (afin de conserver les proportions) et indiquez le pas entre les éléments. 7 Pour modifier la symétrie du motif sur le tracé, choisissez Horizontale ou Verticale. 8 Dans la zone Adaptation, spécifiez l’agencement des carreaux le long du tracé. •
épouse parfaitement le tracé. Cette option peut donner une structure inégale au motif.
10 Cliquez sur OK. Remarque : après avoir défini une forme de motif à l’aide du nuancier, vous pouvez supprimer ce motif de la palette Nuancier si vous ne pensez pas le réutiliser. Pour créer un motif à l’aide d’un graphique d’une illustration : 1 Créez ou affichez le graphique que vous souhaitez utiliser comme motif (voir la section « Création et utilisation des motifs », page 226). Assurez-vous que vous créez un graphique pour chacun des éléments du motif (cinq au maximum, en fonction de la configuration souhaitée). 2 Dans la palette Formes, vérifiez que les formes sont affichées par icône (s’il y a lieu, choisissez Affichage par vignette dans le menu de la palette).
5 Dans la zone de texte Nom, entrez le nom que vous désirez donner à la forme (30 caractères maximum). 6 Maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée et faites glisser le graphique correspondant aux éléments supplémentaires sur la section appropriée de l’entrée de la forme dans la palette Formes. Cliquez ensuite sur OK lorsque tous les éléments sont insérés. L’élément latéral apparaît dans la seconde section. En maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée, faites glisser le graphique de l’angle extérieur vers la première section. En maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée, faites glisser le graphique de l’angle intérieur, de début et de fin vers les sections qui restent.
Vous pouvez choisir le mode de coloration des formes diffuses, artistiques et de motif. Pour choisir un mode de coloration : 1 Choisissez une option dans le menu Mode de la boîte de dialogue d’options du type de forme sélectionné. •
Choisissez cette option pour que la forme conserve ses couleurs d’origine.
Pour plus de détails et des exemples sur chaque option, cliquez sur Conseils. Remarque : vous pouvez essayer différents modes de coloration pour obtenir le résultat souhaité. Pour modifier la couleur principale : 1 Dans la boîte de dialogue d’options du type de forme sélectionné, cliquez sur la pipette.
Modification des formes existantes Vous pouvez modifier les formes qui existent déjà. Lorsque vous modifiez les options d’une forme, vous ne pouvez appliquer les modifications qu’aux contours déjà tracés dans l’illustration avec la forme ou n’appliquer les changements qu’aux nouveaux contours. Vous pouvez également modifier les options de contour d’un objet sélectionné sans toucher les autres objets de l’illustration ni modifier les attributs de forme. Pour modifier une forme existante : 1 Cliquez deux fois sur la forme à modifier dans la palette Formes ou sélectionnez la forme, puis choisissez Options de forme dans le menu de la palette. 2 Choisissez une option pour appliquer les modifications aux contours déjà existants. •
1 Sélectionnez une forme dans l’illustration. 2 Choisissez Options de l’objet sélectionné dans le menu de la palette Formes ou cliquez sur le bouton Options de l’objet sélectionné . 3 Modifiez les options et cliquez sur OK. Seuls les objets sélectionnés sont modifiés. Les autres conservent les attributs de forme d’origine (ceux-ci ne sont pas affectés). Lors de la prochaine utilisation de la forme, les attributs courants seront utilisés. Remarque : pour rétablir les options de forme d’origine des objets modifiés, sélectionnez les objets, appliquez-leur une forme différente, puis réappliquez la forme d’origine. Pour modifier les formes par glissement dans votre illustration : 1 Sélectionnez une forme dans la palette Formes. 2 Faites-la glisser dans l’illustration. 3 Effectuez les modifications nécessaires. Faites glisser la forme modifiée dans la palette Formes.
1 Assurez-vous que la palette Formes dans laquelle vous souhaitez importer une forme est ouverte. 2 Choisissez Fenêtre > Bibliothèques de formes > nom de la bibliothèque de formes. Pour rechercher une bibliothèque de formes qui ne se trouve pas dans le dossier Bibliothèques de formes, choisissez Fenêtre > Bibliothèques de formes > Autre bibliothèque. 3 Sélectionnez la forme souhaitée et, si elle ne s’affiche pas automatiquement dans la palette Formes, procédez de l’une des façons suivantes : •
2 Relancez Adobe Illustrator. Pour créer une bibliothèque de formes : 1 Créez un fichier Adobe Illustrator contenant les formes souhaitées dans la Bibliothèque de formes. 2 Enregistrez le fichier dans le dossier Bibliothèques de formes. 3 Relancez Adobe Illustrator.
• Vous pouvez reproduire des illustrations de diverses manières, selon l’origine de l’illustration à calquer et ce que vous souhaitez en faire. •
Plume. Vous pouvez également recourir à un programme spécifique tel qu’Adobe Streamline™. Pour reproduire une forme d’image bitmap : 1 Ouvrez le fichier contenant l’image bitmap à calquer. 2 Activez l’outil Tracé automatique
Les formes et les lignes des images bitmap présentent souvent des discontinuités, que vous distinguez lors de l’agrandissement de l’image. Vous pouvez déterminer la fréquence de ces discontinuités avec l’option Interruption du volet de la boîte de dialogue des préférences Texte et tracé automatique. L’outil ne tient pas compte des interruptions dont la longueur est inférieure ou égale à celle spécifiée. Si, par exemple, l’interruption est de 1, toute discontinuité d’une taille inférieure ou égale à 1 pixel sera ignorée. Pour définir le pas du tracé automatique : 1 Choisissez Edition > Préférences > Texte et tracé automatique (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Texte et tracé automatique (Mac OS X). Entrez 0 (valeur par défaut), 1 ou 2 dans la zone Interruption. La valeur est calculée en nombre de pixels. Cliquez sur OK. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Enregistrer (sauf si vous avez fermé, puis rouvert le fichier). Si une opération ne peut être annulée, la commande Annuler est estompée. En fonction de la mémoire disponible, vous pouvez annuler un nombre illimité d’opérations, de la plus récente à la plus ancienne, en choisissant plusieurs fois de suite la commande Annuler. En règle générale, le nombre de niveaux d’annulation n’a aucune influence sur les performances d’Illustrator. Toutefois, si vous essayez d’afficher des illustrations élaborées, un message peut vous inviter à réduire ce nombre en raison d’une insuffisance de mémoire. Vous pouvez également récupérer la dernière version enregistrée d’un fichier (sauf si vous avez fermé, puis rouvert le fichier). Pour annuler ou rétablir une opération : Choisissez Edition > Annuler ou Edition > Rétablir. Vous pouvez utiliser la commande Annuler autant de fois que nécessaire, à condition que vous disposiez sur votre système de suffisamment d’espace mémoire. Pour modifier le nombre minimal de niveaux d’annulation : 1 Choisissez Edition > Préférences > Unités et annulation (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Unités et annulation (Mac OS X). 2 Entrez une valeur dans la zone Niveaux mini. d’annulations, puis cliquez sur OK. Le nombre d’annulations par défaut est de 5. Pour revenir à la dernière version enregistrée du fichier : Choisissez Fichier > Version précédente. Cette opération ne peut pas être annulée.
Illustrator dispose de deux règles : l’une, horizontale, en haut de la fenêtre d’illustration, et l’autre, verticale, sur la gauche. Lorsque vous ouvrez un nouveau document, les règles sont masquées, mais vous pouvez les afficher à tout moment. Ces règles vous permettent de placer et de mesurer avec précision les objets sur le plan de travail. Lorsque vous faites défiler le document ou que vous utilisez le zoom, les règles s’ajustent en conséquence. Pour afficher ou masquer les règles : Choisissez Affichage > Afficher les règles ou Affichage > Masquer les règles.
L’unité de mesure définie pour les règles s’applique également à la mesure, au déplacement ou à la transformation d’objets, à la définition du pas du quadrillage et des repères, ainsi qu’à la création d’ellipses et de rectangles. Elle n’est pas généralisée aux unités des palettes Caractère et Paragraphe où le corps, l’interligne, le décalage vertical, l’épaisseur du trait et les pointillés sont toujours mesurés avec les unités définies dans le menu déroulant Texte du volet des préférences Unités et annulation (voir la section « Choix des attributs de texte », page 278). Pour définir l’unité de mesure de la règle pour tous les fichiers : 1 Choisissez Edition > Préférences > Unités et annulation (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Unités et annulation (Mac OS X). 2 Dans le menu déroulant Générales, choisissez l’unité de mesure souhaitée, puis cliquez sur OK. Pour définir l’unité de mesure de la règle uniquement pour le fichier actif : 1 Choisissez Fichier > Format de document. Choisissez Plan de travail dans le menu déroulant en haut à gauche de la boîte de dialogue Format de document. 2 Dans le menu déroulant Unités, choisissez l’unité de mesure souhaitée, puis cliquez sur OK. Vous pouvez par ailleurs redéfinir rapidement les unités de mesure. Pour cela, cliquez sur les règles avec le bouton droit de la souris (Windows) ou cliquez en maintenant la touche Ctrl enfoncée (Mac OS), puis sélectionnez l’unité de mesure appropriée dans le menu qui s’affiche.
Si vous saisissez des valeurs dans une unité autre que l’unité prédéfinie, Illustrator les convertit automatiquement. Si, par exemple, vous entrez 3 cm dans une zone de texte utilisant le pouce comme unité de mesure, la valeur est convertie en 1,181 pouces. Vous pouvez également effectuer des additions, soustractions, multiplications ou divisions, définir des pourcentages ou effectuer toute autre opération mathématique dans une zone de texte Illustrator acceptant des valeurs numériques. Vous pouvez, par exemple, définir la taille d’un rectangle en spécifiant 72 pt + 2 cm pour la hauteur. Illustrator effectue les calculs et applique le résultat. Les règles suivantes s’appliquent lorsque vous saisissez des valeurs d’unité :
Sur chaque règle, le point ayant pour coordonnée 0 est appelé origine. Lorsque vous ouvrez un document, l’origine est placée en fonction de l’option Affichage définie dans le volet Plan de travail de la boîte de dialogue Format de document. Si vous avez sélectionné l’option Pleine page ou Zones juxtaposées, elle se situe dans le coin inférieur gauche de la page 1. Si vous modifiez la valeur des règles pour un document, la nouvelle valeur sera appliquée par défaut chaque fois que vous ouvrirez ce document. Le déplacement de l’origine des règles est possible à tout moment. Vous pouvez ainsi travailler sur une carte au format 3 x 5 pouces centrée sur une page au format 8,5 x 11 pouces. Définissez l’origine des règles sur les valeurs 3 x 5 pouces de l’illustration plutôt que sur les valeurs 8,5 x 11 pouces de la page pour améliorer la précision de votre travail. Remarque : la position de l’origine influe sur la disposition des motifs et sur le cadre de sélection défini avec la commande Séparations (voir la section « Emplacement du cadre de l’illustration sur le film de séparation », page 389). Pour modifier l’origine des règles : 1 Pointez à l’intersection des règles dans le coin supérieur gauche. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Pour mesurer la distance entre deux points : 1 Sélectionnez l’outil Mesure
Pour faciliter l’alignement du texte et des objets graphiques sur une page, il est possible d’utiliser des grilles d’arrière-plan ou de créer et d’afficher des marques d’alignement appelées repères. Les grilles apparaissent sous forme de lignes ou de pointillés en surimpression sur l’illustration entière, mais ne s’impriment pas. Elles servent à disposer des objets ou éléments de façon symétrique. Les illustrations et outils sélectionnés sont magnétisés à la grille si l’option Magnétisme de la grille est activée. L’espacement, la couleur et le style de la grille peuvent varier d’un fichier à un autre. Remarque : lorsque le document est affiché en mode Aperçu en pixels, la commande Magnétisme de la grille du menu Affichage devient Magnétisme du pixel (pour plus de détails, voir la section « Utilisation du mode Aperçu en pixels », page 319). Les repères font office d’outils d’alignement, mais ne s’impriment pas. Tout objet peut servir de repère d’alignement pour une image. Les illustrations et outils sélectionnés peuvent être magnétisés aux repères lorsqu’ils se trouvent dans l’espace de tolérance de ceux-ci. La couleur et le style de repères sont identiques pour tous les fichiers (voir la section « Définition des préférences des repères et de la grille », page 105).
Il existe deux sortes de repères : •
1 S’il y a lieu, choisissez Affichage > Afficher les règles. 2 Pointez sur la règle de gauche ou sur la règle supérieure selon que vous souhaitez un repère vertical ou horizontal. Maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée pour transformer un repère vertical en repère horizontal, et inversement. 3 Faites glisser le repère de règle jusqu’à la position souhaitée. Pour faciliter le travail avec plusieurs repères, placez-les tous sur le même calque. Il suffit ensuite de choisir le calque pour sélectionner tous les repères et les déplacer ou les modifier (voir la section « Calques », page 236). Pour convertir un objet graphique en objet repère : 1 Sélectionnez un objet, un groupe d’objets ou toute combinaison d’objets et de groupes. 2 Choisissez Affichage > Repères > Créer des repères. Pour déplacer, supprimer ou annuler un repère : 1 Choisissez Affichage > Repères > Verrouiller les repères pour verrouiller ou déverrouiller le repère. Lorsqu’un repère est verrouillé, cette commande est cochée. 2 Sélectionnez le repère à déplacer, supprimer ou annuler puis, selon le cas : •
Repères > Masquer les repères pour tous les masquer.
Vous avez le choix entre deux styles de grille (pointillés et lignes) et pouvez notamment remplacer leur couleur soit par des couleurs de grille prédéfinies, soit par des couleurs choisies dans un sélecteur de couleurs.
Choisissez Préférences > Repères et grille pour définir la couleur et le style des repères et de la grille, ainsi que l’espacement de la grille. Pour définir les préférences de repères et de grille : 1 Choisissez Edition > Préférences > Repères et grille (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Repères et grille (Mac OS X). 2 Définissez les options des repères et de la grille. •
L’endroit auquel vous sélectionnez un objet marque son point de magnétisme. Illustrator définit automatiquement des points complémentaires sur l’illustration pour créer des repères et des points de magnétisation. Ces points sont déterminés par les derniers objets sur lesquels le pointeur est passé avec l’objet sélectionné. Vous pouvez créer des repères commentés qui se croisent en passant sur deux lignes de repères commentés, puis en amenant l’objet sélectionné sur le point d’intersection. Lorsque vous créez, alignez, déplacez, modifiez ou transformez un objet, les repères commentés s’affichent à partir d’un point d’ancrage quelconque d’un objet avoisinant sur lequel le pointeur est passé récemment. La direction, l’angle, la tolérance et l’aspect des repères commentés sont définis par les options de la boîte de dialogue Préférences. Pour activer ou désactiver les repères commentés : Choisissez Affichage > Repères commentés. Lorsque les repères commentés sont activés, cette commande est cochée.
Lorsque les repères commentés sont activés et que vous déplacez le pointeur sur l’illustration, celui-ci est magnétisé aux objets, limites de page et intersections de repères de construction qui se trouvent dans le périmètre de tolérance de magnétisme défini dans le volet des préférences Repères commentés. Lorsque vous créez, déplacez ou transformez des objets, vous pouvez faire plusieurs usages des repères commentés. •
La sélection d’objets s’opère au moyen des outils suivants : •
A l’aide d’un outil de sélection, maintenez la touche Maj enfoncée et cliquez ou faites glisser le pointeur sur le tracé ou le segment de tracé à désactiver. Pour élargir ou réduire une sélection avec les outils Sélection, Sélection directe ou Sélection directe progressive : Maintenez la touche Maj enfoncée en sélectionnant ou désélectionnant d’autres objets ou segments. Pour élargir ou réduire une sélection avec les outils Lasso ou Lasso direct : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Le cadre de sélection dessine une bordure provisoire autour de l’objet sélectionné. Vous pouvez voir un contour de l’objet sélectionné lorsque vous le faites glisser. Lorsque vous relâchez le bouton de la souris, l’objet se place automatiquement sur le bord actif créé par le cadre, et vous pouvez apercevoir le contour de l’objet flotter.
Pour déplacer ces objets, les dupliquer ou les mettre à l’échelle, utilisez l’outil Sélection . Remarque : vous pouvez également déplacer et redimensionner les objets sélectionnés ou effectuer toute autre transformation à l’aide de l’outil Transformation manuelle, des outils de transformation et de la palette Transformation (voir la section « Transformation d’objets sélectionnés », page 124). Lorsque vous faites pivoter un objet, son cadre de sélection subit la même rotation. Pour recadrer le cadre de sélection sur la page, choisissez Objet > Transformation > Réinitialiser le cadre de sélection. Pour afficher ou masquer le cadre de sélection : Choisissez Affichage > Afficher le cadre de sélection ou Affichage > Masquer le cadre de sélection. Pour déplacer des objets avec leur cadre de sélection : 1 Sélectionnez un ou plusieurs objets à l’aide de l’outil Sélection. 2 Faites glisser la sélection en pointant sur un endroit quelconque (mais pas sur une poignée). Pour faire pivoter des objets avec leur cadre de sélection : 1 Sélectionnez un ou plusieurs objets à l’aide de l’outil Sélection.
1 Sélectionnez un ou plusieurs objets à l’aide de l’outil Sélection. 2 Maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée et faites glisser la sélection en pointant sur un endroit quelconque (mais pas sur une poignée).
L’option Sélection du fond des objets du volet des préférences générales détermine s’il suffit, en mode Aperçu, de cliquer sur un point quelconque d’un objet avec fond pour le sélectionner ou s’il faut cliquer sur un segment du tracé ou un point d’ancrage. Cette option est cochée par défaut. Dans certains cas, vous pouvez la désactiver pour manipuler, par exemple, des objets superposés dotés d’un fond.
1 Choisissez Edition > Préférences > Générales (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Générales (Mac OS X). 2 Cochez ou désactivez la case Sélection du fond des objets et cliquez sur OK.
Vous pouvez sélectionner plusieurs objets en même temps et les déplacer, les doter d’attributs de dessin, les associer, les transformer ou les modifier à l’aide des outils d’édition. Lorsque vous avez fini de travailler sur un objet, désélectionnez-le. Vous pouvez désactiver un seul objet, plusieurs objets ou tous les objets de l’illustration.
Procédez de l’une des façons suivantes : •
Sélectionner > Même(s) > Mode de fusion, Contour et fond, Couleur de fond, Opacité, Couleur de contour, Epaisseur de contour, Style ou Instance de symbole. 3 Pour sélectionner tous les objets dotés de l’un des attributs suivants, choisissez Sélectionner > Objet > Tout sur un même calque, Poignées directrices, Contours, Masques d’écrêtage, Points isolés ou Objets texte. Remarque : vous pouvez vous servir de la baguette magique pour sélectionner tous les objets dont la couleur, l’épaisseur de tracé, la couleur de contour, l’opacité ou le mode de fusion sont identiques. (voir la section « Utilisation de l’outil Baguette magique », page 112).
1 Procédez de l’une des façons suivantes pour ouvrir la palette Baguette magique : •
Pour mémoriser une sélection : 1 Sélectionnez un ou plusieurs objets sur le plan de travail, puis choisissez Sélection > Mémoriser la sélection. 2 Dans la boîte de dialogue Mémoriser la sélection, spécifiez un nom dans la zone de texte Nom, puis cliquez sur OK. La nouvelle sélection apparaît dans le menu Sélection. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Transformation répartie. Vous pouvez également copier des objets par glissement entre des fichiers Illustrator et des fichiers Photoshop ouverts. Remarque : vous pouvez déplacer des objets à l’aide de la palette Transformation (voir la section « Utilisation de la palette Transformation », page 132). Pour définir les préférences générales de déplacement des objets : 1 Choisissez Edition > Préférences > Générales (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Générales (Mac OS X). 2 Choisissez les options de préférences. • Inclinaison des axes pour faire pivoter les axes x et y. L’inclinaison des axes détermine le tracé et le déplacement des objets lorsque vous maintenez la touche Maj enfoncée (voir la section « Inclinaison des axes x et y », page 119).
« Création et utilisation des motifs », page 226).
Pour définir les préférences générales de clavier qui régissent le déplacement des objets : 1 Choisissez Edition > Préférences > Générales (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Générales (Mac OS X). 2 Dans la zone de texte Incréments clavier, entrez la distance de déplacement que chaque pression d’une touche fléchée imposera à une sélection, puis cliquez sur OK. Pour déplacer ou copier un objet en le collant : 1 Sélectionnez un ou plusieurs objets que vous souhaitez couper ou copier.
2 Pointez sur un point d’ancrage ou un segment de tracé de l’objet sélectionné. En mode Aperçu, vous pouvez cliquer en tout point de l’objet lorsque l’option Sélection du fond des objets est activée dans les préférences générales. 3 Faites glisser l’objet vers son nouvel emplacement. Maintenez la touche Maj enfoncée pour contraindre le déplacement à un multiple de 45 degrés. Vous pouvez utiliser la commande Magnétisme du point du menu Affichage pour attirer le pointeur sur un point d’ancrage ou un repère lorsque vous faites glisser un objet à moins de 2 pixels de ce point ou de ce repère. Lorsque la commande Magnétisme du point est activée, une coche apparaît devant son nom dans le menu. Pour déplacer une réplique de l’objet, maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée et faites glisser la réplique. Remarque : vous pouvez employer cette technique pour déplacer des copies d’objet vers un autre document Illustrator ou Photoshop (voir la section « Utilisation de la fonction de glisser-déposer pour copier des illustrations », page 116). Pour déplacer un objet à l’aide des touches fléchées : 1 Sélectionnez l’objet. 2 Appuyez sur la touche fléchée correspondant à la direction souhaitée. La distance de déplacement de l’objet à chaque pression de la touche fléchée dépend de la valeur indiquée dans la zone Incréments clavier du volet des préférences générales. Par défaut, cette distance est de 1 point (1/72 de pouce, soit 0,3528 mm). Pour déplacer une sélection à l’aide de l’outil Transformation manuelle : 1 A l’aide de l’outil Sélection , sélectionnez un ou plusieurs objets à déplacer. 2 Sélectionnez l’outil Transformation manuelle
Sélection ou appuyer sur la touche Entrée ou Retour pour ouvrir la boîte de dialogue Déplacement. La boîte de dialogue Déplacement montre le résultat de la précédente opération de déplacement ou de mesure, exprimé dans l’unité de mesure choisie dans le volet des préférences Unités et annulation. 3 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Illustrator et d’autres produits Adobe, comme Adobe Photoshop, Adobe Streamline ™, Adobe® Dimensions® et Adobe Premiere. Le Presse-papiers est particulièrement utile pour l’importation de tracés, car ceux-ci y sont copiés sous forme de descriptions en langage PostScript. Lorsque vous copiez une sélection dans le Presse-papiers, elle est copiée au format PICT et, selon l’option spécifiée, au format PDF ou AICB (similaire au format EPS). L’illustration copiée dans le Presse-papiers est collée au format PICT dans la plupart des autres applications. Toutefois, d’autres applications utilisent la version PDF (Adobe InDesign) ou AICB (Adobe Photoshop). Le format PDF préserve la transparence, tandis que le format AICB décompose les sélections en plusieurs objets opaques plus petits, ce qui produit une impression générale de transparence. Si vous optez pour le second, vous pouvez également préciser si vous souhaitez préserver l’aspect général de la sélection ou copier la sélection comme un ensemble de tracés (ce qui peut être utile dans Photoshop).
1 Sélectionnez un ou plusieurs objets que vous voulez copier dans un fichier autre qu’Illustrator. Choisissez ensuite Edition > Copier. 2 Dans le fichier Illustrator dans lequel vous voulez coller l’objet, choisissez Edition > Coller. Remarque : certains formats de fichiers ne peuvent être collés directement dans Illustrator, mais peuvent y être déposés par l’intermédiaire d’applications prenant en charge la fonction de glisser-déposer.
La fonction de glisser-déposer vous permet de copier et de déplacer des images entre Illustrator et d’autres applications. Sous Windows, l’autre application doit être compatible OLE. Pour copier un objet OLE contenant des données .psd, utilisez le Presse-papiers OLE (voir votre documentation Windows). La fonction de glisser-déposer appliquée à des graphiques vectoriels depuis Adobe Illustrator ou d’autres applications utilisant le Presse-papiers convertit l’illustration en image bitmap (appelée aussi format pixellisé). Sur Mac OS, l’application doit prendre en charge la fonction Macintosh Drag Manager. Pour glisser-déposer des illustrations entre Illustrator et le bureau (Mac OS seulement) : 1 Sélectionnez l’illustration à copier. 2 Faites glisser la sélection vers le bureau. Les sélections sont copiées sur le bureau sous forme de coupures graphiques, que vous pouvez faire glisser et déposer dans le document cible et qui sont converties au format PICT lorsqu’elles sont déposées sur le bureau. Pour glisser-déposer une illustration dans une fenêtre d’image Photoshop : 1 Sélectionnez l’illustration à copier. 2 Ouvrez l’image Photoshop dans laquelle vous voulez copier la sélection. 3 Faites glisser l’illustration vers la fenêtre Photoshop et, lors de l’apparition d’un contour noir, relâchez le bouton de la souris. Pour placer la sélection au centre de l’image Photoshop, maintenez d’abord la touche Maj enfoncée.
Pour effectuer un glisser-déposer des illustrations dans Illustrator depuis Photoshop : 1 Ouvrez l’image Photoshop à partir de laquelle vous voulez effectuer la copie. 2 Sélectionnez l’illustration à copier. 3 Activez l’outil Déplacement , puis faites glisser la sélection de Photoshop vers le fichier Illustrator.
La palette Alignement permet d’aligner les objets sélectionnés sur l’axe spécifié. Vous pouvez les aligner verticalement sur leurs points d’ancrage droits, gauches ou centraux, ou horizontalement sur leurs points d’ancrage supérieurs, inférieurs ou centraux. Remarque : les options d’alignement de texte prévalent sur les options d’alignement d’objets (voir la section « Alignement », page 296). De plus, il est possible de répartir, et même d’espacer, des objets uniformément le long de l’axe vertical ou horizontal. Pour aligner ou répartir des objets : 1 Sélectionnez les objets à aligner ou répartir. 2 Choisissez Fenêtre > Alignement. La palette Alignement contient les options Alignement d’objets et Distribution d’objets. Si les options Distribution d’espace ne s’affichent pas, choisissez Afficher les options dans le menu déroulant de la palette. 3 Cliquez sur l’objet sur lequel aligner les autres objets. 4 Cliquez sur le bouton correspondant au type d’alignement ou de répartition souhaité.
L’option Déplacement de la boîte de dialogue Transformation répartie déplace les objets composant une sélection dans la direction spécifiée ou dans une direction quelconque. Vous pouvez utiliser l’option Aléatoire pour donner à un groupe d’éléments un aspect moins rigide, plus naturel. Si, par exemple, vous dessinez un mur de briques, l’option Aléatoire permet de faire apparaître les briques légèrement décalées les unes par rapport aux autres, et non parfaitement alignées. Pour déplacer des groupes d’objets : 1 Sélectionnez les objets que vous souhaitez déplacer. 2 Choisissez Objet > Transformation > Transformation répartie.
Vous pouvez appliquer la commande Décalage en tant que filtre ou effet. Pour plus de détails sur les effets, voir la section « Utilisation des effets », page 258. Utilisez la commande Décalage pour « convertir » une forme de filet en un tracé ordinaire. Si, par exemple, vous avez décomposé une enveloppe ou souhaitez convertir une forme de filet pour l’utiliser dans une autre application, appliquez le filtre de décalage en définissant une valeur de 0, puis supprimez la forme de filet. Retouchez ensuite le reste du tracé. Pour créer un tracé décalé : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
1 Sélectionnez l’objet. 2 Appuyez sur la touche Retour arrière ou Suppr (Windows) ou Retour arrière (Mac OS) ou choisissez Edition > Effacer ou Edition > Couper.
Il est intéressant de faire pivoter les axes lorsque certains éléments de l’illustration sont eux-mêmes inclinés selon le même angle. Si, par exemple, un logo et son texte sont inclinés à 20 degrés, au lieu de faire pivoter chaque élément que vous ajoutez au logo, il suffit de faire pivoter les axes de 20 degrés. Tout nouveau dessin sera alors orienté selon ces nouveaux axes. y
1 Choisissez Edition > Préférences > Générales (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Générales (Mac OS X). 2 Dans la zone de texte Inclinaison des axes, entrez l’angle de rotation souhaité. Une valeur positive incline les axes vers la gauche, tandis qu’une valeur négative les incline vers la droite. Cliquez ensuite sur OK. L’inclinaison des axes est enregistrée dans le fichier de préférences d’Adobe Illustrator. Elle s’applique donc aux nouvelles illustrations, dans tous les documents, tant que vous ne la modifiez pas ou ne supprimez pas le fichier de préférences. La nouvelle orientation des axes a une incidence sur les actions et objets suivants : •
« Masques d’écrêtage », page 163). Vous pouvez à tout moment modifier l’ordre d’empilement (appelé aussi ordre de dessin) des objets de votre illustration. En décomposant l’illustration en plusieurs calques, vous pouvez agir sur l’affichage des objets superposés. Remarque : l’association des objets peut influer sur la manière dont ils se superposent aux objets non associés de l’illustration (voir la section « Association et dissociation d’objets », page 121).
Les commandes Premier plan et Arrière-plan permettent de faire passer un objet à l’avant ou à l’arrière d’une pile d’objets sur un calque. Les commandes En avant et En arrière permettent de faire passer un objet juste devant ou derrière un autre dans la pile d’objets. Si l’objet fait partie d’un groupe (objet masqué, tracé transparent, texte ou objet habillé), il est déplacé à l’intérieur de ce groupe et non par rapport au calque tout entier. Pour faire passer un objet au premier plan ou à l’arrière-plan du même groupe ou calque : 1 Sélectionnez l’objet à déplacer. 2 Choisissez Objet > Disposition > Premier plan ou Objet > Disposition > Arrière-plan. Pour déplacer un objet d’un calque vers l’avant ou vers l’arrière dans une pile : 1 Sélectionnez l’objet à déplacer. 2 Choisissez Objet > Disposition > En avant ou Objet > Disposition > En arrière.
Les commandes Coller devant et Coller derrière permettent de coller directement la copie d’un objet soit devant, soit derrière des objets sélectionnés. Cela peut se révéler utile si vous souhaitez ensuite déplacer la réplique à une distance précise de l’original. Ces commandes vous permettent également de coller l’illustration dans un nouveau fichier à la même position que dans l’ancien fichier, par rapport à l’origine de la page.
L’objet coupé est collé à la position correspondante. Si vous n’avez effectué aucune sélection à l’étape 3, l’objet est collé au premier plan ou à l’arrière-plan de la pile. Si vous collez plusieurs objets, tous les objets collés apparaissent devant ou derrière la sélection. Toutefois, l’ordre de dessin relatif entre les objets collés reste identique. Si votre document comporte plusieurs calques définis avec la palette Calques, ceux-ci influent sur la manière dont les objets sont collés (voir la section « Modification de l’ordre d’empilement des illustrations à l’aide de la palette Calques », page 243).
Les objets collés (même copiés à partir de calques différents) sont placés directement devant ou derrière tous les objets sélectionnés du calque actif si l’option Coller selon les calques est désactivée dans le menu de la palette Calques. Toutefois, l’ordre de dessin relatif entre les objets collés reste identique. Lorsque l’option Coller selon les calques est activée, les objets sont toujours collés sur leur calque d’origine (voir la section « Collage d’illustrations entre les calques », page 244). Pour coller des objets sur le calque actif : Assurez-vous que l’option Coller selon les calques est désactivée dans le menu de la palette Calques.
Il est possible d’associer (grouper) plusieurs objets de façon à les traiter comme un tout. Vous pouvez ainsi déplacer ou transformer plusieurs objets différents sans agir sur la position ni les attributs de chacun. Par exemple, vous pouvez associer tous les objets d’un logo, afin de pouvoir le déplacer ou le redimensionner d’un seul bloc. Un groupe peut à son tour être associé (imbriqué) à d’autres objets ou groupes pour former un autre groupe plus vaste. Pour associer ou dissocier des objets : 1 Sélectionnez les objets à associer ou à dissocier. Même si vous ne sélectionnez qu’une partie d’un objet, l’opération portera sur la totalité de l’objet. 2 Choisissez Objet > Associer ou Objet > Dissocier.
Si, une fois que des objets sont associés, vous sélectionnez une partie du groupe avec l’outil Sélection ou Lasso, tout le groupe est sélectionné. Si vous ne savez pas si un objet est associé ou non, sélectionnez-le avec l’outil Sélection. 2 Cliquez au même endroit autant de fois que nécessaire pour sélectionner tous les objets qui vous intéressent.
Les objets associés doivent être superposés sur le même calque que l’illustration. Le fait d’associer des objets peut donc modifier à la fois leur répartition sur les calques et leur superposition sur un calque donné (voir les sections « Empilement des objets », page 120 et « Calques », page 236). Les objets associés sont « empilés » derrière l’objet du groupe placé au premier plan. Si vous associez deux objets séparés dans la pile par un objet indépendant, ce dernier passe derrière le groupe.
Choisissez l’une des options suivantes : •
Verrouiller > Sélection. Pour afficher tous les objets : Choisissez Objet > Tout afficher. Tous les objets précédemment masqués sont affichés, et les objets précédemment sélectionnés restent sélectionnés. Pour déverrouiller ou afficher tous les objets appartenant au groupe sélectionné : 1 Sélectionnez un élément non verrouillé et visible du groupe. 2 Maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée, puis choisissez Objet > Tout déverrouiller ou Objet > Tout afficher.
Vous pouvez, par exemple, modifier par rotation l’angle d’un objet. Pour transformer un objet, vous pouvez utiliser les outils de transformation, l’outil Transformation manuelle ou la palette Transformation. •
Pour redéfinir le point d’origine : 1 Sélectionnez l’objet à transformer.
2 Pointez à proximité de la poignée de façon à ce que le pointeur se transforme en . 3 Faites glisser la poignée. Pour effectuer une rotation à l’aide de l’outil Transformation manuelle : 1 A l’aide de l’outil Sélection , sélectionnez le ou les objets que vous souhaitez faire pivoter. 2 Sélectionnez l’outil Transformation manuelle
Pour effectuer une rotation à l’aide de l’outil Rotation : 1 A l’aide de l’outil Sélection, sélectionnez le ou les objets que vous souhaitez faire pivoter. 2 Sélectionnez l’outil Rotation . 3 Effectuez l’une des opérations suivantes : • 5 Procédez de l’une des façons suivantes : •
1 Sélectionnez le ou les objets à faire pivoter, puis choisissez Objet > Transformation > Transformation répartie. 2 Dans la zone de texte Angle, entrez l’angle de rotation des objets (valeur comprise entre -360˚ et 360˚). 3 Pour prévisualiser l’effet avant de l’appliquer, cochez la case Aperçu, puis cliquez sur OK.
La mise à l’échelle d’un objet consiste à l’agrandir ou à le réduire à l’horizontale (axe des x), à la verticale (axe des y) ou les deux à la fois, à partir du point d’origine que vous avez défini. Par défaut, ce point d’origine correspond au centre de l’objet.
Pour modifier l’échelle à l’aide du cadre de sélection : 1 A l’aide de l’outil Sélection, sélectionnez le ou les objets dont vous voulez modifier la taille. 2 Faites glisser l’une des poignées jusqu’à ce que vous obteniez la taille souhaitée. •
1 A l’aide de l’outil Sélection, sélectionnez le ou les objets dont vous voulez modifier la taille. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
échelle uniforme avec le point d’origine par défaut spécifié (droite).
2 Sélectionnez l’outil Miroir . 3 Cliquez sur un point de l’axe invisible par rapport auquel vous souhaitez que s’opère la symétrie pour définir le point d’origine. Le pointeur se transforme en flèche. 4 Pointez sur un autre endroit de l’axe de symétrie et procédez de l’une des façons suivantes : •
Maintenez la touche Maj enfoncée pour contraindre l’effet à un multiple de 45˚. A mesure que vous faites glisser, l’axe de symétrie tourne autour du point sur lequel vous avez cliqué à l’étape 3. Lorsque le résultat vous convient, relâchez le bouton de la souris.
4 Si l’objet contient des motifs et que vous voulez créer leur symétrique, sélectionnez Motifs (pour créer le symétrique des motifs uniquement, désélectionnez Objets). 5 Pour prévisualiser l’effet avant de l’appliquer, cochez la case Aperçu. 6 Procédez de l’une des façons suivantes : •
1 A l’aide de l’outil Sélection, sélectionnez le ou les objets que vous voulez déformer. 2 Sélectionnez l’outil Transformation manuelle
1 A l’aide de l’outil Sélection, sélectionnez le ou les objets à déformer. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Déformation ou cliquez deux fois sur l’outil Déformation. Dans le cas d’un axe oblique, entrez son angle en degrés, par rapport à l’axe des x. 5 Pour prévisualiser l’effet avant de l’appliquer, cochez la case Aperçu. 6 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Pour distordre un objet à l’aide de l’outil Transformation manuelle : 1 A l’aide de l’outil Sélection, sélectionnez le ou les objets que vous voulez distordre. 2 Sélectionnez l’outil Transformation manuelle
Une fois la transformation effectuée, vous pouvez redonner à l’objet son orientation initiale. Pour réinitialiser l’angle du cadre de sélection : Choisissez Objet > Transformation > Réinitialiser le cadre de sélection.
Il peut être pratique de répéter plusieurs fois une transformation, en particulier lors de la copie d’objets. La commande Répéter du menu Objet permet de renouveler la dernière transformation (déplacement, mise à d’échelle, rotation, symétrie, déformation) autant de fois que nécessaire, jusqu’à l’application d’un nouveau type de transformation. Pour répéter la dernière transformation : 1 Assurez-vous que l’objet voulu est sélectionné avant de répéter la transformation. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
La palette Transformation affiche les informations relatives à l’emplacement, la taille et l’orientation d’un ou plusieurs objets sélectionnés. Vous pouvez modifier les objets sélectionnés en entrant de nouvelles valeurs. Les valeurs affichées dans la palette s’appliquent au cadre de sélection des objets. Vous pouvez également utiliser les commandes du menu de la palette Transformation pour effectuer certaines autres opérations, notamment créer le symétrique d’un objet par rapport à son tracé ou mettre à l’échelle l’épaisseur des contours. Pour utiliser la palette Transformation : 1 Choisissez Fenêtre > Transformation. 2 A l’aide de l’outil Sélection, sélectionnez le ou les objets que vous voulez transformer.
Pour utiliser les commandes du menu de la palette Transformation : 1 Choisissez Fenêtre > Transformation. 2 A l’aide de l’outil Sélection, sélectionnez le ou les objets que vous voulez transformer. 3 Choisissez une commande dans le menu de la palette. •
Générales (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Générales (Mac OS X), sélectionnez l’option Utiliser les limites d’aperçu, puis cliquez sur OK.
La décomposition d’un objet déformé supprime l’effet de déformation, mais laisse l’objet à l’état de déformation. Pour appliquer un effet de déformation : 1 Sélectionnez l’objet ou le groupe d’objets à déformer. 2 Choisissez Effet > Déformation, puis choisissez une forme de déformation prédéfinie. 3 Sélectionnez Horizontal ou Vertical pour spécifier l’axe qui sera affecté par la distorsion. 4 Spécifiez le taux de distorsion à appliquer. 5 Spécifiez la distorsion horizontale et verticale, puis cliquez sur OK. Pour supprimer un effet de déformation : Faites glisser l’objet déformé de la palette Aspect vers la corbeille. Pour décomposer un effet de déformation : Sélectionnez l’objet déformé et choisissez Objet > Décomposer l’aspect.
Les enveloppes sont des objets servant à appliquer une distorsion ou une déformation aux objets sélectionnés. Vous pouvez créer des enveloppes d’après les objets du plan de travail, ou utiliser une déformation prédéfinie ou le filet d’un objet comme enveloppe. Une enveloppe peut s’appliquer à toutes les illustrations, sauf aux objets liés (autres que les fichiers TIFF, GIF et JPEG), aux graphes et aux repères. Vous pouvez appliquer les enveloppes aux tracés, tracés transparents, objets texte, filets, dégradés et images pixellisées.
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Pour créer une enveloppe d’après un filet : 1 Sélectionnez l’objet ou le groupe d’objets dans l’illustration, et choisissez Objet > Distorsion de l’enveloppe > Créer d’après un filet. 2 Spécifiez le nombre de rangées et de colonnes du filet. Cliquez ensuite sur OK. Pour créer une enveloppe d’après un tracé : 1 Sélectionnez l’objet ou le groupe d’objets à déformer, et le tracé de l’objet que vous voulez utiliser pour l’enveloppe. Assurez-vous que le tracé choisi est au premier plan dans l’ordre d’empilement. 2 Choisissez Objet > Distorsion de l’enveloppe > Créer d’après l’objet au premier plan. Remarque : pour appliquer un contour ou un fond à une enveloppe, utilisez la palette Aspect (voir la section « Utilisation des attributs d’aspect », page 250).
Lorsque vous créez une enveloppe, Illustrator associe cette dernière avec l’illustration originale. Vous pouvez dès lors modifier l’enveloppe ou l’illustration, mais pas les deux en même temps. Lorsque vous modifiez un texte à l’intérieur d’une enveloppe, activez les repères commentés pour faciliter la saisie. Pour modifier l’illustration originale dans une enveloppe : Sélectionnez l’enveloppe et choisissez Objet > Distorsion de l’enveloppe > Modifier le contenu. La palette Calques affiche un petit triangle à gauche de l’entrée <Enveloppe> pour vous permettre d’accéder au contenu (voir la section « Utilisation de la palette Calques », page 236). Remarque : lorsque vous modifiez le contenu d’une enveloppe, celle-ci se déplace pour que le contenu original soit recentré. Pour revenir au mode d’édition original, choisissez Objet > Distorsion de l’enveloppe > Modifier l’enveloppe. Pour modifier la distorsion d’une déformation ou d’un filet d’enveloppe : 1 Sélectionnez l’enveloppe dans l’illustration (si nécessaire, choisissez Objet > Distorsion de l’enveloppe > Modifier l’enveloppe). 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
La décomposition d’une enveloppe supprime l’enveloppe de l’objet, mais celui-ci reste déformé. Pour plus de détails sur la décomposition d’un motif ou d’un fond d’enveloppe, voir la section « Définition des options d’enveloppe », page 136. Pour annuler une enveloppe : Sélectionnez l’enveloppe dans l’illustration et choisissez Objet > Distorsion de l’enveloppe > Annuler. Pour décomposer une enveloppe : Sélectionnez l’enveloppe dans l’illustration et choisissez Objet > Distorsion de l’enveloppe > Décomposer.
Vous pouvez définir des options pour indiquer, éventuellement, les attributs d’enveloppe à décomposer pour l’objet original, ainsi que la précision de distorsion de l’illustration pour qu’elle tienne dans l’enveloppe. Pour définir les options d’enveloppe : 1 Sélectionnez l’enveloppe dans l’illustration et choisissez Objet > Distorsion de l’enveloppe > Options d’enveloppe. 2 Sélectionnez Lissage pour lisser les trames déformées avec l’enveloppe. Désélectionnez l’option Lissage pour réduire le temps de distorsion des trames. 3 L’option Conserver la forme par vous permet de spécifier comment les trames conservent leur forme lorsqu’elles sont déformées par des enveloppes non rectangulaires : •
Remarque : si vous décomposez l’enveloppe avec une option Distorsion sélectionnée, la propriété correspondante est décomposée séparément.
Illustrator propose divers outils de fluidité pour modifier la forme d’un objet. Ces outils permettent de modifier la forme originale d’un objet. Pour déformer un objet à l’aide des outils de fluidité, maintenez tout simplement le bouton de la souris enfoncé et faites glisser l’outil sur l’objet ; vous ajoutez ainsi des points d’ancrage et ajustez les tracés. Remarque : vous ne pouvez pas appliquer les outils de fluidité sur les objets contenant du texte, des graphes ou des symboles. Utilisez l’un des outils suivants pour déformer un objet : Outil Déformation Permet d’étirer les objets comme s’ils étaient en argile. Lorsque vous faites glisser ou tirez sur des parties d’un objet avec cet outil, les zones affectées s’atténuent. Outil Tourbillon
2 Cliquez ou faites glisser l’outil sur l’objet à déformer. Pour définir les options de l’outil de fluidité : 1 Cliquez deux fois sur l’outil dans la palette d’outils. 2 Dans la boîte de dialogue Options, spécifiez les paramètres de dimensions de formes personnalisées suivants : •
5 Sélectionnez l’option Afficher la forme pour voir la taille de la forme au fur et à mesure que vous utilisez l’outil sur le plan de travail.
Illustrator propose une grande variété de filtres et d’effets permettant de modifier la forme d’un objet et la direction d’un tracé. Si vous appliquez des filtres, la forme originale de l’objet est altérée, tandis que si vous appliquez des effets, seul l’aspect de l’objet change, mais sa structure sous-jacente reste intacte. Pour plus de détails, voir la section « Utilisation des effets », page 258.
Ils ne peuvent pas être utilisés avec les images pixellisées.
Vous pouvez l’appliquer en tant que filtre ou en tant qu’effet (voir la section « Utilisation des effets », page 258). Pour appliquer la commande Distorsion manuelle : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Filtre > Distorsion > Distorsion manuelle. 3 Faites glisser une ou plusieurs poignées dans la boîte de dialogue afin de distordre l’objet. 4 Cliquez sur OK.
La commande Arrondis permet d’arrondir les sommets d’un objet. Vous pouvez l’appliquer en tant que filtre ou en tant qu’effet (voir la section « Utilisation des effets », page 258). Pour arrondir les sommets d’un objet : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Filtre > Spécial > Arrondis. à contours multiples (pour plus de détails, voir la section « Utilisation des attributs d’aspect », page 250). Cette commande n’existe qu’en tant qu’effet (voir la section « Utilisation des effets », page 258).
La commande Contraction et dilatation permet d’incurver les objets vers l’intérieur ou l’extérieur des points d’ancrage. Vous pouvez l’appliquer en tant que filtre ou en tant qu’effet (voir la section « Utilisation des effets », page 258). Pour contracter ou dilater un objet : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
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4 Faites glisser le curseur ou entrez une valeur comprise entre 0 et 100 dans la zone de texte Détail. 5 Sélectionnez le type de distorsion souhaité autour de chaque point d’ancrage, à savoir Arrondi ou Crénelé. 6 Pour prévisualiser l’effet avant de l’appliquer, cochez la case Aperçu et cliquez sur OK.
L’option Aléatoire déforme les objets en écartant les points d’ancrage de l’objet original, de façon aléatoire. Elle déplace également les points d’ancrage sur l’objet sélectionné en fonction de la valeur spécifiée. Vous pouvez l’appliquer en tant que filtre ou en tant qu’effet (voir la section « Utilisation des effets », page 258). Pour appliquer la commande Aléatoire à un objet : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
4 Pour déplacer des points d’ancrage, sélectionnez les options appropriées. •
1 Sélectionnez l’objet à déformer. 2 Sélectionnez l’outil Torsion ( ), et faites glisser l’objet dans le sens des aiguilles d’une montre ou dans le sens inverse. Pour déformer un objet à l’aide de la commande Torsion : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
La commande Ombre portée applique un effet d’ombre tridimensionnelle à l’objet sélectionné. Vous pouvez décaler cette ombre par rapport à l’objet selon l’axe des x ou des y, mais également faire varier son opacité, son mode de fusion, son atténuation, sa couleur et son obscurcissement. Vous pouvez l’appliquer en tant que filtre ou en tant qu’effet (voir la section « Utilisation des effets », page 258). Pour créer une ombre portée : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
4 Entrez le décalage souhaité entre l’ombre et l’objet, selon les axes x et y (dans l’unité de mesure définie dans la boîte de dialogue des préférences générales). 5 Entrez la distance depuis le bord de l’ombre à partir de laquelle vous voulez que l’atténuation s’applique. Pour atténuer l’ombre, un objet pixellisé transparent est créé. 6 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Les commandes Lueur interne et Lueur externe vous permettent d’ajouter une lueur émanant respectivement de l’intérieur et de l’extérieur des bords de l’objet. Lorsque vous ajoutez une lueur interne, un objet pixellisé est créé à l’intérieur d’un masque d’opacité ; lorsque vous ajoutez une lueur externe, un objet pixellisé transparent est créé. Ces commandes n’existent qu’en tant qu’effets (voir la section « Utilisation des effets », page 258). Pour appliquer une lueur interne ou externe : 1 Sélectionnez un objet ou un groupe dans l’illustration ou ciblez un élément dans la palette Calques. Pour plus de détails sur la sélection d’un élément cible, voir la section « Modification de l’aspect des illustrations à l’aide de la palette Calques », page 245. 2 Choisissez Effet > Spécial > Lueur interne ou Lueur externe. 3 Pour prévisualiser l’effet, cochez la case Aperçu. 4 Choisissez un mode de fusion dans le menu Mode (pour plus de détails, voir la section « Modes de fusion », page 215).
La commande Contour progressif atténue les bords d’un objet (ou d’un objet pixellisé) en les estompant sur une distance définie jusqu’à ce qu’ils soient transparents. Cette commande n’existe qu’en tant qu’effet (voir la section « Utilisation des effets », page 258). Pour estomper les bords d’un objet de l’opaque au transparent : 1 Sélectionnez l’objet dont vous voulez estomper les bords. 2 Choisissez Effet > Spécial > Contour progressif. 3 Pour prévisualiser le résultat, cochez la case Aperçu. 4 Dans la case de saisie Rayon, entrez la distance sur laquelle doit s’effectuer le passage d’opaque à transparent.
Les commandes Zigzag et Flèche vous permettent de créer un effet de lignes ondulées en zigzag et de transformer des lignes en flèches. Vous pouvez les appliquer en tant que filtre ou en tant qu’effet (voir la section « Utilisation des effets », page 258). La commande Zigzag ajoute des points d’ancrage à un objet existant, puis déplace certains de ces points vers la gauche (ou au-dessus) du tracé et certains autres vers la droite (ou en dessous) du tracé. Vous pouvez spécifier le nombre de points d’ancrage à insérer et la distance de déplacement. Vous pouvez également choisir de créer des points d’inflexion pour un effet ondulé ou des sommets pour un effet anguleux. La commande Flèche permet d’ajouter une pointe ou une queue de flèche à toute ligne sélectionnée. Si elle est appliquée en tant que filtre, les flèches obtenues peuvent être modifiées comme n’importe quel autre objet, mais elles ne se déplacent pas avec la ligne à laquelle elles sont rattachées. Si elle est appliquée en tant qu’effet, les flèches sont similaires à des contours. Elles changent d’emplacement, de direction et de couleur en même temps que la ligne, mais ne peuvent pas être modifiées séparément. Pour plus de détails sur les contours, voir la section « Utilisation de la palette Contour », page 174.
Pour appliquer cette commande en tant que filtre, sélectionnez l’objet à convertir. Choisissez Filtre > Distorsion > Zigzag. 3 Dans la zone de texte Taille, entrez la distance de déplacement des points sur la ligne ou faites glisser le curseur. 4 Dans la zone de texte Inflexions par segment, entrez le nombre d’ondulations par mesure linéaire ou faites glisser le curseur. 5 Sélectionnez l’une des options suivantes : •
1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
3 Pour redimensionner une flèche, entrez le pourcentage désiré dans la zone de texte Echelle. Ceci permet de dimensionner la flèche par rapport à l’épaisseur de contour de la ligne. 4 Cliquez sur OK.
Une fois créé, un dégradé peut être modifié en déplaçant, en redimensionnant, en supprimant ou en ajoutant des objets. L’illustration est rafraîchie automatiquement une fois les modifications effectuées.
L’utilisation la plus simple du dégradé de formes consiste à répartir des formes équidistantes entre deux objets. Pour cela, utilisez l’outil Dégradé de formes ou la commande Créer un dégradé.
Les instructions suivantes s’appliquent aux dégradés de formes et aux couleurs qui leur sont associées : •
Dégradé de formes ou sélectionnez-les avec un outil de sélection, puis appliquez-leur les commandes Dégradé de formes.
Cliquez sur un point d’ancrage du premier objet avec l’outil Dégradé de formes (gauche), puis sur un point du second objet (droite).
1 Sélectionnez les objets à l’aide d’un outil de sélection. 2 Choisissez Objet > Dégradé de formes > Créer. Pour annuler un dégradé de formes : 1 Activez le dégradé à l’aide d’un outil de sélection. 2 Choisissez Objet > Dégradé de formes > Annuler. Pour changer le nombre d’étapes dans le dégradé : 1 Choisissez Objet > Dégradé de formes > Options de dégradés. 2 Sélectionnez une option dans le menu déroulant Espacement. •
2 Sélectionnez l’une des options suivantes : •
Une fois le dégradé créé, il est possible de l’appliquer à un tracé. C’est un moyen pratique d’habiller un objet et de créer des effets spéciaux dans une illustration. Le dégradé suit les contours du tracé selon l’orientation spécifiée dans la boîte de dialogue Options de dégradés. Si l’option Aligner sur le tracé est sélectionnée, il suit le contour du tracé, et si l’option Aligner sur la page est sélectionnée (choix par défaut), il suit l’axe x de la page. Pour appliquer un dégradé de formes à un tracé : 1 Sélectionnez un dégradé de formes et maintenez la touche Maj enfoncée pour sélectionner un tracé. 2 Choisissez Objet > Dégradé de formes > Changer le sens.
Pour inverser l’ordre d’empilement d’un dégradé sur un tracé : 1 Sélectionnez le dégradé de formes. 2 Choisissez Objet > Dégradé de formes > Inversion avant - arrière. L’ordre d’empilement des objets est inversé, le premier objet se retrouvant en dernière position et le dernier, en première position (voir la section « Empilement des objets », page 120).
Les outils d’édition d’Adobe Illustrator vous permettent de déplacer, de supprimer, de transformer, d’éditer les points d’ancrage ainsi que les courbes de Bézier ou de changer les couleurs du dégradé. A mesure que vous les entrez, les modifications sont répercutées à l’écran.
Les filtres Dégradé créent une série de couleurs intermédiaires entre un groupe d’au moins trois objets avec fond, sur la base de l’orientation verticale ou horizontale des objets ou de leur ordre d’empilement. Ces filtres n’agissent ni sur les contours, ni sur les objets sans attributs de dessin (voir la section « Empilement des objets », page 120). Pour dégrader la couleur et l’opacité entre des objets avec fond : 1 Sélectionnez au moins trois objets avec fond. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Le motif de dessin à l’encre (ou style de motif ) est l’élément de base du filtre. Les options associées à ce motif constituent ses paramètres. Vous pouvez définir ces paramètres dans la boîte de dialogue Effets de dessin à l’encre. Vous pouvez également créer vos propres effets en dessinant ou en sélectionnant un objet (en le désignant comme motif dans la boîte de dialogue Nouveau motif ), puis en l’appliquant à l’illustration grâce à la boîte de dialogue Effets de dessin à l’encre. Vous pouvez faire des essais avec différents motifs avant de créer les vôtres.
Pour appliquer un effet de dessin à l’encre à un objet sélectionné, choisissez un paramètre de dessin à l’encre et le style associé, modifiez ces options si vous le souhaitez, et appliquez l’effet à partir de la boîte de dialogue Effets de dessin à l’encre. Cette boîte de dialogue permet de modifier le motif. Pour appliquer un motif de dessin à l’encre existant : 1 Sélectionnez l’objet auquel vous voulez appliquer le motif. 2 Choisissez Filtre > Dessin à l’encre > Effets de dessin à l’encre. 3 Choisissez un motif dans le menu déroulant Motif et un effet dans le menu déroulant Effet. 4 Pour améliorer les performances du programme, vous pouvez désactiver la prévisualisation du motif en désélectionnant la case Aperçu, en bas à droite de la boîte de dialogue. 5 Pour modifier le nombre d’éléments appliqués à la sélection, faites glisser le curseur Densité ou entrez une valeur dans la zone de texte. Pour intensifier l’effet, cliquez sur une graduation dans la barre de réglage de la densité. 6 Pour définir l’uniformité du dessin ou ses caractéristiques, réglez les curseurs ou entrez des valeurs dans les zones Dispersion, Epaisseur, Echelle et Rotation. Indiquez l’angle de l’effet (valeur comprise entre -360 et 360) dans les zones de texte. Faites ensuite glisser le curseur ou entrez des valeurs dans les zones de texte suivantes pour définir une plage d’application : •
Vous pouvez créer et enregistrer vos propres motifs ou modifier les motifs existants, puis les enregistrer pour les réutiliser. Pour enregistrer des motifs, utilisez la boîte de dialogue Nouveau Motif ou Effets de dessin à l’encre. Pour créer un motif : 1 Tracez les objets que vous voulez convertir en motifs de dessin à l’encre. 2 Sélectionnez-les. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Pour modifier un motif existant : 1 Assurez-vous que rien n’est sélectionné dans l’illustration. 2 Choisissez Filtre > Dessin à l’encre > Nouveau motif. 3 Choisissez un motif dans le menu déroulant Motif. 4 Cliquez sur Coller, puis sur OK. 5 Modifiez le motif à votre gré, puis sélectionnez-le. 6 Choisissez Filtre > Dessin à l’encre > Nouveau motif. 7 Cliquez sur Créer. Nommez le nouveau motif, et cliquez sur OK. Pour enregistrer des paramètres : 1 Choisissez Filtre > Dessin à l’encre > Effets de dessin à l’encre. 2 Spécifiez les paramètres et les options de style que vous voulez enregistrer. 3 Pour enregistrer les paramètres dans le fichier, cliquez sur Créer. Entrez un nom pour le nouveau motif, puis cliquez sur OK. Pour supprimer des paramètres : 1 Choisissez Filtre > Dessin à l’encre > Effets de dessin à l’encre. 2 Sélectionnez les paramètres et les options de style que vous voulez supprimer. 3 Cliquez sur Supprimer, puis sur OK. Pour supprimer un motif existant : 1 Choisissez Filtre > Dessin à l’encre > Nouveau motif. 2 Choisissez un motif dans le menu déroulant Motif. 3 Cliquez sur Supprimer, puis sur OK.
Si vous utilisez le filtre Dessin à l’encre, vous pouvez enregistrer dans une bibliothèque les motifs que vous avez créés dans Illustrator ou ceux que vous utilisez actuellement. Vous trouverez ces bibliothèques de motifs dans le dossier Illustrator 10\Modules\Filtres Illustrator\ Dessin à l’encre. Une fois la bibliothèque de motifs ouverte, tous les motifs qu’elle contient sont chargés dans la boîte de dialogue Effets de dessin à l’encre et peuvent être consultés dans le menu déroulant Effet, situé dans le coin supérieur gauche de la boîte. Pour charger une bibliothèque de dessins à l’encre dans Illustrator : 1 Choisissez Filtre > Dessin à l’encre > Ouvrir la bibliothèque. 2 Dans la boîte de dialogue, recherchez la bibliothèque de motifs que vous voulez ouvrir, puis cliquez sur OK. Ces bibliothèques se trouvent dans le dossier Illustrator 10\Modules\Filtres Illustrator\Dessin à l’encre.
2 Choisissez Filtre > Dessin à l’encre > Enregistrer la bibliothèque sous. 3 Ces bibliothèques se trouvent dans le dossier Illustrator 10\Modules\Filtres Illustrator\Dessin à l’encre.
La palette Pathfinder vous permet de former de nouveaux objets et formes à partir de tracés. A partir de cette palette, vous pouvez associer des tracés à l’aide de filtres et accéder aux commandes de formes pour créer et modifier des formes composées. Pour plus de détails sur l’effet des filtres sur les objets, voir la section « Utilisation des filtres et des effets de filtre », page 261. Vous accédez aux filtres Pathfinder en cliquant sur un bouton Pathfinder ou en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée et en cliquant sur un bouton Modes de la forme (voir la section « Création rapide d’une forme finale », page 162.) Vous accédez aux modes de formes en cliquant sur un bouton Modes de la forme (voir la section « Formes composées », page 155). Pour ouvrir la palette Pathfinder : Choisissez Fenêtre > Pathfinder. Pour ouvrir le menu de la palette Pathfinder : Cliquez sur le triangle situé dans l’angle supérieur droit de la palette. Pour répéter l’action du dernier bouton de la palette Pathfinder : Dans le menu de la palette Pathfinder, choisissez Répéter <commande>. Cette commande utilise les paramètres précédents. Pour définir les options de Pathfinder : 1 Choisissez Fenêtre > Pathfinder. 2 Choisissez Options Pathfinder dans le menu de la palette. 3 Spécifiez une des options suivantes, puis cliquez sur OK : •
Une forme composée est une forme modifiable comportant deux objets minimum, ayant chacun son propre mode de forme. Les formes composées facilitent la création de formes complexes, car elles permettent de manipuler avec précision le mode de la forme, l’ordre d’empilement, l’aspect et l’emplacement de chaque tracé. Une forme composée peut inclure des tracés, des tracés transparents, des groupes, d’autres formes composées, des dégradés, du texte, des enveloppes et des déformations, tous contenant des effets dynamiques. Les tracés ouverts dans une forme composée sont automatiquement fermés.
Observez les conseils suivants lors de l’utilisation des formes composées dans Photoshop : •
Soustraction de la forme Supprime la zone du composant de la forme géométrique sous-jacente. Intersection des formes Utilise la zone du composant pour écrêter la forme géométrique sous-jacente comme le ferait un masque.
Les formes composées que vous créez acquièrent les attributs de dessin et de transparence du composant du premier plan dans les modes Ajout, Intersection ou Exclusion. Par la suite, vous pouvez modifier les attributs de dessin, de style ou de transparence de la forme composée. Illustrator simplifie cette procédure en ciblant automatiquement la forme composée entière lorsque vous en sélectionnez une partie, à moins que vous n’indiquiez un composant spécifique dans la palette Calques. L’annulation de la forme composée affiche les attributs de dessin précédents des tracés. La décomposition de la forme composée crée un tracé simple ou un tracé composé (voir la section « Création d’un tracé transparent », page 158). Pour créer une forme composée en appliquant la commande Créer une forme composée : 1 Choisissez Fenêtre > Pathfinder. 2 Sélectionnez tous les objets à inclure dans la forme composée. 3 Choisissez Créer une forme composée dans le menu de la palette Pathfinder. La forme obtenue s’affiche dans la palette Calques comme <Forme composée>. 4 Utilisez l’outil Sélection directe et sélectionnez un composant de la forme composée (à l’exception du composant situé à l’arrière-plan, dont le mode est sans importance). 5 Dans la palette Pathfinder, cliquez sur un bouton Modes de la forme. La forme est ajustée en conséquence. 6 Répétez les étapes 4 et 5 pour chaque composant, à l’exception du composant situé à l’arrière-plan, jusqu’à obtenir la combinaison de zones de formes recherchée. Remarque : pour maintenir des performances optimales, créez des formes composées complexes par imbrication d’autres formes composées (pouvant contenir jusqu’à 10 composants chacune) au lieu d’utiliser des composants individuels.
Une forme composée est automatiquement créée avec les objets sélectionnés comme composants. Elle s’affiche dans la palette Calques comme <Forme composée>. Le mode de forme sélectionné est affecté à chaque composant. Cette méthode est utile lorsque vous voulez que la plupart des composants utilisent le même mode. Toutefois, vous pouvez encore modifier le mode des composants, à l’exception du composant situé à l’arrière-plan. Pour modifier une forme composée : 1 Utilisez l’outil Sélection directe pour sélectionner un composant individuel de la forme composée. 2 Recherchez le bouton Modes de la forme en surbrillance dans la palette Pathfinder pour identifier le mode actuellement appliqué au composant sélectionné. Remarque : si vous avez sélectionné deux composants ou plus, utilisant différents modes, des points d’interrogation s’affichent sur les boutons Modes de la forme. 3 Cliquez sur un autre bouton Modes de la forme dans la palette Pathfinder. Pour annuler une forme composée et ses composants : 1 A l’aide de l’outil Sélection, sélectionnez la forme composée que vous voulez annuler. 2 Choisissez Annuler la forme composée dans le menu de la palette Pathfinder. Pour aplatir une forme composée en un tracé ou tracé transparent : 1 A l’aide de l’outil Sélection, sélectionnez la forme composée que vous voulez décomposer. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
1 Sélectionnez les tracés à inclure dans le tracé transparent. 2 Choisissez Objet > Tracé transparent > Créer. La forme obtenue s’affiche dans la palette Calques comme <Tracé transparent>.
Vous pouvez spécifier si le tracé transparent doit être un tracé intérieur/extérieur non nul ou pair/impair. Les règles de remplissage intérieur/extérieur non nul et pair/impair utilisent des équations mathématiques pour définir si un point est situé à l’extérieur ou à l’intérieur d’une forme. La règle de remplissage pair/impair est plus fiable : une zone sur deux dans un tracé transparent pair/impair est une zone transparente, quelle que soit la direction du tracé. Illustrator utilise la règle de remplissage intérieur/extérieur non nul par défaut. Photoshop et Macromedia Freehand utilisent la règle de remplissage pair/impair par défaut ; par conséquent, les tracés transparents provenant de ces applications utilisent la règle pair/impair. Lorsque vous créez un tracé transparent avec un remplissage intérieur/extérieur non nul, vous pouvez indiquer si les tracés superposés apparaissent transparents ou non, en cliquant sur un bouton Inverser la direction des tracés dans la palette Options d’objet.
1 A l’aide de l’outil Sélection , sélectionnez la portion du tracé à inverser. Ne sélectionnez pas le tracé entier. 2 Choisissez Fenêtre > Options d’objet. 3 Cliquez sur le bouton Désactiver l’inversion de la direction des tracés l’inversion de la direction des tracés .
1 A l’aide de l’outil Sélection, sélectionnez le tracé transparent que vous voulez annuler. 2 Choisissez Objet > Tracé transparent > Annuler.
Vous pouvez utiliser les effets Pathfinder pour associer tous les tracés en un groupe, calque ou sous-calque. Lorsque vous combinez des tracés à l’aide d’effets, chaque tracé utilise la même méthode d’intersection, telle que Ajout, Soustraction ou Division. Pour plus de détails sur le menu Effet, voir la section « Utilisation des effets », page 258. Vous pouvez choisir l’un des effets Pathfinder suivants :
Soustraction retranche de l’objet situé à l’arrière-plan les objets situés au premier plan. Vous pouvez l’utiliser pour masquer des zones de l’illustration en agissant sur l’ordre de superposition des objets (voir la section « Empilement des objets », page 120). Soustraction (avant-arrière) retranche de l’objet situé au premier plan les objets situés à l’arrière-plan. Vous pouvez l’utiliser pour masquer des zones de l’illustration en agissant sur l’ordre de superposition des objets (voir la section « Empilement des objets », page 120). Division divise un groupe d’objets en ses faces élémentaires (une face est une partie d’objet non traversée par un segment). Remarque : lorsque vous utilisez le bouton Division dans la palette Pathfinder, vous pouvez manipuler les faces obtenues avec l’outil Sélection directe ou Sélection directe progressive, indépendamment les unes des autres. Lorsque vous utilisez la commande Division, vous avez la possibilité de supprimer ou de conserver les objets sans fond (voir la section « Utilisation de la palette Pathfinder », page 154). Pochoir supprime la partie masquée d’un objet présentant un fond, supprime tous les contours, et ne fusionne pas les objets de la même couleur. Fusion supprime la partie masquée d’un objet présentant un fond, supprime tous les contours, et fusionne les objets adjacents ou superposés dotés de la même couleur de fond. Découpe divise un groupe d’objets en ses faces élémentaires, puis supprime toutes les faces se trouvant en dehors des limites de l’objet de premier plan. Elle supprime également tous les contours. Contour divise un objet en ses segments élémentaires, soit ses contours. Cette commande est utile pour effectuer un découpage. Remarque : lorsque vous utilisez le bouton Contour dans la palette Pathfinder, vous pouvez manipuler les contours avec l’outil Sélection directe ou Sélection directe progressive, indépendamment les uns des autres. Lorsque vous utilisez la commande Contour, vous avez la possibilité de supprimer ou de conserver les objets sans fond (voir la section « Utilisation de la palette Pathfinder », page 154). Mélange maximal, Mélange pondéré et Recouvrement mélangent les couleurs adjacentes ou qui se superposent (voir la section « Utilisation des commandes Mélange maximal et Mélange pondéré », page 188).
Appliquez les effets Pathfinder aux groupes, calques ou sous-calques que vous voulez associer en un seul objet modifiable.
1 Sélectionnez un objet ou ciblez un calque ou sous-calque dans la palette Calques. 2 Choisissez Effet > Pathfinder, puis choisissez un effet (voir la section « Utilisation d’effets pour combiner des formes de façon non destructive », page 160). Pour réappliquer rapidement le même effet Pathfinder : Choisissez Effet > Appliquer <effet>. Cette commande utilise les paramètres précédents.
Si vous connaissez la forme que vous voulez obtenir, et que vous n’avez pas besoin des attributs dynamiques et modifiables d’une forme composée ou d’un effet Pathfinder, utilisez les filtres dans la palette Pathfinder. Les filtres Pathfinder permettent d’obtenir immédiatement une version finale des objets. L’utilisation des filtres Pathfinder revient à créer un effet Pathfinder ou (lorsque vous utilisez les options Ajout, Soustraction, Intersection ou Exclusion) une forme composée, puis à les décomposer ; il s’agit d’une méthode plus rapide pour arriver au résultat recherché. Pour créer la forme finale à l’aide des filtres Pathfinder : Sélectionnez les objets que vous voulez combiner puis, à partir de la palette Pathfinder, procédez de l’une des façons suivantes : •
Enfin, vous pouvez vous en servir pour assurer un bon recouvrement des films de séparation des couleurs. Vous pouvez appliquer la commande Vectoriser le contour en tant que filtre ou en tant qu’effet. Pour plus de détails sur les effets, voir la section « Utilisation des effets », page 258. Pour créer des objets avec un contour vectorisé à partir de tracés : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Pour couper des objets à l’aide de la commande Diviser les objets inférieurs : 1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez utiliser comme forme coupante, et placez-le sur l’objet à découper. Pour conserver la sélection d’origine, enregistrez-en une copie ailleurs dans le document. La forme coupante coupe tout objet avec fond sur lequel elle est posée. 2 Pour couper l’objet, choisissez Objet > Tracé > Diviser les objets inférieurs. Les formes résultant de l’opération sont dissociées et sélectionnées. Pour couper des objets à l’aide de l’outil Cutter : 1 Sélectionnez l’outil Cutter . 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Pour savoir si un objet est un masque : 1 Sélectionnez l’objet. 2 Choisissez Fenêtre > Calques. 3 Dans le menu de la palette Calques, choisissez Rechercher l’objet. Le nom du masque d’écrêtage s’affiche dans la palette en souligné uni. Les groupes d’écrêtage s’affichent avec des séparateurs en pointillé. Remarque: vous pouvez également sélectionner tous les masques d’une illustration à l’aide de la commande Masques d’écrêtage du menu Sélection (voir la section « Modification et sélection de masques », page 164).
Un masque peut être constitué d’un tracé simple ou d’un tracé transparent. Pour masquer des objets : 1 Tracez ou utilisez l’outil Sélection pour sélectionner l’objet devant servir de masque. 2 Assurez-vous qu’il se trouve devant les objets à masquer. Lorsque vous masquez des objets sur différents calques, n’oubliez pas que les objets placés sur les calques intermédiaires sont intégrés à l’illustration masquée. 3 Sélectionnez le masque et les objets à masquer. 4 Choisissez Objet > Masque d’écrêtage > Créer. Le masque perd ses attributs de dessin et est défini sans fond ni contour. Pour annuler les effets d’un masque : 1 Utilisez l’outil Sélection ou un rectangle de sélection pour sélectionner les objets que vous ne voulez plus utiliser comme masque. 2 Choisissez Objet > Masque d’écrêtage > Annuler. Le masque étant défini sans contour ni fond, il n’est visible que lorsque vous le sélectionnez ou que vous modifiez ses attributs.
Une fois le masque créé, ce dernier et les objets sous-jacents peuvent toujours être sélectionnés et modifiés. Par défaut, les objets masqués ne sont pas verrouillés. Vous pouvez verrouiller le masque de manière à protéger les objets masqués. Ainsi, les objets individuels ne peuvent pas être déplacés à l’aide de l’outil de sélection directe. La commande Masques d’écrêtage du menu Sélection détecte les masques dans le document et les sélectionne. Si des objets sont sélectionnés, la commande désélectionne ceux qui ne sont pas des masques. Lorsque vous pixellisez un masque, ses contours s’affichent à l’écran. Pour sélectionner tous les masques dans un fichier : Choisissez Sélection > Objet > Masques d’écrêtage. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Pour ajouter un objet à l’illustration masquée : 1 Utilisez l’outil Sélection pour sélectionner l’objet que vous voulez ajouter à l’illustration masquée, puis faites-le glisser devant le masque. 2 Choisissez Edition > Couper. 3 A l’aide de l’outil Sélection directe, sélectionnez un objet dans l’illustration masquée. 4 Procédez de l’une des façons suivantes : • 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Vous pouvez ajouter un fond et un contour à un masque en utilisant la palette d’outils ou la palette Couleur pour définir ces attributs (voir les sections « Application de couleurs à l’aide de la palette d’outils », page 172 et « Utilisation de la palette Couleur », page 173). Pour appliquer un contour et un fond à un masque : 1 A l’aide de l’outil Sélection directe, sélectionnez le masque. 2 Utilisez la case Fond ou Contour dans la palette d’outils ou la palette Couleur, afin de sélectionner un fond ou un contour pour le masque. Si la palette Couleur n’est pas déjà affichée à l’écran, choisissez Fenêtre > Couleur. 3 Choisissez une couleur de fond ou de contour pour le masque. Le fond apparaît sous les objets écrêtés, et le contour apparaît sur les objets écrêtés.
Dans Illustrator, un mode de couleur détermine le modèle colorimétrique utilisé pour afficher et imprimer les fichiers. Les modes de couleurs reposent sur des modèles établis de description et de reproduction des couleurs. Les modèles TSL (teinte, saturation, luminosité), RVB (rouge, vert, bleu) et CMJN (cyan, magenta, jaune, noir) comptent parmi les plus répandus.
à une position sur la roue chromatique standard, exprimée en degrés (entre 0 et 360). Concrètement, il s’agit de la couleur proprement dite de l’objet : rouge, orange ou vert, par exemple.
Modèle CMJN Tandis que, dans le modèle RVB, il faut une source lumineuse pour créer des couleurs, le modèle CMJN repose sur la qualité d’absorption de la lumière de l’encre sur le papier. Lorsque de la lumière blanche traverse des encres translucides, une partie du spectre est absorbée. L’autre partie est réfléchie vers l’œil de l’observateur. En combinant des pigments cyan (C), magenta (M) et jaune (J) purs, on obtient du noir par absorption ou soustraction de toutes les couleurs. C’est pourquoi on parle de couleurs soustractives. L’encre noire (N) ajoutée en appoint permet d’approfondir les noirs (la lettre N désigne le noir, couleur étalon des autres couleurs). On appelle quadrichromie le procédé de reproduction des couleurs par la combinaison de ces encres.
Optez pour le mode CMJN dans la préparation de documents destinés à une impression en quadrichromie.
Le modèle Niveaux de gris utilise des nuances de gris pour représenter un objet. La luminosité de chaque objet en niveaux de gris est comprise entre 0 % (blanc) et 100 % (noir). Les images numérisées en noir et blanc ou en niveaux de gris sont généralement affichées dans ce mode. Le mode Niveaux de gris permet également de convertir des illustrations couleur en images noir et blanc de haute qualité. Adobe Illustrator supprime alors toutes les informations chromatiques de l’illustration d’origine ; les niveaux de gris (ombres) des objets convertis correspondent à la luminosité des objets d’origine. Lors de la conversion d’images en niveaux de gris en images RVB, les valeurs chromatiques attribuées à chaque objet dépendent de la valeur de gris de départ. Il est aussi possible de convertir un objet en niveaux de gris en objet CMJN.
La gamme ou l’espace colorimétrique d’un système de couleurs représente l’éventail des couleurs pouvant être affichées ou imprimées. Le spectre des couleurs perceptibles par l’œil humain est plus étendu que les méthodes de reproduction des couleurs. La gamme RVB contient le sous-ensemble de couleurs affichables sur un moniteur ou un téléviseur qui émet de la lumière rouge, verte et bleue. Certaines couleurs, comme le cyan ou le jaune pur, ne peuvent être affichées de façon précise sur un moniteur. Le modèle CMJN, qui se compose de pigments imprimables à l’aide d’encres primaires, présente la gamme de couleurs la plus étroite. Lorsque les couleurs ne pouvant être reproduites à l’impression sont affichées, on dit qu’elles sont non imprimables, ce qui signifie qu’elles n’appartiennent pas à la gamme CMJN.
Un ton direct est une encre spéciale prémélangée, utilisée à la place ou en complément d’encres CMJN. Une plaque de presse d’imprimerie est réservée au ton direct. L’utilisation des tons directs est préférable lorsqu’un nombre restreint de couleurs est spécifié et que la précision des couleurs est déterminante. Les tons directs permettent la reproduction fidèle des couleurs situées hors de la gamme de couleurs quadri. Toutefois, l’apparence exacte des tons directs à l’impression dépend du mélange de l’encre effectué par l’imprimeur, ainsi que du papier utilisé. Elle n’est donc pas déterminée par les valeurs chromatiques attribuées, ni par la gestion des couleurs. Lorsque vous spécifiez des valeurs de tons directs, vous ne faites que décrire une simulation de l’aspect qu’aura la couleur sur votre moniteur ou votre imprimante composite (qui varie selon les limitations de gamme spécifiques à chaque périphérique). Pour une impression optimale de vos documents, spécifiez un ton direct d’après un système de concordance des couleurs pris en charge par votre imprimeur. Illustrator comprend de nombreuses bibliothèques de concordance des couleurs. Pour plus de détails, voir la section « Chargement de couleurs à partir d’autres systèmes de couleurs », page 182. Réduisez le nombre de tons directs utilisés, car chaque ton direct créé nécessite une plaque d’impression supplémentaire sur la presse d’imprimerie, augmentant ainsi considérablement vos coûts d’impression. Si vous pensez avoir besoin de plus de quatre couleurs différentes, envisagez l’utilisation de couleurs quadri pour l’impression de votre document.
Une couleur quadrichromique (ou quadri) est imprimée à partir des quatre encres primaires : cyan, magenta, jaune et noir (CMJN). Privilégiez les couleurs quadri pour les travaux d’impression, tels que les photographies couleur, qui nécessitent un nombre élevé de couleurs et pour lesquels l’utilisation de tons directs serait peu pratique ou trop onéreuse. Tenez compte des points suivants lorsque vous spécifiez une couleur quadri : • Pour certains travaux d’impression, il peut se révéler utile de combiner couleurs quadri et tons directs. Par exemple, vous pourrez utiliser un ton direct pour reproduire la couleur exacte du logo d’une société sur un rapport annuel et imprimer, sur les mêmes pages, des photographies en couleurs quadri. Vous pouvez également utiliser une plaque d’impression de ton direct pour appliquer un vernis sur des zones imprimées en couleurs quadri. Dans tous les cas, votre travail d’impression nécessitera cinq encres au total : quatre encres quadri et un ton direct ou un vernis. Important : si un objet comportant des tons directs chevauche un autre objet auquel sont appliquées des options de transparence, des résultats indésirables risquent de se produire lors de l’exportation au format EPS, de la conversion des tons directs en couleurs quadri à partir de la boîte de dialogue d’impression ou de la préparation des séparations des couleurs dans une autre application qu’Illustrator. Pour éviter tout problème, convertissez au préalable les tons directs en couleurs quadri.
Dans Illustrator, vous avez la possibilité de définir des couleurs quadri comme couleurs globales (personnalisées) ou non globales (non personnalisées). Les couleurs quadri globales sont associées à une nuance de la palette Nuancier, de sorte que si vous modifiez la nuance d’une couleur quadri globale, tous les objets utilisant cette couleur sont mis à jour. Les couleurs quadri globales facilitent les modifications générales des couleurs, car elles évitent d’avoir à rechercher et à retoucher chaque objet séparément. Elles conviennent particulièrement aux documents standardisés et à grand tirage, tels que les magazines. Les couleurs quadri non globales ne sont pas mises à jour automatiquement sur l’ensemble du document lorsque la couleur est modifiée. Les couleurs quadri sont des couleurs non globales par défaut. Vous pouvez les transformer en couleurs globales dans la boîte de dialogue Options de nuance. La caractéristique qui différencie une couleur globale d’une couleur non globale agit uniquement sur le mode d’application de ce type de couleur aux objets, mais en aucun cas sur leur procédé de séparation, ni leur comportement lorsqu’elles sont déplacées d’une application à l’autre.
Vous devez créer des tons directs sous forme de nuances nommées et stockées dans la palette Nuancier, afin que votre prestataire de services prépresse et vous-même puissiez identifier uniformément chaque plaque d’impression de ton direct. En revanche, l’impression de couleurs quadri requiert quatre encres au maximum. Vous pouvez ainsi utiliser les couleurs quadri soit comme nuances, soit comme couleurs sans nom.
Lorsque de nombreux objets utilisent des couleurs sans nom, la mise à jour des couleurs du document devient plus difficile, car vous devez rechercher et sélectionner chaque objet pour en modifier la couleur. Vous pouvez créer une nuance à partir de n’importe quelle couleur sans nom (voir la section « Ajout, duplication et suppression de nuances », page 177).
Lorsque vous créez un objet ou que vous voulez modifier les attributs de dessin d’un objet existant dans Illustrator, vous jonglez entre les cases Fond et Contour de la palette d’outils, la palette Couleur, la palette Dégradé de couleurs et la palette Nuancier. Pour appliquer des couleurs à une illustration : 1 Sélectionnez le fond ou le contour d’un objet en procédant de l’une des façons suivantes : •
RVB, RVB Web sécurisé, TSL ou CMJN ou sélectionnez une couleur dans la gamme des couleurs (voir la section « Utilisation de la palette Couleur », page 173). Maintenez la touche Maj enfoncée, puis cliquez sur la gamme des couleurs pour passer d’un curseur à un autre (Niveaux de gris, RVB, RVB Web sécurisé, TSL ou CMJN).
Utilisez les cases Fond et Contour de la palette d’outils pour sélectionner le fond et le contour d’un objet, intervertir la couleur de fond et la couleur de contour et rétablir le fond et le contour par défaut. Pour basculer entre les cases Fond et Contour comme sélection active, appuyez sur la touche « x » du clavier. Pour permuter la couleur de fond et la couleur de contour d’un objet sélectionné, appuyez sur les touches Maj+x. Au-dessous des cases Fond et Contour, se trouvent les boutons Couleur, Dégradé de couleurs et Aucun. Vous pouvez les utiliser pour convertir le fond ou le contour sélectionné en couleur, pour transformer un fond en dégradé ou supprimer le fond et le contour de l’objet sélectionné. Pour modifier les attributs de fond ou de contour à l’aide de la palette d’outils : 1 Sélectionnez un objet à l’aide d’un outil de sélection. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
pour supprimer le fond ou le contour de l’objet.
Aucun : appuyez sur la touche , pour modifier la sélection en couleur, la touche ; pour modifier la sélection en dégradé et la touche : pour activer Aucun.
Sélection de couleurs dans la palette Couleur
1 Sélectionnez un objet à l’aide d’un outil de sélection. 2 Choisissez Fenêtre > Couleur. 3 Sélectionnez la case Fond ou Contour dans la palette Couleur ou la palette d’outils. 4 Procédez de l’une des façons suivantes : •
L’un des moyens les plus simples de dessiner un objet consiste à faire glisser directement une couleur de la case Fond ou Contour de la palette d’outils, de la palette Couleur ou de la palette Dégradé de couleurs, et de la déposer sur l’objet ou de faire glisser une nuance de la palette Nuancier pour la déposer sur un objet. La technique du glisser-déposer vous permet de dessiner des objets sans avoir à les sélectionner au préalable. Vous pouvez également faire un glisser-déposer des couleurs de la palette Nuancier vers la case Fond ou Contour de la palette d’outils, la palette Couleur ou la palette Dégradé de couleurs.
Utilisez la palette Contour pour sélectionner les attributs correspondants tels que l’épaisseur, le style des sommets et des extrémités ainsi que l’aspect continu ou pointillé des contours. Pour définir des attributs de contour à l’aide de la palette Contour : 1 A l’aide d’un outil de sélection, sélectionnez l’objet dont vous souhaitez modifier les attributs de contour. 2 Cliquez sur la case Contour de la palette d’outils pour sélectionner le contour de l’objet. 3 Choisissez Fenêtre > Contour. 4 Pour spécifier une épaisseur de contour, entrez la valeur correspondante dans la case Epaisseur ou choisissez une épaisseur prédéfinie dans le menu déroulant. Vous pouvez saisir une valeur en pouces (po), en millimètres (mm), en centimètres (cm) ou en picas (pi). Illustrator la convertit en une valeur équivalente en points. L’épaisseur du contour est exprimée en points. Illustrator trace le contour en le centrant sur le tracé, une moitié du contour apparaissant d’un côté du tracé, et l’autre moitié de l’autre côté. Si vous saisissez une épaisseur de 0, le contour prend la valeur Aucun. 5 Pour afficher d’autres options, choisissez Afficher les options dans le menu de la palette Contour, puis sélectionnez l’une des options suivantes : •
équivalente en points.
à remplir toutes les zones de texte. Les pointillés sont exprimés en points.
Vous pouvez contrôler l’intégralité des couleurs et des dégradés du document à partir de la palette Nuancier. Celle-ci permet de créer, nommer et stocker des couleurs et des dégradés, afin d’y accéder instantanément. Lorsque vous appliquez à partir de la palette Nuancier une couleur ou un dégradé au fond ou au contour d’un objet sélectionné, la nuance appliquée est mise en surbrillance dans la palette Nuancier.
On trouve dans la palette Nuancier, les types de nuances suivants : Couleurs Les icônes de la palette Nuancier permettent d’identifier les types de ton direct et de couleur quadri , ainsi que les modes colorimétriques TSL , RVB ou CMJN . Si la couleur RVB ou CMJN est un ton direct, un point apparaît dans le coin de l’icône. Teintes Le pourcentage indiqué en regard d’une nuance dans la palette Nuancier indique la teinte d’un ton direct ou d’une couleur quadri (voir la section « Remplacement global des couleurs et des teintes », page 179). Dégradés de couleurs Les dégradés sont indiqués par une icône de la palette Nuancier. Motifs Dans la palette Nuancier, une icône remplie d’un motif indique le type de motif spécifique. Aucun La nuance Aucun supprime les attributs de contour ou de fond d’un objet. Il est impossible de modifier ou de supprimer cette nuance. Repérage Le repérage est une nuance intégrée. Les objets dont le fond ou le contour est assorti de cette nuance ont pour caractéristique de s’imprimer sur chaque séparation à partir d’une imprimante PostScript. Les repères de montage (également appelés repères de cadrage ou hirondelles), par exemple adoptent la couleur de repérage, de sorte que les plaques d’impression sont alignées précisément sur la presse. Vous pouvez modifier la couleur de repérage en cliquant deux fois dessus dans la palette Nuancier. Il est impossible de supprimer cette nuance. Remarque : si vous appliquez la couleur de repérage aux repères de montage et au texte puis séparez et imprimez le fichier, le texte risque d’être mal calé et l’encre noire de baver. Pour éviter ce défaut, utilisez une encre noire pour le texte. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Contour de la palette d’outils vers la palette Nuancier. Vous pouvez ajouter un motif à la palette Nuancier en le faisant glisser depuis l’illustration ou en le sélectionnant, puis en choisissant Edition > Utiliser comme motif (voir la section « Création et utilisation des motifs », page 226). Les couleurs, dégradés et motifs nouvellement créés et regroupés dans la palette Nuancier sont associés uniquement au fichier actif. Chaque nouveau fichier Adobe Illustrator peut être doté de différents ensembles de nuances stockés dans la palette Nuancier. Les nuances stockées dans le fichier de démarrage RVB ou le fichier de démarrage CMJN sont chargées dans tous les nouveaux documents Illustrator, selon le mode colorimétrique sélectionné lors de la création du document (voir la section « Création d’un fichier de démarrage personnalisé », page 184). Pour choisir une couleur, un dégradé ou un motif à partir de la palette Nuancier : 1 Choisissez Fenêtre > Nuancier. 2 Cliquez sur une couleur, un dégradé ou un motif dans la palette Nuancier. Votre sélection apparaît dans la palette Couleur et dans la case Fond ou Contour de la palette d’outils. Elle est ensuite appliquée à tous les objets sélectionnés. Pour modifier l’affichage des nuances : 1 Choisissez Fenêtre > Nuancier. 2 Choisissez l’une des options d’affichage suivantes à partir du menu déroulant : •
Les icônes situées à droite du nom indiquent le modèle colorimétrique (CMJN, RVB, etc.) et déterminent si la couleur est un ton direct, une couleur quadri globale ou non globale, une couleur de repérage ou si elle ne comporte aucun attribut de ce type.
2 Cliquez sur l’un des boutons suivants en bas de la palette Nuancier : •
Pour sélectionner toutes les nuances non utilisées dans le fichier : 1 Choisissez Fenêtre > Nuancier. 2 Choisissez Sélectionner les nuances non utilisées dans le menu déroulant. Seules les nuances qui ne sont pas utilisées dans le fichier actif sont sélectionnées. Pour trier les nuances par type ou par nom : 1 Choisissez Fenêtre > Nuancier. 2 Choisissez l’une des options de tri suivantes dans le menu déroulant : •
Pour ajouter une couleur à la palette Nuancier : 1 Dans la palette Couleur, Dégradé de couleurs ou dans les cases Fond ou Contour de la palette d’outils, sélectionnez la couleur ou le dégradé à ajouter à la palette Nuancier. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
à sélectionner. Pour sélectionner une série de nuances, maintenez la touche Maj enfoncée, puis cliquez pour définir la plage à sélectionner.
Maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée et faites glisser une couleur ou un dégradé de la palette Couleur ou Dégradé de couleurs, ou des cases Fond et Contour de la palette d’outils, vers la palette Nuancier, en mettant en surbrillance la nuance à remplacer. Important : le remplacement d’une couleur, d’un dégradé ou d’un motif existant dans la palette Nuancier s’applique à l’ensemble des illustrations du fichier assorties de ces attributs. Seules font exception à cette règle les couleurs quadri dont l’option Globale est désélectionnée dans la boîte de dialogue Options de nuance. Pour supprimer une nuance de la palette Nuancier : 1 Sélectionnez la nuance à supprimer. Pour sélectionner plusieurs nuances, maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée, puis cliquez sur chaque nuance à sélectionner. Pour sélectionner des nuances adjacentes, maintenez la touche Maj enfoncée, puis cliquez pour définir la plage. 2 Supprimez les nuances sélectionnées en procédant de l’une des façons suivantes : •
CMJN lors de l’impression et de la préparation des séparations. Pour modifier une nuance : 1 Choisissez Fenêtre > Nuancier. 2 Sélectionnez une nuance et procédez de l’une des façons suivantes : •
Il est possible de modifier la couleur ou la teinte de tous les objets ayant les mêmes propriétés ou d’utiliser la palette Nuancier pour remplacer globalement l’une ou l’autre de ces composantes dans un fichier. Cette caractéristique s’applique aux couleurs quadri comme aux tons directs. Le curseur Teinte de la palette Couleur permet de modifier l’intensité d’une couleur globale au sein d’une gamme de teintes comprise entre 0 et 100 %, sachant que plus la valeur est faible, plus la teinte est claire. Ce curseur, visible dans la palette Couleur uniquement après sélection d’une couleur globale, est situé juste à droite de la lettre « T ». Remarque : pour vous assurer qu’une couleur quadri est globale, vérifiez que l’option Globale est activée dans la boîte de dialogue Options de nuance (voir la section « Modification des nuances », page 178). Pour modifier la couleur ou la teinte d’objets ayant les mêmes propriétés : 1 Sélectionnez un objet en procédant de l’une des façons suivantes : •
Même(s) > Style. Remplacez une nuance de couleur dans la palette Nuancier en procédant de l’une des façons suivantes. •
2 Dans la palette Couleur, déplacez le curseur Teinte ou entrez une valeur dans la case de pourcentage correspondante. Pour enregistrer une teinte dans la palette Nuancier : 1 Créez une teinte en modifiant la nuance. 2 Enregistrez la teinte dans la palette Nuancier en procédant de l’une des façons suivantes : •
Important : les teintes de même couleur sont reliées, de sorte que si vous modifiez une nuance de teinte, toutes les teintes associées (ainsi que les objets dotés de ces nuances) sont également modifiés.
Lorsque vous copiez un objet d’un document à un autre, toutes les nuances (couleurs quadri globales, tons directs, motifs ou dégradés) de l’objet sont ajoutées à la palette Nuancier du document cible. Un message d’avertissement s’affiche lorsque deux documents utilisent des nuances portant le même nom mais ayant des valeurs chromatiques différentes. Vous avez le choix d’ajouter la nuance en double ou de fusionner les deux nuances de manière à ne conserver qu’un seul jeu de valeurs chromatiques.
1 Copiez un objet dans le document actif par glisser-déposer, par copier-coller ou à l’aide de la commande Importer. Vous pouvez également utiliser la commande Bibliothèques de nuances pour ajouter de nouvelles palettes de nuances (voir la section « Utilisation de la commande Bibliothèques de nuances », page 181). 2 Si une ou plusieurs nuances portent le même nom (tout en ayant des valeurs chromatiques différentes), sélectionnez l’une des options suivantes dans la boîte de dialogue Conflit de nuances : •
Pour fusionner plusieurs couleurs dans la palette Nuancier : 1 Dans la palette Nuancier, sélectionnez au moins deux nuances à fusionner. Maintenez la touche Maj enfoncée, puis cliquez pour sélectionner une plage de nuances. Maintenez la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée, puis cliquez pour sélectionner des nuances non contiguës. 2 Choisissez Fusionner les nuances dans le menu de la palette Nuancier. Le nom de la première nuance sélectionnée et la valeur chromatique remplacent toutes les autres nuances sélectionnées.
La commande Bibliothèques de nuances vous permet d’importer des couleurs, des motifs et des dégradés à partir d’autres fichiers Illustrator dans une palette, mais aussi d’importer des bibliothèques de couleurs entières à partir d’autres systèmes de couleurs, tels que PANTONE® Process Color System. Lorsque vous importez des bibliothèques de couleurs dans Illustrator, les couleurs de la bibliothèque sont permanentes. Vous devez donc copier une bibliothèque de couleur vers la palette Nuancier pour pouvoir la modifier.
Lorsque vous sélectionnez un fichier dont le mode colorimétrique diffère de celui du document actif, les couleurs sont converties vers leur équivalent le plus proche dans le mode colorimétrique du document cible. Pour importer des couleurs, des dégradés ou des motifs à partir d’autres fichiers : 1 Choisissez Fenêtre > Bibliothèques de nuances > Autre bibliothèque. 2 Sélectionnez le fichier à partir duquel vous voulez importer des nuances, puis cliquez sur Ouvrir. Pour ajouter des couleurs issues de la bibliothèque de l’autre fichier dans la palette Nuancier : 1 Sélectionnez une ou plusieurs nuances dans la bibliothèque. •
Finder™ 1050, le système de couleurs Focoltone®, le nuancier Trumatch™, DIC Process Color Note, ainsi que les bibliothèques conçues spécialement pour le Web. Chacun des systèmes de couleurs sélectionné s’affiche dans sa propre palette de bibliothèque. Les tons directs des bibliothèques de couleurs, comme tous les tons directs, sont convertis en couleurs quadri lors de la séparation, à moins que vous n’ayez désactivé l’option Conversion quadri dans la boîte de dialogue Séparations (voir la section « Décomposition de tons directs en couleurs quadrichromiques », page 392). Pour charger des bibliothèques de couleurs personnalisées prédéfinies dans Illustrator : 1 Choisissez Fenêtre > Bibliothèques de nuances. 2 Sélectionnez le système de couleurs qui vous convient dans le sous-menu. Votre sélection s’affiche sous forme de palette à onglet.
2 Choisissez Permanente dans le menu déroulant de la palette de bibliothèque de nuances. La bibliothèque s’ouvrira automatiquement au même endroit, à chaque démarrage de l’application Illustrator. Pour sélectionner une nuance par nom ou par numéro : 1 Sélectionnez la palette Nuancier ou une bibliothèque de nuances d’un système de couleurs spécifique (le système de couleurs PANTONE, par exemple). 2 Dans la zone de texte Rechercher, saisissez le nom ou le numéro d’une nuance pour la sélectionner. Par exemple, dans la palette de la bibliothèque PANTONE Process, vous pouvez saisir 11-7 CVS pour sélectionner la nuance PANTONE 11-7. Remarque : si la zone de texte Rechercher est masquée, choisissez Afficher le champ Rechercher dans le menu de la palette Nuancier.
La commande Bibliothèques de nuances prend en charge différents systèmes colorimétriques, parmi lesquels : PANTONE Utilisé pour les encres d’impression. Chaque couleur PANTONE a son équivalent CMJN. Pour sélectionner une couleur PANTONE, déterminez d’abord la couleur d’encre voulue, à l’aide du document PANTONE Color Formula Guide ou d’un nuancier des encres obtenu auprès de votre imprimeur. Les ouvrages de référence PANTONE sont disponibles depuis le site Web de PANTONE. Par défaut, Illustrator 10 installe les nuanciers suivants : PANTONE Solid Coated, PANTONE Solid Matte, PANTONE Solid Uncoated, PANTONE Process Coated, PANTONE Process Coated EURO, PANTONE Process Uncoated, PANTONE Pastel Coated, PANTONE Pastel Uncoated et PANTONE Metallic. Important : Illustrator 10 s’enrichit de nouvelles bibliothèques de couleurs PANTONE. Si vous travaillez sur un fichier Illustrator 9.0 ou version antérieure, l’ancienne version des couleurs PANTONE est réutilisée, le cas échéant. Il vous faudra peut-être réactualiser les anciennes versions d’une couleur si vous envisagez de copier une illustration comportant un ton direct dans un document qui utilise un ton direct différent portant le même nom ou d’importer un fichier EPS Illustrator assorti d’un ton direct dans une application qui utilise le même ton direct sous un autre nom. TRUMATCH Le système TRUMATCH propose des équivalences CMJN pour plus de 2 000 couleurs générées électroniquement. Les couleurs Trumatch couvrent par paliers réguliers le spectre visible de la gamme des couleurs CMJN. Le système TRUMATCHCOLORFINDER affiche jusqu’à 40 teintes et ombres par teinte, créées en quadrichromie et reproductibles en ce mode sur photocomposeuses électroniques. En outre, il comprend des gris quadrichromiques avec différentes teintes. FOCOLTONE Le système de couleurs FOCOLTONE comporte 763 couleurs CMJN. Les couleurs FOCOLTONE permettent d’éviter les problèmes de recouvrement et de repérage en prépresse.
Adobe Illustrator présente deux fichiers de démarrage : un fichier de démarrage spécifique au mode colorimétrique CMJN et un autre spécifique au mode RVB. Lorsque vous créez un nouveau document, vous êtes invité à choisir le mode colorimétrique souhaité pour le nouveau document. Selon le fichier de démarrage choisi (CMJN ou RVB), votre nouveau document contiendra les paramètres par défaut de ce fichier de démarrage spécifique : formes, nuances, dégradés, motifs et styles. Les fichiers de démarrage sont respectivement intitulés CMJN_Démar Adobe Illustrator et RVB_Démar Adobe Illustrator, et résident dans le dossier Modules externes du dossier de l’application Adobe Illustrator. Vous pouvez créer un fichier de démarrage personnalisé définissant le contenu de la palette Nuancier par défaut, y compris toutes les bibliothèques de couleurs personnalisées que vous voulez voir apparaître dans la palette Nuancier. Vos motifs, dégradés, formes, symboles, couleurs et bibliothèques de couleurs préférés restent ainsi facilement accessibles. En ajoutant ces éléments au fichier de démarrage, vous les rendrez disponibles lors de la création d’un nouveau fichier Illustrator. En outre, tous les fichiers créés partagent les mêmes configurations de format de document et d’impression que celles du fichier de démarrage CMJN ou RVB. Ils utilisent les mêmes paramètres de facteur de zoom, de taille de fenêtre, de préférences d’affichage et de position de défilement que ceux définis dans la dernière version enregistrée du fichier de démarrage. Pour créer un fichier de démarrage personnalisé : 1 Faites une sauvegarde du fichier de démarrage par défaut actif, CMJN_Démar Adobe Illustrator ou RVB_Démar Adobe Illustrator, puis enregistrez cette copie de sauvegarde hors du dossier Modules externes. Vous conservez ainsi une sauvegarde du fichier de démarrage d’origine dont vous pourrez vous servir, s’il y a lieu. Les fichiers de démarrage se trouvent dans le dossier Modules externes du dossier de l’application Adobe Illustrator. 2 Ouvrez le fichier de démarrage par défaut (CMJN ou RVB, selon le type de document que vous prévoyez d’utiliser) pour l’adopter comme modèle pour le fichier de démarrage personnalisé. Ce fichier comprend des pastilles libellées remplies par les couleurs, motifs et dégradés par défaut disponibles dans la palette Nuancier. 3 Supprimez toute couleur, tout motif ou dégradé que vous ne souhaitez pas conserver de leur palette respective et de l’illustration figurant dans le fichier de démarrage. 4 Ajoutez de nouveaux attributs de dessin au fichier de démarrage en procédant comme suit :
Adobe Illustrator, dans le dossier modules externes. Important : vérifiez que le type de fichier de démarrage sélectionné est correct (à savoir, CMJN ou RVB) et que vous l’enregistrez bien avec le nom correspondant à son mode colorimétrique. En outre, vous devez quitter Illustrator et redémarrer l’application pour que les nouveaux paramètres de démarrage du nouveau document soient pris en compte.
Le sélecteur de couleurs vous permet de choisir une couleur de fond ou de contour en la prélevant à partir d’un spectre chromatique ou en définissant sa valeur numérique. Vous pouvez par ailleurs sélectionner des couleurs reposant sur les modèles colorimétriques TSL, RVB et CMJN (voir la section « Modes de couleur et modèles colorimétriques », page 166) ou spécifier la valeur hexadécimale d’une couleur. Pour afficher le sélecteur de couleurs : Procédez de l’une des façons suivantes : •
Si, par exemple, vous avez sélectionné du noir et que vous cliquez sur la composante rouge en mode RVB, la bande des couleurs affiche la plage de couleurs correspondant au rouge (la valeur 0 apparaît au bas de la bande, et la valeur 255 en haut). Le spectre affiche les valeurs du bleu le long de l’axe horizontal, et du vert le long de l’axe vertical. Pour choisir une couleur : 1 Cliquez sur une composante en regard des valeurs TSL, RVB ou CMJN.
Dans le sélecteur de couleurs, vous pouvez sélectionner une couleur dans l’un des quatre modèles colorimétriques de votre choix en spécifiant des valeurs numériques pour chaque composante colorimétrique. Pour définir des couleurs à l’aide de leurs valeurs numériques : Procédez de l’une des façons suivantes : •
« Gammes des couleurs », page 168). Les couleurs imprimables sont déterminées par les valeurs d’impression saisies pour le jeu d’encre sélectionné dans la boîte de dialogue de configuration CMJN. Un cube qui s’affiche au-dessus du triangle jaune indique que la couleur choisie n’est pas une couleur Web sécurisée. Pour sélectionner l’équivalent CMJN le plus proche d’une couleur non imprimable : Cliquez sur le triangle d’avertissement qui s’affiche dans la boîte de dialogue Sélecteur de couleurs ou dans la palette Couleur. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Illustrator est muni d’une grande variété d’outils de modification et d’édition des couleurs de vos fichiers. Vous pouvez utiliser l’outil Pot de peinture ou Pipette pour copier les attributs de dessin d’un objet à un autre. La pipette copie le style entier d’un objet. Si vous souhaitez ne copier que la couleur d’une portion de dégradé, de motif, d’objet de filet ou d’image importée, maintenez la touche Maj enfoncée tandis que vous cliquez sur l’objet.
Vous pouvez utiliser l’outil Pipette pour copier l’aspect et les couleurs (notamment les transparences et autres effets) d’un objet quelconque dans un fichier Illustrator, d’une nuance ou du bureau, y compris d’une autre application. Vous pouvez ensuite appliquer ces attributs à l’aide de l’outil Pot de peinture. Ensemble, ces outils vous permettent de copier les attributs d’un objet à un autre. Par défaut, les outils Pipette et Pot de peinture agissent sur tous les attributs d’un objet. Vous pouvez modifier les attributs des objets à partir de la boîte de dialogue d’options de l’outil. Vous pouvez également utiliser les outils Pipette et Pot de peinture pour copier et coller des attributs de texte (voir la section « Copie d’attributs de texte entre objets », page 286). Pour copier des attributs de dessin à l’aide de l’outil Pipette : 1 Sélectionnez l’objet dont vous voulez modifier les attributs. 2 Sélectionnez l’outil Pipette
Cliquez sur l’outil Pipette pour prélever tous les attributs de l’aspect. Cliquez tout en maintenant la touche Maj enfoncée pour échantillonner la couleur uniquement. Pour dupliquer l’aspect d’un objet, cliquez tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) et la touche Maj enfoncées. Pour copier des attributs de dessin du bureau vers Illustrator à l’aide de l’outil Pipette : 1 Sélectionnez l’objet dont vous voulez modifier les attributs. 2 Sélectionnez l’outil Pipette. 3 Cliquez sur un endroit quelconque du document en maintenant le bouton de la souris enfoncé.
Pour appliquer des attributs de dessin à l’aide de l’outil Pot de peinture : 1 Sélectionnez l’outil Pot de peinture
Si vous travaillez en mode Tracés ou si l’objet est doté d’un contour mais pas d’un fond, veillez à bien cliquer sur le contour de l’objet. Pour basculer entre les outils Pipette et Pot de peinture, appuyez sur la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) lorsqu’un de ces outils est sélectionné. Pour modifier les attributs de dessin contrôlés par l’outil Pipette ou Pot de peinture : 1 Cliquez deux fois sur l’outil Pot de peinture ou Pipette. 2 Sélectionnez les attributs que vous voulez copier à l’aide de la Pipette, appliquez-les à l’aide du Pot de peinture, puis cliquez sur OK.
Les commandes Mélange maximal et Mélange pondéré vous permettent de gérer le mélange des couleurs qui se recouvrent (voir la section « Etape 2 : sélection des options de surimpression pour les couleurs superposées », page 380). Important : vous pouvez également définir le mélange des couleurs superposées à l’aide des modes de fusion de la palette Transparence. Les modes de fusion offrent plusieurs options de gestion des couleurs superposées. Utilisez-les systématiquement pour les illustrations contenant des tons directs, des motifs, des dégradés ou des graphiques complexes. L’utilisation des effets Pathfinder est réservée aux groupes, calques et sous-calques. Pour plus de détails sur l’utilisation des effets, voir la section « Utilisation des effets », page 258. •
1 Sélectionnez un groupe dans l’illustration ou ciblez un groupe ou un calque dans la palette Calques (pour plus de détails sur la sélection d’un élément cible, voir la section « Modification de l’aspect des illustrations à l’aide de la palette Calques », page 245). 2 Choisissez Effet > Pathfinder > Mélange maximal. Pour mélanger les couleurs en définissant un facteur de mélange (mélange pondéré) : 1 Sélectionnez un groupe dans l’illustration ou ciblez un groupe ou un calque dans la palette Calques (pour plus de détails sur la sélection d’un élément cible, voir la section « Modification de l’aspect des illustrations à l’aide de la palette Calques », page 245). 2 Choisissez Effet > Pathfinder > Mélange pondéré. 3 Entrez une valeur comprise entre 1 et 100 % dans la zone de texte Facteur pour déterminer le pourcentage de visibilité souhaité dans les couleurs superposées, puis cliquez sur OK.
Les filtres Illustrator constituent des raccourcis permettant de modifier les attributs de couleur ou de mélanger des couleurs entre objets.
Le filtre Correction des couleurs vous permet de modifier les valeurs chromatiques des objets, de même que la teinte des couleurs globales. Vous pouvez également utiliser les filtres Conversion pour convertir des objets en niveaux de gris et selon le mode colorimétrique de votre document. Pour corriger des couleurs à l’aide du filtre Correction des couleurs : 1 Sélectionnez les objets dont vous voulez corriger les couleurs. 2 Choisissez Filtre > Couleurs > Correction des couleurs. 3 Sélectionnez Conversion, puis choisissez un modèle colorimétrique. Si votre document est en mode RVB, vous pouvez choisir RVB ou Niveaux de gris. S’il s’agit d’un document CMJN, vous avez le choix entre CMJN et Niveaux de gris. 4 Sélectionnez Fond ou Contour (ou les deux) pour corriger le fond, le contour ou les deux. 5 Déplacez les curseurs ou entrez des valeurs dans les zones de texte correspondantes.
2 Convertissez l’objet en niveaux de gris ou selon le mode colorimétrique de votre document. •
Pour saturer ou désaturer les couleurs : 1 Sélectionnez les objets dont vous voulez saturer ou désaturer les couleurs. 2 Choisissez Filtre > Couleurs > Saturation. 3 Déplacez le curseur ou entrez une valeur comprise entre -100 % et +100 % correspondant au pourcentage d’augmentation ou de diminution de la couleur ou de la teinte du ton direct. 4 Cochez la case Aperçu pour prévisualiser l’effet, puis cliquez sur OK.
Le filtre Inversion sert à créer une couleur négative (ou inversée) de l’objet sélectionné. Lorsque vous inversez un objet, ses valeurs chromatiques sont converties en valeurs inverses de celles de l’original. Pour inverser les couleurs : 1 Sélectionnez les objets dont vous voulez inverser les couleurs. 2 Choisissez Filtre > Couleurs > Inversion.
Les modèles colorimétriques RVB (rouge, vert, bleu) et CMJN (cyan, magenta, jaune, noir) constituent les deux principales catégories d’espaces colorimétriques. Les gammes couvertes par les espaces RVB et CMJN sont très différentes ; bien que la gamme RVB soit généralement plus large (c’est-à-dire capable de représenter plus de couleurs) que la gamme CMJN, certaines couleurs CMJN ne sont quand même pas couvertes par la gamme RVB (voir la section « Gammes des couleurs », page 168 pour une illustration). En outre, différents périphériques produisent des gammes légèrement distinctes pour le même modèle colorimétrique. Par exemple, divers espaces RVB peuvent exister sur les scanners et moniteurs, et divers espaces CMJN sur les presses d’imprimerie. Du fait de la variation de ces espaces colorimétriques, il est possible que l’aspect des couleurs diffère lors du transfert des documents d’un périphérique à l’autre. Les écarts chromatiques s’expliquent notamment par des sources d’images différentes (les scanners et les applications graphiques produisent des illustrations en utilisant des espaces colorimétriques distincts), la marque des moniteurs, le mode de définition des couleurs des applications utilisées, le support d’impression (le papier journal reproduit une plus petite gamme que le papier pour magazine) et d’autres variations naturelles telles que les différences de fabrication des moniteurs et leur génération.
Un système qui interprète et traduit les couleurs avec exactitude, d’un périphérique à l’autre, se présente comme l’une des solutions aux problèmes de correspondance des couleurs liés à l’utilisation d’espaces colorimétriques différents par plusieurs périphériques et logiciels. Un système de gestion des couleurs (SGC) compare l’espace colorimétrique utilisé pour créer une couleur avec celui utilisé pour la reproduire, puis procède aux réglages nécessaires pour représenter cette couleur de façon aussi homogène que possible sur plusieurs périphériques. Les composants suivants interviennent dans un processus de production avec gestion des couleurs : Espace colorimétrique indépendant du périphérique Pour comparer correctement les gammes de plusieurs périphériques et effectuer les corrections nécessaires, un système de gestion des couleurs utilise un espace colorimétrique de référence, soit un moyen objectif de définir la couleur. La plupart de ces systèmes font appel au modèle colorimétrique interne CIE (Commission Internationale d’Eclairage) LAB, disponible quel que soit le périphérique et capable de reproduire toutes les couleurs visibles à l’œil nu. C’est pourquoi CIE LAB répond à l’appellation de modèle indépendant du périphérique.
Modes de rendu Aucun procédé de traduction des couleurs ne permet de gérer correctement les couleurs de tous les types d’images. Ainsi, une méthode de conversion chromatique reproduisant les relations exactes entre les couleurs d’une photo de safari peut toutefois dénaturer les couleurs d’un logo comportant des aplats. Les moteurs de gestion des couleurs proposent plusieurs modes de rendu, ou procédés de traduction, afin que vous puissiez appliquer celui approprié à un élément graphique donné. Pour une description des modes de rendu pris en charge par Illustrator, voir la section « Choix d’un mode de rendu », page 202. Remarque : ne confondez pas la gestion des couleurs avec la correction des couleurs. Un SGC ne corrigera pas une image enregistrée dont les couleurs et les contrastes ne sont pas équilibrés. Il fournit un environnement vous permettant d’évaluer en toute fiabilité les images dans l’optique de votre sortie finale.
Sur la base des principes suivants, établissez si la gestion des couleurs s’applique à votre cas : •
Vous pouvez notamment, à partir de ces configurations prédéfinies, mettre au point vos propres configurations en fonction de vos travaux. Illustrator utilise aussi des règles de gestion des couleurs, qui définissent le traitement à appliquer aux données de couleur ne correspondant pas immédiatement à votre procédé actuel de gestion des couleurs. Ces règles visent à simplifier les décisions en matière de gestion des couleurs que vous pouvez être amené à prendre lors de l’ouverture d’un document ou de l’importation d’informations chromatiques dans un document actif. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Choisissez Edition > Couleurs. Pour obtenir une description des termes et des options de cette boîte de dialogue, placez le pointeur de la souris sur l’intitulé d’une section ou d’un élément de menu. Les descriptions apparaissent dans la partie inférieure de la boîte de dialogue.
Illustrator propose un ensemble de paramètres prédéfinis de gestion des couleurs, chacun d’entre eux étant associé à un profil de couleur et à des options de conversion visant à garantir des couleurs constantes pour un travail de publication donné, réalisé dans les conditions habituelles. En règle générale, les paramètres prédéfinis garantissent une gestion des couleurs adaptée à vos besoins. Pour choisir un paramètre prédéfini de gestion des couleurs : 1 Choisissez Edition > Couleurs. 2 Dans la zone Paramètres, choisissez l’une des options de configuration suivantes : Emuler Adobe® Illustrator® 6.0 Emule le procédé de couleur utilisé par Illustrator 6.0 et versions précédentes. Cette configuration ne reconnaît ni n’enregistre aucun profil de couleur des documents. Lorsque vous optez pour cette configuration, la commande Attribuer un profil et les commandes d’épreuve d’écran ne sont pas disponibles, de même que les options de gestion des couleurs de la boîte de dialogue Imprimer. Personnalisés Utilise les paramètres que vous avez choisis dans la boîte de dialogue Couleurs. Gestion des couleurs désactivée Utilise des paramètres de gestion des couleurs minimale pour émuler le comportement d’applications qui ne prennent pas en charge la gestion des couleurs. Cette option convient aux productions vidéo et aux présentations en ligne. ColorSync (Mac OS seulement) Gère les couleurs au moyen du système de gestion des couleurs ColorSync 3.0, en utilisant les profils choisis dans le tableau de bord ColorSync. Cette configuration de gestion des couleurs n’est pas prise en charge par les systèmes Windows ni par les versions précédentes de ColorSync. Emuler Acrobat 4 Emule le procédé de couleur utilisé par Adobe Acrobat 4.0 et versions précédentes. Emuler Photoshop 4 Emule le procédé de couleur utilisé par Adobe Photoshop 4.0 et versions précédentes. Défauts Prépresse Europe Gère les couleurs des sorties qui seront imprimées dans des conditions d’impression standard en Europe. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Graphiques Web par défaut Gère les couleurs des sorties qui seront publiées sur le Web. Lorsque vous optez pour une configuration prédéfinie, les paramètres de gestion des couleurs spécifiques correspondants s’affichent dans la boîte de dialogue Couleurs.
Les paramètres prédéfinis de gestion des couleurs spécifient notamment les profils de couleur par défaut à associer aux modèles colorimétriques RVB et CMJN. Essentiels au procédé de gestion des couleurs, ces profils par défaut sont communément appelés espaces de travail RVB et CMJN. Les espaces de travail spécifiés par les paramètres prédéfinis représentent les profils qui reproduiront les couleurs les plus fidèles dans plusieurs environnements standard. Ainsi, le paramètre Défauts Prépresse E.-U. exploite un espace de travail CMJN qui garantit l’homogénéité des couleurs dans des conditions d’impression conformes à la norme SWOP (Specifications for Web Offset Publications). Un espace de travail fait office de profil de couleur par défaut pour les documents nouvellement créés qui utilisent le modèle colorimétrique associé. Par exemple, si l’espace de travail RVB défini est RVB Adobe (1998), tous les nouveaux documents RVB utiliseront des couleurs de la gamme RVB Adobe (1998). Les espaces de travail définissent également la gamme cible des documents convertis en mode RVB ou CMJN.
Lorsque vous spécifiez un paramètre prédéfini de gestion des couleurs, Illustrator configure un procédé de gestion des couleurs standard pour tous les documents et toutes les données chromatiques que vous ouvrez ou importez. Avec un document nouvellement créé, ce procédé est relativement transparent : le document utilise le profil d’espace de travail associé à son modèle colorimétrique pour la création et la retouche des couleurs, et le profil est généralement incorporé au document enregistré pour fournir des informations de conversion chromatique destinées au périphérique de sortie cible. Certains documents existants peuvent toutefois ne pas utiliser l’espace de travail spécifié et ne pas bénéficier de la gestion des couleurs. Les exceptions suivantes s’observent couramment dans un processus de production appliquant la gestion des couleurs : •
• Utilisation d’un autre espace colorimétrique pour
Ouverture d’un document dont le profil • Utilisation du profil (en remplacement de l’espace de couleur ne concorde pas avec de travail) pour l’édition et enregistrement du profil l’espace de travail avec le document. • Conversion des couleurs dans l’espace de travail et enregistrement de cet espace avec le document. • Suppression du profil et désactivation de la gestion
Importation des données chromatiques dans le document
• Importation et conservation des valeurs numériques
Pour réactiver l’affichage des messages de règle : 1 Choisissez Edition > Préférences > Générales (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Générales (Mac OS X). 2 Cliquez sur Réinitialiser tous les messages d’avertissement, puis sur OK.
Bien que les paramètres prédéfinis de gestion des couleurs conviennent à la plupart des processus d’édition, libre à vous de personnaliser des options spécifiques. Par exemple, vous pouvez remplacer l’espace de travail CMJN par un profil qui correspond à la presse à épreuves utilisée par votre imprimeur. Les paramètres de gestion des couleurs peuvent être partagés avec d’autres utilisateurs et d’autres applications qui utilisent la boîte de dialogue Couleurs, comme Adobe Photoshop versions 6.0 et ultérieures. Veillez à enregistrer vos configurations personnalisées, afin de pouvoir les réutiliser et d’en faire bénéficier d’autres utilisateurs qui emploient les mêmes procédés de gestion des couleurs. Pour plus de détails, voir la section « Enregistrement et chargement des paramètres personnalisés de gestion des couleurs », page 203. Les paramètres de gestion des couleurs personnalisés dans la boîte de dialogue Couleurs sont associés à un fichier de préférences intitulé Paramètres de couleurs AI, situé dans le même emplacement que le fichier de préférences Adobe Illustrator (voir la section « Définition des préférences », page 21). Pour personnaliser les paramètres de gestion des couleurs : 1 Choisissez Edition > Couleurs. 2 Pour personnaliser des paramètres à partir d’une configuration prédéfinie de gestion des couleurs, choisissez cette configuration dans le menu Paramètres. 3 Sélectionnez les paramètres appropriés. Lors de vos sélections, l’option du menu Paramètres devient par défaut Personnalisés. Pour des instructions détaillées sur la personnalisation, reportez-vous aux sections suivantes.
Tous les modèles colorimétriques sollicités dans un processus de production avec gestion des couleurs doivent être associés à un espace de travail. Vous pouvez être amené à adapter l’espace de travail RVB ou CMJN en fonction d’un processus qui fait appel à un périphérique de sortie ou d’affichage particulier (pour plus de détails, voir la section « A propos des espaces de travail », page 195).
RVB Adobe (1998) Cet espace présente une gamme (spectre) de couleurs relativement étendue et convient aux documents qui seront convertis en mode CMJN. Utilisez-le pour vos travaux d’impression nécessitant un large éventail de couleurs. sRGB IEC61966-2.1 Cet espace standard reproduit les caractéristiques d’un moniteur PC de qualité moyenne. Il est adopté par un grand nombre de fabricants de matériel et d’éditeurs de logiciel. Il est en passe de devenir l’espace colorimétrique par défaut de nombreux scanners, imprimantes bas de gamme et logiciels. Son utilisation est recommandée pour les travaux de publication sur le Web et déconseillée pour les travaux de prépresse (du fait de sa gamme de couleurs réduite). RVB Apple Cet espace reproduit les caractéristiques d’un moniteur Apple Standard de 13 pouces. Il est adopté par plusieurs logiciels de PAO, notamment Adobe Photoshop versions 4.0 et précédentes. Utilisez-le pour les fichiers que vous prévoyez d’afficher sur des moniteurs Mac OS ou pour travailler avec des fichiers de PAO d’ancienne génération. RVB ColorMatch Cet espace correspond à l’espace colorimétrique natif des moniteurs Radius Pressview. Il s’agit d’une variante de l’espace RVB Adobe (1998) proposant une plus petite gamme, idéale pour les travaux d’impression. RVB Moniteur Ce paramètre applique le profil de couleur actuel de votre moniteur à l’espace de travail RVB. Utilisez-le si certaines applications de votre processus de production ne prennent pas en charge la gestion des couleurs. Lorsqu’une configuration de gestion des couleurs adoptant l’espace RVB Moniteur est partagée avec un autre utilisateur travaillant sur un système différent, cette configuration exploite le profil de moniteur de ce système comme espace de travail. RVB ColorSync (Mac OS seulement) Cet espace est identique à l’espace RVB du tableau de bord Apple ColorSync version 3.0 ou ultérieure. Lorsqu’une configuration de gestion des couleurs adoptant ce paramètre est partagée avec un autre utilisateur travaillant sur un système différent, cette configuration exploite l’espace RVB ColorSync de ce système comme espace de travail. Les options d’espace de travail standard suivantes sont disponibles pour le modèle colorimétrique CMJN : Euroscale Coated v2 Utilise des spécifications conçues pour obtenir des séparations de qualité avec les encres Euroscale dans les conditions d’impression suivantes : 350 % de la couverture d’encre totale, plaque positive, papier couché blanc brillant. Euroscale Uncoated v2 Utilise des spécifications conçues pour obtenir des séparations de qualité avec les encres Euroscale dans les conditions d’impression suivantes : 260 % de la couverture d’encre totale, plaque positive, papier blanc offset non couché. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
260 % de la couverture d’encre totale, plaque négative, papier blanc offset non couché. U.S. Web Coated (SWOP) v2 Utilise des spécifications conçues pour obtenir des séparations de qualité avec les encres U.S. dans les conditions d’impression suivantes : 300 % de la couverture d’encre totale, plaque négative, papier couché de qualité professionnelle. Ce profil a été créé à partir des données TR001. U.S. Web Uncoated v2 Utilise des spécifications conçues pour obtenir des séparations de qualité avec les encres U.S. dans les conditions d’impression suivantes : 260 % de la couverture d’encre totale, plaque négative, papier blanc offset non couché. CMJN ColorSync (Mac OS seulement) Cet espace est identique à l’espace CMJN du tableau de bord Apple ColorSync version 3.0 ou ultérieure. Lorsqu’une configuration de gestion des couleurs adoptant ce paramètre est partagée avec un autre utilisateur travaillant sur un système différent, cette configuration exploite l’espace CMJN ColorSync de ce système comme espace de travail.
Toutes les configurations de gestion des couleurs prédéfinies définissent une règle de gestion des couleurs pour chaque modèle colorimétrique et affichent des messages d’avertissement afin que vous puissiez remplacer la stratégie par défaut au cas par cas. Vous avez la possibilité d’adopter une stratégie mieux adaptée au procédé de gestion des couleurs que vous utilisez fréquemment. Pour des détails sur les règles, voir la section « Règles de gestion des couleurs », page 195. Pour personnaliser les règles de gestion des couleurs : 1 Dans la zone Règles de gestion des couleurs de la boîte de dialogue Couleurs, choisissez l’une des options suivantes pour définir la règle par défaut de chaque modèle colorimétrique : •
• Lorsque le profil du document ouvert concorde avec l’espace de
• Les valeurs numériques des couleurs correspondant aux
• Les couleurs correspondant aux données chromatiques
Conserver les profils incorporés
• Lorsque le profil du document ouvert ne concorde pas avec
• Lorsque le document n’est associé à aucun profil, l’espace de
• Les valeurs numériques correspondant aux données
• Pour tous les autres scénarios d’importation, les couleurs sont
Convertir selon l’espace de travail
• Lorsque le profil du document ouvert ne concorde pas avec
• Lorsque le document n’est associé à aucun profil, l’espace de
• Les valeurs numériques correspondant aux données
• Pour tous les autres scénarios d’importation, les couleurs sont
Personnalisation des paramètres avancés de gestion des couleurs Lorsque vous cochez Mode avancé en haut de la boîte de dialogue Couleurs, vous disposez d’options de personnalisation supplémentaires utilisées pour la gestion des couleurs.
Le moteur de gestion des couleurs spécifie le système et la méthode de correspondance des couleurs utilisés pour convertir les couleurs d’un espace colorimétrique vers un autre (pour plus de détails, voir la section « A propos de la gestion des couleurs », page 191). Vous avez le choix parmi les options de moteur standard suivantes. Si vous avez installé d’autres moteurs de gestion des couleurs, ils s’affichent également comme options. Adobe (ACE) Utilise le système et le moteur de gestion des couleurs Adobe. Il s’agit du paramètre par défaut de la plupart des configurations colorimétriques prédéfinies. Apple ColorSync Utilise le système de gestion des couleurs conçu par Apple Computer, Inc. pour les ordinateurs Mac OS. Microsoft ICM Utilise le système de gestion des couleurs conçu par Microsoft Corporation pour les ordinateurs Windows 98 et Windows 2000. Apple CMM Utilise le système de gestion des couleurs conçu par Apple Computer, Inc. pour les ordinateurs Mac OX. Heidelberg CMM Utilise le système de gestion des couleurs conçu par Heidelberg pour les ordinateurs Mac OX.
Perception Ce mode permet de conserver les relations visuelles entre les couleurs, afin qu’elles soient perçues comme naturelles à l’œil nu, même si les valeurs chromatiques peuvent elles-mêmes varier. Saturation Idéal pour les illustrations de bureau et de présentation, ce mode privilégie l’éclat des couleurs au détriment de leur précision. Il convertit la gamme source en fonction de la gamme cible, mais il conserve la saturation relative plutôt que la teinte. Un glissement des teintes est donc possible lors de la conversion en une gamme plus petite. Ce mode de rendu convient aux images commerciales appréciées davantage pour leurs couleurs saturées vives que leurs couleurs exactes. Colorimétrie absolue Ce mode conserve les couleurs de la gamme cible intactes. Il vise à privilégier l’exactitude des couleurs au détriment des relations chromatiques. Il est ainsi possible, lors de la conversion en une gamme plus petite, de représenter deux couleurs distinctes de l’espace colorimétrique source par la même couleur de l’espace cible. Colorimétrie relative Ce mode est identique à la colorimétrie absolue à une exception près : la colorimétrie relative compare le point blanc (blanc le plus pur) de l’espace colorimétrique source avec celui de l’espace cible, puis décale les couleurs en conséquence. La précision de la colorimétrie relative dépend de l’exactitude des informations du point blanc spécifiées par le profil de l’image. Il s’agit du mode de rendu par défaut utilisé par toutes les configurations prédéfinies de gestion des couleurs.
L’option Utiliser la compensation du point noir permet de définir la compensation des différences de points noirs au cours de la conversion de couleurs d’un espace colorimétrique à l’autre. Lorsque cette option est activée, la gamme dynamique complète de l’espace source et celle de l’espace cible sont mises en correspondance. Lorsqu’elle est désactivée, la gamme dynamique de l’espace source est simulée dans l’espace cible. Bien que ce mode puisse produire des ombres détourées ou grisées, il se révèle utile lorsque la valeur du point noir de l’espace source est inférieure à celle du point noir de l’espace cible. Cette option est sélectionnée pour toutes les configurations prédéfinies de gestion des couleurs. Il est vivement conseillé de l’activer.
Pour enregistrer une configuration personnalisée de gestion des couleurs : 1 Dans la boîte de dialogue Couleurs, cliquez sur Enregistrer. 2 Nommez le fichier des paramètres de couleur, puis cliquez sur Enregistrer. Pour que la configuration enregistrée apparaisse dans le menu Paramètres de la boîte de dialogue Couleurs d’Illustrator, enregistrez le fichier dans le dossier des paramètres de couleur (emplacement par défaut lorsque vous ouvrez pour la première fois la fenêtre d’enregistrement). Pour charger une configuration de gestion des couleurs : 1 Dans la boîte de dialogue Couleurs, cliquez sur Charger. 2 Recherchez le fichier des paramètres de couleur approprié, sélectionnez-le, puis cliquez sur Ouvrir. Une fois le fichier des paramètres de couleur chargé, il est activé dans le menu Paramètres de la boîte de dialogue Couleurs. Si vous sélectionnez une autre option du menu Paramètres, vous devrez recharger le fichier des paramètres de couleur, afin d’y avoir de nouveau accès.
L’une des étapes d’un processus d’édition traditionnel consiste à imprimer une épreuve papier de votre document, afin de vérifier l’aspect des couleurs une fois reproduites sur un périphérique de sortie spécifique. Grâce à la gestion des couleurs et à la précision des profils de couleur, vous êtes en mesure de vérifier l’épreuve de votre document directement sur le moniteur. Vous pouvez afficher un aperçu des couleurs telles qu’elles seront reproduites sur un périphérique de sortie donné. Toutefois, la fiabilité de l’épreuve d’écran dépend sensiblement de la qualité du moniteur, du profil de moniteur utilisé et de l’éclairage de votre poste de travail. Pour plus de détails sur la création d’un profil de moniteur, voir la section « Création d’un profil de moniteur ICC », page 207. Remarque : les commandes d’épreuve d’écran ne sont pas disponibles lorsque le paramètre Emuler Adobe Illustrator 6.0 est sélectionné dans la boîte de dialogue Couleurs. Pour afficher une épreuve d’écran : 1 Choisissez Affichage > Format d’épreuve, puis sélectionnez l’affichage de sortie à simuler : •
Couleurs de l’épreuve est cochée. Pour créer un format d’épreuve personnalisé : 1 Choisissez Affichage > Format d’épreuve > Personnalisé. 2 Dans la boîte de dialogue Format d’épreuve, choisissez le profil de couleur correspondant au périphérique auquel est destiné l’épreuve. 3 Si vous avez choisi un profil d’épreuve en fonction du modèle colorimétrique en cours du document, effectuez l’une des opérations suivantes : •
Emuler Adobe Illustrator 6.0 est sélectionné dans la boîte de dialogue Couleurs. Pour redéfinir ou supprimer le profil d’un document : 1 Choisissez Edition > Attribuer un profil. 2 Sélectionnez l’une des options suivantes : •
Par défaut, le profil d’un document bénéficiant de la gestion des couleurs est incorporé lors de l’enregistrement dudit document dans un format qui reconnaît les profils ICC incorporés. Il s’agit des formats natifs Illustrator (.ai) et Photoshop (.psd) et des formats PDF, JPEG et TIFF. Les profils ne sont pas enregistrés par défaut avec les documents sans gestion des couleurs. Vous avez la possibilité de modifier le comportement par défaut pour incorporer ou non les profils au cours de l’enregistrement d’un document. Toutefois, il est conseillé de réserver cette opération aux utilisateurs avertis ayant une bonne expérience de la gestion des couleurs. Pour modifier le comportement d’incorporation d’un profil dans un document : 1 Choisissez Fichier > Enregistrer. Nommez le document, spécifiez un format de fichier, puis cliquez sur Enregistrer. 2 Dans la boîte de dialogue des options du format de fichier qui s’affiche, sélectionnez ou désélectionnez Incorporer le profil ICC. 3 Cliquez sur OK pour enregistrer le document.
Une gestion des couleurs homogène et précise exige des profils fiables, conformes à la norme ICC, pour tous vos périphériques couleur. Par exemple, sans un profil de scanner approprié, une image numérisée parfaite peut présenter des défauts dans un autre programme, en raison d’une simple différence de gamme entre le scanner et le logiciel d’affichage graphique. Cette représentation équivoque peut vous amener à retoucher, voire détériorer, inutilement une image d’une qualité satisfaisante. Avec un profil fiable, le programme qui importe l’image peut rectifier tous les écarts entre les gammes et afficher ainsi les couleurs réelles d’une image numérisée. Une fois que vous avez trouvé les profils adéquats, vous pouvez les utiliser avec toutes les applications compatibles avec votre système de gestion des couleurs. Vous pouvez obtenir des profils de plusieurs façons (présentées par ordre de précision) : •
Le programme d’installation d’Illustrator vous laisse choisir parmi des profils de périphérique de fabricants tiers pour des équipements répandus. Ce choix est pertinent si vous n’avez pas accès à des outils d’étalonnage matériels. Il est impossible au programme d’installation de proposer des profils pour tous les périphériques. Si ce programme n’a pas installé de profil pour votre périphérique, créez-en un ou commandez-en un au fabricant de votre périphérique. Pour éviter toute confusion lorsque vous utilisez des profils, supprimez tous ceux correspondant à des périphériques inutilisés. Mac OS vous permet d’organiser le dossier Profils ColorSync en créant des sousdossiers ou en associant des alias à d’autres dossiers. Pour ajouter des profils à votre système : Procédez de l’une des façons suivantes : •
Les spécifications de reproduction colorimétrique d’un périphérique couleur évoluent au fil du temps. Veillez donc à étalonner régulièrement vos périphériques et à mettre à jour vos profils. La durée de fiabilité d’un profil est de l’ordre d’un mois, selon le périphérique. Certains moniteurs compensent automatiquement les luminophores anciens. Veillez également à étalonner un périphérique lorsque vous modifiez l’un des facteurs agissant sur l’étalonnage. Par exemple, réétalonnez votre moniteur dès que vous changez l’éclairage de la pièce ou le réglage de luminosité de l’écran.
Remarque : Adobe Gamma permet de profiler les moniteurs utilisés avec Windows NT, et non de les étalonner. En outre, vous pouvez utiliser un profil ICC créé avec Adobe Gamma comme profil système sous Windows NT. Ce profil peut régler des paramètres sous Windows 98 en fonction de la carte vidéo et du logiciel du pilote vidéo. Selon le cas, certaines options d’étalonnage présentées ici peuvent ne pas être disponibles.
Un logiciel de profilage tel qu’Adobe Gamma permet de profiler et d’étalonner un moniteur. Le profilage consiste à créer un profil décrivant la méthode de reproduction des couleurs du moniteur. L’étalonnage n’est autre que le réglage du moniteur conformément à une norme prédéfinie. Ainsi, pour que votre moniteur se conforme à la norme des arts graphiques en vigueur pour l’affichage des couleurs, il doit utiliser une température de couleur de point blanc de 5 000 degrés Kelvin. Convenez à l’avance de la norme et de la stratégie d’étalonnage à adopter, afin de spécifier l’ensemble des valeurs correspondantes, avec votre équipe de travail et votre atelier de prépresse.
L’étalonnage d’un moniteur nécessite le réglage de paramètres vidéo qui vous sont parfois peu familiers. Un profil de moniteur utilise ces paramètres pour décrire avec précision la méthode de reproduction des couleurs de votre moniteur. Luminosité et contraste Représentent respectivement le niveau et l’écart d’intensité de l’affichage. Ces paramètres sont identiques à ceux utilisés en télévision. Adobe Gamma vous aide à définir la plage optimale de luminosité et de contraste pour l’étalonnage. Gamma Représente la luminosité des tons moyens. Les valeurs comprises entre le noir et le blanc produites par un moniteur ne sont pas linéaires. Si vous les reportez sur un graphe, elles forment une courbe et non une droite. Gamma définit la valeur de cette courbe à mi-chemin entre le blanc et le noir et compense la reproduction tonale non linéaire des périphériques de sortie tels que les tubes de moniteur. Luminophores Représente la substance utilisée par les moniteurs pour l’émission de lumière. Différents luminophores présentent des caractéristiques colorimétriques distinctes. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Pour utiliser Adobe Gamma : 1 Lancez l’utilitaire Adobe Gamma en procédant comme suit : •
Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Illustrator épouse si bien la transparence qu’il est possible d’en assortir une illustration sans s’en apercevoir, notamment lors de l’application d’effets et de styles. Vous devez donc prêter attention aux multiples usages de la transparence, afin de pouvoir définir les options appropriées lors de l’impression et l’enregistrement de votre travail (voir la section « Impression et enregistrement d’illustrations avec transparence », page 368).
Par défaut, la palette Transparence agit sur les objets, mais elle permet également de créer des effets de transparence uniques dans un groupe ou un calque. Après modification de sa valeur, l’opacité des objets sélectionnés varie par rapport aux autres objets, les intersections affichant alors une opacité cumulée.
Avant d’imprimer un fichier auquel sont appliqués des effets de transparence, vérifiez les préférences correspondantes. Une impression standard aplatit l’illustration et risque d’appauvrir l’aspect de ces effets (voir les sections « A propos de l’impression », page 364 et « Impression et enregistrement d’illustrations avec transparence », page 368). Lorsque vous partagez des fichiers entre Illustrator et Photoshop, la transparence est préservée. Les masques d’opacité Illustrator se convertissent en masques de calque dans Photoshop, et inversement (voir la section « Ouverture de fichiers Photoshop dans Illustrator », page 36).
La palette Transparence permet de définir l’opacité et le mode de fusion des objets, de créer des masques d’opacité ou de masquer partiellement un objet avec la couche supérieure d’un autre objet (voir les sections « Masques d’opacité », page 213 et « Groupes perçants de transparence », page 217). Affichage de la palette Transparence Choisissez Fenêtre > Transparence. Utilisation du menu de la palette Transparence Cliquez sur le triangle situé dans l’angle supérieur droit de la palette pour accéder aux commandes permettant de travailler avec la transparence. Affichage des options de transparence Choisissez Afficher les options dans le menu de la palette.
Vous pouvez afficher un fond en damier qui facilite le repérage des zones transparentes de l’illustration. Affichage et masquage du damier de transparence Choisissez Affichage > Afficher le damier de transparence et Affichage > Masquer le damier de transparence.
Transparence. Utilisez la palette Calques pour définir l’objet, groupe d’objets ou masque auquel appliquer des effets de transparence (voir la section « Modification de l’aspect des illustrations à l’aide de la palette Calques », page 245). Ce procédé vous garantit que l’effet sera limité à l’illustration ciblée. Lorsque vous modifiez la transparence d’un calque ciblé, les changements se répercutent sur le calque tout entier et non sur les objets du calque en particulier. Les objets exclus du calque perdent les valeurs de transparence du calque. Pour modifier l’opacité d’un objet, groupe ou calque : 1 Sélectionnez l’objet, groupe, calque ou sous-calque de l’une des façons suivantes : •
Pour définir les préférences de transparence : 1 Choisissez Fichier > Format de document. 2 Choisissez Transparence dans le menu en haut de la boîte de dialogue Format de document. 3 Dans le menu Grille, choisissez le format du damier. 4 Dans le menu déroulant Couleur, procédez comme suit : •
La forme au premier plan du groupe d’objets sélectionnés est le point de départ du masque d’opacité. Une fois le masque créé, sa vignette apparaît dans la palette Transparence en regard de celle de l’objet à masquer. Par défaut, le masque et l’objet sont liés. Ce lien est représenté par un symbole entre leur vignette respective. Vous pouvez créer un masque d’opacité d’après presque tous les objets graphiques imaginables, notamment un dégradé de couleur, un filet ou un motif (voir la section « Dégradés de couleurs, filets et dégradés de formes », page 220). Pour créer un masque d’opacité : Procédez de l’une des façons suivantes : •
Pour supprimer ou désactiver un masque d’opacité : Sélectionnez l’illustration masquée, puis procédez de l’une des façons suivantes : •
Cliquez sur la vignette du masque dans la palette Transparence.
(Mac OS) enfoncée pour afficher seulement le masque dans la fenêtre du document.
Transparence. 3 Cliquez sur la vignette de l’illustration dans la palette Transparence pour quitter le mode d’édition de masque. Pour rompre ou rééditer le lien d’un masque : Sélectionnez l’illustration, puis procédez de l’une des façons suivantes : •
Les options Ecrêter et Inversé de la palette Transparence s’activent lorsque vous sélectionnez une illustration dotée d’un masque d’opacité. Une fois la case Ecrêter activée, le masque fait également office de masque d’écrêtage, lequel rend les objets masqués entièrement transparents en dehors du cadre de délimitation de l’illustration occultante. La commande Inversé inverse les valeurs de luminosité de cette illustration occultante, et par voie de conséquence l’opacité de l’illustration masquée (les zones transparentes à 90 % sont transparentes à 10 % après inversion). Sélectionnez les deux options pour créer un masque d’opacité d’écrêtage dont les valeurs de luminosité sont inversées.
A. Options Ecrêter et Inversé désactivées B. Option Ecrêter activée C. Option Inversé activée D. Options Ecrêter et Inversé activées Choisissez Ecrêter les nouveaux masques d’opacité dans le menu de la palette Transparence. Pour inverser l’opacité d’un masque ou rétablir un masque inversé à son état initial : 1 Sélectionnez l’illustration masquée. 2 Sélectionnez l’option Inversé. Désactivez la case Inversé pour rétablir l’opacité d’origine du masque. Pour inverser tous les masques par défaut : Choisissez Inverser les nouveaux masques d’opacité dans le menu de la palette Transparence.
Vous pouvez dégrader des couleurs entre deux objets superposés en utilisant les modes de fusion de la palette Transparence. Ces modes permettent de diversifier les méthodes utilisées pour dégrader les couleurs des objets sélectionnés avec celles des objets sous-jacents. Lorsque vous examinez l’effet d’un mode de fusion, pensez en termes de couleurs : •
Pour définir le mode de fusion d’un objet : 1 Ciblez l’objet, le groupe, le calque ou le sous-calque approprié. 2 Choisissez l’un des modes de fusion dans le menu de la palette Transparence : Normal Applique la couleur de dégradé à la sélection sans interaction avec la couleur de départ. Il s’agit du mode par défaut. Produit Multiplie la couleur de départ par la couleur de dégradé. La couleur d’arrivée est toujours plus foncée. Le produit d’une couleur quelconque par le noir rend du noir. Le produit d’une couleur quelconque par le blanc n’a aucune incidence sur la couleur. Cet effet équivaut à dessiner sur une image à l’aide de plusieurs marqueurs magiques.
Lumière tamisée Assombrit ou éclaircit les couleurs, selon la couleur de dégradé. L’effet est semblable à la projection d’une lumière diffuse sur l’illustration. Si la couleur de dégradé (source lumineuse) contient moins de 50 % de gris, l’illustration est éclaircie comme si elle était estompée. Si elle contient plus de 50 % de gris, l’illustration est assombrie comme si elle était surexposée. Lorsque vous dessinez avec un noir ou un blanc pur, vous obtenez une zone nettement plus foncée ou plus claire, mais vous n’obtenez ni un noir ni un blanc pur. Lumière crue Multiplie ou superpose les couleurs, selon la couleur de dégradé. L’effet est semblable à la projection d’une lumière crue sur l’illustration. Si la couleur de dégradé (source lumineuse) contient moins de 50 % de gris, l’illustration est éclaircie comme si elle était filtrée. Ce mode est idéal pour ajouter des tons clairs à l’illustration. Si elle contient plus de 50 % de gris, l’illustration est assombrie comme si elle était multipliée. Ce mode est idéal pour ajouter des ombres à l’illustration. Lorsque vous dessinez avec un noir ou un blanc pur, vous obtenez un noir ou un blanc pur. Densité couleur - Eclaircit la couleur de départ pour réfléchir la couleur de dégradé. La fusion avec du noir ne produit aucun effet. Densité couleur + Assombrit la couleur de départ pour réfléchir la couleur de dégradé. La fusion avec du blanc ne produit aucun effet. Obscurcir Sélectionne la couleur la plus foncée comme couleur d’arrivée, qu’il s’agisse de la couleur de départ ou de dégradé. Les zones plus claires que la couleur de dégradé sont remplacées, et les zones plus foncées restent intactes. Eclaircir Sélectionne la couleur la plus claire comme couleur d’arrivée, qu’il s’agisse de la couleur de départ ou de dégradé. Les zones plus foncées que la couleur de dégradé sont remplacées, et les zones plus claires restent intactes. Différence Soustrait la couleur de dégradé de la couleur de départ, ou inversement, en fonction de la couleur la plus lumineuse. La fusion avec du blanc inverse les valeurs de couleur de base ; la fusion avec du noir ne produit aucun effet. Exclusion Produit un effet semblable au mode Différence avec un moindre contraste. La fusion avec du blanc inverse les composantes chromatiques de la couleur de départ. La fusion avec du noir ne produit aucun effet. Teinte Crée une couleur d’arrivée avec les luminance et saturation de la couleur de départ et la teinte de la couleur de dégradé. Saturation Crée une couleur d’arrivée avec les luminance et teinte de la couleur de départ et la saturation de la couleur de dégradé. L’utilisation de ce mode dans une zone dont la saturation est nulle (grise) ne produit aucun effet.
Remarque : les modes Différence, Exclusion, Teinte, Saturation, Couleur et Luminosité ne permettent pas de dégrader les tons directs. De plus, il est vérifié qu’avec la plupart des modes de fusion, un noir d’une valeur de 100 % N masque la couleur du calque inférieur. Préférez au noir 100 % un noir intense CMJN.
Lorsque vous appliquez des modes de fusion aux objets d’un groupe, leurs effets s’observent normalement sur les objets inférieurs à ce groupe. La commande Fusion isolée vous permet de modifier le comportement des modes de fusion, afin qu’ils agissent sur les seuls objets du groupe sélectionné, et non sur ceux situés en dessous. Remarque : la commande Fusion isolée est pertinente pour les seuls groupes ou calques contenant des objets dont le mode de fusion n’est pas Normal. Elle agit également sur les objets isolés dont les contours ou fonds superposés se sont vus appliquer des modes de fusion autres que Normal.
1 Dans la palette Calques, ciblez un groupe, calque ou sous-calque contenant au moins deux objets auxquels a été appliqué un mode de fusion. Vous pouvez également sélectionner des objets isolés avec des fonds ou des contours superposés auxquels différents modes de fusion ont été appliqués. 2 Dans la palette Transparence, cochez la case Fusion isolée.
Grâce à l’option Groupe perçant de la palette Transparence, chacun des objets du groupe ou calque sélectionné peut masquer les autres objets du groupe qu’il recouvre. Le masquage caractérise les seules illustrations du groupe ou calque sélectionné. Les objets situés au-dessous du groupe sélectionné ou répartis sur plusieurs calques sont toujours visibles.
Sélectionnez l’option Groupe perçant pour activer successivement ces trois modes : activé (case cochée), désactivé (case vide) et neutre (case grisée ou pointillée). En mode neutre, vous pouvez associer une illustration sans aucune incidence sur le masquage déterminé par le calque ou groupe délimité. Le mode désactivé vous garantit qu’un calque ou un groupe d’objets transparents ne se masqueront pas mutuellement.
1 Sélectionnez le groupe à l’aide de l’outil Sélection ou ciblez-le dans la palette Calques. 2 Choisissez Afficher les options dans le menu de la palette Transparence, si nécessaire. 3 Dans la palette Transparence, cliquez sur l’option Groupe perçant pour l’activer (cochée). Pour éviter le masquage d’objets à l’intérieur d’un groupe ou calque perçant : 1 Sélectionnez le groupe à l’aide de l’outil Sélection ou ciblez-le dans la palette Calques. 2 Choisissez Afficher les options dans le menu de la palette Transparence, si nécessaire. 3 Dans la palette Transparence, désélectionnez l’option Groupe perçant pour la désactiver (vide).
1 Associez les objets que vous souhaitez masquer. 2 Sélectionnez le groupe à l’aide de l’outil Sélection ou ciblez-le dans la palette Calques. 3 Sélectionnez Groupe perçant dans la palette Transparence. 4 Sélectionnez l’un des objets associés que vous souhaitez modeler selon son opacité. 5 Sélectionnez Perce selon l’opacité et le masque dans la palette Transparence.
Par contraste, l’outil Filet convertit un objet de tracé (ou une image bitmap) en un objet unique multicolore. Une fois l’objet converti en filet, libre à vous de créer de légères variations chromatiques puis de régler et de manipuler la couleur avec précision par simples déplacements et ajustements des mailles du filet. L’outil Filet permet d’obtenir le glissement chromatique le plus précis au sein d’un seul objet. Les dégradés de couleurs, d’opacités et de formes sur plusieurs objets sont obtenus avec la commande ou l’outil Dégradé de formes. Ils vous permettent de sélectionner les formes, opacités et couleurs de départ et d’arrivée, laissant à Illustrator le soin de créer les étapes intermédiaires du dégradé final.
Un fond en dégradé résulte d’une fusion progressive entre au moins deux couleurs ou teintes de même valeur chromatique. Les dégradés de couleurs peuvent être définis en couleurs quadri CMJN et RVB ou en tons directs. Lors de l’impression ou de la séparation d’un dégradé, les dégradés de couleurs mixtes sont tous convertis en couleurs quadri CMJN (voir la section « Impression de dégradés de couleurs, d’objets de filet et de dégradés de formes », page 370).
La palette Dégradé de couleurs vous permet de créer vos propres dégradés et, en utilisant conjointement les palettes Couleur et Nuancier, de modifier les dégradés prédéfinis. Vous pouvez également ajouter des couleurs intermédiaires à un dégradé, afin d’obtenir un fond en dégradé multicolore. Pour créer un dégradé de couleurs : 1 Sélectionnez un objet avec un outil de sélection et cliquez sur la case Fond de la palette d’outils pour sélectionner le fond de l’objet. 2 Pour appliquer un dégradé de couleurs, procédez de l’une des façons suivantes : •
5 Choisissez Linéaire ou Radial dans le menu déroulant selon le type de dégradé recherché. Dans un dégradé radial, le point de départ définit le centre du fond qui s’étend de façon circulaire jusqu’au point d’arrivée. 6 Pour régler les points de départ et d’arrivée du dégradé, faites glisser les taquets situés sous la barre. Pour régler le point médian (celui où les couleurs ont 50 % de teinte), faites glisser le losange situé au-dessus de la barre. 7 Dans la zone de texte Angle, entrez un angle de progression du dégradé compris entre –180 et 180 degrés. L’option Angle n’est pas disponible lorsqu’un dégradé radial est sélectionné. 8 Pour enregistrer un dégradé de couleurs, procédez de l’une des façons suivantes : •
Les dégradés de couleurs sont définis par un ensemble de paliers sur la barre des dégradés. Un palier, représenté par un taquet situé au-dessous de cette barre, est le point auquel un dégradé passe d’une couleur à la suivante. Les taquets de la palette Dégradé de couleurs affichent la couleur affectée à chaque palier de dégradé. Il est conseillé d’appliquer le dégradé au fond d’un objet, afin de prévisualiser l’effet des modifications sur l’illustration et de les régler. Pour ajouter des couleurs intermédiaires à un dégradé : Procédez de l’une des façons suivantes : •
1 Sélectionnez un objet contenant le dégradé à modifier. 2 Activez l’outil Dégradé de couleurs
4 Relâchez le bouton de la souris à l’endroit choisi pour la couleur d’arrivée. Pour appliquer un dégradé de couleurs sur plusieurs objets : 1 Définissez un dégradé de couleurs pour tous les objets à l’aide des palettes Dégradé de couleurs ou Nuancier ou de l’outil Pot de peinture. 2 Sélectionnez tous les objets. 3 Activez l’outil Dégradé de couleurs
Création d’objets multicolores à l’aide de l’outil Filet L’outil Filet et les commandes Créer un filet et Décomposer permettent de transformer un objet en un objet de filet. Un objet de filet est un objet multicolore dont chaque couleur peut suivre une direction différente et évoluer graduellement d’un point à un autre. En créant un filet précis et en faisant varier les propriétés des couleurs à chaque point du filet, vous pouvez agir avec une grande précision sur la coloration de l’objet. Il est également possible d’étendre un changement de couleur à une partie d’un objet en cliquant sur la facette entre quatre points du filet.
Un objet de filet consiste en un entrecroisement de mailles de filet qui facilite la manipulation des transitions colorimétriques. Il suffit de déplacer et d’insérer des points sur ces mailles pour modifier l’intensité d’un glissement chromatique ou l’étendue d’une couleur de l’objet. L’intersection de deux mailles forme un point d’ancrage particulier appelé point de filet. Un point de filet prend la forme d’un losange et possède toutes les propriétés d’un point d’ancrage ainsi que la souplesse d’adopter les couleurs. Vous pouvez ajouter, supprimer, modifier des points de filet et changer la couleur associée à chacun d’eux.
1 Sélectionnez un objet avec fond. 2 Choisissez Objet > Créer un filet de dégradé. 3 Indiquez dans la zone de texte Rangées le nombre de rangées de mailles à créer sur l’objet. 4 Indiquez dans la zone de texte Colonnes le nombre de colonnes de mailles à créer sur l’objet. 5 Sélectionnez la direction du ton clair dans le menu déroulant Aspect : •
2 Choisissez Objet > Décomposer. 3 Sélectionnez l’option Filet de dégradé dans la boîte de dialogue Décomposer, puis cliquez sur OK. L’objet sélectionné est converti en un objet de filet qui adopte la forme d’un dégradé circulaire (radial) ou rectangulaire (linéaire).
Une fois l’objet de filet créé, vous pouvez régler ou modifier ses points de filet, ses points d’ancrage et ses mailles. Vous pouvez ajouter des points d’ancrage à une maille ou en supprimer à l’aide des outils Ajout ou Suppression de point d’ancrage. Pour ajouter ou supprimer un point de filet et une maille : 1 Activez l’outil Filet
1 Activez l’outil Filet et cliquez directement sur un point de filet. Des lignes directrices apparaissent sur ce point. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Retouche des couleurs des objets de filet Vous pouvez ajouter des couleurs à un objet de filet à l’aide de la palette Couleur, de l’outil Pot de peinture ou par glisser-déposer. Lorsque vous sélectionnez un point de filet et le colorez, le point et la zone avoisinante héritent de la couleur du fond. Si vous cliquez sur une facette de filet, la couleur s’étend aux quatre points de filet de la facette. Vous pouvez également activer des filtres de couleur pour modifier la couleur des points de filet.
Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
2 Cliquez directement sur un point ou une facette de filet. Le point ou la facette prend la couleur du fond.
La création d’un motif consiste à réaliser une illustration qui servira de motif, puis à la faire glisser vers la palette Nuancier ou à exécuter la commande Edition > Utiliser comme motif. Un tracé, un tracé transparent ou un texte (avec ou sans fond uni) peut faire office de motif, mais vous pouvez aussi créer votre propre motif avec les outils d’Adobe Illustrator. Notez toutefois que vous ne pouvez pas utiliser de motif, de dégradé de couleurs ou de formes, de contour, de filet, de graphe, d’image bitmap, de fichier importé, ni de masque dans les motifs. Vous pouvez ensuite personnaliser votre motif en modifiant sa taille, sa forme, sa couleur ou son orientation. Les motifs destinés au fond des objets (motifs de fond) et ceux conçus pour être appliqués à un tracé à l’aide de la palette Formes (motifs de tracé) se distinguent par leur dessin et leur agencement. Pour obtenir les meilleurs résultats, il est préférable de ne pas appliquer un motif de fond à un tracé ou un motif de tracé à un fond.
Pour concevoir un motif, il est utile de comprendre comment Adobe Illustrator agence les éléments du motif : •
La création d’un motif consiste à réaliser une illustration qui servira de motif et à la faire glisser vers la palette Nuancier. Pour créer un motif : 1 Dessinez l’illustration en suivant les instructions de la section « Conseils pour la construction d’un motif », page 227. 2 Pour simplifier le motif et en accélérer ainsi l’impression, supprimez du dessin tout détail inutile et associez les objets de même couleur, de façon à ce qu’ils se suivent dans l’ordre de superposition. 3 Facultativement, pour redéfinir l’espacement entre les éléments du motif ou en supprimer certaines parties, vous pouvez tracer un cadre de sélection de motif (rectangle sans fond) autour de l’illustration utilisée comme motif. Choisissez Objet > Disposition > Arrière-plan pour faire passer ce rectangle tout à fait à l’arrière-plan du dessin. Si vous prévoyez d’utiliser ce rectangle comme cadre pour un motif de fond ou de tracé, sélectionnez l’option Aucun comme attributs de fond et de contour. 4 Activez l’outil Sélection pour sélectionner l’illustration et le cadre du motif, le cas échéant. 5 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Nouvelle nuance. 2 Entrez le nom du nouveau motif dans la zone de texte Nom de la boîte de dialogue Nouvelle nuance et cliquez sur OK.
Suivez les conseils généraux suivants relatifs à la réalisation de motifs : •
1 Assurez-vous que les commandes Repères commentés et Magnétisme du point du menu Affichage sont activées. 2 Sélectionnez l’objet géométrique. Pour plus de précision, placez l’outil Sélection directe sur l’un des points de l’objet.
(Windows) ou Option+Maj (Mac OS). 7 Répétez les étapes 2 à 6 jusqu’à ce que vous obteniez le motif recherché. 8 A l’aide de l’outil Rectangle , procédez de l’une des façons suivantes : •
10 Définissez les objets géométriques comme motif en suivant les instructions de la section « Conception et définition des motifs simples », page 227.
Pour créer une texture irrégulière : 1 Assurez-vous que la commande Magnétisme du point du menu Affichage est sélectionnée. 2 Tracez un cadre de sélection. Si vous créez un motif de tracé, passez directement à l’étape 13. 3 Dessinez uniquement les objets ou traits de la texture qui doivent couper le côté gauche du rectangle de sélection. 4 A l’aide de l’outil Sélection directe, sélectionnez la texture et le rectangle, puis placez le pointeur sur l’angle inférieur gauche du rectangle. 5 Faites glisser le rectangle vers la droite, puis maintenez les touches Alt+Maj (Windows) ou Option+Maj (Mac OS) enfoncées pour le dupliquer en dirigeant son déplacement.
(Mac OS). Si vous connaissez les dimensions exactes du cadre, vous pouvez sélectionner uniquement les textures et spécifier avec la commande Déplacement un déplacement horizontal égal à la largeur du cadre. Veillez à cliquer sur Copie et non sur OK dans la boîte de dialogue Déplacement. 6 Cliquez en dehors du cadre pour le désélectionner. 7 Sélectionnez le cadre de droite et supprimez-le.
9 Lorsque l’angle supérieur gauche de la copie se superpose à l’angle supérieur gauche du cadre, relâchez le bouton de la souris, puis les touches Alt+Maj (Windows) ou Option+Maj (Mac OS). 10 Désélectionnez tout. 11 Sélectionnez le cadre du bas et tous les objets qui ne coupent pas le haut, puis supprimez-les. 12 A l’aide de l’outil Crayon, appliquez votre texture à l’intérieur du cadre en veillant à n’entrecouper aucun bord. Appliquez la texture. 13 Définissez le dessin et le cadre comme motif en suivant la procédure de la section « Conception et définition des motifs simples », page 227.
Les éléments d’angle permettent de créer une ornementation spéciale lorsque vous appliquez un motif de tracé. Vous pouvez créer un élément d’angle de toutes pièces ou vous baser sur l’élément latéral du motif de tracé pour concevoir des éléments d’angle intérieur et extérieur complémentaires (symétriques à 135 ˚). Pour créer des éléments d’angle symétriques à partir d’un élément latéral : 1 Choisissez Fichier > Ouvrir, recherchez un fichier de motif de tracé fourni avec Adobe Illustrator que vous souhaitez utiliser, puis cliquez sur Ouvrir. 2 Choisissez Fenêtre > Formes. Sélectionnez l’élément approprié et faites-le glisser jusqu’au centre de l’illustration. 3 Si l’élément n’a pas de cadre, créez-en un de la même hauteur que cet élément, qui englobe complètement l’illustration (les éléments latéraux peuvent être de forme rectangulaire). Sélectionnez Aucun pour le fond et le contour du cadre, puis choisissez Objet > Disposition > Arrière-plan pour placer le cadre à l’arrière-plan de l’illustration (le cadre vous aide à aligner le nouvel élément). 4 Sélectionnez le carreau et le cadre.
12 Cliquez deux fois sur le nouveau motif afin d’afficher la boîte de dialogue Options de nuance et nommez l’élément sur le modèle de l’original (par exemple, avec l’extension .ext), puis cliquez sur OK. Pour créer un élément d’angle intérieur : Procédez de l’une des façons suivantes : •
1 Vérifiez qu’aucun objet n’est sélectionné dans l’illustration. 2 Choisissez Fenêtre > Nuancier, puis sélectionnez la nuance de motif à modifier. 3 Faites glisser la nuance de motif sur l’illustration. 4 Sélectionnez l’élément de motif et retravaillez-le. Vous pouvez pour cela utiliser l’outil de sélection directe ou de sélection directe progressive ou dissocier le motif. 5 Sélectionnez l’élément de motif. 6 Tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Macintosh) enfoncée, faites glisser le motif modifié par-dessus l’ancien dans la palette Nuancier. Le motif est remplacé dans la palette et le fichier actif est mis à jour.
2 Activez l’outil Sélection, puis amenez le pointeur sur la case d’intersection des règles située dans l’angle supérieur gauche de la fenêtre du document. 3 Deux droites perpendiculaires matérialisant l’origine des règles suivent le pointeur à mesure que vous le faites glisser vers l’intérieur de la fenêtre. Une fois l’origine des règles redéfinie, relâchez le bouton de la souris (voir la section « Modification de l’origine des règles », page 102).
Si l’objet à transformer comporte un motif de fond, vous avez la possibilité de transformer le motif, l’objet ou les deux à la fois. Une fois le motif de fond transformé, tous les motifs que vous appliquez par la suite subissent la même transformation. Pour rétablir le motif de fond d’origine, sélectionnez un autre attribut de dessin, puis resélectionnez le motif en question. Vous pouvez transformer un motif de fond à partir de la boîte de dialogue associée à l’outil de transformation choisi. Quelle que soit la méthode adoptée, l’activation ou la désactivation de l’option se répercute dans toutes les boîtes de dialogue (voir la section « Déplacement, copie et suppression d’objets », page 113). Pour transformer un motif et un objet avec un outil de transformation : 1 Activez l’outil Sélection et sélectionnez l’objet avec un motif de fond. 2 Cliquez deux fois sur l’outil de transformation choisi. 3 Sélectionnez l’une des options suivantes ou les deux : •
1 Sélectionnez l’objet doté d’un motif de fond. 2 Sélectionnez l’outil de transformation à utiliser. 3 Maintenez la touche tilde (~) enfoncée et faites glisser l’objet. 4 Une fois la transformation obtenue, relâchez le bouton de la souris. Important : lorsque vous transformez un motif au moyen de la souris, les bordures de l’objet semblent subir la transformation, mais elles retrouvent leur configuration d’origine dès lors que vous relâchez le bouton de la souris. Pour activer l’option des préférences Transformation des points : 1 Choisissez Edition > Préférences > Générales (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Générales (Mac OS X). Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Pour convertir un fond ou un contour en un objet : 1 Sélectionnez un objet doté d’un fond, d’un contour ou des deux. 2 Choisissez Objet > Décomposer. Si la commande Décomposer est inaccessible (estompée), choisissez tout d’abord Objet > Décomposer l’aspect. 3 Procédez de l’une des façons suivantes : •
1 Sélectionnez le dégradé de couleurs ou de formes, le halo, l’enveloppe, le symbole ou l’objet dont le fond ou le contour est un dégradé ou un motif. 2 Choisissez Objet > Décomposer. 3 Procédez de l’une des façons suivantes : •
1 Sélectionnez un objet dont le fond ou le contour est un dégradé de couleurs. 2 Choisissez Objet > Décomposer. 3 Dans la zone Cible, sélectionnez Filet de dégradé. 4 Cliquez sur OK.
La structure des calques d’un document peut être aussi simple ou complexe que vous le voulez. Par défaut, tous les éléments sont placés dans un calque parent unique, mais vous pouvez créer de nouveaux calques et y placer des éléments. La palette Calques vous permet de sélectionner, masquer, verrouiller et modifier les attributs d’aspect d’une illustration. Vous avez même la possibilité de créer des calques modèles pour un tracé homogène de vos illustrations ou d’importer des calques depuis Photoshop.
La palette Calques affiche la liste des calques d’un document, en commençant par celui placé au premier plan. Chaque calque peut contenir plusieurs éléments, tels que des tracés, des groupes, des enveloppes, des formes composées, des tracés transparents et des sous-calques. Vous pouvez développer ou réduire les éléments de la palette Calques pour afficher ou masquer leur contenu.
Sélection de calques Cliquez sur le nom du calque dans la palette. Ou bien, cliquez à un endroit quelconque de la liste de calques en maintenant les touches Ctrl+Alt (Windows) ou Option+Commande (Mac OS) enfoncées, puis saisissez le nom ou le numéro du calque à sélectionner (par exemple, tapez 30 pour atteindre directement le calque 30). Cliquez tout en maintenant la touche Maj ou Ctrl enfoncée pour sélectionner plusieurs calques, contigus ou non. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Utilisation du menu de la palette Calques Cliquez sur le triangle situé dans l’angle supérieur droit de la palette pour accéder aux commandes de manipulation des calques. Affichage des options de calques Cliquez deux fois sur un calque ou choisissez Options pour « nom du calque » dans le menu de la palette Calques (voir la section « Définition des options de calques », page 238). Modification de l’affichage des palettes Choisissez Options de palette dans le menu de la palette Calques. Sélectionnez Afficher les calques seuls pour masquer les tracés, les groupes et les éléments collectifs dans la palette Calques. Dans la zone Taille de la rangée, sélectionnez une option pour la hauteur des rangées. Pour spécifier une taille personnalisée, entrez une valeur comprise entre 12 et 100. Dans la zone Vignettes, sélectionnez la combinaison de calques, groupes ou objets pour laquelle un aperçu doit être affiché. Remarque : l’affichage de vignettes dans la palette Calques risque de réduire les performances lorsque vous travaillez avec des fichiers complexes. Désactivez les vignettes de calques pour améliorer les performances.
Le nombre maximum de calques dans un document n’est limité que par la mémoire disponible sur votre ordinateur. Vous pouvez ajouter des calques, imbriquer des souscalques dans les calques et fusionner, aplatir et supprimer des calques.
Chaque nouveau document Adobe Illustrator est composé d’un calque. Il existe plusieurs façons d’ajouter des calques. Pour créer un nouveau calque au-dessus du calque sélectionné : Procédez de l’une des façons suivantes : •
Commande (Mac OS) enfoncée.
Les options des éléments de la palette Calques sont définies dans la boîte de dialogue Options de calque. Pour définir les options de calque : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Modèle Transforme le calque en modèle (voir la section « Création de calques modèles », page 249). Verrouiller Empêche la modification des illustrations contenues dans le calque (voir la section « Verrouillage des illustrations », page 247). Afficher Affiche toutes les illustrations contenues dans le calque (voir la section « Masquage ou affichage des illustrations », page 246). Imprimer Rend imprimables les illustrations contenues dans le calque (voir la section « Définition des illustrations comme non imprimables », page 247). Aperçu Affiche les illustrations contenues dans le calque (voir la section « Modification de l’affichage des calques d’une illustration », page 240). Images importées Réduit l’intensité des images bitmap contenues dans le calque selon le pourcentage spécifié (voir la section « Modification de l’affichage des calques d’une illustration », page 240). Remarque : seules les options Nom, Afficher et Verrouiller sont disponibles pour les groupes, les éléments collectifs et les tracés.
La commande Décomposer en calques redistribue tous les éléments d’un calque sur des calques individuels. Cette fonction vous permet de préparer des fichiers pour l’animation Web. Pour distribuer des éléments sur des calques séparés : 1 Sélectionnez un calque ou groupe dans la palette Calques.
La commande Rassembler sur un nouveau calque vous permet de déplacer vers un nouveau calque tous les éléments sélectionnés dans la palette Calques. Pour déplacer des éléments vers un autre calque : 1 Sélectionnez les éléments à déplacer. 2 Choisissez Rassembler sur un nouveau calque dans le menu de la palette Calques.
La fusion et l’aplatissement sont des opérations similaires permettant de consolider les tracés, les groupes et les sous-calques. Avec l’option de fusion, vous pouvez sélectionner les éléments à consolider ; avec l’option d’aplatissement, tous les éléments visibles dans l’illustration sont consolidés sur un calque parent. Quelle que soit l’option utilisée, les éléments de l’illustration conservent leur ordre d’empilement. Pour fusionner les illustrations en un seul calque ou groupe : 1 Sélectionnez les éléments à fusionner dans la palette Calques. 2 Choisissez Fusionner la sélection dans le menu de la palette Calques. Les éléments sont fusionnés dans le dernier calque ou groupe que vous avez sélectionné.
2 Choisissez Aplatir l’illustration dans le menu de la palette Calques. Si un calque masqué contient des illustrations, vous êtes invité à les rendre visibles pour pouvoir les aplatir, ou à supprimer ces illustrations et le calque masqué.
Lorsque vous supprimez un calque, vous supprimez également toutes les illustrations qu’il contient. Si, par exemple, le calque d’origine contient des sous-calques, des groupes, des tracés et des ensembles d’écrêtage, tous ces éléments sont supprimés avec le calque. Pour supprimer des éléments de la palette Calques : 1 Sélectionnez un élément dans la palette Calques. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Par défaut, Illustrator attribue différentes couleurs aux marqueurs de sélection sur chaque calque et au carré de couleur correspondant dans la palette Calques. Vous pouvez modifier ce paramètre selon vos besoins.
Pour modifier le paramètre de couleur d’un calque : 1 Cliquez deux fois sur le nom du calque dans la palette Calques ou sélectionnez un calque, puis choisissez Options pour <nom du calque> dans le menu de la palette. 2 Dans la boîte de dialogue Options de calque, choisissez une couleur dans le menu déroulant Couleur ou cliquez deux fois sur l’échantillon de couleur pour ouvrir la boîte de dialogue Couleur. Une fois la couleur sélectionnée, cliquez sur OK. Pour modifier le mode d’affichage de l’illustration : Procédez de l’une des façons suivantes : •
(Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée pour basculer entre les modes Tracés et Aperçu.
• 1 Cliquez deux fois sur le nom du calque contenant l’image bitmap que vous voulez estomper ou sélectionnez le calque et choisissez Options pour <nom du calque> dans le menu de la palette Calques. 2 Dans la boîte de dialogue Options de calque, sélectionnez Images importées à, entrez une valeur d’intensité (de 0 % à 100 %) et cliquez sur OK. Pour afficher des images bitmap sur des calques modèles : 1 Choisissez Fichier > Format de document. 2 Choisissez Plan de travail dans le menu situé en haut de la boîte de dialogue, sélectionnez l’option Images en tracés et cliquez sur OK.
Les illustrations multicalques présentent de nombreux avantages. Vous pouvez rapidement sélectionner, masquer, verrouiller et modifier l’aspect des illustrations à partir des calques.
Vous pouvez sélectionner rapidement des illustrations sur le plan de travail à l’aide de la palette Calques. Observez la différence entre la sélection d’un élément dans la palette Calques et la sélection d’une illustration à l’aide de la palette Calques. Lorsque vous sélectionnez une illustration, le carré de couleur du calque apparaît sur l’élément correspondant dans la palette Calques et des marqueurs de sélection apparaissent autour de l’illustration sur le plan de travail.
Procédez de l’une des façons suivantes : •
Pour rechercher un élément dans la palette Calques : 1 Sélectionnez un objet sur le plan de travail. Si vous sélectionnez plusieurs objets, seul l’objet situé au premier plan dans l’ordre d’empilement est recherché. 2 Choisissez la commande Rechercher l’objet dans le menu de la palette Calques. Si l’option Afficher les calques seuls a été sélectionnée au préalable, l’intitulé de cette commande devient Rechercher le calque (voir la section « Utilisation de la palette Calques », page 236).
L’ordre d’empilement des illustrations sur le plan de travail correspond à la hiérarchie des éléments dans la palette Calques. Les illustrations dans le calque supérieur de la palette Calques se trouvent sur le dessus dans l’ordre d’empilement ; les illustrations dans le calque inférieur de la palette Calques se trouvent en dessous (voir la section « Empilement des objets », page 120). Les objets sont également organisés hiérarchiquement à l’intérieur d’un calque. Si vous choisissez la commande Objet > Disposition > Premier plan, l’objet est placé au premier plan dans le calque ; si vous choisissez la commande Objet > Disposition > En arrière, l’objet est déplacé d’un niveau vers l’arrière dans le calque. Remarque : vous ne pouvez pas placer un tracé, un groupe ou un élément collectif au premier plan dans la palette Calques (seuls les calques peuvent être placés en haut de la hiérarchie).
Pour insérer les éléments que vous faites glisser entre deux éléments, relâchez le bouton de la souris lorsqu’une barre noire avec de petits triangles apparaît à l’emplacement voulu.
2 Choisissez Inverser l’ordre dans le menu de la palette Calques. Pour déplacer des illustrations vers un autre calque en utilisant la commande Calque actif : 1 Sélectionnez l’illustration à déplacer (voir la section « Sélection d’illustrations dans les calques », page 242). 2 Cliquez sur le nom d’un calque dans la palette Calques. Important : ne cliquez pas sur le bord droit du calque. Le calque sélectionné doit afficher l’indicateur de calque actif , mais pas le carré de couleur de calque. 3 Choisissez Objet > Disposition > Calque actif. Vous pouvez également utiliser les commandes Couper et Coller pour déplacer des illustrations entre les calques (voir la section « Collage d’un objet devant ou derrière un autre », page 120).
L’option Coller selon les calques définit où est collée l’illustration dans la hiérarchie des calques. Par défaut, cette option est désactivée et l’illustration est collée dans le calque actif dans la palette Calques. Lorsqu’elle est activée, l’illustration est collée dans le calque à partir duquel elle a été copiée, sans tenir compte du calque actif dans la palette Calques. Activez cette option si vous collez une illustration entre documents et que vous voulez la placer automatiquement dans un calque portant le même nom que celui dont elle provient. Si le document cible ne contient pas de calque de même nom, Illustrator crée un nouveau calque. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Calques Illustrator propose plusieurs moyens de rassembler les composants de l’illustration : vous pouvez créer des groupes, des formes composées, des tracés transparents, des tracés Pathfinder et des enveloppes. La palette Calques est particulièrement utile pour travailler avec des éléments collectifs car elle permet de visualiser leur contenu. Groupes S’affichent comme des éléments <Groupe> dans la palette Calques. Vous pouvez déplacer des éléments hors du groupe ou vers le groupe à partir de la palette Calques (voir la section « Modification de l’ordre d’empilement des illustrations à l’aide de la palette Calques », page 243). Formes composées S’affichent comme des éléments <Forme composée> dans la palette Calques. Vous pouvez afficher et manipuler le contenu d’une forme composée (par exemple, modifier l’ordre d’empilement de ses composants) (voir la section « Modification de l’ordre d’empilement des illustrations à l’aide de la palette Calques », page 243). Tracés transparents S’affichent comme des éléments <Tracé transparent> dans la palette Calques. Vous ne pouvez pas afficher le contenu d’un tracé transparent dans la palette Calques. Tracés Pathfinder S’affichent comme des éléments <Groupe> contenant des tracés individuels ou comme des éléments <Tracé>. Enveloppes S’affichent comme des éléments <Enveloppe> dans la palette Calques.
Calques La palette Calques vous permet de modifier facilement l’aspect des illustrations. Vous pouvez appliquer des styles et des effets et définir des attributs d’aspect pour tous les niveaux de calques dans la hiérarchie. Par exemple, si vous appliquez un effet d’ombre portée à un calque, toutes les illustrations dans le calque acquièrent cet effet. Toutefois, si vous déplacez l’illustration hors du calque, l’ombre portée disparaît car l’effet appartient au calque (voir la section « Attributs d’aspect, styles et effets », page 250). Avant de définir un attribut d’aspect, d’appliquer un style ou un effet à un calque, un groupe ou un élément collectif, vous devez cibler l’élément dans la palette Calques. L’icône cible indique si un élément dans la hiérarchie des calques contient des attributs d’aspect et s’il est ciblé : •
Procédez de l’une des façons suivantes : •
élément vers l’élément auquel vous voulez appliquer les attributs. Vous pouvez rapidement dupliquer des tracés, des groupes, des éléments collectifs et des calques entiers à partir de la palette Calques. Cette option est particulièrement utile pour la création d’animations. Elle vous permet également de créer plusieurs versions d’un élément dans l’illustration. Pour dupliquer des illustrations : 1 Sélectionnez les éléments à dupliquer dans la palette Calques. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Pour masquer ou afficher une illustration : Procédez de l’une des façons suivantes :
Le verrouillage d’un élément dans la palette Calques revient à choisir la commande Verrouiller dans le menu Objet. Vous ne pouvez pas sélectionner ni modifier les illustrations verrouillées. Vous pouvez rapidement verrouiller des tracés multiples, des groupes et des sous-calques en verrouillant le calque parent. Pour verrouiller ou déverrouiller une illustration : Procédez de l’une des façons suivantes : •
Verrouiller et cliquez sur OK.
Tout déverrouiller dans le menu de la palette.
La palette Calques vous permet d’imprimer facilement différentes versions des illustrations. Par exemple, vous pouvez choisir de n’imprimer que les objets de texte d’un document pour effectuer une relecture. Vous pouvez également définir des éléments comme non imprimables et les enregistrer comme des informations importantes dans l’illustration. Pour définir des illustrations comme non imprimables : Procédez de l’une des façons suivantes :
On appelle ensemble d’écrêtage une série d’éléments de la palette Calques comportant un ou plusieurs niveaux (un calque et un groupe, par exemple), un ou plusieurs masques d’écrêtage et un ou plusieurs objets masqués par des masques d’écrêtage. Les masques d’écrêtage obéissent aux règles suivantes : •
1 Sélectionnez le calque ou le groupe contenant le masque d’écrêtage. 2 Cliquez sur le bouton Créer/Annuler Masque d’écrêtage situé au bas de la palette Calques ou choisissez l’option Annuler le masque d’écrêtage du menu de la palette.
Vous avez avantage à créer un calque modèle si vous souhaitez réaliser une nouvelle illustration à partir d’une illustration existante ; par exemple, lorsque vous voulez modifier une illustration existante ou vous en inspirer pour créer une nouvelle image (voir la section « Tracé d’illustrations », page 98). Les calques modèles ne peuvent être ni imprimés ni exportés. Pour créer un calque modèle : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
« Ouverture et importation d’illustrations », page 35). Lorsque vous exportez des calques, vous pouvez les aplatir en un seul calque ou conserver les calques et les sous-calques individuels pour les exploiter dans le fichier Photoshop. Vous pouvez exporter les calques Illustrator vers Photoshop à l’aide de la commande Exporter (voir la section « Exportation d’une illustration au format Photoshop », page 356).
Styles vous permet de stocker et d’appliquer des ensembles d’attributs d’aspects aux objets, groupes ou calques, vous offrant ainsi un moyen rapide de modifier l’aspect des illustrations de vos documents de façon homogène. Si le style est remplacé (par exemple, si l’un des attributs d’aspects constituant le style est modifié et que le nouvel attribut est enregistré comme style), tous les objets dotés de ce style sont modifiés en conséquence. Les effets constituent un type particulier d’attribut d’aspect, répertoriés dans le menu Effet. La plupart des effets ont une fonction et un nom identiques aux commandes situées dans le reste de l’application. Toutefois, les commandes du menu Effet ont la particularité de conserver l’objet sous-jacent intact et de ne modifier que son aspect. Ainsi, vous aurez beau déformer, pixelliser et modifier des tracés en utilisant un nombre illimité d’effets, la taille, les points d’ancrage et la forme d’origine du tracé restent toujours inchangés. Seul son aspect est modifié. L’objet sous-jacent reste toujours modifiable, ainsi que les paramètres de chaque effet.
La palette Aspect est l’outil dont vous aurez besoin pour gérer les attributs d’aspect, notamment les styles et les effets. Les attributs d’aspect étant applicables aux calques, groupes et objets, la hiérarchie des attributs de votre illustration peut devenir rapidement très complexe. Si, par exemple, vous appliquez un effet à un calque puis un autre effet à un objet de ce calque, il n’est pas toujours facile d’identifier l’agent modificateur. La palette Aspect affiche précisément les fonds, contours, styles et effets appliqués à un objet, groupe ou calque.
La palette Aspect présente la hiérarchie des attributs d’aspect d’une illustration. Dès que vous effectuez une sélection sur le plan de travail ou ciblez un élément dans la palette Calques, la palette Aspect reflète les attributs associés à l’illustration. Les fonds et les contours sont répertoriés par ordre d’empilement (de l’avant vers l’arrière), et les effets dans l’ordre de leur application.
Affichage des attributs dans la palette Aspect Effectuez une sélection sur le plan de travail ou ciblez un élément de la palette Calques (voir la section « Modification de l’aspect des illustrations à l’aide de la palette Calques », page 245). Les attributs de l’élément sélectionné s’affichent dans la palette Aspect. Si la sélection est un contenant (calque ou groupe), cliquez deux fois sur le mot Contenu dans la palette Aspect pour afficher les attributs des illustrations qu’il contient. Cliquez sur le nom du contenant pour réafficher ses attributs. Développement et réduction des fonds et des contours Cliquez sur le triangle situé à gauche du fond ou du contour dans la palette Aspect. Cliquez une nouvelle fois pour réduire le fond et le contour. Réorganisation des attributs d’aspect Faites glisser un attribut d’aspect vers le haut ou vers le bas de la palette pour modifier l’ordre d’application des contours, fonds et effets. S’il y a lieu, développez le contenu des fonds et contours. Lorsque le cadre de sélection de l’attribut d’aspect que vous déplacez s’affiche à l’endroit qui vous convient, relâchez le bouton de la souris. L’aspect de l’objet varie selon l’ordre d’empilement des contours et des fonds. Si, par exemple, l’attribut de fond se trouve au-dessous de l’entrée Contenu, tous les attributs de fond des objets seront appliqués sur le fond. Si, après application d’un style à un objet, la couleur de fond de ce style est invisible dans l’illustration, amenez l’attribut Fond au-dessus de l’entrée Contenu dans la palette Aspect. Utilisation du menu de la palette Aspect Cliquez sur le triangle situé dans l’angle supérieur droit de la palette pour accéder aux commandes permettant de manipuler les attributs d’aspect. Affichage et masquage des vignettes Choisissez Afficher la vignette ou Masquer la vignette dans le menu de la palette Aspect.
Remarque : la modification des attributs d’un objet auquel un style est appliqué a pour effet de rompre le lien entre l’objet et le style (voir la section « Rupture des liens de styles », page 256). Pour afficher la boîte de dialogue d’un effet : Cliquez deux fois sur le nom d’un effet dans la palette Aspect. Pour copier des attributs vers un objet : 1 Si aucune vignette n’est visible dans la palette Aspect, choisissez Afficher la vignette dans le menu de la palette. 2 Faites glisser la vignette sur un objet du plan de travail. Il n’est pas nécessaire de sélectionner l’objet au préalable. Pour dupliquer un attribut d’aspect : Sélectionnez un attribut dans la palette Aspect, puis procédez de l’une des façons suivantes : •
Dupliquer l’élément dans le menu de la palette.
Procédez de l’une des façons suivantes : •
Pour spécifier le mode d’application des attributs d’aspect aux nouveaux objets : Procédez de l’une des façons suivantes : Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Lorsque vous ajoutez des fonds et des contours à un contenant (groupe ou calque), vous appliquez en fait ces attributs à tous les éléments d’illustration du contenant. Pour appliquer un contour et un fond à un contenant : 1 Ciblez un contenant dans la palette Calques (voir la section « Modification de l’aspect des illustrations à l’aide de la palette Calques », page 245). 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Affichage de la palette Styles Choisissez Fenêtre >Styles. Réorganisation des styles Faites glisser le style sur un emplacement différent dans la palette. Lorsque le cadre de sélection du style s’affiche à l’endroit voulu, relâchez le bouton de la souris. Utilisation du menu de la palette Styles Cliquez sur le triangle situé dans l’angle supérieur droit de la palette pour accéder aux commandes de manipulation des styles. Renommer les styles Cliquez deux fois sur un style ou sélectionnez-le et choisissez Options de style dans le menu de la palette. Saisissez le nom d’un style, puis cliquez sur OK.
Vous pouvez appliquer des styles à des objets, des groupes et des calques. Lorsque vous appliquez un nouveau style, il remplace le style précédent de l’objet, s’il y a lieu. Lorsque vous appliquez un style à un groupe ou à un calque, tous les objets de ce groupe ou calque adoptent les attributs de ce style. Imaginons par exemple un style de 50 % d’opacité. Si vous appliquez ce style à un calque, tous les objets qu’il contient ou qui lui sont ajoutés sont à moitié opaques. Dès lors que vous retirez ce style du calque, l’objet retrouve son opacité d’origine (voir la section « Modification de l’aspect des illustrations à l’aide de la palette Calques », page 245). Remarque : il est impossible d’appliquer des styles à des objets texte composés avec des polices vectorielles protégées ou bitmap. Pour appliquer un style : 1 Sélectionnez un objet d’illustration sur le plan de travail ou ciblez un élément dans la palette Calques (voir la section « Modification de l’aspect des illustrations à l’aide de la palette Calques », page 245). Remarque : si la sélection est un objet texte, sélectionnez Remplacer la couleur de caractère dans le menu de la palette Styles pour appliquer au texte les attributs de fond, de contour et de transparence propres au style ou désélectionnez cette option pour conserver la couleur actuelle des caractères. 2 Pour appliquer le style à partir de la palette Styles : •
Un style peut se composer de toutes les combinaisons possibles de couleurs, fonds, contours, motifs, effets (à savoir, les commandes du menu Effet), transparences, modes de fusion, dégradés de couleurs, transformations, etc. Un style donné peut être assorti de plusieurs attributs. Ainsi, un style peut être composé de trois fonds, chacun doté d’une opacité et d’un mode de fusion distincts définissant l’interaction des couleurs. De même, on peut trouver plusieurs contours dans un même style. Pour créer ou modifier un style : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
(Mac OS) enfoncée pour sélectionner les styles à fusionner. 2 Choisissez Fusionner les styles dans le menu de la palette. Le nouveau style comprend alors tous les attributs des styles sélectionnés et vient s’ajouter à la fin de la liste des styles de la palette. Pour remplacer des attributs de style : Procédez de l’une des façons suivantes : •
Toutes les occurrences de ce style sont mises à jour en conséquence dans le document Illustrator. Pour dupliquer un style : 1 Dans la palette Styles, sélectionnez le style à dupliquer. 2 Choisissez Dupliquer le style dans le menu de la palette Styles. Le nouveau style s’affiche en bas de la liste dans la palette Styles.
Vous pouvez supprimer un style d’un objet, groupe ou calque en rompant le lien vers le style. L’objet, le groupe ou le calque conserve ses attributs d’aspect, même si ceux-ci ne sont plus associés au style. Pour rompre le lien entre un style et une sélection : 1 Sélectionnez l’objet, le groupe ou le calque auquel le style est appliqué. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
1 Dans la palette Styles, sélectionnez le style à supprimer. 2 Supprimez le style. •
Aspect. Pour importer un style d’une bibliothèque dans la palette Styles active : 1 Assurez-vous que la palette Styles dans laquelle vous souhaitez importer le style est ouverte. 2 Choisissez Fenêtre > Bibliothèques de styles > nom de la bibliothèque de styles. Pour rechercher une bibliothèque de styles qui ne se trouve pas dans l’emplacement par défaut, choisissez Fenêtre > Bibliothèques de styles > Autre bibliothèque. 3 Sélectionnez le style souhaité et effectuez l’une des opérations suivantes : •
2 Enregistrez le fichier. 3 Choisissez Fenêtre > Bibliothèques de styles > Autre bibliothèque, puis recherchez l’emplacement du fichier enregistré. Pour faire apparaître une bibliothèque de styles dans le menu Bibliothèques de styles : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Remarque : nombreux sont les effets disponibles pour les documents RVB seulement. Si vous appliquez un effet puis convertissez le document en mode CMJN, l’effet n’est pas conservé par Illustrator. Pour appliquer un effet : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
4 Si vous avez sélectionné un style, les attributs d’aspect sont dissociés de ce style. Le cas échéant, procédez de l’une des façons suivantes : •
Pour modifier ou supprimer un effet : Modifiez ou supprimez l’effet, comme décrit à la section « Modification et suppression des attributs d’aspect », page 252. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Cette opération consiste pour Illustrator à convertir les tracés du graphique en pixels. Les options de pixellisation définies déterminent notamment la taille des pixels ainsi obtenus. Il existe deux méthodes de pixellisation des graphiques vectoriels : •
1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Vous pouvez générer une image couleur RVB ou CMJN (selon le mode colorimétrique de votre document), une image en niveaux de gris ou une image 1 bit (en noir et blanc ou noir et transparent selon l’option d’arrière-plan sélectionnée). Résolution Détermine le nombre de pixels par pouce (ppp) de l’image pixellisée (voir la section « Résolution des images bitmap », page 27). Sélectionnez Utiliser la résolution des effets de pixellisation du document pour utiliser les paramètres de résolution d’ensemble (voir la section « Définition des paramètres d’effets de pixellisation », page 261). Arrière-plan Détermine le mode de conversion en pixels des zones transparentes du graphique vectoriel. Sélectionnez Blanc pour remplir ces zones de pixels blancs ou Transparent pour rendre l’arrière-plan transparent. Si vous sélectionnez Transparent, vous créez une couche alpha (pour toutes les images à l’exception des images 1 bit). La couche alpha est conservée lorsque vous exportez l’image vers Photoshop. Qualité du texte Détermine le mode de pixellisation utilisé pour le texte. Sélectionnez Simple pour obtenir un texte fin et discret. Sélectionnez Fileté pour obtenir un texte plus prononcé. Lissage Détermine le type d’anticrénelage appliqué lors de la pixellisation. Le lissage adoucit les bords crénelés de l’image pixellisée. Sélectionnez Aucun pour n’appliquer aucun lissage et conserver les arêtes marquées des dessins au trait lorsqu’ils sont pixellisés. Sélectionnez Illustration optimisée pour appliquer un lissage idéal pour les illustrations sans texte. Sélectionnez Texte optimisé pour appliquer un lissage mieux adapté au texte. Créer un masque d’écrêtage Dessine un masque qui rend transparent l’arrière-plan de l’image pixellisée (voir la section « Masques d’écrêtage », page 163). Remarque : si vous avez sélectionné un arrière-plan transparent, il est inutile de créer un masque d’écrêtage. Ajouter x autour de l’objet (x représente la valeur saisie dans la zone de texte intercalaire) Habille le contour extérieur de l’image pixellisée du nombre de pixels spécifié.
Certaines commandes d’Adobe Illustrator vous permettent d’appliquer un aspect particulier à des images bitmap. Vous pouvez, par exemple, appliquer un effet impressionniste ou de mosaïque, des effets d’éclairage, de distorsion d’images et bien d’autres effets visuels intéressants. La plupart de ces commandes étant accessibles à la fois via les menus Filtre et Effet, vous pouvez les appliquer en tant que filtres ou effets. Les commandes du menu Filtre changent la structure des objets auxquels elles sont appliquées. Vous pouvez uniquement appliquer ces commandes à des images bitmap. Les commandes équivalentes du menu Effet modifient uniquement l’aspect de l’objet sans modifier sa structure sous-jacente, ce qui vous permet à tout moment de modifier les paramètres de la commande ou de l’annuler. Vous pouvez appliquer ces commandes aux images bitmap et aux objets vectoriels, y compris les tracés et le texte (pour plus de détails, voir la section « Utilisation des effets », page 258). Les filtres et les effets de filtre ne fonctionnent pas sur les images bitmap liées. Si vous appliquez un filtre ou un effet de filtre à une image bitmap liée, il est appliqué à une copie incorporée de l’image et non à l’image d’origine. Pour plus de détails sur les images liées et incorporées, voir la section « Ouverture et importation d’illustrations », page 35.
Illustrator accueille des modules externes de filtres et d’effets de filtre provenant d’autres produits Adobe tels que Photoshop et de produits conçus par des développeurs indépendants. Une fois installés, la plupart des modules externes de filtres et d’effets de filtre s’affichent dans les menus Filtre et Effet. Ils fonctionnent de la même façon que les filtres intégrés. Pour plus de détails sur l’installation et le développement des modules externes, voir la section « Utilisation des modules externes », page 19. Pour plus de détails sur les effets, voir la section « Utilisation des effets », page 258.
Illustrator utilise les paramètres d’effets de pixellisation d’un document pour l’application d’un filtre à une image bitmap ou d’un effet de pixellisation à un graphique vectoriel. Ces paramètres sont déterminants pour l’illustration cible ; il est donc préférable de vérifier la boîte de dialogue Paramètres des effets de pixellisation du document avant de travailler avec les filtres ou les effets.
Modèle colorimétrique Détermine le modèle colorimétrique utilisé pour la pixellisation. Vous pouvez générer une image couleur RVB ou CMJN (selon le mode colorimétrique de votre document), une image en niveaux de gris ou une image 1 bit (en noir et blanc ou noir et transparent selon l’option d’arrière-plan sélectionnée). Résolution Détermine le nombre de pixels par pouce (ppp) de l’image pixellisée (voir la section « Résolution des images bitmap », page 27). Arrière-plan Détermine le mode de conversion en pixels des zones transparentes du graphique vectoriel. Sélectionnez Blanc pour remplir ces zones de pixels blancs ou Transparent pour rendre l’arrière-plan transparent. Si vous sélectionnez Transparent, vous créez une couche alpha (pour toutes les images à l’exception des images 1 bit). La couche alpha est conservée lorsque vous exportez l’image vers Photoshop. Lissage Appliquez un lissage pour réduire l’aspect crénelé des bords de l’image pixellisée. Désélectionnez cette option pour conserver les dentelures des traits fins et du texte en petit corps. Créer un masque d’écrêtage Dessine un masque qui rend transparent l’arrière-plan de l’image pixellisée (voir la section « Masques d’écrêtage », page 163). Remarque : si vous avez sélectionné un arrière-plan transparent, il est inutile de créer un masque d’écrêtage. Ajouter x autour de l’objet (x représente la valeur saisie dans la zone de texte intercalaire) Habille le contour extérieur de l’image pixellisée du nombre de pixels spécifié.
Pour utiliser un filtre ou un effet de filtre, choisissez la commande de sous-menu appropriée dans le menu Filtre ou Effet. Le dernier filtre ou effet sélectionné s’affiche en haut du menu. Les commandes situées en haut du menu s’appliquent aux images vectorielles, à l’exception du filtre Dessin à l’encre > Croix obliques photo. Celles du bas s’appliquent aux images bitmap, à l’exception des images 1 bit (noir et blanc). Tous les filtres et effets de filtre bitmap sont compatibles avec les images RVB et en niveaux de gris. Les filtres et effets de filtre Artistiques, Contours, Déformation, Esquisse, Esthétiques, Texture et Vidéo sont incompatibles avec les images CMJN. Certaines commandes vous permettent d’afficher un aperçu du résultat avant d’appliquer le filtre. L’application d’un filtre ou d’un effet de filtre peut prendre beaucoup de temps, surtout sur les images bitmap volumineuses. Il est par conséquent conseillé de cocher la case d’aperçu afin d’éviter les mauvaises surprises et de gagner du temps. Remarque : le traitement de certaines images bitmap nécessite beaucoup de mémoire. Vérifiez qu’Illustrator dispose d’une mémoire vive suffisante pour l’exécution des tâches et pour le disque de travail (espace disque temporaire réservé à la manipulation d’images bitmap).
Certains filtres permettent de charger d’autres images bitmap, comme des textures ou des zones réactives de déplacement exploitables avec un filtre. Les commandes Verre et Pastels en font partie. Pour charger des images bitmap et des textures : 1 Procédez à l’une des sélections suivantes : •
Commandes de texture ou de surface en verre Certaines commandes d’Illustrator comprennent des options de placage de texture, notamment Verre, Pastels, Grain et Fresque. Ces options de placage de texture peuvent donner à une image bitmap l’aspect d’une peinture sur toile ou sur brique ou observée à travers des pavés de verre. Vous pouvez appliquer ces commandes en tant que filtres ou effets. Pour plus de détails sur les effets, voir la section « Utilisation des effets », page 258. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
4 Choisissez les autres options disponibles : •
Certains filtres et effets de filtre exigent beaucoup de mémoire, particulièrement s’ils sont appliqués à des images bitmap haute résolution. Les techniques suivantes vous permettront d’améliorer le potentiel des commandes correspondantes : •
Mode colorimétrique du document.
Les filtres et les effets du sous-menu Artistiques permettent de donner un effet artistique ou spécial à un projet de création ou commercial. Vous pouvez, par exemple, utiliser le filtre Découpage pour des collages ou des effets de texte. Ces filtres reproduisent les effets obtenus à l’aide d’outils naturels et traditionnels et sont les suivants :
Découpage Représente une image comme si elle était composée de morceaux de papier coloré découpés grossièrement. Les images fortement contrastées donnent l’impression de se découper sur le fond, tandis que les images colorées se composent de plusieurs couches de papier de couleur. Pinceau sec Peint les contours de l’image avec une technique à mi-chemin entre la peinture à l’huile et l’aquarelle, faisant appel à un pinceau sec. Ce filtre simplifie l’image en réduisant sa gamme de couleurs aux seules zones de même couleur. Grain photo Applique une texture régulière aux tons foncés et moyens d’une image. Une texture plus lisse et plus saturée est ajoutée aux zones plus claires de l’image. Ce filtre est particulièrement utile pour éliminer les effets de bande des dégradés et unifier visuellement les éléments de différentes sources. Fresque Peint une image de façon grossière en appliquant rapidement de petites touches arrondies. Néon Ajoute différents types de lueurs aux objets d’une image et permet de colorer une image, tout en l’adoucissant. Pour sélectionner une couleur de lueur, cliquez sur la zone de lueur et prélevez une couleur dans le sélecteur. Barbouillage Propose différentes tailles (de 1 à 50) et types de pinceau pour produire un effet de peinture réelle. Les types de pinceau disponibles sont : simple, esquisse claire, esquisse sombre, net large, flou large et touches. Couteau à palette Réduit les détails d’une image pour produire l’effet d’une toile sur laquelle est appliquée une fine couche de peinture, à travers laquelle la texture est visible. Emballage plastique Recouvre l’image d’une couche plastique brillante qui accentue les détails de la surface. Contour postérisé Réduit le nombre de couleurs d’une image selon l’option de postérisation sélectionnée, recherche le contour de l’image et dessine des lignes noires par-dessus. Les zones larges de l’image ont un ombrage simple, tandis que les zones aux détails foncés précis sont réparties dans toute l’image. Pastels Donne à une image l’aspect d’un dessin au crayon pastel coloré sur un arrièreplan texturé. Dans les zones de couleurs claires, le crayon paraît épais avec peu de texture et, dans les zones plus foncées, le crayon semble avoir été gratté pour faire apparaître la texture. Etalement Adoucit une image en appliquant de petits coups de pinceau en diagonale pour étaler les zones plus foncées de l’image. Les zones plus claires sont éclaircies et perdent certains détails. Eponge Crée une image comprenant des zones très texturées de couleurs contrastées qui semblent avoir été peintes avec une éponge. Sous-couche Peint une image sur un arrière-plan texturé, puis peint l’image finale pardessus. Pour plus de détails sur les options de filtre, voir la section « Commandes de texture ou de surface en verre », page 263.
Flou gaussien Applique rapidement une quantité variable de flou à une sélection. Le terme Gaussien se réfère à la courbe en forme de cloche obtenue lorsque le logiciel Adobe Photoshop applique une moyenne pondérée aux pixels. Ce filtre ajoute des détails à fréquence basse et peut produire un effet voilé. Flou radial Simule l’effet obtenu par le zoom ou la rotation d’un objectif pour produire un léger flou. Choisissez Rotation pour appliquer un flou le long des lignes circulaires concentriques, puis spécifiez un degré de rotation ; sélectionnez Zoom pour appliquer le flou le long des lignes radiales, comme si vous réalisiez un zoom avant ou arrière sur l’image, puis spécifiez une valeur comprise entre 1 et 100. Choisissez une qualité de flou Brouillon si vous préférez un rendu plus rapide mais avec du grain ou une qualité Normale et Supérieure pour obtenir des résultats plus lisses, imperceptibles sauf sur une grande sélection. Spécifiez l’origine du flou en faisant glisser la texture vers la zone Centre.
De même que les filtres artistiques, les filtres et les effets de contours permettent de reproduire des aspects artistiques à l’aide de différents effets de pinceau et d’encre. Grâce à ces filtres, vous pouvez ajouter du grain, de la peinture, du bruit, des détails de contour ou une texture à une image pour obtenir un effet pointilliste. Contour accentué Accentue le contour d’une image. Lorsque la luminosité du contour est élevée, l’accentuation prend l’aspect d’un dessin à la craie blanche ; lorsqu’elle est faible, l’effet ressemble à de l’encre noire. Diagonales Repeint une image à l’aide de touches appliquées en diagonale. Les touches de peinture sont appliquées dans un sens dans les zones plus claires de l’image, et dans le sens opposé dans les zones plus foncées. Croisillons Ajoute de la texture et esquisse le contour des zones colorées en dessinant des semblants de hachures au crayon, tout en préservant les détails et les caractéristiques de l’image d’origine. L’intensité, comprise entre 1 et 3, définit le nombre de hachures. Noir/Blanc Applique une teinte plus proche du noir aux zones foncées d’une image par petits coups de pinceau rapprochés, et peint les zones plus claires par touches de blanc plus longues. Contour encré Redessine une image à l’aide de fines lignes rapprochées par-dessus les détails de l’image d’origine, comme dans un dessin à l’encre. Effet pointilliste Reproduit l’effet pointilliste obtenu à l’aide d’un aérographe. Plus vous augmentez les valeurs, plus l’effet général est simplifié. Aérographe Repeint une image en appliquant ses couleurs dominantes en diagonale à l’aide d’un aérographe.
Lueur diffuse Effectue le rendu d’une image comme si elle était vue à travers un filtre de diffusion léger. Ce filtre ajoute du bruit blanc transparent à une image, la lueur s’atténuant à partir du centre de la sélection. Verre Donne l’impression qu’une image est vue à travers différentes variétés de verre. Vous pouvez choisir l’un des effets de verre disponibles ou créer votre propre surface de verre dans un fichier Photoshop, puis l’appliquer à l’image. Vous pouvez régler les paramètres d’échelle, de distorsion et de lissage. Océan Répartit de façon aléatoire des ondulations sur la surface de l’image pour donner l’impression qu’elle est sous l’eau.
Les filtres et les effets du sous-menu Pixellisation permettent de rendre une zone sélectionnée plus nette en rassemblant les pixels aux valeurs chromatiques similaires dans des cellules. Demi-teintes couleur Simule l’effet obtenu en utilisant une trame de demi-teintes agrandie pour chaque couche de l’image. Pour chaque couche, le filtre divise l’image en rectangles et remplace chacun d’eux par un cercle. Le rayon du cercle est proportionnel à la luminosité du rectangle. Pour utiliser le filtre Demi-teintes couleur : 1 Choisissez Filtre > Pixellisation > Demi-teintes couleur. 2 Saisissez une valeur comprise entre 4 et 127 et exprimée en pixels pour le rayon maximal d’un point de trame. 3 Saisissez une valeur d’angle de trame (l’angle du point avec l’horizontale) pour chaque couche, comme suit : •
Mezzo-tinto Convertit une image en une texture aléatoire de zones noir et blanc ou de couleurs entièrement saturées dans une image couleur. Pour utiliser ce filtre, choisissez une texture en points dans le menu déroulant Type de la boîte de dialogue Mezzo-tinto.
Le filtre et l’effet de renforcement rendent les images floues plus nettes en augmentant le contraste des pixels adjacents. Accentuation Recherche les zones de l’image subissant des variations chromatiques importantes et les rend plus nettes. Le filtre Accentuation permet de régler le contraste des détails situés sur le contour et de créer une ligne plus claire ou plus foncée de chaque côté du contour, afin de mieux marquer ce dernier et de créer ainsi l’illusion d’une image plus nette.
Les filtres ou les effets du sous-menu Esquisse permettent d’ajouter une texture aux images, généralement pour obtenir un effet 3D. Ces filtres sont également utilisés pour créer un effet artistique ou de dessin à la main. La plupart des filtres d’esquisse utilisent la couleur de premier plan et d’arrière-plan lorsqu’ils redessinent l’image. Bas-relief Transforme une image pour qu’elle apparaisse sculptée dans un bas-relief et l’éclaire de façon à accentuer les variations de surface. Les zones foncées de l’image adoptent la couleur de premier plan et les zones plus claires celle d’arrière-plan. Craie et fusain Redessine les tons clairs et moyens d’une image avec un arrière-plan dessiné grossièrement à la craie dans un gris moyen uni. Les zones foncées sont remplacées par des diagonales noires dessinées au fusain. Le fusain adopte la couleur de premier plan, et la craie celle de l’arrière-plan. Fusain Redessine une image pour lui donner un aspect postérisé et étalé. Le tracé des contours principaux est bien marqué, tandis que les tons moyens sont esquissés avec des traits diagonaux. Le fusain utilise la couleur de premier plan, et le papier celle d’arrièreplan. Chrome Traite l’image comme s’il s’agissait d’une surface chromée polie. Les tons clairs et les tons foncés correspondent respectivement aux points les plus élevés et les plus faibles de la surface de réflexion. Une fois l’effet appliqué, contrastez davantage l’image en réglant les niveaux. Crayon Conté Reproduit la texture du noir dense et du blanc pur des crayons Conté sur une image. Le filtre Crayon conté utilise la couleur de premier plan pour les zones foncées, et la couleur d’arrière-plan pour les zones claires. Pour obtenir un effet plus authentique, appliquez au premier plan l’une des couleurs les plus courantes de crayon Conté (noir, sépia ou sanguine) avant d’exécuter le filtre. Pour obtenir un effet plus discret, utilisez le blanc comme couleur d’arrière-plan et mélangez-y un peu de couleur de premier plan avant d’appliquer le filtre. Plume calligraphique Utilise des traits d’encre fins linéaires pour reproduire les détails de l’image d’origine ; ce filtre convient particulièrement aux images numérisées. Il modifie la couleur de l’image d’origine en utilisant la couleur de premier plan pour l’encre et celle d’arrière-plan pour le papier. Trame de demi-teintes Simule l’effet d’une trame de demi-teintes, tout en conservant la gamme des tons continus.
Tampon Ce filtre est idéal pour les images noir et blanc. Il simplifie l’image pour lui donner l’aspect d’une estampe travaillée avec un tampon en caoutchouc ou en bois. Contour déchiré Ce filtre est particulièrement utile pour les images comportant du texte ou des objets très contrastés. Il reconstitue l’image sous forme de morceaux de papier déchirés irréguliers, puis colore l’image avec les couleurs de premier plan et d’arrière-plan. Papier humide Donne un aspect de peinture marbrée qui semble avoir été appliquée sur du papier fibreux et humide, sur lequel les couleurs ont filé et se sont fondues.
Ce filtre et cet effet confèrent à une sélection un effet de peinture ou impressionniste par déplacement des pixels et mise en valeur du contraste d’une image. Contours lumineux Identifie les contours de couleur et leur ajoute une lueur proche de celle d’un néon.
Utilisez les filtres et les effets de texture pour donner plus de profondeur ou de substance à une image ou pour produire un aspect organique. Craquelure Peint une image sur une surface en plâtre de haut-relief, produisant une toile fine de craquelures qui suivent le contour de l’image. Utilisez ce filtre pour créer un effet d’estampage sur des images contenant une gamme étendue de couleurs ou de niveaux de gris. Grain Ajoute de la texture à une image en simulant les différents types de grain (régulier, tamisé, léger, touffu, contrasté, dilaté, pointillé, horizontal, vertical et moucheté). Effet mosaïque Dessine une image comme si elle était formée de petits éclats ou carreaux et intercale des joints. Le filtre Pixellisation > Mosaïque produit l’effet contraire en décomposant une image en blocs de pixels de différentes couleurs. Patchwork Décompose une image en carrés qui adoptent la couleur prédominante dans la zone de l’image où ils se situent. Ce filtre réduit ou augmente de façon aléatoire la profondeur des carreaux pour reproduire les zones claires et foncées. Vitrail Repeint une image sous forme de cellules adjacentes d’une seule couleur et dont le contour adopte la couleur du premier plan. Placage de texture Applique une texture que vous avez sélectionnée ou créée à une image. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Le filtre Mosaïque procure une définition nette à l’image en concentrant des pixels de valeur chromatique similaire en carreaux individuels. Vous pouvez déterminer la taille et le nombre total des carreaux, l’épaisseur des joints, mais aussi conserver les proportions de l’image d’origine dans la copie en mosaïque. Le filtre Mosaïque s’applique à n’importe quel format d’image bitmap compatible avec Illustrator, de même qu’avec des images bitmap créées à l’aide de la commande Pixellisation. Le filtre crée une copie vectorielle en mosaïque de l’image bitmap. Vous pouvez conserver ou supprimer l’image d’origine. Pour créer un effet de mosaïque sur une copie d’une image bitmap : 1 Sélectionnez une image bitmap. Veillez à choisir une image incorporée (et non liée). 2 Choisissez Filtre > Création > Mosaïque. Les dimensions de l’image bitmap s’affichent dans le coin supérieur gauche de la boîte de dialogue Mosaïque. 3 Choisissez l’une des options suivantes : •
Remarque : vous pouvez appliquer aux images plusieurs filtres de croix obliques, afin de leur donner l’aspect d’un dessin à l’encre (voir la section « Utilisation des filtres Dessin à l’encre », page 151). Pour convertir une image pixellisée en dessin à croix obliques : 1 Sélectionnez une image pixellisée. 2 Choisissez Filtre > Dessin à l’encre > Croix obliques photo. 3 Entrez le nombre de calques de motifs à créer dans la zone de texte Calques de motif. La valeur maximale est 8. Chaque calque se voit affecter une répartition des valeurs de luminosité comprises entre 0 et 255. Supposons que vous entriez la valeur 4 dans la zone Calques de motif. Le premier calque contient des valeurs de luminosité comprises entre 0 et 64, le second des valeurs de 0 à 128, le troisième des valeurs de 0 à 192 et le quatrième des valeurs de 0 à 255. 4 Utilisez le curseur situé au-dessous de l’histogramme pour régler les seuils de luminosité vers les clairs ou les foncés. L’histogramme indique pour chaque valeur de luminosité (échelonnée entre 0 et 255) le nombre de pixels que contient l’image à motif. Déplacez le curseur du milieu vers la droite pour définir les tons clairs ou vers la gauche pour définir les tons foncés. Faites glisser le curseur situé à chaque extrémité pour moduler les niveaux les plus clairs (droite) et les plus foncés (gauche). 5 Utilisez les curseurs situés à gauche de la boîte de dialogue pour définir les options comme suit : •
Remarque : votre système d’exploitation doit prendre en charge les langues de travail souhaitées. Pour plus d’informations, consultez l’éditeur du logiciel de votre système. La gamme d’outils de texte d’Illustrator facilite la saisie de texte dans une illustration, un cercle, par exemple, ou un tracé irrégulier que vous dessinez. Pour améliorer vos créations, vous pouvez également enrichir votre texte de couleurs et de motifs, lui appliquer des effets et des styles ou lui donner des formes entièrement nouvelles. Vous pouvez soit saisir le texte directement dans le document, soit l’importer depuis une autre application. Adobe Illustrator importe et exporte des fichiers de texte vertical sous forme horizontale (fichiers MS Word ou RTF, par exemple). Le texte vertical est importé dans et exporté depuis Illustrator sous forme horizontale.
Grâce aux outils de texte, vous pouvez saisir du texte horizontal ou vertical en tout point d’un document, dans des formes ou sur des tracés très variés tels que colonne, rectangle, forme irrégulière, tracé, etc.
Les outils de texte vertical ou horizontal vous permettent de saisir du texte à un endroit quelconque de la zone de travail Illustrator, sans qu’il soit nécessaire de définir au préalable un rectangle de saisie. Cette méthode est pratique pour rédiger, par exemple, la légende d’une illustration. Pour saisir du texte horizontal ou vertical en un point donné : 1 Sélectionnez l’outil Texte rectangle pointillé.
2 Cliquez sur le point de départ du texte. Important : veillez à ne pas cliquer sur un objet existant, car vous le convertiriez en objet texte ou en tracé de texte. Si un objet se trouve au point d’insertion choisi, verrouillez l’objet ou masquez-le, ou saisissez le texte ailleurs et replacez-le sur l’objet. 3 Saisissez le texte. Appuyez sur la touche Entrée (Windows) ou Retour (Macintosh) pour passer à la ligne suivante.
Pour créer un rectangle de texte à l’aide d’un outil de texte : 1 Sélectionnez l’outil Texte rectangle pointillé.
« Utilisation de la palette Couleur », page 173). Lorsque vous relâchez le bouton de la souris, le pointeur en I réapparaît. En mode Tracés, un rectangle s’affiche avec un point d’insertion qui clignote dans l’angle supérieur gauche. 3 Saisissez le texte. L’habillage se fait automatiquement dans la zone définie. 4 Appuyez sur la touche Entrée ou Retour pour commencer un nouveau paragraphe. En mode Tracés, si le texte saisi déborde du rectangle, une case contenant le signe plus apparaît en bas du rectangle (même phénomène lorsque le rectangle ou le texte est sélectionné). Le signe plus s’affiche à la suite de la ligne de base de la dernière ligne de texte visible. Vous pouvez adapter la taille du rectangle pour faire tenir le texte en manipulant le cadre de sélection ou l’outil Sélection directe. Le texte s’ajuste alors en conséquence. Remarque : si vous sélectionnez des objets ou du texte captif ou curviligne en plus du rectangle de saisie, la mise à l’échelle avec le cadre de sélection entraîne le redimensionnement de tous les objets, y compris la zone de saisie. Vous pouvez également créer une copie liée du rectangle, pour répartir le trop-plein de texte dans un autre rectangle ou objet (voir la section « Chaînage des objets texte », page 292). Pour redimensionner ou remodeler un rectangle de texte à l’aide du cadre de sélection : 1 Activez l’outil Sélection . 2 Sélectionnez le rectangle de texte à modifier. 3 Faites glisser une poignée de la sélection jusqu’à ce que le rectangle de texte atteigne la taille ou la forme souhaitée, tout en maintenant la touche Maj enfoncée pour conserver les proportions. Pour redimensionner ou remodeler un rectangle de texte à l’aide de l’outil Sélection directe : 1 Activez l’outil Sélection directe . 2 Si le texte est sélectionné, cliquez à l’extérieur du rectangle pour le désélectionner. 3 Pointez sur le bord de l’objet texte que vous voulez modifier. Veillez à ne sélectionner aucune ligne de base. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Tout objet peut recevoir du texte. S’il s’agit d’un tracé ouvert, l’application dessine une ligne imaginaire entre ses extrémités pour délimiter la forme du tracé, comme s’il lui attribuait un fond. Pour créer un texte captif isolé ou un texte captif sur un tracé ouvert, utilisez uniquement l’outil Texte ou Texte captif vertical. Si, en revanche, vous préférez combiner plusieurs types de texte, utilisez l’outil Texte ou Texte vertical. Lorsque vous déplacez un outil de texte sur différents types d’objets, il s’adapte à l’objet sur lequel il se trouve (un outil Texte captif ou Texte curviligne, par exemple). Pour saisir du texte dans un objet : 1 Activez l’outil Texte fond.
3 Saisissez le texte. En cas de débordement de texte, une petite case contenant un signe plus apparaît en mode Tracés ou en mode Aperçu (quand le texte est sélectionné), au bas de la zone, comme pour les rectangles de texte. Une fois le texte saisi, vous pouvez enrichir le tracé en le sélectionnant avec l’outil Sélection directe et en utilisant la palette Couleur ou Nuancier.
Il est possible de saisir du texte et de lui faire épouser le contour d’un tracé ouvert ou fermé. La forme du tracé peut être régulière ou non. Lors de la saisie de texte, le tracé perd ses attributs de fond ou contour. Vous pouvez les lui attribuer de nouveau par la suite, sans aucune incidence sur les attributs de dessin du texte. La saisie de texte horizontal sur un tracé produit des lettres perpendiculaires à la ligne de base. La saisie de texte vertical produit des lettres parallèles à cette même ligne. Pour passer alternativement de l’outil Texte à l’outil Texte vertical lorsqu’un autre outil de texte est activé, cliquez en maintenant la touche Maj enfoncée. Pour saisir du texte horizontal sur un tracé : 1 Sélectionnez l’outil Texte
3 Choisissez Normal dans le menu déroulant Sens. 4 Pointez sur le tracé et cliquez. Un point d’insertion apparaît sur le tracé. 5 Saisissez le texte. Celui-ci s’affiche le long du tracé, parallèlement à la ligne de base. Pour déplacer un texte le long d’un tracé : 1 Activez l’outil Sélection ou Sélection directe pour sélectionner le tracé, si ce n’est déjà fait. 2 Dirigez la souris sur le pointeur en I, au début du texte. 3 Utilisez l’outil Sélection pour déplacer le texte sélectionné sur le tracé. Veillez à ne pas sortir du tracé. At
2 Pointez avec précision sur le pointeur en I. 3 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Pour déplacer le texte de l’autre côté du tracé sans en modifier le sens, utilisez l’option Décalage vertical de la palette Caractère (voir la section « Décalage vertical », page 284). Si, par exemple, vous avez saisi un texte de gauche à droite au-dessus d’un cercle, entrez une valeur de décalage vertical négative pour abaisser le texte, qui s’affichera à l’intérieur du cercle, dans sa partie supérieure.
L’option Supprimer/Tracés de texte vides de la boîte de dialogue Nettoyage vous permet de supprimer les tracés et blocs de texte vides de votre illustration. Cela la simplifie et facilite son impression. Vous pouvez, par exemple, créer des tracés de texte vides en cliquant par inadvertance avec l’outil Texte sur la zone de travail et en choisissant ensuite un autre outil. Pour supprimer un tracé de texte vide de l’illustration : 1 Choisissez Objet > Tracé > Nettoyage. 2 Sélectionnez l’option Tracés de texte vides, puis cliquez sur OK.
Il convient de sélectionner un texte avant de le mettre en forme ou de le rectifier, qu’il s’agisse d’un caractère isolé, de plusieurs caractères, de la totalité du texte d’un tracé ou d’un objet texte. Vous pouvez en outre sélectionner facilement tout le texte d’un document. Remarque : l’option Sélection du fond des objets texte des préférences Texte et tracé automatique détermine la sensibilité des outils de sélection pour la sélection du texte. Lorsqu’elle est activée, il suffit de cliquer sur un point quelconque du cadre de sélection de texte pour sélectionner le texte. Lorsqu’elle est désactivée, vous devez cliquer directement sur un segment du tracé. Pour sélectionner des caractères : 1 Activez un outil de texte. 2 Procédez de l’une des façons suivantes :
Procédez de l’une des façons suivantes : •
Sélectionner > Tout. 2 Cochez ou désactivez la case Sélection du fond des objets texte et cliquez sur OK.
Lorsque vous travaillez sur du texte, des caractères non imprimables sont incorporés au fichier, afin d’indiquer des commandes clavier ou des états, comme les espaces, les retours chariot ou les tabulations. Parmi ces caractères figurent notamment les retours forcés à la ligne, sauts de ligne, tabulations, espaces, espaces insécables, caractères à double octet (y compris les espaces), tirets optionnels, d’autres caractères non imprimables et de fin de texte. Par défaut, ces caractères sont masqués. Pour vous aider à mettre en forme et à modifier votre texte, vous pouvez les faire apparaître. Pour afficher les caractères masqués : Choisissez Texte > Afficher les caractères masqués. Une coche apparaît devant le nom de la commande. Pour les masquer, choisissez de nouveau la commande (la coche disparaît).
Lorsque vous créez une police Multiple Master, celle-ci n’est disponible que si le fichier auquel elle est destinée est ouvert. Si vous souhaitez la mettre à la disposition d’Illustrator et des autres applications en permanence, créez-la d’abord dans Adobe ® Type Manager®. Pour modifier une police Multiple Master à partir d’Illustrator : 1 A l’aide de l’outil Texte , sélectionnez le texte qui utilise la police Multiple Master. 2 Choisissez Fenêtre > Texte > Police MM. 3 Modifiez la police comme décrit dans la documentation livrée avec votre police Multiple Master.
Adobe Illustrator permet de contrôler précisément l’aspect d’un texte au moyen des attributs suivants : police, corps, interligne, crénage, approche, décalage vertical, échelle horizontale et verticale, espacement et orientation des lettres. Vous pouvez définir des attributs avant la saisie ou pour modifier l’apparence d’un texte existant sélectionné. Vous pouvez également les appliquer simultanément à des textes curvilignes et captifs, s’ils sont tous sélectionnés.
Vous pouvez modifier les attributs de texte à partir de la palette Caractère. Certains apparaissent également dans des sous-menus et des palettes distinctes, ce qui évite d’avoir à ouvrir la palette Caractère ou Paragraphe pour ne modifier qu’un attribut. Par ailleurs, certains attributs sont modifiables par le biais de raccourcis clavier. Vous trouverez la liste complète des raccourcis clavier dans la Carte de référence Adobe Illustrator.
Modification des valeurs de texte Pour appliquer une valeur au texte sélectionné sans avoir à vous déplacer vers la zone de texte suivante, appuyez sur la touche Entrée ou Retour. Pour appliquer une valeur puis mettre en surbrillance la valeur qui vient d’être modifiée, appuyez sur les touches Maj+Entrée ou Maj+Retour. Pour appliquer une valeur et passer à la case suivante dans la palette, appuyez sur la touche Tabulation.
Une famille de polices est un ensemble de caractères, lettres et symboles apparentés par le graphisme d’un même caractère. La police de ce paragraphe, par exemple, est Minion ®. Vous pouvez choisir une police dans la palette Caractère ou dans le sous-menu Texte > Police. Vous ne pouvez visualiser le dessin de base des polices ni dans la palette ni dans le sousmenu, même avec un utilitaire faisant apparaître les polices installées (Adobe Type Reunion®). Remarque : lorsque vous ouvrez un fichier Illustrator sur un système japonais, la boîte de dialogue Polices (détaillée) s’ouvre et affiche le format et les informations Tsume pour les polices utilisées dans le fichier. Si les polices du fichier ne sont pas disponibles sur votre système, une boîte de dialogue s’ouvre pour vous indiquer les substitutions de polices effectuées. Pour choisir une police dans la palette Caractère : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Condensé ou Italique). Lorsque vous saisissez une lettre, le nom de la première police ou du premier style commençant par cette lettre s’affiche. Continuez la saisie du nom, jusqu’à ce que le nom de la police ou du style souhaité apparaisse.
3 Appuyez sur la touche Entrée, Retour ou Tabulation pour appliquer la nouvelle police. Pour choisir une police dans le menu Texte : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Remarque : avec des polices à double octet, vous avez le choix entre l’affichage d’un code double octet ou l’affichage du nom de la police en anglais en sélectionnant l’option Afficher le nom des polices en anglais dans le volet des préférences Texte et tracé automatique.
Vous pouvez choisir un corps dans la palette Caractère, le sous-menu Corps du menu Texte ou en utilisant les commandes clavier. Le corps par défaut est de 12 points. Il peut toutefois être défini en pouces, millimètres ou Q dans le volet des préférences Unités et annulation. Pour choisir un corps dans la palette Caractère : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
également utiliser la flèche Haut ou Bas pour changer le corps ou saisir une valeur dans la case correspondante et appuyer sur la touche Entrée, Retour ou Tabulation. Pour choisir un corps dans le menu Texte : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Illustrator > Préférences > Unités et annulation (Mac OS X). 2 Dans le menu déroulant Texte, choisissez les unités souhaitées, puis cliquez sur OK.
1 Choisissez Texte > Rechercher une police. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
5 Choisissez la police de substitution dans la liste A remplacer depuis, puis procédez de l’une des façons suivantes : •
6 Pour enregistrer la liste de toutes les polices trouvées dans le document, cliquez sur Enregistrer. Indiquez ensuite le nom et l’emplacement du fichier dans la boîte de dialogue Enregistrer sous, puis cliquez sur Enregistrer. 7 Cliquez sur Terminé.
L’interligne est l’espace vertical séparant deux lignes de base. Il est toujours exprimé dans l’unité de mesure spécifiée dans le menu déroulant Texte du volet des préférences Unités et annulation. Par défaut, cette unité est le point. Lorsqu’une ligne de texte présente des caractères dotés de valeurs d’interligne différentes, l’application prend la valeur la plus élevée. L’interligne est réglable dans la palette Caractère ou directement au clavier. L’option par défaut Interligne auto définit un interligne de 120 % du corps. Un texte composé en corps 10, par exemple, aura un interligne de 12 points (120 % de 10 points).
ou choisissez une valeur dans le
Remarque : pour attribuer à l’interligne la même valeur que le corps de police, cliquez deux fois sur l’icône Interligne. Pour rétablir la valeur par défaut d’un paramètre, cliquez sur l’icône qui lui est associée dans la palette, tout en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée. Pour définir un interligne avant un paragraphe : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
2 Choisissez Fenêtre > Informations. La palette Infos affiche la valeur d’espacement totale pour les deux caractères. Si, par exemple, la palette Infos affiche 109 = 100 + 9/1000e de cadratin, cela signifie que le crénage des caractères est de 9/1000e de cadratin et que l’approche du mot est de 100/1000e de cadratin.
Si vous souhaitez définir l’interlettrage d’après les données de crénage d’une police, activez l’option Crénage auto de la palette Caractère. La plupart des polices romaines contiennent des informations sur l’espacement entre les paires de caractères. Par exemple, l’espacement entre le A et le W est souvent inférieur au blanc séparant le A du F. Au lieu d’utiliser l’option Crénage auto, vous pouvez choisir une valeur de crénage dans la palette Caractère jusqu’à ce que vous ayez terminé de saisir votre texte. Sélectionnez ensuite le texte, et appliquez-lui le crénage automatique. Pour appliquer le crénage automatique à un texte existant : 1 Choisissez Sélection > Tout. 2 Choisissez l’option Auto dans le menu déroulant Crénage zone de texte de la palette Caractère. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Le décalage vertical permet de relever ou d’abaisser des caractères par rapport à leur ligne de base. L’option Décalage vertical sert à placer des caractères en indice ou en exposant ou à placer un texte au-dessus ou au-dessous de son tracé, sans modifier son sens. Si, par exemple, vous saisissez du texte sur un cercle avec l’outil Texte curviligne, ce texte apparaît au-dessus du cercle. Pour qu’il s’affiche à l’intérieur du cercle sans modifier son orientation, spécifiez une valeur de décalage vertical. Une valeur positive relève le texte par rapport à sa ligne de base et une valeur négative l’abaisse. Le décalage vertical se mesure en points, sauf si vous modifiez l’option définie dans le menu déroulant Texte du volet des préférences Unités et annulation. Pour définir le décalage vertical depuis la palette Caractère : 1 Sélectionnez le tracé d’un texte captif ou curviligne à l’aide d’un outil de sélection ou sélectionnez un bloc de texte à l’aide des outils de texte. 2 Si le bouton Décalage vertical n’est pas visible dans la palette Caractère, choisissez Afficher les options dans le menu de la palette. 3 Entrez une valeur dans la zone de texte Décalage vertical ou utilisez la flèche Haut ou Bas pour augmenter ou réduire le décalage vertical. 4 Appuyez sur les touches Entrée ou Retour.
L’échelle horizontale et l’échelle verticale déterminent le rapport entre la hauteur et la largeur du texte par rapport à la ligne de base. Le réglage de l’échelle permet la compression ou l’expansion de caractères à la fois en hauteur et en largeur. L’application à un caractère d’une échelle différenciée, au moyen d’un outil de transformation, agit sur l’échelle horizontale de ce caractère ainsi que sur le corps, l’interligne, le retrait et le décalage vertical. Vous pouvez rétablir les proportions horizontales d’origine d’un texte modifié au moyen d’un outil de transformation en spécifiant une échelle horizontale de 100 %. Remarque : selon la valeur spécifiée avec du texte vertical, l’échelle horizontale peut faire apparaître le texte en plus étroit, car elle se calque sur la ligne de base, et inversement pour l’échelle verticale. Pour ajuster l’échelle horizontale ou verticale d’un texte : 1 Sélectionnez le tracé d’un texte captif ou curviligne à l’aide d’un outil de sélection ou sélectionnez un bloc de texte à l’aide des outils de texte. 2 Si les menus déroulants Echelle horizontale et Echelle verticale ne sont pas visibles dans la palette Caractère, choisissez Afficher les options dans le menu de la palette. 3 Saisissez un pourcentage dans la zone de texte Echelle horizontale ou Echelle verticale. 4 Appuyez sur les touches Entrée ou Retour.
Les paramètres des volets des préférences Générales et Texte et tracé automatique gèrent les raccourcis clavier. Les préférences des unités de texte déterminent les unités relatives au corps des polices, à l’interligne et au décalage vertical. Pour modifier les incréments du clavier : 1 Choisissez Edition > Préférences > Texte et tracé automatique (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Texte et tracé automatique (Mac OS X). 2 Entrez les valeurs souhaitées dans les zones de texte Corps/Interligne, Décalage vertical et Approche, puis cliquez sur OK. Pour modifier les incréments du curseur : 1 Choisissez Edition > Préférences > Générales (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Générales (Mac OS X). 2 Entrez la valeur souhaitée dans la zone de texte Incréments clavier, puis cliquez sur OK. Pour modifier les unités de texte : 1 Choisissez Edition > Préférences > Unités et annulation (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Unités et annulation (Mac OS X). 2 Choisissez une unité de texte dans le menu déroulant Texte, puis cliquez sur OK. L’unité de texte par défaut est le point (égal à 1/72e de pouce). Vous pouvez choisir des pouces, des millimètres, des Q (un Q est égal à 0,25 mm) ou des pixels.
Vous pouvez appliquer des attributs de dessin à un texte standard, captif ou curviligne, afin d’attribuer un fond de couleur au texte ou de souligner sa ligne de base, par exemple. Pour appliquer des attributs de dessin au texte : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Sélection . La pipette permet de copier ou de prélever des attributs de caractère, de paragraphe, de fond et de contour du texte d’un fichier Illustrator. Ces attributs peuvent ensuite être appliqués à un autre texte à l’aide du pot de peinture. Par défaut, les outils Pipette et Pot de peinture agissent sur tous les attributs d’une sélection de texte, y compris l’aspect. Pour personnaliser ces attributs, utilisez la boîte de dialogue Pipette/Pot de peinture. Remarque : lorsque vous sélectionnez un texte curviligne ou captif en entier, les attributs de fond, de contour, de caractère et de paragraphe de cet objet sont copiés et appliqués au nouveau texte. Lorsque vous sélectionnez une partie de texte, seuls les attributs de fond, de contour et de caractères sont copiés. Pour copier des attributs de texte dans des objets de texte sélectionnés : 1 Avec l’outil Sélection ou n’importe quel outil de texte, sélectionnez le texte captif, curviligne ou une partie de texte où vous souhaitez copier les attributs. 2 Sélectionnez l’outil Pipette. 3 Cliquez sur le texte contenant les attributs à copier. Il peut être désélectionné, verrouillé ou figurer dans un fichier d’illustration non utilisé. Les attributs sont appliqués au texte qui demeure sélectionné. Pour copier des attributs de texte avec le pot de peinture : 1 Sélectionnez l’outil Pot de peinture
Les attributs sont appliqués au texte sélectionné. Pour basculer entre les outils Pipette et Pot de peinture, appuyez sur la touche Alt (Windows) ou Option (Macintosh) lorsqu’un de ces outils est sélectionné. Pour modifier les attributs de texte : 1 Cliquez deux fois sur l’outil Pot de peinture ou Pipette. 2 Sélectionnez ou désélectionnez les attributs que la pipette doit copier et que le pot de peinture doit appliquer. •
1 Choisissez la commande Pixellisation comme indiqué à la section « Conversion de graphiques vectoriels en images bitmap », page 259. 2 Choisissez une méthode de pixellisation du texte dans le menu déroulant Qualité du texte. •
1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Sélection , puis cliquez sur sa ligne de base.
Sélection directe pour sélectionner les objets de texte chaîné à transformer. Assurezvous que la ligne de base apparaît, indiquant que le texte est sélectionné à l’intérieur de son tracé.
Il est possible de modifier le sens de caractères isolés, de même que la répartition d’un bloc de texte, à l’aide de la palette Caractère ou de la commande Orientation du texte.
Vous pouvez changer le sens d’un seul caractère ou des portions d’un bloc de texte vertical à partir du menu déroulant Sens de la palette Caractère. La modification du sens d’un caractère conserve l’orientation initiale du texte (par exemple, un texte vertical reste dans une orientation verticale), tandis que le sens du caractère individuel ou des parties de texte pivote de 90 degrés. Pour modifier le sens d’un texte : 1 Sélectionnez le texte dont vous souhaitez modifier le sens. 2 Si les options multilingues ne sont pas visibles dans la palette Caractère, choisissez Afficher les options multilingues dans le menu de la palette. 3 Choisissez une option dans le menu déroulant Sens. •
Orientation du texte Cette commande permet de passer d’une orientation horizontale à une orientation verticale, et inversement. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Pour créer une note divisée avec l’option Wari-Chu : 1 Sélectionnez le texte à diviser à l’aide d’un outil de texte. 2 Si les options multilingues ne sont pas visibles dans la palette Caractère, choisissez Afficher les options multilingues dans le menu de la palette. 3 Sélectionnez l’option Wari-Chu. 4 Pour modifier le corps du texte Wari-Chu (exprimé en pourcentage du corps d’origine), entrez un pourcentage dans la zone de texte Echelle (au-dessous de l’option Wari-Chu). La valeur par défaut est de 50 %.
La commande Vectoriser (Vectoriser l’objet lorsqu’il s’agit d’un effet) permet de convertir du texte en tracés transparents, qu’il est alors possible de modifier et de manipuler comme tout objet graphique. La commande Vectoriser et l’effet Vectoriser l’objet sont utiles pour changer l’aspect des textes de grande taille, mais n’ont que peu d’effet sur les textes de petite taille.
Les « algorithmes d’optimisation » sont perdus lors de la vectorisation du texte. Il s’agit d’instructions intégrées aux polices vectorielles servant à nuancer le dessin de leurs caractères lors de leur affichage ou de leur impression dans une variété de corps. Si donc vous envisagez de mettre le texte à l’échelle, faites-le en modifiant le corps avant de le vectoriser. La vectorisation porte sur l’ensemble du texte. Il est impossible de ne vectoriser qu’une seule lettre d’une chaîne de caractères. Si vous souhaitez malgré tout le faire, créez un objet texte contenant seulement cette lettre. Pour vectoriser du texte : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Texte > Vectoriser. Remarque : lorsque vous importez ou exportez du texte, assurez-vous que les polices utilisées dans le fichier sont disponibles sur le système avec lequel le texte sera affiché ou imprimé. S’il manque des polices ou des styles, y compris les polices homographes de formats différents (Type 1, TrueType ou CID), le résultat obtenu peut ne pas correspondre à celui escompté. Sur les systèmes japonais, les différences entre les jeux de caractères peuvent empêcher un texte saisi sous Windows de s’afficher sur un système Mac OS.
Ainsi, le texte provenant d’un fichier RTF (Rich Text Format) conserve sa police et ses styles dans Illustrator. Vous pouvez par ailleurs définir des options de codage et de formatage lorsque vous importez le texte d’un fichier texte brut (.txt). Pour importer du texte dans un nouveau fichier Illustrator : Choisissez Fichier > Ouvrir, sélectionnez le fichier texte à ouvrir, puis cliquez sur Ouvrir. Pour importer du texte dans un fichier Illustrator existant : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Remarque : un message s’affiche lorsque le texte importé utilise une police vectorielle qui n’est pas disponible sur votre système. Si vous décidez néanmoins d’importer ce texte, les caractères dans la police manquante sont convertis en tracés transparents (voir la section « Modification des caractères en tant qu’objets graphiques », page 289). Ces tracés peuvent être modifiés en tant qu’objets graphiques, mais pas en tant que texte.
La commande Exporter exporte tout texte libre, captif ou curviligne vers un nouveau fichier texte au format brut. Pour exporter du texte : 1 A l’aide d’un outil de texte, sélectionnez le texte à exporter. 2 Choisissez Fichier > Exporter. 3 Choisissez le format d’exportation souhaité dans le menu déroulant. 4 Entrez le nom du nouveau fichier texte dans la zone de nom, puis cliquez sur Enregistrer (Windows) ou Exporter (Mac OS).
Le texte passe d’un objet à l’autre en fonction de l’ordre d’empilement dans l’objet texte. Le texte se place d’abord dans le dernier objet, l’avant-dernier, etc. L’objet le plus récent apparaît toujours au premier plan (voir la section « Empilement des objets », page 120). Les options suivantes s’appliquent aux objets texte chaînés : •
3 Maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée et faites glisser une copie de l’objet texte à l’endroit souhaité. Maintenez la touche Maj enfoncée pour contraindre l’outil à des angles multiples de 45 degrés. 4 Une fois le nouvel objet en place, relâchez le bouton de la souris, puis les touches Maj+Alt (Windows) ou Maj+Option (Mac OS). Il est important de relâcher le bouton de la souris en premier. Le texte passe du premier objet texte au second. Les deux objets texte sont chaînés. Vous pouvez choisir Objet > Transformation > Répéter pour créer d’autres colonnes. Pour chaîner ou annuler le chaînage des objets texte : 1 Activez l’outil Sélection .
2 Cliquez sur le contour de l’objet texte à supprimer. 3 Cliquez sur Supprimer. L’objet disparaît, et son contenu passe dans l’objet chaîné ou associé suivant (selon l’ordre de superposition). 4 Pour ajouter un nouvel objet texte, créez-le ou sélectionnez-le, activez l’outil Sélection directe progressive, puis cliquez sur l’objet texte à chaîner au nouvel objet en maintenant la touche Maj enfoncée. Choisissez Texte > Chaînage > Créer. Le texte passe dans le nouvel objet texte.
La boîte de dialogue Tableau vous permet de diviser des rectangles et des objets texte en blocs de rangées et de colonnes, et de définir précisément la hauteur et la largeur des rangées et des colonnes ainsi que la taille de la gouttière les séparant. Elle permet également de modifier le sens de répartition du texte (de gauche à droite, de droite à gauche, de haut en bas ou de bas en haut), en cliquant sur les boutons Répartition du texte. Il est également possible de créer un tableau à partir d’objets texte chaînés (voir la section « Chaînage des objets texte », page 292). Les rangées et colonnes créées demeurant de simples objets graphiques tant qu’elles ne contiennent pas de texte, la boîte de dialogue Tableau peut également servir à créer des rectangles. Il suffit de sélectionner un rectangle et de le diviser en plusieurs rectangles à partir de cette boîte de dialogue. De plus, l’utilisation de la boîte de dialogue Tableau constitue un moyen rapide de créer des repères pour la disposition d’illustrations (voir la section « Utilisation des repères », page 103). Pour diviser un objet rectangulaire ou un objet texte en tableau : 1 A l’aide de l’outil Sélection , sélectionnez un rectangle ou un objet texte. Si l’objet n’est pas rectangulaire, il est converti en tableau en fonction de son cadre de sélection. 2 Choisissez Texte > Tableau. 3 Entrez le nombre de colonnes et de rangées nécessaires dans les zones de texte Colonnes et Rangées, respectivement. Vous pouvez utiliser les zones de texte correspondantes ou les boutons situés de part et d’autre des cases pour augmenter ou réduire les valeurs affichées. La largeur de colonne et la hauteur de rangée sont modifiées en conséquence. 4 Modifiez la largeur de la colonne, la hauteur de la rangée, la taille de la gouttière de colonne ou de rangée ou la largeur ou hauteur totale du tableau en entrant les valeurs souhaitées ou en ayant recours aux boutons correspondants. 5 Procédez de l’une des façons suivantes :
1 Assurez-vous que le ou les objets à habiller se trouvent devant le texte. S’il y a lieu, utilisez les commandes Premier plan ou Coller devant. 2 Si vous le souhaitez, vous pouvez tracer au moyen d’un outil de dessin une « réserve » enveloppant l’objet et sur laquelle l’habillage s’alignera. Cette réserve est nécessaire pour habiller une image bitmap ou un fichier EPS importé. Si la réserve comporte un fond ou un contour, placez-la derrière l’objet à habiller, et non devant le texte. Vous pouvez utiliser une réserve sans attribut de dessin pour contrôler précisément l’habillage de l’objet. Cette réserve est nécessaire pour habiller un objet de grande taille constitué d’un texte isolé, comme une lettrine. Il suffit alors de jouer sur la taille et la forme de la réserve pour obtenir exactement l’effet recherché. 3 A l’aide de l’outil Sélection , sélectionnez les objets texte à habiller ainsi que les objets graphiques autour desquels vous souhaitez les placer. 4 Choisissez Texte > Habillage > Créer. Le texte épouse alors les contours de l’objet graphique sélectionné. Pour séparer l’objet texte habillé de l’objet graphique : 1 Sélectionnez l’objet texte ou l’objet graphique. 2 Choisissez Texte > Habillage > Annuler. En outre, si vous réduisez l’échelle d’affichage du document de sorte que le corps de caractère devienne inférieur au seuil de faux texte, le texte apparaît alors en faux texte. Si, par exemple, le seuil de faux texte est de 6 points, des caractères de 12 points affichés à 50 % apparaissent en faux texte.
Adobe Illustrator présente plusieurs fonctions facilitant la manipulation de plus gros volumes de texte, notamment les paragraphes disposés en colonnes. Ces fonctions vous permettent de définir le retrait des paragraphes et l’alignement du texte, de modifier leur espacement, de poser des tabulations et d’adapter le texte en largeur. Il est même possible de déterminer le mode de césure des mots à l’intérieur d’un paragraphe à l’aide de la fonction Césure.
La palette Paragraphe permet de modifier la mise en forme des colonnes et des paragraphes.
Modification des valeurs de paragraphe Pour appliquer une valeur au texte sélectionné sans avoir à vous déplacer vers la zone de texte suivante, appuyez sur la touche Entrée ou Retour. Pour appliquer une valeur puis mettre en surbrillance la valeur qui vient d’être modifiée, appuyez sur les touches Maj+Entrée ou Maj+Retour. Pour appliquer une valeur et passer à la case suivante dans la palette, appuyez sur la touche Tabulation.
Remarque : le retrait de première ligne et le retrait à gauche dans la palette Paragraphe apparaissent également sur la palette Tabulations sous forme de petits triangles (voir la section « Palette Tabulations », page 302). Le retrait, exprimé dans l’unité de texte choisie dans le menu déroulant Texte du volet des préférences Unités et annulation, est défini à partir de la palette Paragraphe. Le retrait spécifié ne s’applique qu’aux paragraphes sélectionnés, ce qui permet de leur attribuer des valeurs différentes en toute simplicité. Pour définir un retrait de paragraphe : 1 Sélectionnez le tracé d’un texte captif ou curviligne à l’aide d’un outil de sélection, placez un point d’insertion ou sélectionnez un bloc de texte au moyen des outils de texte. 2 Dans la palette Paragraphe, activez la zone de texte Retrait à gauche , Retrait à droite ou Retrait de première ligne , selon le type de retrait à définir. 3 Entrez une valeur de retrait. Pour créer un retrait de première ligne, saisissez une valeur négative dans la case Retrait de première ligne. 4 Appuyez sur la touche Entrée, Retour ou Tabulation.
L’alignement détermine la présentation des lignes d’un paragraphe. Chaque paragraphe (ou ligne de caractères) peut être aligné à gauche, à droite, centré ou justifié. L’option Justifier toutes les lignes aligne l’ensemble du texte, y compris la dernière ligne du paragraphe, sur les deux marges. En principe, la dernière ligne d’un paragraphe justifié est cadrée à gauche avec un bord droit irrégulier. Pour modifier l’alignement dans la palette Paragraphe : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
1 Sélectionnez le tracé d’un texte captif ou curviligne à l’aide d’un outil de sélection, placez le point d’insertion ou sélectionnez un bloc de texte au moyen des outils de texte. 2 Si les options de paragraphe ne sont pas visibles dans la palette Paragraphe, choisissez Afficher les options dans le menu de la palette. 3 Sélectionnez l’option Ponctuation hors justification.
Les options d’espacement régissent l’intermot et l’interlettrage sur les lignes de texte justifiées ou non. Dans le cas d’un texte non justifié, il peut être nécessaire de jouer sur l’intermot sans toucher à l’interlettrage. Les valeurs des options Intermot et Interlettrage s’appliquent principalement au texte justifié, bien qu’il soit également possible d’ajuster l’espacement d’un texte non justifié. 1 Sélectionnez le tracé d’un texte captif ou curviligne au moyen d’un outil de sélection ou définissez le point d’insertion. 2 Si les options Intermot et Interlettrage ne sont pas visibles dans la palette Paragraphe, choisissez Afficher les options dans le menu de la palette. 3 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Minimal, Optimal et Maximal de la zone Intermot. Si le texte n’est pas justifié, seule l’option Optimal est disponible. Dans le cas d’un texte justifié, les valeurs d’intermot par défaut sont de 100 % pour les options Minimal et Optimal et de 200 % pour l’option Maximal. A 100 %, aucun espace supplémentaire n’est inséré entre les mots.
Minimal, Optimal et Maximal de la zone Interlettrage. Si le texte n’est pas justifié, seule l’option Optimal est disponible. Les valeurs d’interlettrage par défaut sont de 0 % pour les options Minimal et Optimal et de 5 % pour l’option Maximal. A 0 %, aucun espace supplémentaire n’est inséré entre les mots.
Vous pouvez remplacer l’espacement simple par défaut par un espacement proportionnel (en largeur et en hauteur) grâce à l’option Tsume de la palette Caractère. Les polices suivantes permettent de passer d’un texte à espacement simple en texte à espacement proportionnel : •
Afficher les options multilingues dans le menu de la palette. 3 Sélectionnez l’option Tsume.
L’option Moji Gumi de la palette Caractère vous permet de définir l’espacement entre les caractères CJC et les signes de ponctuation ou entre les caractères romains et les caractères CJC. En modifiant le pourcentage d’espacement entre différents types de caractères, cette option élimine les problèmes pouvant survenir en combinant ces caractères dans un seul fichier. Lorsque l’option Moji Gumi est utilisée avec l’option Tsume, l’espacement proportionnel est appliqué en premier, suivi des règles de mise en page japonaises. Pour appliquer les règles de mise en page japonaises : 1 Sélectionnez le texte auquel vous souhaitez appliquer des règles de mise en page. 2 Si les options multilingues ne sont pas visibles dans la palette Caractère, choisissez Afficher les options multilingues dans le menu de la palette. 3 Sélectionnez l’option Moji Gumi. 4 Pour modifier l’espacement entre les caractères CJC et les signes de ponctuation (comme les parenthèses) dans le texte, entrez une valeur d’espacement comprise entre 0 % et 200 % dans la zone de texte CJC/CJC.
Illustrator permet de contrôler l’emplacement des caractères qui ne doivent pas apparaître en fin ou en début de ligne ou être scindés sur deux lignes. En sélectionnant l’option Kinsoku Shori et en utilisant les options de la boîte de dialogue Kinsoku Shori, vous pouvez vérifier comment ces caractères se comportent lors des sauts de ligne, et choisir les jeux de caractères à inclure. Par exemple, vous pouvez compresser une ligne de texte pour permettre l’insertion d’un signe de ponctuation (un guillemet, par exemple), qui doit rester sur la même ligne que la citation.
Afficher les options dans le menu de la palette. 2 Sélectionnez l’option Kinsoku Shori. 3 Dans le menu déroulant Kinsoku Shori, choisissez un jeu de caractères auquel appliquer les règles de sauts de ligne. •
Afficher les options dans le menu de la palette. 2 Choisissez Kinsoku Shori dans le menu de la palette. 3 Sélectionnez les options à appliquer au jeu de caractères sélectionné dans la boîte de dialogue Kinsoku Shori : •
Vous pouvez gérer le comportement des caractères récurrents d’un texte japonais grâce à l’option Kurikaeshi Moji Shori de la palette Paragraphe. Par défaut, lorsque deux caractères identiques se suivent dans un corps de texte, le second caractère est remplacé par un signe de caractère récurrent. Si cette option est sélectionnée, les deux caractères s’affichent lorsqu’ils sont séparés par un saut de ligne.
1 Avec un outil de texte, sélectionnez le paragraphe auquel vous voulez appliquer le traitement de caractères récurrents. Si le texte est inexistant, le réglage s’applique à la saisie d’un nouveau texte. 2 Si les options de paragraphe ne sont pas visibles dans la palette Paragraphe, choisissez Afficher les options dans le menu de la palette. 3 Sélectionnez l’option Kurikaeshi Moji Shori.
La palette Tabulations vous permet de poser rapidement des tabulations alignées à gauche ou à droite, centrées ou décimales pour un texte horizontal, ou alignées en haut ou en bas, centrées ou décimales pour un texte vertical (15 taquets de tabulation maximum). Lorsque vous posez une tabulation, un repère apparaît dans le texte pour vous aider, même si ce texte pivote ou habille un objet. Les unités de mesure des tabulations sont définies dans le volet des préférences Unités et annulation (pour tous les documents) ou dans la boîte de dialogue Format de document (pour le document ouvert). Lors de l’utilisation des tabulations pour du texte vertical, la réglette s’affiche à la verticale. Pour un texte horizontal, elle s’affiche à l’horizontale. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
(par rapport à la marge gauche du texte horizontal sélectionné ou la marge supérieure du texte vertical sélectionné) s’affiche en haut et au centre de la palette. 5 Activez un outil de texte et cliquez pour placer le point d’insertion dans le texte. Appuyez ensuite sur la touche Tabulation pour déplacer le texte vers le taquet suivant. Pour modifier un taquet existant : 1 La palette Tabulation étant affichée, cliquez sur un taquet pour le sélectionner, puis sur l’un des boutons de types de tabulation : •
Pour ajuster un texte à une zone donnée : 1 Saisissez un texte dans un objet texte au moyen d’un outil Texte
Il est également possible d’insérer manuellement une césure optionnelle. Dans Illustrator, la césure optionnelle prévaut toujours sur les règles de césure automatique. Vous pouvez également définir des règles de césure particulières ou interdire toute césure pour un mot donné grâce à la commande Césure. Enfin, vous pouvez spécifier la langue à laquelle s’appliquent les exceptions de césure. Pour entrer une césure optionnelle : 1 Activez un outil de texte et cliquez à l’endroit approprié. 2 Appuyez sur les touches Maj+Ctrl+tiret (Windows) ou Maj+Commande+tiret (Mac OS). Pour définir les règles de césure automatique : 1 Dans la palette Paragraphe, cliquez sur Césure auto. Si l’option n’est pas visible, choisissez Afficher les options dans le menu de la palette. 2 Sélectionnez Césure dans le menu de la palette Paragraphe. 3 Dans les cases de césure, entrez le nombre minimal de lettres exigé avant et après le tiret de césure. 4 Si vous le souhaitez, activez l’option Maximum de césures consécutives à, puis entrez le nombre maximal de césures successives autorisées. 5 Cliquez sur OK. Pour définir les options de césure : 1 Choisissez Edition > Préférences > Césure (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Césure (Mac OS X).
3 Saisissez le mot dont vous souhaitez définir les propriétés de césure, en insérant un tiret aux endroits où vous souhaitez effectuer la césure. Adobe Illustrator s’en tiendra uniquement aux césures ainsi définies et, par conséquent, ne coupera jamais le mot si vous le tapez sans aucun tiret. 4 Cliquez sur Ajouter. 5 Pour ôter un mot de la liste des exceptions de césure, sélectionnez-le et appuyez sur la touche Retour arrière ou Suppr (Windows) ou Retour arrière (Mac OS). Remarque : les informations de césure sont enregistrées avec l’application, non avec le fichier. Si, par exemple, vous utilisez le fichier sur un autre ordinateur présentant ses propres options de césure, les mots de votre texte pourront être coupés différemment.
Après avoir sélectionné un texte, vous pouvez recourir aux méthodes de traitement de texte standard pour le modifier. Les commandes Couper, Copier, Coller, Effacer et Tout sélectionner du menu Edition permettent de copier du texte depuis Illustrator dans d’autres applications et d’importer ou de modifier du texte dans un fichier Illustrator. Si vous utilisez la commande Copier pour importer ou exporter du texte, seuls les caractères sont récupérés. Les styles sont perdus. Adobe Illustrator inclut également des commandes s’appliquant spécifiquement à l’édition de blocs de texte. Ces outils permettent de vérifier l’orthographe d’un texte, de rechercher et de remplacer des chaînes de caractères, de remplacer des minuscules par des majuscules ou inversement, et d’inclure des signes de ponctuation typographique.
La commande Orthographe répertorie les mots douteux d’un document et propose des orthographes de remplacement. Si Illustrator s’arrête sur un mot qui n’est pas incorrect, vous pouvez l’ignorer sans le modifier dans le document ou l’ajouter au dictionnaire utilisateur. Tous les nouveaux mots sont intégrés au fichier Dictionnaire personnel AI du sous-dossier Filtres de texte du dossier Modules externes, dont le contenu est modifiable. Remarque : la commande Orthographe ne peut être utilisée qu’avec les polices latines. L’orthographe des polices CJC ne peut être vérifiée à l’aide de la commande Orthographe. Pour vérifier l’orthographe d’un document : 1 Choisissez Texte > Orthographe.
3 Pour obtenir une liste de suggestions de remplacement pour un mot douteux, cliquez sur ce dernier dans la liste Mots douteux. La première occurrence du mot est sélectionnée dans le document, et des suggestions de correction s’affichent dans la liste Orthographes proposées. 4 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Orthographes proposées ou saisissez le mot correct dans la zone de texte. Pour ne modifier que la première occurrence du mot dans le document, cliquez sur Remplacer ou cliquez deux fois sur le mot. Pour modifier toutes les occurrences du mot, sélectionnez le mot correct, puis cliquez sur Tout remplacer.
Toutefois, il y sera affiché lors de la prochaine vérification orthographique.
Maj+Commande (Mac OS) enfoncée lorsque vous cliquez sur les mots ou faites glisser le pointeur dessus.
La commande Rechercher/Remplacer recherche et remplace des chaînes de caractères sur des tracés ou à l’intérieur d’objets texte, tout en conservant le style, la couleur, le crénage ou tout autre attribut du texte. Pour rechercher et remplacer des caractères : 1 Choisissez Texte > Rechercher/Remplacer. 2 Saisissez la chaîne de caractères à rechercher et, si nécessaire, les caractères de remplacement. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
La commande Modifier la casse vous permet de mettre un texte complet en majuscules ou en minuscules ou de faire commencer chaque mot par une majuscule (caractères mixtes). Remarque : la commande Modifier la casse ne fonctionne que sur le texte latin à 1 octet. Elle ne s’applique pas au texte CJC Romain (à 2 octets). Pour modifier les majuscules et minuscules d’un texte : 1 Activez un outil de texte, puis sélectionnez le texte à modifier. 2 Choisissez Texte > Modifier la casse. 3 Sélectionnez l’option MAJUSCULES, minuscules ou Mixtes, puis cliquez sur OK.
La boîte de dialogue Ponctuation typographique recherche les symboles de texte entrés au clavier et les remplace par des symboles typographiques. Elle peut également indiquer le nombre de remplacements effectués. Remarque : la ponctuation typographique fonctionne avec les polices OpenType sur les systèmes Mac OS uniquement. Pour remplacer des caractères standard par des caractères typographiques : 1 Choisissez Texte > Ponctuation typographique. 2 Choisissez une ou plusieurs des options de ponctuation typographique suivantes : •
Certaines polices japonaises contiennent des informations concernant des variantes d’ordre historique ou autre pour certains caractères. La commande Options de glyphe vous permet de spécifier une variante de glyphe particulier pour un caractère Kanji existant. Lorsque vous utilisez les polices CID Type 1 (Mac OS), vous pouvez remplacer un caractère standard par une variante de caractère appartenant aux jeux de caractères JIS 78, Expert et Traditionnel. Pour imprimer des fichiers contenant des caractères de substitution, la police CID correspondante contenant les glyphes doit être installée sur l’imprimante. Remarque : les variantes de glyphes sont reconverties en caractères standard lorsqu’un fichier Illustrator est importé dans Adobe Photoshop, Adobe Premiere ou Adobe After Effects. Pour enregistrer des informations concernant les variantes de glyphes, enregistrez le fichier Illustrator au format EPS (sélectionnez l’option Inclure les polices du document dans la boîte de dialogue Options de format EPS), puis importez-le.
3 Sélectionnez le jeu de caractères dans le menu déroulant de la boîte de dialogue Options de glyphe, puis cliquez sur OK. Remarque : pour sélectionner deux caractères, maintenez la touche Option enfoncée et cliquez. Vous ne pouvez pas appliquer la commande Options de glyphe à plus de deux caractères à la fois.
(images, texte, etc.). Désormais, avec les graphiques dynamiquement adaptés aux données, vous utilisez un script qui se réfère à une base de données pour générer les bandeaux Web à votre place. Dans Illustrator, vous pouvez transformer n’importe quelle illustration en modèle pour graphiques dynamiquement adaptés aux données. Il vous suffit pour cela de définir quels sont les objets dynamiques (modifiables) sur le plan de travail, à l’aide de variables. Les variables servent à changer des chaînes de caractères, des images liées, des données de graphe et la visibilité des objets sur le plan de travail. De plus, vous pouvez créer différents ensembles de données variables pour voir facilement à quoi ressemblera votre modèle une fois rendu. Les modèles donnent aux concepteurs, aux développeurs et au personnel de la production le moyen de collaborer : •
« Traitement par lots », page 405).
Utilisation du menu de la palette Variables Cliquez sur le triangle situé dans l’angle supérieur droit de la palette pour afficher les commandes utilisées avec les variables. Affichage des options d’une variable Cliquez deux fois sur une variable ou choisissez Options de variable dans le menu de la palette Variables (voir la section « Modification de variables », page 313). Tri des lignes de la palette Variables Cliquez sur l’en-tête Variables pour trier les lignes par nom de variable. Cliquez sur l’en-tête Objets pour trier les lignes par nom d’objet. Cliquez sur l’en-tête vide au-dessus de la colonne Type de variable pour trier les lignes par type de variable.
Pour créer un modèle pour des graphiques dynamiquement adaptés aux données, vous devez définir quels sont les objets dynamiques (modifiables) sur le plan de travail. Les variables servent à définir les attributs des objets dynamiques.
Vous pouvez créer quatre types de variables dans Illustrator : Données de graphe, Fichier lié, Chaîne de caractères et Visibilité. Le type de la variable indique quels sont les attributs d’objet modifiables. Vous pouvez, par exemple, utiliser une variable Visibilité pour afficher ou masquer un objet de votre modèle. Vous pouvez appliquer des variables aux types d’objets suivants : Texte Utilisez la variable Chaîne de caractères pour rendre du texte dynamique. Image liée Utilisez la variable Fichier lié pour rendre une image liée dynamique.
Lorsque vous liez une variable à un attribut d’objet, l’objet devient dynamique. Le type de l’objet et celui de la variable déterminent quels attributs d’objet peuvent changer. Vous pouvez lier une variable Visibilité à n’importe quel objet pour rendre l’état de visibilité de cet objet dynamique. S’il s’agit d’un objet texte, d’une image liée ou d’un graphe, vous pouvez également rendre son contenu dynamique (voir la section « A propos des variables », page 311). Pour rendre la visibilité des objets dynamique : 1 Sélectionnez un ou plusieurs objets. Utilisez la palette Calques pour sélectionner tous les objets d’un calque ou d’un groupe (voir la section « Sélection d’illustrations dans les calques », page 242). Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
La variable Visibilité
1 Sélectionnez une image liée, du texte ou un graphe. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Rendre l’objet dynamique dans le menu de la palette. La variable Chaîne de caractères , Fichier lié palette Variables.
1 Sélectionnez une variable dans la palette Variables. 2 Cliquez sur le bouton Annuler la liaison de la variable de la palette Variables ou choisissez Annuler la liaison de la variable dans le menu de la palette.
Pour changer le nom et le type d’une variable, vous devez modifier ses options. Vous pouvez également verrouiller toutes les variables d’un document. Ainsi, vous ne pourrez plus en créer, en supprimer ni modifier leurs options. Cependant, vous pouvez toujours lier ou annuler la liaison d’objets à des variables verrouillées. Pour changer le nom d’un objet dans la palette Variables, vous devez modifier le nom de cet objet dans la palette Calques (voir la section « Définition des options de calques », page 238). Pour modifier des options de variable : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Lorsqu’une variable est supprimée, elle est retirée de la palette Variables. Si vous supprimez une variable liée à un objet, cet objet devient statique (à moins qu’il ne soit lié à une variable d’un autre type). Pour supprimer une variable : 1 Sélectionnez la variable à supprimer. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Pour modifier un objet dynamique : 1 Sélectionnez un objet dynamique sur le plan de travail. Sélectionnez automatiquement un objet dynamique de l’une des façons suivantes : •
(Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée.
Pour identifier des objets dynamiques avec des ID XML : 1 Choisissez Edition > Préférences > Unités et annulation (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Unités et annulation (Mac OS X). 2 Sélectionnez l’option ID XML.
Un ensemble de données est un groupe de variables et de données associées. Lorsque vous créez un ensemble de données, vous capturez un instantané des données dynamiques actives sur le plan de travail. Vous pouvez passer d’un ensemble de données à un autre pour charger différentes données dans votre modèle. Le nom de l’ensemble de données actif est affiché en haut de la palette Variables. Si vous changez la valeur d’une variable et que le plan de travail ne reflète plus les données de l’ensemble, le nom de l’ensemble de données s’affiche en italique. Vous pouvez alors créer un nouvel ensemble ou mettre à jour l’ensemble existant pour remplacer les anciennes données par les nouvelles. Pour créer un ensemble de données : 1 Créez un ou plusieurs objets dynamiques sur le plan de travail (voir la section « Liaison de variables à des attributs d’objet », page 312). Remarque : vous devez créer au moins une variable liée pour pouvoir créer un ensemble de données. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Choisissez Mettre à jour l’ensemble de données dans le menu de la palette Variables pour appliquer les données du plan de travail à l’ensemble de données sélectionné. Pour renommer un ensemble de données : Sélectionnez l’ensemble de données à renommer et procédez de l’une des façons suivantes : •
Ensemble de données), tapez un nom, puis cliquez sur OK.
1 Sélectionnez l’ensemble de données à supprimer. 2 Choisissez Supprimer l’ensemble de données dans le menu de la palette Variables.
Lors d’un travail en collaboration, la coordination au sein de l’équipe est la clé de la réussite du projet. Prenons l’exemple d’une société qui conçoit des sites Web. Le concepteur est responsable de l’environnement du site Web, tandis que le développeur est responsable du code sous-jacent et des scripts. Si le concepteur change la disposition de la page Web, ces modifications doivent être communiquées au développeur. De même, si le développeur doit ajouter une fonctionnalité à la page Web, il faudra peut-être actualiser sa présentation. Pour cela, des bibliothèques de variables permettent aux concepteurs et aux développeurs de coordonner leur travail grâce à un fichier XML. Un concepteur peut, par exemple, créer un modèle pour des cartes de visite professionnelles dans Illustrator et exporter des données variables sous forme de fichier XML. Le développeur peut ensuite utiliser ce fichier XML pour lier des variables et des ensembles de données à une base, et écrire un script pour le rendu de l’illustration finale. Le déroulement du travail peut également être inversé : le développeur code les noms de variables et d’ensembles de données dans un fichier XML, et le concepteur importe les bibliothèques de variables dans un document Illustrator.
2 Sélectionnez le fichier XML à partir duquel vous voulez importer des variables, puis cliquez sur Ouvrir. Les variables et les ensembles de données chargés s’affichent dans la palette Variables. Pour exporter des variables depuis Illustrator vers un fichier XML : 1 Choisissez Enregistrer la bibliothèque de variables dans le menu de la palette Variables. 2 Sélectionnez le dossier dans lequel enregistrer le fichier, attribuez un nom à celui-ci et cliquez sur Enregistrer.
Lorsque vous définissez des données dynamiques dans un document Illustrator, vous créez un modèle pour des graphiques dynamiquement adaptés aux données. Vous pouvez enregistrer le modèle au format SVG pour l’utiliser avec d’autres produits Adobe, comme Adobe AlterCast (disponible uniquement en anglais) et Adobe GoLive 6.0. Un utilisateur GoLive peut, par exemple, importer un modèle SVG dans une mise en page, lier ses variables à une base de données à l’aide de liens dynamiques, puis utiliser AlterCast pour générer des exemplaires de l’illustration. De même, un développeur qui travaille avec AlterCast peut lier les variables du fichier SVG directement à une base de données ou à une autre source. Pour enregistrer un modèle qui sera utilisé avec d’autres produits Adobe : 1 Enregistrez l’illustration au format SVG (voir la section « Enregistrement d’une illustration au format SVG », page 355). 2 Cliquez sur Avancées et sélectionnez Inclure la syntaxe étendue pour les données variables. Cette option inclut toutes les informations nécessaires pour la substitution de variables dans le fichier SVG. 3 Cliquez sur OK.
Couleur La couleur est souvent essentielle dans l’illustration. Les couleurs que vous voyez sur votre plan de travail ne sont cependant pas forcément identiques à celles qui s’affichent dans un navigateur Web. Prenez quelques précautions lors de la création d’images pour le Web, afin d’éviter tramage et autres problèmes colorimétriques. D’abord, travaillez toujours dans le mode colorimétrique RVB. Ensuite, essayez d’utiliser des couleurs sécurisées pour le Web (voir les sections « Utilisation de la palette Couleur », page 173 et « Chargement de couleurs à partir d’autres systèmes de couleurs », page 182). Taille de fichier Si vous souhaitez diffuser des images sur le Web, il est essentiel de créer des fichiers graphiques de petite taille, afin de faciliter leur transmission et leur stockage sur les serveurs Web et d’accélérer leur téléchargement. Vous pouvez prendre connaissance de la taille d’une image Web et de sa durée de téléchargement estimée dans la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web (voir la section « Utilisation de la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web », page 333). Format de fichier Le format dans lequel est enregistrée une image Web détermine la taille et les caractéristiques d’affichage du fichier. En général, les formats d’image Web se divisent en deux catégories : bitmap et vectoriel. Les formats bitmap (GIF, JPEG et PNG) décrivent l’image comme une série de points colorés appelés pixels. Chaque pixel d’une image bitmap a une taille fixe et, de ce fait, dépend de la résolution, ce qui signifie que les dimensions de l’image dépendent de la résolution du moniteur sur lequel elle est affichée. Les formats vectoriels (SVG et SWF) décrivent l’image de façon mathématique, comme un ensemble d’objets géométriques. C’est pour cela que les images vectorielles sont indépendantes de la résolution et peuvent être mises à l’échelle dans un navigateur Web. Chaque format de fichier Web a ses caractéristiques et usages propres. Le format JPEG préserve la vaste gamme et les variations subtiles de luminosité et de teinte des photographies et autres images à tons continus. Les formats GIF et PNG-8 compriment efficacement des zones unies de couleur tout en préservant le niveau de détail que l’on trouve, par exemple, dans les dessins au trait, les logos ou les illustrations contenant du texte. Les formats SVG et SWF conservent des images vectorielles de haute qualité, avec des tailles de fichiers inférieures à celles des formats bitmap. Ces deux formats conviennent parfaitement à la création d’images d’animation et d’effets Web sophistiqués.
Pour comprendre comment Illustrator divise les objets en pixels, ouvrez un fichier contenant des objets vectoriels, choisissez Affichage > Aperçu en pixels, puis agrandissez l’image jusqu’à distinguer les pixels. Le positionnement des pixels est déterminé par une grille invisible qui divise le plan de travail en incréments de 1 point (1/72e de pouce). Si vous déplacez, ajoutez ou transformez un objet, vous notez que cet objet est magnétisé à la grille en pixels. De ce fait, le lissage le long des bords « magnétisés » de l’objet (généralement, les bords haut et gauche) disparaît. A présent, désélectionnez la commande Affichage > Magnétisme du pixel et déplacez l’objet. Cette fois, vous pouvez positionner l’objet entre les pixels de la grille. Notez bien la façon dont cela affecte le lissage de l’objet. Comme vous le constatez, même des réglages minimes affectent la façon dont l’objet est pixellisé.
Pour afficher une illustration en mode Aperçu en pixels : Choisissez Affichage > Aperçu en pixels. Pour désactiver ou activer le magnétisme en mode Aperçu en pixels : Choisissez Affichage > Magnétisme du pixel. Remarque : par défaut, la commande Magnétisme du pixel est activée lorsque vous passez en mode Aperçu en pixels. Vous devez désélectionner cette commande pour pouvoir positionner des objets entre les pixels de la grille.
Il existe différentes façons de créer des tranches dans Illustrator : •
« Choix d’un type de tranche et définition des options de tranche », page 321).
Pour créer une tranche : Procédez de l’une des façons suivantes : •
Tranche > Créer. (Mac OS) enfoncée tout en faisant glisser la souris pour tracer à partir du centre.
Le type et les options de la tranche déterminent l’aspect et le fonctionnement de son contenu sur le Web. Pour choisir un type de tranche : 1 Sélectionnez une tranche (voir la section « Sélection et modification de tranches », page 323). 2 Choisissez Objet > Tranche > Options de tranche. Pour de plus amples informations sur la définition des options de tranche dans la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web, voir la section « Utilisation des tranches dans l’optimisation », page 334. 3 Choisissez un type de contenu dans le menu déroulant Type de tranche. •
Dans la boîte de dialogue Options de tranche, procédez comme suit, puis cliquez sur OK : •
Vous pouvez afficher les tranches sur le plan de travail et dans la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web. Pour de plus amples informations sur l’affichage des tranches dans la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web, voir la section « Utilisation des tranches dans l’optimisation », page 334.
Pour afficher ou masquer les tranches : Choisissez Affichage > Afficher les tranches ou Affichage > Masquer les tranches. Pour définir les préférences relatives aux tranches : 1 Choisissez Edition > Préférences > Repères commentés et tranches (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Repères commentés et tranches (Mac OS X). 2 Sélectionnez l’option Afficher les numéros de tranche pour afficher le numéro des tranches ou désélectionnez cette option pour le masquer. 3 Sélectionnez une option Couleur de trait pour changer la couleur des traits de la tranche. La couleur des traits de la tranche sélectionnée est automatiquement remplacée par une couleur de contraste. 4 Cliquez sur OK.
Les méthodes de sélection ou de modification d’une tranche dépendent de la façon dont cette tranche a été créée. Les options disponibles pour modifier les tranches créées à l’aide de la commande Objet > Tranche > Créer sont moins nombreuses, car ces tranches sont liées à la taille et à la position des éléments de votre illustration. Pour sélectionner une tranche : Procédez de l’une des façons suivantes : •
1 Sélectionnez une tranche. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
également. Créer d’après la sélection ou la commande Objet > Tranche > Créer d’après les repères. Il est impossible de diviser une tranche créée avec la commande Objet > Tranche > Créer. 2 Choisissez Objet > Tranche > Diviser les tranches. 3 Dans la boîte de dialogue Diviser les tranches, sélectionnez l’une des options suivantes : •
1 Sélectionnez les tranches à combiner. Il est impossible de combiner des tranches créées avec la commande Objet > Tranche > Créer. 2 Choisissez Objet > Tranche > Combiner les tranches. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
« Modification de l’ordre d’empilement des illustrations à l’aide de la palette Calques », page 243).
2 Choisissez Fenêtre > Alignement, puis cliquez sur le type d’alignement ou de répartition à appliquer aux tranches (voir la section « Alignement et répartition des objets à l’horizontale et à la verticale », page 117). Si les tranches ont été créées avec la commande Objet > Tranche > Créer, l’illustration correspondante se déplace également. L’alignement de tranches permet d’éliminer les tranches auto inutiles et de générer un fichier HTML plus petit et plus efficace. Pour verrouiller des tranches : Choisissez Affichage > Verrouiller les tranches. Le verrouillage de tranches permet d’éviter toute modification accidentelle, comme le redimensionnement ou le déplacement. La commande Verrouiller les tranches n’affecte pas les tranches créées avec la commande Objet > Tranche > Créer. Utilisez la palette Calques pour verrouiller individuellement les tranches créées avec l’outil Tranche, la commande Objet > Tranche > Créer d’après la sélection ou la commande Objet > Tranche > Créer d’après les repères (voir la section « Verrouillage des illustrations », page 247).
Vous pouvez supprimer des tranches soit en les effaçant, soit en les annulant dans l’illustration correspondante. Pour supprimer une tranche : Procédez de l’une des façons suivantes : •
Pour annuler une tranche : 1 Sélectionnez une tranche. 2 Choisissez Objet > Tranche > Annuler.
Les images réactives vous permettent de lier une ou plusieurs zone(s) d’une image, appelées zones sensibles, à une URL. Lorsqu’un utilisateur clique sur cette zone sensible, le navigateur Web charge le fichier lié. La principale différence entre l’utilisation d’images réactives et l’utilisation de tranches pour créer des liens réside dans le mode d’exportation de l’image en tant que page Web. Les images réactives permettent de conserver intacte l’image exportée dans un seul fichier, tandis que les tranches imposent l’exportation de l’image en tant que fichiers séparés. Une autre différence entre les images réactives et les tranches est que les premières permettent de lier des zones polygonales ou rectangulaires dans une image, tandis que les secondes ne permettent de lier que des zones rectangulaires. Si vous n’avez besoin que de zones rectangulaires, il peut être préférable d’utiliser des tranches plutôt qu’une image réactive. Remarque : pour éviter des résultats inattendus, ne créez pas de zones sensibles d’image réactive dans des tranches qui contiennent des liens URL ; en effet, les liens des images réactives ou des tranches risquent d’être ignorés dans certains navigateurs.
1 Sélectionnez l’objet à lier à une URL. 2 Choisissez Fenêtre > Options d’objet. 3 Choisissez la forme de l’image réactive : •
1 Choisissez Fenêtre > Options d’objet. 2 Choisissez Options de palette dans le menu de la palette Options d’objet. 3 Entrez une valeur comprise entre 1 et 30 pour préciser le nombre d’entrées à afficher dans la liste d’URL. 4 Cliquez sur OK.
Les fichiers obtenus sont compacts et fournissent des graphiques de haute qualité sur le Web, à l’impression et sur des périphériques portatifs aux ressources limitées. Les utilisateurs peuvent agrandir l’affichage d’une image SVG à l’écran, sans perte de netteté, de détail ni de clarté. De plus, le format SVG fournit une meilleure prise en charge du texte et des couleurs, et garantit ainsi que les utilisateurs verront les images telles qu’elles s’affichent sur votre plan de travail Illustrator. Le format SVG est entièrement basé sur le langage XML et offre de nombreux avantages, aux développeurs comme aux utilisateurs. Avec le format SVG, vous pouvez utiliser XML et JavaScript pour créer des graphiques Web qui répondent aux actions des utilisateurs, avec des effets sophistiqués comme la mise en surbrillance, les infos-bulles, les informations audio et l’animation.
Vous pouvez enregistrer une illustration au format SVG en utilisant les commandes Enregistrer et Enregistrer pour le Web (voir les sections « Enregistrement d’une illustration au format SVG », page 355 et « Optimisation des images », page 333). La configuration de l’illustration dans Illustrator aura une influence sur le fichier SVG obtenu. Gardez à l’esprit les points suivants : Calques Utilisez des calques pour ajouter de la structure à un fichier SVG. Lorsque vous enregistrez une illustration au format SVG, chaque calque est converti en un élément de groupe (<g>). (Par exemple, un calque nommé Bouton1 devient <g id="Bouton1> dans le fichier SVG.) Les calques imbriqués deviennent des groupes imbriqués SVG et les calques masqués sont conservés avec la propriété de stylisation SVG « display:none ». Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Pixellisation, Artistiques, Atténuation, Contours, Distorsion, Pixellisation, Renforcement, Esquisse, Esthétiques, Textures et Vidéo sont pixellisés lorsqu’ils sont enregistrés au format SVG. De même, les styles qui comprennent ces effets, comme Soleil éclatant, Ciment et Flammes, entraînent une pixellisation. Utilisez les effets des filtres SVG pour ajouter des effets graphiques sans provoquer de pixellisation (voir la section « Ajout d’effets de filtre SVG à une illustration », page 328). Tracés Utilisez des symboles et simplifiez les tracés de l’illustration afin d’améliorer les performances SVG (voir les sections « Simplification des tracés », page 65 et « Utilisation de symboles », page 77). Evitez également d’utiliser des formes qui produisent des données de tracé volumineuses, telles que Fusain, Cendres et Crayon roulette, si vous voulez obtenir des performances optimales. Liens Utilisez des tranches, des images réactives et des scripts pour ajouter des liens à un fichier SVG (voir les sections « Choix d’un type de tranche et définition des options de tranche », page 321, « Création d’images réactives », page 326 et « Ajout d’interactivité SVG à une illustration », page 329). Scripts Un langage de script, comme JavaScript, offre des fonctionnalités illimitées aux fichiers SVG. Les actions du pointeur et du clavier peuvent invoquer des fonctions de script telles que les effets de transformation par souris. Les scripts peuvent également utiliser le modèle DOM (Document Object Model) pour accéder au fichier SVG et le modifier, en insérant ou en supprimant des éléments SVG, par exemple (voir la section « Ajout d’interactivité SVG à une illustration », page 329). Pour de plus amples informations sur l’utilisation d’Illustrator pour la création de fichiers SVG, consultez la rubrique SVG du site www.adobe.com.
Les filtres SVG vous permettent d’ajouter des effets graphiques, comme les ombres portées, à votre illustration. Les filtres SVG diffèrent de leurs équivalents bitmap dans la mesure où ils sont basés sur le langage XML. En fait, un filtre SVG n’est autre qu’une série de propriétés XML décrivant diverses opérations mathématiques. L’effet obtenu est rendu sur l’objet cible au lieu du graphique source. Illustrator propose un ensemble de filtres SVG standard. Vous pouvez utiliser le filtre avec ses propriétés par défaut, modifier le code XML pour produire des effets personnalisés ou rédiger de nouveaux filtres SVG. Important : un effet de filtre SVG doit être le dernier effet apporté lorsqu’un objet a plusieurs effets ; autrement dit, il doit apparaître en bas de la palette Aspect (juste audessus de l’entrée Transparence). Si d’autres effets suivent un effet de filtre SVG, la sortie SVG sera un objet pixellisé.
« Définition des paramètres d’effets de pixellisation », page 261). Pour importer des définitions de filtre SVG dans un document : 1 Choisissez Effet > Filtre SVG > Importer le filtre SVG. 2 Sélectionnez le fichier SVG à partir duquel importer des filtres et cliquez sur Ouvrir. Pour supprimer une définition de filtre SVG d’un document : Sélectionnez un filtre dans la boîte de dialogue Appliquer le filtre SVG, puis cliquez sur le bouton Corbeille. Pour modifier les filtres SVG par défaut d’Illustrator : Utilisez un éditeur de texte pour modifier le fichier Adobe SVG Filters.svg du dossier Modules externes, dans le dossier de l’application Adobe Illustrator. Vous pouvez modifier des définitions de filtre, en supprimer ou encore en ajouter de nouvelles.
La palette Interactivité SVG vous permet d’ajouter une interactivité à votre illustration lors de son exportation en vue d’un affichage dans un navigateur Web. Par exemple, vous pouvez créer un événement qui déclenche une commande JavaScript pour créer rapidement un mouvement sur une page Web lorsque l’utilisateur effectue une opération (par exemple, lorsqu’il déplace le pointeur sur un objet). La palette Interactivité SVG permet également de visualiser tous les événements et les fichiers JavaScript associés au fichier courant.
1 Sélectionnez un objet sur le plan de travail ou ciblez un élément dans la palette Calques (voir la section « Modification de l’aspect des illustrations à l’aide de la palette Calques », page 245). 2 Choisissez Fenêtre > Interactivité SVG. 3 Dans la palette Interactivité SVG, choisissez un événement dans le menu déroulant Evénement : • 5 Appuyez sur la touche Entrée pour ajouter l’entrée à la liste des événements. Pour supprimer un événement JavaScript de la palette Interactivité SVG : 1 Dans la palette Interactivité SVG, cliquez sur un événement JavaScript pour le mettre en surbrillance. 2 Cliquez sur le bouton Supprimer l’entrée sélectionnée ou choisissez Supprimer l’événement dans le menu de la palette Interactivité SVG. Pour entrer, ajouter ou supprimer des événements JavaScript liés au fichier 1 Dans la palette Interactivité SVG, cliquez sur le bouton Lier les fichiers JavaScript choisissez Fichiers JavaScript dans le menu de la palette Interactivité SVG.
Cliquez sur Ajouter pour rechercher des fichiers JavaScript supplémentaires ; cliquez sur Supprimer pour retirer l’entrée JavaScript sélectionnée.
éléments graphiques appelés symboles dans votre fichier Illustrator. Lors de l’exportation, chaque symbole n’est défini qu’une seule fois dans le fichier SWF ; c’est pourquoi l’utilisation des symboles permet de réduire considérablement la taille d’une animation (voir la section « Utilisation de symboles », page 77). Vous pouvez enregistrer une illustration au format SWF en utilisant les commandes Exporter et Enregistrer pour le Web (voir les sections « Exportation d’une illustration au format SWF », page 358 et « Optimisation des images », page 333). Lorsque vous préparez des illustrations à enregistrer au format SWF, il convient de garder à l’esprit les points suivants :
Utilisation de la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web La boîte de dialogue Enregistrer pour le Web vous permet de sélectionner des options d’optimisation et de prévisualiser l’illustration optimisée.
Optimisé pour afficher l’image avec ses paramètres d’optimisation en cours, 2 vignettes pour afficher côte à côte deux versions de l’image ou 4 vignettes pour afficher en mosaïque quatre versions de l’image. Si l’image entière n’est pas visible dans la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web, vous pouvez utiliser l’outil Main pour en afficher une autre partie. Sélectionnez l’outil Main (ou maintenez la barre d’espacement enfoncée), et faites glisser la souris sur la zone d’affichage pour déplacer l’image. Vous pouvez également utiliser l’outil Zoom pour agrandir ou réduire l’affichage. Sélectionnez l’outil Zoom et cliquez dans une vue pour l’agrandir ; en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée, cliquez dans une vue pour la réduire. Vous avez également la possibilité d’indiquer un facteur d’agrandissement dans la zone de texte Zoom, en bas de la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
L’annotation de l’image optimisée indique les options d’optimisation en cours, la taille du fichier optimisé et le temps de téléchargement estimé d’après la vitesse de modem sélectionnée. Choisissez une vitesse de modem dans le menu déroulant Aperçu.
Si votre illustration contient plusieurs tranches, vous devez indiquer celles à optimiser. Vous pouvez appliquer des paramètres d’optimisation à des tranches supplémentaires en liant ces dernières. Les tranches liées aux formats GIF et PNG-8 partagent une palette de couleurs et un motif de tramage pour empêcher l’apparition de raccords entre les tranches. Pour afficher ou masquer des tranches dans la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web : Cliquez sur le bouton Afficher/Masquer les tranches
1 Sélectionnez l’outil Sélection de tranche . 2 Cliquez sur une tranche pour la sélectionner. Cliquez ou faites glisser la souris tout en maintenant la touche Maj enfoncée pour sélectionner plusieurs tranches. Remarque : dans la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web, les tranches qui ne sont pas sélectionnées apparaissent estompées. La couleur de l’image finale n’est pas affectée. Pour afficher des options de tranches dans la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web : Sélectionnez l’outil Sélection de tranche et cliquez deux fois sur une tranche (voir la section « Choix d’un type de tranche et définition des options de tranche », page 321). Pour définir des options pour plusieurs tranches, cliquez deux fois sur la dernière tranche sélectionnée. Pour lier des tranches : 1 Sélectionnez deux tranches à lier ou plus. 2 Choisissez Lier les tranches dans le menu déroulant Optimiser . L’icône Lien s’affiche sur les tranches liées, et une nouvelle couleur est attribuée aux traits ainsi qu’aux icônes de tranches, pour vous aider à identifier les tranches dans l’ensemble. Pour rompre les liens des tranches : Procédez de l’une des façons suivantes : •
Pour appliquer des paramètres d’optimisation : 1 Dans la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web, sélectionnez une vue à laquelle appliquer des paramètres d’optimisation. Si votre illustration contient plusieurs tranches, sélectionnez-en au moins une à laquelle appliquer les paramètres d’optimisation (voir la section « Utilisation de la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web », page 333). 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
1 Choisissez Optimiser pour la taille du fichier dans le menu déroulant Optimiser . 2 Choisissez une option Démarrer avec : •
1 Appliquez les paramètres d’optimisation à une vue en mode 4 vignettes. 2 Choisissez Remplir de nouveau les vues dans le menu déroulant Optimiser. La vue sélectionnée et la vue originale ne sont pas modifiées pendant cette opération.
D A B C Panneau d’optimisation du format GIF A. Menu Format de fichier optimisé B. Menu Algorithme de réduction de couleurs C. Menu Algorithme de tramage D. Menu Optimiser Remarque : vous ne pouvez pas utiliser l’option Perte de qualité avec l’option Entrelacé, ni avec les algorithmes Tramage du bruit et Tramage du motif. Algorithme de réduction des couleurs et Couleurs Choisissez une méthode d’après laquelle générer une table des couleurs dans le menu Algorithme de réduction des couleurs (voir la section « Génération d’une table des couleurs », page 343). Indiquez ensuite le nombre de couleurs maximum dans la zone de texte Couleurs. Si vous choisissez l’algorithme de réduction des couleurs Web, l’option Auto s’active dans le menu déroulant Couleurs. Sélectionnez cette option pour qu’Illustrator définisse le nombre de couleurs dans la table selon la fréquence des couleurs dans l’image. Remarque : si l’image comporte moins de couleurs que le nombre indiqué, la table des couleurs ne contient que les couleurs de l’image.
L’option Diffusion applique un motif aléatoire, en général moins visible que le motif géométrique. Les effets du tramage sont diffusés sur les pixels adjacents.
Aligner sur Web Indique un niveau de tolérance pour le déplacement des couleurs vers leur équivalent le plus proche dans la palette Web (ce qui évite le tramage des couleurs dans un navigateur). Plus cette valeur est élevée, plus les couleurs modifiées sont nombreuses.
Progressif Cochez la case Progressif pour créer une image qui s’affiche progressivement dans un navigateur Web. Cette option permet d’afficher l’image sous la forme d’une série d’incrustations grâce auxquelles une version de faible résolution de l’image apparaît progressivement à mesure de son téléchargement. L’option Progressif exige l’utilisation du format JPEG optimisé. Remarque : l’affichage de fichiers JPEG progressifs requiert une plus grande quantité de mémoire vive et n’est pas prise en charge par tous les navigateurs. Flou Indiquez le niveau d’estompage à appliquer à l’image. L’option Flou applique un effet identique à celui du filtre Flou gaussien et permet une compression plus importante du fichier, résultant en un fichier plus petit. Il est recommandé d’utiliser un paramètre compris entre 0,1 et 0,5. Profil ICC Cochez la case Profil ICC pour conserver le profil ICC de l’image avec le fichier. Les profils ICC sont utilisés par certains navigateurs pour la correction des couleurs. Elle n’est disponible qu’une fois l’image enregistrée avec un profil ICC, et n’est pas disponible pour les images non enregistrées (voir la section « Configuration de la gestion des couleurs », page 193). Cache Indiquez une couleur de remplissage pour les pixels qui étaient transparents dans l’image originale : •
Le format PNG-24 a l’avantage de conserver jusqu’à 256 niveaux de transparence dans une image. Pour enregistrer une image avec une transparence multiniveau, sélectionnez Transparence et choisissez Sans dans le menu Cache. Pour de plus amples informations sur les options Entrelacé, Transparence et Cache, voir la section « Options d’optimisation pour les formats GIF et PNG-8 », page 336.
Précision de la courbe Définissez la précision des courbes de Bézier. Les valeurs basses réduisent la taille du fichier exporté avec une légère perte de qualité de la courbe. Plus la valeur est élevée, plus la précision de la reproduction de la courbe est grande, mais plus le fichier est volumineux.
Options d’optimisation pour le format SVG Le format SVG utilise le langage XML pour enregistrer des graphiques vectoriels avec une haute résolution. Les fichiers SVG peuvent contenir des éléments sophistiqués tels que des dégradés, des animations et des effets de filtre (voir la section « Formats de fichiers graphiques », page 359). Augmentez la résolution dans la boîte de dialogue Paramètres des effets de pixellisation du document pour améliorer l’aspect des effets de pixellisation dans les fichiers SVG (voir la section « Définition des paramètres d’effets de pixellisation », page 261).
D. Menu Etat de l’image E. Menu Propriétés CSS F. Codage de caractères G. Menu Optimiser
Etat de la police Dans ce menu, choisissez Incorporer les polices ou Lier les polices. L’incorporation des polices augmente la taille du fichier, mais garantit que les polices sont toujours disponibles (si vous envoyez le fichier SVG par courrier électronique, par exemple). La liaison des polices depuis un emplacement externe est utile dans le cas où plusieurs fichiers SVG partagent les mêmes polices. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Propriétés CSS Détermine la façon dont les attributs de style sont enregistrés dans le code SVG. La méthode par défaut, Attributs de présentation, applique des propriétés optimales, ce qui permet d’obtenir une flexibilité maximum pour des modifications et des transformations spécifiques. La méthode Attributs de style garantit une lisibilité optimale, mais augmente la taille du fichier. Choisissez cette méthode si le code SVG est destiné à être utilisé dans des transformations, par exemple, les transformations utilisant XSLT (Extensible Stylesheet Language Transformation). La méthode Références d’entités réduit les temps de rendu et permet d’obtenir un fichier SVG de taille réduite. La méthode Eléments de style est utilisée lors du partage de fichiers avec des documents HTML. Si vous sélectionnez Eléments de style, vous serez en mesure de modifier le fichier SVG afin de déplacer un élément de style dans un fichier de style externe qui est également référencé par un fichier HTML ; cependant, cette option a également pour effet de ralentir le rendu. Codage Choisissez une méthode dans le menu Codage pour déterminer la façon dont les caractères sont codés dans le fichier SVG. Le codage UTF (Unicode Transformation Format) est pris en charge par tous les processeurs XML. (UTF-8 est un format 8 bits et UTF-16 un format 16 bits.) Les codages ISO 8859-1 et UTF-16 ne conservent pas les métadonnées du fichier (voir la section « Ajout de métadonnées à des documents », page 49).
Après avoir optimisé une image, vous pouvez retourner au plan de travail sans perdre vos paramètres. Lorsque vous choisissez à nouveau la commande Enregistrer pour le Web, vous retrouvez les paramètres d’optimisation tels que vous les avez laissés. Vous pouvez également enregistrer des jeux de paramètres d’optimisation et appliquer ces paramètres à d’autres images. Les paramètres que vous enregistrez apparaissent dans le menu déroulant Paramètres de la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web, avec les paramètres nommés prédéfinis d’Illustrator. Si vous modifiez un jeu nommé ou prédéfini, le menu Paramètres indique « Sans nom ». Pour enregistrer les paramètres d’optimisation sélectionnés : Procédez de l’une des façons suivantes : •
Web, appuyez sur la touche Alt (Windows) ou Options (Mac OS), et cliquez sur Rappeler.
Appuyez sur la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS), puis cliquez sur Rétablir. Pour enregistrer un jeu nommé de paramètres d’optimisation : 1 Une fois que vous avez choisi les paramètres souhaités dans le volet Paramètres de la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web, choisissez Enregistrer les paramètres dans le menu du volet Paramètres.
3 Cliquez sur OK. Pour modifier un jeu enregistré de paramètres d’optimisation : 1 Choisissez le jeu nommé de paramètres dans le menu déroulant Paramètres. 2 Modifiez les paramètres d’optimisation comme vous le souhaitez. Le menu Paramètres affiche la mention « Sans nom » dans la mesure où les paramètres ne correspondent plus à un jeu existant. 3 Choisissez Enregistrer les paramètres dans le menu du volet Paramètres, et enregistrez les paramètres sous le nom du jeu d’origine. Pour supprimer des paramètres d’optimisation : 1 Choisissez un jeu nommé ou prédéfini de paramètres d’optimisation dans le menu déroulant Paramètres. 2 Choisissez Supprimer les paramètres dans le menu du panneau Paramètres.
Utilisez la palette Taille de l’image, dans la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web, pour changer les dimensions en pixels des images optimisées. Pour modifier les dimensions en pixels des images : 1 Cliquez sur l’onglet Taille de l’image dans la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web. 2 Pour conserver le rapport largeur/hauteur en pixels, sélectionnez l’option Conserver les proportions. 3 Utilisez l’une ou plusieurs des méthodes suivantes : •
Remarque : si vous sélectionnez l’option Ecrêter selon le plan de travail, toute illustration située en dehors du plan de travail est découpée de l’image. 6 Cliquez sur Appliquer.
1 Cliquez sur l’onglet Calques dans la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web. 2 Sélectionnez Exporter comme calques CSS. 3 Choisissez un calque dans le menu déroulant Calque, et définissez les options suivantes selon vos besoins : •
La diminution du nombre des couleurs utilisées dans une image est un élément clé de l’optimisation des images GIF et PNG-8. Une gamme réduite de couleurs préserve, dans la plupart des cas, la qualité de l’image tout en réduisant considérablement l’espace de fichier nécessaire pour le stockage de nombreuses couleurs.
Illustrator génère une table des couleurs pour les images GIF et PNG-8 en fonction des options de couleur que vous avez définies pour l’optimisation. Vous choisissez une méthode de génération de la table des couleurs dans le menu Algorithme de réduction de couleurs et vous indiquez le nombre de couleurs que doit contenir la table dans la zone de texte Couleurs (voir la section « Options d’optimisation pour les formats GIF et PNG-8 », page 336). Vous pouvez choisir l’une des méthodes de génération de table des couleurs suivantes : Perception Crée une table des couleurs personnalisée en donnant la priorité aux couleurs auxquelles notre œil est plus sensible. Sélective Crée une table des couleurs similaire à celle de l’option Perception, en privilégiant de larges zones de couleur et la préservation des couleurs Web. En général, cette table des couleurs restitue fidèlement les couleurs de l’image. Sélective est l’option par défaut. Adaptative Crée une table des couleurs personnalisée en échantillonnant les couleurs à partir du spectre apparaissant le plus souvent dans l’image. Par exemple, une image contenant uniquement du vert et du bleu produit une table des couleurs constituée principalement de verts et de bleus. La plupart des images concentrent des couleurs de zones spécifiques du spectre. Web Utilise la table 216 couleurs standard commune aux palettes 8 bits (256 couleurs) Windows et Mac OS. Cette option permet de s’assurer qu’aucune simulation des couleurs n’est appliquée lorsque l’image est affichée en couleurs 8 bits (cette palette est également appelée palette Web sécurisée).
La palette Table des couleurs de la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web permet de définir avec précision les couleurs utilisées dans les images GIF et PNG-8 optimisées. Vous disposez d’un maximum de 256 couleurs ; vous pouvez ajouter ou supprimer des couleurs de la table, remplacer des couleurs sélectionnées par des couleurs Web sécurisées et verrouiller des couleurs pour éviter qu’elles ne soient supprimées de la palette. Utilisation du menu de la palette Table des couleurs Cliquez sur le triangle dans l’angle supérieur droit de la palette Table des couleurs.
Table des couleurs. Vous avez la possibilité de trier les couleurs par teinte (affecte une valeur de teinte nulle (0) aux couleurs neutres et les répertorie avec les rouges), luminance (classe les couleurs selon leur luminosité ou leur intensité) ou popularité, afin de voir plus facilement la gamme de couleurs d’une image et de localiser des couleurs particulières. Ajout de nouvelles couleurs Sélectionnez l’outil Pipette et cliquez sur une couleur de l’image. (Vous pouvez également cliquer sur la case de sélection de couleur et utiliser la pipette pour sélectionner une couleur.) Cliquez ensuite sur le bouton Ajouter la couleur de la pipette , ou choisissez Nouvelle couleur dans le menu de la palette Table des couleurs. Un petit carré blanc avec un centre foncé apparaît dans l’angle inférieur droit de la vignette de la nouvelle couleur, pour indiquer qu’elle est verrouillée. Remarque : si la table des couleurs contient déjà le nombre maximal de couleurs (256 ou 255 avec la transparence), vous ne pouvez pas ajouter de nouvelles couleurs. Sélection de couleurs Pour sélectionner une couleur dans l’image, sélectionnez l’outil Pipette et cliquez sur une couleur de l’image. Une bordure blanche apparaît autour de la couleur dans la palette Table des couleurs. Pour sélectionner une couleur dans la palette Table des couleurs, cliquez sur cette couleur. Pour sélectionner un groupe contigu de couleurs, appuyez sur la touche Maj et cliquez sur une autre couleur. Toutes les couleurs situées entre la première couleur sélectionnée et la deuxième sont sélectionnées. Pour sélectionner un groupe de couleurs non contiguës, appuyez sur la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS), puis cliquez sur chaque couleur que vous voulez inclure dans la sélection. Le menu de la palette Table des couleurs propose également des commandes pour la sélection de couleurs. Remarque : la commande Sélectionner toutes les couleurs Web sécurisées n’est pas disponible si l’image optimisée ne contient pas de couleurs Web sécurisées ; inversement, la commande Sélectionner toutes les couleurs Web non sécurisées n’est pas disponible si l’image optimisée ne contient que des couleurs Web sécurisées.
Une fois que vous avez remplacé les couleurs, vous pouvez leur redonner leurs valeurs d’origine en utilisant les commandes du menu de la palette Table des couleurs. Choisissez Déplacement/Annulation du déplacement des couleurs sélectionnées Web ou Annuler le déplacement de toutes les couleurs. Vous pouvez également sélectionner une couleur déplacée dans la palette Web, puis cliquer sur le bouton Déplacement pour le Web pour retrouver la couleur originale. Pour définir une tolérance pour le déplacement des couleurs, indiquez une valeur dans la zone Aligner sur Web du volet Paramètres de la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web. Plus cette valeur est élevée, plus les couleurs modifiées sont nombreuses. Suppression de couleurs Cliquez sur le bouton Corbeille ou choisissez Supprimer la couleur dans le menu de la palette Table des couleurs. Lorsque vous supprimez une couleur, son équivalent le plus proche restant dans la palette est utilisé pour le rendu des zones de l’image optimisée qui contenaient précédemment cette couleur. Remarque : lorsque vous supprimez une couleur, le type de palette sélectionné devient automatiquement Personnalisé, afin d’éviter que cette couleur ne soit ajoutée de nouveau à la palette si vous réoptimisez l’image. Verrouillage et déverrouillage des couleurs Cliquez sur le bouton Verrouiller ou choisissez Verrouiller/ Déverrouiller les couleurs sélectionnées dans le menu de la palette Table des couleurs. Un petit carré blanc avec un centre rouge apparaît dans l’angle inférieur droit de la vignette de chaque couleur verrouillée. Le verrouillage des couleurs empêche leur abandon ou leur tramage en cas de réduction du nombre des couleurs de l’image. Pour déverrouiller toutes les couleurs, choisissez Déverrouiller toutes les couleurs dans le menu de la palette Table des couleurs. Enregistrement de tables des couleurs Choisissez Enregistrer la table des couleurs dans le menu de la palette Table des couleurs. Par défaut, l’extension .act (Adobe Color Table) est attribuée au nom de fichier de la table des couleurs. Chargement de tables des couleurs Choisissez Charger la table des couleurs dans le menu Palette des couleurs. Vous pouvez charger une table des couleurs à partir d’un fichier .act ou GIF (pour charger la table des couleurs incorporée de ce fichier). Lorsque vous chargez une nouvelle table des couleurs, les couleurs de l’image optimisée sont modifiées pour refléter la nouvelle table.
1 Sélectionnez la vue avec les paramètres d’optimisation voulus dans la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web et cliquez sur Enregistrer. 2 Entrez le nom du fichier et choisissez un emplacement pour l’enregistrement. 3 Choisissez un type de fichier pour la commande Enregistrer sous : •
5 Choisissez une option pour les tranches dans le menu déroulant : •
Cette boîte de dialogue contient quatre groupes d’options : HTML, Arrière-plan, Enregistrement des fichiers et Tranches. Vous pouvez enregistrer vos paramètres de sortie et les appliquer à d’autres fichiers.
Optimiser. Vous pouvez également cliquer sur Paramètres de sortie dans la boîte de dialogue Enregistrer une copie optimisée sous, lorsque vous enregistrez une image optimisée. Passage à un autre groupe d’options Choisissez un groupe d’options dans le menu situé sous le menu Paramètres ou cliquez sur Suivante pour afficher la fenêtre d’options suivante dans la liste ; cliquez sur Précédente pour afficher la fenêtre précédente. Enregistrement des paramètres de sortie Dans la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web, choisissez Modifier les paramètres de sortie dans le menu Optimiser. Définissez les options et cliquez sur Enregistrer. Tapez un nom pour le fichier, choisissez un emplacement pour son enregistrement et cliquez sur Enregistrer. Chargement des paramètres de sortie Dans la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web, choisissez Modifier les paramètres de sortie dans le menu Optimiser. Cliquez sur Charger, sélectionnez un fichier doté de l’extension *.iros et cliquez sur Ouvrir.
Casse des balises Définit l’utilisation des majuscules pour les balises. Casse des attributs Définit l’utilisation des majuscules pour les attributs. Utilisez des majuscules pour mieux faire ressortir le code dans le fichier. Retrait Sélectionnez une méthode de mise en retrait des lignes de code : utilisation des paramètres de l’application de création, utilisation d’un nombre d’espace spécifié ou aucune mise en retrait. Fins de ligne Définit une plate-forme pour la compatibilité de terminaison de ligne. Toujours mettre les attributs entre guillemets Met tous les attributs de balises entre guillemets. Vous devez placer des guillemets autour des attributs de balises pour la compatibilité avec certains navigateurs plus anciens et pour la conformité stricte avec le langage HTML. Toutefois, l’utilisation systématique des guillemets autour des attributs de balises n’est pas conseillée. Les guillemets sont utilisés lorsqu’ils sont nécessaires pour la compatibilité avec la plupart des navigateurs, même si cette option est désélectionnée. Commentaires inclus Ajoute des explications au code HTML. Code GoLive inclus Reformate le code dans le style utilisé par Adobe GoLive. Sélectionnez cette option si vous prévoyez d’optimiser à nouveau des tranches dans GoLive. Générer la CSS Génère une feuille de style en cascade au lieu d’une table HTML. Référence Indique la façon dont les positions des tranches sont référencées dans le fichier HTML lorsque vous utilisez une feuille de style en cascade : •
L&H TD Indique quand inclure les attributs de largeur et de hauteur des données de la table : Toujours, Jamais ou Auto (paramètre recommandé). Cellules d’espaceur Indique quand ajouter une rangée et une colonne de cellules d’espaceur vides autour de la table générée : Toujours, Jamais ou Auto (paramètre recommandé). L’ajout de cellules d’espaceur est nécessaire pour les tables dans lesquelles les limites de tranches ne sont pas alignées, afin d’éviter que la table ne se sépare dans certains navigateurs. Type d’image réactive Indique le type d’image réactive créée : •
(la balise <MAP>) dans le fichier HTML : •
Afficher sous Sélectionnez Image pour que la page Web affiche une image ou une couleur unie en arrière-plan de l’image en cours. Sélectionnez Arrière-plan pour que la page Web affiche l’image optimisée en mosaïque en arrière-plan. Image Indiquez l’emplacement d’un fichier image ou cliquez sur Sélectionner et sélectionnez une image. Le fichier indiqué apparaîtra en mosaïque derrière l’image optimisée sur la page Web. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Vous définissez les options suivantes pour l’enregistrement des fichiers : Dénomination de fichier Choisissez des éléments dans les menus déroulants ou entrez dans les zones les valeurs qui seront utilisées comme noms par défaut pour tous les fichiers. Les différents éléments sont le nom du document, le nom de la tranche, l’état de la transformation par souris, le nom du déclencheur, la date de création, le numéro de la tranche, la ponctuation et l’extension du fichier. Certaines options ne sont appropriées que si le fichier contient des tranches ou des états de transformation par souris. Les zones vous permettent de modifier l’ordre et le format des parties du nom du fichier (par exemple, en vous permettant d’indiquer l’état de transformation par souris par une abréviation plutôt que par le nom complet). Compatibilité des noms de fichier Sélectionnez une ou plusieurs options pour rendre un nom de fichier compatible avec les systèmes d’exploitation Windows (les noms de fichier longs sont autorisés), Macintosh et UNIX. Copier l’image de fond à l’enregistrement Préserve une image d’arrière-plan qui a été spécifiée dans le groupe des préférences d’arrière-plan. Dossier de destination Spécifie le nom du dossier d’enregistrement des images optimisées (disponible uniquement pour les documents contenant plusieurs tranches). Inclure le copyright Inclut les informations sur le copyright avec l’image (voir la section « Ajout de métadonnées à des documents », page 49).
Spécifiez le style de nom par défaut attribué aux tranches dans la section Tranches. Choisissez des éléments dans les menus déroulants ou entrez dans les zones les valeurs qui seront utilisées comme noms par défaut pour toutes les tranches. Les différents éléments sont le nom du document, le mot tranche, des chiffres ou des lettres désignant les tranches ou les états de transformation par souris, la date de création de la tranche, la ponctuation ou l’option Sans.
Lorsque vous enregistrez ou exportez une illustration, Illustrator consigne ses données dans un fichier. La structure de ces données est fonction du format de fichier sélectionné. Les quatre formats de fichiers élémentaires AI, PDF, EPS et SVG stockent les données vectorielles de telle sorte qu’elles peuvent être rouvertes et modifiées dans Illustrator. Il existe également plusieurs formats non natifs permettant d’exporter des données qui seront traitées ensuite dans une autre application. Les données d’un fichier non natif ne seront pas toutes récupérées une fois celui-ci rouvert dans Illustrator. Il est donc conseillé d’enregistrer l’illustration inachevée au format AI, PDF, EPS ou SVG, puis d’exporter l’illustration finalisée au format définitif. Vous disposez des méthodes suivantes pour enregistrer et exporter une illustration : •
EPS, SVG ou SVGZ actuel. S’il s’agit d’un premier enregistrement ou si l’illustration n’est pas un fichier au format AI, PDF, EPS ou SVG, la commande Enregistrer s’exécute comme la commande Enregistrer sous. Pour plus de détails sur des formats de fichiers spécifiques, voir la section « Formats de fichiers graphiques », page 359.
1 Enregistrez l’illustration, comme indiqué dans la section « Enregistrement et exportation d’illustrations », page 350. Choisissez le format de fichier Illustrator (AI). 2 Dans la boîte de dialogue Options du format natif Illustrator, sélectionnez la version d’Adobe Illustrator avec laquelle le fichier doit être compatible. N’oubliez pas que certaines fonctions, telles que les dégradés de couleurs, les calques et la transparence, ne sont pas nécessairement prises en charge par les versions antérieures du format de fichier Illustrator. 3 Définissez les options suivantes avant de cliquer sur OK : Créer un fichier compatible PDF Enregistre une représentation PDF du document dans le fichier Illustrator. Cette option rend le fichier Illustrator compatible avec d’autres applications Adobe (disponible uniquement avec le format Illustrator 10). Utiliser la compression Comprime les données PDF dans le fichier Illustrator. La compression ralentit l’enregistrement du document. Désactivez cette option si vos enregistrements sont très lents (de 8 à 15 minutes) (disponible uniquement avec le format Illustrator 10 lorsque l’option Créer un fichier compatible PDF est activée). Incorporer toutes les polices Incorpore toutes les polices utilisées dans l’illustration. Cette option permet d’afficher et d’imprimer le document avec ses polices d’origine, si elles ne figurent pas sur un système. Elle augmente néanmoins la taille du fichier enregistré. Jeu partiel des polices Définit le seuil d’incorporation des polices en fonction du coefficient des caractères réellement utilisés dans un document. Si, par exemple, une police se compose d’un millier de caractères mais que le document n’en utilise qu’une dizaine, vous pouvez juger que l’incorporation de la police ne justifie pas l’augmentation de la taille du fichier. Incorporer le profil ICC Crée un document auquel s’applique une gestion des couleurs (voir la section « Incorporation de profils dans des documents enregistrés », page 205). Inclure les fichiers liés Incorpore les fichiers liés à l’illustration. Utiliser le format de fichier japonais Enregistre l’illustration dans un fichier au format de langue japonaise compatible avec les versions 3, 4 ou 5 d’Illustrator. Cette option n’est pas disponible dans les versions ultérieures de l’application. Transparence Détermine l’effet de la sélection d’un format de fichier antérieur à la version 9.0 d’Illustrator sur les objets transparents. Sélectionnez Conserver les tracés pour annuler les attributs de transparence et rétablir une opacité de 100 % dans l’illustration. Sélectionnez Conserver l’aspect pour conserver l’aspect de transparence en fusionnant les zones transparentes de l’illustration. Si des portions complexes de l’illustration se superposent et que vous avez besoin d’une sortie haute résolution, cliquez sur Annuler pour définir des options de pixellisation avant de poursuivre (voir la section « Impression et enregistrement d’illustrations avec transparence », page 368).
1 Enregistrez l’illustration, comme indiqué dans la section « Enregistrement et exportation d’illustrations », page 350. Choisissez le format de fichier Illustrator EPS (EPS). 2 Sélectionnez la version d’Adobe Illustrator avec laquelle le fichier doit être compatible dans la boîte de dialogue Options de format EPS. Sélectionnez la version 9.0 ou une version ultérieure pour conserver la transparence, le texte et les tons directs intacts dans l’illustration si le fichier doit être importé dans une autre application (Adobe InDesign ou QuarkXPress, par exemple). Remarque : si vous sélectionnez la version 8.0 ou une version antérieure, le texte est vectorisé, les tons directs sont convertis en couleurs quadri, et la transparence est supprimée ou aplatie (selon l’option de transparence sélectionnée). 3 Définissez les options suivantes avant de cliquer sur OK : Aperçu Définit les propriétés de l’illustration prévisualisée enregistrée dans le fichier. L’aperçu s’affiche dans des applications incompatibles directement avec un graphique EPS. Si vous préférez vous dispenser d’un aperçu, choisissez Aucun dans le menu Format. Sinon, sélectionnez un format couleur ou noir et blanc. Si vous choisissez le format TIFF (couleur 8 bits), sélectionnez une option d’arrière-plan pour l’aperçu : Transparent pour obtenir un fond transparent ou Opaque pour obtenir un fond uni (recommandé si vous prévoyez d’utiliser le document EPS avec une application Microsoft Office). Inclure les fichiers liés Incorpore les fichiers liés à l’illustration. Inclure les vignettes du document Crée une imagette de l’illustration, affichée dans les boîtes de dialogue Ouvrir et Importer d’Illustrator. Inclure les polices du document Inclut toutes les polices utilisées dans l’illustration. Cette option permet ainsi d’afficher et d’imprimer le document avec ses polices d’origine, si elles ne figurent pas sur un système. Elle augmente néanmoins la taille du fichier enregistré. Il est impossible d’incorporer les polices japonaises protégées. Utiliser le format de fichier japonais Enregistre l’illustration dans un fichier au format de langue japonaise compatible avec les versions 3, 4 ou 5 d’Illustrator. Cette option n’est pas disponible dans les versions ultérieures de l’application. Postscript CMJN Permet d’imprimer les documents en mode RVB à partir d’applications qui ne prennent pas en charge ce mode de couleurs. Cette option garantit la restitution fidèle des couleurs RVB à l’ouverture du fichier EPS sous Illustrator. Postscript Détermine le niveau Postscript utilisé pour l’enregistrement de l’illustration (voir la section « Formats de fichiers graphiques », page 359).
Pour enregistrer une illustration au format Adobe PDF : 1 Enregistrez l’illustration, comme indiqué dans la section « Enregistrement et exportation d’illustrations », page 350. Choisissez le format de fichier Adobe PDF (PDF). 2 Choisissez un ensemble d’options dans la boîte de dialogue Options de format Adobe PDF : •
Il existe deux catégories d’options d’enregistrement des fichiers PDF : Général et Compression. L’ensemble d’options devient personnalisé selon les options sélectionnées. Pour définir les options générales : Choisissez Général dans le menu déroulant situé au-dessous du menu Ensemble d’options, puis activez les options de votre choix : Compatibilité Détermine la version d’Adobe Acrobat avec laquelle le fichier cible sera compatible. Le format Acrobat 5.0 conserve la transparence, le texte et les tons directs de l’illustration, même si ces données ne sont pas prises en charge par toutes les applications. Cochez la case Conserver les fonctions d’édition d’Illustrator si vous souhaitez rouvrir et modifier le fichier PDF dans Adobe Illustrator. Incorporer toutes les polices Inclut toutes les polices utilisées dans l’illustration. Cette option permet d’afficher et d’imprimer le document avec ses polices d’origine si elles ne figurent pas sur un système. Elle augmente néanmoins la taille du fichier enregistré. Remarque : il est impossible d’incorporer les polices japonaises protégées.
Pour définir les options de compression : 1 Choisissez Compression dans le menu déroulant situé au-dessous du menu Ensemble d’options. La boîte de dialogue se divise en trois panneaux, lesquels proposent des options de compression et de rééchantillonnage des images bitmap de l’illustration. 2 Définissez les options à votre convenance dans chacun des panneaux : Interpolation à Détermine le sous-échantillonnage de l’illustration, lequel diminue la résolution de l’image selon le nombre de pixels par pouce spécifié. Le souséchantillonnage est déconseillé si vous envisagez d’imprimer le fichier PDF à haute résolution. Si, en revanche, vous prévoyez de diffuser le fichier PDF sur le Web, il fournit une meilleure compression. Compression et Qualité Déterminent le mode et le niveau de compression utilisés. L’option Automatique permet de définir automatiquement les meilleures compression et qualité possibles pour l’illustration du fichier. Cette option fournit des résultats satisfaisants pour la plupart des fichiers. La compression Zip convient aux images qui présentent des zones étendues de couleurs unies ou des motifs récurrents, ainsi qu’aux images noir et blanc aux textures répétées. Les options de compression ZIP proposées par Illustrator sont de 4 et 8 bits. Si vous utilisez la compression ZIP 4 bits avec des images 4 bits ou la compression 8 bits avec des images 4 ou 8 bits, la méthode ZIP est dite sans perte de données, ce qui signifie qu’aucune donnée n’est supprimée pour réduire la taille du fichier ; la qualité de l’image est par conséquent préservée. En revanche, l’utilisation d’une compression ZIP 4 bits avec des données 8 bits risque de nuire à la qualité, en raison de la perte des données. La compression JPEG est adaptée aux images en niveaux de gris et en couleur. Il s’agit d’une compression avec perte de données, ce qui signifie qu’elle supprime des données de l’image et peut réduire sa qualité ; toutefois, elle vise à réduire la taille du fichier avec une perte minimale d’informations. En raison de la perte des données, cette méthode permet d’obtenir des fichiers beaucoup plus petits qu’avec la compression ZIP. Les modes de compression CCITT et RLE sont réservés aux images bitmap monochromes. CCITT (Consultative Committee on International Telegraphy and Telephony) est une méthode idéale pour les images noir et blanc, ainsi que les images numérisées avec une profondeur de 1 bit. Groupe 4 est une méthode générale qui produit une bonne compression pour la plupart des images monochromes. Groupe 3, utilisé par la plupart des télécopieurs, comprime les images bitmap monochromes une rangée à la fois. RLE produit les meilleurs résultats avec les images qui contiennent de larges zones de noir et de blanc absolus.
(voir la section « Création de graphiques Web avec SVG », page 327). Il se décline en deux versions : SVG et SVG compressé (SVGZ). Le format SVGZ présente l’avantage de réduire de 50 à 80 % la taille des fichiers, mais aussi l’inconvénient de ne pas être modifiable dans un éditeur de texte. L’exportation des illustrations au format SVG a pour effet de pixelliser leurs objets de filet. De plus, les images de l’illustration sans couche alpha sont converties au format JPEG, et les images contenant une couche alpha le sont au format PNG. Pour enregistrer une illustration au format SVG : 1 Si l’illustration contient des objets auxquels sont appliqués des effets de filtre SVG, sélectionnez chacun de ces objets, puis déplacez leur effet de filtre respectif au bas de la palette Aspect, au-dessus de l’entrée Transparence (voir la section « Ajout d’effets de filtre SVG à une illustration », page 328). 2 Enregistrez l’illustration, comme indiqué dans la section « Enregistrement et exportation d’illustrations », page 350. Choisissez le format de fichier SVG (SVG) ou SVG compressé (SVGZ). 3 Définissez les options de la boîte de dialogue Options SVG à votre convenance : •
Glyphes utilisés + Anglais standard, Romain standard, Glyphes utilisés + Romain standard, Tous les glyphes) sont utiles pour les textes dynamiques (créés sur serveur ou faisant intervenir l’utilisateur) d’un fichier SVG. La méthode Attributs de style produit les fichiers les plus lisibles mais augmente la taille du fichier. Optez pour ce mode s’il est prévu d’utiliser le code SVG pour des transformations, notamment les transformations avec XSLT (Extensible Stylesheet Language Transformation). La méthode Attributs de style <références d’entités> résulte en des temps de rendu plus rapides et permet d’obtenir un fichier SVG de taille réduite. La méthode Eléments de style est utilisée lors du partage de fichiers avec des documents HTML. Si vous sélectionnez Eléments de style, vous serez en mesure de modifier le fichier SVG afin de déplacer un élément de style dans un fichier de feuille de style externe, lui-même référencé par un fichier HTML. Cette option a néanmoins pour effet de ralentir le rendu. Positions décimales Définit la précision des données vectorielles dans le fichier SVG. Vous pouvez définir une valeur de 1 à 7 décimales. Les valeurs élevées produisent des fichiers plus volumineux et une meilleure qualité d’image. Codage Détermine le procédé de codage des caractères dans le fichier SVG. Le codage UTF (Unicode Transformation Format) est pris en charge par tous les processeurs XML. UTF-8 est un format 8 bits, et UTF-16 un format 16 bits. Les codages ISO 8859-1 et UTF-16 ne conservent pas les métadonnées du fichier (voir la section « Ajout de métadonnées à des documents », page 49). Optimiser pour l’afficheur SVG Adobe Conserve les données Illustrator à leur meilleur niveau de qualité, tout en permettant de modifier manuellement le fichier SVG. Activez cette option pour bénéficier des meilleurs temps de rendu avec les effets de filtre SVG, notamment. Inclure la syntaxe étendue pour les données variables Intègre toutes les informations nécessaires pour la substitution des variables du fichier SVG (voir la section « Enregistrement de modèles », page 317). Inclure les données sur le découpage en tranches Inclut la position des tranches et les paramètres d’optimisation. Inclure les informations sur le fichier Inclut les métadonnées de fichier dans l’illustration SVG. Cette option est disponible uniquement en association avec le codage UTF-8 (voir la section « Ajout de métadonnées à des documents », page 49).
L’exportation au format Photoshop a pour caractéristique de conserver les calques, masques, formes composées, tranches et images réactives, ainsi que la transparence et le texte modifiable. Le partage d’une illustration entre Illustrator et Photoshop en est simplifié.
1 Exportez l’illustration, comme indiqué dans la section « Enregistrement et exportation d’illustrations », page 350. Choisissez le format de fichier Photoshop (PSD). 2 Dans la boîte de dialogue Options Photoshop, définissez les paramètres d’exportation avant de cliquer sur OK : Modèle colorimétrique Détermine le modèle de couleurs du fichier exporté (voir la section « Modes de couleur et modèles colorimétriques », page 166). Remarque : l’aspect des zones transparentes peut subir des variations imprévues, particulièrement les portions associées à des modes de fusion, lors de l’exportation d’un document CMJN en mode RVB, ou inversement. Résolution Détermine la résolution du fichier exporté (voir la section « Résolution des images bitmap », page 27). Lissage Supprime les bords crénelés de l’illustration par suréchantillonnage. Si vous désélectionnez cette option, les arêtes marquées sont conservées dans les dessins au trait lorsqu’ils sont pixellisés. Ecriture de calques Exporte individuellement les calques Illustrator de niveau supérieur vers un calque Photoshop distinct, dès lors que l’aspect de l’illustration n’en pâtit pas. Les calques imbriqués sont fusionnés avec le calque supérieur lors de l’exportation, à moins que l’option Ecriture des calques imbriqués ne soit également activée. Si l’option Ecriture de calques est désélectionnée, tous les calques sont fusionnés en un seul calque Photoshop. Remarque : si un mode de fusion autre que Normal est appliqué aux objets d’un calque, il est possible que le calque ne puisse pas être exporté. Pour contourner ce problème, isolez les modes de fusion (voir la section « Isolement des modes de fusion », page 217). Si vous n’obtenez toujours pas le résultat escompté, essayez d’appliquer le mode de fusion au calque plutôt qu’aux objets individuels. Ecriture des calques imbriqués Ecrit individuellement les sous-calques de niveau supérieur vers un calque Photoshop distinct, dès lors que l’aspect de l’illustration n’en pâtit pas. Les calques supérieurs sont convertis en ensembles de calques Photoshop. Cette option est disponible uniquement en association avec l’option Ecriture de calques. Si le nombre de calques Photoshop s’élève à plus de 100, un message d’avertissement vous informe que Photoshop 5.5 et version antérieure ne pourra pas ouvrir le document. Ecrire les formes composées Crée un calque de forme Photoshop pour chacune des formes composées d’un calque supérieur, dès lors que l’aspect de l’illustration n’en pâtit pas. Pour inscrire les formes composées aux contours unis, spécifiez un sommet en arrondi (voir la section « Utilisation de la palette Contour », page 174). Remarque : Illustrator n’exporte pas les formes composées assorties de styles, de contours en pointillés et de formes.
Ecrire les tranches Exporte les tranches de l’illustration sous forme de tranches Photoshop, dès lors que l’aspect de l’illustration n’en pâtit pas. Ecrire les images réactives Exporte les images réactives de l’illustration sous forme de cartes-images Photoshop, dès lors que l’aspect de l’illustration n’en pâtit pas. Incorporer le profil ICC Crée un document auquel s’applique une gestion des couleurs (voir la section « Incorporation de profils dans des documents enregistrés », page 205).
Pour exporter une illustration au format SWF : 1 Exportez l’illustration, comme indiqué dans la section « Enregistrement et exportation d’illustrations », page 350. Choisissez le format de fichier Macromedia Flash (SWF). 2 Choisissez une option dans le menu déroulant Exporter sous de la boîte de dialogue Options de format Macromedia Flash (SWF) : •
Boucle Définit une lecture continue de l’animation, c’est-à-dire sans interruption en fin de première lecture dans un afficheur Macromedia Flash (option disponible uniquement en association avec l’option Calques AI en images SWF). Générer le code HTML Produit le code HTML pour le fichier SWF, y compris sa largeur et sa hauteur. Grâce à ce code, vous pouvez facilement intégrer le fichier SWF dans une page Web. Le fichier HTML est enregistré dans le même emplacement que le fichier SWF. Lecture seule Empêche les utilisateurs de modifier le fichier SWF exporté.
Qualité JPEG Définit le niveau de détail de l’image exportée. Plus la qualité est élevée, plus le fichier est volumineux. Cette option est disponible uniquement en association avec le mode de compression Avec perte de données. Mode Détermine le type de compression JPEG utilisé. L’option Ligne de base (standard) applique un type de compression classique, tandis que l’option Ligne de base optimisée applique une optimisation supplémentaire. Ces options sont disponibles uniquement en association avec le mode de compression Avec perte de données. Résolution Règle la résolution d’écran des images bitmap. Pour les fichiers SWF exportés, vous pouvez définir une résolution comprise entre 72 et 2400 pixels par pouce (ppp). Plus la résolution est élevée, meilleure est la qualité graphique et plus le fichier est volumineux.
Adobe Illustrator est capable d’importer et d’exporter des fichiers dans un grand nombre de formats répandus. Les formats de fichiers graphiques se caractérisent par leur mode de représentation des données graphiques : vectoriel ou bitmap. Certains formats graphiques ne gèrent que l’un ou l’autre, mais bon nombre peuvent combiner les deux dans un même fichier. Formats AutoCAD Drawing (DWG) et AutoCAD Interchange File (DXF) Le format DWG, communément utilisé pour l’enregistrement des graphiques vectoriels créés dans AutoCAD est un format d’échange graphique pour l’exportation de dessins AutoCAD ou l’importation de dessins vers et à partir d’autres applications. Il s’agit d’une représentation de données référencée de toutes les informations regroupées dans un fichier de dessin AutoCAD. Remarque : par défaut, les contours ou les fonds blancs des graphiques Illustrator sont convertis lors de l’exportation aux formats DWG et DXF en contours et fonds noirs. Format Bitmap (BMP) Le format BMP n’est autre que le format d’image bitmap Windows communément utilisé sur les ordinateurs compatibles Windows. Lors de l’enregistrement d’une image sous ce format, vous pouvez spécifier un format Microsoft Windows ou OS/2 ®, à condition de respecter une profondeur de 24 bits par pixel.
Toutes les applications produisant des fichiers EPS ne génèrent pas nécessairement d’aperçu. Lorsque vous importez un fichier EPS sans aperçu, Illustrator remplace l’image EPS par un cadre marqué d’un « X ». Pour plus de détails sur l’importation et l’exportation de fichiers EPS avec Illustrator, voir les sections « Ouverture et importation d’illustrations », page 35 et « Gestion des images liées et incorporées », page 40. Format Enhanced Meta File (EMF) Le format EMF est largement utilisé par les applications Windows comme format intermédiaire pour l’échange de données graphiques vectorielles. Illustrator est susceptible de pixelliser certaines données vectorielles lors de l’exportation d’une illustration au format EMF. Format Filmstrip (FLM) Le format Filmstrip (FLM) est un format de retouche d’images utilisé principalement par les applications Adobe Premiere et Adobe Photoshop. Il répartit les images sur une longue bande verticale contenant des images numérotées ainsi que du code temporel SMPTE (Society of Motion Picture and Television Engineers). Format Macromedia Flash (SWF) Le format Macromedia Flash est une déclinaison du format graphique vectoriel Macromedia Flash Player conçu pour les graphiques Web animés interactifs. Vous pouvez exporter des illustrations au format Macromedia Flash pour les intégrer à des images sur le Web et afficher vos illustrations dans tout navigateur équipé du logiciel Macromedia Flash Player. Format GIF Le format Graphics Interchange Format (GIF) est le format de référence pour l’affichage des graphiques et images avec couleurs indexées sur le Web. Il utilise la méthode de compression LZW mise au point pour minimiser la taille des fichiers ainsi que la durée des transferts électroniques. Il prend en charge la transparence binaire en acceptant la transparence totale de l’une des couleurs indexées. En revanche, il ne reconnaît pas l’opacité partielle qui caractérise une couche alpha.
Une image JPEG est automatiquement décompressée à l’ouverture. Plus le niveau de compression est élevé, plus la qualité de l’image est médiocre, et inversement. Dans la majorité des cas, une qualité maximale produit un résultat imperceptible par rapport à l’original. Format PCX Le format PCX, élaboré par Z-Soft® pour son logiciel PC Paintbrush®, est généralement utilisé sur les ordinateurs compatibles IBM, dans sa version 5 principalement. Les fichiers PCX de la version 3 ne prennent pas en charge les palettes de couleurs personnalisées. Pour cette raison, lors de l’ouverture d’un fichier PCX de version 3, la palette est ignorée et remplacée par une palette de couleurs standard VGA. Format Portable Document Format (PDF) Le format PDF est le format officiel d’Adobe Acrobat, logiciel de publication électronique d’Adobe pour Mac OS, Windows, UNIX et DOS. Vous pouvez lire les fichiers PDF à l’aide du logiciel Acrobat Reader® fourni sur le CD Adobe Illustrator. Le format PDF est capable de représenter à la fois des graphiques vectoriels et bitmap. Il est également compatible avec des fonctions de recherche et de consultation électronique de documents. Les fichiers PDF peuvent comporter, par exemple, des liens hypertexte et une table des matières électronique. Les fichiers PDF étant compatibles avec Illustrator, vous pouvez importer les images bitmap ou vectorielles de ces fichiers dans un document Illustrator. Format Macintosh PICT (PIC) Le format PICT est largement utilisé par les logiciels d’illustration et de mise en page pour Macintosh comme format intermédiaire pour le transfert de fichiers entre deux applications. Il est particulièrement adapté à la compression d’images contenant d’importantes zones de couleurs en aplat. Format PNG Mis au point comme variante non brevetée du format GIF, le format PNG (Portable Network Graphics) est utilisé pour la compression sans perte de données et l’affichage des images sur le Web. A la différence du format GIF, le format PNG prend en charge les images 24 bits et produit des arrière-plans transparents sans bords crénelés. Certains navigateurs Web sont toutefois incompatibles avec les images PNG.
également les couleurs par le biais d’extensions intégrées par la suite au langage PostScript Niveau 2). La version PostScript Niveau 3 enrichit les fonctionnalités décrites précédemment d’une fonction d’impression des objets de filet sur une imprimante PostScript® 3™. Etant donné que les imprimantes PostScript Niveaux 1 et 2 convertissent les objets de filet en images bitmap, l’impression des illustrations dotées de tels objets en Niveau 3 est recommandée. Remarque : PostScript Niveau 1 n’est pris en charge ni pour l’exportation au format EPS, ni pour l’impression dans la version actuelle d’Illustrator. L’exportation Postscript Niveau 1 est toutefois prise en charge pour les formats EPS Illustrator 8.0 ou versions antérieures. Format PIXAR (PXR) Le format PIXAR se destine spécifiquement aux applications graphiques haut de gamme, comme celles utilisées pour la restitution d’images tridimensionnelles et d’animations. Formats Scalable Vector Graphics (SVG) et Scalable Vector Graphics Compressed (SVGZ) Les formats SVG constituent la spécification du W3C (World Wide Web Consortium) d’un langage dédié aux graphiques vectoriels bidimensionnels standard pour le Web. La version SVG s’intègre harmonieusement aux langages HTML et JavaScript, permettant ainsi aux développeurs de sites Web de donner libre cours à leur créativité pour la conception de sites Web interactifs et dynamiques (voir la section « A propos de SVG », page 327). La version SVGZ, quant à elle, permet de réduire la taille des fichiers de 50 à 80 %. S’agissant d’un format binaire, un éditeur de texte ne vous sera d’aucune aide pour l’édition des fichiers SVGZ. Remarque : le module externe SVG est généralement installé avec Illustrator. Si vous devez vous procurer ce module séparément, téléchargez-le à partir de la section consacrée au format SVG du site Web www.adobe.com. Format Targa (TGA) Le format TGA s’adresse aux systèmes équipés de la carte vidéo Truevision®. Si vous enregistrez vos illustrations dans ce format, vous pouvez préciser la résolution et la profondeur de couleur qui vous convient.
Lorsque vous exportez des illustrations Illustrator au format TIFF, vous pouvez choisir les modèles colorimétriques RVB, CMJN ou Niveaux de gris et définir la résolution de l’image. Pour compresser automatiquement l’image, cliquez sur l’option Compression LZW. Format Métafichier Windows (WMF) Le format WMF est un format intermédiaire d’échange pour les applications Windows 16 bits. Il est pris en charge par la majorité des programmes de dessin et de mise en page pour Windows. Sa compatibilité avec les graphiques vectoriels étant limitée, préférez lui le format EMF autant que possible.
Types d’images Les documents les plus simples, les pages de texte par exemple, n’utilisent qu’une seule couleur en un seul ton de gris. Les documents plus complexes présentent des variations de teintes. Il s’agit alors d’images à tons continus. Une photographie numérisée est un exemple d’image à tons continus. Simili Pour simuler des tons continus, l’image est décomposée en points. Ce processus s’appelle le simili. La variation de la taille et de la densité des points d’une trame de simili donne l’illusion optique de différents niveaux de gris ou tons continus dans l’image. Séparation des couleurs Les illustrations destinées à la diffusion commerciale et contenant plusieurs couleurs doivent être imprimées sur des plaques distinctes, une pour chaque couleur. Ce processus s’appelle la séparation des couleurs. Précision du détail Le détail d’une image imprimée est le fruit d’un équilibre entre la résolution et la linéature. La linéature est d’autant plus fine (plus élevée) que la résolution du périphérique de sortie est élevée (voir la section « Choix de la linéature de trame de demi-teintes », page 393). Transparence Si l’illustration contient des effets de transparence, elle sera aplatie selon les paramètres définis dans la boîte de dialogue Format de document. Utilisez le curseur Qualité/Vitesse pour modifier le taux d’images pixellisées par rapport aux images vectorielles dans l’illustration imprimée (voir la section « Impression et enregistrement d’illustrations avec transparence », page 368).
Quel que soit le type de l’illustration imprimée, Adobe Illustrator vous donne le choix entre différentes options d’impression standard, présentées dans la boîte de dialogue Format d’impression > Propriétés (Windows) ou Format de page (Mac OS). Vous pouvez ensuite lancer l’impression dans la boîte de dialogue Imprimer. Si vous effectuez des séparations de couleurs, vous pouvez imprimer une épreuve composite en couleurs ou en niveaux de gris pour vérifier votre travail. Une image composite permet de concevoir l’illustration finale et de vérifier le paramétrage des films de séparation avant leur impression finale, généralement coûteuse. Lorsque vous imprimez une image composite depuis Illustrator, toutes les couleurs du fichier sont reproduites sur une plaque.
2 Procédez de l’une des façons suivantes : • Propriétés, et cliquez sur OK.
Plan de travail de la boîte de dialogue Format de document. Si vous avez sélectionné l’option Pleine page, une seule page est imprimée. Si vous avez sélectionné une autre option d’affichage (Pages juxtaposées, par exemple), vous pouvez choisir d’imprimer une page donnée ou une série de pages en spécifiant le numéro de la première et de la dernière page à imprimer dans les cases De et A. 2 Indiquez les pages que vous souhaitez imprimer. 3 Choisissez parmi les options suivantes de la boîte de dialogue Imprimer (Windows) ou choisissez Adobe Illustrator 10 dans le menu déroulant (Mac OS), et définissez les options d’impression avancées ci-après : •
PostScript Niveau 2 ou 3, vous pouvez choisir l’une de ces options. Elles vous permettent d’optimiser l’impression d’objets de filet et d’illustrations complexes (voir la section « Impression d’objets de filet », page 374).
4 Cliquez sur OK (Windows) ou Imprimer (Mac OS). Par défaut, Adobe Illustrator imprime tous les calques visibles. Pour imprimer un calque précis, voir la section « Définition des illustrations comme non imprimables », page 247. Important : Adobe Illustrator ne gère pas le format PDF Writer. Si vous tentez d’imprimer dans ce format, des retards ou des erreurs d’impression peuvent se produire.
Lorsque vous imprimez un document RVB ou CMJN avec gestion des couleurs, vous pouvez spécifier des options supplémentaires pour faire en sorte que les couleurs soient correctes à l’impression. Supposons, par exemple, que votre document contienne un profil adapté à un travail de prépresse et que vous vouliez contrôler les couleurs du document sur une imprimante de bureau. La boîte de dialogue Imprimer vous permet de convertir les couleurs du document en fonction de l’espace colorimétrique de l’imprimante de bureau. Le profil de l’imprimante est alors utilisé à la place du profil du document sélectionné lors de l’impression. Etant donné le grand nombre de profils RVB disponibles dans la boîte de dialogue Imprimer, vous pouvez envoyer des données chromatiques sous forme de valeurs RVB à des imprimantes.
Pour plus de détails sur les profils et la gestion des couleurs, voir la section « A propos de la gestion des couleurs », page 191. Pour gérer les couleurs d’un document lors de son impression : 1 Choisissez Fichier > Imprimer. 2 Dans la zone Espace d’impression, choisissez une option de profil. •
Les traits de coupe sont des repères utilisés pour le rognage de l’illustration effectué après l’impression. Vous pouvez les placer directement sur l’illustration à l’aide de la commande Objet > Traits de coupe > Créer. Si vous sélectionnez l’option Traits de coupe japonais dans le volet des préférences générales, tout trait de coupe créé dans votre fichier apparaîtra sous forme de traits de coupe de style japonais. Vous pouvez toutefois vous servir des traits de coupe, également appelés repères de coupe, pour créer plusieurs marques dans votre illustration. Le filtre Traits de coupe crée des traits de coupe en fonction d’un rectangle imaginaire tracé autour de la surface imprimable d’un objet. Les traits de coupe ainsi créés ne sont pas reconnus comme des objets spéciaux par Illustrator lors de la création de séparations de couleur. En conséquence, ils n’affectent pas la zone imprimable autour de l’illustration. Les traits de coupe sont donc utiles pour créer plusieurs jeux de repères autour des objets d’une page, par exemple lors de la création de cartes de visite. Pour placer des traits de coupe directement dans une illustration : 1 Dessinez un rectangle pour délimiter le périmètre d’affichage des traits de coupe (que ce rectangle soit doté d’un fond ou d’un contour n’a pas d’importance). Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Annuler, en remodelant le rectangle de sélection, puis en recréant les traits de coupe à l’aide de la commande Objet > Traits de coupe > Créer. Vous pouvez également les supprimer en choisissant la commande Objet > Traits de coupe > Annuler. Vous pouvez utiliser la commande Créer des traits de coupe sans avoir à créer et à sélectionner au préalable un rectangle pour définir les limites des traits de coupe. Les traits de coupe se placent alors dans les angles extérieurs du document. Si vous envisagez de procéder à la séparation des couleurs d’un fichier Illustrator, vous devez d’abord définir les traits de coupe dans l’illustration. Dans le cas contraire, Illustrator génère des traits de coupe par défaut autour des cadres de sélection de tous les objets de l’illustration. Pour plus de détails sur la création de traits de coupe dans les séparations de couleur, voir la section « Etape 4 : emplacement du cadre de l’illustration et création des traits de coupe », page 389. Pour supprimer des traits de coupe : Choisissez Objet > Traits de coupe > Annuler. Le rectangle d’origine réapparaît pour définir la zone délimitant l’illustration. Il peut alors être supprimé ou déplacé. Pour spécifier des traits de coupe japonais : 1 Choisissez Edition > Préférences > Générales (Windows et Mac OS 9) ou Illustrator > Préférences > Générales (Mac OS X). 2 Sélectionnez Traits de coupe japonais, puis cliquez sur OK. Pour créer des traits de coupe autour d’un objet : Sélectionnez l’objet et choisissez Filtre > Création > Traits de coupe. Les traits de coupe créés à l’aide du filtre Traits de coupe ne remplacent pas ceux créés à partir de la boîte de dialogue Séparations ou à l’aide de la commande Objet > Traits de coupe > Créer.
Si l’illustration contient des effets de transparence, Illustrator procède à ce que l’on appelle un aplatissement avant d’imprimer ou d’enregistrer l’illustration. Pendant l’aplatissement, Illustrator recherche les zones où des objets transparents chevauchent d’autres objets et isole ces zones en divisant l’illustration en composants. Illustrator analyse ensuite chaque composant, afin de déterminer si l’illustration peut être représentée avec des données vectorielles ou si elle doit être pixellisée.
« Définition des paramètres d’effets de pixellisation », page 261). Pour de plus amples informations sur la transparence, l’aplatissement et la sortie haute résolution, visiter le site www.adobe.com.
La résolution de sortie détermine la flèche de la courbe : plus la résolution est basse, plus la flèche est élevée et moins il y a de segments de droite. La courbe est moins précise, mais l’impression est plus performante. Adobe Illustrator offre une impression plus rapide et de meilleure qualité en utilisant une résolution de sortie par défaut de 800 points par pouce (ppp). Toutefois, dans certains cas, il est préférable de réduire la résolution de sortie, par exemple si vous dessinez un tracé de courbe très long qui ne peut pas être imprimé en raison d’une erreur de contrôle de vraisemblance, si l’impression est lente ou si des objets ne s’impriment pas à une résolution adéquate. Pour éviter l’erreur de dépassement de la capacité ou la corriger, vous pouvez morceler les tracés longs (voir la section « Division de tracés pour l’impression de larges formes complexes », page 374) ou diminuer la résolution de sortie du document. Pour modifier la résolution de sortie : 1 Choisissez Fichier > Format de document et choisissez Impression et exportation dans le menu déroulant situé dans la partie supérieure de la boîte de dialogue. 2 Entrez une valeur dans la zone de texte Résolution de sortie. Les valeurs recommandées se situent entre 100 et 300 ppp pour une impression à 300 ppp, et entre 800 et 2 400 ppp pour une impression à 2 400 ppp. Les valeurs limites sont 100 et 9 600 ppp. 3 Cliquez sur OK.
Les fichiers comportant des dégradés de couleurs, des objets de filet de dégradé ou des dégradés de formes présentent parfois des anomalies à l’impression (effets de bandes discontinues) ou ne s’impriment pas du tout. Il existe des moyens pour améliorer les résultats à l’impression. Vous pouvez notamment améliorer la façon dont les transparences sont imprimées. Pour cela, suivez les conseils suivants : •
50 % entre deux composantes ou plus, de couleurs quadrichromiques.
Le tableau ci-dessous répertorie les linéatures maximales utilisables pour conserver les 256 niveaux de gris : Résolution de la photocomposeuse finale
Ces valeurs sont calculées en partant du principe que vous imprimez le fichier avec une linéature et une résolution capables de produire 256 niveaux de gris. Pour déterminer la longueur maximale du dégradé en se basant sur les changements de couleur : 1 Sélectionnez l’outil Mesure dégradé.
3 Calculez le nombre d’étapes du dégradé au moyen de la formule suivante : Nombre d’étapes = 256 (nombre de gris) X Pourcentage de modification de la couleur Pour calculer le pourcentage de modification de la couleur, soustrayez la valeur chromatique la plus basse de la valeur la plus élevée. Par exemple, un dégradé compris entre 20 et 100 % de noir présente une modification de couleur égale à 80 %, soit 0,8. Dans le cas d’un dégradé de couleurs quadrichromiques, utilisez le pourcentage de modification le plus élevé possible. Par exemple, un dégradé de 20 % de cyan, 30 % de magenta, 80 % de jaune et 60 % de noir aboutissant à 20 % de cyan, 90 % de magenta, 70 % de jaune et 40 % de noir subit une modification de couleur de 60 %, la modification la plus élevée étant le magenta (de 30 à 90 %). 4 A partir du nombre de couleurs intermédiaires calculé à l’étape 3, comparez la longueur du dégradé aux valeurs indiquées dans le tableau. Si elle est supérieure, réduisez la longueur ou modifiez les couleurs. Nombre d’étapes recommandé par Adobe Illustrator
Points Important : réservez cette option aux fichiers contenant des dégradés ou des filets de dégradé, et destinés à des périphériques ne gérant pas correctement les dégradés. En effet, elle risque de ralentir l’impression sur les autres imprimantes. Pour améliorer l’impression des dégradés : 1 Choisissez Fichier > Format de document. Choisissez Impression et exportation dans le menu déroulant situé dans l’angle supérieur gauche de la boîte de dialogue Format de document. 2 Sélectionnez l’option Impression des dégradés et filets de dégradé. Cliquez sur OK.
« Impression et enregistrement d’illustrations avec transparence », page 368). Remarque : même si vous imprimez sur une imprimante Niveau 3, l’impression peut être retardée si le champ PostScript de la boîte de dialogue d’impression a pour valeur Niveau 2. De fait, si vous comptez travailler exclusivement avec ce type d’imprimante, il est conseillé d’affecter le niveau 3 au champ PostScript pour optimiser la vitesse d’impression.
Lorsque vous appliquez un fond dégradé à un objet, Illustrator utilise la trame par défaut de l’imprimante. Si vous désactivez la trame par défaut de l’imprimante dans le volet Impression et exportation de la boîte de dialogue Format de document, Illustrator utilise les trames Adobe pour améliorer l’impression des dégradés de couleurs sur les imprimantes basse résolution (600 ppp et moins) qui prennent en charge moins de 256 niveaux de gris. Sur certaines imprimantes basse résolution, la désactivation de cette option permet d’améliorer la qualité d’impression des dégradés, des filets de dégradé et des images pixellisées. Remarque : ne désactivez pas l’option Trame par défaut de l’imprimante si vous voulez utiliser un fichier Annexe EPSF. Pour désactiver la trame par défaut de l’imprimante sur les imprimantes basse résolution : 1 Choisissez Fichier > Format de document. Choisissez Impression et exportation dans le menu déroulant situé dans l’angle supérieur gauche de la boîte de dialogue Format de document. 2 Désélectionnez l’option Trame par défaut de l’imprimante, et cliquez sur OK.
Si vous tentez d’imprimer des fichiers Adobe Illustrator contenant des tracés trop longs ou trop complexes, ces fichiers risquent de ne pas s’imprimer ou vous recevrez des messages d’erreur de dépassement de capacité émis par l’imprimante. Pour simplifier les tracés, vous pouvez les diviser en deux segments ou plus, au moyen de l’option Morceler les tracés longs du volet Impression et exportation de la boîte de dialogue Format de document.
Observez les conseils suivants lors de l’utilisation de la commande Morceler les tracés longs : •
Pour scinder un tracé doté d’attributs de contour : Scindez le tracé à l’aide de l’outil Ciseaux. Pour scinder un tracé transparent : 1 Choisissez Objet > Tracé transparent > Annuler pour supprimer le tracé transparent. 2 Scindez le tracé en plusieurs segments à l’aide de l’outil Ciseaux. 3 Redéfinissez chaque élément en tant que tracé transparent. Pour scinder un masque : 1 Choisissez Objet > Masque d’écrêtage > Annuler pour supprimer le masque. 2 Scindez le tracé en plusieurs segments à l’aide de l’outil Ciseaux. 3 Redéfinissez chaque élément en tant que masque. Pour joindre les segments d’un tracé morcelé : 1 Supprimez les lignes transversales créées par l’option Morceler les tracés longs, en les sélectionnant et en appuyant sur la touche Suppr. 2 Sélectionnez tous les tracés morcelés composant l’objet d’origine. 3 Choisissez Fenêtre > Pathfinder, et cliquez sur le bouton Ajout à la forme dans la palette Pathfinder. Le tracé est reconstitué, et des points d’ancrage sont placés aux points de jonction des segments.
Pour utiliser le module externe Annexe EPSF : 1 Placez le module Annexe EPSF, qui se trouve dans le sous-dossier Riders du dossier Utilitaires, dans le dossier Modules externes. 2 Une fois le module déplacé, quittez Illustrator, et relancez l’application. L’application prend alors en compte le module externe. Une fois ces opérations effectuées et le fichier Annexe EPSF créé, tous les fichiers enregistrés ou imprimés dans Illustrator sont affectés. Pour supprimer les données Annexe EPSF de vos fichiers, vous pouvez soit supprimer le fichier Annexe EPSF Adobe Illustrator, soit l’extraire du dossier Modules externes, puis enregistrer de nouveau tous les fichiers qui contiennent les informations d’annexe incorporées. Pour créer un fichier Annexe EPSF : 1 Choisissez Filtre > Autre > Créer une annexe personnalisée. Remarque : si vous n’avez pas déplacé le module Annexe EPSF dans le dossier Modules externes, la catégorie Autre n’apparaît pas dans le menu Filtre. Suivez, s’il y a lieu, les instructions données à la section précédente pour placer ce module dans le dossier approprié. 2 Choisissez parmi les options suivantes : •
L’importation d’une fonction de point incorrectement formatée risque de créer un fichier impossible à imprimer. Voir le fichier Modèle de fonction de point du dossier Utilitaires/ Riders. Remarque : la valeur de la flèche du fichier d’annexe remplace la valeur de résolution de sortie. Elle n’est donc pas recommandée dans la plupart des cas (voir la section « Modification de la résolution de sortie du tracé », page 370). •
Illustrator est sélectionné par défaut). Sinon, Illustrator ignore ce fichier. 4 Enregistrez le fichier Annexe EPSF dans le dossier Modules externes. Pour supprimer le fichier Annexe : 1 Choisissez Filtre > Autre > Supprimer l’annexe. 2 Sélectionnez le fichier Annexe EPSF Adobe Illustrator. 3 Cliquez sur Supprimer. Pour déplacer un fichier Annexe : 1 Recherchez le fichier Annexe EPSF dans le dossier Modules externes. 2 Placez-le dans n’importe quel autre dossier, de préférence le dossier Illustrator. 3 Quittez Adobe Illustrator, relancez le programme, puis réenregistrez tous les fichiers contenant des données annexes.
La palette Infos sur le document permet d’obtenir des informations générales sur un fichier, et répertorie les propriétés des objets ainsi que le nombre et le nom des styles, des couleurs personnalisées, des motifs, des dégradés, des polices et des illustrations importées. Vous disposez de la zone de remarque de la palette Options d’objet pour annoter les objets d’une illustration, de sorte qu’ils soient aisément identifiables dans le fichier PostScript au moyen d’un éditeur de texte. Cette fonction facilite le travail des professionnels (ateliers de flashage ou imprimeurs) lorsqu’ils se trouvent confrontés à des problèmes d’impression.
3 Choisissez parmi les types d’informations répertoriés dans le menu déroulant : Document, Objets, Styles, Formes, Objets en tons directs, Objets de motifs, Objets de dégradé, Polices, Images liées, Images incorporées et Polices (détail). 4 Pour enregistrer une copie de ces informations sous forme de fichier texte, cliquez sur Enregistrer. Pour annoter un objet : 1 Sélectionnez l’objet à annoter. 2 Choisissez Fenêtre > Options d’objet. 3 Choisissez Afficher les remarques dans le menu de la palette Options d’objet, puis saisissez l’annotation. L’annotation est limitée à 240 caractères. Par exemple, vous pouvez entrer une courte description de l’objet, sa date de création et le nom de son créateur.
Il est donc vivement recommandé de travailler en étroite collaboration avec l’atelier d’impression avant et pendant l’exécution de chaque travail. Pour reproduire des images couleur et à tons continus, les imprimeurs utilisent généralement des séparations qu’ils positionnent sur quatre plaques, correspondant respectivement aux couleurs cyan, magenta, jaune et noir. Après application des encres de couleur et impression en repérage, les couleurs obtenues reproduisent fidèlement l’illustration originale. La division d’une image en deux couleurs au moins est appelée séparation des couleurs, et les films à partir desquels sont créées les plaques sont appelés séparations.
Lorsque vous préparez une image à imprimer à l’aide des couleurs quadrichromiques cyan (C), magenta (M), jaune (J) et noir (N), vous obtenez des séparations quadrichromiques.
Vous pouvez également utiliser des encres personnalisées appelées tons directs, qui se substitueront aux couleurs quadrichromiques ou les compléteront. L’impression d’un ton direct s’effectuant sur une seule plaque, vous réduisez ainsi la complexité et le coût d’impression des illustrations. Ainsi, plutôt que de recourir à la quadrichromie pour reproduire des illustrations contenant des légendes noires et des dessins bleu-vert, utilisez deux tons directs : un noir et une teinte verte précise. Les encres personnalisées permettent également de créer des couleurs ne pouvant être reproduites par des encres CMJN (couleurs fluorescentes ou métallisées). Pour afficher l’équivalent CMJN d’un ton direct, vous pouvez utiliser la palette Couleur.
Si vous souhaitez qu’une couleur particulière s’imprime sur toutes les plaques, y compris les plaques de tons directs, vous pouvez la convertir en couleur de repérage. Les couleurs de repérage s’utilisent généralement pour les traits de coupe (voir la section « Définition des traits de coupe », page 367). Pour imprimer une couleur de repérage : 1 Sélectionnez l’objet sur lequel cette couleur doit s’appliquer. 2 Choisissez Fenêtre > Nuancier. 3 Dans la palette Nuancier, cliquez sur la nuance Repérage , située dans la première rangée de nuances. Les objets sélectionnés sont convertis en objets de couleur de repérage.
Etape 1 : étalonnage du moniteur et correction colorimétrique de l’illustration Les couleurs d’impression peuvent ne pas correspondre exactement à celles affichées à l’écran. Ainsi, un objet qui apparaît en rouge à l’écran peut s’imprimer en orange. Vous devez alors retoucher les couleurs de l’illustration et vous assurer que le moniteur couleur a été étalonné, comme indiqué au chapitre 7, « Couleurs homogènes », page 191. Si une gestion des couleurs a été appliquée à votre illustration, vous pouvez prévisualiser l’aspect exact qu’aura la couleur lorsqu’elle sera reproduite sur un périphérique de sortie (voir la section « Epreuve à l’écran des couleurs », page 203).
Une illustration peut être enrichie par des couleurs quadri et/ou des tons directs. Pour plus de détails sur les choix de couleurs, voir les sections « Ajout, duplication et suppression de nuances », page 177 et « Chargement de couleurs à partir d’autres systèmes de couleurs », page 182.
Un dégradé de couleurs quadri est séparé en plaques de couleurs quadri. Un dégradé contenant deux teintes d’un même ton direct est séparé sur une seule plaque de couleur personnalisée. Pour obtenir un seul film de séparation pour un dégradé composé d’un ton direct et de blanc, appliquez 0 % de la couleur. Remarque : lorsqu’un dégradé est formé de deux tons directs, veillez à attribuer à ces couleurs des angles de trame différents dans la boîte de dialogue Séparations. En effet, deux tons directs se superposent lorsqu’ils ont le même angle de trame. En cas de doute sur la valeur à donner à ces angles, consultez l’atelier d’impression (voir la section « Choix de la linéature de trame de demi-teintes », page 393).
Si vous n’avez pas changé la transparence de votre image à partir de la palette Transparence, les fonds et contours de l’image apparaissent opaques, car la couleur de premier plan masque, ou découpe, la surface du dessous. Pour éviter l’effet de masquage, utilisez l’option Surimpression de la palette Options d’objets, afin que l’encre de premier plan s’affiche en transparence aux endroits où elle recouvre l’encre se trouvant audessous. Remarque : le degré de transparence à l’impression dépend de l’encre, du papier et de la méthode d’impression utilisés. Consultez votre imprimeur pour définir dans quelle mesure ces variables auront une incidence sur l’illustration finale.
Vous pouvez également définir des fonctions de surimpression en utilisant les options Surimpr. fond et Surimpr. contour de la palette Options d’objets, comme décrit ci-après. Vous pouvez également utiliser le mode de fusion Produit de la palette Transparence (voir la section « Modes de fusion », page 215) ou la commande Mélange maximal (voir la section « Utilisation des commandes Mélange maximal et Mélange pondéré », page 188). Une fois les options de surimpression définies, il est recommandé d’activer le mode Aperçu de la surimpression, afin d’obtenir un aperçu approximatif de la façon dont seront imprimées les couleurs superposées. Il importe toutefois de vérifier avec soin le résultat sur des épreuves de contrôle en surimpression ou en superposition après la séparation des couleurs.
à des lignes 100 % noires sur un arrière-plan coloré si le type d’illustration le permet.
1 Sélectionnez les objets auxquels vous voulez appliquer la surimpression du noir, ou dont vous souhaitez la retirer. Vous pouvez appliquer la surimpression aux couleurs personnalisées dont l’équivalent quadri contient un pourcentage donné de noir ou aux couleurs quadri contenant du noir. 2 Choisissez Filtre > Couleurs > Surimpression du noir. 3 Dans la boîte de dialogue qui s’affiche, choisissez Ajouter ou Supprimer, selon que vous souhaitez activer ou désactiver les commandes de surimpression. 4 Spécifiez le pourcentage de noir correspondant aux objets auxquels s’appliquent les options de surimpression. Entrez 80 %, par exemple, pour ne sélectionner que les objets contenant 80 % de noir. 5 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Vous pouvez utiliser un programme de recouvrement indépendant pour créer des recouvrements automatiques ou faire appel aux fonctions de recouvrement manuel d’Illustrator.
Pour remédier à cet inconvénient, vous pouvez jouer sur la teinte de la couleur de recouvrement (ici, le jaune clair) et obtenir une délimitation moins voyante. Demandez à votre imprimeur de vous indiquer les densités adéquates en fonction de l’équipement et du support utilisés (presse, encre, papier, etc.).
Le recouvrement de texte peut poser certains problèmes spécifiques. Evitez d’utiliser des mélanges ou des teintes de couleurs quadrichromiques sur du texte en petit corps de caractère, car le moindre défaut de repérage pourrait le rendre illisible. Plus généralement, évitez de procéder au recouvrement d’un texte si le corps utilisé est petit. Comme pour la réduction de teinte, demandez conseil à votre imprimeur avant de tenter cette opération. Si vous imprimez du texte noir sur un fond coloré, par exemple, il est possible que la surimpression suffise. Pour appliquer un recouvrement à du texte, ajoutez le contour au-dessous du fond dans la palette Aspect, puis appliquez au contour une surimpression (ou définissez-le sur le mode de fusion Produit).
Remarque : la commande Recouvrement est disponible uniquement pour les documents CMJN.
Dans certains cas, l’écart entre les densités de couleur est trop faible pour permettre d’identifier exactement l’objet le plus sombre. La commande Recouvrement opère alors en se reposant sur de légères différences de couleur. Toutefois, si le recouvrement proposé dans la boîte de dialogue Recouvrement ne vous convient pas, vous pouvez parfaitement l’inverser en choisissant l’option Inverser les recouvrements.
Objet foncé et arrière-plan clair : la commande Recouvrement génère un effet Maigri.
1 Sélectionnez au moins deux objets, choisissez Fenêtre > Pathfinder, puis sélectionnez Recouvrement dans le menu de la palette. 2 Dans la zone de texte Epaisseur, entrez une valeur d’épaisseur de contour comprise entre 0,01 et 5 000 points. Une fois de plus, votre imprimeur peut vous aider à choisir les valeurs appropriées. 3 Dans la zone de texte Hauteur/Largeur, spécifiez le rapport entre les recouvrements vertical et horizontal.
La nouvelle valeur spécifiée s’applique à la couleur claire ; le pourcentage de couleur foncée demeure inchangé (100 %). La valeur de la zone Réduction de teinte s’applique également aux couleurs personnalisées.
Avec une réduction de teinte de 50 %, le recouvrement contient 50 % de couleur claire.
Pour affiner le recouvrement et procéder au recouvrement d’objets complexes, vous pouvez créer un effet de recouvrement en définissant le contour de l’objet en transparence.
Pour créer un recouvrement avec un effet Maigri, appliquez au contour de l’objet (à l’aide de la palette Couleur) une couleur identique à celle de la zone la plus claire à laquelle il est superposé. Les couleurs de fond et de contour de l’objet seront par conséquent différentes. Ce procédé de recouvrement a pour effet de rétrécir l’objet.
0,6 et 2 points. Une épaisseur de contour de 0,6 point crée un recouvrement de 0,3 point. Une épaisseur de contour de 2 points crée un recouvrement de 1 point. Une fois de plus, votre imprimeur peut vous aider à choisir les valeurs appropriées. 5 Choisissez Fenêtre > Options d’objet. 6 Sélectionnez Surimpr. contour.
2 Dans la zone Contour de la palette d’outils ou de la palette Couleur, affectez la couleur blanc au contour. 3 Dans la palette Contour, sélectionnez une épaisseur de tracé. 4 Copiez le tracé, puis choisissez Edition > Coller devant. Le recouvrement est généré à partir du tracé collé. 5 Dans la zone Contour de la palette d’outils ou de la palette Couleur, appliquez une couleur au contour du tracé collé. 6 Dans la palette Contour, choisissez une épaisseur légèrement supérieure à celle du contour inférieur. 7 Choisissez Fenêtre > Options d’objet. 8 Sélectionnez Surimpr. contour pour le contour supérieur.
1 Entourez l’objet. Si sa forme est complexe, sélectionnez-le à l’aide de l’outil Sélection directe , copiez-le, puis choisissez Edition > Coller devant pour le placer directement sur l’original.
En cas d’hésitation sur le choix du recouvrement approprié, voir la section « Recouvrements », page 383. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Si vous créez des traits de coupe pour les séparations couleur, tenez compte des points suivants : •
Séparations. Il définit l’emplacement des traits de coupe sur les films de séparation ainsi que la limite entre la surface imprimable et non imprimable de l’illustration, y compris les lignes directrices. Vous pouvez définir ce cadre à l’aide de la commande Objet > Traits de coupe > Créer ou à partir de la boîte de dialogue Séparations, laquelle permet de caler les limites du cadre sur celles de l’illustration. Elle permet également de modifier les dimensions d’un cadre existant. Les valeurs figurant dans les zones de texte Marges définissent la position de l’illustration sur la page et représentent la distance entre l’origine des règles sur la surface imprimable (point 0,0) et les bords du cadre. Le point 0,0 correspond par défaut à l’angle inférieur gauche de la surface imprimable. Si vous choisissez un autre format, Adobe Illustrator recalcule la distance entre le cadre et le bord de la page au nouveau format, et redimensionne le cadre en conséquence. Remarque : pour un format donné (A4, par exemple), les marges varient selon le fichier PPD sélectionné. En effet, les imprimantes et les photocomposeuses définissent le format de la surface imprimable selon des techniques différentes. Pour définir l’emplacement du cadre de l’illustration à l’aide des traits de coupe : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Pour modifier un cadre d’illustration existant : 1 Dans la boîte de dialogue Séparations, procédez de l’une des façons suivantes : •
Haut et Bas. Pour passer d’une zone à l’autre, utilisez la touche Tabulation.
(étoiles et/ou hirondelles), les barres d’étalonnage ainsi que les libellés. La boîte de dialogue Séparations vous permet d’ajouter ces marques à vos séparations.
Libellés Illustrator identifie les films au moyen du nom du fichier, de la linéature, de l’angle de trame des séparations ainsi que de la couleur de chaque cliché. Ces libellés s’affichent en haut de l’image. Traits de coupe Illustrator place les traits de coupe exactement sur le bord du cadre de l’illustration. Si l’option Traits de coupe japonais est activée dans le volet des préférences générales, un double jeu de traits de coupe s’affiche. Pour inclure les repères d’impression sur les séparations : 1 Dans la boîte de dialogue Séparations, sélectionnez Utiliser les repères d’impression. 2 Spécifiez une autre option de séparation ou cliquez sur OK.
La préparation d’une séparation consiste à choisir les options de séparation, puis à imprimer ou à enregistrer le fichier. La création de séparations implique la spécification de l’imprimante, de la linéature et du choix des films (positifs ou négatifs). A ce stade de la préparation, vous avez la possibilité de spécifier un fond perdu autour de l’illustration. Les paramètres choisis pour un document sont enregistrés avec le fichier de séparation. Si vous ouvrez un fichier pour lequel aucune option de séparation n’a été définie, l’application utilise les paramètres par défaut. Pour choisir les options de séparation : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
PPD (PostScript Printer Description) correspondant à votre imprimante ou à votre photocomposeuse (qui doit impérativement être de type PostScript). Un fichier PPD contient les caractéristiques du périphérique choisi : résolution, formats de page disponibles, trames et angles de trame utilisables. Une fois chargé, il affiche les différents paramètres du périphérique de sortie dans la boîte de dialogue Séparations.
2 Recherchez le sous-dossier System, situé dans le dossier Windows (Windows), ou le sous-dossier Descriptions d’imprimante du dossier Extensions, situé dans le Dossier Système (Mac OS). 3 Sélectionnez le fichier PPD correspondant au périphérique de séparation utilisé. Chaque fichier porte le nom de l’imprimante ou de la photocomposeuse qu’il gère, y compris le modèle, suivi de l’extension .ppd (Windows). 4 Cliquez sur Ouvrir. Le nom du fichier PPD sélectionné apparaît dans la boîte de dialogue, et la désignation du périphérique correspondant vient s’inscrire dans le titre de la boîte de dialogue. 5 Sélectionnez les autres options de séparation en suivant les instructions ci-après ou cliquez sur OK.
Le menu Séparation vous permet de spécifier le type de calques à inclure dans la séparation. Pour choisir les calques à séparer : 1 Dans la zone Options de la boîte de dialogue Séparations, choisissez l’une des options suivantes du menu Séparation : •
Pour désigner les couleurs devant faire l’objet d’une séparation : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Pour créer une séparation, vérifiez que l’icône d’imprimante est bien affichée en regard du nom de la couleur, dans la boîte de dialogue Séparations.
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Une icône de quadrichromie
1 Dans la boîte de dialogue Séparations, désélectionnez Conversion quadri. 2 Cliquez sur l’icône d’imprimante située en regard du ton direct dans la liste des couleurs. Une icône de quadrichromie s’affiche. 3 Cliquez sur l’icône d’imprimante associée à chaque ton direct à convertir en couleur quadri. 4 Spécifiez une autre option de séparation ou cliquez sur OK.
Le menu Trame répertorie les linéatures, exprimées en lignes par pouce (lpp), et les résolutions, mesurées en points par pouce (ppp), disponibles sur l’imprimante ou la photocomposeuse sur laquelle les séparations seront produites. Une linéature élevée (par exemple, 150 lpp) resserre les points de l’image pour affiner son grain, tandis qu’une linéature faible (de 60 à 85 lpp) espace les points, produisant ainsi une image plus grossière. La taille des points dépend également de la trame : plus elle est élevée, plus les points sont petits, et inversement. Le principal critère de choix de la linéature est la qualité de la presse utilisée pour l’impression finale. Interrogez votre imprimeur pour connaître les propriétés de son matériel, et choisissez la linéature de trame en conséquence. Les fichiers PPD des photocomposeuses haute résolution proposent de nombreuses combinaisons possibles de linéature et de résolution. En revanche, les imprimantes basse résolution sont limitées à quelques valeurs de linéatures plus grossières comprises le plus souvent entre 53 et 85 lpp, qui sont précisément les mieux adaptées à ces imprimantes. Une linéature de 100 lpp sur une imprimante basse résolution risque donc en réalité de diminuer la qualité de l’image. Pour choisir la linéature de trame de demi-teintes et la résolution : 1 Dans la boîte de dialogue Séparations, choisissez l’une des options suivantes : •
Remarque : pour un même format, la surface imprimable varie selon le fichier PPD, car chaque imprimante et chaque photocomposeuse gèrent différemment le format de la surface imprimable. Vérifiez que le format de page spécifié est suffisamment grand pour contenir à la fois illustrations, traits de coupe, repères de cadrage et autres informations nécessaires à l’impression. Pour économiser du papier ou du film lors d’une sortie sur photocomposeuse, sélectionnez le plus petit format capable de contenir l’illustration avec ses spécifications d’impression. Pour choisir un format de page : 1 Dans la boîte de dialogue Séparations, choisissez une option dans le menu Format. 2 Spécifiez une autre option de séparation ou cliquez sur OK. Pour choisir l’orientation de la page : 1 Dans la boîte de dialogue Séparations, choisissez l’option Portrait ou Paysage dans le menu Orientation. 2 Spécifiez une autre option de séparation ou cliquez sur OK.
L’option Format personnalisé du menu Format permet de définir un format de page personnalisé. Cette option n’est disponible que si votre périphérique de sortie reconnaît ces formats. Elle est généralement proposée avec les photocomposeuses haute résolution, mais pas avec les imprimantes laser. Le plus grand format que vous pouvez spécifier dépend de la surface imprimable maximale de votre photocomposeuse. Pour toute information complémentaire, consultez la documentation de votre matériel. Pour spécifier un format de page personnalisé : 1 Dans la boîte de dialogue Séparations, choisissez l’option Format personnalisé du menu Format. 2 Procédez de l’une des façons suivantes :
L’émulsion se trouve sur le côté mat, et le côté brillant est la base du film. Pour définir l’émulsion : 1 Dans la boîte de dialogue Séparations, choisissez l’option Sens litho (lisibilité) ou Sens offset (lisibilité) du menu Emulsion. L’image pivote. 2 Spécifiez une autre option de séparation ou cliquez sur OK.
Les options d’image déterminent l’exposition de l’illustration : négative ou positive. En Europe et au Japon, contrairement aux Etats-Unis, les ateliers d’impression exploitent généralement des films positifs. Si vous hésitez sur le mode d’exposition à utiliser, demandez conseil à votre imprimeur. Pour spécifier le type de l’image : 1 Dans la boîte de dialogue Séparations, choisissez l’option Positive ou Négative du menu Image. 2 Spécifiez une autre option de séparation ou cliquez sur OK.
Il est parfois plus économique et plus facile pour les ateliers d’impression de superposer du noir au film. Vous pouvez choisir cette option au moment de l’impression ou de l’enregistrement de chaque séparation. (Voir la section « Etape 2 : sélection des options de surimpression pour les couleurs superposées », page 380). Pour superposer du noir au film de séparation : 1 Dans la zone Options de la boîte de dialogue Séparations, sélectionnez Surimpression du noir. Remarque : l’option Surimpression du noir ne s’applique qu’aux objets auxquels le noir est appliqué par le biais de la couche N. Elle n’est pas valable pour les objets qui s’affichent en noir du fait de leurs styles ou de leurs paramètres de transparence. 2 Spécifiez une autre option de séparation ou cliquez sur OK.
1 Dans la zone Options de la boîte de dialogue Séparations, entrez une valeur dans la zone de texte Fond perdu. Adobe Illustrator applique par défaut un fond perdu de 18 points. Cela signifie que les limites de l’illustration sont repoussées de 18 points au-delà des traits de coupe. Vous pouvez définir un fond perdu compris entre 0 et 72 points. La taille du fond perdu doit être choisie en fonction de sa finalité. Un fond perdu pour une presse d’imprimerie (où l’image déborde de la page imprimée) ne doit pas être inférieur à 18 points. Un fond perdu destiné à garantir la continuité de l’image par rapport à un filet technique exige tout au plus 2 ou 3 points. Votre imprimeur peut vous indiquer la taille de fond perdu à utiliser en fonction de vos travaux. 2 Spécifiez une autre option de séparation ou cliquez sur OK.
Une fois toutes les options de séparation choisies, vous pouvez imprimer ou enregistrer les séparations. Remarque : le périphérique de sortie utilisé doit correspondre au fichier PPD désigné lors de la préparation des séparations. En cas de conflit, vous recevrez un message d’erreur. Les options de séparation, les informations PPD et les conversions colorimétriques spécifiées dans la boîte de dialogue Séparations sont enregistrées avec le fichier. Pour imprimer les films de séparation sélectionnés : 1 Sélectionnez les films de séparation à enregistrer, comme indiqué à la section « Choix des calques à séparer », page 392. Pour plus de détails sur la définition de traits de coupe dans la boîte de dialogue Séparations, voir les sections « Définition des traits de coupe », page 367 et « Définition de repères d’impression », page 390. 2 Choisissez Fichier > Imprimer, ou réaffichez la boîte de dialogue Imprimer si elle est encore ouverte. 3 Choisissez l’une des options d’impression. 4 Sélectionnez l’option de sortie Séparation en procédant comme suit : •
2 Choisissez Fichier > Imprimer, ou réaffichez la boîte de dialogue Imprimer si elle est encore ouverte. 3 Choisissez l’une des options d’impression. 4 Sélectionnez l’option de sortie Séparation en procédant comme suit : •
La conception graphique est un domaine de grande créativité, mais certains aspects du travail sur les illustrations et de composition, sont loin d’être novateurs. Lorsque vous considérez les tâches que vous devez effectuer, vous vous rendez compte que souvent elles sont répétitives et parfois fastidieuses. En fait, le temps passé à placer et ajuster les images, corriger les erreurs et préparer les fichiers pour l’impression ou l’affichage Web, réduit considérablement le temps dont vous disposez pour donner libre cours à votre créativité. La solution se trouve dans l’automatisation des tâches. L’utilisation de scripts et d’actions vous permet d’effectuer automatiquement de nombreuses tâches répétitives et fastidieuses, libérant un temps précieux que vous pouvez consacrer aux aspects plus créatifs de votre travail. Une commande est une série de tâches qui sont enregistrées pendant que vous utilisez l’application Illustrator : commandes de menus, options d’outils, sélection d’objets, etc. Lors de leur exécution, Illustrator lance la série de commandes en fonction de leur enregistrement. Un script est une série de commandes indiquant à l’ordinateur la séquence d’opérations à exécuter. Ces opérations sont effectuées dans Illustrator uniquement, ou elles nécessitent d’autres applications, telles que des programmes de traitement de texte, des tableurs ou des programmes de gestion de données. Illustrator fournit des commandes et des scripts préenregistrés pour faciliter l’exécution des tâches les plus courantes. Ces commandes deviennent un ensemble par défaut dans la palette Scripts, à l’installation de l’application Illustrator ; les scripts par défaut s’affichent dans le sous-menu Fichier > Scripts.
Développement ou réduction des ensembles et des commandes Cliquez sur le triangle situé à gauche de l’ensemble ou de la commande dans la palette Scripts. Affichage des scripts sous forme de boutons Activez le mode Bouton dans le menu de la palette Scripts. Choisissez de nouveau Mode Bouton pour revenir en mode Liste. Remarque : vous ne pouvez pas développer ni réduire les ensembles et les commandes lorsque la palette Scripts est en mode Bouton.
A la création d’un script, Illustrator enregistre les commandes (valeurs spécifiées comprises), les palettes et les outils dans l’ordre d’utilisation. Les consignes suivantes vous aideront à élaborer des scripts : •
1 Ouvrez un fichier. 2 Dans la palette Scripts, cliquez sur le bouton Créer un nouveau script l’option Nouveau script dans le menu de la palette.
4 Si la palette Scripts contient plusieurs ensembles de scripts, choisissez l’ensemble dans lequel vous voulez ajouter le nouveau script (voir la section « Organisation d’ensembles de scripts », page 409). 5 Si vous le souhaitez, vous pouvez définir une ou plusieurs des options suivantes : •
Pour créer un script et lancer l’enregistrement, appuyez sur Alt (Windows) ou Option (Mac OS), puis cliquez sur le bouton Créer un nouveau script. 7 Pour éviter toute erreur, enregistrez la commande Fichier > Enregistrer une copie au début du script. 8 Choisissez les commandes à enregistrer dans l’ordre souhaité. Si la commande sélectionnée ouvre une boîte de dialogue, un clic sur la touche OK enregistre la commande alors qu’un clic sur Annuler l’ignore. Si une commande sélectionnée n’est pas enregistrée, insérez-la dans le script (voir la section « Insertion de commandes non enregistrables », page 403). Remarque : vous ne pouvez pas enregistrer les paramètres d’options d’optimisation pour plusieurs tranches dans la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web. Définissez les options d’optimisation des tranches avant de lancer l’enregistrement du script, puis maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée et cliquez sur l’option Rappeler dans la boîte de dialogue Enregistrer pour le Web. Lorsque vous enregistrez le script, Illustrator se souvient des paramètres.
La commande Insérer un tracé de sélection permet d’intégrer un tracé à l’enregistrement d’un script. Lors de l’exécution, l’intégralité du tracé est reproduite dans le script. Pour enregistrer un tracé : 1 Commencez l’enregistrement d’un script. 2 Sélectionnez un tracé. 3 Choisissez Insérer un tracé de sélection dans le menu de la palette Scripts.
La commande Sélectionner un objet sélectionne un objet en cours de script. Pour identifier l’objet, utilisez la zone de texte Remarque dans la palette Options d’objet. Cette commande est utile pour choisir un objet sur lequel exécuter des commandes, utiliser des palettes ou faire des sélections dans des boîtes de dialogue. Vous pouvez, par exemple, prélever une ellipse dans une illustration afin d’y appliquer des effets de transformation (mise à l’échelle, rotation, etc.), d’en modifier les caractéristiques de contour avec la palette Contour ou d’y appliquer des couleurs avec la palette Couleur. Pour nommer un objet à utiliser au cours d’un script : 1 Sélectionnez l’objet à utiliser dans le script. 2 Choisissez Fenêtre > Options d’objet. 3 Choisissez Afficher les remarques dans le menu déroulant de la palette Options d’objet. 4 Attribuez un nom unique à l’objet dans la zone de texte Remarque. L’objet peut à présent être utilisé dans une séquence de script. Pour sélectionner un objet au cours d’un script : 1 Enregistrez un script jusqu’au point de sélection de l’objet, en suivant les instructions indiquées à la section « Création et enregistrement de scripts », page 400. 2 Choisissez Sélectionner un objet dans le menu déroulant de la palette Scripts. 3 Saisissez le nom de l’objet dans la boîte de dialogue Définir une sélection. Le nom doit correspondre au nom inscrit dans la zone de texte Remarque de la palette Options d’objet. 4 Dans la boîte de dialogue Définir une sélection, sélectionnez les options suivantes : •
Annuler. Vous pouvez insérer une commande pendant ou après l’enregistrement d’un script. Pour insérer une commande dans un script : 1 Choisissez l’emplacement d’insertion de l’élément de menu dans la palette Scripts : •
Lorsque le script atteint le point d’arrêt, vous avez la possibilité d’afficher un court message. Il peut s’agir, par exemple, d’un commentaire destiné à vous rappeler une opération à effectuer avant la poursuite du script. Il peut s’agir également de l’insertion du bouton Continuer. De cette façon, vous pouvez rechercher une condition dans le fichier (une sélection, par exemple) et continuer si aucune intervention de votre part n’est requise. Un point d’arrêt peut être intégré à l’enregistrement d’un script ou ultérieurement. Pour insérer un point d’arrêt : 1 Choisissez l’emplacement d’insertion du point d’arrêt dans la palette Scripts : •
4 Si vous souhaitez que le script se poursuive sans faire de pause, sélectionnez Autorisation de continuer. 5 Cliquez sur OK.
En l’absence de contrôle modal, Illustrator exécute la commande en fonction des valeurs spécifiées lors du premier enregistrement du script (dans ce cas, la boîte de dialogue associée n’apparaît pas). Vous pouvez également exclure des commandes que vous souhaitez retirer du script enregistré ou dont l’exécution ne vous paraît pas indispensable. Pour définir un contrôle modal : 1 Vérifiez que la palette Scripts est en mode d’affichage par liste. Désélectionnez le mode Bouton dans le menu de la palette Scripts, si nécessaire. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Lors de l’exécution d’un script, Illustrator lance la série de commandes en fonction de leur enregistrement. Vous pouvez toutefois commencer le script avec n’importe quelle commande, en exclure certaines ou exécuter une seule commande du script. Si un contrôle modal est intégré au script, vous pouvez spécifier des valeurs dans une boîte de dialogue ou réintégrer un outil modal (outil qui requiert d’appuyer sur Entrée ou Retour pour effectuer une opération), lors de l’arrêt momentané du script (voir la section « Définition du contrôle modal et exclusion de commandes », page 404). En mode Bouton, un clic sur un bouton exécute l’intégralité du script, même si les commandes précédemment exclues ne sont pas exécutées.
4 Cliquez sur le bouton Exécuter la sélection en cours dans la palette Scripts ou choisissez Exécuter dans le menu déroulant. Pour exécuter une seule commande d’un script : 1 Sélectionnez la commande à exécuter. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
1 Choisissez Options d’exécution dans le menu déroulant de la palette Scripts. 2 Indiquez la vitesse souhaitée : •
« A propos des graphiques dynamiquement adaptés aux données », page 310).
2 Dans la zone Ensemble, choisissez l’ensemble voulu. 3 Dans la zone Scripts, choisissez le script voulu. 4 Dans la zone Source, choisissez une option : •
6 Si le script contient une commande « Enregistrer » ou « Exporter », définissez les priorités suivantes : •
Vous pouvez modifier les scripts de la façon suivante : •
Pour enregistrer des nouvelles commandes : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
4 Cliquez sur le bouton Arrêter l’exécution/ l’enregistrement pour terminer l’enregistrement. Remarque : vous pouvez également intégrer des commandes non enregistrables ou récupérer des commandes issues d’autres scripts (voir la section « Insertion de commandes non enregistrables », page 403). Pour réenregistrer un script : 1 Sélectionnez un script et choisissez Réenregistrer dans le menu de la palette Scripts. 2 Si un outil modal apparaît, choisissez l’une des méthodes suivantes : •
1 Sélectionnez un objet de même type que celui pour lequel vous souhaitez réenregistrer le script. Si, par exemple, une commande n’est disponible que pour des objets vectoriels, sélectionnez un objet de ce type lors du réenregistrement. 2 Dans la palette Scripts, cliquez deux fois sur la commande. 3 Saisissez de nouvelles valeurs et cliquez sur OK. Pour modifier les options du script : 1 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Pour sélectionner plusieurs commandes d’un script, cliquez en maintenant enfoncée la touche Maj ou Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS). 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Pour supprimer automatiquement une commande ou un script sélectionné, cliquez sur le bouton Supprimer la sélection en maintenant enfoncée la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS). Pour réinitialiser les scripts par défaut : 1 Choisissez Réinitialiser les scripts dans le menu de la palette Scripts. 2 Cliquez sur Ajouter pour ajouter l’ensemble des scripts par défaut aux scripts actifs de la palette Scripts, ou cliquez sur OK pour remplacer les scripts actifs de la palette Scripts par l’ensemble par défaut.
Pour vous aider à organiser vos scripts, vous pouvez créer des ensembles dans lesquels les placer et les enregistrer sur votre disque. Vous pouvez organiser des ensembles de scripts en fonction de vos travaux (publication imprimée ou en ligne, par exemple) et les transférer sur d’autres ordinateurs. Vous ne pouvez enregistrer que l’intégralité de l’ensemble sélectionné dans la palette Scripts, et non les scripts individuels. Remarque : les scripts non enregistrés le sont automatiquement dans le fichier de préférences. En cas de perte ou de suppression de ce fichier, tout script non enregistré est perdu. Utilisez donc la commande Enregistrer les scripts de la palette Scripts pour
Pour créer un nouvel ensemble de scripts : 1 Dans la palette Scripts, procédez de l’une des façons suivantes : •
1 Dans la palette Scripts, procédez de l’une des façons suivantes : •
1 Sélectionnez un ensemble. 2 Choisissez Enregistrer les scripts dans le menu de la palette Scripts. 3 Saisissez le nom de l’ensemble, choisissez un emplacement et cliquez sur Enregistrer. L’ensemble de scripts par défaut est enregistré dans le dossier Paramètres prédéfinis/ Ensembles de scripts du dossier de l’application Adobe Illustrator. Pour remplacer tous les scripts de la palette Scripts par un nouvel ensemble de scripts : 1 Choisissez Remplacer les scripts dans le menu de la palette Scripts. 2 Recherchez et sélectionnez un fichier de scripts. 3 Cliquez sur Ouvrir. Important : la commande Remplacer les scripts remplace tous les ensembles de scripts du document actif. Avant de l’utiliser, vérifiez que vous avez fait une copie de l’ensemble de scripts actif à l’aide de la commande Enregistrer les scripts. Pour charger un ensemble de scripts : 1 Choisissez Charger les scripts dans le menu de la palette Scripts. 2 Recherchez et sélectionnez le fichier de scripts. 3 Cliquez sur Ouvrir.
Visual Basic, vous pouvez créer vos propres scripts et les utiliser dans Illustrator. Reportezvous à la documentation sur les scripts sur le CD Illustrator. Illustrator reconnaît les types de scripts suivants : fichiers JavaScript (fichiers texte avec l’extension .js), fichiers AppleScript et scripts OSA (scripts compilés ou applets avec l’extension .scpt), scripts Visual Basic (fichiers exécutables avec l’extension .exe) et VB Scripts (fichiers texte avec l’extension .vbs). Pour exécuter un script : Procédez de l’une des façons suivantes : •
Scripts > Parcourir. Remarque : si vous modifiez un script pendant que l’application Illustrator est ouverte, vous devrez enregistrer les modifications pour qu’elles prennent effet. Si vous placez un script dans le dossier Scripts pendant l’exécution d’Illustrator, vous devrez relancer l’application pour que le script s’affiche dans le menu Scripts.
Barres verticales Il s’agit du type de graphe par défaut. Il sert à comparer des groupes de valeurs à l’aide de rectangles dont la taille est proportionnelle à ces valeurs. Barres verticales empilées Ce type de graphe ressemble au graphe à barres verticales, mais les colonnes sont empilées et non juxtaposées. Il permet de montrer le rapport des parties au tout. Barres horizontales Ce type de graphe ressemble au graphe à barres verticales, mais les rectangles sont placés horizontalement et non verticalement. Barres horizontales empilées Ce type de graphe ressemble au graphe à barres verticales empilées, mais les barres sont empilées horizontalement et non verticalement. Linéaire Ce type de graphe représente un ou plusieurs groupes de valeurs à l’aide de points reliés par une ligne différente pour chaque ensemble. Il fait apparaître l’évolution d’un ou plusieurs éléments sur une période donnée. Couches Ce type de graphe ressemble à un graphe linéaire, mais il met davantage l’accent sur les totaux et l’évolution des valeurs. Nuages de points Ce type de graphe reproduit les données sous forme de points définis par une abscisse et une ordonnée. Il est utilisé pour représenter des schémas ou des tendances, et permet de déterminer si des variables ont une incidence réciproque. Sectoriel Graphe circulaire dont les parts représentent les données en pourcentage du total. Radar Graphe circulaire qui permet de comparer des groupes de valeurs à un moment donné ou dans des catégories particulières. Ce type de graphe est également appelé graphe en toile d’araignée. Pour une démonstration sur l’utilisation des outils de graphe, voir la section « Description des outils (4 / 5) », page 10.
Après avoir créé un graphe, vous pouvez le personnaliser en y ajoutant couleurs, symboles et attributs de style. Dès que vous modifiez les données représentées, le graphe est mis à jour. Toutefois, certains éléments (par exemple, le corps du texte et les symboles) reprennent leurs valeurs par défaut si vous modifiez les données représentées. Les graphes constituent des groupes d’objets. Vous pouvez sélectionner les éléments d’un graphe avec l’outil Sélection directe ou Sélection directe progressive, afin de les modifier séparément. En revanche, si vous dissociez un graphe, vous ne pouvez plus en modifier les attributs ni les données (voir la section « Sélection de portions de graphe », page 426).
Pour créer un graphe avec les paramètres actifs, sélectionnez un outil Graphe .
• Les intitulés sont des mots ou des nombres décrivant des catégories, dont les données sont saisies dans des rangées, et des légendes, dont les données sont saisies dans les colonnes. Dans le graphe final, les légendes apparaissent sous forme de petites cases que vous pouvez placer au-dessus ou à droite du graphe. 3 Entrez les intitulés et les données du graphe conformément aux instructions de la section « Types de graphes et saisie d’intitulés et de données », page 415 (voir aussi la section « Sélection des options de graphe », page 418). L’usage est d’entrer un intitulé pour au moins la première rangée et la première colonne du tableau. Procédez comme suit : •
également des intitulés de légende sur l’axe vertical y).
6 Pour ajuster la largeur des colonnes, afin d’afficher un plus grand ou plus petit nombre de caractères, cliquez sur le bouton Style de cellule et entrez la valeur souhaitée dans la boîte de dialogue qui s’affiche. 7 Une fois les données saisies, procédez de l’une des façons suivantes : •
Les intitulés peuvent être des noms décrivant les colonnes de données ou des unités de temps (années, mois ou jours) permettant de comparer les données dans le temps. Voici quelques indications supplémentaires : Dans les graphes à barres verticales et à barres verticales empilées, l’axe vertical (y) représente les valeurs numériques et l’axe horizontal (x), les intitulés des données. Dans les graphes à barres horizontales et à barres horizontales empilées, l’axe horizontal (x) représente les valeurs numériques et l’axe vertical (y), les intitulés des données. Dans les graphes à barres horizontales/verticales et à barres horizontales/verticales empilées, la taille des barres correspond à la valeur faisant l’objet de la comparaison. Les combinaisons de valeurs positives et négatives sont autorisées, les valeurs négatives étant représentées par des barres situées sous l’axe horizontal. En revanche, les valeurs doivent être toutes positives ou toutes négatives dans les graphes à barres verticales empilées. Dans les graphes linéaires, l’axe y représente les quantités et l’axe x, le temps. A chaque colonne de données correspond une courbe sur le graphe. Les combinaisons de valeurs positives et négatives sont autorisées.
Dans les graphes sectoriels, seule une rangée de données est représentée. Les valeurs doivent être toutes positives ou toutes négatives. Il y a autant de graphes sectoriels que de rangées de données. Les combinaisons de valeurs positives et négatives ne sont pas autorisées. La taille de chaque graphe est proportionnelle au total des données qui le définissent. Dans les graphes Radar, la première colonne représente les intitulés des axes et les colonnes suivantes, des valeurs numériques. Chaque intitulé représente un axe distinct. Contrairement aux autres types de graphe, le graphe Radar peut avoir plus de deux axes. Chaque valeur numérique est tracée sur un axe et reliée aux autres valeurs du même axe, afin de créer une « toile d’araignée » (voir la section « Sélection des options de graphe », page 418).
Vous pouvez importer dans Adobe Illustrator des fichiers de données issus d’autres applications, à condition de les avoir préalablement enregistrés au format texte. Dans le fichier texte, chaque cellule doit être délimitée par une tabulation et chaque rangée par un retour chariot. Vous avez également la possibilité de couper et coller des données provenant d’un tableur, tel que Lotus® 1-2-3 ou Excel. Les données ne doivent contenir aucun caractère non numérique autre que la virgule ou le point décimal, sinon elles ne sont pas représentées (par exemple 732000 est accepté alors que 732 000 ne l’est pas). Pour importer des données d’une autre application : 1 Créez un graphe, et assurez-vous qu’il est sélectionné. 2 Si la boîte de dialogue Données de graphe n’est pas déjà ouverte, choisissez Objet > Graphe > Données. 3 Cliquez sur la cellule qui recevra les premières données importées (en haut à gauche). 4 Cliquez sur le bouton Importation de données
6 Cliquez sur le bouton Appliquer . Les données importées sont représentées sur le graphe.
4 Si la boîte de dialogue Données de graphe n’est pas déjà ouverte, choisissez Objet > Graphe > Données. 5 Cliquez sur la cellule qui recevra les premières données collées (en haut à gauche). 6 Choisissez Edition > Coller. Les données sont collées dans les cellules de la boîte de dialogue Données de graphe. 7 Cliquez sur le bouton Appliquer . Les données collées sont représentées sur le graphe.
Les données entrées dans la boîte de dialogue Données de graphe sont modifiables. Les commandes Couper et Copier placent les données dans le Presse-papiers, la commande Coller les extrait du Presse-papiers et les colle dans un tableau. La commande Effacer efface la sélection (texte ou cellules). La touche Suppr a le même effet que les touches Suppr et Retour arrière sur une cellule. Pour modifier des données existantes : 1 Cliquez sur la cellule à modifier. Elle est mise en évidence et son contenu s’affiche sur la ligne de saisie. 2 Procédez de l’une des façons suivantes : •
Pour transposer rangées et colonnes : 1 Choisissez Objet > Graphe > Données. 2 Cliquez sur le bouton Transposer . Les intitulés et les données de la première rangée figurent maintenant dans la colonne de gauche. Lorsque l’ordre des catégories ou des légendes est inversé, toutes les données sont transposées en conséquence. Pour permuter les axes x et y d’un graphe à nuages de points : 1 Choisissez Objet > Graphe > Données.
2 Faites glisser la poignée vers la position souhaitée. Pour rétablir la largeur d’origine de la colonne, vous devez à nouveau faire glisser la poignée. Vous n’avez pas la possibilité d’utiliser la boîte de dialogue Style de cellule. Si vous réduisez la largeur de colonne à zéro, elle reprend automatiquement la valeur définie dans la boîte de dialogue Style de cellule. Pour régler la largeur des colonnes que vous n’avez pas modifiées manuellement : 1 Cliquez sur le bouton Style de cellule
La modification s’applique uniquement à la largeur des colonnes dans la boîte de dialogue Données de graphe. Elle n’a aucun effet sur celle des colonnes du graphe. Pour définir la précision décimale : 1 Cliquez sur le bouton Style de cellule dans la boîte de dialogue Données de graphe. 2 Entrez une valeur comprise entre 0 et 10 dans la zone de texte Nombre de décimales (2 par défaut). Par exemple, avec une précision décimale fixée à 2, si vous entrez le nombre 4, il prend le format 4,00 dans la boîte de dialogue Données de graphe, et si vous entrez le nombre 1,55823, il est tronqué à 1,56 dans la cellule. Cliquez sur OK.
Cette section décrit les options supplémentaires disponibles, variables selon le type de graphe. Remarque : il n’existe aucune option spécifique aux graphes à couches. Pour sélectionner les options associées à un type de graphe : 1 Si vous souhaitez modifier un graphe existant, sélectionnez-le intégralement. 2 Choisissez Objet > Graphe > Attributs ou cliquez deux fois sur l’outil Graphe. 3 Choisissez Options de graphe dans le menu déroulant situé dans la partie supérieure gauche de la boîte de dialogue Attributs de graphe. 4 Activez les options souhaitées, en vous référant aux sections ci-après.
La largeur de barre et la largeur de catégorie doivent être comprises entre 1 et 1 000 %. Ces valeurs permettent de laisser de l’espace entre les barres et les catégories. Si vous choisissez 100 %, l’intervalle est supprimé, et si le pourcentage choisi est plus élevé, les barres et les catégories se chevauchent. Les options des graphes à barres et à barres empilées sont les mêmes, à savoir : •
La largeur de barre et la largeur de catégorie doivent être comprises entre 1 et 1 000 %. Ces valeurs permettent de laisser de l’espace entre les barres et les catégories. Si vous choisissez 100 %, l’intervalle est supprimé, et si la valeur choisie est plus élevée, les barres et les catégories se chevauchent. Les options des graphes à barres horizontales et à barres horizontales empilées sont les mêmes, à savoir : •
Les options d’affichage des graphes linéaires disponibles sont les suivantes : •
à l’exception de l’option Répartir en largeur qui n’est pas disponible. Les options Marquer les points et Relier les points sont activées par défaut.
Les options de légende suivantes vous permettent de choisir l’emplacement des légendes dans un graphe sectoriel : •
Utilisez cette option lorsque vous associez des graphes sectoriels à d’autres types de graphes.
L’option Rapport trace les graphes de façon proportionnelle.
L’axe des valeurs (généralement l’axe y) peut être affiché à gauche et/ou à droite du graphe. Vous pouvez également faire apparaître le même axe des deux côtés ou appliquer à l’axe gauche une échelle différente de celle de l’axe droit en sélectionnant les données à appliquer à l’un des axes. Lorsque vous procédez à cette affectation, vous devez tenir compte des points suivants : •
1 Sélectionnez un graphe avec des intitulés sur les deux axes et assurez-vous que la légende est visible (voir la section « Types de graphes et saisie d’intitulés et de données », page 415). 2 Choisissez Objet > Graphe > Attributs ou cliquez deux fois sur l’outil Graphe. 3 Dans la boîte de dialogue Attributs de graphe, sélectionnez Les deux dans le menu déroulant Axe des valeurs. 4 Choisissez Axe gauche dans le menu déroulant Options de graphe et apportez les modifications nécessaires aux valeurs Axe gauche. 5 Choisissez Axe droit dans le menu déroulant Options de graphe et apportez les modifications nécessaires aux valeurs Axe droit. 6 Cliquez sur OK et désélectionnez le graphe. 7 A l’aide de l’outil Sélection directe progressive , sélectionnez un groupe de données et la case ou la ligne de légende correspondante. 8 Cliquez deux fois sur l’outil Graphe pour ouvrir la boîte de dialogue Attributs de graphe. 9 Choisissez A droite dans le menu déroulant Axe des valeurs. 10 Choisissez Axe des valeurs dans le menu déroulant Options de graphe, apportez de nouveau les modifications nécessaires aux valeurs Axe droit et cliquez sur OK. Remarque : une fois que vous avez créé un graphe avec des valeurs séparées pour les axes droit et gauche, vous ne pouvez plus régler les valeurs des axes. Pour modifier les valeurs des axes, vous devez revenir à un graphe avec une valeur d’axe A gauche seulement. Pour sélectionner le graphe afin de lire toutes les données sur deux échelles : 1 Affectez une échelle à certaines colonnes de données et une autre aux données restantes. 2 Définissez des valeurs minimale et maximale équivalentes pour les deux axes, comme décrit dans la section « Définition des graduations et des libellés », page 421. Dans l’exemple d’un graphe dont un axe est gradué en degrés Celsius et l’autre en degrés Fahrenheit, vous pouvez définir l’échelle Celsius sur 0 (minimum) et 32 (maximum) et l’échelle Fahrenheit sur 32 (minimum) et 122 (maximum). Toutes les données du graphe peuvent être lues avec précision sur l’une ou l’autre échelle.
Vous pouvez ajouter des graduations pour faire apparaître l’unité de mesure sur un graphe et compléter les libellés en y ajoutant l’unité de mesure, par exemple « $ ».
Pour définir les options correspondant aux graduations et aux libellés : 1 Choisissez un axe dans le menu déroulant situé dans la partie supérieure gauche de la boîte de dialogue Attributs de graphe : •
3 Choisissez la longueur de la graduation dans le menu déroulant Longueur. 4 Spécifiez le nombre de graduations à dessiner dans la zone de texte Tracer graduation(s) par division. Entrez 0 si aucun nombre ne doit figurer sur l’axe. 5 Pour les axes de catégorie, sélectionnez Graduations entre les libellés pour tracer les graduations de part et d’autre des libellés ou des barres verticales ou désélectionnez cette option pour centrer les graduations au-dessus des intitulés et des barres verticales. 6 Pour les valeurs des axes, A gauche, A droite, En haut, En bas, complétez les zones de texte Préfixe ou Suffixe pour ajouter d’autres informations avant (Préfixe) ou après (Suffixe) les valeurs (par exemple, le signe dollar devant un nombre ou le mot unités, ou encore le signe de pourcentage après une valeur).
Dans la boîte de dialogue Attributs de graphe, sélectionnez Ombre portée, puis cliquez sur OK. 150
2 Cliquez sur OK. Par défaut, les légendes s’affichent à droite du graphe, mais vous pouvez parfaitement les disposer horizontalement au-dessus du graphe. 200
2 Sélectionnez 1re colonne au 1er plan, puis cliquez sur OK. 80
Une fois le graphe créé, vous pouvez en modifier le type à l’aide de la boîte de dialogue Attributs de graphe si vous estimez que les données seront mieux présentées. Pour modifier partiellement le type de graphe, sélectionnez les séries de données concernées avec l’outil Sélection directe progressive, sans oublier leur légende (voir la section « Combinaison de différents types de graphes », page 425). Remarque : lorsqu’un élément de graphe contient un dégradé, il peut arriver que le changement du type de graphe ne produise pas le résultat escompté. Pour écarter ce risque, appliquez le dégradé une fois le graphe terminé ou sélectionnez tous les éléments en dégradé avec l’outil Sélection directe, passez-les en couleur quadri, puis appliquez de nouveau le dégradé. Pour changer de type de graphe : 1 Sélectionnez le graphe. 2 Choisissez Objet > Graphe > Attributs ou cliquez deux fois sur l’outil Graphe. 3 Choisissez Options de graphe dans le menu déroulant situé dans la partie supérieure gauche de la boîte de dialogue Attributs de graphe. 4 Cliquez sur le type de graphe souhaité. Les options spécifiques au type de graphe choisi s’affichent dans la partie inférieure de la boîte de dialogue. 5 Activez les options de graphe souhaitées, puis cliquez sur OK.
Si vous combinez un graphe à barres verticales empilées et un autre type de graphe, vous devez veiller à utiliser le même axe pour tous les groupes de données représentées par des barres empilées. Si certains groupes utilisent l’axe droit et d’autres l’axe gauche, les hauteurs de barre risquent d’être erronées ou de se superposer. Pour combiner différents types de graphes : 1 A l’aide de l’outil Sélection directe progressive , sélectionnez un groupe de données et la case ou la ligne de légende correspondante (voir la section « Sélection de portions de graphe », page 426). Une fois les groupes de données sélectionnés, changez le type de graphe dans la boîte de dialogue Attributs de graphe. 2 Choisissez Objet > Graphe > Attributs ou cliquez deux fois sur l’outil Graphe. 3 Sélectionnez le type de graphe et les options souhaitées (voir la section « Sélection des options de graphe », page 418). 4 Appliquez les données sélectionnées en activant l’option A droite, A gauche, En haut ou En bas dans le menu déroulant Axe des valeurs, puis cliquez sur OK. 5 A l’aide de l’outil Sélection directe progressive , sélectionnez un autre groupe de données pour lui affecter un autre type de graphe et un autre axe. 6 Répétez les étapes 2 à 4 pour ces nouvelles données en créant un autre type de graphe et en les affectant à l’axe opposé, puis cliquez sur OK. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Une fois le graphe créé, vous pouvez le personnaliser de diverses façons. Vous pouvez modifier les couleurs d’ombre, la police et le style du texte ou encore déplacer, appliquer une symétrie, déformer, faire pivoter ou mettre à l’échelle tout ou une partie du graphe et enfin, créer des symboles de barre ou de point. Vous pouvez également utiliser des styles afin d’appliquer des transparences, des dégradés de couleurs et de formes, des contours et d’autres effets aux graphes.
Le graphe avec ses légendes forme un groupe de données. Les séries de données constituent un sous-groupe du graphe. Chaque série de données avec sa case de légende constitue également un sous-groupe à l’intérieur des séries de données. Chaque valeur est elle-même un sous-groupe de sa série de données, et ainsi de suite. Ne procédez à aucune dissociation ou association d’éléments au sein de l’entité que constitue le graphe. La structure hiérarchisée de ces associations peut être rendue dans un graphe à barres verticales composé de deux séries de données ou plus. La première barre de la première catégorie est associée à la première barre de la catégorie suivante, et le groupe des premières barres est associé à la première légende.
Si vous souhaitez placer certains éléments derrière ou devant d’autres éléments, il est très important que les éléments déplacés constituent des groupes entiers de données ou des valeurs isolées. Vous pouvez par conséquent sélectionner des barres, des courbes, des secteurs, individuellement ou en groupe. En revanche, vous ne devez ni sélectionner ni déplacer un intitulé de catégorie, de légende ou de graduation, une graduation ou un axe. Pour déplacer un groupe de données dans un graphe linéaire, sélectionnez-le intégralement, ainsi que sa légende. Il ne suffit pas de sélectionner les points de données. Pour sélectionner intégralement un groupe de données dans un graphe : 1 Activez l’outil Sélection directe progressive . 2 Cliquez sur la légende des barres souhaitées (par exemple, Groupe A). 3 Sans déplacer le pointeur, cliquez de nouveau. Toutes les barres associées à la légende sont sélectionnées. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
Pour désélectionner une partie du groupe sélectionné : 1 Activez l’outil Sélection directe . 2 Maintenez la touche Maj enfoncée et cliquez sur l’objet. Pour modifier une partie du texte dans un graphe : 1 Activez l’outil Sélection directe progressive . 2 Cliquez une fois pour sélectionner la ligne de base de l’objet texte à modifier ou cliquez deux fois pour sélectionner l’ensemble du texte. 3 Choisissez Fenêtre > Texte > Caractère ou Fenêtre > Texte > Paragraphe. 4 Définissez les attributs de texte. Les modifications apportées s’appliquent uniquement au texte sélectionné.
Les données à l’intérieur d’un graphe peuvent être représentées à l’aide de barres ou de points que vous avez créés Un symbole peut être un dessin, un logo, la représentation symbolique d’une valeur (un vélo, par exemple) ou un objet complexe contenant un motif, un repère et du texte. Il peut être réutilisé et retouché pour en créer un nouveau. Un symbole de graphe ne s’applique pas de la même façon qu’un motif. Un symbole est dessiné à l’échelle du graphe de façon à occuper la taille d’une barre. Il s’agit d’un élément sélectionnable et modifiable. Les symboles peuvent être utilisés dans les graphes à barres verticales/horizontales simples ou empilées. Ils peuvent également remplacer les points dans les graphes linéaires ou à nuages de points. Vous pouvez créer les types de symboles suivants : •
Fenêtre > Bibliothèques de nuances > Autre bibliothèque et choisir le fichier le contenant afin de l’importer. Lorsque vous importez des symboles, vous pouvez voir les couleurs, les dégradés et les motifs dans le nouveau fichier, mais les symboles proprement dits n’apparaissent que dans la boîte de dialogue Symbole. Pour créer un symbole : 1 Tracez un rectangle comme bloc de base pour le symbole. Ce rectangle représente l’enveloppe du symbole. 2 Appliquez une couleur au rectangle ou sélectionnez Aucun comme attributs de fond et de contour pour le rendre invisible. Copiez et collez la plus petite barre du graphe, afin de l’utiliser comme rectangle de base. 3 Créez le symbole à l’aide d’un outil de dessin ou placez un symbole existant devant le rectangle. 4 Pour afficher les totaux des valeurs avec le symbole, suivez la procédure décrite ci-après. 5 A l’aide de l’outil de sélection , sélectionnez intégralement le symbole et son enveloppe. 6 Choisissez Objet > Associer pour établir une association entre les éléments du symbole. 7 Choisissez Objet > Graphe > Symbole. 8 Cliquez sur Créer. Un aperçu du symbole sélectionné s’affiche.
9 Cliquez sur Renommer. Nommez le symbole, cliquez sur OK, puis cliquez de nouveau sur OK. 10 Pour appliquer le symbole au graphe, voir la section « Application d’un symbole aux graphes », page 431.
3 A l’aide de l’outil Plume , tracez un trait horizontal délimitant la zone à étirer ou à comprimer. 4 Sélectionnez intégralement le symbole, y compris le trait. 5 Choisissez Objet > Associer. 6 A l’aide de l’outil Sélection directe ou Sélection directe progressive , sélectionnez le trait horizontal. Veillez à ne sélectionner que le trait. 7 Choisissez Affichage > Repères > Créer des repères. 8 Choisissez Affichage > Repères > Verrouiller les repères pour déverrouiller les repères (la coche disparaît). Déplacez le symbole pour vérifier si le repère suit le mouvement. 9 Activez l’outil Sélection et sélectionnez le symbole entier. 10 Choisissez Objet > Graphe > Symbole. 11 Cliquez sur Créer. Un aperçu du symbole sélectionné s’affiche. 12 Cliquez sur Renommer. Nommez le symbole, cliquez sur OK, puis cliquez de nouveau sur OK. Pour afficher des totaux de valeurs : 1 Créez le symbole. 2 Sélectionnez l’outil Texte . Pointez à l’endroit où la valeur doit apparaître par rapport à l’enveloppe du symbole. Vous pouvez, par exemple, placer la valeur au-dessus, au-dessous, à gauche, à droite ou à l’intérieur de celle-ci. 3 Cliquez et tapez le signe de pourcentage (%) suivi de deux chiffres compris entre 0 et 9 pour définir le mode d’affichage des valeurs numériques. Le premier chiffre indique le nombre de chiffres précédant le séparateur décimal. Si, par exemple, vous entrez 3, la virgule est précédée de trois chiffres. Si vous entrez 0, le programme affiche le nombre de chiffres nécessaires. Le second chiffre correspond au nombre de décimales. Le programme ajoute des zéros, si nécessaire, ou arrondit les valeurs par défaut ou par excès. Vous pouvez modifier le nombre de chiffres selon vos besoins. 4 Pour modifier les attributs de texte, choisissez Fenêtre > Texte > Caractère, sélectionnez les attributs souhaités et fermez la palette. 5 Pour aligner les chiffres sur la virgule, choisissez Fenêtre >Texte > Paragraphe et cliquez sur l’icône Aligné à droite. 6 A l’aide de l’outil Sélection , sélectionnez intégralement le symbole, y compris l’enveloppe et le texte. 7 Choisissez Objet > Associer pour établir une association entre les éléments du symbole. 8 Choisissez Objet > Graphe > Symbole. Comment utiliser l’aide | Sommaire | Index
1 A l’aide de l’outil Sélection directe progressive , sélectionnez les barres que vous souhaitez remplir avec le symbole ou sélectionnez l’intégralité du graphe. 2 Choisissez Objet > Graphe > Barre. 3 Sélectionnez un type de symbole, comme indiqué à la section « Symboles de graphe », page 427. Si vous choisissez Répétitif, vous devez entrer une valeur dans la zone de texte Valeur unitaire, afin d’indiquer quelle quantité de données représente le symbole. Choisissez également Découpée ou Proportionnelle dans le menu déroulant Fraction. L’option Découpée coupe une partie du symbole, et l’option Proportionnelle réduit le dernier symbole pour qu’il tienne dans la barre. 4 Sélectionnez le symbole souhaité. Un aperçu de celui-ci apparaît à l’écran. Cliquez sur OK. Pour créer un symbole de point : 1 Commencez par copier une enveloppe de symbole à partir du graphe et, en utilisant l’enveloppe comme bloc de base, par définir la taille du point. 2 Donnez au point la taille qu’il doit avoir dans le graphe, même s’il doit sortir des limites du rectangle que vous avez copié. 3 Une fois le point défini à votre convenance, sélectionnez le symbole, choisissez Objet > Graphe > Symbole, puis cliquez sur Créer. 4 Cliquez sur le bouton Renommer, entrez le nom choisi pour le symbole, puis cliquez sur OK.
1 Choisissez Sélection > Désélectionner pour désélectionner tous les éléments de l’illustration. 2 Choisissez Objet > Graphe > Symbole. 3 Sélectionnez le symbole à coller, puis cliquez sur Coller. 4 Cliquez sur OK. Le symbole est collé dans l’illustration. Vous pouvez à présent le modifier, puis l’enregistrer sous un nouveau nom.
Déplace la sélection par incréments définis par l’utilisateur à la puissance 10
Déplace la sélection par incréments définis par l’utilisateur à la puissance 10 *Appuyez sur Maj
Toute référence à des noms de société dans les modèles cités en exemple est indiquée à des fins de démonstration. Adobe, le logo Adobe, Acrobat, Acrobat Reader, Adobe Certified Training Provider, Adobe Certified Expert, Adobe Dimensions, Adobe Gamma, Adobe Image Library, Adobe Premiere, Adobe Press, Adobe Type Manager, After Effects, AlterCast, Classroom in a Book, FrameMaker, GoLive, Illustrator, InDesign, LiveMotion, Minion, Myriad, PageMaker, Photoshop, PostScript, PostScript 3, Streamline, Type Reunion sont des marques ou des marques déposées d’Adobe Systems Incorporated aux Etats-Unis et/ou dans d’autres pays. Microsoft, OpenType, Windows et Windows NT sont des marques déposées de Microsoft Corporation aux Etats-Unis et/ou dans d’autres pays. Apple, Macintosh, Mac OS, Power Macintosh, QuickTime et TrueType sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux Etats-Unis et dans d’autres pays. QuickTime et le logo QuickTime sont des marques utilisées sous licence. Helvetica et Times sont des marques de Linotype-Hell AG et/ou de ses filiales. IBM et OS/2 sont des marques déposées d’International Business Machines Corporation. Kodak est une marque déposée et Photo CD une marque d’Eastman Kodak Company. UNIX est une marque déposée aux Etats-Unis et dans d’autres pays, concédée sous licence exclusive par X/Open Company, Ltd. Pentium est une marque déposée d’Intel Corporation. Macromedia et Flash sont des marques ou des marques déposées de Macromedia, Inc. aux Etats-Unis et/ou dans d’autres pays. Sun est une marque ou une marque déposée de Sun Microsystems, Inc. aux EtatsUnis et dans d’autres pays. Toutes les autres marques appartiennent à leurs propriétaires respectifs. Les couleurs PANTONE® affichées dans l’application ou dans la documentation de l’utilisateur ne correspondent pas toujours aux standards identifiés par PANTONE. Reportez-vous aux publications sur les couleurs PANTONE pour une correspondance exacte des couleurs. PANTONE® et les autres marques Pantone, Inc. sont la propriété de Pantone, Inc. © Pantone, Inc. 2001. Pantone, Inc. est titulaire du copyright des données de couleur et/ou du logiciel dont la licence a été accordée à Adobe Systems Incorporated en vue d’une utilisation exclusive avec Adobe Illustrator. Les données de couleur PANTONE et/ou le logiciel ne peuvent, en aucun cas, être copiés sur un autre disque ou en mémoire en dehors du cadre de l’exécution du logiciel Adobe Illustrator. Copyright ImageStream Graphics et Presentation Filters 1991-1996 Inso Corporation. Tous droits réservés. Logiciel International Correct Spell Concise Correction, version 8.1, sous licence d’Inso Corporation. Copyright 1986-1994, Inso Corporation, Microlytics, Inc., Xerox Corp. Tous droits réservés pour tous pays. Portions © Eastman Kodak Company, 2000, utilisées sous licence. Tous droits réservés. Protégés par les brevets américains 4 837 613, 5 831 632, 5 870 091 et 5 943 063. Brevets en cours d’homologation. Le logiciel met en œuvre l’algorithme LZW accordé sous licence en vertu du brevet Etats-Unis, Adobe s’engage à respecter toutes les lois sur l’égalité des chances, y compris, si approprié, les dispositions de l’Executive Order 11246, comme modifié, la section 402 de l’Acte d’assistance à la réhabilitation des vétérans du Vietnam (the Vietnam Era Veterans Readjustment Assistance Act) de 1974 (38 USC 4212) et la section 503 de l’Acte de réhabilitation (Rehabilitation Act) de 1973, comme modifié, ainsi que les règlements de l’article 41 C.F.R., sections 60-1 à 60-60, 60-250 et 60-741. Les règlements et la clause d’action affirmative contenus dans la phrase précédente doivent être inclus comme référence dans ce contrat de licence.
Afficher les repères, commande 104 Afficher les tranches, commande 323 Afficher transformation, commande 132 agrandissement et réduction des vues 15 AI, format de fichier 351 Ajout de point d’ancrage, outil 6, 61 Ajouter un nouveau contour, commande 252 Ajouter un nouveau fond, commande 252 Ajuster en largeur, commande 304 Aléatoire, filtre 141 Aléatoire, option 117 Aléatoire, option (dessin à l’encre) 152 alignement à droite 296 alignement d’objets 117 Annuler les repères, commande 104 Annuler, commande 100, 158, 160, 326 Annuler, commande (masque d’écrêtage) 164 aperçu 15, 90 Aperçu de la surimpression, commande 15, 381 Aperçu de tous, commande 242 Aperçu en pixels, commande 15, 319 Aperçu, commande 15 Choix lors de la modification, option 40 Chrome, commande 268 chrominance 166 ciblage des calques 245 Ciseaux, outil 11, 66, 98 Classroom in a Book 25 clavier, raccourcis 19 Colorimétrie absolue, mode de rendu 202 Colorimétrie relative, mode de rendu 202 combinaison. Voir tracés transparents Combiner les tranches, commande 324 commandes dans les scripts 404 raccourcis clavier 19 commandes modales, utilisation avec les scripts 404 Composite, option 365 compression format Adobe PDF 354 GIF, format 360 149 couleur quadri icône 175 couleur résultante, dans les modes de fusion 215 Couleur, bouton 172 couleur, modification 95 Couleur, option 105 Découpage, commande 265 découpe avec l’outil Ciseaux 66, 98 avec l’outil Cutter 163 avec la commande Tranche 163 Voir aussi Masque d’écrêtage, commande découpe d’une illustration. Voir masques Découpe, commande 161 défaut de repérage 383 déformation d’objets 130 à l’aide de l’outil Déformation 130 à l’aide de l’outil Transformation manuelle 130 en spécifiant un angle et un axe 131 Déformation, outil 8, 9, 130, 137 Dégradé avant - arrière, commande 150 dégradé de couleur 215 Dégradé de couleurs, bouton 172 Dégradé de couleurs, commande 220 Dégradé de couleurs, outil 11, 222 Dégradé de formes, outil 11 Dégradé horizontal, commande 150 Dégradé vertical, commande 150 à l’aide des touches fléchées 114 objets déplacement à l’aide de l’outil Transformation manuelle 114 déplacement des objets déplacement au premier plan et à l’arrièreplan 120 déplacement Web, bouton 345
Ecrêter, option 215 Effacer l’aspect, commande 252
épaisseur du contour configuration 174 conservée pendant la mise à l’échelle 128 sélection avec la même épaisseur 111, 112 Epaisseur du contour, commande 111 Epaisseur, option (dessin à l’encre) 152 Eponge, commande 265 épreuves sur écran couleurs 203 EPS, format de fichier 352 importation de fichiers 38 impression de fichiers incorporés 40 problèmes avec les tons directs et les illustrations transparentes 170 erreurs, correction 100 Espacement de symboles, outil 9, 83 espacement proportionnel (Tsume) 298 espaces colorimétriques 168, 191 espaces de travail définis 195 définition 197
Format de page, boîte de dialogue 364
Adobe PDF 353 EPS 352 Masquer le plan de travail, commande 30 Masquer les limites de page, commande 32 Masquer les règles, commande 100 Masquer les tranches, commande 323 Masquer, commande 123 masques 151 ajout d’un fond et d’un contour 165 création 164 division 375 opacité 213 sélection 111 utilisation de texte vectorisé comme masque 290 verrouillage et déverrouillage 165 masques d’écrêtage 163, 215, 248 Masques, commande 111 à l’aide de l’outil Transformation manuelle 127 spécification de facteurs d’échelle 128 Mise à l’échelle des contours et des effets, option 128 Mise à l’échelle différenciée, option 128 mise à l’échelle horizontale, réglage 284 mise à l’échelle verticale, réglage 284 Mise à l’échelle, outil 8, 127 mise en retrait de paragraphes 296 Mode Bouton, commande 400 mode colorimétrique 217 Mode de fusion, commande 111 mode Ecran standard 14 mode Plein écran 14 Mode, option espace de couleur de destination 367 modelage d’objets et de tracés 64
Préférences, commande 21 Premier plan, commande 120 Rechercher une police, commande 281 recherche et remplacement de texte 306 Rechercher l’objet, commande 243 recouvrement 383 compensation de l’étirement du papier 386 de texte 384 avec des densités de couleur similaires 385 par surimpression 386 par teintes 384 valeurs horizontale et verticale 386 recouvrement par dilatation 384 Recouvrement, commande 385 recouvrements création 383 inversion 386 recouvrements de ligne, création 388 Recouvrements en couleur quadri, option 386 Rectangle arrondi, commande 139 Rectangle arrondi, outil 7, 67 rectangle de sélection 16, 108 Remplacer le symbole, bouton et option 80 remplir de nouveau les vues 335 Réorganiser les icônes, commande 14 répartition d’objets Distribution d’espace, option 117 Distribution d’objets, option 117 espacement entre objets 117 repères 103 masquage et affichage 104 préférences 105 repères commentés 105 repères commentés 105 activation et désactivation 105 choix d’un point 105 création, déplacement et transformation d’objets 106 préférences 106 utilisation 106 Repères commentés, commande 105 Repères de construction, option 106 repères de tracés pour le texte 294 Repères et grille, commande 105 repères pour l’impression 390 Répéter la sélection, commande 179 Répéter, commande 132
Resélectionner, commande 111, 179 résolution 27 définition dans les séparations 393 de dégradés 370 paramètres de pixellisation 369 sortie 370 résolution d’imprimante 28 résolution de sortie 370 restauration de fichiers 100 à l’aide de l’outil Transformation manuelle 125 en spécifiant un angle 126 Rotation de symboles, outil 10, 84 rotation des objets axes x et y 119 rotation, angle 12, 119 Rotation, commande 126, 128 Rotation, option (dessin à l’encre) 152 Rotation, outil 8, 125 roue chromatique 166 rupture. Voir Décomposer la forme composée, commande, Annuler, commande, Annuler la forme composée, commande RVB icône 175 mode colorimétrique, conversion 260, 262 mode colorimétrique, sélection de couleurs par numéro 186 mode colorimétrique, sélection pour un nouveau fichier 30 RVB, fichier de démarrage 176, 184 RVB, modèle colorimétrique 166, 185 Supprimer les tracés de texte vides, option 276 supprimer une annexe, filtre 376 surface de travail 29 surface imprimable 29, 394 surface non imprimable 29 Surimpr. fond, option 382 surimpression aperçu 381 sur images composites 365, 366 noir 396 options 380 recouvrement 386, 388, 389
Texte vertical, outil 7 texte, agencement des paragraphes ajustement en largeur 304 alignement 296 définition des attributs de paragraphes 295 définition des tabulations 302 justification 296 mise en retrait de la première ligne 296 mise en retrait de paragraphes 296 utilisation de la palette Tabulations 302 texte, ajustement en largeur 304 texte, définition des attributs 278 approche 282 copie d’attributs 286 corps 280 crénage 282 décalage vertical 284 espacement 297 exposants et indices 284 interligne 281, 282 polices 279 styles 279 texte, gestion affichage des palettes et options 278, 279, 295 affichage et masquage de caractères masqués 277 exportation dans Photoshop 358 faux texte 294 modification des unités de texte 285 texte, modification création de ligatures 307 dessin 285 recherche et remplacement de polices 281 transformation 287 utilisation d’autres caractères 308 utilisation de fractions mathématiques 308 texte, ponctuation et espaces cadratins 283
Torsion, commande 142 Torsion, outil 8, 142 torsion. Voir Aléatoire, filtre et Distorsion, filtres et effets Touche curseur, option 114 Tout sur un même calque, commande 111 Tout transformer, commande 133
Tracé automatique, outil 11, 98, 99 tracé d’illustrations 98 tracé simple 155 tracés 51 304 conversion du texte en tracés 289 saisie de texte sur un tracé 275 suppression de tracés de texte 276 transformation d’objets en tracés de texte 274